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MAROC: LE PLAN EMERGENCE Préparé par: -DARHBER Walid -MYAR Hicham Encadré par: -Mme. AAMOUM • Automobile • Offshore • Aéronautique • Electronique • Agroalimentaire Textile et cuir

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MAROC: LE PLAN EMERGENCEPréparé par: -DARHBER Walid

-MYAR Hicham

Encadré par: -Mme. AAMOUM

• Automobile• Offshore• Aéronautique

• Electronique• Agroalimentaire• Textile et cuir

PLAN

INTRODUCTION

CONTEXTE DU P.E

CONTRAINTES ET DIFFICULTES

OBJECTIFS DU PLAN EMERGENCE

COMITES DE SUIVI

PROBLEMES FAISANTS FACE A L’AVANCEMENT DU P.E

QUELQUES STATISTIQUES

Introduction

Le Plan Émergence est une stratégie industrielle qui a été lancée en 2005 suite à une étude commandée au cabinet McKinsey. Les objectifs de ce Plan sont la mise à niveau du secteur industriel, sa modernisation et la consolidation de sa compétitivité.

Contexte du P.E:Caractéristiques de l’indistrie

Progression encore limitée du secteur industriel

Participation en dessous du prévu en P.I.B

Prédominance des industries légères

Forte présence de la main d’œuvre

Prédominance de la PME

Compétitivité limitée

Recherche et innovation très limitées

Forte présence du capital étranger dans les industries lourdes

Contraintes et difficultés de l’industrie marocaine

Faiblesse des moyens de financement

Manque d’infrastructure

Cout d’énergie élevé

Manque de la main d’œuvre qualifiée

Concurrence illégale du secteur informel

Objectifs du plan emergence:

Le repositionnement du tissu industriel national sur les Métiers Mondiaux du Maroc (MMM) qui représentent 70% de la croissance industrielle

Deux catégories:

1. Les métiers orientés Investissements directs étrangers (IDE)

2. Les métiers traditionnels.

Les buts du plan emergence

La création d'emplois industriels pérennes et la réduction du chômage urbain;

L'augmentation du PIB industriel;

La réduction du déficit commercial;

L'appui à l'investissement industriel, tant national qu’étranger;

La contribution à la politique d'aménagement du territoire.

Les buts du plan emergence

Rabat, 20 févr. 2013 (MAP) - Les projets inscrits dans le pacte national pour l'Emergence industrielle (PNEI), notamment celui du développement des plateformes industrielles, enregistrent "un état d'avancement très satisfaisant", a indiqué le ministre de l'industrie, du commerce et des nouvelles technologies, Abdelkader Amara.

"Les projets inscrits dans le PNEI connaissent un état d'avancement très satisfaisant" a fait savoir M. Amara dans une interview publiée par "L'Economiste" dans son numéro de mercredi, précisant qu'à l'horizon 2015, le réseau des 16 Plateformes Industrielles Intégrées (P2I) sera mis en place sur plus de 2.000 hectares.

Les buts du plan emergence

Il a souligné, dans ce contexte, que "plus de 1.000 ha ont été placés auprès des aménageurs développeurs", notant que "depuis la mise en Âœuvre du pacte, le rythme d'aménagement du foncier industriel équipé s'est accéléré: "on compte 200 ha par an au lieu de 35 à 40 ha auparavant", a-t-il expliqué.

Pour ce qui est du renforcement de la compétitivité des entreprises, M. Amara a fait part du dispositif d'appui financier et technique mis en place par l'Etat et qui vise à satisfaire tous les besoin de la petite et moyenne entreprise (PME).

Les buts du plan emergence

"L'approche d'intervention se fonde sur des programmes différenciés selon le niveau de compétitivité des entreprises et s'articule autour d'une segmentation(...) couvrant tout le cycle de vie de l'entreprise", a-t-il expliqué.

Il a également fait savoir que le souci constant d'adapter l'industrie marocaine aux mutations de l'économie mondiale a donné lieu au déploiement de nouveaux engagements.

" Les secteurs de la chimie-parachimie et de la pharmacie ont révélé un important potentiel de développement que nous avons jugé opportun d'intégrer à la stratégie industrielle", a-t-il argumenté, notant que des contrats programmes précisant le déploiement des stratégies adoptées pour ces deux secteurs seront signés lors de la 3ème édition des Assises nationales de l'industrie. SF---EXP. AJ. 

Comités de suivi:

Les Comités de suivi « MMM »

Quatre Comités de Suivi sont mis en place pour les 4 Métiers Mondiaux du Maroc suivants : Offshoring, Automobile, Aéronautique & Spatial, et Electronique. Ces Comités sont co-présidés par l’Agence Marocaine de Développement des Investissement et le Ministère en charge de l’Industrie. Ceux-ci sont composés comme suit :

Comités de suivi:

Le Comité de suivi « Textile et Cuir »

Le Comité de Suivi « Textile & Cuir » est présidé par le Ministère en charge de l’Industrie. Le Comité se compose comme suit :

Comités de suivi:

Le Comité de suivi « Agro-industrie »

Le Comité de Suivi « Agro-industrie » est co-présidé par le Ministère en charge de l’Industrie et le Ministère chargé de l’Agriculture. Le Comité se compose comme suit :

Comités de suivi:

Le Comité de suivi « Compétitivité des PME »

Le Comité de Suivi « Compétitivité des PME » est co-présidé par le Ministère en charge de l’Industrie et l’Agence Nationale pour la Promotion de la Petite et Moyenne Entreprise (ANPME). Le Comité se compose comme suit :

CONCLUSION

Le plan emergence est un plan qui, malgré les problemes a prouvé son éfficacité, et encourage à continuer l’investissement de telle manière.

