Mise en œuvre d'outils de travail collaboratif à la Caisse ... · Le workflow, contrairement à...

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Rapport de Stage Septembre 2002 DESS Ingénierie documentaire Mise en œuvre d'outils de travail collaboratif à la Caisse d'Epargne Rhône-Alpes Lyon: Etude préalable à la mise en place d'un workflow et mise en ligne de la documentation du Système d'Information Véronique AMAR Sous la direction de Michel PETIT Responsable du Service Etudes et Développements Informatiques de la Caisse D'Epargne Rhône-Alpes Lyon et de Marie-France PEYRELONG Professeur à l’ENSSIB

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    DESS Ingénierie documentaire

    Mise en œuvre d'outils de travail collaboratif à la Caisse d'Epargne Rhône-Alpes Lyon: Etude préalable à la mise en place d'un workflow et mise en ligne de la documentation du Système d'Information

    Véronique AMAR

    Sous la direction de Michel PETIT Responsable du Service Etudes et Développements Informatiques de la Caisse D'Epargne Rhône-Alpes Lyon et de Marie-France PEYRELONG Professeur à l’ENSSIB

  • Résumé

    Après une réflexion sur la gestion de contenu, deux applications ont été

    retenues à la Caisse d'Epargne Rhône-Alpes Lyon : Le workflow qui a

    nécessité une étude préalable et la centralisation et mise en ligne de la

    documentation du système d'information sur l'intranet.

    Descripteurs :

    Gestion de contenu - gestion des connaissances - workflow - documentation - système

    d'information - en ligne

    Abstract

    After considering the elements of content management, two applications

    have been kept in the "Caisse d'Epargne Rhône-Alpes Lyon" : The workflow

    which required a previous survey and the intelligence system

    documentation which has been centralized and put on line.

    Keywords

    Content management - knowledge management - workflow - Intelligence system -

    On line

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 2

  • Remerciements

    Je tiens à remercier Michel PETIT pour m'avoir encadré au long de ce

    stage et pour l'accueil qu'il m'a réservé au sein de son service ainsi

    que tout le personnel du Service Etudes et Développements

    Informatiques

    Je remercie aussi Jean-Christophe Martin, Christian Descombes et

    Philippe Brunier pour leur collaboration et Patrick Perret pour ses

    explications.

    J'associe Marie-France Peyrelong à ces remerciements pour son

    écoute et ses conseils.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 3

  • Sommaire

    INTRODUCTION .......................................................................... 6

    PARTIE 1 DES CAISSES D’EPARGNE AU SERVICE ETUDES ET DÉVELOPPEMENTS INFORMATIQUES DE LA CERAL ....................... 7

    1. Les caisses d’Epargne et le marché bancaire français 7 1.1. Une place à part sur le marché bancaire français .............................. 7 1.2. L’identité des Caisses d’Epargne et la loi du 1er juillet 1983 ................ 8 1.3. La loi de réforme du 25 juin 1999.................................................. 9

    2. La Caisse d’Epargne Rhône-Alpes Lyon 12 2.1. Composition et Organisation ....................................................... 12 2.2. Le Service Etudes et Développements Informatiques (SEDI)............. 14 2.3. L’informatique à la CERAL .......................................................... 14

    PARTIE 2 ETUDE PRÉALABLE À LA MISE EN PLACE D’OUTILS DE WORKFLOW .............................................................................. 17

    1. De la GEIDE à la gestion de contenu 17

    2. Le workflow : concepts, techniques, outils 20 2.1. Définitions et spécificités ........................................................... 20

    2.1.1.Définitions générales......................................................... 20 2.1.2.Les différents types de workflow ......................................... 21

    2.1.2.1.Workflow de production ou transactionnel ...........................21 2.1.2.2.Workflow administratif.....................................................21 2.1.2.3.Le worlflow « ad hoc ».....................................................22 2.1.2.4.Les workflows collaboratifs ...............................................22

    2.1.3.Workflow et groupware...................................................... 23 2.2. Caractéristiques techniques et outils présents sur le marché ............ 24

    2.2.1.Caractéristiques techniques ................................................ 24 2.2.2.Normes et standards ......................................................... 25 2.2.3.Comparaison de quatre outils leader sur le marché ................. 26

    2.3. Applications de workflow dans les entreprises du tertiaire ................ 28

    3. Analyse des procédures de la CERAL 29 3.1. Grilles d'analyse des procédures lourdes ....................................... 30

    3.1.1.Grille de pondération des procédures ................................... 30 3.1.2.Les limites de cette analyse................................................ 31 3.1.3.Une procédure à part : Réception, certification, paiement des factures

    ..................................................................................... 32 3.2. Grille d'analyse des gains attendus .............................................. 33 3.3. Grille de recensement typologique des documents et volumétrie ....... 37

    3.3.1.Grille de recensement typologique des documents .................. 37 3.3.2.Grille de volumétrie. ......................................................... 39

    4. Bilan 39

    PARTIE 3 CENTRALISATION ET MISE EN LIGNE DE LA DOCUMENTATION PROJET ..................................................................................... 40

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 4

  • 1. Contexte et acteurs du projet 40 1.1. Le contexte du projet ................................................................ 40 1.2. Analyse de l'existant informationnel ............................................. 41 1.3. Les acteurs du projet ................................................................ 43

    2. Définition du périmètre 43

    3. La conception de l’arborescence 45 3.1. Conduite d’entretiens auprès de porteurs de documentation projet .... 45

    3.1.1.La documentation projet .................................................... 45 3.1.2.La documentation applicative.............................................. 47

    3.2. Réunion avec les responsables intéressés par le projet .................... 48

    4. La conception technique 51 4.1. Architecture générale ................................................................ 51 4.2. Recherche sur les moteurs internes ............................................. 51 4.3. La conception de pages web ....................................................... 52

    5. L’administration du site 56 5.1. Constitution de normes d’appellation des documents....................... 56

    5.1.1.La documentation des projets ............................................. 56 5.1.2.La documentation applicative.............................................. 56 5.1.3.Les planning de réunions des instances ................................ 57 5.1.4.Les comptes-rendus des instances ....................................... 57 5.1.5.Les présentations associées aux comptes-rendus.................... 57

    5.2. Les informations associées aux documents .................................... 57 5.2.1.Pour l’ensemble des documents........................................... 58 5.2.2.Pour la documentation applicative ....................................... 58

    5.3. Gestion de l’administration du site ............................................... 58 5.3.1.Mise au format PDF........................................................... 58 5.3.2.Les répertoires et fichiers................................................... 58

    6. Organisation de la publication 59 6.1. Le rôle de l’administrateur de la documentation projet .................... 60 6.2. Le rôle des émetteurs de documents ............................................ 60 6.3. Les responsables des projets ...................................................... 60 6.4. Le responsable de la cartographie du Système d’Information privatif . 60 6.5. Le responsable méthodes et grands projets ................................... 61

    CONCLUSION ............................................................................ 62

    BIBLIOGRAPHIE........................................................................ 63

    TABLE DES ANNEXES ................................................................. 68

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 5

  • Introduction

    La place de l'information dans l'organisation a peu à peu été reconnue comme

    centrale et la Gestion Electronique de l'Information et des Documents d'Entreprise

    (GEIDE) devient l'une des parties intégrantes du système informatique de

    l'entreprise. La GEIDE s'est développée avec la "société de l'information" et

    répond à des besoins de plus en plus divers. Un moteur de workflow peut venir

    l'enrichir, qui, selon un circuit prédéfini, permet la répartition de tâches entre

    différents utilisateurs, leur suivi et leur contrôle.

    C'est cet axe de réflexion qui a conduit ma venue au Service Etudes et

    Développements Informatiques de la Caisse d'Epargne Rhône-Alpes Lyon

    (CERAL).

    Le premier aspect de ma mission a été de dresser un portrait des différents outils

    de travail collaboratif en termes de fonctionnalités afin de permettre un choix dans

    la mise en œuvre de certains d’entre eux.

    Le choix s’est porté vers le workflow d’une part et la mise en ligne de la

    documentation projet d’autre part.

    Le workflow, contrairement à la philosophie des outils de travail collaboratif,

    répond à une logique de productivité. Les buts, pour la CERAL, dans la mise en

    place d’outils de workflow sont de réduire les coûts de transaction ainsi que les

    temps d’exécution des processus en automatisant ces derniers.

    Mais la mise en place d’outils de workflow représentant un coût élevé, une étude

    d’opportunité ou coût/avantages s'est avérée nécessaire.

    C’est dans ce sens que j'ai apporté ma contribution à l’étude : Etat de l’art, analyse

    des procédures les plus lourdes et conception d'outils d'évaluation.

    Quant à la réorganisation de la documentation projet du système d'information et

    sa mise en ligne sur l’intranet CERAL, elle répond à des objectifs de gestion et

    mutualisation des connaissances (Knowledge Management) et de gestion de

    contenu.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 6

  • Partie 1

    Partie 1 Des Caisses d’Epargne au

    Service Etudes et Développements

    Informatiques de la CERAL

    1. Les caisses d’Epargne et le marché bancaire français

    1.1. Une place à part sur le marché bancaire français

    Les caisses d’Epargne ont longtemps occupé une « place à part » sur le marché

    bancaire français en raison de leur statut, de la structure de leur bilan (caractérisé

    par un double excès de liquidités et de fonds propres) ainsi que de l’étendue de

    leur implantation sur le territoire national.

