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itr* Muft —n*fs.ni (8 Fajres) SInfiats— ÏWtWSÜtllWI — t fnines ■fciwïl 1"Wmhn Mf7 UsmiitnMr«§éKgs4-S4i»»l O. RANDOLET tëfêtoÊa.tesriKiasi «1Umbu. IE.10.4? J£, Rue Fontonellt, 86 Mssssaïttégrsphiqae : RAJTBOUST Harra AWSÖNCB8 AO HAVRB Bureau on Journal. 11*.b"™'1<1*StresDoarf. 1 L'AGENOÏHAVAS,8, yiece ds, la Bourse, est A PARIS........ I seule ctargée de recevoir lea Annonces pour ( ie Journal. is PETITMAm ert dMgni par let AnnenettJedlelelrtt tt legale» Le Petit Havre RftCACTKUR BN J.-J CASPAR - JORDA$ ïéldphone fsarét&ire Sérèal • TB. VALLÉS RMacllon, SS,rue Forrtcnelie - Tél. 7.39 ORGANE RÉPÜBLIGAm DÉMOCRATIQUE Le plus fort Tir&ge des Jou rn mix de la Région ABONNEMENTS | t,e Hay re, la Selne-lnfirteuïe, l'Eure, VOise et ia Scmme 1 Taots Mois a no tt. »o Six llois 11 »>•:% »0 Ff Uk AB «<S 99. »» AO LaRip&sss ii M. Whu li. Wilson, répondant au pape, lu a dit: « Nous ne traiterons jamais awc un Holienzollern ». Et Benoit XV a ét pro¬ tondement déeu, Pourtant, sur certains points, M, Vilson et le pape étaient d'aeeord, et tout lomme sa^e ne peut que souscrire è celles dt leurs idéés qui leur sont communes. II fait que, dans l'avenir, les peuples s'entenqent et s'uuisscnt pour le mainlien de la pax ; il laut que, tons les peupies étant gariuts de la paix du moude/ehaque nation piisse se développcr en toute liberté, suivait son génie. Oui, maïs la paix mondiale sen-t elle possible, sera t-eile durable tant jue le ponvoir personnel n'aura pas cédé lartout ia place aox régimes de liberté cmstitu- iionnels ? Aussi longtemps que l'absolutismi exis- tera a Berlin, aussi longtemps que rmpé- rialisme règnera en maitre sur l'Alema- gne, toute discussion restera vaitc, car toute paix eoneiue demeurerait préoire et pleine de dangers. C'est pourquoi le .président Wilspi veut imposer, préalablement a toutes ngocia- iions, 1'aboiitionde la dictature de Ho- lienzollern en Allemagne, et leur déhéan- ee. « On peut assurer Ja paix par uie en¬ tente cutre peuples libres, a-t-il dit, mais on ne traite pas avec les gouvernanfe cri- minelsde l'Allemagne. » II aurait puajou- ter : avec les gouvernants non moiis eri- minels de l'Aulriche-Hongrie. C'est de quoi le pape Benoit XV sou- eieux de sauvegarder ee qui reste de la hiërarchie médiévaie, ne s'est pas ui seul instant avisé. . . Mais si l'avenir du monde est dins la démocratie, et si le triomplie de celte dé¬ mocratie peut seul nous garantir lésor- mais contre la menace de guerres d'igres- sion, M. Wilson ne eraint-ii pas qu'une dis¬ tinction trop subtile entre l'Allemagne et sou gouvernement ne nous laisse dupes? El s'ü élait vrai, — sans que pou' cela sa terrible responsabilité en soit attéiuée, ear il est le chef, et par conséquent res~ ponsable, — s'il était vrai que i'emperenr Guillaume ait été entrainé a la guerie par l'irrésisfible courant pangermaniste, eroit- on que ce pangermanisme disparsitrait dans le cosur et dans l'ame des Alleiïands par )e seul fait de la suppression 4e la dynastie ? Que le' peuple ailemand, sous la con- frainte des armes, renverse son régime gouvernemealal^ cela ne pourraitquehöler l'iieure de la paix. Encore nous faudiait-il prendre envers lui, après restitutions et ré- paralions, des sécurités et des garanties. Mais esl-il prêt a cetle évoiution? On colli, a ee sujet, attendre la réponse du Hcichstag sans se faire par avance aticune illusion prématurée et chimérique. " Et M. Wilson, qui est uu grand paciflste, mais qui n'a pas craint la guerre afin de réduire l'impérialisme ailemand, s'est iipeveüdéja sans tloute et se persuadera eiiaque jour davantage qu'il nous faudra tout ensemble réduire a merci Guillaume II et son peupie avant de rétablfr la paix dans le monde. Th. Vallèe. CONSHIL DES MINISTRES M.Maivy n'gssfsfsft m a ia séance Les niieisires sc sont réanis hier matin a i'E'y- Ae. sous la prési^ence de M.Poioeué. M.Maivy,sonifra t. n'assistsit pas au Consell. M Glémenlel, minislre du commerce, a rendu compte ü, s negotiation» qu'ii a smvies a Locdres an sujel «s prohibitions et des limitationsd'im- •portation, (les sffréteroents el de la repartition du loncage enire la France et i'Aagleterre. giacd quarlier général qaiite Paris aiserscam On finroBce o'Bciellemenl que la pL part des . s «Uvcbésau grand quarlier genétsl #mé- ruts. pront traasférés sujourd'hui a destiaalion J ufe-' noövj'i résidenee plus rauproeh . front. du iaSsüfiiMoe deSlicttslia L'Ennemi fortiffe la fiontlère bslp Oa mande de Ia frontière que partout, dana te voisinrge de la bouel« de l'Escaut. les Allentands toriifient la frontière Nord de la Bidgique. Ms out instalié de trés gros canons sur des plates-formes en cirorntdans le village Sauevlict. Dans le vülfge de Hofvinfc rnpsot sont poslés treize ttsnons dissimnlés per dfs cbénes. Les troupes de réserve qui snnt slationnées a Anvers soni évstuées a cinqaanfe mille hommes. Les Hollundsisoni eBvoye des provisions consi- dérabies aux trouces slationnées a la rsffinerie de sucre Barendreehl, prés de la frontière beige. DESFLANDEES A LTS0NZ0 Da ilr.r,dteüer Guardian : La cause stratégnjuè des défailes de l'Autriche, c'est l'inqu étudealLmandt en èelgyque.Le Monte- Santo est nne prenve, ajoutóe aux autres, de la fO'ie, au point de vue militaire, falte par l'Alle¬ magne en envsbisssnt la Belgique. A Lens, corjoue sur Ie front ü'Ypres, les Alle mai ds luUi-nt désespêréruent pour avoir leurs coudées franches ; il leur faut conserver derrière eux de graods espaces pour mauceuvrer leurs réserves. Ce qui est inquiétant pour les AUe- mands, cé ne sont pas tant les opérations pré- sentes que celles qui vont suivre. Kous nous sommes oattus pour avoir les tremplins a'oü par- liront nos aitsques futures, et nous avons atteint tous nos objectifs. L'üsure aileoiantls suriefroni britannique Le général Maurice, directeur des opérations mililalres, discutant de la situation militaire av, c un rédacteur de l'Agence Reuter, a fait entre autres décuarstions cclle-ci : * Sur le front briianmque, bi°n qu'aucun évé¬ nement sensaliounel ne se soit prodult. Ia lacil- que consisiant a user les Allemands,a un f ilet bcaucoup plus grand que le public ne se l'ima- gine. Depuis le 31 juillet, les Allemands ont lsncé dans la bauille deux fois plus de divisions que nous, et mèrne un p u plus. Volis le baro- mètre qui ind.que la tournure prise par la ba- taille. » LA NOTE DU PAPE U c..-ir,s>,on4»ntde i'luformalum sVst entre- ten a L n sus avtc M.Lot.ga- 1, a qui il a de- tisr.dr tie lui faire eronaiire 1'tsprit avee teqnel les soci'.ii-les frsi.fius aborderair-nt ja question d.- S oikbo'm a la coafércnee de LoiM$ft'-s. M i.otguet a declare que la mférence do Sio;kbo:u; avail loujours éié mal préseniée. «.Ob s vouiu Ini dnnner, m'a-t-il (lit, une irB- .pèriatice qii'ille n'a pos. M. Keiensky, dsns .une n'C'a.e (('Orv tw a rensis les cboses an point en (ifilhian! que ctile conférence était une affaire d- parii qui n'engagfcsllnullemenl Its rouverne- .•Hurls. <;rsinl-on que nous fratemisfcns avee fPennemi? Pour ma part, je n'ai sucune envi->de serrer la ma'n d'uDbomiue te! que Scheidtm on, mais j'nis trrté voloniiers ceiie d'un bonaête a uiidi:couirne Uebk» cht. ■ On ne peut craindre que nous nó Pous 'ais- sioic: <l< par les majoiitaircs allemar.ds; nous ♦omtfie-- de taille a dejouer leurs pieces. Ea ce ni-t co. cetnc Lequestion de 1'Aisaee- Lorraine, 'on p- t-ni.en Allemagne. qu'elle nvxi-ic pas. "Ó'est ure lucre insonlcnpble au point de vue du droit cl ar I;,ju'iice. qui est le point do vue de totfs b s seciaiistes de ï'Ëntf nte. - tJéirndre que les Frsrcsi" élan! bitlus ea lf70 I? question fut alors 'ègiée. est contraire aux doctrines socisiistes. II e>t évident que l'Al- sacc dolt fiire rendue a la Frarco. • 1 tots que les socisiistes feron: une beso¬ gne uiiie t Stockholmoil iis sfiRtnoro-1 par une ma.ortté imposante,'les priBcipes du droit el de h jusüce Les Allemandsqui se rr-ndront i cello conference seront écrascs. frt'Tr i'-wé sn sujet de la conférence sociaüsïe lriV*>tii«t'ild r*Hiéf>; M. Myodnlann, le v téran s' c a ;-!c Iaën eoonu, a dit que; les deux plus Imp' r 'iülrs de égstions se sonl abOeaues. « Je re puts vraioieut pas compreadre a rjouté M. Hvrdman», comment un Fissqais pourrsit se reaoudre a voter en faveur fi'une r ncooire .".vee de< S'.zirl d-rnofcralesqui appi<over,; (es assas- sira's. b s st ertats et la pirot-Tie cooiads en ce momTt iFièoiosur teire ei sur leer contie les FifbSsis. » L'Allemagne et ses alliés répondront séparéraent On annonce que la réponse a la note du pape aura lien sous forme de quatre notes disiinctes pes quatre puissances centrales. Ceci indique que les pourparlers pour Ia redac¬ tion d'une réponse unique, engagée depuis quel- ques jours, ont éehouö. L'©ffensi¥e Italfenne Leroid'lfilis remercie lere!d'é.ngleierre Le roi d'Laiie a répondu aiasi au iéLégramme du roi George quo nous avons pubiié ieutii : « Je rcmerciy Voire Majeslé pour les féliclla- tions cordiales que vous ver,ez de m'adresser & l'occ sion des récentes opérations des troupes itaiieanfs sur i'Isnnz.i, felicitations qui me sont particulièrement agréebles « L'armóe ilalieone, dans son avance, est heu- reuse d'enfendre tonner, par terre et psr mcr, les artilleries britsnniqués psrmi les siennes ma- nifestaiion évidente oe cetle élroiie fraiernité d'armes existhni ideaiement pariont oü est un soldat des «eux pays el qui se foriifie dans 1effort commun et dans les succes communs contre l'ennemi qu'on doit défaire. » — «3» L'Amériqyeet la Giserre LES ËTATS-UNiS Pramierdép.rt dasCongo: its pour lescampsd'instruction Vingt-cinqm llc hommes de troupes apparte- B*st aux regiments de l'Etat de New-York ont dé¬ filé pendant cinq beures par tes voies principale,? de New York, au milieu des acclamations frénéti- ques d'une l uie comptant de un a deux mi lieus de persocnes. Les troupes sont parties ensuite pour leurs caraps d'entralaemcnt. L'ARGENTINE Von Papsu serait a Baenos-Ayrea On eroit quo von papen est a Buenos-Ayrcs. Les jouruaux out remaiquer la presence de certsins AUemafidssuspects provenant des Eiats- ünis LE BLOCUS EENFORCE Une proclamation de Wilson sur Us exportations aux neutres Le président Wilson a lancé une proclamation di-arit que 1'öttlenlionprfa abie d'un permis est nécessaire pour ioutc exportation destinée sux pays nenlrca enropéens et qui ajouto de hou- yeeux articles, er tre autres ies bmles et iés grnis- ses et toutes sottes dc e«ton. aiasi que le srcre, les cuirs, de nou breux produits cb miques el des rrifchines, a la ii te pubóée le 9 ju ilet. des mar- chandisi s dont 1exporUsion n dfstipaiion des Al¬ liés ou des neulrr s bon europétns est soumise è un permis. 1es militux officielsestitaenl que celte procla¬ mation fait prévoir qu'uu coutróie maritime sé- vére sera excicé comme arme de guerre et que les neutres contigus a l'Aliemsgne svront stricie- msnt rationsés. Le gouverncuu-nt a d'ailleurs d j'i donré it en¬ tendre aux représenlaois des puissances neutres que les EUts-ünis veiiieront a empêcher que les marebandists américainea nc remptacent iüoirec- temeat cel'es que !ls neulres expédient en Alle¬ magne. Curtains hauls fonclioon:ires préconl-ent suèfliö I'srrét dc loute expedition do vivres tui p^ys ner l ec, quasd ces vivres sont destinés i Is nour- rllurci.des 'ouvriers fabrieaot du mstèriel de gne«fë pour l'Allemagne. Leravitailkmeatparles «eütres déiountédes empirescentralis; Communiqués Officiels l.lïïl' Joornée FRANCE A I'Est de Cerny, una patrouille allemande qui tentait d'aboraer nos lignes a did repous- sae par nos feux. Activité réciproque de t'artillerie sur les deux rives de la Mease. En Alssea, un coup de raai ennemi au Sud de Harlmannswilierkopf a complètementéclwuë. Rien a signaler sur le reste du front. 