A n n i e T R A n V O U Ë Z

L e S e n S d e L a v i e ?De l’UN-conscient à l’IN-conscient

Retour vers le futur…

Du même auteur aux Éditions Quintessence :Symbolique des prénoms transgénérationnels : — Tome 1 : Prénoms masculins, 2009.— Tome 2 : Prénoms féminins, 2012.Mon prénom, un hasard ?, 2012.

Pour contacter l’auteur :gvolue@gmail.com

www.gvolue.com

Crédit photos : © Fotolia

© 2015 - Éditions Quintessence

Rue de la Bastidonne - 13678 Aubagne Cedex - FranceTél. (+33) 04 42 18 90 94 - Fax (+33) 04 42 18 90 99

www.editions-quintessence.comTous droits de reproduction et de traduction réservés pour tous pays.

ISBN 978-2-35805-166-8

5

Je dédie cet ouvrage :

Le sens de la vie ?

À mes amis, ma famille, Pascal

et plus particulièrement

Michèle « ma fidèle amie et super soutien », Catherine « qui a relu avec minutie aux fins de corrections »,

Jean François, Béatrice « mon âme sœur »,

Stéphanie « le cœur au bord des yeux », Didier et Tonton Yves…

À tous ceux qui sont émerveillés par la vie au travers du travail qu’ils font sur eux,

À toutes les personnes qui m’ont enrichie de leurs expériences, séminaires, lectures,

que j’ai rencontrées sur mon chemin de vie.

Bonne lecture…

Annie

7

Préface

Psychogénéalogiste, auteur, conférencière, je suis passionnée par cette science, car tant de trésors y sont utilisables ! Des outils pour ouvrir notre génosociogramme comme la symbolique du tarot humaniste, le décodage des conflits, des rêves, la communication relationnelle, l’analyse transactionnelle, la PNL, la communication de Jacques Salomé, l’ennéagramme (chemin de soi vers les autres), la vie des saints, les dates historiques, le langage des oiseaux, les anagrammes, l’étymologie, les lettres hébraïques, le nombre d’or… La liste n’est pas exhaustive.

J’ai toujours eu ce ressenti profond que nous étions un microcosme dans un macrocosme, éprouvant vers quinze ans le fameux vertige de Pascal.

Vers dix-huit ans, je m’appropriais le poème de Baudelaire «  L’albatros  » exilé sur le sol, si mal dans sa peau sur terre, si infirme avec ses grandes ailes et si libre, si majestueux dans les airs…

Ma vie, qui n’a pas été un long fleuve tranquille, m’a donné la sensation d’être un boat people émanant du Moyen Âge, pour me retrouver, tels Les Visiteurs, projetée en plein x x i e siècle.

Aussi, ma vie intérieure bouillonnait mais était happée par un dur quotidien de survie.

Alors, ce qui devait arriver arriva : l’accident… Solution de mon inconscient qui m’a obligée à m’arrêter de travailler pendant un temps afin que je reprenne les rênes de ma vie.

Le « hasard » me présenta des lectures, au travers des patients interposés, qui me replongèrent dans ce que je savais depuis toujours mais qui était montré du doigt en ce siècle si matérialiste : l’inconscient, la médecine parallèle, oser penser hors des sentiers battus et de la robotisation forcenée des médias pour formater des moutons…

Il est certain qu’au Moyen Âge il en aurait fallu beaucoup moins pour se retrouver sur le bûcher : oser penser par soi-même…

8

l e s e n s d e l a v i e ?

Après un gros accident, la vie nous remet sur notre chemin, le nôtre, unique pour chacun. C’est ainsi que de lectures en stages, de conférences en rencontres, je retrouvais une partie de mon authenticité et j’avais plein de choses à vider de ma tête.

Voici plus de vingt ans qu’en dehors de ma vie « matérielle » je me consacre à écrire, à faire des conférences, à transmettre aux autres ce qui est plus qu’une passion, une certitude, comment je conçois la Vie.

La chance m’a fait rencontrer RTL Toulon où l’on me demanda d’animer une émission «  Que révèle votre prénom transgénérationnel ? » Cette émission quotidienne, voire parfois plus, m’a enrichie de façon considérable avec cet échange en direct avec les auditeurs.