    Jusqu’à la réforme de janvier 2000, les Caisses d’Epargne étaient des

    établissements privés à but non lucratif, n’ayant ni actionnaire, ni sociétaire.

    Elles sont passées entre 1983 et 1999 d’une fonction de collecte d’épargne

    centralisée, d’abord à la Caisse des Dépôts et Consignations, puis en 1985 dans les

    SOREFI (sociétés détenues en commun par la Caisse des dépôts et les Caisses

    d’Epargne), à une gestion directe de la majeure partie de leur bilan.

    La loi du 1er juillet 1983 avait fait des caisses d’épargne, des banques sociales

    généralistes et de proximité.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 7

  • Partie 1

    1.2. L’identité des Caisses d’Epargne et la loi du 1er juillet 1983

    L’article 1er de la loi de 1983 conférait un but non lucratif aux Caisses d’Epargne,

    qui a longtemps représenté un élément essentiel de leur identité.

    D’autre part et conformément au même article 1er de la loi de 1983, les Caisses

    d’épargne devaient assurer une mission de proximité qui les chargeait d’assurer la

    promotion et la collecte d’épargne, pour satisfaire les besoins collectifs et

    familiaux.

    Ces statuts en ont fait également des financeurs de l’économie locale et sociale, en

    appui aux collectivités territoriales.

    Cependant, aucune disposition de la loi n’impose aux Caisses d’Epargne de

    maintenir des guichets dans les zones rurales ou zones urbaines sensibles ou

    d’accueillir tous les clients. La vocation sociale d’accueil de toutes les clientèles

    relève donc de la culture de l’entreprise, voire de la politique commerciale de

    l’établissement et non pas d’une mission qui lui aurait été confiée par le

    législateur.

    Le livret A est également un élément essentiel de l’identité des Caisses d’Epargne

    qui, jusqu’en 1978, n’ont pu proposer que ce seul produit à leur clientèle. Chargées

    de la promotion et de la collecte de l’épargne, elles partagent avec La Poste, le

    monopole du produit d’épargne le plus populaire en France (détenu par 46 millions

    de Français en 1999, soit plus de 80% de la population) Cependant, les Caisses

    d’Epargne n’ont pas la maîtrise des fonds collectés et ne constituent qu’un

    prestataire de service rémunéré par une commission égale à 1,2% de l’encours

    collecté. C’est la Caisse des Dépôts et Consignations qui assure la mission de

    financement de l’habitat social, à partir des fonds collectés sur le livret A par les

    Caisses d’Epargne et par le réseau de La Poste.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 8

  • Partie 1

    1.3. La loi de réforme du 25 juin 1999

    Depuis le 25 juin 1999, le groupe Caisse d’Epargne met en œuvre la loi de réforme

    relative à l’épargne et la sécurité financière dont l’axe central est l’adoption du

    statut juridique de banque coopérative.

    Cette entrée dans le monde mutualiste a pris effet le 1er janvier 2000 et a renforcé

    le caractère d’établissement bancaire de plein exercice des Caisses d’Epargne qui

    peuvent désormais effectuer toutes les opérations d’une banque. Composé de parts

    sociales, le capital initial des Caisses d’Epargne est détenu par des Sociétés

    Locales d’Epargne (SLE) dont la mission est de favoriser le développement et

    l'animation du sociétariat. En effet, tout client d'une Caisse d'Epargne, personne

    physique ou morale, peut désormais acquérir les parts sociales d'une société locale

    d'épargne et en devenir sociétaire. En 2002, le Groupe Caisse d'Epargne compte

    plus de 2,1 millions de sociétaires parmi lesquels 3850 collectivités locales.

    Il existe au moins sept SLE pour chaque Caisse d'Epargne au sein desquelles

    chaque sociétaire a un droit de vote en vue d'élire un conseil d'administration dont

    le Président les représente à l'assemblée générale des Caisses d'Epargne.

    La loi de réforme de 1999 recompose ainsi l'organisation des Caisses d'Epargne

    selon trois niveaux :

    - Les Sociétés Locales d’Epargne

    - Les Caisses d’Epargne régionales

    - La Caisse Nationale des Caisses d'Epargne

    L’organigramme complet du groupe ainsi qu’un historique se trouvent sur les

    pages suivantes.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 9

  • Partie 1

    Organigramme du groupe Caisse d'Epargne

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 10

  • Partie 1

    Historique

    Ouverture du capital des Caisses d ’Epargneaux sociétaires

    Loi du 25 juin 1999 sur la réforme desCaisses d ’Epargne

    Création de la Caisse Centrale des Caissesd ’Epargne

    Adoption d ’un nouveau schémad ’organisation du réseau en 34 Caisses

    d ’Epargne. Création de la CERAL

    Loi de réforme du 1er juillet 1983,qualifiant les Caisses d ’Epargne

    d ’Établissements de crédit à but nonlucratif

    Autorisation donnée aux Caisses d ’Epargnede diffuser le compte-chèque

    Ouverture progressive de la gamme deproduits distribués

    Loi Minjoz instituant le financement descollectivités locales et des logements

    sociaux

    Les fonds collectés sont centralisés à laCaisse des Dépôts et Consignations

    Reconnaissance des Caisses d ’Epargnecomme établissements privés d ’utilité

    publique

    Ouverture de la première Caisse d ’Epargneà Lyon

    Première Caisse d ’Epargne à Paris, premierlivret d ’Epargne

    2000

    1950

    1966

    1978

    1991

    1995

    1983

    1999

    1835

    1822

    1818

    1837

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 11

  • Partie 1

    2. La Caisse d’Epargne Rhône-Alpes Lyon

    2.1. Composition et Organisation

    C’est en 1822 que la Caisse d’Epargne ouvre ses guichets dans les murs de l’Hôtel

    de Ville de Lyon sous l’impulsion du maire de Lyon et du préfet du Rhône.

    La structure actuelle de la Caisse d’Epargne Rhône-Alpes Lyon (CERAL) ne date

    que de 1991 et découle des nombreuses fusions entre les différentes caisses qui se

    sont opérées dans la région entre 1988 et 1991.

    Actuellement la CERAL emploie 1870 personnes et compte 205 agences sur trois

    départements : Le Rhône, l’Ain, et le nord de l’Isère. Elle couvre huit régions

    commerciales : Lyon Centre, Lyon Nord Ouest, Lyon Est-Villeurbanne, Lyon Sud

    Est, Lyon Sud-Ouest, Lyon Nord-Beaujolais, Pays de l’Ain, et Vienne-Nord

    Dauphiné.

    La CERAL est composée des quatre pôles présentés ci-dessous qui agissent sous

    l'égide du Directoire :

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 12

  • Partie 1

    Le Service Etudes et Développements informatiques appartient au pôle technique

    qui comprend la Direction de l’informatique et de l’Organisation et la Direction

    Logistique :

    La Direction de l’Informatique et de l’Organisation comprend quatre services dont

    le Service Etudes et Développements Informatiques :

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 13

  • Partie 1

    2.2. Le Service Etudes et Développements Informatiques (SEDI)

    Le SEDI est composé de 15 personnes dont huit travaillent sur le projet OPERA

    qui sera développé dans la partie suivante.

    La mission générale du SEDI est de développer et de faire évoluer le Système

    d’Information Privatif de la CERAL à travers des missions de conception, de

    maintenance et d’assistance à maîtrise d’ouvrage. Le Système d’Information

    permet la collecte et le traitement de données opérationnelles importantes et très

    détaillées ainsi que leur gestion, organisation et exploitation. Les éléments

    collectés correspondent à l’ensemble des éléments fonctionnels de la banque.

    Le SEDI participe également à des projets communautaires.

    2.3. L’informatique à la CERAL

    Afin de mieux appréhender l’organisation informatique de la CERAL, il faut

    d’abord comprendre l’organisation informatique du groupe. Cette organisation

    comprend le Centre National d’Etudes et de Traitement Informatique (CNETI)

    notamment chargé des études et traitements de compensation, comptabilisation,

    centralisation et tenue des fichiers communs.

    On distingue ensuite 14 centres techniques régionaux (CTR) qui gèrent l’ensemble

    des applications relatives à la production bancaire (comptes des clients, crédits,

    placements….). Chaque Caisse d’Epargne appartient à l’un de ces CTR ou

    « communauté informatique ». Quant à la CERAL, elle appartient au CTR Vivalis

    au même titre que les caisses des Alpes, de Bourgogne, d’Auvergne et « Loire

    Drôme Ardèche »

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 14

  • Partie 1

    Au niveau Rhône-Alpes Lyon, les postes informatiques sont de type Télépargne,

    bureautique ou mixte. Les postes Télépargne ne comportent que des applications

    bancaires et sont donc gérés par Vivalis. Les agences ne disposent que de ce type

    de poste. Les postes bureautiques dépendent des services informatiques privatifs

    CERAL. Les postes mixtes quant à eux gèrent à la fois des applications bancaires

    et bureautiques. Chacune des huit régions commerciales définies précédemment

    dispose de postes mixtes et de deux serveurs : un serveur dédié aux applications

    bancaires et administré par Vivalis, l’autre dédié aux applications bureautiques et

    administré par les services informatiques de la CERAL sous OS/2 (IBM).

