Nexus 42 - Jan.fev.2006 - Vaccination (Complet)

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N E X U Se 'd i t ion f ran c ;: a i s e

W 4 1 - J AN VIE R-F fv RIE R 2 00 6

fO IT E P AREdition, C H AN T EG R EL - 1 <1 5 80 FL~urac - France

Tel- Fax: 05·53,03-45-09email: mag.:aine@n~xus.fr

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I' d/)enn

ery

I NF O GR A PH IE :Marie Dulonmarie@nexus. f r

R E LA T IO N C L lE N T~ L E :MireiUe Desplanches

TRADUCT ION :Catherine Saint-Guily

Christele GuinotSabrina Girier-Dufournier

SECRETAR IA TD E R EDAC TIO N - CORREC T IO N :Sylvie Gojard

IlL U ST R AT lO N D E C O U VER TU R E :Laudator

W-WW.laudator.com

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I LL U STRAT lO N S D ESS IN S :© Sommerville

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Conscient qu e I' humanite, t!<lverse une importanteper iode de transformation, NEXUS s 'e f fo r ce defoumir de s taformanons medttes afil1d' aidel' tout u nchacon a . t ra ve r se r ces temps: NEXUSn ' es t r a t ta ch€aaucune ideologie red g ieuse, phitosophique o u p ol}ti qu e, n i 1 1 aucune organisation. Nex!JsE'$t un termel at in s ig n if ia nt : l ie n, entretacs d es c au se s et effets,

L a r ed ac tio n'd e N E XU S tie nt 21 _ p re cis er q u 'e lle n esou tte nt e n a uc un e fa con I 'ef flc ac ite, la va lidite o uLa mo ra li te de s e.Xperimentat ions a mrn ale s o u dela vivisection.

AUTORISAT ION Of REPRODUCTIONL a reprocuct ion et la d is se rmna t ion de [ 'i nf o rma t i onc on te nu e d an s NEXUS s on t a c tN em en t encou!<lgeesp ou r u ne utilisation non-commerc ia le.

IM P RIM E SUR PAPIE RRECYC lE

100 % B LA NC HI S AN S C HLOR E

~

edito

Je ne s__ais pa_S si vo__.u_s avez remarque, mais les_peur_sde t o . - ut poil VOnt

bon train ces temps-ci dans les medias: violences urbaines, grippeaviaire, conflits arrnes, catastrophes naturelles, crises economiques,

politiques, judiciaires, environnernentales, sanitaires ... plombent notre

quotidien de leur ritournelle debridee,

A ses debuts, NEXUS pouvait apparaitre comrne un journal pour Ie

moins rabar-joie, Aujourd'hui, ilferait presque figure de tranquille

divertissement. C'est un raccourci un peu rap ide ; mais a defaut de nous

erre jamais consideres comme des boute-en-train de l'information, nous

parvenons a nous rejouir de voir s'accelerer Ie grand d eb al la g e, Ma lg re le schocs que represenrent res prises de conscience, Ie decryptage des coulisses

de l'hisroire et de l'acrualire donne un recul salvateur a notre perception

de I'avalanche d'evenementser d'Informarions.Lentretien de la confusion ambiance joue essentiellernent sur une

illusion majeure, celle de la separation ; entre soi et les autres, entre les

autres, entre les comrnunautes, les pays, les continents ou les planetes.

Separation entre les facettes de l'esprit, entre les domaines, les disciplines,

cloisonnes par la peur de manquer, et les interers immediats, qui aboutit

a de dangereuses aberrations.

Lune d'elles est magniflquernentepmglee par I'arricle de Viera Scheibner

mettant en lurniere le s processus parhologiques destructeurs rnis en

branle par la vaccination dans l'organisme des moins avertis d'entre nous,

les bebes, et qui permer d'etablir un lien plus que rroublant avec denornbreuses pathologies, dam la mort subire du nourrisson, le syndrome

du hebe secoue et autres meningites devastatrices. Larticle suivant,

du merne tonneau, s'interesse.au meme type de tragedies vecues par

nos proches les plus innocents, nos animaux de compagnie.

Autre eclairage salutaire sur ({l'ennemi planeraire n" 1 }),Al-Qaida,

avec les propos de John Loftus qui etablissent clairement la nature

er l'origine reelles du phenornene de l'inregrisrne wahhabite

auquel nazis et services secrets occidenraux sent loin d' etre etrangers.

Les leviers des conflits au Moyen-Orient deviennent du merne coup

plus evidents,

Apres avoir lu Annie Lobe, experte en pollution elecrromagnetique, vous

aurez routes les raisons de VOllS passer, it l'instar du telephone portable, des

nornbreuses nouvelles technologies sans-fit: wi-fl, DECT, Bluetooth, etc.

Au sornmaire egaLement, crop circles, grande pyramide, exopolitique ...

Bref pour bien demarrer 2006, un floriU:gede sujets susceptibles de mettre

du [iant, du « nexus », dans notre comprehension des veritables enjeux

de notre epoque, et nous affranchir des limitations de la pensee facile.

Bonne lecture et a la pro chaine.David Dennery

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REGARD SUR LE MONDE

• Energie : Les perturbations atmespheriques peuventgenerer de l'electrlcite

• Terrorisme : L'attentat de Lockerbie attrlbue aux Lybiens

sur une preuve febrtquee

• Militarisation : Les Etats-Unis prets 1 1 appliquerla loi martiale

• Europe sur ecoute : Le projet de loi sur les donnees

telephonlques a ete depose

• Anti-fraude : Des puces dans les billets d'euros

• Meteo : Tout un quartier victime d'un etranqe

coup de foudre

• AJimentation : Le ministere de la Sante israellenmet en garde contre Ie soja

• Sante publique : La f1uoration de I'eau source de cancers ?

• HAARP : Les Etats-Unis autorisent la recherche sur Ie

controle du climat

• Terre: Son noyau tourne plus vlte que sa surface

• Elections americaines 2004 : Les resultatsdes machines de vote ont blenete rnentpules

• Ufologie : Un ministre canadien propose un programmede preparation a la rea lite extraterrestre .

• Erreur judiciaire : La radiation exemplaire d'un pediatrebritannique

• Jeux video: Diabetiques, coupez Ie son!

GEOPOLITIQUE

Terrorisme

LES ORIGINES

NAZIES D'AL-QAIDABien avant I€ I 11 septembre

2001, AI-Qaida Jut utilisepar las Saoudians at la CIA, _

mais aussi par les services

secrets britanniques et

tr ancais au tendernaln de laSeconde Guerre mondiale.

Dans une allocution donneeIe 18 avril 2004, jour de

commemoration de I'Holocauste, John Loftus, expert en

terrorisme et ancien procureur du mlnlstere americaln

de la Justice, revele les origines fascistes de ce re seau

lssu des Freres musulmans, mouvament tends dans les

anness 20 et souten u pa r les nazis ...

ESOTEIUSME

EgYPteDES CHAMBRES SECRETES

DANS LA GRANDE

PYRAMIDEConstruite entre 2631 et 2494

av. J .-C. pa r Ie pha raon Kheops,

la grand e pyram Ida du site de Giz eh n 'en Ii nit

pas de questionner egyptologues et pasalonnesd'esoterisme. Selon I'un de cas speclattste s. ce

prodige d'architeclure serait bien plus qu'un tombeau.Donnees geometriques, photographies et montages

graphiques 3D a I'appui, il Buggere I'existence d'un

deuxleme ensemble de galeries -et de chambres

jumelles, irnbriquees en miroir ...

DOSSIER

Vaccination

QUELS RISQUESPOU R LES BEBES ?

Alors que la " menace» de la

grippe aviaire conforte Ie

dogme de la vaccination

de masse, voici

q uelqU€S etudes qu i

donnent a reflechir

sur Ie -r6le des

vaccins dans la

mort subite du

riourrlsson et

Ie syndrome du

bebe secoue.Les re.sultats etabtissent

clairement les dangers pr es entas par I'inoculation

directe dans Ie sang de virus mutants issus deti ssus bi 01 og iques d' au tres espe ces at assccles

a des adjuvants comme Ie mercure et I'aluminium ...

Un concentre loxique inflige aux plus vulnerable s ,

las babes, mais aussi, ne les oublions pas,

aux antmaux de compagnie.

I -La dynamique des jours critiques P. 23

II-Bebe secoue ou bebe vaccine? P. 27

III - Chiens, chats, meme co_mbat P.32

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·f,

NOUVELLES DE LA SCIENCE 61PHENOMENES INEXPLIQUES

Crop circles 2005

UNE MOISSON "EXCEPTION NELLECet eta encore, pas- moins de soixanle-dix

agroglyphes (au crops circles) sont apparus

dans des champs d'Angleterre. Dans cette molsson

2005, partlcullerement riche, on remarque plus de traces

anqulalres. desiliusions d'optique, des variations sur des

motifs anciens. Le phenomena continue done .d'evoluer ...

A I'inverse de I'attitude des medias, toujou rs aussl acharnas

a n'y voir que d'alrnables canular s.

L'el,ectri.cite statique

REVUE ET CORRIGEEChevaux dresses, papier colla Ii: la regie,

€lt ince.lle . .. 'I'elecl ricite statique, on conn ai l.

Mais qui dit « statique » ne dit pas" immobile",

et de cette confusion de langage sont nees

des idees fausses qui perdurent ancors

aujou rd'hui dans Ies manuals scotalras at dans

les esprits. Une demonstration de haul voltage ...

HISTOIRE ELECTRON LlBRE

Antarctique 1945LA GUERRE SECRETE,BRITANNIQUE (2' partie)

A I'issue de la Seconde Guerre mondials, las

Britanniques charcharent a oblenir des prisonniers nazis des

informations sur la mvsterteuse base du Schwabenland, un coin de

paradis au mit leo des glaces antarctiques destine Ii : recuelll ir les

surv ivants du IH' Reich. Si Hess, Goring et Himml.er connaissaient

son existence, l 'arnlral Donitz semblai! Ie plus au lait des actlvl tes

de ce reluge longlemps niEipar les gouvernemenls.

Ovnis et armee : « Les extraterrestres

surveillent nOS a.rmesnuclearres »

Plusieurs temoins de l'arrnaa, desserviees secrets

el d'aulres speclatlstes du nucleair s ont livre des

tarnolqnaues prouvant que les ovnis sont bien reels et

sembi en! s'Interess.er a nos armes nucle aire s. Parmi cas

temoins,Ross Dadrickson, colonel de l'armaa de I' air

arne ric aine ala retra ite. E xtr ail d u Ie moignage q u' i I a

livre au Dr Steven Greer durant les auditions du Projet

Revelation (Project Disclosure) en septembre 2000.

UFOLOGIE

Russie:

Arkaim ·fascine les archeoloques

Ovnissur Ie Capitole (2.' partie)

RENCONTRE AVECLE PHOTOGRAPH'EDE LA MAlSON BLANCHE

La president Pcutlns a rscemment

vlslte I' u n des end rclts les plus

mysterieux de la planete : tes ruine s

de I'ancianne ville d' Arkalrn, situee

a la Hslere sud-est de l'Oural,

Une cite de plus de quarante steeles dont les vestiges

pas s lo n ne nt a rcheoloques et ulo log u as ...

Dans notre precedent nurnero, nous evens pu voir des images

etonnantes d'ovnls survolant, une nuit de juillet 2002,. Ie Capitole

de Washington. Depuis qu' il a pr is ces photos, Ie photog raphe

a rsncontra a plusieurs reprises Ie [ournaliste Robert Stanley.

Voici I'interview ou il r,evele toute la genese de sas images

et comment el ias ont change sa vie . ..

SA.NTE69 C ()U R.R IE R D E S L EC TE U RS

Wi~fi, DECT, mobiles ...

SANSFIL, MAIS PAS SANS RISQUESLes appareils sans Iii emeltent, merne

en dehors de toule utilisation, des

micro-andes invisibles el inaudibles

qui traversent les murs at penetrant

dans notre corps an permanence.

Clavier at souris d'ordina.teu r sans Iii,

casque hi-fi sans til, web-camera sans iii : en introduisant

a domicile cas nouveaux produits, nous bombardons

notre foyer d'ondes sl'eclromagneliques de lrequences

multiples. Efte! cocktail garanti.

71 N OU VE AU TE S L IVRE S

BOUT IQUE : UVRES, DVD ...

S OM M A IR ES D ES A NC IE NS NUMEROS

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REG SUR LE MON.DE

I

Energie

LES PERTURBATIONS ATMOSPHERIQUES

PEUVENT GEN.ERE'RDE L'ELECTRICITE

R eperees sur les canes mereorologiques par ces combes aux

formes de guirlandes, les perturbations aernospheriques

sam provoquees par la rencontre d'une masse d'air froid plus

dense et d'une masse d'air chaud qui I'esc

mains. En plus d' evenruelles precipitations,

cecte di·fference de pression est it l'origine du

vent. Imaginez que I'an t insralle un myau

reliant le s zones de hautes et basses pres~

sions sur quelques centaines de kilometres,

et qu'on l'equipe d'une turbine prcduisanr

l'electrlcite, et vous aurez cornpris Ie principe

de cette idee etudiee par une societe ameri-

caine (Cold Energy, LLC). L es differences de

pression atrnospheriques peuvent egalemencetre le fait de differences d'aldtudes entre

deux regions. L e COlit de construction d'un

tel rype d'installationequivaudrait a celui

d'une centrale rherrnique classique, mais les

frais de maintenance et d'exploitation seraient par centre quasi

nuls, divisant par 6 Ie prix du kilowatt/heure. Avec le recul

donne par 3 decennies de collecce de donnees meteorologiques,

les ingenieurs om ete surpris de constater que la pluparr des

pays possedaient deux 11 t rois sites potenriellement interes-

sant pour ce type d'exploitation. Par exemple, une etude des

releves barometrtques sur 5 ans des regions de Flagstaff et de

Tucson, en Arizona, distances de 160 krn, avec une difference

d'alritude de 1200 m, a mis en evidence

une difference de pression de 0,7 psi,

ne descendant jarnais sous 0 ,5 psi. Ce

gradient s'avere suffisant pour generer uri

vent de 4000 krnfh, soir trois fois et demi

la vitesse du sou. Selon les ingenleurs de

Cold Energy, un ensemble de conduites

de 2,5 metres de diarnetre pourrait g e -n erer ju sq u'a 1400 megawatts capables

d'a1imenter 250000 foyers. Dans les zo-

nes denuees de differences d'alcitude rnaisexposees aux gradients barornetriques des

masses d'airs, des conduites longues de

400 krn perrnetteraienr d' obtenir Ie rneme

resultat, Le phenornene a I'origine des

importances destructions occasionnees par. les cyclones et

les tornades presents iei un aspect beaucoup plus posirif

Source :hrtp:llwww.op"ensoll.fceenergy.org/o:tl£&w.aspx'LstID=291 a27 d6-

246a-4nd-8ab4-11e5befla281 ; brevet dispcnible sur : http://www.coldener-

g yll c. c om lA CMP are n,. p df .

Terrori sm e ----------------------------------;;:1

L'ATTENTATDE LOCKERBIE ATTRIBUE AUX LYBIENS

SUR UNE PREUVE FABRIQUEE

Un ancien chef de la police ecossaise a rernis 11des avocats une

declaration signee dans laquelle il affirme quela principale

preuve du proces de l'artentar de Lockerbie avaitete fabriquee.

Lagent it la retraite, chef de la police, a remoigne que la CIA a

depose Ie minuscule fragment de circuit imprime quia joue un

role crucial dans la condamnation d'un Libyen pour le massacre

de 270 personnes en 1989.

Le chef de la police, dont l'idenrire n' a pas encore ete revelee,

a donne sa declaration aux avocats representant Ahdelbaset Ali

Mohmed A1-Megrahi qui purge acmellernenr sa peine de prison

a perperuite dans la prison de Greenock Al-Megrahi s'appuiera

beaucoup sur ce remoignage pour que Ia Commission ecossaise

de revision desaffaires criminelles ordonne un nouveau proces.

Cette declarationconstitue une menace reelle pour la reputation

du systerne judidaire ecossais tout en tier.

Le policier, ancien membre de l'Assoclacion ecossaise des chefs

de police, appuie d'anciennes declarations faites par un agent de

la CIA selon lequel ses patrons auraient « ecrit le scenario" pour

incrirniner la Libye,

La decision d'un ancien chef de Ia police ecossaise de corroborercette declaration pourrait donner beaucoup de poids a une theo-rie auparavant €cartee car considereecomme famasque. Le bruit

selon lequel le fragment avait e t e place afin d'imphquer la Libye

it . des fins polidques courait depuis longtemps. Apres le proces,

des observateurs juridlques du monde entier, parmi lesquels

des officiels des Nations unies, ont exprime leur inquietude par

rapport au verdict et 11la tenue du proces it Camp Zeist, aUK

Pays-Bas.

Une source proche de l'equipe des avocats de Al-Megrahi anrait

declare: "L a Grande-Bretagne et les Etats-Vnis disaient au

monde enrier que c'ecait la Libye; mais dans leurs communica-tions privees, ils reconnaissaienr que c' etait [e Front populaire de

liberation de la Palestine - Commandement general (FPLP-CG)

rnene par la Syrie. "

Source: T he Sc o tsman, 28 aout 2005. htt p: / f news.see rsman .com

NEXUS n042jaflvier-tevrier 2006

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Militarisation

LES ETATS-UNIS PRETSA APPLIQUER LA LOIMARTIALE

ques. Dans chaque cas, l'armee lancerair

une unite de reaction rapide d'environ

3 000 soldars par attaque soir 9 000 au

total pour le scenario le plus desrructeur,

Le quotidien cite l'Amiral Timothy

J. Keating, chef de Nonhcom: "A man

avis, [dans l'eventualite] d'une attaque

biologique, chimique ou nucleaire dans

un des 50 Erats, le rninistere de la De-

fense est le plus , a merne de prendre le

commandement. »

L e Pentagone est vraiment conscient du

retour de flamme pollcique it rnesure que

son role dans les futures operations de

rnontrent un vif interet pour I'ecoute des

dissidents politiques car leurs operations

interieures ne seront pas seulement dl-

rigees contre une poignee de terroristes

islamiques fondamentalistes, qui n'ont

pas mene uue seule operation aux Etars-

Unis depuis le 11 seprernbre 200 1, mais

aussi contre les droits dernocratiques du

peuple americain,

Les plans de Northcom ne trouvenr pas

leur origine dans les terribles evenements

du 1 I seprembre rnais dans de vleilles

inquietudes de l ' e i i t e dirigeante 1 1 pro-

pos de la stabilite politique des Etats-Unis. C'est une societe de

plus en plus divisee entre

une elite fabuleusement ri-

che au somrnet et I ii vaste

majorite des travailleurs qui

menent un combat de plus

en plus difficile pour sur-

vivre. L e cauchemar de la

classe dirigeante americaine

,est l'ernergence d'un mou-

vement collectif venant d' en

bas qui remettrait en cause

sa domina cion politique et

economique.

U en est de rneme pour les

plans militaires censes ene

motives par une inquie-

tude sincere de la menace

d'artaques rerroristes, cette

sincerire etant dementie par

l'attitude actuelle de l'elite

dorninanre americaine depuis Ie 11 sep-

rernbre. Le gouvernement Bush a fait

roue son possible pour etouffer toute

enquete sur les circonsrances des atta-

ques centre leWorld Trade Center et [e

Pentagone, probablernenr parce que sa

propre negligence, peur-erre de!iberee,

serai t revel ee,

Le climat de peur anti-terroriste a un bur

de propagande ; encourager le peupJe

arriericain a accepter des incursions dras-tiques centre les droits dernocratiques.

A en croire le planning du Pentagone,

une dictature militaro-policiere se profile

ourre-Altantique,

securire est devQiie.

Graham ecrit : "Les exercices miliraires

du nom de code V i ta l A r c he r donnanr un

r61eimportant aux soldars sont entoures

de secret. Par centre, d'autres exercices

ayant lieu sur Ie sol national er mettant

en scene des soldats dans les roles princi-

paux sont largement rendus publics. »

II ajoute: "En ce qui concerne la pos-

sibilite que les forces terrestres jouent

un role important dans les operations

interieures, les grades de Northcom se

refusent a etre expliches. Keating affirmeque si de telles situations survenaient,

dies seraient certainement temporaires et la

responsabilite du commandement serait

transferee aux auto rites civiles. »La verite est que [es officiers d'etat-major

NEXUS n<>42

janvie r-revlier 2006

Selon un rapport publie Ie 8 aoftt par le

Washington Post , Ie Pentagone a deve-

loppe ses premiers plans de guerre pour des

operations sur le sol des Eeats-Unis. Pour

ces projers, it est prevu d'utiliser les attaquesterroristes pour justifier l'application de la loi

martiale dans des villes, des regions au dans

Ie pays tout entier.

L.:artide en premiere page du quotidien cite

des sources travaillant dans les quarriers gene-

raux de l'agence rnllirairebaptlsee Cornman-

dement du Nord (Northcom) et basee a Co-

lorado Springs, dans l'Etat du Colorado. L es

plans en eux-rnemes sont confidentiels mais" les officiers qui les ont

redige » en om donne

les details au reporter du

Washington Post , Bradley

Graham. Ce dernier a pu

visiter les quarriers gene-

raux de Northcom, sur

la base aerienne de Pe-

terson. Larticle apparait

done cornme une fuire

organisee ayam pour but

de desensibiliser la po-

pulation americaine a laperspective de I'autorite

rnilitaire.

Seion Graham: « Les

nouveaux plans, d' apres

ce qu'ont reconnu plu-

sieurs grades, rendent

vraisemblable le role de

l'armee dans certaines si-

tuations, en particulier celles qui ont trait ades atrentats occasionnant des per[es rnassives

qui submergerom rapidernenr les moyens

d'intervention civils. ))

« L es plans de guerre, revele Ie Washington

Post , representenc un changement historique

pour Ie Pentagone qui a toujours ete reticent

a s'irnpliquer dans des operations inrerieures

et qui est legalement conrraint "de s'engager

dans l'application des lois. ))

Au total, quinze scenarios de crise porentielle

sont decries, depuls le " bas de gamme» que

Graham decrir comme « des missions relati-

vernent modestes de controle des foules : au

« haut de gamme » qui illustre trois catastro-

phes simultanees engendrant des penes mas-

sives, II s'agit de catastrophes tellesque desattaques nucleaires, biologiques ou chimi-

Source , Patrick Martin. World Socialist Web Site.

via Asian Tribune, 10 aour 2005, http://www.asiantribune.com

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Europe sur ecout e

LE PROJET DE LOI. SURLES DONNEES

TELEPHONIQUES A ET.EDEPOSE

La Comm~SSion.europee. nn..e a redige Ie pr,ojet de directive sur Ia retention

de donnees. S elo n e lle , routes Ie s donnees concernant le trafic et la lo-

calisation des telephones fixes et mobiles de to ures les personnes privees et

mora le s dev ra ie nc etce conservees pendant: un an. L es donnees concernant

les communications « utilisant seulement Ie prorocole d'lnternet » devralent

eue conservees pendant six mois. La Commission ne rnentionne pas le

fichier journal cornplet de chaque fournisseur d 'a cc es a fin de trouver tome

communication entrance ou sortante, mais limite ses exigences it l'adresse

IP , it l 'a dr es se 11AC interne a I'ordinateur, au nom d 'u ti lis ate ur , a ux adr es se s

electroniques et au flchier journal de chaque e-mail envoye et recu,

Les operareurs de relephonie mobile ne serontcerrainernent pa.s ravis par la propo-

sition de conserver les donnees de

traflc de SMS pendant un an, ni

par I' obligation de conserver du-

rant un an les donnees detaillees de

localisation, notamment celles permettant

de canographier les differents appels pen-

dam un an.

Source; European Digital Riel", Inrernational[EDRI], n° 3.15, 27 juiller 1005, http://www.edri.org/edrigrarn/numberd, J 5/commission

Ant i-f ra u d e-------------r

DESPUCES DANS LES BILLETSD'EUROS

L'edition de septembre du

. magazine specialise alle-

mand Die Bank contient

de nouvelles conjectures sur

!'introduction de puces es-

pionnes clans les billets de

banque en euros.Cet article soumet trois

nouvelles rnesures poten-

tielles centre la contrefacon

des billets: une nouvelle

peinture biologique, un

nouveau type d'hologramrnes et l'introduction d'etiquetres d'identificaeion

par radiofreqaence sur chaque billet. La Mu-chip de Hitachi, rnesurant

0,18 microns, est citee cornme une candidate probable bien que le prix ac-

mel d' environ sept centimes d' euros par puce pourrait se reveler prohibitif.

Larticle mentionne egalemem une invention de Philips destinee a integrercornplerernenr la puce au papier. La puce fonctionnerait en placanr un

nornbre a 38 chiffres ne pouvant e"tfe rnodifie et contenant l'unique numero

de serie et les donnees relatifs it I'origine du billet. La bande merallique de

chaque biller agirair comme une antenne, Si cette solution etait retenue,

rous les billets actuels (8,2 milliards) seraient rernplaces et tous les citoyens

auraient acces a des lecreurs,

Source: EDRI, n' 3.! 7, 24 aout 2005, htrp:1/www.edri.Ol'gledrigraminumber3:!7IRFID

NEXUS n042

J 1 1 nVier-fevrier 2006

M.eteo

TOUT UN QUARTIER

VICTIME D'UN .ETRANGE

COUP DE FOUDRE

U n expert du service meteorologique national

de Phoenix, dans l'Arizona, va enqueter sur

un recent coup de wnnerre qui « a fait un bruit

de dynamite» er qui a endornrnage treize rnai-

sons dans le centre de [a ville de Mesa.

Le rneteorologue David Runyan declare i« Cela

depasse la norrne, C'est bizarre. Leclair en ques-

tion a provo que d'imporcanrs degats dans une

maison au moment au sa charge electrique acce-

lerait vers d' autres batiments a travers res clb[essouterrains et le sol mouille.)) Du jamais vu,

selon Ies pompiers Iocaux,

I'intense chaleur degagee par cette energie a fait

exploser les clbles souterrains, dont celui de [a

television, a proximire de la maison, et elle a

jailli du sol en projerant de la terre et des debris 1sernblables it des cendres volcaniques centre les !

rnaisons, les arbres et les vehicules scationnes. Le

pourtour des bourons de portes et des serrures en

cuivre a ete legeremem b r u 1 6 .

Randall Cerveny, professeur assistant de rneteo-

rologie . a l'unlversiee d'Etat d'Arizona, a condu

que la zone avair ete frappee par une foudre « P O -

sitive », fait extremernent rare et puissant.

Seton les specialisres, res eclairs posirifs degagent

beaucoup plus de volts que les eclairs charges ne-

gativemem qui surviennent dans 90 it 95 % des

cas d'orage aux Etats-Unis.

Les foudroiements posirifs ont egalemem ten-

dance it diffuser leur puissance charge eleccrique

sur une zone beau coup plus etendue,

Pour sa part, un autre meteorologue, Ron Holle,

n'est pas convaincu que Ie foudroiement etait

positif: « Il peut s'agir d'un eclair avec de nom-

breuses repliques, Entre res eclairs, il existe un

courant continu et cela ne s'arrete pas. On en

ignore [a raison. "

Source: AriZl l .M Republ ic, 11 aour 2005.

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toutes deux alerte ies pediacres et les parentsafin qu'ils n'utilisent que de maniere ex-

ceptionnelle [e s preparations pour bebes it '

base de soja.

Source: communique de presse du Dr Kaayla T. Da-niel, 26 juiller 2005, httj;.:lfwww.wholesoysrory.com;Jerusalem Post, 20 juillet 2005

AI imen ta ti 0n --------------------------,

LE MINISTERE DE LA SANTE ISRAELIEN MET EN GARDE CONTRE LE SOJA

Des scientifiques, des docreurs et desnutritionnistes convaincus que le soja

n'est pas benefique pour la sante et qu'il

comporte des risques particuliers pour les

bebes et les enfants Ont recu Ie soutien du

minisrere israelien de la Sante. Ce dernier a

en effet ernis une recommandation preco-

nisant que les aliments it base de soja soient

consommes avec moderation.

Le Dr Kaayla T . Daniel, affiliee au CCN

(Certified Clinical Nutritionist) et auteur

d'un livre sur la question, a pu declarer I e

26 juillet a la presse : " Le rninistere israe-lien de la Sante recommande fortement la

limitation de la consommation d'aliments

a base de soja pour lesjeunes enfants et lesadulres et la suppression des preparations it

base de soja pour les bebes, »

Elle a par ailleurs soultgne I'existence de

centaines d'etudes etablissant un lien entre

les aliments et preparations pour bebes abase de soja et certains p ro bl eme s d ig e sr if s,

des dysfonctionnements de la thyroide,

des troubles deficiraires de l'artention, desformes particulieres de demence, des trou-

bles de la reproduction et meme certains

cancers,

« Le ministere israelien de la Sante, a ajoute

Ie Dr Daniel, a pris cette affaire cres au

serieux et a fonde ses recornrnandations sur

les conclusions d'un cornite de treize pro-

fessionnels de sante: nutritionnistes, onco-

logues, pediarres et autres specialisres, Ce.

comite, qui a passe plus d'un an a etudierles donnees, a condu que les phytoestro-

genes du soja peuvent provoquer des effets

nuisibles dont Ie developpemenr de cancers

er des problernes de reproduction. Us ont

fortement insiste pour que la consomrna-

tion d'aliments a base de soja soit reduire

jusqu'a ce que son innocuite absolue soit

prouvee, »

Les recomrnandations du ministere de la

Sante israelien rejoignent celles des auto-

r it es medi ca le s britanniques et de l 'Asso-

elation britannique de dietetique qui ont

Sa n t e pub Iique ---------------~

LA FLUORATION DE L'EAU SOURCE DE CANCERS?

Onz.e syndicats d'ernployes de I'Agence de protection de l 'en-

vironnernenr arnericaine, representant 7000 professionnels

de la sante publique et de l'environnement, Ont dernande un

moratoire sur le s programmes de fluoration de l'eau potable du

territoire arnericain. Us Ont egalement dernande a la direction de

l'agence de reconnaitre que le fluorure constitue un serieux facteur

de risque de cancer.

Les syndicats ant agi suite it une tentative de dissimulation de

preuves cornmise a l'ecole de medecine dentaire de Harvard, O U a

ete mis en evidence Ie lien entre la fluoration et Ie risque eleve de

cancers rnortels des os chez les jeunes gars;ons.

Les syndicats ant ecrit a des comites influems du Congres pourdemander que celui-ci mette en place un moratoire en atten-

dant que soient examines tous les risques et les bienfaits de la

fluoration.

Outre les resultars de l'etude de Harvard, d' autres etudes epide-

miologiques, notamment sur des animaux, .demontrent pourquoi

ilest permis de penser que Ie fluorure provoque les cancers osseux

(osreosarcorne) observes chez des jeunes gars;ons.

La letrre adressee a l 'adrninistrareur de l'Agence americaine

de protection de l'environnement, Stephen Johnson, dernande

d'emenre un avertissernent public sous forme d'avis de proposi-

tion reglementaire fixant Ie taux sanitaire de fluorure dans I'eau

potable a zero, raux en vigueur pour route substance cancerigene

averee ou supposee.

Cet avis entrerait en vigueur Ie temps qu'une commission du

Conseil de recherche national de I'Academie des sciences des

Erats-Unis redige une recommandarion. Les syndicats ant egale-

ment dernande au Congres, au bureau de J 'application des textes

de l'Agence ou au ministere de la Justice de trouver les raisons

pour lesquelles le directeur d'erudes de Harvard, Chester Dou-

glass, n'a pas fait part du risque multiplie par sept observe lars

des travaux qu'il supervisait. Au lieu de cela, il a ecrir a l'Institutnational des sciences de Ia Sante environnementale ( 1 'agence

federale ayant finance l'etude de Harvard) qu'il n'y ayah pas

de correlation entre la fluoration et I'osteosarcorne. Douglass

a envoye Ie rnerne rapport au comite du Conseil de la recherche

nationale qui e ru di e d ' e v e nt ue ls changements des taux de fluorure

dans l'eau potable.

En France, contrairernenr a la Belgique ou elle est interdite depuis

2002, la fluoration reste Ia norrne.

Source: Reseau d' action contre Ie Huorure 25 aour 2005, via http://i-newswire.

comlpr43S87. hrrnl, La lertre des syndicats est en ligne sur Ia page .Inrerncr sui-

vante : http;/fnteu280.orgfIssuesfFluorideffluoridesummary.hml.

NEXUS n042

janvler-fevrter 2006

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SUR LIE MONDE

HAARP ~

LES ETATS-UNIS AUTORISENT

LA . RECHERCHE SUR

LE CONTRelLE DU CUMAT

LeCon g re s a rn er ic ain a a dop-

te le I"octobre dernier une

loi autorisant la recherche et le

developpement de technologies

de conrr6le du dimat plane-

raire, EIle fixe 11 10 millions

de dollars les subsides alloues

annuellement jusqu'en 2014

a cene fin. Cetre officialisa-

tion fait echo aux nombreuses

informations et doures ernissur le projet HMRP dont les

installations en Alaska ne sont

que la pa rrie c on nu e. M a lg re Ievioldes conventions inrernatio-

nab que constituent de telles armes (Convention ENMOD

de 19n, signee pat les Etats-Unis en 1979), l 'Amerique de

Bush persiste dans sesapplications dans le dornaine des armes

climarologiques.A ce jour, aucune suiteconnue ria eredonnee

ala demande d'enquere sur HAARP emise par la comrnunaure

europeenne en 1999.

~----------------------------~Terre

SON NOYAU TOURNE

PLUS VITE QUE SA SURFACE

Selon une nouvelle etude, lenoyau de la Terre tourne plus

vite que la surface de la planete.

L a decouverte se fonde sur des

analyses de paires de seismes qui

surviennenr a peu de choses presau merne point de fa Terre rnais

11 des moments differents. Sur

les instruments d'enregistrement

sismique, les signatures des trern-

blernencs de terre dues au x for-

mes d'ondes en doublet, comme

on les appelle, 'sernblenr presque

idenriques.

Quand des seismes se produisent,

leurs ondessismiques peuvent

traverser la p lane re e t font surface

partour sur la Terre. Les cher-

cheurs ont analyse 18 doublets

de seismes, certains e ta nt se pa re s

de 35 ans, survenus au large de

l'Amerique du Sud rnais enre-

gistres dans des stations sirueesaUXalentours de l'Alaska. lis om

suppose que si le noyau interne

de la Terre tourne plus vire que le

reste de la planete, alors les ondes

de choc issues de doublets entre-

raient et sorriraien t par differen-

re s parries du noyau bien qu'elles

SOlem nees 11peu pres au rneme

point de la surface de Ia planete,

En analysam pour chaque dou-

bler les moindres changements

de remps de parcours et de for-

mes d'ondes, les chercheurs am

conclu que le noyau interne de la

Terre tourne plus vite que sa sur-

face de 0, 3 a 0 ,5 d eg re s par an.Certe difference .pourrait avoir

des consequences sur les satel-

lires, les fusees et les vaisseaux

spatiaux.

Source: Science, 26 aoftt 2005

Elections ame rtcaln e s 200LES RESULTATS DES MACHINES DE VOTE ONT BIEN eTe MANIPU

De nouvelles recherches en-

treprises par le Dr Dennis

Loo avec I'univershe de Cal

Poly Pomona; en Califomie;:

revelent qu'une manipulation

d'envergure concernant les 01"-

dinareurs de vote electroniques

sans trace papier a eu lieu dans

plusieurs Etats pendant l'elec-tion presidentielle de 2004.

Cette annee-Ia, Bush a depasse

de loin son score de 2000 lui

attribuant 85 % des voix des

e le ct eu rs i ns cr its comme repu-

blicains ; il a en effet eu plus de

100 % des voix' des memes ins-

crus dans 47 des 67 corntes de

Floride, 200 % dans 15 comtes

et plus de 30 0 % dans 4 COIU-

res, Bush a obtenu ces resultats

remarquables bien que sa part

de votes des elecreurs inscrits

, comme democrares n'a pas aug-

mente en Ploride depuis 2000

et malgre sa baisse de 15 points

chez les elecreurs inscrits com-

me independancs.

NOllS savons egalement que

Bush (,a gagne . I'Etat de

l'Ohio avec 51 % des voix COIl-

tre 4 8 % . C epen danr, les resul-

tats de cet Erat n'Ont pas ere

confirmes par le depouillage

manuel des 147 400 bulletins

de vote par correspondance ettemporaires, realise sous con-

trole d'huissier, dorit 54,46 %

ecaient attribues a Kerry. DansIe cornte de Cuyahoga, en

Ohio, Ie nombre de votes en-

registres depassait de 93 000 le

nombre de votants inscrits.

Plus important, les sondages

« sortie des urnes i donnaiem

Kerry vainqueur, Pourtanr, ce

n'est que dans Ies circonscrip-

tions ou les machines de vote

ne gardent pas de trace papier

du choix des electeurs que .les

sondages ont differe du de-

compte final.

SeIon le Dr Steve Freeman, un

NEXUS n"42

janvler-fevrler 2006

statisucren de l'universite de

Pennsylvanie, les chances que

les sondages « sortie des urnes »

different fortuitement des re-

sultats sont de 250 millions

contre une. En realite, quand

.un conflir existair entre les son-

dages {{sortie des urnes» er les

resultats informatises, ces der-

niers eraient toujours en faveur

de Bush, autre impossibilite

stansnque. Des preuves statis-

riques solides d'une manipula-

cion t re s r epandue des machines

de vote lors des elections arne-

ricaines depuis 2000 existent

desorrnais,

La fraude a ete couverte pa r les

medias independents et sur de

nornbreux sites Internet.

Source: CommonDreams.org, 13 aout2005, http://www.commondreams.org

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I.agenda du parlernenr. Les organisations et

l'ancien ministre renouvelleronr leur demande

debut 2006 et enjoignent le gouvernement

canadien a rejoindre le senateur arnericain

Dennis Kucinich dans sa demarche en faveur

de la tenue d'un sornmet pour I'etablissement

d'un traite international d'Interdicdon de tout

armernent dans I'espace.

Source, Press Re le as e Web : http: / /www.prweb.oom/ re- -

leoases /2005! 111prweb314382.I}[m.

