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La Guérison à Tout Prix
Définition de « Médecin » a ) -‐ D é fi n i t i o n d u dictionnaire (Web)
¡ Un médec in e s t un professionnel de la santé titulaire d'un diplôme de docteur en médecine. Il soigne les maladies, pathologies et blessures.
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Définition de « Médecin » b)-‐Définition biblique et de l’esprit de prophétie ¡ J é s u s n ou s d i t d a n s
Matthieu 9.12. Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin : se porter bien signifie être en bonne santé, donc un médecin est quelqu’un qui apporte la santé .
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¡ « Le Christ est encore le médecin compatissant comme au cours de son ministère terrestre. En lui se trouve un baume pour toutes les maladies, une puissance de guérison pour toutes les infirmités. » – CL 245.2
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C)-‐DÉFINITION N. WEBSTER’S
¡ Médecin, personne qui pratique l'art de guérir ; celui dont la profession est de prescrire des remèdes pour les maladies.
¡ Dans un sens spirituel, celui
qui guérit les maladies morales ; en tant que médecin de l'âme.
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Définition de la maladie a)-‐Définition du dictionnaire (Web)
¡ La malad ie est une altération des fonctions ou de la santé d'un organisme vivant, animal ou végétal.
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Définition de la maladie b)-‐Définition de la Bible et de l’Esprit de Prophétie
¡ Strongs hébreu : (Khol-‐ee’) Choliy 2483, traduit généralement par : Maladie, malade, souffrance, mal, irritation, douleur, calamité.
¡ « Vous servirez l’Eternel votre Dieu, et Il bénira votre pain et vos eaux, et j’éloignerai la maladie du milieu de toi »Exode 23 :25
¡ « L’Eternel éloignera de toi toute maladie ; Il ne t’enverra aucune de ces mauvaises maladies d’Egypte qui te sont connues, mais il en frappera tous ceux qui te haïssent » Deutéronome 7 :15
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¡ « La maladie est l’effort de l’organisme pour rétablir un équilibre rompu par la violation des principes qui régissent notre être physique. Il faut donc premièrement en rechercher la cause, écarter les mauvaises habitudes et supprimer les conditions insalubres. Puis, on aidera la nature à éliminer les impuretés et à rétablir l’état normal de l’organisme. »– MG 102.1
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C)-‐DÉFINITION N. WEBSTER’S
¡ Maladie : indisposition ; maladie ; troubles de la santé.
¡ L a m é c h a n c e t é ; in iquité ; mauvaise conduite morale.
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¡ Les excès qui ont existé lors de la première venue du Christ, et qui ont amené un état de malad ie et de dégénérescence, se renouvelleront, intensifiés, avant sa seconde venue. Le Christ déclare que les conditions du monde seront alors celles qui ont précédé le déluge, et qui ont caractérisé Sodome et Gomorrhe. Toutes les pensées des hommes se porteront uniquement vers le mal – CNA 179.2
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¡ Devant ce danger, Asa ne mit sa confiance ni dans les “villes fortes de Juda”, qu’il avait bâties avec “des murs, des tours, des portes et des barres”, ni dans “les hommes vaillants [4]” de son armée bien entraînée, mais dans les armées de l’Eternel, au nom duquel avaient été opérées autrefois de si merveilleuses délivrances. Il rangea ses forces pour la bataille, et il implora le secours d’en haut. – Prophètes et Rois, 78.2
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¡ La longue histoire de la fidélité d’Asa fut cependant entachée par certaines fautes commises parfois lorsqu’il ne mettait pas toute sa confiance en Dieu. Par exemple, quand le roi d’Israël envahit le royaume de Juda et s’empara de Rama, ville forte située à huit kilomètres de Jérusalem, Asa contracta une alliance avec Ben-‐Hadad, roi de Syrie. Cette absence de confiance en Dieu dans l’adversité fut sévèrement réprimandée par le prophète Hanani, qui vint trouver Asa, et lui dit : “Parce que tu t’es appuyé sur le roi de Syrie et que tu ne t’es pas appuyé sur l’Eternel, ton Dieu, l’armée du roi de Syrie s’est échappée de tes mains. Les Ethiopiens et les Libyens ne formaient-‐ils pas une grande armée, avec des chars et une multitude de cavaliers? Et cependant l’Eternel les a livrés entre tes mains, parce que tu t’étais appuyé sur lui. Car l’Eternel étend ses regards sur toute la terre, pour soutenir ceux dont le cœur est tout entier à lui. Tu as agi en insensé dans cette affaire, car dès à présent tu auras des guerres.” – PR 80.1
