Matériaux de Construction, Céramique et Verre

A la Une

Du côté du législateur… ⇒Décision de la Commission du 15/12/2009 concernant le régime d’aide «exonération des taxes environnementales accordée aux fabricants de céramique» que les Pays-Bas envisagent de mettre à exécution C 5/09 (ex N 210/08) [notifiée sous le numéro C(2009) 9972] (1)………………………………………………………………….P.2 ⇒Salles de bains, un nouveau label……………………………………………………………………………………………………….P.2

Boite à idées… ⇒Des composants qui marient la céramique avec le diamant……………………………………………………………….PP.2-3 ⇒Une maison BBC en blocs béton maçonnés, c’est possible……………………………………………………………………..P.3 ⇒Le bloc VERTICOFFRE® : encore une innovation Fabemi Structures………………………………………………………P.3

Tendances des marchés… ⇒توقعات بارتفاع الطلب على الإسمنت التونسي من قبل الجزائر

⇒France / Le marché des revêtements muraux PVC maintient le cap……………………………………………………….P.5 ⇒Secteur des carreaux céramiques : Analyse et stratégie à la turque…………………………………………………….PP.7-8

Agenda…

Du 28 au 31.10.2010 Antalya Turquie BAUCON YAPEX/ Salon professionnel international des matériaux de construction, des technologies du bâtiment et de la rénovation

Sites à retenir…

Portail des professionnels de la construction : actualités, annuaire d'entreprises, produits, services, guides d'informations techniques et réglementaires.

Sagesse du monde "L'indécis laisse geler sa soupe de l'assiette à la bouche."

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Loi N°2010-42 du 26/07/2010, portant modification de la loi N°2008-60 du 04/08/2008, relative à la création de l’agence nationale de la promotion de la recherche et de l’innovation. JORT N°61 du 30 Juillet 2010 Loi N°2010-36 du 05/07/2010, modifiant certaines dispositions du code de procédure civile et commerciale. JORT N°55 du 09 Juillet 2010 Loi N°2010-34 du 29/06/2010, modifiant et complétant certains articles du code des droits réels. JORT N°53 du 02 Juillet 2010 2010/402/UE- Décision de la Commission du 15 décembre 2009 concernant le régime d’aide «exonération des taxes environnementales accordée aux fabricants de céramique» que les Pays-Bas envisagent de mettre à exécution C 5/09 (ex N 210/08) [notifiée sous le numéro C(2009) 9972] (1) http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2010:186:0032:0043:FR:PDF Salles de bains, un nouveau label L’AFISB (Association française des industries de la salle de bains), qui compte quarante marques leaders représentant 60 % du marché de la salle de bains en France, lance un dispositif inédit pour accompagner les professionnels et les particuliers dans la conception d’une salle de bains transgénérationnelle. Conformément aux nouvelles normes françaises et européennes de construction et en relation avec l’évolution de la société, l’AFISB imagine un label et un site Internet dédié qui guident et facilitent la réalisation d’une salle de bains adaptée à tous les âges de la vie, mais aussi aux univers décoratifs les plus exigeants. Le label permet d’identifier d’un simple coup d’oeil tous les produits certifiés AFISB Bien vivre. Lancé au cours du précédent salon Ideobain, le label AFISB Bien vivre donne enfin une visibilité claire aux produits spécifiquement conçus pour garantir dans la salle de bains autonomie et bien-être. Dans le cadre de la réglementation, les produits ayant le label visent à améliorer la qualité de vie de toute personne ; ils sont destinés à apporter plus de confort, de sécurité, d’accessibilité que leur stricte fonctionnalité, et ceci tout en veillant à une esthétique soignée. Le site www.salledebainspro.fr, incontournable référence pour les professionnels, les accompagne dans la conception et l’installation de salles de bains de qualité, répondant aux nouvelles exigences du cadre bâti : des références normatives et réglementaires, des préconisations techniques, des solutions et des conseils... Il détaille en outre le label AFISB Bien vivre, permettant de retrouver le nouveau cadre réglementaire, la définition du label, les fabricants qui répondent à ses normes, mais aussi les aides financières et les avantages fiscaux proposés par l’État. Dans la liste de produits bénéficiant de l’usage du label : les receveurs de douche tous matériaux. http://www.referencecarrelage.com/2010/08/

