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»Ne,. d1.130 ABONNEMENTS t la led 6 mis 34 Ira I as 65 Irt - - QUESTIONS SCOLAIRES »0« « Sélection négative et « orientation obligatoire= »0« --- theure tardive et sa fâcheuse indigence, le discours prononcé l'autre nuit par M. Louis Marin mérite de ne pas pas- ser inaperçu. On y trouve, pour justifier une difficile opposition à l'écale unique, de curieuses préoccupations. Evidemment, elles ne jus- . 4:" Aifient rien du lent; mais elle dénotent et avouent LM incroya- -ble état d'esprit car, bien entendu, il ne peut êtr'e question A se point, d'aveuglement ou de naïveté. L'école unique, dit M. Marin, amènerait « une sélection nolgative. Quand quelqu'un s'arroge le droit d'écarter des enfants de tel ou tel ordre d'enseignement, il n'y a rien de plus dangereux, ni pour lui, ni pour ceux qu'il a à juger. a Rien de plus condamnable également que la perspective de je ne sais quelle « orientation obligatoire », qui hante son cer- On ne saurait perche de temps à réfuter de pareils argu- ments. Les moins informés n'ignorent pas que l'écale unique sic veut opérer nulle sélection arbitraire, pas plus qu'orienter obligatoirement, contre leur gré, les gens vers talles professions déterminées. Mais puisqu'il nous a révélé la nature de ses inquiétudes, je voudrais signaler à M. Louis Marin une a sélee.. lion négative » et une « orientation obligatoire » non point à, l'état fle menace, mais de présente et cruelle réalité. Comment ont-elles pu échapper à sa vigilante indignation ?... Comment lui a-t-il échappé que la plus effroyable, la plus arbitraire « sélection négative » s'effectue cloaque jour sous ses' yeux ? Comment lui a-t-il échappé que le hasard de la nais- , salope et le privilège de l'argent « s'arrogent le droit » d'écartet yuthien d'mfants « de tel ou te/ ordre d'mseignement » et de joui enseignement mime ? Allons I je vous on prie, cessons de plaisanter... Quelles Intelligences, quelles riches possibilités, quelle somme de génie pmfois, se perdent parce qu'en fait l'école est interdite aux pauvres 1 Votre consMence est apaisée par l'octroi parcimonieux de quelques bourses qui viennent apporter /a charité d'une goutte d'eau. Mais cette charité même n'atteint pas son but car, le plus souvent, au modeste logis du travailleur, en dehors de l'impos- sibilité de payer l'instruction du fils bien doué, s'impose la nécessité de l'atteler, enfant, à une liche rétribuée. Qui ne la voit « l'orientation obligatoire » d'une classe entière vers les besognes subalternes ? Mais n'est-ce pas lb tout le régime ? N'est-ce pas là-dessus qu'Il. est 'basé ? N'est-ce pas sur l'exploitation d'une majorité mise en tutelle qu'il prospère ? Ceux qui, à défaut de cobol de l'intelligence, ont le mono- pole de Pareto' se défendent et veulent s'assurer, comme assit- ter à /eur descendance, le monopole des directions, du bien- être et du savoir. J'en préférerais, de leur bouche, l'aveu brutal, à ces piètres hypocrisies, qui ne trompent personne. Comme mon ami Doncho, cet autre évadé, insolemment surgi des masses populaires, avait raison de citer, en conclu- sion de son émouvant et beau discours, lex paroles de Diderot « Avoir des esclaves n'est rien ; ce qui est intolérable, c'est ''axer tt, ," .es en les appelant citoyens. » Henry ANDFtAUD, Député du Pull-de-Dôme. A arlS LA TEMPETE Ge oui reste d'un casino une plage de la Manche proche Trépod. Radicaux et Socialistes Léon Blum continue dass Le Po. r sa campagne contre la par- Ititipation au coure d'arricles absolu- .eent remarquables et d'une admira- lIa Probité. - Pourquoi les radicaux, ee deman. dca-il, testent-ils notes imposer la learticipation gouvernementale t C'est pour se garantir contre ce, ,taine glissements, contre eenaines déviations. La participation est le Ionique «si rendra le parti radical eue résolu, plus aventureux, plus redent. Et voici la réplique, maii trou- e., que possible, do leader mem- Si sincère que soit notre désir es.ttirer et de fixer à gewehe le P., ?ti- radical, Eotts ne pouvons, quant no., accepter In thèse de l'unité foncière des parties de démocratie. Nous n'admetteou pas qu'il miste un grand parti de Démocrate uni- taire dont le Radicalisme et le Sm ,pielime ne .raient que des variétés. Nons ne nous sonm. jamais considé- tés mmme l'aile ma-Mante ou «amine la troupe de ch. d'une Vende armée qui engloberait avec bons les autres formations républi- eames, Nous somm. autre boue sommes h part. A ehté des coin. cule.es que je ne eonedére quant à edi mi comme fortuit. ni comme "in SOCIALISTE Rédaction et Administration s 38, Rue Rom:daine TOULOUSE TéL 0.43 C. C. postaux I 3.277 BUREAUX A PARIS s 28, rue Feydeau (2. Arrondissement) Téléphone : Gutenberg 70-38 611-211 préesir. il subsiste dee dietine. tiom fondamental,, qu'il serait oi- seux de faire ressortir une fois de plus; D'ailleurs ce gouvernement radi- cal auquel notre collaboration ap- porterait l'animation et la vigueur qui donc pâtirait de son échec, qui Eooe bénéficierait de son sue.s L'échec, s'il se produit, sera infailli- blement rapporté h l'exoés de nos exigences ; le succès, s'il est obtenu, profitera au parti .qui sera resté en nom, en titre, qui aura fourni l'association sa firme et m raison s.is.le, c'est-à-dire au parti radi- cal. S'il est vrai que noue apportons D force ails vie, alois nom devons détenir la direction ; s'il est vrai que nous courons le principal ris- que, alors nous devons memrver la responsabilité principale et noce ré- serve, le ms échéant, /e bénéfim principe,/ du eues.. Mais, ajoute Blum, lm plus habi- les nous lancent encore une sorte de défi, ils veulent noue eontrain- Ere d paryteiper pour montrer qu'osa fan iesOslil, us r arZieC que lai- radicaux. Emplortant d avance la annfenon toujours rerloveable entre la conquê- te et l'exercice du pouvoir, il, er corsetant la déception populaire. Its se prépareet Végéter ales électeurs: Voue aves hm les sistattetes à I oeu- vre. ne ont passé par le pouvoir, qu'y a-t-il de changé d la société ca- pitaliste 1' Qu'onteels detruit, qu'ont- ils construit I Ils ne sont nu bout du compte que dee réformateurs comme nove, aussi prudents, assai mesurée, messe désarmés contre les grandes ré. sistances sociales. AU JOUR LE JOUR Le Sport et la Paix Notre ...ire do Moi-do a dit 0 le Chambre r a Le sport, des, la coin. v Il pas* me ose bourde. Clos de nos plus spirituels anadms ra le loi pa. dire, en rappelant soc Inn eem pétition. sportif. dégénèrent, nem' fol. sr, dir, en batailles rangées. 05 no !irslolZ 1.s,'mff;,`.0L0 I) Me +auvent ces tour- noie, dont Chimâne West Pee le et,- mn,e neer:one. tin -cert.Ummbre de pointe que les belligérants retaillant 'ne... Mai, m peut dire eue, man. de cet- te bicot» to paix n'u perd rien. Au con- trat,. Il semble p.ouvé 9.D Pore motif deux grandes cames elaa des économique. et le bellidsms latent au coeur de Eut homme. Le choc de. Mérêts économique. n'e rien a mir «ove le .port. Soit. Moi, I. 64- licisme D touche de Lès torâc Les »nacre. spo,ices dominicales sont donc comme alliant de marimPes de eére- té qu'on more et OaO laissent échopper pression intérieum, cette Ms.. gui, si elle ne trouve tom d'etutoim fini sas ou tard Par preroever hes gmndes eallecliues etgen iy>pelle guerres. Tout compte fait, les batailles Mertices répondent a un bonis de Cluenanité et nous préservent d..e beaucoup plus Umm. Et voilà pourquoi le ministre n'a pas été P ma/ venu de dire r a Le sport, c'est ia pais. s ANDRE NEGIS. Un nouvel ambassades, now e.1 aand des EtantUnio rhe.1 de l'ambassade O Paris. Cataclysmes en perspective me NOUS ANNONCENT QUE L'ANNEC daim je ne peux pas vous dire. I II DEUX VOYANTES Non I mn s'Es-let-Me sou- 1930 SERA IIOULEVERSEE ET y D. des Moses vé. miens ne CATASTROPHIQUE li se passera aussi des chosm Soit vaut mieux ne pas dire '-o lltil encore, naw.isea-mor sont les faits terribles quI nous bort, leverseront. Je n'étais pas préparée à votre venue. Il y a tmote une étude à faire. Il?' Spi-ri-nos réfléchit. Elle hé- site visiblement parler. Elle éteint l'êtectridle, la rallume. laide semble agitée. »Otl LA SITUATION EST ANGOISSAN- TENOUVEL AVERTISSEMENT P, ' M. TARDIEU.LES MESURES ISEALANOTES AU GOUVERNE- MENT R.ESOUDRONT-Fl ICS LA CRISE LES POSITIONS ME. NAÇ;ANTES DU CAPITALISME. MIE VA FAIRE LA C. G. V. Devant l'effondrement des cours, l'arrêt total du nus-berce, l'engor- gement du marché, la diminution extrême de la consommation, une vague profonde de mécontentement et prmque découragement secoue le monde des vignerons et, quelqum efforts qui puissent être faits par mprits mimes et réfléchis, one agitation redoutable est h craindre si de prompt. Mes.. ne viennent pas manquer, d'une façon tenait. aux viticulteurs, que le gouverne- ment prend en mains, sans aucun retard, le. cause comme il Pa fait avec justke pour les producteurs de blés et pour les producteurs de bel- terav.. Nous adjurons IL le prési- dent du conseil et sm collègues da gouvernement d'entendre notre m- ./ Demain 41 serait trop tard, car le temps presse. Ainsi s'expriment les présidents des groupes viticoles du Sénat et de la Chambre daos une nouvelle note qu'ils out remise à M. Tardieu le 11 décembre. Cet avertissement est trop éloquent, dans son émouvante concision, pour que je ne croie Pas superflu de le reproduire ict. Je ne doute pas qu'il saisisse s Pmprit réaliste de notre président do conseil, et PesPère que le sociauxsociauxprogramme des mesures qui lui sont_ demandées ne découragera pas les ban,nes intentions qu'il affirme l'égard de la viticulture 1,aissons-lui le temps de le réflexion, de l'étude complémentaire qui lui semble né- cessais, Il doit s'entretenir sem la COMMiDDioll interministérielle de la 105 représentants des pas dire. r Et elle se renferme dans un mn- AV. .51505e de Siva fut pl. lo- osai cent trente se Place musée. Elle missi est assez effrayée très nettement sieste signe de par l'année 1930. Elle prévoit des Mars, nem, e dit Sneranta, use ruptures d'mtente et des guerres, voyante de la rue Delambre, très des Mfificultés au sujet de nos cote- consultée. mes, des troubles dans lm provinces MaTS, cela signifie des boule- reltwirées. versements de toutes espèces dans Elle annonce encore des krachs perdre politi, eranme an point de retentimmts et dm modificatons vs, us ta sante, dans po.-dre al,nn. dans la législation commerciale que comme dans l'or Elle nous a parlé dérides-iradre moral. s Et es n'est pas seulement l'in- 11ier dmiédnea'lln,; fluente de la planète Arne nous re- ne parviendront pas expliquer, connaissons. Il y a noué. nous mue,d,,,,,i,onn,,ms , do no,,,0 autres signes précurseurs ! oaa d, toue, et d'une étrange ta re- doutable maladie d'ymx clni s'abat- tra sur notre pays. Elle voit aussi des tremblements de terre. Mais 11 est pour elle une consolation r e Bmineoup d'mprds s'intéresseront au spiritualisme et seront vivement attires per Due voila une amie Oui Cannon- ce alitocalYntitine. LA VITIALTUAL CM MUSSE grandes msaciatiom viticoles et les bureaux des groupes viticoles parle- mentaires. Espéromss sorti. de 10 définitivement éclairé sur une si- tuation des plus angoissantes, ou ses capacités st vantées de < réalisa- teur trouveront b s'exercer. Out espérou.s, mais ne nous berçons pas de trop douces illusiens I Les présidents des groupes viti- coles, après avoir reltPelé la longue liste de nos revendimtions immédia- tes, ajoutent 1 u Ellm ne suffiront pas I résoudre le vaste problème Md se pose. s C'est bien ce frue l'al dito dit, et ce que je crois nécessaire de répéter encore. La nouvelle crise ou se débat la viticulture est, en réa- lité, sine crise sociale des Plus gra- ves ri laquelle, je le crains, le gou- vernement et le Parlement actuels n'armorieront que des solutions in- complètes, provisoires, insuffisantes qui, en définitive, étsoudront rien. La crise, je l'ai déjà indiqué, dérive alose cause essentielle Un déséquilibre profond et qui tend devenir pernament entre /a produe- tim et la consommalion. Et ce dés- équilibre est lui-même la résultante d'une situation économique tonte nouvelle, qui s'affirme de.puis quel- Clnes ECCE., s'aggrave de jour en jour, et sur laquelle il me parait que Pattention des viticulteurs n'a pas encore été suffisamment éveillée O ,'agit de renier-Ise, de la domina- tion de plm en plus marquée du sa- p"eilerlioaninatIon s'eserm Par une double voie D'abord, par la mtmentration du commerce dm vins en quelques grandes firmes, qui sont devenues maîtresses du aus,rohe et qui, main- tenant les prix de vente à un niveau scandaleusement élevé, arrêtent Pes. sor la consommation. Et, en second lieu, par l'interven- tion de ces mêmes puissances capota- lestes dans t. Production du vin. Pour faire baisser les Pris d'achat, pour amener et maintenir ces prix asos taux les plus bas, ceux ITU, j appelés s les rois du pinarml n n'ont pas hésite lome faire eux-mêmes vi- ticulteurs Obi ne confondons past COS 11.00.1VeaUX Venu% dans la vntred - tee ne sont pas des viticulteurs comme vous et mol. Ils opèrent de Mute autre maniéré, avec une am- pleur et une audace que leur per- mettent les énormes moiteos dont ils disposent. Ils ont déjà acquis et nais en exploitation, en Algérie et au Maroc, de vastes domaines, de «Mu- tables s latifundia a, où les procédés les plles perfectionnés sont nais en uvre pour réaliser une culture des plus inte.ives. Et voici qu'après l'essai encourageant qu'ils ont tenté sur nos terres d'Afriq., ils vien- nent sur notre propre terre méridio- «ale appliquer lesir tactione savante. Ils ont atheté, tIS Debetent tous les joues, en Provence et m Languedoc, de grandes propriétés qu'ils e équi- pent e en exploitatio00 viticoles à très gros rendements. Ils minptent par ce moyen augmenter d'année en année notre production algérienne et méridionale, et noyez souslco flots dan vin très médiocre, obtenu à bas prix, les vins si complets, si riches, si variés que le travail opiniâtre des petits et moyens vignerons fait jaillir de nos bons terroirs. Ainsi, la tactique du capitalisme Viticole est double s Accroissement de la production; restriction de la mnsommation. Le résultat est iné- vitable, C'est celui que nous .sots- tons aujourd'hui I Engorgement du marelle, paralysie du conmerce li- bre, maîtrise souveraine du carte capitaliste des, vins, mit s'enrichit mi dépens du producteur et du consommateur. Telle est la situation. Bien aveugle qui Te vomirait la voir I Bien cou- pables ceux qui la voyant ne la dé- limitent pas ! 