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La Question des Dalles Interalliées Parœentier et la...
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DlftBGTAUR PROPRIG J 411.
IMPRIMEUR
Clmeut Magloire BUIS VflHNA
i*#8, Hue AmviMUa*
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La mdaille numaiV a deux fa- tes. L'une porta cri ors mais : f*Ji't indulgence, respect de la
MiMesse, fraternit*, justice, et amour ; sur Je i < vera on i : ruant.', bassesse, noirceur, l* chert, trima. Tiltitri
TLPHONE N'M
l&ms ANNEE N" 54M FORT AU-PR1N 3 FJCTRJ
POLITIQUE TRANGRE
La Question des Dalles Interallies Parentier et la Pomme de terre petite chronique NouTeHe Etranger i la DAMMA JA UMi Paa* Cbabi
La questioa des dattes inter- allie? est intimament lie tans les problme conomiques al financiers actaals : elle pse lourdement sur toutes les solu- tions envisages. Et somme elle est trs dlicate, on ne se dcide au i en aborder officiellement l'examen. Il est d'aillears pres- que impossible de lui trouver un fliment qui a le a*au que
l'on ne sache de faon certaine i l'Allemagne paiera les rpa- rtions et dans quelle ^mesure 'le paiera.| L adoption du plan Dawe* a
irmis d'esprer d'esprer ulement le paiement par
l'Allemagne. Ce plan comporte YalHeurs une rduction de cran e que la France n'a accepte a'Ivec l'espoir de voir, d'autre
part, sa dette envers les Allis r luite galement. Mais de cela on n'a pas parl fort clairement li Confrence de Londres.
Li question des dettes inter- allies est dlicate, parce qu'il est difficile, pour un pays d:- teur.de demander au pays cran cier, son ami, ds renonssr tout ou partie de sa crance, tt difl le de rappeler lui-mme qu'il a dpens, DOIT servir la cause csmmuae, 1 argent qui lui lt prt...
Les dettes* de gaerre, propre- ment dites les emprunts faits par les nations europennes en Amrique aprs la guerre sont des oprations financires ordi- naires se chiflraient ainsi en 1922 :
D par la Grande-Bretagne aux Etats Unis vu par la France aux Etats-Unis U par la France la Grande-Bretagne D par lltalM le Grande-Bretagne D par la Belgique la Grande-Bretagne
| Du par la Serbie la Grande-Bretagne
iD'une part, donc, la Grande reagne est grosse crancire
la France, d'autre part elle rosse dbitrice des Etats-
us auxquels la France doit aucoup d'argfnt, elle auss:. I rrance est crancire, de son
ir k Ru8S'e Pour prs de Milliards de francs ; de la Bel- ne pour DIQS de 3 milliards Km-, de fa Roumanie de a Jce, d la Pologne, de l'Ila- la** la Tchco-Slovaquie.Mais
P. 4.166 millions 2-^50
L. S. L.S. L. S. L.S.
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de l'Allemagne; elle tait aussi prte naturellement, annuler cette crance, si les Iv as Unis annulaient la leur.
Mais les Etats-Unis ne veu- lent pis entendre parler d'une telle so'ution. Et les Allis d'Eu rop< ne peuvent insister, tant donn 1) caractre, qu'eut lie- terveniion de r.tats-Unis. En 1922 la G an 1 -Bretagne a t amene conclura un arrange- ment avec le gouvernement de
m.Plu. quejiSi. ce W^oneiTcZ^lr le t, de la dette rusae en-
France, que de la dette i?. ra''D8 de livres 1rs 1 Angleterre.
moment o fnt rdig le de Versailles, il parut qi.a
'rance et le3 autres pays {raient s'acquitter de leurs
A iW1 Ja Grande-Brela- lai Je des paiements de
rationa de l'Allemagne et Insi h Grande - Bretagne Irait payer les Etals-Unis, [la t rance s'acquitterait de le envers ceux-ci. p l'Allemagne n'a pay Nu de chose La France a apporter la lourde charge
reconstruction de ses r- dvastes. E'Ie a d dire
pierre et aux Etals Unis : lierai quand ou me paie
paiement de sa dette. Ds lors, devant s'acquitter elle-mme et subissant, de ce faii, de lourdes charges, elle a rappel aux Al- lis, notamment la France, qu'ils lui devaient de l'argent.
'KHIt cela est trs compliqu. Mais il y a d'autres com^lica tions encore. L'opinion aux Etats-Unis, en ce qui concerne le paiement des dettes par l'Eu rop \ est assez confuse Elle veut un rglement. Elle serait prte aider l'Europe, mais si celle- ci renonait ses armements coteux.Dautre part.Etats-Unis et Angleterre savent que si les nations europennes devaient commencer m ML tenant le paie- ment de leura d ttes, elles sc-
her lecteur, je voue yoie trs triste. De quoi soaffrez veii ? Ce a me l'autre du mal politieju* an deule ||n de dissiper ecs penses nuagueuses qui envahissent vetre cerveau. Il s'agit de la pomme de terre (sela- num tubero-um ) Des observations du clbre prsident de la Socit royale de Londres, sir Joseph Banaks, on constate que la pom- me de terre fut introduite pour la premire lois, en Europe, par les colons que eir W aller Meleig en- voya, en vertu d'eue patente de la reine Elisabeth, peer deouvrir et cultiver en Amrique des een* tree non en possession des ehr. tiens, et par les Espagnols qui occupaient les par i-e mentueoses de l'Amrique mridionale dans le voisinage de Ouilo.
