Les légendes du groupe 602
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Les légendes Du Québec ou d’ailleurs, de la chasse galerie à une
histoire de Patagonie, des légendes furent lues,
racontées, relatées.
À partir d’une carte du Canada, des sujets furent
choisis, des histoires composées, illustrées.
Voici les légendes du groupe 602
Bonne lecture!
La légende Happy Valley
par Alexandre
Jadis, il y a tellement longtemps que l’on ne peut plus compter les lunes, vivait une tribu
appelée les Mots- Yeurks. Ils vivaient de la chasse, la pêche et de la cueillette.
Mais un jour, une terrible sécheresse s’abattit sur tout le pays. Le chef des Mots-Yeurks,
Piaf, décida de déménager la tribu car les lacs et les rivières s’étaient évaporés. La forêt
cessa d’être irriguée, toute verdure a dépéri et les caribous avaient fui. Les Mots-Yeurks
ne subsistaient que grâce à quelques racines sèches.
La tribu commença alors une longue marche vers le Nord du pays. Beaucoup moururent
de faim, de froid et de fatigue. Les derniers survivants découvrirent une vallée fertile près
de la mer, bordée par une forêt de conifères. Au centre de la vallée se trouvait une prairie
remplie d’herbes hautes et d’arbustes. Mais, il y avait aussi des bêtes étranges, affublées
d’une épaisse fourrure et de cornes.
« Oh! Mais que vois-je, là-bas au loin? » Hurla Marcassin-Rouge. « Des caribous! »
Marcassin-Rouge, Bec-D’oie et Postérieur-De-Putois partirent donc traquer le gibier.
Pendant ce temps, le reste de tribu installa le camp. Un jour et une nuit passèrent sans que
le groupe ne revienne. Inquiet, le chef décida de partir à leur recherche. Il suivit les traces
qui le menèrent à des traces de bataille. Des flèches étaient éparpillées, des arbres avaient
été fracassés et cassés, des flaques de sang jonchaient le sol et, le plus étonnant, étaient
les empreintes de pas d’hommes géants qui avaient martelés le sol. Il suivit les traces qui
le conduisirent à une clairière où un campement rudimentaire était monté et comprenait
deux GÉANTS!!! Hideux, gigantesques : près de quatre mètres de haut et là? Les
cadavres de ses amis rôtis et prêts à être mangés. Il continua d’observer les géants et revit
les créatures à cornes. Il comprit qu’elles appartenaient aux géants. Soudain, Piaf se
souvint d’une gravure ancestrale les représentants. Ils s’appelaient les mammouths et
étaient très dangereux. Il avait appris que les géants faisaient du lait et du fromage et
qu’ils les montaient comme un homme ferait avec un cheval. Il vit que les géants et les
mammouths n’étaient pas très intelligents.
Il courut avertir la tribu du danger qu’elle courait. En revenant, il vit plusieurs autres
feux. Cela voulait dire qu’il y avait d’autre mammouths et géants. En arrivant au village,
il convoqua une assemblée et il fut décidé d’exterminer les mammouths à l’aide du plan
qu’ils concoctèrent. Le lendemain matin, toute la tribu alla sur le bord du lac et hurla.
Une douzaine de géants sortit de la forêt et avança d’un pas décidé vers la tribu. Mais les
géants durent battre en retraite car la tribu offrait une bonne résistance. Ils entendirent
alors le son d’un cor et tous les géants et mammouths arrivèrent. La tribu profita alors de
la confusion pour filer aux rives boueuses du lac et s’enfuir en canot. Les géants
montèrent sur les mammouths et les pourchassèrent. Sous leurs propres poids, ils
s’enlisaient et avançaient avec difficulté. Les mammouths savaient nager, mais sous le
poids des géants ils coulèrent et se noyèrent.
Et c’est depuis ce jour que la tribu des Mots-Yeurks vit paisiblement dans cette vallée
baptisée la vallée joyeuse ou Happy Valley.
La rivière des Outardes par
Casandra
À l’époque, un petit garçon nommé Jean-Guy se promenait proche de la rivière et
observait les outardes qui se baignaient. Puis le garçon s’ennuya des outardes car elles
étaient parties. Jean-Guy voulait aller rejoindre les outardes dans le sud du ciel.
Il se fabriqua des ailes d’outardes; elles étaient faites de plumes et de miel. Il essaya
plusieurs fois de voler, mais il s’écrasa face première sur le gazon. Il essaya encore
plusieurs fois de voler et finalement, il réussit. Il chercha, chercha les outardes, en vain.
Un ours le vit. Jean-Guy essaya de fuir, il commença à voler mais ses ailes étaient mal
installées. Malgré cela, il réussit à se sauver. Il alla vers le sud, toujours. Sans rien
trouver, il décida d’aller se reposer après ses cinq heures de recherches. Le lendemain
matin, il se leva et fit sa routine du matin. Il décida d`aller encore chercher les outardes.
Malheur! L’ours les avait trouvées avant lui. L’ours les avait mis dans l`eau. Depuis ce
temps-là, nous appelons la rivière la Rivière des outardes
Village de Owl
par
Wendy
À l’époque, dans un village lointain, les hiboux bruns signifiaient la force. Chaque grand
homme du village en voulait un. Un jour, tous les hommes décidèrent de partir à la chasse
pour montrer qu’ils étaient les hommes les plus forts du village. Un seul homme revint de
la chasse. Quelques jours plus tard, les villageois se sont rendus compte que les hommes
disparus étaient allés dans la forêt sombre.
Tout le monde disait que c’était l’homme qui était revenu qui les avait tués. Depuis ce
temps, les villageois l’accusaient de tous les meurtres qui se passèrent dans le village. Un
jour, un petit garçon est allé dans la forêt chercher les hommes, car un de ces hommes
était son père.
Lorsqu’il fut arrivé dans la forêt, il remarqua que c’était un endroit effrayant. Il resta dans
la forêt pendant trois semaines mais il ne trouva aucune trace de son père.
Finalement, il décida de quitter cette forêt effrayante. Le garçon, sans avoir trouvé son
père, reparti le cœur brisé dans son village. La marche vers son village l’épuisa tellement,
qu’il s'évanoui. Lors de son réveil, il s’aperçut qu’il s’était évanoui dans une grotte.
Cinq minutes plus tard, il entendit un son d'hibou, le garçon suivit le son jusqu'à qu'il
aperçoive le hibou. L'animal guida le garçon hors de la grotte. Le garçon remarqua qu'il y
avait un homme perdu. Il avança vers lui et lui dit « Allo, mon nom est Arthur,
connaissez-vous le chemin vers le village proche d'ici? » L'homme répondit : « Oui, je
viens de-là. » Arthur était très content d’apprendre cela, mais il se demandait comment il
avait fait pour se rendre jusque-là.
