Objectifs pour 2010 - Scotiabank Global Site€¦ · sein de la Banque et des changements ......

20

Transcript of Objectifs pour 2010 - Scotiabank Global Site€¦ · sein de la Banque et des changements ......

Objectifs pour 2010 – Notre tableau de bord équilibré

Données financières

• Rendement des capitaux propres : 16-20 %

• Croissance du bénéfice dilué par action :

7-12 %

• Valeur à long terme pour les actionnaires

par des hausses des dividendes et une

appréciation du cours de l’action

Ressources humaines

• Niveau élevé de satisfaction et

d’engagement des employés

• Diversité de l’effectif

• Collaboration

Clientèle

• Niveau élevé de satisfaction et de

fidélité des clients

• Élargissement des relations avec les

clients existants

• Acquisition de nouveaux clients

Exploitation

• Ratio de productivité inférieur à 58 %

• Pratiques solides en matière de

gouvernance d’entreprise et de

processus de conformité

• Solides coefficients du capital

• Responsabilité sociale d’entreprise et solide

engagement envers les collectivités

Note de la rédaction

En couverture…En marge du Jour de la Terre, la page couverture représente l'engagement continu de la BanqueScotia en vue de protéger l'environnement. La section Engagement Scotia de ce numéro présentequelques initiatives environnementales auxquelles participent des employés de la Banque de partoutdans le monde afin de protéger notre planète pour les générations futures.

Jusqu’à présent, 2010 a été une année difficile pour nos collègues aux prises avec leseffets des catastrophes naturelles survenues dans leur pays. Cependant, comme par lepassé, les employés de la Banque Scotia ont montré leur force en tant qu’équipe et sesont mobilisés pour aider leurs collègues en difficulté au Chili et en Haïti.

Chili

Fin mars, Dieter Jentsch, vice-président à la direction, Amérique latine; Pat Krajewski,première vice-présidente, Ressources humaines, Opérations internationales; Mike Dervan,premier vice-président et chef, Exploitation, Services partagés; Nolan Miller, premier vice-président, Crédit aux particuliers – International; et Terry Fryett, premier vice-président,Gestion du risque global, se sont rendus à Talcahuano et Concepción pour rencontrer lesemployés et les féliciter de leur courage et de leur engagement envers la Banque pendantcette période difficile. Les employés du Chili ont exprimé leur appréciation pour tout ce quela Banque et ses employés ont fait pour aider les gens de cette région.

La plupart des succursales du Chili sont maintenant ouvertes et les employés sontsoutenus par des programmes locaux et des programmes de la Banque.

Haïti

La Banque continue de soutenir nos collègues haïtiens par l’intermédiaire de la Croix-Rouge et de services communautaires locaux, et elle a établi un niveau de service à laclientèle stable. Les opérations en succursale continuent de s’améliorer.

Magazine Monde Scotia en ligneNous vous encourageons à visiter le magazine en ligne où vous trouverez desrenseignements supplémentaires concernant certains de nos articles, ainsi qu’unesection «Engagement Scotia» plus complète. Le Magazine Monde Scotia en ligne estaccessible dans Passeport RH sous Mes communautés. Les employés situés à l’extérieurdu Canada peuvent accéder à la version en ligne dans Passeport RH (là où elle estdisponible) ou sur le site IMAC sous Corporate & Contact Information > Public,Corporate & Government Affairs > Public & Corporate Affairs > Scotia World Magazine. w

Sincères salutations,

Paula Cufre, Rédactrice en chef

Envoyez-nous vos commentaires et suggestions à [email protected] – ils seront vivementappréciés.

2 Entretien

Brian Porter

4 Collaboration

Traverser les frontières et les secteurs d’activité

Au Canada? Accédez à la version en ligne

• dans Passeport RH sous Mes communautés; dans IntraCom >Salle des nouvelles > Réseau Actualités Scotia; ou

• dans Scotia Navigator sous le lien Employee Information de lapage d’accueil.

À l’extérieur du Canada? Accédez à la version en ligne

• dans Passeport RH (s’il est accessible) ou sur le site IMAC >Corporate & Contact Information > Public, Corporate & GovernmentAffairs > Public & Corporate Affairs > Scotia World Magazine.

Pour en savoir plus sur certains articles de ce numéro, rendez-vous sur le site

Actualités Scotia

Table des

matières 6

6 Point de vueImpliquer les employés

8 DirectionSérie : Former les futursdirigeants

9 Planification duperfectionnementPrenez l’initiative

12 ProfilÀ chacune sa réussite

12 Colonne RSEImpact mondial de laBanque Scotia

13 Mieux-être ScotiaSanté buccale

1 4 Article de fonds40e anniversaire de la journée de la Terre

1 5 CollectivitéRaser pour sauver

1 6 Collectivité Les maisons de l’espoir

17 CollectivitéDe l’aide pour Haïti

Vous trouverez sur le site Web deMagazine Monde Scotia une section«Engagement Scotia» plus complète.

Expérience Scotia Engagement Scotia

14

Correspondantes :Lori Bianco, Jennifer Corbett, Gail Lambie, Menka Walia

Coordination :Jennifer Corbett

Directrice artistique :Nancy Howard

Conception : Jim Kapsalis, Vincenza Thorburn, Sally Yuen

Production : Kelly McCraw

Vous pouvez nous joindre par courriel, à

[email protected], ou par la poste, à Magazine

Monde Scotia, Scotia Plaza, 40, rue King Ouest, Toronto

(Ontario) M5H 1H1; code service 37622.

Communiquez tout changement d’adresse ou de distribution par

téléphone, au 416-866-3925, ou par télécopieur, au 416-933-7385.

Rédactrice en chef :Paula Cufre

Téléphone : 416-866-4833

Comité de rédaction :Toni Spooner, Gail Lambie, Chris McAuliffe

10Succès en têtePat Krajewski

Le Magazine Monde Scotia est publié cinq fois l’an en anglais,

en français et en espagnol par Affaires de la société et distribué

à tous les employés du Groupe Banque Scotia à travers le monde.

Le Magazine Monde Scotia est mis en ligne dans Passeport RH

sous Mes communautés, dans IntraCom sous Réseau Actualités

Scotia, et dans Scotia Navigator sous le lien Employee Information

de la page d’accueil. Il est aussi sur le site IMAC (s’il est accessible).

Les lecteurs sont invités à envoyer des articles ou des suggestions.

Les photos numériques doivent être de haute résolution

(300 ppi pour 5 po x 7 po).

Web du Magazine Monde Scotia

Avril/Mai 2010 MondeScotia2

LH Brian, nous travaillons dans un univershautement réglementé et la gestion durisque est une activité très complexe.Pouvez-vous nous dire quels sont les deuxou trois aspects de votre travail les plusimportants?

BP La chose la plus importante quenous faisons est de nous assurer que lesactivités de la Banque qui comportent unrisque sont conformes au niveau derisque que la Banque est prête à prendre.Nous informons également le conseild’administration de l’évolution desactivités qui présentent des risques, de laperformance de nos portefeuilles et deschangements de réglementation. Letroisième aspect de notre travailconcerne la communication avec lesautorités de réglementation et la hautedirection au sujet de ce qui se passe ausein de la Banque et des changementsimportants qui ont lieu. La Banque estune grande organisation très complexe.Le fait d’être présents dans 50 payssignifie que nous sommes en relationavec une centaine d’autorités deréglementation dans le monde entier.Nous devons par conséquent composeravec beaucoup de choses en évolution.

LH Votre poste comporte diversesresponsabilités au sein des services Gestiondu risque global, Trésorerie du Groupe etInvestissements stratégiques. Décrivez-nousune journée typique au bureau.

BP Étant donné que beaucoup dechoses se passent, je ne peux pasexactement vous décrire une journéetypique. Elle peut comprendre unegamme d’activités telles que traiter unimportant crédit aux grandes entreprisespour l’un de nos gros clients, examinerune acquisition potentielle, préparer lesdocuments nécessaires pour tenir leconseil d’administration au courant desactivités à risque, ou rencontrer lesmembres d’une autorité deréglementation pour les informer de laperformance des activités à risque de laBanque.

LH Brian, comment vous et votreéquipe dirigeante aidez les secteursd’activité à gérer le risque au sein de laBanque?