    Le siège social de la CERAL compte 71 serveurs administrés sous trois systèmes

    d’exploitation différents :

    • Dix serveurs se trouvent sous Windows NT4.

    • Quarante et un serveurs sont sous OS/2

    • Vingt serveurs sont hébergés sous Unix.

    Le réseau utilisé est un réseau LAN de type Ethernet.

    Le projet START

    Start est l’un des projets majeurs au niveau informatique. Actuellement la CERAL

    appartient à la communauté Vivalis qui gère l’ensemble de la production bancaire

    sur la plate-forme informatique ARPEGE. Cependant, dans le cadre général des

    évolutions du réseau des Caisses d'Epargne, des orientations nationales préconisent

    une recherche d'économie des coûts informatiques du groupe à travers la réduction

    du nombre de plates-formes applicatives. Fin 2003, à l'issue d’une migration, le

    Groupe Caisses d'Epargne s'appuiera sur 3 plates-formes informatiques au lieu de 7

    aujourd'hui.

    Le projet START représente l’accompagnement de la migration de Vivalis, de la

    plate-forme informatique actuelle ALPHA vers ARPEGE.

    Ce projet devrait permettre de réduire significativement les coûts informatiques de

    manière à ramener le ratio Coût informatique/PNB de 11 à 9%,

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 15

  • Partie 1

    Le projet OPERA

    L’objectif d’OPERA est de fournir à la CERAL des outils de pilotage et d’analyse

    de la rentabilité analytique. Le principal de ces outils est le Compte de Résultat par

    centre analytique qui doit permettre de décomposer le résultat global de la CERAL

    par marché et par élément de structure (agences, services…). La mise en œuvre de

    comptes de résultat consiste à capturer dans l’ensemble du système d’information,

    l’ensemble des éléments constituant le Produit Net Bancaire et l’ensemble des

    charges (Ressources Humaines, Amortissement des immobilisations, frais

    d’exploitation….). Les composants les plus pointus d’OPERA sont la création des

    systèmes de « taux de cession interne » et de « refacturation interne » qui visent à

    détailler et isoler les différents métiers de la Banque.

    Le projet OPERA est un chantier de trois années et de plusieurs milliers de

    jour/homme

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 16

  • Partie 2

    Partie 2 Etude préalable à la mise en

    place d’outils de workflow

    1. De la GEIDE à la gestion de contenu

    Le point de départ de mon travail a consisté à réaliser le panorama d'une GEIDE

    (Gestion électronique de l'information et des documents d'entreprise) et des

    concepts qui y sont associés : workflow, groupware, portail d'entreprise, gestion

    des connaissances, gestion de contenu. Cette synthèse devait permettre de choisir

    au sein de ces technologies, les plus avantageuses à mettre en œuvre, même si un

    net intérêt pour le workflow était déjà préexistant.

    BDDGED

    WORFLOW

    GROUPWARE

    PORTAIL

    KM

    GESTION

    DE

    CONTENU

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 17

  • Partie 2

    Lorsque j'ai effectué ce travail, j'ai voulu faire transparaître la chaîne que

    comprend un système de GEIDE : Acquisition des documents, acquisition des

    index, stockage des documents, recherche et restitution des documents.

    D'autre part, lorsque je me suis penchée sur les outils de workflow, groupware ou

    portail d'entreprise, je me suis vite aperçue que leur appellation ne correspond pas

    toujours à leurs fonctions réelles ou qu’ils peuvent regrouper plusieurs types de

    fonctionnalités. Les éditeurs d’un logiciel, dès qu'ils y intègrent une messagerie

    électronique, le définissent rapidement comme un outil de workflow. Je me suis

    donc attachée à déterminer ces concepts en termes de fonctionnalités.

    Le schéma situé sur la page suivante est un extrait de cette étude dont l'intégralité

    se trouve à l'annexe 1.

    A l’issue de cette étude, il a été décidé que mon travail se poursuivrait vers

    l’analyse préalable à la mise en place d’un workflow.

    Par ailleurs, dans une optique de gestion des connaissances, il a été décidé qu’une

    autre partie de mon stage serait consacrée à la centralisation et mise en ligne de la

    documentation du système d’information.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 18

  • Partie 2

    Acquisition desdocuments

    •Numérisation

    •Fichiers bureautiques

    •Formulairesélectroniques

    •Serveurs de fax

    Acquisition des index

    •Indexation manuelle

    •Extraction automatiquede mots-clefs

    •Analyse full text

    •OCR

    •Utilisation de codes àbarre

    De la GEIDE à la gestion decontenu : fonctionnalités

    Stockage desdocuments

    •DON WORM

    •DON Reincriptible

    •CD-ROM

    •CD-WORM ou CD-R

    •jukes-boxes pourDON ou CD

    Recherche desdocuments

    •Recherche booléenne

    •Recherche plein texte outexte intégral

    •Recherche parnavigation ou techniquehypertextuelle

    Restitution desdocuments

    •Restitution au formatnatif

    •visualiseur de document

    •Envoi vers un serveurfax

    •Conversion au formatpdf

    Groupware

    •messagerie électronique, listesde diffusion, chat, forum

    •agendas partagés

    •workflow

    •partage de fichiers

    •espaces de travail partagés

    •GEIDE

    •portails

    Workflow

    •Régule les enchaînementsd ’opérations

    •Assure la circulation des dossierssur les postes de travail

    •Surveille les priorités des travaux

    •gère les délais

    •Assure les synchronisation etdéclenche les alertes

    Portail d ’entreprise Gestion des connaissances Gestion de contenu

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 19

  • Partie 2

    2. Le workflow : concepts, techniques, outils

    2.1. Définitions et spécificités

    2.1.1. Définitions générales

    Les définitions proposées ici sont celles de la Workflow Management Coalition

    (WfMC). Cette organisation internationale, créée en 1993, regroupe des éditeurs,

    des utilisateurs et des experts dans le domaine du workflow. Sa mission est de

    promouvoir l'utilisation du workflow grâce à la définition de standards portant sur

    la terminologie du workflow, l'interopérabilité et la connectivité entre les produits

    de workflow.

    Workflow : Automatisation de tout ou partie d'un processus d'entreprise au cours

    duquel l'information circule d'une activité à l'autre, c'est à dire d'un participant (ou

    d'un groupe de participants) à l'autre, pour action en fonction d'un ensemble de

    règles de gestion

    Système de gestion de workflow : Système qui définit, implémente et gère

    l'exécution d'un ou de plusieurs workflow à l'aide d'un environnement logiciel

    fonctionnant avec un ou plusieurs moteurs de workflow et capable d'interpréter la

    définition d'un processus, de gérer la coordiantion des participants et d'appeler des

    applications externes.

    Processus d'entreprise : Ensemble de plusieurs activités reliées les unes aux

    autres pour réaliser un objectif, dans un contexte généralement organisationnel qui

    définit les rôles et les relations.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 20

  • Partie 2

    2.1.2. Les différents types de workflow

    On retrouve cette segmentation proposée par la Workflow Management Coalition

    dans la plupart des ouvrages.

    Elle est utile pour se représenter de manière fonctionnelle les différentes

    applications de workflow. Cependant, les produits de workflow sont difficiles à

    classer. Ces concepts n’ont rien de définitifs ou de scientifiques et s’appuient sur

    des généralités et des termes imprécis.

    2.1.2.1. Workflow de production ou transactionnel

    Dans ce cas, l’entreprise a défini et mis en place des règles de fonctionnement et

    des procédures contraignantes. Les processus sont au cœur du métier de

    l’entreprise et représentent pour elle un niveau de risque élevé. Les tâches

    effectuées dans le cadre de workflow de production changent peu et son

    récurrentes. Elles impliquent la participation de plusieurs départements de

    l’entreprise et l’existence d’une structure créée pour les mettre en place et les

    contrôler.

    Exemple de procédures transactionnelles : instruction de demandes de prêts

    bancaires, traitement des réclamations déposées par les compagnies d’assurances.

    2.1.2.2. Workflow administratif

    Fondé sur la messagerie et ses extensions, ce type de workflow gère les tâches

    « administratives » répétitives (approbation des dépenses, demande d’achat,

    demande de billets pour les voyages, congés…).

    Ce type de tâche est désormais pris en charge par les messageries ou les workflows

    fondés sur les messageries. Les applications de ces workflows « communicants »

    se limitent aux tâches administratives ou « ad hoc ». Pour des applications

    nécessitant le traitement de gros volumes de documents, il vaut mieux faire appel

    aux systèmes de workflow de production.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 21

  • Partie 2

    2.1.2.3. Le worlflow « ad hoc »

    Ici, il s’agit de tâches ou activités qui sont plutôt associées à des projets qu’à des

    traitements intensifs. Si les workflow de production gèrent des tâches répétitives,

    les workflows ad hoc sont soumis à des objectifs dont les étapes et les niveaux

    d’interaction entre les intervenants sont plus difficiles à définir en détail et à

    prévoir.