Arthur et l'homme commencèrent à discuter. Après des minutes de discussion, l'homme
lui demanda : «Que fais-tu ici petit?» Le petit répondit : « Je cherchais deux hommes du
village parce qu'ils étaient partis à la chasse et ils ne sont pas revenus. »
Arthur demanda à l’homme : « Veux-tu que l’on retourne au village ensemble?» Il
répondit « Non merci, je veux rester et explorer la forêt. »Quand Arthur retourna au
village, il dit « arrêter d’accuser cet homme, il est innocent. »
Alors, depuis ce temps l'homme avait prouvé qu'il était le plus fort car il a reçu le hibou.
Tout le village a donné un grand respect à l'homme, car il faut être brave pour avoir le
hibou et c'est grâce à cela que le village se nomme le village du hibou.
La légende de Joutel par
Ichrak
Il y a très longtemps, dans un village heureux, vivait une fille appelée Eva Joutel. Elle est
vraiment triste car son père est jaloux de la famille Margon parce que leur fille avait
trouvé de l’or dans une mine et ils étaient devenus riches et connus dans le village, et son
père lui dit toujours : «Eva, tu n’as rien à faire dans le village! ».
La nuit, Eva dort et rêva que le village allait bientôt avoir de très graves ennuis. Tout-à-
coup elle se réveille toute essoufflée ! Elle donne toute son énergie pour trouver ce
qu’elle doit faire pour sauver le village.
Le début du jour commence, les oiseaux chantent, le soleil montre ses rayons, les enfants
jouent et crient, elle ne voudrait pas que tout cela disparaisse. Donc, elle va chez un
sorcier qui prédit le futur et Eva commence à expliquer qu’elle avait senti qu’il y aurait
des ennuis pour le village ! Alors le sorcier dit qu’Eva fera preuve d’un grand courage car
elle va sauver le village.
Eva lui demande comment elle va faire, le sorcier lui dit : « C’est à toi de le découvrir! »
De retour à la maison, Eva voit son père, un homme et une femme, Eva dit : «C’est qui?
» Son père répond : «Ce sont tes nouveaux parents, je t’ai vendue! Eva est remplie de
chagrin. Son père lui explique pourquoi il a fait cela. Il a su qu’elle est allée chez le
sorcier et qu’elle a senti des sentiments tristes pour le village.
Donc, il a décidé de partir dans un autre village le lendemain. Eva a couru vers sa
chambre, elle s’allonge sur son lit et elle sortit ses plus tristes larmes de son corps.
Le jour suivant arriva, Eva se réveille à cause de la sonnette, elle descend les escaliers et
voit trois valises et son père qui parle avec les deux personnes qu’elle a vu hier. Son père
dit: « Bonjour Eva! Voici tes parents! Je dois partir, le train m'attend. Au revoir! ». Il
prend ses valises et il se dépêcha de partir.
Le soir arrivé, Eva assise dans sa nouvelle maison entend toutes les personnes du village
crier. Elle sort dehors en courant et voit une boule de feu, elle sent que quelque chose de
bien grave va se passer. Elle essaie de prévenir les autres, mais ils ne veulent pas
l'écouter. La météorite s'écrase sur le terrain vague, le feu s'allume.
Eva s'approche et elle se dit: « Je voudrais tant sauver mon village que je donnerais ma
vie ». La météorite disparaît et Eva aussi. Les villageois ont regretté de ne pas avoir pris
le temps d'écouter la jeune fille et depuis ce jour-là, le village se nomme « Joutel ».
La légende de la rivière aux feuilles par Lili
Il y a longtemps, dans un village vivaient une jolie fillette nommé Alizée, son père Jack
et sa mère Marie. Le village était tout près d’une petite rivière nommée la rivière de la
bouette. Tous les villageois détestaient ce nom. La chose bizarre là-bas c’est que les
feuilles ne tombaient jamais; plusieurs personnes sont mortes sans avoir vu de feuilles
tombées sur le sol de leur vie! Le village était sans couleur. Le rêve de tous les
villageois était de changer de village. Mais personne ne pouvait déménager car personne
n’avait d’argent.
Un matin, Marie criait à la fenêtre «Nous ne pouvons pas déménager si nous continuons
ça» Alizée cria à son tour «Ma mère dit la vérité! Mais pour réussir il faudrait travailler!»
Jack cria «Nous allons commencer par construire une école! Demain nous ferons une
réunion au grand pré!» Le lendemain soir, tout le monde arriva au grand pré avec chacun
leur torche. Jack demanda «Qui aurait des briques? » Une petite fille dit «Moi z’ai une
brique » 1 an plus tard Jack réussi à avoir assez de briques pour construire une petite
école.
Un beau matin Marie se réveilla et alla réveiller sa fille Alizé «Alizée chérie réveilles
toi!» Alizée se réveilla et dit «Nous pourrions faire un bon p’tit déjeuner à papa» Marie
dit «ok» Alors les deux préparèrent un déjeuner. Rendu à la chambre elles entrèrent.
Marie dit «Jack réveilles toi» Mais Jack ne se réveillait pas! Il était mort car il avait trop
travaillé pour la construction de l’école! Marie et Alizée en sanglots, se frappaient la tête
contre le mur. Au souper elles ne mangeaient plus.
Marie était enseignante à la petite école. Par un beau matin, Marie alla chercher des
œufs. Elle alla les porter. Un peu après elle alla enseigner à l’école. Le soir revenu elle
pleurait et pleurait encore. Elle pensait à son mari. Mais elle dit «passons à autre chose»
Par un beau matin, Alizée gambadait dans le grand pré avec son ami Thomas (le nouvel
arrivé dans le village). Alizée vit une feuille tombé pour la première fois de sa vie. Car il
n’y avait jamais eu d’automne dans ce petit village et Thomas était arrivé avec l’automne
dans sa valise! Depuis ce temps la rivière aux feuilles a été rebaptisée la rivière aux
feuilles!
Trois-Rivières par
Aurélia
Autrefois, il y avait un petit village qui s’appelait Sainte-Ursule. Il était situé entre deux
rivières qui se rejoignaient un peu plus loin vers le bas du village.
En novembre, il était défendu aux pêcheurs d’aller marcher ou patiner sur les lacs gelés.
Mais à chaque année, trois hommes y allaient pour nourrir leur grande famille. En 1850,
les trois hommes décidèrent de se réunir au mois de novembre pour aller pêcher sur les
lacs glacés.
-Demain nous irons aux lacs, pour ce soir nous dormirons ici.
Le lendemain matin, ils commencèrent à plier bagage. Marcus le plus vieux des trois
propose qu’ils s’arrêtent ici pour manger une bouchée avant d’aller aux lacs.
