D'ACQUISITION DES MUSÉES

HAUTE-NORMANDIE

FONDS RÉGIONAL

30 ANS D’ACQUISITIONS

LE MOUVEMENT ENTRE REPRÉSENTATION & EXPÉRIMENTATION

ROUEN - HÔTEL DE RÉGION 16 OCTOBRE - 15 NOVEMBRE 2014

Berceau de l’impressionnisme, terre d’accueil de créateurs presti-gieux, la Normandie a pris au fil des siècles une place singulière dans le patrimoine culturel national. La politique culturelle de la Région s’emploie notamment à aider les musées haut-normands à valoriser cette richesse inestimable.Le Fonds Régional d’Acquisition des Musées (FRAM), financé à parité par la Région et l’État par le biais de la DRAC de Haute-Normandie, est à ce titre emblématique. Depuis ses trente ans d’existence, ce fonds a soutenu l’enrichissement des collections de nos musées. Méconnu du grand public, il permet aujourd’hui aux visiteurs de pouvoir admirer en Haute-Normandie une lettre de Victor Hugo, un bas-relief de Raymond Duchamp-Villon ou bien une huile sur toile de Jacques-Émile Blanche. Avec 513 acquisitions faites par les 28 musées qui en ont bénéficié, le bilan quantitatif est indéniable. La qualité et la diversité des acquisitions ont été également renforcées : peintures, sculptures, mais aussi lettres manuscrites, objets relevant des arts décoratifs viennent désormais compléter les expositions.Cette exposition rétrospective présentée à l’Hôtel de Région permet de réunir en un seul site quelques-uns des joyaux de ces collections muséales sous forme de reproductions grandeur nature. Avec pour fil conducteur « Le mouvement », elle a aussi pour vocation de mieux faire connaître au public la richesse des musées haut-normands où des œuvres majeures sont conservées.Excellente exposition à toutes et à tous

Très chaleureusement,Nicolas Mayer-Rossignol

Président de la Région Haute-Normandie

Conserver, restaurer, étudier, enrichir les collections et les rendre accessibles au public le plus large, telles sont les missions fonda-mentales des musées de France.Pour répondre plus particulièrement à leur mission d’enrichissement des collections, les musées bénéficient de la mobilisation des services de l’État : de la définition de la politique d’acquisition dans le cadre des projets scientifiques et culturels de chaque établissement, en pas-sant par les avis collégiaux émis lors des commissions scientifiques interrégionales, jusqu’au soutien financier, le cas échéant, c’est tout un processus d’accompagnement qui est mis en œuvre pour garantir la qualité et la pertinence des œuvres entrant dans les collections.Grâce au Fonds Régional d’Acquisition des Musées, instauré en Haute-Normandie dès 1983, l’État et la Région sont en mesure de soutenir financièrement les musées dans leurs projets d’acquisitions remarquables.L’exposition que j’ai le plaisir de vous présenter, aux côtés du Président de la Région Haute-Normandie, vient ainsi rappeler l’importance et la continuité de cet effort, engagé depuis maintenant trente ans.

Pierre-Henry Maccioni Préfet de la région Haute-Normandie

LE FONDS RÉGIONAL D’ACQUISITION DES MUSÉES

En Haute-Normandie, le Fonds Régional d’Acquisition des Musées (FRAM) a été institué dès 1983 en application des premières lois de décentralisation. Financé à parité par la Région et l’État, par le biais de la Drac de Haute-Normandie, il a pour vocation de soutenir les musées dans leur politique d’acquisition.La loi de janvier 2002 relative aux musées des France considère l’enrichisse-ment des collections comme une des toutes premières missions d’un musée.