Ufologie

UN MIN ISTRE CANADIEN PROPOSE UN PROGRAMME

DE PREPARATION A LA REALITE EXTRATERRESTRE

I e . 25 septernbre der-

Lmef, Paul Hellyer, an-

cien rninistre canadien de

la Defense, a prononce un

surprenant discours a l'uni-versite de Toronto : «Les ovnis sont aussi

reels que le s avions qui volent a u- dessu s d e

nos tetes. » Il vient de rejoindre trois organi-

sations non gouvernementales (Institute for

Cooperation in Space, Canadian Exopolitics

Initiative, Disclosure Project) pour demander

au parlement canadien J'ouverture d'une en-

quere publique sur la presence extraterresrre

sur Terre et sur ses consequences pour le

pays. «L e secret enrourant l'ensemble des

sujets relies a l'incident de Roswell est d'un

niveau jamais atteint, Le dassement de l'af-

faire depasse le «top-secret» et la grande

majorite des officieIs et des personnalites

politiques americaines n'onr jamais eu acces it

I'information ... Les Erats-Unis preparenc des

armes qui pourraient &re urll isees centre des

extraterrestres, et qui pourraient nous enrrainer

dans un e guerre intergalactique sans que qui-

conque ait en son mot a dire ... (depuis 1967,

WI trait€ inrerdit seulemenr I e dep lo iemen rdans I'espace d' annes de destruction massive).

Ladminisrrarion Bush a finalement donne

sa benediction a 'l 'I n st al la ri on m il ir ai re d 'une

base avancee permetrant un m eil le ur c on rr ol e

des allees et venues des visi1:eursdel'espace, Le

temps est venu de lever o ff ic ie ll emen t l e voile

du secret et de faire ernerger la verite a fin qu 'un

debar public puisse ene renu sur un des sujets

les plus importants auquel l'humanite ai r eu af ai re f ace 1), a declare Paul Hellyer

Le projer CanadianExopolitics Initiative pre-

sence au parlernent en mars 2005, demande

que [e gouvernement canadien adopte ce qu'il

denomme line « decade du contact }}consacree

a I'information du public, l a r ec her c he scienti-

f lque , l 'educa tion, la plani fi car ion s rrateg ique

de l'ensemble d es impor ra nre s implications

culturelles, sociologiques, l ega les , d iplorna ri -

ques de relations avec des cultures avancees

extrap lanetaires.

Debut novembre, Ie Senat canadien a repondu

que des audiences sur le sujet ne pourraient

se tenir e n 2005, faute de dlsponfbllite dans

Erreur judiciaire

LA RADIATION EXEMPLAIRE D'UN PEDIATRE

BRITANNIQUE

Le conseil -general des medecins de

Crande-Bretagne O e GMC) a rad ie Sir

Roy Meadow, pediarre, pour son temoi-

gnage fallacieux dans I'affaLte Sally Clark,

cette mere qui avait ere condamnee pour [e

meurrre de ses deux bebes,

Au p ro c es , Meadow av ai t c onva in c u l e jury et

l'opinion qu'i l y avair staristiquement 1 chan-

ce sur 73 millions pour que Sally Clark soit

innocente et que ses enfants n'avaient pas'

erevlcnmes d'une mort narurelle. Apres un

premier appel rejete en 2000, Sally Clark a

enfin ete liberee en second appel en 2003.

Pour Frank Lockyer , Ie pere de Sally Clark,

la radiation du pediatre est un grand sou-

lag em en t : « Nous allons peur-erre pouvoir

laisser l'enfer de ces sept dernieres annees

derriere nous etaller de I'avant. »

La presidence du jury du GMC qui etudie

le dossier Meadow a declare qu'il erait vital

que Ie public air conflance dans les expertS

appeles a temoigner devant Ie tribunal et

que c 'e st la raison du chou. de la radiation

de Meadow pluroc que d'une autre sanction

plus Iegere.

A la suite de cette affaire, la revision de

258 proces inrenres pour infanticide a

ete annoncee, dont ceux de 54 parents

emprisonnes.

[note de Ia redaction: en 1977 Meadow

a etabli un profil psychoIogique qu'il a

nomme «syndrome de Munchausen par

procuration » (SMP) et qu'il a utilise centre

les parents dans beaucoup d'affaires de pro.-

tection de I'enfance, rneme si ce diagnostic

n'est pas fonde scientifiquernenr et n'est que

Ie fruit de ses propres conjectures. De leur

cote, les medias ont Iargement ignore le te-

moignage suggerant que les effets nocifs des

vaccinations pouvaient etre responsables des

deces de ces enfants dont le s parents sent

accuses de SMP ou d'avoir .provoque un

syndrome du bebe secoue (5BS).1

Source: BEC N ew s, 15jujlle t 2005, http://new s.

b b c. c o . u ld I! ii i/ he al th ! 4 68 5 5 11 .s tm . V o ir e g al em e nt

n o e re artic le p ag e 27 d e c e n u mero ,

J e ux V id e o

DIABETIQUES, COUPEZ LE SON!

Ava-vous deja essaye de jouer ou de faire jouer votre enfant a . son jeu video prefere sans le son? Non, bien sur, cat il perdrait aussirot

tout interet. Dommage, car selon uneerude canadienne, la violence du son produit par les S up er M ario, T otal O verd ose et aurres joyeux

jeux de carnage ferait grimper Ie raux de cortisol, hormone du stress, dans Ie sang. Une chercheuse de l'universire de Montreal a demande a

cinquame-deux hornrnes iges de 19 a 30 ans de se livrer a une seance intensive de Quake III (combats de gladiateurs du futur). La rnoitie

des sujers jouaienr sails Ie son er les autres avec le son. A l'issue de la seance, la chercheuse a ' rnesure Ie taux de cortisol present dans la salive

des joueurs. Ceux qui avaient joue avec Ie sonpresentaient un raux bien superieur aux autres. Quand on salt que l'exces de cette hormone

favorise l'exces de sucre dans le sang et done Ie diabere, on pem se demander s'il n'y a pas, lieu d'alerter les accros et de s'interroger sur le role

des bandes sonores des films dans cetre maladie qui touche 8 millions de personnes dans le monde.

Source : Sylvie H ebert et al, P h ys io lo g ic a l s tr es s r es p on s e to video-g am e playing : the C ontribution of built-In m usic , in L i ft S c ien ce s, vo l. 7 6 , n " 2 0 . s y lv ie .h e be rn e umon rr ea l. ca

NEXUS n042

janvler-tevrter 2006

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~GEOPOLITIQUE1 - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -

TERRORISME

Les originesnazies d'AI-Qa

B ien avant Ie 11 septem bre 2001, M -Q aida fu t u ti.lise par les Saou diens et la CIA, m ais au ssl par les services

secrets b rita nniq ues et fra npa is a u lendem ain de la S econds G uerre m ondia le. D ans u ne a llocu tion donnss Ie

1 8 a vrd 2 00 4, JOLlrde commemora tion de I'H oloca uste, John Loftu s, expert en terrorisme et a ncien procu reu r

du rnlnlstere america ln dela Ju stice, revele les origines ia scistes de ce resea u issu des F reres m usu lm ans,.

mou vement fonda da ns les a nnses 2 0 a t sou tenu pa r les na zis ...

I[est toujours un peu etrange d'entendre un catholique

« irlandais parler de la Sham. L'apprcche de I'Holo-

causte q ue feus l 'occasion de faire f ur p lu ro r Inhabituelle.

Quand j e t ra va il la is pour Ie procureur general, j'ai ete a f-

few~ aux recherches sur documents confidentiels concernant

I'Holocauste. Je me suis done rendu sous terre, dans les sous-

sols d'une petite ville du Maryland nomrnee Suitland, non

loin de la ville de Washington. C'est la que le gouvernementarnericain enterre, au sens propre du terme, ses secrets.

Sous la ville, sont arnenagees vingr caves de 5000 m? chacune,

Avez-vous vu L es A u en tu riers d e fA r th e p erd ue? Les charnbres

souterraines ressemblent a ce que ron volt dans la derniere

scene du film, merne si elles ne sont pas aussi sopblstiquees.

]'y ai fait une decouverte terrible.

)'y ai appris que la CIA employait de nornbreux nazis que

je devais poursuivre en justice et dont I'origine lui avait ete

cachee par les services secrets brieanniques. Ces derniers,

quant it eux, avaientete floues par Kim Philby, agent double

sovietique (l l s'agic d'un petit scandale de la guerre froide).·

H imm le r p as sa nt e n r ev ue I e d iv isio n H a nd za r,

P a r John Loftu s,expert en lerror ism e © 2004

Cependant, le rrurustere arnencam des Affaires etrangeres

etouff'a l'affaire et autorisa les nazis a derneurer aux Etats-

Unis jusqu'a ce que je sois assez srupide pour rendre leur

existence publique.

Que feriez.-vous si vous vouliez rendre pubLique une eel-

le histoire ? Moi, j'ai conracre ['emission d'investigarion

60 M i n u te s!. Ca a ete un grand moment. Mike Wallace m 'a

accorde trente minutes de son emission, ce qui est reste long-remps un record. Quand cette emission sur Ies nazis en A m e -rique a ete dHFuseeen 1982, elle a provoque un petit seisme

national. Le Con gre s e rig ea d es a ud itio ns, Mike Wallace re~t

!'Emmy Award, rrophee de la meilleure emission televisee

americaine, et ma famille des menaces de mort. C'erajr un

grand moment, vraiment !

Puis une chose amusante arriva : ces vingt-cinq dernieres

annees, rous les espions americains, canadiens et briranniques

ala retraite voulurent que je sois leur avocat, a titre gracieux,bien evidernmenr. J ' a l done eu jusqu'a cinq cents clients qui

me payaient un dollar chacun. Ai.nsi, je suis l'avocar [e plusmal paye d'Arnerique, mais aussi un des plus dernandes.

« Men Dieu, qu'avons-nous fait? »

Laissez-mol vous donner unexernple. Cette annee, un de rnes

amis de la CIA, Bob Baer, a eerie un tres bon livre sur l'Arabie

Saoudite et le terrorisme intirule 01' noir et Maison Blanche:

commen t I 'Amer ique a vendu son am e p ou r le p etro fe saou dien 2 .

J ' a l lu un tiers du livre et me suis arrete. Bob -y expliqualt

son travail a la CIA et [a mediccrite des dossiers. Il ecrivait,

p ar e xemp le , que ceux concernant le s F re re s musulmans ne

represenraienc pas grand-chose, seulernenr quelques coupures

de presse.Je l'ai aussitct sppele pour lui dire: "Bob, c'est faux!

La CIA a des dossiersvolurnineux sur les Freresmusulmans, je

Ie sais, car je Ie s a i Ius il y a vingt-cinq am ". II m 'a repondu:

"Que veux-tu dire?" Voici comment on peut trouver tous les

NEXUS n042

j a n v,; er -f ev ri e r 2006

8/7/2019 Nexus 42 - Jan.fev.2006 - Vaccination (Complet)

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Hassan A l ·Banna . f onda tsu rdes Fra tes musu lmans .

secrets occultes relatifs aux Freres musulmans. Vous aussi, vous

.pouvez le faire. [e lui a i rut: "Va sur ton ordinateur et tape deux

mots dans Ia barre de recherche. Tape le mot Banna, B-a-n-n-a,

puis tape nazi." Bob a rentre les deux mots et a decouvert trenre

a quarante articles du monde entier, Illes a Ius, m' a rappele et a

dit : "Oh mon Dieu, qu' avons-nous fait ?"Aujourd'hui, chaque jour, je forme l a nouve ll e generation de la

CIA en leur apprenant que les Preres musulmans etaient une

organisation fasciste employee par les services secrets occiden-

raux, er qui a evolue po~ devenir celie que nous connaissons

acruellement sous le nom d'Al-Qaida.

L es F reres m u su lm ans , eouves par Ie l I I e Reich

. .

Void comment tout a commence.

Dans les annees 20, un jeune

Eg yptien du nom de [Hassan] AI -Banna a forme ce groupe nationa-

liste appele les Freres musulmans,

Al -Banna era it un fervent admira-

teur d'Adolf Hitler er lui ecrivait

tres souvent. Son admiration pour

le jeune pard nazi etait 5 1 obstinee

que dans les an nees 3 0, A l-B an na

et les Freres rnusulrnans sont deve-

nus une branche secrete des servi-

ces de renseignements nazis.

L es nazis arabes avaient beaucoup

en comrnun avec les nouvelles

doctrines nationales-socialistes : lis

haissaient les juifs, la democratie

ec la culture occidentale. Faire des

Preres musulmans une arrnee aI'i~terleUf de I'Egypte (nommee

« le cinquieme parlernenr ,,) devint le but officiel du Ill' Reich,

Quand la guerre eclara, les Freres.musulrnans firent la prornesse

ecrite qu'ils se souleveraient, aideraient le general Rommel et

s'assureraient qu'il ne reste aucun soldat britannique ou arneri-

'cain en vie au Caire-ou it Alexandrie.

Ils cornrnencerent it etendre leur sphere d'influence pendant

la Seconde Guerre mondiale. lis avaienr merne une section

palesrinienne dirigee par Ie Grand Mufti de Jerusalem, celui-la

merne qui se rendit en AIlemagne pendam la guerre et aida au

recrurement d'une division intemationale de SS composes de

nazis arabes, L a division rnusulmarie Handzar, c'esr son nom,

fut basee en Croatie. Elle allait pourtant devenir le ceeur de la

nouvelle arrnee de fascistes arabes d'Hider qui allait conquerir

la peninsule arabe et, de la, l 'Afrique ... 6 reves de grandeur.

. A la fin de la Seconde Guerre rnondiale, [es Preres musulmans

etaient recherches pour crimes de guerre. LeUfS instructeurs des

services secrets allemands furent captures au Caire. Le re sea u f ur

entieremenr dernanrele par res services secrets britanniques.

Puis, une decision lourde. 'de consequences fut prise. Au lieu de

poursuivre les nazis (les Freres musulrnans), Ie gouvernement

britannique les engagea! Les Britanniques amenerenr tous les cri-

minds de guerre nazis d'origine arabe et rnusulmane en Egypte er,

pendant trois ans, les entrainerent en vue d'une mission speciale, Les

services secrets de sa Majeste voulaient util iser les fascis tes des Freres

musulmans pour renverser rEm neuf d'Israel fonde en 1948. Peu de

rnembres du Massad Iesavent rnais de nornbreux agents des armees

et des groupes rerroristes arabes qui tenterent d' e rr ang le r l e nouvel

Erat d 'I sr ae l e ta ie nt l es nazis arabes des Freres rnusu lmans .

U tilis er le s naz is a rabes con tr e le s commun is te s a rabes

La Grande-Bretagne n'etair pas la seule nation impliquee. L es

services secrets f ranca is coopere ren t en r ela ch an t le Grand Mufti

de Jerusalem et en le faisant passer en Egypte a fl n qu 'i l r as se rnbl e

tous les fascistes arabes. Ainsi, de 1945 it 1948, les services secrets

briranniques proregerent un maximum de nazis arabes, mais ils

echouerent dans leur tentative d' ecraser l'Etat d'Israel.

Puis ils cederent les nazis arabes aux predecesseurs de l'acruelle

CIA. Cette decision peut sembler s cu pi de , e t r ne rn e funeste, mais

elle a bel et bien ete prise. L i dee e tait d'utiliser les nazis arabes au

Moyen-Orient pour contrebalancer la presence des communisres

arabes. Tout comme I'Union sov iec ique f inancai r les communis-

res arabes, nons (les Ame ric ain s) a llio ns f in an ce r les nazis arabes

pour les cornbattre. Et de nombreux entrainemenrs secretsfurent

organises. Nons embauchions les Preres musulmans,

Mais les Egyptiens devinrent nerveux. Nasser ordonna que tons

les Freres musulrnans soienr expulses d'Egypre, emprisonnes ou

executes. Ainsi, pendant les annees 50, la CtA evacua les Freres

musulmans nazis vers l'Arabie saoudite, Quand ils arriverent,

certaines des ~orrtmites du rno uv em en t rels que [le Dr Abdullah]

Azzarn devinrent professeurs dans les madrasas (les eccles re-

ligieuses), L a, ils m elang erent les doctrines du" nazis rne a un

etrange culte islamique, le wahhabisme .:

Tout Ie monde confond l'Islam avec ce culte fanatique.

NEXUS n042

jarwier-fevrier 2006

8/7/2019 Nexus 42 - Jan.fev.2006 - Vaccination (Complet)

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On p e n s e que l'Islarn, du mains la version saoudienne de l'Islarn, en

e st re pre se nra tif rn ais c e n'esr pas Ie cas. Le culre wahhabite a ete con-

darnne pour heresie plus desoixanre f o i s par les nations musulmanes,

Mals quand les Saoudiens devinrenr riches, i ls achererent Iesilence de

nombreuses personnes. I I s 'a g it d 'u n culte [res stria. Le wahhabisme

n 'etait pratique que par l es t al ib an s

afghans et en Arabie Saoudite; c'est

aussi exrreme que c e l a . Ce mouvement

n' a vraimem rien a voir avec l'Islarn.religion pronant l a pa ix et la tolerance.

Elle a toujours eu de bons rapports

avec les j u i f s pendant les mille pre-

mieres annees de son existence.

Les Saoudiens fournirenr aux Pre-

res rnusulmans leur nouvelle terre

d' accueil, Dans les

islamique egyptien, issue du Djihad islamique paJestinien.

11existe de nombreux courants et de nornbreuses branches, mais

tous font partie du mouvernent des Freres rnusulmans. L'organi-

sation que vous connaissez sous Ie nom de Harnas est en fair un

chapirre secret de l'histoire des Freres rnusulmans . Quand Israel a

. assassine Ie cheikh [Ahmed] Yassine

il y a un mois [22 mars 2004], les

Freres musulmans ont publie, en

arabe, sa necrologie dans un journal

du Caire et ont revele qu'il etair le

chef secret de leur organisation aGaza, Ainsi les Freres rnusulrnans

sont devenus ce poison qui se re-

pand a travers Ie Moyen-Orient et

qui, Ie 11 septembre, a commence Ii

s e r epand re a travers ,Iemonde.

'...: • ' . ,,", '. .~. . ~'< • ". i

.Le. 'Wahhablsme, c o n d a m n e

m a i n t e s t o i s p o ' U r her~sie p a r .',Ies musu l.m .a ns,'n'a rie·n· '.'

a v o i r a v e c l ' l s la m , q u i p ro n e

l a p a ix e t l a tolerance.

ses, le f asc isrn e et

:1~;e~grDiI~~:g~i~Il~~~ili.trouvaienr m~les.

d'A ssarn etair

gnements des

nazis qui avaient

bie Saoudire.