Merci madame la directrice et Florent Lamiaux, concepteur de l’émission. J’ai été confrontée aux prénoms et les trésors qu’ils contenaient pour pointer la vie de nos ascendants. Impressionnant ! Aujourd’hui, dès que j’entends un prénom, une somatisation, une phrase, des mots spécifiques… j’ai un logiciel dans ma tête hyperperformant qui se met en route, déroulant son autoroute d’informations. Franchement, c’est jouissif, pas intellectuel, « je sais, sans savoir, tout en sachant ».

Cela m’a donné une autre façon de voir la vie et de comprendre que nous sommes uniques. Nous voyons chacun la vie au travers d’un des prismes du kaléidoscope si bien que comme le disait Euclide : « Chacun vit dans s o n monde et non dans l e monde ».

Nous sommes tous issus du même ancêtre, tout est dans tout, rien ne se perd, tout se transforme. Nous sommes des filtres au travers desquels la vie s’accomplit. À nous de faire le tri.

Ce manuscrit n’est pas un livre médical ou psychanalytique, tant s’en faut, mais un condensé de séminaires, ateliers, conférences, livres et idées personnelles que j’ai eu le bonheur de connaître.

C’est un recueil de pensées, d’idées qu’il m’est agréable de partager avec vous, chers lecteurs.

Les somatisations, accidents, événements brusques étant souvent, hélas, à un moment donné à la croisée de nos routes, j’apprécie cette autre façon de les appréhender, car ceci ne survient jamais de façon innocente.

En fait, cette approche n’est pas née d’aujourd’hui puisqu’elle se réfère à des philosophies hindoue, chinoise, tibétaine,

9

p r é f a c e

d’acupuncture, d’homéopathie et plus récemment d’Edgar Cayce, Rudolph Steiner, Jung, Janov, Laborit et autres, et, en faisant un bond à nos jours, la physique quantique…

Le Verbe, le symbole, les mythes, les contes, la poésie parlent à notre inconscient – cette incommensurable réserve d’instincts de survie depuis la Nuit des Temps – qui nous répond par les rêves, les lapsus, les actes manqués et les somatisations car il ne connaît que nous et nos organes cibles.

Avec un seul mot Jésus guérissait car Il touchait le ressenti provoquant un déclic libérateur et non sur le cerveau qui mentalise.

Si le cerveau décode, la guérison peut se déclencher instantané-ment mais le lâcher-prise n’est pas chose facile dans notre monde très mentalisé.

Voici une métaphore qui pourrait être parlante en ce qui concerne ce si difficile lâcher-prise.

« C’est un petit caillou au fond d’une rivière qui est soulevé par la houle. Tous les autres s’accrochent pour ne pas être emportés et rester à leur place. Mais notre petit caillou, lui, au lieu de résister se laisse porter par les flots et vogue, vogue au gré du destin. Un jour, il arrive à l’embouchure de la rivière et découvre l’immensité de la mer : tout un monde nouveau s’ouvre à lui qui va l’émerveiller et l’enrichir d’une nouvelle expérience. »

(extrait du Messie récalcitrant de R. Bach.)

Ne sommes-nous pas sur terre à l’école de l’humanité pour vivre sans cesse de nouvelles vies et nous enrichir d’expériences créatrices ?

À la naissance, nous faisons le deuil de l’utérus, puis bébé, de l’allaitement, de la maternelle on passe au primaire, d’enfant à ado, d’adulte à vieillard, les leçons sont crescendo avec des révisions à la clé.

Oui, à chaque période de la vie, nous devons faire un deuil pour agrandir nos frontières intérieures, sinon des événements brusques et difficiles nous feront redoubler jusqu’à compréhension de la leçon à apprendre.

D’ailleurs, il est curieux de voir que chacun a des «  années destin » qui reviennent plus que d’autres – c’est vérifiable par un calcul mathématique.

10

l e s e n s d e l a v i e ?