Une nouvelle méthode de production du graphène La production de graphène passe généralement par la réduction d’un feuillet d’oxyde de graphène. La méthode induit une série d’étapes contrôlées et la feuille de graphène obtenue présente des défauts. Pour remédier à ces difficultés, une équipe de l’institut polytechnique Rensselaer (Rensselaer Polytechnic Institute) a présenté le 17 juin dans le périodique "Nano Letters" une nouvelle méthode de production de graphène à partir du graphite. Le graphite est constitué de couches de graphène superposées, liées entre elles par des liaisons chimiques de faible intensité. L’équipe de chercheurs a trouvé un moyen efficace de briser ces liaisons chimiques, permettant de libérer les feuillets de graphène. Pour cela, ils ont plongé le graphite dans une solution aqueuse contenant des acides organiques et du méthanol. L’acide vient peu à peu s’infiltrer entre les feuillets pour les séparer. Le processus est assisté par des ultrasons qui, par les vibrations induites sur la structure du graphite, viennent affaiblir les liaisons chimiques entre les feuillets favorisant la pénétration de l’acide. Cette technique est simple, de faible coût, peut être réalisée à température ambiante et ne requiert pas un équipement sophistiqué. Les feuillets de graphène récupérés sont de très bonne qualité. La production de graphène en solution aqueuse peut constituer un avantage pour son utilisation en biochimie, lorsque l’on cherche à fabriquer des structures comprenant des protéines ou des sucres. http://www.cerameurop.com/spip.php?article567 Des composants qui marient la céramique avec le diamant KSB remporte le Grand Prix 2010 de la recherche scientifique collaborative décerné tous les deux ans par le Stifterverband für die Deutsche Wissenschaft (Fondation de donateurs en faveur de la science allemande) pour un nouveau matériau composite. Ce Grand Prix récompense des projets innovants qui s’inscrivent toujours dans le cadre de coopérations entre les Instituts Fraunhofer et des entreprises. Cette année, KSB, constructeur de pompes, de robinetterie et de systèmes figure parmi les partenaires industriels récompensés. Le projet récompensé visait à développer et à tester un nouveau matériau composite extrêmement résistant, basé sur deux éléments éprouvés : le diamant et la céramique. La combinaison de ces deux matériaux permet de fabriquer de nouveaux produits offrant de meilleures performances et une rentabilité accrue par rapport aux produits actuels. Des chercheurs d’un institut Fraunhofer ont ainsi recouvert des composants en céramique d’une infime couche de diamant. KSB a participé aux travaux en tant que partenaire industriel disposant d’équipements de production et d’essais. Pour répondre aux attentes de ses clients en matière de longévité des pompes, le fabricant propose des paliers lisses en céramique présentant des caractéristiques de fonctionnement et une résistance à l’usure adaptées aux applications. Des difficultés surviennent souvent lorsque l’exploitation des installations n’est pas conforme aux consignes de la notice de service. Il peut s’agir, par exemple, de problèmes de lubrification insuffisante ou de marche à sec des paliers. C'est exactement dans ces conditions défavorables que KSB a testé les nouveaux composants de pompe en céramique avec revêtement diamant. Résultat : avec le nouveau matériau composite développé par les chercheurs de l’Institut Fraunhofer, les composants soumis à de fortes sollicitations résistent nettement plus longtemps.

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Dans le cadre d’un test d‘endurance en conditions réelles d’exploitation, les spécialistes de KSB en ingénierie des matériaux observent actuellement le comportement d’une pompe équipée de composants en céramique à revêtement diamant. Le constructeur se montre confiant et s’attend à ce que ce test vienne corroborer les résultats déjà obtenus jusqu’ici. Grâce à ces nouveaux composants, le fabricant pourra proposer à ses clients des produits hautement fiables pour applications spéciales. Les pièces fabriquées dans ce nouveau matériau composite peuvent être montées sur des pompes existantes, en remplacement des mêmes pièces de composition « classique ». http://www.usinenouvelle.com/article/N133863 Une maison BBC en blocs béton maçonnés, c’est possible

En Franche-Comté, la première maison BBC en parpaings a été construite et vient d’être labellisée BBC Effinergie. La grande particularité de ce bâtiment est qu’il est constitué de blocs béton montés en utilisant la méthode maçonnée. Une grande première. Si jusqu’à présent, les maisons BBC construites en blocs béton utilisaient la méthode du joint mince, c’est la première fois qu’un bâtiment BBC est édifié en France avec une solution traditionnelle maçonnée, prouvant par là-même que le savoir-faire des constructeurs permet d’utiliser des matériaux que certains jugeaient encore hier obsolètes. Des matériaux de construction classiques sont enclins à la réalisation de ce type de chantier, s’ils sont bien utilisés. L’isolation et la perméabilité de l’air de l’air doivent être particulièrement bien

soignés, tout comme l’inertie thermique, naturellement très élevée grâce à la masse du bloc béton, qui permet de préserver la fraîcheur en été et la chaleur en hiver, pour les restituer ensuite de manière régulière et homogène. Le bloc béton ajoute à la basse consommation son faible besoin en énergie pour sa fabrication : moulés à froid, les granulats qui le composent n’ont besoin d’aucune cuisson. nécessite peu de transport car il est produit à proximité au sein de l’entreprise VIEILLE MATERIAUX, entreprise indépendante certifiée NF FDES, membre de Blocalians. Le chantier de cette maison particulière s’est déroulé de septembre 2009 à mai 2010. Le bâtiment se situe Rue en Belombre, 70190 à AUTHOISON (sud de Vesoul). Le label Effinergie a été remis ce printemps par l’organisme certificateur CEQUAMI. La maison a été construite par les Pavillons PLAISANCIA, le constructeur de Montbéliard. http://www.batiweb.com/actualites/ du 14/07/2010 Le bloc VERTICOFFRE® : encore une innovation Fabemi Structures