BP Pour moi, la Gestion du risqueglobal (GRG) est passée d’un rôle degardien à celui de partenaire stratégique.Nous collaborons avec les secteursd’activité pour les aider à atteindre leursobjectifs de l’année. Par exemple, nousavons travaillé avec Scotia Capitauxpendant la crise du crédit pour diminuerle risque de certains compartiments deson portefeuille. Nous travaillonségalement avec les secteurs d’activitépour investir le capital des actionnairesde manière à générer pour la Banque unrevenu stable et prévisible.

LH Ces temps-ci, on entend beaucoupparler de l’appétit pour le risque, etnotamment que ce dernier s’inscritmaintenant dans les principales prioritésstratégiques de la Banque. Pour lesemployés qui travaillent directement avec laclientèle, que représente l’appétit pour lerisque?

BP L’appétit pour le risque est unterme que les employés de la BanqueScotia vont entendre plus souvent àl’avenir. Pour simplifier les choses,l’appétit pour le risque est déterminé enfonction du capital de la Banque, de sesactivités à risque et de sa stratégie. Ils’agit d’équilibrer les intérêts despersonnes concernées. Par exemple, lespersonnes qui déposent de l’argent à laBanque veulent en échange la sécurité etun bon taux de rendement; les employésveulent la sécurité de l’emploi et untravail intéressant; les actionnairesveulent des bénéfices et des dividendesde grande qualité et stables; et lesautorités de réglementation exigent de laBanque qu’elle soit prudente et seconforme aux règles. Nous prenons cesdifférentes perspectives, trouvons unéquilibre et visons des résultats stables etprévisibles. Voilà ce qu’est l’appétit pourle risque.

Brian Porter

Lynn Hampsons’entretient avec

Lynn Hampson, vice-présidente de secteur, Services aux entreprises, Région de

Toronto, a discuté avec Brian Porter, chef, Groupe Risque et trésorerie pour les

lecteurs de Magazine Monde Scotia afin de mieux comprendre la fonction du groupe

Risque et trésorerie, et savoir comment les unités sous la responsabilité de M. Porter

collaborent avec les secteurs d’activité pour garantir la réussite de la Banque.

LH Actuellement, il est demandé auxemployés de la Banque Scotia en contactavec la clientèle d’atteindre des objectifsde croissance importants. De quellemanière vous et votre équipe de la GRGles aidez dans leur tâche?

BP Nous sommes chanceux d’avoir uneexcellente équipe de direction dont lesmembres ont de l’expérience en matièrede risque et de secteurs d’activité.Nombre de nos dirigeants ont uneexpérience de terrain; ils ont travaillé àdifférents postes et dans différents payset zones géographiques. Nous savons ceque c’est de devoir concilier les besoinsd’une gestion prudente du risque avec lapression dont les secteurs d’activité fontl’objet pour atteindre leurs cibles et leursobjectifs. Donc, comme pour beaucoupde choses, il s’agit de trouver le justeéquilibre.

LH À la Banque, nous avons une trèsforte culture du risque. Pourquoi pensez-vous que la Banque Scotia gère si bien lerisque?

BP La gestion du risque est ancréedans la culture de la Banque. CommeRick Waugh aime le dire : «pas de risque,pas de Banque». Nous travaillons dans ledomaine du risque et il s’agit juste dequantifier les risques. Nous aimonsprendre des risques à condition que nouspuissions les mesurer, les structurer, lessurveiller, être rémunérés encontrepartie, et dans certains cas, lesnégocier. La clé est de compenser lesrisques par des bénéfices stables etprévisibles.

LH Étant donné l’accent mis sur laliquidité, pouvez-vous parler de votre rôleau sein du service Trésorerie du Groupe?

BP Vous allez continuer à entendreparler de la liquidité parce que le capitalet la liquidité sont l’essence même desbanques. Pour gérer efficacement leprofil de liquidité de la Banque, noustravaillons en étroite collaboration avecles secteurs d’activité. Par exemple, nouspassons beaucoup de temps avec l’équipede direction du Réseau canadien àtravailler sur leurs stratégies de dépôtsparce que faire croître ces derniers estun élément essentiel de notre stratégied’avenir concernant la liquidité.

LH Même si nous pensons tous quel’économie amorce sa reprise, certainscontinuent d’hésiter dans le monde desaffaires. Quelles sont les choses qui vousinquiètent pour l’année à venir?

BP Du point de vue de la Banque dansson ensemble, je pense que nous avonsbeaucoup de chance d’avoir troissecteurs d’activité très solides : nosrevenus et notre rentabilité sont biendiversifiés. De plus, nous avons unexcellent bilan : nous sommes, à touspoints de vue, très bien capitalisés. Bienque l’économie amorce sa reprise ici et là,la croissance des actifs ne sera pas trèsapparente, car il y a un décalage.Cependant, nous sommes persuadés quela reprise va avoir lieu à différentsendroits et qu’une croissance solide va denouveau s’installer.

LH En tant que chef du Groupe Risqueet Trésorerie, vous êtes de toute évidencetrès occupé à la Banque. Vous avezégalement une famille et vous vousimpliquez dans la collectivité. Commentconciliez-vous tout cela?

BP C’est là aussi une questiond’équilibre. J’ai un travail que j’adore.J’en suis passionné. J’ai la chance d’avoirle soutien de ma femme Megan et de nosenfants. Nous sommes très impliquésdans les études et les activités de nostrois adolescents. En famille, nousaimons voyager et passer du temps dansnotre chalet en Nouvelle-Écosse.

LH Y a-t-il autre chose que vousvoudriez partager avec l’équipe de laBanque Scotia?

BP Oui. J’ai la chance de voyager dansdivers endroits où la Banque exerce sesactivités. Quelle que soit ma destination(Amérique latine, Amérique centrale,Moyen-Orient ou Inde), je ne peuxm’empêcher d’être impressionné par lesperspectives de croissance qui s’offrent àla Banque à l’échelle mondiale. Noussommes chanceux d’avoir les plateformesdont nous disposons et l’excellentpersonnel qui compose notre équipe.Notre bilan est en excellente forme, nousavons de très bonnes perspectives decroissance et une solide équipe dedirection en place. L’avenir de la Banqueest très porteur. w

Avril/Mai 2010 MondeScotia 3

Actualités Scotia

Collaboration

Avril/Mai 2010 MondeScotia4

et les secteurs d’activitéTraverser les frontières

Un partenariat stratégique permet de tirer profit del’expertise sectorielle et régionale

En mai 2009, Scotia Capitaux et Opérations internationales sesont associées pour lancer le projet Opérations bancairesmondiales de gros. Ce projet mise sur les nombreuses relationsavec les clients établies dans le monde par Opérationsinternationales et sur l’expertise, les produits et les services deScotia Capitaux. Il permet également à ces deux équipes d’offrirun niveau de service stable partout dans le monde.

«Opérations internationales a développé des relations clientssemblables à celles établies par Scotia Capitaux», dit Kevin Clark,premier vice-président, Services aux grandes et moyennesentreprises, Opérations internationales. «Nos clients du mondeentier ont les mêmes besoins, et en travaillant avec ScotiaCapitaux, nous pouvons leur offrir les mêmes produits et la mêmeexpertise, qu’ils soient à Singapour, au Chili ou au Canada.»

Scotia Capitaux a mis au point les produits et acquisl’expertise sectorielle nécessaires pour répondre aux besoins desclients selon le profil multinational de la Banque. «Au cours desdernières années, la Banque s’est efforcée d’acquérir l’expertisesectorielle qui classe nos services parmi les meilleurs au monde»,affirme Frank Pinon, directeur général et chef, Marchésémergents, Hémisphère occidental. «Cela a changé la manièredont nous percevons les clients et nous-mêmes.»

L’initiative Opérations bancaires mondiales de gros permetd’améliorer la communication entre Opérations internationales etScotia Capitaux. Le projet qui a permis d’ouvrir les barrières et departager les clients entre les secteurs d’activité a mis en action ladevise Une équipe… un même objectif. La récente conventiond’achat de la division de Royal Bank of Scotland chargée desopérations bancaires de gros en Colombie est un bon exemple decela. Elle sera gérée dans le cadre du projet Opérations bancairesmondiales de gros. Quel que soit le secteur d’activité ou l’endroit,la Banque Scotia est une seule et même banque. En mettant celaen application grâce à des projets comme Opérations bancairesmondiales de gros, la Banque continue de réussir comme chef defile des institutions financières multinationales. w

Des solutions innovatrices dans le domaine des prêtshypothécaires

Parmi les nombreux changements qui ont eu lieu dans le domainedes prêts hypothécaires ces dernières années, notons que lamanière dont les propriétaires accèdent au crédit hypothécaire aévolué. Un nombre record de clients demandent à rencontrer unreprésentant hors des heures d’ouverture traditionnelles, oudemandent à le rencontrer à leur domicile ou au bureau.