01,1 ! es n'est pas 411 gouvernement de M. Tardieu que l'attends cette dénonciation. Il écoté tem nos doléances trop justifié., nous prodiguera les assurances les plus émues d'une sympathie platoni- que, qui noies laisseront gr.-Jean comme devisai, mon quant à s'atta- quer aux racines du rual, il s'en gar- dera bien. Il a le peut Pas, sans trahir la confiance que toutes 1u grandes forces capittlistm du Pays ont mises eu lui. Comment, dès lors, échapper au terrible danger mu no. menace, dirons ces milliers de Petits vigne- rons qui, déjà, dans tout le ?tub, s'émeuvent, s'agitent, se redressent avec la noble fierté d'un vaincu qui ne veut pli se laisses Mettre 1... Par la force latente que nous Per- .. en nous, Par la rmissance de notre nombre, de notre cohésion, de cotre 17;e r' snelanere 'Cl'in'reést d nous, que 000s Ont léguée nos aieux et que nous voulons, comme em, féconder de notre labeur. Mais comment exprimer cet te force, comment mettre en oeuvre cette puissance? Par une organisa- tion méthodique de la vente du vin, que seule peut créer la grande sel. 10000151 des vignerons. Cette tivité mis.. C'est la C. G. V., qui, groupant depuis vingt-deux ans tous lm viticulteurs marld'onan , dis Pose, I mon avis, de moyens suffi- sants pour relever /e défi Mre mus jette brutalement un capitalisme avide et -oppresseur. Les dirigeants de notre C. G. V. edendront-ils la voix quIs'éleve de la terre méridionale, les appels de cette f oide innombrable de vignerons, dont beaucoup rmivent aujourd'hui, par le souvenir, les grandioses et tragiques journées de 1h01? Com- .prendront-ds, ces dirigeants, que la tactiq. suivie par eux jusqu'à ce jour est rfésommis périmée, qu'il est temps de sortir de la période des doléances, des récriminations, cle.s voeux trop souvent stériles Imur en- trer résolument dans la voie de rac- tion féconde? Faudra-t-il rappeler f l'état-major de la grande armee des vignerons du Midi, les solennels engagements, les serments sacrés qui scellèrent, Il y a vingt ans, l'union enthousiaste d'où moult ln PniMaete organisation qui porte encore au- lourd'hui nos Pins fermes espéran- ces ? L'heure des résolutions hardies a sonné. Dans la fiévrm,o angoisse d'un sombre avenir, nous attendons. VIGNERON. L'action du Som roumi PLANDIN REÇOIT LES REPRESENTANTS DU COMMERCE DES VINS Par., 15 décembre. M. P-E. F/andin, ministre du commerce et de l'industrie, a reçu une délégation composée de MM. fleuri Campanaud, président de la Confédération du omnium. des ripions de produc- tion (France-Algérie) et des impor- tateurs de vins français MM. Pier- re Pans, président d'honneur du syndicat des Pyrénées-Orientales, président du tribunal de commerce; Louis Bue, président d'honneur du syndicat d'Oran, représentant l'AI- gérai commerciale ; Pierre Brial, secrétaire général, représentant la Fédération provençale du commer- ce des vins ; tamlues Grsti. sentant /es Fédérations du ud- Ouest (Bordeaux, Charente, Arma- gnac). LE MINISTRE DU COMMERCE PREPAlbE LES MESURES NECESSAIRES POUR LES BOUTEILLES ET LES VERRES Paris, 15 décembre. On sait que le groupe parlementaire viticole et In cominfmion interministérielle ont réclame du gouvernement quo dos m.ures .ient prime au sujet de la sous di LM ait et.,±1 .n bouteilles 25 CENT. Les députés qui rectifient leur vote ontlis peur de M. 7ardieu plus que de loure électeurs cu inversement ? Y a-t-il un impérialisme américain Y attil un impérialisme arnéri cain I Les hommes politiques d'ou- tre-Adantique, républicains ou dé- mocrates, le conteste. `tout natu- rellement. On répudie toujours son propre impérialisme pour dénoncer, celui d'autrui. Mais, en fait, rac- tion extérieure des Etats-Unis ne se différencie pas essentiellement de celte de tant d'autres PEYn. Plus la richesse et la production de l'Amérique se développaient, pl. s'accentuaiert l'emprise d'une oligamhie industrielle et financière sur les affaires publiques et plus le cabinet die Washington consacrait d'efforts à l'élargissement du mar- hé et à la conquête des débom és. La construction du canal de Panama répondit à ses plans. Cette entreprise ne facilitait pas seule- ment le passage des navires mat- °bands d'un océan à l'aigre; elle donnait aux escadres de l'Union le Mores de se transporter rapide- ment d'un rivage à l'autre. En réa- lité, I imperzalisme amencam damej de l'époque où elle fut terminée., L'Union ne s'est pas contentée d'une annexion officielle mi clégm- sée des anciennes colonies espa. &moles qu.'elle a prises par une guerre à /a fin du demier siècle. C'est sur tout le Nouveau Monde qu'elle a étendu son rayonnement, exercé son ascendant, manifesté ses convoitises. Elle se considère comme la puissance tutélaire et maîtres., mais elk fait sentir son prestige avec Plus ou imams de vi- gueur, selon qu'elle s'adresse à un Etat plus faible ou plus fort. Elle ne traite pas le Brésil comme la Colombie ou le San Salvador. La doctrine de Monroé, qui remonte à cent six ans maintenant, a acmus un sens nouveau I elle voulait dire, jadis, qu'aucun gouvernement euro- péon ne pourrait s'ingérer dan.s les affaires nord ou centre ou sud-amé- ricaines. El> signifie aujourd'hm que le cabinet de Washington, sous couleur de maintenir rordre, peut toujours inte,enit par les armes dans une des républiques latines. Ces interventions ont été nom- breuses dans les dernières années. Cuba et Porto-Rico sont sous le protectorat à peine déguisé de l'Union. Mais si M. Kellogg, tem du fameux pacte de paix, a lui-renie donné la formule de l'in, périalisme yankee lorsqu'il a fixé à la _lisière du canal la limite des Mtérêts immé-diats de son pays. C'était le moment où il agissait au d'un litre ou de ses sous-multiples et pour la surveillance du prix de vente du vin au détail. Dans me interview donnée par M. Mande, ministre. du commerce, au «Matin», la ministre s déclaré One l'on du objectifs qu'il poursuit actuollemmt est de ramener le commerce à la sincérité qui devrait être une règle impérative et qui est un peu trop perdue de vue. La Révolution française, nous a dit M. P.-E. Flandin, avait établi le systems déCimal pour unifier les euzs moraliser les tranjactionusi, MartésI netre Cues'f'ûts et barriques par exemple, ont une capacité qui varie considérablement et que l'acheteur n'a aucun moyen d éT ', lu bouteille, sont plus des litres ; les verrm eux-mê- mes sont de plue en plus peti.; les demis de bihre, que sont-ils mainte- Ce que je voudrais obtenir, c'est que l'acheteur sache exactement ce qu'il achète que te contenu de cha- que rampent soit indiqué avec, Men entendu la marge des variations dues 5 la température ou autres causes ptmyomqamu. 0.n a déjà. assuré le contrôle des distributeurs d'essence ; je voudrais que ce souffle s'étende. fl ne s'agit pet d'étatisme. L'EU:, en cette al. tan-a, gardera son rale d'arbitre, mais ce contrôle est nécessaire ; il aura notamment me grosse influ- ence MIT nos importations h l'étran- ger, dont la confiance s'accentuera. C'est le service des poids et me- sures qui aura lacharge de ce con- trôle. Nous allons étudier le moyen de l'assurer mit par une loi, soit par décret, et nous étudierons égale- ment les crédits qui seront nems- sairm et qui ne paraissent pas de- voir être tres importants. M. P-E. Flandin entend parvenir Jusqu'à contrôler l'exactitude dm compteurs d'électricité. Apres s'être attaquf au contrôle de la quantité le ministre du coms merce étudiera lm moyen, de con- trôler les qualités. Eavoyea »on LE'rEICES et COLIS es ALGÉRIE, es ESPAGNE, as MAROC ea. A. O. F. et te /INERME DU SUD par AVION. COMPAGNIE CECIPEALE AÉROPOSTALE OZ Arras. des vtancs.él,sérs, Télephoue. g Elyafee 81-09 éreeefnMedealnetaeMelleneMeatemeameMeneh LUNDI 113 DEC:EMPIRE, 192O Mexique, qui était aMsi proclamé sphère d'influence indirecte. Les affaires du Nicaragua ont' qu'Inat ll y expanfioenunidismeles- de Wcae- shingron. M. Kellogg et M. Cos. lidge von/aient imposer un Prés- dent de leur choix, parce que ce Président lem avait accordé des facilités exceptionnelles paie la construction d'un second canal parallèle à celui de Panama. Ila ont luis In gumre aux libéraux qu'ils qualifiaient de rebelles et de bai. Lnsituation est analogue, à cette hume, à Haïti. Là, le cabinet de Washington possède, depuis 1915, un droit d'ingaénce, si l'on peut parier de droit. Un haut-conums- sage, nommé par lu' réside à, Port-au-Prince, où il contrôle /a politique. Cl cependant, on ;gon, .n;réairitc bienau:noup le g affirmarautv jneureinet Les Haïtiens n'acceptant pas ie président récemment élu, qui a été en fait choisi par le haut-commis, saire, M. Hoover a concentré des navires devant Port-auFrince et de- barqué de. isiliers. A peine ceux- ci éts,ent-ils- à terre qu'il, tiraient des salves et tuaient des Haïtiens. Le résultat est que d'autres débar- quanents ont été ordonnés. h.-ne oPuosition se manifeste à Washing, ton contre cette politique, les dé- mocrates demandent l'évacuation et M. Borel, le président de la Commission sénatoriale des Affai- res étrangères, annonce qu'il con. battra le vote des crédite de rex-,' péditiom mais, en attendant, celle- ci se développe. Le Mexique, la Dominicaine, le Panama, le Hom, duras, le Nicaragua et Haiti, voir,:é, les preuves d'un impérialisme qui Mquiète et irrite les républiques centre et sud-américaines et céntre lequel elles ont émis des protesta- mn memage au Congréa. Vaut. jour, M. Hoover l'a dit depuis 1914, l'Amérique a triplé ses dé- penses militaires, qui montent désormais à 21 milliards de francs,, en attendant qu'elles aug-rmentent encore. Elle retient 890.000 bom, mes sous les armes. Aucune puis sarce un budget de guerre e de marine aussi Isard. lie,, vrai, redisons-le, que M. Kellogg a été l'artisan du pacte de paix perpétuelle et que son succes- seur Sois-sous convoqué, d'ac- cord avec le Cabinet anglais, la Conférence de limitation navale.._ PAUL LOUIS, CONTRE LE CRIME M. HERRIOT SOUTIENT LA MESIE THESE QUE NOUS M. Edouard Herriot poursuit, dons l'Ere Nouvelle, sa campagne suc la nécessité de protéger l'enfance contre le crime. fInI, une nommas foie de nombreux exemples 4.1 prouvent la détestable influence que peuvent avoir dans certaine cas le cinéma et la Prceec Que veut-on de plus ? Qu attend- od2iàpol,ilireéeperv.rerlaungu%gnéené,roantic, cette publicité panée aux techn, ques du crime. Pour moi, je cons:. dère l'oeuvre que j'ai entreprise comme hee a ma propagande achDynée pesa la paix. Le pacifis- me est fine éthique autant qu'une politique. Je songe aux paysans qui vivent Isolés, aux vieillards mal protées. Comment trouve-t-on en. core des encaisseurs ou des cais- siers ? Je me tourne vers M. le Garde des Sceaux pour lm due « Le 19 novembre dernier, vous avez adressé aux parquets une prohibe, au nom de la loi du 22 Millet 1912, la reproduction de tout portrait dm mineurs poursui- vi., toute publicité illustrée concer- nant lems personnes et leins actes. n C'est bien 1rnnis ce n'est pas assez. Pourquoi ces limites ? Pour- quoi tant de réserves l,Aunae, dit la circulaire, où, malgré les me sures prises. Isle illustration serait publiée, vou sauriez soin de m'en référer. r Paperasse, correspon- dance, pendant ce temps, le mal se fait. C'est de toutes façons qu'il faut interdire l'indiscrète publicité donnée aux techniques du crime. Lucien Hubert. mon vieil arni, rem seigner,vous, et vous verre. à quel point j ai raison. Si les textes ne. suffisent pas, demanden-en d'au. tres au Parlement. Atout prix, il faut protéger le. enfante. +00atesectes06.00eaCCOSee -4 LISEZ ET PACTES LIRE LN s MIDI SOCIALISTE 1, Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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»Ne,. d1.130