Le bloc VERTICOFFRE® est plus qu'un simple nouveau composant de construction : il s'agit en fait d'un système constructif très innovant permettant le montage à sec d'un soubassement de vide sanitaire et/ou de sous-sol incluant la pose du plancher. Une fois les opérations de pose du bloc VERTICOFFRE® et du plancher RAID® achevées, le remplissage du béton dans les parois

s'effectuera simultanément avec le coulage du plancher, ce qui simplifie la tâches des opérateurs et assure une parfaite liaison plancher / soubassement

http://www.planchers-raid.com/news.php?PHPSESSID=5e4655a5db739992cfe60329de0fac70 Une nouvelle unité de production de bloc béton unique en France Sur son site de Soissons, Tarmac a inauguré la première ligne de production de son « Bloc Climat ». Commercialisé dès la rentrée, ce bloc béton en pierre ponce répond aux exigences les plus extrêmes en matière de performance énergétique. Pour produire en série le « Bloc Climat », Tarmac a réalisé un investissement de 1,6 million d’euros, avec une première française : cette ligne automatise l’injection de l’isolant directement au cœur de la maçonnerie, grâce à un procédé de fabrication breveté par TARMAC. Cette ligne de production a aussi permis l’emploi de cinq personnes.

Selon le fabricant, les performances thermiques du « Bloc Climat » sont : une résistance thermique de R = 2,5 (comparativement au Béton cellulaire R=2; BriqueR = 0,6 à 1,5). « La commercialisation de ces nouveaux blocs innovants débutera dès la rentrée 2010 à destination de la moitié nord de la France. L’extension au reste de la France est un des objectifs de production à court terme de TARMAC, via l’équipement d’une autre unité basée dans le sud » indique Tarmac. Pour le site de Soissons, l’objectif de production de cette nouvelle ligne est de 20 000 tonnes de « Bloc Climat » par an, ce qui représente l’équivalent de 1000 maisons de 150 m² construites. 140 000 tonnes de produits en béton devraient ainsi être fabriqués dans cette usine Sopréfa, regroupant une cinquantaine de personnes.

http://www.batiweb.com/actualites/ du 23/07/2010

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CIMENTS CALCIA présente : Ciment TX Aria® Habituellement, la pollution dans les zones urbaines est combattue par des mesures restrictives passives : réduction de la vitesse, arrêt de la circulation, plaques d’immatriculation alternées, réduction de la température de chauffage des habitations. Aujourd’hui, le ciment TX Aria® - ligne environnement, à effet photocatalytique, a été mis au point spécifiquement pour réaliser des constructions et ouvrages capables de contribuer, de manière active, à la réduction de la pollution atmosphérique.

Le ciment TX Aria® permet de réaliser des revêtements minéraux,

des mortiers, des enduits et bétons capables de réduire : • par action directe, les substances gazeuses nocives [oxydes d’azote (NOx), composés organiques volatils (COV : benzène, toluène, …)] produites par l’activité humaine (industrie, automobile, chauffage domestique …) ; • par action indirecte, la formation d’ozone (O 3), en détruisant les polluants précurseurs de l’ozone qui sont essentiellement les oxydes d’azote (NOx) et les composés organiques volatils (COV) (en photo : chantier expérimental à Vanves).

Comment l’air est-il purifié ?

Les polluants gazeux sont piégés à la surface des bétons formulés avec du ciment TX Aria®. Sur ces bétons, les réactions d’oxydo-réduction initiées par la photocatalyse qui transforment les oxydes d’azote en sel de nitrate de calcium, et les composés organiques volatils en eau et dioxyde de carbone.

http://www.ciments-calcia.fr/FR/Nos+produits/TX+Active/TX+Aria/

Weber : double consistance Weber lance weber.col plus nouvelle formule, un mortier-colle (C2ET) amélioré à double consistance. Il reprend les points forts de weber.col plus : un produit polyvalent (utilisation en neuf et rénovation jusqu’à 3 600 cm²) et facile à appliquer, et se dote de 2 nouveaux avantages : une fonction antipoussière et une utilisation possible en deux consistances : fluide ou normale. La consistance fluide permet une utilisation en simple encollage jusqu’à 3 600 cm². Par rapport à une utilisation en double encollage, l’utilisation de weber.col plus en consistance fluide permet d’économiser 25 % du temps de main-d’oeuvre et de réduire la consommation de colle de 15 %. Pour utiliser weber. col plus nouvelle formule en consistance fluide, il suffit d’utiliser la bonne quantité d’eau : entre 7,5 l et 8 l d’eau par sac au lieu de 6 l en consistance normale. La consistance normale s’emploie pour toutes les applications murales et pour une utilisation traditionnelle au sol. Après weber.col max puissance 2 et weber. col fl ex, il s’agit du 3e mortier-colle à bénéficier de la fonction antipoussière. Avec ces 2 nouveaux avantages, la fonction antipoussière et l’utilisation en deux consistances, weber.col plus nouvelle formule vous apporte ainsi plus de confort et plus de rendement. Son large domaine d’emploi et son utilisation à deux consistances en font un produit parfaitement polyvalent, adapté à quasiment toutes vos situations de chantier. http://www.referencecarrelage.com/2010/08/