Après plus de trente années de fonctionnement, le bilan quantitatif établit que sur les 41 musées de France de Haute-Normandie, 28 ont bénéficié au moins une fois de l’aide du FRAM pour un total de 513 acquisitions.Sur le plan qualitatif l’inventaire rétrospectif prouve la diversité des acqui-sitions réalisées (peintures, sculptures, objets relevant des arts décoratifs, photographies, pièces du domaine de l’ethnologie ou de l’archéologie…) comme le rôle décisif joué par le FRAM. En effet, ce dispositif permet l’acquisition d’œuvres qui sans cette aide ne pourraient pas rejoindre les fonds patrimoniaux des musées haut-normands.

THÈME ET PARCOURS DE L’EXPOSITION

Le projet d’exposition retenu s’articule autour de la question du traitement du mouvement dans les arts plastiques et autres domaines représentés dans les acquisitions FRAM.

LE MOUVEMENT : DANS QUEL SENS ?En histoire de l’art, le terme de mouvement est le plus souvent employé pour désigner une période, une école, un groupe de créateurs présentant des traits communs, des caractéristiques partagées (Réalisme, Impressionnisme, Fauvisme, Surréalisme…). Cette acception n’est pas celle retenue.De tout temps, les artistes ont voulu représenter ce qui bouge, le mouve-ment et la lumière sachant que les œuvres peintes ou sculptées, forcément immobiles, ne pouvaient que rendre l’idée de mouvement. Le parcours proposé est organisé en trois sections :– LE CORPS EN MOUVEMENT : le corps représenté (des gestes quotidiens

aux actes héroïques), le corps déplacé (les voyages)– ENTRE CIEL ET TERRE : éléments déchaînés, paysages dynamiques– L’ŒUVRE OUVERTE OU EN PROCESSUS

HAUTE-NORMANDIE

EXPOSITION RÉALISÉE PAR LA RÉGION HAUTE-NORMANDIE, SERVICE INVENTAIRE ET PATRIMOINEConception et textes : Bénédicte DuthionGraphisme et scénographie : L’ATELIER de communication

REMERCIEMENTS POUR LEUR DISPONIBILITÉ ET SOUTIENService Inventaire et Patrimoine : Claire Etienne, Guillaume Gaillard, Christophe KollmannService communication : Nathalie Lecerf, Laure Voslion

REMERCIEMENTS POUR LEUR CONTRIBUTION À L’ÉLABORATION DU PROJETDrac de Haute-Normandie : Roland PintatStagiaires : Céline Aubin, Guillaume Gohon, Lise Le Bonniec

REMERCIEMENTS POUR LA CONFIANCE DONT ILS ONT TÉMOIGNÉ ET POUR LEUR PARTICIPATION ACTIVE AU PROJETMusée de Bernay : Mélanie Dassonville, Cédric Pannevel – Musée de Dieppe : Martine Gatinet, Pierre Ickowicz – Musée d’Eu : Alban Duparc – Musée d’Évreux : Florence Calame-Levert, François Bridey – Musée de Fécamp : Marie-Hélène Desjardins, Nadège Sébille – Musée de Louviers : Michel Natier, Alain Quaegebeur – Musée Malraux du Havre : Annette Haudiquet, Virginie Delcourt – Musée de Martainville-Epreville : Caroline Louet – Musées de Rouen (beaux-arts, céramique, le Secq des Tournelles) : Sylvain Amic, Diederik Bakhuÿs, Anne-Charlotte Cathelineau – Musée départemental des Antiquités : Caroline Dorion-Peyronnet, Nicolas Hatot – Musée de Vernon : Judith Cernogora, Annie Verdier – Musée de Villequier : Sophie Fourny-Dargere – Musée de Saint-Nicolas d’Aliermont : Marianne Lombardi, Hélène de Mauzaubrun

Remerciements particuliers à Olivier Mériel qui a accepté la reproduction de deux de ses œuvres photographiques