    Exemples : Activités liées à un nouveau produit, un marché, l’embauche d’un

    candidat…

    Des produits comme Microsoft Project ou MacProject sont surdimensionnés pour

    ce type de tâches. Cependant, les workflow ad hoc ont besoin de certaines

    fonctionnalités de gestion de projet pour planifier et contrôler les opérations

    prévues initialement.

    Le workflow ad hoc est par nature communicant, le workflow de production est

    plus orienté « traitement » en fonction de circuits et de règles établies à l’avance :

    Un dossier de prêt suit toujours le même processus d’approbation mais la rédaction

    d’un document d’ingénierie sera soumise à un degré d’interaction très fort.

    2.1.2.4. Les workflows collaboratifs

    Le workflow collaboratif est souvent considéré comme du groupware.

    Ils se concentrent sur le travail d’équipe en vue d’atteindre des objectifs communs.

    La taille des groupes peut-être très variable. Elle peut aller du petit comité avec

    une organisation orientée projet, au grand groupe réparti à travers le monde et

    ayant des intérêts en commun. Les workflows collaboratifs ont pour but de faciliter

    les communications inter-groupes. Par rapport aux workflows de production ou ad-

    hoc, ils font beaucoup plus souvent appel aux moyens de communication qui

    permettent l’ajustement mutuel des individus impliqués. Ils sont également

    caractérisés par un cadre procédural relativement ouvert et plus complexe car

    moins déterministe dans sa mise en œuvre.

    Exemple : La gestion des processus plus ou moins formalisés de définition d’un

    nouveau produit

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 22

  • Partie 2

    Le workflow qui intéresse la CERAL est typiquement un "workflow de

    production".

    2.1.3. Workflow et groupware

    La typologie des différents workflow donne un aperçu de la confusion qui règne

    entre workflow et groupware. Le workflow est souvent classé à l'intérieur des

    outils de groupware. Pourtant sa philosophie est éloigné des outils de groupware. Il

    répond avant tout à une logique de productivité : Il s'agit de la refonte et la

    restructuration des processus métier en vue d'obtenir une amélioration de la mesure

    critique des performances : coût, qualité, service et rapidité.

    Le groupware pour sa part essaie de faciliter les interactions informelles entre les

    groupes en renforçant les aspects communication, coordination et coopération du

    travail en équipe.

    Les outils de workflow n'ont pas d'incidences positives sur les environnements

    coopératifs, ils restent directement associés à des objectifs et des tâches

    spécifiques (Exemples : embaucher un employé pour un poste spécifique, traiter

    une demande de crédit).

    Avant d'aborder la partie technique du workflow, il est important d'insister sur le

    fait que les logiciels de workflow ne sont que des outils et non pas les solutions du

    problème. La phase capitale est celle de conception. Elle implique d'évaluer les

    processus de l'entreprise, la culture collective et les technologies les plus

    appropriées aux changements à mettre en œuvre. En outre, elle nécessite une

    analyse de l'existant et une étude d'organisation : il faut mettre à plat les circuits

    des documents, leur nature, les traitements effectués sur eux, leur recensement.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 23

  • Partie 2

    2.2. Caractéristiques techniques et outils présents sur le marché

    Cette partie a donné lieu à la constitution d'un glossaire présent à l'annexe 2

    2.2.1. Caractéristiques techniques

    Certains produits ont été conçu dés le départ comme de purs logiciels de workflow,

    d'autres sont des dérivés de logiciels de gestion de documents, de système de

    gestion de base de données ou même de systèmes de messagerie.

    Quand l'accomplissement d'une tâche requiert une personne physique, le système

    de workflow prend en charge l'association entre une tâche ou un groupe de tâches

    et une ou plusieurs personnes.

    Cette relation est gérée de manière différente selon le système de workflow.

    Certains systèmes sont conçus pour affecter des tâches à des personnes désignées

    par leur nom préalablement enregistré dans un annuaire. C'est le protocole le plus

    simple à implémenter.

    D'autres systèmes disposent de protocoles sophistiqués qui permettent d'optimiser

    la gestion de la relation entre tâches et participants. Dans ce cas, le moteur de

    workflow propose une activité (souvent appelé "bon de travail") à un groupe de

    personnes, chacun étant susceptible d'accomplir l'activité dans son ensemble.

    Certains moteurs de workflow vont encore plus loin. Ils permettent de regrouper

    des participants et d'associer à un rôle, un nom de groupe plutôt qu'une liste de

    participants. Ceci est particulièrement utile lorsqu'il s'agit de reporter très

    rapidement des activités d'un groupe sur un autre en fonction des charges.

    Il est possible de distinguer deux types d’outils :

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 24

  • Partie 2

    Les moteurs de workflow autonomes

    Ces systèmes sont utilisables directement sans ajout d’autres composants logiciel.

    Ils ont en général leurs propres interfaces et accèdent aux données des autres

    applications. Les spécifications de ces interfaces de données sont en général très

    complexes, c’est pour cette raison que les workflows intégrés sont de plus en plus

    utilisés.

    Workflows intégrés

    Ces systèmes sont fonctionnels uniquement lorsqu’ils sont accédés depuis le

    logiciel principal, par exemple un ERP (Enterprise Resource Planning). Le moteur

    de workflow est utilisé pour contrôler la séquence des fonctions de l’application,

    pour gérer les queues et pour assister le processus de gestion des exceptions.

    2.2.2. Normes et standards

    Plusieurs standards d’échange entre moteurs de workflow sont en cours de

    développement. Ces standards sont proches mais concurrents.

    Deux d’entre eux ont été crée sur l’initiative de la Worflow Management

    Coalition. Le premier est WfXML. C’est un standard d’interopérabilité : Il donne

    la possibilité à différents moteurs de workflow de communiquer afin d’exécuter de

    manière coordonnée des instances de processus

    Le second, WPDL (Workflow Process Definition Language), définit le langage de

    définition des processus.

    Un autre standard a été défini par BPMI (Business Process Model Initiative) :

    BPML

    Microsoft développe depuis peu avec XLANG et IBM, des propres standards.

    Le seul a avoir connu un développement commercial est BPML, déjà utilisé par

    Akazi pour le passage de l’étape de modélisation par Mega au développement des

    processus.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 25

  • Partie 2

    2.2.3. Comparaison de quatre outils leader sur le marché

    Quatre logiciels ont été déterminés comme leader sur le marché. Il s'agit de

    Flowmind de Akazi, eiStream Workflow de eiStream (appelé avant Eastman

    Software), Satfware et W4. Le tableau suivant compare ces quatre logiciels

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 26

  • Partie 2

    Tableau comparatif de quatre logiciels leader sur le marché

    Flowmind eiStream workflow

    Staffware W4

    Editeur Akazi eiStream Staffware W4 normes-standards (1)ODBC, (2)WFMC, (3)LDAP

    oui oui oui

    oui oui oui

    oui oui oui

    oui oui oui

    outils de modélisation

    The Designer (Java)

    Route Builder Graphical Workflow

    W4

    Paramétrage des tâches : - Temporel - Hiérarchique - Déclenchement automatique

    oui oui oui

    oui oui oui

    oui oui oui

    oui oui oui

    Acheminement des tâches

    - navigateur - messagerie

    navigateur

    Niveau de priorité : - tâches - documents

    non non

    oui oui

    oui non

    oui non

    - Gestion des versions - Historique des révisions

    oui oui

    oui oui

    oui oui

    non oui

    Gestion des temps partiels

    oui non oui oui

    - Signature - Chiffrement

    non non

    oui oui

    oui oui

    oui non

    Protection des documents : - copie - Impression

    non non

    oui non

    oui oui

    non oui

    - Datation - Notarisation

    oui oui

    oui oui

    oui oui

    oui oui

    Visualisation graphique des flux

    oui

    oui

    oui

    oui

    (1) ODBC : (Open Database Connectivity) permet l'échange de données entre une application et une base de données (2) WFMC : normes de la Worflow Management Coalition définies dans la partie 2.2.2 (3)LDAP (Lightweight Directory Access Ptotocol) : Protocole d'extraction de données d'annuaires d'entreprises. Il assure la compatibilité de l'application avec un annuaire pré existant.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 27

  • Partie 2

    Concernant les prix, il est difficile d'harmoniser les politiques tarifaires des

    différents éditeurs. Le coût moyen d'installation se situe entre 46 000 et 92 000

    Euros

    2.3. Applications de workflow dans les entreprises du tertiaire

    Dans le cadre de cette réflexion préalable à la mise en place d'outils de workflow,

    j'ai également cherché à répertorier les applications réalisées dans les entreprises

    françaises ayant une activité proche de la CERAL.

    Les ressources que j'ai utilisées sont la presse spécialisée et internet. La

    participation à un séminaire sur le workwlow organisé par la société Aston m'a

    aussi permis de réunir des informations sur ce sujet.