N’oublions jamais que notre inconscient contient toutes les solutions de survie de l’espèce enregistrées depuis les règnes minéraux, végétaux, animaux et humains. L’animal n’a que sa solution intérieure pour guérir, le cerveau encodant les infor-mations et les transcrivant en symbolique sur ses organes cibles.

Par exemple, un loup qui vient d’attraper un lapin, le dévore mais un prédateur cherche à lui prendre. Il avale un os de travers qui se coince dans son œsophage. Il se terre. Là, son cerveau va lui créer un cancer de l’œsophage, la meilleure solution qu’il a car, les cellules cancéreuses se démultipliant, l’os sera plus vite dissous et cela le sauvera. Quand il repartira, il n’aura pas de peur, pas de souvenir, aucune pensée, seule une tache blanche dans son cerveau témoignera de ce cancer.

C’est avec la précision d’un laser que l’inconscient va envoyer sa meilleure solution de survie dans chaque cas.

Dans la vie, c’est le v é c u dans l’émotion qui sauve.N’oublions jamais que « l’important, c’est de ne jamais s’arrêter

de chercher », disait Einstein.Ce qui guérit, c’est l’a m o u r et la certitude à 100 %.Il n’est jamais trop tard pour réviser notre façon de vivre.Alors, po u rq u o i s o m at i s o n s-n o u s ?Le corps nous parle par somatisations interposées pour nous

dire ce qui ne va pas en nous. Ce sont des conflits qui remontent de notre enfance et aussi de nos lignées ancestrales.

Précisons qu’un conflit signifie « je me fais du souci pour… »Cette vision ouvre d’autres perspectives si on essaye d’en

décrypter le surstress vécu pour l’évacuer.En cherchant à fuir une situation qui nous fait mal, nous fuyons

aussi ce qui nous permettrait de nous en libérer.Rendre conscient quelqu’un, c’est le responsabiliser et si la

personne n’est pas prête, c’est grave de le faire.En effet, a-t-on le droit d’intervenir dans la souffrance de l’autre

si celui-ci ne demande rien ? Rappelons-nous que tout conflit est une leçon à apprendre…

Voici une métaphore : un abricotier porte ses fruits à maturité mais pas tous en même temps, car chacun, selon son exposition, a besoin d’un certain laps de temps. Mais, au final, tous sont des abricots quel que soit leur mûrissement…

11

p r é f a c e

Oui, révisons notre vie surtout quand la maladie nous fait avancer sur le chemin de la connaissance durant ce séjour terrestre dont le parcours doit être initiatique.

Lorsqu’on veut fuir une situation comportant une leçon importante pour notre évolution, la pathologie ou l’accident peuvent nous forcer à y faire face.

« Puisque nous avons le pouvoir de créer en nous les pathologies, nous avons aussi celui de les guérir. »

Edgar Cayce.

L’enfer et le ciel sont en nous

J’aime cette histoire :Saint Pierre fait visiter l’enfer et le paradis à un groupe de

touristes. Il montre une magnifique et immense table garnie de façon pantagruélique : c’est l’abondance mais aussi le raffinement.

Pourtant tous les hôtes sont maigres, affamés, avec un air méchant et malheureux.

Visite ensuite du premier étage  : même décor mais là, les personnages sont heureux.

Les touristes ne comprennent pas…Saint Pierre leur demande de noter un détail qui est

d’importance : les cuillères qui servent à se nourrir font 1 m 20.En bas, chacun étant égoïste ne pense qu’à lui et ne peut mettre

la cuillère dans sa bouche !En haut, chacun pensant à l’autre d’abord donne à manger à son

voisin d’en face, à 1 m 20 de lui…À méditer.Nous attirons et nous créons dehors ce que nous sommes

à l’intérieur. Alors brisons nos chaînes en abattant les murs de nos habitudes qui nous retiennent prisonniers ; agrandissons nos frontières intérieures et le monde ira mieux car celles-ci s’aboliront d’elles-mêmes.

12

l e s e n s d e l a v i e ?

Ce qui code la maladie, c’est tout ce dont elle n’a pas conscience :

tous nos refoulements.