La Banque Scotia répond à cette évolution des besoins desclients en offrant des services de financement de maisons parl’intermédiaire de trois principaux canaux : les succursales, leCongrès national des ventes hypothécaires et l’Autoritéhypothécaire Scotia.

«La taille du portefeuille de prêts hypothécaires est tellequ’aucun canal ne peut générer un chiffre d’affaires suffisant pourcouvrir les coûts de traitement annuels», explique Robin Hibberd,vice-président à la direction, Produits et services de détail, Réseaucanadien. «Les trois canaux ont la même importance pour notreréussite d’ensemble.»

La stratégie multicanaux de la Banque a été un succès et apermis de doubler le volume d’activité des prêts hypothécaires encinq ans. Chaque canal hypothécaire a sa propre place sur lemarché et attire des clients de différents créneaux. Les nouveauxclients hypothécaires représentent également une excellenteoccasion de vente parallèle pour d’autres produits et services.

«Lorsque nos canaux hypothécaires collaborent, nouspouvons concurrencer l’offre des autres institutions», ditAnatol von Hahn, vice-président à la direction, Servicesbancaires aux particuliers et aux entreprises. «Lacollaboration et la communication entre les trois groupessont essentielles à notre succès dans cette branche de nos activités.» w

«Nous avons l’ambition, les ressources humaines, et trois secteurs d’activité

solides qui réussissent très bien individuellement; mais en travaillant

ensemble, nous pouvons aller bien au-delà de ce que nous croyons possible;

ça, c’est la collaboration.» – Rick Waugh, président et chef de la direction

La collaboration est essentielle à la réussite des projets

La paie est quelque chose qui est appréciée de tous les employés etquand le système de paie canadien, âgé de 25 ans, a été entièrementrestructuré, la collaboration a été l’élément clé du projet.

Ce dernier, qui a duré deux ans et coûté des millions de dollars,a nécessité l’apport de plus de 150 personnes venant de diversservices (Ressources humaines, Services partagés, Technologies del’information et solutions, Gestion de patrimoine et Finance) et dehuit fournisseurs externes.

Dans le cadre du projet, l’équipe a effectué de nombreusestâches en parallèle pour veiller à ce qu’aucun aspect du projet ne soitnégligé et que ce dernier soit terminé à temps. «L’objectif commun quiest de créer un système de paie exceptionnel a permis à l’équipe derester concentrée et engagée», dit George Hanff, relations mondiales– service de la paie et directeur de programme. «Les membres del’équipe ont collaboré pour prendre les meilleures décisions possible,ce qui pour moi, est une collaboration de haut niveau.»

En plus d’avoir rendu possible la création d’une solution de paiepour le Canada, la restructuration a ouvert la voie à la croissancemondiale, en permettant à la Banque d’avoir les mêmes processuspartout et d’utiliser une seule infrastructure technique à diversendroits. w

Partagez les activités decollaboration de votre équipe avecMagazine Monde Scotia. Courriel :[email protected]

Avril/Mai 2010 MondeScotia 5

Actualités Scotia

Avec près de 68 000 employés répartis dans environ 50 pays, la Banque Scotia est positionnée

de manière unique pour mettre ses compétences diverses et sa couverture mondiale au service de

14,6 millions de clients. Plus que jamais, les différentes équipes de la Banque mettent en commun

leur expertise et tirent profit des occasions qui se présentent dans différents secteurs d’activité et régions

où la Banque est présente. Voici un aperçu des efforts de collaboration qui sont menés au sein de la Banque.

Réussite du magasin virtuel en chiffres* :

• Plus de 2 900 utilisateurs inscrits• Ventes brutes : plus de 2,7 millions de dollars• Plus de 31 000 onces vendues

* Données en date de mars 2010

La promotion parallèle génère des résultats

Scotia iTrade, la plate-forme de placement en ligne de la Banque,a créé une page introductive (splash page) dans le but depromouvoir le magasin virtuel de métaux précieux deScotiaMocatta.

La page encourage les clients à explorer le monde des métauxprécieux en visitant le magasin virtuel de ScotiaMocatta qui a étélancé en septembre 2009. La Banque Scotia est alors devenue lapremière banque canadienne à lancer un canal de distribution demétaux précieux complet en ligne.

«Le magasin virtuel de ScotiaMocatta nous a permis de mieuxrépondre aux besoins de nos clients grâce à une plate-formeinnovatrice et sécuritaire», affirme Barry Wainstein, vice-présidentdu conseil et chef adjoint, Marchés des capitaux mondiaux etdirecteur international, Opérations de change et métaux précieux.«La collaboration avec Scotia iTrade nous permet de répondre auxbesoins de clients potentiels dans le réseau de la Banque etd’élargir notre clientèle.»

ScotiaMocatta va chercher à développer son service de venteen ligne à l’extérieur du Canada. w

C’est en collaborant que les employés de la Banque Scotia visent l’objectif«Une équipe… un même objectif»

QDans le numéro de février du Magazine Monde Scotia, nous

vous avons présenté les améliorations apportées au sondage

Point de vue, y compris l’adoption de la mesure de

l’engagement plutôt que celle de la satisfaction des employés.

Dans cette nouvelle livraison, nous donnons un aperçu plus

détaillé de ce que nous entendons par engagement des

employés et nous tentons de mieux définir le sens de ce mot

à la Banque Scotia.Évaluer l’engagement des employés, c’est examiner les

comportements et les valeurs qui amènent dirigeants etemployés à s’intéresser au succès et à l’avenir du Groupeainsi qu’à leur place et à leur avenir à la Banque. «C’est uneapproche plus globale qui renforce la détermination de laBanque Scotia d’être un employeur hors pair à l’échellemondiale», explique Sylvia Chrominska, chef, GroupeRessources humaines et Communications mondiales.

Promouvoir l’adhésion à une culture d’engagement

Le sondage a été amélioré et de nouvelles questions y ont été

ajoutées. Il est agencé en fonction du cadre d’engagement des

employés, qui révèle les motivations importantes et les fondements

qui modèlent l’engagement des employés et favorisent la fidélité

de la clientèle et, en fin de compte, le succès de l’entreprise. Nous présentons ci-dessous quatre motivations, ou valeurs

et comportements, et les neuf fondements sur lesquels ellesreposent; ces motivations favorisent l’engagement dupersonnel et projettent l’image d’une entreprise engagée.

Monde Scotia Avril/Mai 20106

ExpérienceScotia

(En haut à gauche) : Les employés Marinho Orderique Nuñez (gauche), représentant, Service

clientèle, et Elton Flores Sayago (droite), adjoint – succursale, Pérou. (En haut à droite) :

(de gauche à droite) Andrea Douglas, responsable administrative principale, Opérations

internationales, Services et exploitation; Sunita Ramsook, caissier international; Sharlene

Nelson, caissière internationale, Centre de financement, Jamaïque. (En bas à droite) : (de

gauche à droite) Nancy Cyros, directrice adjointe, Stratégies d'emploi mondiales; Stan Inglis,

directeur principal de projet, Solutions systèmes, RH et Bastian Patrick, analyste, Rétribution

globale, Scotia Plaza, Toronto, Ontario. (En bas à gauche) Lucrecia Salim Baudrexel, directrice

de succursale (centre) et son équipe de la succursale de Lo Barnechea, Santiago, Chili.

engagésDes emp

loyés

partout dans le

monde

Q

ExpérienceScotia

Avril/Mai 2010 Monde Scotia 7

«Nous savons bien que nos employés sont déjà fortementengagés. Toutefois, ces changements nous aideront à mieuxcomprendre les facteurs qui influent sur leur niveau d’engagementet à faire de la Banque Scotia un employeur encore plusapprécié – une entreprise dont les employés sont passionnés,visent des objectifs clairs et sont enthousiastes envers leurtravail, leurs collègues et la Banque», conclut Mme Chrominska.

