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dito

Le message essentiel est édité par

Association « Publier. » 1 rue d’Asswiller

F-67320 DRULINGENpublier@blfeurope.com

Directeur de publication : Alain StampImpression : www.blfeurope.com

ISSN 1288-2526© « Publier. » 2010 _ Reproduction interdite

Ne pas jeter sur la voie publique

la

cita

tion

n u m é r o   1 3 _ 0 8

[ S O M M A I R E ]

La transformation du mal en bien : un principe à la disposition de chaque véritable chrétien

Cette voie choisie par Dieu pour neutra-liser le mal, mieux encore, le changer en bien est aussi le principe à partir duquel Dieu travaille dans la vie de ceux qui croient en lui.Oui ! Il n’éradique pas toujours la souf-france de la vie de ses enfants. Mais au sein même de celle-ci, il fait jaillir en eux et par eux des œuvres et des actes d’amour qui n’existeraient pas sans elle.Le chemin, comme pour l’huître, peut sembler long et laborieux jusqu’à ce que la perle soit finie. Mais avec Dieu, tout est possible, en nous aussi !Toute la Bible souligne le fait que la voie de la transformation du mal en bien est le choix de Dieu pour résoudre les pro-blèmes du monde.« Là où le péché s’est multiplié, la grâce a surabondé ; oui, au lieu même où il s’est manifesté dans toute son horreur (la croix de Jésus), la grâce divine a atteint sa plénitude 1 ».

« La mort est vaincue, elle a été engloutie par sa victoire. O mort, qu’est devenue ta victoire ? O mort, ou est ton aiguillon ? L’aiguillon de la mort, c’est le péché, et le péché tire sa force de la loi (des in-terdits). Mais Dieu soit loué : la victoire est à nous. C’est Dieu qui nous l’a don-née par notre Seigneur Jésus-Christ (qui nous a délivrés à la fois de la peur de la mort, de la puissance du péché et de la condamnation de la Loi 2 ».« Si ton ennemi a faim, donne-lui à man-ger. S’il a soif, donne-lui à boire. Par là, tu l’aideras à prendre conscience de sa manière d’agir envers toi et à trouver le moyen de changer. Ne laissez jamais les rênes de votre conduite entre les mains du mal ; au contraire, prenez l’offensive et triomphez de lui par le bien 3 ».Êtes-vous un enfant de Dieu ? Alors, allez-y : faites des perles. Dieu vous en donne la force par Jésus-Christ !

GIllES GEORGEl

[ l E d O S S I E R d u M O I S _ c h A n G E R l E b I E n E n M A l _ S u I t E ]

Aimez-vous souffrir ?J’espère bien que non ! comme moi, vous n’attendez pas que votre mal de dent empire avant de charger votre dentiste de vous en soulager : c’est-à-dire, de chasser ce mal, de l’extirper, quitte à perdre votre dent ! c’est la réaction normale de tout homme face au mal : l’expulser loin de soi.

Pourtant, cette démarche ne réussit pas toujours. le mal est tenace. Il s’incruste. dès lors, que faire d’autre que déprimer ?

dans le dossier du mois, Gilles Georgel expose la voie de dieu pour ceux qui mettent leur confiance en lui. lui-même l’a expérimentée.

clAudE SchnEIdER

Le dossier du mois :

Changer le mal en bien

Témoignage :L’amour réparateur

Pour aller plus loinL’offre du mois

La citation

« L’amour de Dieu de loin sur-passe / Ce qu’en peut dire un cœur humain / Il est plus grand que les espaces / Même en l’abîme il nous atteint / Pour le péché de notre monde / Dieu nous donna Jésus / Il nous pardonne / Ô paix 

profonde / Il sauve les perdus ».

Extrait du chant L’amour de Dieu, de C.-L. de Benoît et F. Lehman,

n° 63 dans le recueil À toi la gloire.

[Visitez www.unpoissondansle.net]RÉAGISSEZ… POSEZ VOS

QUESTIONS… ÉCRIVEZ À

publier@blfeurope.com !

2. Mes coordonnées :

nom/Prénom

Adresse

1.  Je souhaite recevoir, gratuitement et sans engagement de ma part* :

un évangile, partie de la bible

le livre Où est Dieu quand rien ne va plus ? John blanchard, Éditions Europress

une visite à domicile

la première leçon d’un cours biblique par correspondance à commander directement à MSd – bP110 19203 uSSEl cedex France

*offre limitée à une par foyer

… que vous pouvez contacter, si vous voulez en savoir plus.

cet imprimé vous a été distribué par :

C o u p o n à r E n v o y E r à L ’ a d r E s s E C i - C o n t r Eou à défaut à BLF Europe – rue de Maubeuge – 59164 Marpent – France

1 la bible : lettre de Paul aux Romains, chapitre 5 verset 20(Version Parole vivante).