Malheureusement l’auberge était tellement bondée qu’ils durent repartir. Après un long
chemin à regarder le paysage, ils furent enfin arrivés aux lacs. En après-midi, ils
commencèrent à défaire leurs bagages.
La charrette devenait de plus en plus légère. Tout le poids de la charrette et de
l’équipement était posé sur la glace assez fragile car cela ne faisait pas si longtemps
qu’elle était là.
Mais, les trois pêcheurs ne se doutaient de rien, tout était paisible et calme. Soudain,
Marcus le plus vieux des trois entendit un gros CRAQUEMENT!
-Les gars, ne bougez plus! La glace est en train de craquer! cria-t-il d’un ton ferme!
Les deux autres, assez inquiet ne bougeaient plus. Marcus a dit à l’un de ses camarades
de lui donner sa pipe pour qu’il fume une dernière fois dans sa vie. La pipe se trouvait à
l’arrière de la charrette. Le camarade était tellement stressé qu’il fit tomber la pipe sur la
glace. La glace se cassa en mille miettes.
C’est alors que les trois hommes tombèrent dans la glace et y restèrent jusqu’à la fin des
temps.
Quelque jour après les villageois appelèrent les lacs Trois-Rivières.
La légende du lac à l’eau Claire! par
Clara Dans un village nommé Nastapoka vivait une petite fille appelée Claire. Elle vivait avec
ses parents dans une belle petite maison sur le bord du lac Kogaluc. Claire rêvait de se
baigner dans le lac, mais elle ne pouvait pas pour une raison qu’elle ignore.
Un matin, pendant que ses parents cultivaient les légumes dans le jardin, elle alla voir son
grand-père.
- «Grand-père pourquoi je ne peux pas aller me baigner dans le lac?»
- «Parce qu’à l’intérieur de toi et de tes pieds il y a quelque chose de magique.»
Le lendemain matin, la fillette se rendit au lac. Elle enleva ses chaussures. Juste avant
qu’elle mette le gros orteil dans l’eau du lac, sa mère arriva.
- «Claire tu seras privée de dîner. Tu ne m’as pas écoutée.»
Une semaine plus tard pendant qu’elle faisait les courses avec sa mère elle aperçue le
voyageur du village. Elle alla le voir et lui dit :
- «Bonjour est-ce que je pourrais vous parler un instant?»
- «Mais oui ma petite comment t’appelles-tu?»
- «Je m’appelle Claire et je me demandais pourquoi je ne peux pas me baigner dans le lac
comme tout le monde?»
- «Parce que tu es la seule petite fille du village et que tu as un grand cœur.»
Elle se retourna et alla rejoindre sa mère dans l’allée des fromages et des charcuteries.
Trois semaines plus tard, en jouant dans son jardin, la fillette s’aperçue que les plantes
avaient l’air d’avoir soif. Elle prit l’arrosoir et alla le remplir sur le bord du lac. Au même
moment, son père dévalait l’allée pour empêcher sa fille de toucher à l’eau du lac.
- «NON! Tu ne dois pas prendre l’eau du lac pour arroser les plantes du jardin, sinon elles
vont toutes mourir.»
Dans la soirée, la fillette retourna sur le bord du lac et trempa ses pieds dans l’eau. L’eau
devint soudainement d’un clair éclatant. Cela fit aussi un gros bruit aigu, réveilla ses
parents. Mais quand ils arrivèrent, il était déjà trop tard la fillette s’était transformée en
sirène.
C’est depuis ce temps que le lac s’appelle le lac à l’eau claire et une sirène y règne depuis
longtemps.
Lac du Bonnet
par Adrian
Autrefois, les gens racontaient que dans le Lac du Bonnet vivait une femme très folle et
dangereuse. Pendant que les enfants ramassaient des coquillages, elle s’approchait d’eux
et leur tranchait la tête! On dit aussi que ces coquillages étaient en diamant et que cette
femme avait pour mission de les protéger. Selon la légende, si quelqu’un mangeait
l’intérieur d’un de ces coquillages, elle restait pour toujours! Elle connaîtrait la vie sans la
mort. D’ailleurs, la folle, pensait-on, avait peut-être près de mille ans!
On raconte aussi qu’un groupe d’enfants qui n’y croyait pas sont allés en voler. Ils étaient
dix et il y avait un seul coquillage. Le premier se précipite dessus et ses amis lui disent
d’arrêter mais il continue… on entend un cri et c’est tout…
Les neuf autres allèrent voir ce qui se passait et ils ont retrouvé son corps sans tête. Ils
eurent vraiment peur et ils ont commencé à courir comme des fous! La femme, énervée
par ces bruits sortit de l’eau et attrapa une autre victime à qui elle trancha la tête et
l’accrocha à son chandail comme un trophée.
Tout le monde est resté sans mots. Devant eux, au loin, ils virent la femme parler à des
loups en pointant vers eux. Ils commencent à courir. Ils étaient trois et fixaient leur cible
et sautaient sur trois enfants et les retiennent par terre. Mais ils ne les mangent pas. La
femme arrive et les tire dans l’eau et les tue.
Les cinq derniers foncent sur le coquillage mais un piège les attend, devant eux. Il y a des
branches et des feuilles. En dessous de tout ça il y a un grand trou très sombre. Ils ont vu
le piège et sautent par-dessus. Le premier réussi, le deuxième aussi, le troisième saute un
peu trop tôt et tombe dans le piège. Les deux autres sont restés figés et en arrière d’eux la
femme arriva et les pousse dans le piège.
Les deux derniers foncent sur le coquillage le premier l’attrape et le lance sur la femme.
Celle-ci commence à s’illuminer et se transforme en poussière.
Ensuite il eut une grande explosion inoffensive aux humains et tout ceux qui sont morts
revinrent à la vie sans se rappeler de quelque chose. Notre héros prend le coquillage et le
jette dans l`eau. Le coquillage créa une petite explosion et disparu…
Fox par
Manuela
Dans un village lointain, chaque jour les villageois restaient enfermés dans leur maison,
car souvent des loups venaient attaquer leur village. Les gens avaient tellement peur
qu’ils n’osaient plus sortir de chez eux. Un jour, un renard découvrit le petit village. Le
renard était roux avec les yeux bleu pétillants, mais les villageois se méfiaient. Ils
pensaient peut-être que c’était les loups qui l’avaient envoyé. Le renard se sentait seul
mais il était très intelligent alors il cogna à une porte. Les gens étaient terrifiés. Le renard
se demandait s’il y avait quelqu’un, il ouvrit la porte en poussant avec sa tête. Les gens,
terrifiés, se cachèrent. Soudain, un homme sortie de nulle part avec un balai et pourchassa
le renard. Le renard affolé sortit de la maison.