Vous trouverez prochainement dans le Magazine MondeScotia et Monde Scotia Express des renseignements plusdétaillés sur Point de vue 2010. �

L’engagement,qu’est-ce que c’est?C’est la passion et l’intérêt que les employés éprouvent à l’égard

de leur travail, de leurs collègues et de leur employeur, et qui les

incitent à se dépasser.

Confiance dans l’avenir de l'organisation :

• Les employés comprennent les buts et les aspirations de l’entreprise,

et leurs liens avec la stratégie que poursuit leur propre unité.

Confiance dans la haute direction :

• Les employés pensent que leurs dirigeants prennent des décisions

judicieuses et conformes aux valeurs et à l’éthique du Groupe Banque

Scotia, que les attentes et les orientations qu’ils établissent sont claires

et qu’ils assurent le suivi des engagements à court et à long terme.

Avenir prometteur pour moi :

• Les employés se sentent appréciés.

• Les employés pensent qu’ils jouent un rôle important pour le succès

de l’entreprise et que leur avenir est prometteur.

FO

ND

EM

EN

TS

Reconnaissance :

• Les employés sont satisfaits des témoignages de reconnaissance

qu’ils reçoivent.

Respect :

• Les employés sont traités avec respect et dignité.

FO

ND

EM

EN

TS

Équilibre vie professionnelle - vie personnelle :

• Les employés pensent que leur employeur apprécie leurs efforts pour

atteindre un bon équilibre entre leur vie professionnelle et les exigences

de leur vie personnelle.

Responsabilité d'entreprise :

• Les employés pensent que leur entreprise fait des apports utiles à la

vie économique et sociale de la collectivité.

FO

ND

EM

EN

TS

Passion du travail :

• Les employés travaillent avec enthousiasme.

Formation en milieu de travail :

• Les employés sont satisfaits de la formation sur le tas qui leur est donnée.

FO

ND

EM

EN

TS

Dirigeants qui donnent confiancedans l’avenir :

Quand les employés pensent que les efforts de leur

employeur et de leurs supérieurs favorisent leurs

intérêts, et que les aptitudes et les motivations de

tous convergent vers un même but, ils sont

confiants en l’avenir.

Gestionnaires qui respectent les employés etreconnaissent leur apport :

Ces attitudes exercent une influence sur l’opinion des

employés à l’égard de l’efficacité de leurs supérieurs.

Souci sincère des employés et de lacollectivité, de la part de l'organisation :

Les employés sont heureux de travailler pour une

entreprise qui est engagée au service des gens, qui se

soucie des effets à long terme de ses activités et qui

traite ses employés comme l’atout précieux qu’ils sont.

Travail passionnant que les employésmaîtrisent bien :

Les employés sont passionnés pour leur travail et

cherchent des moyens nouveaux pour exceller.

Facteur 1

Facteur 2

Facteur 4

Facteur 3

Monde Scotia Avril/Mai 20108

Une société à suivre de prèsLa qualité de ses cadres et la solidité de son réservoir decompétences confèrent à la Banque Scotia un avantage surses concurrents; c’est grâce à ces atouts que la Banque atteintses objectifs et améliore régulièrement son volume d’affaires.

Nous avons récemment eu l’honneur de recevoir ladésignation d’«entreprise à surveiller» («Company to Watch»)en raison des progrès réalisés dans le repérage, le soutien etla formation des chefs au sein du personnel. Nous sommes laseule entreprise canadienne à avoir été nommée dans le cadrede l’étude Global Top Companies for Leaders de Hewitt/Fortunemais, tout en nous félicitant d’être sur la bonne voie, noustenons à souligner notre désir de faire mieux encore.

Dans un article paru dans la livraison de l’été 2009 duMagazine Monde Scotia, nous mentionnions l’importancede la promotion du leadership parmi les prioritésstratégiques clés de la Banque Scotia et la façon dont laBanque établit le profil du leader.

Profil du leaderDans les prochains numéros du Magazine Monde Scotia,nous présenterons un examen plus détaillé du Profil duleader (accessible sur Passeport RH, là où il est disponible, àla rubrique Planification du perfectionnement) et nousmentionnerons certaines des compétences les plusimportantes. Ces compétences et comportements sontl’étalon-or que visent tous les leaders de la Banque Scotia.

Le Profil du leader montre aux employés une voie àsuivre pour accéder aux aptitudes, à l’expérience et auxcompétences requises aujourd’hui et pour l’avenir. Le Profildu leader présente trois thèmes de base : la préparation del’avenir, le développement de la capacité personnelle et de lacapacité de l’équipe, et l’exécution des plans d’affaires. Dansce premier article, nous concentrons notre attention sur lapréparation de l’avenir et sur l’une des compétences clésappartenant à ce groupe : l’influence stratégique.

Compétences en leadership : l’influence stratégique Au fur et à mesure que nos entreprises se font plus complexeset rayonnent plus largement dans le monde entier, nousattachons plus d’importance à nos équipes interfonctionnelleset notre succès repose largement sur la façon dont s’exercel’influence stratégique. Les chefs qui maîtrisent cette compétencese montrent réceptifs aux points de vue des autres et ont ladextérité requise pour trouver des terrains d’entente.

Kevin Clark, premier vice-président, Services commerciauxet aux grandes entreprises, Opérations internationales, croitfermement à la puissance du recours à l’influence stratégique.Après 18 ans auprès de Scotia Capitaux, dont la structureorganisationnelle est clairement définie, il a été muté, il y a 6ans, aux Opérations internationales, où il partage – dans unestructure nettement plus complexe et fluide – la responsabilitéde développer le volume d’affaires en collaboration avec lesdirigeants nationaux et régionaux.

«Il m’a fallu apprendre à attacher moins d’importance àla définition et à la documentation des responsabilités et desliens hiérarchiques, pour concentrer plutôt mon attentionsur le renforcement des liens au sein des équipes, la promotionde relations de travail harmonieuses et la motivation à l’action»,explique-t-il. «Ce sont ces aspects de l’entreprise quicomptent le plus et, dans ce cadre, les compétences eninfluence stratégique sont cruciales.»

PerfectionnementM. Clark souligne qu’une bonne compréhension de la visionstratégique de la Banque, de votre domaine d’activité et durôle que vous y jouez est la base de l’établissement derelations influentes. Être affecté à diverses fonctions dansdes domaines d’activité différents, et gérer des produitsdifférents dans différentes localités, peut favoriser l’acquisitiond’une vue d’ensemble et la compréhension de la façon dontvos priorités peuvent concorder avec celles des autres.Apprendre à établir des rapports avec les gens – qu’ils soientdes collègues ou des clients – et comprendre leurs différentsbesoins est un excellent moyen de développer vos aptitudespour l’exercice d’une influence stratégique.

«Le leadership se définit par l’apport que vous pouvezfaire au succès de votre équipe, de votre domaine d’activité etde la Banque», ajoute-t-il. «On peut être un leader et exercerune influence au sein de l’entreprise sans être un cadrehiérarchique. La Banque le sait et je crois que c’est pour ça quele leadership stratégique que nous pratiquons a tant de succès.» �

Dans la prochaine édition du Magazine Monde Scotia, nous analyserons et expliquerons les

moyens de développer des aptitudes personnelles et d’équipe. Vous pouvez consulter le

Profil du leader de la Banque Scotia dans le Magazine Monde Scotia en ligne.

La formation des cadres del’avenir : une compétence à la fois

Profil du leader de la Banque Scotia

Ce profil est l’élément de base utilisé par la Banque pour repérer

et perfectionner les leaders. Il décrit les valeurs fondamentales, les

compétences en leadership et l’expérience que doit posséder

un leader à la Banque Scotia pour mettre en oeuvre les stratégies

de la Banque. Il peut donc aider les leaders actuels et futurs

à évaluer les points sur lesquels ils devraient concentrer leur

attention pour poursuivre leur perfectionnement.

Direction

Kevin Clark, premier vice-président, Services commerciaux et aux grandes entreprises, Opérations internationales, a

participé à un projet de reconstruction au Panama pour Habitat pour l'humanité.

ExpérienceScotia

Avril/Mai 2010 Monde Scotia 9

Le moment est venu d’élaborer un plan de perfectionnement.