2 la bible : première lettre de Paul aux corinthiens, chapitre 15versets 55 à 57 (Version Parole vivante).

3 la bible : lettre de Paul aux Romains, chapitre 12 versets 20 et 21(Version Parole vivante).

Le mal, un intrus pour Dieu !

Si elle est légitime, cette objec-tion témoigne d’une méconnais-sance de Dieu et des voies qu’il a choisies pour se révéler. L’image de l’huître perlière va nous aider à le comprendre… Devant l’im-possibilité d’éjecter le grain de sable qui s’est introduit dans sa coquille, l’huître opte pour un autre système de défense. Année après année, elle recouvre l’in-trus de couches concentriques de carbonate de calcium qui cristallise sous forme d’arago-nite. Ce qui finit par donner une magnifique perle.Le mal est étranger à Dieu comme le grain de sable l’est à l’huître perlière. Dieu n’en est pas l’auteur. Le mal est une in-trusion, initiée par un agent ex-térieur, dans le monde de Dieu. S’il blesse la création et ses créatures, Dieu est le premier dans l’univers à en avoir souf-fert. Dès lors, comment allait-il réagir ?Contrairement à l’huître, Dieu aurait pu, s’il l’avait voulu, ju-ger immédiatement et expul-ser le mal de sa création. Il a choisi une autre voie, une voie au travers de laquelle, comme l’huître, il allait mettre en valeur

toutes les ressources de son in-géniosité et de sa force : la voie de la transformation !

La transformation du mal en bien par l’amour de Dieu

Cette voie est celle par laquelle le mal est une occasion pour Dieu de manifester sa beauté in-soupçonnée. Comme le grain de sable permet à l’huître de faire une perle de grand prix, le mal est l’occasion que Dieu saisit pour nous révéler, par Jésus-Christ, son Fils, son amour in-fini. En livrant Jésus-Christ à la mort pour réparer le mal, Dieu a en quelque sorte englouti et neutralisé le pouvoir maléfique et destructeur du péché. Oui, l’irruption du mal dans l’huma-nité a conduit Dieu à révéler au monde sa perle : la grandeur de sa grâce, de son amour, de son pardon. Cette grâce était en lui, comme le carbonate de calcium dans l’huître. Le mal a juste permis à Dieu de la mettre en œuvre. Jésus, son Fils, a quitté le ciel et s’est rendu sur terre pour vaincre le péché, triompher de la mort et retourner ensuite auprès du Père, où il est encore actuellement.

Deux jours avant mes 4 ans, mes parents constatent avec horreur que je n’arrive plus à bouger mes jambes. Le doc-teur diagnostique la poliomyélite.

c’est le début de longues années de souffrances physiques et émotionnelles. Mon souvenir le plus marquant est le moment où mes parents me laissent à l’hôpital. En pleurant, je les supplie de me ramener à la maison avec eux. un immense sentiment d’abandon et de désespoir me submerge qui va marquer ma vie pendant de longues années.

la clinique est à plus de 50 km de la maison. Ma mère ne peut me visiter en stop qu’une fois par mois. Elle prie avec moi et m’apprend des chansons qui parlent de l’amour de dieu, de sa grandeur et de sa miséricorde. Mais je me sens seule et abandonnée : dieu peut-il donner un sens à mon existence vide et désespérée ?

Pour mes 6 ans, je reçois mon premier corset et des supports pour mes jambes qui permettent de mar-cher avec des béquilles. Je peux rentrer à la maison et aller à l’école. Mes parents m’intègrent à la vie de famille et la maîtresse prépare bien mon arrivée. Je trouve vite ma place parmi les enfants du village. Mais le sentiment d’abandon ne me quitte pas. un grand vide subsiste, je veux être aimée à tout prix, ne plus jamais être abandonnée. Ma quête se poursuit et je m’enfonce dans une grande solitude.

bien plus tard je trouve, dans ma boîte aux lettres, une invitation à des réunions chrétiennes sur le sens de la vie. lors de la première, c’est comme si j’avais trouvé une source d’eau fraîche après une longue traversée du désert. Petit à petit, j’apprends à connaître dieu et à lui faire confiance.

Alors que je dois subir une petite intervention chirurgicale et passer trois jours à l’hôpital, il y a des complications et j’y reste six semaines en très mauvais état. une nuit, au plus mal et ne pouvant presque plus respirer, je rêve que je suis dans un tourbillon noir qui m’aspire vers le fond. Je suis épouvantée mais une main me saisit, me soulève et j’entends : « Jésus est le roc » ! En me réveillant, je suis en paix et j’ai le sentiment d’être aimée comme jamais auparavant. Mon état de santé ne s’améliore pas tout de suite, mais je sais que je suis dans les mains de Jésus et qu’il contrôle la situation.

le besoin d’être aimée à tout prix a disparu, parce que je sais que dieu m’aime. Je suis son enfant et son amour ne déçoit jamais. Mon handicap phy-sique est toujours là, mais dieu a guéri mon âme.