Salah-eddine Mezouar, ministre de l'Industrie et du Commerce, corrige certaines lectures qui voient dans Emergence une stratégie exclusive, destinée à l'investissement étranger. Challenge Hebdo : Plusieurs observateurs estiment que le plan Emergence prend du retard, surtout que le cabinet Mckinsey a insisté sur le facteur temps. Partagez-vous cette lecture ?Salah-Eddine Mezouar : Non. Le plan Emergence est une stratégie à moyen et long terme et, de ce fait, a besoin de temps pour se concrétiser. L'étude nous a été présentée il y a un peu moins de deux ans. Pour certains secteurs, nous avons jugé, nous et nos partenaires, qu'il y avait urgence, c'est ce qui explique que le rythme de la mise en œuvre de la stratégie varie d'un secteur à un autre. Aussi, le rythme de réalisation du pôle Offshoring a-t-il été plus rapide que celui des autres secteurs parce qu'il fallait se positionner rapidement sur l'échiquier de la branche au niveau mondial. Cette démarche a porté ses fruits et le pôle offshore de Casablanca sera bientôt opérationnel. Et l'engouement qu'il a enregistré ne peut que nous inviter à élargir l'expérience à d'autres régions.C.H. : Justement, pour certains secteurs, le plan Emergence n'a pas été aussi détaillé que les opérateurs l'auraient souhaité ? Pourquoi ?S.M. : La première étude qui a engendré le plan Emergence avait pour mission de définir le nouveau positionnement du Maroc à l'échelle mondiale. L'enjeu du pays est d'augmenter ses exportations car l'ouverture de son économie via les accords de libre échange présente le risque d'une progression exponentielle des importations. Donc le but d'Emergence est de booster les exportations en s'attaquant à des métiers porteurs. De ce point de vue, l'étude initiale a respecté le cahier des charges en présentant au gouvernement et aux opérateurs une stratégie bien définie et précise. La stratégie étant là, son application nécessite des mesures de mise en œuvre. C'est le “comment” qui manque et c'est sur cette partie de la stratégie que nous avons travaillé depuis début 2006. Nous sommes dans la dernière ligne droite pour le secteur automobile et nous annoncerons bientôt notre offre et notre démarche pour les secteurs de l'aéronautique et de l'électronique.C.H. : A force de vouloir augmenter les exportations, Emergence donne l'impression que toute la stratégie est focalisée sur l'investissement étranger. Les Marocains ont-il une place dans ce nouveau positionnement ?S.M. : Je crois que cette lecture est réductrice. Le plan Emergence mise sur les effets de levier. Il est clair que pour développer une pépinière d'équipementiers marocains pour le secteur de l'automobile ou dans l'aéronautique, il faut attirer des opérateurs étrangers de premier rang. Le programme de l'alliance automobile Renault-Nissan en présente l'exemple type. Un grand opérateur a décidé de s'installer au Maroc, du coup de grands équipementiers mettent le pays sur leur carte de délocalisation ou d'expansion. Le capital marocain peut jouer un rôle à ce niveau en misant sur des partenariats financiers ou industriels avec des opérateurs étrangers. Et gardant à l'esprit également que l'effet de levier fonctionne bien puisque nous constatons que des opérateurs marocains investissent dans le secteur automobile et que d'autres s'ouvrent pour la première fois à l'industrie aéronautique.C.H. : Mais cette démarche reste limitée à trois ou quatre secteurs. Qu'en est-il des autres branches de l'industrie ?S.M. :J'insiste encore une fois sur l'effet de levier et la dynamique du plan Emergence. Il est vrai que le plan de départ ne parlait que de quelques secteurs à fort potentiel. Mais rien n'empêche de transposer l'expérience à d'autres secteurs. D'ailleurs, les opérateurs de l'industrie pharmaceutique, de la chimie et parachimie ainsi que les acteurs de l'industrie du carton et du papier l'ont compris. Ces opérateurs ont pris l'initiative de positionner leurs industries en s'inscrivant dans une démarche qui s'inspire du plan Emergence. Des études ont été lancées et les conclusions engendreront des plans d'action concertés qui seront mis en œuvre en accord avec les opérateurs.C.H. : Quelles seront les priorités pour vous, si vous êtes reconduit, ou votre successeur, dans le cadre du plan Emergence ?S.M. :La priorité sera l'accélération de la mise en œuvre. Notre mission à nous était d'identifier les branches, de réfléchir aux moyens de mise en œuvre et de présenter une offre cohérente et agressive. Maintenant, l'enjeu réside dans l'accélération de la mise en œuvre tout en s'adaptant aux mutations que connaît le marché. Le chantier est vaste et il faut le mener parallèlement à d'autres chantiers encore plus complexes et plus porteurs, comme celui du commerce intérieur, à titre d'exemple. ! 

http://www.yabiladi.com/articles/details/16148/maroc-2013-plan-emergence-prend.html