Un plan de perfectionnement aide les employés àconcentrer leur attention sur des objectifs de carrière et àévaluer leurs points forts et les domaines dans lesquels ilsdevraient se perfectionner.

Les cinq étapes d’un plan de perfectionnement réussi

Étape 1 : Définissez vos objectifs

Étape 2 : Évaluez vos aptitudes, vos compétences

et votre expérience

Étape 3 : Précisez vos options

Étape 4 : Élaborez un plan d’action

Étape 5 : Faites des révisions et un bon suivi de vos progrès

Vous trouverez une description détaillée de ces étapesdans le Guide de référence rapide – Planification duperfectionnement (voir l’encadré Accès aux ressources).

L’importance de l’auto-évaluation

Quelque clairs que soient vos objectifs de perfectionnement,il est tout aussi important de comprendre les aptitudes, lescompétences et l’expérience que vous possédez déjà. Lesemployés peuvent aussi vouloir prendre en compte leursvaleurs, leurs intérêts, leur façon de travailler et leursmotivations. Tous ces éléments peuvent améliorer leprocessus d’établissement d’un plan de perfectionnement.

Évaluation des aptitudes

Il est très utile de déterminer les points forts que l’onpossède et de se demander comment ils pourraient êtreutilisés pour accéder à de nouvelles possibilités.

Demandez-vous :

• Quelles aptitudes dois-je acquérir pour mieuxm’acquitter de mes fonctions actuelles?

• De quelles aptitudes aurai-je besoin pour saisir lesoccasions de progrès qui se présenteront à l’avenir?

Les cadres peuvent aussi aider leurs employés àdéfinir leurs points forts et les domaines dans lesquels ilsdevraient se perfectionner.

Expérience professionnelle

En plus de leurs aptitudes, les employés devraient aussi prendreen compte l’expérience professionnelle acquise au service de laBanque et ailleurs, ainsi que leurs plus belles réussites.

L’expérience peut comprendre le travail accompli dans desdomaines spécialisés, la réalisation de certains projets,l’acquisition de connaissances sur des produits, la gestion depersonnel ou la connaissance d’un secteur économique. Cetteexpérience n’est pas nécessairement liée seulement auxactivités professionnelles; elle peut inclure, par exemple, laplanification d’événements ou de campagnes de financementpour un organisme communautaire, des fonctions bénévolesà la direction d’un organisme ou même l’entraînementd’une équipe de sport.

La combinaison des aptitudes ou compétences et desexpériences permet une identification plus globale despoints forts généraux et peut souligner les occasions clésde développement. �

Accès aux ressources :

• Vous trouverez le Profil personnel et les Guides de

référence rapide dans la Trousse de perfectionnement du site

Web La gestion du rendement, dans Passeport RH (là où il

est disponible) ou à Mon Centre de formation international.

• Vous trouverez une liste complète des compétences

générales et en leadership dans Passeport RH – Trousse

Formation et carrières (là où il est accessible) ou parmi les

ressources pour la gestion des carrières, dans Mon Centre de

formation international.

• Vous trouverez des renseignements complémentaires sur

les compétences et l’expérience en leadership dans le

document Notre engagement en matière de leadership

disponible sur le site Perfectionnement de nos cadres

(également accessible dans Passeport RH ou Mon Centre de

formation international).

Gestion du rendement

Prenez l’initiative en planifiant

perfectionnement

Définissez vos objectifs

Évaluez vos aptitudes,vos compétences etvotre expérience

Précisez vos op

tions

Élaborez un plan

d'action

IdéationLe Magazine Monde Scotia en ligne donne la liste desplus récents récipiendaires de prix Idéation.

Faites des révisions et un

bon suivi de vos progrès

MMS : Qu’est-ce qui vous a amenée à travailler à la Banque Scotia?

PK : Je suis à la Banque depuis plus de 35 ans, mais j’ai peine àcroire que j’y ai passé autant de temps. J’ai passé mon enfancedans une petite ville mais je rêvais de travailler dans le domainebancaire. Alors, par un beau jour de printemps, j’ai décidé avecune amie de venir tenter ma chance dans une grande ville et j’aipostulé à quatre banques. Nous sommes arrivées à Toronto en juin.La première banque à laquelle je me suis présentée était la BanqueScotia. La dame qui m’a accueillie au service du recrutement m’adit : «Bonjour. Je me souviens de vous. Êtes-vous prête à passerune entrevue pour un emploi?» Le jour même, elle m’a envoyée àla succursale Bloor et Yonge pour un entretien et j’ai commencé à ytravailler deux jours plus tard.

MMS : Comment s’est déroulé votre cheminement professionnel?Aviez-vous un plan ou vous êtes-vous laissé mener par les circonstances?

PK : Ma motivation de base a toujours été d’apprendre encore plus.Je n’avais pas pensé particulièrement au domaine des ressourceshumaines, mais j’aimais bien parler avec les clients et je voulaispasser par tous les postes existants à la succursale pour devenir unjour directrice de succursale. C’était ça, le premier objectif de carrièreque je m’étais fixé, mais c’est en fait le seul que je n’ai pas réalisé.

Je voulais apprendre, apprendre encore, pour tout connaîtredans le domaine bancaire, mais je n’ai jamais perdu de vue qu’unecarrière s’étale sur bien des années. Cela m’a aidé à faire des choixparmi toutes les occasions qui se sont présentées.

MMS : Quelle a été la décision la plus importante pour votre carrière?

PK : D’une façon générale, celle de ne pas craindre de prendre desrisques. Mais la décision la plus cruciale, peut-être, pour macarrière a été de saisir l’occasion qui s’est présentée quand laBanque a voulu restructurer les services Banque d’investissement,Clientèle grandes entreprises et Opérations internationales. Cela asuscité beaucoup de bouleversements mais mon initiation à undomaine complètement différent, offrant de nombreuses possibilitésd’avancement, m’a poussé à prendre l’une des meilleures décisionsde ma carrière : celle d’obtenir un MBA.

Pleins feux sur la carrière

des employés de la Banque ScotiaAu cours de cet entretien, Pat Krajewski, première vice-présidente,Ressources humaines, Opérations internationales, parle de soncheminement professionnel et des possibilités de carrière à laBanque Scotia.

Entretienavec

PatKrajewski

première vice-présidente,

Ressources humaines, Opérations internationales

Monde Scotia Avril/Mai 2010 10

Succès en tête

Pleins feux sur la carrière

des employés de la Banque ScotiaMMS : Quel est l’aspect le plus stimulant de votre poste actuel?

PK : Les contacts humains. J’adore mes fonctions et la qualité demes relations avec mes collaborateurs, au Canada et àl’étranger. Je trouve enthousiasmant de pouvoir enrichircontinuellement mes connaissances en communiquant avecd’autres personnes, partout dans le monde. Je côtoie beaucoupde gens de grand talent et cela me plaît énormément.

MMS : Quelle a été votre plus grande source de fierté au coursde votre carrière?

PK : Au chapitre du travail, ce serait mon rôle dans ledéveloppement et la mise en oeuvre de la stratégie de leadershipet du tableau de bord équilibré. La Banque Scotia ne plaisantepas quand elle dit qu’elle considère le développement duleadership comme une priorité majeure, et ces deux élémentssont les principaux parmi ceux qui m’ont permis de fournir, jecrois, un apport important aux changements réalisés par laBanque.

Et si je pense aux contacts humains, ce serait sans aucundoute les liens que j’ai forgés au fil des ans et que je continue,dans bien des cas, d’entretenir aujourd’hui.

MMS : Comment décririez-vous votre approche du leadership?

PK : En tant que leader, je recherche le positif. Au sein d’uneéquipe que je dirige, je tâche de découvrir les points forts del’ensemble des membres pour mieux les aider à s’exprimer etpour leur inspirer assez de confiance en eux-mêmes pourqu’ils cherchent à se surpasser. N’allez pas en conclure queje ne fais pas de commentaires sur les compétences qu’ilss’efforcent de développer, mais je crois qu’il est préférable deconcentrer mon attention sur le positif, dans tout ce que jefais. Cela fait une grande différence.

J’attache aussi une grande importance à l’ouverture dansles communications. Il peut parfois m’arriver de communiquerun peu plus que de raison. Je suis un livre ouvert et je tiensbeaucoup à transmettre des masses d’informations pour quemon entourage soit aussi bien renseigné que possible sur ceque je fais, afin de l’aider à prendre des décisions plusappropriées et à le faire avec plus d’assurance.