En 1979, la CIA decida defaire

sortir les nazis arabes de l'ombrel

Us Russes ayant envahi I'Afgha-

nistan, nous avons dit aux Saou-

diens que nous les financerions s'ils reunissaient tous les Preres

musulmans et lesenvoyaienr en Afghanistan pour combattre

le s Russes, Mais nous devions les reb a p riser. C'est ainsi que

sont nes les Mekteb al-Khldemer al-Mudjahidines, les MAK

sais que cela ressemble a une

~~~~~~~E~~' ! !TInvention maisaine,}ll.ais =r= les

mots "Banns' et "nazis" sur votre

ordinareur et vous verrez taus Ie s

articles s' afficher, Ce som ro ute s Ie s

informations que la CIA essayait

de dissimuler it se s employes pour

cacher son passe honteux, En 1984,

quand

j'a i reveie Ie recrutement des nazis europeens par la CIA,

celle-ci essayalt de cacher au Congres qu'elle ernbauchait des

nazis arabes pour combanre les Russes, plan pour le moins stu- -

pide et malhonnere.

Alors, quand Bob Eaer se pencha sur ces documents, iI fu t

abasourdi. Tome une generadon, les agents actuels de Ia CIA,

n'en savent rien. Et croyez-rnoi, cette generation est constituee

de bans et honnetes Americalns que j'apprecle beaucoup,

Il s essaient de faire du bon travail mais une partie de leurs

problemes vient du fait que le s dossiers on t ete detruits. Tous

ce s secrets doiverit etre reveles,

Mes clients issus des services secrets rn'onr demande : "Et bien,

qu'allez-vous faire ? " Us rn'onr donne unexemple: "Voila com-

ment les Saoudiens fmancenr ces groupes. Ils am mis en place

plusieurs associations carirativesdans !,Etar de Virginie, au 555

Grove Street a . Herndon." J'ai repondu : "D'accord, les Saou-

diens sont des terroristes, et alors ?" "Ces associatlons caritatives

financ ent les F reres m usulm ans, le H am as, le H ezbollah, A l-Q ai-

da, L e s Saoudiens utilisenr les deductions d'impot offenes par le

fisc americain a leurs generelU contribuables, pour financer le

terrorisme. I1s ant consrirue desassociations preie-nbms pour

que routes le s f llia le s re rro ris re s s itu ee s a ux Etats-Unis recoivent

l'argent saoudien sous forme de donations caritatives." J'ai

d'abord cru qu'ils se rnoquaient de moi, Puis 11sm'ont appris que

pres de l'endroit all je vivais, a Tampa, en Floride, se rrouvaienr

deux des plus importants terroristes du monde. Il s'agissait de

deux professeurs de l'universire de Floride du Sud. L~n d'eux,

chef rnondial du Djihad islamlque, venait juste de partir pour

Les mensonges de la CIA

Aussi la CIA a-r-elle menti au Congres en a£Hrmant qu'elle

ignorait qui etait employe en Afghanistan a l'exception des

Saoudiens. Un petit groupe en son sein savait parfaitement

que nous avions reembauche les nazis arabes et que nous les

util isions pour cornbattre dans nos'guerres secretes.

A zza rn et son assistant, Oussama Ben Laden, prirent du galon

entre 1979 et 1989 et Ils gagnerent la guerre, poussant les

Sovietiques hers d' Afghanistan. La CIA declara aloes:

« Nous avons gagne, rentrons chez nous ! », et die abandonna

certe armee de fascistes en Afghanistan.

Le s Saoudiens ne souhaitaient pas les voir revenir en Arabie

saoudite, lis comrnencerent a payer des pots-de-via a OussamaBen Laden et a ses partisans pour qu'ils restent hors du pays. Les

:MAK etaient desorrnais divises : Azzam fu t mysrerieusernent

assassine, apparemment par Oussama Ben Laden lui-rneme.

Le groupe le plus radical de l'union des fascistes et extremistes

r el ig i eu x a ra be s fut baptise Al-Qaida par; O ussam a, M ais ace

jour, on trouve des ramifications des Preres rnusulrnans dans

tout le reseau Al-Qaida.

Le bras droit de Oussama Ben Laden, Ayman Al-Zawahiri, ve-

nair de la branche egyptienne des Freres musulmans, Ie Djihad

NEXUS n"42

ja nvi er"fE~vri er 2006

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5.q;;::~~hii~~r(;i~-;"- '---,"-~~-"··;"··>-~··m'~"~'--~v'~':",>"C'~~:~~"-'-Y~:"-~~"';-_"_'<'-~'~Ji~~~; ; ; ru1; ;~; f ;~~- :~; ; :d ; ;Ze~t~ ckn;':~~~p~i~ti~~;'~tiiI;~, ~ : 1 :. . - ; , , ; • • :r~.??~~':'1.

saoudfennes. ~o ys ', a ll on s les L a i s s ? , " - f { O ' - 4 s Juste plus de

temps," "C'estce >, dit en j a n v r e ~ et c i ! . . , f e v n e . t e t :t ' ;£;Nlalqt~hant, o~ " ~ 6 m ' a : ' ; : p " f t r M r e

. temps \ Je voJ~ . trodiLilL •.,

ac t ion i tt r .0 i :heu tes

. ' '~.;..' . . . . . . .:: ~. "

'Ne~pa!(embarra~~.ef,J~gOLl~~r.f'ementsaou: t ' ; J " * ' ; _ : . J, · · ~ : ( , ; , , ~ < , : ; ; t ' ; ' ~ -i '.--./ ···"~'">~~~~o..,

Er-,Q-tti ., q:s-ryp(f§ X ~ un issen t d es f ond s it ' t ra \ te r s - r' I\H l~ . r l~ i : (~ . I~~p~~; ;~~~i~~~~ ~t i~~~~~~;~:a~i~ i; ~~f~~J* r~~~~1~;~~~1 ;~~~+es~,en~~ieilt;¥fa:.;fi;:SYrie;en~ieghne,"dans J¢s'.· .. ;~

fiffu,tc!~::~s.kamiJdze$p«ttrJ~i~i}iJuif~;,Bs rn'ont ....!oo§settes,vide?,mOl;ltrant le p ro fe ss eu r A f ':Ai :i an ~ _ ,",,,"'_u_,, '_"~'''''''''''''.'''-2;_;

,q~p.tu'ii. ' 'd.es~ccupants ;e<l~vepour exho r te r: \ .. .l ._ ! -4 'I ·n - !: :& l9 ): ~n$ ; I< l :; ,' *~ l "' :-

5 'QQ'dOml~S;pO.\lrt~et':~ff1uif....

s a lem e !s ti fl t p r e t~s ! it .

1vb:ns besoin de 500

t~ 'Com ite islam ique pour .

Etats-Unis, pou(I2¥>Jill:1d l~l.lH~H~.;J

~}'# ~'d9s8ieIs!a < ~ " m smC:~~il~E~<~~1jl}rl

d erna nde : "P ou ~q uo ietes? :u c ou ra n~ ' d ep uis

a ime I e f :i ir e:Ch i " a e s $ _ ja ye; ,d el~~RQI" ,r suH ' ~ J ;. ·" 'n

MUS a dit 'qu'il

tout son ,

on a tous recu ['0rdre

qu i pu is se e rnb ar ra ss er

s ao ud ie n," J 'a i r ep on du

ai rien a faire de Ir - " " - ) 't -~'". . .~;, :. , ;-:-."', , -~, . ;~ <:

V O l l S i : ~ a . . y e z , : c e tJue'fai faid j'al

un don it ['assodati~!'l '~'catitaFivefinancair les terroristesicar uneloi de

Floride, me-donne Ie dEoit; d'engager

d es p ou fs iJ if es 'I l'e nc ol l; \r e d e l 'a ss oc ia -

J io n q u i r ef us er ai t d e,h ~ il il f- QQl l, ~r -'~ d ~ "I a- -

d ; ; ~ I 1 i a i : l o r r :de ~ a:-dona!~~€;U 2~~££]~ t'! ' ~ " ARAff.~ ~¥oJlars de _ leur 'poche ; j e su i;' . .

D ebut m ars 2002, j'al redig e une long ue ebauche de plaldoyet .J !(lonner rnais, je yqulais'm ite quelque

dernasquanrle professeur S am i A1-Aria~ , c irant totiS '~ les crimes Je Y O l l S parle d 'avocats rels que Ron

q u'il a commis,' ious les artenrats.a la , b om be:_ en :Istael, les fonds . .des m illiards. de do.H ars _...."'\"".'..._~_-p-H

r ec o lt es en , '} .me r~q !f .epour I e r er so ri sme . J' arment~bnn~i~-;; ;-; :"- ' ' ' 'W' -""t~bacO-et- d e T ~ ia1 '\te. Je

niere donr if recevait leurs subsides des Saoudiens et comment diez les preuves qU t; j' a i H ; I .UI_ l lt :~~ ; ; ,

c es d erA j~ r'.9n ~t< :c ~n ya in 2u n otre g ou vem ern en t d e n e- pa s 'I~ ~,Y ·_ j c aritative s s~ l!,:ud ie nn es q ui o ~~ ~~ ;~ ~il~ ~~ i!~ . . < , ~ . ~ '< - ~ . " . ' finance AI fl. id J . .poursU 1'''Ie.'Pout,u.e rarsons ooue .; .~ .,..~A",,~, mance. ",cxal a, e v eux que

En raison d.s.D ,w ,BprtallC e de rnes ' reus mes eg i'tzlJ devant, h i ' Cour fed~ r~ l~ f,i!~ i" " au nom de tous

sont confidenriels e1' .. C' - " '\ ~'2 ~ uisOht mo rt s I e 11; septembJe [2001], J e t ra va il le ra i i t t it re

parutloripouretreso *- d eu .t > r eg n ir ai r ou te s l es -p re uv es , v ou s p r- es em .e ;PU .f l.~R&D .e ns ,h d : ~ c '" 19:;N I A" " J!1%ld~ '5 ·vu*:; ~"),""w.c e e p roct:s rournirar toores .~1~e. \~Sf ,Sa convic tion et es ocuments ... nous

g enial, On . devons mjre- cefa pour l 'Ame r iqu e ."

Trois' " .»>" onr erudfe tous les docum ents que j'a i reunis et, le

5 a e,: 4,~ -%9t lh J t! ~ :iO I1 tp or te I a p lu s v is ri !; ,~ .e ~ io n c o ll ec ti ve d e

. h istoire des E tats,J !n 'is'_ (;ievant la C our' f~ derale a Washing-ton et _ 9l1t·c leffiand6 q ue'les S aoudiens paient un billion q~

. . · ·c l 9 1 4 r s d e d ornm ag d s ~S\!!S§r~.tLCette-actio·rrodenon~arr~~n

" . , ,' " - s u 5 s i : a :n ~ ~ ; - " ~ e ' ; ~ o , ; : ; t e 'pc ~s b an qu es sa ou dien nes p re sen taien t

" " " " '_ ' W h denbinln~elIr corninun : elles achetaient O ussam a B en

lui donnanf .; b . ! t : l il : T l l i i 5 b " s K ~ · ; " ; : ! : " f l a r s 'd ia ' ' :"e:~,iiffiee(:. ~~. "-'.,, .<.. , .--,.,•.•.•., ,* ' ! ; . - . . \ : ': t 9 . . _ " .. " " " , ., < ; U t , . .: ' ,; ; ; -

t e hops ; d e ,; "F 'A r abt e' S' a' o' iI 'd it e~ ' et "qu 'i l a il le f ai re

gens "a[l1,~f~~' ~ : : : > . : ~ . ; : ~ ~ : ~ ;; ~ , < : : : ' " , ; ; : ; : . ~ > ; : ; t : : : \ : : ' , . ; ; ! ; ' ; ~ }

NEXUS n042

janvler-fevrter 2006

8/7/2019 Nexus 42 - Jan.fev.2006 - Vaccination (Complet)

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menr donne une emission.

vieillissant, je suis devenu profes-

seut II y a v in g t - cin q ans, r eraisbien p lus j eune, bien p lu s m in ce,

mals aujourd'hul, je recois quoti-

diennement 500 a I 000 e-rnailsd'hornrnes et de femmes hen-

netes du monde entier qui tra-

vaillent dans les servicessecrets,Nous devons rnettre fin au mal

reconnairre qu'Al-Qaida n'a

simplement surgi de nulle

La doctrine d'Al-Qaida

nazis arabes, 115hafssenr les

occidentale, Al-Qaida n'esr den

gieuse du fasdsme arabe, Nous avons perrnis a certe branche

du none nazi de survivre, de prosperer et elle est revenue nous

hamer. Nous devons faire mieux, 5i nous voulons preserver nos

(publicite ) -.,

J ou m a l ( [ ' i n fo rm a t i o n b im e s t n e l , M o rp M u s v eu t p ro m o u vo ir

l 'ssprl t c r r uque h uma in da ns la 10 le ra nc6 , I e r espe ct de l 'homrne

e t d e s o n e nv t r o nn em e n l , e t l a c la l rvoyan c e d e s e n J eu ~ cruciaux

d e noi re epoq u e , S o n e iu de c r ru q u6 s cr u te t ou t es le s f orm es d e

r e li gi o n s , t o u te s l e s 1 0 r rr es d e s ci e n c es , t o u t e s ls s p h i lo s o p h ie s ,

t o u t e s le s f o rm a s ideologiro-politiques, t e u t e s l es fo rmes d e

I e c h n o lQ g ie s . t cu te s I'es t o nn e s d 'o rg a ni s a t i o n s h um a i n e s e t

e n g en e r a l t e us le s p a r a d ig m e s h um a in s , v o if e n on h u m a in s,

d 'a p p ro ch e d e la r e a n te q u i n ou s e nt a u r e .

D e c e f a it Morph ii u s e s t e n I i e n a v e c l o u ie f O ! T l l e p o s s i b le

d 'o r ga ni S8~on h umai ne e l n'apparf ient II aucune. . .

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• Exemplaire gratuit d'essai sur demande

Mo~Mus 8a[I, 57 ru e ou Ma r echa l Mau nou r y,

78"700 Confiam.·Sainte.Hononne

w w w . m o r p h e u s J r

a c o t e de nos freres j U l E s ,

chreriens et rnusulmans. Nous

nous sornmes souleves centre

la haine. LAmerique est de -

sorrnais unie. Nous sortirons

vainqueurs de la guene coo-

tre la terreur et nous finirons

le combat que ces soldars et

survlvants ont commence if y

a plus d'un derni-siecle. Nous

devons erablir une regie selon

laquelle inculquer la haine IIun enfam est la pire forme de

malrraitance qui soit. Nous de-

vons travailler ensemble pour

eradiquer Ie racisrne de la vie de nos entants, Nous devons leur

apprendre a se souvenir de l'Holocausreet a eue fiers, tellernenrfiers de ceux qui om survecus et nous ant inspires pac leur cou-

rage. En leurs noms, en leur honllcur, allons de l'avanr et lunons

ensemble. P lu s ja rn ais c a !» .

aat.estnee q u i spit.

Traduction: Sabrina Girier-Dufoumier

NEXUS n042

ianvie r -fevr te r 2006

8/7/2019 Nexus 42 - Jan.fev.2006 - Vaccination (Complet)

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ESOTERBSM

es

yralTlide

Constru ite entre 2631 et 2494 avo J.-C . par Ie pharaon Kheops, la grande pyram ide du site de Gizeh

n'en finit pas de questionner egyptologues et passlonnss d'esoterisme. Selon I'un de ces specla llstes, ce

. prodige d'a rchitectu re sera it b ien plus qu 'un lom beau . D onnees geom elriques, photographies et montagesgra phiq ues 3D a I'a ppu i, il su ggere I'existence d'u n deu xierne ensem ble de galeries et de cham bres ju melles,

im briqu ees en m iroir ...

cartouche grave en hauteur dans une des chambres dites « de

decharge » [N.D.T. : terme d'architecture ; merne fonction que

l'arc de d echar g e a u- de ss us d'un linteau],

En vingt annees, j'ai erudie de nornbreuses theories et j'ai amas-s e une importance bibliorheque d'informadons, aussibien rares

que conventionnelles, ce qui m' a perrnis de comparer les don-

nees et d' en extraire ce qui m 'a semble essentiel. Mon postulat

est fonde sur la geometrie, des documents

photographiques, des faits scientifiques et

une bonne connaissance du graphisme 3D.

Je me propose de presenter une theorie

qu' aucun livre ni aucune documentation n'a

encore evoquee, a rna connaissance. Je crois

pouvoir prouver l'exiscence d'un deuxieme

ensemble de galeries er de chambres, qui se -

rait l'image miroir du premier, a l'interieur dela pyramide de Kheops (figure n" 1).

T

E nigme unique, structure insondable, la grande pyramide

de G izeh defie Ies explications. La derniere des sept mer-

veilles du monde a ete l' objet d' etudes innombrables de [a

parr de savants, mathernaticiens, archeologues, occulristes etreligieux dout les speculations et theories n'onr fait qu'ajouter

au mystere, S elo n l'explication officielle, il ne s'agit que du

tornbeau du pharaon Kheops (Khoufou), comme I'indique un

F ig . 1 : L e dsu xi eme ensemb le de g al er ie s e t de chamb r es s er a it I 'imagem i r oir d u p rem ie r.

NEXUS n042

janvler-fevrier 2006

Par Jam es C olm er © 2005

Etoile infinie et pentagramme

Leventualite d'une duplication. des cham-

bees me vint a l'esprit alors que je fai-

sais de la geometrie elementaire sur pa-

pier, avec une regle et un compas. Divisant

par deux le cote de la base de la pyra-

mide, j'en fis Ie rayon d'une circonference,

Apres avoir trace des circonferences a tous

les somrnets, je fis, au centre de chaque

cercle inferieur, une croix de rayons orientes

normalemenr par rapport aux cotes, du

triangle (figure n" 2).

8/7/2019 Nexus 42 - Jan.fev.2006 - Vaccination (Complet)

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IESO~TERISME

r

F ig. 2 ' A pres a voir tra ce des cir conleren ces a to u s les scm m ets,

I 'auteur m , a u centre de cha qu e cercleinferieu r, u necr oix de ra yons or ientes

norm alem ent pa r ra pport a ux c6tes du tria ngle,

Je vis dans eerexercice Ies elements de base de mon idee. Je erois

que, dans la vie, tour a un sens, qu'il y a une raison it toute cho-se. Inspire par certe pensee, je joignis les centres des cercles am:

circonferences opposees, Cela genera ce que j'appelle " l'etoile

infiuie ». [e realisai soudain que ce trace representair les angles

des galeries montantes et descendanres de la grande pyramide.

Je me rendis compte que cette forme pouvait ene repetee et

agrandle, produisant des' etoiles et des pyramides it l'in6ni. Une

autre forme emergeait aussi : le pentagramme (figure n" 3).

J 'eus la chance de comber sur Ie plan original de Ia ville de

Fig. 3 : U ne lois j oin ts le s c en tr es des cer cl ss a ux c ir cont er ences

o p p o s s e s , a ppa ru re nt I'ela ile in lin ie et Ie p ent agr am m e.

L'evidence d'une symetrie manquante

Washington DC et du Pentagone, etabli par le franc-macon

francais, Pierre-Charles I.:Enfant, qui fut proche de Benjamin

Franklin. On peut y voir l'eroilc infinie et Ie carre rnaconnique '

(figure n" 4).

Letape suivanre consisra it superposer mon trace geometrique aune coupe des chambres de la pyramide ; la concordanceetait

psrfarte. Cependanr, plus je regardais, plus iI me sernblair que

quelque chose manquait. La pyramide de Kheops est une mer-

veille de composition marhematique, et pounant,. elle contient

des galeries et des chambres disposees asym ecriq uem em ; rnais

est-ce bien le cas?

A l'aide du logiciel Photoshop, je me mis it construire un double

inverse des chambres, A rna grande surprise, la symetrie man-

quante surgit comme un lapin d'un chapeau.

Curieusement, ce qu'il est convenu d'appeler les « conduits

d'aeranon » s'a1ignaiem,comme s'ils visaient quelque chose. La

superposition des images montta qu'ourre ces cheminees, tout Ie

reste s'alignait ; rna theorie est illusrree parle Trace Regulareur,

Les unites de mesure sont arbitraires, ce qui irnporte, c' est de res-

peerer I'angle de 51°51'14» [N.D.T.: cet angle et les correspon-

dances qu'i! impHque sont, helas !, inexacts, voir note infine]. ill

circonferences ont un rayon valant la demi-base er le dessin faitapparatrre quaere triangles egaux et un cinquieme, .plus grand; la

J'ai t O U ' j O U f S p e n s e q u e c e t , e d if i c ep o u v a i t e t r e u n e s o r t e d e p o r t e

d e s e t@ j ! e s .d o nn a n t au pha raonl'aq i?s. a u n au tre m onde.

geometrie est repetitive .. La correspondance apparait lorsque l'on

superpose I'image miroir des chambres.

Je souscris entierernent . a 1a theorie « Orion» de Robert Bauval

et Graham Hancock, car elle rejoinr rna conviction que la pyra-

mide etait bien plus que le rornbesu d'un roi, Si vous connaissez

leurs livres, vous savez qu'Us suggerent que les conduits sont

pointes vers certaines etoiles et constellations specifiques et que

Ia pyr-amide de Kheops est une sorte d'horloge precessionnelle

[N.D.T. : penuettant de mesurer, dans Ie temps, la precession

desequinoxes], r a i toujours pense que, fondamentalement, cet

edifice pouvait erre une sorte de " porre des etoiles ))donnant au

pharaon l'acces a un autre monde.Je me demandai, par ailleurs, comment les galeries de ces deux

ensembles pouvaienr ne pas s'entrecouper, it moins·qu'i1 n'y ait

un dec ala g e,

Consultant aussitot rna documentation, [e rrouvai une vue de

NEXUS n"42

ja nvter-fevrter 2006

8/7/2019 Nexus 42 - Jan.fev.2006 - Vaccination (Complet)

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face de la disposition des chambres et

je vis qu' en eltet, elles n'etaient pas cen-

trees. les vues en deux dimensions ne

Ie revelaient pas, il fallait passer a . une

representation 3D. Peu habitue a . cesmanipulations, j'eus recours it Bryce,

un programme convivial facile d'uri-

Iisation qui me fournit suffisammenc

d'informations pour etayer rna these.

Pris au jeu, je voulus voir une preuve

concrete. le resultat fut stupefiant,

Je consrarai qu'il etait possible qu'un

deuxieme ensemble de chambres et de

galeriesexistent, en sens inverse, dans la

pyramide. Poussant plus loin, j'obtinsune vue en transparence revelant la

position du coffre [N.D.T.: qui n'est

pas un sarcophage].

A rna grande surprise, c'erait le seul

objet parfaiternenr centre sur Ie plan

median de la pyramide. Lensemble

m'apparut alors comme une machine

complexe comportant des ailettes de

refroidissemem, sernblables a . celles

d'un amplitlcateur, et des boltiers de

batteries positives et negatives. (Nous

savons que route chose possede un

COte positif et un negarif ; mile et

femelle, lumiere et ombre, yang et yin). Je cornprls aussi pour-

quoi les chambres qui nous sont famllieres sent alignees sur lenord magnerique : cela impliquair que les chambres en vis-a-vis

soient orientees au sud, Ie tout formant un circuit positif/nega-

elf (voir diagramme).

F ig. 4 : S ur Ie pla n o rigina l de W ashington D C,

o n d is ce rn e I 'e to ile in fin ie e t Ie c ar ra r na com lc ue ,

Arche perdueet poudre blanche

De nornbreuses personnes pensent,

comme moi, que l 'A r che d 'A l li an c efur jadis logee dans Ie coffre de. Ia._

chambre du roi. Afin de verifier

cerre hypothese, je recherchai les

dimensions d'origine tam de l 'Arche

que de I'espace interne du coffre,

je Ies convertis en centimetres et

m'apero;:usqu'elles se completaien t

parfaiternent. Il y avait un jeu de 3

mm de chaque cOtede l'Arche et un

espace de 43 ern Ii . chaque bout, es-

pace suffisant pour laisser le passage

aux anneaux et moyens de Ievage

eventuels. Remarquez que c'est par

ses extrerniresque I'Arche devait ttre

manipulee, de rnaniere a . faciliter

son transport. Lexcedant de hauteur

permettait sans doute d'y indure [es

deux cherubins, probablement des

barnes, fixes sur la face superieure

de l'Arche.

L'ouverture pres du coffre a disparu ...

Cela signifie que s'Il y eut une ccnnexion entre ces deux

cellules encrgetiques, il due y avoir, pres de l'extremlte du

coffre, une ouverture dans le sol ou dans le mur, Une photo

originale prise en 1910 par les freres Edgar, conflrrna ma

deduction. Sur cette photo, on dlscerne une ouverrure it

droi te du coffre, dans le ·501 (pheto du haut). Par contre, sur

les photos plus recentes, ce troua mysterieusement disparu

et, curieusernent, Ie coffre semble avoir ete scelle sur place

(photo du bas).

Ec me reviennent les mots d'Ed Leedskalnin, l'homme qui

construisit Coral Castle en Ploride. [N.D.T. : cf. Ne x u s

France n019, 2001]. II avait affirme avoir redecouvert le

secret des methodes de construction des pyramides. II expli-

quait que « tout sur cette Terre est fait d'aimanrs polarises

nord et sud »,

La pyramide est-elle donc un ancien generateur d' energie ou

d'elernent hautement energerique comme l'hydrogene ?

NEXUS n042

janvier-fevrier 2006

S u r la p ho to cl -d ss su s,

p ris e e n 1 91 0,on d is t ingue,

en b as a droite,

une ouver t u re .

Aujourd'hui

~clichii d-oonr e),louverture

a € l I e obslruee.

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L e B os sa ge o u G ra nd S cea u -t a c le. L a o le ou G rand T race € ls i s il uee,de lagon au ss i e nigma tiq u e q u e commode, s ur Ie boss ag .e d, e l a da ll e de g ran it e

, a I 'entre!ede I, 'anl ichambre. Je eros qu e 09 graphisme y a e t e poseen tarn que s ignatu re au et alo n d e Ia p yr amide a t de sss dimensions.

La dechiHremant d 9 cette c ia dev ra il p e rmettre de d, :)couvr ir l a geometria cachesa t l as chambres sec re tes.

* Dimensions internes du coffre :

Lg'" 1983 mm ; La = 681 mm ; He '" 874 mm

* Dimensions de l'Arche (approximatif) :

2,5 x 1,5 x 1,5 coudees brbliques [N.D.T.:, plus petite que la

coudee royale egyptienne]

Lg'" 1125 mm; La '" 675 mm : Hr «675 mm

S'tl s'avere exact que le cornplexe des chambresesr double, il

serair logique qu'il y eut deux Arches. LArche perdue serait

alors celie que mentionne la Bible a propos de Moise au mont

Horeb.Dans son livre fascinant Lost S ecrets of the S ar;red A rk [S ecrets

perdus de l 'A r ch e s ac ri eJ , Laurence Gardner devoile beaucoup

de choses ignorees sur l'Arche et ses capacites energeciques [cf

Nexus France n° 26, 2003J. II m'est impossible en quelques

1-------~----

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1 \\

P lan d i re cl eu r ( tr ace regu l at eu r ) .

phrases de rendre a ce livre l'hornmage qu'il rnerite. En resume,

selon cet auteur, I'Arche pouvait generer un puissant arc elec-

trique entre les deux cherubim au-dessus de ce qui s'appelait le

« siege de delivrance ».

eer «Arc" [Ark] pouvait transformer I'or en une substancernysterieuse : «MFKTZ» ou poudre d' Of blanche. Lorsqu'i!

decouvrit Ie temple du mont Horeb, en 1904, Sir William

Flinders Petrie y trouva un etrange poudre blanche par tonnes.

Ce qui rn'a aussi frappe, c'esr que Laurence Gardner fait allu-

sion it l'ex isten ce d 'u n « champ II MFKTZ. II suggere que si

M a n ip u le e s a n s p re c a u t i o n ,I : A r c h e s e r a i t a u j o u r d 'h u i e n c o r e

u n e s o u r c e d e p u i s s a n c e

; @ , I e c ~ r . . ig u ernortelle,

V u e en Ir an s p a r s n e e r'evelant

la p os it io n du cofir 'e .

deux de ces champs interagissarenr, cela pourrait ouvrir un por-

tail interdlmensicnnel entre deux mondes, Er me void revenu

it rna theorie de la Porte des etoiles,

Pour ceux qui n'ont pas ccnnaissance de cette information,

I' errange propriere de Ia poudre d' or blanche est sa capacite de

disparaitre et de reapparaltre en cours de fabrication.

Ceci a conduit des scienrifiques a se demander s'il ne s'agit pas

d'un changement de phase la faisant passer dans une autre di-

mension. Elle peut aussi etre utllisee comme supraconducteur

grace It sa propriete de pene de poids (c'esc-a-dire des proprietes

a nr ig r av ir at io nn el le s) .

Penchons-nous un instant sur les implications scientifiques, re-

llgieuses et historiques de cette decouverte. Qu' arrive rai t-il si cet

artefact etait decouvert? Il apparait dans la description biblique

de Ia construction de l'Arche et de ses accessoires riruellques,

qu'un element important etait sa protection, ram par un isolant

que par un tissu special muni d'anneaux d'or. Quiconque s'en

approchalt devait se dechausser et se couvrir d'une cuirasse en

or, sous peine d'hre foudroye, II est clair que cela correspondait

a une mise Ii la terre pour se garcier d'une de charge electrique,

Manipulee sans precautions, I'Arche serair, aujourci'hui encore,

une source de puissance electrique moneLIe.

N'EXUS n<>42

janvter-fevnerzo 0 6

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A I' appui de rna these, ilconvient d' ajouter que des

pierres de differemes natures ont ete urilisees pour

la construction de la pyramide.

La majeure partie est faite de pierre calcaire compo-

see essentiellement de quartz, Cependant, la cham-

bre du roi est garnie de granite rose. Si cette cham-

bre fur le siege d'une grande production energeri-

que ou de chaleur intense, cela n'aura pose aucun

problem e c ar Ie granite supporte des temperatures

depassant les 1 100°C. .

L e granite est egalenient utilise dans la regulation

acoustique pour diminuer la vibration et la resonance. Des

-couches multiples de granite (comrne dans les charnbres de

decharge) peuvenr ~rre urilisees pour absorber les vibrations

sismiques, nuisibles a Ia production sonore.

Ceci nous amene au chapitre du son et il semble que l'acousti-que de la grande galerie puisse etre accordee sur quatre octaves,

grace a la construction echelonnee de sa voute.

Munie de rainures analogues aux guides d'une herse et de lames

de granite, I'anticharnbre devant la chambre du roi evoque Ie

bee d'un instrument a vent qu'une anche geante ferait vibrer.

Musicalement, la chambre du roi resonne a 740 Hz, soit

fo diese, L e coffre resonne a 440 H z, soit la o

double single

sechon copyright James Calmer 05

V ue e n c ou pe . A d roite , v ue s la ter ala s d ou b le et s im ple.

G ra phism e 3D des su pposses cha mb res du roi a t ga la ties m iroirs,

in diq u an t la p os it io n d es o ollr es .

En .musique, Ie ton, ou Ia hauteur, est la perception de la fIe-

quence d'une note. Alnsi le fa de la garnme du do moyen, en

usage general aujourd'hui, est situe a 440 Hz (souvent nornme

" ton de concert » ). Le ton est une des bases de la rnusique.

Pour comprendre le principe de l'accord de la grande galerie, il

suffit de vous rernemorer l'exercice qui consiste a faire sonnerune serie de bouteilles remplies d' eau a des niveaux differenrs.

L a pyramide ne serait-elle pas un peste a galene geant capable

de recevoir des signaux de l'espace ?

U ne c re atio n d es A I.ta nte s reprise par l es Egyp tiens

1I·

~

La voute de la galerie comporte 40 ressauts pouvant servir aregler Ia hauteur d' eau et done la frequence. La chambre se

divise en deux parties cornportant 20 encoches au plafond et 8

ressaurs de chaque cote, ce qui fait deux series de 28, er il y a

aussi 28 trous le long des ram pes de la gaieriec Cela correspond

a quatre series de sept notes, ou frequences, (rappelons que la

huirierne note d'une octave est la premiere de l a su ivance ).

De l'eau montant dans la galerie la rernplirait a des hauteursmesurees, ce qui ferait varier la pression sur un objet montant

ou descendant lui aussi. Les trous lareraux pourraient avoir ete

garnis de rouleaux ou de guides et les encorbellernenrs Iongiru-

dinaux des parois auraient egalemenr pu servir de guides.

Des touristes visitant la chambre souterraine ont rapportequ'ils

pouvaient entendre, venant du pIafond, les coups frappes par

quelqu'un sur le coffre de la chambre du roi. -Cela trahirait la

presence d'un conduit vertical, pour lequella place ne manque

pas, au centre de la pyramide.

[e pense que Ie mecanisme de la grande pyramide devait comprendre

un sysreme de pompage d'eau de mer a partir de Iachambre sourer-r ai ne , c e qui expiiquerait SOil erosion, son aspect inacheve et Ia pre-

sence de sel sur les parois jusqu'a hauteur de la chamhre de la reine.

NEXUS n042

ja nvier-revrter 2006

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S ch ema d e ['im b ric at io n d es c hamb re s s cu ie rr aln es .

En 1987, une equipe japonaise utilisant des ondes soniques

pour sander l'inrerleur de l'edifice trouva des cavites derriere le

rnur de la charnbre de la reine ; or c'est precisemenr a I'endroitou, sur man image 3D, cette chambre ec son double sont les

plus proches l'une de l'autre. Malheureusement, il semble que la

Direction egyprienne des antiquites n'ait pas autorise la pour-

suite des recherches.

Un materiau piezo-elecrrique genere une charge elecrrique lors-

qu'il whit une deformation. A l'iuverse, lorsqu'un tel rnateriau

est soumis it un champ electrlque, il se deforrne. Le quartz en est

un exernple, et c'est un des principaux constituants du calcaire

et du granite.

Linducrion plezo-electrique genere aussi des frequences. Le

quartz resonne 1132,768 kHz, qui est un multiple de 2 ; une

progression nurnerique propre aux ordinateurs donne : 2 ; 4 ;6, 8; 16; 32; 64; 128; 256; 512; 1024; 2048; 4096;

8192; 16384; 32'768 ; Ie quartz est un cristal binaire.

Cela pourrait-il avoir determine le choix des materiaux de la

pyramide?

Pour conclure, je crois, ainsi que le suggere Edgar Cayce, que

la pyramide de Kheops a e t e creee ll y a plus de 12000 ans parles Atlantes et que les Egyptiens ant rente, pendant des siecles

et sans y parvenlr, d'en reproduire la perfection.

Quai qu'il en soit, il reste un fait indubitable : la grande

pyrarnide n'est certainernent pas un tombeau .•

V u e e n c o u p e d e [ a . c h a m b ra d e [ a r e in e a t de [a g r a n d e g a [ e r ie .

(publicite ) _

QUe '!I~US SQ·'II' f;Z t:;or"MERCANT.

n ~D IJ st :" Rl t: :L , WEBHA5TEi l_ .,.

au R ES PO NS~ d3 >lE D : U N E W E BA G:£N CY , ••

... I.E PR OO IC I.E L W E BD AT AG ES T

'IIOUS APl!<QRlE u t fS01.tlTION

GLOiiiAtE ET EC iiN OM I QU Ec

POUR. 'itOUS PR£Pt.RER

A l'AVENUt DU Wf!1.

NEXUS nQ42

janvter-tevrter 2006

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A. Dufour, architecte,

cemmeotajres du traducteur ----, _

L es rem arq ues q ui su ivent ne m ettent nu llem ent en ca use I'hy pothese

rem arq uab le de Ja mes C olm er q uant al'exlstsnce pos si ble d 'u n

en sem b le m ir oir d e eh am br ese t q u a n t au x m s e a n l s m a s de la py ramidede K Mops.11 fie s'a gira iei qu e de la con st ru ction ge om et riq ue de son

« plan drecteur » (Maste rp lan) .

N ou s en avons reia it Ie tra ce su r ordina teu r a I'a ide d'u n logiciel tres

p re cis de d s s s l n v ec to rie l e n r s s p e o t a m I'a nglede b ase de la pyramide

de 51°51 '14" , comma I'a uteu r Ie r ecomma nde ..

S ur son tra ce, les intersections des r ay ons des csrcles,

(perpendiculaires a u x cotes d u tria ngle) et des dia gona les du gra n.d

d ou b le c ar re s emb le nt t omber e xa ct emen t s u rl es c ir con terences , il

y a ura i! done u ne tr ipleinta rseetion ; or, c'est inexa ct. L 'err eu r n'est

pas v is ib l e a I'ceil nu. i l fa ut ~ z oomer » iortem enl pou r Ie voir , m ais en

geom etrie, comme en ca lcu l, on ne peu t solliciler les n o m b r a s pour

pr ou ve r u ne theorie. L a constr uction per metta nt d'ob tenir I'a ngle exa ct

q ui engendre la tr iple intersection est tres d if fic ile , s in on impo ss ib le , c ar

il y a lroisinconnues. Si un de nosesflmes l ec te ur s y p ar ve na it , nous

s e n o n s heu reu x q u 'i I s e Ia sse co n n a i t re . .

L 'a ngle Ie plu s a ppr oeha nt q ue n o u s ayons trow e, par s s s a l s et

err eu rs, est de 5 1 ° 5 5 '0 0 " .

D 'a ut re p ar t. n ou s r efer an t a . M alita G hy ka (cf. L e N ombr e d 'O r, note en

b as de pa ge 74), nou sa pprenons q ue les concepteurs de la pyra mid.e

n'ont pa s a ppliq ue strictem entla pr opor tion de m oy enneet extr em e

raison tV = (..[5+ 1 ) 1 2 .pou r ela blir Ie r apport entre I e c ot e e lla d e m i - b a s s

du tr ia ngle directeu r, r na ls q u'ils ont tres a stu cieu sem ent u tilise des

r apports de 10 '1se r ie de Fi bona cci dan s des no m b re S 13 1eve s ,

avec la ooudss roya le de 0,.524 m com me unite de b ase. La Section

Doree sous for me de fonction de ..[5 , don nee plus haut, produitle

n omb re d ec ima l ir ra ti on ne l 1 , 6 1 8 . . . Dans s e s premiers t s rm s s , l as e n e de Fib ona cci donne Ie 8/5, q ue J ..C olm er reprodu i! da ns son

p lan d irecteu r a ca use de la gr avu re~ su r Ie b ossa ge en gr anite aI'en tr ee d e I'a ntichamb re. O r 8 1 5 = 1 ,6 a ssez lo in d e la p ro po rt io n

exa cte. P lu s on a va nce da ns la ser ie de F ib ona cci, c'sst-a -dir e plu s

le s n ur ne ra te ur s et denomnateurs sonl eleves, plu s on se ra pproohe

de I . j: I , ainsi 3 5 6 1 2 2 . 0 = 1 , 6 1 81 8 . .. Le cote du tnangle directeur de 1 0 1

p yr am id e mes ur s 3 5 6 coudees etla dem i-b ase 220 oou dses, E n outre,

ces n om b re s so n! div isib les pa r 4 , ce qui a p erm ls a ux E gy ptiens de

prendre comme sta lon de m esu re 4 coudses. L e· cot e m esu re d on c

89 x 4 cr, la dernl-b ass 55 x 4 cr et 1 0 1 hauteur 70 x 4 cr, s o l t . 28 0 c r aq ue lq u e s c e n time tr e s p r es ! L a rElierence c h o l s l s pa r C olm er comme

« c le » n'est donc en somme q u ' u n sim ple" clin d'ceil " a la s e n e de

F ib ona cci u tilisee en rea li!e b ea ucou p plu s finem en!. P ou r u n edifice de

ce lie la ille , la c o u c e s est u ne u nite de m esu re de hau te precision. Tra ce

selon ces m esu res, I'a ngle de b ase de la py ra mide devient 51°49 '53" ,

q ui n e do nn e d'a ille ur s p as d av ant age la t rip le in ter se ct io n exacts

dont il est q uestion plu s ha ul.

E nf in , le s n o m b r e s indiq ues su r Ie tra ce de Colm er, en particu lier Ie

rapport 1 9 1 1 6 0 pour la d is ta nc e d e la c ir co nf er en ce a . la b ase d u grand

r ec ta ng le ( do ub le c a rt e) , s o n t e r r o ne s ,

C onclu sion :. chez u n chercheu r inspir e, m em e u ne dem arche initia le

sp scle use , ca r tra p ha tive, p eu t ser vir de su ppor t a u ne v isio n r ich e

d'originalite.

C ontr airem ent a ux a ppa rences, les inter se ctions x et K ' d es r a yo ns avec l es g ra nd es d ia go na le s

ne tom bent pas exactem ent su r les cercles. L 'a ngle de b ase dela pyram ide " 51 '49 '53" (a t non

5 1 ' 51 '1 4" comme l 'l nd iq u e J am e s Colmer).

NEXUS n"42

janvler-fevrler 2006

La g e a m e trie de Ia py ra m ide e s tt ondee

su r des nom bresentiers de cou dees roy ales

(de 0,524 m ) et des m ult iples de 4 cou dees,

A insi : OM+MA" 576cr soit 144x(4 cr) ;

MA " 89x(4 cr) ;

OM " 55x(4 cr) ;

OA " 70x(4 cr) a 6 e m pres I

Oe » AO I7 ,

ceestflaAM;

M m =O e;

rp = pn" nrn

(r m est u ne dia gona le de dou ble ca rrs).Oa = Opl2

(apest una diapona le de doub le ca rre) ;

Ob = ba

a " nfvaau pa rquet chamb re du Ra i ;

b = nivea u pa rq uet eha mb re de la H eine;

c = pla fond cha mb re de la H eine;

m r = tu nn el de scenda nt ;

sd " tunnel montant ;

de" g ra nd e g a la r ie .

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OSSIER

VACCINATION

Quels 'risques pour 'Ies beM a lg r e le s n o m b r eu s e s a p p ro x im a t io n s e t

m e n s o n g e s d u d o g m e d e la v a c c in a t io n , la g r ip p e

a v ia ir e v a b o n t r a in d a n s Ie m o n d e o c c id e n ta l . B i l a n

d e c e t t e « e p id em i e » p o u r I 'h o m m e : 1 : 2 0 m a l a d e s

d on t 6 7 s o n t d e c e d e s , . a c am p a re r a v e c le s d iz a in e s

d e m i l l ie r s d e m o r t s a nn u e ls d e la g r ip p e c om m u n e . . .

,

A l'heure ac~lle, rien ne permet de presager que la grippe

" provoquechezl'hommeuneepid.erniemondiale. Une eelleepldemie

(pandemie) est exclue tant que le virus H5N1 ne se transmet pas de

personne a personne. La probabilice pour q ue c erte mutation ait lieu dans

les rnois au les annees prochaines est inflme, mais devient imporrante

au regard des experimentations deliranres effectuees par l'arrnee.

Revenons rapidement sur l 'ep isode de la grippe espagnole de l'hiver

1918-1919 qui sen de justificati]' a la paranoia a rnb ian re . T iean r son

nom d 'u ne ru rn eu r qui attribua sa cause a des microbes places par

des espions allemands dans des conserves Importees d'Espagne, elle

se declara pour la premier-e fois a Boston, au camp militaire de Riley.

L e s soldars en partance pour la «dec d e s der » y etaient massivement

v ac da es c en tre la variole, la diphrerie, Ie tetanos et la rage, comme dans

iloinbreux a ut re s c as er ne s amer ic ai ne s, De nombreux s ol da rs d ec ed an t

soudainernenr, on elargit la vaccination a la population civile, a lo rs q ue

. , troupes rejoignalent l'Europe pour y repandre l'epidemle

.sur souches ani rnal es , dam Ie pore, que I'on reconnut ensuite

Ie v ec te ur o rig in el du virus, il dedrna des millions de personnes

;aill~cta:ns' certains pays cornme la Grece qui avmt r e f u s e cette vaccination

I - LADYNAM IQUE DES JOURS CRIT IQUES P 24

II - SESE SECOUE ou BESE VACC INE ? p 27

, 111- CH IENS, CHATS, MEME COMBAT P 32

(pisode edifiant de la rnedecine microbienne, le flaSCO

:U"'~""JU"de prevention decleachee aux etats-Unis en 1976,

militaire air succombe a une mauvaise grippe dans Ie

Les aucorites sanitaires lancenr alors un faramineux

de vaccination collective de 13 4 millions de dollars 'Pour

de doses. Le vaccin provoqua rapidemenr de nombreux

syndrome de Guillaln-Barre occasionnant paralysies et morts

(500 cas et 25 morts). La population s'en emeut et la campagne

vac c inal ee st i nt er ro rnpue , sans qu'aucune pand6nie ne voie Ie jour, ni

. que eon revoie jarnais ce fameux virus.

Pe u d e risques done de voir s e d ev elo pp er e n r ea lite c etr e p an dem ie ra ntpromue par les medias. Sauf si. .. on enren d les nombreuses r e s e r v e ssdendf iques expri rnees a I'e g a r d de I'armee americaine qui vient d'exhumer

en A l a s : k a les tissus d'une fenune mane naguere de la grippe espagnole, et