توقعات بارتفاع الطلب على الإسمنت التونسي من قبل الجزائر

مليون طن من الإسمنت في 1.5 مليون دولار لاستيراد 150فا ماليا بقيمة خصّصت الجزائر غلا .شهر أكتوبر المقبل لمواجهة المضاربة في السوق المحلية، حسب الإذاعة الجزائرية

مليون طن من الإسمنت سنويا، لكن هذه الكمية 18وحسب نفس المصدر تنتج الجزائر حوالي .ايد على هذه السلعة في السوق الجزائريةتبقى غير كافية أمام الطلب المتز

وبناء على هذا الإعلان، يتوقع أن يرتفع الطلب على الإسمنت في تونس في المرحلة المقبلة، .باعتبار أنّ الجزائر تعتبر هي وليبيا من أهم موردي الإسمنت بالنسبة إلى تونس

يع بسبب النزعة يذكر أنّ سوق الإسمنت في تونس عرفت اضطرابا على مستوى التوز .التصديرية التي أصابتها مع ظهور طفرة في الاستيراد من قبل ليبيا والجزائر

http://ar.webmanagercenter.com/management/article-2548

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France / Le marché des revêtements muraux PVC maintient le cap Selon le SFEC (Syndicat français des Enducteurs Calandreurs et fabricants de revêtements de sol et mur), le marché français du revêtement mural PVC se porte bien malgré la crise.

Le comité revêtements de mur du SFEC, réuni sous la signature collective Murs PVCPRO qui regroupe les 4 spécialistes français du revêtement mural PVC (Buflon, Muraspec, Texdécor et Vescom), indique dans un communiqué que

malgré un marché global en baisse, les revêtements muraux PVC ont maintenu leur volume de ventes en 2009. « Cet équilibre s’explique par une reconnaissance de plus en plus importante des revêtements muraux PVC comme solutions techniques, décoratives et concurrentielles. Elles ont ainsi augmenté leurs parts de marché de manière significative sur le secteur du mural » précise le SFEC. L’année 2009 aura, en tout cas, été l’année qui clarifie le marquage CE des revêtements muraux. Alors que, par exemple, les revêtements de sol sont assujettis à l’obligation du marquage CE depuis le 1er janvier 2007, les revêtements de mur n’avaient jusqu’alors pas de norme de référence sur le sujet. « C’est désormais chose faite puisque la norme a été publiée au Journal Officiel Européen en décembre 2009 (EN 15102). Cette nouvelle réglementation permet de réaliser le marquage CE des revêtements muraux depuis le 1er janvier 2010 et le rend obligatoire à partir du 1er

janvier 2011 pour tous les nouveaux produits mis sur le marché » indique le communiqué. Ce changement touchera d’ailleurs aussi bien le secteur des revêtements muraux pour les professionnels que celui des papiers peints à destination des particuliers. Ceci implique que désormais, les performances feu des revêtements muraux seront évaluées selon les Euroclasses, système établi en Europe pour tous les produits de la construction. « La révision des articles réglementaires français est donc en cours pour tenir compte de ce changement. Nos clients devront désormais oublier les classements M au profit des classes A, B, C, D ou E. Nous ferons notre possible pour les accompagner au mieux dans la mise en œuvre de ce nouveau classement » indique Franck Lavigne, fraîchement élu président du comité revêtements de mur du SFEC, à la place de Fabrice Huet, désormais Directeur France du groupe Omnova.

http://www.batiweb.com/actualites/ du 07/07/2010 Saint-Gobain vend sa division céramiques Saint-Gobain a annoncé la cession de sa division Céramiques avancées au groupe américain CoorsTek pour 245 millions de dollars (199 millions d’euros). Le numéro un mondial de la production et de la distribution de matériaux de construction a expliqué que cette cession se faisait dans le cadre de sa volonté de privilégier les métiers à fort contenu technologique et où le groupe est en position de leader. Cette division a réalisé en 2009 un chiffre d’affaires de 135 millions d’euros, avec un effectif de plus de 1.100 personnes réparties sur 14 sites en Europe, en Amérique et en Asie. Céramiques avancées pèse donc moins de 1% du chiffre d’affaires total du groupe, dont les revenus se sont élevés à 37,79 milliards d’euros en 2009. L’opération est soumise à l’accord des autorités de la concurrence aux Etats-Unis et au Brésil, a ajouté Saint-Gobain. http://www.cerameurop.com/spip.php?article571 L'Ademe salue le sérieux des cimenteries françaises Une étude menée à l’initiative de l’ADEME en 2009, en partenariat avec les sociétés cimentières françaises et l’ATILH, vient saluer l'effort collectif et le potentiel encore existant des cimenteries françaises.