Mais il faut aussi savoir rire.

MMS : Comment conciliez-vous votre vie professionnelle et votrevie personnelle? Qu’aimez-vous faire de vos temps libres?

PK : Je pense que le point d’équilibre entre la vieprofessionnelle et la vie personnelle peut varier d’unepersonne à l’autre. Pour moi, cet équilibre consiste à fairedes quantités de choses. À la maison, j’ai deux adolescents etun mari; je tiens beaucoup à passer du temps avec eux.Comme mon fils et mon mari aiment beaucoup le hockey, jem’efforce d’assister à autant de leurs joutes que possible…parce que j’en ai envie. Après tout, la famille compte plusque tout le reste.

En plus de ma famille, je veux être au service de lacommunauté. J’ai repris contact avec l’Université WilfridLaurier qui m’a décerné mon MBA et je suis actuellement lavice-présidente du conseil de l’Université. J’éprouvebeaucoup de plaisir à faire quelque chose pour cettecollectivité qui m’a tant donné.

Enfin, pour moi-même, j’aime faire de l’exercicephysique et aller au cinéma pour me changer les idées. Maisma véritable passion est la musique, surtout le rock-and-roll.Je tâche de ne jamais manquer un concert et j’ai tout ungroupe d’amis amateurs de musique avec lesquels je passede précieux moments.

MMS : À votre avis, de quelle façon les gens peuvent-ils faireprogresser leur carrière? Quels conseils pourriez-vous donner?

PK : Ce qui compte le plus, à mon avis, pour un travailleur,c’est d’assumer personnellement la responsabilité de sapropre carrière. Et de ne pas négliger d’établir des réseaux.Il faut tendre la main aux autres et apprendre ce qu’ilspeuvent nous enseigner. Les mentorats organisés ne sont pastoujours essentiels car bien des gens de talent prennentplaisir à vous renseigner sur ce qu’ils font. Il faut aussi, biensûr, savoir prendre des risques. J’ai quitté la petite ville demon enfance pour aller travailler dans un grand centre. J’aifait des remplacements pour des congés de maternité etaccepté des mandats sans aucune garantie d’emploi en boutde ligne. Je suis profondément convaincue que, si vous faitesvotre travail consciencieusement et avec passion, lesoccasions d’avancement viendront vers vous. �

Vous trouverez la suite de cet entretien avec Pat Krajewski dans le

Magazine Monde Scotia en ligne.

ExpérienceScotia

Avril/Mai 2010 Monde Scotia 11

Je voulais apprendre, apprendre encore, pour tout connaître dans ledomaine bancaire, mais je n'ai jamais perdu de vue qu'une carrière s'étale sur

bien des années. Cela m'a aidé à faire des choix parmi toutes les occasions

qui se sont présentées.»

«

Les employés de la Banque Scotia dans le monde – au El Salvador etau Pérou, au Chili et à Singapour, ainsi que dans de nombreusesrégions du Canada –, ont envoyé leurs récits de femmes qui ontréussi. Le programme de reconnaissance À chacune sa réussite a étélancé le 8 mars, dans le cadre de la Journée internationale de lafemme. La date limite pour les candidatures est le 7 mai.

Ce programme veut rendre hommage au personnel féminin dela Banque et aux différents choix que font nos employées pourréussir dans la vie.

«Depuis l’époque où nous avons accueilli pour la première foisdes femmes comme caissières, la Banque a été un leader dans lapromotion professionnelle des femmes, au Canada et à l’étranger»,souligne Brian Toda, premier vice-président, Gestion mondiale destalents. «Cette année, nous avons jugé insuffisant de marquer laJournée internationale de la femme; nous voulions savoir ce qui estimportant pour les femmes et ce qu’elles font pour le réaliser.»

Des femmes exceptionnelles à l’honneur

À partir de la semaine du 10 mai, le comité d’examen, composé dedirigeants des diverses branches d’activité de la Banque et de ladirection générale, étudiera les candidatures en fonction de critèresprécis, pour choisir les 24 femmes – 12 au Canada et 12 à l’étranger – qui seront mises à l’honneur dans le cadre de ce programme. Pourvous renseigner sur les critères d’évaluation, allez àwww.hersuccessherway.com.

«L’important n’est pas nécessairement le titre ou la fonction descandidates, mais plutôt ce qu’elles font pour réaliser ce qu’ellesconsidèrent être un succès dans la vie», ajoute M. Toda. «Lesfemmes de la Banque auxquelles nous voulons rendre hommage sontcelles qui peuvent exprimer leur propre définition du succès etagissent avec détermination pour le réaliser.» �

Le nouveau rapport sur la responsabilité socialesouligne l’impact mondial de la Banque Scotia

Le nouveau rapport RSE 2009, maintenant

disponible sur le site dédié à la responsabilité

sociale de l’entreprise (RSE), à l’adresse

www.banquescotia.com/rse, décrit les activités du

Groupe Banque Scotia en 2009 et présente ses

priorités pour l’avenir dans ce domaine.

Le rapport de cette année s’étend davantage sur les

activités poursuivies à l’étranger et présente une

image plus éloquente du rayonnement

multinational du Groupe Banque Scotia; il contient

notamment des données sur le niveau de

satisfaction de la clientèle étrangère et sur la

consommation d’énergie au Pérou et au Chili. Les

lecteurs constateront l’ampleur accrue de l’action

de la Banque sur ces deux marchés importants; à

l’avenir, ce rapport consacrera chaque année plus

de place à de nouveaux pays.

Le rapport RSE énonce aussi les priorités majeures

retenues pour l’avenir dans les cinq domaines

considérés comme les plus importants : la

gouvernance, le personnel, l’environnement, les

clients et les collectivités.

En présentant un aperçu plus détaillé des objectifs,

des programmes et des succès de la Banque dans le

monde – et en rapportant clairement et avec

transparence les résultats atteints –, le Groupe

Banque Scotia peut continuer à jouir d’une

réputation de leader parmi les entreprises

mondiales dans le domaine de la RSE. �

Kaz Flinnvice-présidente,Responsabilité sociale d'entreprise

RSE

Monde Scotia Avril/Mai 201012

À chacune sa réussiteLes récits de réussite se multiplient!

?

RSE

Mieux-être ScotiaExpérienceScotia

Avril/Mai 2010 Monde Scotia 13

Tout le monde sait que, pour rester en bonne santé, il estessentiel de se nourrir sainement et de faire régulièrementde l’exercice. Mais saviez-vous qu’il est tout aussi importantde veiller à la santé de sa bouche? L’état de notre bouchecontribue largement à notre bien-être physique et mentalet à la qualité de nos rapports sociaux. Il influe sur la façondont nous nous exprimons, socialisons et mangeons. En outre,diverses études ont montré la probabilité d’un lien entre lesmaladies buccales et d’autres problèmes de santé tels que lediabète ou les affections du coeur et des artères. Bref, le soinavec lequel nous entretenons notre bouche joue un rôleimportant pour notre mode de vie. Voici donc quelquessuggestions qui pourront vous aider à garder un sourire attirant.

La règle de deux fois deux

Brossez-vous les dents au moins deux fois par jour, pendantdeux minutes chaque fois. Un brossage régulier avec undentifrice au fluorure contribue à l’élimination de la plaquedentaire et des bactéries qui causent des caries ou desmaladies des gencives. Choisissez une brosse douce à poilsarrondis et remplacez-la tous les trois mois, ou plussouvent si les poils sont usés.

Utilisez tous les jours la soie dentaireLa soie dentaire déloge la plaque de sa cachette préférée :entre les dents. La plaque est la principale cause des gingivites;à moins d’être éliminée, elle durcit et se transforme entartre que vous devrez faire enlever par votre dentiste.Celui-ci pourra aussi vous recommander d’utiliser régulièrementun rince-bouche antibactérien pour prévenir la gingivite.

Voyez souvent votre dentiste

Aller régulièrement chez le dentiste pour un examen et unnettoyage est la meilleure façon d’entretenir votre santébuccale, de protéger vos gencives et de garder des dentssaines pendant toute votre vie. Des affections buccales nondécelées peuvent causer des problèmes plus sérieux à la longue.