de'finoculer a des fins de recherche a d e s souris et des embryons de poulers,

Il est iei de nombreuses raisons de s'emouvoir de voir ainsi ressusci te WI

virus martel avec tous les risques de Ie voir relacher accidemellement dans

la nature par resmilitaires amerieains, voire. . . deliberemrnent.

Que penser entin des 150 millions de powers gazes, etouffes, brllIes

et parfois merne enterres vivants, pas toujours rnaiades, seulemerrt

evenruellement porteurs du virus, par "prevention». Personne n'a

ernis l'idee de les traiter, Ca r meme en 1918, des rherapeutes purent

guerir nornbre de leurs malades ateeints de la grippe espagnole.

N E X U S publie ic i trois articles qui etahlissent clairement les dangers

de l'inoculation directe dans [e sang de virus mutants, issus de

cissus biologiques d'autres especes et associes a des adjuvants

comme le mercure et l'aluminium sur les plus vulnerables : bebes et

animaux de compagnie.

NEXUS nQ 40

juillet-aovt 2005

8/7/2019 Nexus 42 - Jan.fev.2006 - Vaccination (Complet)

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-~---- • .I , - Mort subite du nourrisson l:S)

LA DYNAMIQUE DES JOURS CRITIQUESLa mort sub ite du nou rrisson touche des m illiers d'enfants chaque an nee et reste, ju squ 'iI ce

jou r, inexpliq uee. D ans les annees 90, V iera Scheib ner, chercheuse austra lienne, ava it m is au ,

point, avec I'a ide de son mari ingenieu r, un appa reil de monitoring capab le de su rveiller la

respira tion des bebes a fin de prevenlr ce phencmsne. Ses etudes mantrent une dynam ique de

jou rs critiq ues apres chaque injection vaccina le, du prem ier au qua rante-hu ltlem e jou r su ivant

1 '« imm unisa t ion » . . .

g is rr em en t s ou s f orm e d 'h is to g rammes emp il es o u d e b ar re s v ert ic ale s(figures n'" 2, 3) , d on r la lo ng ue ur reflerait directement le d eg re de

s tre ss c omme in t€ g ra le s d e la dcns ite ponderec apnee-hypopnee,

[ en re g is tr em en t s ur une periode de c inq m ois et dem i (en tr e octobre

1987 et m ars 1988) d e s alertes c hez un bebe ( fi g ur e n" 1) revele que

le ry du ne res pirato ire e le ve p ro vo qu e p ar I e s m ; s s n e s 'e st p as ra le nti

pendant les 2 1 jours suivant la v ac cination: il a c ontinue par inter-

mittence (selon les jours cr it iques) deux mois et demi a trois moisplus tard. Ava nt d e s'e tre vraiment remis de la premiere inj ec t ion ,

l'enfant a re cu u ne sec on de d ose d e v ac dn DCT (vaccin anridipbte-

r iq ue , a nr ir er an iq ue e t a nt ic oq ue lu ch eu x) e c d e v ac c in

Fig 1a : Enregistrement des alertes du 29" jour precedant anripoliorny elitiq ue oral (V AO ). C otw arc h a alors

la premiere Injection DCTNAO au 48" jour suivant l'inJection e n r e g i s t r € de s apnees (pauses dans la respiration) et de sHomb$ d'alerl.e$J)*r M h\!Ltt \ lS hypopnees (respiration it faible amplitude, cest-a-dire,9 = moin s d e 5 % du vol ume d'une resp ira tion non stressee8+---------------------------.\ normale). Ce s ph enom enes om fait l 'ob je t d 'une pon-

derationlogarithmique.

Entre 1987 et 1988 , j ' a i rnene avec Leif Karlson, ingenieur enelec troniq ue b iom edic ale, des etudes sur la respiration des b eb es,

it l'aide du monireur respiratoire Corwarch, Cer appare il pe rmet-

tait une experimen tat ion sans contact, car il etait rnuni d'un b loc

s en so rid p la ce SOliS Ie rnatelas (et rien n'etait attac he au c orps de

la personne surveillee). S on sy srem e elec rroniq ue disting uait les

b atrem en ts d u cceur e, t la respiration, ne tenant compte que de

ce tte de rn iere fonction. Us informations renvoyees par le moniteur

dom estique standard rendaient compte des alenes respiraroires

( fi gur e n " 1), ta nd is q ue l'o rd in ate urimp rim ait le s d o nn ee s d e l'e nr e-

1" InJ~tl!ln OCTNAO

.... C.LtI (!',I " 1 1 :1 " ' - ~

:2 I - . . . . I N < : ' I I . . . >to

~ I· p" ..~1z U . I I~ I; I~:11 ~~~I,,:::l~;;1:I::!:::!:~:!:!!:::!=::~ ..~,."' ..""_ 1 J . . 1 1 1 . • _ . . . . . . ~ ~ . . u_ ..I~ .. ,.uo_..".~ I . . 011 1 1 1 1 . . .

~:'''~I .'~ '." >':1' " .. , , , " I"'" > I I~' 'CI ~.I ·.--'I.-"-"N.tIINll'.I.'l!'ftlNi"it'lii"'i~l'itJ ..,•• I••· .

o , " . II, I, , . , I '.

N om bre de }O urs apres injection de O CT a t VAO

Fig. 1b : Enregistrement des alertes du 49° jour apres la premiere injection

DCTNAO au 38" lour suivant ta seconde injection

# Nombre d'a.1erW$ par 24 heure$

B+----------------------------------------~

7+------------------------------------~

•+-------------------------------------~5+- ~----~~~i~~je~c~dO~n~OO~T:~~~A~O,..~----------------~

: ~

Nomb r e de [o ur s a pr ils Injection de DCT et VAO

A le rl es enr eg ls tr ee sl >a r u n a me re a I 'a id e d u moni te u r Co tw a t ch ,L a j ou r 0 , q u i a pp ar ail 2 lo is , c or re sp on d a la p re mie re a t a l a deuxieme in jec tion,

NEXUS n042

janvler-tevrter 2006

Par V iera Scheibner, docteu r en sciences na tu rellss © 2004

Cinq pies enregistres

L es d eu x p rem ie rs g ra ph iq ue s d e la figure n° 2 rnon-

trent I e s re le ve s d es p he nomen es observes dans la

r es pir at io n d e d eu x beb6 : le hebe n° 1, a qui I'on aadrn inist re une t ro is ie rne in jec tion de ocr et le VAO ;

et ie bebe 11 °2, it qui 1'011 a inj ec te u ne p remiere d os e

de OC T et Ie VAO. Plus l a ba rr e v er ri ca le est haute,

plus le deg re de stress dans la respiration est e le ve ; le

tr oi si eme g ra ph iq ue montr e le s p ou ss ee s de respirat ion

provoquees pa r le stress jour apres jour, depuis I a dare

d ' a dm in is tr at io n des v acdns j us qu' a u 17'j ou r .

O n c on state immediarement que, rneme si Ie bebe

n° 1 a r€ ag i b ien p lu s fo rt q ue l e h eb e n° 2, le s poussees

de respiration stressee on t suivi le rnerne schem a de

jours cr it iques, le plus im portant de ce s jours etant

le2', apres leq ud Ie deg re de stress es t retornbe pour

recommencer it g rim per entre les S Oet 7 ' [o urs, puis

a diminue d e n ou ve au avant de rernonter e ntre le s14 < et 16 < jour, redim in uant puis reg rim pant entre

8/7/2019 Nexus 42 - Jan.fev.2006 - Vaccination (Complet)

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I' administration du vaccin DCT (Bernier et al., 1982,

1987, Coulter and F 1991).

. les·· le d e g r e• I •.

En hau t:e~regiS lrementde .

i nj ec ti on de DGiNAO ) ; a u m ilie u, ce iu l d u bebe n· 2 nt recu une prem iere

in je ct io n) . E n b a s, repa r t itio n su r vingt jo u r s de 4 1 d a c e s conse C ulifs it u ne i nj e c ti on

de DGTNAO.

"

quotidienne de la

maximale, Takacs et a l. (1997) ant emi li e s ur d e s souris

les possibles mecani sme s sou s- ja cen ts du schema cyclique

d' encephalomyellre alle.rgique experimentale (ME) avec

rechute/remission. A travers une etude longhudlnale, ils

ant mis en correlation la reconnaissanced'un epitope et la

production d 'u ne c yr ok in e par le s cellules des g ang li ons l ympha ri -

gues drainants, les splenocyres et lescellules infiltranres du sysrerne

nerveux central (SNC) avec I'appantion d'une EAE avec rechute!

remission. Les reponses des c el lu le s des ganglions lymphatiques et

des splenccytes ont ete uniformes en

ce qui concerne la liberation d 'epitopes

autoanngeniques. Cependant, il y a eu

tlne dynamique quotidienne interes-

sante au niveau de la chronologie des

reactions des lymphocytes T dans les

ganglions Iymphatiques.

I . :EAE a en~provoquee avec 200 micro-

grammes de PPL (proteine proreolipi-

clique) 139-151, de PPL 178-191 ou de PBM (proteine basique

de la myeline) 87-106, emulsifies dans I'adjuvant de Freund

Incompler, enrichis de 200 microgrammes de Mycobacterium

tuberculosiJ et M butyricum 8:1 et administres par voie sous-cu-

ranee les jours 0 et 7. Tout de suite apres cette « immunisation »

et 48 heures plus tad, le s souris om recu 200 nanogra.mmes de.

roxine Borde te ila pert u ss is (par voie incraperironeale) dans du serum

Ies 19<et 24<jours, periode apres laquelle Il a chute une nouvelle

fois pour reaugrnenrer auteur du 28" jour, er ainsi de suite, suivant

etroitement le schema des alertes enregistre par la mere de I'un des

bebes (figure n" 1). Les 10<ou 11c jours apparaissaienr aussi comme

des jours critiques chez les bebes .qui ant reagi [ortement, comme

le bebe n" 1. Inutile de dire que

l'intensite accrue des reactions apres

le troisieme vaccin DCT ec le VAO

r ef le re l e pheno rnene de la sensibllisa-

rion. Dans ce contexte, celle-d signifie

une reponse immunologlque pertur-

bee accrue ou anaphylaxie ; et dans le

Cl.S des vacdns, cela signifie aussi une

vulnerabilire accrue aux maladies que

[es vaccins sam supposes prevenir et

11une multitude d'autres infections bacteriennes et viralesIl'arfen-

rjev, 1955; Craighead, 1975 ; Daum et al., 1989).

Le troisieme graphique de la figure n" 2 represents 41 deces ef-

fecd& listes au hasard apres l'injecrion du DCf et du VAO ; on

voir que la repartit ion des d e c e s suit etroiternent la dynamique

des poussees de respiration srressee des bebes n" 1 et n" 2 apres

NEXUS n042

janvter-revrler 2006

8/7/2019 Nexus 42 - Jan.fev.2006 - Vaccination (Complet)

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- proteine. La rechureetait definie com-

me line perte de poids et l'aggravation

dinique se caracterisait par une dete-

rioration dinique d'au mains un grade

apres une guerison stable, re ve le e p ar

une prise de poids et line amelioration

c li ni qu e d 'a u mains un grade.

Oil a detecte une forre proliferation

en reaction au peptide PPL 178-191

utilise pour provoquet la maladie de s

Ie 4' jour suivant 1 '( immunisation ",

avec un pic les jours9.a 11. Au mo-

ment de f a remission, l es jours 15-16,

on a derecre une' reduction considera-

ble de la capacite proliferative des eel-

lules des ganglions Iymphariques. La

production d'INF gamma (interferon

gamma) suivait Ie merne scherna., on

a observe une certaine variabilite entre

les souris, rnais on a rn es ure u ne con-

centration relativement e l e v e e durant

ies IIpremiers jours, diminuant par

la suite. La plus forte concentration

d'INF gamma a ete mesuree au moment du dedenchement de

Ia maladie, le jour 11. La reaction au PLP 178-191 a progressi-

vemenr diminue et a atteint son plus bas niveau le jour 17, jour

correspondant a une phase silencieuse de la rnaladie chez presque

routes le s souris .. L es jours 22 it 25 se caracterisaient par une

nouvelle augmentation de la production d'INF gamma: c'est Ie

moment qui, chez la plupart des souris, precedair une rechute

decelable,

Rls!;3LWI"I"lil1rt

1,--------------~

0." f-__f-----------'"

0.7

0.1

Un degre de stress accru les jours 42 et 48

Tout aussi interessante est la dynamique de la periode imrnuno-

logique de Takacs et al. des jours 42 a 48, re lle q u'e ll e e st e ta bl iepar notre conrrole de la reaction de S t r e s s a la vaccination chez

les bebes. En elfet, c ett e p er io de p re se nte un degre de stress accru

dans la respiration et un nombre acctu de deces apres la vaccina-

tion. La dynamique pette de poids/prise de poids accompagnant

Ie d e n lmmunologique ci-dessus concerne egalement les bebes

apres la vaccination,

Mes propres erudeser celles de Leif ont confirme Ia validite duconcept selon lequel Ie syndrome de stress non specifique (ou

d'adaptation generale) de Hans Selye erait une reponse caracreris-

rique mais non speciflque des mammiferes a route substance no-

cive, agression au atreinte de route sorte (Selye, 1978). Toutelois,

notre enregistrement de la respiration ayant ete effectue it l'aide

d'une technologie medicale sans contact, nous avons pu proceder

it des enregisrrements de facon longirudinale pendant de longues

periodes (enregistrement heure apres heure ou jour apres jour),

alors que Selye a erudie la dynamique de l'acdvir€ conicosurre-

nale et a e r e oblige d'efiectuer des analyses de sang invasives qui

am limite la densite des donnees collectees, Ses recherches n'ont

demontre la dynamique de la reaction de stress qu'en termestresgeneraux, sous forme d'une reaction d'alarme (48 heures apres

l'agression), d'une phase de resistance (un hombre indeeermine de

. .. quand

mesure del'affirmer avec certirude):

Cependant, loin de montrer que la vaccination protege de la mort

subite du nourrisson, les donnees de MitcheU et a l. revelent que

Fig. 3 : Enregislrements de 180respiration des bebes n" l' et n" 3

entre Ie Jour -10 el Ie Jour 25WAH.C.· n' 1

10000'.,------------------------------------------------;

1.';000+_------------~--------'------------------------_____1

,~0,+_------------~._--------------~~--------_____1

·10000+_------------~._--------------___11_____--------_____1

iou,+_------------___J._____,a----------___1I_____--------_____1

6000 +_----------------,._---Ir---.-----------___1I_____-------------j

n . -' .' .. ; ...

't ,WAH.O.· n 3 0

ooo~r---------------+_--r++_--~_rt_--+_--_r~_r~

ffiID~+_--------------+_--~+_--~_r+_--+_--~~~~

I(jO~ t_--------------+_--r++_--~_rt_--+_--_r~_rH

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400Dt---------------t---r+4----4_rt----1~--_r+4_r~I~~

~oo+_------------~r_--~+-~~_r+____1._--~~~~

2 ( 1 0 0 ' - P - . --------':!-- ....-I--++---1II-I•·+-+-+-~.;,;,_t'--,------+_'ll---l-lr--_ I~ 1.,,,11 .! I ~ .,

1000 t---------.i,--.,i r - " l .' _ " ' .- ' i- U - t - , T - t - - 1 1 t - - c 1 i ; - - i , H , 1 - J - - - i 1 - f - I l - l - _ ~ i H ' I H I H " ' I . y I ~ ' "I ' f - I-I----HI---I l

O~~_r~~~~'II~~~~~Y4~~~~~~~~~~

o

Le s d l f f e r _ e n c 9 S e nt re Ie g ra ph iq u e d u blibe n" 1 (en ha ul) et c e l u l

d u Mb e n ' 3 ( e n bas) r n on tr s nt I e c a r a c t e r e p e r s on ne l d e l a r . e a ct io n a u s t r e ss .

NEXUS n"'42janvler-fevrier 2006

8/7/2019 Nexus 42 - Jan.fev.2006 - Vaccination (Complet)

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D e s ' s y m p t g Q le $ , ( t , e ( ~mau\t~ist r a it e m e n t» p e u v e n t apparaltre

, d q n s : t e S q 2 1 ~ O M t S .

Eft

Ie deces de toUS les bebes qu'ils ant erudies a ece la consequence

directe de l'administration d'un vaccin ocr et d'un VAO,

monrrant une neue concentration auteur des jours critiques.

Le risque - redulr » de SMSN dans le groupe « imrnunise » est

trompeur, car seuls ceux ayant ete vaccines a . la date prevue sont-eonsideres cornme etant « irnrnunises », De tome evidence, cela

suggere a tort que ce groupe es t constirue d 'en fan rs r el at ivemen t

mieux portams, puisque l'une des princlpales raisons de ne pas

adrninistrer de vaccin en temps voulu, voire pas du tout, c'esr que

l'enfamest souffrant, du mains a la date prevue pour l'injection,

si ce n' est constammenr, Alors, ironlquernent, un enfant qui a

souffert d'elfets indesirables visibles des precedents vaccins risque

de se retrouver dans la categorie «non irnmunises » de cene

etude, rneme si on lui a adrninistre d' autres vaccins,

D'une fas;on gener:ale, I'erreur fondamentale commise par les

chercheurs etudiant la mort subire du nourrisson est qu'lls n'exa-

minent pas ce qui est arrive aux bebesles jours precedent leur deres, er prete-

rent essayer d'identifier l'entire insaisis-sable des bebes « it risque », Usmesures

pneumographiques sont dfectUees sans

tenir compte de ce qui arrive aux bebes

dans les sixetlou douze ou dix-huit pre-

miers mois de leur vie, lorsqu' on leur

administre le premier vaccin DCT, le v ac cin Hib, l e vac c in anti-

poliomyelitique, Ie premier vaccin ROR (vaccin antirougeoleux,

anriourlien et anurubeoleux) etlou les vaccins de rappel. ..

S'entendre sur la notion de fausse alerte

Le s etudes sur la MSN font generalement peu de cas de la

vaccination. Lots de notre experience, le moment choisi pour

elfectuer les mesures pneumographiques est determine par la

possibilite de passer une nuit dans un Iaboratoire du sommeil

plater que par l 'examen de ce qui a pu arriver au bebe juste

avant qu'il ne rnanifeste des sympt6mes de stress ou ne se mette

it declencher des aiertes sur son moniteur,

La notion de fausse alene, Iargement utilisee par ceux qui con-

troient Ia respiration des bebes, a egalement retarde la compre-

hension de Ia situation. On considere comme de fausses aierres

celles qui surviennent lorsque le bebe surveille n'a pas arrete

de respirer rnais respire tres faiblernenr. Leif et moi-meme les

sppelicns des « alertes d'avertissement » parce qu'elles se declen-

chaiem Iorsque les bebes surveilles cornrnencaient 11avoir des

episodes de plus en plus longs de respiration a faible amplitude,ce qui correspond au veritable ryrhme respiraroire provoque par

Ie stress. Un bebe ayant developpe une pneumonie a eu ce genre

de « fausses alertes » pendant deux sernaines avant de presenter

les sympt6mes typiques de Ia pneumonie. Cela s'est produit

environ six semaines apres Ie vaccin DeT~polio de six mois,

Lorsque des reactions au des deces surviennent six sernaines

apres une vaccination, on refuse de considerer qu'ils sonr dus

It la vaccination. Pourtanr, nos enregisrrernenrs demonrrenr un

niveau de stress accru dans la respiration plus de six semaines

apres la vaccination.

Les dEices post-vacclneux

Les donnees de Griffin et aL

vaccinaux sont egalement dignes d'interet, Merne sl les

ant conclu que leurs donnees ne montraient pas le lien causal,mise en tableau adequate de leurs donnees brutes examinant

groupes de bebts d&ecles apres un vaccin D C T et

lidque, revere le s informations suivanres : Ie groupe 1

btbes a g e s d'un mois er demi a deux mois et demi (auxles vaccinations debutent a 6-8 sernaines). La rnajorire de ce s

sont morts dans les 8 it 14 j ou rs s ui vanr la premiere dose; le groupe

2 incluait des bebes a g e s de 2 rnois et demi it 4 mois, morts pour la

plupart entre 15 et 30 j ou rs apr es Ia seconde dose de vaccin ocr etde VAO ; le groupe 3 incluait des bebes agts de 4 a . 8 mois, mortsapres la troisieme dose, dent la rnajorite sont morts plus de 31 jOUlO

apres la vaccination; le groupe 4 incluait des bebes morts a 1'age de

8 a 12 mois, correspondant a GeUX q u iavaient survecu 11la troisieme dose.

Loin de montrer une absence de preu-

ve du lien causal avec l 'administration

du vaccin DCT et du VAO, les don-

nees brutes de Griffin et al. presentees

sous forme de tableaux revelent trois

phenomenes observes importants :

1) Le s bebes le s plus jeunes sont morts plus to'lt que le s be-

bes plus ages, plus gros, qui ont resisce plus longtemps.

2) Sensibllisation : il y a eu urie reaction immunologique

accrue (anaphylaxie) apres des doses ulterieures de vaccins,

3) Une augmentation du nombre de deces it rnesure que I' ons'€loigne de la date de la vaccination : c'est-a-dire des reactions

dilferees, qui sent la regie pluroe que l'exception.

Fait interessant, Torch (I982, 1986) a, de son cote, fait I"

rneme observation que Leif Karlson et rnoi-rnerne : celle d'une

augmen ration du nombre de deces plus on s' eloignai t de la date

d'adrninistration du vaccin, plus on avait fait d'injections et

plus l'age etait avarice. Torch (1982) a eerie : « Les donnees pre-

. liminaires sur les 70 premiers casetudies montrent que les 2 /3

avaient ete immunises dans les 21 jours precedanc leur dece s . ..

Dans Ie groupe SMSN ayant recu le vaccin DCT 6,5 % sam

morts dans les 12 heures ayam suivi I'inoculation, 13 % dans

les 24 heures, 26 % dans les 3 jours, et 37 %, 61 % et 70 %

dans les 1, 2 et 3 semaines respecrivernent, Une concentration

significative de MSN s ' est produite dans le s 2 a 3 premieres

sernalnes suivant l'injecrion du vaccin DCT 1, 2,3 ou 4. rage

du groupe DCT allait de 59 jours it 3ans ... »

run des nombreux points que je dens a faire remarquer lei,

c'est que les receveurs d'un vaccin tel que le DCf' ou Ie VAO

peuvent reaglr pendant plus de 21 j ours apres I'administration

des vaccins, element d'information nouveau venant s'ajouter acelles publiees par Innis (2004). Innis met en avant la periode

des 21 jours suivant la vaccination comme une periode a risquepOUl' le declenchemenr de symptomes pouvant conduire 11des

allegations de rnauvals eraitements, d' apres Ies 22 cas qu'il a ana-

lyses it ce jour. C'est d'ailleurs It ces sympt6mes que nous allons

nous interesser particulierement dans la suite de ce dossier. 0

NEXUS n<>42

ja nVier- fevr i er : 2006

8/7/2019 Nexus 42 - Jan.fev.2006 - Vaccination (Complet)

http://slidepdf.com/reader/full/nexus-42-janfev2006-vaccination-complet 28/69

~-----&I I . . S E S E sscous au S :E S E V A C C IN E ?

L e s s y m p to m e s p re s e n t e s _ p a r t e s b e b e s v l c t l m e d u S B S ( s y n d r o m e d u b e b e s e c o u e ) e v o q u e .n t

I e scorbut, a v e c notamment d e s f r a c tu r e s ,d e s hemcrraqles e t un p ro f o n d " d e r e g le m e n t d u , s y s ·

t e m e im m u n i : t a i r e q u i s u r v i e n n e n t a p r e s l a vaccina tion. Pou r d e p l u s e n p lu s d e charchsurs, l a

p l u p a r t d e s d e c e s p a r S B S ne s e r a i e n t done p a s d u s a u s e c o u a g e , m a i s a u x v a c c in _ s , dec len-

c h e u r s d 'u n d e r e g l e m en t d e tous l e s systsmas d u c o r p s .

Par Viera Scheibner, dcctsur en sciences nalurelles © 2004

Quand les bebes ant res;u quatre vaccins en une seule fois

(DCf et VAO ) , ils ont developpe la patholog ie dire m inim ale :

une hemorragie perechiale (ressemblanr it des boutons) dans Iethymus, le pericarde, les poumons et d' a utres organes, et leur

deces a ete catalogue comme une MSN. Une telle pathologie a

ere consideree lnsuffisante pour provoquer la mort, alors que,

- de route evidence, elle I'a malheureusement ete, des dizaines de

milliers de bebesetant morts de c er te f ac o n, Selon Hess ( 1 92 0 )

et bien d'autres, !'un des symp-

tom es du scorbut aigu est l 'he-

mo rr ag ie p ere ch ia le . Pourquoi

e rudi er I e scorbut dans Ie deces

post-vaccinal ?

Les vaccins comme celui centre Ia coqueluche sont en fait

utilises pour provoquer ce que I'on appelle I 'encephalo-

rnyelire allergique experimentale (Levine et aI. , 1966 ; Levineand Sowinski, 1979 ; Steinman et al . , 1982 ; et bien d' autres).

Steinman et at. ont decrir un modele animal-pour I' encephalo-

parhie associee a la vaccination centre la coqueluche. Ils ont

injecte it des souris Ie vaccin Bordetefla pertussis rue par la

chaleur, combine a de I'albumine bovine. Us en ont conclu

que fa neuropathologie de leur

modele souris ressemblait it celie

observee chez- Ies cas humains

dans lesquels un deces survenait

apres un vaccin DCT : une

congestion vasculaire diffuse et

une hernorragie parenchyma-reuse it fa fois dans Ie cortex

et la substance blanche. Les

Un cock ta il t ox ique

neurones corticaux presenraient

des changements ischemiques,

et les meninges des zones d'hy-

percellularite evidentes.

B. pertussis presence un large

eventail d' effo;:tsphysiologiques

parmi lesquels une production

accrue d'immunoglobulines E

(IgE), une vulnerabllite ac-

crue au choc anaphylactique,une lymphocytose et une

hyperinsulinernie. Sa capacite aproduire une perrneabilite vas-

culaire accrue pellt expliquer

s a ten dance it provoquer des

hemorragies, La pertinence du

modele murin [c 'e st- a- dire a ss oc ie a ux souris] de I'encephalo-

pathie Iiee au vaccin contre la coqueluche est prouvee par la

pluparr des bebes en contact avec du lait de vache (rnerne

chez Ies bebes nourris au sein) en raison d'un anticorps anti-

albumine bovine preexistanr. Cette sensibilisarion it I'albumine

bovine peU( declencher une cascade similaire d' evenements

suite a une vaccination centre fa coqueluche chez les bebes

h ur na in s g en etiq uem en t v uln er ab le s,

Les vaccins sont uri cocktail

de substances roxiques telles

que Ie formaldehyde (fait in-

teressant, Iorsque Selye a de-

couvert Ie syndrome de stress

non speclfique, la premiere

« substance nocive »qu'il a in-

jectee dans ses rats de labora-

wire etait du formaldehyde),

le phosphate d' aluminium et·

l 'hydroxyde d'aluminium, descomposes du mercure (thirne-

rosal,. merthiolate, -con tenant

jusqu'a 49 % de mercure),

le phenol, un caloporreur

(propane-I ,2-diol), de I'huile

d'arachide, et bien enrendu

des proreines errang eres (anug en es), des virus e t d es b ac te rie s

ou leurs proteines d'enveloppe (relles que le -penusslgene,

ingredient toxique actif present dans taus les vaccins anti-

coquelucheux, soit it cellules entieres soit acellulaires), pour

ne citer que quelques-uris des ingredients classiques les plus

courants contenus dans divers vaccins

Comme le Dr Innis l'a souvent fait remarquer dans le British

Med ica l J ou rna l (8MJ) a propos du syndrome du bebe secoue

NEXUS n042

janvler-fevrter 2006

8/7/2019 Nexus 42 - Jan.fev.2006 - Vaccination (Complet)

http://slidepdf.com/reader/full/nexus-42-janfev2006-vaccination-complet 29/69

DOSSIER

(585), taus les cas de SBS qu'il a erudies avaient e r e vaccinesdans les 21 jams precedant I' apparition de s symprornes au Ie

deces, ['appule cette observation en affirmant avec de Jegeres

re se rv es q ue parmi les quelque 70 cas de SBS pour lesquels j'ai

p r e p a r e un rapport, seuls deuxetaient des cas de rraurnatisrne

de la naissance et n'avaient pas ete vaccines. En outre, quelques-

uns de s h e b e s 5BS sont morts plus de 21 [ours apres leur der-

niere vaccination. Comme on I'a vu plus ham, les [ours 42 a 48apres [a vaccination represenrent d' importants jams critiques

a u I'on compte un nornbre croissant de deces,

;1~~~j}}WA1~s o n t d e s f a it sq u e . I e s e c o u a g e ,

f e s t p a s .

La plupart de ceux qui

. ant etudie le SMSN

au le 5BS,. y cornpris

ceux qui ant parricipe au

debat cathartique actuel

et 6 combien necessaire de

BMJ.com [British Medical

Journal] sur Ie SBS, se

sont rnontres assez reserves au silencieux a propos des vaccins

administres, rnerne S 1 ces injections sam, en regie generale, les

s euls faits attes tes,L e secouage, lui, n'est pas atteste, et releverait davantage

(c omme le c onsid ere a juste titre Ie D r Innis) de I'imagination

galopante des rned ec ins ac cu sa teu rs, d es agences de protection

de l'enfance et de la police.

Comme le font remarquer Kirschner et Stein (1985) :« ... les m e -decins des urgences confondem une maladie virtuellernent mor-

(tile ou des artefacts post-morrem avec des rnauvais traitements . ..Bien que les recits des parents aux urgences aient dans tous les cas

e r e vraies et coherentes avec le s resultats de ['examen ph ysiq ue d e

l'enfant, les rnedecins concernes n'ont pas su etablir le diagnostic

correct. Ces erreurs resultent sans doute non seulernent d'un man-

que d' experience en ce qui concerne le s c l e m e t m a la di es graves

infantiles rnais aussi d'une attitude de suspicion etlou d'hostilite, »

Alors, quels sont les causes et mecanismes de ce qui est considere

'comme la rriade pathognomique de sympeernes par Ies partisans

du SB5, a savoir Ies hernorragies sous-durales et retiniennes et les os

casses ? Comrneje I'ai ecrit dans mes precedenrs articles sur le sujet

(fACNEM2002 ; bmj . comRap idRespose s , 2 avril 2004 ;etailleurs),

l'id ee q ue le s h ern aro rn es s ou s-d ura ux e t le s f ra c tu re s o ss eu se s h iz ar -res resulrent de rnauvais rrairernenrs a e r e ernise par Caffey en 1946.

n considerait les [ractures des os longs comme une complica-

tion de l 'h emat ome son s- du ra l in fant ile assode aux I ra c ru re s

du c r a n e . Bien que ses propres exernples montrent ce qui

est generalement considere comme des fractures scorbutiques

typiques, il a refute tout «signe radiologique de scorbut ».

Voila ce.qu'a conclu Caffey (1946), sans enuer dans plus de de-

tails: ff Les fracrures sernblenr etre d'origine rraurnatique mais les

episodes rraumatiques et le mecanisme causal derneurent obscurs »,

II est difficile de cornprendre pourquoi les fractures scorburiques

classiques apparaissant sur ses propres phorographies Ont e t e

mal interpre tees. T ou refois, C affey a c on fesse dan s son article de1965, "Significance of the history in the diagnosis of traumatic

injury in ch ildren» , « Je n 'en reviens roujours pas que Ross

Comment limiter les degats ?

A v a n t . . . En France, les vacc ins an tidiph te ri ques , an li 1e tan iques ,

a r1t ipol yomeli ti queset an ti lubercu leux sont encore ob liga toi res e t

I e d ir ec teu r d 'un e ta b lis semen t sco la lr e peu t r ef user d 'a cc ue illir un enf an t

non v accine ou dont les v acens ne sont pa s a jo u r. t es per sonnels

de san te e tles m ilit air es de car rie re son t ega lemen t soum ls a .I'obligation

vacc inale . Pou r s 'in lo rme r su r la legis la tion e t c onna it re ses d ro lt s, iIexis te la Ugue nat io na le pou r la lib er te d es v ac cin at Jo ns . E lle jo ue un r 61 e

d 'in lonnat ion ma is auss l de sou t lsn aupr es des v lc times de la vacc inat ion

et d es pa rents q ui la r elu sen t, not amment en les accompagnant dans leu rs

demarches jur id iques.

C on ta el : lN P LV ,. B P 816,74016 Annec y cedex . Tel: 0 0 (33 )04 50101209;

fax: 00 (3 3)0 4 5 0 5 2 6 8 6 1. E -ma il: L NP l [email protected] ;

Web: ww w.elaneUr tvacc inat io jl -inlormat ion.

A p r e s . . . En hor ns opalh le , e n fo nclia n d sla t yp olo gie e t d u t er ra in d u

patient, iI pou rr a e ir e p re sent u n d ra in age Iymphaliq u e p ar N u x Vom ica

compose, d u S ilice a 9 a 15 ch pou r Ie B e G , du Thuya 9 a 15 ch

pou r les au tr es vacc lns, I I es t pa r a il le u rs conse llle d 'appliq uer de I 'a rg ile

verte a I 'endroi! de I 'inocula t ion.

On peu l ega lemen t agir , en nalu r opa th ie , en e lim inan t les r ne ta ux lo u rds

comme Ieme r cu r e ou I 'a lum in ium con tenus dalls c er ta ins vaedns , I I s 'a g it

d 'a b so rbe r des p roduhs d it s « ehe la te ur s " ca pa b le s d e ca pt er le s met au x

grace a une pola r~e e lect ronega t ive . :ch lo re ll a, les a lkyg lycero, l a m lna r ia

ja pon ic a, la ze lo it e ( ro che vo! can ique) , les p ro e t p reb io tiq ues , I eg l ut at ion

(ant i-oxydant p resent dans les avoca ts, les asperges , Ieb roco li s, les toma tes ,

les p il ches, I'es pommes de ter re , les eourqes, les choux- fleu r s, e tc .)

Cer ta ines subs tances s limu lent l'a ct iv ile de des in lo xic at ion du lo ie qu i jo ueun r 61e impor tant dans I e p rocessus de neu t ra lis at ion des r ns ta ux lo u rds

met ta nt e n ce uv re le s enz ymes cy ta ch romes hepafiq u es P . 450 : selenium,

zinc , soutre, manganese, sil ice,. v i tamines E , B12, B6, 8 9.C, ce rt ain s

acides am iMs sou t res, I ech rysanthe lium amer ic aoum. le desmonJum ,

Ie r ad is n air , I'a il d es o ur s .. . L es a cid es g ra s co nt en us d an s le s h uile s

de no lx , col za , per iJ Ia ,en tre au t res , con tr ibuent a r es tau rer e t nour rl r

le s cellu les ner veuses sndor rmapees par l es r ns ta ux lo u rds e t t ox iques

d iver s . .On peu t a uss l u t iliser de I 'a rg ile e t du cha rb on acid .

Selon une specia lis te , E lke A r od , les in to le rances au g lu t en e t

a la o aseln e ser aie nt d ue s a I 'in to xic at ion aux r ne ta ux lo u rds a t a ux

b locages enzymat iq ues qu 'e lle ent ra ine. E lle a ff irme quun r eg ime denue

de ces composes a liment air es permet de r esoud re les p rob lemas

neuro!ogiques dus a la vaccnanon.

NEXUS n"42

janv ier-fSv r le r 2006

8/7/2019 Nexus 42 - Jan.fev.2006 - Vaccination (Complet)

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Golden m' ait accueilli, moi simple pediacre sans formation

ni experience formeHe ou informelle en radiologic, dans son

service de radiologues hauternent qualifies », Pourquoi l'a-t-il

fait, d'ailleurs ?

Caffey a serne une grande confusion qui ne se dissipera qu'avec

les annees, Plus t6t on rectifiera Ie tir, mieux ce sera non seule-

ment pour les milliers de vicrimes de l'etroiresse d'esprit et de

l'ignorance manifeste de Caffey rnais aussi pour ces radiologues

parfaitement comperenrs qui ont aveuglernent suivi ses inter-

pretations erronees,

U n scrobu t a igu qui d ispara it avec de la vitam ine C

Hiller (1972), radiologue australien forme dans les d:gles, a de-

rnontre que les fractures bizarres de Caffey eraient provoquees

par le scorbut, sans en decouvrir la cause.

En 1920, Hess, tres en avarice sur son temps, a rnis en evi-

dence, it travers son ouvrage de 300 pages sur le scorbut, les

insuffisances en vitamine " antiscorbutique : (virarnine C) des

aliments pour bebes traditionnels.

Plus rard, Pekarek et Rezabek (J 959) ont dernontre que l'ad-

ministration du vaecin DCT it des rats les conduit it develop-

per un scorbut aigu qui disparair tout seul dans les 24 heures.

Toucefois, les bebes hurnains, contrairement aux rats, n'ont pas

la chance de produire leur pro pre vitamine C ; les hurnains et

d'autres primates comme les roussettes ou les cochons d'Inde,

dependent-des aliments pour disposer de la quantile adequate

de cette vitarnine irnportante, pour ne pas dire essentielle.

Quand On administre a des bebes humains Ie merne vaccin

DCf que celui injecte aux rats de Pekarek et Rezabek, ils

developpent un scorbut aigu qui ne disparair qu'avec l'appon

de quantires suffisanres d~ vitamine C . Bien entendu, cela

n'arrive jamais parce que, lorsqu' on adrnet it I 'h6pital des bebes

presenrant des reactions aux vaccins, on prefece leur donner

des antibiotiques, ce qui ne fait qu'aggraver un peu plus leur

carence en vitamine C.

L e virus de la p olio lsole c he z d es enfa nts v ac cin es

L e sc orb ut affec te to us les systern es de l'organisme. II provoque

une depletion de collagene qui fragilise la parol vasculaire,

favorise la formation de caillors sanguins et d'autres dere-

glemenrs hemarologiques causant des bleus ; il entraine des

saignements dans Ie cerveau, la retine et d'autres organes er .

bien d' autres dysfonctionnements, y compris un dereglement

du systerne de controlecenrral de la temperature, de la tension

arteri elle, etc.

Injecter directement dans Ie sang des anrigenes etrangers (er

d'aurres proteines) provo que des dereglements immunologi-

ques, parmi lesquels l'inversion du rapport T4/T8 (Jefferys,

2001), ce qui entraine route cette cascade d'evenernents

malencontreux se soldant par la mort. Je suis surprise que des

beb6 survivenc aux intenses programmes de vaccination aux-

quels i1s sont soumis actuellement.

D'autres chercheurs ont cite la Iymphohistiocyrose hernophago-

cytaire comme le syndrome qui s'accompagne des memes

symptomes que IeSBS, sans e luc ider ses fac teurs dedenchants,

La rnedecine est reputee pour rebaptiser sans cesse les an-

ciennes maladies. C'esr probablement duau refus notoire des

chercheurs en medecine d'etudier la documentation medicale,

Cette situation est d'irnportance pour l'erude des hemorragies

sous-durales et retiniennes du SBS.

Sparacio et al . (1971) ont decrit l'hematome sous-dural aigu

chez le nourrisson, lis

ont expose six cas de

nourrissons

a g e sde trois

mois, dix rnois, un an,

dix rnois, six mois et

neuf mois, parmi lesquels

deux seulement avaient

fait une chute consignee

au dossier.

Pour Ie leur part, Hart

et Earle (I975) on t

dccrir I'encephali te

J e s u i s s u p r is e q u es u rv i v e n t a u x i n t e n s e s p

d e v a c c in a t io n s a u x q u e ls

i l s s o n t s o u m is a c t u e ll e m e n t .

hemorragique et periveineuse dans une etude c1inicopathologi-

que de 38 cas. Us om explique que la leucoencephalite hemorra-

gique et l 'encephalire periveineuse post-infectieuse associees aux

oreillons, it la rougeole, a la varicelle et a la vaccination chez I'en-

fant etaient d'lmportantes maladies du systerne nerveux central.

Graham et al. (1979) ont presence la leucoencephalire h e -morragique aigue (egalemenr qualiflee de necrosante) comme

un e complication de la reaction de Schwartzman generalisee

pouvant survenir apres une sensibilisation (anaphylaxie) it des

medicaments rels que les sulfamides er I'acide para-amino-salt-

cylique, et qui a egalement fait suite it une vaccination contre la

coqueluche et a l'adrninistration du serum antitetanique.

Levin et al. (1983) ont decrir Ie choc hernorragique avec

encephalopathie comme un nouveau syndrome associe a unemortalite elevee chez les jeunes enfants. Fait lnreressant, les

enfams chez qui l' on a isole le virus de la polio avaient tous ere

recemment vaccines, Cela signifie que d' autres cas auraient pu

afficher un delai de plus de quelques jours entre la vaccination

et la manifestation des sympt6mes du choc hemorragique,

L es sym pt6m e s d u c ho c h em o rra giq ue

Dans les annees 70 et 80, un certain nombre d' auteurs ont decrit

le fameux syndrome hemophagocyraire ou lymphohisdocytose.

Les sympt6mes du choc hernorragique avec encephalopathie et

NEXUS n042

janvler-fevrlsr 2006

8/7/2019 Nexus 42 - Jan.fev.2006 - Vaccination (Complet)

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de la lyrnphohistiocyrose hemophagocytaire sont tres similaires :

sensation generale de malaise, fievre, apathie et vornissernents,

paleur, tachycarclle, tachypnee, convulsions, hypotension arreriel-

le, syndrome des gants et chaussettes (corps brfllant et extremires

glacees),abdomen distendu, hypertrophie du foie gonfle, fon-

tanelle tendue, hypotonic, larmoyance, diarrhee sanguinolente,

hernaternese, du sang liquide qui ne coagule pas (saignement

provenanr de poims de veinopuncture), des problernes de coa-

gulation avec des temps de prothrombine et de coagulation de la

rhrornboplastine anorrnaux, taux de fibrinogene tres bas er taux

de produits de degradation de la fibrine tres eleves, indiquanc une

grave coagulation intravasculaire disserninee.

Parmi les autres decouvertes caracteristiques citons une acidose

rnerabolique severe (pH inferieur a 7,35 voire inferieur a 7), unfaible taux de bicarbonate, un deficit de base avec alcalose respi-

ratoire cornpensatoire, line deterioration de la fonction renale,

des taux accrus d'uree et de creatinine plasmatiques et tout parti-

culierernenr une hyperglycemic, revelatrice d'un diabete insipide

central, un eederne cerebral et une hernorragie interne dans le

cerveau, la retine, les pOUl11onse t d'autres organes, ainsi que des

