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Mes chers concitoyens La sécurité de nos enfants et de nos familles est une préoccupation permanente et tant que maire, une responsabilité importante personnelle. Avec l’exécutif, j’ai pris la décision de mener une politique globale de sécurité civile en respectant notre manière de vivre. Outre les actions entreprises avec les chefferies et le CSI, comme la réalisation des chemins d’évacuation tsunami ou la formation dans les tribus, il demeure important que toute la population résidante sur la commune soit avisée des éventuels risques que nous pourrions subir. Risque majeur, risque chronique, épidémie, accident de la route, ivresse, tous peuvent avoir des conséquences dramatiques. Si la commune est particulièrement attentive, le premier concerné est le citoyen. Par sa coopération, son respect des édifices communaux et autres, mais surtout par son comportement individuel au quotidien, il devient un acteur majeur et central de toute prévention et j’espère un modèle pour les jeunes générations. Pierre NGAIONHI Aedes Aegypti (moustique rayé) est actif durant la journée. Il a besoin d’eau claire ou de pluie et vit autour et dans les habitations. La pollution de la lentille d’eau douce représenterait une vraie catastrophe pour la commune. Si on ne peut rien, contre les pollutions accidentelles (maritime ou routière), on doit être vigilant sur les pollutions chroniques comme l’abandon de carcasse de véhicule, batterie, frigo et congélateur, l’utilisation de pesticide et herbicide ou d’engrais. Le Centre d’Enfouissement et de Tri s’inscrit dans cette politique de protection de la ressource ainsi que le PSSE (plan de sécurité sanitaire des eaux). Répulsif Vêtements couvrants, de préférence de couleur claire Fermer portes, fenètres Moustiquaire La commune procède aux épandages à la demande de la DASS et après apparition de cas avéré d’une des trois infections. Les services effectuent deux à trois passages et rendent compte à la DASS. ÉVITER LES PIQÛRES FIÈVRE D’APPARITION BRUTALE DOULEURS MUSCULAIRES ET ARTICULAIRES INTENSES PLAQUES ROUGES SAIGNEMENTS DÉMANGEAISONS Document d’Information Contre les Risques Majeurs D.I.C.Ri.M La dengue Chikungunya, zica La Pollution de la lentille d’eau douce MAUX DE TÊTE 15 17 18 NUMÉRO DE TÉLÉPHONES UTILES Mairie : 45 41 07 Annexe La Roche : 45 43 28 Centre de secours : 18 Gendarmerie : 17 SAMU : 15 MRCC : 16

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Mes chers concitoyens

La sécurité de nos enfants et de nos familles est une préoccupation permanente et tant que maire, une responsabilité importante personnelle. Avec l’exécutif, j’ai pris la décision de mener une politique globale de sécurité civile en respectant notre manière de vivre. Outre les actions entreprises avec les chefferies et le CSI, comme la réalisation des chemins d’évacuation tsunami ou la formation dans les tribus, il demeure important que toute la population résidante sur la commune soit avisée des éventuels risques que nous pourrions subir. Risque majeur, risque chronique, épidémie, accident de la route, ivresse, tous peuvent avoir des conséquences dramatiques.Si la commune est particulièrement attentive, le premier concerné est le citoyen. Par sa coopération, son respect des édifices communaux et autres, mais surtout par son comportement individuel au quotidien, il devient un acteur majeur et central de toute prévention et j’espère un modèle pour les jeunes générations.

Pierre NGAIONHI

Aedes Aegypti (moustique rayé) est actif durant la journée. Il a besoin d’eau claire ou de pluie et vit autour et dans les habitations.

La pollution de la lentille d’eau douce représenterait une vraie catastrophe pour la commune. Si on ne peut rien, contre les pollutions accidentelles (maritime ou routière), on doit être vigilant sur les pollutions chroniques comme l’abandon de carcasse de véhicule, batterie, frigo et congélateur, l’utilisation de pesticide et herbicide ou d’engrais. Le Centre d’Enfouissement et de Tri s’inscrit dans cette politique de protection de la ressource ainsi que le PSSE (plan de sécurité sanitaire des eaux).

• Répulsif• Vêtements couvrants,

de préférence de couleur claire• Fermer portes,

fenètres• Moustiquaire

La commune procède aux épandages à la demande de la DASS et après apparition de cas avéré d’une des trois infections. Les services effectuent deux à trois passages et rendent compte à la DASS.

éviter les piqûres

Fièvre d’apparition brutale

douleurs musculaires et articulaires intenses

plaques rouges

saignements

démangeaisons

Document d’informationContre

les risques Majeurs

D.i.C.ri.M

la dengue Chikungunya, zica

la pollution de la lentille d’eau douce

maux de tête15 17 18

NuMéro De téléphoNes utiles

Mairie : 45 41 07Annexe La roche : 45 43 28 Centre de secours : 18

Gendarmerie : 17SAMU : 15MrCC : 16

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qu’est qu’un risque Majeur ?Les différents types de risques majeurs auxquels chacun de nous peut être exposé, sur son lieu de vie, de travail ou de vacances sont regroupés en deux grandes familles : • les risques naturels : inondation, mouvement de terrain, séisme, climatique (tempête...), feux de forêt;

• les risques technologiques : d’origine humaine, ils regroupent les risques industriels, rupture de barrage, transport de matières dangereuses (par routes ou autoroutes, voies ferrées et par canalisation).

Deux critères caractérisent le risque majeur : • une faible fréquence : l’homme et la société peuvent être d’autant plus enclins à l’ignorer que les catastrophes sont peu fréquentes,

• une énorme gravité : nombreuses victimes, dommages importants aux biens et aux personnes.

Ces risques dits majeurs ne doivent pas faire oublier les risques de la vie quotidienne (accidents domestiques ou de la route), ceux liés aux conflits (guerres, attentats…) ou aux mouvements sociaux.

40 sec.

61 sec.

30 sec.

signal national d’alerte

signal fin d’alerte

5 sec.

le signal d’alerte tsuNAMien Nouvelle-Calédonie

Arrêté n° HC/CAB/DSC/n° 06 du 2 février 2012 relatif au signal d’alerteen Nouvelle-Calédonie.

tsunami Cyclones

Formation d’un tsunamiAvant le cyclone :

pré-alerte :

Alerte 1 :

Alerte 2 :

sauvegarde :

signalétique mise en place sur la commune .

1. Un séisme fait trembler le fond de la mer

2. Cela déplace un volume d’eau qui remonte vers la surface

3. Une oscillation se forme et se propage sous la surface à grande vitesse

4. En approchant des côtes, l’onde forme des vagues géantes

L’eau est aspirée et se retire de la rive

Signalétique internationale du risque de tsunamiNormes ISO 20712

En cas d’alerte ou si vous ressentez une secousse forte pendant plus de 20 secondes, si la mer se retire, si les animaux ont un comportement inhabituel quittez les zones proches du littoral et refugiez-vous dans les aires prévues. Attendez les consignes pour rentrer chez vous et si vous êtes en mer ne retournez pas au port, écoutez la radio.Une vague peut atteindre le littoral en 15 mn.

Consolidez la fixation de vos antennes de télévision.Haubanez vos toitures et vos pergolas. Toutes vos tôles ondulées doivent être vérifiées et solidement fixées.Prévoyez la protection de vos baies vitrées par des panneaux de bois amovibles.Elaguez les branches d’arbres situées trop près de votre maison et pouvant céder sous l’effet de fortes rafales de vent.

zONEDE DANGER

SITEREfUGE

BâTIMENTREfUGE

DANgerChutes

D’objets

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