Attention aux sucreries

Le sucre est l’ennemi acharné des dents. Évitez les excèsd’aliments et de boissons sucrés. Attention aux casse-croûteentre les repas, surtout s’il s’agit de produits sucrés etcollants, comme des bonbons. Les aliments et boissonsacides peuvent aussi attaquer l’émail des dents.

Cessez de fumer

Le tabac peut tacher les dents, corrompre l’haleine etaccroître le risque de maladies des gencives, l’une desprincipales causes de la chute des dents. Il peut aussiprovoquer des maladies cardiaques ou un cancer de labouche ou d’autres organes. Si vous fumez, demandez doncà votre dentiste ou à votre médecin des conseils sur lafaçon de vous défaire de cette habitude.

Ne négligez pas les signaux d’alarme

Examinez-vous régulièrement la bouche pour repérer lessignes avant-coureurs d’une gingivite, de caries ou d’uncancer. Si vous remarquez l’un des indices suivants, parlez-en à votre dentiste.

• Les signes les plus fréquents d’une gingivite sont desgencives rouges, brillantes, gonflées, douloureuses ousensibles, ou l’apparition de sang quand vous vousnettoyez les dents avec la brosse ou la soie dentaire.Une gingivite expulsive non traitée peut causer laperte de dents chez les adultes.

• Les signes d’une carie comprennent la sensibilité à lachaleur, au froid, au sucre ou à la pression.

• Le cancer de la bouche se manifeste le plus souventpar des ulcères qui ne guérissent pas ou des saignementsinexpliqués sur le bord ou le dessous de la langue, oudes plaques blanches ou rouges, des petitesexcroissances, de l’insensibilité ou des picotements.

Pour garder un sourire engageant pendant toute votre vie,n’oubliez pas de vous brosser les dents, de les nettoyeravec la soie dentaire et d’aller régulièrement chez votre dentiste. �

À propos de vos

dents…

Engagement ScotiaDes collectivités dynamiques

Monde Scotia Avril/Mai 201014

Consultez la version augmentée de la section Engagement Scotia dans le magazine en ligne Monde Scotia.

P artout sur la planète, le 22 avril 2010 a marqué le

40e anniversaire de la création du Jour de la Terre, un

mouvement écologique visant à sensibiliser la population à

l’égard de l’importance de protéger notre planète. Mais pour

les employés de la Banque Scotia, chaque jour est le Jour de

la Terre. En vue de cette journée spéciale, des employés de la

Banque de tous les coins du monde ont voulu apporté leur

contribution. Les quelques exemples ci-dessous ne sont

qu’un petit échantillon des initiatives environnementales

auxquelles ils participent tous les jours.

• Au Costa Rica, les employés de la Banque Scotia ont

participé à la campagne pour un environnement propre

(A Limpiar el Mundo); ils ont fourni un soutien logistique et

aidé à planifier l’événement qui a permis de ramasser plus

de 450 kg de déchets dans les parcs de San José.

• Les employés de la Banque Scotia à Sainte-Lucie ont

participé à la journée de grand nettoyage organisée chaque

année sur l’île; ils ont contribué à l'achat des fournitures

nécessaires et ramassé des déchets accumulés le long de

plus de huit km d’autoroute.

• À Toronto, les employés de Gestion du risque global ont

planté 61 arbres à l’occasion d’une activité organisée dans

le cadre du projet Green Toronto.

• Des employés «verts» des succursales de la Banque Scotia

Del Sol I et II en République dominicaine ont planté 400

arbres de semis lors d’un projet de reboisement des berges

des rivières.

• À Cusco, au Pérou, les employés de la Banque Scotia

se sont joints à des groupes d’enfants pour les aider à

«reverdir» leur environnement et les sensibiliser à

l’importance de préserver la santé de la planète et la qualité

de l’eau. Les employés de la Banque et les jeunes bénévoles

ont planté 200 espèces d’arbres indigènes sur les berges

pentues d’un lac, afin de contribuer à la restauration de

l’habitat humide des oiseaux migrateurs.

• Scotiabank Dominican Republic a mis sur pied un comité

de protection de l’environnement, chargé d’élaborer

des projets qui permettront à ses

employés de sensibiliser la

population à l’environnement.

• Scotiabank Panama a elle aussi

mis sur pied un comité RSE et

environnement, afin de montrer

son engagement envers

l’environnement. Le premier

projet vise l’élimination de la

mousse de polystyrène à la

Banque. La campagne sera lancée

le Jour de la Terre; des activités

suivront jusqu’à la fin de l’année.

• La Banque a aussi instauré un

service de documents

électroniques dans Scotia en

direct, ce qui a permis de réduire

la quantité de sommaires et de

relevés à imprimer pour les

clients. w

Les employés de la Banque Scotia célèbrentle 40e anniversaire du Jour de la Terre

C’est toujours le bon moment pour nettoyer

L’équipe de la Responsabilité sociale des entreprises a

conçu un guide qui explique comment organiser une

activité de grand nettoyage dans votre service. Ce type

d’événement est une excellente occasion de nettoyer,

de désencombrer et de rafraîchir le décor de votre

poste de travail. Les employés canadiens trouveront des

renseignements sur le guide du Jour de la Terre sur le

site Web ScotiaÉcolo. Les employés à l’étranger

peuvent s’adresser à leur représentant RH ou RSE. w

De l’aide aux collectivitéslocales en Nouvelle-ÉcosseCet hiver, les employés de la Banque à Halifax, en Nouvelle-Écosse, ontbravé le froid et gonflé leurs muscles lors du défi Pull For Parker Street,qui consistait à tirer un camion de pompiers de plus de 17 000 kg, surune distance d’un peu plus de 38 m. La Banque était représentée parcinq équipes, dont deux se sont classées parmi les quatre premières, ce qui lui a permis de recueillir 6 000 $ en tout.

Au mois d’octobre, la Banque Scotia a célébré le 214e anniversairede naissance d’un politicien canadien et maître-brasseur, AlexanderKeith, qui fut administrateur de la Banque. Lesemployés ont fait une fête en son honneur, ce quia permis de recueillir plus de 3 200 $ pour labanque d’alimentation et de meubles de la rueParker.

Pour la 29e année d’affilée, les employés sesont mis à la tâche avec motivation et enthou-siasme pour donner le coup d’envoi du CommunityFundraising Ball Tournament, un événement quisouligne les activités de financement organiséespar nos employés dans la collectivité. Ces activitésont permis de recueillir plus de 380 000 $ en 2009.

À la succursale de Pugwash, les employés ontrecueilli globalement 13 730 $ dont une contributionde 5 000 $ de la Banque, pour aider différents orga-nismes communautaires. Les dons ont notammentpermis d’aider le service des sapeurs-pompiers, laLégion royale canadienne de Pugwash et un club de curling. w

Les employés de la Banque Scotia donnent un coup de pouce auxOlympiques spéciauxLes employés de la Banque Scotia dans les îles Viergesbritanniques ont donné un coup de pouce auxOlympiques spéciaux en faisant un don de 1 000 $ USdestiné à l’achat d’équipement de compétition.L’organisation des Olympiques spéciaux des îlesVierges britanniques permet à des enfants et desadultes souffrant de déficience intellectuelle des’entraîner et de participer à des compétitions dansdiverses activités sportives. w

Campagne Raser pour sauverDes employés de la Banque Scotia de Ville Saint-Laurent auQuébec ont accepté de se raser la tête dans le cadre de lacampagne Raser pour sauver de la Fondation du cancer du seindu Québec. Pour la deuxième année de suite, Harout Terzian etCosta Stavriadis, tous les deux représentants du service à laclientèle, Vente et service, étaient du nombre. La succursale aaidé à recueillir une contribution totale de 6 400 $ pour laFondation, un organisme qui finance la recherche sur le cancerdu sein, fait la promotion de la santé par l’éducation et lasensibilisation, et fournit un soutien aux femmes atteintes d’uncancer du sein. w

Avril/Mai 2010 Monde Scotia 15

Engagement Scotia

Engagement Scotia

Collectivités

(Première rangée, de

gauche à droite)

Costas Stavriadis et

Harout Terzian,

représentants,

Service clientèle, à la

succursale de Ville

Saint-Laurent, ont

accepté de se raser

la tête au profit de la

Fondation du cancer

du sein du Québec.

Lynette Smith,

directrice de succursale

internationale, présente

un chèque à l’équipe des

Olympiques spéciaux des

îles Vierges britanniques.