23 heures. Auoune action d'infanterie au cours de la jo.irnée. La lutte a'artillerie a été aseez Wire dans Ia region de Cerny et sur la rive droits de la Metise, au Nord de la cote 304. GRANDE-SUET ACNE 31 acüi, 14 heures. Le temps est trés variable. L'ennemi a violemment bombardé cette nuit nos positions avancées au Nord Ouest d'Arleux- en Gohelle exau début de la maiinée il a tenté sur nos lignes un coup de main qui échoua en- tièrement. solr. Ce maiin, au point du jour, l'ennemi, en méme ttmos qu il canonnait nos tranchées a I'Est de Go zeaucourt, déclenchait un violent bombardement sur nos positions récemrnent conquises par nous k I'Est d'Hargicourt et d'Epehy. A I'Est d'Hargicourt, les Allemands n'ont tenté aucune action ^'infanterie, mais plus au Nord, le monticule isolé situé au Nord de la ferme V/llemont, sur le terrain que nous avons pris le 19 aoüt, a été attaqué par xje forts dó- tachements ennemis qui ont oblige la faible garnison d'évacuer ceiie position avancés. Nous avons repöussé des coups ennemis sur nos tranchées k I'Est tie Gouzeaucourt. Une forte patrouille allemande a réussll; pen¬ dant la nuit. a pénétrerda.ns un de nos petits postes a I'Est de Costtavesne. Quelques-uns de nos hommes ont disparu. ITALIË Dome, 31 aofit. Les combats ont continué hier sur le p/aféau de 3ainsizza. Nous avons obtenu des gains sur les pentes Nord du Mont San Ga- briele et dans le vallon Bressovizza malsrré la resistance acharnée de l'en- ■ c'. ' _ -* v - nemi. Nous avons capture 635 prisonniers et 5 mitrailleuses. DANS LES BALKANS FRANCE Salonique, 31aoüt. La journée du 30 a été marquée par une sé¬ rie de vifs combats qui se sont déroulés sur la Strka ai Legon et dans la région montagneuse située k i'Ouest de Monte. Sur la Serka di Legen,après une violente pró- paralion ü'artillerie, deux fortes attaques bul- gares qui avaient pris piecl de nuit dans quel- ques éléments de nos tranchées avancées ont éte presque complètement ohassées par nos contre-aitaquea pronorcéss au point du jour. L'ennemi a renouvelé ses assauts dans la journés. II a été partout. repoussé. Dtr.s la région a l'Ouest de Monte, les troupe3 serbes ont pénétré dans la première position de l'ennemi ei lui ont fait une vingtaine de prison- niers. Dans la région de Monastir et dans celle de Doiran, la lutte d'artillerie est trés vive de part et d'autre. m La conférence des déiégués francais, ilaUenset suisses &commence ses séances mcrcredi sous ls ofésidenee da sous-secré'aire d'Etat du blo- cos. Jeüdi soir a été r.doptéeet signet»la convention cescer&.ehtrimcortatioa-de bois suisses en Fran¬ ce' et en llaite. Gesbois seront rep.wis entre les deux bays alliés par des deiégu. s gissaal en commun, suivaut une convection don! les ter¬ mes ont été prrètés rn principe eutre les deux allies. Noire poüiiqoe «s bloeus s'ofiente dor.c vers des tracUUocs qui assureronl au rsviisiliement fra, c»is et a celr.i dos Afilés le plus possibledes expomlions neutres qui aüaient jtisqu'a pré-?nt veis lea empires ccntraus. Lss SiÉriaiats dgMm Après la Conférencede Moscau Gommont Ie généra KornHoff - ful 3mei.é a dir^ la vérité sur la situation de i'armés LeTiw.eséTit que, malgré ses discours CRflaru- mes. Kercnsky s'est monlré d'une m indre afiir- maiivHqu'on ne 1'auraHsuoposé au sujet de la tristeconaition è Uquclte' IV(Taib'issementde la discipline a.rèduit une grande partje des troupes cusses Eu revanche, Kornttoff n'hésila pas a dire toute It vérité. Le Tunesajoute : » Notre correspondunt nous écrit que le gou- verijemr-nterovisoire desirait que Koruiloff ne. pat 'St pas. Dimancbe s.»ir.lard, Kerensky man!-' P sta co desir au génér. l. mais C(Uu'-ci pensa qu'il étui do sou dev ui' de roeiirè la conférence en prèstucc des fails, de s -rte que des nialadres ses ou Hirctions evenluelics ne pussent être ex- cusèes, du fail que ia coaféreace aurait été lais- see dans i'ign irance. » L'at'iiude des extrémisfes du Soviet Le correspondant dii Trnss a Moscou dit que les exiréroutes du Soviet refusent obstinéo.ect d'accepter les avertissemejits solennels des eb- fa roilitsires eonceénan' les condition'} usseniielles de réforma (föl'armée. Pendant la di cours de Korci'off, ils se condui- airént avec une iosulenci; éiudiêe. La Catastrophede Kazan L" correspondant d-; la O settc de ia Bourse (é- légratbie : « Le 47 courant, vers trols heures do i'aprós- midi. une i xplo ir n se produitit dans un w-gon Chargéd" projectiles. « Un vio'eni iac- ndk».qui éclata a la suiie de cctie exWosion. a'éieadil rapideroeat et alleignit le déftötcentral de m alliens de i'arilllerie, pro- voqusnt une série formidable «explosions qui firent trembler is ierro et dfleiminsn! cn mêmo terup do largt s crevasses aux habitations et bri¬ sant toute- I; 5 viires. « Au mêmo moment, d'iunombrables éclata d'obus commencerent a pleuvoir sur ls vdle. . « Les babiums s'enfuirecl dans une course ép rüue awe la cli'.partde la garnison daBS les cnamps er.ioursni K-zan. « Dss apaches éi fl'aulres élémeots crimiDtls de 1»population proii érciit do eet exode pour sacca- ger ies habitations et ies nagaslns. Bes éièves de t'Ecole militaire rétaUirent l'oidre. « Rientét. le feu *e ceiumnn qua au grand ré¬ servoir de oapbie destmé au rainisiére de la guerre. « L'inceucio dura Irenic-six beures, p( cdsnt lesqueiips la populatio» resla hors de la villa. « A l'beure présente. Ie crime est a peu orès ré(8bii L'état de siège a été prociamö.» BmièF! Hem öUATre tvrui: ut.;^ matin IAutre» Département». Onion Postale. s'siannt tgatemsnt.SANt TBAIS,»tis; tiet ies Êuretax de rast» ie fr+wa DémissiondeM.Malvy Paris. —M. Maivya adressó ü M.RiDot,sa démission de minis'tre de 1'mtérisnr. La lettre de démission de M.Maivy rap- pelie pne M. Ribct rtfusa.il ya queiques mois, la démission qu'il lui aöressa devaut d's attaques iniustifices, afin da ne pas af- l'aibür i'union indispensable de tous les ci- toyens. M.Maivyne peut faire face &la violente campagne cslomnieuse qo'en reprenant comaie citoytn la iiberló qui, présenten: ont, lui fait défaut. M. M«»lvy termine on déclarant qu'il a conscience de perinettre au gouvernement d'eviter ies attsqaes dont ii est l'objet. Ii se retire ia conscience iranquiiie, prêt è öemeiiier un patriote ssncè'e et nn ferme republicain, en emporlast dans sa retrai e Ie téinoignsge «ieious tes boonêtes g as, qni savent sa co'Daboratioade trois aas a ia de¬ fense nationale, et tie tons ies démoerates, qui esvent son effort proiongê en faveur de ia paix sociale. (Havas.) Les Armêes Francaise et Italieniie se féliciteiit mntiiellement Paris — Le généra! Péiain a adressé au général Cadornale télégramme suivant : « L'armée franqaisc applaudU aux nouveaux et brillanls succes de la vaieurciise nrmèo itaiienoe « Que Votre Excellence vetiüle bien agréer mes plus cb.deurcuses felicitaiions et transmelire aux soidats viciorieux «e l'lsorzo et du Garso le cri «'aamiration enthousiaste de lours freres d'aimes ffa cais. « Geuxde l'Yser. coux de Craonne, ceux de Verdun sont unis a eux dans la méme volonté de v;!ncre. » Le général Cadorna a réBondu: « C'est avee une vive êmotion et une profonde reconnaissance que, a l'beure du succès de nos armées, me parvient par voire voix, a l'adresse des troupes italicnnes qui eonibaUent, le salut valeureux des soidats franqais de l'Yser, de Craon¬ ne et de Verdun. « Je vous transme's en écbange de co salut les sentiments de ch.sude admiration de soidats qui, sur le front de Siula, ont conscience de com- battre pour la cause commune a tous les aliies et qui marcbant sur le tslon de 1'ennemihéréditaire ae l'Dalie, espèrent porter un coup violent a renaemi de ia liberté et du droit. » POUR L'AGRICULTURE Paris. — LOpioidpuolie la circulaire suivante relative a la mise en sur- is des specialistes agri- coles des vieilles classes : En vue de compléter les dispositions prises a 1891et plus ancienn s dü service a». tör-> et plus anciennes du service auxilirire, pe es de cinq enfants ou veufs péres de quatre, apparte- nant a la B. A. T. et exergsut une des functions ei-aorès : Marécnalferrant, forgeron, reparateur de ma¬ chines agricoles, bourrelier, scilier etcharron. Le Paqnebot « Natal » coulé a la suite d'une collisioa Marseille.- A la suite d'une collision avec un auire vapt ur franqais. Ie piquehot Natal a coulé le 30aoüt a SOh. 30au Urge de Marseille: SiOnsufragés ont élé ramonös a Marseille. Mcrseille—Le paquebolNatal venait de quitter le port, ionqu'a cir.qmiUes,il fat ab ordé par ba¬ bi rd arrière. par un autre vapeur. Quand I'sbordage cut lifu. on lélégraphia im- mcoiaiement par T. 8. F. au po;t de Marseille qui envoys rap deui'ni sur lea lieux desremor- quetifs «es cbsloöpea a vapeur. Eu mêaie t<mps que le signal de détresse était lance a Marseille, les commandants des deux navircs fnent metlr- a la mer les ehaloupes et radeaux dc eauvetsge qui recueillaient 52»nau- fr»gé8. Pendant toote la nuit et dsns !a malinéc, tes recherches ont continué pour retrouver les nau- frages. Les environs du lieu de 1'abordagefurent fouillés en lous sens. La catastrophe, cor.nue a Marseille dabs l'après-midi, a preüuit «ne vivo émotioa. (Le steamer N tat appartenaii a la Compsgnie uö5 ft ma iUtJJOa c* OTOit TWM&C'llo corn- me port d'attsche. Consiruit en 1881.a la Giolat, si mesurait 156metres dwlong et 12 mè'res de large. Son tonnage brut était de 4,000louneaux.) PROCÉS SOUKHOMUNOFF Petrograde - l.o culonel Touqun Bsranovisky, chef dc st-ivice de la raobitiaation a l'ó at-msjor général declare que les plans de mobilisation éiaborés par Soukbomiifiofï préscti'aieni de nom- breux défauts qui se lirent scalir dés ie début de la guerre. Fusils, mitrailleuses, canons de campagne, ca¬ nons légers, tou manquait. Le générnl Petrovskv, ex chef du service des foit'licalions, declare que Soukbomlinoffne visita pendant qu'il était mioistre. que deux fois I'adini- nfstraiion généralede Tartllle"ie. L'ecolonel Bjrginkine. cbi'f de la (lite a-iminis- tration. déclare que Soukbomlinoff icsisla sur d'importsnteS eomm«ndes «s miir itlieuvs » ae- corder a des usines qui i"s pay»iert 2,000 rou¬ bles piece, alors que d'aub .s usines qui cu fa- briquaient d'excellentes, no demandaienl que 900 roubles piece. Dépêchesde la Nuk Madrid —Deuxmills min. urs des A:lories ont reor-s i.' travail. Qu-- Iques niines sèukmen: cbo- mctit:' les galeries éiant endommagées. Athénes — II ASossidts-, cx-préfet do Ssloni- qne, est nommé chef du nouveau bureau politi- . ,J «■ ir. , : I~ « an, „r.niia.i onnnr protahieruent Ie portefeuille jje l:t guerre. MN AtJ'i^lCIIK Vioiente épidémie a Vie e Ort mande de Vieime : L'Arbeiter Z<Hung demande dos mesurea ur¬ gentes coniro la violente épidémie a» dy-étiierie ,é?iss«nt a Vienne depuis plus d'un mois. ö&as la troisième semair.c d'aoüt, it y a eu 7i décèt dans la population civile corare 39daas la prem ére et 54 dans la seconde r.ecujiue. Le rspport muoicipél olüci.