AnGElA M.

L’amour réparateur

(suitE En paGE 4)

l’o

ffre

du

moi

s té

moi

gnag

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Où est Dieu quand rien ne va plus ?Chaque jour, d’innombrables accidents font des milliers de victimes. Catastrophes naturelles, accidents d’avion, épidémies, souffrances infligées par d’autres hommes ! Et pourtant la Bible affirme que Dieu exerce un contrôle souverain et unique sur tout ce qui se produit dans l’univers ! Est-ce possible ? La réponse vous surprendra certainement !

J. Blanchard 

 Éditions Europress

le

dos

sier

Le malen bien

Parmi les objections de ceux qui rechignent à croire l’existence de dieu, le problème du mal et de la souffrance est la plus fréquente.

Changer le mal en bien

pour aller plus loinLivre du prophète Ésaïe, chapitre 53.Lettre de paul aux romains, chapitre 8 versets 18 à 39.

Lisez les passages bibliques

suivants :

Suivez

gratuitement u

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cours biblique

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La première le

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gratuit par

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directement à :

MSD – BP 110 –

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Le mal, un intrus pour Dieu !

Si elle est légitime, cette objec-tion témoigne d’une méconnais-sance de Dieu et des voies qu’il a choisies pour se révéler. L’image de l’huître perlière va nous aider à le comprendre… Devant l’im-possibilité d’éjecter le grain de sable qui s’est introduit dans sa coquille, l’huître opte pour un autre système de défense. Année après année, elle recouvre l’in-trus de couches concentriques de carbonate de calcium qui cristallise sous forme d’arago-nite. Ce qui finit par donner une magnifique perle.Le mal est étranger à Dieu comme le grain de sable l’est à l’huître perlière. Dieu n’en est pas l’auteur. Le mal est une in-trusion, initiée par un agent ex-térieur, dans le monde de Dieu. S’il blesse la création et ses créatures, Dieu est le premier dans l’univers à en avoir souf-fert. Dès lors, comment allait-il réagir ?Contrairement à l’huître, Dieu aurait pu, s’il l’avait voulu, ju-ger immédiatement et expul-ser le mal de sa création. Il a choisi une autre voie, une voie au travers de laquelle, comme l’huître, il allait mettre en valeur

toutes les ressources de son in-géniosité et de sa force : la voie de la transformation !

La transformation du mal en bien par l’amour de Dieu

Cette voie est celle par laquelle le mal est une occasion pour Dieu de manifester sa beauté in-soupçonnée. Comme le grain de sable permet à l’huître de faire une perle de grand prix, le mal est l’occasion que Dieu saisit pour nous révéler, par Jésus-Christ, son Fils, son amour in-fini. En livrant Jésus-Christ à la mort pour réparer le mal, Dieu a en quelque sorte englouti et neutralisé le pouvoir maléfique et destructeur du péché. Oui, l’irruption du mal dans l’huma-nité a conduit Dieu à révéler au monde sa perle : la grandeur de sa grâce, de son amour, de son pardon. Cette grâce était en lui, comme le carbonate de calcium dans l’huître. Le mal a juste permis à Dieu de la mettre en œuvre. Jésus, son Fils, a quitté le ciel et s’est rendu sur terre pour vaincre le péché, triompher de la mort et retourner ensuite auprès du Père, où il est encore actuellement.

Deux jours avant mes 4 ans, mes parents constatent avec horreur que je n’arrive plus à bouger mes jambes. Le doc-teur diagnostique la poliomyélite.

c’est le début de longues années de souffrances physiques et émotionnelles. Mon souvenir le plus marquant est le moment où mes parents me laissent à l’hôpital. En pleurant, je les supplie de me ramener à la maison avec eux. un immense sentiment d’abandon et de désespoir me submerge qui va marquer ma vie pendant de longues années.

la clinique est à plus de 50 km de la maison. Ma mère ne peut me visiter en stop qu’une fois par mois. Elle prie avec moi et m’apprend des chansons qui parlent de l’amour de dieu, de sa grandeur et de sa miséricorde. Mais je me sens seule et abandonnée : dieu peut-il donner un sens à mon existence vide et désespérée ?

