Lecture Complementaire RdP
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8/19/2019 Lecture Complementaire RdP
1/1
1.8.
Un RcIP perntel rIe visualiser
1.8.6. Capacité
lim itée
Un e
des caracléitliques importantes
des
réuesnn
de
Petei est
de pouvoir
présenter geapltiqnement nertuines relations. de visualiser certaines notions.
Nons aimes en donner des enemples.
1.8.1.
Paralléis,iae
Figure
1.49.
Paralléisme.
Ceci est représenté sur lu figore 1.49. On
vnil
clairement qu’après le
franchissement de la
transition
Tt.
et
jusqn’un franchissement
de
la transition
T2, un
a des
évolutio ns
en parallèle, d e la pince P~ à la
place
P3 dune pare es de
la
place
P2 à
la
place P
d’autm
pan. Chacune d e c es deon évolu tion s peut se
faim
I ana rythme pmpre.
1.8.2. Syncltroteisatian
FIgure
5.59.
Synchrnninatinn. -u-
rendec-rnns
-h- sémaphore .
l.s figure l.Sfl.a représente
la synchronisation
eécipenqne
de deon
énnlutie ns.
Dans
l a pa rs ie
ganche.
la
place
P5 est marquée, mais avant
de
ponnuinre l’évoluti on on
at’rnd
que
la p la c e P , s o it
marquée
aussi.
Dè s
que cea
drus
p l aces sont masqoés. lu
transition Tt peut être franchie,
ce
qui entraîne In
mnnmunge des
places
P~
et
Pa
et la
pnursuitr
de
l’énnl utiu n
dans chacune
des
panien du
RdP.
De
façon
réciproque , si
la pince
P5 avait
éémarquée
avant
la
ptacr P.
c’est
la panie droite qui aurait
attendu
pour se synchroniser avec la
panir
gauche
Itype
rertdca-t’utta I.
Le c as d e
la
figum .50.b est différnt
L’énnlu tinn
d e la punir
gauche
rst ittdépendante de celle de
lu
partie droite. En renanche, le franchissement de
lu transition
Ta
doit ne faire
a pr ès le
franchiusement
de la
transition
T ~. L a
place t’,
mémnr itr l’autorisation
de franchir
Ta.
Notons
qun
si
la
place P1 est
niasquée avattt
la
place
P. dès
que
la transition T~ us franchie,
lu transition
T2
peut ê tr e
franchir
aussi Itype aémap lturrl.
1.8.3.
Partage de
ressorirce
Sur la fifurr
.51.
laplace modéise la
divpnnihilité
d ’une mssnurce qui
Iront
être
utilivé par
la
psrtie gauche
à
partir
du
franchissement
de T1 et
Fignre
1.51. Pauage
dc mssuumc.
jusqu’au fnanchisscmrnt
de
Ta nu par
lu panic
droite dans des
conditions
stmtlairrs, mnis pas par les deno simulta nément,
En infnrtnatique,
l’eaclusinn
mutuelle de parties de programmes qui
ulilisenl
un e même mssnurce.
comme
une mémoi re
cnmmnnc par ruemple,
peut
un
mndéiser
ainsi.
D an s u n cas pins généa l, il peut y avoir
plunieurs
ressources identiques
plusieurs marques
dans
P1
et
la partir
gauche,
ainsi quo
la
punie droite,
peuvent utiliser
plusieurs ressources
simu llunémens .
1.8.4. Méatorisatian
L a p la c e P de In f igure l.52.a mémnr isc le
fuit
qu e
la
tcansilinn
Tt
a
éé
franchie,
ce qui suin ése le
franchissement ultéieur
de
T3, sous résrt ve
rie les
autres cnndilions de
nulidntiun
soient remplies ce cas es t asseu
similaim
I
celui
de la
figure l.5fl.bl.
O n p eu t égalemen t mémor iser
un
nombre nnmbm de pièces
dans un
stock
par roempir pur
la présence de plusieurs marqueu
d an s u ne place,
li
y
a
m arques dans l a p la c e
P de l u figure
l.52.h.
Sur la figum 1.53, le frunchissemcnr
de
Tt est conditionnépar le
masquage
de P~. sana
luulrhdn
modifier ce
marquage. On dit que
fun
effectue
une
“lrcture”
de ce
mastluage.
Figttrc
1.53.
Lrctnm.
La figune l.3d représente un fonctionnement tel
qu e
le
franchissemenl de
la
transition
T1 n’est possible que
si
la place
P5
cnntirnt moins de deun
marques. Nous avons déà rencontré
des cas similaires.
Figure 1.54. Capacilélim itée.
1.9. Remarquga de conclusion
lEueccicns 1.25 à l-341
La mudéisaliun es
l ’analyse dc
systèmes physiques
réels
est
un
problème
difficile, particulièrement dans
le
c as d e systèmes
cnmpleues.
Dans ce cas,
le
réseau
peut
être
décomposé
en un
certain nnmbre
de
unus -réseanu.
Si ces
dereiert
sont
intereunne clés de manière snarehique, us grand RdP peut être
obtenu
cl
sa
taille
peut
le
rendre
inutilisable.
D’où la néces silé de utrocturatiun
Ion
de
la spécificati on d ’un sys tème .