    La synthèse de ces recherches est présentée ci-dessous :

    Gestion des comptes chèques postaux : La poste 1999 Application : Faciliter les opérations de régularisation des comptes chèques postaux. Le système permet d’effectuer toutes les opérations de débit et de crédit en cas d’erreur sur les CCP. Solution retenue : W4 (éditeur français). Le moteur de workflow est installé sur un serveur intranet sous NT et fonctionne avec Oracle. Groupama : Automatisation des sinistres. Juillet 2001 Application : Réduire les délais de traitement des sinistres (grevés par la lourdeur des circuits papiers). But : Diviser par deux le temps de traitement. Solution retenue : W4. Dans un premier temps, sélection des quatre progiciels : Akazi, Staffware, Eastman Software. Raisons de ce choix : W4 est orienté web de manière native contrairement à Staffware et Eastman Software. Akazi est moins ouvert aux connexions de BDD. W4 traite aussi bien les documents papier que les formulaires électroniques. UCB : gestion des prêts dans les back-office. Septembre 2001 Utilisation : Une centaine de procédures ont été automatisées et incluses dans les outils de workflow. Solution retenue : STAFFWARE

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 28

  • Partie 2

    Caisse d’Epargne de Bourgogne septembre 2001 Application : Gestion de la réservation des véhicules, gestion des heures supplémentaires, en cours pour la gestion des congés, au niveau des agences : gestion des réclamations clients, en cours pour les applications métier. Solution retenue : Akazi (éditeur français). Avantages : Ne remet pas en cause le système d’information de l’entreprise. Le workflow s’intègre au centre du système et est interfacé avec les solutions existantes sans nécessiter de modification. Caisse des dépôts et consignations « La Caisse des dépôts et Consignations a choisi d’intégrer pour la majeure partie de ses métiers, une solution assez complexe de workflow ». Application et solutions retenus : inconnus Crédit du Nord janvier 1999 Application : : Gestion des achats et comptabilité fournisseurs Crédit Agricole Indosuez Application : : Cellule maintenance informatique. Traitement des demandes de maintenance avec une réalisation à posteriori d’un archivage et d’une analyse du travail des équipes d’intervention. Cortal Application : : Automatisation de l’ouverture des comptes bancaires

    3. Analyse des procédures de la CERAL

    Plusieurs grilles d'analyses des procédures de la CERAL ont été constituées.

    Le premier type de grille permet de déterminer les procédures ayant le plus grand

    nombre d'acteurs et d'étapes.

    Le second type tend à estimer les gains attendus sur une procédure lors de la mise

    en place d'un workflow. Enfin un troisième type de mesure vise à recenser les

    documents et leur volumétrie dans une optique d’évaluation du coût induit par la

    numérisation des documents.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 29

  • Partie 2

    3.1. Grilles d'analyse des procédures lourdes

    La mise en place d'un système de workflow est lourde au niveau de sa mise en

    place mais aussi par le temps qu'elle nécessite.

    Une automatisation des tâches associée à une circulation automatique des

    documents entraîne une productivité accrue. Cependant le gain retiré ne peut-être

    supérieur au coût que sur les procédures complexes tant par le nombre d'acteurs

    que par le nombre d'étapes et le nombre d’échanges qu'elles impliquent.

    C’est dans ce sens que j’ai établi des critères destinés à identifier les procédures

    les plus lourdes de la CERAL.

    Cette estimation a été réalisée avec la base MEGA. MEGA est un logiciel qui

    permet de modéliser les procédures et de les intégrer à une base de données.

    Sa mise en place à la CERAL en 1999, découle d’une directive de la commission

    bancaire dite « 97-02 » Cette directive impose aux établissements bancaires de

    détenir un fonds procédural documenté à disposition des salariés. Conformément à

    cette directive, la base MEGA est consultable sur Magellan, l’intranet de la

    CERAL.

    3.1.1. Grille de pondération des procédures

    C’est donc grâce à ce fonds procédural que j’ai pu constituer une première grille

    d’analyse destinée à identifier parmi l’ensemble des procédures, les meilleures

    candidates à l’équipement d’outils de workflow.

    Il y a actuellement 429 procédures formalisées à la CERAL.

    L’un des premiers critères de sélection a été le nombre d’acteurs. Une extraction

    de la base MEGA a permis d’obtenir une liste des procédures par nombre

    d’acteurs. J’ai alors retenu les 58 procédures dont le nombre d’acteurs était au

    moins égal à 6.

    Pour ces 58 procédures, les critères suivants ont été retenus et renseignés en

    examinant chacune d’entre elles :

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 30

  • Partie 2

    • Nombre d’acteurs

    • Acteurs extérieurs : Certains acteurs sont extérieurs à la CERAL et ne

    peuvent pas être impliqués dans l’automatisation des tâches que

    suppose un workflow (sociétés extérieures telle que bail écureuil ou

    notaire du client)

    • Acteurs interne : Acteurs moins les acteurs extérieurs

    • Nombre d’étapes

    • Marché : Les procédures sont classées dans différents marchés

    (Particuliers, Professionnels, collectivités territoriales)

    • Domaine

    • Sous domaine

    • Service responsable de la procédure

    Cette grille se trouve en annexe 3 .

    3.1.2. Les limites de cette analyse

    Ce travail effectué à partir de la base Mega a permis de me familiariser avec les

    procédures de la CERAL. Cependant, cette base n’a pas permis de concevoir une

    analyse fiable. En effet, deux éléments importants n’y sont pas indiqués :

    Les acteurs désignés sont des acteurs génériques. Le nombre d’acteurs réels est

    donc ignoré. D’autre part, la fréquence à laquelle s’effectuent les procédures, n’est

    également pas spécifiée.

    Cette grille a malgré tout révélé que les procédures les plus lourdes avaient pour

    responsable le service Economie Locale.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 31

  • Partie 2

    Une réunion avec le responsable de ce service ainsi que mon responsable a permis

    de cerner les procédures réellement complexes de la CERAL :

    • Les procédures d’instructions des dossiers de crédit quel que soit le

    type de crédit

    • Procédure de mise en place d’une caution bancaire

    • Appel en garantie dans le cadre d’une caution bancaire

    • Procédure de gestion des congés

    • La procédure de réception, certification, paiement des factures

    fournisseurs

    3.1.3. Une procédure à part : Réception, certification, paiement des factures

    Cette procédure a fait l’objet d’une attention particulière.

    En effet, elle comprend 31 acteurs génériques, un minimum de 30 étapes et 6 sous

    procédures. Aucune des autres procédure ne compte un nombre d’acteurs supérieur

    à 11.

    D’autre part, le circuit actuel de cette procédure ne permet une imputation

    budgétaire qu’après validation d’un bon à payer par les responsables des services

    ayant engagé la dépense. Ces responsables tardant souvent à valider ce bon, ceci

    implique un manque de visibilité sur le budget de la CERAL.

    D’autre part, le circuit actuel induit un manque de traçabilité.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 32

  • Partie 2

    3.2. Grille d'analyse des gains attendus

    Au cours de mes recherches et lectures sur le workflow, j’ai pu dresser la liste des

    gains potentiels, qu’ils soient tangibles ou intangibles, que l’on pouvait attendre de

    ce type de procédé. Cette liste m’a conduite à construire la grille suivante qui vise

    à évaluer les gains attendus d’un workflow par procédure.

    Cinq types de gains ont été caractérisés : ceux liés au coût de traitement, à la

    productivité, au service client et une catégorie liée à la transparence.

    Pour chacune de ces catégories, des éléments d'unité de mesure sont proposés.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 33

  • Partie 2

    PROCEDURES COUT DE

    TRAITEMENT PRODUCTIVITE

    SERVICE

    CLIENT QUALITE TRANSPARENCE

    GAINS

    POTENTIE

    LS

    MESURE Euros E.T.P (équivalent temps plein)

    • Réduction des délais

    • Suivi des dossiers

    • Meilleure information du client

    • Diminution nb erreurs

    • Réduction délais de traitement

    • Suivi procédures

    • Aide à la décision

    • Planification

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 35

  • Partie 2

    Coût de traitement :

    Il correspond à une réduction des coûts opérationnels. Il s’agit d’une diminution

    des coûts de transaction ou des coûts directs : façonnage, courrier.

    Productivité :

    Les opérations routinières et répétitives peuvent être automatisées, réduisant ainsi

    le temps d’exécution du processus.

    Le travail peut-être réalisé 24 heures sur 24, ce qui est particulièrement intéressant

    pour les entreprises effectuant des transactions commerciales par le biais

    d’internet.

    Concernant les activités manuelles, le workflow permet, grâce à une coordination

    efficace et l’attribution des activités à plusieurs acteurs, de faire progresser le

    processus plus rapidement.

    Service client amélioré :

    Grâce à la rapidité de gestion des demandes de la clientèle ainsi qu’à une meilleure

    information sur l’état d’avancement de celles-ci, le service client est amélioré.

    Qualité :

    Avec l’automatisation des tâches répétitives et une meilleure coordination et

    compréhension du travail, les erreurs sont plus rares.