Al MacAdam (rangée arrière, deuxième à gauche), conférencier invité de la Ligue nationale de hockey,

a participé, en compagnie des «Sailors» de GGPS, au Community Fundraising Ball Tournament.

(Au bas de la photo) : Cinq équipes d'employés de la Banque Scotia qui ont participé au défi Pull of

Parker Street.

Monde Scotia Avril/Mai 201016

Collectivités

Les maisonsde l’espoirLes employés de la Banque au Salvadorrendent l’espoir à des familles du villagede Catón Melara del Puerto de LaLibertad. En effet, 70 de nos employésparticipent bénévolement le week-end à laconstruction de 13 maisons destinées àdes familles du village qui sont sans abridepuis le passage de l’ouragan Ida. Notreéquipe collabore avec l’organisme sans but lucratif Un Techo para mi País, El Salvador (un toit pour mon pays, El Salvador) dont la mission estd’améliorer la qualité de vie desfamilles qui vivent dans la pauvreté enleur offrant des abris d’urgence et encréant des programmesd’autonomisation sociale. w

Aussi belles que bonnes ! En février, la Banque Scotia aaccueilli Eat My Words, uneentreprise de Toronto dont lamission est d’aider la fondationStephen Lewis par la vente degâteries aussi belles que bonnes. Lesbénévoles de la Banque Scotia ontvendu plus de 1 800 petits gâteaux,500 biscuits et 100 friandises auchocolat qui ont rapporté plus de11 000 $, auxquels s’est ajouté undon de 5 000 $ versé par la Banque.La fondation Stephen Lewis aide lesorganismes communautaires de luttecontre le VIH/sida qui tentent derenverser la tendance en Afrique. Eat My Words sera de retour à Scotia Plaza le 7 mai. w

Les employés de la Banque au Salvador

participent à la construction de maisons destinées

à des familles victimes de l’ouragan Ida.

Irene Dale, une bénévole auprès de Eat

My Words, vend un petit gâteau au profit

de la fondation Stephen Lewis à Deborah

Clark, directrice, Affaires publiques, à la

Banque Scotia.

Promouvoir le sport chez les étudiants

Scotiabank Bahamas, en partenariat avec

BAAA (Bahamas Association of Athletic

Associations), encourage les étudiants à

participer aux championnats annuels

d’athlétisme des écoles secondaires, qui

rassemblent plus de 1 200 jeunes athlètes.

Le parrainage de la Banque, dans le cadre

de son programme Bright Future, fournit un

soutien permanent au développement des

jeunes et à leurs activités sportives aux

Bahamas. La Banque parraine BAAA

depuis 2008. w

Des nouvellesdu Groupe

Avril/Mai 2010 Monde Scotia 17

Engagement Scotia

Collectivités

De beauxrêves mêmequand il faitfroid!

À Saint John, au Nouveau-Brunswick,les employés de la Banque Scotia de lasuccursale North End ont organiséune campagne pour recueillir despyjamas pour un organisme local, OneChange. Plus de 100 pyjamas, demême qu’un don en espèces, ont étéofferts à cet organisme qui fournit desvêtements chauds pour l’hiver auxrésidents locaux. w

De l’aide tangiblepour HaïtiLes employés de l’équipe de vérification en Républiquedominicaine, accompagnés par des employés deVérification interne – Direction générale, à Toronto enOntario, ont aidé une quarantaine d’enfants haïtiensà leur arrivée à l’hôpital pour enfants DarioContreras. Le groupe a distribué des sacs à doscontenant des articles de toilette et des fournituresde première nécessité aux enfants haïtienstransportés en République dominicaine pour yrecevoir des soins intensifs après le tremblementde terre qui a dévasté Haïti. L’équipe avait recueillides fonds pour remplir les sacs à dos d’articlesessentiels, mais aussi de jouets, d’albums àcolorier et de rafraîchissements pour les enfants,leurs parents et les prestataires de soins.

Rene Li, qui dirige Solutions de crédit àVancouver (Colombie-Britannique), a passé deux semaines à Haïtiavec un organisme qui évalue les besoins sur place et distribue descouvertures, de la nourriture, des tentes et d’autres fournitures depremière nécessité.

À Scarborough, en Ontario, les employés de la Banque Scotia se sont regroupés pour recueillir des vêtements usagés et les envoyerà Haïti. w

L’équipe de TBM donne à la collectivité L’équipe de Transactions bancaires mondiales (TBM) de Toronto, en Ontario,a généreusement passé outre à son dîner des fêtes pour aller trier les dons denourriture reçus parla banque alimentaireHarvest House deNorth York. Faisantpreuve d’une bellesolidarité, lesemployés de laBanque Scotia onttrié et mis dans desboîtes plus de 1 800kg de denréesalimentaires. L’équipede TBM a égalementporté 770 kg denourriture à une banquealimentaire deMississauga. w

(Photo du haut) : Les employés de la

vérification en République dominicaine,

accompagnés par Marilyn McNevitts (à droite),

vice-présidente, Vérification,

Clientèle privée et Services aux

entreprises, Antilles; Barry

Williams (au centre) directeur

principal, Vérification et Liam

McCabe, premier directeur,

Exploitation internationale se

sont rendus à l’hôpital pour

enfants Dario Contreras à

Santo Domingo afin d’aider

à distribuer des fournitures

de première nécessisté.

Engagement Scotia

À Toronto, en Ontario, l’équipe TBM a participé bénévolement au

tri de denrées alimentaires reçues par la banque alimentaire

Harvest House.

Des employés très enthousiastes de la BanqueScotia ont aidé à accueillir une foule

impressionnante de plus de 1 100 élèves, parents,enseignants, membres de la collectivité, représentantsde l’État et dignitaires venus au centre-ville de Saint-Thomas pour assister au lancement officiel d’unenouvelle pièce de monnaie de vingt-cinq cents aux îlesVierges américaines.

Le gouverneur des îles Vierges américaines, John P. de JonghJr., a reconnu la stabilité de la Banque Scotia et son engagementsocial lorsqu’il lui a accordé l’honneur d’être désignée «banqueofficielle» du lancement de la nouvelle pièce de vingt-cinq cents.Ce fut un véritable triomphe pour la Banque Scotia aux îles Vierges, non seulement parce qu’elle est peu présente aux États-Unis, mais aussi parce qu’elle avait été nommée meilleure banquedes îles Vierges américaines plus tôt au cours de l’année par leslecteurs du Virgin Islands Daily News.

Au lancement officiel au parc Emancipation, partout où lepublic jetait le regard, il ne voyait que du rouge et blanc, puisqueles musiciens de même que les étudiants et les enseignants del’école All Saints School arboraient tous fièrement le tee-shirt de laBanque Scotia créé pour l’occasion. La Banque avait aussi montéune tente, où des centaines de personnes se sont pressées pouréchanger plus de 7 300 $ US contre des rouleaux de piècescommémoratives de vingt-cinq cents.

Afin d’aider à célébrer cette journée historique, la Banque aconçu et distribué un dépliant commémoratif dans ses succursales

de l’archipel. Des exemplaires de ce dépliant ontaussi été remis aux dignitaires locaux et auxmembres du Congrès américain qui étaient présents.

Le lancement de la nouvelle pièce, et le dépliantcommémoratif de la Banque Scotia, ont aussi étémentionnés lors des émissions de télévision

The Today Show et Good Morning America.La Banque a reçu les premières pièces frappées qui

symboliseront pour toujours son association avec la collectivité. w

Collectivités

(À gauche) Lawrence Aqui, vice-président et directeur national, îles Vierges américaines,

Opérations internationales et John P. de Jongh Jr., gouverneur des îles Vierges américaines,

ont assisté au lancement officier de la pièce de vingt-cinq cents commémorative.

La Banque Scotia aux îles Vierges américaines«frappe» un grand coup

Publication imprimée sur papier Rolland ST30,certifié Éco-Logo, contenant 30 % de fibresrecyclées postconsommation et fabriqué auCanada à partir d’énergie biogaz (une sourced’énergie verte qui élimine les émissions degaz à effet de serre responsables duréchauffement climatique).

MD Marque déposée de La Banque de Nouvelle-Écosse. Groupe Banque Scotiadésigne La Banque de Nouvelle-Écosse et ses filiales au Canada et à l’étranger.

Printer to replace with correct image