Il
devient alors pnsuiblc do faire nu e
ana lysn non
difféentes éapes de
la slrucusratinn.
tout
en garantissant lu validité
des résultats peur le réseau glnbsl. Quelques idées
sont
présentées
d an s la
sectins 1.9.1.
De
numbreus
logiciels d ’ana lyse dc Rd P nnt
éé
dével oppés. Leurs bases
anus
ind iquées dans
la
section 1.9.2,
1.9.1.
Structuratian
Lnrsqu’ns
spécifi e une
application,
deuu
principales approches peuvent
être consid éées, La
première
est sue approche descendante
e’ess’k-dim par
affinements success ifs une sppmche
similaire
sera espl iquée as chapitre 5.
pour le Ocufcetl. Quand ce tte app roche
n’est
pus possible, le ayssèmn peut
être
spécifié
en utilisant
des descriptinns partielles e t l e réseau global cal n b te n n p ar
la
cnmpnsitinn
des difféensa suns’réseaun,
5
T
Tj l~
Figure
1.55.
Affinements
s uc ce su if a - u- R dP d c
buse
-b
et e-
blaca bien
tonnés
“séquence’ et
‘si ulnrs
sinon’
-é Rd P
résultant.
L’approche
par
uffinemerira aircceuatfa cnuuisle
à
décti re grussièremrnt
le
cumynnenlrot du système par un
ltdP
relativement
simple
puis à
l’uaalyser.
A
cc
niveau.
Irs
transitions
représentent des upéutiuns
cnmplrses.
La descriplion
est
ensuite
aff inée en
remplaçant
leu transitions par des
Rd P appe lés
“blocs
bien
tonnés”
préservant les pmpriéês de
hnméet
de nivant,
etc. Un
certain
nombre
de
nineuuu de
description
peuvent ainsi s’cnchamner. Le modèle final
pessèdera
les propriéés prése rvées par
les
b ines b i en funnés, Lu figure 1.35
en
donne un
enemple . La
figure
a
est
su
RdP simple qai
rat vivantes sau f. Quand
Les b le cu
bien furmia
dea figures bel e scroplacent
Ira
transitions T1
et
T2 dans
lu
figure
u,
un
nbtient le
lidP
de la
figure
d
qui
est
aussi
vinant
et sauf.
‘b’
Figure
1.54. Curepenitiou par rendee-unua
•a-
sons-réseau
I -b- snas’réueau
2-c-réseau
flubaI.
~
~
Dans l’approche
par
curepaaiiiun de réaeuscc , un donne d’abord
des
spécificai inns
partielles
du système
éudié
La synchronisation
globale
est
nbtcnuc par la cnrepnsiliun des é féents snus- réseuuu décrivan t ces
spécificasinas partielles.
Un e
première
décnmpnsiti on
cnnsisle à conutroire des aotta’ay-arèreen
ut’ec
dru plucea
partogéea.
Leu places pacagées apparaï trnus
dans
chacun
des
sous-systèmes.
Le
modèle
global
est nblcnu en fuuinnasnl ces places pacagées.
Cesle apprncbe conserve lu
propriéé de nivacité
La seconde
décnmpesiti nn
utilise
le mécanisme
de
‘tester-noua.
Dans ce
cas, les uetsu-uyutéeea ont ‘ne
on
pluaiettru troeaitinnu cererennea qui
réalis ent
la uynchronisasinn entre les difféents sous-sys tèmes . Ce t te approche
cnnsesve
les
prop riéés
de
humé
es de vivant.
Par
rurreple, les anus-systèmes u es bée la
figure l.SéunI une transition
cummune
T2. Le
rendèle
global
de
lu figure
t
.56.c
est obtenues fusionnant la trunuitins cnmreune T3.
1.9.2.
ogiciel
d’analyse
L’analyse
d ’u s R d P. appelé vali éatinn , pennes de véifier
tes
principalra
prn pri ééa
d’un
mndèle
telles
que les propriéés
de
vivant , buroé
rénisialisable,... Elle
pennes
également
de véifier des pro pri éés spécifi ques
telles qnc l’eucluainn mutuelle nu
lu
l im i ma ti un d c r e asn nr ce s . L e logiciel
d’analyse
est
en
généal cnrepnaé de écu s punies. l’éditio n du
modèle et
l ’analyse
effective,
L e m nd èl e
peut
être
dété
unit unuu tonne teusuclle, soit anus
fnrtne
graphique.
Cette
de roi ècc es t plus attrayante
mais
n’est puasiblc que ai le
mnéèle
n’eut
pus trop grand.
L’analyse
utilise
les
méhodes qui
nnr éé présentées graphe
dea
murquagca accessibles un arbnreacence
de
couverture , mélsosles
de réduct ion
et algèbre linéaire .
Pnnr aider I
la mudéisatinn,
un
logiciel d’analyse
peut
également
cnnrenir
un casulngue
de RsIP
dc
base prédélu is.
Ces modèles
de
base peuvent cnnsésrr
des
fonctions
standard
es
peuvent être uti lis és pose
cunstroire le modèle
global
E
de
Vl’
gO
ALLA
H0
~Q Gt’z ’cat
aux
Re’sec,u’sc
Je
Pc-fi’.
£4 n~e
NERMES)
‘b’
Figure
1.52.
Ménnrisulinn -u- d’uv
franchisaeroens
-b-
d’on
nombre.
1.8.5.
Lect erre
Pa r t,s.