LePetitHavre...Le,PetitHavre~Mardi3vaqM1948 ChronrqueParisienne Paris,SSseüt....

4
30" htm — if 13,531 (4b *ages IICeitiies— DO14118—l«Ultima (■4:rages) firdi 17 Ion I»!* Adaiiislratev-Délipi -Cérast O. RAN DOL. ET 4MÉIstri!i«o, Imsrtssisns etkmmt,TEL. 10.4? 88, Rue Fontenelle, 38 Adressa Télégraphique ; KANDOLETHavre Le Petit Havre r ANNONCES AU HAVRE;.... Bureau du Journal, 112,toni» da Strasoourg. SlyAGENCE HAVAS,8, place de la Bourse, est seule chargée de recevoir tea Annonces pour le Journal. li PETITHATHEsatdesign)pour les AnnoncesJudinlslrsset Itgotes teSsMBSHr S A PARIS. ORGANE RÉPUBLICAIN DÉMQCRATIQUE Le plus fort Tirage des Journaux de la Region se?*— I .Jlllli, RÉDACTSUR EN CHEF 4.-J, CASPAR - JORDAN StoreUlra Général : TH. VALLEB Redaction, 35, rus Fonfenelle - Tél. 7.60 ABONNEJWENTS Le Havre. la Seine-Inférieure, l'Eure, l'Oise et la Somme | Autreï Département» | Union Postale......*.. Ons'abonneigatemsnt,SAUSFHAIS, dans tousios Bureauxa* Paste da francs» Trois Mois Six Mois Un au T Fr. «» Fr. as Fr. N » x ri Fr. as» > 13 » as Fr. AS » LAPAIX AMEülCAINE M. !e sénateur Lodge, l'un des membres les plus influents du Sénat de Washington, au cours du débat sur ie bill des effeetifs, a prononcé un discours d'une importance considérable, dans lequel il a précisé en .cestermes les conditions de la paix qui devront être imposées a l'ennemi : Restau- ration de la Belgique ; retour pur et simple de l'Aisace-Lorraine a ia France et des pays irrédents & l'llalic ; indépendance de la Serbie et de la Iloumanie ; indépendance de ia l'otogne ; Constantinople port libre et la Palestine délivree du joug turc ; retour !a liussie de tous les territoires qui lui ent été cnlcvés par le traité de Drest- Litovsk. Ce sont lè desconditions positives, d'une elarté absolue et qui ne rappellent en rien eetie paix de compromis k laquelle les Em¬ igres du Qentre auraient voulu nous ame- uer grace aux intrigues de Troelstra. Aussi t<ien,les Allernands qui avttient en¬ trepris cette réeentc offensive de la paix ne pouvaient-iis faire etioix d'un intermé¬ diaire plus discrédité. On se souvient. en i ftct, du discours qu'il prononga au mo¬ ment eit il allait quitter la Hollande pour se rendre k l'invitation du Labour Party, et Pon sedemandecommentil al'inconscience de vouloir se présenter comme médiateur après avoir osé dire : a La vietoire de i'Entenle serait un grand malheur. Je suis germanoptiilc, mais dans une pen- sée de haute équitó, pour faire le contre- poids aux amis des Alliés. Les petits Etats sont des survivances et je suis le candidal des gem qui, au cas d'une menaceallemande, sunt bicndécidésa ne pas se défevdre». Car c'est ainsi que s'exprimait le promo- leur du fameus Comitéhollando-scandiuava qui, pour favoriser la paix allemande, s'était donné pour tache de provoquer une crise politique en Angleterre et aussi en France, rnais dont lesmanoeuvres se trouyent auiourd'hui complètement démasquées. Le sénateur Lodge — et son discours aurq, dans lo monde entier, un retentis- sement profond, — a ajouté que l'A- mérique ne voulait pas ariéanlir l'Alle- mague, non plus que lui donner un gou¬ vernement; mais ila insisté sur ce paint que ia paix serail dictée au peupleallemand et non pas discutée avec lui. Or, si l'on tieoi compte de ce fait que M. Lodge s'était fallié dés la première lieure k la politique de guerrc du président Wilson et qu'il vieut d'etre élu, a l'unanimité, comme clief du parli républfcain du Sénat, on eslimera que, d'une facon générale, ses idée^repré- sentent fort exactement l'opinion moyenne aux Etats-TJnis. De l'aveu mème de Troelstra, « il est sfesolument inexact de parler d'une nou¬ velle attitude du parli social démocrate allemand, » Et Scbeidemann éerivait lui- méme dans le Vorwaertsdu 24 juillet der- niér : a . . . En ce qui concerne les ques¬ tions de Belgique et d'Alsace-Lorraine, je m'en rapporto k mon memorandum de Stockholm. 11n'y a pas cu Allemagne un seul homme qui comprenne les revindica¬ tions de .l'Entente ». Rien de plus évident, dès lors, que l'an- tinomic absolue qui existe entre l'Entente et les Etals-Unis d'une part, et d'aulre part les Empires du Centre. Etl'on demeuresur- prisque certaincs gens s'obstinenl a rêver d'une Conférence internationale, désirée sans doute par l'Aliemagne, mais dont ma- nifestcment nousserions les dupes... Th. Vallée. SUR MER La guerre sous-marine et la presse allemande t.'ageBce Wolff publiait le 22 aoüt, la statisti- que allemande de la guerrc sous-inarino pour lc «iloisde juillet, évaluant les pertes a 630.000 ton¬ nes. Les feuilles allemandes s'clïorcent de chauf¬ fer a co propos l'enthousiasiüe. Le Nazette de loss du 24 estime nolamment que le peupleallemand no comprend pas encore suffisamuientl importance delapartic qui se jouo sur losocéans entre 1'Allemagne décidée a s'as- surer la liberie des mefs et une Angleterre qui ne comprend pas encore tout le danger qui me¬ nace son ra\ itailleiuènt et ion commorce. Dtraière Hsure L"Exploit glorisuxd'unavisofrangais Paris. — L'aviso Oisea été cité a l'ordre de l'arniée pour avoir, le 3 aoüt, au large de la céte de Bretagne, eoulé un sous-marin ennemi. L'Oiseeffectuail dos operations de. recherches itiéthodiques du 'sous-marin, quand le periscope apparut soudain a quatrc-vingts metres de l'aviso. Le sous-marin,qui marchait a faible Vitesse,tut surpris et exécuta précipitammeut. des manceu- vres de plongée, mais l'Oise, en évoluaut hom- barda inslantanément l'ennemi, coupant et re- coupant a plusieurs reprises le sillage du sous- marin immergó et jetant, chaque fois, des ex- plosifs. Une tache d'huile apparut et s'élargit ; divers autres indices démontrerent quoles coupsavaient porté. 'fout se passa comme dans un exercice et, dans ces conditions, aftirma le tiaut degró d'en- traineiuent de 1'équipage. Unraidd'aviatsurs surIacötabeige Londres.— D'après une dépêche d'Aoister- dam aux journaux, los aviateurs allié» ont exe¬ cute un raid sur la cète beige. l>ix apparcils y out pris part. LesItalicsellaguerreaérienue Rome. Le roi a visité 1'escadriUed'aviation commandée par Ie gloribux d'Annunzio qui a execute le raid sur \ ienne. Victor Emmanuel III a félicité les pilotes. Paris. — Dans un camp d'aviation francais, en presence de M. Dumesnil, sous-secrétaire d'Etat ; de Tambassadcur d'Italic ; du depute Grassi et de nombreqx officiers alliés, on a pro¬ cédé aux experiences d'un ballon italien d'obser- vation invenlé p;w l'lugénieur Prassono et le commandant Arorio. COMMUNIQUÉS OFFICIELS Les Fiaeeais s'emparenl SeFiesnoHls-Rope etSaint-laid •*^vaa/WVA/UVVVWw^« MALRRÉ DE VIOLENTJSS CONTRE- ATTAQUES lesBrlitinnlpes prennent hwM,ieeourf, Monchy-lB-F^ux eté tioinlrases positions LEURPROGRESSION CONTINUE SURLESRIVES DELASCABPE et sur celles de la Somme FRONT FRANCAIS I 26 Amil, 14 heitres. — Actions assez vives d'artillerie an cours de la nuit dans lss regions de Roye, de Beuvrai- gnes et entre l'Ailette et l'Aisne. Deux coups de main ennemis dans les Vosges n'ont obtenu aucun résul- tat. Nous avons fait des prisonniers. Nuit calme sur le reste du front. Sleamer (oipilié prés discoles d'Auglslgrrj Copanhaguo.—Leministóre des Affaires étran- geres annonce que le vapour danois Hélénea été coulé lo 17 aoüt, dans lo canal de Bristol. Le premier mecanicien a péri, le reste de 1'équipage a été amend a Swansea. Apropos du torpillage du « l.usifania » New-York.— Le juge Mejcr, de la cour fédé¬ rale do l'amirauté, a décidé que la Cunai'd Line ÏVélaitpa» re.sponsable des pertes de vies hu- r aiffés etllo biens Causécspar la destruction du Lmitania. L'arrét rejette la demande des héritiers des victimes qui perdirent la vic danste torpillage. Le juge a declare que sou enquête a prouvé que le Lusilania n'a jamais été armé et ne trans- portait pas d'explosits. VISITES INTERALLIÉES arrivés M. le sénateur des transports, et M. 23 heitres. De part et d'autre de l'Avre, nous avons esécuté deux opé- rations locales qui nous ont permis d'enlever Fresnoy-lès-Roye et Saint- Mard. en dépit de la vive résistance opposée par l'ennemi. Le chiffre des prisonniers actuellement dénombrés dépasse six cents. Dans les Vosges, nous avons re- poussé plusieurs tentatives de coups de main. Journée calme sur le reste du front. Paris. — Hier sont Villa, miuistro italien Cresiti, ministro du ravitaillcnient, MM. Villa et Crespi ont déjeuné avec le gene¬ ral di Robilant et le marquis Iraperiali, ambassa¬ deur d'ltalie a Londres. Rome. — Le lord-mairo de Londres a quitté Rome pour Genes, on il a visité les principales usines do guerre. Le inaire de Rome et M. Marconi se rendrout a Londres lo 24 septembro. FRONT BRITANNIQUE 26 Aoüt, après midi. — Au Nord de Favreuil,nos troupes ont engagé avec l'ennemi un combat a la baïonnettè qui lui a causé de lourdes pertes. Des prisonniers ont été faits. Plus tard dans la soirée, une nou¬ velle contre-attaque de l'ennemi dans le voisinage de Favreuil na pas eu plus de succès. Favreuil est entre nos mains. Nous avo&s progressé au dela de ce village. Au Nord de ce village, nous avons amélioré nos positions au Sud Est de Mory èt a l'Ouest de GroisilJes. II pleut violemment sur le front de bataille. A 3 heures ce matin, nos troupes ont attaqué dans le secteur de la Scarpe. On annonce qu'elles ont fait des progrès dans ce secteur. Sur le front de bataille, nous avons légèrement avancé notre ligne a che- val sur la Somme et a la suite de l'heureuse opération exécutée la nuit dernière, nous avons fait des progrès dans la direction de Maricourt. Hier «oir, l'ennemi a déclenché de fortes attaques au Sud et au Nord de Papaume, dans le voisinage *de Nau - court et de Favreuil. Ges attaques ont été repoussées. AVIATION. — Pendant Ia journée du 25 aoüt, nos avions, volant a basse altitude, ont continué de harceler l'ennemi, en dirigeant lours tombes et leur faux de milraiUeuses centre l'inf&nterie, I' artillerie , les transports et les trains. D'autres de nes appareils ont gardé ie con¬ tact avec nos troupes et fait des règlages pour notre artillerie. Les missions pliotographiques et les reconnaissances ont continué comme k l'ordinaire. Nous avons jeté trente -deux tonnes da bombes, pendant la journée, sur les embrancboments des voies fer- rées, entre autres ceux de Gambrai et de Valenciennes ; sur les dépots ennemis et sur les docks de Bruges. Nous avons bombarde eiïicacement un aéodrome ennemi. Vingt-cinq avions ennemis ont été abattus ; un ballon détruit et treize appareils allernands contraints d'at- terrir, désemparés. Ginq des notres ne sont pas rentrés. Une pluie abondante a empéché tout vol de nuit. FRONT AMÉRÏCAIN L' Offensive Franco -Britsnniqu l'ouvquot, rnalgrelos pertes sul.ies par l'Angle- IrW', cette pnissancene semontrc-t-ellepas encore pn u: a it.'gociM' ? Pourquoi ne tiro-t-elkvpas les consequencesd'une situation déja trés pénlbleelite saisil-ullepas la main qu'on lui tend? Paree quo les Anglaiss'imaginentencore que les difficult^ et ; les chargesfonnitlablesque leur cause la guerre , soirs-nianuosont transiloircs et qu'en attendant un moment plus favorableil no faut pas ceder aux suggestionsde toursennemis, Vmiace que lo peuple allemandne comprendpas eia'ot'f.. Kou, la nation allemandene mesure pas 1importancede la guerre sous-maine. II r-e siiffit pas que les milieux militaires ct deonomique-s le l ompreuncnl,il landrail que le peupleiui-niêmeen fut convainni. Lepeuple anglais, qui a derrière lui une longue ItisUttredepeuplemarin et commerpant, comprend Jiistiiicllvenicntlagrandeurde roujeu.DeïmVi -'-ue ;•p' ttpleallemanda la plus grande peine e 'm- ttiousiasmerpour une grande politiquecommcieiale el mariimte, de mème il n'arnve pas encorea voir que la guerresous-marineest rdellemenlle pivot de loitle i explicationentre les deux pays. Gv-I a des preoccupations du même genre qitobcil le Lolcal-Anzeiyereu s'elTorcant de dé- |noniief que lo chiffro des tonnes coulees en j judk'L si .satisfaisant qu'il soit pusqu'il accuse i uue legere hausse sur le niois précédent, est : pourtaut itioins important au point de vue de la eucrre que l'embarras oi'tse trouve de plus en ; pUiM l cjicicmiau point do vue des constructions l uuvate?. Kalittellimciit, écrit l'organe pangermaniste, 11! faut soitliaiterqut>lc cliiftrodes bateauxcouléspar 1 nos setts inarms rnoiito le plus possiltic, el nous fsperonsqu i) raoutera afin que l'effet produit sur ; uos eiitt'-'iniscroisse lc plus rapidement possible,i Mats lesscettcl est que seule la question de la juamutoeuvre cmpèche désormais ' tquiiibre se rélablisse'entre les Les Alliéscostreles Bolcbeviks Tokio. — Ou annonce offtcicllement que l'en¬ nemi a renouvelé lo 20 aoètl une aüaque coutre la première ligne-tchéque, prés do Krecfsky. Les Tcltèques ont été mis dans uno situation défavorablo, les Japonais n'avant pas encöro atleint la première ligno (cheque a cette dale. Londres. — On mande de Vladivostock quo les Japonais aclicvent leur concentration a Ussuri. Londres.—On annonce aussi de Vladivostock: 4 A Evgencvka, nos marins, appuvés par nos autos blindées, ont attaqué les bolchévistés sous un feu violent d'artillerio ennemio et les mircnt enfuite. » A la Federation du Sous-Sol Pact's. — Le Gongrès des travailloursdu sous- sol a terminé ses travaux hier soit'. Les delegations sont aliens au ministère. La séance de l'après-midi a été secrète. Kous pouvqns assurer quo les mineurs ont rapporté du ministère l'impressión que des ef- | forts» seraient faits par le gouvernement pour i ctablir des bordereaux de sala'ires dans differeu- tes regions, Les vieilles Classes IIy a 80,000 mobilisésö la terre des classes 88 et 89 a libérer rapidement La question du renvoi des vlcillcs classes ne peut pas tarder a être résolue. II convieudrait pourlant que les bureaux hatassent fapplicaliondela mesure promise.Beaucoup do persoimes commeltent uno orretir cn croyaiit qu'il y a trés pen d'itommes de ces vieillesclassesqui Solentencoremobilises. Des elmfres out été fournis devaut les Cbambres qui prouvent, comiuc le fit remarquer M. Abrami, « que lo renvoi dans leurs foyers des boimnesdes classes88et,89 ne peut se fairedu jour au lende- inatn, m saus graves dilficullcs.» 11y a 90,000hommesdc cesdeuxclasses—70,000 pour Ja classp.89cl «OjOOO pour la classe88-« qui sont mobilisesa la lorre. « ]i va done falloir,a dit M.Abrami, que lc mittislrc de l agrieulture refasse itn plan dc mobilisation de ntain-d'o'uvrc agricole pour retrouvev un ■— •»- ' ■ ■■ Soir. — A trois heures du matin, les troupes canadiennes, écossaises et de Londres ont attaqué le long des deux rives de Ia Scarpe, de Groisiiles jus- qu'aux environs de Gavrelle. Sur la rive Sud de la rivière, les divisions canadiennes, montant a l'as- saut avec une grande bravoure, pas- sèrent rapidement a travers les pre¬ mières défensss de l'ennemi et s'em- parèrent, dans leur premier bond. des hauteurs connues sous le nom d Orange Hill. Malgré les rafales de pluie, les trou¬ pes canadiennes ont continué lsur poussée et de bonne lieure ont atteiut Wancourt et Monchy-le-Preux. Dans le tours de la matinee, la pluie ayant cessé, les troupes ont achevé la prise des deux villiages et ont progressé au dela. Au Nord de la Scarpe, les troupes écossaises, en avantjant de nouveau a travers le terrain sur lequel elles s'étaient battues en 1917, ont em- porté les premières positions de dé- fense eimemie, au Sud de Gavrelle, et atteint les lisières de Rceux. L'u- sine de produits chimiques, au Nord de Roeux, est, de nouveau, en notre pouvoir, Sur la droite des Canadiens, les troupestécossaises et londonniennes, qui, ces jours derniers, se sont frayé un chemin vers Groisiiles et Heni- nel, ont poursuivi leur offensive. En dépit de la résistance vigoureuse de groupes d'iufanterie et de mitrail¬ leuses, elles ont réussi des progrès sérieux et ont achevé la conquête des hauteurs entre Croisilles et He- ninel. Dans ce nouveau secteur d'attaque, nous avons fait de nombreux prison¬ niers au cours de la journée. Sur la partie Sud "du front de ba¬ taille, notre avance a continué sur les deux rives de la Somme. Des troupes 26 aoüt. — Au cours de combats lo- caux, a l'Ouest de Fismes, nos troupes ont gagné du terrain et fait des pri¬ sonniers. En Alsace, un coup de main a été repoussé avec des pertes pour l'en¬ nemi. FRONT ITALIEN 26 aoüt, — Activité notable de nos détachements d'explorateurs sur l'en- eemble du front. Sur le plateau d'Asiago, des groupes britanniques et franqais ont effectué des raids dans les tramchées ëhnemies et ramené des prisonniers. D'autres prisonniers, désarmés, et du matériel ont été capturés par nos patrouilles en reconnaissance, dans la zone du mont Grappa et sur la Piave . Au Nord du mout Tomba, des déta¬ chements ennemis ont été repoussés par notre feu. FRONT DES BALKANS 25 aoüt, — Activité plus grande de l'artillerie dans la région du lac Doi ran, sur les deux rives du Vardar et dans la région de Huma. En Albanië, les Autrichiens ont, a deux reprises différentes, attaqué les positions franco italiennes, dans la région du confluent du Dévoli et de la Tomorica. Nos troupes ont repoussé leurs attaques, puis, conformément aux ordres donnés, elles ont légère¬ ment replié leur aile gauche pour maintenir ia liaison avec les troupes italiennes. L'aviation britannique a bombardé des bivouacs ennemis dans la région de Demir-Kissar. L'aviation serbe a abattu un appa- reil ennemi dans la région du Do- bropolje. nombro d'bommcs.équivalentd . v -- cciiii qui va ótio completement iibéré. » Daulre j australiennes ont pris Gappy et ont piu't,il y a cgalementdans Ic-susines des ^hommesJ progTessé a l'Est du villag,e. Au Nord de la Somme, elles appartenauta cos deux classeset qu'il faudra rem placer. j Mais la plupart de ces militaires detaches it la ! terre, et qui ne 1'ontété que paree qu'ils ont fuurni 1 . .. , ,'es P'èces prouvaut qu'ils étaientagriculteurs:tra- qu un veritable | vaillant a leur compte, restcrönt it cette terre. Far i i,„„„ . , constructionset les i conséquent,les bureaux peuvent faire rapidementla I ""t t re stfüsm-rinp rp^fpnf f re^ulla,sde l,csogtte nécessaire it la liberation dc ces vieilles iter (lis nerie^iATna»Silu^.,1^ ' Pu'mosat|s I classes et le «nouveau plan de mobilisation agri- i se'nenifsètnn? wUiS .Su!mnouf ««Posonsa 1cole• no sera pas long a établir si l'on v met de la ! i'JSira., importentes que le bornievoloiilé'. N'oubtions pas que la class»M)at- i üiJ'no,lsprccuronsparlaa aosarmcest tendsontourdetnlsceusursis, 1temp». pertes 6e teiïg. iet ccladepuistong-j sont entrées dans Suzanne. Plus au Nord, les troupes anglaises ont poursuivi leyr avance vers Montauban et les troupes galloises ont pris Bazentin- le -Grand. Sur le reste du front, des combats locaux ont eu lieu. Nous avons conti¬ nué nos efforts et avancé notre ligne l en certains points . En qtielques Mots — KotrotrésdistinguéconfrèreHenriChantavoine, du Jouma'. desUéba's,qui était aussi un remarqua- b'e professeurdo lettres et oecupait la ehaire de rhetorique au Lycée Henri-lV, vient do mourir A Lyon. C'était un écrivain élégantdont les spirituel- tes chroniques étaient particulièrement appréciées. •—M. Franklin-Roosevelt,sous-sccrétairod'Etat dola mar-inoaux Etats-Unis,a été recu itdéjeutier, dans l'intimité,par M.GoorgcsLeyguèa,ministro do pt marino. —Les empoisonneraentspar eitatripignonspron- nent è Vienne un caractero trés grave ct tous les avcrlisscmentsdo presse u'empécheut pas -les pau- vres gons do tenter de remptScer la nourrilure qui leur manque par ces dangereux végélaux. —La GazettedeFrancfort signaleline reclamation des ouvrtors des fonderlesde Nurembergconlre les restrictions alimonteiresdont iis ont it souffrir. — On mando do Ilucarest que le ministre des fi¬ nancesde Roumanieadéposó it ia Chambre un pro-' jet portent augmentation de 300millionsde francs pour crédits afï'ectésitla guerre. — Lo ministro de la guerre finiandais a ordonnó quo la languo finnoise soit dorénavant emplovéo comme langueofliciello pour los commandome'uts d'arméo. LeMinisire dela Guerre prussien rPGonnail noirs vicloire Dans uue interview avec la Moryen Post, )o minisire de la Guerre a declare notamment au sujet des combats actuals que la question du terrain ne jouo aucun rule; malheureusement, a-t-il dit, on en parlo beaucoup trop. o 11est vrai, a aiouté le ministre, que les der- nières operations n'ont ptts été les succès que nous avions espérés ; nous avons éprouvé quel- ques revers et, disons-le d'un mot, essuyé uno défaito. Sur le front, on avait, dès lo déb'ut, ad- mis la possibilité d'un échec, mais pour Barrière un revers semblablb constitue un sérieux aver- i tissement, car il nous montre quo la guerre n'est pas encore finie. Nous devons rassembler toutos nos forces pour la conduire a bonne fin. Ce qu'il faut niaintenant, c'est repousser les attaques en- nemies et ménager uos propres forces. » Le citiquième acte de la guerre La National Zeitung de Bale commente la situation générale en des termes qui valent d'autant plus d'etre notés, paree qu'ils émanent d'un rédacteur aulrichien qui passe pour rece¬ voir quelquofois des inspirations officieuses du gouvernetnent de son pays. Pour rauteur de eet article, nous sommes a la fin du quatrième acte de la guerre et nous allons entrer daus Ie cinquième et dernier. Les empires centraux ont rassemblé leurs for¬ ces et ont essayó d'écrascr leurs adversaires : ils n'ont pas réussi. Désormais, le sort on est jeté. La guerre ne sera plus pour les puissances centrales qu'une. guerre defensive. L'état-major allemand ne peul pas se dissimu- ler que le tomps déplaco irrésistiblement la ba¬ lance on faveur de l'Entente. BAPAUME Le New-York Herald donne au sujet de Ia situation dans Bapaume des nouvolles qui ne sont point en accord actuellement avec les com¬ muniqués officicls. Kolce confrère ajoute : La chute de la ville est cerlaine, mais aucune confirmation oftlc(e//e de l'entrée des troupes britanniques k Bapaume ne doit étre espé'óe avant que la ville ait été complètement nettoyée et soit solidement aux mains de ses ocoupams. Les Allernands sont obligé s de s'accrocher k Bapaume aussi longtemps qu'il teur >era pos¬ sible mème au prix de millions de vies humai- nes. La perte de ce centre extrénumant impor¬ tant entra/ne en effet la chute du front alle¬ mand au Nord et au Sud de la piace. Cette chute sera/t suivie d'une retraite désas- treuse, car, s'il est vrai qu'une retraite est inevitable sur les lignes actOeilés, il est néces¬ saire que les disoos'tions prises pour cette re traite soient como/ètes et notamment que la nouvelle ligne soit dans un ótat d'orgaoisation assez avancé pour recevoir les troupes qui ont pour mission de a'y reporter. C'est ainsi qu'it faut expliquer la furleuse résistance des Allernands. De nouveaux ren forts ont. été jetés en hkte aux points les plus dangereux avec ordre do contenir les Britanni¬ ques coüle que coüte. « La plus grande vietoire britatinique » Lo Daily Mail écrit . Nostroupes out remporte samedi et dimanchela plus grandevietoire britanniquede la guerre. Danscette avance entro Arras ot la Somme, ma- gnifiquementconduite,les 3' et V arméesse sont èngagéesautour des tortorosses et des terre» de combatsdqla batailledè 1916,capturant l'uoe 3pre? l'aulre les positionsde l'importanco de Grancourt, de Thiepval,de Contalmaisonet de Pozières, qui nous ont arrêtés pendant des semaiites, certaincs d'entro ellespendantdes mois, 11y a deux aus. Grandes jo.urnées » dit uu correspondant anglais M. Perry Robinson, correspondant améri- cain de Daily Newset du Times sur le front britannique, télégraphie : Nousvivons actuellement de grandes journées, dont la descriptionet même le simplerécit est pres- que impossiblepour un correspondant. L'allurode notre avancoest si rajtidoque personrte ne poutdire on, dans sonensemble,peut se trouver, a un momentdonné, notre lignèavaucée.Toules los demi-hnures,en ofIet,des iiouvellesarrivent annon- tant quo tel ou tel villageest en notre posssession, ou qu'uu aviateur a vu des uniformeskhaki sut des pointsoü nous n'avions jamais songé qu'ils pou- vaient être arrivés, Noscaptures en prisonniers et en canons doivent êtrs trés importantes,mais il serail absurdede vou¬ loir les évaluer dès maintenant,même 'jrostn mode. Sur toutes les parties du front, on vólt incessatn Rnl rirtvnlm» f\Aftflnikt nrinnnnioFc probablequ'une opération similaire obligerafinale- ment l'ennemia so relirer sur la Santlnv. Voilè.laperspective des alliés, alors que nous ment dóvalerdes Hotsde prisonniers, « Un mois sans précédent » Coiamentant la situation militaire, le Times écrit : Depuisquo, Ie 13juillet.lo général Gouraudbrisa, en uno seule raatinée,l'attaque allemandett l'Est de Reims,les troupes aliiées ont marchéde succès ett succès. Les Alliésn'ont pas eu un mois somblable depuis le débutde la guerreet les Britanniquesn'ont pas eu urte semainenareiile a la dernière. Sattfpen¬ dant Ie bref espace de temps qui suivit la bataille de la Marne,jamals nous n'avions eu la satisfaction de poursuivre et de harasser des masses de troupes allemandesbattues et découragées. QuJques épisodes Lo correspondant. du DailyMail auprès do l'armée franfaise télégraphiea la daledodimancliè: patient, alors que tant do personiies lui cottseil- laientd'agir.Maintenant1'occasionest venue; sou activitéest si incessant»et si.étourdissanle quo lo spectateurdo la guerre a de la poiuo it le suivre. R oubiionspas que le général Heme a Vimy, le generalGouramlen Champagne,ne sont pas encore mtervenus; êt sqyonsconvaiiieus que leur expe¬ rience sera utiliséodes que le momentpropicesera venu. Le Timesécrit : Les p -grèsque nous avons faits au Nord de Ba paunn sont plus étoimantset peut-étre plus intpor tants que les gains realises daus toul autre secteur. Toutes les dépêches qui arrivent -successivement suggèrenti impressionque le front ennemi se dis- sout. Les troupes manquent do cceur, elles se rea¬ dout avec line promptitude et uno facility qu'elles n'avaient jamais montrcesjusqu'a présent, sur uno aussi grande échelie. II est encore trop tót pour évaluer los consequen¬ ces de l'elfondrementdo la ligno allemande entre Arras et la Sotnme,et d'en pronostiquer les résul- tats. Celapout nous mener loin. En tout cas, son of- fet moral sur la nation allemande est lorcément profond. Autant qu'il est possible d'en jugor, !o mouve¬ ment en avant des armées britanniquesVa vraisem- blement être poursuivi. Depuisle 15juillet, jour oü Gouraud brisa, en une simplematinee, l'attaque al¬ lemandea l'Est dc Reims, les troupes aliiées ont constammentmarché de succèscn succès. LesAlliésn'ont pas eu de somblablerésultat de¬ puis le début de la guerre et les arméesbritanniques n'ont jamais eu une semaine pareille a celle qui vient de.s'écouler. Jamais, sauf pendantle bref mo¬ ment qui suivit 16batailledolaMarne,nousn'avions eu précédemment la satisfaction de pourchasseret de harceler, sur une aussi largoéchelie, les masses de troupesallemandes,démoraliséeset battues, qui perdentrapidementtout semblantd'ordre debataille. Puissentces tempsnouveaux et réconfortantscou- tinuer er.core1 La verston allemande Le communiqué allemand du 25 aofit après- midi s'éfend longuemont sur les attaques des ar¬ mées britanniques, affirmant qu'elles ont étébri- sées, mais ajoutant que les troupes allemandes s'étaient ensuito repliées, ce qui constituait en definitive l'aveu do l'avance et du succès britan¬ niques. II y était dit notamment : FlntreArras et la Somme, los Anglaisont conti¬ nué leurs attaques. Due forte infanterie,conduite par dos chars d'assaut, s'est élaneéo dès le malin (du21)entroNeuvilloet Saint-Léger.L'attaquea été brisée devant nos lignesavec do iohrdespertospour l'ennemi. Nospostesde Saint-Légerse sont replies, conformément aux ordres, sur les lignesdo combat i l'Est de eettolocalités. Desattaquesennemies ont égalementécftouéde¬ vant Mory. D'inipo'rtantesforcesennemies se sont plusieurs fois élancéescontrenotre front qui passe, a la suite ides combatsdu 23 aoót, a l'Ouest de Behagnles-Ba- paume-Warlcnaurt.La forceprincipalede l'attaque, oü dé nombreuxchars d'assaut avaient été engages, était dirigée contra Bapaume memo; les attaques ont été brisées . L'ennemia vivementpressénos lignes qui avaient été rantenées au dela de l'Ancre, et l'aprésmidi (du24)i! a débouchéde Courcolottoct de Pozières pour attaquer Martinpulchot Bazentin. Los trou¬ pes prussieunes ont contre-attaquéle flanc de i'on- nemi et 1'ontrejeté au dela do Pozières. Par plusieurs fortes attaques, l'ennemi a essayó de percer nos lignes a l'Est d'Albert a la Somme. L'adversaire a de nouveau utilise de nombreux chars, d'assaut qui ont attaqué jusqu'a six fois le centre du froht do combat. LosPruss£ens, les Hes- soiset les Wuriembergeois1'ontrefouléjusqu'a la Boisselte,au dela de la route Albcrt-Bray, en lui infligeamde'lourdes pertes.-Noslignes, qui, a la fin de cos combats formaient ia un saillant forte- ment prononcé dans les positions ennemies par rapporta l'enssmblodu front, ont été ramenées ea arrière pcudant la nuit. LAGUERRE AÉRIENNE 21 raids en terrltolre allemand cette semaine L'Aliemagne n'est plus en mesure, malgré ses efforts, de défendre son immense frontièro aérienne c-ontreles attaques des Alliés. 2i raids ont eu lieu cette semaine. lis se de¬ composed ainsi : Francfort, Cologne, Treves, Mannheim (2), Coblentz, Boulay {fii, Bulil (3), Volklisgen, Hagenau, Sarrebourg (2), Dillingen, Burbach. Sur la rive Nord do la Divette, a l'Est du Plé- mont, un jeune officier francais et ses hommes se trouvaient depuis trois jours dans une posi¬ tion oü il était impossible de leur faire parvenir des provisions par les moyens ordinaire», car lo terrain, descendant jusqu'a rivière, était con- tinucllement battu par le feu de l'ennemi. Leurs camarades réussirent cependant a les approvi- sionner en leur passant des boites de conserves qui étaient iancees de trou d'obus cn trou d'obus, Quelques francais virent un officier allemand — Unonote du ministère d'Etat cspagnolannonce i ?bat.tfed'un coup do reyolver.un homme qui re- que rAUciuagnea aceovdëune indemnitédet>50,000'usait davancer , maïs co memo officier fut posetas a la familiedu compositeurGrsuados,qui abattu a son tour par ses propres hommes sans peril victime d'un torpillage. Cette r'parklion a fait que les autres officiers s'interposassent. A Ville- 1objetd un acto passé devautnotaire. i val, un soldat francais grimpa sur le toit d'une — Une mission syro-arabc vient d'arriver en niaison et lanca des grenades dans la cheminée Suisse,chargée de faire do la propaganda en favour i Want los Allernands- qui se trouvaient a l'inté- de la Turquio. — Oa annonce la mort du généralNicodieStoia- novlteh, commandantles troupes serbes a Gortou. —MmeGasnaultagée de 28 ans, demeurant k Mauthelan,prés doTours,a été tuéo k coups de martoau par un individuqui s'était présenté cliez elle sous Ie prétoxte de lui donner des nouvelle» de son mari. actuellementaux armées son mari, actuellementaux armées. —De violents incomlies sévissent quel- depuis qi ques jours dans les loreis des premiers coutre-iorte du Cauigou, " - neiu'. Opinions Britanniques Le Daily Telegraphécrit -. Depuislo commencement de la eonlre-offiuisive franyaisedu 18juillet, la transformationde la situa¬ tion a été remarquable.La monaeocoulre Paris et les ports de la Manchea complètementdispara C'estmainteuautnous qui menafons l'ennemi. Sf Foch a réussi si aduiirablcment a forcer I'ëvacu®- tiondyssailliatsdoU Marnect dAmions,U est. Et ya leur fatt une impression énorme D'après lo correspondant du Times a Rotter¬ dam, un voyageur récemment revenu d'AUema- gnè a donne les détails suivants sur les derniers raids executes par les avions alliés sur Cologne. Ualarme fut donnée vers six heures du soir, peu après des bombes furent lancées sur uu grand édiiico public ; d'autres bombes tombé* rent peu après avec des résultals visibles. Ce raid. suivant de prés les revers allernands du front occidental, produit une impression ^norme sur la population. Au cours du dernier raid sur Francfort, le toit d'un hall de la gare aurail été entièrement dé¬ truit par les bombes. A Coblentz, cinq a six vastos hangars a char- bon ont été delimits par les aviateurs alliés, Le bombardement de Dytnkerque Après un bombardemcöt a longue, portee, Dunkerque a subi pèndanl la nuit deux attaques aérienues et une attaque par mer La defense parait avoir été trés cfücacc, car on ne signaie hi victime ni dégats. Un avion allomand coulé sur les cótes danoises Un aeroplane allemandcomplèlenieut désemparé a coulé vendredi au Noril d'HcIsiugorsNNus tleux pilötesont jm être n-pêciiésa tempset trausporté» dans un hópilaldanois. Le bombardement de Karlsruhe Suivant un télégramraede Karlsruhe,a la Gazette de Francfori, 10avionsbritanniques ont bombardó cette ville Ie 2u aofit, a y heuses. La jilupart des bombestombèrent sur Ia Jianlieue, mais atteigni- gnirent des maisons qui furent considérgltlora»: l en- dojnmagéés.En un point, 9persoimeshu . it s, 4 gi-ièvenionlblesséeset 3legéreineut.5 aviuu» cu- nc-misfurentdétruits. 302 avions autrichiens abattus du lei'juin au 20 aoüt On télégraphie de Rome : Entre le l" juin et le 20aofit, 302avions ennemis ont été descenduspar les aviateurs italienset bri- tanniques. Jeudidernier, un grand avion ennemi,qui tentalt de bombarderVenise,fut atteint par notre feu da barrage. II tomba dans Ia mer et fut rcmoiq.i■ius- qu'au rivagepar deux torpiileurs. Deukinilntulvur» fiutnt tails

