L’histoire de Monsieur Sommer - indigo theatre · Le Parfum est son premier roman édité pour la...

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La compagnie indigo présente L’histoire de Monsieur Sommer Die Geschichte von Herrn Sommer De Patrick Süskind (Traduction de Bernard Lortholary) Ecrivain et scénariste allemand, il écrit une pièce théâtrale "La Contrebasse", Le Parfum est son premier roman édité pour la première fois en 1985, traduit en français par Bernard Lortholary en 1986. Patrick Süskind publie ensuite Le Pigeon (1987), ainsi que L'Histoire de Monsieur Sommer, en 1991. ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ Spectacle familial à partir de 8 ans, bilingue français/allemand. Le projet du spectacle est né d’une mise en jeu du texte par Clarisse Hagenmuller avec une classe Terminale Abibac (Français/allemand) au Lycée Bartholdi à Colmar. L’histoire de Monsieur Sommer est une nouvelle qui raconte une enfance d’une manière à la fois drôle et sérieuse. Peuplée de personnages qui sont autant de figures dont certaines grotesques, le narrateur raconte le temps de l’enfance, du petit garçon à l’adolescent. L’enfant qui est aussi le narrateur, est un rêveur. Il nous parle de son observation du monde des adultes et partant de là, ce qu’il imagine. Son regard est à la fois drôle, intrigué et effrayé : Monsieur Sommer, le père, la mère, Mle Funckel sa professeure de piano, les personnages et les situations qu’il décrit sont des caricatures qui peuplent ses rêves et ses cauchemars. « Il y a de cela des dizaines d’années, je grimpais aux arbres et j’étais capable de voler. A cette époque-là, je tombai aussi amoureux d’une fille de ma classe. Un an plus tard, j’appris à monter à vélo pour aller prendre des leçons de piano avec l’impitoyable Mlle Funkel. Et chaque fois, je le voyais : qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige, Mr Sommer était toujours par monts et par vaux, arpentant le région de son pas pressé ». « Zu der Zeit, als ich noch auf Baüme kletterte, lebte in unserem Dorf, keine zwei Kilometer von unserem Haus entfernt, ein Mann mit Namen « Herr Sommer ». Kein Mensch wusste wie Herr Sommer mit Vornamen hiess, und kein Mensch wusste auch, ob Herrn Sommer einem Beruf nachging. Man wusste nur, dass Frau Sommer einen Beruf ausübte, und zwar den Beruf der Puppenmacherin. Herr Sommer war ständig unterwegs. Es mochte schneien oder hagen, es mochte stürmen oder wie aus Kübeln giessen, die Sonne mochte brennen, ein Orkan im Anzug sein, Herr Sommer war auf Wanderschaft ».

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La compagnie indigo présente

L’histoire de Monsieur Sommer Die Geschichte von Herrn Sommer

De Patrick Süskind

(Traduction de Bernard Lortholary) Ecrivain et scénariste allemand,

il écrit une pièce théâtrale "La Contrebasse", Le Parfum est son premier roman édité pour la première fois en 1985,

traduit en français par Bernard Lortholary en 1986. Patrick Süskind publie ensuite Le Pigeon (1987), ainsi que L'Histoire de Monsieur Sommer, en 1991.

------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Spectacle familial à partir de 8 ans, bilingue français/allemand.

Le projet du spectacle est né d’une mise en jeu du texte par Clarisse Hagenmuller avec une classe Terminale Abibac (Français/allemand) au Lycée Bartholdi à Colmar.