Depuis de nombreuses années, l’industrie cimentière participe à l’effort collectif pour la préservation des ressources naturelles en valorisant des déchets dans ses usines. Chaque année, une partie de son énergie fossile est ainsi remplacée par des combustibles de substitution tels que des huiles et solvants usés, farines animales, pneus, résidus de broyage

automobile, boues de station d’épuration séchées... D’importants gisements de déchets non dangereux continuent à être éliminés en décharge, bien qu’ils ne puissent pas être considérés comme des déchets ultimes, notamment de par leur pouvoir calorifique élevé. Alors que les projets de nouvelles unités d’incinération rencontrent actuellement une contestation forte de la part de la société civile, certains déchets, notamment les « Combustibles Solides de Récupération* » (CSR), pourraient être valorisés en

cimenterie dans des quantités importantes. En France, leur valorisation en cimenterie reste largement inférieure à celle d’autres pays : en 2008, les CSR représentaient moins de 2% de la consommation totale de combustibles des cimenteries en France contre 35% en Allemagne, alors qu’un million de tonnes pourraient être valorisé chaque année en cimenterie. Bénéfices L’ADEME confirme dans cette étude** que la valorisation des CSR en cimenterie présente de nombreux bénéfices environnementaux. Ainsi la consommation de CSR en

2008 a déjà permis à la profession cimentière d’éviter l’émission de 50.000 tonnes de CO2. En outre, l’utilisation de CSR n’a pas d’impact sur la qualité du clinker fabriqué et sur les émissions atmosphériques des cimenteries. La valorisation en cimenterie de déchets quels qu’ils soient s’opère dans un cadre réglementaire très strict, avec notamment des mesures en continu des rejets atmosphériques des fours sous le contrôle de l’Etat (DREAL).

*http://www.record-net.org/record/synthPDF/Synth_record06-0225_1A.pdf **http://www2.ademe.fr/servlet/getBin?name=0AA66AA98 Source : http://www.batiweb.com/actualites/ du 13/07/2010

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Unicera, vitrine de l’industrie turque L’industrie céramique turque s’était donnée rendez-vous en avril dernier, à Istanbul, à l’occasion du salon international annuel Unicera. Des produits à la pointe du design et un visitorat en hausse ont fait la démonstration de l’intérêt des carrelages turcs. Organisée par Tüyap en partenariat avec la fédération de la céramique turque et Timder (association des fabricants d’équipement de salle de bains et de matériaux de construction), la 22e édition d’Unicera, salon international de la céramique, de la salle de bains et de la cuisine, a fermé ses portes à Istanbul (Turquie) le 11 avril dernier sur un record : ce sont en effet pas moins de 53 400 visiteurs qui en ont parcouru les allées, dont près de 3 000 venus de 70 pays étrangers. À titre de comparaison, la manifestation en 2009 avait accueilli un peu plus de 38 000 hôtes représentant 64 nations. Au regard de ces chiffres, avec une augmentation des participants de 22 %, une croissance de 50 % des visiteurs étrangers et de 40 % des visiteurs turcs, Unicera démontre sa montée en puissance, non seulement en Europe, mais aussi à l’échelle mondiale. S’il en est ainsi, c’est que le secteur de la céramique incarne un des groupes industriels les mieux établis de Turquie. Il regroupe les carrelages, les équipements de salle de bains, les matériaux réfractaires et les matières premières, et emploie environ 220 000 salariés. Riche de plus de 8 000 ans d’histoire, la céramique turque n’a pourtant entrepris son essor industriel que dans les années 50 et a atteint un rythme de développement soutenu au cours des années 80. C’est à partir de 1990 que le secteur a véritablement commencé à moderniser son outil de production, s’équipant des dernières technologies. Au cours des vingt dernières années, le nombre de fabricants et le volume produit ont crû rapidement. Aujourd’hui, 28 producteurs de carreaux céramiques se partagent une capacité de production de l’ordre de 375 millions de m², et 38 industriels celle de 20 millions de pièces du secteur de l’équipement de salle de bains. Principalement installés dans l’ouest du pays, les fabricants de carreaux céramiques turcs exportent leur production vers plus de 100 destinations réparties sur les 5 continents. En Europe, les principaux clients sont l’Allemagne, le Royaume-Uni et la France. Au niveau mondial, les premiers marchés de la Turquie sont l’Allemagne, le Royaume-Uni, Israël, le Canada, la Roumanie, la Grèce et les États-Unis. Cependant, ces dernières années, la dépréciation du dollar a amené une chute des exportations vers cette destination. Globalement, la Turquie est le neuvième producteur mondial après la Chine, le Brésil, l’Italie, l’Espagne, l’Inde, l’Iran, l’Indonésie et le Vietnam, et le quatrième pays

exportateur après la Chine, l’Italie et l’Espagne. Un monde inventif Pas étonnant donc que le salon turc dédié à la céramique gagne au fil des années en rayonnement international. La première édition, en 1987, s’était déroulée sur une surface de 3 500 m² et avait accueilli peu ou prou 8 500 visiteurs. Cette année, sept halls pour une surface totale de 40 000 m² se sont partagé les stands des exposants. Des espaces d’exposition très ouverts, très aérés, offrant le recul nécessaire pour pouvoir apprécier les propositions des industriels.