Transcript of LePetitHavre...Le,PetitHavre~Mardi3vaqM1948 ChronrqueParisienne Paris,SSseüt....

Page 1: LePetitHavre...Le,PetitHavre~Mardi3vaqM1948 ChronrqueParisienne Paris,SSseüt. ArrivéAI'sris,eematin,avec«leuxhcures«Ie retard—daiue1e'cstlaguerreet,commeen …

30"htm — if 13,531 (4b *ages II Ceitiies— DO14118— l« Ultima (■4:rages) firdi 17Ion I»!*Adaiiislratev-Délipi -CérastO. RAN DOL. ET4MÉIstri!i«o,Imsrtssisnsetkmmt,TEL.10.4?

88, Rue Fontenelle, 38

Adressa Télégraphique ; KANDOLETHavre Le Petit Havrer ANNONCESAU HAVRE;.... Bureau du Journal, 112,toni» da Strasoourg.

SlyAGENCE HAVAS,8, place de la Bourse, estseule chargée de recevoir tea Annonces pourle Journal.

li PETITHATHEsat design) pour les AnnoncesJudinlslrss et ItgotesteSsMBSHr ■

S A PARIS.

ORGANE RÉPUBLICAIN DÉMQCRATIQUELe plus fort Tirage des Journaux de la Region

se?*— I .Jlllli,

RÉDACTSUR EN CHEF

4.-J, CASPAR - JORDAN

StoreUlra Général : TH. VALLEB

Redaction, 35, rus Fonfenelle - Tél. 7.60

ABONNEJWENTSLe Havre. la Seine-Inférieure, l'Eure,l'Oise et la Somme| Autreï Département»| Union Postale......*..Ons'abonneigatemsnt,SAUSFHAIS,dans tousios Bureauxa* Paste da francs»

Trois Mois Six Mois Unau

T Fr. «» Fr. as Fr.N » x ri Fr. as» >13 » as Fr. AS »

LAPAIXAMEülCAINEM. !e sénateur Lodge, l'un des membresles plus influents du Sénat de Washington,au cours du débat sur ie bill des effeetifs,a prononcé un discours d'une importanceconsidérable, dans lequel il a précisé en.cestermes les conditions de la paix quidevront être imposées a l'ennemi : Restau-ration de la Belgique ; retour pur et simplede l'Aisace-Lorraine a ia France et des paysirrédents & l'llalic ; indépendance de laSerbie et de la Iloumanie ; indépendancede ia l'otogne ; Constantinople port libre etla Palestine délivree du joug turc ; retour!a liussie de tous les territoires qui luient été cnlcvés par le traité de Drest-Litovsk.Ce sont lè desconditions positives, d'uneelarté absolue et qui ne rappellent en rieneetie paix de compromis k laquelle les Em¬igres du Qentre auraient voulu nous ame-uer grace aux intrigues de Troelstra.Aussi t<ien,les Allernands qui avttient en¬trepris cette réeentc offensive de la paixne pouvaient-iis faire etioix d'un intermé¬diaire plus discrédité. On se souvient. eni ftct, du discours qu'il prononga au mo¬ment eit il allait quitter la Hollande pourse rendre k l'invitation du Labour Party, etPon sedemandecommentil al'inconsciencede vouloir se présenter comme médiateuraprès avoir osé dire : a La vietoirede i'Entenle serait un grand malheur.Je suis germanoptiilc, mais dans une pen-sée dehaute équitó, pour faire le contre-poids aux amis des Alliés. Les petits Etatssont des survivances et je suis le candidaldes gem qui, au cas d'une menaceallemande,sunt bicndécidésa ne pas sedéfevdre».Car c'est ainsi que s'exprimait le promo-leur du fameus Comitéhollando-scandiuavaqui, pour favoriser la paix allemande,s'était donné pour tache de provoquer unecrise politique en Angleterre et aussi enFrance, rnais dont lesmanoeuvresse trouyentauiourd'hui complètement démasquées.Le sénateur Lodge — et son discoursaurq, dans lo monde entier, un retentis-sement profond, — a ajouté que l'A-mérique ne voulait pas ariéanlir l'Alle-mague, non plus que lui donner un gou¬vernement; mais ila insisté sur ce paintque ia paix serail dictée au peupleallemandet non pas discutée avec lui. Or, si l'ontieoi compte de ce fait que M. Lodge s'étaitfallié dés la première lieure k la politiquede guerrc du président Wilson et qu'ilvieut d'etre élu, a l'unanimité, comme cliefdu parli républfcain du Sénat, on eslimeraque, d'une facon générale, ses idée^repré-sentent fort exactement l'opinion moyenneaux Etats-TJnis.De l'aveu mème de Troelstra, « il estsfesolumentinexact de parler d'une nou¬velle attitude du parli social démocrateallemand, » Et Scbeidemann éerivait lui-méme dans le Vorwaertsdu 24 juillet der-niér : a . . . En ce qui concerne les ques¬tions deBelgique et d'Alsace-Lorraine, jem'en rapporto k mon memorandum deStockholm. 11n'y a pas cu Allemagne unseul hommequi comprenne les revindica¬tions de .l'Entente ».Rien de plus évident, dès lors, que l'an-tinomic absolue qui existe entre l'Ententeet les Etals-Unis d'une part, et d'aulre partles Empires du Centre. Etl'on demeuresur-prisque certaincs gens s'obstinenl a rêverd'une Conférence internationale, désiréesans doute par l'Aliemagne, mais dont ma-nifestcment nousserions les dupes...

Th. Vallée.

SUR MERLa guerre sous-marine

et la presse allemandet.'ageBce Wolff publiait le 22 aoüt, la statisti-que allemande de la guerrc sous-inarino pour lc«iloisde juillet, évaluant les pertes a 630.000 ton¬nes. Les feuilles allemandes s'clïorcent de chauf¬fer a co propos l'enthousiasiüe.Le Nazette de loss du 24 estime nolammentque le peupleallemand no comprend pas encoresuffisamuientl importance delapartic qui se jouosur los océans entre 1'Allemagne décidée a s'as-surer la liberie des mefs et une Angleterre quine comprend pas encore tout le danger qui me¬nace son ra\ itailleiuènt et ion commorce.

DtraièreHsureL"Exploitglorisuxd'unavisofrangaisParis. — L'aviso Oisea été cité a l'ordre del'arniée pour avoir, le 3 aoüt, au large de lacéte de Bretagne, eoulé un sous-marin ennemi.L'Oiseeffectuail dos operations de. recherchesitiéthodiques du 'sous-marin, quand le periscopeapparut soudain a quatrc-vingts metres del'aviso.Le sous-marin,qui marchait a faible Vitesse,tutsurpris et exécuta précipitammeut.des manceu-vres de plongée, mais l'Oise, en évoluaut hom-barda inslantanément l'ennemi, coupant et re-coupant a plusieurs reprises le sillage du sous-marin immergó et jetant, chaque fois, des ex-plosifs.Une tache d'huile apparut et s'élargit ; diversautres indices démontrerent quoles coupsavaientporté.'fout se passa comme dans un exercice et,dans ces conditions, aftirma le tiaut degró d'en-traineiuent de 1'équipage.

Unraidd'aviatsurssurIacötabeigeLondres.— D'après une dépêche d'Aoister-dam aux journaux, los aviateurs allié» ont exe¬cute un raid sur la cète beige.l>ix apparcils y out pris part.

