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Niccolb Castiglioni, Franco Donatoni, Brian Ferneyhough Ensemble Contrechamps Direction, Emilio Pomàrico ç gre D'Ayr 011 A PAKUS 1994 Opéra National de Paris/Amphithéâtre Mardi 18 octobre 1994 Coproduction Opéra National de Paris/Festival d'Automne à Paris NAL DE PARIS Document de communication du Festival d'Automne à Paris - tous droits réservés

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Page 1: NAL PARIS - festival-automne.com · Franco Donatoni Arpège, pour flûte, clarinette, violon, violoncelle, piano et vibraphone, (1986) Création à Paris, 30 mars 1987 Durée : 12

Niccolb Castiglioni,

Franco Donatoni,

Brian Ferneyhough

Ensemble ContrechampsDirection, Emilio Pomàrico

ç gre

D'Ayr011 APAKUS 1994

Opéra National de Paris/Amphithéâtre

Mardi 18 octobre 1994

Coproduction Opéra National de Paris/Festival d'Automne à Paris

NALDE PARIS

Document de communication du Festival d'Automne à Paris - tous droits réservés

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Franco Donatoni,Arpège

Niccolb Castiglioni,Cantus Planus 1

Brian Ferneyhough,Bone Alphabet

Franco Donatoni,Hot

entracte

Niccolb Castiglioni,Cantus Planus

Franco Donatoni,Ciglio

Brian Ferneyhough,On Stellar Magnitudes

Katherine Ciesinski, mezzo-sopranoSusan Roberts, soprano

Jean-Louis Chautemps, saxophoneFrançoise Rivalland, percussion

Ensemble ContrechampsFélix Renggli, flûtes,

René Meyer, clarinettes

Gérard Métrailler, trompetteYves Guigou. trombone.

Isabelle Marie, harpeIsabelle Magnenat, violon

Daniel Haefliger, violoncelleKalina Goudeva. contrebasse

Bahar Dôrdüncü, piano ( Hot et On Stellar Magnitudes)Sébastien Risler, piano (Arpège et Cantus Planus)

François Volpé, percussion

Direction, Emilio Pomàrico

Le Programme Musical de France Culture, partenaire du Festival d'Automne à Paris,enregistre ce concert qui sera diffusé le 4 décembre à 22h35 dans Opus.

Producteur, Martine Cadieu.

quitecéPROGRAMME MUSICAL

BIOGRAPHIESJean-Louis ChautempsSaxophoniste, flûtiste et compositeur français. Il travaillele saxophone seul, en 1949, puis l'harmonie. Il débutechez Claude Bolling ( 1952-54 ). puis joue avec SidneyBechet, Django Reinhardt, Zoot Sims, Lester Young(1953), Bobby Jaspar, Albert Ayler, Roy Eldridge, DonByas, puis avec Chet Baker. En 1965, il participe aux pre-mières manifestations du free jazz en France. Il collaboreensuite à l'Ensemble InterContemporain, et tourne auxEtats-Unis avec Musique vivante ( 1972 ). En 1976, il créeRhizome, groupe de rencontre de musiciens classiques etde jazzmen autour de la musique improvisée (la forma-tion renaîtra quatre ans plus tard, sous le nom deRhizome encore). A partir de 1978, il enseigne au conser-vatoire de Bagneux. En 1986, il fait partie du premierOrchestre National de Jan, écrit des musiques de ballet.et Interface à facettes, sur Macintosh, composition pourorchestre d'harmonie. En 1987, il joue, notamment aumusée Guggenheim à New York, au sein du Quatuor deSaxophones. Il est sur tous les fronts de la musique d'au-jourd'hui: musicien de studio, de jazz, de musique contem-poraine, enseignant.