L’histoire de Monsieur Sommer est une nouvelle qui raconte une enfance d’une manière à la fois drôle et sérieuse. Peuplée de personnages qui sont autant de figures dont certaines grotesques, le narrateur raconte le temps de l’enfance, du petit garçon à l’adolescent. L’enfant qui est aussi le narrateur, est un rêveur. Il nous parle de son observation du monde des adultes et partant de là, ce qu’il imagine. Son regard est à la fois drôle, intrigué et effrayé : Monsieur Sommer, le père, la mère, Mle Funckel sa professeure de piano, les personnages et les situations qu’il décrit sont des caricatures qui peuplent ses rêves et ses cauchemars. « Il y a de cela des dizaines d’années, je grimpais aux arbres et j’étais capable de voler. A cette époque-là, je tombai aussi amoureux d’une fille de ma classe. Un an plus tard, j’appris à monter à vélo pour aller prendre des leçons de piano avec l’impitoyable Mlle Funkel. Et chaque fois, je le voyais : qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige, Mr Sommer était toujours par monts et par vaux, arpentant le région de son pas pressé ». « Zu der Zeit, als ich noch auf Baüme kletterte, lebte in unserem Dorf, keine zwei Kilometer von unserem Haus entfernt, ein Mann mit Namen « Herr Sommer ». Kein Mensch wusste wie Herr Sommer mit Vornamen hiess, und kein Mensch wusste auch, ob Herrn Sommer einem Beruf nachging. Man wusste nur, dass Frau Sommer einen Beruf ausübte, und zwar den Beruf der Puppenmacherin. … Herr Sommer war ständig unterwegs. Es mochte schneien oder hagen, es mochte stürmen oder wie aus Kübeln giessen, die Sonne mochte brennen, ein Orkan im Anzug sein, Herr Sommer war auf Wanderschaft ».

Equipe de création Clarisse Hagenmuller (adaptation, mise en scène) Quentin Lemaire (comédien, marionnettiste) Stéphane Clor (violoncelle, basse électrique) Marc Linnhoff (réalisation vidéo) Joran Muratori (objets, maquillage) Jean Duntz (costumes) Jeu : Quentin Lemaire, Clarisse Hagenmuller, Stéphane Clor

Note d’intention de mise en scène Il s’agit d’une forme pluridisciplinaire, avec marionnette, théâtre d’objets et images vidéo. Avec deux comédiens et un musicien violoncelliste. Le récit est fait de multiples digressions et revisite les méandres d’une enfance. Le ton est drôle, tendre, parfois poignant. Avec une succession de situations comiques, le narrateur conteur, non sans ironie, dit que « le monde est finalement une dégueulasserie injuste et méchante « . « L’histoire de Mr Sommer » sera racontée comme un conte dont le personnage principal est la marionnette, Monsieur Sommer en l’occurrence, un personnage qui évoque le temps. A la fois le temps qu’il faut à l’enfant pour grandir, il est aussi l’inconnu, celui dont on ne sait rien, dont on ne connaît ni les origines ni les raisons de ses « interminables marches », et sur lequel le narrateur projette librement ses peurs et ses angoisses, notamment sa claustrophobie, et cela jusqu’à la fin du récit lorsqu’il voit Monsieur Sommer disparaître dans un lac, moment qui pour le narrateur correspond à la fin de son enfance. Nous jouerons sur les formations ou déformations du regard, sur l’absurdité ou la monstruosité des situations, en jouant sur des rapports de tailles, en créant des anachronismes entre les comédiens et les objets, ou les comédiens et les images vidéo. Les deux comédiens seront tantôt narrateur tantôt personnages du récit, par le biais du théâtre d’objets, et par un jeu distancié qui montrera les personnages sans les incarner complètement. Les comédiens auront des costumes identiques : pantalon, débardeur, bonnet, un maquillage expressionniste, blanc, rouge, et noir. Leur registre de jeu sera burlesque. L’alternance entre la langue française et la langue allemande (avec surtitrage) se fera selon la rythmique du texte, le choix de la narration en langue allemande justifié par la musicalité de la langue et sa portée romantique, notamment les scènes de rêverie du narrateur, lorsqu’il décrit son rêve de voler, de grimper et de vivre dans les arbres. La régie sera le plus autonome possible, intégrée dans la scénographie. Câbles, table de régie, vidéo projecteur, deviennent une sorte de cabane ou de refuge d’où la narration arrive. La musique de la pièce sera principalement jouée par un violoncelle, mais également une basse électrique. Le thème sera basé sur « Der Wanderer » de Franz Schubert, déformé, décomposé et recomposé dans différentes variations accompagnant la marionnette par un leitmotiv, dans une ambiance en clair obscur, rock et obsédante.