MUSÉE LOUIS-PHILIPPE – CHÂTEAU D’EU (76)ALBAN DUPARC ATTACHÉ DE CONSERVATION DU PATRIMOINE DIRECTEUR DU MUSÉE

Depuis 2014, le FRAM propose également une aide à la restauration des collections. Pourquoi cette extension du FRAM est importante pour votre musée ?L’une des missions principales du musée Louis-Philippe est de retrouver l’ameublement du château d’Eu, surtout pour l’époque où il fut résidence royale. Cette volonté d’enrichir les collections ne peut se comprendre qu’avec la mise en place en parallèle de chantiers de restauration. Ces derniers permettent en effet de montrer, au plus grand nombre, des œuvres dans des conditions optimales, la restauration d’une œuvre ayant des implications directes sur son esthétique, sa conservation. Elle offre également l’opportunité de mieux connaître son histoire. Une exten-sion du FRAM vers la restauration peut se révéler à l’avenir un levier important pour aider des musées comme le nôtre dans leur volonté de mise en valeur de leurs collections et de pans d’histoire quelquefois méconnus du grand public.

MUSÉE DES INSTRUMENTS À VENT LA COUTURE-BOUSSEY (27)VIRGINIE ALLARD DIRECTRICE DU MUSÉE

Que représente le FRAM pour un petit musée ? Quelle œuvre la plus marquante votre musée a-t-il acheté grâce au dispositif ?Le musée des instruments à vent a assez peu fait appel au FRAM pour ses acquisitions puisqu’un grand nombre d’entre elles proviennent de dons de particuliers ou d’entre-prises, mais aussi parce que l’équipe restreinte du musée ne permet pas de mener une politique d’acquisition aussi active qu’elle le souhaiterait. Le recours au FRAM est néanmoins nécessaire voire indispensable à un petit musée comme le nôtre pour lui permettre d’acquérir certaines pièces rares ou prestigieuses avec un budget restreint. En l’occurrence, l’instrument le plus ancien de la collection, un hautbois du facteur Louis Cornet, daté de 1730, n’aurait pu être préempté en vente publique en 2004 sans la participation du FRAM.

Victor Hugo (1802-1885), L’esprit des bois lui apparut, 1856Dessin à l’encre brune et bâtonnet (?) sur papier beige, 15 × 8,5 – Acquisition 1993, Villequier, Maison Vacquerie - musée Victor Hugo, inv. 1993.12.1 © Maison Vacquerie - musée Victor Hugo. dépt 76

Princesse Marie d’Orléans, duchesse de Wurtemberg (1813-1839), Jeanne d’Arc pleurant à la vue des blessés, 1834-1835Plâtre moulé, cachet d’atelier, 55 × 514 – Acquisition 2001, musée Louis-Philippe Château d’Eu, inv. L.P. Eu 2001-8 Cliché : C. Kollmann © Inventaire général Haute-Normandie

Louis Cornet, Hautbois, vers 1730Buis, ivoire, laiton, os – Acquisition 2004, inv. 2004.1.1 – Cliché : © Olivier Mériel

01. LE CORPS EN MOUVEMENT

LE CORPS REPRÉSENTÉLe premier souci des artistes à partir du moment où ils ont choisi de représenter le corps humain a été de varier les attitudes de leurs figures pour les mettre en harmonie avec les gestes réellement accomplis dans la vie.Certains, dès le XVe siècle, observent en véritables anatomistes la mécanique des déplacements. Tous, de la Renaissance à la fin du XIXe siècle, vont s’efforcer de rendre l’image du mouvement dans sa fugacité. Mais, étant donné que la peinture ne peut que le suggérer et non le reproduire (puisqu’elle dispose d’une image unique et non d’une succession de « plans »), ils utilisent divers procédés. La sculpture par un modelé réel offre d’autres solutions.

DES GESTES QUOTIDIENS AUX ACTES HÉROÏQUESPour les gestes et expressions empruntés au quotidien, le procédé est souvent descriptif et illustratif. Dans le cas de scènes héroïques, les gestes des mains et des bras constituent souvent un langage expressif issu d’une longue tradition iconographique.Pour illustrer l’acmé de son combat contre le Minotaure, Thésée est représenté brandissant son arme de la main droite et tenant vigoureusement la tête du monstre de sa main opposée. L’oblique ainsi formée exprime l’incroyable force déployée. Après la bataille, le bras droit pendant de Jeanne d’Arc exprime son désarroi.