L’homme voulut encore le pourchasser mais quand il sortit, il y avait une meute de loups
qui était là. Il ferma la porte et laissa le renard dehors avec les loups. Le renard très
intelligent eut une idée. Le renard n’était pas l’ami des loups, il voulait juste sauver le
village. Le renard très intelligent construisit un enclos très grand pour que les loups soient
piégés. Le renard se promena devant les loups et tous partirent après le renard. Le renard
alla vers l’enclos et le renard se tassa et les loups qui courraient encore entrèrent dans
l’enclos. Tous se retournèrent, mais le renard arriva à temps et ferma la porte de l’enclos.
Pour la première fois depuis dix-ans, les villageois sortirent dehors. Ils allèrent vers le
renard. Les villageois accueillirent le renard. Le renard très content resta des jours. Un
jour, un loup pas très content réussit à détruire l’enclos.
Quand les villageois virent ça, ils se sont tous enfermé dans leurs maisons. Le renard était
très intelligent et il n’avait pas peur. Il eut une autre idée. Il attacha une corde à un
poteau, le loup courut et s’accrocha. Le renard mit la corde autour du cou au loup, le loup
tellement fâché griffa très fort le renard. Il avait tellement mal qu’il tira vite la corde
avant de s’effondrer. Le renard par terre avait très mal. Tous allèrent le voir et essayèrent
de l’aider.
Mais, c’était trop tard, il avait une trop grosse blessure. Tout le monde savait qu’il allait
mourir, mais au moins il avait sauvé le village. Depuis ce jour, on appela le village Fox
en l’honneur du renard.
Rivière-du-Loup par
Jasmine
Jadis, dans un ancien village indien au sud du Québec nommé « Kenwinich », vivait une
immense meute de loup gris. Cette meute fut reconnue par le nom « Rekich », qui veut
dire : prudent. Elle est nommée de cette façon car tous les loups de cette meute étaient
très prudents quand ils allaient à la guerre.
Mais, il y avait un petit problème. Au cœur de la forêt profonde du village, coulait une
rivière étincelante, brillante, magnifique mais qui cause tant de danger. Il y avait
énormément de décès qui se produisait dans cette rivière car celle-ci était trop creuse.
Alfie, le petit loup de la meute était très curieux. Ses parents lui avaient interdit de nager
dans la rivière, bien sûr. Alfie est maintenant âgé de 15 ans. Tous les jours, il s’assoyait
sur un rocher et admirait la rivière coulé au coucher de soleil. Par une journée ensoleillée,
les « Rekich » partirent à la chasse, laissant Alfie tout seul. Mais le petit loup malin avait
une méchante idée en tête.
La nuit venue, Alfie passa à l’action. Il voulait observer la belle rivière de proche sous
les étoiles. Mais il ignorait qu’à ce moment froid de l’année, les vagues étaient immenses.
Arrivé à cet endroit dangereux, celui-ci fut stupéfait. L’eau était transformée en glace et
les étoiles reflétèrent sur le frasil. Heureux, Alfie sauta sur la glace et faisait semblant de
patiner. Soudain, la glace se sépara en deux et le petit tomba dans l’eau dans un bruit
énorme.
Le mammifère nagea de toutes ses forces mais ne réussit pas à se sauver de la chute. Les
pieds gelés et les oreilles glacées, Alfie avait l’impression de se noyer. L’eau était
tellement forte que le pauvre n’arriva même plus à nager. Tout à coup, l’eau est devenue
brillante, aussi brillante que le soleil. Ça l’a transformé l’eau moins creuse et toute la
glace a fondu. Alfie eu le courage de nager de toutes ses forces et il remarqua une fée.
Celle-ci souriait en montrant ses dents blanches comme la neige. Le loup remarqua que
c’est elle qui a fait de la magie en l’aidant. Alfie hocha la tête pour la remercier et
remonta à la surface.
Le lendemain matin, tout le monde du village fut au courant. Les villageois étaient fiers
de leur premier loup à avoir survécu à la chute de la rivière. Bien sûr que les loups de la
meute d’Alfie étaient fâchés contre lui car il n’a pas écouté ses parents mais en même
temps, ils furent tous très heureux de leur héros.
Aujourd’hui, cette rivière est nommée « Rivière du loup » en l’honneur d’Alfie.
La légende de la grande Rivière de la baleine par
Anne-Lucie
Vous connaissez la grande Rivière de la baleine? Oui? Eh bien, je vais vous raconter comment son nom a été nommé.
À l’époque, ce n’était pas une rivière mais bien un petit village nommé Vailly. Il n’y
avait pas beaucoup de personnes, une ou deux dizaines, pas plus.
Un jour, une petite fille nommée Sylvie, alla acheter des œufs dans le village voisin. Sur
le chemin, elle rencontra monsieur Deschamps, le chef du village, qui lui dit qu’il avait
vu une baleine. Sylvie n’en crut rien, elle avait passé l’âge des histoires. « C’est
impossible monsieur Deschamps, le village est à sec », lui dit-elle. « Si tu le dis Sylvie »,
dit monsieur Deschamps. Elle continua son chemin. Sur le trajet du retour, après avoir
acheté ses œufs, elle croisa son frère qui lui dit, lui aussi, avoir vu une baleine. C’est
louche, se dit Sylvie.
Quelques mois plus tard, alors qu’on ne parlait plus du tout de cette fameuse histoire de
baleine, Sylvie vit une grosse ombre, une très très grosse ombre. Elle s’en approcha et
tomba face à face avec monsieur Deschamps. « Tu vois que c’était vrai, n’est-ce
pas! »dit-il. « Bon c’est vrai, tu viens voir avec moi? » « D’accord dit-il. Ils allèrent voir
la baleine ensemble. Elle était desséchée. Monsieur Deschamps dit à Sylvie, « Va
chercher de l’eau et aussi, va avertir les gens du village. » « D’accord, je vais apporter le
plus d’eau possible », dit Sylvie. Peu de temps après, tous les gens du village étaient
réunis autour de la baleine. Monsieur Deschamps dit : « Nous allons transformer notre
village en rivière pour la baleine et nous allons aller vivre dans la forêt, je veux que cette
baleine vive et se sente bien ici. »
Quelques jours après, la rivière était creusée et la baleine nageait dans l’eau paisiblement.
Monsieur Deschamps dit alors : « Puisque nous avons creusé cette rivière, nous allons lui
donner un nom: la grande Rivière de la baleine. » C’est comme ça que vint son nom.
Aujourd’hui, la grande Rivière de la Baleine existe encore et de nombreuses baleines
nagent dans cette dernière.