Gomme la pomme de terre ap. partient la famille dee solaoes, les savaote franais de l'poque disaient : Cette racine de quel. que manire qu'on l'apprte, est tonjeor daag.reuee et fade; on ae pou-M jamais la compter au ring des a'imente agrables*. Pr consquent le peuple l'avait an pr vent on. Lo euisiner ft co i mi un atte reprh'oeibic 'il en eut se vi s son matre.
Parmentier, quolidiennemfV, eombaitii, avec vhmence, l'ou, ion des savants et chercha le moyen de gagner le peuple p r la persuasion.
Il avait beaucoup lutter. Dans une assemble popo aire, on allait au scrutin pour ui.e place a I . .elle l'estime publ que semblait le porter lorsqu'un orateur de fau-
bourg, dans toute sa iougue, s'- crie : Ne la lui donne/ pas; il ne noue ferait manger que des pom- mes de terre; e est lui qui les a inventes.
Malgr tentes les attaques diri- ges contre lui Parmenlier. gn- ralisa dans la France entire celle importante eu turc. Il demanda et obtint pour ses plantations la plai. ne des sablons jusqu'alors iacult.
Le roi, malgr les intrigue s des courtisans, accorda sa protection i cette nouvelle eul.ure: et le jour d'une fte solennelle, devant toute a cour, il se prsenta portant sa boutonnire un bouquet de fleurs de pommes de ferre. Ds ce jour la vogue de ce vgtal fut as- sure au grand applaudissement des savants eux-mmes qui, com- me nous en ce moment, en raan- geaient grabkmmt.
Le gouverm ment envova des se- mis dans les provins 8' les plus lo;gne; et la reconnaissance pu- blique a donn ce tubercule le nom de solaae parmenlire: sug- gestion de M. le comte Franais de V iiftbateau.
Si, mon cher lecteur, il vous faut le jambon, la langue de veau, le poulet trieass, la dinde rtif, le bif- teck, aux pommes de terre, on bu- vant a voire gr d* iempien temps, un Villejeiet, un Itarbao ourt, un R y uBUaetjeas de vingt...p ..,oa un Mdoe ou un Sauternes; Vite : aa Grand Hlel de l'ianee, chez Dereii; t bientt i'Mft cl Belle VUP, car Henri y sera Ah J l'eau vous vieot S la beuehe. C'est l'argent qui manque le plus. Eh bien, con lente/vaU8 ,fM j# Ja morue g#i renne* de tirre rabeugriee de nos sachons rurales ea attendant que M. Fftemina nous fasse en av ir Je met ho liquemeat cultive.
N: al n pae laae lee reslauian s s'il voua est i n possible d'acquitter la nota illico.
Souvenez-vous, que nous ne e >mra s plus l'poque eu Kl i ca- se, rpio, Vilain, Armai, a madame Gervais, a Mamle, Grosnon, Blane ou an bou viens pre Dupitemp'e, aprs le djeu ner, en client s Ivable, loi disait | No z C'est pour moi.
L iculus LE0 JL'HIIIT
Au Banque dea Juurna listes rpublicains, f. Doiiiutti-(,jue lait eiejs d- clarations
PARIS W. Doumergue, prsi dent de h Rpub ique, a dclar au banquet de l'association des journalistes rouVi.;iV. que 'a France c'est eltbree et s e'iereera d'amliorer ses fimnees, d'quili- brer son budget de fortifier les liens d'amiti qui lunissent ses allis et d'assurer l'excution strie te du Trait de Versailles. Lia amis de la France, dit-il, doivent soogar ses ruines. 1 l'insufiisan ce de la s:uril de lendemain A es Iourtes chrges Ils doivent eompreo Ire avec justice la gran deui de se9 dfriculls.
n Grce
LVxjnilsion du patriarahe a cr une agitaiioa prs que gtairaJe
ATHENES, 1 L'archevque a adress tous les chefh des gli- ses d'Europe et d'Amrique un t lgrarame de protestation contre 1 expulsion du patriarche. Le gou vernement enverra incessamment Angora une note nergique cou lignant la violation flagrante des traite. Il a dcid de maintenir ou le drapeau s les soldats de la ClaSKS IWl L. munuir.|,u,,|N associations la'qiiec et les cemmu liantes religieusee de la (rce en lire ont protest contre l'expiil s on du patriarche tt demi, dent salisfaclion. L'eflerveseeoce rgne dans la presse, l'arme et le par lia politiques.
E Alkanie, TIRANA L'assemble conel'
tuaatc albanaise a lu & l'unanimi t Ahmed iogou prsident de la rpublique penr 7 ans. Ahmed I gou tait la tte du m avtmeat qi a renverse demiremiat le gouvernement g* Mgr Koile.