L’élément scénographique principal est une armoire sans fond de laquelle seront sortis,

-­‐ La marionnette de Monsieur Sommer, de la taille de 1,20m environ, -­‐ Une tête de cheval de taille réelle, fabriquée en papier et autre matériau, -­‐ Un vélo, -­‐ Un piano miniature, -­‐ Des figurines.

La marionnette évoque le temps, son pas évoquant les aiguilles d’une montre, une fois sortie d’une valise elle même sortie de l’armoire, elle devient omniprésente. Elle est le personnage principal et le fil conducteur du récit. L’armoire sera légère et déplacée à vue pour transformer l’espace de jeu, devenant tour à tour chambre, porte, table, elle est aussi le support de projection des images vidéo. Les images seront narratives et feront partie du souvenir, elles interagiront avec le jeu des comédiens et seront projetées sur la porte et à l’intérieur de l’armoire :

-­‐ jeune fille dont le narrateur est amoureux, -­‐ courses de chevaux, -­‐ immersion dans l’eau.

L’espace scénique minimum est de 5 x 6 m. Nous aimerions jouer le spectacle dans des salles équipées mais également en collèges et lycées, bibliothèques et médiathèques, d’où l’idée d’une régie autonome. Esquisse :

Extrait n° 1:

Il n’allait rien porter, il n’allait rien acheter. Son sac à dos était vide et le demeurait, à part son casse-croûte et son ciré. Il ne se rendait ni à la poste ni aux services administratifs du chef-lieu, il laissait toute cela à sa femme. Il ne rendait pas non plus de visites et ne faisait étape nulle part. Lorsqu’il allait à la ville, il ne s’arrêtait pas pour manger quelque chose ni pour boire un verre, il ne s’asseyait même pas sur un banc pour souffler quelques minutes, non , il faisait demi-tour sur place et filait de nouveau vers chez lui ou Dieu sait où. Lorsqu’on lui demandait : « d’ou venez-vous Monsieur Sommer ? » ou bien « où allez-vous ? », il secouait la tête avec impatience, comme s’il avait une mouche sur le nez, et marmonnait quelque chose qu’on ne comprenait pas ou seulement par bribes, comme « …très-pressé-faut-que-je-monte-vers-l’école… tout-de-suite-le-tour-du-lac… que-je-sois-à-la-ville-avant-ce-soir-absolument…très-très-pressé-justement-pas-un-instant… » et avant même qu’on ait le temps de dire « comment ? pardon ? où ça ? » il avait déjà filé à grand renfort de coups de bâton.

…/…

Le père

-­‐ cet homme est complètement fou

La mère -­‐ ce Mr Sommer souffre de claustrophobie.

Eine schwehre Klaustrophobie hat dieser Mann, und das ist eine Krankheit, bei der

man nicht mehr ruhig in seinem Zimmer sitzen kann »

Le père -­‐ Klaustrophobie bedeutet strenggenommen

La mère

-­‐ Dass man nicht in seinem Zimmer sitzen kann. Das hat mihr der Doktor Luchterhand in aller Ausführlichkeit erklärt.

…/… J’imaginai que M. Sommer n’était ni malade ni obligé à rien, mais qu’il courait tout le temps dehors parce que ça lui faisait plaisir de courir dehors, tout comme ça me faisait plaisir de grimper aux arbres.

Extrait n° 2 :

Carolina Kückelmann avait sur la nuque et dans le petit creux entre le lobe de l’oreille et le cou un léger duvet qui, au soleil, brillait sur sa peau et, dans le vent, tremblait parfois tout doucement.

Lundi, je partirai avec toi... Tu mangeras dans ma petite assiette, tu auras le droit de dormir dans mon petit lit. Lundi, je partirai avec toi ! Cette phrase résonnait plus merveilleusement que tout ce que j’avais lu jusque là dans les contes de Grimm, plus merveilleusement que la promesse de la princesse dans Le roi-grenouille, et je comptais les jours avec plus d’impatience qu’Oustroupistache : « Aujourd’hui, je fais le pain, demain je fais la cuisine, après-demain, je prends son enfant à la reine ! »

-­‐ Du ! du gehst doch immer alleine nach Unternsee ? -­‐ Ja -­‐ Du ! Am Montag, da geh ich mit dir…