ABONNEMENTS tla led 6 mis 34 Ira I as 65 Irt

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QUESTIONS SCOLAIRES»0«

« Sélection négative et« orientation obligatoire=

»0« ---theure tardive et sa fâcheuse indigence, le discours

prononcé l'autre nuit par M. Louis Marin mérite de ne pas pas-ser inaperçu.

On y trouve, pour justifier une difficile opposition à l'écaleunique, de curieuses préoccupations. Evidemment, elles ne jus-

. 4:"Aifient rien du lent; mais elle dénotent et avouent LM incroya--ble état d'esprit car, bien entendu, il ne peut êtr'e questionA se point, d'aveuglement ou de naïveté.

L'école unique, dit M. Marin, amènerait « une sélectionnolgative. Quand quelqu'un s'arroge le droit d'écarter desenfants de tel ou tel ordre d'enseignement, il n'y a rien deplus dangereux, ni pour lui, ni pour ceux qu'il a à juger. a

Rien de plus condamnable également que la perspective deje ne sais quelle « orientation obligatoire », qui hante son cer-

On ne saurait perche de temps à réfuter de pareils argu-ments. Les moins informés n'ignorent pas que l'écale uniquesic veut opérer nulle sélection arbitraire, pas plus qu'orienterobligatoirement, contre leur gré, les gens vers talles professionsdéterminées. Mais puisqu'il nous a révélé la nature de sesinquiétudes, je voudrais signaler à M. Louis Marin une a sélee..lion négative » et une « orientation obligatoire » non point à,l'état fle menace, mais de présente et cruelle réalité. Commentont-elles pu échapper à sa vigilante indignation ?...

Comment lui a-t-il échappé que la plus effroyable, la plusarbitraire « sélection négative » s'effectue cloaque jour sous ses'yeux ? Comment lui a-t-il échappé que le hasard de la nais-

, salope et le privilège de l'argent « s'arrogent le droit » d'écartetyuthien d'mfants « de tel ou te/ ordre d'mseignement » et dejoui enseignement mime ?

Allons I je vous on prie, cessons de plaisanter... QuellesIntelligences, quelles riches possibilités, quelle somme de géniepmfois, se perdent parce qu'en fait l'école est interdite auxpauvres 1

Votre consMence est apaisée par l'octroi parcimonieux dequelques bourses qui viennent apporter /a charité d'une goutted'eau. Mais cette charité même n'atteint pas son but car, le plussouvent, au modeste logis du travailleur, en dehors de l'impos-sibilité de payer l'instruction du fils bien doué, s'impose lanécessité de l'atteler, enfant, à une liche rétribuée.

Qui ne la voit « l'orientation obligatoire » d'une classeentière vers les besognes subalternes ?

Mais n'est-ce pas lb tout le régime ? N'est-ce pas là-dessusqu'Il. est 'basé ? N'est-ce pas sur l'exploitation d'une majoritémise en tutelle qu'il prospère ?

Ceux qui, à défaut de cobol de l'intelligence, ont le mono-pole de Pareto' se défendent et veulent s'assurer, comme assit-ter à /eur descendance, le monopole des directions, du bien-être et du savoir.

J'en préférerais, de leur bouche, l'aveu brutal, à ces piètreshypocrisies, qui ne trompent personne.

Comme mon ami Doncho, cet autre évadé, insolemmentsurgi des masses populaires, avait raison de citer, en conclu-sion de son émouvant et beau discours, lex paroles de Diderot

« Avoir des esclaves n'est rien ; ce qui est intolérable, c'est''axer tt, ," .es en les appelant citoyens. »

Henry ANDFtAUD,Député du Pull-de-Dôme.

A arlS LA TEMPETEGe oui reste d'un casino une plage de la Manche proche Trépod.

Radicaux et SocialistesLéon Blum continue dass Le Po.

r sa campagne contre la par-Ititipation au coure d'arricles absolu-

.eent remarquables et d'une admira-lIa Probité. -

Pourquoi les radicaux, ee deman.dca-il, testent-ils notes imposer lalearticipation gouvernementale t

C'est pour se garantir contre ce,,taine glissements, contre eenainesdéviations. La participation est leIonique «si rendra le parti radicaleue résolu, plus aventureux, plusredent.

Et voici la réplique, maii trou-e., que possible, do leader mem-

Si sincère que soit notre désires.ttirer et de fixer à gewehe le P.,?ti- radical, Eotts ne pouvons, quantno., accepter In thèse de l'unitéfoncière des parties de démocratie.Nous n'admetteou pas qu'il misteun grand parti de Démocrate uni-taire dont le Radicalisme et le Sm

,pielime ne .raient que des variétés.Nons ne nous sonm. jamais considé-tés mmme l'aile ma-Mante ou«amine la troupe de ch. d'uneVende armée qui engloberait avecbons les autres formations républi-eames, Nous somm. autreboue sommes h part. A ehté des coin.cule.es que je ne eonedére quant àedi mi comme fortuit. ni comme

"in SOCIALISTERédaction et Administration s 38, Rue Rom:daine TOULOUSE TéL 0.43 C. C. postaux I 3.277

BUREAUX A PARIS s 28, rue Feydeau (2. Arrondissement) Téléphone : Gutenberg 70-38 611-211

préesir. il subsiste dee dietine.tiom fondamental,, qu'il serait oi-seux de faire ressortir une fois deplus;

D'ailleurs ce gouvernement radi-cal auquel notre collaboration ap-porterait l'animation et la vigueurqui donc pâtirait de son échec, quiEooe bénéficierait de son sue.sL'échec, s'il se produit, sera infailli-blement rapporté h l'exoés de nosexigences ; le succès, s'il est obtenu,profitera au parti .qui sera resté ennom, en titre, qui aura fournil'association sa firme et m raisons.is.le, c'est-à-dire au parti radi-cal. S'il est vrai que noue apportonsD force ails vie, alois nom devonsdétenir la direction ; s'il est vraique nous courons le principal ris-que, alors nous devons memrver laresponsabilité principale et noce ré-serve, le ms échéant, /e bénéfimprincipe,/ du eues..

Mais, ajoute Blum, lm plus habi-les nous lancent encore une sortede défi, ils veulent noue eontrain-Ere d paryteiper pour montrer

qu'osa fan iesOslil, us rarZieCque lai- radicaux.

Emplortant d avance la annfenontoujours rerloveable entre la conquê-te et l'exercice du pouvoir, il, ercorsetant la déception populaire. Its

se prépareet Végéter ales électeurs:Voue aves hm les sistattetes à I oeu-vre. ne ont passé par le pouvoir,qu'y a-t-il de changé d la société ca-pitaliste 1' Qu'onteels detruit, qu'ont-ils construit I Ils ne sont nu bout ducompte que dee réformateurs commenove, aussi prudents, assai mesurée,messe désarmés contre les grandes ré.sistances sociales.

AU JOUR LE JOUR

Le Sport et la PaixNotre ...ire do Moi-do a dit 0 le

Chambre ra Le sport, des, la coin. vIl pas* me ose bourde. Clos

de nos plus spirituels anadms ra le loipa. dire, en rappelant soc Inn eem

pétition. sportif. dégénèrent, nem' fol.sr, dir, en batailles rangées.

05 no!irslolZ 1.s,'mff;,`.0L0

I) Me +auvent ces tour-noie, dont Chimâne West Pee le et,- mn,eneer:one. tin -cert.Ummbre de pointeque les belligérants retaillant 'ne...

Mai, m peut dire eue, man. de cet-te bicot» to paix n'u perd rien. Au con-trat,. Il semble p.ouvé 9.DPore motif deux grandes cames elaades économique. et le bellidsmslatent au coeur de Eut homme.

Le choc de. Mérêts économique. n'erien a mir «ove le .port. Soit. Moi, I. 64-licisme D touche de Lès torâc

Les »nacre. spo,ices dominicales sontdonc comme alliant de marimPes de eére-té qu'on more et OaO laissent échopper

pression intérieum, cette Ms.. gui,si elle ne trouve tom d'etutoim fini sas outard Par preroever hes gmndes

eallecliues etgen iy>pelle guerres.Tout compte fait, les batailles Mertices

répondent a un bonis de Cluenanité etnous préservent d..e beaucoup plusUmm.

Et voilà pourquoi le ministre n'a pas étéP ma/ venu de dire r

a Le sport, c'est ia pais. sANDRE NEGIS.

Un nouvel ambassades, now e.1 aand des EtantUniorhe.1 de l'ambassade O Paris.

Cataclysmes en perspectiveme

NOUS ANNONCENT QUE L'ANNEC daim je ne peux pas vous dire. I IIDEUX VOYANTES Non I mn s'Es-let-Me sou-

1930 SERA IIOULEVERSEE ET y D. des Moses vé. miens neCATASTROPHIQUE

li se passera aussi des chosmSoit vaut mieux ne pas dire

'-o lltil

encore, naw.isea-morsont les faits terribles quI nous bort,leverseront.

Je n'étais pas préparée à votrevenue. Il y a tmote une étude àfaire.

Il?' Spi-ri-nos réfléchit. Elle hé-site visiblement parler. Elle éteintl'êtectridle, la rallume. laide sembleagitée.

»Otl

LA SITUATION EST ANGOISSAN-TENOUVEL AVERTISSEMENTP,

'

M. TARDIEU.LES MESURESISEALANOTES AU GOUVERNE-MENT R.ESOUDRONT-Fl ICS LACRISE LES POSITIONS ME.NAÇ;ANTES DU CAPITALISME.MIE VA FAIRE LA C. G. V.Devant l'effondrement des cours,

l'arrêt total du nus-berce, l'engor-gement du marché, la diminutionextrême de la consommation, unevague profonde de mécontentementet prmque découragement secouele monde des vignerons et, quelqumefforts qui puissent être faits par

mprits mimes et réfléchis, oneagitation redoutable est h craindresi de prompt. Mes.. ne viennentpas manquer, d'une façon tenait.aux viticulteurs, que le gouverne-ment prend en mains, sans aucunretard, le. cause comme il Pa faitavec justke pour les producteurs deblés et pour les producteurs de bel-terav.. Nous adjurons IL le prési-dent du conseil et sm collègues dagouvernement d'entendre notre m-./ Demain 41 serait trop tard, carle temps presse.

Ainsi s'expriment les présidentsdes groupes viticoles du Sénat et dela Chambre daos une nouvelle notequ'ils out remise à M. Tardieu le11 décembre. Cet avertissement esttrop éloquent, dans son émouvanteconcision, pour que je ne croie Passuperflu de le reproduire ict. Je nedoute pas qu'il saisisse s Pmpritréaliste de notre président doconseil, et PesPère que le

sociauxsociauxprogrammedes mesures qui lui sont_demandées ne découragera pas lesban,nes intentions qu'il affirmel'égard de la viticulture 1,aissons-luile temps de le réflexion, de l'étudecomplémentaire qui lui semble né-cessais, Il doit s'entretenir sem laCOMMiDDioll interministérielle de la

105 représentants des

pas dire. rEt elle se renferme dans un mn-

AV. .51505e de Siva fut pl. lo-osai cent trente se Place musée. Elle missi est assez effrayée

très nettement sieste signe de par l'année 1930. Elle prévoit desMars, nem, e dit Sneranta, use ruptures d'mtente et des guerres,voyante de la rue Delambre, très des Mfificultés au sujet de nos cote-consultée. mes, des troubles dans lm provinces

MaTS, cela signifie des boule- reltwirées.versements de toutes espèces dans Elle annonce encore des krachsperdre politi, eranme an point de retentimmts et dm modificatonsvs, us ta sante, dans po.-dre al,nn. dans la législation commercialeque comme dans l'or Elle nous a parlé dérides-iradremoral.

s Et es n'est pas seulement l'in- 11ier dmiédnea'lln,;fluente de la planète Arne nous re- ne parviendront pas expliquer,connaissons. Il y a noué. nous mue,d,,,,,i,onn,,ms, do no,,,0autressignes précurseurs ! oaa d, toue, et d'une étrange ta re-

doutable maladie d'ymx clni s'abat-tra sur notre pays.

Elle voit aussi des tremblementsde terre. Mais 11 est pour elle uneconsolation r e Bmineoup d'mprdss'intéresseront au spiritualisme etseront vivement attires per

Due voila une amie Oui Cannon-ce alitocalYntitine.

LA VITIALTUAL CM MUSSEgrandes msaciatiom viticoles et lesbureaux des groupes viticoles parle-mentaires. Espéromss sorti. de10 définitivement éclairé sur une si-tuation des plus angoissantes, ou sescapacités st vantées de < réalisa-teur trouveront b s'exercer. Outespérou.s, mais ne nous berçons pasde trop douces illusiens I

Les présidents des groupes viti-coles, après avoir reltPelé la longueliste de nos revendimtions immédia-tes, ajoutent 1 u Ellm ne suffirontpas I résoudre le vaste problème Mdse pose. s C'est bien ce frue l'al ditodit, et ce que je crois nécessaire derépéter encore. La nouvelle crise ouse débat la viticulture est, en réa-lité, sine crise sociale des Plus gra-ves ri laquelle, je le crains, le gou-vernement et le Parlement actuelsn'armorieront que des solutions in-complètes, provisoires, insuffisantesqui, en définitive, étsoudrontrien. La crise, je l'ai déjà indiqué,dérive alose cause essentielle Undéséquilibre profond et qui tenddevenir pernament entre /a produe-tim et la consommalion. Et ce dés-équilibre est lui-même la résultanted'une situation économique tontenouvelle, qui s'affirme de.puis quel-Clnes ECCE., s'aggrave de jour enjour, et sur laquelle il me parait quePattention des viticulteurs n'a pasencore été suffisamment éveilléeO ,'agit de renier-Ise, de la domina-tion de plm en plus marquée du sa-

p"eilerlioaninatIon s'eserm Par unedouble voie

D'abord, par la mtmentration ducommerce dm vins en quelquesgrandes firmes, qui sont devenuesmaîtresses du aus,rohe et qui, main-tenant les prix de vente à un niveauscandaleusement élevé, arrêtent Pes.sor la consommation.

Et, en second lieu, par l'interven-tion de ces mêmes puissances capota-lestes dans t. Production du vin.Pour faire baisser les Pris d'achat,

pour amener et maintenir ces prixasos taux les plus bas, ceux ITU, j

appelés s les rois du pinarml n n'ontpas hésite lome faire eux-mêmes vi-ticulteurs Obi ne confondons pastCOS 11.00.1VeaUX Venu% dans la vntred -tee ne sont pas des viticulteurscomme vous et mol. Ils opèrent deMute autre maniéré, avec une am-pleur et une audace que leur per-mettent les énormes moiteos dontils disposent. Ils ont déjà acquis etnais en exploitation, en Algérie et auMaroc, de vastes domaines, de «Mu-tables s latifundia a, où les procédésles plles perfectionnés sont nais enuvre pour réaliser une culture desplus inte.ives. Et voici qu'aprèsl'essai encourageant qu'ils ont tentésur nos terres d'Afriq., ils vien-nent sur notre propre terre méridio-«ale appliquer lesir tactione savante.Ils ont atheté, tIS Debetent tous lesjoues, en Provence et m Languedoc,de grandes propriétés qu'ils e équi-pent e en exploitatio00 viticoles àtrès gros rendements. Ils minptentpar ce moyen augmenter d'année enannée notre production algérienneet méridionale, et noyez souslco flotsdan vin très médiocre, obtenu à basprix, les vins si complets, si riches,si variés que le travail opiniâtredes petits et moyens vignerons faitjaillir de nos bons terroirs.