Katherine CiesinslciPremier prix du concours de Genève et grand prix duconcours de chant de Paris, la mezzo-soprano américaine,Katherine Ciesinski, a remporté les plus grands succèsinternationaux dans les répertoires les plus divers, et a col-laboré avec les plus grands chefs d'orchestre. En France,après ses débuts à Aix-en-Provence dans La Traviata, dirigépar Michel Plasson, elle fut notamment Dorabella, puis

_Marguerite de La Damnation de Faust de Berlioz sous ladirection de Daniel Barenboim. Elle s'est produite àRoyaumont en 1992 dans le cadre de Voix Nouvelles. Ellea enregistré de nombreux disques ( La Messie de Haendel,Ariane et Barbe-Bleue de Dukas avec Armin Jordan, ainsique Syringa d'Elliott Carter. Guerre et Paix de Prokofievavec Rostropovitch ). Elle a créé de nombreux rôlescontemporains (Amalia dans le Casanova de GirolamoArrigo, La Célestine de Maurice Ohana ...) Dans le domainedu lied, elle enregistre les Womeni Voices de Ned Rorem,les Chansons Madécasses de Ravel ainsi que des Lieder de

'Clara Schumann et Alma Mahler.

Emilio PomaricoNé en 1953 à Buenos Aires, de parents italiens, EmilioPomarico étudie avec Virgino Bianchi, Sergio Lorenzi,Renato Dionisi et Franco Ferrara et obtient son diplômeen 1972 au Conservatoire Giuseppe Verdi de Milan. Il adirigé deux productions pour le théâtre de la Scala, en col-laboration avec le Piccolo Teatro di Milano: Noye's Fluddede Benjamin Britten ( 1987 ) et Der Jasager de Kurt Weill(1988). En 1992, il a dirigé la Quatrième Symphonie deMahler, la Passacaglia de Webern et les Altenberg Liederde Berg pour le bicentenaire du théâtre de la Fenice à

Venise. On l'a remarqué lors de la création de Quodlibetde Emmanuel Nunes à la Fondation Gulbenkian (1991).au Festival d'Automne à Paris (1992) et à la Biennale de

Venise (1993). Il dirige le répertoire contemporain et enparticulier des oeuvres de Elliott Carter, Franco Donatoni,Brian Ferneyhough. Gérard Grisey, Giacomo Manzoni,Emmanuel Nunes, Goffredo Petrassi et Iannis Xenakis.

Françoise RivallandFrançoise Rivalland a travaillé la percussion avec GérardHiéronimus et Gaston Sylvestre. Elle aborde la musiquecontemporaine sous différentes formes: solo, musique dechambre, petites formes orchestrales et a joué avec plu-sieurs groupes de percussion (sextuor. quatuor, trio). En1986, elle est co-fondatrice de «S.I.C.», ensemble de com-positeurs et d'interprètes, qui privilégie le répertoire et lacréation de musique de chambre. Elle en assure la direc-tion artistique. Elle travaille aussi d'autres aspects de lamusique d'aujourd'hui : improvisation, théâtre musical,musiques extra-européennes... Elle pratique les percus-sions digitales et le cymbalum. Depuis 1987, elle collaborerégulièrement avec Georges Aperghis.

Susan RobertsNée aux Etats-Unis, Susan Roberts fut titulaire d'une boursede la fondation Martha Baird Rockefeller et lauréate duconcours muusical de Genève. Elle fait ses débuts profes-sionnels à l'opéra de Krefeld en Allemagne, et ensuite àWiesbaden et à Francfort. Son répertoire s'étend dubaroque à la musique contemporaine: elle interprètedivers rôles d'opéra dans de nombreux festivals en Europeet se produit également en concert ( avec orchestre etensembles de musique de chambre...) Récemment elle ainterprété le rôle de Sposa dans le Trionfo di Afrodite deCarl Orff, et a chanté avec l'orchestre Halle, le RoyalLiverpool Philharmonic, le San Francisco Symphony et leTasmanian Symphony Orchestra.