LesItalicsellaguerreaérienueRome. Le roi a visité 1'escadriUed'aviationcommandée par Ie gloribux d'Annunzio qui aexecute le raid sur \ ienne.Victor Emmanuel III a félicité les pilotes.Paris. — Dans un camp d'aviation francais,en presence de M. Dumesnil, sous-secrétaired'Etat ; de Tambassadcur d'Italic ; du deputeGrassi et de nombreqx officiers alliés, on a pro¬cédé aux experiences d'un ballon italien d'obser-vation invenlé p;w l'lugénieur Prassono et lecommandant Arorio.

COMMUNIQUÉSOFFICIELSLesFiaeeaiss'emparenlSeFiesnoHls-RopeetSaint-laid

•*^vaa/WVA/UVVVWw^«

MALRRÉ DE VIOLENTJSS CONTRE-ATTAQUESlesBrlitinnlpesprennenthwM,ieeourf,

Monchy-lB-F^uxeté tioinlrasespositionsLEURPROGRESSIONCONTINUESURLESRIVESDELASCABPE

et sur celles de la Somme

FRONT FRANCAIS I26 Amil, 14 heitres. — Actions assezvives d'artillerie an cours de la nuitdans lss regions de Roye, de Beuvrai-gnes et entre l'Ailette et l'Aisne.Deux coups de main ennemis dansles Vosges n'ont obtenu aucun résul-tat. Nous avons fait des prisonniers.Nuit calme sur le reste du front.

Sleamer(oipiliéprésdiscolesd'AuglslgrrjCopanhaguo.—Leministóre des Affaires étran-geres annonce que le vapour danois Hélénea étécoulé lo 17 aoüt, dans lo canal de Bristol.Le premier mecanicien a péri, le reste de1'équipagea été amend a Swansea.

Aproposdu torpillagedu « l.usifania»New-York.— Le juge Mejcr, de la cour fédé¬rale do l'amirauté, a décidé que la Cunai'd LineÏVélaitpa» re.sponsable des pertes de vies hu-r aiffés etllo biens Causécspar la destruction duLmitania.L'arrét rejette la demande des héritiers desvictimes qui perdirent la vic danste torpillage.Le juge a declare que sou enquête a prouvéque le Lusilania n'a jamais été armé et ne trans-portait pas d'explosits.

VISITES INTERALLIÉESarrivés M. le sénateurdes transports, et M.

23 heitres. — De part et d'autre del'Avre, nous avons esécuté deux opé-rations locales qui nous ont permisd'enlever Fresnoy-lès-Roye et Saint-Mard. en dépit de la vive résistanceopposée par l'ennemi. Le chiffre desprisonniers actuellement dénombrésdépasse six cents.Dans les Vosges, nous avons re-poussé plusieurs tentatives de coupsde main.Journée calme sur le reste du front.

Paris. — Hier sontVilla, miuistro italienCresiti, ministro du ravitaillcnient,MM.Villa et Crespi ont déjeuné avec le gene¬ral di Robilant et le marquis Iraperiali, ambassa¬deur d'ltalie a Londres.Rome. — Le lord-mairo de Londres a quittéRome pour Genes, on il a visité les principalesusines do guerre.Le inaire de Rome et M. Marconi se rendrouta Londres lo 24 septembro.

FRONT BRITANNIQUE

26 Aoüt, après midi.— Au Nord deFavreuil,nos troupes ont engagé avecl'ennemi un combat a la baïonnettèqui lui a causé de lourdes pertes. Desprisonniers ont été faits.Plus tard dans la soirée, une nou¬velle contre-attaque de l'ennemi dansle voisinage de Favreuil n a pas euplus de succès. Favreuil est entre nosmains. Nous avo&s progressé au delade ce village.Au Nord de ce village, nous avonsamélioré nos positions au Sud Est deMory èt a l'Ouest de GroisilJes.II pleut violemment sur le front debataille.A 3 heures ce matin, nos troupesont attaqué dans le secteur de laScarpe. On annonce qu'elles ont faitdes progrès dans ce secteur.Sur le front de bataille, nous avonslégèrement avancé notre ligne a che-val sur la Somme et a la suite del'heureuse opération exécutée la nuitdernière, nous avons fait des progrèsdans la direction de Maricourt.Hier «oir, l'ennemi a déclenché defortes attaques au Sud et au Nord dePapaume, dans le voisinage *de Nau -court et de Favreuil. Ges attaques ontété repoussées.

AVIATION. — Pendant Ia journée du 25aoüt, nos avions, volant a basse altitude, ontcontinué de harceler l'ennemi, en dirigeantlours tombes et leur faux de milraiUeusescentre l'inf&nterie, I'artillerie , les transportset les trains.D'autres de nes appareils ont gardé ie con¬tact avec nos troupes et fait des règlages pournotre artillerie. Les missions pliotographiqueset les reconnaissances ont continué comme kl'ordinaire.Nous avons jeté trente -deux tonnesda bombes, pendant la journée, surles embrancboments des voies fer-rées, entre autres ceux de Gambraiet de Valenciennes ; sur les dépotsennemis et sur les docks de Bruges.Nous avons bombarde eiïicacementun aéodrome ennemi.Vingt-cinq avions ennemis ont étéabattus ; un ballon détruit et treizeappareils allernands contraints d'at-terrir, désemparés. Ginq des notresne sont pas rentrés.Une pluie abondante a empéchétout vol de nuit.

FRONT AMÉRÏCAIN

L'OffensiveFranco-Britsnnique

l'ouvquot, rnalgrelos pertes sul.ies par l'Angle-IrW', cette pnissancene semontrc-t-ellepas encorepnu: a it.'gociM'? Pourquoi ne tiro-t-elkvpas lesconsequencesd'une situation déja trés pénlbleelitesaisil-ullepas la main qu'on lui tend? Paree quoles Anglaiss'imaginentencoreque les difficult^ et; les charges fonnitlablesque leur cause la guerre, soirs-nianuosont transiloircs et qu'en attendantunmomentplus favorableil no faut pas ceder auxsuggestionsde tours ennemis,Vmiace que lo peupleallemandne comprendpaseia'ot'f.. Kou, la nation allemandene mesurepas1importancede laguerre sous-maiine. II r-e siiffitpas que les milieux militaires ct deonomique-slel ompreuncnl,il landrail que le peupleiui-niêmeenfut convainni.Lepeuple anglais,qui a derrière lui une longueItisUttredepeuplemarin et commerpant, comprendJiistiiicllvenicntla grandeurde roujeu.DeïmVi -'-ue;•p' ttpleallemanda la plus grande peine e 'm-ttiousiasmerpour une grandepolitiquecommcieialeel mariimte,de mème il n'arnve pas encorea voirque la guerresous-marineest rdellemenlle pivot deloitle i explicationentre les deuxpays.Gv-I a des preoccupations du même genreqit obcil le Lolcal-Anzeiyereu s'elTorcant de dé-|noniief que lo chiffro des tonnes coulees en jjudk'L si .satisfaisant qu'il soit pusqu'il accuse iuue legere hausse sur le niois précédent, est :pourtaut itioins important au point de vue de laeucrre que l'embarras oi'tse trouve de plus en ;pUiMl cjicicmiau point do vue des constructions luuvate?.Kalittellimciit, écrit l'organe pangermaniste, 11!faut soitliaiterqut>lc cliiftrodes bateauxcoulés par 1nos setts inarms rnoiito le plus possiltic, el nousfsperonsqu i) raoutera afin que l'effet produit sur ;uos eiitt'-'iniscroisse lc plus rapidement possible, iMats lesscettcl est que seule la question de lajuamutoeuvre cmpèchedésormais 'tquiiibre se rélablisse'entre les

LesAlliéscostreles BolcbeviksTokio. —Ou annonce offtcicllement que l'en¬nemi a renouvelé lo 20 aoètlune aüaque coutrela première ligne-tchéque, prés do Krecfsky.Les Tcltèques ont été mis dans uno situationdéfavorablo, les Japonais n'avant pas encöroatleint la première ligno (cheque a cette dale.Londres. —On mande de Vladivostock quoles Japonais aclicvent leur concentration aUssuri.Londres.—On annonce aussi de Vladivostock :4 A Evgencvka, nos marins, appuvés par nosautos blindées, ont attaqué les bolchévistés sousun feu violent d'artillerio ennemio et les mircntenfuite. »

Ala FederationduSous-SolPact's. — Le Gongrès des travailloursdu sous-sol a terminé ses travaux hier soit'.Les delegations sont aliens au ministère.La séance de l'après-midi a été secrète.Kous pouvqns assurer quo les mineurs ontrapporté du ministère l'impressión que des ef-| forts» seraient faits par le gouvernement pouri ctablir des bordereaux de sala'ires dans differeu-tes regions,

Les vieilles ClassesIIy a 80,000 mobilisésö la terre des classes88 et 89 a libérer rapidement

La questiondu renvoi des vlcillcs classesne peutpas tarder a être résolue. II convieudrait pourlantque les bureaux hatassent fapplicaliondela mesurepromise.Beaucoup do persoimes commeltent unoorretir cn croyaiit qu'il y a trés pen d'itommes deces vieillesclassesqui Solentencoremobilises. Deselmfresout été fournis devaut les Cbambres quiprouvent, comiuc le fit remarquer M. Abrami,«que lo renvoi dans leurs foyers des boimnesdesclasses88et,89 ne peut se fairedu jour au lende-inatn,m saus graves dilficullcs.»11y a 90,000hommesdc ces deuxclasses—70,000pour Ja classp.89cl «OjOOOpour la classe88-« quisont mobilisesa la lorre. « ]i va done falloir,a ditM.Abrami,que lc mittislrc de l agrieulturerefasseitn plandc mobilisation de ntain-d'o'uvrc agricolepour retrouvevun ■— •»- ' • ■ ■■

Soir. — A trois heures du matin, lestroupes canadiennes, écossaises et deLondres ont attaqué le long des deuxrives de Ia Scarpe, de Groisiiles jus-qu'aux environs de Gavrelle.Sur la rive Sud de la rivière, lesdivisions canadiennes, montant a l'as-saut avec une grande bravoure, pas-sèrent rapidement a travers les pre¬mières défensss de l'ennemi et s'em-parèrent, dans leur premier bond.des hauteurs connues sous le nomd Orange Hill.Malgré les rafales de pluie, les trou¬pes canadiennes ont continué lsurpoussée et de bonne lieure ont atteiutWancourt et Monchy-le-Preux. Dansle tours de la matinee, la pluie ayantcessé, les troupes ont achevé la prisedes deux villiages et ont progresséau dela.Au Nord de la Scarpe, les troupesécossaises, en avantjant de nouveaua travers le terrain sur lequel elless'étaient battues en 1917, ont em-porté les premières positions de dé-fense eimemie, au Sud de Gavrelle,et atteint les lisières de Rceux. L'u-sine de produits chimiques, au Nordde Roeux, est, de nouveau, en notrepouvoir,Sur la droite des Canadiens, lestroupestécossaises et londonniennes,qui, ces jours derniers, se sont frayéun chemin vers Groisiiles et Heni-nel, ont poursuivi leur offensive. Endépit de la résistance vigoureuse degroupes d'iufanterie et de mitrail¬leuses, elles ont réussi des progrèssérieux et ont achevé la conquêtedes hauteurs entre Croisilles et He-ninel.Dans ce nouveau secteur d'attaque,nous avons fait de nombreux prison¬niers au cours de la journée.Sur la partie Sud "du front de ba¬taille, notre avance a continué sur lesdeux rives de la Somme. Des troupes

26 aoüt. —Au cours de combats lo-caux, a l'Ouest de Fismes, nos troupesont gagné du terrain et fait des pri¬sonniers.En Alsace, un coup de main a étérepoussé avec des pertes pour l'en¬nemi.

FRONT ITALIEN26 aoüt, — Activité notable de nosdétachements d'explorateurs sur l'en-eemble du front.Sur le plateau d'Asiago, des groupesbritanniques et franqais ont effectuédes raids dans les tramchées ëhnemieset ramené des prisonniers.D'autres prisonniers, désarmés, etdu matériel ont été capturés par nospatrouilles en reconnaissance, dans lazone du mont Grappa et sur la Piave .Au Nord du mout Tomba, des déta¬chements ennemis ont été repousséspar notre feu.

FRONT DES BALKANS

25 aoüt, — Activité plus grande del'artillerie dans la région du lac Doiran, sur les deux rives du Vardar etdans la région de Huma.En Albanië, les Autrichiens ont, adeux reprises différentes, attaqué lespositions franco italiennes, dans larégion du confluent du Dévoli et de laTomorica. Nos troupes ont repousséleurs attaques, puis, conformémentaux ordres donnés, elles ont légère¬ment replié leur aile gauche pourmaintenir ia liaison avec les troupesitaliennes.L'aviation britannique a bombardédes bivouacs ennemis dans la régionde Demir-Kissar.L'aviation serbe a abattu un appa-reil ennemi dans la région du Do-bropolje.

nombro d'bommcs.équivalentd . v --cciiii qui va ótio completement iibéré. »Daulre j australiennes ont pris Gappy et ontpiu't, il y a cgalementdans Ic-susines des ^hommesJ progTessé a l'Est du villag,e.

Au Nord de la Somme, ellesappartenauta cosdeux classeset qu'il faudra remplacer. jMais la plupart de ces militaires detaches it la !terre, et qui ne 1'ontété que paree qu'ils ont fuurni 1

. .. , ,'es P'èces prouvaut qu'ils étaientagriculteurs:tra-qu un veritable | vaillant a leur compte, restcrönt it cette terre. Far i

i,„„„ . , constructionset les i conséquent,les bureauxpeuvent faire rapidementla I""t t re stfüsm-rinp rp^fpnf f re^ulla,sde l,csogtte nécessaire it la liberation dc ces vieillesiter (lis nerie^iATna»Silu^.,1^ ' Pu'mosat|s I classes et le «nouveau plan de mobilisation agri- ise'nenifsètnn? wUiS .Su!mnouf ««Posonsa 1cole• no sera pas longa établir si l'on v met de la !i'JSira., importentes que le bornievoloiilé'. N'oubtions pas que la class»M)at- iüiJ'no,lsprccuronsparlaa aosarmcest tendsontourdetnlsceusursis,

1temp».

pertes

6e teiïg. iet ccladepuistong-j

sontentrées dans Suzanne. Plus au Nord,les troupes anglaises ont poursuivileyr avance vers Montauban et lestroupes galloises ont pris Bazentin-le -Grand.Sur le reste du front, des combatslocaux ont eu lieu. Nous avons conti¬nué nos efforts et avancé notre lignel en certains points .

En qtielques Mots—KotrotrésdistinguéconfrèreHenriChantavoine,du Jouma'. desUéba's,qui était aussi un remarqua-b'e professeurdo lettres et oecupait la ehaire derhetorique au Lycée Henri-lV, vient do mourir ALyon. C'était un écrivain élégantdont les spirituel-teschroniquesétaient particulièrement appréciées.•—M. Franklin-Roosevelt,sous-sccrétairo d'Etatdo la mar-inoaux Etats-Unis,a été recu it déjeutier,dans l'intimité,par M.GoorgcsLeyguèa,ministrodopt marino.—Lesempoisonneraentspar eitatripignonspron-nent è Vienne un caractero trés grave ct tous lesavcrlisscmentsdo presseu'empécheut pas -les pau-vres gonsdo tenter de remptScer la nourrilure quileur manquepar ces dangereux végélaux.—La GazettedeFrancfort signaleline reclamationdes ouvrtorsdes fonderlesde Nurembergconlre lesrestrictions alimonteiresdont iis ont it souffrir.—Onmandodo Ilucarestque le ministre des fi¬nancesde Roumanieadéposó it ia Chambre un pro-'jet portent augmentation de 300millionsde francspour crédits afï'ectésit la guerre.— Loministrode laguerre finiandais a ordonnóquo la languo finnoise soit dorénavant emplovéocommelangueofliciello pour los commandome'utsd'arméo.

LeMinisiredelaGuerreprussienrPGonnailnoirsvicloire

Dans uue interview avec la Moryen Post, )ominisire de la Guerre a declare notamment ausujet des combats actuals que la question duterrain ne jouo aucun rule; malheureusement,a-t-il dit, on en parlo beaucoup trop.o 11est vrai, a aiouté le ministre, que les der-nières operations n'ont ptts été les succès quenous avions espérés ; nous avons éprouvé quel-ques revers et, disons-le d'un mot, essuyé unodéfaito. Sur le front, on avait, dès lo déb'ut, ad-mis la possibilité d'un échec, mais pour Barrièreun revers semblablb constitue un sérieux aver- itissement, car il nous montre quo la guerre n'estpas encore finie. Nous devons rassembler toutosnos forces pour la conduire a bonne fin. Ce qu'ilfaut niaintenant, c'est repousser les attaques en-nemies et ménager uos propres forces. »

Le citiquième acte de la guerreLa National Zeitung de Bale commente lasituation générale en des termes qui valentd'autant plus d'etre notés, paree qu'ils émanentd'un rédacteur aulrichien qui passe pour rece¬voir quelquofois des inspirations officieuses dugouvernetnent de son pays.Pour rauteur de eet article, nous sommes a lafin du quatrième acte de la guerre et nous allonsentrer daus Ie cinquième et dernier.Les empires centraux ont rassemblé leurs for¬ces et ont essayó d'écrascr leurs adversaires :ils n'ont pas réussi. Désormais, le sort on estjeté. La guerre ne sera plus pour les puissancescentrales qu'une.guerre defensive.L'état-major allemand ne peul pas se dissimu-ler que le tomps déplaco irrésistiblement la ba¬lance on faveur de l'Entente.

BAPAUMELe New-York Herald donne au sujet de Iasituation dans Bapaume des nouvolles qui nesont point en accord actuellement avec les com¬muniqués officicls.Kolce confrère ajoute :La chute de la ville est cerlaine, mais aucuneconfirmation oftlc(e//e de l'entrée des troupesbritanniques k Bapaume ne doit étre espé'óeavant que la ville ait été complètement nettoyéeet soit solidement aux mains de ses ocoupams.Les Allernands sont obligés de s'accrocher kBapaume aussi longtemps qu'il teur >era pos¬sible mème au prix de millions de vies humai-nes. La perte de ce centre extrénumant impor¬tant entra/ne en effet la chute du front alle¬mand au Nord et au Sud de la piace.Cette chute sera/t suivie d'une retraite désas-treuse, car, s'il est vrai qu'une retraite estinevitable sur les lignes actOeilés, il est néces¬saire que les disoos'tions prises pour cette retraite soient como/ètes et notamment que lanouvelle ligne soit dans un ótat d'orgaoisationassezavancé pour recevoir les troupes qui ontpour mission de a'y reporter.C'est ainsi qu'it faut expliquer la furleuserésistance des Allernands. De nouveaux renforts ont. été jetés en hkte aux points les plusdangereux avec ordre do contenir les Britanni¬ques coüle que coüte.

« La plus grande vietoirebritatinique »

Lo Daily Mail écrit .Nostroupes out remporte samedi et dimanchelaplus grandevietoire britanniquede la guerre.Danscetteavance entro Arras ot la Somme, ma-gnifiquementconduite,les 3' et V arméesse sontèngagéesautour des tortorosses et des terre» decombatsdqla batailledè 1916,capturant l'uoe 3pre?l'aulre les positionsde l'importanco de Grancourt,de Thiepval,de Contalmaisonet de Pozières, quinous ont arrêtés pendant des semaiites, certaincsd'entro ellespendantdesmois, 11y a deux aus.Grandes jo.urnées »dit uu correspondant anglais

M. Perry Robinson, correspondant améri-cain de Daily Newset du Times sur le frontbritannique, télégraphie :Nousvivons actuellement de grandes journées,dont la descriptionet mêmele simplerécit est pres-que impossiblepour un correspondant.L'allurode notre avancoest si rajtidoquepersonrtene poutdire on, dans sonensemble,peut se trouver,a un momentdonné, notre lignèavaucée.Toules losdemi-hnures,en ofIet,des iiouvellesarrivent annon-tant quo tel ou tel villageest en notre posssession,ou qu'uu aviateur a vu des uniformeskhaki sut despointsoü nous n'avions jamais songé qu'ils pou-vaient être arrivés,Noscaptures en prisonnierset en canons doiventêtrs trés importantes,mais il serail absurdedevou¬loir les évaluerdès maintenant,même 'jrostnmode.Sur toutes les partiesdu front, on vólt incessatnRnl rirtvnlm» f\Aftflnikt nrinnnnioFc

probablequ'uneopération similaire obligerafinale-ment l'ennemia so relirer sur la Santlnv.Voilè.laperspective des alliés, alors que nous

ment dóvalerdesHotsde prisonniers,« Un mois sans précédent »Coiamentant la situation militaire, le Timesécrit :Depuisquo, Ie 13juillet.lo généralGouraudbrisa,en uno seule raatinée, l'attaque allemandett l'Est deReims,les troupes aliiées ont marchéde succès ettsuccès.Les Alliésn'ont pas eu un mois somblabledepuis le débutde la guerreet les Britanniquesn'ontpas eu urtesemainenareiile a la dernière. Sattfpen¬dant Ie bref espace de temps qui suivit la bataillede la Marne,jamals nous n'avions eu la satisfactionde poursuivreet de harasser des massesde troupesallemandesbattues et découragées.