hernorragies maculaires curanees diffuses. Des lymphocytes et des

histiocytes risquent de, s'infiltrer dans tous les organes. A l'aurop-

sie, Ie cerveau est oedemateux, mou et pratiquement liquide,

Les cas plus graves ont une infiltration meningee ec penvasculaire

des cellules lymphoides dans Ie cerveau,

Un affolement du svsteme immunitalre

Akima et Sumi (1984) om expose un certain nombre de cas de

bebes ages de six rnois, quarre mois, quatre mois et demi (read-

rnis a six rnois et derni et mort 11 jours apres son adinission),

cinq rnois (readmis a huit mois et mort deux mois plus rard), six

semaines avec une recurrence des sympt6mes a quatre mois et

NEXUS n042

janvler-fevner 2006

demi (mort a cinq mois ec demi) et sept sernaines (mort quatre

jours apres son admission a l'hepltal). II est clair que tous les cas

ont manifesre leurs symptomes apres line vaccination, d'apres

l'age de leur premiere admission et la date de readmission. Cer-

tains auteurs ont qualifie la Iymphohistiocycose hernophagocytaire

de maladie familiale ; roucefois, cette definition reflerait l'habirude

familiale de vacciner tous les enfanrs, pluto; qu'une quelconque

predisposition genetique familiale speciale autre que celle a r6girviolemment aux vaccins (Henter and Elinder, 1991).

Liao et Thompson (1997) ont decrit les hemorragies retiniennes

comme des manifestations ophtalmiques du syndrome heme-

phagocyraire provoque par un virus.

Herner er Elinder (1992) ont presente Ia lymphohis-

tiocytose hernophagocytaire cerebro-rneningee comme

un trouble immunologique, et Sperling (1997) l'a de-

crite comme une reaction «d'affolement» du systeme

immunitaire.

Rosen (1997) a cite un certain nombre de vaccins (la

vaccine, la polio, la rougeole et le BCG) cornrne etant Ies

agents causals de Ia lymphohistiocyrose hemophagocy-

taire, ec a decrit cette maladie comme une immunodefi-

cience combinee grave.

Cornans-Biner et al. (1997) om considere que l'irnmu-

nophenotypage des lymphocytes sanguins chez l'enfanr

devait erre utilise comme critere de diagnostic des trou-

bles hernarologiques et immunologiques.

Bonilla er Oettgen (1997) om analyse l'artide ci-dessus

et ont declare que les lymphocyres 1; les lymphocytes B

et les cellules tueuses narurelles (NK) imeragissaient lesuns avec les autres ainsi qu'avec diverses ((cellules acces-

soires », relles que les cellules derivees des rnonocytes,

pour generer une reponse immunitaire. Les lymphocyres

T peuvem etre identifies par Ie marqueur CD3 associe au

recepteur d'antigene et se subdivisent en deux categories :

les CD4+ et les CD8+.

Les lymphocyres T CD4+ (egalemenr connus sous Ie nom de

ceilules « cytotoxiques » ou « suppressives ») executent d'impor-

tantes fonctions eflectrices relles que la lyse des cellules h6tes

infectees (faisant partie de la reponse imrnuniraire cellulaire),

Suite a une interaction avec les lymphocytes T CD4+, les lym-

phocytes B donnent naissance a des plasmocytes qui produisent

des anticorps (la reponse irnmunitaire humorale). Les cellules

NK sont importantes dans les phases initiales des reponses im-

rnunitaires aux virus er mallgnires.

Puisque les .vaccins dereglent ces acteurs du sysrerne immuni-

raire, il n' est pas difficile de comprendre pourquoi its apparais-

sent comme les agents causals dans toures ces maladies infan-

riles modernes, relies que I' asthme er les allergies, un certain

nombre de cancers, les troubles gastro-intesrinaux, I' autisme et

autres troubles du comportement, pour ne citer que quelques-

unes de ces maladies soi-disant nouvelles.

En resume, u existe une profusion de donnees scientifiques pour

demontrer que les vaccins provoquent de graves dereglemenrs de

tous les sysrernes organiques, ce qui entraine des affections graves,

voire des deces interpret€s a tort, chez Ies behes en particulier,

comme Ia consequence de mauvais traiternenrs. D

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a c es n tu a no n ane r 1 m m u n lz a -31 (6 ) :749 -& 4 .

In. ;n Serum antibody to

post- lmmuntzauon

NEXUS n042

janvie,...h\vr-ier 2006'.-"~~ -

8/7/2019 Nexus 42 - Jan.fev.2006 - Vaccination (Complet)

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OSSIER

III ..CHIENS & CHATS, MEME COMBAT

A.llergie5,. a rthrite,. troub les du comportement, cancer ... Les animaux domestiques sub ts-

sent ega l'ement les effe15 secondaires des vaccins. E n Ecosse, une am ie des betes se ba t

pou r ta ire - r a c o n n a i t r e l ' I n u t l l l t e et les dangers des vaccina tions infligees principa lement

aux chiens et aux. cha ts.

E·n 1994, apres avoir perdu trois de rnes ch ie ns 11l a suite d'une

vaccination, j'ai forme un groupe appele Canine Health

Concern (CHC) dans l'objectif d'eduquer les proprietairesd'animaux dornestiques et mertre fin au carnage orchestre par

les cntreprises er les professionne!s qui pretendenr aider 'les

betes, Voici ce que je vois, quorldlennement, depuis que j' aienrrepris cette mission. Le proprieraire « responsable » d'un ani-

mal dcrnestique ernrnene son chien (ou son chat ou son cheval)

chez le veterinaire pour son rappel annuel, Peu de temps apres,

l'animal commence a souffIie d'epilepsie, d'arthrire, de troublesdu comportement, d'une maladie thyroidienne, de diabere,

de problemes de peau, d'a1lergies, d'insuffisance cardiaque,

d'atteintes hepatiques ou renales, d'une paralysie de l'arriere-

train, d'une colite, voire d'un cancer, d'une leucernie ou d'une

autre maladie it mediation irn- -munologique met tam sa vie en

danger.

En general, ni le proprietaire

de l'animal ni le vererinaire

ne soupyonnenr un quelcon-

que lien. Cependant, si Ie pro-

prieraire est parriculierernenr

proche de son ami a quatre

pattes, iI cornmencera a . po-

ser des questions. 1 1 demandera

peut-etre it son vererinaire s'Il

soupyonne un lien entre Ie rappel et la rnaladie qui a suivi. L areponse sera invariablenient « Non ». Dans de tres rares cas,

le proprietaire n' en restera pas la, II se rnettra 11chercher une

reponse 11la question, "Pourquoi mon ami 11quane panes

est-il mort? » n decouvrira alors qu'un vaccin peut bel et bien

provoquer n'irnporte laquelle de ces maladies et que - 11sa plus

Par Catherine O'Driscoll e 2005

grande stupefaction - l'adrninistration du rappel annuel 11

son compagnon emit inutile.

Tourefois, il n'y aura aucun recours .. I I ne pourra pas ramenerson animal defunr it la vie. S'il va en justice, Ie sysrerne est tel

que I'on fera rres peu cas de sa propre affaire ou de la same de

n'importe que! autre animal. Le mieux qui puisse arriver est

que le s gens, les u ns apres les aurres, changent lenternenr leurs

habitudes it I'egard de la vaccination.

Les obstacles au savolr

Ce n'ese pas facile de faire passer un message divergeam dans

Ie debar entourant les vaccins. Le nat probleme vient du fait

que Ia science est quelque peu complexe et que,. bizarremenr,

la logique de la vaccination nerient [Our simplemem pas de-

bout. IT es t done bien plus facile

de deleguer Ie processus de prise

de decision it un expert en blouse

blanche.

Malheureusernent, ccla dissuade

beaucoup de gens de se donner

1a peine d' examiner les questions

enrouram la vaccination. Alors,

il s preferent se fief au jugemenr

de quelqu'un d'autre tout en

souffrant d'une angoisse incroyable. rai recu des lettres, dese-rnails er des coups de telephone d'un grand nornbre de gens

qui s'inquieraienr 11 l'idee de revaeclner leur animal mais qui

Ie faisaient quand rnerne parce qu'un vererinaire Ie leur avait

recomrnande,

A defaut d' autre chose, les douze annees que j' ai passees 11la

tete de Canine Health Concern rn'onr montre queUe etait 1a

prochaine etape necessaire de revolution de l'humanire ; assu-

mer la responsabilire de notre propre vie et de 1a vie de ceux

dont on prend soin. Le sysrerne est si cornplexe, er rellement

influence par le poids ecrasant de l'econornie, que nous n'avons

desorrnais plus le choix.

Pouvons-nous encore nous permertre d' exposer nos animaux,

ou nos enfants, a des interventions medlcales que 1'011 ne

comprend pas? Le sysrerne de croyance sur lequel est fonde Ie

II

I

J 'a i. recudes Iettres, des e-ma ils etdes coups de teJep)lo~ed'un gr~ndnombre de 'gens qu i s 'ingu ie ta ienta ridee de revacelner leu r anima l.

NEXUS n"42

j.anvier-fevrier 2006

8/7/2019 Nexus 42 - Jan.fev.2006 - Vaccination (Complet)

http://slidepdf.com/reader/full/nexus-42-janfev2006-vaccination-complet 34/69

modele medical conventionnel est si imparfait, si couompu et

si dangereux que ron ne pem tout bonnement pas se perrnertre

de lui embotter aveuglement le pas.

[e sais bien que de nombreux medecins et vereririaires vont se

rnertre en colere a . la lecture de mes propos. Ils depensent tantde temps, d' energie et d' argent a obtenir leurs diplornes, aprestout. Ils en savent effecrivement plus que la plupart d'entre

nous, et ils consacrem leur vie entiere a guerlr Ies malades. Enfait, beaucoup d'eIements du modele medical conventionnel

son t corrects.

Mais laverite de mes propos resonnera a leurs oreilles, rnerne sicela doit lesmettre mal a I'aiseou en colere, De recen tes etudes

montreat qu'au Royaume-Uni, les medicaments presents par

les medecins tuent chaque annee trois fois plus de gens que

les accidents de la route. Les medecins et les veterinaires n' ant

pas le temps d'etudier tous les effets secondaires de chaque-

medicament: leurs connaissances proviennent en grandepartie des representants des cornpagnies pharmaceutiques. lis

doivent aussi se preoccuper des revenus tires de leur activire,

Er personne ne peut tout savoir.

Des medicaments tels que le Vioxx et le Co-Proxamol en

rnedecine humaine ou tels que le Rirnadyl er Ie Deramaxx

en medecine canine, se sam averes susceptibles d'enrrarner la

mort cornrne effet secondaire potentiel - alors qu'ils avaient

satisfait a routes les exigences de securite, d'agrernenr, et

avaienr cause des dizaines de milliers de deces, En Amerique,

ou la FDA a pris des mesures, Ie Rimadyl s'accompagne de

fiches techniques prevenant les proprietaires de chien du

risque de deces assode a l'administration de ce medicament,

er les fabricants du Deramaxx se sont fait taper sur les doigts.

Et pounant, les etudianrs vererinaires frakhement diplomes

n'auront entendu parler que des bienfaits de ces medica-

ments a l'universire.Les patients et les clients, eux, ont le temps et souvent la

motivation necessaires pour se renseigner sur leurs propres

maladies, celles de leurs enfants ou de leurs anirnaux et pour

se documenter sur les medicaments prescrits, Nous sommes

tous bien mieux inforrnes que jamais, meme si nous Ile pos-

sedons pas les memes qualifications que les professionnels

de la sante. Nous avons un cerveau et nous savons nous en

servir, Ec parce que la responsabilite commence avec nous,

nous avons un devoir de precaution envers nous-memes et

ceux que nous aimons. Cependant, les proprietaires d'ani-

maux n'entreprennent de se renseigner qu 'apres le deces de

leurs petits compagnons. .

Mon but, et celui de Canine Health Concern, est d'infor-

mer et de prevenir l'irreparable. Helas, je ne peux pas vous

forcer a .lire ces informations : seul votre amour peut vous

y pousser. Ce que je peux dire, neanmoins, c' est que les

animaux particlpent a I'evolution de l'humanite depuis le

commencement du monde, et qu'ils continueront a s'Immo-let sur l'autel de Ia science jusqu'a ce que nous, les hornmes,

en prenions conscience. Franchement, si seulement nous

erions conscients de l'immensire de l'amour que les animaux

donnent a I'humanite, nous nous inclinerious devant eux en

signe de gratitude, et ne considererions

aucun effort comrne trop grand pour

leur bien-erre.

L 'e n tr e e d e la F a c u l t e d e m e d e c in e v e te r i n ru r e d e I 'u n iv e r s i t e d e P u rd u e , d a n s l ' ln d ia n a (Etats-Unis),

NEXUS n042

j a nvi e r -fEv rle r 2006

Les preuves contre les vaccins

Une equipe de la faculre de rnedecine ve-

terinaire de l'Universire de Purdue a rea-

lise plusieurs etudes':" afin de determiner

si les vaccins pouvaient provoquer dans le

systeme irnrnunitaire canin des modifica-

tions susceptibles de causer des maladies

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a mediation immunologique virtuellement mortelles, I1s ont

de toute evidence melle ces recherches parce qu'il existair

deja des inquietudes. Elles ont ete parrainees pa.r la Haywood

Foundation qui elle-rneme cherchait des preuves montrant

que les modifications observees dans le systerne immunitaire

humain pouvaient egalement erre induites par les vaccins. Ces

elements probants ont ete trouvees.

Leschiens vaccines, contrairement aux chiens non vaccines,

selon les etudes de Purdue, om developpe des auto-anticorps

contre bon nombre de leurs propres agenrs biochirniques, par-

mi lesquels la fibronectine, la laminine, I'ADN, l'albumine, le

cytochrome C, la cardiolipine et Je collagene,

Cela signifie que les chi ens vaccines - et seulement eux -

attaquaient leur propre fibronectine, qui entre en jeu dans la

reparation tissulaire, la multiplication et le developpement des

celluies et Ia differenciation entre les tissus et les organes dans

un organisme vivant.

Les chiens vaccines om en outre developpe des auro-anricorps

diriges contre la larninine, qui participe a de nombreuses

activites cellulaires dont l'adherence, l'eralemenr, la diffe-

renciation, la proliferation et Ie mouvement des cellules. Les

vaccins sernblent donc capables de priver les cellules de leur

intelligence naturelle.

On trouve frequemment des auto-anticorps diriges contre la

cardiolipine chez les patients atteints de lupus erythernareux

dissernine rnais aussi chez des personnes souffrant d'autres

maladies auto-imrnunes. La presence d'un taux eleve d'an-

ticorps anti-cardiolipine va rres souvent de pair avec des

caillors dans le coeur ou les vaisseaux sanguins, une mauvaise

coagulation sanguine, des hemorragies, des saignernents cu-

tanes, une pene fcetale et des affections neurologiques.

Les etudes de Purdue ont egalement decouvert que les chiens

vaccines developpaienr des auro-anticorps centre leur pro pre

collagene. Pres d'un quart des tissus prctidiques du corps

sont constitues de collagene. Le collagene structure notre

organisme, en proregeanr et soutenant les tissus les plus

mous et en les rattachant au squelerre, Pas etonnanr que

l'etude realisee en 1997 par Canine Health Concern sur 4

000 chiens air rnontre un nornbre eleve de chiens presentant

des problemes de mobilite peu de tempsapres avoir ete vaccines.

Plus inquietant peut-etre, ces etudes om de-

couvert que les chieris vaccines avaiem de-

veloppe des auro-anticorps centre leur

propre ADN. La sonnette d'alarme

a-t-elle ere tiree ? La cornmunaute

scienrifique a-t-elle interrornpu le

programme de vaccination ? Non.

Au lieu de cela, elle a contourne

le probleme en disant qu'il fallait

effectuer des recherches cornple-

mentaires pour dire si les vaccinspouvaient provoquer des domrna-

ges genetiques.

Pendant ce temps, on a trouve de

bons foyers aux chiens de I' etude,

I

I1

mais aucun suivi it long terrne n'a ete realise.

A peu pres it la merne epoque, le groupe d'enide de l'American

Veterinary Medical Association (AVMA) charge d'enquecer

sur les sarcomes felins associes aux vaccins a en trepris pIusieurs

etudes pour decouvrir pourquoi chaque annee aux frats-Vilis

160 000 chats developpaient un cancer terminal au point

d'injection de leur vaccin", Le fait que les chats puissent deve-

lopper un cancer provoque par un vaccin a ere admis par des

organismes veterinaires du monde entier, et rnerne le gouver-

nernent btitannique l'a reconnu par le biais de son groupe de

travail charge d'enqueter sur les vaccins can ins et felins4 sous

la pression de Canine Health Concern. A votre avis, qu' ont

recomrnande Ie groupe d'erude de l'AVM.A, les organismes

veterinaires et les gouvernements? « Continuez a vacciner

jusqu'a ce que nous decouvrions pourquoi les vaccins tuent les

chats, et quels chats ont le plus de risques de mourir. }>

Sur la patte ou la queue, pour pouvoir amputer ...

En Amerique, afin d'essayer d'amoindrir le probleme, on

vaccine les chats dans la queue ou la pa,l;e de facon a pou-

voir les amputer quand survient un cancer. Excellence pre-

caution, tant que ce n'est pas le vane qui figure sur la Iiste

des centaines de. milliers d'autres chars ayant connu cette

rnesaventure.

Mais les au tres especes n'ont pas de problernes ? st , detrornpez-VOtlS. En aour 2003, le [ournal o/Veterinary Medicine a publie

nne etude italienne qui rnontrair que les chiens aussi develop-

paient des cancers dus aux vaccins au point d'injecrion.l Nous

savons deja que le cancer provoque par un vaccin est egalement

une sequelle possible des vaccins humains, puisque le vaccinantipoliornyelitique inactive (vaccin de Salk) serait porteur

d'un retrovirus simiesque (dti fait d'avoir cultive Ie vaccin sur

'des organes de singe) qui provoque un can cer transmissible par

voie hereditaire, On continue a derecter Ie retrovirus sirniesque

NEXUS n042

janvler-fevrier 2006 . ' . ; ~

8/7/2019 Nexus 42 - Jan.fev.2006 - Vaccination (Complet)

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SV40 dans des zones cancereuses chez l'homme.

Il est en outre frequemmenr adrnis que. les vaccine peuvent

provoquer une rnaladie it action rapide, generalement fa-

- tale, appeleeanemie hemolytique auto-immune (MW).

Sans traitement, mais souvent aussl avec un traiternent, [es

personnes peuvent rnourir dans d'arroces souffrances en

quelques jours, Merck, lui-meme Fabricant multinational

de vaccins, affirme dans The Merck Manual of Diagnosis

a n d Therapy que l'anerntehemolytique auto-immune peut

rue provoquee par des vaccins ii virus vivant rnodifie, de

rnerne que Tizard's Vttnjnary Immunology (4' edition) et le

Journal of Vttnjnary Internal Medicinl'. L e groupe de travail

du gouvernement britannique, bien qu'il oompte parmi son

personnel des consultants de l'industrie des vaccins qui se

disent independants, a egalement reconnu ce fait. Tourefois,

personne ne met les proprietaires d ' animaux dornestiques

en garde avant qu'ils exposent leurs animaux ii un rappel

inutile, et rres peu de proprietaires recoivenr une explication

une fois que leurs compagnons a quatre panes sont morts

de I'AHAI.

Des troubles du comportement

trois mols apres I'injectlon

la rougeole, la varicelle er la rubeole, la

vaccine et beaucoup d' autres infections

virales mains bien definies », .

Lorsque les proprieraires de chiens

ayant participe it l'enquere de CHC ont

rapporte que leurs chiens presentaienr

des troubles de I'arrention, cela lest

manifeste dans les tro~ "mois suivant

une vaccination chez 73,1% des chiens.

On a diagnosuque uneepilepsie chez Ie

meme pourcentage de chiens dans les

trois rnois (mais generalemenr dans les

quelques jours) suivant une injection.

Nous avons egalement decouvert que

72,5 % des chi ens juges nerveux et in-

quiets par leur proprietaire ont pour la

premiere fois r na nif es te c es traits dans

les trois mois suivant une vaccination.]' airnerais ajouter en souvenir d'Oliver,

mon cher 'compagnon qui a souffert

d'une paralysie des pattes arrieres et qui

est mort peu apres une vaccination, que

« la paresie » figure parmi les sympt6-

mes de l'encephaiite dans le Manual

de Merck. Elle se dMinit cornrne une

faiblesse musculaire d'origine neurale

(cerebrale) qui implique une paralysie

parrielle ou incomplete, consecutive ades lesions situees a n'importe que!

niveau des.voies descendantes. L a para-lysie de j'arriere-rrain est une des conse-

quences potentielles, L'encephalite, soit

dit en passant, est u ne ma la di e qui peut

se mani fes te r sousune "forme rnoderee asevere et peut egalement enrrainer une mort subite.

On peut au ss i c r ai nd re une insuffisance organique lorsqu' elle

survient peu de temps apres une vaccination. Void ce qu' a eerie

le D r. L arry Glickman, qui a melle .les recherches de Purdue

sur les modifications biochimiques constatees chez Ies chiens

suite It une vaccination, dans tine lerrre a l 'e le v eu r d 'e p agneul scavaliers King Cha:rles Bet Hargreaves:

«Nos etudes actuelles sur les chiens montreat qu' apres une

vaccination de routine, on constate une augmentation signifi-

cative du raux d' a nticorps produits par les chiens coritre leurs

propres tissus, II a ere preuve que certains de ces anticorps

s' en prenaienra Ia glande thyroide, au tissu conjoucnf tel que

De nombre~s: ,! i@ Q1}er~. ,bes·

conflrment q lJe~sMaGQi,O,s ;~~¥@ ;nt

provoquer v n !~~e~~:~e~!~11

de dom~a5J~s s t J r - , l e q~t?Uet I e syste,lJ{~J J e , l } ' f l i , L t X , : C ~ l t j t ~ 1 .

Dans none etude de 1997, n ou s a vo ns

egalemem decouvert des liens inquie-

rants entre des vaccinations et l'appa-

rition de I'arthrite, Nos inquietudes

am ete aggravees par le s recherchesmenees sur l'hornrne.

Le N e w England Journal of Medicine,

par exemple;· a rapporte qu'il etait

possible d'isoler Ie virus de la rubeole

dans les articulations touchees d' enfants vaccines contre la

rubeole. II a aussi parle de l'isolation de virus dans Ie sang pe-

rlpherique de femmes souffrant d'une arthrite prolongee apres

une vaccination".

Puis, en 2000, les conclusions de CHC ont ere confirmees par

des recherches qui ont montre que la polyarthrite et d'autres

maladies tel!es que l'amylose, qui affecte les organes des chiens,

e ta ie nt l ie es au vaccin associe administre aux chiens".II existe un nombre colossal de recherches, malgre Ie peu de

finan cement alloue par l'industrie des vaccins, pour conflrmer

que les vaccins peuvem provoquet un large eventail de dorn-

mages SUI Ie cerveau et le sysrerne nerveux central. Merck lui-

merne affirme dans son Manual que les

vaccins (c'est-a-dire, ses propres pro-

duics) peuvent entrainer une encepha-

lite: une inflammation/des lesions du

cerveau, Dans certains cas, l'encepha-

lite implique des lesions dans l' en-

semble du sysrerne nerveux central.

Merck declare que « 1 ' on peut citer

comme exemples les encephalitides

consecutives it une vaccination centre

N:EXUS n042

jan\(ier"fevrier 2006

8/7/2019 Nexus 42 - Jan.fev.2006 - Vaccination (Complet)

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r e p e r e e s pa r des

~"""'·'-9f<U't.s de cultures de nssus qui

progressive visanc le tissu

cceur, Les manifestations cliniques

les chiens ayam une predisposition

resultats devaient etre generalement

, . . . ."'~·'"-'. 'f' '-'.,independamrnent de leur race. »

ue Ie Dr Glickman pense que les vac-

mais qu'il faut rnettre au point des

a...'....'.""....."'"SUts.

'.<J.'-'.""'U'" t, veuillez contribuer it jouer la vie de votre chien,

chat, de votre cheval et de votre enfant a la roulettepuisqu'un scientifique vous Ie conseille.

Inflammation ;; vaccination

Le mot « a1lergie » est synonyme de « sensibilite » er d'« inflam-

mation », II devrait, en route justice, etre. aussi synonyme du

mot « vaccination ». Void ce que font les vaccins : ils sensibt-

lisenr (rendenr allergique) une personne en la forcant it deve-

lopper des anricorps pour com-

battle la menace d'une maladie.

En d'autres rerrnes, comme cela

est reconnu et accepre, dans Ie

cadre du processus de vaccina-

tion, le corps reagira par une

inflammation. Celle-ci pouna

sembler temporaire ou s'averer

durable.

Les medecins et veterinaires

hoiistiques le savent depuis au

rnoins un siecle, lis parlent d'un

large evencail de maladies inflarnmatoires ou maladies en

« -ites » qui surviennenr peu de temps apres une vaccination.

En fait, les vaccins plangent de nombreuses personnes dans un

etat allergique. La encore, il s'agit d'un trouble qui va d'une

forme moderee jusqu'a une. issue fatale soudaine. Le choc

anaphylactique en est le point culminant : c'esr lorsqu'une per-

sonne fait line reaction allergique massive It un vaccin er meurt

en quelques minutes si on ne lui adrninistre pas d'adrenaline

ou un equivalent.

Certaines personnes ne sont pas genetiquement en rnesure

de supporter Ie defi que represenre un vacein. Il s'agit des

personnes (et les anirnaux sont aussi des « personnes ,,) ayant

herite d'un dysfonctlonnement des lymphocytes B et T.

Ces derniers sont des composanrs du systerne immunitaire

qui identifient lesenvahisseurs errangers, les detruisent et

en gardent la mernoire de facon a ce qu'ils ne puissenr plus

faire aucun mal a l'avenir, Toutefois, les effets non souhaites

rels que des allergies et autres etats inflammatoires som la

manifestation d'un systerne immunitaire qui s'affole.

Dans son Manua l , Merck signale que les patients faisant partie

ou venant de families attelnres d'irnmunodeficiences des lym-

phocytes B et/ou T ne doivenc pas recevoir de vaccins it virus

vivant a cause du risque d'infection severe ou fatale. Ailleurs,

iI indique que Ies immunodeficiences des lymphocytes B et

T se caracterisenc par des allergies alimentaires, des allergies

respiratoires , de I'eczema, une dermatire, une deterioration

neurologique et une cardlopathie. En clair, les gens souffram

de ces affections peuvent mourir s'ils recoivent des vaccins It

virus vivant. Leur systerne immunitaire n'est tour sirnplernenr

pas assez performant pour garanrir une reaction saine it l 'assaur

viral de vaccins a virus vivant modifie.

Les vaccins a virus vivant modifie (VVM) se repliquent dans le

corps du patient jusqu,a provoquer une reponse lmrnuniraire,

5i une defense n'est pas stimulee, alors Ie vaedn continue a serepliquer jusqu'a donner au patient la maladie meme qu'il etait

cense prevenir,

II est aussi possible qu'une reponse imrnunitaire perrurbee en-

mine des etats inflammamlres rels que l 'arrhrite, la pancreatite,

la colite, I' encephalire er un nomhre incalculable de maladies

auto-imrnunes telles que le cancer er la leucemie, lorsque Ie

corps artaque ses propres cellules.

Une nouvelle theorie, deCOUVeHe par hasard par un erudlant,

Gary Smith, explique ce que les prariciens holistiques disenc

depuis longremps, Void ce que quelques veterinaires holisti-

ques om r u t au sujet de leurs

patients. L e Dr Jean Dodds ;

« Beaucoup de veterinaires as-

socienz Ies problernes actuels de

maladies allergiques et irnmu-

nologiques a l'imroduction des

vaedns \"\':\1 ... »9

Christina Chambreau, docteur

en rnedecine vererinaire : « Les

vaccinazions de routine sonr

prebabiement la pirechose que

nous fusions a nos animaux,

Elles provoquent tous types de

maladies, mais pas directemenr

a l'endrolr qui perrnettrait de

les associer avec certitude au

L e s v a c c in a t io n s p r o v o q u e n t to u s t y p e s

d e m a la d ie s ) mas p a s d ir e c t e m e n t

i t r e n d ro it q u i p e rm e tt r a i t d e

l e s a s s o c ie r a v e c c e r t l t u d e a u v a c c in ./ :\..

NEXUS ,,042

janvler-fevrter 2006

vaccin. I"

Marrin Goldstein, docteur en

rnedecine veterinaire : «Je pen-

se que les vaccins... sont nne

cause majeure de deces des

cluens er des chats en Amerique

aujourd'hui. ,,"

Le Dr Charles E. Loops, docreur

en medecine vererinaire : « Les

vererinaires homeoparhrques et

autres praticiens holistiques af·

firmenc depuis un certain temps

que les vaccinations font plus de

mal que de bien. »12

Mike Kohn, docteur en rnede-

cine veterinaire : «En reponse a

8/7/2019 Nexus 42 - Jan.fev.2006 - Vaccination (Complet)

http://slidepdf.com/reader/full/nexus-42-janfev2006-vaccination-complet 38/69

cette violation [le vaccin], il y a

eu un nombre accru de maladies

auto-immunes (les allergies en

faisant partie), d'epllepsies, de

neoplasies [tumeurs], ainsi que

de troubles du comportement

chez les petits animaux. ) )13

Des assassins secrets

Gary Smith explique ce que les

praticiens de sante observateurs

clament depuis tres longtemps,

mais peut-erre n'ont-ils pas

compris pourquoi leurs obser-

vations les Ont conduits It tenir

d e tels propos. Sa theorie, soirdit en passant, provoque un

enorme rernous au cceur de la

sacro-sainte communaute scien-

tifique, Certains croient que sa

theorie pourrait deboucher sur

un remede a de nombreuses

maladies done Ie cancer. Pour

moi, cela explique pourquoi Ie

processus de vaccination est par

essence contestable.

Gary erudiait l'inflamrnation

dans Ie cadre de ses etudes lors-qu'll est tornbe sur line rheorie

si extraordinaire qu'elle pour-

rait avoir des implications pour

Ie traitement de presque tou-

tes Ies maladies inflamrnatoires

- parmi lesquelles la maladie d'Alzheimer, la rnaladie de Par-

kinson, l'armrite rhumatoide er rnerne le VIH et Ie 5IDA.

L a th eo rie de Gary remer en question I'opinion courante

selon laquelle Iorsqu'une personne rornbe rnalade, l'in-

flamrnarion qui survient autour de la zone infecree l'aide

a guerlr, n affirme que, en realite, l'inflarnmadon ernpeche

le corps de reconnaitre une substance €trangere er sert par

consequent de cachette aux envahisseurs. Linflammation

survient lorsque les cellules it risque produisent des recep-

t eu rs appel es Atl (c on nu s s ou s Ie nom de recepteurs de type

I de l'angiotensine II). II affirme que, bien que lesAt! posse-

dent des recepreur d'equilibrage, les At2, qui sont supposes

supprimer l'intlammation, dans la plupart des maladies, ne

remplissent pas leur r6le.

« On a decrit le cancer comme la plaie qui ne guerit jamais,

declare-t-il. Tous les cancers qui reussissent it se developper

sont entoures d'une inflammation. On pense commune-

rnent qu'il s'agir de la reaction du corps pour tenter de

combattre le cancer, mais ce nest pas le cas. Linflammation

ne correspond pas au corps en train de combattre l'infec-

tion. C'est en realite le virus ou la bacterie qUI en train de

L ' j n f l a m m A t l Q n · @ Q 1 R f i. Q ~ e

I e c o r p s : d , e ' ; ! ~ ~ 9 0 n . § l . } 1 r eune s u b s t a n . g e · ; : ~ t r a O O ~ r f 3 ·

e t s e r t g p r " t ; 9 ; Q § ~ & l : y e p td e cacbet te; , "~1tx.~~rJ¥.~~1~§~:Y~c.~.

causer deliberernent une inflammation afin de se dissimuler au

sysreme irnrnunitaire, ,,14

Si Gary a raison, alors Ie processus inflammatoire si souvent

srimule paJ:les vaccins n'est pas, comme on l'a suppose jusqu'a

present, un signe necessairemenr acceptable. Cela serait plurot

l c s ig n e que le composant viral ou bacterien, au l' adjuvant (qui,

comen,ant une proreine errangere, est vu comme un envahis-

seur par Ie sysrerne immunitaire), present dans le vaccin gagne

sournoisement L a baraille.

5i Gary a raison de croire que la reaction inflarnmatoire n'est

pas protectrice mais revele que l'invasion a lieu dans I'ombre,

les vaccins ne sont certainement pas les arnis que nous ima-

ginions etre, C~ sont des assassins secrets travaillant pour le

compte de l'ennerni, et les veterinaires et les rnedecins font sans

le savoir office de collaborateurs. Pire encore, nous, proprietai-

res d'animaux et parents, payons les rnedecins et les vererinaires

pour trahir a leur insu ceux que nous aimons.

Les vaccins sont peut-etre la bombe secrete du monde medi-.cal, On s'en sert pour catapulrer les envahisseurs a l'Interieurdes rnurs du chateau Iii O U ils peuvent causer des ravages, sans

qu'aucun de nous s'en apercoive, Alors, au lieu d' avoir des

maladies virales franches telles que la grippe, la rougeole, les

oreillons et la rubeole (et, dans

le cas des chiens, ['enrerire a par-vovirus et la maladie de Carre) ,

on laisse Ies virus gagner de route

fa,¥on - mais on se retrouve avec

un cancer, une leucemie et d' autres

maladies inflamrnatoire ou auto-

imrnunes (ou le corps s'auto-atta-que) a la place.

L'assaut final

NEXUS n042

janvter-fevrter 2006

L es v in g t- sep c e co le s vetennaires

d'Arnerique du Nord ont routes

change leurs protocoles de vacci-

- nation des chiens et des chats en

accord avec ce qui suit'P ; cepen-

dam, en pratique, les veterinaires

rechignent asuivre ces

proto colesmodifies et les organismes veteri-

naires officiels du Royaume-Uni

et d'autres pays ne tiennent pas

compte des faits suivants.

Le sysreme imrnunitaire des chiens

et des chats atteint sa pleine matu-

rite It six rnois. Si l'on administre

un vaccin a virus vivant rnodifieapres l'age de six rnois, il imrnu-

nise I'animal, ce qui est bon p ou r sa

sante . Si fon adrninistre un autre

vaccin VVM un an plus rard, les

anticorps du premier vaccin neu-

rralisent les anrigenes du second

8/7/2019 Nexus 42 - Jan.fev.2006 - Vaccination (Complet)

http://slidepdf.com/reader/full/nexus-42-janfev2006-vaccination-complet 39/69

et cela a peu au pas d'effet. Limrnunire n'est pas renforcee et

cela ne produit pas d' autres cellules memoires,

Non seulement les rappels annuels sont inutiles, rnais ils

exposenr I'animal a des rlsq ues potentiels rels que des reac-

tions alJergiques et une anemic hemolytique a mediationimmunologiq ue.

En terrnes clairs, les eccles veterinaires d'Amerique, ainsi que

!'American Veterinary Medical Association, om examine des

etudes pour momrer la duree des vaccins avant de condure et

d'annoncer qu'une vaccination annuelle etair inutilel6-19.

En outre, elles ont reconnu que les vaccins n'etaient pas depour-

vus d'effets negatifs. Le Dr Ron Schultz, chef de pathohiologieit l'universite du Wisconsin et eminent specialiste en lamatiere,

rabache polimem cela it ses collegues veterinaires depuis les

annees 80. Je le repete moi-rnerne depuis douze ans. Mais le

1

I I1

I I

iIJ

j

1

l1ii

III

~!q~

changement tarde it venir et, en attendant, des centaines

rnilliers d'animaux meurent chaque annee - pour rien.

La bonne nouvelle est que des milliers d'amis des hetes

pas assez) nous ant entendus. Fanout dans le. monde,

membres de Canine Health Concern utiliserit lesnaturels comme Ie supreme moyen de prevention des

dies mis it disposition par Dame arure, evitant les "U'"UI;;U,""

eransformes pour animaux et minimis am

Ie risque lie aux vaccins. Certains, donr

moi-rnerne, ant choisi de ne pas vacciner

du tout leurs animaux. En guise de recom-

pense, nous avons des chiens en bonne

sante qui vivent longtemps .•

Dossier traduir par Christele Gulner

publicire --------------------..::11

NEXUS -no42

janvler-fevrier 2006':.'~

8/7/2019 Nexus 42 - Jan.fev.2006 - Vaccination (Complet)

http://slidepdf.com/reader/full/nexus-42-janfev2006-vaccination-complet 40/69

CROP CIRCLES 2005

Une moissonCet e t e encore, pas moins de soixante-dix agrog

d'A ngleterre. D ans celte moisson 2 005 , pa rticu ller

des illusions d'optique, des varia tions su r des m o r 1'/'i"',i'lH,~nt

a I'inverse de I'a ttitude des m edias, tou jou rs aussi achar

'Se!on lapluparr des observateurs, la cuvee d'agroglyphes

2005 s'est averee plus audacieuse et creative encore que la

precedenre. Bien que Ie cru 2004 n'ait decu personne, celui de

cette annee remoigne en elfet d'un nouvel elan d'investigation

caracterise pat des formes en constanre evolution,

On' a assisce cette fois a I'apparition sirnultanee de motifs

nouveaux er d'aurres deja connus, mais traites differemmenr.

On pem parler d'un recul des limites dans la technicite de- ces

dessins, avec d'une part le franchissement de routes (jamais

encore observe, ou tres exceprionnellemenr), et d'autre patt

des illusions d'optique d'une haute precision, ainsi que des

traces plus anguleux, triangulaires ou cristallins. L es motifs

plus traditionnels ont ete pous-

ses Ull cran plus loin, comme

celui decouvert Ie 27 juillet

pres d'Avebury (Wiltshire), en-

semble impressionnant cons-

tirue de quatre croix celtiques

entrelacees,

Angle vifs et fleursbleues '

En regardant ces dessins et

leur ingenlosire srupefiante,

on comprend pourquoi leur

mysrere reste entier, Le spe-

cimen Ie plus spectaculaire

de ce phenornene est peut-

etre celui de Lane End Down,

dans le Hampshire, apparu le

10 juillet: s'agit-ij du rendu

tridimensionnel d'un casse-

tete medieval, d'une particule

Par Andy Thomas © 2005

subatomique genereusement agrementee de petits cercles

au de I'image d'une mine illustrant les attentats de Londres

inrervenus trois jours plus tot?

Comme nous le soulignions plus haur, cetce annee, plusieurs

dessins Ont fait l'economie rotale de traces circulaires. C'est Ie

cas du motif exclusivement angulaire decouvert sur le site de-

sorrnais habitue! de Alton Priors (Wiltshire), Ie 3 aout : meme

les petits«

trous de chevrotine " etaient en realite des canes,Cet ere a rneme connu l'inauguration d'une nouvelle culture

hote : la bourrache (Ileurs bleues et pourpres)dans laqueLle

un agroglyphe est apparu a Ludgershall (Wiltshire), le 3aour,

affrant un spectacle colore inhabituel,

L u kl ey H ill , p res de L ock e r idge, W iltsh ir e,a ppa ru Ie 2 2 j uin,P ho to: C ro p C ir cle C onn ec tor © 2005

NEXUS n042

janvler-tevrler 2006

Toujours I'ombrede 2012 ...

En 2004, une figure avait pro-

voque une grande agitation:

[a tres etonnante et centro-

versee « roue maya ». L es mo-tifs de sa peripherie avalent

suscite beaucoup de specula-

tions, car ils evoquaienr pour

certains. des symboles mayas

prophetisant un changement

majeur pour ran 2012. Cette

annee encore, d'autres forma-

tions semblent puiser dans

ce symbolisme, comme le

trace tres cornplexe apparule

9 aout a Wayland's Smithy,

dans I 'Oxfordshire, II s e trouveque Ie livre tres docurnente et

attendu de Geoff Stray; Beyond

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W a de n H ill, p res d'A ve bu ry , da ns Ie W iltshire, a ppa ru Ie 1 6 ju ille !.

P ho to : C ro p C ir cle C on ne ct or © 2005

H un dr ed A cr es (E as t F ie ld ), A lle n P rio rs, W ilts hir e, a pp ar u Ie 3 ju ille t.

P ho to : C ro p C ir cle G on ne ct or © 2005

S ha lb ou rne, p res d'O xe nw ood, W iltshire, a ppa ru Ie 7 a oot.

P hoto: L ucy P ring le © 2005B oxle y, pres de M aid stone, da ns Ie K ent, a ppa ru Ie 1 7 ju illet.

P hoto: M ik e M ahoney © 2005

NEXUS n042

janvler-fevrter 2006

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A veb u ry T r u slo e, pr es d e B eck ha mpt on, W ilt sh ir e, a ppa ru Ie 2 3 ju in .

P ho to : C ro p C ir cle C on ne ct or © 2005