-)sur ia Janté puuii- que de is capitate recoao it que l'état sanitrire est trés mauvaisr Les maladies recti 'uses augmcttlenl fit l'épi- démie de dysenterie n'a jamais été si vioiente de¬ puis quaraate aas. LES BIGRÈCE Un mi lhrd de dégé s-a Salonique Loa dégéts eausés par l'inecndie sont évalués h nn milliard. L'cnqirète a éiabli que le sinistre est purement eccidcnie!. Cinquantomiile habitants sont restés sans abri. LA GïïiERE AÉRIEH1TE Cheque nuit nos avia<'eurs vont en Aflenrtagne Une dépêche de Musanne a l'Exehmge anuooce, d'aprês les Brsltr Naehtithlen. que les aviatcurs francais font saes cesse des raids sur les bas s militsires du Rbin et les ponis. Cbaque nuit, les aviateurs jeltent a prtrïcsiou des bonibes qui font des Uêgüts cansiuérabies. L'un des ponts dn Bbin a Mannheima santé la semaine dernière. EN CHINE Ufie avance au gouvernement chl«c!s ün contrat a élé slgué pour ravance_de 10tuil- lions de yen par la YokohamaSpcelé Bank au gouvernement cbinois, avec le consentement des autres membres du groupe des banques. JAPON La iVüssion japonaise au Sénat amóricain Au cours de la reception dc la mission japo- caise au Sénst, le vicomte lsbii, président de la mission, a proconcé une allocution dans Uquelle ii a célébré I'amitié et Ir, bonne volonté entre ies deux nations. Puis i! a d:l, no amment : « Les Eiats-Duis sont,enlrés cuitn daas Ia luile avec la resolution arrêlée de libörer te monde des menaces degression d'une nation qui a sueé avec Ie lait ia doctrine tie la force brutale. « Le concours des Etats-Unis es', dêjè en soi une grande vicloire moraio p. ur la cause com¬ mune : ceiie du droit et de la justice, pour ies forts comme pour les faibles, pour les grand3 comme pour les pelits.» En Belgiqueoccupée M. Miehaelis k Bruselles Le cbancelier ailemand est arrivé a Bruxeiles, oü il a regu les membres du préleadu conseil des Eificdrcs. Répondaniau message de la délégation de ees fiimin ar.ts traffres a Iqur patrie, M.Miehaelisa roppelé let décUtraiions ffftes i ffertin te 3 mars par les déiégués «Il conseil -ii M.de Belhmann- Holiv'tg.it. Mishaetlsa r.lT:as. qaó le point de vue da goaveruem-nt uliananu n'avait pas ehau- gé depuis cette époque. Par contre, ie gouverneur géDérai ailemand de Belgiqus a été mandé a Berlin pour fournir cer¬ tains renseignemenls. Ls joug ailemand L'Echo telge annonce que le bourgmeslre de Ilaraont Limbourg beige), a été coadarnné a mort. Le prieur du couvent de ilsmonl et lo pro- ieseur Baiiings ont été condamnós a la prboa perpé uelle pour avoir aide des Beiges a passer en Hollar.de. Des nouvoiies de Bruxell s assurent que les AHctuaadsout arrèté MmeErrera, la femme du recteur de l'ufiive.sUó libre de Bruxcllés. L'AFFAIRE DUCHÈQÜE Une Arresfcation Sur maedst du capit«ine Bouchardon, rappor¬ teur prés le 3' eonselldo guerre, M.Darm. com- missaire aux délégaltOBS judiciairts, a arrëié M. Lcuis Jougl8, ancien rédacteur au Bon-et rouge et si créiaire de M.Duval, qui va èlre Invité a donner a la justice des éeiairclssemcnls sur ses voyages en Esprgne. Jougia, dont la tnèrc babito Béziers, fut par la conscription appelé a servir a Algcf. Huls, véfor- mé bieatol, il eommene? en Algérie, puis a Paris, uue vie aventureuse, m»is plulöt miséreuse. Sur la rfieommandaliond'un, cnnsBiiler.aiuniciosl.. •» emra eiuio, cotnrueemploye auxiuaire, au tervice des enquêtes de l'Assisianco puWiqne. Presmjc en mêrae temps, il pênélrsit au Bonnet rotsje comme reporter. Et bientót, u dsvenait secrcta.re de Duval. Depuis, on le vit loner, ruo Saulnier, nu assez gr. nd local, oü il se propo'ait d'inslaller la redac¬ tion d'un j juroat bib, bd madairedestine aux ins- lituteurs, Ie Mondeur ii s Enil s, Havait fait, au cours de son voyage en Espagne, connaissance du propriétaire do cet'e feuille, dont la situa ion était précaire et lui avait proposé de 1c faire commanditer par un de ses amis,, saus doule Duval. Ajoufons qu'on a perquisiüonnó, rue. Saulnier. sans résuilat d'ailleurs. le bureau local de l'Agence Havas nous a communiqué bier unu depêche relatant i'arresta- tiou de « M.Juncla, directeur de la Uatiquefranco- suis.se.» Nous n'avon3 ca aucune cocflrmatton de ce'Je nouvelle qui parait être lo résuttat d'uue trans¬ mission, aussi défeclueuse que regrettable, L'instrucilon M. Drioux, juged'inslruetioD. a succr sslvcment iniecrcgé MM. Pancrr/zi. directeur dc la prison de.r'resnes, ie dootenr Socqiie».le médecir.-niajor Wrersegen' cl le soldai pbarmscien Grenouillst. II a em»ndu aussi le gardion ttenln, les dacteurs Bccourl et Havem el le déienu Hcrnard. Le«döposli.iousdes dodeurs yqqquet et Waer- srgen n'cnt apnorlé aucuh fait D.ouvexn.II n'cn a pas élé de mèmo de celles de M Pancrazziet du soldat Gr.noutUat. La «é 'éiution da W.Pertcp: zzl M. Pancrazzi. après avuir hmopveié' sc.s précé- donts récits dö Ir mort d'Almereyd», provoqua uu veritable coup de iheSue. II anoonqa au magistral que ia voilio, mercredi, le soidawpharmac en Grenouillat étètt vcnu le trouv<?rpoor lui faire pet (l'nne particuUirité a laqueile'il n'avait pas attaché d'ioiportancc tout dubord. GfeaoulUal,sur ladt-marde :eêuie du directeur, avait été cbar«é, dés la mort d'Aünereyda, de re- chercbi r les ia ets, ou piusó' les morceaux de la- c r' ?.du défusi lis puuvaiant être utiles a !a jua- lii!", paisqufl le gardien ilénin et le détenu Avril av .ient psrié d'une tenUlive antCi-ieurcde suici¬ de d'Ainiercyda. Crenoui!at avail retrouvé ces morceaux de la- ccts. mui--il n'avait pasju,é capital de spécilier que s'ii avail rauiassê les deux prenii-rs hauls sur I" piaacbrr de la celluie, le troisiérnc. long du qutftxecentimetres environ, était sttarbé au poric-iusnUao flxe au mue dc la Celluied'Aime- reyda. ... M.Drioux lil, sur te c&aaip,apporler les Irois movcea!x de lace's. On reeonnut, par Ja descrip¬ tion qui venait d'êtee fails, le bout qui avait élé attaché. II sc raccorde parfaiieruent aux deux au¬ tres et forme avee eux lu iacei comr'éf- GMp LasBii Morl au Chaiup d'Hotiaeui' On annonce ta mort au champ c'honneur de tl. Eugene Maliiard,fits de M.Milliard, ancien nc- èairca Moalividiers. Quabe jours après son msriage, la mobilisa¬ tion i'avait enlevé a son foyor pour l'ouvoyer a la fronnère. Dés lo SO «out 1914, grióvemenk blessé a Guise, il düt aller, la euisse droiie crihléEi de miiraille, langulr sept molS sur un fit d'böpi- tal. A peineguóri, boYtsntencore, 11qnitlait I'in- fanterie pour piioter un au'.ocamion d'actiUorle. Grdcea sa rofeusteconstitution, tl était maicte- nant rótahli tout a fait, ii meurt en pleine jeu- nrssse, a 27 ans, tué le 4 aoüt dernier par un obus, au moment oü, devaat Verdun, il iavitail- iait sa hatterio en munitions. fftédsitic militaire Ls médaille militaire et Groix de guerre avee palme est confórée au soldat Gaston Baumsnn.a» 444*régiment d'infanterie,avee la mention sui vaate : « Excellentsoldal, éuergiqueet trés courageux; au front depuis le iêbut de la campagne. Gfièvs ment blessè, au combat és J917». M. Biumann est originairo do notre vUle, oü ses parents étaient êlabiis débitants de tabacs ru-, Guillemardjpuls sur le GrandQusi,aiasi qu'd Gra villo-Sainte-Honorine. » l'drdre du Jauar Du Corps d'Armie : M le sous-liputcnant Adrien Ssn'e"rn, de la compagnie do mitrailleuses du *224» régimcit d'iofanterie a élé cité en ces termes a l'ordre da cdrp3 d'armée : « Commïódant une sccllon do milrailieuses dont la plus grande partie du personnel venait d^ire mis hors de combat, a mis lui-même en bstte-rieet servi en terrain découvert une pièco qui a arréié instantanement la progression de 1ennemi. Bleaséa ia main par une balie, ne s'est laissé évacuer qu'après avoir assuró complète- ment la remise cn bon fonclionncment de sa aeetion. » M. le soas-iiealeaant Santerro est domicilie 5 hts, rue Magellan,au Havre. Exposition d'üavresd'Artistes francais relalifsaia guem n est trop tot encore pour ss ■idre co apte da 1'iiDtluencexercêe par la grande guerre, sur l'arl en généra! et sur Ia peinture cn psriiculisr. Mais il appaialt cepenqaot que ies conditions da com¬ bat tnode-ne. tel au' ! a eu iieu jusqu'aiors, sa pr<tent péu auxmléL-p'élatjonsdans lafumo de colics que lc conffi! de 1870avail imp réss. Le violent cboe des troupes adverses, b.s scènes clHSriqiK'S ds ia guerre de mouvement s »n! loin oe la formidable lutto scluotls i ü tes soidats sa tcrrenl, oü l'artillerie c-ffectuesou travail titanes- que en laoourant uo désert de plaines boulever- M'es dans les entrailles dosquelles viveat — et mcurent — des hommes. Le psysagu dol'i «lort Fèvoq'ie fortemeoi, réel!ement, er sa solitudo ef- Iray :;e ft son immense désotation. Ge-,aspects (les êbus et des cboses dwaleot eepesdaat être flxés.Desartistes do laiems'ysont eoasacrés avec une éaaouvante fervour. G'pst un petit coiu, ua tout petit coiu da ia grande ceuvro que i'on poarra adwirfr dans les salons de l'lló- tel de Ville. An profit dos malheureux priso nos du Havre, uue exposition de tableaux et ui-ssins s'ouvru aujoura'bui. II y a la, éuianant de buit artistes, une cicquantsuie d'envois so rallachant a Ig gue re. '.'ensemble en est inlöressant, disticgué, manquéd'un cachet de personnalilé qui rend ces notations diverges dignss d'alteniio'!. iLseiublequc tant pa.' le nombre de ses cnuvres que oar la valeueoriginele. Andró Dov-.mbfz soit ie principal artiste decs groupemout fratern-M. On sail la personnalilè-de son laleni soupie et sincè"e qbtz lequel le sentiment d'art évoluo avec agiément vers la fanlaisie sans perdro da son caraciére ni de sa tenue. Devambrzprésente une série de prinlures qui sc recommasdont p:-r leur belle et same fran¬ chise. ei surtout par une luminositóextraordinaire. Son Plateau de Tavanms, a ca propos, est d'un éc;al d'une transparence vrsiment snisisssnts. Ourcmarqueraaussi le Bombardementde la Ci- laddie, le Bavin ds la poudr,ére, la Soiituds a Verdun peintures d'excettente facturc. MfisDfwambez a loujours tiler ié les cffels pittoresqnes du racccurci. 11s'est b.\!>ltaéa voir f'iiunianitè dos hauteurs du ciuqniètne étage, comme pour la micux c ..crvcr a son insu. Les « ctnquiömes » font plutöt dófaut SU7 le front. L'ariiste les a remplacês par un avion ou plus simptuinent par sa propre imagination et sa viriuosite de dessinaleur. G'est aiasi quit nous monire Les Vagues das* u uriaads rn i.nüyr.hs,squsrclles amusan- tes, maigré ia g.'avitu du sujct, uu tea pygaaéoada poilus —qui so«t des gèsnis —donnent une im¬ pression de vie fievreusement grouillanto. . A eiter aussi, du méme arliste, la coiiuctionUes e'a ix fo;tes. viaourcus^ et éloquenies. une courts éch 'ppêo v. ri"la bctlu bum :ur caricaturaie avec L'An.Oui.nC'i au fiertl, cl u'aulrcs bonnes f."utiles encore que jo n'ai pas le loisir oVn;.jé • r. M. Ge-ifg s-Pl..rre De!e,le, a i'i.iiiiUa'Jva do qui, soit dit or. passant, nous d vons enHe expe- sitioc, rcunit trois loiles de méme sujet : le Camp des Anglais tvinture cbaude ei d h«-ureusoexpres¬ sion. Le?Tommiescirculant au milieu (!••la Wan- eheur des t rntes, sous la douceur dc la lum.ère ma male ou ia clarté vlbrante du jour, avec, dans les toimains, ler-funds embrumés do Rouclies et 'il ff u- «os»,cn méme temps que de jolis- i.) aux (pari, dus documents u'blstoire lo- gj|0 i-ii ,;ar:s et pastels, les ceuvrcs do M. Guiniar .out une certaiue puissance d'effct. tcmoin ses Haitfs, -témoin suriout ce Cim.tiè e ds Verdun avec son premier plan de pauvres psiiu s lombes cu cbanlu le cocarde tricolore et son horizon dó- < par la silhouette des maisons maurtries. j . signBer aussi les beilcs études d'Albdft Laurens. Aul'èche, la Fe rns de Gri-m vires, to B.'.sds Sainl Mard, dans les coloris hJimonieus, et t(ei«ts, a la Puvis de Cbavances, d'une déli¬ cate inijarité ; les lilhos origiBales de Léandre, Uod!le talen; emprunte la vehemence de la satiru pour fixer les Bois magestie lit Boeherie,les Mas- 'qites. e' la profondeur dü pathétique poignïüt pour exprimër la mort des Premièns victimes— des i nfants ! - les dessins et les peinture.)do M. Ié licui: nam Baymon»!Woog, d'une jolte tenue clazsique, tn bur exócuUon adroite Sa Petris Fills soiuble un peu dépaysée au milieu de ces pages amères et si cruciiemcnt vraies, mai3 ene est si fraicbe do toD, si charmante de grace qu oa éprouve un ulaisir vcriiable a saiuor co sourire ODsoieitiépa'rrailes horreurs guerrières. Eufin, j'rii conservé pour la spéciale mention, les pore ails au crayon re M le lieutenant Boes- wiiwaid, d'un dessin serré, d'un trait souplo et eavdoppant, fiJéles interprétes d'une expressioa dovie, et lés»peini<n'esd'ua artiste frauqais pri- sonnicrdes .TUemaads,que lc aatalogue a voton- t'irèmcni iaissé dans l'ombre de i'anoaymat. Celut-ci■' ache un peintre distingue,de la meilleura êcole fraceóse. , ... Sju L-iiiruurde tt.raque oü il y a lous les èle- mexiisd'un folur et puissant tableau que i'artisid nous donnera un jour — souhaitons-lo po-ur lui e' pour nous —, l,e MarocUii,Lejeune Cosaque, les htsonnitriusis sont reinsr.ftüibJ®5- lis n'évoquent pas seuiement une idéé cslniti- que, mals aussi les douleurs de la captifité, les espèrances eonlcpues, les trisjej rncnl, lout lo cortège de aésototiffn ,.— . . »u milieu duquel, malgfó to}rte>t_. eottfre-toO peintre a dressé a vigueu fcctible liberté do soa