QuJques épisodesLocorrespondant.du DailyMailauprès do l'arméefranfaise télégraphiea la daledodimancliè:

patient, alors que tant do personiies lui cottseil-laientd'agir. Maintenant1'occasionest venue; souactivitéest si incessant»et si.étourdissanle quo lospectateurdo la guerre a de la poiuo it le suivre.Roubiionspas que le général Heme a Vimy, legeneralGouramlen Champagne,ne sont pas encoremtervenus; êt sqyonsconvaiiieus que leur expe¬rience sera utiliséodes que le momentpropiceseravenu.Le Timesécrit :Lesp -grèsque nous avons faits au Nord de Bapaunn sontplus étoimantset peut-étre plus intportants que les gains realises daus toul autre secteur.Toutes les dépêches qui arrivent -successivementsuggèrenti impressionque le front ennemi se dis-sout. Les troupesmanquentdocceur,elles se rea¬dout avec line promptitude et uno facility qu'ellesn'avaient jamaismontrcesjusqu'aprésent, sur unoaussi grandeéchelie.II est encore trop tót pour évaluer los consequen¬ces de l'elfondrementdo la ligno allemande entreArras et la Sotnme,et d'en pronostiquer les résul-tats. Celapout nous mener loin. En tout cas, son of-fet moral sur la nation allemande est lorcémentprofond.Autantqu'il est possible d'en jugor, !o mouve¬ment en avant des armées britanniquesVa vraisem-blementêtre poursuivi. Depuisle 15juillet, jour oüGouraudbrisa, en unesimplematinee, l'attaque al¬lemandea l'Est dc Reims, les troupes aliiées ontconstammentmarchéde succèscn succès.LesAlliésn'ont pas eu de somblablerésultat de¬puis le début de la guerre et les arméesbritanniquesn'ont jamais eu une semaine pareille a celle quivient de.s'écouler. Jamais, saufpendantle brefmo¬ment qui suivit 16batailledolaMarne,nousn'avionseu précédemment la satisfaction de pourchasseretde harceler, sur une aussi largoéchelie, les massesde troupesallemandes,démoraliséeset battues, quiperdentrapidementtout semblantd'ordre debataille.Puissentces tempsnouveaux et réconfortantscou-tinuer er.core1

La verston allemandeLe communiqué allemand du 25 aofit après-midi s'éfend longuemont sur les attaques des ar¬mées britanniques, affirmant qu'elles ont étébri-sées, mais ajoutant que les troupes allemandess'étaient ensuito repliées, ce qui constituait endefinitive l'aveu do l'avance et du succèsbritan¬niques. II y était dit notamment :FlntreArras et la Somme, los Anglaisont conti¬nué leurs attaques. Due forte infanterie,conduitepar dos chars d'assaut, s'est élaneéo dès le malin(du 21)entroNeuvilloet Saint-Léger.L'attaquea étébrisée devant nos lignesavecdo iohrdespertospourl'ennemi. Nospostesde Saint-Légerse sont replies,conformémentaux ordres, sur les lignesdo combati l'Est de eettolocalités.Desattaquesennemies ont égalementécftouéde¬vant Mory.D'inipo'rtantesforces ennemies se sont plusieursfois élancéescontrenotre front qui passe, a la suiteidescombatsdu 23 aoót, a l'Ouest de Behagnles-Ba-paume-Warlcnaurt.La forceprincipalede l'attaque,oü dé nombreuxchars d'assaut avaientété engages,était dirigéecontra Bapaume memo; les attaquesont été brisées .L'ennemia vivementpressénoslignesqui avaientété rantenées au dela de l'Ancre,et l'aprésmidi(du 24)i! a débouchéde Courcolottoct de Pozièrespour attaquer Martinpulchot Bazentin. Los trou¬pes prussieunesont contre-attaquéle flancde i'on-nemi et 1'ontrejeté au dela doPozières.Par plusieurs fortes attaques, l'ennemi a essayóde percer nos lignesa l'Est d'Albert a la Somme.L'adversaire a de nouveau utilise de nombreuxchars, d'assaut qui ont attaqué jusqu'a six fois lecentre du froht do combat.LosPruss£ens, les Hes-sois et les Wuriembergeois1'ontrefouléjusqu'a laBoisselte,au dela de la route Albcrt-Bray, en luiinfligeamde'lourdespertes.-Noslignes, qui, a lafin de cos combats formaient ia un saillant forte-ment prononcé dans les positions ennemies parrapport a l'enssmblodu front, ont été ramenées eaarrière pcudant la nuit.

LAGUERREAÉRIENNE21 raids en terrltolre allemand

cette semaineL'Aliemagne n'est plus en mesure, malgré sesefforts, de défendre son immense frontièroaérienne c-ontreles attaques des Alliés.2i raids ont eu lieu cette semaine. lis se de¬composed ainsi : Francfort, Cologne, Treves,Mannheim (2), Coblentz, Boulay {fii, Bulil (3),Volklisgen, Hagenau, Sarrebourg (2), Dillingen,Burbach.

Sur la rive Nord do la Divette, a l'Est du Plé-mont, un jeune officier francais et ses hommesse trouvaient depuis trois jours dans une posi¬tion oü il était impossible de leur faire parvenirdes provisions par les moyens ordinaire», car loterrain, descendant jusqu'a rivière, était con-tinucllement battu par le feu de l'ennemi. Leurscamarades réussirent cependant a les approvi-sionner en leur passant des boites de conservesqui étaient iancees de trou d'obus cn trou d'obus,Quelques francais virent un officier allemand

—Unonote du ministère d'Etat cspagnolannonce i ?bat.tfed'un coup do reyolver.un homme qui re-que rAUciuagnea aceovdëune indemnitéde t>50,000 'usait davancer , maïs co memo officier futposetas a la familiedu compositeurGrsuados,qui abattu a son tour par ses propres hommes sansperil victimed'un torpillage. Cette r'parklion a fait que les autres officiers s'interposassent. A Ville-1objetd un acto passé devautnotaire. i val, un soldat francais grimpa sur le toit d'une—Une mission syro-arabc vient d'arriver en niaison et lanca des grenades dans la cheminéeSuisse,chargéede faire do la propaganda en favour i Want los Allernands- qui se trouvaient a l'inté-de la Turquio.—Oa annonce la mort du généralNicodieStoia-novlteh, commandantles troupes serbes a Gortou.—MmeGasnaultagée de 28 ans, demeurant kMauthelan,prés doTours, a été tuéo k coups demartoau par un individuqui s'était présenté cliezelle sous Ie prétoxtede lui donnerdes nouvelle» deson mari. actuellementaux arméesson mari, actuellementaux armées.—Deviolents incomlies sévissent quel-depuis qiques jours dans les loreis despremiers coutre-iorteduCauigou, " -

neiu'.

Opinions BritanniquesLe Daily Telegraphécrit -.Depuislo commencement de la eonlre-offiuisivefranyaisedu 18juillet, la transformationde la situa¬tion a été remarquable.La monaeocoulre Paris etles ports de la Manchea complètementdisparaC'estmainteuautnous qui menafons l'ennemi. SfFoch a réussi si aduiirablcment a forcer I'ëvacu®-tiondyssailliatsdoU Marnect dAmions,U est.

Et ya leur fatt une impression énormeD'après lo correspondant du Times a Rotter¬dam, un voyageur récemment revenu d'AUema-gnè a donne les détails suivants sur les derniersraids executes par les avions alliés sur Cologne.Ualarme fut donnée vers six heures du soir,peu après des bombes furent lancées sur uugrand édiiico public ; d'autres bombes tombé*rent peu après avec des résultals visibles.Ce raid. suivant de prés les revers allernandsdu front occidental, produit une impression^norme sur la population.Au cours du dernier raid sur Francfort, le toitd'un hall de la gare aurail été entièrement dé¬truit par les bombes.A Coblentz, cinq a six vastos hangars a char-bon ont été delimits par les aviateurs alliés,Le bombardement de DytnkerqueAprès un bombardemcöt a longue, portee,Dunkerque a subi pèndanl la nuit deux attaquesaérienues et une attaque par merLa defense parait avoir été trés cfücacc, caron ne signaie hi victime ni dégats.Un avion allomand coulé

sur les cótes danoisesUnaeroplane allemandcomplèlenieut désemparéa coulé vendredi au Noril d'HcIsiugorsNNustleuxpilötesont jm être n-pêciiésa tempset trausporté»dans un hópilaldanois.Le bombardement de KarlsruheSuivant un télégramraede Karlsruhe,a la Gazettede Francfori, 10avionsbritanniques ont bombardócette ville Ie 2uaofit, a y heuses. La jilupart desbombestombèrent sur Ia Jianlieue, mais atteigni-gnirent desmaisonsqui furent considérgltlora»:l en-dojnmagéés.En un point, 9persoimeshu . it s,4 gi-ièvenionlblesséeset 3 legéreineut.5 aviuu» cu-nc-misfurentdétruits.

302avions autrichiens abattusdu lei' juin au 20 aoüt

On télégraphie de Rome :Entre le l" juin et le 20aofit, 302avions ennemisont été descenduspar les aviateurs italienset bri-tanniques.Jeudidernier, un grand avion ennemi,qui tentaltde bombarderVenise,fut atteint par notre feu dabarrage. II tombadans Ia mer et fut rcmoiq.i■ius-qu'au rivagepar deux torpiileurs.Deukinilntulvur»fiutnt tails

Page 2: LePetitHavre...Le,PetitHavre~Mardi3vaqM1948 ChronrqueParisienne Paris,SSseüt. ArrivéAI'sris,eematin,avec«leuxhcures«Ie retard—daiue1e'cstlaguerreet,commeen …

Le, Petit Havre ~ Mardi3v aqM 1948

ChronrqueParisienneParis, SSseüt.

Arrivé AI's ris, ee matin, avec «leux hcures «Ieretard — daiue 1 e'cst la guerre et, comme entemps de paix, on a déja vu et on reverra cev-taincment des retards phis rapressiennants ; ilne taut pas s'en faire — j'ai retrouvé a 10 lieuresdu matin, sur une temssc eélèbre du quartierSaiut-Lazare, M. Joseph Crochemore. Mon amiétait aussi sombre que Je eiei était clair.a — GarvoB, criail-il, de la place 1 Comment,SI n'y a pas dc glace V C'esF un ewmdale 1 Alorsmi siphon 1. . . CouiiBent il n'y a pas dc siphon ?Et vou3 voulez que je vous pale 1 Sr. öö unexport-cassis ? Cest du vol 1»Et me prenant a partie porsonnellement derantle gen -on goguenard, M. Joseph Crochemore metint co discours :« Et voila oü nous en sommes après quatreans de guerre 1On a beau changer les roinistrcsda ravitaillement, nous sommes toujours aussimal servis. Ah 1 toner, mon eher, voire Boi'ctme fait regrettcr Sembat. Sous lc regno dc cesocialistc, on manqua sans douto de charhon,mais il y avail de la glace ct de 1'eau a ressort,it qui oentribue, quoi qu'en en rmisse dire, Afaire supporter la vie, par consequent a maitttenirlc moral de Barrière. L'cau dc Suite, aurait ditM. Joseph Prudhonmie, men grand —le hrcuvagc des bous citoycns.— Croyez-vous,osai-je risq uer. que la privationdo' ccs superflus art aidant d'iniportauce que voir»lc prétendez ? II fan* bicn s'imposèr quelqaesmodifications pour la Patrie.— No doutez pas dc mou patriotisme, me ré-pondit M. Joseph Crochemore. Mcs ills et mesgendrcs soitt au front, j'ai verse tout mon or a laIlanque dc Fiance, j'ai souscrit aux cmpruuts,j'achcte vos Bons de ia Dcicusc nationale, maisje n'admets pas que les Administration's publi-qtics soient si mal organisêes, qu'clles s'avèrentincapablcs dc nous fouruir toutes cheses doatboos avoas besoia, — bos pas quVlfcs ina-a-qut'üt des moven s de nous les procurer, marsparee qu'unc mau valse- méthode est a la. base detoutes kis repartitions. En vérité, je vous le dip,les collaborateurs économiques. de M. Ctómen-ceau ont réajisé jMnemeat ee régime de l'inco-héreoce contre Iequel le vieux polémiste a si vi-goureusement fufeninc naguèrc dans ses écrits.11n'y a pas que la glacé et l'eau dc Seltz qui scraréfie.nt paree qu'cu en empêche la fabrication,'fout devieut introuvable. J'attendais voire re¬tour do vacances pour tamer,' car je ïi'ni pas tmine procurer- des -cigarettes ou du tabac-. .Et je suisqua la Chambre. . .— Complez sur mei, men eher ami. Je vousforai cependant rtrnarquer que les garqons deea'fó out tous des cigarettes a voire, disposition.— Parfaitemenfr fit M. Joseph Crochemore,mais ils veudout 2 francs uu mediant paquet do70 centimes et c'esl dc l'abus. Je no eomprendsmème pas que le ministre des finances, M.Klolz, qui est certameKieaJ au courant du tradescandaleus ouvertement pratique sur los tabacs,en dehors des debits comme dans les debits, n'aitpas organise uue surveillance et réprimé cesah us,— Klotz a bicn d'autres soucis !— II y a temps pour tout et lc ministro dosfinances et -des tabacs devrait s'occuper de l'ex-pImitation des fuuieurs. Tenez, je vais vous ra-eontcr une histoirc qui montrera a ces messieursdes Ligues antialcooliqucs comhien est grave lacrisc du tabac, dont sans duute queiques-unssont aussi les «mentis. Jc connaissais un fortbrave homme qui ne iuiuait pas Ja pipe, commevous et moi, et auquel l'odeur du caporal parais-sait trop acre. 11u 'avail qu'un vice ; il grillaitvingt cigarettes dc maryland dans sa journéc.Ii n'allait jamais au cafe et s'absteuait de toutalcool. Bref, c'était un homme rangé, comma ondit. Le maryland ctant venu a manqucr, il s'a-donna au caporal ordinaire et finit par s'y habi-buer. Mais il conaut bientót les rcbui&des desburalistes : li n'y a pas dc tabac. S'étant renducompte que les clients du debit qui prenaientdes consummations reccvaient discrètement leur «provision, le brave homme se fit violence et iibut un vieux marc, pour avoir des cigarettes.Quelqucs jours après, en dépit du vieux marc,il ii'eiU pas dc tabac. II en absorba un second etl'ecut promesse dc cigarettes pour lc lendemain.Petit a petit, l'iuforfuné en vint a absorber petitsverres ét apóritifs et il y prit gout. Le besoin delumer l'entrama dc débits en debits et il devintivrogne. Son nez comments a devenir rubes-cent. Aujourd'hui il ne dessaoülc plus, toujourspour avoir du tabac. Et voila un hosnête hom¬me complètcment dévóyé par la laute dc M.Klotz qui n'a pas régie la distribution du tabacet qui a toléré les odieuses machinations desdébitants-bislrots.— Tout cela, mon cher Crochemore, n'a quebien peu d'iniportauce en ce moment. Votrcbrave homme se corrigera dc son ivrognerie ctvous limine, vous vous passeriez trés bien dclumer et de Loir* irais, s'ii le fallait, pour ha¬ter le moment de la victoirc, puisqu'elle nouslibérera de loutes bos privations et do tons nospetits ennuis. 11 no faut point considérer leschoses et les gens a un point de vue tropégoïste. La vie de chaque individu a si peu dovaleur en ce moment, au regard de eelle de lapatrie et en consideration dc la liberation totale1humanité 1Pour quoi vous c-xagcrcr 1'impor-«SLircedenos prop re s ennuis 'Preriez done exempie•ar le stoïcisiim admirable de nos soldats. lissoulireiit plus que uous et ils out lc soufirequaad même 1

Mais comme le garcon venait enfin d'apporterdc la gkee, M. Joseph Crochemore rode vintcalnic et souriant, I! no fit mèiae pas attentionaux tirs do barrage qui couronnaient Montmartrede fiocoas blaues. . . Celaieut dos photographes.

Jean Jacquemont.

LARECONSTITUTIONde l'Université de Louvain

Nous svons dit, a cette place, que les eruautéseommises en Belgique dans les premiers moisdo l'occupation alhanande, furent les conséquen-ees d'uu système de lorrorisation froidement ré-solue, iguoniinieusement calculéc.II anparait notamment que l'incendie de Lon-vain, la destruciion de son admirable Univcrsité,Tanéantissement de son incomparable bibliothè-quo, furent le résultat d'tine resolution do destruc¬tion préinéditée dans le bul de prémunir l'arméeallemande contre les risques problématiquesd'unc rebellion des grandes villes beiges.Contre ee crime monstrucux, contre eet at¬tentat perpetré a l'égard dc -cc qu'il y a do plusnoble, la pensée des grands phïlosophes et dessavants, le tnoudc — celui qui «est pas sous lejoug de ia Kultur s'entend — s'est soutevé d'fat-dignation, et il est apparu a de nobles espritsqao s'il n'était pas possible de reconstituer letrósor inestimable que renfemiait la bibliothè-que de Louvain, il était néanmoins indispensa-}>!ede dresser a nouveau l'incomparable monu¬ment que furent les Halles de Louvain, dc legarnrr do tous les livres rares que l'on pourraitréunir et de faire revivre eet admirable foyerintellectuei qu'était — que sera a jamais —l'Université dc Louvain.Dans eette généreuse pensée, des hautes pcr-sonnalités des nations alliécs et neutres se sont

oncle i mises ii IVrirvre, et lour travail, déja fécornl en' " rósultats, a étó niestionné officiollenient en uncsolennité memorable qui a eu lion luntfi aprés-midi dans la salie dn Grand-Théatre du Havre,Sur la scène, paree de verdure ct dc fleurspar les sofus de la municipality ct au-dessus defaquello llottaient les drapcaux allies, avaieatpris place, aux cötes de M, Pou'let, miaistre dessciences et. des arts de Belgique MM, EtienneLa-my, secrétaire petpéfetel de ï Académie francaise;Imbart dc la Tour, dc i' Académie des sciencesmorales et poiitiques ; Mgr üeploige, présidentde riristiiut supérieur do philosophic do Püni-vereité de Louvain ; Gcorges-Henry Nettloton,directeur fie llhiion universitaire américaine,professcur a l'Université de Yale ; Henry Seehol-zer, merubrc du grand conseil de la ville dcZurich : don Gabriel Palmer Verger, aumönierde S. M. le roi d'Espagne, visiteur royale de lamission espa^aole ; 1cgénóral Harts, do l'arméeaméricaiuo délégué Uu general Pershing , le gé-néral Nkbolsoo, commandant Ia Base anglaisa ;lc géaérai Détign-j', commandant la Ssrógibn ; legeneral Leman, le héros de Liége ; le capilaineCresstat, de l'arinée américaine,La salie était garaio d'unc assistance conside¬rable parmi laqudle on remarquait, outre lesmembres du gonvermmicut beige et du corps di¬plomatique. les autorités chiles francaises, lesautorités iniKtaires ti'amiaises etalliées,. leshaatsioacliamiaires beiges et «si grand bqomh« de m-tabiiités do Ja seciété havralse, apparteiiant annioüde des lettres et des arts.

Allocutiontie0. PGÜLLETM. le ministro des sciences ct des arts, quis'enorgueiilit a juste titre de sa quaiitó dc profes¬scur de droit a l'Université de Louvain, a toutd'abord pris ia parole pour remercier les Allies etlos neutres des encouragements qu'ils v-eaaieatapporter au gouvernement beige, au jour oü,dans uu douloureux aimiversaire, allaient êtreseollées les assises d'uno oeuvre de solida.rité in¬ternationale saus exemple dans liiistotro.La Belgique, symbol e d'une cause qui re-garde au premier clief l'humanité toutc crdièro,la cause du droit et du respect a la parole don-nee, n'a jamais faiili a ses devoirs, et 1'AlIo-inagDe eKe-mème a dü le reeonnaitre.El c'est pourquei le postulat d'unc paix justeet durable, est te rétablissement dc i'Iudépen-«lancc de la Belgique.La caèse des Allies, se confond avee cello dela Belgique et heus les pays sont solidaires daasl'infortune qu'est la destruction de Louvain.Aujourd'hui, le monde s'unit dans une tcu-vre de rémovationj et M- Poullet énumérequelques-uus des dons précioux fails soit par lescorps «ons tilth's de Franco et de l'étranger; soitpar de nombreux savants, et par de géaéreux bi-bliopfflés.Que tous en soient. reraerciés 1A MM. Ktienne Lamy, président, et Imbart dcia Tour, secrétaire du Comité francais dc Lou¬vain, M. le ministre exprime (out partieulière-ment ia reconnaissance du gouvernement beige.Aujourd'hui, le succes du but qu'ils se soatproposé est assure, grace a ia noblesse de ee hutet au prestige universe! des sociélés auxquellcsles pratagouisfes de l'ceuvre de renovation appar-tiennent.Puis, en mie éloquente péroraison, M. lc mi¬nistre Poullet salue les représentants des annéesalliécs, les délégüés des universités anglaises,américamca, neutres, et les assure de la grati¬tude du gouvernement tout entier.

Discoursde i. EtienneLAIUM. le secrétaire perpéfuel de l'Académie fran-Oaiss ailait ensuito prönoncer un discours d'unebelle tenue philosopliique, résultat admirabled'un raisonuement tout a la fois simple et puis¬sant.Après avoir precise quo c'était bien au Havre,refuge du gouvernement beige, le, lieu oü l'onput remucr les cendres de Louvain, il énuméreles portos inseparables causées par la destruc¬tion de cotte belle cité.La bihliqthèquo d'unc univcrsité constituc lesarchives d'une pensée, et plus celte univcrsitéexcel ie en cortaincs recherches, plus son actionest grande et fertile. L'Université de Louvainvouiaitètre la gardiennc des sciences religieu-se.Sj et Pórateur évoque combi en précieuseséfaient ses collections sur Thistoire des reli¬gions.•.Les études y éfaient suivies et poursuivies, etlïnstifut de philosophic y avait étó renové par

uiLoiilaMédaille Militaire

La médaille militaire a étó couférée au soldatGeorges Vern, du 04' régiment d'inlanterie,C. M. 3. avec la mention suivante :Excellent «itrailleur, d'uu devourment et d'unebravouro rcjuarquablcs ; s'csl distingue dans toutcles affaires auxquelles ii a pris part, a été grièvc-ment blcssé a son poste de combat en ti'ligne.Cette nominalion comporte Faltribution de lacroix de guerre avec pal ine.Jeune soMat de ia classc 18, M. Georges Vernest le neven de notre conciloyeu M. Ad. Vern,président dc la Société La l'lotte.