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¡ Après le déluge, les hommes se mirent à manger de la viande librement. Dieu vit que leurs vies s’étaient corrompues et qu’ils cherchaient à s’élever orgueilleusement contre leur Créateur et à obéir aux inclinations de leurs cœurs. Il leur permit alors de se nourrir de viande en vue de raccourcir leur existence de pécheurs. Très tôt après le déluge, la race humaine fut frappée par la dégénérescence à la fois dans sa taille et dans la durée de sa vie. – Conseils sur la Nutrition et les Aliments, 446.1
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¡ Sorti de l’esclavage avec des habitudes de malpropreté, et ignorant l’hygiène, ce peuple fut soumis à une discipline très rigoureuse avant d’entrer en Canaan. Les principes de la santé lui furent enseignés, et les lois sanitaires, prescrites. –Ministère de la Guérison, 234.1
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¡ La distinction entre les choses pures et impures n’était pas observée dans le rituel religieux seulement, mais aussi dans les multiples devoirs de la vie quotidienne. Tous ceux qui entraient en contact avec des maladies contagieuses ou infectieuses étaient isolés du camp et ne pouvaient y retourner qu’après un lavage à fond de leur personne et de leurs vêtements. – Ministère de la Guérison, 234.2
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¡ Pendant son ministère, Jésus passa plus de temps à soigner les malades qu’à prêcher. Ses miracles prouvaient la véracité de ce qu’il disait: “Le Fils de l’homme est venu, non pour perdre les âmes des hommes, mais pour les sauver. – Ministère de la Guérison, 19.1
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L’ange avait ajouté: Il “conclura une alliance ferme avec un grand nombre pendant une semaine”, c’est-‐à-‐dire sept années littérales. Pendant ces sept années, à partir du commencement de son ministère, l’Evangile devait être prêché en particulier aux Juifs; par Jésus lui-‐même pendant trois années et demie, puis par les apôtres. – Jésus-‐Christ, 215.3.
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Notre Père céleste nous a donné la lumière de la réforme sanitaire... pour que ceux qui vivent dans la pureté et dans la sainteté sachent user avec sagesse des bonnes choses dont il les a pourvus et pour qu’en pratiquant la tempérance dans la vie quotidienne les chrétiens puissent être sanctifiés par la vérité. – Avec Dieu Chaque Jour, 150.2.
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Ce n’est pas le moment d’avoir honte de notre foi. Nous sommes en spectacle au monde, aux anges et aux hommes. L’univers regarde avec un profond intérêt pour voir l’œuvre de la grande controverse entre Christ et Satan. Dans une période telle que celle-‐ci, alors que la grande œuvre du jugement des vivants commence, permettrons-‐nous à une ambition non sanctifiée de prendre possession de notre cœur ? Qu’est-‐ce-‐qui peut être d’une quelconque valeur dans ce monde alors que nous sommes sur les bords même de l’éternité ? Quel enseignement utile pouvons-‐nous donner aux étudiants de nos écoles autre que la connaissance de « Ce que dit l’Ecriture » ? Testimonies to the Church, vol5, 526
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L’air pur, le soleil, l’eau, le repos, l’exercice, une alimentation judicieuse, la confiance en Dieu, voilà les vrais remèdes. Chacun devrait connaître les traitements naturels et la manière de les appliquer. Il est essentiel d’être au courant des principes qui régissent le soin des malades, et d’acquérir une expérience pratique à cet égard. – CNA 355.4
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Il est de notre devoir d’étudier les lois qui régissent notre être et de nous conformer à ces lois. Dans ce domaine, l’ignorance est un péché (…) Se familiariser avec les merveilles de l’organisme humain-‐les os, les muscles, l’estomac, le foie, les intestins, le cœur et les pores de la peau -‐ et comprendre l’interdépendance qui existe entre un organe et un autre pour favoriser la santé de l’ensemble, voilà une étude pour laquelle la plupart des mères n’éprouvent pas le moindre intérêt. Healthful Living. p. 13
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Les hommes et les femmes ne doivent pas étudier la science qui consiste à savoir comment capter les esprits de ceux avec lesquels ils sont en contact. C’est la science que Satan enseigne. Nous devons refuser tout ce qui lui ressemble. Nous ne devons frayer ni avec le mesmérisme ni avec l’hypnotisme, sachant qu’il s’agit de la science de celui qui perdit sa première condition et fut chassé des parvis célestes. – EMS2 739.2 23
¡ Web : L’énergie qui anime l’être humain et qui pour les anciens constitue le souffle vital qui nourrit, anime, permet de vivre chaque instant, a pris des noms différents suivant les civilisations des médecines traditionnelles.