Jasper Par
Marianne
Autrefois, un petit garçon nommé Jasper habitait avec sa pauvre famille affamée. Chaque jour, il
allait à la grande rivière pour prendre de l’eau. Avec prudence il la puisait, car s’il avançait d’un
pas de plus ‘’Plouf’’ il tomberait dans l’eau glaciale. Quand il était petit, son père était parti à la
guerre pour ne jamais en revenir. Depuis ce temps, Jasper doit aider sa mère.
Un jour, il alla chercher de l’eau, mais il s’en approcha un peu trop et soudain il tomba dans l’eau.
Cela lui importait peu que ses vêtements soient mouillés. Le vrai problème était qu’il ne savait
pas nager. Par chance, il toucha très vite le fond de l’eau pour s’en expulser vers la surface. Elle
était glacée. Il prit le seau d’eau, et repartit chez lui comme si rien ne s’était passé. Quand il arriva
chez lui, sa mère faisait le souper et ses petites sœurs se chamaillaient. Sa mère prit le seau et
l’ajouta à sa soupe. Une odeur parfumée parcourue la pièce. ‘’À table’’, dit-elle. Ils se régalèrent
de ce peu de soupe.
Après le souper, Jasper alla chercher son bon ami Albert pour jouer au hockey. Ils allèrent aussi
chercher l’ami, de l’ami, de l’amie, de l’ami etc… Après une longue partie de hockey, ils se
rassemblèrent chez Jasper. Sa maison était toute petite alors ils étaient tous coincés. Finalement,
ils décidèrent de rentrer chez eux. Cet endroit était vraiment trop petit, dit Albert. Jasper alla se
coucher pour une bonne nuit de sommeil.
Pendant la nuit, il se réveilla croyant avoir entendu un bruit bizarre venant du salon. Il marcha sur
la pointe des pieds jusqu’au salon pour ne pas qu’on le repère. Il prit son bâton de hockey et…
‘’Paf’’ il assomma la personne qui était devant lui. Il alluma la lumière aveuglante, mais ne put
reconnaitre le visage de l’affreux homme. Le lendemain matin, il alla annoncer à tout le monde sa
grande prouesse car c’était le bandit qu’il avait vu sur un papier en tombant dans le lac. Il avait
dévalisé toute une banque à lui seul.
Il eut le meilleur petit déjeuner au monde et devient policier, ce qui fit gagner de l’argent à sa
famille. Il fit construire un puits et ne vécut plus jamais dans la pauvreté. C’est donc pour cela
qu’ils ont appelé le village "Jasper".
Fox Par
Maeva
Il y a très longtemps, les renards étaient les maîtres de la forêt. Près de cette forêt, se
trouvait un petit village pauvre avec peu d’habitants.
Il n’y avait plus de nourriture, donc les villageois décidèrent d’aller chasser dans la forêt.
Devant eux, il y avait une grande meute de renards et personne n’osait dire un mot. Les
renards s’approchèrent d’eux puis s’enfuirent. Les villageois continuèrent leur chasse
puis les renards sont revenus avec un gros caribou. Les villageois les remercièrent et
retournèrent à leur village.
Peu de temps après, un villageois qui cherchait de la nourriture dans la forêt, vit une
tanière géante. De la tanière, sortit le diable qui lui demanda pourquoi il le dérangeait. Le
villageois répondit qu’il cherchait de la nourriture. Alors, le diable lui proposa un pacte :
il n’allait jamais manquer de nourriture, il n’avait qu’à dire oui. Le villageois accepta sur
le champ puis repartit chez lui. Mais, le diable avait oublié de lui dire qu’il y avait une
condition : son village serait inondé par une violente tempête. Car, comme vous le savez
le diable est cruel.
Les nuages devenaient de plus en plus gris, le vent s’élevait et la pluie commença à
tomber. Les villageois se réfugièrent dans leur maison. Dans la forêt, les renards sentirent
la grande tempête qui approchait puis ils virent les villageois en difficulté. La meute au
complet alla aider le village. Quelques-uns s’occupèrent des enfants tandis que d’autres
aidèrent les adultes à protéger le village. Le reste de la meute prit des seaux et vida l’eau
des maisons.
Soudainement, la tempête s’arrêta, il n’y avait plus un seul nuage car le soleil régnait
dans le ciel. Tout le monde se demandait ce qui se passait. C’est à ce moment qu’un
renard arriva de la forêt. Il avait tué le diable. Alors, depuis ce temps, ce petit village
s’appelle Fox en l’honneur des renards.
Il était une fois… par
Dorian
Chapitre 1 : Dans le passé
À l’époque, dans une ville de la province de Québec « Wasnanipi », les habitants étaient
joyeux chaque jour et se racontaient des histoires incroyables autour du feu où tous les
gens se réunissaient chaque soir.
Trois frères de la famille Wasnanape décidèrent de faire une tradition chaque soir.
Mais l’un des trois se pensait tellement fier d’avoir eu cette idée, qu’il exagérait un peu
trop dans ses contes. Par exemple, il disait des menaces à propos des autres. Alors il fut
chassé par la famille et par la population. Il décida d’aller chez le diable et de prendre sa
place pour conquérir l’enfer.
Sa première idée fut de jeter une malédiction sur Wasnanipi.
Chaque fois que quelqu’un commençait à raconter une histoire qui commence par « il une
fois… », un monsieur arriverait chez eux et les emmènerait chez le diable.
Alors, ceux qui continuèrent à raconter des contes furent emmenés en enfer et n’en
revinrent jamais.
Pendant 500 ans, plus personnes ne se regroupa et la ville était très pauvre, très très
pauvre.
Chapitre 2 : Le malaise
Jusqu’à ce qu’une famille arriva dans la ville pour déménager. Et elle ne savait pas
qu’une malédiction était lancée sur le peuple. Et un soir, la femme raconta une histoire à
son fils pour l’endormir et elle commença par : << Il était une fois…>>. Le monsieur
arriva mais il n’avait jamais rencontré cette famille.
Il prit leur fils et laissait une dernière chance aux parents de ne plus raconter d’histoires
s’ils ne veulent pas mourir.
Les parents étaient déçus de perdre leur enfant.
Mais le père ne se laissa pas faire.
Il prit le matériel nécessaire pour le voyage et se lança dans l’aventure pour sauver son
fils.
Chapitre 3 : Méchant piège
Il passait des épreuves dangereuses jusqu’au jour où il arriva chez le diable. Il vivait dans
une maison toute vieille et pleine de poussière. Le père ouvrit la porte et n’entendait
aucun bruit. Il continuait son chemin dans la maison sans faire aucun bruit. Tout à coup,
il retrouve son fils enfermé dans une cage. Le père essaya de le libérer mais le diable
retenait le père par derrière qui fut endormi par son horrible sortilège. Quand il se
réveilla, il vit son fils attaché avec des cordes serrées dans une grande assiette.