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Franco DonatoniArpège, pour flûte, clarinette, violon, violoncelle, piano etvibraphone, (1986)Création à Paris, 30 mars 1987Durée : 12 minutes

Cette oeuvre fut écrite à la demande deContrechamps, et créée à Paris en mars 1987 parl'Ensemble Contrechamps. Elle est dérivée d'unepièce pour vibraphone solo, Omar, qui fournit lematériau initial de la pièce. L'oeuvre est divisée enplusieurs sections caractérisées par l'écriture et letempo. ainsi que par le type de jeu et le caractèreexpressif: on pourrait parler d'une série de variationslibres. L'effectif est presque constamment utilisé danssa totalité. Donatoni jouant sur une polyphonie extrê-mement dense des différents plans. Les figurationsmélodiques forment des structures quasi motiviques,mais apparaissent puis disparaissent dans un "conti-nuum sans cesse changeant, ne livrant que des frag-ments évanouis dans la mémoire" ( Donatoni ).12oeuvre repose sur une écriture rythmique com-plexe de type stravinskienne, c'est-à-dire pulsée sur labase des valeurs les plus courtes, et débouche surune combinatoire de figures répétitives mais irrégu-lières qui exigent un jeu d'ensemble extrêmementvirtuose.

Philippe Albèra

Niccolb CastiglioniCantus Planus I et IIsur des textes crAngelus Silesuspour soprano, mezzo-soprano et flûte, clarinette, violon, violon-celle, piano. harpe. percussion (1990/91)Durée : I, 10 minutes II. 10 minutesCommande de l'Ensemble ContrechampsCréation, sous la direction de Giorgio Bernasconi le 26 août1990 (I) et le 14 mai 1991 (II) à Genève

Johannes Scheffler. qui signait du pseudonymed'Angelus Silesius. est sans aucun doute le plus grandpoète mystique du XVIIe siècle. Son recueil de poé-sies intitulé Cherubinischer Wandersmann présenteune série de minuscules poésies constituées de deuxalexandrins à rime plate. Le grand art d'AngelusSilesius tient à l'union de la profondeur avec la sim-plicité, et donc avec l'essentiel. Précisément, ce carac-tère essentiel a quelque chose de webernien, commechez Webern il a quelque chose de mystique. J'aitoujours été contrarié par le rapprochement entreWebern et la "nouvelle objectivité" de Stravinsky.Webern demeure pour moi un grand lyrique. J'aicomposé cette oeuvre intitulée ( grégoriennementCantus Planus à cause de la nécessité d'exprimer ensons ma propre méditation sur Webern Silesius.Cette double série de douze minuscules lieders'ouvre avec la contemplation d'un simpleWiesenblümelein ( fleur des champs) où le sensmystique de la pureté non contaminée de la natureatteint un degré euphorique, l'euphorie de l'étonne-ment enfantin et de la joie. Cantus Planus II est dédiéà Giorgio Bernasconi.

Niccolb Castiglioni

De son vrai nom Johannes Scheffler, Angelus Silesiusest né en 1624 à Breslau en Silésie. Il commencetrès jeune à écrire des poésies, et après ses études auGymnasium, il s'inscrit en 1643 à l'Université deStrasbourg en médecine, politique et histoire.L'année suivante, il est à l'Université de Leyde enHollande, et en 1647 à l'Université de Padoue. En1648, il est reçu comme docteur en philosophie eten médecine. De retour à Breslau, il entre en contactavec les cercles mystiques et obtient un poste, en1649. de médecin à Ûls. Fin 1652. il quitte ses fonc-tions après une dispute avec les autorités luthé-riennes et se convertit au catholicisme. Il est accueillidans sa nouvelle confession sous le nom deJohannes Silesius. Il vit retiré. En 1654, il obtient leposte de médecin à la cour impériale de FerdinandIII. Il fait paraître un premier recueil d'aphorismeset des poèmes. En 1661, il est ordonné prêtre, puisil déploie une intense activité polémique contre leshérétiques. écrivant de nombreux pamphlets contreeux. Il meurt en 1677 après une longue période demaladie due en partie aux mortifications qu'il s'im-pose.