Avec l’invention de la photographie et des premières images animées (chronophotographie, cinéma) les moyens d’analyse du mouvement franchissent une étape décisive. Dès lors, l’intérêt qu’éprouvent les artistes pour sa représentation, sans aucunement s’amoindrir, est obligé d’emprunter des directions nouvelles.

LE CORPS DÉPLACÉ : LES VOYAGESQu’il réponde à des motifs politiques (Louis Philippe en Angleterre dans le contexte de l’Entente cordiale, Victor Hugo en exil sous le Second Empire), artistiques (Camille Saint-Saëns) ou relève du simple agrément, le voyage donne généralement lieu à des échanges épistolaires ou à des témoignages en images.

Michel Lourdel (1577-1676), Deux anges céroféraires, XVIIe siècleSculpture en bois, H. 80 – Acquisition 2008, musée des traditions et arts normands, Château de Martainville, inv. 2008.6.2 – Cliché : Yohann Deslandes © CG76

Camille Saint-Saëns (1835-1921), Lettre d’invitation adressée à Camille Saint-Saëns à ParisEncre sur papier – Acquisition 2004, musée de Dieppe, inv. 2004.2.41 Cliché : Ville de Dieppe, Château-Musée © B. Legros

Eugène Le Poittevin, de son vrai nom Poidevin (1806-1870), Pêcheurs à Étretat, vers 1840Huile sur panneau, 38,5 × 47 – Acquisition 2012, Fécamp, musée des Pêcheries, inv. 2012.1 © Imagery – musée de Fécamp

02. ENTRE CIEL ET TERRE ÉLÉMENTS DÉCHAÎNÉS, PAYSAGES DYNAMIQUES

Dans l’histoire de la peinture occidentale, le paysage a longtemps occupé une place subalterne. Jusqu’au XVIIe siècle, il sert essentiellement de décor à des scènes d’inspiration historique ou religieuse comme chez Louis Brandin. Au XVIIIe siècle, Joseph Vernet exécute la célèbre série Les Ports de France et Hubert Robert donne aux vues de ruines un incomparable souffle. Mais il faut attendre le siècle suivant pour que la peinture de paysage s’épanouisse pleinement.

ÉLÉMENTS DÉCHAÎNÉS. PAYSAGES DYNAMIQUESLes romantiques chargent le paysage de tous leurs états d’âme. La violence des tempêtes et naufrages entre en réso-nance avec leurs tourments intérieurs. Eugène Isabey est un des amis de Théodore Géricault dont le célèbre Radeau de la Méduse est présenté au Salon de 1819. Sans rejeter le pittoresque, Jules Noël cherche à « capter l’impalpable et le mouvant, l’eau et ses irisations, le ciel et ses états divers, la lumière qui éveille les couleurs, anime les formes et creuse les contrastes ». Pratiquant la peinture sur le motif comme les impressionnistes, Robert-Antoine Pinchon restitue la montée des eaux par une touche mouvementée et des couleurs acides. Louis Valtat exprime sa fascination pour les paysages méditerranéens en usant de coloris puissants. Chez Butler, le panorama, presque en contre-plongée, semble inviter le spectateur à entrer dans le paysage.

PAYSAGES CONTEMPORAINSLe paysage tend à ne plus être une question exclusivement de regard mais une expérience mobilisant tous les sens.Chez Olivier Debré, les Signes paysages des années soixante-dix sont l’incarnation du flux continu entre ce que l’artiste perçoit et ses émotions, « le reflet exact du réel ressenti. » Hartung explore le processus même de peindre, restitue à travers des gestes et matériaux simples, l’énergie et les flux qui irriguent l’univers. Selon Pierre Tal-Coat, « Si tout est immobile dans le paysage, on ne voit rien. Il faut alors bouger la tête, marcher, courir, la peinture est toujours pour moi un problème d’espace, de mouvance. »