¡ Le QI dans la médecine traditionnelle chinoise, le prâna des hindous, l’Esprit-‐Saint des chrétiens, le fluide vital du new Age, l’énergie universelle du Reiki, le Ki des japonais…
¡ Toutes ces pratiques enseignent que l’harmonie du corps et de l’esprit de l’homme, s’inscrit aussi dans l’univers qui l’entoure et que le potentiel de guérison est en nous et autour de nous.
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Il y a en lui (le panthéisme) le commencement des théories qui, véhiculées de leur conclusion logique, détruiraient la foi sur la question du sanctuaire et de l’expiation. Je ne pense pas que Dr Kellogg ait vu cela clairement. Je ne pense pas qu’il ait réalisé qu’en posant le nouveau fondement de sa foi, qu’il dirigeait ses pas en direction de l’infidélité. Letter 33, 1904. Manuscript Releases, vol. 2, p. 243. 25
¡ En revanche, les théories spirites au sujet de Dieu annulent les effets de cette grâce. Si le Créateur est une essence répandue dans toute la nature, il habite en chaque homme, et pour arriver à la sainteté, celui-‐ci n’a qu’à laisser se développer la puissance qui est en lui. – Ministère de la Guérison, 364.2.
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¡ Le panthéisme s’infiltre aujourd’hui dans les établissements d’enseignement supérieur, et dans les églises le spiritisme mine la foi en Dieu et en sa Parole. La théorie selon laquelle Dieu est à l’état d’essence immanente dans tout ce qui existe est acceptée par un grand nombre de ceux qui prétendent croire aux saintes Ecritures ; mais cette théorie est une séduction des plus dangereuses. Elle caricature Dieu, et constitue une insulte à sa grandeur et à sa majesté. Non seulement elle trompe l’homme, mais elle l’avilit. Les ténèbres en sont l’élément, et la sensualité sa sphère. L’accepter, c’est se séparer de Dieu ; c’est courir à la ruine éternelle. Ministère de la Guérison, 364.1. 27
¡ Il y a danger pour qui que ce soit, même pour la meilleure personne, d’influencer un esprit humain de manière qu’il consente à ê t r e c om p l è t em e n t d om i n é p a r L’HYPNOTISEUR. – Messages Choisis, vol 2, 400.2
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¡ Toute la philosophie impliquée dans cette science est un chef-‐d’œuvre de séduction satanique. Pour le bien de votre âme, renoncez à tout ce qui s’y rapporte. Toutes les fois que vous introduisez dans un autre esprit des idées relatives à cette science-‐là, afin d’exercer un contrôle sur cet esprit, vous vous placez sur le terrain de Satan et vous devenez l’un de ses meilleurs collaborateurs. Pour le bien de votre âme, arrachez-‐vous à ce filet de l’ennemi. – Messages Choisis, vol 2, 400.2
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¡ En ces jours où le scepticisme et l’incrédulité se présentent si souvent sous le manteau de la science, NOUS DEVONS NOUS TENIR SUR NOS GARDES. Par ce moyen notre grand adversaire séduit des milliers de personnes et les rend captives de sa volonté. Il tire un immense avantage des sciences qui s’occupent de l’esprit humain ; il se glisse comme un serpent, d ’une manière imperceptible, pour corrompre l ’œuvre de Dieu. – Messages Choisis, vol 2, 402.3.