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itr* Muft—n*fs.ni (8 Fajres) SInfiats— ÏWtWSÜtllWI — t fnines ■fciwïl1"WmhnMf7UsmiitnMr«§éKgs4-S4i»»lO. RANDOLETtëfêtoÊa.tesriKiasi«1Umbu.IE.10.4?J£, Rue Fontonellt, 86

Mssssaïttégrsphiqae: RAJTBOUSTHarra

AWSÖNCB8AO HAVRB Bureau on Journal. 11*.b"™'1<1*StresDoarf.

1 L'AGENOÏHAVAS,8, yiece ds, la Bourse, estA PARIS........ I seule ctargée de recevoir lea Annonces pour

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Le Petit Havre RftCACTKUR BNJ.-J CASPAR - JORDA$ïéldphone •

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ABONNEMENTS| t,e Hay re, la Selne-lnfirteuïe, l'Eure,VOise et ia Scmme 1

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LaRip&sssiiM.Whuli. Wilson, répondant au pape, lu a dit:« Nous ne traiterons jamais awc unHolienzollern ». Et Benoit XV a ét pro¬tondement déeu,Pourtant, sur certains points, M,Vilsonet le pape étaient d'aeeord, et tout lommesa^e ne peut que souscrire è celles dt leursidéés qui leur sont communes. II fait que,dans l'avenir, les peuples s'entenqent ets'uuisscnt pour le mainlien de la pax ; illaut que, tons les peupies étant gariuts dela paix du moude/ehaque nation piisse sedéveloppcr en toute liberté, suivait songénie.Oui, maïs la paix mondiale sen-t ellepossible, sera t-eile durable tant jue leponvoir personnel n'aura pas cédé lartoutia place aox régimes de liberté cmstitu-iionnels ?Aussi longtemps que l'absolutismi exis-tera a Berlin, aussi longtemps que rmpé-rialisme règnera en maitre sur l'Alema-gne, toute discussion restera vaitc, cartoute paix eoneiue demeurerait préoire etpleine de dangers.C'est pourquoi le .président Wilspi veutimposer, préalablement a toutes ngocia-iions, 1'aboiitionde la dictature de Ho-lienzollern en Allemagne, et leur déhéan-ee. « On peut assurer Ja paix par uie en¬tente cutre peuples libres, a-t-il dit, maison ne traite pas avec les gouvernanfe cri-minelsde l'Allemagne. » II aurait puajou-ter : avec les gouvernants non moiis eri-minels de l'Aulriche-Hongrie.C'est de quoi le pape Benoit XV sou-eieux de sauvegarder ee qui reste de lahiërarchie médiévaie, ne s'est pas ui seulinstant avisé. . .Mais si l'avenir du monde est dins ladémocratie, et si le triomplie de celte dé¬mocratie peut seul nous garantir lésor-mais contre la menace de guerres d'igres-sion, M.Wilson ne eraint-ii pas qu'une dis¬tinction trop subtile entre l'Allemagne etsou gouvernement ne nous laisse dupes?El s'ü élait vrai, — sans que pou' celasa terrible responsabilité en soit attéiuée,ear il est le chef, et par conséquent res~ponsable, — s'il était vrai que i'emperenrGuillaume ait été entrainé a la guerie parl'irrésisfible courant pangermaniste, eroit-on que ce pangermanisme disparsitraitdans le cosur et dans l'ame des Alleiïandspar )e seul fait de la suppression 4e ladynastie ?Que le' peuple ailemand, sous la con-frainte des armes, renverse son régimegouvernemealal^ cela ne pourraitquehölerl'iieure de la paix. Encore nous faudiait-ilprendre envers lui, après restitutions et ré-paralions, des sécurités et des garanties.Mais esl-il prêt a cetle évoiution? Oncolli, a ee sujet, attendre la réponse duHcichstag sans se faire par avance aticuneillusion prématurée et chimérique." Et M.Wilson, qui est uu grand paciflste,mais qui n'a pas craint la guerre afin deréduire l'impérialisme ailemand, s'estiipeveüdéja sans tloute et se persuaderaeiiaque jour davantage qu'il nous faudratout ensemble réduire a merci GuillaumeIIet son peupie avant de rétablfr la paix dansle monde.

Th. Vallèe.

CONSHIL DES MINISTRES

M.Maivyn'gssfsfsftm a iaséanceLes niieisires sc sont réanis hier matin a i'E'y-Ae. sous la prési^ence de M.Poioeué.M.Maivy,sonifra t. n'assistsit pas au Consell.M Glémenlel, minislre du commerce, a renducompte ü, s negotiation» qu'ii a smvies a Locdresan sujel «s prohibitions et des limitationsd'im-•portation, (les sffréteroents el de la repartition duloncage enire la France et i'Aagleterre.

giacd quarlier généralqaiite Paris

aiserscam

On finroBce o'Bciellemenl que la pLpart des• . s «Uvcbésau grand quarlier genétsl #mé-ruts. pront traasférés sujourd'hui a destiaalionJ ufe-' noövj'i résidenee plus rauproeh. front. du

iaSsüfiiMoedeSlicttslia

L'Ennemifortiffela fiontlèrebslpOa mande de Ia frontière que partout, dana tevoisinrge de la bouel«de l'Escaut. les Allentandstoriifient la frontière Nordde la Bidgique.Ms out instalié de trés gros canons sur desplates-formes en cirorntdans le village Sauevlict.Dans le vülfge de Hofvinfc rnpsot sont posléstreize ttsnons dissimnlés per dfs cbénes. Lestroupes de réserve qui snnt slationnées a Anverssoni évstuées a cinqaanfe mille hommes.Les Hollundsisoni eBvoyedes provisionsconsi-dérabies aux trouces slationnées a la rsffineriede sucre Barendreehl, prés de la frontière beige.

DESFLANDEESALTS0NZ0Da ilr.r,dteüer Guardian :La cause stratégnjuè desdéfailesde l'Autriche,c'est l'inqu étudealLmandt en èelgyque.LeMonte-Santo est nne prenve, ajoutóe aux autres, de lafO'ie, au point de vue militaire, falte par l'Alle¬magne en envsbisssnt la Belgique.A Lens, corjoue sur Ie front ü'Ypres, les Allemai ds luUi-nt désespêréruent pour avoir leurscoudées franches ; il leur faut conserver derrièreeux de graods espaces pour mauceuvrer leursréserves. Ce qui est inquiétant pour les AUe-mands, cé ne sont pas tant les opérations pré-sentes que celles qui vont suivre. Kous noussommes oattus pour avoir les tremplins a'oü par-liront nos aitsques futures, et nous avons atteinttous nos objectifs.

L'üsureaileoiantlssuriefronibritanniqueLe général Maurice, directeur des opérationsmililalres, discutant de la situation militaire av, cun rédacteur de l'Agence Reuter, a fait entreautres décuarstions cclle-ci :* Sur le front briianmque, bi°n qu'aucun évé¬nement sensaliounel ne se soit prodult. Ia lacil-que consisiant a user les Allemands,a un f iletbcaucoup plus grand que le public ne se l'ima-gine. Depuis le 31 juillet, les Allemands ontlsncé dans la bauille deux fois plus de divisionsque nous, et mèrne un p u plus. Volis le baro-mètre qui ind.que la tournure prise par la ba-taille. »

LA NOTE DU PAPE

U c..-ir,s>,on4»ntde i'luformalum sVst entre-ten a L n sus avtc M.Lot.ga- 1, a qui il a de-tisr.dr tie lui faire eronaiire 1'tsprit avee teqnelles soci'.ii-les frsi.fius aborderair-nt ja questiond.-Soikbo'm a la coafércnee de LoiM$ft'-s.M i.otguet a declare que la mférence doSio;kbo:u; avail loujours éié mal préseniée.«.Ob s vouiu Ini dnnner, m'a-t-il (lit, une irB-.pèriatice qii'ille n'a pos. M. Keiensky, dsns .unen'C'a.e (('Orv tw a rensis les cboses an point en(ifilhian! que ctile conférence était une affaired- parii qui n'engagfcsllnullemenl Its rouverne-.•Hurls. <;rsinl-on que nous fratemisfcns aveefPennemi? Pour ma part, je n'ai sucune envi->deserrer lama'n d'uDbomiue te! que Scheidtm on,mais j'nis trrté voloniiers ceiie d'un bonaêtea uiidi:couirneUebk» cht.■On ne peut craindre que nous nó Pous 'ais-sioic: <l< par les majoiitaircs allemar.ds; nous♦omtfie--de taille a dejouer leurs pieces. Ea ceni-tco. cetnc Lequestion de 1'Aisaee-Lorraine, 'onp- t-ni.en Allemagne.qu'elle nvxi-ic pas. "Ó'esture lucre insonlcnpble au point de vue du droitcl ar I;,ju'iice. qui est le point do vue de totfsb s seciaiistes de ï'Ëntfnte.- tJéirndre que les Frsrcsi" élan! bitlus ealf70 I? question fut alors 'ègiée. est contraireaux doctrines socisiistes. II e>t évident que l'Al-sacc dolt fiire rendue a la Frarco.• 1 tots que les socisiistes feron: une beso¬gne uiiie t Stockholmoil iis sfiRtnoro-1 par unema.ortté imposante,'les priBcipes du droit el deh jusüce Les Allemandsqui se rr-ndront i celloconference seront écrascs.

frt'Tr i'-wé sn sujet de la conférence sociaüsïelriV*>tii«t'ild r*Hiéf>;M.Myodnlann, le v térans' c a ;-!c Iaën eoonu, a dit que; les deux plusImp' r 'iülrs de égstions se sonl abOeaues. « Jere puts vraioieut pas compreadre a rjoutéM. Hvrdman», comment un Fissqais pourrsit sereaoudre a voter en faveur fi'une r ncooire .".veede< S'.zirl d-rnofcralesqui appi<over,; (es assas-sira's. b s st ertats et la pirot-Tie cooiads en cemomTt iFièoiosur teire ei sur leer contie lesFifbSsis. »

L'Allemagne et ses alliésrépondront séparéraent

On annonce que la réponse a la note du papeaura lien sous forme de quatre notes disiinctespes quatre puissances centrales.Ceci indique que les pourparlers pour Ia redac¬tion d'une réponse unique, engagée depuis quel-ques jours, ont éehouö.