    Il y a une réduction des retards dans les procédures administratives

    Transparence :

    Communication facilitée

    Grâce aux informations disponibles concernant les tâches à effectuer et l’état

    d’avancement des processus, la communication et la transparence du travail sont

    améliorées.

    Aide à la prise de décision

    Etant informé du déroulement des processus et des activités, il est plus facile de

    prendre les bonnes décisions.

    Amélioration du planning

    Les informations disponibles concernant l’organisation et ses processus améliorent

    les facultés de planning.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 36

  • Partie 2

    3.3. Grille de recensement typologique des documents et volumétrie

    La mise en œuvre d'outils de workflow conduit à une forte intégration d'un système

    de GEIDE au système d'information de l'entreprise. Ce système implique une

    numérisation des documents et donc un coût qu'il est nécessaire d'évaluer. C'est

    dans ce sens que j'ai proposé les deux grilles suivantes.

    3.3.1. Grille de recensement typologique des documents

    Cette grille doit permettre de déterminer les documents à inclure dans le processus

    de workflow.

    Elle établit le type de document et s'il s'agit d'un original ou d'une copie. Les

    banques étant détentrices d'un nombre impressionnant de formulaires et

    d'imprimés, un champ destiné à renseigner la référence de l'imprimé a également

    été prévu.

    Le support du document doit être indiqué (papier, microfiche, électronique…) Les

    documents électroniques sont à déduire de ceux nécessitant une numérisation.

    La durée d'utilisation administrative doit aussi être signalée. Elle correspond à

    la durée de conservation réelle des documents en opposition à la durée de

    conservation légale imposée. La durée d'utilisation administrative est parfois

    supérieure à la durée de conservation légale.

    La circulation des documents est également un élément essentiel à prendre en

    compte. Enfin les clés de recherche et d’indexation employées par les utilisateurs

    sont un renseignement précieux dans l’optique de la mis en place d’une GEIDE.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 37

  • Partie 2

    RECENSEMENT DE TOUS LES DOCUMENTS

    Identification du service:

    Dpt/Service Dossier Document Original Support Réf° Impr

    DUA poste de travail

    /salles annexes

    Circulation du

    document DUA

    Sort final à l'issue de la

    DUA Clé d'index°

    Original = Indiquer Original ou CopieSupport = Support du document : papier, électronique, microfiche Ref Impr = s'il s'agit d'un imprimé CERALDUA = Durée d'utilisation administrativeCirculation du document = Services vers lesquels le document est transmisSort final à l'issue de la DUA = Conservation ou Destruction

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 38

  • Partie 2

    3.3.2. Grille de volumétrie.

    Toujours dans une optique de numérisation des documents, il est indispensable

    d’évaluer le nombre de documents ainsi que l’accroissement de leur volume. Le

    format est aussi un élément important car la numérisation d’un document n’a pas le

    même coût en fonction du format considéré.

    VOLUMETRIES DES PRINCIPAUX DOSSIERS

    Identification du service:

    dossier Volumétrie Accroissement annuel Format

    Stock au poste de travail(en mètres linéaires)

    Stock en salles annexes(en mètres linéaires)

    Nombre de dossiers en stock au poste de travail

    Nbre de feuilles par dossier

    Nbre de pages par dossier

    Epaisseur unitaire en mètres

    Estimation annuelle nombre de nouveaux dossiers

    Estimation accroissement pour les 5 prochaines années

    4. Bilan

    L’ensemble du travail d’analyse sur les procédures à permis de faire ressortir un

    intérêt certain de la CERAL pour le workflow et de définir un projet pilote.

    Le choix du projet s’est porté sur la dématérialisation des factures fournisseurs.

    Les objectifs sont :

    • Fiabiliser l’imputation budgétaire des factures

    • Fluidifier la validation en dématérialisant les factures

    • Améliorer la traçabilité du circuit

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 39

  • Partie 3

    Partie 3 Centralisation et mise en ligne

    de la documentation projet

    1. Contexte et acteurs du projet

    1.1. Le contexte du projet

    La majeure partie des projets menés à la CERAL le sont au sein de la Direction

    Informatique et Organisation. Ils se caractérisent par deux phénomènes :

    - un turn over important au niveau des chefs de projet

    - un appel fréquent à la sous-traitance via des cabinets de conseil ou des SSII.

    Dans une optique de gestion et de mutualisation des connaissances, la

    documentation projet tient une place essentielle. C'est le vecteur de communication

    et de dialogue entre les membres de l'équipe projet. Elle assure également la

    pérennité des informations entre les membres de l'équipe projet et les intervenants

    extérieurs. Une bonne capitalisation des connaissances passe par une mise à

    disposition normalisée des informations existantes sur ces projets.

    Ce projet a été mené avec trois contraintes fortes : Une mise en œuvre simple et un

    coût restreint. D’autre part, le délai imparti pour la conception du site était court :

    sa mise en œuvre devait être effective à la fin de mon stage.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 40

  • Partie 3

    1.2. Analyse de l'existant informationnel

    Actuellement, il existe deux types de documentation professionnelle qui sont

    diffusés sur Magellan, l’intranet de la CERAL. L’une est consacrée aux métiers et

    l’autre aux systèmes d’information.

    Concernant la documentation spécifique aux métiers on trouve des informations de

    source extérieures :

    • Les circulaires de la Caisse Nationale des Caisses d’Epargne

    • Des liens vers « l’intranet groupe »

    La CERAL produit et publie en ligne plusieurs types de documentation spécifiques

    aux métiers :

    • La base PROSE qui rassemble les différents produits et services

    proposés par la CERAL

    • Une partie le la documentation juridique est également en ligne

    • Les barèmes et taux des crédits en fonction du type de crédit (crédit

    immobilier, crédit à la consommation…)

    • Les notes de service et d’information

    • La base MEGA consacrée aux procédures, exposée dans la première

    partie

    Pour la partie Système d’Information, la présence d’une documentation extérieure

    est effective avec les sites Start, Vivalis et Arpège (explicités dans l’introduction).

    En revanche, la partie Système d’information n’est aucunement documentée.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 41

  • Partie 3

    Gestion de la documentation à la CERAL : Etat des lieux

    G e s t io n d e la d o c u m e n t a t io n à la C E R A LÉ t a t d e s l ie u x

    • d o c u m e n ta t io n p r o je t s• c o m p te s - r e n d u s in s t a n c e s :

    • c o m i té d e p r é s id e n ts• c o m i té d i r e c te u r• C O P• c o m i té M O E• C O M O C

    • C i r c u la i r e s C N C E

    • P R O S E : B a s e P r o d u i t s & S e r v ic e s• P R I S M E : f in a n c e m e n t d e s p a r t i c u l i e r s• P R E U V E : f i c h e s s e c to r i e l l e s• D o c u m e n ta t io n ju r id iq u e• B a r è m e s• N o te s d e s e r v ic e & d ’ in f o r m a t io n• P r o c é d u r e s

    • I n t r a n e t G r o u p e D o c u m e n ta t io n p r o je t s

    P r o je t d e s i t e A R P E G E M O A

    • D o c u m e n ta t io n a p p l i c a t iv e• D o c u m e n ta t io n p r o je t s

    • S ta r t

    CE

    RA

    LE

    XT

    ER

    IEU

    R

    M E T I E R S S Y S T E M E D ’ I N F O R M A T I O N

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 42

  • Partie 3

    1.3. Les acteurs du projet

    Ce projet a été mené sous la direction de Michel Petit, Responsable du Service

    Etudes et Développements Informatiques.

    La conception technique a été menée par le responsable du service Administration

    et Exploitation informatique et accomplie par un développeur informatique et un

    administrateur système et réseaux.

    Sont également intervenus au cours de réunions, le Responsable "groupe de projet

    et méthodes" ainsi que le responsable su Service Assistance et Qualité du Système

    d'Information.

    J'ai également rencontré au cours d'entretiens individuels, des responsables de

    projet organisation ou informatique

    2. Définition du périmètre

    Lors d’une première réunion avec mon responsable et le responsable du service

    Administration et Exploitation Informatique, le périmètre du projet a été délimité.

    Les documents à mettre en ligne

    La documentation projet du système d’Information a été déterminée comme étant

    l’objet principal et le cœur du site. Les projets concernés sont ceux présents au

    plan pluriannuel de développement (PPD), au plan de la Direction Informatique et

    Organisation (DIO) ainsi que les projets CERAL engendrés par le Plan

    Informatique Annuel (PIA).

    La documentation applicative a également été perçue comme un élément essentiel.

    Elle correspond à la documentation issue du projet lorsque celui-ci est achevé.

    N’étant pas publiées malgré les demandes les concernant, il a été décidé de publier

    les comptes rendus des instances de la CERAL.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 43

  • Partie 3

    D’autre part, il a été spécifié que seuls les documents validés pouvaient être

    validés.

    Les aspects techniques

    Lors de cette première réunion, plusieurs types de solution ont été invoqués

    concernant les outils à utiliser :

    L’un des objectifs de ce projet étant de parvenir à un coût proche du zéro, l’achat

    d’un outil spécifique a été écarté.