Citafians a l'^edre <1h <!anr. Le soldat Théophile-Albert Duboc, du 4°zouaves de marche, a été cité cn ces termos :Grenadier trés courageux, a cu une altitude su¬perbe pendant la periode d attaque et de violentsbombardement du 18 au 23 juillet 1918, a eontribueeffiqaa-ment, par son adresse ct son sang-froid a laréduciion de plusieurs eenlaines de mitrailleuses eta la capture d'un grand nombre de prisonniers.M. Albert Duboc était, avant la guerre, ou-vrier voilier. II est dmnicüié chez M. banniei-,soubeau-lmc»quaiUuublaidic,4A.

un maïtre, le cardinal Meicier.Ce qui a été délruit c'est une méthode dcva+t, line activitó incessanle.Pourquoi ce mal a-t-il été- fait? M. Larny, pre¬cise alors quo ce fut dans Ie soul but de terrori¬sm' lo moxde, ct, après avoir montré commenttoutes les puissances morales de I'Alleniagnesé rcfusèrent a renquête, il recherche qu'clleest la raison de cette déraisou.II la voit dans cc fait que toutes les nationsconsentent a ètre jugées sur leurs actes et quel'AUemagne n'y consent pas ; s'estimaut parfaite,eBe préteud qu'clle n'agit pas mal, qu elie ac-coiHpiit un acte de civilisation en supprimantdans chaque individu ses faiblesses, ct, par unedeformation de l'inteHigcnce, une aberration dela conscience, eu arrive a la destruction de toutemorale.Certos, certains docteurs ont parlé du respectde 1humanité, mais le caractére de celte raceest la brulalité, et elle n'a cru a la morale, audroit des faibles que taut qu'oHe a été feible.L'oraleur fait ensuilo le procés des Hohcn-zollern et montre par suite de queUes circons-lances la foule allemande communie dans cettepensée que le droit n'est rien, Ia force est tont,que le mépris des conventions est unc laqonde servir fiutérèt.A l'Université de Louvain qui a enseSgnc lamiséricoi'de, le pacifisme, lo droit, la justice, iifallait imposes* le silence puisque c'était unavantage pour l'AUemagne. La di'-truiro, c'étaitpar un svjnbole pï'ouver la force aliwnanée.Mais les Allemands oat cberchc un prétextepour justiiier celte iuspudente pensée, et ils ensont arrivés aux measougos pour expiiquer leCrime.Et dans mie daiiectiqu'c admirable, M. EtienneLamy rappelle que nulle part on n'a mieux ensei-I gné qu'a Louvain les doctrines qui rendent lesj hommes bons les uns pour les autres, et que, sij cette Uuiverstté a été frappée par l'adversaire,I c'est que eelui-ci vouhut êlrc certain que sa! voix ne s'élèvera pas contre la docüine alle-i mande,j Tous les peuples ont le droit de la faire vibrerj a nouveau et c est dans cette pensée que lTnsti-i Uit de France, couv-ic tous les amis du droit ai lieparerlemalqueiepeupleaiieiiKimla causé.

Aujourd'hui le succes est certain. Louvain re-rivra I

RapportdeM. IMBARTDELATOUREn qualité de secrétaire du Comité fraiujais,M. Imbart de la Tour, de l'Académie des scien¬ces morales et poiitiques, fait un long esposé dubut ct de Faction du Comité.II rappelle Jos peries subies ricbesses aecu-mulées de siècles dc reflexions et do travail dis-parues a jamais .Aujourd'hui, partout des initiatives généreu-ses se stuit spontauément manifoslées ; un effortinternational est realise. Im Franco qui doit lcplus a la Belgique s'est mise a la tête ue ce granddevoir de régénération. Tons viennent offrirleur concours : pensenrs, poètes, historiens, sa¬vants, artistes, jurisamsultes, pubücistcs, éco-nomistes. Toutes les nations alliécs et neutrestéiBöignent de Jour solidaritó. L'humanité quipense s'est inclinéo vers l'humanité qui souffre.Actueilement 209 adhesions represented 24eïats et cénuisseut les noms les plus illustres.Auteur dc la Belgique s'est faite 1'Union sacs'éedes intelligences du monde, aussi Foraleur salue-t-il l'entonte des esprits dans Foiuvre internatio¬nale de Louvain, hommage de gratitude ct d'ad-miration pour J'une des ainées des Universitésde I'liuropp, pour Puil des corps qui ontiemieux servi la culture mtellec-luelle.

AllocutiondeM.George-HenryHETTLETGNEn quelcfues mots témoignant d'uno profondeadmiration pour la Belgique, et que soulignentdc vibrautes acclamations, Af. Neltleton parlodes sentiments sincères des uriiversiiaires amé-ricains pour l'Universitó do Louvain. En s'excu-sant; de manier malaisément la laugue francaise,l'orateur est convaincu qu'en l'oaeuronce tousles amis de Louvsin parlent 1a niêmo langue.Les universités et les colléges des Etats-Üuis,15,000 étqdiants américains üctuelleniont. enFrance au service militaire,, protesleut contrela destruction de Louvain.Cette. destruction do l'Université est un attentatcontre la civilisation latino, et les universitésamérieaines se réclament de cetto civilisation.Les grands mots que l'on admire lo plus dans ialangue «uglaisc. ; Liberty, équaHty, Iralcrnity.nosont-ils pas d'origine latino ?« II en est un encore, dit-il, qui lui aussi estd'origne latine.et résumé tout ce que nous cher-chons et que nous ani ons : la Victoirc 1 ».Puis l'orateur témoigne de son .admirationpour la noble attitude qu'eut lc roi Albeit, espresence de Fultimalum allemand, et dans unebelle envoléc saluo Je cardinal Herder et lepeople beige,

AHcotitiofideM.HenryS£EHQi,Z£RCost en proclamant le droit a Insistence,qu'eut la Suisse et la Belgiqne, en rappelantqu'en 1870, les armées de France n'ont jamaisviolé la neutrality dc'ses voisines,que M, Se.eho).-.zer, vient apporter le téiuoigaage do la solidari¬tó de la Suisse dans Facte de Jénova lion dc l'Uni¬versité de Louvain.« Vous avez sauve le- principe do la moralepolitique dn monde, dit-il, vous avez sanvé lacivilisation latino. Si le monument s'est effondrö,l'muvre reste debout par ses professeurs, parses disciples, car son esprit est indestructible, sapensée est immortelle. »

AllocutiondedomGabrielPALMERReprésentant de la pensée espagnole, M'. l'au-rnónier du roi Alphonso vient. dire, au mm deFEspagoe, «es sentiments d'amour et de tcudres-se„ poussès jusqu a leur derwière limite, pour lacbeva!e®esque Belgiquo. il le fait ce termos cha-leureux, vibrants.C'est que l'Espagne a envisage la cause deBelgique, comme cello du droit violé. L'orateurfait, en tenninant, 1'apologio fle la Belgique ct deson Univcrsité, avec iaquelle l'Université dc Sa-lamanque était fiére d'éehanger ses pensees.

Discoiii'sè

Select -Pu luceLes vatitants mulités de la cité du Havre n'ou-BÖeroat pas que la recompense qui vient d'être dé-eernée au lir regiment d'iirtanterie procédé pour Auiourd'hui relacke Dcmain solrée AS h ti9une large part des tiaditions de bravoure qu its a. L.r ^ , 'Z'nous ont liijtueos, ei du passé g!ij»'feu*dont ils j,,. 1 Continuation du tres ,o!i programme de ia se-rent les artisans. j ma.'üc, comprenant : JLa Petaie VcndenacLear page fut ia plus belle, cette du sacrifice; ! ** Janrwuax, La Loire m Brctagne, Lemes soldats fe savent et soul fiers d'avoir parfait j tïi'al ée Pkilémaiil , Bobby philanthrope, Derniè-

paver ; res Actualité s de la Guerre au iottr le iour. —l'i'iuvrc de giotie de leurs anciens. Hs feront pavereher a l'ennemi lo ma! qu'il vous a fait.tls'conliiitiHioni, saus faiblti a suivre, pour la vic¬toirc de la I'rance, la Toii! gtorieiise du sacrificedoet vous étes les "examplesvhauls et magnifiques.En leur nom eï au mien, merci » tous et de toutnoire ecenr.Recevcz, Monsieur lo Président, ['expressionmes seatimeuts trés affeetueux.

Signé

de

rre uu jour le jour.Attraction s Tbumb* ï (American eccen-! trie musical potqvourri). Débuts de la chansonfilmée ; Le Chewier d'Amour, cbantée par MileMireille Baïa. Location ouverte fous les jours despectacle.

WEIILEH.

ïneoi'perafioH «lc .Iruurs KoldufNdaan les équipaacH de IaUn certain nombre de jeune» soldats de la classo1920pomront ètre, aprós domende formulée devautle ConscMde revision, ineorporés dans Tarmée demor {article 36, » 3, loi du tl mars i90§).Four recevoir cctte affectation, ies intéressés de-vroct ètre reconnus aptes au serv ico armé. Les com-mis et surnuméraires des l' T.T. pourront seuls,par exception, ètre admis bien que elassés dans loservice auxiliaire.

ront mis en route en mêine temps qua le contingentile Farinéo da fonro et rejoindront, sur l'ordre doleur coniruandant de recrufcaient. un port militairedo Jametropols.

TtesiseSÏC'S «5eRout prisouniers et ontveHeYlidorFieiTa

Prisonniersdonjié dc leurs nou-

Tref, 62. rue du Petit-CroissanLt'allec, 8, me Bard.

8. CA1LLARB,pitEMEH'IlTISïl,17,m ftrii-TLÉrtii

Communicationdc!aMaïrïeft e «o iiv «».l!«Mit<»n I, «ies Citftes«t'alimeulation

Il est uapfwlé que le renoeveilement des cartasa'alimentation s'opace dans les six bureaux. indiquéssirr les affiches, par ordre alph&bdtiquodes noms defitantie, dopnis hier 26.j.iïs mmhm doet tas noms commonront par laleltro B swA invitdes a s'y présenter tes -27et 28 ;par lalcttm C, les 29 ct 30 ; par la lettre D, les 31aoul, 2 et 3 septeinbro.i.e dimanche anali-i i" se.piembi'c.ces bureaux res-'leront om erf's-de 'Micurcs-ü midi, pour ies person--nes-qm ne pauriiidect se présenter a leur ordre ai-•phabétiqu..-.

CUi.zió3r6a.ci>22, rue de ParisKURSAAL

Tous losjours, permanent da 2 li. 112è S tl. 112£9 rts ü 8 /i 1/2

L'HME DE BRONZEir' époque

Grand Branie prdriötlque en 2 époques

par William S. iiear

PROTÉA (2' Episode)

WBmmmmm LE TUTEUR

ilPIl£Slil

14,rissÊl-laiüsAvc|<>«ï'ti*S» ,:f ;

and drame en cinq partiesinterpret'' par M" J*s-eEldviob<.-!jfcaTRBn'A-au,Ey.

ESi ,Vü E»a:S'4 tm ï F.L'OFFSSSIVE82 FICARBISGEORGETbUrasKwssl|t»BitsA.JÖS8ISoiree a @ ficores 1/55

COQUELUCHELorsque les quiuies de Coqueluche diminuent,dormez a vos enlauts pour les rétablir rapide-ment l'lolliie «Im SÏ«c5«-ub* E839V, abase fFflyiwtphosphites, reconstituant des plus'éuergiques. Dépot au PILON D'OR, 20. piacode FHètél-üe-Viiie,

FAITS LOCAUX

OCPLOIMUuiversité do Lou-exprimer sa gnati-

Au litre de professenr-devain, Mgj' Depteige, vleirttude a tous ceux qui veuleiti faire rcvi-vre cetteUuiversité,II fait le récit do la destruction des Halles donlil fut le témoin aflligé, retrace lc tableau de dé-soüatioa qu'avait devaut les yettx le cardinalMertócr lorsqu'il posait cette question : Les ro-verrons-nous debout ?Alors en supputait l'aveiiir; aujourd'hui, lespeuples prennent solennclïonieiit Fengagemeiitdo restaurer l'Universitó.Puis, en des paroles qui vont au cceur de tous,i'éminent prélat, évoque le grand róle qu'a tenuet que tiest encore si nobicment, le cardinalMercier.Quelque jour proclie, les avions allies iront aLouvain porter les discours prononcés aujour¬d'hui, en témoignagc d'une résurrection procbalineet ce sera un récoufort pour les professeurs etles étudiauts.« En celte magnifique oeuvre de solidaritó, dit-il, vous confirmcz que la science no peut s'af-frauchir des luis de 'la morale.« Ces marques d'estimo du monde savant enlégithnant la fierté de l'ünivorsilé de Louvainsont pour elle les plus précieux des encourage-menls. »Et l'orateur, après avoir avec beaueoup dcpondération, inoutré comment lc sac do Lou¬vain, la destruction de Reims, le crime du Lrni-tama, Fahafege des arbros dc France, laisaient.partie d'un plan d'eiisen.iblc, proclaroe que lahitte actuellc aura pour résulial le maintien desinstitutions qui élèvent les Iiommes au-dessus desBaibares.Tous les Allies out fait lc sermon!, de les dé-fendre et serout jusqu'a la mort les championsde l'humaiiité.Après ces allocutions 'dont nous ne donnonsqü'uu laiblo apercu et, qui furent cbalcureuse-nient sqtplaudics, M. Poullet «'excuse de ne pou-

itee Pccainpoise, Juliette Favev, agée de 49 ans,demeurant maintcnant rue Ferrer, bf, au Havre, aété arrStée dimanefce au marebé du Rond-Point.Cette feinmo venait de s'-approprier un coupon dedentelles et une pai?o de bas places a l'étal dcIn ! *'■ Levy, marchand do noavcaatós 9, place desflaüfis-iCentralgs.—;M. Gustave Bricbot, agé de SS ans, demeurant•quai Colbert, 55, exeresnt Ta profession do jounia- ,

du navtirc (?...,foi'tcment contu-

sioniie ari pied.gauobe par un bossoir d'cinbareattön.31a «Héconduit, par les soiris de ses patrons, MM.Uaillard iréres, a niójiitiU Pasteur.

somcfAüPAYSDESF0UBRUHES'^0* Enüüatinée: SASSGHet DALELA

CSIiié-Palsce 223,rastieKormandieTons les soil's, a 8 li. J jb

I-ES DEUX Cite MINSGrand Itrama tócu, cn 3 parties

LA,PENDULE DE L'ONGLEFMO * épisode

Etc., etc*. — ' — —

fBulletindes (Smiétés-Synflical ée I'Kpicj^ie «Ia IfavrcBéuinon mensuelie lo mercrc'di 28 courant, a17heaves 30 trés precises.Ordre du jour : 5. Lecture du precis- verbal de laderwióre séance ; 2. Leoéure de la cerrespondance ;•3' Huile* d olives tunisiennes ; 4. POtes aliinenfaires.et riz ; 3. Examen des nouvelles taxes : 6. Federa¬tion des Syndicate de l Epicerie : Congres l 7. Pro-.posilion et admission de nouveaus membres ; 8.Uuestious et propositions.

Syndicat dtï dn Havre e! de®cHvirofis (toutes sections). — Réunton généralemereredi gg aufrt, a 8 hc-ures 30 dn «oir. Haison dul't uple (ftond-Psiut).■Gidredn jour Nouveau barème des s&laircs ;Conditions dc Travail ; Questions,.*!ivei ses.

-tuf' -.."u.'ci>, c:, i.ü!! i;i proieslier, se trouv.ut, dimanche, a bord«ctnellement en réparation, avété U

— MarcelPaquis; sans profession, ;igé dc 54 ans,fiemeurairt ruo Saint-Romain, cn prenant un baiuöc mor, a ótc biessc au pieê gauclnH a étó astmis a i'Hospice General.— MileMartlic Berlin, agee de 13 ans, demeurantrue Gustave-Flaubei'l, 90, en travaiHint chez M.Courtin, fahricaat d'eaux gazcuscs, rue Bcrai)ger,18,a été vlrtime do l'rélatement d'nn siphon..Fn des fragments -da'verre 4'ttieignit a la gorge etlui fit une profonde. Ideesure qui nóGessita soa ad¬mission a I'Hospice Géiiéral.— M. Elisée Lo Marchand, juurnalier. onteinaireüe Fécamp, ;\gé do 30 a«s, demeurant rue du Grand-Croissant, 28, a été vietrme d'unc regrettable mö-prisc.Croyant boire du f-idro, il so trompa do bouteilleet absorbs un liquide noeif.Elysée Lo Marchand est entró cn traitement ai'IIospioe GénéTal.

LiïKALSOpi.AMiiiAiri

voir donncr leclarc do toulos los dópfcites qu'iltra- j a revues. « Qu'il nic sulfise, dit-ii, do vous citertrois signatures quisontsynonymes dc Victoire :Fflch , Douglas Haig, Porsbing. » 'Et c'est aux aecismations üe i'assislance onela séance est ievée p'endant que l'orcheslro joueLu Brabun^onite. A. P,

Tjl£ATRES_fiC0(iCEDSGr a nil-Th éê Irc

C'est domain ,<jaladc l'anique representationavec lc cilèbro ebaotcnr populaire ilayol et satroupe. Lo spectacle se composera do La VolleAren lwe, _ opórctte en 2 actes et 4 tableaux,jouéc par ia troupe ties Sherry 'Girls. Mayol pa-raitra au 3' tableau, dans ses nouvclles cr'.-a-tions.

proposdeia Fourraqêre129°dlnfafiteriedu

1 olies- Her ffèveVeadrsdi30Aoüt: RÉOUVERTURE15Débuts.—Troiipede1crOrdreLocation a parlir ue jeudi il h. du matin.

a güerroau

Beu*fcaüesLetteespstnotiquesL'Assoeiation amicale des Mutilés de 1da Havre ei de i'arrondissemejit a adressecoionei du 429®d'inlanterie la ieiti'c suivanteMoncolcnel,

C'est avec un protond sentiment de fierté quenous avoas appris les brikaats exploits accompiispar votrc régiment local au cours des récents com¬bats, ct ia magnifique recompense qui lui a été dé-cernée.Aussi les membres dc i'Association amicale des■Mutilésdc la guerre du Havre et de l'arrondisse-incr.t adressent a fours camarades restcs dans lamélée {'expression dc lour admiration pour les ré-sullats obtenus. Leurs vmux ct leurs espoirs les ac-cüinpagnenl pour la continuation d'wn effort qu'ilssaveiit formldabie, mais qui n'est pas au-dessusdes moveiis de notre vaillaht 12.9',qni en maintesciréoiislaiices a doime tant de preuves de sa valour.Vous voudrez bien, mon colonel, dire a nos bra¬ves camarades que bous les suivons dans leur la¬brat- incessant ct les assurer de notre profonde gra¬titude pour fa page glorieuss qu'ils vieuaeiit d'ajou-ter ;ui livre d'or de noire cite.Four le Conseil u administration :

U'llamsauic eïes fi>. ©. A. II,Cette excellente* société, quo dirige avecgrand talent Fadjitdant Deheus, dounait, hier,de 49 24 hewres, tui jardia de FHètel-de-Ville,un intéressjHit coscert gratuit qui permit a nosconeHsryeus diipfuAckr sa maitrise cn des mor-ceaus divers, notamment I"ouverture maguilique<lu Carillonneitr de Brui/es (Grisar) : Tripktte,polka pour deux bugles '(Maquot), solistes : MM.Adam et Fassianxq L'IChloaLesante, mazurkapour chirinette (Bousquiet-:, soliste : M. ürbain.De parcilles auditions méritent vraimeut d'etresigaaiées.

§ulleim des <S'partsGRAHBE FÊTE CYCLISTSSur ia piste de !MS'J mètres

du Ssuieesnl Craneais-!"1Volei le programme des grandes courses «elisies,organisers lo 5" septeïobre prochain^gu profit deJ'Assochttion Amicale -des-Mutilés-do ia Guerre du .•Havre et dc l'Arrondissement, avcc la $arUctpationdes principsux champions inter-Alllés.?, 3 h. 5it, öépart de la l" course.Grand prix de la Jeuuesso Francefse, 6.000mètrespar eliminations, 6 prix.Grand prix des Poilus, 8.000 mètres, 3 prix es-pèces;Grand pris dc FEspérance, course réservée auxoames, 4.000 mètres, -8prix, bijoux, -objets d'art.Grand prix de la Victoiee, Internationale ii i'Amé-ricaiire, LOOOmètres, ioter-alliés. s prix espèces.Championnat des vétérans, pour tout coureur audessus de 33 ans, 5.000mètres, 3 prix espèces.Pendant les «ourses, gaand concert par la musi-que de l'A.S.C.. qui prèlera son graeieux concourssur autorisation spéciale de M.le general Nicholson,commandant la Base anglaise.Engagements. . Les coureurs mifitaires interal-lies et les civiis son! priés do . s'engagor iusqu'au 29aqüt, au café du Poste. 23, chitussée des Élats-Unis,oü on leur remettra le progiwmme déiaillé de cha¬que course.Les listos d'cngagement se remplissent rapido-men. : des champions iuteralliés se sont fait ins-crire.D'ores et déja, on entrevoif, surtout si lo beaute-Hipsso met dc la partie, Je superbe succes quodonnera cetto belle luanifestation sportive et on mé-me lomps de bienfaisanoe, puisque le produit netdcla recette rcyleudra aux mutilés.Los mutilés serout admis gratuitemeht sur pre- 'sciftation do leurs cartes do sociélaii-es.II est fait appel au concours do vingt mutilés pour ;rerapiiv les fonctlons de commissaircs. Sc faire ins- 'criro au siège social, 1, .ruo Dumé-d'Aplemont, chez :M. Hoaucamp,.ou au doléguc do I'Association qui sotienl tous los jours, en permanence it la Bourse, dc 'midi a midi quinze.

EKfs-aisacssaesjf jsïzysSsuneLes Volantairrs Lfacrais,— Les jeunes gens do Iaclassc 20 ct les ajournés des classes antériuures dé-

— pries de s inserkre ausccavtariat los maroi ct vendredi soir jusqu'au 6 sep-tenibeo inclus au terrain du 11A C.Co suir 27 courant, reunion ii partir do ii' il. 30.

Seelion d'Enlra'aitmcnt Phiisiaue. — Demaln

Prcdiiif d'aitc Auiiltleii palrlctiqueM.Debris, président do ('Harmonie Maritime, afait rem&tti'ó a M. ie roairc du Havre, pour «'Asso¬ciation Amicafe des Mstilés do la Guerre, ia soiamedo 712 fr. (B,-produit du concert dormé le 13 aoütcourant, au square Saint-Koch.

The nlr e-Cirque OmniaCiaémn Omnia I'athé,

At surHidinSigné ; a. no'uGON.