La collection Pasarella de Graniser. En furetant dans les allées, le visiteur s’imprègne peu à peu de l’identité de la céramique turque. Celle d’un carrelage résolument contemporain, s’inscrivant parfaitement dans la tendance, la devançant même parfois à l’instar de la ligne Liquid Tiles exposée sur le stand de Hitit Seramik dont les carreaux renferment un mélange de matière liquide de couleurs contrastées qui se déplace sous la pression du pied. Ailleurs, des aspects bois bien aboutis (chez Ege Seramik notamment avec les collections Sandalwood et Forest) jouxtent des imitations de pierre confondantes ou de jolis aspects de peau d’animaux (chez Graniser entre autres). Les décors apportés aux carreaux sont élégants et raffinés. Les formats sont variés : du très petit au très grand. Leurs formes le sont également : des traditionnels formats carrés ou rectangulaires aux disques concaves et convexes que l’on peut découvrir sur le stand du groupe Kale qui décidément aime jouer avec les effets d’optique. Indéniablement, la créativité est au rendez-vous… comme le montre aussi Vitra avec ses associations de matières (verre et céramique) aux formes arrondies. Une industrie jeune La raison majeure de cette fécondité réside dans la jeunesse de l’industrie. Longtemps centré sur son marché intérieur, le paysage industriel de la Turquie s’est pendant quelques décennies résumé à une poignée de

fabricants. Puis le carreau turc est parti à l’assaut des marchés internationaux, et c’est justement cette initiative qui a permis l’éclosion de nouvelles usines depuis les années 80. De fait, les sites de production sont équipés d’outils de production à la pointe de la technologie qui permettent moult audaces.

Vitra et les associations de matières. Ici, verre et céramique. Aujourd’hui encore, l’exportation reste un moteur de l’industrie ottomane. Et les regards sont, entre autres, tournés vers la France, réputée pour son haut niveau d’exigence quant à la qualité des produits. Mais la bataille est rude. Dans un marché déjà largement occupé par l’Italie et l’Espagne, il est difficile de faire sa place. Pourtant les arguments ne manquent pas : les produits sont adaptés au goût français, les prix sont compétitifs. Mais la Turquie souffre encore d’un déficit d’image que le Groupement pour la promotion de la céramique turque, présidé par Bahadir Kayan, s’attache à combattre. Pourtant quelques fabricants turcs ont réussi le pari. Parmi eux, Kale, Ege Seramik ou encore Vitra. D’autres cherchent la bonne stratégie, comme Graniser. Créé en 1999, ce dernier, fort de plus de 1 000 salariés, jouit d’une capacité de production annuelle de 23 millions de m² de carreaux pour sols et murs et de pièces pour piscines. Déjà présent dans plus de 60 pays, Graniser ne cache pas que développer sa présence sur le marché français est une de ses ambitions. « En quelques années, nous avons réussi à élever la marque au rang des meilleures de Turquie, explique Tolga Demirtola, en charge de l’export. Nous sommes très pointilleux sur la qualité des produits. Cette année, nous avons lancé le format 22,5x58 cm, qui amène une nouvelle dimension dans le concept de la décoration, des décors et des pièces de finition différentes ».

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La ligne Astoria de Ege Seramik. Pour Ege Seramik, le marché français est déjà une réalité. « Nous traitons toutes les opérations avec la France

depuis Izmir en Turquie. Nous travaillons avec Lapeyre et avec Ciffréo Bona, confie Alparslan Ergul, responsable du marché hexagonal. Avec environ 80 points de vente, ce négoce indépendant est un partenaire important pour nous. » De son côté, le groupe Kale n’a plus à démontrer sa présence sur notre territoire… ni sa puissance : en associant carrelage et équipement de salle de bains, le groupe est leader en Turquie. « Un de nos axes de développement prend appui sur la protection de l’environnement et le développement durable, avec des carreaux minces de

très grand format notamment et des produits photovoltaïques », relate Selin Cevik Ersayin, en charge de la communication de la marque. Enfin, Konka Calkivik, responsable de la communication de Vitra Tiles, confirme la créativité de la marque : « Nous exposons pour l’occasion 2 010 collections et 25 nouveaux produits. Nous nous impliquons dans le développement durable avec des carreaux en épaisseur minorée (4,5 mm), des produits autonettoyants et des carreaux minces pour façade ».