Nous devenons ce que nous pensons

Notre cerveau est comme un pilote automatique incroyable qui nous conduit là où nous lui disons d’aller, consciemment ou inconsciemment.

« C’est avec nos pensées que nous créons le monde. »Bouddha

Il faut toujours être en m a rc h e , en d e v e n i r , ne pas stagner. S’il y a s tag n at i o n , il y a pat h o lo g i e .

Le surstress 1 : ce 1 % du conflit

Voici un exemple de surstress qui en dit long :Un homme se trouve enfermé dans une chambre froide 2. Voyant

sa fin prochaine il écrit tous les symptômes de cette horrible mort qui l’envahit. Il meurt. Au petit matin, une personne ouvre cette pièce et trouve ses notes.

C’est la peur de la peur qui engendre ce genre de fait.Dans cet ouvrage j’aborde également :

Notre vie intra-utérine et notre naissance

C’est aussi une autre façon de voir la vie. En revisitant les 27 mois de notre descente sur terre et la façon dont nous sommes nés, avons été allaités, en dit long sur notre ascendance. no u s n e s o m m e s q u e d e s h é r i t i e r s.

« Ce qui a été transformé en conscience n’appartient plus aux forces ennemies. »

Maeterlinck

Nous héritons des pathologiesNous choisissons notre famille pour des problèmes à résoudre

qui s’y trouvent et les enfants sont là pour nous faire revivre notre propre enfance, mettre notre inconscient à nu.

1. Surstress ou burnout : feu intérieur, qui brûle.2. Un détail : la chambre froide n’était pas branchée…

13

p r é f a c e

Subconscient collectif ou Transmission de cerveau à cerveau

Voici un exemple réel expérimenté par des scientifiques :Sept souris sont séparées dès leur naissance de leur mère.

Elles sont placées dans un sous-marin. Au laboratoire, sur terre, le cerveau de la mère est branché afin de mesurer son activité cérébrale. Ordre a été donné au scientifique du sous-marin, parti à l’autre bout de la planète, de mettre à mort, où, quand et comme il veut, un ou plusieurs souriceaux.

La consigne étant de noter avec la plus grande précision la date et l’heure. Au labo, il a été vérifié qu’à chaque fois qu’un souriceau avait été sacrifié, la mère le savait, l’avait ressenti. Son tracé l’indiquait à la même seconde.

Le hasard 1

« C’est la somme de toutes nos ignorances et de tous nos aveuglements. »

« C’est l’habit que porte Dieu lorsqu’Il veut voyager incognito. »Proverbe

Le décodage

Comprendre intellectuellement ne suffit pas à décoder.

« Tu veux guérir ? Es-tu prêt à supprimer les causes de ta maladie ? »

Hippocrate

Les intérêts secondaires

Quand une personne prend le message intégral (prise de conscience) et ne guérit pas, c’est que, quelque part, dans son 1 % de surstress existe un intérêt secondaire à ne pas guérir de sa maladie ou de son comportement.

La sacralisation

L’enfant veut aimer ses parents à tout prix, donc désire s’en rapprocher. Il fera, plus tard, comme ces derniers pour être reconnu par eux. On le voit chez les enfants battus qui seront des parents

1. Aide en hébreu.

14

l e s e n s d e l a v i e ?

violents pour justifier que les leurs ne sont pas des monstres en les reproduisant. Sinon, ils seraient enfants de monstres…

La répétition familiale

Dans l’arbre généalogique on repère facilement les répétitions familiales au travers des prénoms, des métiers, dons, défauts, somatisations, hobbies, etc.

Si vous ne « soignez » pas votre Arbre, il y aura répétition du « mauvais événement » mais on ne peut prédire quel enfant de la fratrie prendra sur lui cette Loyauté invisible : c’est une répétition que l’on constate a posteriori dans l’état actuel des connaissances.

Le syndrome d’anniversaire

L’inconscient a bonne mémoire et marque les événements importants du cycle. La notion de territoire chez l’humain est d’une importance capitale car elle fait partie de la survie de l’espèce, seule loi de notre inconscient, je le rappelle.