Louis Valtat (1869-1952), Rochers rouges à Agay, 1910Huile sur toile, 81,5 × 101 – Acquisition 2008, MuMa - musée d’art moderne André Malraux - Le Havre, inv. 2008.3.1 Cliché : © MuMa Le Havre / Florian Kleinefenn

Eugène Isabey (1803-1886), Le Naufrage, deuxième moitié XIXe siècleHuile sur panneau de bois 24.6 × 32.1 – Acquisition 1986, musée de Dieppe, inv. 986.5.1 – Cliché : Ville de Dieppe, Château-Musée © B. Legros

Théodor Earl Butler (1861-1936), Coucher de soleil à Veules les Roses, 1909Huile sur toile, 81 × 81 – Acquisition 1991, Vernon, musée municipal A.G. Poulain, inv. 91.10 – Cliché : musée de Vernon

Hans Hartung (1904-1989), T.1963.U.18, 1963Acrylique sur toile, 92 × 73 – Acquisition 1984, Evreux, musée d’Art, Histoire et Archéologie, inv. 86.1.1 – Cliché : J.-P. Godais, musée d’Évreux

03. L’ŒUVRE OUVERTE OU EN PROCESSUS

Parler d’œuvre ouverte ou en processus remet en cause deux idées reçues : le principe d’unicité et le caractère forcément achevé de l’œuvre.

MODÈLES ET TECHNIQUES EN CIRCULATIONBien avant l’invention de la photographie et l’avènement de l’ère de la « reproductibilité technique » de l’œuvre, l’artiste a souvent eu recours à des modèles (patrons, gravures) qui circulaient à plus ou moins grande échelle et dont il s’inspirait (exemples : des albâtres, du vitrail). De même, un créateur peut user d’autoréférences (« L’esprit des bois » chez Victor Hugo). Par ces vecteurs externes ou internes de diffusion, l’œuvre est en mouvement permanent.

DE L’ESQUISSE À LA VERSION FINALEUne autre dynamique concerne la phase de conception et de genèse de l’œuvre, au cours de laquelle l’artiste élabore esquisses (Jacques-Émile Blanche), ébauches et études préparatoires. D’un stade à l’autre, l’œuvre est susceptible de connaître des transformations plus ou moins radicales. Dans le cas d’une statue en bronze (Duchamp-Villon) la déclinaison des différentes épreuves accompagne des mutations iconographiques.

TECHNIQUES ET DÉCORS INVENTIFSAvant même les grattages surréalistes ou les collages cubistes, Victor Hugo expérimente des techniques graphiques particulièrement originales. Certains créateurs contemporains font preuve d’une égale inventivité.Dans les arts décoratifs certaines pièces sont ornées de décors dont les formes élaborées font s’enrouler des lignes en arabesques ou plus généralement donnent l’illusion du mouvement (décor rocaille des faïences rouennaises, créations du ferronnier d’art Ferdinand Marrou).

MÉCANIQUE DU GESTE, MOBILITÉEnfin sont regroupées des œuvres à saisir, à actionner, à agiter, qui bougent au sens littéral du terme. Le mouvement leur donnerait presque vie !

Anonyme, Nativité de la Vierge, deuxième moitié du XVe siècleAlbâtre sculpté et peint, 43 × 26,5 – Acquisition 1997, musée départemental des Antiquités, inv. 97.14 © CG76 - musée départemental des Antiquités - Rouen – Cliché Yohann Deslandes

Victor Hugo (1802-1885), Old City, 1er janvier 1856Dessin à la plume, encre brune et lavis ; rehauts de gouache et or, empreinte de dentelle sur papier bleuté, 6,8 × 14,3. Acquisition 1994, Villequier, Maison Vacquerie - musée Victor Hugo, inv. 1994.3.1 Cliché : © Maison Vacquerie - musée Victor Hugo. dépt 76