http://www.referencecarrelage.com/2010/07/ Secteur des carreaux céramiques : Analyse et stratégie à la turque Ahmet Tahsin Yamaner est le président du conseil d’administration du Serkap, l’association des fabricants turcs de carreaux céramiques. Il dresse ici un portrait sans complaisance de l’industrie turque, de ses forces, de ses faiblesses aussi, et dessine le contour des stratégies mises en place pour 2010. Comment l’année 2009 s’est-elle déroulée ? Comme pour beaucoup d’industries en Turquie, la crise a eu un effet négatif sur le secteur des carreaux céramiques. Sur les six premiers mois de 2009, les usines n’ont utilisé que 80 % de leur capacité de production. Alors que la production en 2008 avait atteint 225 millions de m², en 2009 le volume produit n’a pas dépassé 200 millions de m². Ce qui signifi e une contraction de plus ou moins 11 % en volume. Cette baisse a été particulièrement sensible à l’export, puisque l’Europe qui est la première destination à l’étranger de nos carreaux céramiques a été largement touchée par les crises elle aussi. Ainsi, les exportations toutes destinations confondues ont-elles chuté de 27 % en volume et de 24 % en valeur, c’est-à-dire de 91,8 à 67,3 millions de m², ce qui représente approximativement 35 % de la production. Ce ratio, dans les années antérieures, était d’environ 50 à 55 %. Mue par la crise, l’industrie céramique a donc dû trouver d’autres débouchés à l’export. Quels sont ces nouveaux pays ? Suite à la contraction du marché en Europe qui est pour nous, je le rappelle, une destination naturelle d’exportation, il nous a fallu prospecter d’autres pays. De fait, l’année dernière, le Moyen- Orient, les pays des Balkans et des républiques turques se sont révélés être de nouvelles destinations d’export. Nous n’avons pas de carte à jouer en Extrême-Orient : les fabricants établis là-bas sont puissants. Par contre, nous croyons à l’Eurasie, dans laquelle j’inclus la Russie, le Kazakhstan, le Turkménistan et l’Ouzbékistan par exemple. Bien sûr, la Chine y a une présence solide et dispose d’une logistique sérieuse. Quel facteur essentiel détermine la stratégie dans l’industrie ? C’est le produit lui-même qui détermine la stratégie. Les carreaux céramiques sont des produits encombrants qui n’aiment pas beaucoup voyager. La logistique revêt donc un caractère prépondérant. Dans le domaine de la robinetterie, le transport représente 1 %. Pour ce qui concerne les carreaux céramiques, sur notre marché intérieur, le transport représente environ 8 % ; 15 % lorsqu’il s’agit d’exporter. Pour ces raisons, la Turquie se doit de développer ses parts de marché avec ses pays frontaliers. Il me semble que l’Afrique du Nord a elle aussi un fort potentiel. La Libye n’impose pas de droits de douane à la Turquie. Le commerce en est donc facilité. Par contre, d’autres pays nord-africains autorisent l’entrée de biens de consommation français ou italiens à des taux de douane très faibles, grâce aux accords d’union douanière avec l’Union européenne. Cette dernière intègre la Turquie dans les accords douaniers lorsqu’il s’agit d’importations, mais pas quand il s’agit d’exportations, ce qui ne facilite pas le commerce international. Pouvez-vous nous dresser un portrait de l’industrie céramique turque et de son positionnement en Europe et au niveau mondial ? La Turquie est l’un des dix premiers fabricants de carrelage céramique au monde. Ces pays à eux seuls totalisent environ 80 % de la production mondiale. La Turquie occupe la neuvième place après l’Iran, l’Indonésie et le Vietnam. En termes de consommation, nous étions à la treizième place en 2008. Par contre, la Turquie est le quatrième exportateur après la Chine, l’Italie et l’Espagne. Le secteur de la construction a enregistré une chute de 22 % qui n’a pas manqué d’affecter l’industrie céramique. Quelle stratégie a été mise en place pour pallier ce phénomène ? La stagnation de la construction a mis en évidence l’importance du marché de la rénovation. D’où l’émergence de nouveaux produits à plus forte valeur ajoutée. Cela dit, 2010 ne devrait pas être pire que 2009. S’il n’y a pas d’autre crise économique majeure, je crois que nous n’aurons pas de problèmes. Si l’on compare 2009 à la fi n de 2008 et au début de 2009, cela a l’air de bien se passer. Les bons élèves n’ont pas du souci à se faire. Quelle est la position de la Turquie quant aux importations venant de Chine ? Une surveillance est exercée par le sous-secrétariat au commerce extérieur. Des quotas sont imposés sur le volume annuel importé et sur les tarifs. En 2009, les importations de la Chine étaient limitées à 2,4 millions de m² pour un prix plancher de 10 dollars par m². En fait, le total global des importations turques de carreaux céramiques n’a représenté que 2,7 millions de m² en 2009 contre 4,3 millions en 2008. Initialement prévue jusqu’à fi n 2011, la surveillance sera prorogée jusqu’à fi n 2013. Au-delà, ces mesures ne seront plus admises par l’Organisation mondiale du commerce. Sur les marchés export de l’Ouest, la Chine a atteint son développement maximal. Les biens de consommation chinois ne sont pas perçus comme des produits de bonne qualité dans ces zones. Le « Pays du Milieu » nous menace plus aux États-Unis qu’en Europe.