Ainsi, la tactique du capitalismeViticole est double s Accroissementde la production; restriction de lamnsommation. Le résultat est iné-vitable, C'est celui que nous .sots-tons aujourd'hui I Engorgement dumarelle, paralysie du conmerce li-bre, maîtrise souveraine du cartecapitaliste des, vins, mit s'enrichitmi dépens du producteur et duconsommateur.

Telle est la situation. Bien aveuglequi Te vomirait la voir I Bien cou-pables ceux qui la voyant ne la dé-limitent pas ! 01,1 ! es n'est pas 411

gouvernement de M. Tardieu quel'attends cette dénonciation. Il écotétem nos doléances trop justifié.,nous prodiguera les assurances lesplus émues d'une sympathie platoni-que, qui noies laisseront gr.-Jeancomme devisai, mon quant à s'atta-quer aux racines du rual, il s'en gar-dera bien. Il a le peut Pas, sanstrahir la confiance que toutes 1ugrandes forces capittlistm du Paysont mises eu lui.

Comment, dès lors, échapper auterrible danger mu no. menace,dirons ces milliers de Petits vigne-rons qui, déjà, dans tout le ?tub,s'émeuvent, s'agitent, se redressentavec la noble fierté d'un vaincu quine veut pli se laisses Mettre 1...Par la force latente que nous Per-.. en nous, Par la rmissance denotre nombre, de notre cohésion, decotre

17;e r' snelanere 'Cl'in'reést dnous, que 000s Ont léguée nos aieuxet que nous voulons, comme em,féconder de notre labeur.

Mais comment exprimer cet teforce, comment mettre en oeuvrecette puissance? Par une organisa-tion méthodique de la vente du vin,que seule peut créer la grande sel.10000151 des vignerons. Cettetivité mis.. C'est la C. G. V., qui,groupant depuis vingt-deux ans touslm viticulteurs marld'onan , disPose, I mon avis, de moyens suffi-sants pour relever /e défi Mre musjette brutalement un capitalismeavide et -oppresseur.

Les dirigeants de notre C. G. V.edendront-ils la voix quIs'éleve dela terre méridionale, les appels decette f oide innombrable de vignerons,

dont beaucoup rmivent aujourd'hui,par le souvenir, les grandioses ettragiques journées de 1h01? Com-.prendront-ds, ces dirigeants, que latactiq. suivie par eux jusqu'à cejour est rfésommis périmée, qu'il esttemps de sortir de la période desdoléances, des récriminations, cle.svoeux trop souvent stériles Imur en-trer résolument dans la voie de rac-tion féconde? Faudra-t-il rappelerf l'état-major de la grande armeedes vignerons du Midi, les solennelsengagements, les serments sacrés quiscellèrent, Il y a vingt ans, l'unionenthousiaste d'où moult ln PniMaeteorganisation qui porte encore au-lourd'hui nos Pins fermes espéran-ces ?

L'heure des résolutions hardies asonné. Dans la fiévrm,o angoissed'un sombre avenir, nous attendons.

VIGNERON.

L'action du Som roumi

PLANDIN REÇOITLES REPRESENTANTS DU

COMMERCE DES VINSPar., 15 décembre. M. P-E.

F/andin, ministre du commerce etde l'industrie, a reçu une délégationcomposée de MM. fleuri Campanaud,président de la Confédération duomnium. des ripions de produc-tion (France-Algérie) et des impor-tateurs de vins français MM. Pier-re Pans, président d'honneur dusyndicat des Pyrénées-Orientales,président du tribunal de commerce;Louis Bue, président d'honneur dusyndicat d'Oran, représentant l'AI-gérai commerciale ; Pierre Brial,secrétaire général, représentant laFédération provençale du commer-ce des vins ; tamlues Grsti.sentant /es Fédérations du ud-Ouest (Bordeaux, Charente, Arma-gnac).

LE MINISTRE DU COMMERCEPREPAlbE LES MESURES

NECESSAIRES POUR LESBOUTEILLES ET LES VERRESParis, 15 décembre. On sait que

le groupe parlementaire viticole etIn cominfmion interministérielle ontréclame du gouvernement quo dosm.ures .ient prime au sujet de lasous di LM ait et.,±1 .n bouteilles

25 CENT.

Les députés qui rectifient leurvote ontlis peur de M. 7ardieuplus que de loure électeurs cuinversement ?

Y a-t-il un impérialisme américainY attil un impérialisme arnéri

cain I Les hommes politiques d'ou-tre-Adantique, républicains ou dé-mocrates, le conteste. `tout natu-rellement. On répudie toujours sonpropre impérialisme pour dénoncer,celui d'autrui. Mais, en fait, rac-tion extérieure des Etats-Unis nese différencie pas essentiellementde celte de tant d'autres PEYn.

Plus la richesse et la productionde l'Amérique se développaient,pl. s'accentuaiert l'emprise d'uneoligamhie industrielle et financièresur les affaires publiques et plus lecabinet die Washington consacraitd'efforts à l'élargissement du mar-hé et à la conquête des débom

és. La construction du canal dePanama répondit à ses plans. Cetteentreprise ne facilitait pas seule-ment le passage des navires mat-°bands d'un océan à l'aigre; elledonnait aux escadres de l'Union leMores de se transporter rapide-ment d'un rivage à l'autre. En réa-lité, I imperzalisme amencam damejde l'époque où elle fut terminée.,

L'Union ne s'est pas contentéed'une annexion officielle mi clégm-sée des anciennes colonies espa.&moles qu.'elle a prises par uneguerre à /a fin du demier siècle.C'est sur tout le Nouveau Mondequ'elle a étendu son rayonnement,exercé son ascendant, manifestéses convoitises. Elle se considèrecomme la puissance tutélaire etmaîtres., mais elk fait sentir sonprestige avec Plus ou imams de vi-gueur, selon qu'elle s'adresse à unEtat plus faible ou plus fort. Ellene traite pas le Brésil comme laColombie ou le San Salvador. Ladoctrine de Monroé, qui remonteà cent six ans maintenant, a acmusun sens nouveau I elle voulait dire,jadis, qu'aucun gouvernement euro-péon ne pourrait s'ingérer dan.s lesaffaires nord ou centre ou sud-amé-ricaines. El> signifie aujourd'hmque le cabinet de Washington, souscouleur de maintenir rordre, peuttoujours inte,enit par les armesdans une des républiques latines.

Ces interventions ont été nom-breuses dans les dernières années.Cuba et Porto-Rico sont sous leprotectorat à peine déguisé del'Union. Mais si M. Kellogg,tem du fameux pacte de paix, alui-renie donné la formule de l'in,périalisme yankee lorsqu'il a fixéà la _lisière du canal la limite desMtérêts immé-diats de son pays.C'était le moment où il agissait au

d'un litre ou de ses sous-multiples etpour la surveillance du prix devente du vin au détail.

Dans me interview donnée parM. Mande, ministre. du commerce,au «Matin», la ministre s déclaréOne l'on du objectifs qu'il poursuitactuollemmt est de ramener lecommerce à la sincérité qui devraitêtre une règle impérative et qui estun peu trop perdue de vue.

La Révolution française, nous adit M. P.-E. Flandin, avait établi lesystems déCimal pour unifier les

euzs moraliser les tranjactionusi,

MartésI netre Cues'f'ûtset barriques par exemple, ont unecapacité qui varie considérablementet que l'acheteur n'a aucun moyend éT ', lu bouteille, sontplus des litres ; les verrm eux-mê-mes sont de plue en plus peti.; lesdemis de bihre, que sont-ils mainte-

Ce que je voudrais obtenir, c'estque l'acheteur sache exactement cequ'il achète que te contenu de cha-que rampent soit indiqué avec, Menentendu la marge des variationsdues 5 la température ou autrescauses ptmyomqamu.

0.n a déjà. assuré le contrôle desdistributeurs d'essence ; je voudraisque ce souffle s'étende. fl ne s'agitpet d'étatisme. L'EU:, en cette al.tan-a, gardera son rale d'arbitre,mais ce contrôle est nécessaire ; il

aura notamment me grosse influ-ence MIT nos importations h l'étran-ger, dont la confiance s'accentuera.

C'est le service des poids et me-sures qui aura lacharge de ce con-trôle. Nous allons étudier le moyende l'assurer mit par une loi, soit pardécret, et nous étudierons égale-ment les crédits qui seront nems-sairm et qui ne paraissent pas de-voir être tres importants.

M. P-E. Flandin entend parvenirJusqu'à contrôler l'exactitude dmcompteurs d'électricité.

Apres s'être attaquf au contrôlede la quantité le ministre du comsmerce étudiera lm moyen, de con-trôler les qualités.

Eavoyea »on LE'rEICES et COLIS

es ALGÉRIE, es ESPAGNE, as MAROC

ea. A. O. F. et te /INERME DU SUD

par AVION.COMPAGNIE CECIPEALE AÉROPOSTALE

OZ Arras. des vtancs.él,sérs,Télephoue. g Elyafee 81-09

éreeefnMedealnetaeMelleneMeatemeameMeneh

LUNDI 113 DEC:EMPIRE, 192O

Mexique, qui était aMsi proclamésphère d'influence indirecte.

Les affaires du Nicaragua ont'

qu'Inat ll yexpanfioenunidismeles-de Wcae-shingron. M. Kellogg et M. Cos.lidge von/aient imposer un Prés-dent de leur choix, parce que cePrésident lem avait accordé desfacilités exceptionnelles paie laconstruction d'un second canalparallèle à celui de Panama. Ila ontluis In gumre aux libéraux qu'ilsqualifiaient de rebelles et de bai.

Lnsituation est analogue, à cettehume, à Haïti. Là, le cabinet deWashington possède, depuis 1915,un droit d'ingaénce, si l'on peutparier de droit. Un haut-conums-sage, nommé par lu' réside à,Port-au-Prince, où il contrôle /apolitique. Cl cependant, on ;gon,.n;réairitc bienau:noup le gaffirmarautv jneureinet

Les Haïtiens n'acceptant pas ieprésident récemment élu, qui a étéen fait choisi par le haut-commis,saire, M. Hoover a concentré desnavires devant Port-auFrince et de-barqué de. isiliers. A peine ceux-ci éts,ent-ils- à terre qu'il, tiraientdes salves et tuaient des Haïtiens.Le résultat est que d'autres débar-quanents ont été ordonnés. h.-neoPuosition se manifeste à Washing,ton contre cette politique, les dé-mocrates demandent l'évacuationet M. Borel, le président de laCommission sénatoriale des Affai-res étrangères, annonce qu'il con.battra le vote des crédite de rex-,'péditiom mais, en attendant, celle-ci se développe. Le Mexique, laDominicaine, le Panama, le Hom,duras, le Nicaragua et Haiti, voir,:é,les preuves d'un impérialisme quiMquiète et irrite les républiquescentre et sud-américaines et céntrelequel elles ont émis des protesta-

mn memage au Congréa. Vaut.jour, M. Hoover l'a dit depuis1914, l'Amérique a triplé ses dé-penses militaires, qui montentdésormais à 21 milliards de francs,,en attendant qu'elles aug-rmententencore. Elle retient 890.000 bom,mes sous les armes. Aucune puissarce un budget de guerre ede marine aussi Isard.

lie,, vrai, redisons-le, que M.Kellogg a été l'artisan du pacte depaix perpétuelle et que son succes-seur Sois-sous convoqué, d'ac-cord avec le Cabinet anglais, laConférence de limitation navale.._

PAUL LOUIS,

CONTRE LE CRIME

M. HERRIOT SOUTIENTLA MESIE THESE QUE NOUS

M. Edouard Herriot poursuit,dons l'Ere Nouvelle, sa campagne sucla nécessité de protéger l'enfancecontre le crime. fInI, une nommasfoie de nombreux exemples 4.1prouvent la détestable influenceque peuvent avoir dans certainecas le cinéma et la Prceec

Que veut-on de plus ? Qu attend-od2iàpol,ilireéeperv.rerlaungu%gnéené,roantic,

cette publicité panée aux techn,ques du crime. Pour moi, je cons:.dère l'oeuvre que j'ai entreprisecomme hee a ma propagandeachDynée pesa la paix. Le pacifis-me est fine éthique autant qu'unepolitique. Je songe aux paysansqui vivent Isolés, aux vieillards malprotées. Comment trouve-t-on en.core des encaisseurs ou des cais-siers ? Je me tourne vers M. leGarde des Sceaux pour lm due« Le 19 novembre dernier, vousavez adressé aux parquets uneprohibe, au nom de la loi du22 Millet 1912, la reproduction detout portrait dm mineurs poursui-vi., toute publicité illustrée concer-nant lems personnes et leinsactes. n

C'est bien 1rnnis ce n'est pasassez. Pourquoi ces limites ? Pour-quoi tant de réserves l,Aunae,dit la circulaire, où, malgré les mesures prises. Isle illustration seraitpubliée, vou sauriez soin de m'enréférer. r Paperasse, correspon-dance, pendant ce temps, le malse fait. C'est de toutes façons qu'ilfaut interdire l'indiscrète publicitédonnée aux techniques du crime.Lucien Hubert. mon vieil arni, remseigner,vous, et vous verre. à quelpoint j ai raison. Si les textes ne.suffisent pas, demanden-en d'au.tres au Parlement.

Atout prix, il faut protéger le.enfante.