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¡ Laissez le monde aller vers le spiritualisme, la théosophie, le panthéisme s’ils le veulent. Nous n’avons rien à faire avec cette branche séductrice de l’œuvre de Satan. Les sentiments agréables du panthéisme conduiront certaines âmes dans des chemins interdits. Dieu interdit à Ses serviteurs de sortir du champ pour entrer en discussion sur ces sentiments. Le dernier témoignage publié ouvre à notre peuple le danger de ces théories, et les témoignages publiés dans le futur montreront la grande nécessité à élever et à porter bien haut la bannière sur laquelle sont écrit les mots : ../… 31
¡ …/… « LES COMMANDEMENTS DE DIEU ET LA FOI DE JÉSUS » Le peuple de Dieu ne doit laisser personne prendre cette bannière de leurs mains. J’ai été instruite que ces fausses théories seront présentées, et que certains des missionnaires médicaux qui ont été indécis, placeront leur foi en elles, et donneront crédit aux esprits séducteurs et aux doctrines de démons… Le seul espoir pour notre peuple maintenant est de prendre position pour le véritable fondement. Ils doivent élever de plus en plus haut la bannière de la vérité. Ils ne doivent pas laisser la place un seul moment à leur ennemi. Battle Creek Letters, p. 110 32
¡ LA NATURE DU SAINT-‐ESPRIT EST UN MYSTÈRE. Les hommes ne peuvent l’expliquer, parce que le Seigneur ne leur a pas révélé. Les hommes de vues fantaisistes mettent ensemble des passages de l’Ecritures et les interprètent à la manière humaine, mais l’acceptation de ces vues ne fortifiera pas l’Eglise. Considérant de tels mystères, qui demeurent trop profonds pour la compréhension humaine, LE SILENCE EST D’OR.-‐ Conquérants Pacifiques, 47
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¡ Le Saint-‐Esprit dirige toujours vers la parole écrite. LE SAINT-‐ESPRIT EST UNE PERSONNE ; car Il rend témoignage à notre esprit que nous sommes des enfants de Dieu. Quand ce témoin est à l’oeuvre, il porte avec lui-‐même sa propre preuve. A de tels moments, nous croyons et sommes sûrs que nous sommes des enfants de Dieu. Quelle preuve solide de la puissance de la vérité pouvons-‐nous donner aux croyants et aux incroyants quand nous pouvons dire les paroles de Jean « Et nous avons connu et cru l’amour que Dieu a pour nous. Dieu est amour ; et celui qui demeure dans…/…
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¡ …/… dans l‘amour, demeure en Dieu et Dieu en lui ». 1 Jean 4 :16. Le Saint-‐Esprit a une personnalité, sinon il ne pourrait pas témoigner à notre esprit que nous sommes des enfants de Dieu. Il est aussi de toute évidence, une personne divine, sinon Il ne pourrait pas sonder les secrets cachés dans l’esprit de Dieu. « Car quel homme connaît les choses de l‘homme, sinon l‘esprit de l‘homme qui est en lui ? De même aussi, aucun homme ne connaît les choses de Dieu, sinon l‘Esprit de Dieu ». 1 Corinthiens 2 :11. Manuscript Releases, vol. 20, pp. 68, 69 – Evangéliser, 552
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¡ Il serait vain de faire connaître Dieu comme médecin suprême, si l’on n’enseignait en même temps à se débarrasser de toute mauvaise habitude. Avant qu’il intervienne en leur faveur, en réponse à leurs prières, le Seigneur veut que les malades cessent de mal faire, apprennent à faire le bien, corrigent leur erreurs et vivent en harmonie avec les lois naturelles et spirituelles. – Conseils à L’Église, 245.7
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¡ Les adeptes de ces sciences les portent aux nues en raison des puissants et bons effets qu’ils leur attribuent, sans soupçonner quelle force malfaisante ils favorisent, — une puissance qui doit encore se déployer avec des signes et des prodiges trompeurs, avec toutes les séductions de l’iniquité. Cher lecteur, prenez bien note de l’influence exercée par ces sciences, car le conflit entre le Christ et Satan n’est pas terminé.... – Messages Choisis, vol 2, 403.1
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Christ Est le Vrai Médecin (1/7)
¡ C’est le Christ qui est le chef véritable de la profession médicale. En tant que Médecin suprême, il se tient aux côtés de tout praticien croyant occupé à soulager la souffrance humaine. – MG 87.2
¡ Il faut prier pour et avec les malades. ¡ Il nous faut utiliser des méthodes rationnelles pour le diagnostic et le traitement.