Et le diable était prêt à le manger tout cru.
Chapitre 4 : Victoire !
Le père se releva et trouva un arc et une flèche magique qu’il prit et qui tira sur le diable
qui mourra.
Le mal a été vaincu et la malédiction a été détruite.
Le père et le fils rentrèrent chez eux mais le père se demanda comment il eut cet arc et
cette flèche magique par hasard. Mais ça n’avait pas vraiment d’importance, l’important
c’est qu’il retrouva son enfant et Wasnanipi retrouva aussi sa joie d’avant.
Tesmicaming par
Maxime
À l´époque, Témiscaming était habité par des animaux. Témiscaming signifie « cochon
bleu qui se noie dans une rivière ». Témiscaming se nomme comme cela, une légende
explique pourquoi, alors la voici.
Un jour une truie et un cochon se rencontrèrent dans la boue, soudainement ils se sont
mariés. Après quelque semaines, enceinte elle va à l’hôpital car elle a perdu ses eaux et
elle a accouché d’un cochon bleu ! On ne sait pas pourquoi il est de cette couleur, mais ce
n’est pas grave.
Ils retournèrent à leur maison, tout heureux d’avoir un enfant.
Après des années, le cochon bleu avait grandi et était devenu un roi dans son village car il
n’était pas comme les autres, il était bleu, brave, généreux, drôle, etc.
Un jour, le cochon bleu va prendre une marche mais soudain il voit un papillon vert et il
commença à courir après-lui. Il continua de courir, il grimpa dans les arbres il s’accrocha
aux branches. Ensuite, sa mère arriva pour lui dire de rentrer à la maison et le petit
cochon bleu lui dit qu’il voulait rester un peu plus longtemps à cause du papillon.
Mais, il aurait dû rentrer parce qu’il avait de la malchance ce jour-là.
Il resta dehors pour jouer et puis là, un autre animal arriva et commença à courir après le
cochon bleu. Il courut et courut et s’enfonça au fin fond de la forêt qui était habitée par de
méchants prédateurs.
La mère du cochon bleu le chercha mais elle ne le trouva pas, alors elle alla le dire à son
mari.
Le cochon bleu était perdu dans la forêt, il y avait un animal qui le poursuivait alors il
avait encore plus peur.
Le père du petit cochon bleu partit à sa recherche dans la forêt mais un malheur arriva au
petit cochon bleu, il y avait une rivière à travers son chemin. Le cochon bleu prit un élan,
sauta dans l’eau et mourut noyé.
Personne ne le retrouva, il disparut pour toujours. C’est la légende de Témiscaming.
Churchill par
Viktoriya
Autrefois, dans un village lointain des blancs, au Nord du Manitoba, personne n’avait
construit d’église. Alors, puisqu’il n’y avait pas d’ordre, tout le monde se comportait de
façon chaotique. Un jour, un jeune homme, qui s’appela Mhec Pal, décida que c’était
assez. Pendant une nuit, il construisit la plus grande et magnifique église au monde! Le
village n’était plus le chaos et il devint le plus populaire au monde!
Après des générations et des générations, un magicien cruel décida de détruire le village.
Quand il était petit, des amérindiens avaient envahi son village. Alors, il voulait que ce
village souffre de la même prédiction. Quand il apprit l’histoire de l’église, il pensa que
s’il la pulvérisait, ça serait la fin du village.
Le magicien partit. Après un peu de temps, il arriva finalement au village. La première
chose qu’il fit c’est demander à propos de l’église. Un jeune homme lui répondit qu’elle
était hors du village, sur une montagne abrupte.
Le magicien, rapidement, courut vers l’église, prêt à la détruire. Mais, le jeune homme
c’était Ghek Pal, l’ancêtre de Mhek Pal. Il courut plus vite que le magicien et mit des
plantes carnivores partout sur la montagne. Quand le magicien approcha de l’église, il vit
les plantes. Il commença, tout de suite à penser à une façon de monter la montagne sans
se faire dévorer par les plantes carnivores.
Après un peu de temps, il eut une idée. Il se mit un sort pour qu’il puisse voler. Arrivé à
l’intérieur de l’église, il vit beaucoup de chandelles et de l’eau qui coula. Immédiatement,
il se sentit épuisé. Il commença doucement à tourner et tomba par terre, endormi.
Soudain, Ghek entra à l’intérieur, prit le magicien et alla loin du village. Il le déposa là et
partit. Il ne voulait pas que le magicien retrouve son chemin. Réveillé par les pas de
Ghek, le magicien se leva debout et le suivi jusqu’au village. Quand le magicien arriva à
l’église, il vit Ghek et le menaça que s’il ne le laissait pas détruire le village, il allait le
transformer en crapaud. Ghek lui répondit que pour éliminer l’église, il fallait creuser un
trou dans la montagne.
Le magicien crut Ghek et commença. Mais, il ne savait pas qu’en dessous de la
montagne, il y avait un grand lac. Quand le magicien réalisa que ce n’était pas vrai,
c’était trop tard. Il se noya et coula au fond du lac parce qu’il ne savait pas comment
nager.
Depuis ce jour, l’église est toujours sur la montagne. Personne n’essaya jamais de
détruire le village à cause de l’histoire du magicien et puisque les habitants du village
parlaient anglais, ils ont nommé le lac Churchill pour honorer Ghek Pal.
Tête-à-la-Baleine Par
Samim
Il y a longtemps, dans un village sans nom, vivaient des gens fous, tellement fous qu’à la
place de marcher normalement ils se promenaient à quatre pattes.
Avant, dans ce village vivaient des gens normaux mais ils ont dû quitter le village car le
village était trop petit, ils croyaient qu’il y aurait suffisamment de place et de maisons
mais hélas, ils ne voulaient pas construire d’autres bâtiments, c’est pour ça qu’ils ont
quitté ce village.
Maintenant les habitants qui vivent dans ce village sont corrects ils n’ont pas besoin de
maison de surplus mais il y a toujours un problème : ILS SONT FOUS !
Un jour, une personne qui se nommait M.Bomper a décidé de visiter ce village car il avait
beaucoup entendu parler de ces villageois. Il se sentait triste pour eux, il voulait faire
quelque chose.
Arrivé au village, il a vu les habitants à quatre pattes, il est resté la bouche grande ouverte
pendant trente secondes.
Il savait que ces gens étaient fous, il pensait faire quelque chose mais il n’a rien pu faire,
alors il a appelé un docteur professionnel pour les problèmes mentaux pour savoir c’était
quoi le problème. Pourquoi étaient-ils fous ?