    L’utilisation du logiciel Alexandrie, utilisé par le centre de documentation de la

    CERAL a également été évoqué. Cependant le serveur consacré à Alexandrie est

    déjà saturé. D’autre part, son utilisation aurait nécessité l’achat de modules

    complémentaire ainsi qu’un temps certain pour le développement de ces modules.

    La création d’une base de données a été rejetée afin de rester dans l’objectif de

    simplicité et de rapidité de conception.

    La solution retenue, proposée par le responsable su service responsable du service

    Administration et Exploitation Informatique.

    Les outils choisis proviennent tous de « l’Open Source » : Un serveur Apache avec

    un système d’exploitation linux. Le système de gestion documentaire choisi est un

    système classificatoire permettant une administration sous forme d’arborescence

    de type explorateur windows.

    Pour palier aux limites de ce type de système, notamment à la difficulté de

    recherche pour les utilisateurs, un moteur de recherche interne a été installé.

    D’aure part et afin d’éviter les problèmes liés aux différentes versions des logiciels

    sur les postes clients de la CERAL (Word ou Excel 97, 98, 2000….), il a été résolu

    de publier les documents au format « .pdf », généré par le logiciel Acrobat Writer.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 44

  • Partie 3

    3. La conception de l’arborescence

    3.1. Conduite d’entretiens auprès de porteurs de documentation projet

    3.1.1. La documentation projet

    J'ai construit la première version de l'arborescence à partir de plusieurs éléments.

    La documentation projet représentant l'essentiel du site, je me suis attachée à

    comprendre ce dont elle est constituée. Si les recherches sur internet m'ont aidées,

    c'est surtout la conduite d'entretiens auprès de porteurs de projets et leurs

    explications qui m'ont permis de cerner sa structure. Ce travail a donné lieu à la

    réalisation d'un glossaire présent en annexe 4.

    J'ai également réalisé cette construction sans perdre de vue qu'elle ne devait pas

    contenir la totalité des documents mais la documentation commune à tous les

    projets du Système d'Information.

    Ayant accès à l'un des serveurs contenant une partie de cette documentation, j'ai

    recensé l'ensemble des types de documents que l'on y trouve. J'ai ensuite soumis ce

    recensement aux porteurs de projets afin qu'ils me donnent leur opinion sur la

    pertinence de leur publication.

    Les personnes rencontrées étaient :

    • La responsable du projet OPERA études et organisation

    • Le chef de projet OPERA

    • La responsable études et organisation du projet Start

    • Le responsable des projets IDEFICS, Distri 2003, et Tutelles

    IDEFICCS est un projet interbancaire d’échanges des images chèques

    (numérisation). Distri 2003 correspond au transfert des activités « saisies » des

    Unités Opérations Juridiques (UOJ) vers les Pôles Services Après Vente (PSAV).

    Tutelles correspond à la mise en place du marché des tutelles

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 45

  • Partie 3

    J'avais préalablement élaboré le questionnaire suivant afin de le soumettre à

    chacune de ces personnes :

    Quels types de documents projet produisez-vous ? Voir feuille de recensement

    typologique des documents pour aide.

    Où est stockée cette documentation actuellement ? (Serveur, disque)

    Comment est-elle organisée actuellement ?

    Avez-vous une idée de la volumétrie de cette documentation ?

    Au sein de ces documents, lesquels seraient utiles à mettre en ligne ?

    Qui produit ces documents ?

    Quelles personnes ou services y ont accès ?

    Quel est le nombre de chantiers sur ce projet ?

    Combien et quels types de comité sont dédiés à ce projet (comité de pilotage, de projet, autres) Circulation des documents :

    Lesquels circulent ?

    A qui sont-ils adressés ?

    Les projets ont été déclinés en chantier et les types de document déterminés sont

    les suivants :

    Documentation propre aux projets :

    Cahier des charges (MOE)

    Expression de besoin (MOA)

    Pré-étude, étude d’orientation

    Note de lancement

    Architecture fonctionnelle ou technique du projet

    Planning

    Documentation par chantier :

    Spécifications générales

    Spécifications détaillées et avenants

    Comptes rendus de réunions

    Tableaux de bord avancement

    Cahier de recettes

    Procès Verbaux

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 46

  • Partie 3

    3.1.2. La documentation applicative

    La documentation applicative correspond à la documentation du projet une fois que

    ce dernier a abouti.

    Les types de document à mettre en ligne concernant la documentation applicative

    ont aussi été déterminés grâce aux explications obtenues au cours des entretiens :

    Modes opératoires (guides utilisateurs) Exploitation informatique

    Dossier de paramétrage

    Procédures

    Documentation technique (règles de gestion, description de tables) Spécifications

    Contrats de service

    Contrats de licence

    Il a été défini que certains documents, notamment les spécifications détaillées, se

    trouveront dans la partie « documentation projet » et basculeront une fois le projet

    terminé dans la partie documentation applicative.

    D’autre part, les utilisateurs accéderont à cette documentation via la cartographie

    du Système d’Information représentée ci-dessous. Chaque brique correspond à un

    domaine d’application.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 47

  • Partie 3

    Cartographie du système d’information

    Services Clients

    Contentieux

    Dépôts Epargne

    Valeurs mobilières

    Crédits Echanges

    Bases Références

    Ressources Humaines

    Logistique

    Front-Office Back-Office

    Contrôle interne

    Pilotage

    Filiales

    Sociétariat

    Comptabilité

    Caisse

    Action Commerciale

    Filiales

    3.2. Réunion avec les responsables intéressés par le projet

    Suite à cette première version de l’arborescence, des réunions avec les

    responsables intéressés ont conduit à la modifier.

    Une réunion avec le responsable groupe de projet/méthodes a fait apparaître un

    quatrième point d’entrée dans l’arborescence : les normes et standards de

    document.

    Leur centralisation et leur mise en ligne faciliteront leur mise à disposition à

    l’ensemble des porteurs de projet et assurera la fréquentation du site.

    Exemples : modèle de note de lancement ou de compte rendu de réunion.

    Enfin, la rencontre du responsable du Service Assistance et Qualité du Système

    d’Information a dégagée une cinquième entrée : qualité du Système d’Information.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 48

  • Partie 3

    Cette partie comprendra deux types de documents :

    L’état des anomalies du Système d’Information

    Le suivi des anomalies déclarées à Vivalis

    L’arborescence complète du site est présentée sur la page suivante.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 49

  • Partie 3

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 50

    C a h i e r d e s c h a r g e s ( M O E )E x p r e s s i o n d e b e s o i n ( M O A )P r é - é t u d e , é t u d e d ’ o r i e n t a t i o nN o t e d e l a n c e m e n tA r c h i t e c t u r e f o n c t i o n n e l l e o u t e c h n i q u e d u p r o j e tP l a n n i n g

    S p é c i f i c a t i o n s g é n é r a l e sS p é c i f i c a t i o n s d é t a i l l é e s

    + a v e n a n t sC o m p t e s r e n d u s d e r é u n i o n sT a b l e a u x d e b o r d a v a n c e m e n tC a h i e r d e r e c e t t e sP V

    M o d e s o p é r a t o i r e s ( g u i d e s u t i l i s a t e u r s )E x p l o i t a t i o n i n f o r m a t i q u eD o s s i e r d e p a r a m é t r a g eP r o c é d u r e sD o c u m e n t a t i o n t e c h n i q u e

    ( r è g l e s d e g e s t i o n , d e s c r i p t i o n d e t a b l e s ) S p é c i f i c a t i o n s C o n t r a t s d e s e r v i c e C o n t r a t s d e l i c e n c e

    P R O J E T N

    D o c u m e n t a t i o nd u p r o j e tP R O J E T 1

    P R O J E T 2

    D o c u m e n t a t i o na p p l i c a t i v eS y s t è m ed ’ I n f o r m a t i o n

    C o m p t e s r e n d u sd e s i n s t a n c e sC E R A L

    P R O J E T SC H A N T I E R 1

    C H A N T I E R N

    C o m p t e s r e n d u sd e s i n s t a n c e sd u p r o j e t

    C H A N T I E R 2

    I N S T A N C E 2

    I N S T A N C E 1

    A U T R E S ?

    C I O

    C C S I

    N o r m e s e ts t a n d a r d s

    M o d è l e s d e n o t e d e l a n c e m e n t ,s p é c i f i c a t i o n s … …

    P l a n n i n g d e sr é u n i o n s

    S é a n c e s / d a t e

    P r é s e n t a t i o n s

    C o m p t e s r e n d u s

    Q u a l i té d uS I

    É ta t d e s a n o m a l ie s

    A n o m a l ie s d é c la r é e s à V iv a l is

  • Partie 3

    4. La conception technique

    4.1. Architecture générale

    Pour la mise en œuvre de ce site, l’ensemble des outils utilisés provient de « l’open

    source » :

    • - Un serveur « apache » dans un environnement linux, avec le PHP

    comme langage de script.

    • - Le moteur de recherche utilisé, également gratuit, est ht://Dig.