… J’avais le sentiment d’être à la fois Jean-de-la-chance, Frère Loustic et le roi de la Montagne d’Or. J’avais parcourus la forêt pour sélectionner un itinéraire approprié. Il s’agissait en l’occurrence et en détail de : a) un petit édifice abritant un transformateur de la compagnie d’électricité, d’où

émanait un bourdonnement ininterrompu et dont la porte d’entrée s’ornait d’un écriteau jaune avec un éclair rouge et l’inscription suivante : défense d’entrer – Haute tension – Danger de mort.

b) une collection de sept pommiers avec des pommes mûres c) une mangeoire pour les chevreuils, à vrai dire sans foin en cette saison, mais

en revanche avec un gros bloc de sel, d) un arbre dont on disait qu’un vieux nazi s’y était pendu après la guerre ; e) une fourmilière de presque un mètre de haut et d’un mètre cinquante de

diamètre ; f) et enfin, le bouquet final de cette excursion, un vieux hêtre merveilleux où je

projetais de grimper avec Carolina et, sur une bonne grosse branche, à dix mètres de hauteur, de jouir de la vue sur le lac, de me pencher vers elle et de lui souffler dans le cou.

Planning : Adaptation du texte Avril/mai 2015 : réalisation de la marionnette et recherche des éléments de scénographie, réalisation des vidéos Juin 2015 : Lecture du texte avec l’équipe Juillet 2015 : Casino des Anciens Thermes de Soultzbach-les-Bains (68), accueil en résidence (voir historique ci-dessous) Présentation d’une étape de travail, le 23 juillet 2015, à l’issue de cette période. Novembre 2015 : La Petite Echarde à Didenheim, mise à disposition de la salle du 2 au 11 novembre Mars 2016 : Résidence à l’Espace Grün à Cernay, mise à disposition de la scène et des équipements techniques, du 21 au 31 mars Avril 2016 : Représentations à La Petite Echarde à Didenheim Option : Festival d’Avignon 2016, au théâtre de l’Alibi, rue des Teinturiers

photo de répétition aux Anciens Thermes de Soultzbach-les-Bains, juillet 2015

Historique des anciens thermes de Soultzbach-les-Bains et résidence de l’année 2014 (Extrait d’un document web)

Résidence d'artistes “Sprudelwasser”

Du 21 juillet au 10 août 2014 à Soultzbach-les-Bains en Alsace.

Un projet français, allemand et sud-coréen. Avec la participation de l’O.F.A.J. et de l’Institut

français. Une résidence organisée par Tawan Arun, Jacques et Jean-Paul Roth.

« Les anciens thermes de Soultzbach-les-Bains » est un ancien hôtel de 17e siècle placé au pied

d’une source d’eau gazeuse. Le bâtiment historique comprend des espaces de travail et

d’exposition, des chambres d'hôtes, un ancien casino et un atelier de lutherie. Cet été nous

inviterons 8 artistes et artisans venus d’Allemagne, de France et de Corée du sud pour participer

au programme de résidence “Sprudelwasser”.

Nous accueillons en résidence des créateurs dans les domaines, des métiers tels que : arts

plastiques, musique, dessin, photographie, cinéma, vidéo, arts numériques, danse, performance,

théâtre...

Nous proposons aux invités un espace de travail fertile qui permettra des échanges culturels

et multidisciplinaires ou encore de renforcer le dialogue interculturel entre la France, l’Allemagne et

la Corée. Des possibilités de diffusion, d’exposition et de représentation seront proposées

aux résidents.

La résidence “Sprudelwasser” cherchera à proposer une offre culturelle locale à travers la mise en

place d’une exposition présentée à la fin de la résidence, ou encore à partager l’héritage historique

des Anciens Thermes.