Le docteur, M. John, est venu et il a répondu à toutes les questions de M.Bomper, il a dit
que c’est probablement à cause qu’ils ont touché à la tête de la baleine magique qui se
trouve ici, dans ce village, dans le grand lac pas loin d’ici.
M.Bomper a été vraiment surpris de savoir qu’il y avait une baleine magique dans ce
village.
Le docteur a dit que pour soigner les habitants, il fallait retoucher à la tête de la baleine
magique et ils redeviendraient comme avant.
Le docteur a dit que pour faire venir la baleine, il faut une canne à pêche et quelque chose
de jaune pour l’attirer.
M.Bomper avait tout ce qu’il fallait, un blé d’Inde et une canne à pêche, alors ils ont
amené tous les villageois au lac, rendu au lac le docteur a placé tous les habitants en ligne
pour bien se préparer à toucher la tête de la baleine, alors après le docteur a lancé sa
canne à pêche et le blé d’Inde à l’eau.
Dix minutes plus tard la canne à pêche commençait à bouger, M.Bomper et M. John ont
fait avancer les habitants et ‘’HOP’’ la baleine toucha tous les habitants avec sa tête.
Les habitants se levèrent tous et se demandèrent tous ce qui était arrivé, M. Bomper et M.
John leur expliqua du début jusqu’à la fin.
Les habitants étaient très contents, grâce à ces deux hommes toutes les personnes de ce
village ont été guéries.
Alors, puisque le village n’avait pas de nom ils ont décidé de l’appeler Tête-à-la-baleine.
La légende de Souris Supérieure par
Félix
Il y a des siècles de cela, un savant fou habitait dans un petit village de la Saskatchewan.
Ce savant faisait plein d’expériences bizarres comme faire pousser des carottes avec du
jus de citron, arracher des membres du corps pour les mettre dans sa potion.
Un jour, le savant fou vit une souris pour la première fois de sa vie. Il décida de la
capturer et la pris comme animal de compagnie, il la nourrissait, il jouait avec, il la
flattait, il l’adorait!
Un bon jour le savant fou alla nourrir sa souris comme d’habitude. Peu après l’avoir
nourrie, il eut une idée : pourquoi ne pas faire ses expériences sur les souris ? Alors, il
alla installer des pièges à souris pour en avoir plus.
Il en attrapa cinq et commença ses expériences sur les souris. La première expérience
était sur sa souris de compagnie. Il voulait voir combien de temps que la souris pouvait
courir sans-arrêts. Le résultat était de 30 minutes, mais malheureusement la souris est
morte d’un arrêt cardiaque.
Le lendemain matin, le savant fou eu le goût de faire une autre expérience. Alors, il alla
prendre une des cinq souris restantes. Il avait le goût de voir combien de litres d’eau une
souris pouvait boire. Le résultat était de un litre, mais malheureusement la souris est
morte car elle a explosée.
Les jours passaient et à chaque jour une souris subissait le même sort que celle qui la
précédait. Un jour, il ne resta qu’une souris. Comme vous vous en doutez, le savant fou
eut le goût de faire une expérience. Comment rendre une souris grande et forte ? Il
rendit la souris grande et forte. La souris tua le savant fou pour venger ses amies souris
et tua tous ceux qui osaient tuer des souris.
Depuis ce temps-là, plus personne ne tue les souris. Tout le monde a des souris comme
animal de compagnie. Maintenant, le village s’appelle « Souris supérieure » car les
souris sont supérieures aux humains. Si vous passez un jour dans ce village, n’amenez
pas votre chat !
La légende de Webequie par
Frozan
Il était une fois, dans un village, une petite fille qui se nommait Yuna et sa mère qui
s’appelait Kaya. Tout le monde était heureux là-bas, sauf en hiver, où tout le monde
avait peur car il y avait un monsieur qui sortait la nuit… Le 1er décembre, la petite fille
alla jouer dehors avec la neige. Une demi-heure plus tard, sa mère cria son nom : « Yuna
entre à la maison. » Sa mère regarde vers la porte et ne la voit pas s’ouvrir alors, effrayée,
Kaya regarda par la fenêtre.
La mère de Yuna avait très peur, mais elle sortit quand même dehors pour la chercher,
elle ne voit, rien à part un bâton rouge avec un bonhomme triste. Tout de suite, elle sut
que c’était le bâton du méchant monsieur. Elle commença à paniquer, Kaya prend son
auto et va chez le monsieur.
Kaya ouvre la porte, elle avance et voit sa pauvre petite fille dans une cage. Sa petite fille
dit: « Maman j’ai soif, donne-moi de l’eau! ». Sa mère avance pour lui donner une
bouteille d’eau, mais le méchant monsieur ne la laisse pas s’approcher! Donc, Kaya dit
au monsieur: « Pourquoi avez-vous pris ma fille? ». Il répond: « Car aujourd’hui, c’est le
1er décembre et le 1er décembre, c’est le jour d’hiver, c’est pour cela que j’ai pris votre
petit trésor! » Kaya était très en colère, elle prit le bâton qu’elle avait dans ses mains et
PAF!, elle a frappé en pleine figure le méchant monsieur. Le monsieur s’est évanoui.
Pendant ce temps Kaya, a pris sa petite fille et s’est sauvée. Depuis ce temps, le monsieur
et devenu gentil et il n’attrape plus les enfants.
La légende de Cumberland House par
Sophie
Il y a de cela un siècle, vivait une jeune fille aux cheveux blonds clairs et aux yeux bleus
ciels qui se nommait Rose Cumberland. Elle vivait avec sa mère dans une chaleureuse
petite maison à l’orée de la forêt. Dans cette forêt, vivait une créature horrible qui
demandait, à chaque année, un enfant à manger sous peine de manger un par un chaque
villageois.
Un matin, Rose et sa mère devaient se rendre à l’église afin que le curé puisse annoncer
le nom de l’enfant choisi pour nourrir la créature.
- «Mère, j’espère que je ne serais pas choisie cette année!» dit Rose en voyant pleins
d’enfants pleurer en se rendant à l’église.
- «Mais non! Ma Rose, il y a tellement d’enfants ici! Tu n’as presqu’aucune chance d’être
choisie.» Lui répondit sa mère tout en essayant de cacher son inquiétude. Rendues à
l’église, le curé s’installa au milieu de l’église et annonça :
- «Bonjour chers villageois! Cette semaine, j’ai eu à prendre une très grosse décision. Je
tiens à dire que j’accorde mes plus grosses sympathies à la famille dont l’enfant sera
choisi. L’an dernier, Victor Lepetit est parti. Cette année, j’ai donc choisi une jeune
demoiselle. La demoiselle que j’ai choisie est superbe et pétillante. Je suis sincèrement
désolé mais, cette année, ce sera… Rose Cumberland qui partira.»