Le colonel Weillcr, commandant le 129%a ré-pondu en ces termes au président de l'iutórcs-saut gi'oupemeut :Monsieur le Président,

C'est avec joie et fierte que j'ai transmis è mesCher'ssoldats les léfksUstous «fue rAssocia.MonAini-cale des Mutilésde la Guerre du Havre ct dc I Ar

Aujourd'hui, a 8 h. 4/2, rendez- vous de tousles fiaèlos spectateiu's do I'Omnia pour assisterau débüt iu seasaiioanol pi>ogramjae : JL'Ai--s«?»s4 gisi fee, par M. J.-II. Itosny. Lucerneet environs ; 'he voyage de TerhMkni. et'-icbrevaudeville awe Prince dans lc róle de Torbillon ;chanson filmée ; Tout le long de la Tamise.j l'e-isi- d'Méreline, 11° et dernier épisodeI Famour vamqireur. Attraction : Miles Elimeaasd S.aaise de HiiiKf, fautaisie acrobati-j que a transformations ; DtrnCèves ActnaUtés de

... .., \ la Guerre et du Bathé-hurnal \ Lui.., Club Boy,rondfssemcnt a bien xpuiu iettr adresxeritrcccisioa ! confiqae par Lui.d«lafotfrrajcre. Kuieaudelocation,boulevfifiddeStrasbourg.

viite sont couvoqués a celto mart-he. Chaque élèvodevra emporter un l-cpas Iroid So niuuir autantquo possible d'on ballon de football par Société. jJcudypj, dans la iournéc, oxercice de töpograpbie -•cn campagne sous' ia direction du sergebt Cou- !inaux .Jeudi soir, a 20 h. 30, ü l'Hótol de Ville, confé- !rèaco sur les travaux do cempagne par le sergent';Coucbaux.Samedi soir. ü 20 h. 30, causerie sur la sigualisa- !tion a I'Hdtel de Ville par io lieutenant.bimaqche matin, a la forC-tde ilontgeon, excrc-ico Ido travaux de campagne, application de fa corife- ;reiicc de jeudi.

CKRGMI0UEBMIÖMLEfWontivilliers

Conseil Municipal. — Lo Gojiseil municipal scréimira it la Maine le mercretfl 28 aout courant, a6 bcures du soir.

Ordre dn jour :1" Communications ; 2" Agrandissement de Fécoleprimaire supérieure -,3' Kiens commniiaux, déchar¬ge dc la taxe du tout a logout ; 4" Ravitatitoment.ouverture dc crédit ; 3*Questions diverse» . Comitosecret : Assistance aux nmiilles nombreuses et assistanee aux vieiilards.

ÉIAT CIVIL DU HAVRENAISSANCES

Br. fSacht, — Jacqueline FLORET, rue de Sor-mandie, ia<!; Pauie DELH-XE, rue Micbelct, 75 ;Garumn JCNA1LT, l-uc Thiers, i03 ; MargueriteHISi'AL, rue Augustia-Norrnaud, lid.

DÉCÉSC. NORTHCOTB,28ma, soldat a»

Ifi m.N ra lulBl81s' d-Escafej Eugene MGR.o '„f , an», cbaudronnler, rue Ernest- Letè-

» u ' LESMGNEt'R, 8 roots, ruo de Kor»manoie, ; Marie BERCIER, tyotise THUI7XIER»v,anV,SmH professlon> de Saint-Quentlu, 7 *mm-a HE' ? m°iS' rUa Flw'e- S,i "• Y"!a«<foBK r' l i'-n .mois>.ruc Feicaiu tUe, 4 ; RobertBELLENGER, 4 mois, rue Caslmir-Belavigne, 23;Lhristiane GERRET, 1 an, rue du Général-do-L^rn a-A ' , rl! BIU0N' 58 ans» sarcon brasseur,luo d Austerluz, 13 ; J. LAMB.28 ana, W. PULLEn!IS ans, el j. PARKINSON,20 ans, soldats anglais!Ilopuul jniiitairc,quai dTEscale;Edouard LOtfVJftiER.ans, mauleur, rue Cassarl, tS.

RAYONS, , ,Ta'.nc- — u Soret, agrég<!,7.t. Thier*.

Têiép. 11-11. Consult. : Luncli et nicrcredi. de 2a 4 Ii : vendred,, de 2 a 0 h. -- Radiograpbie etArmteiits du Travail, tous ies jours, ' , - Ma

Spécialité «ie I>euilA L'CRPHELINE,13 15, rue ThiersBeuil compiet «;n i't hourea

Sur deinancle,ans (wrsonnelaitiêe au dcaii nuiteAclioisira dcri-.ieiloTEL'EPWOME 83

Lc-sAVISdeDÉCÈSsonttarifésJ fr. iasigns

éwüfl HOUEL,son époux -T' ses öhfaute ;VauueAUBRY,sa mèr- — j m-.a ,

M. Pieoide HOUEL,son beau-père ;M. Ernest AUBRY,son frèrc, mobilise, etmadams ;S. Alexandre LEVASSEUR.pmomm- d-gur-rre,Madame, née AUBRY,et tears Enfants ;j/inay" It0/' nl°DiiisU, Madame, néeAL'BiiY,H tears tntanis ;

F,n!>S°lsFA1>■*$■.mohilisé, Madame,nés HOUEL,et leurs Enfants ;uetiirfmit9i P0LcFl' ™°htiisé, Madame, néeHÓIIEl , et kurs Enfants :8. Constant HOUEL,liiobilis». Madame st leursBarents ;S- jjeuoe Mm,mee AUBEHVILLE, née HOUEL;m. Oastsee QUtVAL, prisoraiiér do guerre,Madame, née HOUEL,et leur Elite iIB.Maurice HOUEL,mobilise ; ,fit. GermainHOUEL,disparu ;«ifs AlPH-r' LEOEHTIL,BCR0IST,mALAhBAINer Ies AmisOut Is donleur de vous fahv part, de la pertc(•■rar-llequ ils vienneiit d'éj'rou'icr «n izBr-sonnc do

Madame Emfie HOUELKóe Blanche-Latirc AUBRY

leur épouse, more, fillo, bcllc-fiilc. soeur, helte-seeur, tante, nièee et cousme, décedée ie 'dlmau-che 23 aoüt, a 1 h. 5/i du soir. dans sa 40' aimée,muiue des Sacremonts.de l'Rgtee.Et vous prient dlassisier 4 ses «onvsi, serviceet inhumation, qui aurent lieu io mevcredi'28 aoüt, a cinq beures, a FEglisc do i'Abliayc de-GTav-ilie. JOn so Téunira au domicile mortnaire, rucdoi Eglise, n* 21. '

Pficz Diea noor le repos de son ime !

GTflville-Sainte-Honorrne,lo 20 aoüt 4918.

■IkJHlzj

E. MOHTAUOOHsa veavc ; Mr' SermaineMDHTAUD0H,sa fillc; ld" VeuoeMOHTAUDOH■samèrc M.et K"> A. FERHAHet leurs Enfents,ses hean-lrére, seeur. tiovcu et ni-jee -.M et M"£ OOOHüHt, ses beaux-parents ; M. et M"TASSASSUSet ieurs Enfants : «"< M. GOURD/IIet son Ff/s ; M. et E 'BUURDIHet leurFiiie. ses beaux- frères, lielfes-'scem's,newux etniéce ; las Families Lli'flAH, BULLOTE, les Pa¬rents ; Mid. WORMSet C' ; ia Birecïion -et tePersonnel de la Matsen Werms et C>, et lesAmis,Ont la dculeur de vous faire part do la pertemieile -qu iis viennent d éprouver en la personnedöMonsieur Eugène WOMTAUDONGontrtw.ailrs aux ateliers de laSteison Worms elG'Sécédé 1o 23 aoüt 5918, a 3 li. IJS du matin,dans sa 30* année, muni des saer emails délEgiise,Et veus prient de bian voukdv assisler ii sesconvoi, 'serrice et inhumation, qui auront lieu leiwei'credi 28 courant, ii buit heitres un quartdu matin, en l'église Saint-NieoJas, sn paroisse.On so réunira au domicile moi tuaire, 3, ruoErnest-Lpfèvre.Friez Diea pear Is Repos de soa km !

1 ne sera pas envoyé de lettres d'in-I vitation, le present avis en tenant lieu.VriMtlWtf

153Ï7)t:*-7«aE2!asaEïaöfift3

SP"F. GAILI.ARD,sa grand'mère ;M. Charles TERNON,son pèvo ;M. et .»•■"Pierre LEFEBVHE,ses beau-frèrc ctsoaur ;M. et M"' Edouard TER/I0Het leurs Enfants ;fa. et M"' J. T.F,NONet lew Fiis :f,1.H DUBOIS; M. Z. SAILLAI'D,ses oncles, tantes ct cousins ;

M- Emi/e TERHUN; M11'A. TERNON,ses grand'tantes ;

M'-rHennette B0UHEZ;M. et fti Albert NICOLAS:MM Raoul et Maurice GAHLAPO;KM. Marcel et Robert liICOLA3 ;M. et *- A LECHASFELAtHet leur Fils ;M'"- C. HERBet G.POULE'',ses cousins eU-ousinos ;

M. et M" Albert LEFEBVRE ;MM.Francis ct Nc'èlLEFEBVRE;Itf" Giscleet Janine LEFEBVHE,ses parents ;

M. D. JOLLY,ses Fnfsnts et Petits- Enfants ;M"' VeuoeF. HOT et ses Er,Rents ;hl Veuoe E. JOLiY, ses Enfsnis ei Feiits-Eafants, Cousins et Cousines ;Les Families TEfiNON, HUBER, LEQRANB,SUEt BULT;ti'"' G. MAUPAS, son cuiie,Ont la doulcur de vous faire part de la portocruelle qui viennent d'énrouvcr cis ia m-rsoimedo

MsdemsissiieGlsrls-Liioiê-Sfedécédéa Ie 23 aoüt 1918, dans sa 19' amice,munie des Saeremenls de l ïgb'se.Et vous prient de bien vaukur nssisler ü sesconvoi, service et inhumation qui auront lieule juercredi 28 courant, a neuf beures «aaiaide-cinq du matin, enl'Eglise do Moutiviüievs, saparoisse.Ou se réunira an domicile murtuaire. 22. routedu Havre, if Montivilliers.Priez Die-u pour fe repos de sok ime !

II ae sera pas envoyé de iettres d'in-vitation, le présent avis en tenant Hou.

27.28 13328!

Vous étes prié de Men voulmr assister auxservice, convoi ct inhumation deffladame veuve Odile THUILLIER

Née Marie BERGISRdéoédée lo 24 aoüt 1918, dans sa 60' amtée, mu¬nie des Saeremenls do l'Eglise,Qui auront lieu Ie jpereredi 28 «viiratft, tlixbeures précises, cn l'église Saiut-Josvpa dpHavre.Oil se rcurtira a l'église.De la part de :K. F- martchal des togis L. BERCIER,Madameet leurs Enfants,M. le lieutenant J. des GACHDNS,Madame etleurs Enfants ;M le nutréchai /lts leeis C. KIELWASSERetMadame,Leur mere, belle-mère et granü'mère.Le présent avis tiendra lieu de lettred'in vitation . ;c

Page 3: LePetitHavre...Le,PetitHavre~Mardi3vaqM1948 ChronrqueParisienne Paris,SSseüt. ArrivéAI'sris,eematin,avec«leuxhcures«Ie retard—daiue1e'cstlaguerreet,commeen …

Le PetitHarp» i 97 AofttIMl ft<T"«(/* fl£AW/5,/te# THORBUBH.i*veuve;K. «/ *»• £fte/wsOfAAOS«ftears Enfant»M.Jean OENNIS,sous-lieutenaiitau 1M' régi¬ment d'infanterie, #"* Aen DENNIS,it leurtE*0nttK •• flwteteAe et tsars Enfantst,I St.et M" llarcid BICKERSTETHit leurs En-i ^t'et It" JohnSI.CURBIEit hurt Entents,ses enfanIs et petits-enfants;#- Georges PESLE,see Enfents et Pttits-\ Enfanti, ,• sa soeur,ses neveux ct nteees;La Familie THORBURN.Rcraorcientlespersonnes qui ont bien vouluassister aux convoiet inhumationdcMonsieur Félix-Eugène DENNIS

Léoa

CharlesPREYS,FÊR0N,ANEOT,

SI. Lion FRÉK&tr, tmprimeur; IK"FREMONT,nésRAMON,ses pi-rect mere ;LionsFREMONT,sa srspv;

, M- osuosA.FREMONT;S" otuoeRAMON,ses grond'mires;Des Fannies BFLLONCLE,RAMON,I FABANETTI, DURrOS, CRATELi IS,BERTHELOT.OUYE. SIMON, HEBERT,SILLI R, LIÏET. mORISSE,JULIENNE,MAUBERT,SCAVUil, SENARO,COME,ses onclcs, tantes, grand'tantes, cousins,cousines,petits-eousius,petitcs-eousiucs,etde3amis: „hi. et Si" FERRYet leurs Enrants.R'emereientles personnesqui ont Men vouluassister aux convoi, serviceet inhumationdeDenise-Ghariotte-GabrielleFREMONT

M.et «»' Vicierin HAUSERTet leur (Us,At"'VeuoeLAitlE, ^fit. 'etM" AiphonseVIGORei leurs enfants, ■M"-MadeleineRAUBERT.M.OetaeecARRÉet sss enfants,,T; Vues DUBUCet Ml"SuzanneDUBUC,Et la Familie,Romercient les personnesqui ont hien vouinassister au service religieus célébre a la mc-molrcde _

Léen HAUBERTCanonnier an 43' Régiment d'Artillerie,Dicorc de la Croix de Guerre.

i M.et IK" LEBERQUER,la Familiect les Amis,i Rcmercicntles personnesqui out hien vouiuassisterau servicereligieuxcélébrépour lerepos%de i'auacdo

Maurice LEBERQUER

| St. et SI"' CamillaDESMARES; la Familieetf les Amis| Romercientles personnesqui ont hien vouiuassister aux convoi,serviceet inhumationdeM"eïtang-Haómlfi-AleiaiidrlneBcSMARES-|

OHARMVEVTTEACETTEffiRTITüBEque les maladiesont 6pou prés toute; pour uniquecause le mauvais état du sang et son impurete.Quandtme personne n'a pas de courage, pas a ar¬dour au travail, qu'elie est «ssoufllée au momdreeffort, le mauvais état du sang est manifeste, hicctte personnen'a pas d'appélit, la houche mau-vaise, les yens eernés. des vomisseroents,cu despalpitationsdc cecur,aes étourdlssements,desmansde trie, etc., son sang est chargé d'itapurelés. Pourse auérir. ii suiiit de puriiier le sang ct pour celanettoyer restomaeet t'intestin — mais comment7Aver un mélangejudideux de simpleshien choisies,J'instinctne trompe jamais, dit-on. Los anfmans,dés qu'iis sont malades,ne se soignent qu'avec lesplantesque l'hahiletéet le flairteur conseillent.d ab¬sorber et ils guérissent1Ros péres sutvaient leurexempteet Hs guérissaient ! Prcnons done, nousaussi des simples,des plantes pour purifier notroMaisune question so pose, quellesplantes faut-ilprendre 'IUnetrés viciiïorecette, transmise do familiesen[amities,a toujonrs donnéet doane toujour?de9re-suttals surprenants.Pourquoi ne pas l'essayer, sur-tout qu'on vous la livre toute préparée avec desplantesde I" ehoix, au prix dB 2 Iranes la grandohoito. Vousn'avez qu it demander a voire pnarma-cien ie Thé desFamilies,quo vous pourreZdonnera vos enfants les plus jeünescomme ii vos parentsles plus ages, en suivant le mode d'einploiquevoustrouverez sur la boite.Exigez !es 3 motsde® Families

Congfès de la Fédérationdu Nord-Nord-Ouest

Les Chamhrcs Syndicates _des Bras»sears etc Cieïpc ct des lïateliers. Cafe*tiers, Restaurateurs ct Ijiirtonadiers doHavre rappellent a leurs adhérents quo leCONGRES s'ouvrira le mardi 27 aotit, &3 heures, 14, rue Edouard-Larue, sous laprêsidence d'lwnneitr de M. le maire du Havre.Meroredi 28, a 2 h. 1/2, it l'Hótel de ViUe,Salle da Ccnseil Municipal, sous la prêsidence deM. rn SL.CROS, Président do la Conïédéra-tion Nationale,GRANDE CONFÉRENCE

par M. PUECH, député, ancien miiiistre >M.LEBOUCO,dépuló do Paris ;II. DELANNOY,secrétairo-délégué de la Confé-dèration Nationale.

A 0 hcores, BIKER offert aux délégués.Tons les syndiqués sont priés dc relirer leurcarte do banquet lundi ihi. Les dames sont osstiróssd'y receooir le mallear aesueil.Le prix est fixé it dlx francs. Teiuis de oilIB.E. HRETTEVILLR. C. BACON»Président President

du Syndicat des Brasscurs de la Chatnbre Syndicalede C'iare des Hoteliers, Cafetin-s,

RcstauraletirsetLimonadiers.26*27.28

LA CROIX ROUGE AMÉRICAINEnFUiNIir ra JEUNE nOMME parlantl)t™A!ll)ll tanglals pour garde-magatun. —S'adresser its, rue Vietor-Huso, de 9 h. a 10h. oude 14 h. a 15 h. i»S34z)

WPKLHDEGliEfiBE!5,Sscntant bicn, ayant un an de commerce, demandeEmploi dans Magasin. — S'adresser rueDiderot, 23, au 2»*. (3244z>

25 ans, demaitde e»i"l»iol comme sténo-daetylo.

"ÏÏ7Z*JEM FILLEfrava pv<7iuiv o »»»♦•*-«•« in/ »«r•Prendre 1'adresse au bureau du journal. (53172)

lïTIÏitiP |?|l I E ayant brevet élémentaire,wliliixlj f ILLÏJ désirc Place dans Bu-rcai! .—*Ecrirc offres et conditions, MileDELAU6E,bureau du journal. (523lz)

ou DAME est demandéecomme employee dans Maison

..., Rélérenccs trés sérieuses exigées.S'adresser bureau du journal. (5310)

DEMOISELLEde Bijouterie.Béten

M.el M" B/BER; Les Famltl s HAMEL,BI8ER.ses oncles, tantes, cousins et cousines,et lesAmis... Romercientles personnes qui ont bien vouluassister aux convoi, service ct inhumation doMonsieur Jules HAMEL

GRANDETAVERNEet EXCELSIOR réisnïsRestaurantI prixfixe Déjeuneise!Dinersa4fr.E'etlte et Grande Carte

Murégraplie duS?' Aout*

■ n» ( 0 h. 4Pleme Mer \ 12 h 31

Basse Mer ( 7 h. 43 —4 —( 20 il• Heuroanciennc.Lever du Boleil.. a h. —Couc.du Soieil 18h. 43Lev. de la Lune.. 21 h. flCouc.de ia Luno. 11h. a5!IP. L.

Hauteur 7 * 757 » 53■ 1 » 10B 1 B33

D. Q. 28 aoüt a 19 b. 27N. L. 3 sept, a 10 h. 44P. Q. 13 - 4 13 h. 220 - 4 13 h. 1

VENTESPUBLIQUESEtude dc M' Henry TIIIOUT, gretdué en droit, huis¬sier «u Havre, houlevard HeStrasbourg, 124,Vente d'un Ivlatéaüel de Ma§onnerieA Harflcur, route de Rouelks « Café des Allies bU Mardi S7 Aoüt 1918, a 2 heures dusoir, M'Henry Thiout, huissier au Havre, vendra ;Un lort lot de"merriers, madriers planohes a écha-faudage, chevrons trêteaux a coulisses, lonncaüx aeau, 4 cylindres dc 100 L. avec couverclo ct robi-net, 100 cylindres de 50 L., 3 pompes aspirantcs etlouiantes, une Voiturc. 1 lot dc roues elcssieux.Un tort lot de bois dc construction et a brüler, unlot dc portos et de feuêtres, un lot do barriques.Glaciore, baignoires, machine a laver avec tousses accessoires et quantic d'aulrcs objets.Une Jumeat noir dc 5 ans.

Au comptant, 25.27 (5182)

VENTEPUBL1QUEDE HHUMLe ï.tuuli 2 Septcmbrc 1918, a 14 h. 1/2aux Docks-Entrepóts (15' Section), m. ecg. lionwet, séquestre, fera vendre publiquement, pourcompte do qui de droit, suivant jugement du Tribu¬nal de commerce du Havre, en dato clu 27 avril 1017:39 flits RHUMétat sain10 ■ » plus ou moius avarié1 föt vide

provenant du navire Htrmins.Les acheteurs auront la faculté d'examlner lesmarchandises les 30 et 31 aoüt 1948, aux Docks-En-trepöts (13' Section).Le catalogue indiquant les conditions de la venteest a la disposition des acheteurs ciicz le courtier etchez M. Lionnet.Courtier : alg. dexelve. 27.20 (3203)

AVIS DIVERSPour tous renseig-nements conccraantles Annonces, s'adresser au bureau, 112,fcoulev. de Strasbourg-. —Télép. ï«l—i S-.

— -.c , ...

tehsioadcFondsdeComaitrccSuivant acte sous seings privés, M. .1. LA-LD.XDE, a vemlu a une personnedénomméedaasleoitacte, le fondsdc Cafe-Oéhitqu'il expioite auHavi®,boulevardde Strasbourg, n" 150. Prise depossessionlo I" septembre1018.Electionde domicileau fondsvendu.„ 17.27(4733)

Gession de FondsJt" AVÏ®

Par acte s. s. p. M. TèUmond GUE14ET avendu sou IondsiPEplcerie-Débit,qu'i! expioite,88,rue Gustave-Flaubert,a une personne dénomméedans i'acte.Prise dc possessionlel" septembre191.9.Pour les opposiiions,s'adresser,s'il y a*lieu, 88, rueGustave-Flaubert. 277 (2300)

AVIS

IESMABÉGHAUXFERRANTpvéviennentteurclientèleque vu les haussespersis.tantes, sont dans l'obligaliond'augmenterleursprixï'cr ordinaire : & francsAbimesjenfpar iBoisparcheval. 30 Fr.

27.1s (5260Z)

PHli'DEi a la personne qui a irouvc depuisrftslJÏlEl samedi malin un CIIIIïN Lave-rack blanc et pointillé noir, avec une tache noirosur l'ofil droit, répondant au noiu de * Marquis »,dc :e rammier 35, rue Dicquemare, Le Havre. Ce«•.i.ir-cs- |»arH jaag collier ui mus^léré. — Forto(ttcemptast,

Le Bureau dc la Ghambre Syndicale desRrassenrs dc Ciérc rappeile aux adherentsque le Congres du Commerce en détail des Bois-sons s'ouvrira eet après-midi, 4 3 hcures, 14, runEdouard-Larue, qu'une conférence sera faite I_emereredi dans la salie des séances du Conseil muni¬cipal, a 2 h. 1/2 par des deputes dévoués a notrecorporation et qu'un banquet servi lo soir» ii 6 heit¬res elóturera le Congrès.It insiste sur l'importance de cette manilestatiouet est certain que les adherents tiendront a hon-neur d'être trés nombreux a ces réunions. (Se mu-nir de l'insigne).