Autour aie fateord com- meraial franao-alit mand UEMLINLe cabinet a ordoor
au Dr Trendelenlurg de pcmrtti >re les ngociatioBs de I acceid commercial avec la France. 11 de via chercher i obtenir le trai a ment da la naliou la plue fVQll se pour l'exportation.
Conann.nl i'AlitiiM^ne SJD tend rfier obliga lioiiA cJavanl el d'aprs* fuerre BEHUN Les obligalairee d'
vaut guerre du gouvernement ulle mand seront imite da la mante macire que les dtcnlrers elle meads quaud aura lieu la rvalua lion, c'est ce que le gouvernement a annonc. En nuaun cas, les d tenteuix ne ponirunt s'illt-udre ce qu'oa les rachte laor valeur nominale parce ijue t' Vllmege **\ ' PP*uvi-ie ei si eaJette par suite de'sa dfaite, qu'un pareil rachat B'gniNcrait le hacnfee de toute sa richesse natiouale. Le geu vernetnenl value les ohlifstioa fl avan. B>oa^ia |,u..u _; .. par lee gouvernements fdral, provinciaux et urbains 140 mil lione de mark-.
la ilualion ouvrire et la vie chre e Italie
eura , :Ano\lr~r " ""^ K"' raieot ^"ement appauvries qu' ' elle a fa t PnifnS" tfP e,le9 ne Pourraient plus acheter fJk mSSSK: enA8,elerre et en Amrique i OS $VK r" 5l que '* ,iluttion conomique
t laaierL i.FaBce du m0Dde en ,erait df u- i la sienne a la charge sment aggrave....
lu
|e?pect des Saints .lieux
il
Il est regrettable qu'on ait i re lever de pareils faite de la part de jeunes gens dont l'instruc
besoin de le rappeler? t,0B e l'ducation ont t des plus . glise, quelque culte ^goen et aucune mesure de ri Ppartiennentetquellesque **""/ ?u'on pourra prendre contre s croyances religieusee de 'jeunes irrespectueux pour les
plu profond respect f?ire rentrer dana l'ordre et la dis l r^gle pour tons. Or il 0,P^ue ne sera trop torle. heureusement remarquer
I Dimanche, la messe de f, certains jeunes gens font Pgiiset le point terminus
I bombe'' du Samedi et, c'ats de voiz, leurs pro
mr tenue irrvrencieuse, II IofF(,e divin en mtme ' la prUrs dis pieux fi
e", viennent implorer non poitt rire et g-a
m Mi Feutre et Paille f|0
Chez
H- Ralloni fils
Autour de l'uvre baj>- tiiteJljledeliGesTe Quelquespr^ci ions utiles
St.Marc, le 1 fvrier Id25.
Monsieur Clment Magloire Directei'r de Le Malin s
Tortau-Prince.
Monsieur le Directeur,
Ave/ l'obligeance de me per mettre de faire une mise au point en publiant ma prsente.
La de vos correspondants a mis une note sur loetivre de Mr le pa-- teur ll.nis la Gonave dans Je N" de voire journal du i6 jaavicr coul. Cet aimable corresponJant a t mal renseign. Il^conoalt comme moi ces paroles d'u Matre: ritia-i a Russie d pais i rrk ma tiMiate., Aux Hocems de la alar^eil.alse ' loue par l'oreh stie da l'Op.e, le drapeau franais a t ki s r 1 imu.eufci- occupe pat- la mission de secours Xausea qui servira du quai lier gnral temporaire 4'am basaade de l'rance. Aucune nota bilil oflcielle ou trangre * sislait la crmeaic
mi ellei Dit erses 'ARla Interview par le Ma
ta, Measiear Bratiano a inj aiale sur le d\nger .le la politique agressive dea Soviels cea bine avec la complicit allemande D'a- pis l'Echo de Paris M. Douruer gue irait ea I ulegue en avril ; il a ensuite t dmnti que M I)os mergue irait eu Pologne aucuu vo yage officiel l'lraager n'est pr va.
WASHINGTON M. Oeonnor, prsident du bhippisg Board an aoace que dans quelquea je.s, celte organisation melirail ea vea te toute sa lotte. Lee oifree de vront tre faites sur deux base : les navires vendu pourront tre nm en service sans restrictions eu ave certaines reslrialioao . dans ce dernier cas le pris de vente ae ra rduit, mais l'acheteur devra prendre quelquee engHgemeuts d termins.
PAkiS Ls commission des g nancos a vol une proposition (en dant a augmenter da 70 o|o lee pensions de guerre.
l'arisiana, ura (Grimace Malri Entr'esclave ,
vil la Soa.'iae l'Pi ise de Port- au-Prince avait dans cette lie une
A 8 heures h lieu la reprise de moniale < et de
L'Entre gnnle " e9| H'une gourde et non de deux gourdes comme l'a annonc " Le Nouvel- liste1' d liier.
Lufrin Lubin Llle
irlnni. kl ciSarmante, l'ide d'olirir un llaeaa des
uariaen, d^aatant plut ue c'est du IDWH. In ejaas leataa ie| kenaes maisons.