Jacques-Émile Blanche (1861-1942), Étude pour le portrait de Frits Thaulow et ses enfants, vers 1895Huile sur toile, 54 × 58 – Acquisition 1987, musée des Beaux-Arts de Rouen, inv. 1987.1.1 Cliché : © Agence Albatros / Musées de la ville de Rouen

Réveil animé Bayard, Mickey Mouse, 1930Tôle, aluminium, H. 12,5, D. 11,2 – Acquisition 2007, musée de l’horlogerie Cliché : © musée de l’horlogerie, Saint-Nicolas-d’Aliermont

Attribué à Estève Andorra Farras (1862-1926), Lampadaire aux deux dragons, vers 1890Fer forgé, H. 205 – Acquisition 2005, Rouen, musée de la Ferronnerie - Le Secq des Tournelles, inv. LS 2005.11.1 – Cliché : C. Kollmann © Inventaire général Haute-Normandie

LES MUSÉES DE FRANCE EN HAUTE-NORMANDIELES MUSÉES AYANT BÉNÉFICIÉ DU FRAM SONT INDIQUÉS EN ROUGE

BARENTIN (76360)

MUSÉE MUNICIPALHôtel de VillePlace de la LibérationTél. 02 32 94 90 20

BERNAY (27300)

MUSÉE MUNICIPALAncien Logis AbbatialPlace Guillaume de VolpianoTél. 02 32 46 63 23

CAUDEBEC-EN-CAUX (76490)

MUSÉOSEINEAvenue Winston ChurchillTél. 02 35 95 90 21

MAISON DES TEMPLIERSRue Thomas BazinTél. 02 35 96 95 91

CONCHES (27190)

MUSÉE DU VERRERoute de Sainte-MargueriteTél. 02 32 30 90 41

DIEPPEDALLE-CROISSET (76380)

PAVILLON FLAUBERT18 quai Gustave FlaubertTél. 02 35 36 43 91

DIEPPE (76200)

MUSÉE MUNICIPALRue de ChastesTél. 02 32 06 61 99

ELBEUF (76500)

LA FABRIQUE DES SAVOIRS - MUSÉEPlace Aristide BriandTél. 02 32 96 91 47

EU (76260)

MUSÉE LOUIS-PHILIPPEChâteauTél. 02 27 28 20 76 ou 02 35 04 10 14

ÉVREUX (27000)

MUSÉE D’ART, HISTOIRE ET ARCHÉOLOGIE6 rue Charles CorbeauTél. 02 32 31 81 90

FÉCAMP (76400)

MUSÉE DES PÊCHERIES (ouverture 2015)3 quai capitaine Jean Recher 21 rue Alexandre Legros Tél. 02 35 29 76 22

HARFLEUR (76700)

MUSÉE DU PRIEURÉ50 rue de la RépubliqueTél. 02 35 45 40 62

LA-COUTURE-BOUSSEY (27750)

MUSÉE DES INSTRUMENTS À VENT2 route d’IvryTél. 02 32 36 28 80

LE HAVRE (76600)

MUSÉE D’ART MODERNE ANDRÉ MALRAUX - MUMA LE HAVRE2 boulevard ClemenceauTél. 02 35 19 62 62

MUSÉE HISTORIQUE DU HAVREHôtel Dubocage de Bléville1 rue Jérôme BellarmatoTél. 02 35 42 27 90

MAISON DE L’ARMATEUR3 quai de L’ÎleTél. 02 35 19 09 85

MUSÉE PRIEURÉ DE GRAVILLE1 rue Elisée ReclusTél. 02 35 47 14 01

MUSÉUM D’HISTOIRE NATURELLEPlace du Vieux MarchéTél. 02 35 41 37 28

LES ANDELYS (27700)

MUSÉE NICOLAS POUSSINRue Sainte-ClotildeTél. 02 32 54 31 78

LILLEBONNE (76170)

MUSÉE MUNICIPALSquare Jean Rostand7 rue Victor HugoTél. 02 32 84 02 07

LOUVIERS (27400)