    HT://Dig est l’un des moteurs d’indexation et de recherche les plus

    répandus dans le domaine du logiciel libre. Il est composé :

    o d’un robot de parcours de page (htdig),

    o d’un moteur d’indexation (htmerge) qui indexe automatiquement

    les nouvelles pages chaque jour.

    o D’un moteur de recherche (htsearch).

    4.2. Recherche sur les moteurs internes

    Afin d’apporter une aide aux informaticiens chargés de développer l’arborescence

    et d’installer un moteur de recherche interne, j’ai effectué des recherches afin de

    leur proposer une liste de moteurs « open source » pouvant s’adapter à une plate

    forme Linux. Les moteurs proposés sont les suivants :

    ASPSeek (http://www.aspeek.org)

    Lucene (http://jakarta.apache.org/lucene/docs)

    Ht://dig (http://www.htdig.org)

    Webglimpse (http://webglimpse.net)

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 51

    http://www.aspeek.org/http://htdig.org/http://www.htdig.org/http://webglimpse.net/

  • Partie 3

    4.3. La conception de pages web

    J’ai également proposé aux développeurs de construire les pages HTML statiques :

    Page d’accueil, page d’accès à la documentation applicative par la cartographie du

    Système d’Information, aide à la recherche pour le moteur.

    Ce travail a été réalisé en tenant compte de l’arrivée d’un nouveau portail intranet

    à la CERAL : « Le portail Intranet Groupe ». J’ai donc tenu compte de la charte

    graphique de ce portail et conçu des feuilles de style intégrées qui ont pu être

    introduites dans le code PHP.

    Ce travail, présenté ci-dessous, m’a permis d’apprendre à utiliser le logiciel

    Frontpage.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 52

  • Partie 3

    Page d’accueil du site

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 53

  • Partie 3

    Aide à la recherche

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 54

  • Partie 3

    Navigation dans l’arborescence

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 55

  • Partie 3

    5. L’administration du site

    5.1. Constitution de normes d’appellation des documents

    Afin de permettre une recherche aisée et une identification rapide des documents

    recherchés par les utilisateurs au sein de l’arborescence, des normes

    « d’appellation des documents » ont été déterminées.

    5.1.1. La documentation des projets

    Le nom associé aux documents des projets devra comporter :

    Le type de document - Le chantier concerné (lorsqu’il y en a un) - Le nom du

    projet

    Exemples :

    Spécifications détaillées - Hors bilan lot3 - Opéra

    Cahier de recettes - Alice financement/

    Spécifications détaillées - Lot1 - BMA

    5.1.2. La documentation applicative

    Le nom associé à ce type de document devra comporter :

    Le type de document - Le nom du projet

    Exemples :

    Manuel utilisateur - Archives

    Dossier d’exploitation - Opéra

    Contrat de licence - Alice financement

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 56

  • Partie 3

    5.1.3. Les planning de réunions des instances

    Le nom des ces documents devra comporter :

    Le nom de l’instance - Le type de document - L’année

    Exemples :

    CIO – Planning - 2002

    5.1.4. Les comptes-rendus des instances

    Leur appellation devra comporter :

    Le nom de l’instance - Le type de document - La date de la réunion

    Exemples :

    CCSI - Compte-rendu de réunion - 27-06-2002

    5.1.5. Les présentations associées aux comptes-rendus

    Le nom associé à ces documents devra comporter : Le nom de l’instance - La date de la réunion - L’objet de la présentation

    Exemples :

    CIO - 26-07-02 - Point d’avancement Opéra

    CIO - 28-06-02 - Présentation DRH Saturne

    5.2. Les informations associées aux documents

    Des informations associées aux répertoires ou aux documents apparaîtront lors de

    la recherche afin d’éclairer les utilisateurs sur le contenu de ce qu’ils vont

    consulter.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 57

  • Partie 3

    5.2.1. Pour l’ensemble des documents

    • Nom du document

    • Auteur

    • Date de publication

    5.2.2. Pour la documentation applicative

    Sur le répertoire associé à chaque application apparaîtra : • Le maître d’ouvrage

    • Le propriétaire du projet

    • Le gestionnaire du projet

    • L’objet de l’application

    5.3. Gestion de l’administration du site

    5.3.1. Mise au format PDF

    Après réception dans leur format d’origine, les fichiers sont mis au format pdf

    grâce au logiciel Acrobat writer : Le fichier ouvert dans le format d’origine est

    soumis à une imprimante virtuelle qui le transforme en document électronique de

    format pdf.

    5.3.2. Les répertoires et fichiers

    Leur création et modification se pratiquent directement sur le serveur qui propose

    un mode de gestion similaire à un explorateur windows. Les documents sont posés

    directement dans les répertoires après avoir été transformés au format PDF.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 58

  • Partie 3

    6. Organisation de la publication

    L’organisation de la publication a été spécifiée en déterminant le rôle de chacun

    des acteurs.

    Cette organisation est représentée sur le schéma de la procédure suivante :

    ���������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������

    ResponsableMéthodes et

    grandsProjets

    �������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������

    Chefs deProjets

    ������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������

    ResponsableSystème

    d'Information

    ����������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������

    Responsables des

    Instances

    �����������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������

    Administrateur dusite

    Normaliser lesmodèles dedocuments

    Valider les docs'Produits en projet'

    MAJ de la cartographiedu Système

    d'Information

    Réceptionner tous lesdocuments

    Valider les cptesrendus de

    réunions etprésentations

    Modèles dedocuments

    Docs 'Produitsen projet'

    Cartographiedu Systèmed'Information

    Comptesrendus

    réunions

    Mettre les documentsau format PDF

    Effectuer la mise enligne sur serveur

    Apache

    Administrerl'arborescence

    Tous les 6 mois

    eServeurApache

    Indexationdes

    documents

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 59

  • Partie 3

    6.1. Le rôle de l’administrateur de la documentation projet

    • Supervision du fonctionnement courant.

    • Définition et respect des règles d’identification, de structuration et de

    classement.

    • Contrôle de la cohérence et de l’homogénéité dans la gestion et les extensions

    de la documentation projet

    • Mise en forme des documents au format PDF

    • Transfert des documents vers un répertoire spécifique lorsque leur publication

    en ligne n’est plus d’actualité.

    6.2. Le rôle des émetteurs de documents

    • Sauvegarde des documents sous format électronique

    • Diffusion vers l’administrateur de la documentation projet

    6.3. Les responsables des projets

    • Concernant la Documentation projet, il est de leur responsabilité de transmettre

    la documentation du projet à l’administrateur du site.

    • La parution ou non d’un document reste à leur appréciation.

    6.4. Le responsable de la cartographie du Système d’Information privatif

    Concernant la documentation applicative, il incombe au responsable de la

    cartographie du Système d’Information privatif d’avertir l’administrateur des

    modifications de cette cartographie et de lui faire suivre la documentation

    correspondante

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 60

  • Partie 3

    6.5. Le responsable méthodes et grands projets

    Concernant les standards de document et normes, il lui appartient de transférer ces

    modèles à l’administrateur de la base.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 61

  • Conclusion

    Ce stage a été d’un intérêt particulier car j’ai pu constater l’étendue des outils de

    travail collaboratif et en aborder deux aspects très différents.

    Le travail d’analyse réalisé dans la partie consacrée au workflow m’a permis de

    découvrir l’univers procédural du milieu bancaire.

    En dehors des aspects techniques et organisationnels, la mise en ligne de la

    documentation projet m’a appris la façon dont un projet était construit.

    D’autre part, j’ai pu constater qu’il était possible d’effectuer une réalisation de ce

    type en peu de temps et avec un coût très restreint.

    AMAR Véronique| DESSID | Rapport de stage | 2002 62

  • Bibliographie

    LA GESTION ELECTRONIQUE DE L’INFORMATION ET DES DOCUMENTS D’ENTREPRISE BEDEL Anne. "Le guide-âne du webmestre, Les outils de l'intranet et du

    groupware". Admiroute [En ligne].9 (mars2002).

    Http://www.admiroute.asso.fr/webmestre/intranet.htm (Page consultée le6 juin

    2002)

    BEDEL Anne. "Spécifications fonctionnelles d'un intranet administratif"".

    Admiroute [En ligne].9 (mars2002).

    http://www.admiroute.asso.fr/espace/intranet/methode/specif.htm (Page consultée

    le 6 juin 2002).

    BIBARD Olivier. Portails documentaires : un gros travail d'intégration. Décision

    micro & Réseaux. Janvier 2001, n°492. p.42-43.

    BISEUX Xavier, DEVILLARD Arnaud. Le portail d'entreprise une bonne

    occasion pour un grand ménage . 01 Informatique. Octobre 2001, n°1650. P.124-

    125.

    CHAUMIER Jacques. La gestion électronique de documents. Presse universitaire

    de France. Paris: juillet1996,123p.

    COLPIN Vincent. La GED affirme son utilité pour les banques. Point B@nques.

    Juillet-août 2001, n°9.P.43-44.

    CROCHET- DAMAIS Antoine." Le cabinet yphise classe les solutions de gestion

    de contenu". In JDNet solution [En ligne].(mars 2002)

    http://www.solutions.journaldunet.com/0111/011129_yphise.shtml (page consultée

    le6 juin 2002).

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