Miguel Pereira e José Faria

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Provence-Alpes-Côte D'Azur ( Grasse , Saintes-Maries-de-la- Mer)

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Provence-Alpes-Côte D'Azur ( Grasse , Saintes-

Maries-de-la-Mer)

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GRASSEGRASSE

Grasse est une commune française provençale, située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Sous-préfecture des Alpes-Maritimes, Grasse est la quatrième ville du département en termes de population. Ses habitants sont appelés les Grassois.

La ville se considère comme la capitale mondiale du parfum. Elle a obtenu trois fleurs au Concours des villes et villages fleuris et a été promue « Ville d'Art et d'Histoire ». Elle est également « Ville Internet »

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GrasseGrasse

La réputation de Grasse, ville des parfums depuis le 17ème siècle, aujourd'hui capitale mondiale de la parfumerie, n'est plus à faire.

Les amateurs de chiffres seront heureux d'apprendre que le secteur parfumerie et arôme alimentaire représente deux tiers de la production française et emploie plus de 2700 personnes pour un chiffre d'affaires de 600 millions d'euros.Chaque année, deux millions de touristes viennent du monde entier pour visiter son musée de la parfumerie, ses fabriques de parfum, ses boutiques de parfum…

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SAINTES-MARIES-DE-LA-MER TOURISME

Saintes-Maries-de-la-Mer est une petite ville, dominée par son église, et entouré par des rues attrayantes de simples maisons blanches, beaucoup d'entre eux les magasins se concentrant sur le marché touristique. Il y a un petit port actif dans la ville à explorer, et plusieurs restaurants.

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SAINTES-MARIES-DE-LA-MER TOURISME

L'église fortifiée de Saintes-Maries-de-la-Mer est très astucieusement éclairé avec un éclairage halogène, et l'intérieur en pierre n'est pas trop nettoyé, ce qui le donne beaucoup d'ambiance. Vous pouvez voir la statue de Sara dans l'église - aller à l'arrière de l'église et descendre l'escalier. Il y a une entrée séparée sur le côté de l'église où vous pouvez monter sur les remparts pour la vue sur la ville et la Camargue (il faut payer pour cette partie de la visite).

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CLASSIFICATIONS TOURISTIQUES POUR SAINTES-MARIES-DE-LA-MER

Saintes-Maries-de-la-Mer est classée comme plus beau détour

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Antiquité

Même si l'endroit des actuelles Saintes-Maries-de-la-Mer devait être un lieu d'habitation très ancien, la première mention explicite du village qui soit connue date du IVe siècle.

Elle nous vient du poète et géographe Avienus, qui au IVe siècle, signalant plusieurs peuplades dans la région, cite oppidum priscum Ra, que le grand historien des Gaules Camille Jullian place à l'endroit des actuelles Saintes-Maries-de-la-Mer.

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Antiquité

« Oppidum » signifiant forteresse et « priscum » ancienne, ce serait donc « l'ancienne forteresse Ra ». Aviennus y voyait le nom égyptien d'une île consacrée à Râ, le dieu du Soleil et père de tous les dieux. Mais, à l'ère des grandes influences chrétiennes, Râ se transforma en Ratis, mot qui signifie bateau, radeau ou îlot.

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Moyen Âge

En 513, le pape Symmaque donne à Césaire le droit de porter le pallium et fait de lui son représentant en Gaule. À cette époque, l'évêque d'Arles évangélise les campagnes encore fortement imprégnées de cultes païens ou romains en transformant si nécessaire d'anciens lieux cultuels en édifices chrétiens. Il crée ainsi un monastère ou une église aux Saintes, ce qui constitue un argument en faveur de la présence d'un temple païen plus ancien en ces lieux.

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Moyen Âge

On ne dispose pas de la date exacte de la naissance de cette nouvelle appellation, mais l'on sait que saint Césaire d'Arles a légué par testament, à sa mort en 542, Sancta Maria de Ratis à son monastère.

Le village devint donc Saintes Maries de la Barque (ou Saintes Maries de Ratis), aussi nommé parfois Notre-Dame de la Barque (ou Notre-Dame de Ratis).

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Moyen Âge

Pendant l'hiver 859-860, resté comme le plus rude du IXe siècle, les Vikings hivernent en Camargue et selon toute vraisemblance, aux Saintes, avant d'entreprendre leur razzia dans la basse vallée du Rhône jusqu'à Valence où ils sont arrêtés par Girart de Roussillon.

En septembre 869, les Sarrasins surprennent lors d'un raid en Camargue, l'évêque d'Arles Rotland en train de superviser la mise en défense de la région. L'évêque fait prisonnier, est échangé contre des armes, des esclaves, et autres richesses.

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Moyen Âge

Malheureusement, les Arlésiens ne récupèrent que son cadavre, habillé et mis sur un siège par les Sarrasins au moment de la remise de rançon qui se tient probablement sur la plage des Saintes-Maries-de-la-Mer, à l'embouchure du Rhône de Saint-Ferréol, bras encore actif à cette époque.

L'église telle qu'elle se dresse aujourd'hui date des XI et XII siècles, les deux dernières travées ayant toutefois été refaites en partie (partie supérieure des murs et toit) au milieu du XVIIIe siècle. Le clocher a subi de son côté de nombreuses réfections, l'état actuel datant de 1901.

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Moyen Âge

C'est environ au XII siècle que ce nom se transformera en Notre-Dame-de-la-Mer.

En 1448, sous l'impulsion du roi René, « invention » des reliques des saintes Maries Jacobé et Salomé. L'archevêque d'Arles, Louis Aleman n'assiste pas à cette invention, car il est excommunié depuis 1440 à la suite du concile de Bâle ; en son absence, l'autorité papale est représentée par son légat, Pierre de Foix, l'archevêque d'Aix Robert Damiani et l'évêque de Marseille Nicolas de Brancas. Les comptes rendus de l'époque signalent une église primitive à l'intérieur de la nef actuelle. Pour certains, ce bâtiment pourrait correspondre à une chapelle mérovingienne du VI siècle.

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FINFIN

Le travail effectué par: Jorge Pereira Nº14José Faria Nº15