+00atesectes06.00eaCCOSee -4LISEZ ET PACTES LIRE

LN s MIDI SOCIALISTE 1,

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

psesinentet nsteenniaananter LE 115/121 SOCIALISTE

v:a, t,-ogehicier se o elot-mnReareoniat e nonù, v deni

LESGAri)s

RAIrslin exemple reste. schlvés dadentsl lb que voue,esprits et dans non senne! fer et Si vainc

nonj oVtre beau livre, vdds Pavez écrit isvec amoursimplement, sans en,ithitle, avec eére 'ffnieementmodestie charmante cielest la vtkl,,, traiffintet qui masque vos guet. profff.l. le Alg'préscliftelétde clarté, de solide hoir 'sella, de gui maiii7 meilleliff 5Eprécise de la rie ioei ale ùgun 'Mirs dg,u'tdeooi'°oivsavez compromise Mieux ' erebià feint le90neBu'avec votre intelligduct5 aved'vôtre %dronte, Pmeus. Un sentiment de fraternelle minscience de /euréeselmiage.bonté dirige vos regards clairvoyants Au nom de vos amis, ku nom deme l'humanité frémissante d'avant ceux qui, einfistimb 'terre Ilote,la guerre, inquitten ffeniermel ticeeh ealehiserong"N notte oatilse, 'Inerme

ine po Rs nithineles bdigeleffrint nal:tardes; erlcorelhne.fels, 'bea.rdforces barlares lu mal. liens t idée-homo de FaCtugleeneut lgénéral,se refuse orb7re -6 la pomibitità de e, ,

dàs7fretrc'll'sktM2ablocrffIrmsmobgs 5s11.5 raratieestri 4 PWla guerre jusqu'eux estran-MB jbuis nàs 7omece ee.e

cun étouffe ses esplranees et son 11'.1"e 19. ..au. ne, leur.«Bléalset 'ive 13.p/és-frères, devenus l'l5,11e. gr!.

witp'nt IhedraftSedIsoltre

7,3.199P9-ffve.'"°..Z''''" quo 000- ffi'd'isZPiCile.''''part...444a Pdiu.rd qu.'d ->"-SéliiIfë" 15 décembre Le capi- esse- écrit ta 'p'lus 'ratifiante 4 sta-RI s'attaqua au m. marche rode marc en taine aselle et le colonel Larrebor- fane writ' plus -béeuxeler. da /a s"

ges;1quilic0i0e0telelit0e la 'D'ive.. gder. 31:9Mngenci surtote Pau. 000effdr4. Trate ceux lipet net,de PAMantleueBigliceiesquidté1 véo-d'Erich flerdàstinm1:« 4- /l'Ouest.vile S 12 rinede neaveanm.,ifotre livre -tiest..-

L'aificin et Mani de parachutes et et-peu également, 'prof ...dément

çie Bottelles' esti tra, 'cadre.- sa L'et ettealra lare eraeaele

charge 'es1 9.150 use.- eetese..ee. faraantr-Paar amea ria "...tatar "re,Lire eeeteeeees ...dee vUdee-Oiti- PP..leisme'des se0tieents -de donc

n' - . enuernis d'idem anjourdlnii ouvrier/qnt. du 'iteme 'idéal de prstiee et de paix. « 1,9

TARIS-SAIGON '1 71tturein, 'vous l'étés eneoree pian o. par Ms a

Le11'91155k eP.0.4,,6,,,e,d t, Bari/dès uand vous tac. /e

cadre -de votre roman dons.. petit 02 5rano,a.i

pour l «Im-

1.E RANDONNEE AERILiNNE poses sur le sol et éclairés par deAIJ-DESSUS DU SAMARA fortes lamp. 6,159,""i9u°'"

ledurà.e ire rom-Va:Renia, commandant l'aviation miusaires puissent, aux extrémitéseu Algérie, a telorrù hier, si 12-0l 80 eirouit sucent/11,4re tenon,sur le terrain' dlaviatire d'Iludieel. cd' a eté`ihtini peojetitétir a' ffbisdey, après un vol d'inspection de éclats placé à l'aile gauche.

4.000 kilomètres cin'it àeall,°191net3-- ff5d7scCinbre. c point-. vendredi 'dernier et Poureliff .97 d'Interrogation SM Petde ce 'Minndessus du Sahara jusqu'à Pnggan par trois fois au-dessus de RimesOnu cd et Colomb Béchar, dont lb deiturgerMl4.-lit ftêt.stkt'll

LE RECORD DE DISTANCEvolait à une grande vitesse. Le vent

EN CIRCUIT FERME souffle St 70 kdoinetres ii heure surla region et la vallée do Rhône.

Marseille, 15 décent., Airgigin;" 15 'denenibre. L'aviesPoint-dinterrogatien s, inertie ostes a survolé a

per Gestes IL a Pins llieMur C'a triMne fois l'aécodrome 'd'Avignon,

8 h. 60,sPout battrêle Second de dus g

rée en airellit 'feignes r, c. sg.Le circuit adopté .1 le 0,000e quo LA TRAVEESEE DE L'ATLANTIQUE

Ce cireue- Avignorolffarhounepasse pas per le etiMP d'av4attond'Istres, mais à phtisie.. kilomètres

Lesdecipart a été chromometre parle ...ellsiese Signud-t?t e-itiedenneMontsaura2,11 y avait sur la Ilistudu Barda, 105fà Y-ext./nide du cati.d'aviation 'et teerlimeenldeniimetnes des "hitnàarelïn

tris0000100Wtatierett

et dee .80150ede 'PEcolbn mes el ms

1,0 00005 est légèrement liru

Avignon, 15 decenibre. L'équa-page Contes3Codem tentecord de distance mondial en circuitfermé, continue sa randonnée Me lee.ircant Avignon-Narbonne. -

A 20 h. 20, le Pointertnterrogalion est pas. an-dessus du cailled'aviation de Pcjaut-Avignon, ttt-riteant sur Narbonite

raishedir tempe bouche' s'un let colilinetedu medeven, les avisleters. Le

eV Rotai ont décide de rernet-tré lelir départ à demain matin.

, , rFRANCE-81ADAGABFAR

0e49Mb-136shar, 15 ."&arererek;ree --L'équipage' fiskfi-Gaille,' n'gdi effeestubIffliesoli hérienné France-Mhda,

leigejj.rer Poleitaileore. u :mem.

l'n denalettle passage de l'avionZurichRA.:.IX'dééembre. Due-

pi§gqvii,e Dg §VfITAI.$11Teu-dessus d'AV1Énon a été 'ciffecW 'e . d.o.broII h. 06 et etclrelialêMe à 12 te. 02.' becdoit prés Zreféla: Paarlate. '''' 'iiinet démis-Pour que lei Endentes Pulasetrt fes S Walter MittellioDet, - ef,,P2"enident

du ead,, uni4connaître lette 1,earfe pends:Pd I. suit tlibis"Inoteurs Wirtertand M, lieu

birrSIx00le circuit .qu'ils doivent ...genre à à rki,e d,P" I :-/i'"-a"Fplrlie. das'clern,lêteS' saine. deété jaloone.de grands balleets Mmes raid e travers' l'Arrame. lut. od,

_ _ I fdufni tee noilvelle prâuve dea défecitilosff/11.1"du régime parlementaire ec

Tribun. ;lett «LI,. 4449a- pris., Manifesté le désir ae

reé eveà'la:Diete, ne screit-ce <M'en

Ze Voir raystur unrpt,mezf.- pridence de la Diète:

LA miine opposition qui a renver-s

le gonerement actuel avait alorsrersisss, n°11° candhiature. Au100,

Pouvez-veue compreindre, altes sets/ coup de earte, an gré du sort, ellecoHohono,n.,

amis. kt Peine t4 ""°"k 5,u'on:trionmro'ne. 4',Uhanu"0000mo conifition ess.tielle de la

D'antres parasites courent les plages:,ta. Polo euaaudétriment de cette classede malheur.. exploités, victimes da

crne psi .° IretrelI, pour essnon seulement son existence, masscelle dore siens. Essayer de vous l'ex-pliquer en melques ligues je n'yparviendrai pas, tant les détailsabondent. 1,1 faut, pour en parler,Sire né chez eux et y avoir vécu unepartie de sa vie, 4000eeeaat leur,souffrances et leurs endurances danetin labeur qui ne cense fumais ;

qu'eSt-ee Peur erx gitc la lei de huitheures ? A quand /e 7 Qu'attendons-

Levés t l'aube, couchés très tard noies limier pl'éperer 10000011e ope,

dons la nuit, agréa une journée mus "`" ""3"' "`'. lac Pm.. /a société; entre lu classe eapitabste

d'une Pa., Pole negate poison 5lleVit du travail des autres, en la classepro/Maniere, d'autre part, Pôle Po-sitif, mals victime de son travail,

Soleil pErme,faut les voir, ces damnés de la terre,slisebés à la glèbe ou à ce malheu-reux lopin de terre, si ingrat et sidue. Parfois, aprês des annees d'inIseseubbi lebel., tout eset atimeti, se-lon le e,1,-ice de la nature, et Pourecommence ee perpétuel mon.-ment I semnilles al recoltee, vont lecycle, mais avec quelle pelas I

Tort te monde est utilisé dentgenre s d'exploita/Ion a les jruuancomme les sioux Ms petits commeCou m'and, Et 12;sule 7 Ah 1 parlons-en les petiots s'en vontvers l'école St travers les cheminsboueux cm à travers hms, Tete laferme les appelle per ses besoinsinetiples.

Ammi vivent Ire paysans métayers,pente agricultetwa Mus de le netnemaniere : fatiguée, érdeési, igno-Meut tond du monde extérieur, nesongeant qu'a War Sot et eux tra-vaux du lendemain.

Et, ;tendant que le Payfait t'at-tarde dans son champ pour rames-sec tes dernlert Spis rtstes Sor lesol, un ficitutte tontine lel, hé ttemôn. Maniéré, avec les heines 001et les ittérhét OBIS aSsii dee unsomptueux fauteuil trun des misantede Monte-Carlo gagne ou raid d'Un

, . ...

Eh I bien oui, par nous, jeunes,vaillants, préparés elle jaillira celteétincelle, eu l'on devine l'heure. ré-sultat. Le fluide brûlera l'argent, oupapier ineellt, que nos capitalistesserrent Mins laies mains , parfoisegtes d'un sang de guerre, mais

qti nalis rejmill le plus, c'est queotte Mincelle ne brûlera pas l'autel

trop due du prolétaire.Arnsi la bataille sera gagnée, les

principes socialistes seront les mal-tses et la vie notes apparaîtra sousun jour plus beau et plus veriain.

Mais mite réaliser et rendre tan-gible notre voeu, n'héeites pasvous unir peur voua delendre acre(Cree contre vos adversairés.

Celnarndes, galberez aux Jeunes-ses socialistes; ables-71003 dans unobiletion aeoreff g 'Peter le thomsphé prolétarien 1 stites-nosid à jeterle Oiub20 000Itullale dans le gollffrequ'elle 9e (velem elle-dleine, poufqu'Oh teeit Riel0 etlae t igeets ettavons esses, rio. le Pair.. 111eutirlx tem loled I

PUUtelollgrena I. S.

Un beau livré aatialinte

« La Leçon de la Terre »

Nuire etai kt ibIlaborattar, É.Bardiét pient di po'citheire lisrétoue simplement admirable. C'Est tépremier. Unie on peut af firme: durc'eet tin chef-d'uvre qui t'iimpeerper l'élévation de la ventée et de la/orme..

Bardile cet uni, otahlevi socialiet,d'ordatqjiiérre !ait Partie deecat adnïrdifiin 4116 teujeteee étaitprite cds Sacrifice pentrliste de teentf armation Sbcfitini Decelle gai a Mx cfnirement neer 14guerre, seehant cè venelle appOrttrait de déseetres et qui eentdit purle prolétariat organisé était trop /ai-dle pote l'empêcher.

Bardièele donné eadt effanerpour Jeter id. bines temente dant /teréunion., et dans la fregai. .

"hréthi"e". lic roc de YOTaiFé ii0Po'rti itité pireiée/c,ello,nerled piir fele littédatiire

Rob fdoro ft th »NUe,àleo bibtiothlieet eh!. boa p:hiént;oui Pénarde. Pirrintir On frite teeoue 'raits à marcher d la contra.,lie Ru ibéred ffin_ hun,aine,

g174. a "T peZ-',,enfle o' rdila,eiue,

Raint-Q11iithtlii, ;Ur' céâbi.éite

B.190, Bardee IGeai Menin eus refflieise

imitante de votre livre que j'édfis NieIlanes. oh voue vendree bien voilenoinislage de Peel:bill/nient' di ttatitvie °anis d'aujourd'hui el de dmMain, socialistes de fait ou de ocelle.D. I. ris 4111500e 4 &fienviiiiite,

formation d'un nouveau gouverne-ment. Il est difficile de 00 pas voirdans ime pesette attitude la preuveque l'opposition est incapable elleMeme.de former let

Se peut il qu'un homme soit l'ex,piaffé de son semblable? et c'est -

cela que Fou appelle la justice so-ciale 7 crue l'on symbolise d'un Grecedrapeau tricolore, allons doue

neitese cora/dise datte me beautbetalonnantOo et filie glua /Grueei laidente, Lino étude philtimmItiquà dusdtialist. dans .SES rapliore aIec lascience et /es lois humaines talon /aNat.. tant bele détrit darld un rdmiil III

ntant l'artiatel' éllUiengPeëte que vous !Md, voilà quelli eetvdtré contribiltion brillante au tràOeil dtt hueaouu de .acrihr datte latâche Sacrée dl. Mtialissne.

Pat Vbtle teittre, hantes.ot mérivlida voue tes attiré les tern

Pathet die celer Sol traVaallent etqui peiteent tptt la vie ne eoveirlofels leiSfernenti vainement, à pat,er, effile d èentduael. l'effort dos

tieb8000ichit

rare éternel deuStitel et dl frattrale. it Ce. quivênt. te Sont Wax qui. luttent...

Et en illustrant avec talant tee puroles dit t'OMS, voue vouà tes muaisans pletel d'hi:menus della les SangsIn nos écrivaini Muffin:Ms : Mitretille reste bien diehl la tItiodtliin dasée/issut nattriedste et le tes despurin iidlniteles de 'entra uvreUlfila Zola eut été, fief d'avait detites-

ar ' u militant ardentUnràle,t' cor'nimi'

leuà l'homme de mur

line,vnie êtes, pouvojr,sehr, cesagreables études eur Isdéo/cgteneeiglisind freleeig LOI qiril allasden tgirPPlerl'eltrql'et de l'exactitude de ses disitiquee,émerveillés, par son enseignement etson hW, et eatoiiilite à te grandieleçon as lb dg la

el.°,;zt,i

a P9ilt.'iquç çtrangere-

nuelle en accord avec la Fedératenet l'Aksoeiatiob conihuideitika.Peur killivene khefrais du culte. Defaçon générale., lue dispositions de laloi mettront sur pied d'égalité l'E-glise israélite :free les Eglieeil 055-tiennes, orthosilit et catholique ru-biaine

VENEBBLOS EST CEIARGEDE FORMER

LE NOUVEAU CABINETAthen., t5 décembre Après la

eériimeme du serinent, le nouveauprémdent de la République et les mi-nistres Se mût rendus eu corps oheaAd. Zamais et I. ont rends leur dé-mission.

Le président notifia à M. Yenisclosle son de fermer le nouveau cabinet.

En Céda°IrA VICTOIRE 1)10 DANTON

Nang5ong, /5 décembre. Il im-porte de souligner la Pletoire rem.port. par Centon.

L'ennemi, repe-USSi Me tond Ivefonte, est en p/eine détOute,

Itou pet. Sont considérable, cotués, bres94s et Prisoneler8i

L'aviation a pris ilne gritude partà là baleine,

L'IldgEOURITHTokio. 15 d&e,,,t,r. - Le tfid. In,

ternational transportant lee consillsfrançais, iingldis, japonais, alle-mand êt anerioain, vetntat dé Her-bin ét se rendent /6 elettedulepoiir faire und enept8te eut la Situa-tion à In frontière hlendehout,arrive à Id nitra de Ptlkavo, oh ifigtg-Ms de pillerai Ohinoli étaient fi-ole. hi den fanges@ dé aiches.