MUSÉE MUNICIPALPlace Ernest ThorelTél. 02 32 09 58 54

MARTAINVILLE-EPREVILLE (76116)

MUSÉE DES TRADITIONS ET ARTS NORMANDSTél. 02 35 23 44 70

MONTVILLE (76770)

MUSÉE DES SAPEURS-POMPIERS DE FRANCERue Baron BigotTél. 02 35 33 13 51

NEUFCHÂTEL-EN-BRAY (76270)

MUSÉE MATHON-DURANDGrande rue Saint-PierreTél. 02 35 93 06 55

NOTRE-DAME-DE-BLIQUETUIT (76940)

ÉCOMUSÉE DE LA BASSE-SEINEMaison du Parc naturel régional des Boucles de la Seine NormandeTél. 02 35 37 23 16

NOTRE-DAME-DE-BONDEVILLE (76960)

MUSÉE INDUSTRIEL DE LA CORDERIE VALLOIS185 route de DieppeTél. 02 35 74 35 35

PETIT-COURONNE (76650)

MUSÉE PIERRE CORNEILLE502 rue Pierre CorneilleTél. 02 35 68 13 89

PONT-AUDEMER (27500)

MUSÉE ALFRED CANEL64 rue de la RépubliqueTél. 02 32 56 84 81

ROUEN (76000)

MUSÉE DES ANTIQUITÉS DE SEINE-MARITIME198 rue BeauvoisineTél. 02 35 98 55 10

MUSÉE DES BEAUX-ARTSEsplanade Marcel DuchampTél. 02 35 71 28 40

MUSÉE DE LA CÉRAMIQUEHôtel d’Hocqueville1 rue Faucon ou 94 rue Jeanne d’ArcTél. 02 35 07 31 74

MUSÉE LE SECQ DES TOURNELLES2 rue Jacques VillonTél. 02 35 88 42 92

MUSÉE PIERRE CORNEILLERue de la PieTél. 02 35 71 28 82

MUSÉE FLAUBERT ET D’HISTOIRE DE LA MÉDECINEAncien Hôtel-Dieu – 51 rue de LecatTél. 02 35 15 59 95

MUSÉUM D’HISTOIRE NATURELLE198 rue BeauvoisineTél. 02 35 71 41 50

MUSÉE NATIONAL DE L’ÉDUCATIONMaison des Quatre fils Aymon185 rue Eau de RobecTél. 02 35 07 66 61CENTRE DE RESSOURCES6 rue de BihorelTél. 02 32 08 71 46

SAINT-NICOLAS-D’ALIERMONT (76510)

MUSÉE DE L’HORLOGERIE48 rue Edouard CannevelTél. 02 35 04 53 98

VERNON (27200)

MUSÉE ALPHONSE- GEORGES POULAIN12 rue du pontTél. 02 32 21 28 09

VILLEQUIER (76490)

MAISON VACQUERIE MUSÉE VICTOR HUGOquai Victor HugoTél. 02 35 56 78 31

YVETOT (76190)

MUSÉE MUNICIPAL DES IVOIRES8 place JoffreTél. 02 32 70 44 70

Source : IGN - BD TOPO® ©IGN PARIS-2003-2005 - Reproduction interdite

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LE HAVRE

LES ANDELYS

BERNAY

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LA COUTURE-BOUSSEY

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PONT-AUDEMER

LOUVIERS

DIEPPE

FÉCAMP

HARFLEUR

MARTAINVILLE-ÉPREVILLE

MONTVILLE

SAINT-NICOLAS-D’ALIERMONT

VILLEQUIER

PETIT-COURONNE

NOTRE-DAME-DE-BONDEVILLENOTRE-DAMEDE-BLIQUETUIT

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CAUDEBEC-EN-CAUX

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BARENTIN

NEUFCHÂTEL-EN-BRAY

LILLEBONNE

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Chargée de la publication : Laure Voslion / Réalisation : L’ATELIER de communication

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RÉGION HAUTE-NORMANDIE5, rue Robert Schuman – CS 21 129

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