Pour mes 6 ans, je reçois mon premier corset et des supports pour mes jambes qui permettent de mar-cher avec des béquilles. Je peux rentrer à la maison et aller à l’école. Mes parents m’intègrent à la vie de famille et la maîtresse prépare bien mon arrivée. Je trouve vite ma place parmi les enfants du village. Mais le sentiment d’abandon ne me quitte pas. un grand vide subsiste, je veux être aimée à tout prix, ne plus jamais être abandonnée. Ma quête se poursuit et je m’enfonce dans une grande solitude.

bien plus tard je trouve, dans ma boîte aux lettres, une invitation à des réunions chrétiennes sur le sens de la vie. lors de la première, c’est comme si j’avais trouvé une source d’eau fraîche après une longue traversée du désert. Petit à petit, j’apprends à connaître dieu et à lui faire confiance.

Alors que je dois subir une petite intervention chirurgicale et passer trois jours à l’hôpital, il y a des complications et j’y reste six semaines en très mauvais état. une nuit, au plus mal et ne pouvant presque plus respirer, je rêve que je suis dans un tourbillon noir qui m’aspire vers le fond. Je suis épouvantée mais une main me saisit, me soulève et j’entends : « Jésus est le roc » ! En me réveillant, je suis en paix et j’ai le sentiment d’être aimée comme jamais auparavant. Mon état de santé ne s’améliore pas tout de suite, mais je sais que je suis dans les mains de Jésus et qu’il contrôle la situation.

le besoin d’être aimée à tout prix a disparu, parce que je sais que dieu m’aime. Je suis son enfant et son amour ne déçoit jamais. Mon handicap phy-sique est toujours là, mais dieu a guéri mon âme.

AnGElA M.

L’amour réparateur

(suitE En paGE 4)

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Où est Dieu quand rien ne va plus ?Chaque jour, d’innombrables accidents font des milliers de victimes. Catastrophes naturelles, accidents d’avion, épidémies, souffrances infligées par d’autres hommes ! Et pourtant la Bible affirme que Dieu exerce un contrôle souverain et unique sur tout ce qui se produit dans l’univers ! Est-ce possible ? La réponse vous surprendra certainement !

J. Blanchard 

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Le malen bien

Parmi les objections de ceux qui rechignent à croire l’existence de dieu, le problème du mal et de la souffrance est la plus fréquente.

Changer le mal en bien

pour aller plus loinLivre du prophète Ésaïe, chapitre 53.Lettre de paul aux romains, chapitre 8 versets 18 à 39.

Lisez les passages bibliques

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La transformation du mal en bien : un principe à la disposition de chaque véritable chrétien

Cette voie choisie par Dieu pour neutra-liser le mal, mieux encore, le changer en bien est aussi le principe à partir duquel Dieu travaille dans la vie de ceux qui croient en lui.Oui ! Il n’éradique pas toujours la souf-france de la vie de ses enfants. Mais au sein même de celle-ci, il fait jaillir en eux et par eux des œuvres et des actes d’amour qui n’existeraient pas sans elle.Le chemin, comme pour l’huître, peut sembler long et laborieux jusqu’à ce que la perle soit finie. Mais avec Dieu, tout est possible, en nous aussi !Toute la Bible souligne le fait que la voie de la transformation du mal en bien est le choix de Dieu pour résoudre les pro-blèmes du monde.« Là où le péché s’est multiplié, la grâce a surabondé ; oui, au lieu même où il s’est manifesté dans toute son horreur (la croix de Jésus), la grâce divine a atteint sa plénitude 1 ».

« La mort est vaincue, elle a été engloutie par sa victoire. O mort, qu’est devenue ta victoire ? O mort, ou est ton aiguillon ? L’aiguillon de la mort, c’est le péché, et le péché tire sa force de la loi (des in-terdits). Mais Dieu soit loué : la victoire est à nous. C’est Dieu qui nous l’a don-née par notre Seigneur Jésus-Christ (qui nous a délivrés à la fois de la peur de la mort, de la puissance du péché et de la condamnation de la Loi 2 ».« Si ton ennemi a faim, donne-lui à man-ger. S’il a soif, donne-lui à boire. Par là, tu l’aideras à prendre conscience de sa manière d’agir envers toi et à trouver le moyen de changer. Ne laissez jamais les rênes de votre conduite entre les mains du mal ; au contraire, prenez l’offensive et triomphez de lui par le bien 3 ».Êtes-vous un enfant de Dieu ? Alors, allez-y : faites des perles. Dieu vous en donne la force par Jésus-Christ !

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Pourtant, cette démarche ne réussit pas toujours. le mal est tenace. Il s’incruste. dès lors, que faire d’autre que déprimer ?

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2 la bible : première lettre de Paul aux corinthiens, chapitre 15versets 55 à 57 (Version Parole vivante).

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