Lts eatteele bot PlA Dette/. MMlé ftent chiante Redit rePlig le 14ilkelislire d Mien-Toddhoi Mi Atid-nstdt1

eoundaisdant ettehoie a .t.-tfutàdit Értantiii.la Mudetti du ht-bic an.

eltd rft:11,"'' -1.ée44111, Po. "

Lue orveols espèrent p0000ir, dont

drerhdillpIls da u801le, en effet. que 1m

troupes sociétsques ont remisé le cla-rain de fsr et rétabli la circulationdittre Hadar et Maile-pid,

tut yougeslavieLIBERTE DU CULTE ACCIORDEE

AUX ISRAELITESdickebFe.

itiite s 15 éérie dl lois pioniulgileco

pue note EgialstaiM ming. avê,â irae lel e ebienii1-

haii16 eeltuelle dna s do...Mis:Mue la 11 celé

bu O enlIe 0110.e

La nouvel!, loi prévoit l'organisa-lion Chine fédéiation Ove connild,hantés isielitee et .aseceiSticin

sommunantes . ince:élites enithetioxes joutent/St done antenolnie

poul là direction de lemslarealuds religienet et la, gestion fi-t:lance. des différentes institudinieUnIlumiles. Lm mObs etarts dO 010080 1100010mete,ïr

dn,,,myt,ie des esestlus

',l'as Ur 'C'ettr,''arrt2i'geeeeere.feoteu de fates jelvta >Ode lee..fonntionstelres 111001,cbge Munimpall-Lt. lés ebItInts et Iee IOnS, Cin Aille

macerdé 11511 liblivêntlen OS:

Praio,ge9, iëe, ite't76res taÇtee. ne pateeeeee 0bnareelie s500athi4 4tee'ilese eraatirre ergriari

En empaleLei ,M1t00400 S'OCC401n11 de le

seettta4, ttti reteq,eu seiliant cettetttuteuaml glume!. t,utro ptenotttics 5014 d'ailleitià ont d.eit6 oaterffn. 100 011111011* de le Prffear 5.011Memellents, 46e totottr att régilPehornial see9it, diSenl lot JOnfrldU.,chose déeidée per M ghtivernetlentet s'effeetuerail ime d. MettonsMUnieiPaltsi sa Muller, dos Mentionsclépartemonlitlea en avril et desAlmeloou générales ln juill.

Les chinX premières aéraient fat.Ire solvant rtinrien syStênte de la/entremet/Wien prnportionneue. Polirles electiens gênerai., on utiliseraitle système des listes par grandescirconscriptions.

Les Cortés einSi Plues le congrèset le Sênat Seraiont enne4146s pourle II septembre 1020, date du sente-/rie anniversaire du coup d'El.

L'Assemblée gasteeete se réuniraeh janvier afin de procéder h leva-men des rrariffes Ben. 'lu pedetréforme de la Beinslilotion. Panelserait re.mmandé per le o'' 00000-10001 aux Cortés fleures.

ES rappris eunuques

de l'U.R.S.S. am l'Octldeut

Moscou, I déceinbre. , Leerapports étonerniques entre l'U.S. S. et les pays d ()neuf ne Ées-sent de se ddvaloppes et out déliidépassé leur niveau d'avant-guerre.Lee cluffres d'aliairee qui les cmractitisent se présentent commecolt r 76 teillions de roubles en1923-24, 177 delliem 44 1424-25180 teillons on 1925=26. 209lions en 1926-27, 330 rrdlliâns én1927,26 et 170 m'Io. den/ /es PW-miens six Mois de I exérélte1926,29. Comme on le voit, le volu-me des échanges coneneteidusttte /*U. ft.. S. S. et les paysl'Orient a quailtupld en rein.

e cinq ans et atteint dePtellgtieht251' de tout le eorneree extérieertle 11J. tt.. 0. 0.

lOIS 8094,918 ies plite e.ririà pis'OrbiIRA IF poituttBrté aii,et laPerse qui se ehiÉrait, l'annee passéc. par 144 mnions de roubles endépassant sensiblement son niveauuraltaiit-gdeffd 1116 Mlle./.Lel.01.5;8 -de, .66daitestê_

tams autreS pays etertgle @DI erneht une avance sétierse pat tepport à l'aVent-nuerrà.

riistari, la Mitre °cd efifale

rilbf Mis belge, °fit gardé fidêlestuent let Pilet et/Utilité:a et leS tinsrint1Sou isadltiubs d'entrerais, 1e-egmb99, nnta,rrnitellt, dot lb tileigclans lels 'sillet FI returnitli139 deÉituiqe et flirtent diti SholidS duLuxembeare à Arlem, Entre b,Guitry, etc,- des D'ire§ d'amblesfetix m

West Atibin qui détient le pli. 10°pique etbe ses d050 searmes dontVoue vient d'aioir 11111 lb premierJeudi de 000e0a/1re et où les MimesÉènd posênt les prerniers jale. de

'e'st F:e1"ensél rti7Îe'M Ipreheifeudd4u jdhvieri lo,ars soue se 0011-vent os tennis getie let

tempe 010001coffffitiorim fixantS tteset'3?tiaPà.` let ditad ""

Celui qui préside à la leen antoiiiiniutete est ne thrimë de la ville,djt , netlleinmenn ii, curiellu typediluent netristionial, racé crpnrhe

2.-sPrrtis j'g,E,rn'toui. il lei Ohe'rgil Ie,

roodi loin do

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0e 18,

C99 119.999 Milinisant v.4 eue toua..eaUeel Mates eeetset, Feeeee IV Reste

Male là Fuse. os NO. eIn F .49.991.la aammandementi selve à une assied-1coenuvertur, de Sena, qat envnin b DOGIaé,le arand ai/ier epdate rt ta.nee n.se15 points, et la est terra, est dffMa.

Pendant /a mi-terima, Bigot passe ta-Immuns clee lee Nene et Da.s la rumi.,>lace chez Us ronces. Liais sem... Damdisnori à la metus nbes tee roue., Ondép/ana q.; va jouer à côté de8 11

Dès le coup d'envoi, la F,uucs cou-000 midén, Cemal, rayait st marmie.Fianee 18 pointe

Biao, dcrine la balle à is Franna. End-ter :nsamro,,,flmer

or Olu000e F,uvcv 23Unn ...az laanna o..o da nalme, e.

,ours de lamiee les loti,. >inaissenteuendllSe. Enfin Sari... °ai a la bal-le. eMplaee mi centre et /3999.

7,9

Une ola do Reste. Lobe/.niiMe eller à renni, Quand Samsun,

peri aprèe sur renvoi, cudyaiSolusme et marque. Reste 18.

Peu apita, Couloa rémois on drop.

L, 1m ur,uoohe, Les muses sontIi, am leur, bum cl Samatan manasc uarnnr e, ni. Fra.. 33.

coNs9a,0A510F10Est analysarit rhv,oue hes snneeam

eu, po, noue fe.srel... une IseMaus n cm an le ballon plan *casent

q. 1. erouuos s, même Immun tes telusinuins uns ...é de eu,or, d'ut dLut Sondeur hem lei denhème hnna

Ideu était eineeie ,000eenuOO r.Dilt HU, nommn ta/..esso est plue pins-

enn Bisol uni ait . 1,00 jonn.r.tur,11e,,ounuauolouu hien vue/. voir

Chdo d la plann sin Ch.. A..uro éta01tedieumnIdu cOmnie demeure pilier,

Comme trotienie 500 111 y e anises(Min lem. mues., mata oni ne Pet.Sent Pus o'n .esone .mb Il,a.-- .1 HO, Voeu; do tuilier sauf Ca/lia

'eâ tien distingué. A In tounlia ets in. °m'art la troisièmeligne des

secs. émn de dasse, maIn sê pfedsen->am plue tIn de défendre mn d'aimmier.

Remi g let eleie6 o gaidé i'dvantage stiueblnsdieoou et 6t,6

Cdt..4 e 0,1 lnl,lIeul 40. Heith.e.eni ovo seeio tu anmait dons face,

tel de Pin ibué a laissé en; lims.ho iihisMielcii). Beni.; ll5té, 4. Si=

ét Duehé ave, eseellenan01,011 eit esse difficile ,k I. demie.,

fdemol e home dé belle teuetet 1400sbeeeie. . 1.66 peser L99-

d9 qui arrivât. Seul deseht kik PUIS...1no peu feble eu deibst e'eet 1500006Mmerit {DER iii eine; kint par ses nuit.Ole tneduà que éot . miêta d.Fhtde-

L'ad:Susse de M. Mont. a MS aoddltci a celés lu par. titt SetSÉbleHe.

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mura !,1é Mi, ti, eme? , 44rp,x tita teraPs.

underéanime.U. a.M ree. s, etiT,,Ti;',#; ;i.e:, kr,:En deuième

b'=.1,,d4. "set, tt eu '*' Lee Pk.e. gr v ,tw9.9 9. eddet, 9.

teketex.t W, etre Per tut., P.:. Considérations Le. Grenoblois

set.-en kr. !, . , - .aient amené une bonne émut. e avec.

Vallm si roulem, la Tsce dm sffma a atm

teatt':Zereseijoran'Ziej '.49 d9 FPberppe ,i, 4,..p.

Lee ma. Grenoble. Masai bien 1 entkMe et ,uiveru daria le ?es ouvert, ci tou.

'ee jo i'lie' 240116Le ',Iptp 0. tpHe en ,,,,,l, ni, hop:rumen,

L'ouvertme va bien Lee unies. is altee es aumiem dû conclure.

Baust. à 1 mei. maladroit gado. mnJ. 114i, PPF ik0,..11 n ategin t ouPb...

Le Tom qui demi. Preaggne . te te

re, 4 w, re119.. I.. enn, ,. ot., partiel, ikernent Cenmans, pré,

Vi,,,Iette e taaboshé se mot le plus se.vent mu, e nouidenee; densmape qu'en ms.

nbenSU 45 lere PR Mil' B T.«Ileg.

Le6 arrimes na fumai pas heumus eson.. Il marianis Semolle ph. do..1001 le racreleit peeeetelte

414r te.eete eeee. et çn+-

1?e,l aere'relerl'e6: r 'he'Fie"' Eeeelteet ieblim'se ele u'"M. H. Limosin.

"-i-nePâtederepli'rla

gun par 1:inhumes-Ray,muid. 01. nid Mi'felteràerett 241110..g: "fi, este., r Ft,

4obound'hui lac trois-aimas etadistes

'pudaaoouir siens net ent.-

Bordes fut 0010001 le ménneanimicemÙcuilrI,-et 00110100. al bine ovno

cf,ZDidammis tr re:ulcoe. ne. e

dq`esedjL Far ',itF.'iYeal;e:rarairêter. Famé e>.et e.e6 l'oceasion é,ssdisties.nr Emin, M. aren m dénis,u0nudinniière, s'est tont dire.

Farseele,-Men la'ielaiée da M..iiti-nea. Ambert, Mesniii: I'Iauloe du8:aete pourra Anom faire parier d'dIe

AU T.0.0.10.I,ve de rideeiu, o champ.,,nat'IlIiole du eeen: c.6e, û Areeil

te 2we 4e4te4e6e. Itet It Iferer Passas',p. 15 >ointe a 3.lir ',ne, 6enelep

"^!bo.S saCburaildeh

MI iouesnc,niil usettesell' st su pl.dcs easepte toi ai !nal Eqj 446

u dimanche, e&dà sa plme A Courbièeesmi-temps arriva sut un aeore

muinel miel. Tc.eu tenitorlakinent Par-t, dominé.

smonde menin, le bsouillacd,devient plus dense mie tem à Fileuse,mir. pu sénns les Mimes nt ternir lentede La parti, il n'en fut rien et nousayons essIsté à da balles plies de mu.

tee d'amaut nhas lm nec. dont /esEmee mie. semblent manquer de mor,,doue, attaques de nole-nuarta grenobloieeeOU i faillirent réeseit par doux fies. Shedému mem nue f par Brettê inlmatemieuns ....de fois me Dimas,

Le leen so nemprimchems, parvint em fin à marquer eoup

Les VinsQffiktie <ieptiig guelq.99 teurs Va-

ninuititM Suif, te peu pli. guinde

tranfiteliUnd ho 99.1 me phis imPor:tant., 1,9 PMI &fietirree 11111 tg fo.,

",,dgegheledetedA14II 0f, Id datrê out le vu15 raiiet9slipdP191101 dl H 51 51i.t1999ift,

e filenhVe/14111 0'90,111:gré.

A Perpignan, on a coté les vin,.rbuges de 10 a 11 fr. le degré.

A Olonste, IFS Mme du bliberveleMt vu les pro de 10 fr. Si) à 12 fr, le0008e,

A Mmes, les vins d'Aramon valentde 9 fr. 50 t 10 fP, le degré,

A Mfrillpsi lek s.l. t'etatils-sent de 00 b 1013 iR Plehld Pdte lesMos routtes e 5 à 599 et do OÔ h120 fc pour los supérieurs tle- si 9

tete. mistral.% l5tI,l qUI Sâ fontdri delthiii des Mulltb$0, 45db .0114 de9 pif tees dites, Set tett elsfris des vins dormis 8 fr, jeupl'ilII Une, rise en, 16,4 lel Mals

illtte. II Petit étlen7trlia15551' 010 ItA item, et entliophts. tes transs,

tiret§ de Éros à aiiet Sont chérir° mie-lieeà salis ài14131.1en lIS éolirs 1,1

55timeie, 1.56 itete prnIl-d.e. sut Piece ea5t tiesei feiblculeitteinis en ni...Simien tniefi rr

p-S,gé h te i4t44414.- art

Pour tes Artisanstu dirtiedfi 11655.15 ao l'Etanisseismat

elvlaOIifllra 5,0 050011110 de OlOtbOuPlbOO

eàge dêstinées à emoMituar t'Aoliehool 10,1-011. Ellée dint tédersées à dol jeunes citedont la situation de feuille est Mate d'hoeérêt et 0e1 pnhumnat l'asnmentlameed'ao Ose mémo d'eh... Aurai, en

Ittéstudf for..., exilait.,efianon. theitees,

tier, melon, plAttier, boat-relier. eabotier,

velem sai tomes cd varieble al-

BOR/XE.AUX stonBordelais VCI. Sounion P. 19 soi.nieeou.lbunsl.01snlovtl eucmi. 06,,,

059 191 >!.n9tR91,9 .4n.re4,..Le mar. Tow-Grmobla a SM plaisant Lnz,ke " è

thsed.t. Iffeses. ' lei, ôte euttatre, el 049 1.inan &esti, ise

la , bene pante de jeu Ouvert fou fusé...miet,6466,5te 00-imene k Toos nie à 5;,

bue le ballon co mêlée. amie "avants IICS annis mon.. kr. souvent leballon sa tonnhe si ea aidée ammis.Sur une gammée. ÇS.Saueens etutunie tee:99, do *,1.. ete,69 5 4 6161.46e 66,e. eaude 8.s.m1. Çlrnooblo ellô. 00017 nu'casion at raffarà sea lignes arrière, A PARIS"-Uite.bettomt'eFooino,omatnlmcobtrs,9uoorelne do 5111 rue 1 0 3.Toen, altea uo P.,seti tent Ise iiat fut dan Phai >leastvee et reest,teIn émit vi,gilse, 01 put'. uq oentre, Satal.a, roadutet b rrmitteineni déborder impression

enoron Stado ant innment do défsilm,Pomcdv Ou d min à profit p. aon aebiereaiie et no

, nec la aune, remonter le liendinesares du Dandine,eu se de Jsmisusnomminffer na fit vivernmt samir

A MONTAUBAN. U. 9. Menu,bey 'no itat Guisse,Mestr. por 26 à I.