L'©ffensi¥e ItalfenneLeroid'lfilisremercielere!d'é.ngleierreLe roi d'Laiie a répondu aiasi au iéLégrammedu roi George quo nous avons pubiié ieutii :« Je rcmerciy Voire Majeslé pour les féliclla-tions cordiales que vous ver,ez de m'adresser &l'occ sion des récentes opérations des troupesitaiieanfs sur i'Isnnz.i, felicitations qui me sontparticulièrement agréebles« L'armóe ilalieone, dans son avance, est heu-reuse d'enfendre tonner, par terre et psr mcr,les artilleries britsnniqués psrmi les siennes ma-nifestaiion évidente oe cetle élroiie fraiernitéd'armes existhni ideaiement pariont oü est unsoldat des «eux pays el qui se foriifie dans 1effortcommun et dans les succes communs contrel'ennemi qu'on doit défaire. »— — «3» — —

L'Amériqyeet la GiserreLES ËTATS-UNiSPramierdép.rt dasCongo:its pourlescampsd'instruction

Vingt-cinqm llc hommes de troupes apparte-B*staux regiments de l'Etat de New-Yorkont dé¬filé pendant cinq beures par tes voies principale,?de New York, au milieu des acclamations frénéti-ques d'une l uie comptant de un a deux mi lieusde persocnes.Les troupes sont parties ensuite pour leurscaraps d'entralaemcnt.

L'ARGENTINEVon Papsu serait a Baenos-AyreaOneroit quo von papen est a Buenos-Ayrcs.Les jouruaux out remaiquer la presence decertsins AUemafidssuspects provenant des Eiats-ünis

LE BLOCUS EENFORCE

Une proclamation de Wilsonsur Us exportations aux neutres

Le président Wilsona lancé une proclamationdi-arit que 1'öttlenlionprfa abie d'un permis estnécessaire pour ioutc exportation destinée suxpays nenlrca enropéens et qui ajouto de hou-yeeux articles, er tre autres ies bmles et iés grnis-ses et toutes sottes dc e«ton. aiasi que le srcre,les cuirs, de nou breux produits cb miques el desrrifchines, a la ii te pubóée le 9 ju ilet. des mar-chandisi s dont 1exporUsion n dfstipaiion des Al¬liés ou des neulrr s bon europétns est soumise èun permis.1es militux officielsestitaenl que celte procla¬mation fait prévoir qu'uu coutróie maritime sé-vére sera excicé comme arme de guerre et queles neutres contigus a l'Aliemsgnesvront stricie-msnt rationsés.Le gouverncuu-nt a d'ailleurs d j'i donré it en¬tendre aux représenlaois des puissances neutresque les EUts-ünis veiiieront a empêcher que lesmarebandists américainea nc remptacent iüoirec-temeat cel'es que !ls neulres expédient en Alle¬magne.Curtains hauls fonclioon:ires préconl-ent suèfliöI'srrét dc loute expedition do vivres tui p^ysner l ec, quasd ces vivres sont destinés i Is nour-rllurci.des 'ouvriers fabrieaot du mstèriel degne«fë pour l'Allemagne.

Leravitailkmeatparles «eütresdéiountédes empirescentralis;

CommuniquésOfficielsl.lïïl' Joornée

FRANCEA I'Est de Cerny, una patrouille allemandequi tentait d'aboraer nos lignes a did repous-sae par nos feux.Activité réciproque de t'artillerie sur les deuxrives de la Mease.En Alssea, un coup de raai ennemi au SuddeHarlmannswilierkopf a complètementéclwuë.Rien a signaler sur le reste du front.

23 heures.Auoune action d'infanterie au cours de lajo.irnée.La lutte a'artillerie a été aseez Wire dans Iaregion de Cerny et sur la rive droits de laMetise, au Nord de la cote 304.

GRANDE-SUET ACNE

31 acüi, 14 heures.Le temps est trés variable.L'ennemi a violemment bombardé cette nuitnos positions avancéesau Nord Ouest d'Arleux-en Gohelle exau début de la maiinée il a tentésur nos lignes un coup de main qui échoua en-tièrement.

solr.Ce maiin, au point du jour, l'ennemi, enméme ttmos qu il canonnait nos tranchées aI'Est de Go zeaucourt, déclenchait un violentbombardement sur nos positions récemrnentconquises par nous k I'Est d'Hargicourt etd'Epehy.A I'Est d'Hargicourt, les Allemands n'onttenté aucune action ^'infanterie, mais plus auNord, le monticule isolé situé au Nord de laferme V/llemont, sur le terrain que nous avonspris le 19 aoüt, a été attaqué par xje forts dó-tachements ennemis qui ont oblige la faiblegarnison d'évacuer ceiie position avancés.Nous avons repöussé des coups ennemis surnos tranchées k I'Est tie Gouzeaucourt.Une forte patrouille allemande a réussll; pen¬dant la nuit. a pénétrerda.ns un de nos petitspostes a I'Est de Costtavesne. Quelques-uns denos hommes ont disparu.

ITALIËDome, 31aofit.

Les combats ont continué hier sur le p/aféaude 3ainsizza.Nous avons obtenu des gains surles pentes Nord du Mont San Ga-briele et dans le vallon Bressovizzamalsrré la resistance acharnée de l'en-■ c'. ' _ -*v -nemi.Nous avons capture 635 prisonnierset 5 mitrailleuses.

DANS LES BALKANSFRANCE

Salonique, 31aoüt.La journée du 30 a été marquée par une sé¬rie de vifs combats qui se sont déroulés sur laStrka ai Legon et dans la région montagneusesituée k i'Ouest de Monte.Sur la Serka di Legen,après une violente pró-paralion ü'artillerie, deux fortes attaques bul-gares qui avaient pris piecl de nuit dans quel-ques éléments de nos tranchées avancées ontéte presque complètement ohassées par noscontre-aitaquea pronorcéss au point du jour.L'ennemi a renouvelé ses assauts dans lajournés. II a été partout. repoussé.Dtr.s la région a l'Ouest de Monte, les troupe3serbes ont pénétré dans la première position del'ennemi ei lui ont fait une vingtaine de prison-niers.Dans la région de Monastir et dans cellede Doiran, la lutte d'artillerie est trés vive depart et d'autre.

m

La conférence des déiégués francais, ilaUensetsuisses &commence ses séances mcrcredi sousls ofésidenee da sous-secré'aire d'Etat du blo-cos.Jeüdi soir a été r.doptéeet signet»la conventioncescer&.ehtrimcortatioa-de bois suisses en Fran¬ce' et en llaite. Gesbois seront rep.wis entre lesdeux bays alliés par des deiégu. s gissaal encommun, suivaut une convection don! les ter¬mes ont été prrètés rn principe eutre les deuxallies.Noire poüiiqoe «s bloeus s'ofiente dor.c versdes tracUUocs qui assureronl au rsviisiliementfra, c»is et a celr.i dos Afilés le plus possibledesexpomlions neutres qui aüaient jtisqu'a pré-?ntveis lea empires ccntraus.

LssSiÉriaiatsdgMmAprès la Conférencede MoscauGommont Ie généra KornHoff -ful 3mei.é a dir^ la véritésur la situation de i'armés

Le Tiw.eséTit que, malgré ses discours CRflaru-mes. Kercnsky s'est monlré d'une m indre afiir-maiivHqu'on ne 1'auraHsuoposé au sujet de latriste conaition è Uquclte' IV(Taib'issementde ladiscipline a.rèduit une grande partje des troupescusses Eu revanche, Kornttoff n'hésila pas adire toute It vérité. Le Tunesajoute :» Notre correspondunt nous écrit que le gou-verijemr-nterovisoire desirait que Koruiloff ne.pat 'St pas. Dimancbes.»ir.lard, Kerensky man!-'P sta co desir au génér. l. mais C(Uu'-cipensaqu'il étui do sou dev ui' de roeiirè la conférenceen prèstucc des fails, de s -rte que des nialadresses ou Hirctions evenluelics ne pussent être ex-cusèes, du fail que ia coaféreace aurait été lais-see dans i'ign irance. »L'at'iiude des extrémisfes du SovietLe correspondant dii Trnss a Moscou dit queles exiréroutes du Soviet refusent obstinéo.ectd'accepter les avertissemejits solennels des eb- faroilitsires eonceénan' les condition'}usseniiellesde réforma (föl'armée.Pendant la di cours de Korci'off, ils se condui-airént avec une iosulenci; éiudiêe.

La Catastrophede KazanL" correspondant d-; la O settc de ia Bourse (é-légratbie :« Le 47courant, vers trols heures do i'aprós-midi. une i xplo ir n se produitit dans un w-gonChargéd" projectiles.« Un vio'eni iac- ndk».qui éclata a la suiie decctie exWosion.a'éieadil rapideroeat et alleignitle déftötcentral de m alliens de i'arilllerie, pro-voqusnt une série formidable «explosions quifirent trembler is ierro et dfleiminsn! cn mêmoterup do largt s crevasses aux habitations et bri¬sant toute- I;5 viires.« Au mêmo moment, d'iunombrables éclatad'obus commencerent a pleuvoir sur ls vdle. .« Les babiums s'enfuirecl dans une courseép rüue awe la cli'.partde la garnison daBS lescnamps er.ioursni K-zan.« Dss apaches éi fl'aulres élémeots crimiDtls de1»population proii érciit do eet exode pour sacca-ger ies habitations et ies nagaslns. Bes éièves det'Ecole militaire rétaUirent l'oidre.« Rientét. le feu *e ceiumnn qua au grand ré¬servoir de oapbie destmé au rainisiére de laguerre.« L'inceucio dura Irenic-six beures, p(cdsntlesqueiips la populatio» resla hors de la villa.« A l'beure présente. Ie crime est a peu orèsré(8bii L'état de siège a été prociamö.»

BmièF!HemöUATre tvrui:ut.;̂ matin

IAutre» Département».Onion Postale.s'siannt tgatemsnt.SANt TBAIS, »tis; tiet ies Êuretax de rast» ie fr+wa

Démissionde M.MalvyParis. —M.Maivya adressó ü M.RiDot,sadémission de minis'tre de 1'mtérisnr.La lettre de démission de M.Maivy rap-pelie pne M. Ribct rtfusa.il ya queiquesmois, la démission qu'il lui aöressa devautd's attaques iniustifices, afin da ne pas af-l'aibür i'union indispensable de tous les ci-toyens.M.Maivyne peut faire face &la violentecampagne cslomnieuse qo'en reprenantcomaie citoytn la iiberló qui, présenten:ont,lui fait défaut.M. M«»lvytermine on déclarant qu'il aconscience de perinettre au gouvernementd'eviter ies attsqaes dont ii est l'objet.Ii se retire ia conscience iranquiiie, prêt èöemeiiier un patriote ssncè'e et nn fermerepublicain, en emporlast dans sa retrai eIe téinoignsge «ieious tes boonêtes g as, qnisavent saco'Daboratioade trois aas a ia de¬fense nationale, et tie tons ies démoerates,qui esvent son effort proiongê en faveur deia paix sociale. (Havas.)

Les ArmêesFrancaise et Italieniiese féliciteiit mntiiellementParis —Legénéra! Péiain a adressé au généralCadornale télégramme suivant :« L'armée franqaisc applaudUaux nouveaux etbrillanls succes de la vaieurciise nrmèo itaiienoe« QueVotreExcellence vetiüle bien agréer mesplus cb.deurcuses felicitaiions et transmelire auxsoidats viciorieux «e l'lsorzo et du Garso le cri«'aamiration enthousiaste de lours freres d'aimesffa cais.« Geuxde l'Yser. coux de Craonne, ceux deVerdun sont unis a eux dans la méme volonté dev;!ncre. »Le général Cadorna a réBondu:« C'est avee une vive êmotion et une profondereconnaissance que, a l'beure du succès de nosarmées, me parvient par voire voix, a l'adressedes troupes italicnnes qui eonibaUent, le salutvaleureux des soidats franqais de l'Yser,de Craon¬ne et de Verdun.« Je vous transme's en écbange de co salut lessentiments de ch.sudeadmiration de soidats qui,sur le front de Siula, ont conscience de com-battre pour la cause commune a tous les aliies etqui marcbant sur le tslon de 1'ennemihéréditaireae l'Dalie, espèrent porter un coup violent arenaemi de ia liberté et du droit. »

POUR L'AGRICULTUREParis. — LOpioidpuolie la circulaire suivanterelative a la mise en sur- is des specialistes agri-coles des vieilles classes :En vue de compléter les dispositions prises a

1891et plus ancienn s dü service a». tör-> etplus anciennes du service auxilirire, pe es decinq enfants ou veufs péres de quatre, apparte-nant a la B. A. T. et exergsut une des functionsei-aorès :Marécnalferrant, forgeron, reparateur de ma¬chines agricoles, bourrelier, scilier etcharron.

Le Paqnebot « Natal » coulé a lasuite d'une collisioa

Marseille.- A la suite d'une collision avec unauire vapt ur franqais. Ie piquehot Natal a couléle 30 aoüt a SOh. 30au Urge de Marseille:SiOnsufragés ont élé ramonös a Marseille.Mcrseille—Le paquebolNatal venait de quitterle port, ionqu'a cir.qmiUes,il fat ab ordé par ba¬bi rd arrière. par un autre vapeur.Quand I'sbordage cut lifu. on lélégraphia im-mcoiaiement par T. 8. F. au po;t de Marseillequi envoys rap deui'ni sur lea lieux desremor-quetifs «es cbsloöpea a vapeur.Eu mêaie t<mps que le signal de détresse étaitlance a Marseille, les commandants des deuxnavircs fnent metlr- a la mer les ehaloupes etradeaux dc eauvetsge qui recueillaient 52»nau-fr»gé8.Pendant toote la nuit et dsns !a malinéc, tesrecherches ont continué pour retrouver les nau-frages. Les environs du lieu de 1'abordagefurentfouillés en lous sens. La catastrophe, cor.nue aMarseille dabs l'après-midi, a preüuit «ne vivoémotioa.(Le steamer N tat appartenaii a la Compsgnieuö5 ft ma iUtJJOa c* OTOit TWM&C'llo corn-me port d'attsche. Consiruit en 1881.a la Giolat,si mesurait 156metres dwlong et 12 mè'res delarge. Son tonnage brut était de 4,000louneaux.)