Lc secrétaire : G. LE roi.(3341)

nug|nit dimanehe matin, bateau de Trouvrlle,1 IjIiIsIiJ ou dc la jeléo promenade de Trouvillea la plage, Bracelet or et brillants. — Lo rap¬porter contra recompense tl FLYNN,•Frigorifique,rue dc Mulhouse, n° 3, Le Havre. (5300z)

IHfeTi?ijl 74s«ï«iatïSon et Ol-,I MUL iuitiales f. 8 , samedi soir.Le rapporter, 24, ruo d'Après-Mannevilllette, MmeLECHEVAL1ER.—Recompense. (527öz)

PERDUFerroqiiet vertLe rapportor, «, ruc de l'Alma, eontre recompense

(5319Z)_

mereredi 21 aoiitlM', POKTEbpossédant Somma

d'argent — Lo réetamcr 48, ruo Bemardin-de-Saint-Pierre, a M. Jules MAKSIN. (5290)

fftSIUTlSlïS Aïomntea et llames, pourLU Lil 1 3Lil 5 aneienuc Société tonctionnantdepuis 1880,et pour assurances. Fixe. Commission3, ruo de Tout, de 14 a 15 heures. a. 29 (3312)

scricnx disposant de plusieursftlErliH heures dans la journée demande

travauv d'écrituvcs ou a litres a iairc,cliez Iui ou a domicile. rEcrire JULES AN'DUÉ,bureau du jotnlial.

(3342Z)

nisnmWiESS=?.soutde*Prendre 1'adresseau bureau dujournal.

—»(30d2)

AS! iy/Sf 4\ISiU trés Hons Charrctieravi s IIljIvlAiilrlj ct CHarrc tier- i-ivr cur.Prendre 1'adresse au bureau du journal.

M DEMANDEdesManoeuvresh'adresser a. la Société Havrabe (FEmrgie Elec-trique, 54, rue Ctjavlcs-Laflitte. —» (2736)

ClIARIETIPrLiWiELiRéiéreuecsexi-g« 3.S'adresserau bureau du journal. 27.28 (3318)

marie, sans enfants, est de¬mande. — S'adresser a M. FER

NAND,12, bureau du Petit Havre. (3346z)

i\% IIF-lf i \II5c Uli bon Culottier, pourIfEiillAitillj travailler a 1'amtée. — S'adres¬

ser Maison LAJDIETTE, tailleur, a Trouville-sur-Mer. (3297)

MODESAMliril J \ Ar des Apprêteu-Ifll II Fiill il IVIf ffj sea, pctitcs mains, ap¬prentice payees.S'adresser, le matin, Maison DELACOTTE,41, rueJoinville. (5301)

MODESAll ni?-5f 4UIRÜ trés bonnes Ouvrièrés,"il UlVflAlUFu «les Apprétcuscs etApprenties, a l'aunée, bien rétribuees. Sematr.eanglaise. — Chez Mme B0SSUT,62, boulevarddeStiasbourg. (5326Z)

AAI S4U1S4 >MÏ4I? des Bonnes OuvricrcsUil IIMlAiïilfi pour la .ïaquette ctJnpc pour Tailleur pour Jïames.Prendre 1'adresseau bureau du journal. (53392)

A\i Ara 4 \ïir de fiuite, Ouvrier liras-W.\ IIEilil.TilllIj sour de eidre, pour mai¬son séricuse. — S'adresser 38, ruc Voltaire, ü M.ALBERT. (3299)

OnEfabSissemsr.!industrialdanoirevillademande lui trés Bon Comliictenrou uiso trcs bonne ComluctrieeiVavsto. — Prendre 1'adresse au bureau dujournal. 27.28 (5303)

libéré du service militaire,est demande au Con-

sa'Iat de Hassle, 34, rue FrederickLemaitre.—Soprésenter enfre 2 et 4 heures. (5104)

0^ DEMANDEünGharre-iar-Uvreurmuni de references. Bons appointementa. —Boulevardde Strasbourg,207. (5332)

OADEMANDEunDargonCoiffeurchezMmevcuvoCHATEL,12, rue de la Bourse.

(3340z)

COIFFEURA\{ St^lf i\/|4r chez M. BEAURY, rue deUll UtwA llflj l'Eglise,70. un Ouvi-fcr,ST O fr. assures, plus les cachets, nottrri, couchê.

__ (5267Z)

A\ LeIMSi l " lort COMMISIfil lliiili.L .lilt Epieier, hens appoints-mcnis. — Epicerio ltOUZET,8, rue du Général-Faidlserbe. (3307z)

BfliT AAMMIC «st demanilé pour1 II! a I L "?,}!.?§I ir faireles courses st le net-toyage.—S'adresserPapeterie DEROME,114,bou¬levard de Strasbourg. (33ó2z)

ONDEMANDEDes JEUNESGENScomme Porteues dc JournanxBONS APPOINTEMENT8

I a Plmprimrrte du Journal L.E BAVHEj S'adresserau.bureau du Prote, 25.rue Fouteatlift.i U Havr«.

Marine Nationale

Eil'llil 8E FffllEBEM&4SEnationatité franf.aise,pour cntretien de bureaux,disposant de toute sa journée et saehant lire el;écrire. — Se présenter dés maintenant au Secre¬tariat du Service de la Surveillance, bureaux de laMarine,32, rue Bazen. (5325)

Gérante pour Calé-Dóbitsans logementpersonnel.Lo¬

cation au mois. Petit cautiomiement.— Ecrire M.RAYMOND,bureau du journal. 28.29(3338)mmmAH] AS;SI 4HSIK1 dans petit ménage sans en-Uil UfiilMiWïJ fonts, Personae sé.rienoe pour aider au ménage,, de 8 4 il heurestous les matins, dimaneheexespté. Se présenter loinatin, quariier Samt-Roch.Preadi-e1'adresseau bureau du journal. (53002)

m DEMANDEUN MENAGE, to marilibéré du service militaire,

po'iü'neUoyagoet travail de cave, ct la femmecui-■siniére,cuisine pour pairons ct employés. Bonsgages mals references exigées.—Prendre 1'adresseau bureau du journal. t»3i6z)

GraadBereaude Placementdes Halles

mMAM de suite quantitë de bonnesxim pour cuisine et ménages»de16a 45 ans, et deux iemmes de chambre pour mai¬son bourgeoise';■deux valetsde chambrepour hotel;un cocher pour maisonde campagne.—S'adresserchez M« HAREL, placedes Halles,.-13.Tol.9.93.

(5330)

mDEMANDEexigées.S'adresser au bureau du journal.

une Bonne a tout fairede 16a 18 ans.—Rélérenccs

(53082)

AH1 ÏM7M4UnB? enc BONNE de 16 a 180.) llftMiHlli ans et une UAVEUSEpour une journée et demi audébut de chaqucsemai-ne, chezM.LAPLACE,88, ruo du Dock. (3230Z)

Öï| 4\!Ï4|? une Bonne atout faire.li Uïli!lflli|ll!l sachant trés bien laver, noiiceuchée, iihre ii 3 heures tous les jours. Gages50 fr. —S'adresser16, rue Léon-Buquet,au rez-de-ehaussée. (5243z)

BONNE-ATOLTFAIREest demaiidée; service de 2 personnes,propreté et réféveucesexigees.pas delavageni de connaitrela cuisine.Prendre 1'adresseau bureau du jotirnal. (5254z)

lJne «*®unc Fille do 15Wil Ulmllllffi a 16 ans, presentee par sesparents, pour faire les courses et nettoyagesde ma-gqsin.—Prendre1'adresseau bureau du journal.

27.28 (5291)

FONDS DE COMMERCEPourVENDUE on ACHETER m Fendsd* Csmmeres,adressezvous en toute eonlinnceau Cabinetde M. J.-M. CAD1C;531, rue deNormandie, au Havre, En lui écrivant unesimple lettre, il passerachezvous. 31»—(3312)

AEflLiFD 1 YAI 1 1té seal, desire louev,tll i Kir lt AllULAIS è partir de la tode septembre, un Pavilion menblé,iroximitédo hainte-Adresse,ü eOté de ia mer pré-érable,4 cbainbresii voucher,salon,sails4 manger,iai'din.—Prendre 1'adresseaa bureau du journal.

0—16(5343)

VII I k liVBim IT A bOUEB, situésVILL/1 fflfiLDLFill it Pierreliques. AehlloYOUNG,VihaJosephine,Piemfiques par Criquetot.

27.28.29.30 34 (3299)

A I AITII ensemble, 2 belles ChambresLULfjlI menblées, enti'écindépendante,si-tuécsii Sanvic iproximitédes 2 tramw*ys).Coavien»draient a 2 messieurs seuis.Prendre l'adresss au bureau du journal.

(5286Z)

au courant du commerce,avec des rélérencessérieuses,

est liemaudée.Prendre 1'adresseau bureau du journal. (3269)JEW FILLE

AY ÏMÜÏtVÏU? JEUNE 1T1.LEVil Ifl JIillillffj pourfaire de petitsnettoyagesdo magasin ct survciller les. étalagesextérieurs. —Prendre i'adressoau bureau du journal. (5321)

ÖSTDEHA.NDEunaJeuneFillêFour travail d'Usino : Entrepot. —Prendreadresseau bureau du journal. (532UZ)

LA CROIX-ROUGE AMÉRICAINEnvil 4Y14I? Mloner MAGASIN d'euvironULslililUfi ,200metres carrés. Rayond'un kilo¬metre de l'Hótelde ViUe.■Victor-Hugo,46.

Re'pondrepar lettre ruo(5292Z)

ÏS93COJM:a*EN5Tg«E 2»0 FrancsI'AleicPi? 300 f1"*réccanpensea conciergeJ 1*1I1HIj ou toute autre persoimo qui m'iudi-qucra Beaux Bureaux a iouer ou Loije-rni'sit \ ou 5 pieces pouvaut èiro améuagé bu¬reaux. Quariier tie la Bourse ou des quais.Ecrire REMY,boito postale 683.

ti2j»—15s (4635)

«TIÖ1M1E désire louer pour sé-jour prolongé, quariiertranqüille Havre ou Saints-Adresse, deux Uliam-bres meublêes, dont uno a coucher, 1'autrosalon ou cabinet do toilette. Au besoin une grandechambre a coucher sutüraiï.Electricité.On prendraitóventuellement pension.Adresse rcpoase a H. MAURICE,bureau du jour¬nal. (52852)

AY EMU AYATSf k IT Appartement 5piecesUil lil 11:1. tlllillila 1 au centre dc la viltc,E G.E.V C ii l'Augtaise, cowtre un Pavilion onpartic de Pavilion a proximité des rues Bó-soucn ou de Boulogne, a Sanvic. — S'adresser anbureau du journal. (532ft)

m ilTOGIRAlTi'siviiion aveejar-din, ii Harfletu', com-pdsé dc 5 pieces, couireVav-llton avec jardin,au HavreouGravilto.compose dc 6 ou 7 pieces,moyennautiudemnitoversée de suite.Prendre i'adressuau bureau du journal. (5225Z)

VEUVEDELAGURE1 proximité dedeux gares désfre l>oiicr une partie de soalogement a personne convenabio.Prendre 1'adresse au bureau du journal. (53352)w — - r— mAY LHÜ^rPL ae,,x Cbainiircs Alilt ultljflLllfj /joxtcliex* avcc cuisine ourechaud a gaz.S'adresserau bureau du journal. (5285z)

LA CRQIX-ROUGE AiVlÉRiCAINE^nuif 4YUP " l?»er TUOIS « OUATREUijSI.VHUEj PIECES pour Bureaux. Préléremeubléset prés du centre. —Répondre par lettre,rue Victor-Hugo,40. (3293z)

41)5) ADTmrYT confortabiement mcu-Al r Au ! LiilLil S bic, i louer (cuisine, salieiimanger, chambre ii couciier,cabinet de toilette)S'adresserbureau du journal. (53112)

II)A0ËTHAITPetit PAYII.I ONou Petite Maison,Rbre it-href délal, "quariier entre la rue de Phals-bourg et la rue Bougainville.S'adresser chezM.DELAHAYE,37, ruo Joinville,de ii l>.1/248 heures. (5268)

WHISKYEcrire ii W1HSKYDEVvAil.bureau du journal-.

22 27 13Q1QZ)

ULAIWÉLEYAGEEXCLUSIE!minuscuies, issus champions, ayant obtem

loulo'jsnains et

ohtenu nom¬breux prix *Franco et étrang'er marrons, noirs,biancs,sable,orange,Grandeoa/eur.Nombreuxchiotsrare beauté.— Ecrire MiteL0N6EOS,bureau dujournal. 27.28

changementdovitesse, roueBICTCLETTEDEDAME

libre, i SO fr.

BICTCLETTEDHOMMEaccessoires,roue libre, 2 frcins, 220 francs.Prendre l'adresseau'bureau du journal. (3322a)

4 1/i?YD!)!? Voitnrc a bras, démontable,A Ï EiitUllili pouvant porter 400kilos, et anVélo marquePeugeot, état dc neuf.S'adresser 19, rue do I'Epargsc, Sanvic.

(32082)

AÖIÏÏ1E FORD 16IIP, trèsbou^at, essaia volonié.S'adresser73,rus du Lycée,do 5 h. ii 7 h.

(5304.2)

MOTOCYCUETTEAimDF MOTO Roynl Eïisfleldfliillllllli t3eax cylindres,état de neuf.S'adresserW, ruo Montmirail,Graviile. (5250)

ATOMEPrendre l'adresse au bureau du journal

(5258z)

AI/VYHDP un fort Camion, 4 roues.iLlillilJ état do neuf, visible tous lesjours de 41heures i raidi. — S'adresserau bureaude (abac, 439,rue de Paris. (3345z)

BELLEmmii H. H1VER,rue de Sery.

ans et SB ï"«itey»èivendre. — S'adresser

(33452)

AWIIHr deux Voitures genre efearrettoTIjIWmL normande et boueher, Essieasct Ressorts pour gros camion et. pour voituro hbras, tout un lot de Ressorts, Marche-piedsCtAccessoires de voitures, un grand Four-neau de restaurant a réparer, Refends vitrès,Comptoirs-Caisse.S'adresser chez M.GRIMBERT,8, rue Saint-Juiien.

(5344).

SMmlSfSaseparationet Cabane, a vendre. Visible 1»matinee ePremi I'adressoau bureau du journal. (3003z);

J%. -VTJiailSri^TrLXEC

TABLESDECAFÉEN1AEUIS'adresser 29, rue Voltaire. (326iz}

Aujcurd'hui et pendmt trois ou quatrejetirfsettlement,

3*Ea«lsirae CAUS8IN

AelièletréscherlesvieuxDentisrsmêmebrisés, G francs la dent ieoireS'adresser 4 l'Hótel Méiropolc, 30, ruoDicquemare. 34»—(5314z)

PAPIERSPEINTSSTOCK 100.000 ROULEAUX

PRIXTRÉSAVANTA6EUXLIOT, 30, Rus Fonieneile

MaV»—(7430)

Je suisHCHETEURMobiliers, Vêtements, Machines a ooudre,Bicyclettes, Armes, Fusils de ohasse, Appa-reils da photographie, Mustque, Violons,Mandolines, Outillage, Débarraa de toutescortes.V8, me cl© Saint-Quentin

(5248)

Cause transformation

AllHADP /' 2 Presses a hi iques aa-I ïliltlIsL tematiqucs. Production 10.000briques par jour, avec S ouvriers. Visible en mar-cho. Prix : lOjlfOO fr.2' Moteura gaz pouvpe Bito. horisoHtal avecgazogene, locce 45 chcvaux. Prix 15,000 fr.3' Batteuse ct Egrcneuse de tins. Prix1.300 ir.S'adresser Briqueterie I.. II KGE Nr. T AI S ,Godorvllle (SeineTnférieuro).

»— (4700)

AVISPachclo do suite trés ©Rei- fes

"Vie ti x Dentiersusages oü lucme brisésrue Bernardin-de- Saint-Pierre,s 44, au 2* étage, LE HAVRE.24.25.26.27.28.30.1.3.5.7. (5119z)

AÏÏ&É.

A I US TP de suite, au mois, Café-Débit-LULLlt MeuUlc, quariier Notre-Dame. Ondemande cautiomiement de 3 a 5,000 fr. Marchan¬dises au comptant. Trés pressé. Aprendre de suite.— Ecrire Mme GLADYS,bureau du journal.

28 29.31 (5337)

A I Alii?» Appartement mculilé,ijUl I.il 3 pièees, eau, éleetiicilé. QuartierSanit-Joscph.Jtefire4M.LUCAS,bureaudujeuruai. tssüf

| Supérieurs au meilleur pour le |§ lavage de la Chevelure et te || disparition radicale des lentes. * §jPépót:Pharmacies&Parfumeurs!ËGARNIER. 9.rue de Paris. LE HAVREJesJiaBï96Bii®ueiusas!iag!ia»iae!-.sai!®iina!!sai!HinsiPrix : O fr. 50. i Jr., it fr.

PropriétairesdaPavilionsetMaisonsqiü déslrez vendre, adressez-vous üM' E. MÉTRAL, ancien netalre, 5, roeEdouard-Unruc Ilavrc, (!•• étage), qala de nomhreuses denmnd.es au comptant.

LESANIAfAUXDEGIBBS*(SériedesSinge3)

LE SINGEf*pO

) - ê k</

(l|lvfV>TE,

V, raites commelui fLavez vos dents cn.mme vos meiits "<3vee du Gibbs /m

CcHantiilonsdescéfefcres S^Senlqu^s:SAVÖNetPA'ËOE'ATifRiCESGIBBS ctGata^ogutfiwéra»i«ust<6contff1!ÖQentimbres-postea<?.TFiiBAÖDêC'*7et9.RuedeLaBoëtie PARIS

Prenex note sSi vous avez besoin de renseignements 011de marche a snivre dans toutes affaires, suc¬cessions, testaments, nues-propriétés, questions derapports entre propriétaires et locataires, cte. . .Si vous voulcz acheter un Lonas ueCommerce, et ne pas ètre trompé.Si vons voulez faire gërer vos immeubles.Adre,ssez-vous a M. Félix VI V 1EB, ancienprincipal clerc de notaire, auteur des Usages locattx-de I Arrondissement du Haore, 64, rue de Samt-Ouontin, Le Havre, do 9 h. il midi et de 2 4 5 h.

KaYe»— (4344)

II1TSSIILIÏKBfFOSIÉtSOn nous signale, qu'en plus des voitures automo¬biles, la vente sur soumissions du 9 Septembre, AVincannes, eomprendra 31lots de 40 ehmifïe-rettcs en aluminium, 2 lots de 1,145 kil.de débris d'aluminium, 12,000 kil. «lechalnes de bicyclettes en 6 lots, jVente ct Exposition permanentes deCainions,ïourisme.Motoeyc!ct—f e .j , xsl&ocsi (léliiciïci'M, a "Vinceanes(Seine), Champ de Courses, et A Paris, Champ deMars. Métro: Lcaie Militairs. (5385)

Transports AutomobilesTOUTES DESTINATIONSPÉDR.0CHI,5, rue de l'Eeu, 5, rez-de-chausséo.

(553iz)

FONDSDECOMMERCEAcheteurs sérieux, adressez-vous en

toute oonfiance A

14GQICECOIIE&QALEOS, Rue Victor-Hugo, 6®óui possède un trés grand choix deFonds de toute nature, a prendre desuite, A des prix trés avantageux.RENSEIGNEMENTS..GRATUITS

»— (44/

Cours de VacancesSTÊN'O- DACTTLOÖBAPHIEEcol© B.ÜUKEL

SS, rue d.e la bourseMaJS(2622)

Cabinet Dentaire Ch. MOTETG. CAILLARD, SücüesseurCKIKURGIE9i-DH\TlSTE

Dipldméde la Faeuilêde MédeciaedePari»et de i'ÊcoleDentaireFrsjtgslse

17,Ryeyariö-Thérèse(angle&laryedelaBoerse)UHB IIAVKE

MALADIESDE LADOUCHEETDÉSDENTSProthese Dentaire

Reparations immédiatesöENTIERSsansptepe,sanscrochetdssmmim)ObturationdesDents,a Ver,plafiiie, email, etcTRAVAUX AfHÉRiOAfKS

Bridges, Couronnes or ct porcelaine

TOUTSANSLAMöINDREDOÜLECRpar Aneslhésic locale ou générale»ï. CA-5SL.1-Al.is.». execute lui-mêmetous lea trsvaux qui lui sont confies.

I CÉDER:Café'Bar. SO J»ïe«I»ï^«,qn;ivi:. raariti»me, benefices20,000fr. A prendreavec 15,000 fr.Café-Débit, 58 Chambre» Jiieu-biécs, dansquartiermaritime,au café300fr. parjour; (esehambres-produisent 4,000 Ir. nar mois..Grossefortune assurée, a prendre avee 15,000 fr-cemptant.Sur qual le plus fréquentedu Haore : Cfaï© fat-sant 200fr. par jour Fris 15,000 fr. Trés bonnoaffaire.VoirM. Cadic, 231,rue dc Normandie,LeHarre.

(533%AYS?Yft»F M sui,s' Gen li! Cafë-Bèbit-ïïiltllliL centre de la Viüe,3 pièees,re&de,cliaussée,2ehambresetcavc,buanderie.Loyer,365fr.prés campbeigeet anglais.Conviendrait a ménagobcICTo.,Ecrire MARGUERITE,bureau du journal.

28.29-34(3336)Tf,r T P» YtE,.F|/rDIT Chambrcs menbléesJULI wLMhBlI payant Ie ioyer. affairesAl'essai 250fr. par jour. Prix demandé 10,000 fr.Faciiitésde paicmeat'.VoirmonmandataireM. LEGRAVEREND, 12, rue Cüarles-Laffitc,anglurue llonsehoto. 27.29

UiZi.tb

MACHINES A ÉCRIREReparationde Machinesds toutes marquésIraoauxsoignès-AchatdeMachinesneuoesetd'occasion

LEBUREAUMODEMEi9'LE HAVRE ^töf»—(293S)

ferBBTfIpSpécialité pour AntonioMIea,

Badkteur^, etc.Réparations cn tons genres

A,, 1-ue Dumé - d'Aplcmont22.25.27.31 (4C37Z)

MARGARINESeolral; 88,meMs-Leeesae

jh. vendrePAfTflirmr ordre-,grandeartcradts Havre.MRJlIiiiftlL Causede santé. Pressé.Brmutco ©t petiïeei Epieerle*.DAVIT I AM ^ Ia finiitedu Havre.Gravilto.h piè-sATlL-LUii ces, jardin, eau, gaz, électricité.Libre a Paques1949.S'adresser : CabinetVveA.PIGEVRE,2, passageDieppcdalle. (5249)Bonne Occasion I !

tï1 DAyiRr en penance,pendantla guoEre,n»®aJL lIIlnllL trés biensitué.—Sadres-ser iimon raandataireVI. Ue Graverend, 12,ruoChaxies-Laffi-tte,prés gare d'arrivéo.