« Un lieu hors normes et hors du temps », DA, juillet 2014

LA COMPAGNIE INDIGO, Fondée en 2008, la compagnie indigo mène des projets théâtraux qui abordent des thématiques de société, notamment femmes en prison, violence faites aux femmes. LE GROENLAND de Pauline Sales, récit d’une mère fugueuse, monologue interprété par Clarisse Hagenmuller, accompagné d’un contrebassiste. Création en 2009, mise en scène de Martin Adamiec, avec Stéphane Clor, contrebassiste. DIS A MA FILLE QUE JE PARS EN VOYAGE, de Denise Chalem, Création en octobre 2010, en coproduction avec l’Espace Ried Brun à Muntzenheim Festival d’Avignon Off 2012, Théâtre des Lucioles (Mise en scène de Josiane Fritz Pantel) Mars 2011, Les Tanzmatten à Sélestat Novembre 2013, Espace Henri Matisse à Mulhouse Avril 2014, Espace Culturel de Villefranche-de-Rouergue, 2014, ANVP 67, Strasbourg, L’Illiade à Illkirch Graffenstaden en décembre 2014. LA MENAGERIE DE VERRE, de Tennessee Williams, création en octobre 2012 en coproduction avec les Tanzmatten à Sélestat, à l’issue d’une résidence de quatre semaines, mise en scène de Martin Adamiec. Reprise aux TAPS SCALA en mai 2014. ROUGE DEFINITIF, d’après « Ecchymose » d’Anne Monteil Bauer, création en novembre 2014, en coproduction avec les Tanzmatten à Sélestat, un spectacle sur le thème des violences envers les femmes, mêlant vidéo et chorégraphie. L’EQUIPE DU PROJET Clarisse HAGENMULLER, comédienne et directrice artistique de la compagnie indigo Elle a fondé la compagnie indigo en 2008, et produit la même année un spectacle intitulé « Le Groenland » de Pauline Sales, avec Stéphane CLOR à la contrebasse, mis en scène par Martin ADAMIEC. Elle joue dans « Dis à ma fille que je pars en voyage » de Denise CHALEM, spectacle présenté au festival d’Avignon en juillet 2012 au Théâtre des Lucioles. Elle a joué sous la direction de Dominique GUIBERT (Cie Pandora) de 1995 à 2000, puis avec la Cie Quartier Rose, dans « Une heure avant la mort de mon frère » de Daniel KEENE, « L’épreuve du feu » de Magnüs DALSTRÖM, « Exercices de Tolérance » de Abdellatif LAÂBI, sous la direction de Fernando PATRIARCA. Elle a travaillé avec : la Cie El Paso (Mulhouse), le Cie des Autres (Mulhouse), la Cie Courant d’ères (Strasbourg), la Cie Oxalys (Bruxelles), le Conservatoire de Musique de Colmar Clarisse HAGENMULLER est également médiatrice artistique, formée à L’ INECAT à Paris (Institut National d’ Expression, de Création, d’ Art et de Transformation), pendant 4 ans, sous la direction de Jean-Pierre Klein, médecin psychiatre et auteur dramatique, directeur du Théâtre de la Réminiscence. Elle pratique le Théâtre Forum au sein du collectif En Filigrane, en imp, impro, chantiers d’insertions (Emmaüs, Tremplin 67 et 68, Régie des Ecrivains, etc). Par ailleurs, elle mène des ateliers de pratique théâtrale auprès de publics divers.

Quentin LEMAIRE, comédien, marionnettiste Plongé avec passion dans le théâtre en 1995, Quentin Lemaire a multiplié les expériences et les formations. Il exerce depuis plus de quinze ans les métiers de régisseur lumière, comédien et metteur en scène. En 2004, il a rejoint le théâtre de marionnettes Fois rien pour des créations présentées notamment aux festivals des Giboulées (TJP Strasbourg) et de Charleville-Mézières (Festival Mondial de Marionnettes) ou dans les Régionales (Agence Culturelle d’Alsace). Stephane CLOR, musicien et plasticien Stéphane Clor est un musicien et plasticien vivant à Vienne. Il joue de la contrebasse, du violoncelle ainsi que de la musique électroacoustique particulièrement dans le contexte des musiques improvisées et musiques nouvelles. Ses recherches investiguent les dimensions spatiales et temporelles du son, du mouvement et de l’improvisation. Il programme aussi des systèmes interactifs pour des installations ainsi que pour des performances visuelles et sonores. Il travaille aussi comme pédagogue notamment autour des musiques assistées par ordinateur. stephaneclor.net

Contact compagnie :

Clarisse Hagenmuller 06 83 54 34 79

[email protected] www.théâtre-indigo.com