PROCÉS SOUKHOMUNOFFPetrograde - l.o culonel Touqun Bsranovisky,chef dc st-ivice de la raobitiaation a l'ó at-msjorgénéral declare que les plans de mobilisationéiaborés par Soukbomiifiofï préscti'aieni de nom-breux défauts qui se lirent scalir dés ie début dela guerre.Fusils, mitrailleuses, canons de campagne, ca¬nons légers, tou manquait.Le générnl Petrovskv, ex chef du service desfoit'licalions, declare que Soukbomlinoffne visitapendant qu'il était mioistre. que deux fois I'adini-nfstraiion générale de Tartllle"ie.L'ecolonel Bjrginkine. cbi'f de la (lite a-iminis-tration. déclare que Soukbomlinoff icsisla surd'importsnteSeomm«ndes «s miir itlieuvs » ae-corder a des usines qui i"s pay»iert 2,000 rou¬bles piece, alors que d'aub .s usines qui cu fa-briquaient d'excellentes, no demandaienl que 900roubles piece.

Dépêchesde la Nuk

Madrid —Deuxmills min. urs des A:lories ontreor-s i.' travail. Qu--Iques niines sèukmen: cbo-mctit:' les galeries éiant endommagées.Athénes —II ASossidts-, cx-préfet do Ssloni-qne, est nommé chef du nouveau bureau politi-. ,J «■ ir. , : I ~ « an, „r.niia.i onnnr

protahieruent Ie portefeuille jje l:t guerre.

MN AtJ'i^lCIIKVioiente épidémie a Vie eOrtmande de Vieime :L'Arbeiter Z<Hung demande dos mesurea ur¬gentes coniro la violente épidémie a» dy-étiierie,é?iss«nt a Vienne depuis plus d'un mois.ö&as la troisième semair.c d'aoüt, it y a eu 7idécèt dans la population civile corare 39daas laprem ére et 54 dans la seconde r.ecujiue.Le rspport muoicipél olüci.-)sur ia Janté puuii-que de is capitate recoao it que l'état sanitrireest trés mauvaisrLes maladies recti 'uses augmcttlenl fit l'épi-démie de dysenterie n'a jamais été si vioiente de¬puis quaraate aas.

LES BIGRÈCEUn mi lhrd de dégés-a SaloniqueLoa dégéts eausés par l'inecndie sont évalués hnn milliard. L'cnqirète a éiabli que le sinistreest purement eccidcnie!.Cinquantomiile habitants sont restés sans abri.

LAGïïiEREAÉRIEH1TECheque nuit nos avia<'eurs

vont en AflenrtagneUne dépêchede Musanne a l'Exehmge anuooce,d'aprês les Brsltr Naehtithlen. que les aviatcursfrancais font saes cesse des raids sur les bas smilitsires du Rbin et les ponis. Cbaque nuit, lesaviateurs jeltent a prtrïcsiou des bonibes qui fontdes Uêgüts cansiuérabies. L'un des ponts dnBbin a Mannheima santé la semaine dernière.

EN CHINEUfie avance au gouvernement chl«c!sün contrat a élé slgué pour ravance_de 10tuil-lions de yen par la YokohamaSpcelé Bank augouvernement cbinois, avec le consentement desautres membres du groupe des banques.

JAPON

La iVüssion japonaiseau Sénat amóricain

Au cours de la reception dc la mission japo-caise au Sénst, le vicomte lsbii, président de lamission, a proconcé une allocution dans Uquelleii a célébré I'amitié et Ir, bonne volonté entre iesdeux nations. Puis i! a d:l, no amment :« Les Eiats-Duis sont,enlrés cuitn daas Ia luileavec la resolution arrêlée de libörer te monde desmenaces degression d'une nation qui a sueé avecIe lait ia doctrine tie la force brutale.« Le concours des Etats-Unis es', dêjè en soiune grande vicloire moraio p. ur la cause com¬mune : ceiie du droit et de la justice, pour iesforts comme pour les faibles, pour les grand3comme pour les pelits.»

EnBelgiqueoccupéeM. Miehaelis k Bruselles

Le cbancelier ailemand est arrivé a Bruxeiles,oü il a regu les membres du préleadu conseil desEificdrcs.Répondaniau message de la délégation de eesfiimin ar.ts traffres a Iqur patrie, M.Miehaelisaroppelé let décUtraiions ffftes i ffertin te 3 marspar les déiégués «Il conseil -ii M.de Belhmann-Holiv'tg. it. Mishaetlsa r.lT:as. qaó le point devue da goaveruem-nt uliananu n'avait pas ehau-gé depuis cette époque.Par contre, ie gouverneur géDérai ailemand deBelgiqus a été mandé a Berlin pour fournir cer¬tains renseignemenls.

Ls joug ailemandL'Echo telge annonce que le bourgmeslre deIlaraont Limbourg beige), a été coadarnné amort. Le prieur du couvent de ilsmonl et lo pro-ieseur Baiiingsont été condamnós a la prboaperpé uelle pour avoir aide des Beiges a passeren Hollar.de.Des nouvoiies de Bruxell s assurent que lesAHctuaadsout arrèté MmeErrera, la femme durecteur de l'ufiive.sUó libre de Bruxcllés.

L'AFFAIREDUCHÈQÜEUne Arresfcation

Sur maedst du capit«ine Bouchardon, rappor¬teur prés le 3' eonselldo guerre, M.Darm. com-missaire aux délégaltOBSjudiciairts, a arrëié M.Lcuis Jougl8, ancien rédacteur au Bon-et rougeet si créiaire de M.Duval, qui va èlre Invité adonner a la justice des éeiairclssemcnls sur sesvoyages en Esprgne.Jougia, dont la tnèrc babitoBéziers, fut par laconscription appelé a servir a Algcf. Huls,véfor-mé bieatol, il eommene? en Algérie, puis a Paris,uue vie aventureuse, m»is plulöt miséreuse. Surla rfieommandaliond'un, cnnsBiiler.aiuniciosl.. •»emra eiuio, cotnrueemploye auxiuaire, au tervicedes enquêtes de l'Assisianco puWiqne. Presmjcen mêrae temps, il pênélrsit au Bonnet rotsjecomme reporter. Et bientót, u dsvenait secrcta.rede Duval.Depuis, on le vit loner, ruo Saulnier, nu assezgr. nd local, oü il se propo'ait d'inslaller la redac¬tion d'un j juroat bib, bd madairedestine aux ins-lituteurs, Ie Mondeur ii s Enil s, Havait fait, aucours de son voyage en Espagne, connaissancedu propriétaire do cet'e feuille, dont la situa ionétait précaire et lui avait proposé de 1c fairecommanditer par un de ses amis,, saus douleDuval.Ajoufonsqu'on a perquisiüonnó, rue. Saulnier.sans résuilat d'ailleurs.le bureau local de l'Agence Havas nous acommuniqué bier unu depêche relatant i'arresta-tiou de « M.Juncla, directeur de la Uatiquefranco-suis.se.»Nous n'avon3 ca aucune cocflrmatton de ce'Jenouvelle qui parait être lo résuttat d'uue trans¬mission, aussi défeclueuse que regrettable,

L'instrucilonM. Drioux,juged'inslruetioD. a succr sslvcmentiniecrcgé MM. Pancrr/zi. directeur dc la prisonde.r'resnes, ie dootenr Socqiie».le médecir.-niajorWrersegen' cl le soldai pbarmscien Grenouillst.II a em»ndu aussi le gardion ttenln, les dacteursBccourl et Havemel le déienu Hcrnard.Le«döposli.iousdes dodeurs yqqquet et Waer-srgen n'cnt apnorlé aucuh fait D.ouvexn.II n'cna pas élé de mèmo de celles de M Pancrazzietdu soldat Gr.noutUat.La «é 'éiution da W.Pertcp: zzlM.Pancrazzi. après avuir hmopveié' sc.s précé-donts récits dö Ir mort d'Almereyd», provoquauu veritable coup de iheSue.II anoonqa au magistral que ia voilio, mercredi,le soidawpharmac en Grenouillat étètt vcnu letrouv<?rpoor lui faire pet (l'nne particuUirité alaqueile'il n'avait pas attaché d'ioiportancc toutdubord.GfeaoulUal,sur la dt-marde :eêuie du directeur,avait été cbar«é, dés la mort d'Aünereyda,de re-chercbi r les ia ets, ou piusó' les morceaux de la-cr' ?.du défusi lis puuvaiant être utiles a !a jua-lii!", paisqufl le gardien ilénin et le détenu Avrilav .ient psrié d'une tenUlive antCi-ieurcde suici¬de d'Ainiercyda.Crenoui!at avail retrouvé ces morceaux de la-ccts. mui--il n'avait pas ju,é capital de spécilierque s'ii avail rauiassê les deux prenii-rs haulssur I" piaacbrr de la celluie, le troisiérnc. longdu qutftxecentimetres environ, était sttarbé auporic-iusnUao flxe au mue dc la Celluied'Aime-reyda. ...M.Drioux lil, sur te c&aaip,apporler les Iroismovcea!x de lace's. On reeonnut, par Ja descrip¬tion qui venait d'êtee fails, le bout qui avait éléattaché. II sc raccorde parfaiieruent aux deux au¬tres et forme avee eux lu iacei comr'éf-

GMp LasBiiMorl au Chaiup d'Hotiaeui'Onannonce ta mort au champ c'honneur de tl.Eugene Maliiard,fits de M.Milliard, ancien nc-èairca Moalividiers.Quabe jours après son msriage, la mobilisa¬tion i'avait enlevé a son foyor pour l'ouvoyer ala fronnère. Dés lo SO«out 1914, grióvemenkblessé a Guise, ildüt aller, la euisse droiie crihléEide miiraille, langulr sept molS sur un fit d'böpi-tal. A peine guóri, boYtsntencore, 11qnitlait I'in-fanterie pour piioter un au'.ocamion d'actiUorle.Grdcea sa rofeusteconstitution, tl était maicte-nant rótahli tout a fait, ii meurt en pleine jeu-nrssse,a 27ans, tué le 4 aoüt dernier par unobus, au moment oü, devaat Verdun, il iavitail-iait sa hatterio en munitions.

fftédsitic militaireLs médaillemilitaire et Groix de guerre aveepalme est confórée au soldatGaston Baumsnn.a»444*régiment d'infanterie, avee la mention suivaate :« Excellentsoldal, éuergiqueet trés courageux;au front depuis le iêbut de la campagne. Gfièvsment blessè, au combat és J917».M.Biumann est originairo do notre vUle, oüses parents étaient êlabiis débitants de tabacs ru-,Guillemardjpuls sur le GrandQusi,aiasi qu'dGravillo-Sainte-Honorine.

» l'drdre du JauarDu Corps d'Armie :

M le sous-liputcnant Adrien Ssn'e"rn, de lacompagnie do mitrailleuses du *224»régimcitd'iofanterie a élé cité en ces termes a l'ordre dacdrp3 d'armée :« Commïódant une sccllon do milrailieusesdont la plus grande partie du personnel venaitd^ire mis hors de combat, a mis lui-même enbstte-rieet servi en terrain découvert une piècoqui a arréié instantanement la progression de1ennemi. Bleaséa ia main par une balie, ne s'estlaissé évacuer qu'après avoir assuró complète-ment la remise cn bon fonclionncment de saaeetion. »M. le soas-iiealeaant Santerro est domicilie5 hts, rue Magellan,au Havre.