26.27.29.31(522».

CabineïEmileROlf45, Bne de Saint-Quentia- HAVE-SPrés le Square Salnt-Rochet ia Caisse d'Epargne

«céoeiTdêsuiteSUPERBE PAYILLÖN MEUBLÉ iwiuê'va#avec jardin, eau, gaz, électricité.Loyer 1,400fr., 3ehambresricbemcntmeublécs,plus 2 pièees persou-nelles. Prix demandé 48,500fr., ii débattro.Til4ICfil HTHDI ÉT Pfei»centre.Loyer1.200Jra/tlijIjM MLUSLLli fr.. 10 bellesenamtees:moubléeqplus logement personnelPrix demandó17,000 fr.

ÉPICERIE-LIOÜIDESfflffiiJaS.jonr. Prix 5,000 fr.PSiPTOÏT Réupji ISi-«KiSi©rl© ito <-I-Lrl kulhHliHl I dre Menl(lé8,iiEi-lier Notie-Dame, teim diipuis 30 ans par vendeur.Rapport des meublés 5,060 fr. par an. Affaires 2(30fr. par jour. Prix iXdébattro (se retire).

ÉPldRIE-DÉBIT-MERCEaEprés Campaméricain. Affairesgaranlies300fr. parjour. Prix 6,000fr. a débatfre.

ÊPiffiRE-fflÉHESIEBrctagne,ruo d'Ktretat.' Affaires3üu fr. par jour. Prix de¬mandé3,500fr.niné ÏXVTïTT Brnssccle «f« Uidfe-,LA? Èr IJli 1)11 SieBhlés, quartier* de .aBarque (encoignure).10bellesehambres meubhos,beau luatériel-do brassage avecmotcur. Affairesaucaié, 130fr. par jour. (iu trailerait asee lü.'iïl fr..eomplant.CAff-DÉBIT '®-Teutte.jsi-13,000 fr.

falres 120 fr. par jour. Piix

«i rij1 |\rir-ïf|i situé sur mand passage.LoyerLftrfrllTjOIi 430fr. Affaires 70 fr. par jour.Prix 5,600fr.n j yrA nénim ItcasseFic de UidreLAlfi"°IJl!!alII ©t sa Ai«-J h«©4»hi«'-, p;--.sla Gare, net éiplacer 2,300fr. par mois. Prix de¬mandé28,000fr. Fftcilrtos.

TRÉSBONFOMBETABIC£SKfQuartier d'avenir. Fortune assurée. Prix demaadd3a,000fr. (Sopressor.)RenseigHemeuts gratuits stU'tous Eollds-dacommerce. BIEN s'awcsser au Cabinet E«Romy, V5, ruc de SainGQucnlin. (4788)

BIEiVSAVENDRE

BELLE 0GGASI03STè Vendre è ETP.ETAT

GAAND HOTEL ?SS9!23 Chambres toutes louéessalons,grande saltoh manger, contortmoderne.Prix poUTft tout, immenbhet fonds:

■40,000 francs.S'adresser4 M. B. MÉ'i'B-AU, ausleiino¬taire, 5, ruó Edouard-Laiiin(1"étage), Havre.

Page 4: LePetitHavre...Le,PetitHavre~Mardi3vaqM1948 ChronrqueParisienne Paris,SSseüt. ArrivéAI'sris,eematin,avec«leuxhcures«Ie retard—daiue1e'cstlaguerreet,commeen …

« Le PeM Havre — Mardi 27 Aoül 1918

PHARMACIE-DROGUERIE

20, Place de VHófel-de-Ville - Le Havre

ESSAYEZ ET COMPAREZSES PRODUITS RECOMMANDÉSLes (Meilleurs,les (Mains§hers

ffiAUXDEJAMBES,VARICES,ULCÈRESgueris par

JLJL IiEUDEINEBBBi BgnMlIHHi BraBYIBP^ jfiwMBTIfl awBttWfÊ&l gftSESSEsi

Lè oü ies onguents et pommades n'auront Hen fait, enquelques jours LA LEUDÉINE opérera ia guérisonLie Flacon 55 francs

Poiix» etre fort et robust©prenez d.u

VIN LEUDETJetines Fillcs, arrivées n la puber té, Jeuncs Gens qui cntrez (lans /avie, Hommes qui travailloz, Hemmes mimics pur ia grossesse,

VicMards qui voulcz conserven ros forces. Convalescents prenez duVIN 'LEUDET (ia bouteille 5 fx*. SO)

CORS, DURILLONS, CEILS-DE-PERDRIX(iuérhou radicale et miun uucun danger uvee le

SPÉOFIQHDELAFONTM\E3L«e Flacon 1 fx*. lO

IL NE FAUT PAS COUPER VOS CORS

ÉCOULEMENTSANCIENSOURÉCENTSguéris radicalement, soulagement immédiat

Lest écoulements anelens on récents Mint guérisradicalement et san» réeidlve m ee le

santal LEUDETIiiuTEINTUREIDÉALELi© Flacon S> francs, et

[INJECTIONDELAFOKTAINEXjo Flacon S fx*. SO

IOIMDliDOCTELREMÈDE SGIENTIFIQUE

Adopts pér lea Conaeils supérieurs de Santé, ajjrès enquêtes favorable»E'IOLINE HU VOCTEUR ROl, cicatrise les lesions pulmouaircs

dan s la tuberculose, il est mervciUeuxdans l'anémie, la Convalescence, la neurasthenie

DONNEZ A VOS ENFANTS DE L'IOLINE DU DOCTEUR ROlILS DEVIENDRONT GRANDS ET FORTS

X_ast Bouteille : 55 francs

flor6ARDERlaBEAUTÉ,laTEINTFRAIS,laJEUNESSEallaSANTÉEmployes pour les soins intimes de la toilette (injection)

LaPOIÖREHYGIÉMQUELEIDKTUn fo/i teint est le charme Iep/us précieux de la FemmePrix tin Flacon : 3 trailed

LOCATIONLITÈaiE

PIUX MODÉKÉS

üis-C3|8,Litsfsretcuirre,Litsd'êiifanfs8, rue Jules-Lecesne(PRÉSL'HOTELDEVILLE)

R0I55QHsaineet agréableobtenne immëdiateincnt en r ersatil

dans i Hire d'eau fraïchc 22 centilitres d'extrait

INSTANTANÉEROSELe litre pour 50 litres SO fr, 1/2 litre !» fr. SO

OUINSTANTANÉEBLONDELa litre pour 50 litres T ir. SO, 1/2 litre 4 fr

EXTRAITSpour SIROPSCitron, grenadine, irnise, cassis, cara-5»c, etc. Le litre pour 50 litres H francs.PARFUMSGARANTISNATURELSEnvoi francocont.mandat. Agents ache tears acceptésTons, mes produits soiit garautis sur iacturo con-forme aux lots en vigueur.LDH IDIITD fO> «*«® Pigeon, r U I n I ELn b/horel-près-rouen

2t.2S.20.27.28 (5186Z)

CHANGEMENTD'ADRESSEL'EcoleÉ Chauffeurs

34, Rue Vicquemare, 34

esttransferee9,ruedeFecampLesBrevetssepassentauHavreTOUS LES VENDREDIS

LOCATION D'ALTOS

Si vous ètes Fafigué, prenez du

TINBIDSÜPRËMETonique, Aperitif el ISutsiiif, Antidéperditeur et Reconstituant

h base de Sue de viande, Quinquina, Kola, Cacao, Coca, Exirait iodo-tanuiqueet Glycéro-Phosphate assiraiiables

La composition de ce vin snif it a indiquer les nombreux cas dans lesquels onpeul Vemployer,Le Sue do Viande est Vélément nutritif par excellence.Le Quinquina est tonique et. fébrifnge.La j\oix tie Kola, donl les principes aetifs sovt : la caféine, la théhobromine,le rouge de kola et le tannin, ay it eomme reconstituant , aiilineurasthénique ,tonique du cceur et régulateur de la circulation du sang .La Coca, augmente Fappél it et facilitc hi digestion.Le Cacao est a la fois un aliment et un medicament essentie] lenient nutritif.L 'Extra it iodotannique est un fortifiant et 1111dépuratif de tout premier ordre.Enfin, les Glycerophosphates donl on a démontré la parfaile assimilationainsi que la grande supériorifé sur les phosphates ordhiaires.Le VIN mO-S UPRÊME préparé au vin de Grenaehe vieux, est Irès agréabfèü prendre.II se recommande particulièrement aux personnes ANÉMIQVES, DÉRILES,aux CONVALESCENTS, aux V1E1LLARDS, ainsi qu aux ADOLESCENTS, dontla eroissance est rapide et la constitution faible.DOSE. - L11 verre a madère arant chacuu des principaux repos.

PRIX : Le Litre, 7 fr. SO ; Demi-Litre, francs*Bépot General s

PHARMAGIE PRINCIPALE28, Place de l'Hötel-de- Ville, 2, Rue Jules-Lecesne

GRANDEPHARMACIEGESHALLES-OENTRALES56, Ru© Voltaire, 56 — Havre

•A."V X s

demandedesConductricespourl'Armée

— MaVD(«086*

mm

SAVON extra pur 72 0/0, L'Eeran,, » w . . postal 10k. domic, maxi¬

mum 450 gr. ÏS« fr. Savon de ménage super., pos-Valï9T fr. Savonnorie BALDASSARI,15,rue doDeüoi, Marseille. MaS»—(5371)

HI I I I G" «'OLIVE, TO franoa le postal de ÏO litres,l—l I L.C. III; TABLE, OS francs le postal de 10 litres;Diminution 5 francs par 30 litres et 10 francs aa-dessas.

e A\/niVI (717 IT SUrÉUIEVtt, 38 francs le® XO kilos.On VUll EXTRA, 3G francs les ÏO kilos.Diminution 5 francs par 50 kilos et 10 francs par 10O kilos et au-dessus, franco cent. remb.Produits garantis supérieurs. Maison de conliance, accepte représentanls sérieux. Conditions spéciaiespour mutités de guerre.— Eerire Neveu, Industriel, SALON (B.-d.-R.)

lt.17.2i .26.28.31.4.7.11Ajt.l8.21.^8jtjJ53gai

per met aux MËNAGÈRES

<le teindre économiquement elles-inêmes, enNOIR et toutcs nuances, tous VÊTEMENTS :coton, laine, mi-laine, soie, etc.

VENTE DANS TOUTES DROGUERIES,MERCERIES,et«r

«arirrryssm

3Francs SOJe paie le vieil or même brisó3fr.50Iegr.enécliaagsdeiesBIJOUXiMcoivr'X'Ft.E:®DIAMANTE

et 3 francs le gr. conlre ARGENTLSLEU,40, rae Voltaire(Télép.14.04)La rue Voltaire commence a l'llötel TortoniASSOliïlMEXT COMPLET de

BIJOUX " FIXToutes les DÉC.OEATXOWS et tous IesILL BANS Beiges et Francais. — Spécialité dobarrcttes do plusisurs ordres ensemble. (o287z)

SociéiédetransportspareauCh.delaMÖKY0MA1SetCi8LBHAVREö3'r^.^^irsne'P 5 P 32, quai de la MarneI tllllO (lél. Kord 09-75)O w , rue Lalayette (tél. Bergère 30.43)

Frci cn retour tie Paris an HavrePIUX TIÏÉS RÉDU1TS

EnGros, Détail et petits ColisDepartssi-aebd&madairesparvapetirsfluviauxÈESCENTE EN TROIS JOURS

Halts»- (L0«J

-rnPeinture -:-V i trerie DécorsCollage de Pa piers peints

Bmile DESCHEERDERXI, rue MaraJne, EE 1IAVHUReparations de marquises et toits o.trés, posede carreuux .en tons genresTravaux soignés et executions rapidesiievis sun dehande

24.25.27.23.1.3 (3159)

Gahiuet ^3>eïitaii*e>

RAYMONDMécanicien-Dentiste

127,Cotii-sdeiaRépublique(préslcRond-Point)

SPÉCiALITÉCEPROTHESE0ENT6IREReparationsimmediatesdcdcetiersGsnstiftaiionsde8lieuresa!i li.1/2elde2a6ItearssOUVERTLEDIÜ1ANCHEMATIN18.20.22.24.25 27.29.31,1,3 (4841Z)

SYPHILISCOHPR

GUÉRISONlEFISERIEUSS

sansrecltulepossiblepariesde GIBERT

60S absorbable sans plpüreTechnique nouvelle bascc sur I'ertlcscité ties petit es doses

fractionuécs inais i cnvlées lou* le» join'sXraite-TTSi'it f^acitva «c discret méme en voyag®La Boïte de 40 Comprimés Muit francsLa Boïle de 50 Comprtuiés Dix francs(lüivdTtranco eoiitre e&pècesou niaudat)

Phurmacie GIBEKT, 19, rue* (iAub»sue - MAi'SElLUSrbaraiaci»Pfiacipale,88,pi,Hótol-de-ViUu

'Maladies de la Femme'La femme qui voudra évitw lep maux de tète, la Migraine, les Vcr-

tiges, les Maux de reins et autres malaises qui accompagnent les règlos,s'assurer dos- époques régulières, sans avance ui retard, devra faire uuusage constant et régulier de la

de r vt>i*rm mDe par sa constitution, la femme est sujette a un grand nombre demaladies qui proviennent de Ia mauvaise circulation du sang. Malheur acolle qui ne se sera pas soigaéc cü temps utile, car les pires rnaus Patten-dent La

JOUVENCEDEL'ABBÉSOURYest composée de planles inoffensive? sans aucun poison, et toute femmesoucieuse de sa santé doit au moindre malaise, en faire usage.

Son röle est de rétablir la partaite circulation dusang et de décongestionner les différents organes.Elle fait disparaitre et empêeho, du même coup,les Maladies intórieures, les Métrites, Fibrouies, Tu-ïneurs, Cancers, Mauvaises suites de Couches, Hó-morragies, Pertes blanches, les Varices, Phlébites,Hémorroïdos, sans compter les Maladies de l'Eslo-mac, de 1'Iutestiu et des Nerfs, qui en sont toujoursla conséquence. Au moment du ltetour d'age, lafemme devra encore faire usage do la

JOl VEXCi: de l'Abbé 8IHH1pour se dé-barrasser dea Chaieurs, Vapeurs, Etouffements et éviter lesaccidents el ies inflrinités qui soutla suite de la disparition d'uuo forma-,tiou qui a duro si longtenips.La Jouvenoe de l'Abbé Soury, toutes Pharmaetes : 4 Ir. 2f» le llacon ;4- fr. 85 irancogare. Les 4 flacons, 17 (r. franco contre maudat-poste adressea laPharmacie Mae.-, «umoxtieu, a Itouen.

Ajouter O fr. SO par flacon pour l'impét.

ANÉMIÈSCONVALESCENTSSURMENÉSVlEiLLAROS

Exigex ce Porti^H

Si vous voulez recouvrer vos forces perdue&mettez-vous au régime du déiwieuM

PHOSCAOLe Phoscao constitue Ia syntlièse alimentnire et thérapeutiqueidéale, apportant au cerveau le pliosphore naissant, li la cLarpeutoosseuse ses phosphates calcaires, aux muscles, l'azole de ses albu»minoïdes solubles, a la circulation sanguine Taction tonique de Iatheobromine et a l'économie générale l'acide nucléique sous se»Tormes assimilable? de chaux et de magnésie. De plus, le Phoscaoest Ie plus parfait régulateur des fonctions digestives. G'est pour-»,quoi son usage s'impose h ceux qui souHT-ent de 1'estomac (cranipes,tiraillements, aigceür», etc.), ou qui ont de mauvaises digestions.

BnVente dans toutes les FharmaoiesAdministration : 9, rue Frédérlc^Bastiat, PARIS.

mÊsmmMÊÊmmmÊÊmmsmiBiens è Vendre

Bieaexigerla VERITABLEJOUVENCEdeL'AbbéSQURÏavecla SignatureHag.DDMONTIER

(Notice coalenant renseigncments gratis)

SPÉCIALITÉ dc LITERIETL,. L®

3, Rue Jules-Lecesne, 8 (prés i'Hötel de Ville)

LITSENFERjtÜTVREMatelas - LitS'Cages

MODÉRÉS

Etude, M' LE VA1LLANTDE LAVALETTE, notaire AGuderviUe,et de M' Paul ROUSSEL, avové jau Havre, boulevard de Stras- jboury, n' iél).Liicitntion l.KltAlT'KEAirrmior enl'étudeotparjVLit BUL le ministère de M'Le Vaillant de la Valette, notaire, Ilo Vcndrcdi Stphmbre 19IS, a !3 heures précises de i'aprês-midi ; j1"Communede I.IXPIVILLE j1" Lot. Maisun a usage decommerce, siso a Lintpiville,,ha-rneau de la Porte-Verte, route doValmont a Bolbcc. Jardin et buan-derie, cour, tcurio el remise.Petite Fei-me attenante compre-iiapt cour-vorger planten d'arbresfruitic-rs, bètimenls d'habitation etd' exploitation . Jardin potagcr. l'iècede terrc en labour.Contenanco totale ; I nectaro08 ares 80 centiares. Le tout loué,000 francs..Mai-son a Limpiville, cbemi^de Limpiville a Vpreville, petitecour plantee, four, jardin. ('.onte-nance : 35 ares 20 centiarcs.Louée.120fr.Misoa prix : 5,COO fr.2' Lot.——I'ièees,.t«- Terrcen labour, a Limpiville, Tune vil¬lage do Godfnet, conteuanl 1 bee-tare 12 art-s U0eentiares, I'autredite ie Koe, eohtemmt 12 ares 90eentiares. Louée 120 francs.Misc a prix : fr.8 Csmmur.e d ASHOCYlLLE- ViL-

ItlESRIL

215 mèiresde TERRAINtk veixdLre

situé ruo de la Vallet-, 75, Gra-vitle. — S'adresser 88, rue Gus-tave-Klaubert, AM.GTEMET.

(5289Z)

3" Lot.—-Maison, sise chemind'Angervttlf Balilen! a Anw-uville,avec cour, jardin et piece do tcrro.Couteaauce 36 ares. Louée 110 Ir.Mise a prix : 1Ï50 fr.4' El dernier lot. — Fermesiso harneau du Key d'Or, coni-prenant maison d'habitation et ba-timents d'exploitulion, cour, jardin,2 pieces de t -rre en labour C.on-tenance 1 "nectaro -if ares 16 een¬tiares. Le tout loué 300 francs.Misc a prix : 8,500 fr.S'adresser pour tous reriseigne-meats a M' LE VAILLANTI>ELAVALETTE, nolaire a Godervtilo,et M- KOGSSEL el ltOUCHEZ,avoués au Havre, el IP- GOSSELINet LAVEll, nutalros. (52i7)

AihidbccsJudiciaircsEtude de M° TllILLARD,avoué auHavre, 33, rue Jcles-AncelIMVOKCE

Assistance judiciaire. Decision duvingt-hliit mars mil neuf centciuatorze.D'uri jugemcnt rendu par defautpar la première cliambre du Tri¬bunal civil du Havre, le premierdéccmbre mil neuf cent seize,enregistré, expédié, siguiliê ettran serit-,l'ans la cause d'entre ;Monsieur Onésime-Auguste c.v-vei.ikb, ouvrier londeur, demeu-rant an Havre, rue des Remparts,n' 11 bis,Demandeur comparant et con-cluant par M Alfred Tbillard,avooé, suppled par son confrèreM"Renault, 4

D'uoe pai-t ;Et Madame Louise-Justine-Mariedf.vacx, épouse dudit MonsieurGavelier, avec lequel elleesi domi-cilide do droit, mais résidant dofait séparément, ehez Madame De-vaux, a Graville-Sainte-lfonorine,n*243, route Nationale,Défenderesso défaillanle fauted'avoir cohstftaé avoüé,

D'autro part ;II appert :Qui- le divorce a été prononcéd'enlre lesdils époux Caveiicr-De-I vaox, k Ia requfte et an profit (illmari,avec tous eifets et suites dodroit.Kail et l'cdigc par l'avoud sous-signc, an Havre, le vingt-six aofitniiiueuf cent dlx-buit.

Pour exlrail :(Siguc) RENAULT,suppieant.

Etude de W A. TBILLARD. avoutou Havre, 33, rue Julcs-Anccl.nivoitCE

Assistance judiciaire. — Décisiondu vingl-cinqoclobrc mil neufcent treizo.D un iugement rendu par dc-faut par la première Chambrc duTribunal civil du Havre, le vingt-sept octobro mil neui cent seizo,enregistré et signiflé,Entre ; Monsinur Lconce-Josr-phi)F,LAMA(jpw.'oiffeur,dernfiuraiitauHavre, ruFoe la Nontalne, u*36,Et la dame Borthe-Léouie--Cons¬tance hoard, épouse dudit sieurDelamare, avec lequel elle est do-miciiiée de droit, octuelleiucntsans domicile ni residence connujen France.I! appert :Que le divorce a tic pronoilcAj d'entre Ies cjioux Delamarc-Huard,i au profit du mat-i, avec tous eifetsj el suites de droit.I La présente insertion faite enIvcrtu do I'articlo 247du CodecivllIet en execution d'une ordonnanca| rent'ue par Monsieur io prcsfelcntdu Tribunal civil du Havre.Havre, levingt-six aeiit mil neulcent dix-huit,

Pour extra:! :(Signé) RENAULT,suppieant.

IMPRIMEKIEdu

35, Rue Fonteuelle

LETTRESDÉCESTravailscigné

eiExecutionraoida

Havre — Imprimerie du journal Le Havre, 35, rue Foatenelle.

L'Adminislrateur-Délégué-Gérant : O. ItAMKiLkT,

Imprimé sur machines rotatives de la Maison PEPWRYft; Cet 8 pagesf.

h YPHuHfjKjgwrii