Brian FerneyhoughBone Alphabet, pour percussion solo.( 1992)Création par Stephen Schick à San Diego. février 1992Durée. 8 minutes

J'ai composé Bone Alphabet à la demande deStephen Schick. qui souhaitait une oeuvre utilisant leplus petit instrumentarium possible. Jusqu'à un cer-tain point, l'interprète peut choisir lui-même les septinstruments nécessaires, de manière qu'ils puissentêtre transportés. en théorie, dans une seule mallette.L'oeuvre utilise comme "texte" les patrons rythmiquesde Allgebrah pour hautbois et cordes : les trois typesd'action présents dans cette dernière oeuvre sontcependant réordonnés et épurés ici selon des critèresformels tout différents. J'ai défini treize "zones decomportement", de texture et de réalisation tech-nique fortement contrastées. et réparties ensuite defaçon kaleidoscopique. Le déroulement de l'oeuvreest donc caractérisé par la prédominance decontrastes soudains et prononcés. et par des change-ments de direction imprévisibles.On choisit sept sources sonores, chacune ayant sapropre portée dans la partition. Les instruments peu-vent être de différents genres (bois, métal, pierre.peau, etc.). mais «doivent» posséder des caractéris-tiques d'enveloppe ( netteté de l'attaque. extinctionrapide du son et un large spectre de dynamiques/pppp-fff/ par exemple). De plus. on «ne doit pas»installer côte à côte deux instruments de mêmefamille. Mais pour le reste, l'interprète est libred'agencer les sonorités à son gré : il peut choisir,après examen des différentes configurations dumatériel, de mettre en relief des aspects particuliersde ce matériel au moyen d'agencements spécifiques.Les mailloches et baguettes doivent être choisiesselon les mêmes critères.

Bilan Ferneyhough

Franco DonatoniHot, pour saxophone ( sopranino et ténor) et clarinette.trompette, trombone, contrebasse, piano, percussion, (1989)Création à Metz, 17 novembre 1989Durée : 14 minutes

Composée en 1989, en tant que commande del'Association des Saxophoniste de France et dédiée àDaniel Kientzy. Il s'agit d'un jazz »imaginaire« quicomprend, en dehors du soliste, une clarinette en sibémol, avec une petite clarinette en mi bémol, unetrompette en si bémol, un trombone ténor-basse, unpiano, une contrebasse et un percussionniste.Rien qui soit d'une évidence immédiate, selon unepratique chère à l'auteur qui transpose, dans sonexpérience artisanale de l'écriture, des gestes appar-tenant à la mémoire d'une pratique instrumentale«improvisée», modulée par l'imagination.

Franco Donatoni

Franco DonatoniCiglio II pour flûte et violon (1993)Creation à Modene, le 3 décembre 1993Durée : 4 minutes

Ciglio pour violon seul, composé en 1989, était unecommande de Philips-Italie pour le Concours natio-nal des jeunes violonistes.Les difficultés de cette oeuvre, qui possède pourtantles caractéristiques communes aux autres pièces quej'ai écrites pour instruments solistes, sont limitées auxperformances que peuvent réaliser de jeunes concer-tistes.

Ciglio II est une petite oeuvre pour violon et flûte quiemprunte l'essentiel à son homonyme pour violonseul. Je l'ai composée en 1993 pour le Concours deviolon Lipizer de Gorizia.

Franco Donatoni

Bilan FerneyhoughOn Stellar Magnitudessur des poèmes de Brian Ferneyhoughpour mezzo-soprano. flûte, clarinette, violon, violoncelle. pianoCommande de la Fondation Royaumont pour "Voix Nouvelles".Création le 3 septembre 1994 à la Fondation RoyaumontDurée : 10 minutes

Le problème de la mise en musique d'un texte a étél'une des interrogations majeures de la compositionau XXe siècle. Des questions telles que : quelle rela-tion peut avoir un texte particulier avec un style ouune esthétique donnée ? Comment, et jusqu'à queldegré. la structure du texte doit-elle être concrète-ment reflétée dans celle du discours musical ? Dansquelle mesure les caractéristiques sonores du maté-riau verbal demandent-elles une représentationexplicite ( c'est-à-dire audible) dans la pièce ?