S av er na ke F or es t, pr es d e M a lb or ou gh, W ilt sh ir e, a ppa ru Ie 3 a ou t,

P ho to : C ro p C ir cle C on ne ct or © 2005

Wo ois to ne H ill, pr es d e U flin gt on, O xt or ds hir e, a ppa ru Ie 1 3 a oct ,P ho to : J aim e M au ss an © 2005

J ugg ler 's L ane, pr es d e C her hill, W ilt shir e, a ppa ru Ie 2 1 a or n,

P ho to : S te ve A le xa nd er © 2005 .

A veb ur y M an or , pr es d 'A veb u ry , W ilts hire , a ppa ru Ie 2 7 ju ille t.

P ho to : S te ve A le xa nd er © 2005

W a yla nd 's S m it hy , p res d 'A shb ur y, O xfo rd shir e, a ppa ru Ie 9 a ou t,

P ho to : C r op C ir cle C on ne ct or © 2005

NEXUS n042

janvler-fevrler 2006

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Avebur y Henge, p res d 'A vebu ~, dans IeW i lls hir e, appa r u I e 24 j uille t.. Photo.: Crop Circle Connector © 2005

2012 [Au-del a de 2012] (cf http://www.vitalsignspubLishing.

co. uk) est justernenr sorti cet ere, ce qui n'a pas manque d'anirer

l'artention sur la relation entre les agroglyphes et le phenomene

2012. Une photo du mandala de Wayland's Smithy a merne ere

publiee dans un quotidien national (Sunday Express du 14 aout),

accompagne d'un article sur 2012 et les ca lendriers antiques.

La bite noire des medias

En depit de ces observations, la polemique sur Ia part d'inter-

vention humaine persiste, Et malgre I'lngeniosire et la precision

manifestees dans les champs, les medias anglais s'obstinent atenter de convaincre l'opinion que tous ces graphismes sent

l'ceuvre d' artistes industrieux laborieux arrnes de planches.

Le Daily Mail du 15 julllet, qui publie chaque annee les phoros

Ma rden , p res de Ch ir ton, W i lls hir e, appa ru I e 9 aou i.Photo: S teve A lexander © 2005

des nouveaux agroglyphes tout en verrouillanr la question de

leurs origines, a touche Ie fond de I'abjection avec un papier

intitule Corn Blimey [N.D.T. : calernbour sur Coo blimey !

equivalent a« merd e a lo rs ! » , lei corn = ble], afflrmant sans ver-

gogne que les agroglyphes « avaient jadis ete artribues a des ex-traterrestres, mais que l'on sait aujourd'hui qu'ils sont l'oeuvre

rafflnee d'humains utilisant line technologie informatique » !

Toujours en juillet, dans une serie relevisee sur Ie theme de

I'influence, a travers les ages, du paysage anglals sur la creation

artistique, la BBC a mis en scene un groupe de personnes s'ef-

forcanr de fabriquer un agroglyphe. Bien entendu, I'emission

s'est abstenue de signaler Ie caractere inexplicable du pheno-

mene, presentant au contraire les manipulateurs de planchettes

comme Laseule explication du mystere.

Ma rden, p res de Ch ir ton, W i lt ire, a pp ar u Ie 2 0 a ou t,Photo: S teve A1exander@ 2005

Un public de plus en plus passlonne

En depit de ce scepticisme et de sa rherorique, I'engouement

pour les agroglyphes n'a pas faibli et les champs du Wiltshire et

. d 'au tre s regions ont ete abondammem visites, tant par lestou-

ristes que par les chercheurs. Lesymposium de Glastonbury -Ia

plus ancienne de routes les renconrres « crop circles » - a afflche

complet plus tot que l'an dernler er s'est trouve agrernenre, it

quelques sernaines, voire quelques jours d'intervalle, d'au mains

quatre evenements majeurs en matiere d'agroglyphe.

Un des graphismes les plus complexes de 2005 resrera Ie man-

dala extraordinairement detaille apparu le 13 aout non loin

du celebre cheval blanc de Uffingron, dans l'Oxfordshire. Son

motif concentre a lui seulplusieurs themes de la saison,

Le bouquet final s'est joue le 21 aout avec l'emblerne du sea-

rabee, ingenieux et decorarif d'AJron Priors er, la meme nuit,

l'a lignement precis d'hexagones de Cherhill, II s' agit la des der-

NEXUS n042

.janvler-fevrter 2006

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Wat l ing ton Road, p r e s de Chalgrove, Oxford.shire, apparu Ie 22 j ui n.Photo: Andrew King © 2005

niers agroglyphes releves au moment de la redaction de cet ar -

ticle. LAnglererre a donc recu environ soixanre-dix motifs certe

annce, C'est moins que certaines annees, plus que d'aurres, er

assez proche des soixante-dix-sept enregistres l'annee derniere,

Simultanernent, d' autres pays ont recu leur part de dessins

ingenieux. Dans certains d'entre eux cependanr, comme I'Alle-

magne, les auteurs semblent etre revenus It des graphismes plus

eiementaires, It l'exception d'un pictogramme dans Ie fameux

style de ceux de 1990, apparu dans ce pays. On a assiste 11

plus de complexire en Italie, en Pologne et merne en Russie

(ou des sciendflques auraienr declare, selon les medias, que

Ies agroglyphes etaient le produit d'impacts de foudre). Mais

Boreham Down, pres de Lockeridge, Wiltshire, apparu Ie 2 .2 juin,

Photo' Steve Alexander © 2 0 0 5

la terre de predilection du phenomene demeure sans conteste

I'Angleterre dont les champs se volent ornes et honores des

plus beaux dessins.

Ainsi, le phenomene, avec ses mysteres, ses paradoxes et ses

controverses, se poursuit sans relache, et les questionnements

interieurs qu'il inspire poussent de nombreuses personnes vers

des perspectives nouvelles. Souhaitons qu'il en soit ainsi encore

longcemps, au rnoins jusqu'en 2012 ...•

A propos de I'auteur I

Andy Thomas est t'un des principaux chercheurs au monde sur Ie sulet. II

est I'auteur de cinq livres, dont Vital Signs, consioere comme Ie guide te

p lus fondamental (h ltp: l!www.vi ta ts ignspubl ishing.co.uk). Une nouvel le

edition de cet ouvrage est en preparation pou r 2006, Andy est egalement

edUeur du site web Swirled News http://www.swiriednews.com. I I peu t

etre joint sur: [email protected] ou par courrier: Swirled News

Southern Circular Research, 3 Otd House Courtyard, Southern High

Street, Lewes, East Sussex BN? 1HT, UK.

Recher~he sur les crop ci rcles: quelques contacts I• Steve Alexander: ht1p:/lwwwJemporarytemples.co,ukl

• Cotin Andrews (CPRI): http://www.eropcircteinfo.coml

• Crop Ci rc le Connector : http://www.cropcireleconnector_com• Dutch Centre for Crop Ci rc le Studies: ht tp: //www.dcces,org

• Lucy Pr ing le : http://www.lucypringte.co.uk/

• Freddy Silva: http://www.lovely.ctara.net

• Busty Taylo r: http://www.busty-taylor.com

• Andy Thomas: http://www.s_wirlednews.com

• Paul Vigay: http://www.cropcircleresea-rch.com

Pl lb l ic i te

Retrouveztoute la collection

d'ouvrages sur les

CROPS CIRCLES

dans la boutique

-NEXUS n042ja nv ie r -fev r ier 2006

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STOIRE

ANTARCT IQUE 194ti <

La guerre sec

A I ' i 55 u e d e J a S e c o n d e G u e r r e m a n d i a l e , le s B f i t " ' " ' ' ' < - .' ' ' - - ' ' ' ' '

d e s in f o r m a t io n s s u r l a mysterieuse b a s e d u N ew S ch w a b e n la n d , un c o i n

a n t a r c t i q u e s d e s t i n e a recuetlllr I e s survivants d u lW R e ic h . S i. H e s s , G o r

s o n e x is t e n c e , I 'a m ir a l D o n i t z s e m b la i t I e p lu s a u fa i t d e s a c t . v i t e s d e c e

9 o u ve r n e m e n t s .

A la fin de la Seconde Guerre moridiale, les forces

britanniques controlaient le nord de l'Allemagne ainsi que

les ports situes dans leur secreur, Selon rome vraisemblance,

elles allaient capturer la plupan des dirigeants nazis. Les

Britannlques se trouvaient idealernent sirues CaJ: la Russie

s'interessaitsurtout a Berlin et les forces

americaines

etaient largement posrees dans

Ie sud de l'Allemagne O U dies

enquetaienc sur la supposee

« forteresse alpine », La

Grande- Breragne n' avai r-elle

pas reussi, quatre ans avant

la fin du conflit mondial, it

apprehender Rudolf Hess, Ie

suppleant du Fuhrer SOllS le

III' Reich? II aurait e t e le

nazi le mleux inforrne It ce

moment-Ia,

Rudolf Hess arterrit en Eeosse

Ie 10 mai 1941 afin d'obtenir

un entretien avec Ie due de

Hamilton. Ses projets de

pourparlers de paix furent

rapidement rejetes, Ce refus

marqua Ie debut de quarante~

six ans d'Incarceration.

Ja mes R ob ert © 2005

Christof Frlednch", certains pensent que« Ie tres important

dossier de l'Anrarctique avait ete confie it Hess». Qu'i!

s'agisse d'un dossier manuscrit ou d'informations qu'i!

avait a Fespru, il est certain que Hess, en rant que dauphin

du Fuhrer, devair connaitre les intentions de l'Allemagne

nazie

apropos de l'Anrarcrique.

Mis hers jeu pour cause

de " demerice » aussi

bien par Hider que par le

gouvernemem: brirannique",

Hess a certainement vu se

restreindre sa capacite a exercerses nombreuses responsabilites

au sein du parri nazi et du

gouvernemen t.

Pourtant Hess etart Ie chef

de l'organisation des affaires

er r an g e res (co mrn iss aire

de la politique errangere)

commissaire de l'ensemble

des affaires et des poiiriques

universitaires, comrnissaire de

l'organisation et des affaires

technologiques ainsi que

dirigeant 'du Bureau de la

pclitique raciale!'. Bref, iletait

meie a tout. II etair egalement un membre acrif de la Societe

de Thule et son interet pour l'Antarctique erait a la fois

personnel et professionnel. Hess, en aviareur passionne,a profite de son rang dans le pard nazi ainsi que dans la

Societe de Thule ann de rencontrer Richard Byrd, charge

de former Ie personnel de l'expedition allemande en 1938.

Grace It ses reseaux, Hess aurait eee lnforrne des decouvertes

realisees dans Ie Nouveau Schwahenland. Byrd faisait figure

de legende vivante dans le monde entier pour avoir survole

Ca rte d u N ou v ea u S chw a be nla nd , e n Ant ar ct iq u e_

L'emprisonnement de Hess est un des mysteres les plus

debattus de la guerre. Selon certains, il fur ernprisonne

en raison des- torts que ses revelations auraient pu infligera la monarchic brirannique, Selon d'aurres 'personnes, le

refus de son projet de paix cofeta a la Grande-Bretagne de

nombreuses penes terrrtoriales, rnaterielles, financieres et

humaines. Hess ayant ete reduit au silence, les Britanniques

11'eurent jamais connaissance des terrnes du plan de paix et

ne purent jugee de son inreret. Toutefois, aux dires de

NEXUS n"42

janvler-fevrler 2006

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les deux poles, Probablernent I'explorateur polaire Le~le~ se donner la mort. Neanrnoins, il est tres probable que la

inforrne d'alors, illivrait ses vastes connaissances et les 8;ftails'" '"._ Grande-Bretagne ait obtenu les informations derenues par

de setSexploits aux nazis. ;~"" . HimmIer en interrogant son entourage sans relache. Quelle

1 /; ILes conseils de Byrd et, en fin de compte, a reuss1fe de;, que soit leur nature, el es se trouvaient desormais entre

l'expedition visant a revendiquer le Nouveau Schwabenland Ies mains des Briranniques sans que ceux-ci ne se volentont convaincu les nazis d'y fonder une base viable. Le v91 de conrraints de detenir un des hommes les plus ignobles

Hess et sa caprure finale quelques annees apres I'expeaition d'Europe.

allemande etablissent que ces projets avaienr ete lances. Himmler, decrit par Albert Speer comme « mi-excenrrique,

Sa positign-p.dyiJegiee d'adjoint au FUhrer et son rang « " " " ' - " mi-inst~tute~r "14,, a~.a1~t1lRs~!~,passer,du statut d'~leveur

important danJla Soci~~ede Thule qui financalt l' expedition ~,; de volailles a~lu; .d h9mme lept%,.cramt et le plus insulte

d6ulontrent, ainsi':<lve I e : rapportait le journalisre canadien" ;. d'EuroI1t\o en;'qdso,n de son syst:~' e,de terreur qui amena

Pie~~~n Paasen peu apres le vol de Hess, qu' « il n'exlstait le meurtt¢ a graride echell~~."~rang );d'une Indusrrie, et en

aucun proJeqnilitaire au secre.t important du Il.l" Reich dont raison <J,e';safldele org~u'-s'iriion para ~ilitaire, les S5., . , . - » L ' l i ; _ ' . , .

iln'etait pas a u courant» 12. {, ~..... '~ .' .:<>,,;;:,,-' . ' JSUf,,,.,ses quarante-six annees --J"~_,', ' '. t.a.qu e....- . t : . ' , . . .,'.,··~d-;e-;~I;h'fe'rl·tagearyend'emprisq.l'!pement, Hess passa '1....', ,,""les quatre' premieres entierernenr

sous le c9~,i; 'ale deM jUrip.iction

britannique. Let secrets",q,u'H

devoila alors, bien que reJeres

par le gouvernement britannique

et au proces de Nuremberg pou;

cause de « demence », furent r r i kA··'~ ~'Ky~ _,__

au serieux dans \ t u : lqU¢$, ~pheres,

surtout qu1iiH, a la fr tL~;1ag~erre,les Britan;ligues eurenc capture la

.•~. ~¢t~ ~

plU:~M~A~snazis de haut rang.

Malheure~sementvHess ayao.t ete

il1 Carcere. j ~ _ 9 1 f a ; ~on«shblfde"

sirspect;~,' 1987, a J.l'~~ de

qilaF~ 'vTngr-dix senr afsl~ ~touseOf ., " ' i t

les elements }7 " C(oncelkam sont

gardes secrets !finsi que Ie veut la

raison d'Enit brirannique et ils le

resreront certainement. Seules des

preuves circonstancielles peuvent

~tre utilisees pour estimer I'erendue

des lnformations detenues par Hess

it propos du refuge antarctique.

Heinrich Himmler, chef des 55,

fut capture le 23 mai 1945 par les

Britanniques. Bien qu'il reussit ase suicider en avalant une capsule

de cyanure er it echapper ainsi aux

intenogatoires, son entourage n'eut

pas ce luxe. Himmler fur qualifie de traicre par Hitler pour

avoir essaye de faire la paix avec les Etats-Unis et la Grande-

Bretagne. Mais etant donne que Rimmler n'avait rien arnarchander et que son terrible passe le condamnait a uneexecution cerraine, aurait-il pu offrir aux Britanniques les

informations desirees dans l'espoir de s'enfuir ou, au pire,

d' echapper it la pendaison ?

Malheureusernent pour Hirnmler, il n'avait aucune chance

de sursis, car Doriirz avait e r e apprehende Ie merne jour;

iI etait donc devenu inutile. Degoute a l 'idee d'erre rraite

comme un simple soldat, il declina son identite avant de

~ ~ ~ " f ~ Sin~ssions de l'Ahnenerbe, que

rUmmier autorisait dans le but de

rechercher « l'heritage aryen ancestral > ,

dans des regions lointaines telles que

Ie Tibet, l'Egypte et l'Irak, ou merne

'proches comme les 'lIes anglo-

demandaient une somrne

le de recherches, Et bien

antarctique de 1938

le controle de

IIaurait merne

d'€tP~ informe des decouvertes

au de la survie du my the de

I'heritage aryen.

Pourtant, que savait Rimmler que les

services secrets britanniques ignoraient

encore a Ia fin de la guerre? Ce

point est sujet a debar bien que les

resultats des nornbreuses missions de

l'Ahnenerbe n'aicnt pu etre estimees

par les Allies, Bien que le Dr Ernst

Schafer, qui avait mene l'expedition

tibetaine, ait declare que «Himmler

avait de bien erranges idees »15 et qu'ils

« pataugeaient tous dans l'occulte ,,16,

cela n' a' pas rernis en cause la validite ou I'absurdite des

recherches et des preuves recueillies,

Himrnler echappa a la corde de !a meme facon que Goring,qui absorba aussi du cyanure la veille de son execution.

Les pilules auraient-elles pu etre fournies par les services

secrets britanniques en echange de renseignements? Hess,

Himmler et Goring ont tous pu « se suicider » en detention,

deux d'enrre eux etant entre les mains des Britanniques it ce

moment. Les trois « suicides » sont entoures d'un halo de

rnysrere d'autant plus que ces trois homrnes auraient detenu

des informations sur I'Antarctlque.

NEXUS n042

janvler-fevrler 2006

8/7/2019 Nexus 42 - Jan.fev.2006 - Vaccination (Complet)

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Bien que capture par les Arnericains, Hermann Goring en

savait beaucoup sur lesexpedtcions allemandes en Antarctique

de 38~39 et de 39~40 qu'il cornmernora d'une medailleet qui

vanta Ie " succes allemand» aux yeux du rnonde.'?

Goring, deteste pour son egocentrisme

Goring fu t longternps le numero deux du parti nazi,

pounant u reussic a tromper la rnorr et la justice dans

les circonstances les plus mysterieuses, Fils d'un officier

des colonies, Goring etait ne dans l'opulence. II s'rllusrra

cornme aviateur pendant la Premiere Guerre mcndiale

et fut abondamment decore, II rejoignit Ie parti nazi en

1923 et prit part au putsch ou il gagna les faveurs d'Hider

mais o u il fut egalement blesse a l'aine. Suite a cette

blessure, il devine dependant de la morphine, ce qui. aurad' impo nan res consequences.

Le rnadage de Gi:iring avec une femme riche et influente

l'aida a consolider sa position au sein de l'elire. Ses

relations dans fa haute societe aiderent le pard nazi bien

plus qu'aucun defile rnilitaire. En 1932, Goring fur elu

president du Reichstag mais, rnalgre sa popular ire, son

egocentrisme, son ambition et son avidite lui valurenr de

nombreux ennemls,

II devint l'un des hommes les plus riches d'Aliemagne,

amass ant pratiquement to ute sa fortune. lors des pillages

nazis. En 1936, il aerelgnl r le sommet de sa carriere au sein

du patti nazi en devenanc le dauphin manifeste d'Hider,

Pourtant, sa popularite n'etait toujours pas au plus h a w : ~

il due artendre le s.lJcc.es· q.E;:I':Ailem~ne AU momem a u·_fte-ItJri:niem d e l~llerre-etlair menee centre Ill.Pologne~~ ,

pour connaitre ce brefhonneur. Cer.el!_danr. sa roxicomanie

com,,~~np~~,!h~5;t sonJ.~em.e~~a rep~{3[ion au sein

de~he1it"b '&~ .< , ':l ..fLesp-;;mieres victoir -··allt.m~:BA~ cnt fait ~e.nre.Goringd I,· d'Tl"tl .< ~." i?* d dernians est!me· nl er mal .mconstance e ce . erlller

changea ~efetat de fait. Quand I'armee de l'airallemande,~ . . . , 'w .·\lom l.Joring etair le commandant, perdir la basaille de

< o J <

Grande-Bretagne malgre une s\.Ip6dunte numeriq_ue,. a

. , . -'

perdit la faveur du Fuhrer,' II se conso <!:".alors avec la

morphine er sa'fortune - u s u r . I f e.-En'194l;3, G6mng., ne: faisai t plus partie de la direction du

jl~ti~, II trait mal vu, completemene drogue et vivait

-]m;<%:ra""rlquementreclus. Toure information ernananr de lui sur

les plans de survie nazis aura it ere conresrable, Tourefois,

il es t tres probable qu'jl air pu devoiler aux services

secrets americains de nornbreux renseignernents relarifs Ii .

l'Anrarctique (reccltes pendant la perrode ou il frequentait

I'elire) pour que ceux-ci prennent en compte l'evenrualire

d'une base nazie en Antarctique et agissenr, De pius, ceux-

ci auraient eu vent des rurneurs concernant les decouvertesbriranniques a ce sujet.L'operation Highjump fur lancee l ' e t e suivant Ia cloture

du proces de Nuremberg, inais il est fort possible que

les Arnericains aient manque le coche car le nazi le

S elon la S ociete de Thu le

et l' e~ote( i§me"J)~~i~fa te rr e s e r a i l creuse.. " ' " " "

at abrit~~aitunscivllfsati~~S u p e l '1 B u r e " J , t y B I1 F le .

Byra. .aura ITsurvole I ' Q J w e :

antarct ique de~a~~1r:~~

!(/."..~ ,-."'

._ _.& ~~ '- ~~ <- "'- w. .

~mi:~ du moment, le grand arniral Karl Donitz,

avait deja ere longuemenr interroge par les Britanniques .

Y aurait-il eu un accord secret conclu entre Karl Donirz

et Ies Britanniques? Si nous considerons les faits, certe

eventuallte semble plus qu'envisageable.

Mourir en naz;1

Apres la mort d'Hit!N, le grand amirai Donia. avait herite

du conrrole de 1'A11emagne naz.ie, Chaque sons-marin,

navire et port encore entre les mains des Allemands etait

sous son cornmandement,

II aurair ete le parfaitsuccesseur pour orchestrer

une fuite racrique, c'est-

a-dire une fuite assurant

que les morts Allemands

NEXUS n042

janvier-fevrter 2006

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et les recherches entreprises ne l'avaienr pas ece en vain et

sernant ainsi les prernices d'un IVe Reich.

De nombreux nazis choisirent de rester, se condamnant it une

mort certaine, bien que la marine filt dotee de la plus grande

floue de sous-marins de l'Atlantique et malgn~ sa volonte decontinuer Ie combat depuis la Norvege. Ces nazis avaient bien

un endroit ou se refugier mais nombre d'entre eux prefererent

faire figure de martyrs au service du projet superieur en jeu :

l'ernergence d'un IV Reich.

Quisling voulait rnourir en nazi et ne manifesra aucun

remord, cornme tous ceux qui furent pendus it Nuremberg.

«Je croyais me battre juste et j'ai refuse de fuir

peu apres leur chute

en lieu

avait seulernent

guerre legale et qu'il ignorait tout des

atrocites « nazies». II affirma egalement n'avoir jarnais eu

connaissance de la ({solution finale ») .

Albert Speer detestait Ie nazisme et se repenrair done de son

role dans le III' Reich. Pourtant il fut condamne it vinge ans de

prison! Donitz, quant it lui, voulait que la marine suive corps

et ame les desseins nazis. II Ie desirait tellernenr qu'i1 emit une

directive le 14 fevrier 1944 ordonnant it ses officiers de ne pas

simplement accepter le nazisme mais de l'ernbrasser :

« Le corps des officiers dans son ensemble doir etre tellement

en doctrine qu'il se sente coresponsable de l'Etar national-socialiste dans son integralite. Lofficier est Ie rempart de fEtat.

Les verbiages infondes selon Iesquels I'offider n'est' pas

politise sont cornpletement absurdes . .,18

annees suivant la fin

par les declarations ecrites pat

1947, dans la prison de Spandaui integrire

et sa fiabilite su r le plan personnel,

cas reconsidere son opinion d'Hirler. A ce jo .

toujours son commandant en chef. )) 19

Dans la derniere declaration politique d'Hirler, i] appeUa

les nazis « a n'abandcnner la lutte en aucun cas et it Iipoursuivre parcour ou ils pourraient se trouver

confrontes aux ennemis de la patrie.»

Hitler designa ensuire ses successeurs

apres avoir denonce les rraltrises de'

Goring et de Himrnler : « Je nomme

le grand amiral Donin president au

Reich et Commandant supreme de

l'armee.?" ))

Hider avait choisi son plus loyal offider

mili taire er, a ses yeux, la seu le perso nne

capable de restaurer la suprernarie

du Reich.Ainsi que l'a eerie I'erninent historien

Chester Wilmot: « L'importance qu'Hirler

accordait it la conservation de ces bases

NEXUS n042

janvter-fevrier 2006

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de sous-marins refletait le pouvoir grandissant de Donirz qui

, d e v r h t .rapidemenr son plus influent conseiiler". }). . 1-

, Donio/ avait les faveurs d'un Hitler fascine par les nouvelles

, ; < cap_aci,tes des$submersibles a inverser la tendance dans._ ,;.' . ~. . . "

r,'lCrA~~ique. "Au debut de i'annee 1945, ils s'entretenaient it

f\ l:e ;b.j~·tpri"sque/wus les jours ».22 Les nouveaux sous-marins

, - z t · , * pou~t faire IE\roy~gede l'Europe jusqu'a l'Amerique du Sud,,:,':' ou~.Nitarctique d'u'nt'<raire, les chances d'evacuer une partie

~,b . cle;~ :machine de gu~rj%.<~azies~:it ; C i u : ~ .ent veritablemenr.au~t-~l~tees ainsi q~e ~a P'~:Sibili~~4f; faire*:tf:aceaux flones

bn~ll;tllques et amenCalllrrr' '.~ ;.' ' ! .Lqt! .~e la eonference;~nwaleclil Fuhrer le 3 janvier 1945,

d J i l i t z vanta les nou,~eaux so1is-marins et leurs schnorkels* " i: ! ' ~ J_

cat: It s pouvaient « remporter des SUCCtS dans des eaux O U

I'Jt!~magne avait du cesser le s operatio~'' 'plus de trois an s

apJ!:iravant. » ' .L",:~,",'~r #~ '0'

l , : ' »: .' .iUne flotte sous-manne tmpresslcnnante. / ; t , .,>(#<~ .

'C)j J~sene qedannion de Donirz n'avait den de surprenanr :

;.:.< ':~en 1943 deja, u affirmair que les: nouveaux sons-marins

crieraitlnt « des opportunites totalernent inedires ::3. Cerre

ernphase revelair qu'Hitler avait ordonne la construcnon

.' ·,~d~*~,;uS;111aJ;iJ.1JdeDonitz en priorite.

';. bi;loi que poriZi~ftt",Je~ dirigeanrs nazis aux no eaux

'>\isUh;rie,rsi~les ne faiblit jarnais, rnerne lorsque Ies soldars

"f1~1;_!lSSeSp¢nerrerent en masse sur Ie sol allemand. Le 6 mazs

\·.;1945, G~ebbels evoqua les sentiments de l'elite nazie :

;'}:ech,,~collstinfe . un ~g~nd espoir pour nous. So;:

subinersIbles doivehf l .t eP{pli :t . une rude rache, rnais OL!

. pellt pens'er""~\t:etant do~;;S "I.l,lelesnouveaux sous-marins

entrent en acd-9'n~~.debien meilhiqrs resultars devraienr rueatreints compares, i'€eux des andeliJi. »24

Goebbels consigna d~1ilsJon carn.~t. de guerre com bien

les dirigeants nazis etaie~-r-r~vis: ,,,,Ii est evident que

la renaissance de notre fl~i.te,~pus.-marine a fair grande

impression sur la guerre,» C'~~ait)e 28 mars 1945, un

mois seulemenr avant son suicide cause par un prerendu

d' . "., ~.'%'esespOH !' ..t,1. :

Donitz, ''"~t( rant R:g:e'''deu~i};;n'' homme d'Hider apres

Goebbels, "co~-{haissait les prans; des nazis concernant

l'Esr e~:1~s'5amps de concentration. Er bien que certainshistorreris suggerent qu'il n'aurait jamais du eue juge

cornme'tcrinrmel de guerre, au vu du nombre de preuves

attestant Ie contraire, le seul point etonnant de la sentence

prononcee a Nuremberg contre lui est sa duree. Sa peine

,.~tait legere en raison des informations inesrimables qu'il

.;vait fournies aux Allies, d'autant plus inestimables qu'il

%:savait tout des mysterieux sous-marins eparpilles a travers

'f e monde apres la guerre.

' - : 6 La Grande-Bretagne ayant apprehends Donitz, elle fut la

' ' ' ' ' ' ; ¥ j principale beneficiaire de ces renseignemencs. De plus, son

J ':~;arrestation du 23 mai 1945 etant sa deuxierne incarceration

+ f " par les Britanniques, ceux-ci savaient comment l'intereogert« afin d'obtenir les reponses souhaitees.

En 1918, dans les demiers jours 'de la Premiere Guerre

mondia1e, Donitz avait ete fait prisonnier par la marine

britannique. II fut envoye dans un camp de prlsonniers de

guerre puis rransfere a l'Asile d'Alienes Royal de Manchester .

A la suite des examens psycholagiques complets, ilfur declare

'(dement ,> fut soigne pendant un an. .

Si Goebbels decrivait Donirz comme « un calculateur rres calmeet realiste »25, son sejour a l'asile lui aurait laisse des sequelles

'-""., qu('luraient. ressurgi face a une menace d'emprisonnement .

:<#Citte pew et sa loyaute envers I e I Il< Reich Brent qu'Il n'avalt

r d'autre choix que de repousser la notion de reddition quand,

le 1'" mai 1945, iI apprit qu'il succedait a Hider. Puis, Donia

" annonca a l'arrnee :

« Je continuerai la lurte contre lesBriranniques et IesArnericains

aussi loin et aussi longtemps qu'ils m'ernpecheront de mener abien le combat centre le bolchevisme. »26

Donitz etait aux cornmandes d'une flotte irnportante et d'une

a rm ee a ss ez c on se qu en te pour causer de nouveaux problemes

aux Allies. Cette annonce consriruait done une menace queles Allies de l'ouest en particulier, prirent vraiment au serieux,

lis se rendirent alors compte que Ia paix etait loin d'etre sure

et que la « reddirion incondirionnelle » aurait peut-erre besoin

d'etre reexarninee.

L e jour suivant la declaration de Donitz, le London Times

conseilla la prudence: « II se pourrair que Donirz rassernble

des forces suffisammem irnportantes pour nous creer des

problemes. Lesprir combarif de la marine est rem etre encore

~ITenL. Ln nombre considerable de sous-marins sont bases

NEXUS n042

ja nv i er -fev r i e r 2006

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en Norvege ou I'ennerni compte egalement 200 000 vehicules

terrestres et quelques centaines d'avions, Il est par consequent

probable que Donitz envisage d'y organiser son opposition

plurot que dans Ie Reich envahi au 1a forteresse alpine

desormais rnenacee au nord cornrne au sud. II pourrait differerun peu sa decision rnais ne pem la modifier? »

Ala lumiere de la promesse deDonitz de continuer le combat,

de l'Importance des forces encore sous son commandement

et de la peur des Allies, une parr comportant des garanties

pour rous les camps, aurait-elle pu etre conelue ? Donia

pouvait demander la reconstruction de l'Allemagne (et non

son humiliation, comme a Versailles), Ie combat des Alliescontre la propagation du bolchevisme et l'indulgence, si ce

n'etait la clemence, des vainqueurs, II aurait par la meme

occasion reclarne que son passe de guerre soit blanchi

en echange d'une reddition rotale et de renseignernents

exrremement sensibles. Une semaine seulemenr apres avoirannonce que 1~ guerre coritinuerait tam qu'exisrerair le

bolchevisrne, Donitz ordonna la reddition de tomes les

forces allemandes.

Le passe de D.onitz a ete efface

Tous les faits indiquent que Ie passe de Donltz a ere efface

et, sans aucune raison, il n'est touj 0 UfS pas considere par

les historiens du courant de pensee majoritaire comme

ayant ere un acteur important de 1'Allemagne nazie, La

clernencea ere appliquee avec une peine vraiment

courre,

la menace cornrnuniste a ere comprise par les Allies et

I'Allemagne de l'0uesr est nee des cendres de mal 1945 pour

devenir le moteur de l'Europe, la pluparr des entrepr ises

qui avaient finance le parti nazi ayant forme d'importanrs

conglomerats.

Plutot que d'appeler a une reddition allemande et clore

les hostilites en Europe, Donitz continua d'exercer sa

fonciton de president d'Allemagne pendant trois semaines

supplem enraires. 1 1 ne fut arrete que Ie 23 mai 1945 par le s

forces britanuiques.

Donitz, qui fut ernprisonne it deux reprises par les

Britanniques et qui n'adrnirait pas leur tradition navale

(ceux-ci ne firent rien pour erouffer Ia haine qu'Il vouait

a la Grande-Breragne), etait Ie seul it connairre l'exacte

situation des sous-marins nazis parmi lesqueis le nouveau

et redoutable submersible de type XXI. II etait egalement la

seule personne qui aurait pu localiser la base du Nouveau

Schwabenland etce qui avair e t e rransporre la-bas et ailleurs.Avec des informations aussi precieuses pour [a securite

mondiale, Donitz pouvait choisir de divulguer autant de

renseignemenrs qu'il le souhaitait ; qu'Ils soient minimes ou

incomplete, leur valeur derneurait inestimable.

Donia etait une personne impressionnante qui, au debut

de la guerre, avail incerpelle Hitler par son caractere loyal et

visionnaire. II recut, comme il conveuait, sa recompense Ie

3 I janvier 1943 quand it fuc promut Commandant supreme

de la marine. Lors d'un discours inaugural adresse it l'elite

des officiers, Donitz declara que « Ia florte sous-marine

allemande erait Here d'avoir construit pour Ie Fuhrer, dans

une autre partie du monde,un

Shangri-la, une forteresseirnprenable »1$.

Ces paroles impressionnanres renforcerent l'allegeance des

otficiers ainsi que 1a flerte d'Hitler et de la marine de

guerre. Elles se repandirent au sein de cette derniere avec

allegresse, car tous ceux qui les entendaierit croyaient en

cette posslbillre.

Lors de mes recherches sur les mysreres du III' Reich, j'ai

rrouve chez un Allemand de l'Est ayant servi dans la marine

nazie une source d'informations de premiere main sur le

Nouveau Schwabenland. Void ce qu'il dec lara :

« L'Europe etanr en ruines et la Norvege, rotalement sous

contr61e allemand, le Nouveau Schwabenland devint laseule base viable pout rnener des operations. Quand il fut

decide que la reddition -eralc la meilleure solution pour

la nation allemande, ceux qui [e pouvaient partirent et

saisirent leur chance a bard des sons-marins. L'Antarctique

etait un secret mais des rumeurs persistaient et, seuls les

plus impliques le consideraienr cornme un refuge.

La plupart de ceux qui connaissaient reellernent Ie Nouveau

Schwabenland n' ont pas vu la fin de Ia guene, quant aux

autres, ils ont majorirairement ere executes, envoyes au

goulag ou se sont suicides... Seuls ceux Captures par les

Britanniques se sont rnieux debrouilles mais, apres les

interrogatoires, ils ne devaient plus jamais mentionner leursexploits de guerre. La menace de voir leurs liens genants

avec fa guerre rernonter a la surface et leur faire du tort fit

taire les Allemands et aida les Allies a effacer la verite. ,,29

NEXUS n"'42

jarwler-tevrler 2006

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n .re fu g.e s ur p ou r H itle r

suggerer

nazi en Antarctique fu t

plaisanrerie par de s gouvernements

mal it l'alse, Meure ce sujet sur la table voulait done dire ;;e

ridiculisez

Cependant, les discours de D onirz am laisse assez de prem -es

pour que certains suspectent q u'une pag e de 1a Seconde G Ih."rR

mondiale a e re effacee, En 1944 i. l annonca :

«L a marine allemande aura une g ran de tac he it accomplir. El;;-

c onnait rous les recoins de s oceans et par consequenosi e e l s est

necessaire, iI sera rres facile de mente Ie FUhrer en lieu sUr; Ja it

pourra uavailler a so n projet final. ,,;0La m arine de g uerre a beauc oup voyage; e lle f ut l oy ale a s a c au seet audadeuse. En effet, les so us-m arin s a llem an ds se ren dire nr

frequemment sur la cote est d e l'Am eriq ue , v oy ag eren r SOllS la

cartes

l'Anrarctique aloes qu'en meme

temps, elle exprimair ouverternent,

avec Ie Chili, l'A rg entine et d'autreS

nations, ses griefs. a propos du projet

de I'operation Highjump. Laide d e la

G ra nd e- Bre ta g ne ( do nt les cartes etaienr

semblables aux plans norvegiens utilises

pa r I'espedrdon allemande antarctique)

s'a-'~ i :n s u f f i sa m e . . L e s in fur rnarioIl5 fournies par Donirz er lad.=xrion probable du .:\oU\'eau Schw abenland par les forces

b:i;::mf'iqlli:S signifiaienr que Ia Terre de la Reine Maud (Nouveau

SdTI'•.menland) n'avair pas fait l'o bjet d 'u ne reconnaissance

approfondie p ru : I es Amer ic ai ns , C et te omission ne s 'e xp li qu e p as

bien q ue beaucoup ant ernis des hypotheses. Ilest probable q ue

f a cause en soit l'explorarion.protonde que Ie territoire avait subie

auparavant.

Des tr uc tio ns d e p re uv es

On ne peut s'empecher de se demander si ce rre serait pas laconsequence de l'exploration de s Briranniques, qui n'auraienr

rien laisse aux Ame ri ca in s. Ne an rnoin s, I'operation Highjump

aurait recnpere des p reuves de l'exisrence d'autres bases. Pourtanr,

comme p ou r les ex ped itio ns britanniques, il sem ble q ue les

veri tables conclusions d e cette operation aient ere supprimees,

Donirz etait le seul a d ete nir c erta in es informations su r

I'Antarctique, mais ses revelations sur I es p or ts de sous-marins

et sur la connexion entre l~ Norvege et Ie p ole Sud eclairerent

davanrag e l'affaire antarc tiq ue oubliee. C ependant,alors q ue

! 'import a. nce de la Norvege pour Donirz, Hitler e r la m arin e etait

notoire, ce rt ai ne s de s veri tables raisons de l'invasion de la Norvege

le sont m oins, cela ajoutant plus de m ystere a l'h isto ire d e la

Seconde Guerre rnondiale et du front antarctique. _

NEXUS n"42

janvler-fevrter 2006

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Jarnes Robert est unfonctionn~jr~,dan'; un service du rninisterede Iii . Delense de 'Gninde-Bretagne: ' C'esi ausst un historianat u . n auteur 'speqiaUse dans la seconde Guerre rnondiale. I Ia bsauooup .voyage en Afr ique septentrional e et en Eu ropealin d'enquetar sur les rnysteres des guerres secretes de la

Grende-Bretegne.Avec une famil le issue du mil ieu .m.ll itaireet des sources alie-mandes donnant de la credlbi li tea des soi-disant «mythes »

lk;'el'PiXe,coQ1me mission de-creusar plus profondement dans

le~:~t1~lt~s e!fe~ges,*eff~ctl1l l' peu connues et anorrnalesqUL~nt ete cO l1 i :1U1te~ avant;' i$enaant el spres la guene contrer~,lre!1lagne.·' . . ,,' ..'Ce"f'artlcle est extrait de son livre;':as:paraitre qui developperacertaines de ses enquetes,James Robert peut etre contacts par a-mai Ivante : jarnes-robertfshctrnail.co.uk

lLChristol Friedri~.h, Germany's Ant(jfctii:; ctetm: Secret. Nazi. Polilr Expeditions, ·Samisdat Publishers, Toronto, 1 9 7 9, ."10. La'demence de Hess ne constltue qu'un aspect ou mysterl:!Hess. Les nombreuses reterences a sa folie sont trap nombrsu-sespour stre snurrieresa. Toutefois cela ne l'a pas e,mpschii de

se presenter pour eire jugs a Nliremberg. .II,Picknett, L . . , Prior, S. et Prince, C" Double Standards, Lit tleBrown, 2001.12. Van Paasen, Pierre, Chicago Times, 1941.13. La Grande-Bretagne, la France, I'URSS et les Etats-Unis serelayaient pour garder ies criminels de querre, dont Hess, dans

. ' : i i , p~lson.de Spandau',Selo,) ,ce que I'on pourrait croire, Ie de-ces suspectde Hess eut I 1 . 6 ' U car les RusS;'!js,illlai.~nt le relacherlors de leur prochein tour de garde. Voir Pioknett 'st aI. , DoubleStandards, pour plus de details.14. La races de Nuremberg (1945-1946),

ut rapports' dans la presse allemande Ie9 . .

navale des ottlclers, 14 I8vrier 1944.: . : T l 1 e Dj<lrlas,.~acMIUan, New

NEXUS n042

janvler-fevrier 2006

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OVNIS SUR LE CAP

Rencontre avde la Maison

D es cristaux verts sous les doigts

Dans notre precedent numero, nous avons pu voir des images stonnantes d'ovnis su rvolant, une nu it

de ju illet 2002, Ie Capitole de W ashington. Oepu is qu 'il a pris ces photos, Ie photog raphe a rsncontre aplusieurs reprises Ie jou rna lise Rob ert S tanley, D ans I'interview qu i su it, iI fevele lou te la genese de ses

images et comment elles ont change sa vle..

Rober t Stanley: P ou rq uo i re ve 1e z- vo us cette histoire e t c es images ?

Le photog raphe : Tou t d 'a bo rd pour montrer qu e nous ne semmes

pas s e u l s . Ensu ir e, p ar ce q u' il s'agit d'intrusions d a n s un e s p a c e a m e namericain g a m e . Nous semmes constamment en train de nous c x : r u p e c

de ce qu i se.~ au Moyen-Orient et dans d'aurres pays, all ily a dr s

prob lernes ev iden ts, m aisje c ro is q ue no us av ons id un pro blem e b e a u -

c ou p p lu s grave.

RS : La 5ecurite inter ieu re a rfcemment annonce son intention d'W -

ren ir Ies l is te s de p a s s a g e r s de to us les vo ls a rr iv ant ou m em e 5 t I .I 'm ! a m

I e s & a t s -U n . is ? Q u e l l e rb.ction cela vous inspire -t -i l par rappon itWtre

a f f i U r e d' ovnis sur Ie Capitole ?

L P : I l est bon de savoie q uels sont les h um ains q ui penerrenr nom : ~ae rie n, t ro is c e q ui m 'i nte re ss e a uss i, cest de sav oir quels sont les non-h um ain s q ui y penerrenr,

RS : C e J a se fai t peu r- en e s ec re temen t . ..

L P : f ig nore si ceIa se &it au non , m ais c e q ue je peux af fin ner, e'est que

lorsque j' ai soum is m es photos aux " experts en ovnis », je savais bien GU '

je touchais lUl sujet rabou, U s m'ant dit q ue rnes i m a g e s n'etaient q u e des

aberrations de l'ohjeai£

R S :V ou s dites avoir travaille pour ABC. ..

L P : Q ui, j'ai travaille pour ABC N ew s pendant p lu s de d ix -hui t ans , entre

1982 et 2 00 0, c omme ing erueur en c he£ Et j' exercais aussi beaucoup a IaMaison B lanc he et su r Air Force One .

RS : Sous q u d l e s administrations avI,'Z-VOOS t r a v a i l l e i da Ma is on BIand:x: ?

U: Avec Ronald R e a g a n , Geo rg e Bus h et William Jefferson C1imon. j'ai