Les maladies génétiques ou transgénérationnelles

Nos maladies sont influencées par nos histoires trans-générationnelles. Ce sont les histoires familiales qui se répètent sur plusieurs générations. Nous sommes reliés à nos ancêtres.

Lorsque l’on veut fuir une situation comportant une leçon importante pour notre évolution, la maladie peut nous forcer à y faire face.

acc e p t e r l a t r a n s f o r m at i o n C’est quitter nos b é q u i l l e s a n c e s t r a l e s

Le décodage bio 1 est différent du psycho

acc e p to n s l e s f ê l u r e s d e n ot r e â m e comme la co u l e u r d e n o s y e u x.

La m a l a d i e est un g a i n d e s u rv i e .

C’est une s o n n e t t e d’a l a r m e pour é vo l u e r.

1. Bio : fonction corporelle avec des mots clés particuliers.

15

p r é f a c e

Voici quelques-uns des points abordés dans cet ouvrage. Il est largement complété par mon autre fascicule Mon prénom, un hasard ?

Je viens de voir le film de Luc Besson, Lucie 1 qui témoigne par sa mise en scène que :

• 1 + 1 ne fait pas deux ;• c’est la peur qui engendre la peur et en attire ses conséquences ;• que le Présent est le temps universel ;• que l’utilisation minime de notre cerveau à un pourcentage

très faible, eu égard à son 100  %, et de notre universalité entre autres…

C’est très modestement que j’ai écrit ce fascicule car je suis imprégnée de ces notions depuis toujours et que la physique quantique nous fait découvrir en ce merveilleux siècle axé sur l’étude du cerveau.

N.B.  : Comme il fallait s’y attendre, ce film a été perçu par le public de façon assez mitigée, car tout ce qui change les conceptions de penser dérange. C’est une forme de racisme intellectuel et cela fait peur. Et pourtant c’est romancé certes, et pour un film c’est normal, mais des correspondances avec la physique quantique sont là.

L’idée de cet ouvrage est de retracer ce parcours de l’UN-conscient à l’IN-conscient. Je vous serais reconnaissante de ne pas me faire brûler au bûcher comme les sorcières d’antan ou tout visionnaire qui dérangeait les idées bien vues par tout le monde.

J’ai eu envie d’écrire la façon dont je vois notre parcours qui est un petit point suivi par un autre petit point, notre descendant, et ainsi à l’infini comme l’est sa symbolique la lemniscate.

1. Le nom du film Lucy est aussi une référence au nom donné au premier fossile relativement complet d’Australopithèque. Elle apparaît par deux fois dans le film sous forme d’image de synthèse plus vraie que nature. Dans la deuxième scène, les deux « Lucy » se rencontrent de la même manière que Dieu et Adam dans la fresque La Création d'Adam de Michel-Ange sur la voûte de la Chapelle Sixtine.

16

l e s e n s d e l a v i e ?

Éd. Quintessence. Une vidéo est sur YouTubehttps://www.youtube.com/watch?v=WDrQsh7wB2s

Lien vidéo interview YouTube de Lilouhttp://www.lateledelilou.com/Notre-prenom-un-hasard-Annie-Tranvouez_

a1067.html

Je vous envoie mon meilleur

17

i

De l’Arbre généalogique à l’Arbre idéologique

« De matrice en matrice, se poursuit le Grand Œuvre. »Proverbe alchimique

« Il y a une vérité utile : J’étais quelque chose avant de naître. Je serai quelque chose après ma mort. »

A. Jodorowsky

« Le sens de la vie personnelle est de retourner à l’enfance, ou plutôt de faire apparaître à nouveau l’enfant

qui jamais n’a disparu. »Georg Groddeck

Si l’on accepte ce postulat cela change tout, car l’on décide de sa vie, de ses parents et de son « Arbre » (entendez : terreau de nos ancêtres).

Si notre famille n’existait pas, que se passerait-il en positif ou en négatif ? Il n’est pas une chose qui ne vienne de notre Arbre…

La Vie et l’Arbre sont une école.

L’Arbre, pour le visualiser, je remonte jusqu’à la 4e génération, car le chiffre 4, c’est la réalité.