Expositiond'üavresd'Artistesfrancaisrelalifsa ia guem

n est trop tot encore pour ss ■idre co apte da1'iiDtluenceexercêe par la grande guerre, sur l'arlen généra! et sur Ia peinture cn psriiculisr. Maisil appaialt cepenqaot que ies conditions da com¬bat tnode-ne. tel au' ! a eu iieu jusqu'aiors, sapr<tent péu aux mléL-p'élatjonsdans lafumo decolics que lc conffi! de 1870avail imp réss.Le violent cboe destroupes adverses, b.s scènesclHSriqiK'Sds ia guerre de mouvement s »n! loinoe la formidable lutto scluotls i ü tes soidats satcrrenl, oü l'artillerie c-ffectuesou travail titanes-que en laoourant uo désert de plaines boulever-M'es dans les entrailles dosquelles viveat — etmcurent — des hommes. Le psysagu dol'i «lortFèvoq'ie fortemeoi, réel!ement, er sa solitudo ef-Iray :;e ft son immense désotation.Ge-,aspects (les êbus et des cboses dwaleoteepesdaat être flxés.Desartistes do laiems'ysonteoasacrés avec une éaaouvante fervour. G'pst unpetit coiu, ua tout petit coiu da ia grande ceuvroque i'on poarra adwirfr dans les salons de l'lló-tel de Ville.An profit dos malheureux priso nos du Havre,uue exposition de tableaux et ui-ssins s'ouvruaujoura'bui. II y a la, éuianant de buit artistes,une cicquantsuie d'envois so rallachant a Iggue re. '.'ensemble en est inlöressant, disticgué,manquéd'un cachet de personnalilé qui rend cesnotations diverges dignss d'alteniio'!.iLseiublequc tant pa.' le nombre de ses cnuvresque oar la valeue originele. Andró Dov-.mbfz soitie principal artiste decs groupemout fratern-M.On sail la personnalilè-de son laleni soupie etsincè"e qbtz lequel le sentiment d'art évoluoavec agiément vers la fanlaisie sans perdro dason caraciére ni de sa tenue.Devambrzprésente une série de prinlures quisc recommasdont p:-r leur belle et same fran¬chise. ei surtout par une luminositóextraordinaire.Son Plateau de Tavanms, a ca propos, est d'unéc;al d'une transparence vrsiment snisisssnts.Ourcmarquera aussi le Bombardementde la Ci-laddie, le Bavin ds la poudr,ére, la Soiituds aVerdun peintures d'excettente facturc.MfisDfwambez a loujours tiler ié les cffelspittoresqnes du racccurci. 11s'est b.\!>ltaéa voirf'iiunianitè dos hauteurs du ciuqniètne étage,comme pour la micux c ..crvcr a son insu.Les « ctnquiömes» font plutöt dófaut SU7 lefront. L'ariiste les a remplacês par un avion ouplus simptuinent par sa propre imagination et saviriuosite de dessinaleur.G'est aiasi quit nous monire Les Vagues das*u uriaads rn i.nüyr.hs,squsrclles amusan-

tes, maigré ia g.'avitu du sujct, uu tea pygaaéoadapoilus —qui so«t des gèsnis —donnent une im¬pression de vie fievreusement grouillanto.. A eiter aussi, du méme arliste, la coiiuctionUese'a ix fo;tes. viaourcus^ et éloquenies.une courtséch 'ppêo v. ri"la bctlu bum :ur caricaturaie avecL'An.Oui.nC'iau fiertl, cl u'aulrcs bonnes f."utilesencore que jo n'ai pas le loisir oVn;.jé • r.M. Ge-ifg s-Pl..rre De!e,le, a i'i.iiiiUa'Jva doqui, soit dit or. passant, nous d vons enHe expe-sitioc, rcunit trois loiles de méme sujet : le CampdesAnglais tvinture cbaude ei d h«-ureusoexpres¬sion. Le?Tommiescirculant au milieu (!••la Wan-eheur des t rntes, sous la douceur dc la lum.èrema male ou ia clarté vlbrante du jour, avec, dansles toimains, ler-funds embrumés do Rouclies et'il ff u- «os»,cn méme temps que de jolis-i.) aux (pari, dus documents u'blstoire lo-gj|0i-ii ,;ar:s et pastels, les ceuvrcs do M. Guiniar.out une certaiue puissance d'effct. tcmoin sesHaitfs, -témoin suriout ce Cim.tiè e ds Verdunavec son premier plan de pauvres psiiu s lombescu cbanlu le cocarde tricolore et son horizon dó-< par la silhouette des maisons maurtries.j . signBer aussi les beilcs études d'AlbdftLaurens. Aul'èche, la Fe rns de Gri-m vires, toB.'.sds Sainl Mard, dans les coloris hJimonieus,et t(ei«ts, a la Puvis de Cbavances, d'une déli¬cate inijarité ; les lilhos origiBales de Léandre,Uod!le talen; emprunte la vehemence de la satirupour fixer les Bois mages tie lit Boeherie,les Mas-'qites. e' la profondeur dü pathétique poignïütpour exprimër la mort des Premièns victimes—des i nfants ! - les dessins et les peinture.)do M.Ié licui: nam Baymon»!Woog, d'une jolte tenueclazsique, tn bur exócuUon adroite Sa PetrisFills soiuble un peu dépaysée au milieu de cespages amères et si cruciiemcnt vraies, mai3 eneest si fraicbedo toD,si charmante de grace qu oaéprouve un ulaisir vcriiable a saiuor co sourireODsoieitiépa'rrai les horreurs guerrières.Eufin, j'rii conservé pour la spéciale mention,les poreails au crayon re M le lieutenant Boes-wiiwaid,d'un dessin serré, d'un trait souplo eteavdoppant, fiJéles interprétes d'une expressioado vie, et lés»peini<n'esd'ua artiste frauqais pri-sonnicr des .TUemaads,que lc aatalogue a voton-t'irèmcni iaissé dans l'ombre de i'anoaymat.Celut-ci■'ache un peintre distingue,de la meilleuraêcole fraceóse. , ...Sju L-iiiruurde tt.raque oü il y a lous les èle-mexiisd'un folur et puissant tableau que i'artisidnous donnera un jour — souhaitons-lo po-ur luie' pour nous —, l,e MarocUii,Lejeune Cosaque,les htsonnitriusis sont reinsr.ftüibJ®5-lis n'évoquent pas seuiement une idéé cslniti-que, mals aussi les douleurs de la captifité, lesespèrances eonlcpues, les trisjejrncnl, lout lo cortège de aésototiffn ,.— . .»u milieu duquel, malgfó to}rte>t_.eottfre-toOpeintre a dressé a vigueufcctible liberté do soa

f Petit Hsvtt» — Samedi i" Séptcrahriv 1917

A NOS LEV I BURSDans 1' intention d'obvier a la oris®flu papier, un arret© a étè pri® aux.iermes duquel le pr:>x desjournauxquotidians devrait être fix© a 10 cen¬times»Au milieu des circonstance® actuei-lesr nous avons estimè que notre de-xoër ét ait d© n® point cousentir a cettemesure qui oat loin d'être acaeptéepar l'unanimlté de nos confrères, etqui aurait pour rèsuitat, par une avtf"mentation de prix, de restreindre ladiffusion des nouvelles que notr® popu¬lation attend chaque jour areo une silegitime impatience.Aussi, taat que la demonstrationae nous aura pas été faite de l'obli-gation abaolue de céder a pareillemécessité, nous continuerons la pu¬blication de notre journal dans les#nêmes conditio as qu'actuellement.X.» prix du PETIT HAVRE restedone fixè a 5 CEN1 IMES.

Si» Vase du FainSüivant arrêté de M. Ie préfet de Ia Seine-ltifé-rienre, a aater da mardi 4 septembre, une nou¬velle luxe de p»t£ pourra è<re mise en vigueurdans chaque commune du département» par arrê-té approiivé par Ie préfet- „Pour los dötsilsde eet arrêtó, coosulter les ara-Clies apposées sur les murs do notre ville ous'iDformor a ia prefecture.

Ka Tax© de Ie Fartn®Suivant arrélê de M. Ie préfet, a daler du mardii septembre, les farines de caréales ne pourrontfstre vendues, d»ns te département de la Seine-ïnférieure, a des prix supérieurs, par quintal, acettx qui suivf nt : !• Farine de froment puf,61 fr, so : i' Farino d'orge pure, 60 fr. IS ; 3» Fa-*ine de scigto pur, 60 fr. 13 , 4e tfarine de maïspur, SS fr.Pour tons sutres détails concernant eet arrete,voir ies affictrs ou se renseigner a !a sous-pré-feclure.

CHAMBRE DE COMMERCE Dü HAVRE

Steolr Hupérirsve Cowmereed« 8larre

Fondén en IS'Ti. — Reconnuc par l'Elat

Peur Ia Faaiilledu aaldlat Joseph IlrsiryNous avons relaté ces jours-ci que le soldatJoseph Henry, du 137", s'était &oyè dans ie canaldo Tanearviite en so porlant au secours d'un ma-Tin sucdois qui, trompé par l'obscuritó, était tom¬bé aceidentetlement a l'exu.Emu par ce trsgique événement, M. F. Lyzell,consul do Suede, a tenu 4 témoigner sa sympa¬thie et cciie de ses compatrioles a ia familie dudéfunt en ouvrant une souscripüon parmi leséquipages snédois actueilement au Havre.Cette familie, qui réside a Saint-Pierre-Ia Riviè-je, département de l'Orno, •est des plus digpesö'intérêt.L'intoiiiiné soldat laisse, en effet, une veuveét quatre enfants Sgés de 3 a is ans.Détail particulier : ie soldat Henry n'ótait quafleputs qoiMse jours en notre ville, syant étéretiré du front en ratson de son Age et de sa qua-Hté de père de familie.Les personnes qui seraient désireuses de parll-Ciper a Is souscripüon ouverte par M. Ie consulde Suède peuvent faire parvcnir leurs dons auxbureaux du consulst : Banque de Mulhouse, 93,boulevard de Strasbourg.

MIIoRichel de Ruy, du Theatre national delOdéon, ct M. Charles Le Bonlarger, poèïe nor-mand, délégués de l'OEuvre de guerre la « Piesr-uie », som au Havre, ou ils interpréteront devieilles chansons franeaises et diront des poésiesoormaades,

Concetsrs die JavdlnspotBneiv

La distribution des recompenses fiu Coacour-»des Jardins poiagors militaircs flos t™ et 8" sub¬divisions, aura lieu dans Ia salie du Select-Paia-ce, le mercredi 5 septembre 19<7, a li h. 1/2,sous la presidence d'honneur de M. le contre-amiral Did»lot, gouverneur du Havre,

FAITS LOCAUXAffldeal mortal & Ka tins*©Vendred -stin, a six heures quaranle-ci&q, M.Albert Col fabel, soldat mobilise de ia classe1982, trava iiait sur le qua! 5 bis d'expéditiocs, ala gare de la petite Vitesse. It prêparau un wagonpour Cire chargé et se disposait 4 on fermer l unodes portes, rouiaat commeon sail dans une glis-sière Comrae il êprouvait de grandes diffieuitêsa faire fonctionner cette porte, Coliombel s'étaitarc-bouté contre ie montaot métaiilqus et la portequ'i! tirait avec force.Tout a coup la porte güssa rapidement et l'ln-forluné so'diit eut la téle prise entre le ehds3ismélallique et ia porie du wagon .On'eccourut 4 son secours pour te dégager etlui donner des soins, mais touï fut inutile, Col¬iombel, qui avait eu Ie crane fracture, rcadait ladernier soupir quetques instants après.L'autorif.\ aussitöt iofiWmée. a fait transporterle corps a Iffópital militaire Saini-Joseph.

Jeudi après-midi, Ie soldat Raymond Lacroix,.18 ans, du 1" génie en garnison 4 Saint-Germain-ec-Laye, actaeiiement en permission, passait 4bicyciette «ans la rue des Drapiers. A l'aitgle de larue du Marché, il vouiut vh r brusquement peuréviter un groups d'eufants jouant a eet endroit;51per dit aiors l'équilihre et tomba sur la soi. Mal-bcureusernent, a eet instapt arrivait une voiturede la Brasserie de l'Ouest conduite -ar le charre-lier Delphin Lemèleii, 49 ans, dont l'une. des roues»assa sur lebras droit du soldat Lacroix, et le luifractura. Le blessé fut iransporté a FHónitai mili¬taire.

S. C*y»y RD, 8BllER&lSM-f£HTiSTJS,17, rat Ml THtl

Communications§irmssEcole pratique hotelióre du Havre-lTou-,Ville, — Les jeunes gens du la region qui sauest'nent a la carrière höieliórc et désireut suivreles cours tbéoriques et pratiques de l'JCeoie bète-liére du Havre Trouviile so at priés do se faireinscrire sans retard, ï8 bis, rue de ia Bourse, tousles jours, de midi a I heures.La rentree des classes atjea i^u ie i" octohre.

Le but do cetle Ecole est la preparationtechniqn » des ieunes gens qui se desUnautaux alf iies d'ïmportatwn ei (('exportation.L'instrucuou qu'üs y r«coivent leur permeiti'arrivei rapidement 4 des positions éievéeadans leNégcce. Ia Bmqae, l Armement, etc.MATIÈRES ENS EIGNE ES. — Commerce etCemptabi ilé, Banque, Ang ais. Espegnol, Russ",AUcnn n Droit commercial, Ec<iture, Sténographi;, Dacty lographie, Armments maritimes,Assurances, etc.Admissions : Les jeunes gens agés d'ao«aoins lö ans sont «druis après examen. Tou-tefois, sont dispenses d'examrn ceux porsr-vns d'un des litres snivants : Bacca'anréat,Brevet supérieur ou éiémeniaire, Geriificatde i'Eoeeigoement secondaire ou Primairesupérieur et de i'Ecole commercials.RENTREE : Les cours commeKCtront leMardi ö Octobre.M. Ie S5ireete»r rccevra personneile-inent les Families, SS, boulevard Frangois Fr,Hes Inndis, umdis, mercredis et jsudis, deS h. 1/4 a 6 li. 1/4 de l'après-midi, et répon-dra a toutes demacdes" da renseigaementspar correspondance.

Svrvice» (tiuniri|MMJ«. —l^ttiuade» «'em-ploi'v. — I/Administration muLieipale rcpoit deU part de dsroes e; de jeunes fillesdo tré» nom-brt uses demandes d'cmploi pour les bureaux dela Mf.ïrle. Kite ere it devoir faire connaliw qu'iln'y a pas d'ernploi vseaat dans le» services muni-cipsiiK ei qn'aiicuB© des demandes qtd lui sontsa esséf s ne peut co conséqucnce être favorable-uient accueillie.