su rt ou t t ra vai ll e d ur an t le r na nd ar d e Ron ald Reagan.

RS : Avez-vous photographic des ovnis pendant ce tte pe riode ?

L P : C ela ne f u i s a i t p as p ar ti e d e r na v ie . E t ce n'est p a s quel qu e c ho se q ue

j' ai £ a i t inren tiOlmellemenr ; les ovnis se so nt simplemen t n ou ve s h 1 .

RS : V ous dites avoit grancli su r des bases militaites ; c ommen t f 'a vez-

vousvecu?

L P : Mon pere erait serg ent-m ajor en c hef dans l'arm ee de l ' a i r er j'ai

g randi sur des b ases m ilitaires un p eu partou t d a n s le m onde. M on pre-

m ier c ontac t avec des extratern'Stres a eu lieu sur Ia b a s e de Scu lthorpe ,

e n Ang ie re rr e. J e me su is r e v e i l l e une nuit ec rai vu des entices biologiquesex traterrest re s [EBE] qu i enrraien t d a n s rn a c hambre, tout u n g rou pe.

RS : Qud age av iez-vous ?

L P : C inq ans. Je les a i re vu s q ue lq ue s a nn ee s p lu s ta rd a Ia base aer iennede McGuire, dans le N ew - J e r s e y . Et les log em ents de foncdon etaient

P ar R ob er t S ta nley ,© 2005

situes ju ste e n £ a c e d'une prairie, il y avair done de Ia place pou r l 'a rt er -

r i s s a g e d : 'un objet. Et une nuit, je me suis r e v e i l l e et il y ava it une ent ic e,

seule, d a n s ma c hamb re , rai e s s a y e d e c ri er et de m' e n f u i t , mais rien ne

se p assa ic ; a uc un s on n e s or ta ir et j e n e p ou va is bou ge r. A ce rnomenr-la ,je me suis evanoui,

RS : Est -c e encore arrive a p r e s ?

lP : Qui, des annees p lu s t ar d, a l'epoque O U j'ai pris l e s photos au

Capirole.

RS : Er mmmem Sest: prodnite cette reneorure-la ?

:_P : L ne nuir, je me suis i I O U \ " : dans une obscuri te totale, c e q ui , d a n s

::xc. ~~ esc i_~ para: q ue m em e s ' i l y a une panne de cou-

~ en?'ill ' .oi: ;: 10 ~ ambanres de la v il le p ar le s feneues. Mas,,~~ ,,-"~."U!'cl>riendu!OUI, c '6 :u r le n oir a bs olu , J e suis retoume

~ a.Silli < : ~ je n y p en sai plu s. P eu apres, je m e suis r e v e i l l e

2 . llIlII'iY2ll, mcis=fuis, f 6 : l l i c ouc he sur le dos et il y av ait des g ens au -

d e l s u s de moi qu i me reg ardaiem , c omme si j' etais sur u ne sorte d e tab le

aE.'Wllell, comme d a n s u ne e co le d e med ec in e,

Ie alors, je me su is r en do rm i. E r je tr ou va is c e I a e t r a n g e p ar ce q ue j'ema nouveau dans l'obscurire totale, A man rev eil suivant, m es p r e m i e r e sp aro les f urem : «Oh ? U s mont ramene »,

RS : Quelle etait la date exactedes images d' ovn is s ur Ie Capitole ?

L P : Le premier e p i s o d e a eu lieu au-dessus du M onum ent de W ash ing -

t on e t c 'e ta it l e 4 ju il le t 2 00 2. Le deuxierne episode s'est produi t au-dessus

d u C ap ito le le 16 ju illet 2 00 2. C'est lit q u'un ob jet a arterri sur Ie toit du

badment du Capitole. Et le troisiem e episode a e r e Ia pp ar id on d un e

r nic ro -a no rn al ie su r I a t e te d e la je un e r emme.

RS :A que! m om ent ave z-v ou s e r e b r u l e pa r des radiations ?

·LP: Le 16 jui ll er a u Cap irol e, J ' e t a i s sou s l'ob jet S elon m es images, il est

pam par une sane de « g au ch issem en t» et est reto urne d' O U ile ta it venu

dans le tem ps de declenchem ent de l'obturateur. A c e su jet, il y a une

image, q ue je c rois vous avoir envoyee, q ui m ontre un g roupe c entral defOrmations d 'ovnis en deplacemenrs lateraux et verticaux.

R S : J e m e souviens de cette photo.

L P ~Je me sentais au cceur meme d'une sone de poussee, Et peu de

temps apres, j'a i r emar qu e que j' avais ces r r e s f ines pet ites brulures , comme

NEXUS n042

janvler-fevrier 2006. .;..~

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Ce qu i vola it la ,qans la nu it,

er netta lt u ne energie quldspasse l'actuelle

techno logie d 'ana lyse spect ra le,

des p iq flr es d 'e pi ng le s, s ur le s a ng le s e t j 'a va is l 'i rn pre ss io n q ue mes b ra s

etaient animes d'une sorte d 'energie ,

RS :Avez- vous sub i d 'a ut re s e ff et s s eeonda ir es ?

IJ>: N on, rien q ue des b rU lu re s a no rmal es s ur l es doi gt s et les mains .

RS : Cda a dure comhien de temps ?

L P : E nviron un an er dem i.

RS : E tu t- ce douloureux ?

LP : P a s v ra iment . . M a i s c 'e ta it e rr an g e p arc e q ue d es c ris ta ux Yens sor-

taient de m es ongles, comme des g rains de s e l , mais verts. Peu apr es , c el a

s es t infeae ; et puis cela a disparu,

Des ovnis a n oy a u x r ou g es , d 'a u tr es a n oy a ux b le us

RS : Parlez-moi des systemes digi taux de

f il tr age qu e VOllS u ti li sez pour analyser le s

photos d'ovnis.

LP: C'est tout d'abord un n e g a r i f au unediapositive que je numerise it 4000 OPI

[D ots P er In ch = points par pouce], ce q ui

est une definition e xrr emer ne nr f in e. E n-

s ui te , j'u til is e le l og ic ie l Ado be CS2 qui integre u n P homs ho p 3D. C~

rres sensible. C'e st l e dernier cri en analyse spectrale pour des image s, En

c e q ui c on cem e I'o bje t q ue j' ai photographie, c e t a i r au-dela des capaci-

res d e Pho to shop CS2, q u i est

pourrnnt it l a po in te de l a t ec h -

nologie digirale, Ce qu i volait l i i . ,

d a n s le del noc tu rn e, e rn er ra ir

une energ ie qui depasse cette

technologie.RS :Qu e v ou le z- vo us dire ?

LP : liy avait des choses que man systeme ne pouva i r analyser. Par exem-

p ie , l 'o bj er qu e j'ai saisi d a n s le m iroir d'eau au C apitole : j ' a i pu analyser

une partie d e s donnees spec tr ales , mais pas tom.

RS : Le spectre e n e r g e . n q u e est trap vaste pour € ! rremesure ?

LP : N on, c'erait trap loin pour que cette r ec hnoiog i e pui ss e l e s ai si r e t

f a i r e des variations. J 'ai rente d'e n f uir e a ur an t q ue p os sib le pour obtenirdes details, et c er ta in es d e ce s var ia tions son t tres c ur ie us es e t mont re nt

des sons-elements. P a r exemple, l es obj et s v ern possedaient un nayau. Et

certains d e c es n oy au x e ta ie nt o ompl ereme nr d if fe rems d e c eu x qu i eraient

a u so l. E t ily ava it d eux sor te s d 'o bj et s a u sol,

RS : Faires-VOllS aIlus.ion a ces chases semi-t ransparen res q u i ressem-

blaient a des plasmas ?

IJ> : Non. n y a va it d eu x o bj ets v er ts core a cote au sc i c eu e nu it-la lis

ava ie nt l a me rn e mime e t c on fi gu ra tio n q ue c eu x qui e ea ie nc d a n s Ie del,

sauf q ue lo rsq ue je les ai analyses, l eu rs noyaux e ta ie nt r ou ges . l.es objets

d a n s le del ava ie nt d es noyaux b leus .

RS : Esr-ce o e l a que VOllSpensiez &r e d e s entites ?

LP : Je sais q ue c es im ag es son t c elles de vaisseaux dam le s e n t i r e s sontsorties.

RS : En e if el, i l a pp arn it s ur le s d eu x p remie rs c lic he s q ue VOllS

avez pris au Cspi ro le ,

IJ> : C 'e st c el a. n y a deu x o bjets in hab itue ls, d eu x dan s le delet un dans le bassin. Et iIy a un e a utre image, p ri se 30 s ec onde s

plus tot, q ui mon rre u ne en ti te a u- de ss us du dome du Capirole,

une entire non ident if ie e sur Ie m it et une autre au sol. Lemire

a u s ol d err ie re le miroir d'eau est la rn em e q ue c elie d u rou t dern ier d i m equ i mon rre le s o bj ets s'e cb .a pp an t, e t je me s ou vi en s q ue c es e nt ite s s on t

v en ue s v er s moi , mon t e nr ou re e t om d i s p a r u .

RS : Done, vous pouviez voir ces moses tout en les photographiant ?

LP : J 'ai vu des anomalies tout en op eran t m ais je n'y ai p a s p li te a tten tion

parce qu e j' etais conce l1 ll '€ su r mon travail, q u i eea ic de c om pose r un e

couverrure pour un alb um . Mais j'ai remarq ue les entites (ovnis) dans le

del au-dessus du CapitaIe.

RS :Vcrs quelle h eu re cela se passait-il ?

LP : Il etait a peu pres rninuit trente. Il n'y avait petsonne dans les envi-ron s, pas u ne arne. A u fait, j e me s ou vie ns q u'o n p ou va it h ab it ueUemem

entendre le dapotis de l'eau a utou r d u bassin, mai s cer re foi s- la , t andi s qu e

je travaillais, on n' entendai t r ien . .

RS : Est-ce qu e l'artiste qui em :eg istra it se sou vient d e q uelq ue c ho se

d'anonnal ?

L P : D epuis c ette epoq ue, ilrefuse de sortir la nuit, Il est compleremenr

t e r r i f i e . Et pollr quel qu e obs cu re raison, il me tien t responsable de I'e v e -

nem ent et a r ompu rou te r el at io n avec mol.RS :Vous m'avez dit avoir mon tre c es images d' ovnis a votre pen: avantsa mort.

L P : En cffet, [e les lu i ai mon trees ; c ela l'a pe rru rb e ec ilne voulai t p a s

q ue je l es mon rre a q ui q ue se so it. J e c ro is qui! s av ai t qu el qu e c hos e, s an s

aucun doute, parce q u ' a cette base du SAC (Strategic Air Command] O U

il €tait en service, iIy avait des anomalies, des ovnis.

RS : Je connais certains de

ces rapports militaires SUI'

les ovnis. C'est un g r o s pro-

bleme et je com prends q ue

celarende ma l it raise no -

tre establishment militaro-politique.

Les in fo rm a t io ns m 'o nt 1M « te l6chargees »

RS :VOllSm'avez aussi dit que VOllSa vie z I 'imp re ss io n q ue d es infonna-

t io ns vou s ava ie nt e r e « r el ec ha rge es » l or s d'une de ces rencontres.

L P : Ou i , a pr es cha cune de ces r encontr es , j' avais d e s pensees irrarionnel-

le s, au rou t au m oin s c e q ue je c onside rais c omme e tan t m es pensees, Pa r

exemple, it m 'e st imp os sib le d e v ou s e xp li qu er c ommen t j 'ai obtenu les

f ormu le s chim.i ques qui mont permis de developpe r I es f il m s al l po in t d e

discerner ce q ui est dans Iobscurire, J e n 'a i jamais e rudi e l a c h im ie d a n s

ce sens, Autre c hose : les theories de l 'e space anti-gravite, J ' a i & b r i q u e un

a pp ar eil d on t je sais qu 'i 1 mnc ti onne ave c d e s en erg ie s p erp eu ell es , e t je

sais q ue c a m arc he parce q ue j'ai un m od ele 3D qu i marche, Mais j e n ai

jarnais e tu die c es c ho se s : c eI a s embl e s impl emen t s on ic de moi.

RS : VOlls avez p a r l e de I'aspect commerc ia l de vos pho to s. Avez -vou s

l'in ten tion de ven dre d es CD de vas images ?

L P : S i vo us c onn aisse z la m usiq ue h ip-h op, v ou s dev ez sav oir q u'elle est

essentie llemern composee d'exrraits d' a utr es mus iq u es . C ' est ce qu e j' ai

~:::'J"'':'..j. ,,_~I ~"::~~::;.~ ~ iF ..... '; . ..... -, ._~~ ... .t-:s~~ r . ;.J _ , ~ _ • . , ~\<:, "'·~: __'~.I::,_.,:;,,'_.'_~ .:I:-:.t.n:-~r·,,-~3 .«. ".t:1'·,

~"":"~;J'!-:m:-.-.'.~"'8 ' -7£ l!'l.....M··,: '·,_ ..· . : : ;' L - ) r; : ; : . . . ~ -r ~" >; ~ • • : ' ; ' o . . . . . : ~

; : - .! ; , !i - ~! ': : J . . ' ~ " " " ; . , J 11 .. ~(: . .··:ot;~r;:: c.t:~~,: -" -· ') '. -1 ' I" -

NEXUS n¢42

janvier-fevrier 2006

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J 'e n v i s a g e d 'a p p l i q u e r m e s e c h a n t i l l o n s

a d e s f i lm s a · e ffe ts 3 D . G e o r g e L u c a s e t S te p h e

S p ie lb e rg n 'o n t p a s d ~ e c h a n t il l o lJ s d u r e e l.·r

Soucoupes vo la ntes ou bouIes c:Energie ?

r e c e n t b a m de s a n g du 11 sep tem bre, q ui a fait r re s p eu r. A io rs , qu e d e s

ovnis violent I'espace aerien g a r d e . c e l a a de quoi enerver le s militaires. L a

v e n t e , c 'est q u ' i ! y a eu auss i b eaucoup d 'i nr ur si ons d'ovnis dans les

aeriens d .' autres pays en 2 002 . n se p a s s e rnanifustement que lq ue c ho se

done personne ne veut psr le r o ffide l1ement. J u s q u ' au 9 septetnbre 2 001,i ! y avait it Washington un mouv em ent en tav eur d 'un e divulgation

s ec re ts s ur I es ovn is . Ma is apres le 11 s ep te rnbre, c et e ffor t o j est a . t t e t e net.RS : &: d e p n i s , persOIUlena v on lu en rep ad er.LP : Sauf John Podesta, l'anden chef d erat maj or d e C lin to n. nto ujou rs d' o brenir des in fo rm ario ns su r c e q u i se p a s s e . .Mais i ! semble

q ue q ue lle q ue s oit v otte srann, Ie !DUyemement reste fenne comme

huitre,

RS : n y a p lu si eu rs r ai sons a c d : a , et p er so nn ell emen t j e pense q ue c 'est

p arc e q u'ils n 'o nt p a s toutes les n ! p o J : l l > e 5 et qu'i ls cons id er en t qu e.c e

serait irresponsable d e d i f I i : J . s e r f"mfuonarion taut qu'ils nont pas de r e -

poeses, on seulement, ils feraient

. f i g u r e d'incompetents, mais c e l a

pomr.ai r powser une partie d e I a

population a l'anarchie.

Ce que Ie. public devrait savoir,

c est qu'il y a une coherence h i s -

torique des even. ement s ami et

EB E sur les c inq uante demieres

a n n e e s , lorsque l'o n v oit r ou te s I e s

donnks e t a I e e s sur une carte, le s

c b o s e s devi.ennent daites. n y a ellun p a r o x y sm e d'acdvite ovni er E B E en 1952 ; mais c e l a a cont inue d e

maniere plus discrete jusqu 'en:2OlTI_ puis jusqu' i t present. Ce n e s t pasparce q u ' on a i g n o r e Ie probIeme L a dilparu.

(

LP : I l y adeux types de personnes q -2 i ~ au x ovnis, Il y a ceux q u i

c roient q ue c e sont d e s soucoupes ,uk=:s, e r c eu x qu i , c omme m oi,

s av en t qu e r e a peut e m a u t r e diose, wmme d e s g l o b e s d'energie. C e I a

petit prendre nimporte quelle m I m e . Ii!2 d e s d ec en nies q u'on v oit d es

Foo FJgh te rs [cha ss eu rs f an romes] en fonne d e boules,

RS :Fxact.

LP : En rous c a s , rnon histoire i ll n s m : le f a i t q ue nous ne somrnes p a s les

s e u 1 s e r r e s intelligems, loin s'en &u r . Er q ue ls q ue f U re nt ce s objets dans

l'eau et dans l'air, U s etaient snimes par des entire ; Intell igenres, Cerait

evident j a u n momen t U s 6 aienr immo biles et l'instant d'apres en mou-

vement .

RS : Et ils an t mauifestement ag i en func t ion d e : VOllS et de plusieurs

auttes. La question est : pourquoi nous observenr-ils tout en nagissamque de rnaniere tres l . im i t e e ?

LP : Ow , et seu lement avec ce rtaines pe rsoru.1.es .

R S :A vez -v ou s un e id ee I a - - d e s s u s ?

LP : F ran ch em en t je n e sais pas. Je crois que j ' a i e t e marque [N .D.T :

d'un im plan t /]. Et su r un e d e mes im ag es du Cap it ol e, on voir qu e le sovn is s ta rionna ir es d an s I 'ai r ernetraient d 'autresobjets plus petits. Ensuite,

cinq it six rnois plus tard, j'ai pris un e photo d'une petite sphere au-dessus

de la te te d 'u ne f emme. E lle emit d eb ou t d ev an t m oi au win d 'u ne ru e.

G e ta it un l ieu publ ic it Wa sh ing to n DC. La sphere emit visible , opaline,

semblable it u ne p erl e, p uis el 1e a disparu.

NEXUS n042

janvier-fevrter 2006

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Quels q ue soient ces ob jets,

i!s SQu!event la q uestion: comment un

ob je t solide peu t -il deven ir e las tique ?

RS : Et avez..vous remarque cela avant de faire l'analyse bitmap ?

L P : C 'e ta ic avant de l'a vo ir f iltre e. E t a pr es Ie f il rr ag e , l 'imag e r non -

trait que I'objet modulait de l'energie autour de lui parce que chaque

niveau d'analyse revelait un niveau d'energie different.

RS : n semble que cela se rapproche de la technologie terrestre

de decharge plasmique, Des champs de plasma peuvent exister Ii

I 'interieur d'autres champs de plasma.

L P : E xa cteme nt. C'est une signature specifique, Si vou s re g ar de z

bien, iIy a des variations Ii la surface.

RS : Je vois ce que vous voulez dire. Cela fait des rernous, comme

un tourbillon de surface,

L P : Cela module un chimp energetique complexe.

RS : C'est incroyable !La dynarnique des p lasm a fait partie inte-

grante de la nouvelle physique de propulsion de champs.

L P ~Vous aurez rernarque qu'il y a une serie d'images qui montrent Ie

objets en mouvement, Dans rune d'elles, on voir quam: objets verts

qui sont e n mouv emen c lateral et en avant. La signature revele une

traineeverte qui monte et une bleue qui va lateralemem. Or, selon

Ie s lois de la physique appliquees Ii la lurniere, si un objet ye n se

deplace dans une certaine direction, il laissera une trainee verre, que!

que soit Ie sens du mouvernent, Pourtant, en violation de s lois de

la physique, cet objet laisse une trainee

bleue d a n s son mouvement lateral.

RS : Je suis sUr que nos lois actuelles

de la physique sont incompleres. Et ce

serait une sottise que de croire que tout

dans l 'univers obeir it ces lois. Je sais

cependant qu'il y a des gens qui cher-

chent activement a mettre au point un nouveau modele physique

qui pourrait rendre compte de tout c ed, U n e...-e nem en t ov ni quis'est produit en Norvege en 2002 comprenait des lumieres bleues,

Mon attention a ete artiree parce que c'est assez voisin du vert pour

qu'il y ait un rapport.

L P : Il y a peut-etre une correlation. En fair, en faisanc des recherches

sur l'histoire des ovnis verts, j'ai trouve des cas decnvant des objets

dont les couleurs etaient modulees, Er a une occasion, un objet viraitcompletemenc au vert en s'approcham d 'u n a pp ar eil m ilita ire , Qu els

que soient ces objets, ils soulevent la question: commem un objet

solide peut-il devenit elastique r Cetre chose gonHair comme un bal-

Ion, puis disparaissait, puis reapparaissair, et disparaissair a nouveau.RS :Des scienrifiques et des ingenieurs m'ont dit qu'il6tait possible

que le s o vn is deforment I 'espace autour d'eux, L e p ro bleme , c 'e stqu'il faut canaliser sufDsamment d'energie < if l'univers vers un

espace limite.

Quesavent-ils au gouvernement?

RS,: n y a de toute €vidence des entites alienlgenes qui circulent

dans notre atmosphere avec des vaisseaux spatiaux tres avances. En

agissant comme si rien ne se passait, notre societe ne fait qu' encou-

rager ces e t r e s it poursuivre leurs acnvites secretement,

LP ; La politique actuelle a engendre la couverture parfaire pour

que cette technologie avancee puisse operer en pleine vue, qu'eUe

soit d'origine humaine ou extraterrestre, La politique de negation,

de dissuasion et de trornperie dispense les occupants de ces engins

d'avoir Ie moindre compte a rendre, et je pense que cela n'est pas

dans l'interet de l'humanite.

RS : Je pense que vo s images auraient du succes en CD. Je les ai

montrees it quelques amis qui ont ere abasourdis. Mais lorsque je

leur ai dit que cela avait ete pris au Capitole en 2002, ils ont vrai-

ment e r e c h oqu es .S av ez -v ou s s i l'interdiction de survol par des vols

commerciaux etait toujours en vigueur ?

L P : Elle n' avait pas ete levee sur le s espaces a er ie ns ga rd es , Aucun vol

n' etait auto rise a s'approcher tant soir peu des barimencs federaux. Et

pourtant, voici toUS ces objets en plein dedans, et meme au sol!

RS : Et je sais qu'il y a tout un protocolepour cela. Meme la navette

spatiale est visitee par la douane US a l'atterrissage.

L P : En effet, et en plus ils doivent subir une decontamination.

Que savent-ils au gouvernement ?

RS : Je suis certain qu'iI y a sur Terre un groupe d'humains qui

a une vue globale sur ce qui se passe, mais ce groupe est secret et

autonome. $i je dis cela c' est que, si on considers tous les evene-

ments Ovn i s / EBE qui se sont p ro du ir s d ep uis au molns cinquante

ans, les reactions du gouvernement et des militaires me Ialssenr Ii

. penser qu'ils ne savent pas vraiment ce qui se passe.

L P: [e le pense aussi, D'ailleurs l'evenement du 4 juillet sur Ie

Monument de Washington le prouve. II

y avait un objet bleu et quelques autres

d a n s Iedel pres du monument. Cet objet

bleu est reapparu Ie 26 juillet IiWaldorf,

au Maryland. n a e r e pris en chasse pa rd eu x F 16 . n est parti en laissant littera-

lement le s F 16 sur place. Le Washington

Posten a parle, mais sans aucune image de l'objet.

RS : Ily a des lieux nevralgiques pour cette activite. Et certainespersounes ayant connu des tencontres rapprochees sont anirees

vers ces lieux, je ne sais trap pourquoi. Mon li~u it moi, c'est la base

name de Point Mugu (Californie du sud).

L P : Et l e Capitol e est mon point chaud. Et je sens que si j'ai des

images de ce s etres, ils om aussi mon image.

RS : Je men doute. Cela m' est arrive it trois reprises. Lovni a genere

autour de nous un brusque eclat de lumiere blanche intense, com- .

me une ampoule de flash, mais un million de fois plus brillanre,

C'ecair IiPoint Mugu. Apres, j'hesitais a y retourner ...

L P : [ e deteste devoir t ou jou rs t rimba ll er un appareil photo lorsque

je sors, mais O U que faille, je m'y sens oblige car on ne sait jamais ce

qui peut arriver,RS : Merci, je suis sur que votre histoire et vos images vont influencer

la vie de beaucoup de gens. _

Ro b er t S t an le y e st e cr iv a ln e l o he r-ch am sp ecia lise e n n ou vsa utes

t ec hn olo q iq u es . S o n a rticle su r lab ou gie F ir es lo rm d e R ob er t Krupa

a e ts p ub lie d an s Nexus n° 36 .C el e xt ra it d e so n l ivre a p ar aitr e :

Capilole Offence: Alien Incursions of Restri cted Airspace est uncopyright © 2005 U nicus M aga zi n e, 1147 M an h attan A ve nus #43 ,

Manhat tan B ea ch , C A 90266, U S A. P ou r v oir en c ou le u rs le s im a g esdont it es t question d an s e st e xt ra !l, v is ile z I e s it e W eb de U nlcu sMagaz ine a ht tp: / /www.unlcusmagazine.com. R ob er t S ta nley est jo i-

gnaol8 a rs tan ley@ soca l .r r ,com.

NEXUS n042

janvie r-fevrier 2006

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W I-F I,DECT,MOBILES ...

S ,', ru.ans ",'•mers pas

•sans rraques

C o n s u l t e r s o n c ou rr i e r e le c f r o n lc ue c on lo r la b le m e n t in s t a l l e s u r u n d iv a n , I 'o rd in a te u r p o s e s u r I e v en tr e , g ra c e a u w i - f i , l ' ln te rn e i

s a n s f i . l , c 'e s t a g re a b le , B o u g e r d 'u n e p ie c e a I ' a u t r e e n c o n ve rs a n t p a r t e le p ho n e s u r s a l ig n a f i x e a u d is p o se r c h e z s o i p lu s i e u r s

c o m b in e s s a n s I i i s a n s a v o i r a t i r e r d e c a b le s n j a jo u t e r d e p r is e s , c 'e s t p r a t i q u e , M a i s c e s a p p a r e i ls s a n s f i l e m e tt e n t , m e

e n d eh o r s d e t o u t e u t i l i s a t io n , d e s m l c r o - o n d ss in v i s i b le s e t i n a u d ib le s q u i t r a v e rs e n t le s m u rs a t p e e t T e n l d a n s n o t r e c o rp s 9 [ ' 1

p e r m a n e n c e , C la v ie r e t s o u r i s d 'o r d in a t e u r s a n s f i l , c a s q u e h i - f s a n s f i l , w e b - c a m e r a s a n s t i l : e n in tr o d u i s a n t a d o m ic i l e

n o u v e a u x p ro d u i ls , n o u s b o m b a r d o n s n o t r e fo y e r d 'o n d e s e le c t r o m a q n e t lq u e s d e f r e qu e n c e s lnles, E f le t c o c k t a i l g a r a n t i .

Si l es dangers des,' t e,'lephones portables pour la sante ant dejit

fait oouler beaucoup d'encre (voir Ne x u s n" 30)1, ce n'est pas

encor-e le cas des autres technologies sans H I: wi-f (Wire!ess

Fidelity) pour l'Inrernet et la transmission de donnees, DECf

(Digital Enhanced Cordless Telecommunication) pour les te-

lephones numeriques d'interieur, Bluetoom pour les claviers et

souris d'ordinateurs et bien d'autres gadgets. C e sam pounant

des sources de rnicro-ondes puisees qui emertenr jour et nuit.

Ala fois « canons» a micro-andes et generateurs de champs electro-

magneriques de frequences extremement basses, tous les appareils

sans HI introduisent dans les habitations une pollunonelectroma-

gnerique supplemencaire insoupconnee, mais permanence.

Olivier, professeur de tra.vaux pratiques dans one ecole d'inge-

nieurs, se mefie des telephones portables au point d'avoir suppri-

me le sien, mais considere les aurres technologies sans fil comrne

inoffensives:«Un jour, pendant une manipulation, un eieve a

pose son portable en veille su r une paillasse, a co~ d'une alimen-

tation elecrrique en continu de 12 volts. Le telephone s'est mis it

sonner, Irnmediaternent, ilya eu un court-circuit et la maquette

sur laquelle nous travaillions a e re brulee, [e n'ai pas compris

comment cela a pu se produire, cat I'alirnentation electriqueeralr

blindee, Ee j ' a . i ete tres impressionne pat cet incident, au point de

cesser peu it peu d'utiliser man portable .. N'ayant pas d'abonne-

ment, j'ai tout slmplernent arrete d'acheter des cartes prepayees

pour recharger man appa.reil. Sans me prevenir, I' operateur a fini

par anribuer man numero a quelqu'un d'autre, Ta.nt rnieux, car

rna decision d'arrerer Ie portable est definitive. En revanche, je

continue d'utiliser chez moi le wi-fi pour la connexion Internet,a.insi que Ie telephone DEer. Je ne pense pas que cela.puisse erre

aussi dangereux que les portables. })

Erreur! Ce n'est pas parce qu'aucune alerre n'a encore ete

Iancee que ces technologies sont denuees d'effers biologiques

NEXUS n"42

janvler-tevrler 2006

Annie Lobe © 2005

et saru tar res. Cornme les telephones portables, elles am ete

commerciaiisees a grande eciIe.::e sans aucune etude prealable,

Pourtant, les f re qu en ce s u ti li se es 50m le s memes que celles des

fours It micro-cades (2450 megaheru pour Bluetooth et Ie

wi-fl), les plus efficace.s pour ecb.auifer les molecules d'eau doni

notre corps est compose a -0 !J oe •

Un fo·ur a micro-andes a I'oreille

A c8te d'un telephone numerieue sans ill DECT en commu-

nication (I 880-1 900 meg ah erc z • Ie s champs eleccriques hy -

perfrequences sont superieurs a a:u:xgeneres par les fuites d'un

four It micro-ondes, Iequel esr une cage de Faraday desrinee 11

ernpecher Ies micro-andes emises a plusieurs cenraines de watts

par Ie magnetron de cuire aussi les organismes vivants aurour,C'est le defaue d'eeancheire a u joint, rnis a mal apres seulernentdeux cents ouverrures de la pone du four2, qui cause les Iuires,

La puissance maximale d'6nission des telephones sans fil

DECT est de 250 rnilliwarrs, Une puissance qui pem parairre

fubie, mais qui est neanmoins, dans cette bande de frequences,

100 000 milliards de fois plus elevee que le niveau ambianr na-

ture! de 1 3 0 p la ne te av an t que les homines ne cornmericenr leurs

emissions artiticielles'', En effel;, bien que [e solei! ernette des

andes dans tomes les &equences du spectre electro rnagne rique,

les radiofrequences er les micro-andes sont arretees au niveau

de I'ionosphere, aU:leur ionisation pardcipe it la formation de

1 3 0 couche d'ozone'. EUes sont done pratiquemene inexistan-res dans l'environnemenr terrestre O U la vie s'est developpee',

C' est la raison pour laquelle taus les organismes vivants sam

depourvus d' organe de perception les concernant. Ils sont aussi,

c'est logiq.ue, depourvus de systemes d'alarme. S'ils y sont su-

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[exposes, ce ne peut etre qu'a leur insu. Us ne le sauront qu'en

observant les effets induits par cette surexposition.

Les micro-ondes se deplacent it la meme viresse que la lumiere :

en une seconde, elles parcourent environ 300 000 kilometres

(exactement : 2,99 X 103

metres par seconder'. C'est pratiquepour I'instamaneite des echanges, mais cela rend la protection

a le ar oi re , '

P c I'exception 'des meraux er de !'eau, qui les reflechissent,

les ondes electrornagnetiques hyperfrequences (mlcre-ondes)

rraversenr tous les materiaux : pierre, heron, brique, verre, plas-

rique, bois, etc. Une onde elecrromagnerique n' est arretee que

par les obstacles dont la dimension est superieure a la longueurde !'onde (12 centimetres a 2450 megahertz pour le Bluetooth

et l'Imernet sans fil wi-f et )5 centimetres environ pour le s

.elephones sans fi1 d'interieur a 1 880-1 900 megahertz). Par

exernple, un mur de moins de 12 centimetres d'epaisseur sera

traverse par les fuires d'un four it rnicro-ondes et par le s emis-sions d'une b anale souris d'ordinareur sans fil Blueroorh, Et

ce meme lorsque I'ordinareur est eteint, puisque la souris est

munie de batteries.

A . travers la peau, ala vitesse de 1alumiere

Les nouvelles technologies sans fiI utilisent des frequences dont

les longueurs d' ondes traversent non seulernenr les murs, mais

aussi la peau: dies penetrent dans l'organisme, it I'Interieur

duquels'effecrue un rransfert d'energle qui provo que un echauf-

fement des tissus,

Les bases de telephones DECT et les apparells wi-f ont une

portee rheorique de 300 metres .en champ libre, Dans la prati-

que, le signal est coupe a nne distance inIerieure en raison de la

multiplicrte des obstacles. Certains materiels pOllr Ie wi-f sont

particulieremenr efficaces pour propulser ces andes 11travers des

obstacles tels que murs et planchers epais en beton arme, Le

standard Mimo (Multiple input multiple output) « rnultiplie

les signaux pour ameliorer l'emission et la reception des don-

nees » grace 11« trois antennes orientees de rnaniere a diffuserdans to utes les directions. On peut dire que la connexion est

toujours excellente: meme avec un planchet en beton anne

et trois soli d es r nu rs a franchir, Ie signal est encore de 75 % .

A plus de 20 metres et quatre inurs en beton, iI delivre encore

60 % du signal. ,,7

Mesurer soi ..rnerne les micro-ondes

La me ill eu re t acon de p rend re consc ience

de I 'e lect ropo llu li on chez soi consi st s a faire

I'acquisition du n in st rumen t de mesu re.

Le Pol luomet re' pr end en compte la gammades r ad io fr equences aux m ic ro -andes ,

de 1 megahertz as g ig aher tz : emett eu rs d e

ra dio (de 8 8 a 108 megahe rt z) e t de t elevi si on

(de 47 0 a 86 0 megahertz), telephones

sans I ii analog iques (450 megahertz),

te le phones por ta b le s ( au to ur d e 90 0 el

de 1 8 00 megahe rt z) , t el ephones sansIii nu merlq ces (1 880-1 900 megahertz),

w i-I i, B lu et oo th e t f ou rs a mlero-ondes

( 2 4 50 megahertz 0 1 . 1 2,45 gigahertz).

A titr e d 'e xemp le, v oie i le s mss ur es en volt s

pa r metre r ele vees a ve c un Pollu ometr e s ur

un mode le de t elephone d 'in le rieu r DEeT

(A lca le l A t links Versa tis BB200FR), cornpareesa ux fu itesd'u n lou r a micro -andes (Phi lips

Wh ir lpoo l V IP 20 A V M I 6 0 6 I W H , a l a pu issance

de 900 watts).

D ista nc e d e la m esu re Base DECT Base DECTen Combine DECT en Four a micro-ondesen veille communication communication

lcentimetre 1 7,5 3,5 5,7

2 me t re s 0,9 6,8 2,5 4,7

4mroes 0, 6 5 1,5 4, 5

6 metres 0,3 3,4 1, 2 3,7

8 metres 0,2 1,6 1 2,6

Distance 1 1Iaq uelle Ia mesure 20 metres 25 metres 15 metres > 15 metres

d ev ie nt n ul le

'Commercialise par ta societe Comelec, teL' 04 42 70 63 90. CoOt: 135 eurcs.

NEXUS n042

janvier-fevrier.2006

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~§S,, * ! ? r g 9 n n ~ s . $ o l l c J e j J ~ e s; Q e s e~$Q.gst{aifea css o n e l e , s o n U o u t

. i n t e r e t a - in fo n :n e r le u r v ,o j . s in a g e

; ( i t~s9a~gersqes a p g a r e j l s sans t i l .

Les boiders combinant Internet haut debit et telecommuni-

cations fixes illirnitees sont taus preconfigures pour Ie wi-n.

Installer la connexion par les cables ne suffit done pas : il £aut,

de surcroir, desactiver Ie wi-n. II subsiste alors neanmoins, en

permanence,' un champ electrique hyperfrequences d'environ

0,2 volt par metre",

Tout debrancher la nuit

Le systeme doit done purement et simplement etre debranche

du secteur pendant la periode nocturne et en dehors de l'utilisa-

tion, ce qui implique de disposer en plus d'un telephone Shire

simple connecte uniquement sur la prise telephonique, pour

recevoir les appels. Due precaution elemenraire de securite en

cas d'evenemem majeur, trop souvent oubliee (cette recornman-

dation figure d'ailleurs dans les notices des telephones DECT,

qui rappellent qu'en cas de coupure d'electricite, ces appareils

ne fonetionnent pas). Quant aux utilisateurs d'equipemencs

fonctionnant avec Blueroorh (casque hi-fi, connexion ordina-

teur portable-telephone portable, ils sont parfois induits enerreur par l'indication « infrared» (infrarouge).

En guise de cadeau de Noel, Claire s'est vue offrir un tele-

phone DECT. « Nous vendons dix fois plus de telephones sans

61 DECT que de filaires », commente Patrick, responsable du

rayon electrornenager d'une enseigne de grande distribution.

Les DECT SOnt egalement proposes, pour quelques euros seu-

lement, a titre d'incitauon d'achat accompagnant diverses offres

cornmerciales, notamrnent dans la vente par correspondanee.

Ceux qui refusent Ies technologies sans fil sent concernes par

l'equipement dornestique de leurs voisins dans un rayon d'au

moins 50 metres auteur de leur logement.

Comrne !e passe-rnuraille, ces andes penerrent chez eux sansy avoir ete invirees. A leur insu et it leur corps defendant. Les

personnes soucieuses de se premunir centre les mefaits des on-

des ant rout interet a informer leur voisinage des raisons pour

Iesquelles il serait preferable de debrancher les appareils sans fll

ou de ne pas en acheter,

Les micro-ondes des nouvelles technologies presentenc une

particularire simiIaire a la telephonie mobile europeenne

(GSM): elles SOnt pulsees". Cela signifie qu'elles sont en-voyees par jets saccades, plusieurs rnllliers de fois par seconde,

La regularite de cette emission cree a son tour des frequencesextrernement basses. Aux effers des micro-andes (penetration

dans l'organisme et echauffernent des tissus) s'ajoutent done les

effets de ces frequences extremernent basses.

IIy a pres de tren te ans que les chercheurs americains Ross Adey

et Carl Blackman ont mis en evidence un effet particulier de ces

frequenees, et notamrnent de certains multiples de 8 hertz: elles

provoquem une fuite d'ions calcium au niveau cellulaire'", Le

phenomena est egalernent observe lorsque ces basses frequences

sent cornbinees a des radiofrequences au a des micro-andes.

Ces recherches, qui se sent poursuivi pendant pres de vingt ansavant que Jesscientifiques soient contraints de les abandonner",

ont ere confirrnes par une douzaine d'autres equipes, La mise en

Les appareils i t eviter~ Tou s les app ar eils s an s I ii a clu ellement c ommer cia lis es u tilise nl des

tecllnologies a morc-ordss pu lsees : wHi e t B luetooth (2450 megaher tz ,

MHz ), D ECT (1 8 80 -1 9 00 MH z) a u a utres (4 33 MHz , 8 68 MH z),

e tc . l is son t emet teu rs- recepteu rs de.mic ro-ondes des lars que la

sou rce d 'ene rg ie , ba t ter ies ou sec teu r, est en p lace. (Seu les les

teleoommandes des telev is ions e t des cha ines h i- Ii con tinuent a

tonc tionne r avec des rayons inf ra rouges , incapab les de t raverse rles obs tac les, sans qua i nous pou r rions interveni r su r les apparei ls

de nos vois ins . .. ) . La seu le p ro tect ion e lan l d e . se sousnalre a leur

exposit ion, la decision a prendre consiste a suppr imer leurs sources:

r a venir au x appar eils li la ir es est la solu t ion la p lu s eimple, Le mo ins

que [ 'on pusse f ai re , c 'e stelo igna r las p rodu il: s sans I ii des I je ux de

repos noc tu r ne , deb r anchs r la nuit ceux qu i s on t connect ss au sec tau r

e t enleve r les ba t ter ies des accassoires mob iles . Les f raquences

de lonct ionnement son t loin d '@ t retou jou rs ind iquees dans les

documenta tions commercia les. Lors de I 'acha t de nouveaux p rodu its,

il convien l d 'e tre v ig il antet de renonoer pu remen t e t s imp lemen t a

ce ux po rt an t la men tio n" sans Iii ", d ~n t v oici q u elq u es e xemple s :

• c as que h i- Ii ( B lu etoo th ) ;, c la vie r a t s ou ris d 'o rd ina te ur ( Blu et oo th ) ;

- c on so le de jeu v id eo (w i-t i) ;

- home v ideo sa ns Iii (w i-Ii) ;

- k it ma in s - lib r es ( or eille tt e) pou r t elephone por tab le (B luetoo th ) ;

- o rg an iseu r per sonnel avec connexion sans I ii a I'ordinateur

( w i- Ii e t B lu etoo th ) ;

- rou teu r pou r l 'lnterne t sans f il e t l a te lephon ie f ixe i ll im i tee (w i- Ii ) ;

- sta tion rneteo (4 33 ou 8 68 MHz ) ;

- s ur ve illa nce b eb e ( de 27 a 2 400 MHz) ;

- ta lk ie-W a lk ie (4 33 ou 4 46 MH z) ;

- t el ephone sans f il d 'in te rie u r ( 1 880- 1 900 MHz ). Exi st en t

avec tonct ion r adio re ve il ou s ur ve il lance bebe in tegr ee ;- t he rmomet re in te rie ur fe xter ie ur ( 433 MHz ) ;

- therm osta t de cha udiere o u de r ad ia teu rs (8 66 MH z) ;

- webcam (w i- fi) .

NEXUS n042

janvler-fevrier 2006

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Champ electrique de frequellces extrememellt basses emis par un telephone DECT

(d e 5 - a 70 hertz, hors pies de 43,5 et 50 hertz)80

:

70 -

60

e.~50.. .'"<I.'". . ,

040

~g

" ". . 30'"<:. ..§

20

10

0

eo <t!'. . .Frequencesen hertz

Champ sleetrlque d e 42 a 45 hertz emis par un telephone DECT

Champ electrique d e 48 a 52. hertz emis par un telephone DEcr

--

.-~

-~

-~

-~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ - ~'~[tiI~

parallele de ces resulrars et des recences decouvertes en biologic

cellulaire permet pourtam d'expliquer comment les ondes pro-

voquent des maladies issues de reactions en chaine impliquant

l'ion calcium.

De nombreuses fonctions vitales sont affectees

En effet, les mouvements de ces ions calcium inrerviennent clans

un grand nombre de fonctions vitales, parmi lesquelles la con-

traction cardiaque et musculaire, la secretion de neurotransmet-

teurs (l'acetylcholine, impliquee dans [a memo ire, la vigilance,

et l'attention ; laseroronine, impllquee dans la vasoconstriction,

le peristaltisme intestinal et l'humeur ; le glutamate,excitateur

du sysreme nerveux), la secretion et le transport de l'insuline et

du cholesterol, la production d'horrnones cornme Ia melatonine

(impliquee dans Iesomrneil, J'hwneur et le conrrole des niveauxcirculants des hormones sr.eroYdiennes; oestrogenes feminins,

testosterone masculine et cortisol du stress), l'erection, les mou-

vernents des spermarozoidesvla recondation, la differentiation et

Iaproliferation cellulaire, la vision, I'olfaction, et rnerne l'expres-

sion de certains genes suppresseurs de tumeurs.

Un grand nornbre de pathologies d'apparence diverse om pour

deriominateur commun une perturbation de la signallsarion calci-

que, dont Iesdifferencesfacettes ont fait l'objer de 35000 etudes'",

publiees en majorite depuis Ie debut des annees 1980. Parmi les

pathologies impliquant une perturbation de ia signalisarion c a l -

cique, on compte I'hypertension, J'exces de. cholesterol sanguin,

l'arherosclerose (depot de cholesrerol sur le s parois des vaisseaux),le diabete, lesinfarctus, l'ischernie (accident vasculaire),lesallergies,

XEXUS n"'''2