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Quels progrès la Turquie devrait-elle faire pour mieux concurrencer ses challengers européens ? Deux éléments essentiels doivent être améliorés : l’image de marque et l’image du pays. Nous avons désormais des marques connues et notre mot à dire en Europe. En termes de qualité et de design, nos produits n’ont rien à envier à ceux d’Italie ou d’Espagne. Mais l’image du pays n’est pas encore assez bien perçue. Cependant, le groupe de promotion de la céramique en Turquie fournit des efforts considérables pour soutenir l’image de la céramique turque. Notre industrie s’est initialement tournée vers des produits faciles à fabriquer et a largement investi le champ des carreaux muraux. Un coup d’oeil aux chiffres d’exportation vers l’Europe suffit pour voir que nous sommes loin derrière nos compétiteurs italiens et espagnols. Le prix moyen en Turquie en 2009 était de 6 dollars. Il était de 10 dollars pour l’Italie et l’Espagne. Cela donne une idée assez claire de la situation… Malheureusement, même si ce n’est pas une généralité, la plupart des industriels de Turquie ont évolué vers des produits faciles à fabriquer, faciles à vendre, n’exigeant que peu de marketing. En termes de logistique, nous sommes désavantagés. Comme les Italiens et les Espagnols sont géographiquement plus proches de leur zone de chalandise, ils peuvent livrer des produits haut de gamme par camion ou par rail vers leurs destinations d’exportation ou dans leur propre pays. Par contre, nous sommes contraints d’exporter nos produits par bateau, ce qui demande un délai d’au moins trois semaines. En conséquence, les principaux grossistes européens donnent encore leur préférence aux produits haut de gamme italiens et espagnols, parce que ces pays sont capables de livrer plus rapidement. Quelles seront les prochaines grandes tendances en matière de carreaux céramiques ? L’industrie du carrelage céramique est très largement influencée par les tendances développées dans le monde du textile et de la décoration. Dans cet esprit, ces dernières années, beaucoup de designs modernes et minimalistes, d’aspects textiles ou métalliques se sont imposés. Des produits plus spécialement conçus pour équiper les espaces extérieurs dans l’habitat privatif sont maintenant développés. En outre, les produits respectant l’environnement ou propres à générer des économies d’énergie prennent de plus en plus d’importance. De nouvelles technologies font leur apparition dans le domaine des grès porcelainés, qui sont désormais produits en continu. La Turquie ne dispose pas encore de cette technologie essentiellement utilisée pour les carreaux de sol. De très grands formats sont fabriqués (150x150 cm par exemple) qui sont ensuite coupés au format sur commande. Ils sont découpés et présentés comme des pierres naturelles. La tendance évoluera dans ce sens dans les prochaines années. Elle permet de diminuer le volume stocké. Que pensez-vous de la dépendance énergétique du secteur ? L’industrie du carreau céramique consomme énormément d’énergie. La part de l’énergie dans le coût de production s’élève à 35 %. Cependant, en Turquie, le prix de l’énergie n’est pas plus bas qu’en Europe ; en fait, il est même plus élevé que dans quelques pays européens. Le coût de l’énergie en Turquie ne nous permet pas de concurrencer les Émirats arabes unis, l’Égypte et l’Iran que nous considérons comme nos concurrents dans les produits d’entrée de gamme. Ces pays bénéfi cient du gaz naturel. Nous n’avons aucune chance de leur damer le pion sur les produits d’entrée de gamme. À ce stade, l’Égypte et l’Iran ne sont pas des menaces pour nous. Si le prix du gaz naturel venait à fluctuer de manière inattendue, nous aurions du fi l à retordre avec l’Italie et l’Espagne. En 2008, le prix du gaz était de 25 à 30 % supérieur à celui de l’Europe, ce qui, de fait, entame notre pouvoir concurrentiel. http://www.referencecarrelage.com/2010/07/

Du 05 au 09.10.2010 Oran Algérie ORAN BUILD/Salon international de la construction et des travaux publics http://www.eventseye.com/fairs/f-oran-build-13864-0.html contact@orandbuild.com

Du 07 au 09.10.2010 Dublin Irlande IRISH SUSTAINABLE BUILDING SHOW/Salon irlandais de la construction durable http://www.sustainablebuildingshow.com/ victor@exhibitionsireland.com

Du 28 au 31.10.2010 Antalya Turquie BAUCON YAPEX/ Salon professionnel international des matériaux de construction, des technologies du bâtiment et de la rénovation http://www.bauconyapex.com/ info@messe-muenchen.de

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Du 28 au 31.10.2010 Odessa Ukraine BUILDRECH ODESSA/ Salon international des technologies du bâtiment. Matériaux de construction et de finition, ingénierie du bâtiment et nouvelles technologies http://www.eventseye.com/fairs/f-buildtech-odessa-5299-0.html expo@expohome.com.ua

Portail des professionnels de la construction : actualités, annuaire d'entreprises, produits, services, guides d'informations techniques et réglementaires. http://www.interbat.com

http//www.cerinnov.com/ Leader mondial dans l’équipement des industries céramiques

Le portail des Métiers de l'Habitat, de la Construction et de l'Immobilier. Actualités et guides techniques, juridiques et financiers sur la construction. http://www.batipole.com/

"L'indécis laisse geler sa soupe de l'assiette à la bouche."

Miguel de Cervantès (1547 - 1616)