A Montaubsn, le pack ee smipassa etle5 lianes arrières amercarent useknies et-taques be,lleou, daoa le demi Rumb hotamionia à rodai..

Asbnieun meereieue da M. Fend,A PAU. Pau bat Stade Bardelais sec

15 à 0,A QuIlLAN Quilfan bat SaCirsné

pst 44 t 3-

A TOULOIJ. F. C. LéessimaalsTouboo pas là é.

A NARBONNE. R. C. Nadine.,ber â, C is mir 24 si

00,0 eo0'iein,islsla",s-Nesimininia uni fa

neet7rdrie6e.

les som socordées puer unn année cl pe

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vem êtra man.velées.Damnées d munsm l'agmla des ieou,o

end de scampainm vara 1. villes, afin.ont été tee. sa Wein' d. ie.'. ..en;ecusenent lm métiers d'esche. Pieul et,qui désirent esese dans lem 1,illisee pentes ...ces.

Aue.. proposition ne doit Etre tette'eu faveur dés Pupilles de ta

Nation'pour

1000011 da ...Miss spéciaux sent race,vé, par I. offices rlépertementatixLes dossiers, eomoosés des pièces su

donnent être edreassos à la Préf.'!inizer.r.Lle 28 mess da ehaune année,

Une dernande de boums gni migicetue.

1,9 lin Pahalt du dils elua tante:tai.:tincal. an eucithear een ernuete.R on,ce mn ele"poterne,

Un toalletiri de unissante dir mamie;delo

4e khi esilffiest 414 Plan* de fanasdiloei pst le tuai.:le o 10 cern/test de l'imei.eur 44e1het4ei e fréquené Male

bitte exIl seoifiée tessionne ad

1;eli lui

Sket en père, ese làcllebie. J. Malté ettslefieenles.

- 0111910 4eiele pet la Maire MM..* eaih le Pteleefetet.

L'année me trentomoIeen *Allem

Lnneltes, eléKe0006ë, 04mande de New-York ou MorningPbst

PM11 se refaire compté le le '154e de 0018j01 teitsitteit à dielseerannée en treize mois, une firandnev,yorkaise annonce qu'à Partitridli 2 jahviem elle organise SOI affin.vol jiltivédff MAS cettê leese. Le Lump.,

Ire eetlaIreà, ete., eetottecalEttlàn luIdéle indit ffè qilattàMaines. Aucune dénomination n'aPal encore choisie o.m le tfoleià-Mt mois,

011 3 rgirool,3 le v3 thugulls

déliétlie dé Lbhdre9 annoncenue I, paquebot Euripyde b,tultlafit e4 At9traige, Med etràtd

l'fitt sttibt.htetti 199990 t199

'iiienn).Prewrirr.,?.-;ae.:1;:',5C g:atet oh bheib eàba nouvelles

elepeth dettelai eteetatithattie tie dari .

vl.tbd 00vM".àterine ne. àà.rel

die et que babitanteAsornetou's enekgèneste santé

24,WS avoir déposé d. provisionsEuripyde a confluai son

ve,mge,

bignntr eîluarrel:Lieeov!sid'avoir rendu ninet leur appareil d'T. g. 0. pour antriavr II inonde qetler ste Bue met et 4, tgere singl drIl p41419,1 t

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Jr 0 41.4,0

1ïe I 17_,À'' 1NT1. INT re.A.TegtAISETi Arra. .0LIOH..-1`.

GErmArsTrset NTAASTrainnertai

LAPERSONNEvralLei. re14,44.44 444v,ree IFS44..

ja°h-ei JPdEuTre POireft uaààa,ap

Trou Joli 0-4,4 fr4-POGhe ieur PTaaNNEs eh ÇtADE4I.flç: Fourrures, Echarpes, Pochettes, Claies, Gants, Hou

chogs, Bas de Soie, Paraplums, etc.,

GRAND CHOIX DE PETITS MEURI ES- - - - - -

TOUS LES JOURS : GRANDE FETE ENFAIVTIIVEh. 30 ids 17 h. 30

é 1NT

Chronique de ToqiouseL'Agrégé

Dans les couloirs de la Chambre,Il Hippolyte Duces, agregé del'Cluversité et deputè de Saint-(.1 Idenete (Il nistribue des commit-. 41s.

J. Hippolyte Dueos est rappor-t, r du budget de l'Instruction pu-b ite et n chante lui-même son los.I b. n'est jamais mieux servi que par. uoême.

I e rodacteur en chef d'un grandje anal du malln félicite le rappor-

Cbest une mine de documentsq notre rapport, lui dit-il Et c'estm .gté dans un style clair, direct et

ea Hippolyte se rengorge et seomeshe,pour une conficonee

Meyer, alter and. MD* aPPre-, ion me tourbe, mals, vous gaver,

West, pas le député qui a fait .0port..- etc

- C'est regrée !LErtrait de e d'Artagnan .)

Nous prions ce journaliste de ve-nir par mi, du côté de Saint-Gau-dens, lorsque M. Dimas, an lien de

ee:,neonlersaliC.'iorrets,er racew.-Ii mann tout de suite qui parle,

eu n'est l'agrégé ou l'autre,

Chez les Universitaires-a-INAUGURATION

@II L'AMPRITNEATIIE DE LAFACULTE DE AburspaNg

Iller matin à 9 h. CO a eu lieuFumuguration au noua, t umphithéit.t .14 la Faeulté de Médecine, adné

l'entres au Jardin dos Plan-t, et 'Luttes t- sep re.

, pppd.1.1.18 publie, dès roumi--envahit les gradins du nouvel

o Inthisitre ; moins grand que de-1 9 du Sénéchal, il comprend deuxa. téoc de gradins et pourra eantenir

m d'auditeur.: que celui de la/ o Hé de Médecine.

1,1 Maiseillaies exematée pat la-cone militaire, sous la directioncapitaine Hardies retentit soies

Lorystile dés l'armée du etirtego

maire préside agant h dea M. te neuve Dresh et les

,mni des quatre Fauultée Mil..botier, Darbeeh, Abolou et Ibéeam

; M. le sénateur Berge, M, leelet, Nt. le général Girard, le

I etmer président. Loup, le promua, r gériCral Gaehes, J. Julien, ad-j'ont aux beausTarte I Doininiqüelin., adjoint ; et Froniment, Code.anse, Dna.] enneeillers municipaux;

bt.Lahillone,secrétaire de la pré-

fecture /es ptufesseUrt en robe don

eO'leral l?44.11; cl7r , pr 44i n es Amiede l'Université ; M. Signoret etd'antres personnalités,

Notre ami Billières ouvre la séan-te par un isnot de bienvenue danteet amphithéâtre tnatlicipal si néPessaire lu l'Université, et donne laparsie à l'adjoint aux 13cau,Arts,J. Julien.

Notre camarade, daim un dielleurtifrinarquable fait d'abord Muttbri-qua ne Pealphithéâtre rentereis les

411tobiteetes. à/M. Thilliet et Mille.,WH ont conçu et réanimé lue ainêna-EMente néeessalree pour tra.10r-4. m Vandas Ainpluthdâtre en un

Csetr Eifeehtcl"drPosition et à la vétuste' dut Il:-ms et aussi au peintre Despony et

O ses collaboraTeure qui menèrent abonne fin l'oeuvre que la mort de111. Despouy avait intorrompue.

L'adjoint aux becta, acteretraceensuite l'union étroite qui existatolipmrs entre PlJaiverelté et la vildl--- malgré la turbulente quelque.fuie Exoessive de /a jeunes. dee éueo-

(0t il en prbfite pour noue narrerla,teb,m)Otne Ktudiante et Copi-

r:;:troiar'red'être, comme Va J.0 s, u-rble abri pour toutes les fortore ne laIpomée, de la science et du rêve...C est Toulouse tout entière qui Pa

ZueOttt's'eeec'édesMême ceuvre.

Purs notre ami Julien montreessor de nos Facultés et plus spé-

cialement de la Faculté de Ittédelti.Re, et leur enivre.

Toulouse est flûte 4Ie ses Facili-tée, de terra inWituts, de lem, sa-vants éminente et la munielipoliteest heureuse de Prsdainer àIrnaattaill.la> reconnaissance de la pope.

M. le Redent' a ensuite rernereD'cipalité, le département etè qui sout dite cet amphithéâ.

rappeM le elle passé den'errent de Tunleuca

a adtetl

gol'ileureclritlet Mrale1P240qu'etl'inauguration cl M. le professeurBardier de la Faculté de Médecine,

IIIl'al7Tan'inuéersal'

c'.t sur les accents de la Tou-lousaine jouée par l'orchestre, quecent terennée cette seau.. H. D.

(N pua publie, one deputot le dm-cours de dahea).

...'................--,

1

Un seul CHAPELIERIre 'sis les plus bus

BROSSONTOULOUSE s ed. rio Aixoe.

A l'Association du MairesDE LA RIUTE-GAIIONNE

Hier à midi 30, nn grand banquetréunissait les marres et leurs invitésau restaurant Lafayette.

Le tbacquet Mail présidé par IMIlipediir Laurent, président de PAs-somation, entoure de nombreux par-Dmentaires, 4 sérfatenrs, plueteurtdaptités, netamment notre ami Fle.douce. M. Guillon, m'ébat t latillié-rer, crabe de Tuctuuen.

Au dessert ai, Laurent, ...se peu.aider. membres de l'Association. Ilrappelle lee dehnts de I Assormtermet sa prospérité immedirde, dansrapplicatMn die prgranune stric-tement profeSsloilhe Il do lut rai-sons nombreuses qui militent en fa-veur de l'assotiation, il remerciete préfet de sen oemeours, le mairede Toulouse, la presse.

M. Blaignan, Sénateur, parle aunom des parlementaires, recenseles &seine des munibipalétés 1.4 boit

lvenit de PAssociatillti.Billières, maire de Ton/mise, re-

mercie les maires d'avoir choisiToulouse pour tenir leurs aMeneg.

A son tour, se ,plaçont sur le tér-

ne Peasentire/administratifdes proble;nesexa- illEtrermnesimral,n permes

oreillons et constate le retard d.1 athrlillist tives.

Il offre à ses collègues de Les es- re'reeZz. er.t.'pe915 ra

sister de ses conseils sans pour eela ene rem

bers en hrêche le droit tutélaaredes préfets.

U mot un garde ses collégnetantrc les retards que Pah OpPortara petit-être O la rentrvation danleu enganumro dol municipalités.

Enfin M. Guillon, préfet, féLieltel'Association de ses efforta, 1.1 maa-sidéré que le maire d'une grandeville a parfaitement raison d,e vat,loir aider ses collégure mais boredes limites de le tutelle dr préf..tures. Il promet de présenter eugouvernement les formuléspar l'Association. 11 hoil à la pion-ponté et 1E1 dréveloppentent de l'As-sociation, ainsi qu'au Premier mue- DB TOOLouSBtrat de la république.

Dans la matinée, mie te a impor-tent° réunion avait été tenue, encours 12, rue Saint-AnfoinesdisTde Iseptelle les membres de l'Asam,malien ont dwoute les problèmes _àf1,51 lé la Plus courante. ID ont 'asusiasass 'ro,- sucnotait:usent envisagé les rédermosfinancières Urgentes pour Parnell.

et 1 &puffin°lebudgadfaires

étasse, en /Web ÇAune phis faci gestion des

s.ence deS nouvelleS earges des con,

M. K. Z.DANS NOS SOCIETES SAVANTES

A LA SOCIETE D'ASTRONOMIEeismaniffletimastranemsn% DE TOULOUSE

A aqaastre de l'Assemblée générale

A MANON LESCAUT Ils'ouvr=eerneUr-tbr. du Bureau. Le Conseil d'edam-nistration ee trouve dow ainstpeaé imur l'exercice 1925-30.

Président d'honneur M. Cosse-rait, membre de l'Institut, directeurde l'Observatoire de Toulouee.

Président v M. Henry Gharouleau,pubtomfete.

Viee4Prlleidents MM, le comaMandant Pille, capitaine de frégateen retraite, et Frédéric Rossard, as-tronome à l'Observatoire.

Secrétaire généra/ tut. JosephChatoierai, capoc-leur du bravait.

Secrétaire M. Basile Sultre, sous-chef de bureau de la Mairie en re-tralle.

Trésorier ; 111. Honoré Saint-Mar-the, comptable.

, mc, 5ePelle. dl-0MO iiimoue rk Cent.)

GJOURD'ain

OUVERTUREA certe rumen r

Intéressants Résigna de

BASpinot

29.eeBAHTS le.itrète 23 »

Pire.11:,°°1-"-sers., Poo

pra

..drnelenhat

OANS LA RUEAUTO CONTRE TRAM

Avant-hier, vers 14 h. 30, une col-/taion s'est produite à l'angle de larue Courte et de la rue de la Répu-blique, entre t'automobile conduitpar son propriétaire, M. BlajanJean, demeurant I Deux (Haute-Garonne>, et un tram de la hgne 5eenduit par /e wattman Salles, sedirioeant vers la Gare Matabiau.

gâta matériels seulement.

BLESSE PAR UNE AUTOSamedi, vers 14 h. 45, le sieur

',orgues Edouard, aviateur, 40 ansdreeprant a Sent.Simon, persaiiaq blOyelells, Huta de Deyassa, ne-cent da Fritaaaasb Irregue dixivépapale dg la rue Parmentier, I a oieIronie et renverse par l'automobilem'adulte .par le Plifiliffr114 ErnestJean.