~~~~2:IE

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Lf3s tresbasses. f requencesprovoquen t une fu ite d 'ions ca lcium

, a u nlveau cellu la ire.O r, q ua nd on tou che a I 'ion calcium ,

on touche a tou t. '

l es c ep ha le es , I a d ep re ss io n, l'insornnie, la rnaladie d'Aizheimer, et

me -me l a c an c er is at io n e t I es r ne ta st as es '" et 14. « Q uand on touche al'io n c alc iu m, o n to uc he it tout », aff irm air e n ju in 2 00 3 Ie p ro fe s-

seur Pierre Aubineau, du CNRS d e Bo rd ea ux .

({D an s le s e ff ets o bs er ve s d es c hamp s e le crro rn ag n eriq ue s, l'amp li-

rude de I'effet sur Ie flux de calc ium sonant de la cellule est I e p lu s

souvent de I'ordre de 20 % et au maximum de 40 %, reconnait

R en e d e S ez e, c ha rg e d es ris qu es to xic olo g iq ue s it l 'I n st it ut na ti ona l

de l'e nv ir on nemen t i nd us tr ie l et d es risq ue s ( INERI S) et membre

d e to us le s g r ou pe s d 'e xp ertise o ff ic ie lle s ur le s e ff ets s an ita ire s d e la

t el ep hone mobi le »)5.

Les capacttes d'homeostasle cellulaire depassees

Cette fiiire inimerrompue d'ions calcium causee, au n iv eau c ellu -

la ir e, p ar I'exposition c ontinue a une c om binaison de freq uences

porteuses (m icro-ondes q ui penetrent dans I'org anism e) et de

n ombre us es b as se s f re qu en ce s, f in it p ar d eb ord er I es c ap ac ir es d 'h o-

m eo sta sie c ellu la ire e t p ar p ro vo qu er o u a gg ra ve r c es p ath olo g ie s. S i

e lle s n e s on t p as n ou ve lle s, c ' est p arc e q ue d 'a utre s a ge nts a ctif s s ur la

s ig n ali sa ti on c al ci qu e s on t d ej it p re se nts , d ep ui s l on g temps , d an s d es

p ro du its d e c on somm atio n c ou ra nte : so dium (sel), g lu co se (su cre),

c af ein e, e th an ol (a lc oo l), n ic otin e, m era ux lo urd s c omme I e p lomb,

le m er cu re , le c adm ium (a uro ris es e n p etite s q ua ntite s d an s le s c o lo -

r an ts a limenta ir es , p ar e xe rn pie ") , a in si q u e l' el ec tr ic ir e d ome st iq ue

de 60 hertz aux Erats-U rus et de 50 hertz dans le re ste d u mo nd e" ,

La « m ixture» des frequences g eneree par Ies appareils sans H I

cree une sauce de plus en plus epicee et indig este pour nos

c ellu les. D 'a uta nt q u'e lle est c orn bin ee a l' ex po si ti on d ej a im-

portanre de la population aux telephones portables (7 5 % d'uti-

lisateurs), aux televisions dont les radiations traversent eg ale-

ment les murs (95 % des foyers equipes et 39 % de s foyer

m ulti-equipes) et aux ordinateurs (45 % de s f oye rs eq uip es) 17.

L aq ud le d e c es g ou ttes d'ea u fera -t-elie d eb ord er le v ase? •

I A p ro po s de I 'a u t eu r e

Journalists d'invastigation sclentr ique, Annie Lobe enquete depuis 2001

sur les effets sanltalrss de la telephonie mobile. Elle a publle des articles

dans Sciences et Avenlr, Noire Temps, Quest ions de femmes, VillageMagazlns, Monsieur at Tribune Sante. Elle est l'autsure dulivra Le danger destelephones portables: rumeur au- tu meurs » 7, aux Editions La verite

(tome 1 : L'Enquete; tome 2 : Commentse proteger). Parution en 2006.

No te de la r ed a ct io n

Voir agalsment Ie reportage de Joaquina Ferreira Telephonle mobile.sommes-nous taus des cobayes ? (52 min) que I'on paul tslecharqar en

format Divx sur www.next-up.org. Contact: [email protected]

NEXUS n042

janvier-fevrler 2006

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NOUVELLES DE

Cheveux dresses,

papier colte a la regie,

etincelle ... I'electricite

statique, on connait.

Mais qui dit « statique »

ne dit pas « immobile ~),

et de ceUe confusion

de langage sont nees

des idees fausses

qui perdurent encore

aujourd'hui dans les

manuelsscolaires et

dans les esprits. Unedemonstration de haut

voltage ...

Certains traites de science elementaire

presentent des inexactitudes qui

induisent en erreur les erudiants, notamrnent

dans les chapitres concernant l'electricite

dite « statique », respece que man article

agira comme un «antivirus» contre ces

idees fausses qui infecrent nos esprits ...

L 'electricite ({statique » n' est pas uneeleccricite immobile. C'est plutot un

ensemble de phenomenes electriques divers

dans lesque!s :

- les quantites de charges electriques

positives et negatives dans une matiere ne

sont pas parfairement egales ;

- le voltage est eleve et le courant est

faible;

- les forces electriques (arrraction et

repulsion) agissem a travers l'espace. Des

objets distants l'un de l'autre peuvent

s'artirer au se repousser. L es cheveuxpeuvent se dresser!

- les champs electriques (par opposition aux

champs magneriques) peuvent acquerir une

forte inrensite (on les appe!le aussi « champs

elecrrosrariques » ou ({champs-e »).

L'e1ecrrostarique concerne Ia charge et les

forces d'arrracrion/repulsion qu'engendre Ill.charge electrique,

_fou,emenr au «staticite », Ia n'est

pa s L a question : de route m aniere, les

~o=som toujours la, meme lorsque les

charges circulent, Des charges separees ou

dt3equilibrees peuvent s'ecouler, pourran t

reEfer "sr3Lique" ne varie pas avec

l'apparition du courant. En d'autres termes,

it est parfaitement possible de creer des

counms d'electncite dire « statique »,

Trop s'appesanrir sur la « staticite » des

charges porte a confusion et occulte desconceptS imporrants cornme I l l . separation

de charge, la denslte de charges positives

er negatives hors equllibre, et la presence

de champs de voltage entourant les charges

desequilibrees. Ces aspects sont lrnporrants

m e me lorsque l'electricite « statique »

commence it se deplacer comme un

courant.

Desequilibred e charg es o ppo sees

Lelectrostarique n'est pas du domainede la « staticite ». 11 s' agit de charges et

de forces. Imaginez que Ies explications

concernant I'eau soierit aussi specieuses que

celles concernant l'electricite ((statique ».

L a pIupart des gens croiraient qu'i! y a

deux sorres d'eau : celle qui ne coule pas

(l'eau sragnante) et celle qui coule (I'eau

courante), Nous en deduirions a tort que

l 'hydrostarique est l'etude de l'eau stagnante

au "sratique », Seuls des experts en

hydraulique sauraient que l'eau " statique »

n'existe pas, et qu'il s'agit d'une eau it unecertaine pression. lIs sauraient aussi que

I'eau « statique» peut se mettre a couler,

puisque de l'eau sous pression n'est pas

NEXUS n042

ja nvi er-fevrler 2006

P a r W i llia m J. Bea t y e 2005

necessairement immobile au « sratique » .

Lhydrostarique s'applique toujours 1 1 . l'eau

merne quand elle s' ecoule, Pareillernent,

l'electricite « statique » concerne la chargede pression et n'a rien a voir avec de

l'electricire « au repos »,

Void un autre probleme concernant le

concept habitue! d'electricire estatique ».

Pensez it ·Ia matiere ordinaire. Ses atornes

contiennent Ie meme nombre de charges

positives et negatives (les protons et les

electrons) tres proches le s unes des autres.

Ces charges constltuent-elles l'electricire

'f'- .t::t\A&W~~

~e el£ctr~/···

8/7/2019 Nexus 42 - Jan.fev.2006 - Vaccination (Complet)

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'soir remplie de

charges « au repas » normalement aucune

elecrricite « sratique " ne se ,manifeste.

Une charge etec tr tqueIt s'agit de desequilibre entre charges

opposees et non d ' etar starique, De meme, la

presence de parricules chargees n' est pas un

facteur important, I" matiere en est rernplie

meme si aucune electricice "sratique" ne

se rnaniteste. Pour que quelque chose se

produrse, il faut qu'il y ait des populations

separees de particules en desequilibre ; il

ne suffit pas qu'il n'y air que des particules

chargees,

Comment sortir de cette confusion ? C'est

simple ; n e parlo ns plus de « statique »,

mais de «desequilibre de charge I). Ce qui

importe, c'est la charge elecrrique nette ou,

plus simplernent, c'est la separation entre les

particules positives et negatives qui constitue

la base de I'electricite « statique ».

Lorsque quantire de protons sontsepares

d' electrons a une distance suffisante, des

etincelles se produisent et les c heveu x sedressenr. Appelez cela « charge elecrrique »

er non « charge' statique >i, puisque le

desequllibre demeure invariable rnerne

lorsque les charges circuient de maniere pas

du tout « statique »,

Chaque fois que des charges opposees sont

separees en groupes positifs et negarifs, de

l'elecericire « statique» est generee, Et cela

n'a den it voir avec le fait que les charges

demeurent au repos.

En fait, si Ie desequillbre de charge peut

generer un courant, iI n' en conserve pasmoins ses caracreristiques Inhablruelles ; iI

continuers it attirer les cheveux, les peluches,

it provoquer des etincelles, etc., rneme en

s ' ecoulanc, Ce qui nous arnenerait alors it

~k'\i,

; L I " " ~ ~ . I . , . , , " " ?

~ flV " lo t\..S f ~ I M s . ; i k -«S~»,~

k«~e

c te .~e .» .

,~"''"''''~'''''.J.."mmilgtHue

.~:F>~."~"" pris l'ha]

que I'electricite « staciq ue » est

de l'electricite au repos. L e fait qu'ils soient

unanirnes sur ce conuesens n' ernpeche pasqu'il s'agit bien d'une erreur. La realite ne

se vote pas it la majorite, Peu irnporte le

nombre de personnes qui pensent dans le

rneme sens, le roi est nu.

NEXUS n042

janvier-fevrler 2006

Ce que nous appelons l'electricite

" srarique » a un autre nom : Ie « haur

voltage». Tous les phenomenes

elecrrostatiques que nous rencontrons

dans la vie quocidienne impliquentdes voltages superieurs a . 1 000 volts

et atteignam parfois 50 000 volts.

Si cela attire les peluches et souleve les

cheveux, il est certain que Ievoltage depasse

1 000 volts. Frottez-vcus le crane avec un

ballon, vous allez generer des dizaines de

rnilliers de volts ! C'est du voltage sans

courant.

Concevez-Ie comrne suit : un courant

elecrrique pur implique un courant avec zero

volts, tandis qu 'un phenornene e le cr ro st ar iqu e

pur implique des voltages e le cr riq ue s s an s

courant. Frottez-vous les pieds sur un tapis

er vous creez une difference de voltage de

, plusieurs milliers de volts entre vorre corps et

Ietapis. Sivous erudiez I'electricite « sratique »,

c'est Ievoltage lui-rneme quevous etudiez,

L'ideal serait que le terme d' « electricire

statique» soit rernplace par "e1ectricite it

haur volrage », ou par « charges separees », ou

«de.sequilibre de charge », ou encore «science

de I'elecrrosra tiq ue ».

Un courant de charge et un desequilibre

de charge peuvent coexister dans le merne

conducteur, Par consequent.si I'on considere

que « srarique » et ( courant » sont deux

types d'electricite opposeset incompatibles,

on entrerient une confusion quam a la

vraie nature de n'imporce que! phenornene

elect ri que.

Pas besoin de frictionLe courant elecrrique est engendre par le

voltage, qui est produir dans un circuit par

[edesequilibre de charge existant it la surfacedu fiI rnerallique. Lelectricite « scatique »

est Ce qui permet Ie fonctionnemem du

circuit! A defaur de celle-d, fournie par des

batteries ou des generateurs, aucun appareil

elecrrique moderne n'existerair, Cela ne

devrait pas surprendre, puisque le voltage et

I'elecrrostarrque sont intimement lies.

Void une autre approche : lorsque vous

frottez un morceau de plasrique sur de la

fourrure, vous gene rei plusieurs milliers de

volts, aloes que les batteries n' en foumissenr

que tres peu. Maisdans les deux cas, Il y a

desequllibre de. charge de surface,ainsi que

production de forces d'attraction/repulsion

electrostatiques.

Ce sont les forces elecrrosrariques qui

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propulsent les charges Ii .

travers un circuit ; les courants

elecrriques snnr pcmpes

par I'e!~ ' : : e "statique »,

Ce .les<: ~ - f a friction qui

?~-= = - ::lecrrification

_ -~ ~ noire que c' est

~u:ion qui produit,

_ ~ icin~ «starique ». Elle<.:.ik

se man ifeste chaque fo~i;0{

ue deux materiaux isolantss

. semblables SOnt mis en'<k;

contact etroit, puis separes, r ( _ , · " ,mffit qu'il y ait eu contact.' i\Lorsque les surfaces ' S \ ( " 1 : - ; ,

couchenr, des liens chimiques:~~~*,c . ' :;.f~":~· . ~ \: :..~~

se rorment : et Sl les atomesi'~;~. ~.~"~'une des surfaces tendent it oo:'~~$;er plus

rortement leurs electrons, certi?:'$l iHace va

tenter de prelever des particule;~9 'ees~d,e~$.. ,.

_autre surface des q u'e lle s s e tou'c. "es. "",~ "w ,

surfaces se « chargent » de fa<;:onsoppQ. e e s ;. ~ , . . . . . . . " ! P : '

dies. acquierent des des6.9-~ifIi:G.Fe\,.de

?Olarites op po sees. U ne des sur,f.f¢e-s~~\plus

'electrons que de protons, alors q~~tautie2. plus de protons que d' electrons, Lorsque

.es surfaces sent ,3 . nouveau separees, les

:egions de desequiiibre de charges opposees

_~ sont egalemem. Par exernple, si un:uban adhesif est colle sur un isolant, puis

zrrache, Ie cuban et I'isolant sont tous deux

demifies ; iln' est nul besoin de friction.

Autre exemple : lorsqu'un rnareriau mince

est lamine entre deux rouleaux, il arrive

cue Ie materiau s' electrifie. Les rouleaux

rennent I'electrification conrraire, Dans

ane imprimerie, lorsque des feuilles de

;curnaux passent entre des rouleaux de

caoutchouc, le papier devient e le ctrif ie ,

~ par la suite, cela peLlt causer quelques

n rcb lem es d'adherenc e er des etincelles,C'est l'apparition de ce problerne dans une

yande imprimerie qui pOllssa Robert Van de

courant; La puissance de

ce champ-e est incroyable

en comparaison du voltage

'd'une batterie ou d'un

,"'~circuit elecrrique ordinaire.,"Ii est des milliers, voire, des

,~:celltaines de milliers de fois

WJplus puissant.

: f l'electricite « statiqu~ »

';'$,que' I' on rencon He

r1'q;otidiennement implique: : . ~ _ ~ O ; ' ~, "

, ' : h ld en ormes voltages, La

petite erincelle

» est provcquee

1000 volts.

de plus

celles

L e g e n E lr a l e u r d e V a n d e G r a a f f ,

Graaff a . concevoir son fameux generatellI .La friction n'est pas necessaire ; cependant,

si I'un des materiaux est rugueux ou fibreux

et n'offre pas suffisamment de surface de

contact, alors Ie fait de les frotter l'Ull

conrre l'autre peut fortement augmenter

la rotalire de cette surface. La friction pem

aussi eliminer d' eventuels residus hulleux

ou d'oxyde, mettant it nu une surface plus

nerre.

C'est pourquoi Ie ruban collant n'a pas

besoin d'etre frotte pour generer un

desequilibre de charge, alors qu'entreIe ballonet les cheveux, Ie rrottemenr

ameliore la surface de contact, Mais ce

n' est pas le frottement qui est la cause de

I'electrification ; Ie seul contact suffi t,

Voltages et chemps-eLelectricire « starique ))implique d'enormes

voltages. Toujours dans l'exemple de deux

surfaces isolantes appliquees (ou frottees)

ensemble puis separees, un champ electrique

tres puissant apparait entre elles, ec c'est ce

champ-e qui redresse les cheveux, attire lespeiuches, etc,

En outre, ce charnp-e est un exemple de

voltage pur, c' est-a-dire du voltage sans

NEXUS n<>42

janvier-fevrier 2006

I'accumulation de

c; -"2< quoi quece soit. IIs'agit d'un desequilibre

, e'nfrel.es"quantices de particules positives

et negatives deja existanres ; elles n'ontpas

, eu it s'accumuler,

L'elecrrificanon de contact ressemble plusa . un ({etirernenr d'aromes » qu'a autre

chose, 5i nous pouvions sal sir quelques

atomes et ecarter leurs electrons it une

assez grande distance de leurs protons,

nous creerions lin desequilibre de charge

ou « electricite starique ».

Il est vrai que lors d'une electrification

de contact, ou par friction, ce sont

habituellement les electrons negatifs qui

sont deplaces d'une surface it l'autre. Mais

ce transfertentralne que deux surfaces

sont en hat de desequilibre de charge, nonune seule. Cornme les particules negatives

sonr ecartees des positives, n'etant plus

proches ies unes des autres, elles ne

peuvent plus se neutraliser mutuellernent,

Par consequent, deux surfaces egales de

charges en desequllibre sont creees dans

I'operation, Si vous enlevez des electrons

d'un objet neutre, ses protons demeurenr

( ( a l1U »,

Et bien que les charges negatives soient

a I' origine du deplacernent, les charges

positives n'en demeurent pas moinsimportances. Avant la separation, le

materiau contient des quantites egales

de charges negatives et positives, Elles

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NOUVELLES DE LA SCIENCE

t . ,,.se fleurraHsem ~rriutueIlement.Aptes .La

'. . ._ .. ~ sep~rati~n,>. elJe~_*demeurent, d' ¢gal'€'~

.. ,' <'-. D'" ' r " . * I' -s d o f<,.,' " ,~lm~O);~<l-nGe' -:~n< .ql:e, I", 'Y o ~ :~s"e ;/%« P,' pr;?tPIl:~ ,;.'-_e d ele\ftrQ1l5~t~ .certe, 'ume~ ,

.. ~'" aur~ une th~rge 'globale p?si~v-e "'; Ae", ." '< . _ I'auzre cote, c'est I'inverse II lIe. secret:'

?, doridpas d'accumulition d'elemo~, mais

un de.seqp.ilib;e, J.i~e deneutrali:sat~n, un ;

etire~nei1t: un'es~plaxio~ ce q L t I : devraifse neuiraliser. ~. _..¥

Le,:rerme appropri§ serait «separatioJ\

de charge » Si vous remertez flPsemble':.

les desequihbres posltifs et"g~gat1fs, ou y

autaJ~.,il accu_mula.tj£~:d{erectrori\?. II n'yen a jamiis eu, c'est un simple, retour a de-la matiere non chargee.

Electrostatique et matiereEn fait, ies objets physiques sont constitues

de charge. Nous imaginons toujours la

matiere comme n'ayant que des relations

occasionnelles avec les phenomenes

elecrriques. Mais si nous analysons la

matiere en detail, nous trouvons une

snbstance faire de molecules" d'acomes et de

charge electrique positive et negative.La matiere est electrlque. La charge

elecrrique est le composant essentiel de

rous Ies atornes. Donc la matiere est faite de

charge elecrrique neutralisee, Des protons

positils plus des electrons negarifs forment

des atornes neutres.

Les objets physiques n'onr-ils normalernenr

aucune charge ? Nullement, ils sont la

charge.

Lelecuicire «stadque)} est aussi ordinaire

que la matiere. A en croire ses definitions

conventionnelles, I'etat « srarique » seraitun phenomene rare sans grand rappc)[[

avecle reste du rnonde, Bien sur, la foudre

est impressionnanre et les photocopieuses et

, t J , _ f

Ji(

f1(tLtI~

.. - .1 . Lf ~

F tia t: tlo n e ro eluif~

ies reAc1 .eurs

~e5

W r e r 6 \ . L C W r c t ee1ectros~ d.u.

, .

~ .C \ .U . aW""~.

o D

G G

s S

FETCANAL'P

%

FETCANALN

imprimances laser SOnt bien commodes,

mais si la « starique » n' exisrair pas, Ie

monde seraic-ll different 1

Lelectrosrarique est plus importanre que

ce que nous $upposons habituellement.

Conrrairemem aux idees recues, les circuits

electriques ordinaires sont etroiternent lies

it ]'elecuostatique. Pour commencer, c'est laforce elecrrosrarique qui anirne le courant

elecrrique l L e « voltage » est un phenomene

elecrrostatique , ce SOnt des champs

electrostariques, Sans elecrrostarique, iln'y

aurait pas de voltage, done pas de courant,

ni d' appareillage elecrrtque.

C'est une erreur que d'eriger un barriere

entre «sratique » et « courant » ; c'est aussi

srupide que d' e nseigner que la « pression )}

et le - mouvemenr » impliquent deux

sortes d' eau differences. La « starique » et Ie

«courant

»offrent deux domaines d'erude,

pas deux substances ni deux energies. Il.est

regrettable que cette distinction erronee

soit enseignee,

NEXUS n<>42

janvler-fevrier 2006

Parlout dans I'electroniqueLelectricite « stadque ))ne se manifeste pas

seulement dans la foudre, les phorocopieuses

ou Ies bequilles de portes. En voici d' autrese xe rn ples :

- Vos muscles sam consrirues de longues

molecules qui se [rottenr I'une centre l'autre,

Ce glissement est produir par I'attraction er

la repulsion electrostacique entre les parries

de la molecule. Par consequent, vas muscles

sane des moteurs electrostatiques !

:~ "'" Les neffs fonctionnent comme de

) ~·i¥lJluscules condensareurs, avec des pompes

A a charge pour Ies electrifier et des pones l

" :iOBS pour les decharger,

- Quand des atomes d'uranium sont heurtes. parCIes neutrons et que leurs Iloyaux eclatenc ..

" . , . .l'energie liberee nair princlpalement de k

repulsion entre protons positifs it charges

egales dans les fragments du noyau. Done,

les reacteurs nucleaires liberenr ['energie

electrostatique du noyau d'uranium. Uae

bombe au plutonium est en fait une bornbe

it repulsion « electrlque statique » !

Dans I'eleccrouique moderne,

l'elecuostadque des semi-conduceeurs joue

WI role essen tiel. En particulier, le type de

transistor appele FET [transistor a effet dechamp] est un dispositif electrostatique i

i"erar pur. L es champs elecrrcsrariques qu'i:.

renierme sam utilises pour ouvrir er ferme;

un canal conducteur qui regie [e passage de

courant. Le s FIT sont abondants ; tous les

transismrs des rnernoires, des processeurs et

des chips 1'0 [entree-sortie] des ordinateurs

modemes sont des PET, et ils se trouvent

aussi en majorite dans les televisions e;:

sysrernes stereo. Peu de gens realisent que

les composants « starlqueselecrriques » om

envahi l'indusrrie de l'elecrronique, oeque les PC sont consrirues de composanrs

electrosratiques rnicroscopiques, ou que

route !'information de reus les ordinareurs

du monde entier - e s t ernmagasinee SOllS

forme de minuscules configurations de

charges electrostatiques.

- Depuis les bacteries jusqu'a l'hornme, le

combustible qui anime le vivant est I'ATP

[adenosine triphosphate]. Une partie du

prix Nobel de chimie 1997 a ete decernee

aux chercheurs Boyer er Walker, qui om;

decouvert l'origine de l'energie de l'ATP.II se trouve que l'ATP est assernblee par

une enzyme elle-rnerne anirnee par un

minuscule rnoteur roratif elecrrosrarique ~

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J . : e 1 e c l : . r - i . . c i . 1 i

S~~t1£.

le.vo~e&ve.,

c e l ' ji . . ~-pro~

c ! . e . s i c 1 A l : s l r l e u . s I .

f N . r r " ~ L ' o-tot1£.eLseKL

le.dJ«e.

haut voltage peut attirer les peluches, les

petits morceaux de papier et se faire dresser

Ies cheveux. I1 produit aussi de longues

etincelles, des craquernents, des lueurs et

eclars bleus. II fabrique de I'ozone, qui

emer une curieuse odeur de chlore.

Toures ces choses sont les signatures de

l'electricite statique, mais elles ne sont pas

generees par l'erar « starique » de la charge

electrique. Elles SOnt le produit de champs-e

incenses, c'est-a-dire de haut voltage. Si

VOllS vous frouez les pieds sur Ie paillasson

et qu'ensuite vous envoyez du bout du

doigt une etincelle a quelqu'un, c'est qlLf

vous avez charge votre corps de plusieurs

milliers de volts.

4 . Le l ec tr ic it e statique est un desequilibre

de charge elecrrique.

Un materiau electriquernent neutre es:

consritue de protons et d'elcctrons t r e orapproches, Les effers des posirifs et des

negatifs se neutralisent, C'est pourquoi

les phenomeneselectriq uesn' apparaissenr

pas courarnment dans la vie quotidienne..

.Mais si, par accident, nous eloignons un 10-

d' electrons de leurs atomes et le s maintenons

it quelque distance, nous creons une region

de charge positive neue. Nous c re on s a uss i

une region de charge negative nette. Ces

desequilibres de charge s'entoureront dechamps-e internes. _

Ins!all e '-a-'.QeMtle7 --..washington ; - y , § ' p . , ~ " . ) ~ i i l t a ~J. Beaty sst mgenfeur electricie.l}~et S"cie-nifHq-tI'!amateur, conceptsur "de de-mjiistrationj; sets -t if iques, conseft ler pOIIT/manyels sco ta l res s.:conterencler. It_esl aCluellema,pt ingeni!i'ur ifs.recherches dans Ia division de Cbmpui1! 'r Electro-nlc Services du departsment de ch i'mie4e l'univ!i.F-

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NEXUS n042

janvler-fevrler 2006

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Ovnis er armee

~ I ·$; . i

{ ( L E S E X T R A T E R R E S T R E S SURVEILLENTNOS ARMES NUai.AlRES )1

Plusieurs temoins de Farmee, des services secrets et d'autres specialistes du nucleaire ont l ivre des

temolgnages prouvant que les ovnis sont bien reels et semblent s'interesser a nos annes nucleaires,Panni res temoins, 6gure Ross Dedrickson, colonel de l'armee de l'air americaine ala retraite. Extrait

du temoignage qu'il,a livre au Dr Steven Greer durant les auditions du Projet Revelation (Project

Disclosure) en septembre 2000.

missiles nudeaires, les Minuteman I, II et

ill. C'esr aussi durant cette periode que

j'lli encendu parler d'incidems concernant

des annes nucleaires, et notamment de la

destrucrion, par les extrarerrestres, d' acmes

necleaires envoyees dans l 'espace,

Dr Steven Greer : Les survols des sites

nncleal res ent-ils e t e pris au serieux rRD : Oh oui, et comment! En fait, il s om

m rellemene pris au serieux que la pluparr

extraterrestres, parce que cela affectait no-

tre ionosphere et que, la pollution ayant

envahi le champ magnetique, leur vaisseau

ne pouvait plus Ionctionner. D' apres ce

que j'ai cornpris, a la fill des annees 70 au

au tout debut des annees 80, nous avons

essaye de placer une arme nucleaire sur

la Lune et de la f aire exploser pour effec-

tuer, entre aurres, des releves scienrifiques,

chose inacceptable aux yeux des extrater-

restres.

SG : Et que s' est-il passe rRD : Le s extraterrestres ont

detruit I'arme tandis qu' elle se

dirigeait vers la Lune, Pour Ies

extraterrestres, l 'idee qu 'ungou-

vernernent rerrien puisse fake

exploser une arme nucleaire

d a n s I'espace etait inadmissible,

et cela a e t e demontre a rnainreset mainres reprises.

SG : De quelle maniere ?

RD : Par la destruction syste-

matique de route arme nudeai-

re envoyee dans l'espace... Par

la suite, lors de nos visires a losAlamos et a Livermore, nous

avons decouvert que les gens

s'interessaienr a . la technologicextraterrestre, et p a s qu'un peu.

SG : Ces conve rs at ion s on t- e ll es revele que

l'on p ro c ed ai t a l'etude de m akriaux d' ori-

g ine atraterrestre ?

RD: Oh oui, bien sur, En fait, c'est l 'epoque

ou la Zone 51 est devenue celebr e, . .•

Traduction: ChristeIe Guinot

des remolns, devant l'ampleur des tracas-

series <tdminimarives, du protocole, etc.,

renoncaieru a en parler, A chaque fois ou

presque ~e des ovnis etaient reperes par

un r ada r , Oil rentait de faire decoller un

avian S'r alene pour les intercepter.

Je me souviens quand nous avons fait

erploser une anne nucleaire au-dessus du

Pacillq e., je pense que ce devait erre en

61, ou quelque chose comrne ca. La cons-

ternation que cela aprovoque [du cote

des exrrarerrestres] est due au fait que cela

a coupe 1es communications au-dessus

du bassin du Pacifique pendant plusieurs

heures, rendant route transmission radioimpossible. Et cela inquietait vraiment les

NEXUS n042

janvler-fevrler 20a6

C ol. Ross Dedrickson : C'est en 1952,

a la mi-juillet, alors que je rravaillais al 'AEC (Commissariat a l'energie atomique

americain), que j'ai connu mon premier epi-

sode ovni, lorsqu'ils ont survole Washington.

J 'ai vu mes neuf premiers ovnis. J ' erais offi-cier d'etat-major pour le cornite de liaison

militaire entre le president de t-\.EC er e

ministre de 1aDefense. J'ai &it connaissance

non seulernenr avec l'anna: W : =, Ia JIl2.-

rine et l'arrnee de l'air, mas

aussi avec des o rgani sme s c r . - - L s .

la CIA, la 'monaJ ~

Agency et aurres ...

Au caurs de cette perioc.e,

l'une de mes fanctions cons is -

tait a accompagner une equipe

de securite qui visirait tou-

tes Ies installations nucleaires

afin de verifier la securite desarmes. Et il nous arrivait des

rapports sur des ovnis ayant

survole les sires d' enrreposage

er merne certains sites de fa-

brication. Et cela a continue

encore et encore; ..

Ensuire, dans les annees 60,

j' ai eee envoye au Cornmande- OIAi,o W . ru 'l5

merit unifie sous la direction

de l 'Amiral Felt. I'etais l'offi-

cier responsable du poste de cornmande-

merit de releve s'occupant de la planifica-

tion operarionnelle des armes nucleaires.

Durant cette periode, j'ai entretenu des

contacts avec le NORAD (Cornmande-

merit de la defense aerospatiale d'Ame-

rique du Nord), j'ai suivi les activites de

la SAC et je me suis interesse aux plans

operationnels de l'usage des armes 1111-

cleaires, A cette epoque, j'ai entendu

parler d'un certain nornbre d'inciderus

impliquanr des ovnis. Ensuite, j' ai pris maretraite de l'armee de l'air pour rejoindre

1a compagnie Boeing ou j'ai ete affecte au

programme Minuteman, r etais responsa-ble de la cornptabilite de toute 1a Hotte de

L e P ro je! R ev ela tio n, gr ou pe de r echer ch e et d e de -f en s e d e I 'i nt er e t p u b li c a b u t n on l u cr a ti !, a i de n ti fi e p lu sde q u atre cen ts p ers on ne s d e l'a rm ee , de s s er vicess ec re ts , d u g ou v er ne m en l e t d u m o nd e d e I 'e nt re pr is ea y an l ilt e t em o in s d e p ro je ts e t d 'liv en em e nt s n on o ffi·c ie ls e n lie n a v ec le s o vn ls e t le s a xt ra te rr es tr es . V o usp ou v ez c on su lt er le u r t em o ig na g e, a in s! q u e d es d oc u -m en ts g ou ve rn em e nt au x e t a u tr es p rs uv es , s ur Ie S it eInternet h t tp : / /www .D isc losurePro jec l .o rg . V o us p ou v ezega lem en l vou s y procu re r Ie ra ppo rt et Ie C D-R OMd u P ro je t R ev ela tio n. L es le mo ig na ga s d u D is clo su reP ro je ct o nl e le t ra d u ils a n fr an ca is : v oir le s t om e s 1 a t2 d e R e ve la tio ns p rs se nt es p . 7 8 .

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Russie

ARKAIM fASC .NE LES ARCHEOLOGUES

Le president Poutin~ a recemment visite l'un d es en droits les p lus mysterieux de la planete : le s mines

d e l'a n cien n e v ille d 'A rk aim , situee a la lisiere sud-est de I'Oura l. Un e cite de p lus de quarante siedes

don t le s v est ig es p a ssi onn en t a u s s i les u fo lo gues ...

Deshistoriens, des archeologues et des

ufologues ant passe de nornbreuses an-

nees it essayer de percer les secrets de cette

ville, qui date de la merne epoque que lescivilisations antiques d'Egypte et de Baby-

lone. QueUe nation vivait done it Arkaim il

ya plus de quarante siecles ?Comment les

mernbres d'une civilisarion aussi ancienne

sont-ils parvenus it accomplir des avancees

technologiques incroyables qui nous pa-

raissent encore inaccessibles ?

Un groupe de chercheurs russes , d i rige par

Vadim Chernobrovy, revient tout juste de

la rnysterieuse region. La vallee d'Arkalm

devait etre inondee en 1987 ; les autorites.locales cornptaient y creer un reservoir

d'eau pour irriguer les champs asseches,

Cependant, des scienrifiques ont decouvert

d ' e r ra ng e s c er cl es au centre de la vallee, On _

a done accorcl€ douze mois aux archeolo-

gues pour explorerla region.

Que! ne fut pas la surprise des scienti-

fiques en decouvrant qu'A.rkaim etait

contemporaine de l'Egypre ancienne et

de Babylone, ~t qu'elle etait it peine plus

vieille que Troie et Rome! Gennady Zda-

novich, presiden t de l'expedi don archeo-

logique dans Ies Monts Dural, a du alors

prouver l'lmporrance scientifique d'Ar-

kahn aux offlciels regionaux,

« Nous avons obtenu ce qui nous

paraissait absoIument impossible:

l'arrer du projet de constructiondans la region », a t-il explique.

Des fouilles archeologiques ont re -

vele que les habitants d'Arkaim re-

presentaient I'une des plus ancien-

nes civilisations indo-europeennes,

plus particulierernent la branche

dite aryenne. Par Ia suite, le site

s'est revele etre non seulement une

ville, mais egalement un temple et

un observaroire astronomlque.

T out Ie contort modeme

« Unsurvol d'Arkaim a bord.d' un helicoprereVOllS donne une impression incroyable. Les

immenses cercles concentriques dans la

vallee sont netternent visibles et semblent

enclore la ville et se s environs. Nous

ignorons toujours leur role, s'ils ont ere

faits it des fins defensives, sclentifiques,

educatives ou rituelles, Certains chercheurs

affirment que ces cercles auraient servi

de pisre it un ancien port spatial » , a

explique Vadim Chernobrovy.

Des chercheurs ont decouvert que

l'ancienne ville etait equipee

d'un reseal! d'egouts pluviaux

et d'assainissernent qui

preservaient les habitants

d'Arkaim des inondations,

Ils etaient egalement proteges

D ' immenses ce rcles concen tr iquese nt ou r sn t la c it e e t s es e nv ir on s.

habitation disposair d'un puirs, d'un fo~

et d'un cellier en forme de dome. Le pui

se rarnifiair en deux tranchees souterraines

l'une se dirigeair vers le four tandis que

l'autre aboutissait au cellier, Us ttanch€e!

permenaienr d' envoyer de l'air frais vers

Ie four et le cellier, Lair frais des tranchees

creait en outre une force d'extraction

extrernemenr puissante dans Ie four, ce qll!

permettait d'y faire fondre du bronze. Seule

la place centrale d'Arkaimetait

de formecarree,

A en juger par les traces de feux de joi~

disposees selon un ordre precis, eet endroi:

devait servir a certains rituels.Arkaim a done ere construite d'apres u r : .

plan complexe, unique et savant, et seloc

de s donnees astronorniques. Pendan t que le s

archeologues epousserent mericuleusemen;

les anciennes pierces et essaient de reconsrs-