Jusqu'où le compositeur peut-il suggérer une exégè-

se ou une interprétation spécifique de ce qu'il consi-dère comme étant ce que le sens voulu par le poète?Plusieurs de mes compositions récentes - dont leQuatrième Quatuor ( 1990. avec voix) - cherchent àredéfinir les aspects essentiels du paradigmemusique/texte, et On Stellar Magnitudes se com-prend peut-être mieux comme un pas de plus sur lemême chemin, dans la mesure où les textes utiliséssont, pour la première fois, entièrement de moninvention.

Au lieu d'un seul poème continu ( ou d'un groupe detextes reliés à un même thème), j'ai choisi de ras-sembler 17 ( extraits d') aphorismes qui sont plusliés par la logique de leur processus de création quepar une continuité de leur contenu. Partant des nomsdes étoiles de première et deuxième magnitude, j'aicomposé quelques cinquante brèves constellations,chacune se composant d'une série de mots com-mençant par les différentes lettres du nom de l'étoi-le. Cette simple contrainte de procédure a permisune densité maximale d'analogies potentielles. etm'a en même temps libéré, lorsque je composais, detoute dépendance à l'égard des conventions narra-tives trop restrictives, ou d'un « madrigalisme »déclaré ( c'est-à-dire l'usage de parallèles explicitesentre la signification du texte et sa réalisation musi-cale).La contradiction évidente entre l'immensité desobjets stellaires et leur évocation minuscule et gno-mique dans ce contexte suggère un traitement iro-nique. voir même fantaisiste : en conséquence, laforme générale de On Stellar Magnitudes se définitprincipalement comme une série d'états éphémèreset souvent instables, qui, bien qu'ils se chevauchentou interfèrent à différents degrés. ressemblent plusà une série de scènes d'opéra dans lesquelles lescombinaisons, vocales et instrumentales, définissentdes «caractères» (lesquels. à peine affirmés. sontrésorbés et annulés par le flux constant des transfor-mations).

L'ouverture de On Stellar Magnitudes offre la texturela plus continue et linéaire de l'oeuvre, passant del'évocation au piano d'indistincts champs d'étoiles àl'énonciation « magique » des noms successifsd'étoiles que chante la mezzo entre les apparitionsprogressivement plus actives et resserrées des bois etdes cordes. D'abord clairement distincte, la chaînedes « scènes » qui suit devient de plus en plus confu-se jusqu'à ce que, vers la fin, fleurissent simultané-ment des solos instrumentaux virtuoses brusquementconclus par l'irruption rapide et décisive de figura-tions « ostinato » qui amènent l'oeuvre à une courtefin.

On Stellar Magnitudes est une commande de laFondation Royaumont. Je dois des remerciements à laFondation ainsi qu'à l'Ensemble Contrechamps pourleur patience et leur compréhension pendant la ( quel-que peu) longue gestation de cette composition.

Brian Ferneyhough

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Chaque mercredi daté jeudi, le supplément "Arts & Spectacles"vous donne un éclairage différent sur l'actualité culturelle et la créa-tion d' auj ourd'hui.Partant de cette actualité, il la dépasse et l'analyse sous un angle diffé-rent, toujours original, enquêtes, portraits, entretiens... à l'appui.

eL Le Monde vous parle également de ses "coups de coeur" et vous proposesa sélection des manifestations culturelles et artistiques : théâtre, cinéma,danse, musique, arts, disques...o

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CE QU'IL EST BON DE SAVOIRQUAND ON VEUT TOUT CONNAÎTRE.

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