Dieu n’Abandonne
pas Ses enfants
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Christ Est le Vrai Médecin (2/7)
§ Il faut s’instruire et enseigner un style de vie sain. § Le bon médecin est un éducateur. Il se rend compte de ses responsabilités, non seulement envers le malade qu’il soigne, mais aussi envers la société dans laquelle il vit. Il est le gardien de la santé morale comme de la santé physique. Il s’efforce, non seulement d’enseigner les méthodes thérapeutiques, mais encore d’inculquer de bonnes habitudes et de faire connaître les lois de la vie. – MG 100.1
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Christ Est le Vrai Médecin (3/7)
§ « L’emploi des médicaments, tel qu’il est pratiqué généralement, est un fléau. Soyez sur vos gardes en ce qui concerne les médicaments. Usez-‐en le moins possible, mais faîtes confiance aux agents naturels. Alors la nature viendra en aide aux médecins de Dieu : l’air pur, l’eau naturelle, l’exercice physique, et une conscience en paix. Ceux qui persistent à faire usage de thé, de café et de viande ressentiront le besoin de médicaments. Mais nombreux sont ceux qui pourraient se rétablir sans avoir recours aux médicaments, s’ils observaient les lois de la santé. Les médicaments sont rarement nécessaires. Tempérance, 66. Counsels on Health, 261. – CL 83.5
Les médicaments peuvent être utilisés mais
le moins possible
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Christ Est le Vrai Médecin (4/7)
§ « Mais l’usage des médicaments devrait être à jamais proscrit ; car non seulement ils ne guérissent a u c u n e m a l a d i e , m a i s i l s affaiblissent l’organisme, le rendant encore plus prédisposé à contracter la maladie ». – CNA 97.3
Les médicaments peuvent être utilisés mais
le moins possible
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Christ Est le Vrai Médecin (5/7)
§ Les traitements par rayons X à Loma Linda. — Pendant plusieurs semaines j’ai reçu des traitements par rayons X pour une tache noire sur mon front. J’ai reçu en tout vingt-‐trois traitements et la marque a totalement disparu. J’en suis très reconnaissante. — Lettre 30, 1911 (à son fils J. E. White). – MC2 349.2
Nous pouvons utiliser les rayons X
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Christ Est le Vrai Médecin (6/7)
¡ Nous pou von s r e c e vo i r d e s transfusions sanguines § Transfusion de sang. — Une chose a pu sauver une vie : une transfusion de sang ; peut-‐être que ceci est difficile, sinon impossible, pour vous. Je me borne à en faire la suggestion. — Medical Ministry, 286, 287 (au Dr D. H. Kress). – Messages Choisis, vol 2, 348.4
Nous pouvons
recevoir des transfusions sanguines
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Christ Est le Vrai Médecin
§ La chirurgie n’implique pas un abandon de la foi. — Nous avons le privilège d’employer tous les moyens que Dieu nous offre en rapport avec notre foi, puis de nous confier en lui, appuyés sur la promesse. Si une opération s’avère nécessaire et que le médecin soit disposé à l’entreprendre, ce n’est pas renier sa foi que d’accepter l’opération. Que le patient commence par soumettre sa volonté à celle de Dieu, puis qu’ i l se confie, en s’approchant du grand Médecin, le puissant Guérisseur, et qu ’il s ’abandonne à lui sans réserve. – MC2 325.3
Nous pouvons faire appel à la médecine et à la chirurgie et confier les médecins et
les chirurgiens à Dieu afin qu’Il guide
leurs décisions et leurs mains
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