THSlTRfiSI GOÜGEHTSFolies-Bergère

ttéouvertiii'© du Basic-Uali.-ftros succè»Les Foiies-Beigére ont retrouvé hier soir lecadro qui li' leur briilant© renommée : le Music-Hall. Ce renouveau a été salué par une saliecoutibie ce qui ne surprendra pas , étant dennéesles traditions de ia maisoa.Ois apptaudissait, en eff -t, psur cette premièreuce troupe reecutéo panui lea artistes en v<guenon seulemcat en France mais cbev. nos atiiés.Cés debuts ont connu un succès trés franc.La part ie cor.cerlr.nte réunit d'agréabtes öivct-tes. telles Miles Marquis. Trasbil, Myrthtl, MissiaetCambxrdt. c'est-4-dire le norobre et Ia qualité,tanrtis que Heberger, fin comique, apporle fanotegaieet Mtle Trite Augier, danseuse fanlai-siste est un régai des yrüx par son élégante sou¬plesse.Si nous voulions vanter les attractions selonnotre goüt, nous nous attircrions los foudrps dusecrétaire de !a réds.ction, ear notre comple-rendn dèpssserait les limi es de ce qu'il pent su-jourd'hui nous accorder. Borcors-nous a leséoumérer. Disans la force gymnastiquo des Qua¬tre Stocks pour qni les crolx de fer. . . francaisps,aux anneaux socl un jeu, ainsi que les rétablisse-ments de genres varlés. Soutignons la surpre-naote exhibition do Ia Uérg ska avec sa petiteco onie de cbien» acrobates, boxeurs jnsqu'auKnock-out eX sa ehienne Poupée qui devine tout.C'est inimsginabls. Succós de cunositê biea mé¬rité.Enregistrons letriompbede Bergf-ret. l'invrai-semblable buco-hore (lont les imitations d'oi-seaux, les couplets joyeux et t'habileté qu'i!déploie a sonuer de Ia trompette militaire, enont fait l'enfant gaiè de Ia salie.Enfin, les Wèrds Bros, scrobates comlquesgenre Knockabout, raontrent un si curieuse ai-sance 4 pirouetter, a tomber de haut, do Irèshaul, saus se riea casser, que l'on regrelle de voirle ridean se baisser.Résumons l'excellente impression de ce specta-el» en disant qu'une familie peut y trouver unesaine récréation, ce qui est le mellieur éloge quel'on puisse faire.

1/S,

Thêêlre-Cirque Omni»C;ï»5énse t>vï8nfa«8;»a.rJt©

Aujourd'hai samedi, «oirée a 8 h. 1/2,avec Is trèsjoli programme comprenant:ïjES ffiOÜDE ; Lucien, sonCbien et sa Rc i -Mère ; KavrBfar (7« épi¬sode): L'Asctmion tragique L-ePare nationalde Telowstone ; Les Ueroeiii s : Pathé-Joumaiet üemières Actuahtés dc la guerre. Locationouverte comme d'osage.

4»* —

Seïeei-PalaceL'Arriviste, du célèbre roman de FélicienGbampsaur. tel est le titra d'un cinémadrame en8 parties, figurant au programme de cette se-maine du Select-Palace.Interprétée par des artistes de tout premier or-dre, cette oauvra do composition a obtenu un Irèsvif succès. Ce personnage existe un peu partout,on le rencontre dans tons 1C3mondes, dans tou-tes ies profestions el a tous lesdegrésdei'éche Iesociale. Gelul que l'auleur met en scène estpoussé par son smbilion jnsqu'aux vilenies. IIdevleat voleur, puls assassin. Le succès lui sou¬rit ; il prévoit déja les plus hautes destinées.MMheureusement, un grain de sable, en la per¬sonae d'un Inconnu au'il avait séduit jadis par sesdoctrines révoluüonr, aires, vient détruire tous sestêves, en lui falsanl habilement avouer soncrimeDêaiasqué, il est arrêté, chfitié et expire soncrime. L®public a montré sa vive satisfaction enapplaudisssnt.Frivol a and Deep, des acrobates comiques etexcentriques, ont émerveillé l'assistance parleur souplesse, leur agilité et leurs surprenantsexercices de dislocation.Une ravissante comédie, Le Songe d'un Moled'Etè, a été aussi trés «pDréciée.Les Berniéret ActmlUes de ia Guerre, toujourspleines d'intérèt, et une scène d'un comiqueaehevé, Lillet le voleur, terminent cetla agréablesoirée.

Ge soir è 8 h, 1/2, continuation du rncr-veiileux progiamme t 1'ARBIVISTE,(cinéma-drgir.6 tn ö parties) ; Les DerniiresActualilés de la Guerre au jour le jour ;Lilh et le Voleur (comédie comique) ; LesAoemtures de Clémentine (Dessins aniraés) ;Le Songe crun mors weu (comsaiej ; Attrac¬tion : Frito!» msïcI (Éisatic ladyand comic comedy.Damain mafiaéa a 3 li., soirée a 8 h. 1/2.

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Jouéa par Miss Mary MilesSespremierscheveuxMancsBrams,iitüfpréöpfH™»M8GARl

Aujourd'hui, SSois-ée14,r.Ed.-Larue

§ullêitMdas gwilëèsAveuir du Proletariat.— Aujourd'hui diman-che, perception measueile des cotisations, Hotelde Ville, selie F, de 9 h. 4 It heures.

Les Prévoyant® de PAvenir. — (1498 'Section). — La recette menauelle sura beu di-manche ï sepU mbre, de 9 heures a 10 heures,Cercle Franktin, salie 7.

IHütnclie Couiuiorcialc Ilavraise. — Per¬ception des cotlsations demain (iimanché, detl heures S midi, Héte! de Lille, saile E.

§ulktis iss §potu"Havre- Atliletic-Ci ub

Réurtion sporiioe de eharité au profit de I Orphelinatdes Armées et des Pupilies de l'tnseig-nementDimanche 2 aepteiabre. a 2 h. 18 précises, ter¬rain du li. A. C. a Sauvic, grande réunion sportive ö'ercouragetrsent Ups écoles du Havre. -C'est unessai do vulgarisation des sports etdes exerc ees physiques fait auprès des enfantset des families. De genéreux donateurs n'oiH pasvouiu laisser pasner cette grande manifestation,sans encoursgor ceux des enfants qui, dója, for¬mant J'&vaDt-garde du mouvement, vont entreren competition dimanche : 33 prix d'une va-leur do 1,000 francs récompenseront ieurs ef¬forts et aiguillonneront leurs camarades inpa¬tients de prendre part aux épreuves futures. Mal-gré la jeunesse des concurrents da belles perfor-

Cs toir, b 8 h. 1/2, ruême spectacle.Demain dimanche, matinéé a 2 h.soirèö è 8 h. 1/2.tócatiou és 10 hearss a midi et de 1 h. 1/2è 3 beares.

i»...

Au « F«»y,»r KwilitaSa-e nroteslnntItelqx »

Nous apprenons que domain dimanche, iiy auraau « Foyer mt'itsFe protestant beige », 0, rueCassard, nouvel'ement inanguré, une <r Soiréefamiiisie » dont le progrsmmo des plus variésoermet d'esoérer ou'eüe aura un beau succès.Rêcuations» so'os, c'r,(Bur3y afteréent avec cau-series et l'on' nous fait entendre qu'il y aura dessurprises ..Les miiitaires beises et ies families beiges éta-blies dans notre viliey sont cordiatemenl invités.L'estree est iibre . La soirée commencera 4 buitheures et demie p-écises su local 6, rue Cassard.

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mances seront réatisées. ness n'ea doutons pas.Le succè» d'une tette réunion est assuró ; c'estun devoir de stimub* les efforts do nos jeunesqui iibrement. veuienl devenir forts pour rempiacer ieurs afnés tombés a la guerre. G'est aussili» geste charitable.

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mm1HL'UfttiTRIBUN AUXTribunalCerrectionselda HavreAudience du 31 Aoüt 1917

Présidence deM. Tassard, vice-président— Joseph Lamps, 31 ans, demeurant rue d'tn-gouvitle, aeeusé de vol. pretend n'avoir élé qub.nspeculateur malhsureux. Engage, en effet, pari'Y M. C. A. comrae comuiis, pour recevoir duch rbon acheté a la maison Tinel, Lampo donnal'ord e, pinsieurs foi9, aux cbauffeura des ca¬mions do cette oeuvre, qui effectuaient le trans¬port du combustible, do faire des iivraisons chezdiverses personnes. XIavait vendu le charbon aces dernieres au prix de 176 traces la tonne, ense faisoRt passer pour is représentant de la mai¬son Tine!.L'ineuipé prétend qu'il n'a commis qu'unefsute : s'être servi "dev camions de I'administralion qui l'empJoyait pour faire du commerce poursou eompte, car son idéé était bien de racheterd'autre cuarbon t la maison Tinel après avoir en-caissé son bénêfiee et de le fsire déposer» cettefois, dans le chantier de i'Y. M C A.Le Tribunal, dovin1 qui Laoipe no se présentepas pour la première fois, n'oublie pas que,s'ii avait de bonnes intentions, ii ne ies a pasmontrées. e! que, de plus, i! a usurpé une faussequalité. ti le condamne pour abus de confiacce aquatra mois de prison.— Sacbant le portefeuille bi. ® garni de M. Phi¬lippe Iiouia g -r, 26 si s ajna'eur. 18, rue Jute;-Masurier, le Marocsiis Adj Ali Mobacnod ben Et-badi, 21 ans, ie suivit ators qu'il sortait d'un caférue Bazan. M. Boutanger s'étant ecgsgé dans uneallóe, Mohaased arriva derrière lui, l'empoignaet réussit 4 lui voter son portefeuille dans sapocbe.II n'y eut pas de témoin de cet acle, mais Mo¬hamad, qui n'avait jamais d'argent fut trouvéporteur, lorsqti'il fut arrêté deux jours plus tarn,d'une somme de 150 francs etl'on r<trouva.cacbéesous lo matelas de son tit, une somme de 350Lai.cs. #Adj Ali Mohamed ben Elbadt est condamné abuit mois de prison.— S'ótant introduit dans la ehambre de St. YvesLe Canneiiec, grutier, 45 ans, 64, rue du Grand-Croissant. Boucha'id ben Milaud, manoeuvre, 55,rue Daupbine, lui vola son veston dans lequelse trouvsit uno botte de larots et de fitièresestimés 100 francs.Boucbaïd prétend que Le Canneltee lui avaitdonnó ces1outils pour les vendre. It est condam¬né a trois mois de prison.— Condamnée a deux mois de prison au moisde juin 19'3, sur la plsinte de son ancien am-ntqui i'accusait de lui avoir vote divers ohjitsmobitiers, Gabrielie Bourasseail, 23 ans, coutu-rière, faisaii bier opposition a ce jugement. Eilevoulait expliquer su Tribunal que, battue par sonamant, eile ayait quitté ce dernier en emportantce qui lui appartenait. Le Tribunal a esiima qu'ilne ponvait y avoir vol dsns ce fdux ménage,et iia acquilté la belle Gabrieiie.

IIIilTiSSwSABElOIIgBBHMlflHAliE

HarfleurCoups docouteaa —Samedi dernier, vers 21 h .30,le soidat Joseph I.egris, demeurant 23, rue laBoulaye, a Goafrevil'e l'Orcher (Mayviiie). setrouvait route du Havre, lorsqu'4 la su te d'unediscussion aveeun sujet ebinols, un compatriotedo ce dernier intervint et porta a Legris un vio¬lent coup de oouteau sous l'oe l gsuehe.Perdaut le sang en abondance. Legris recut ai'bdpitsl du Havre les soins nécessaires.Piainte a été portée a la gendarmerie d'Harfleurqui recherche le eoupable.Accident du traoail. — Eo etïectuant le déchsrgc-ment d'ua wagoa d# matérie! 4 la gare d'Harfleur,le 25 aoüt dernier, pour le eompte la maison Am-band, M. E-wls RouleL flgè de 30 ans, ptflirier,domicilié 61. rue éa Gèeérat Gatiiéni, au Havre, aeu f» pouee droit écrasé par Ia portière de cewagon.ftt.-tc?tt juitiur Durtx*scrj.appete a"mi oonner aessoins, a prévu une incapacité deTtravail do huitjours esviron.

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Renó MARAIS3' bat'iillon de cntmeurs d piedDécoré de la fourragére

tué 4 I'ennemi le 16 avrtl 1917, 4 t'lge de20 ans.De la part da19 et Gustaoe MARAIS,ses père et mere ;fit Emilien MARAIS,sen frere, actueilementnu from ,If1'»YoonneMARAIS,sa foeur ;M">oeuoo MARAIS,ia grHnd'mére ;Les Families «NQUETtLREUSSARO,LANGLOiS,DUBUISSON,LECOURTO/Set DUBAS,ses oncleset lames, e -usins © cousines;La Familie et les Amis. ? |70l3z)

LesFamiliesLE.WONNIER,CREVELettes Amis,Ont la douleurde vous faire partde la perlecruolie qu'ils vtennent d'èprouver en la per-sonne doMadame LEMONNIERNéo CREVEL

décédée dans 31»annéo, et vous prient de bienvoutoir assisfor a ses convoi. service et inhu¬mation qui auront lieu 1c lundi 3 courant, atrots heures trois quarts du soir.On se réunira a la Maternitö. rue Guitlaume-Ie-Conquérant.11 ne sera pas envoyé da lettres d'in-vitatioa. le présent avis en tenant lieu.

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