A la suite du choc, l'orgues a eula cheville droite fracturée.

Il a été transporté chez /e docteurChary à l'aide de 'automobile de M.Marcail/ou demeurant route deSeysses, puis t son domicile I t'aidede l'automabile de l'auteur de Pae-cident.

Les deux véhicules ont égalementobi e. &eh, -

Une enquéte est ouverte au 76 ar-rondissement.

ew111110LWESur plainte de Mlle Cassagne Ju-

liette, 22 ans, femnm de chambre,demeurant rll14 St-Bernard 19, uneenquête est ouverte au 4e arrondis-sement, contre la personne incon-nue qui avant-hier apres-midi, en-tre 14 e 1£1 e., 4eSt Introduite danssa chambre, -pendant son absence eta dérobe deux robes, une veste pourdarne le haat. d'elle Valent' de 300 fr.

TENTATIVE D'EFFRACTIONSur plainte de M. Chafgol Justin,vos, patron de Pleto des Quatre-

Saisons, rue du Rempart St-Etienne29, une enquête est ouverte ,auarrendiOseMent, Mutre inconnu,PeUr toldative sPeffractiOn earninisedans la nuit du Tl au 15 couranKvers t h. 30, due, I Stmblrqsrmer,Iqu'il exp/oite.

OCTOGENAIRE BLESSEEHier, h 12 h. 50, le tram 48, se di-

rigeant vers St-Simon, a renverséMme Joséphine Azéma, 84 ans, 38,rue

L'accident &est produit rue de laRépublique. La blessée a été, trans-portée lu l'Hôtel -Dieu et admisesalle St-Louis. Elle a subi de fortecontusions.

LES AUTOSHier b tq h. 45, M. Bergougnan,

ana, boulevard Armand-Duportal enarrêtant brusquement son auto aucarrefour Lafa,yette, a été pris enécharpe par l'auto de M. VivO, Ar-thur, WI ans.

L'auto do ce der mer a été dété-riorée.

COMMLNCEI/ENT DINKENDIEHier, h 12 h, fa, un Peu de amati-

née dû à un vioe de construction aéclaté 48, rue Denfert-Rochereau,dans la chambre occupée Pax M.Delmae amie, .platrier.

Les pompier& ont assez rapide-ment éteint le feu, mais 30 mètresde toiture ont êtê bedes 20000 fr,de dogâter couverts Par Une assu-rance

TROUVAILLESRéclArcer b l'Administration d.,

Ib.., Une pagre de gants, tin per-tebillets, un sac armi, trois porte-

ndbC'etelle 4%oeu'lle"1.;" Fonderie, nu:IIIérilevEnti de. laine M,

emdc ivette

d'aut,icr'imeume.', inspecteurCompagnie der Trams, une sommed'argent ; b M. Pend, ruo St-Nioo-las 28, un bracelet avec plaque ; àM. Rous, rue de Toul 9, un para-pluie de damé ; à M. Casse, rue Ta-risse 24, un portemonnee petitesomme eLblbjeta ; an be arrondisse-ment, un passeport ; au poste depo/ice du Marché des Carmes, untablier d'endanL

s CREDIT MODERNE

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Bonnes Occasions-

180 MEILLEURES MAISONS

, 4CCIALI01TE

M. Jean illeoffre, ar-chitecte.

Conseillera permanents P,jpppont, ingénieur dos Arts et Ma.nufeetures ; le viconte dele commandant Litre, chef d'esca-dron d'artillerie en retraite ; PaulGérard, insPeCteur PrincaPal d.Eaux et Forêts, tous anciens prési-dents ; faune Joardet, membre bien-faiteur.

Conseillers élus MbL A Denay-roll., pegoejapt ; Isidore. mobitemte ; Latte, doeteur en médecine,professeur t lEcole nationale M.Urinaire ; Lassalle, PhotegrapheEdouard Marty, docteur en méde.eine ; Louis Montangerand, asfrono.Me à l'Observnbaire ; Enfle Paloqueastronome a 1 Observatoire ; halaRatier, propriOlaire ; .1, Rocher, as.

ilecte.

BUREAU DE IDENFAISANCEPm du Comité Central des Mn

vres de la Grande Guerre, prêsideepar M. le Premier Président Saullra,de la Cou, d'Appel de Toulouse.

Le Bure. de Bienfaisance de Tou-louse, rappelle aux int.messés queIra dossiers de demande des prixfondés pour les démobilisés, meu-ves et orphelins de la grande guerre,doivent être parvenus au Secrétariat'tu Bureau de Bienfaisance avant le31 décembre 1929, délai de riguenr.

Ces dossiers doivent être rom.Posés pour chaque catégorie de tué-néficialres, comme l'indique la e Ne-ttee adressée à toutes les eommunec des départements de la liante-Oaron,ne et du Lot.

C. prix varia,nt de MM à 2.000Masos, seront attribués par moitiéà chacun de c. départements,RENOUVELLEMENT DES CARTES

Dit REDUCTIONSUR LES TRAMWAYS

- L'Association des Mutilée et An-edens Combelltants, 171, rie du Taur)leo.ne les fautités de la Guerre,susceptibles de bénéficier des Car-tes de réaluollon sur /es tramways,qu'ils doivent, cadmie par le passe,S'adresser au (lernité Dertemen.tel des Mutais, qui est ace desformalités de renouvellement.

Seuls, /es Mutilée du Travail, Mai-Win faire effeuilla ism Der'BEID,tper leur FédhrablIth Departemen.tale.

AUX ARTISANSLa Fédération des artisans de Tont

Inuse et de la Région, invite Waxles Artisans Syndiqués ou non, 00e-aisSer à la auralien le mardi 17 décembre, el 21 heu-res, dans la grande salle du caféBories Her étage), Illace du Calai-Sole, 14,

Gibet, ingénieur des Arte etmanufactur., licencié .441 droit, le' Ila une conférence sur la question [wivente r La loi Loucheur et Far-tisane issue de cette confeteaqce, un membre da bureau fédéral ex-posera les buts, te programme etlent eu de /a Folles' Han dans notreréez,.

ADJUDICAT/ON DES 14. T. T.Un concours sera ouvert en vue de!

l'installation du chauffage centralà mu chaude h l'Hôtel dm postes éis.Mazamet (Tarn).

Los dm land. d'adnusaion à mn.courir, e'sabil. sur essaim llbre, de,tallant pomulir uu dircrteur régin-1nul des loutre et des tébleVadhesTantouse, le 25 deeensbre 1O29 no Pbm!tard.

Ellcc seront accompagnées d'inielattestation d'adhésion à une caissede compensation pour le payementdallocations familiales (art. 2, ducahier des charges genérales).

seront avisé. ultérieurement et di-rectement par lettre recommandéedo leur admIsecan et recevront à eteMoment le programme du concours.

Pour tous renseignements s'mlres-mer à la direction régionale des Pos-tes rt Télémap se, tem Ise jours noafériés de 8 h. 90 à 12 !marir et de14 à 18 heures, 18, rue Pham.,Toulouse.

PATRONAGE EMBUE DE LECOLEMATERNELLE DES MINIMES

Programma de la fêté de 'eue; 19 dé.minium à 14 C. 30 (mIle Fermat), à Foe-... de la Fête de l'Arbre de Most 1929

première partie. - I. Ouverture (pianOL2. Autour dra amis vert les.); 3. Je neesse

at elinea'Ul tei:=.14,47tre)).;La Noie Darne./ 6, 1.errsède Musi.1(violon): 7. Nuit esdh.tée (saynète/.

Dessième partie. - 1. Ouverture (pia.no); 2. Lettre an Bonhomme NeS1gel. 3, flan.' et Crceel (duo et danse);4. Intemède Melon); 5. IA leur d. l'As(chane.nettel, 6. La Noël dee Marmitons

Vhlon M, Marcel Penderie..Piano Mlle Renée Com. et Ithne E.

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Cent l'abbé Plass:, de l'oboevately.de Palerme, oui, le ler ianvier MOI, dé-c.., la peme planete Céres. eatIs die... 077, le die.,, rave-Soleilpriseeomme unité.

Le 28 mata 1890 Olbera dé.orryte unedeuxième planète, c'est Polka Il est Placdifficile dg faire admettre le nouvelle ve-am, la vide étant comblé, mais li iont Dense tendre à l'évidente.

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Mea, le 29 mars 1807.Tempo d'errât de 38 ans, et voici Aa-

trde tannée 18451 et Hébé 10974 A daterde ce nromest, lec dérouverte. mot reprécipiter à tel point. qu'aetuellemest oncompte plus de 1200 petite. clade., laphumrt dmouvertea pat h photographiedirecte d'abord. puis per le « stéréo.mom.

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Les opp.itions, s'il y a lieus de.vrent Pare faites dans les dSx pursde la présente insertion renouvellent.1Ie parue dans le même journal le5 décembre dernier et seront reçu.par M. Lauxeral, boulevard de Stras-bourg n° 12 à Toulouse et domunleest élu à cet effet.

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hngues

orace none retire sa mistaance Y-.(Mimé I Ohime 1 Nous qui evonstoujours apporté tout houle à la sa-tisture I Qu allons-nous devenir,sainte Madone ? On nous croit ri...clieue..mais,,,,,n,o,Luts enImpeasrzacu,t-r.....

ce suton faufe, ce qui est arrivé 7Ma pauvre Giovanna n'en a-tetlepas êta la première victime ? Dis-leau seigneur NMrcarrnes, mie Erie-vanna, quai indigne traitement ilstom ai suir, ces x misér abl.f t b desGascons... Dans quel Mat tu étaisqu mé A dmand on ta raene.- ei-morte, h pauvre petite ! Et c'est,rnurtant au service de Votre Excel-lance e t de t té d dAlnor.e respecuc '-. q u'elle a bill i p e.r dr e b vie... Oh!ce n'est pas lin reproche, IMeu puis-sant ! Mais n'était-ce pas assez quenotre dévoumeent nous ait colite, àelle tard d'effroyables tribut Aious, àmet tant . 1m III -inquiétudes 7Eili'l in'ne tl/i'lot evienne tint .0.-'croit la cause de notre disgrâce et

nere '-`" ? ''''ign'euri'est tioli lin-te. trel. équitalne Pomy...in-,Noincarm. haussa les //patries

d'un air mité. et interrompit avec

SHEEH011 que VOUS Occupiez. Onà savoir si vous, ou la signera G.di n'avez aucune part de responbilit4 dans

qcesévéneen

ients,, nI'une autre uettim que je n a1,V,Inel,daeltisrcuete,r .eontrr ,0,-,n,i.,inee

vous raconter une certaine visqu'elle MO fit, un soir, il y. a n'mois. HSTIS Ont. strette InIorItien, h sieur de ROnSegne0 ai.,sed de vivre depuis longtemps,i s'esuit eleltrien e ce qu t proddn'aurait eu lieu.

mye, sans saym. ce gai avaitse passer alors mitre le greint,pvôt et Cioyanne, Comprit que cetà cepe_ci Aque Se do r,gnac t dû d'et libeavai. rends enlorsqu'il avait été arrêté, Il sulet.Florentin devion aussitôt la rai.quy avait fait agir sa nièceavait aimé ré ull,,,,,,,,I sep..Renseigna., et, ege Pavait sauvé lninanT.

.o.,.. physionyymie pileuse et b

moyen! h a nt ment et P0 0 ¢11¢¢ SUi IOyyne eyp.isu de ,y,eté ;leen.bin 'mins tinôme /lemme . en8passai/ dans sen ,e.g.ard 88,Wevanna.

.

LA FLORENTINE, .

d'Edouard ADEN1S

y Cette fange dont j'Entrais vin.soroiô pulyptinn sort implacablem'y jette. je m'Y ca h me erai, je veuxm'eu gorger jusqu'au complet etouf-fenmntl I

/dedans, entendayit des cris Per-rais, accourut Elle t rou ôa se mai .I

troôse, sans connaissance, les dentsv a,Ses, les Dinui eonvulsns. 501i se

. Usa sur le lit en proie à une. aie crise de nerls.

tre Ion. 1011,1 11, ln Gnairnitrouvait av.. NairearineS ai/. La

ofece du premier étage que no.conn.s.aiss00Le grand-prévot, venu par le pas-

sage soutenoin, s'était attarde .1.ex-de-chan.. pour vérifier si ton-tes les ferinetur. de la boutiqueavaient Nen été misos.

Le couvre-feu avait sonné dep uislongtemps ; aucun bruit ne montaitd e la place du V ieux- March é. s ? cen'est, . temps à autre, h pas lourd

.

Dass h silence, le voix &Ulm de,/¢¢1.¢¢¢r¢., ¢t¢,r¢, ¢-¢xrdarde e¢¢brève :

bien / signora Guaiirti, consmunçayt-il, vons vol'ez h réseltet de

lesse pour le e.votre insigne faib ihVaiiet de Roussignac ? Vous aravezobligé hi hire grâce... Tudieu I

vous avez 00 500 belle récompensede votre mg nanimité

teh les conse-

emences en ont ee fort réjouissaistes poen. nous! h comte délivré, moiferro de srybir lis coutTaiinge de cesdrôles et vous démasquée t Me, nema vie, voilà . h Mile besogne, e. Cighait la première loden, duis h

les, où Giovanna avait quitté laviI le . lles, avec poir deBruxe P . oaitn'y plus revenir, qu'elle se truven presence du sinistre personnage.

je crois bien mte j'aurais laisse vo-tre intéressant Gascon vous infligerh ch0 édthrient qu'il mitait, si jen'Avais eu un com nipte régler avecloi,

lesquels il se trouve enfermé dansMons lace sieurs Vanhupt, liions-piegd/ et Lem me.

Mais, rétorqua le parfumeurbouleverse à rides de le disgrâce

inVialtfittilmir Barentim Cent la lY liesPionne du don d'A lbe. y

Giovanna courba hte avech ae.°alitement. Le parfumeur florentindemeura atterré.

ses mains maigres dans lessébiles rmnpti. de ce bel or d 'Es-pagne que, c han. mois, lui appor-tait le Bou .cher Elr.b.a.

liEsnrioarde l Est-il possible ?

s'en-riait-il Ealulust, élietnu... Vairs

violermeNcrES m e fat Zée°.iguez avec

vos inuti/es lamentations., Je voush répète, Ies évtueruents se sontproduits rendent impossible, pourvous deux, votre maintient dans la

i fc'g toi q.- ,.. uvé ?jenia-t-il. Tu as fait cela, h._ . , t mpé ? /n as menti tu 117 as roi

,.,/'dy,

,,,,,,yyjny,

e. ' ."'i, n. liél .

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