Rose éclate en sanglots dans les bras de sa mère.
- «Non c’est injuste, mère! Je ne veux pas être mangée! S’il te plaît, épargne-moi!»
- «Monsieur le curé!» cria Madame Cumberland.
- «Oui madame?» dit le curé le plus calmement possible.
- «Vous n’avez pas honte d’envoyer un enfant se faire manger à chaque année?» dit la
mère de Rose.
- «Madame! Même si je vous accorde beaucoup de politesse, je vous demanderais
d’accepter ce qui arrive. Voyez la réalité comme elle se présente!» dit le curé, cette fois
moins calme.
- «Vous êtes vraiment…vraiment guignol!» cria Madame Cumberland.
- «Pardon? Sachez qu’on n’insulte pas un curé! Madame, cela peut vous apporter de
sérieux ennuis! Je vous pardonne pour cette fois, mais que cela ne se reproduise plus!» dit
le curé avant de disparaître dans la foule.
Un mois plus tard, Rose alla chercher le courrier et elle vit une lettre à son nom.
- «Mère, j’ai reçu une lettre.» dit Rose en entrant dans la maison.
Sa mère prend la lettre, l’ouvre et la lit à voix haute :
« Rose Cumberland, je vous demande de mettre vos plus beaux habits et de vous
présenter dans la forêt, ce soir à 7 :30. La créature vous y attendra. Mes plus sincères
excuses, bon voyage vers le paradis.
Monsieur Paquette, curé »
- «Maman! Je ne veux pas finir comme cela! C’est de l’injustice! Je n’ai pas mérité ce
sort!» dit Rose, remplie de colère.
- «Ma Rose, je ne veux pas plus que tu partes! Je suis convaincue qu’une jeune fille
comme toi aura une deuxième vie encore meilleure que celle-ci. Mais, rappelle-toi : bats-
toi! Crie, pleure…Ne te laisse pas faire, déjoue le monstre! Ne le laisse pas te manger
sans rien faire!» dit sa mère.
Rose lui donna un câlin et monta s’habiller. Après tout, il était 6 :00 h.
Rendue dans sa chambre, Rose enfila une somptueuse robe rouge et se noua un petit
ruban rose dans les cheveux. Elle prit une orchidée mauve, la fleur préférée de sa mère et
à l’aide d’une petite ficelle, se l’attacha sur le poignet et alla rejoindre sa mère. Toutefois,
sa mère n’était plus là. Rose se dit que sa mère était sûrement partie pour ne pas devoir
faire d’adieux déchirants.
Il est maintenant 6 :30. «Super!» se dit Rose, sarcastiquement. «Je vais mourir dans une
heure». Rose décide d’écrire une lettre à sa mère durant cette dernière heure.
«Chère mère, je suis partie. Bonne soirée, Rose». Ensuite, elle courut dans son jardin,
coupa une magnifique rose écarlate et la mit dans un vase à côté de sa lettre. Le temps
avait passé si vite que l’horloge indiquait déjà 7 :25. Rose prit son courage à deux mains
et enfila ses jolis petits souliers de cuir pour finalement aller dans la forêt.
Le chemin de roches semble briller. Les arbres semblent bouger. Rose trouve que la forêt
semble beaucoup plus dangereuse que d’habitude. Tout à coup, une voix surgit derrière
elle et dit :
- «Ah…Bonsoir mon enfant! C’est toi que je vais goûter ce soir…Dis-moi, quel est ton
nom?»
Rose observe les yeux rouges de la créature à peau verte et répondit :
- «R…R..Rose…Rose Cumberland.»
- «Ah! Une petite gênée cette année! Mais, même si je vais te manger, j’ai quand même
un cœur. Alors, dis-moi, mon enfant, quelle serait ta dernière volonté?» dit le monstre en
égratignant le visage de la jeune fille avec ses longs ongles mauves.
Rose réfléchit et eut subitement une idée.
- «Je…Je voudrais vous préparer un repas.» répondit Rose
- «Un repas? Je vois que tu es une cuisinière! L’an dernier, le petit a demandé d’épargner
son petit frère. J’ai accepté. Mais toi, même pas une petite pensée pour ta famille. Juste
un peu de cuisine.»
- «Ou…Oui. J’aimerais vous préparer une salade de champignons.»
- «Mmm…C’est d’accord. Va cueillir des champignons. N’essaie surtout pas de t’enfuir,
je connais cette forêt comme le fond de ma poche!»
- «Oui monsieur, je vais aller en cueillir.»
- «Bien. Allez va, va.»
Rose se mit donc en quête de trouver des champignons empoisonnés. Les paroles de sa
mère lui disant de déjouer le monstre résonnaient dans sa tête. Rose était convaincue que
sa mère avait raison. Elle peut s’en sortir vivante. Il fallait juste qu’elle soit plus maligne
que le monstre. Elle se souvint, que, plus jeune, sa mère lui avait appris à distinguer les
bons champignons des mauvais. Rose fouilla dans sa mémoire et se rappela les paroles de
sa mère : «Ma Rose, ne mange pas les champignons bleus, car ils peuvent te rendre très
malade. Mange plutôt les blancs. Mais, attention! Ne mange jamais les mauves! C’est la
mort instantanée!».
Rose partit donc en quête des champignons mauves. Par chance, après six minutes elle
trouva les fameux champignons. Elle arracha une feuille d’érable et partit rejoindre le
monstre. Après tout, elle aussi connaît bien cette forêt! Rose voit la créature et lui dit :
- «Monsieur! J’ai les champignons et une feuille d’érable pour accompagner votre
salade.»
- «Bien mon enfant! Tu peux commencer ma salade, j’ai si faim!»
Rose se mit donc à l’ouvrage et prépara une salade aux champignons.
- «Tenez, monsieur! Voici votre salade.»
- «Elle a l’air bonne.» dit le monstre.
«J’espère que le monstre n’est pas un spécialiste des champignons.» se dit Rose.
Mais le monstre ne se doutait de rien. Son plan marchait à merveille. Le monstre finit par
goûter à sa salade et mourut sur le coup. Rose cria de joie et retourna dans son petit
village.
- «Tout le monde! J’ai vaincu la créature des bois! Elle est morte! Nous sommes en
sécurité!» cria Rose à l’intention de tous les villageois.
- «Vive Rose Cumberland! Hourra! Vive Rose! Vive Rose!» crièrent tous les villageois.
Depuis ce jour, le petit village où demeurait Rose se nomme Cumberland House en
l’honneur de cette jeune fille courageuse qui a su sauver les enfants de son village.