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Bibliothèque diocésaine Jean Gerson de Reims

Islam

Photo Dominique Hoizey

Catalogue thématique établi par

Dominique Hoizey

2013

I. Classement par auteurs

A

Jean-Mohammed Abd-el-Jalil, L’islam et nous, aperçus et suggestions, 1947. VD ABD IN.

Jean Abd-el-Jalil, Aspects intérieurs de l’islam, 1949. VD ABD AI. Maurice Borrmans.

Abd el-Kader II. Classement par thèmes : Abd el-Kader.

Alexandre Adler, Rendez-vous avec l’islam, 2005. VD ADL RVI.

Muhammad Saïd Al-Ashmawy, L’islamisme contre l’islam, 1989. VD ALAS ISL.

Al-Busayrî II. Classement par thèmes: Busayrî.

Élisabeth Allès, II. Classement par thèmes : Chine.

Mohammad Ali Amir-Moezzi II. Classement par thèmes : Islam : Philosophie, théologie,

apologétique et éthique.

Nelly Amri, Les saints en islam. Les messagers de l’espérance. Sainteté et eschatologie au

Maghreb aux XIVe et XV

e siècles, 2008.VD AMR SME.

Georges Anawati Maurice Borrmans et Jean-Jacques Pérennès.

Ansârî II. Classement par thèmes : Ansârî.

A. J. Arberry, Le soufisme, introduction à la mystique de l’islam, 1952. VD SOU ARB.

Roger Arnaldez, Jésus, fils de Marie, prophète de l’Islam, 1980. VD ARN JES. Roger

Arnaldez, Le Coran. Guide de lecture, 1983. VD ARN COR. Roger Arnaldez, Aspects de la

pensée musulmane, 1987. VD ARN ASP.

Wahib Atallah Ibn Hichâm.

Farid ud-Din’Attâr II. Classement par thèmes : Farid ud-Din’Attâr

Martin Aurell, Des chrétiens contre les croisades (XIIe-XIII

esiècle), 2013. 940.1 CROI AUR.

Averroès II. Classement par thèmes : Averroès.

S. Ayada II. Classement par thèmes : Avicenne.

B

Amadou Hampâté Bâ, Vie et enseignement de Tierno Bokar, le sage de Bandiagara, 1980.

VD BA TB. Amadou Hampâté Bâ, Jésus vu par un musulman, 1994. VD BA JES.

Laleh Bakhtiar, Le soufisme. Expressions de la quête mystique, 1977. VD SOU BAK.

Paul Ballanfat, Le petit Retz de l’islam, 1988. VD BAL PR.

Giulio Basetti-Sani, Mohammed et saint François, 1959. VD FAS BAS.

Ghaleb Bencheikh, Philippe Haddad, L’islam et le judaïsme en dialogue, 2002. VD

BEN/HAD ISJU.

Soheib Bencheikh, Marianne et le Prophète. L’Islam dans la France laïque, 1998. VD BENC

MP.

Ali Benmakhlouf, Averroès, 2009. 189 AVE BEN.

Malek Bennabi, Le phénomène coranique. Essai d’une théorie sur le Coran, 1976. VD

BENN PC.

Khaled Bentounès, Thérapie de l’âme, 2011. VD BENT TA.

Khaled Bentounès Gérard Israël.

Rachid Benzine, Christian Delorme, Nous avons tant de choses à nous dire. Pour un vrai

dialogue entre chrétiens et musulmans, 1998. VD BEN/DEL CM.

Olivier de Berranger René-Samuel Sirat.

Jacques Berque, Relire le Coran, 1993. VD BER COR.

Abdennour Bidar, L’islam sans soumission. Pour un existentialisme musulman, 2008. VD

BID ISS. Abdennour Bidar, L’islam face à la mort de Dieu. Actualité de Mohammed Iqbal,

2010. VD BID IQB.

Benoît M. Billot, Zuhair Mahmood, Michel Serfaty, Le moine, l’imam et le rabbin,

conversation, 2002. V BMS MIR.

Régis Blachère, Le Coran, « Que sais-je ? », 1973. VD BLA COR.

Georges Bordonove II. Classement par thèmes : Croisades.

Maurice Borrmans, Jésus et les musulmans d’aujourd’hui, 1996. C JJ 69. Maurice Borrmans,

Prophètes du dialogue islamo-chrétien. Louis Massignon, Jean-Mohammed Abd-el-Jalil,

Louis Gardet, Georges C. Anawati, 2009. VD BOR PDIC.

Cheikh Bouamrane, Louis Gardet, Panorama de la pensée islamique, 1984. VD BOUA/GAR

PAN.

Cheikh Si Hamza Boubakeur, Traité moderne de théologie islamique, 1985. VD BOU THE.

Pierre Boz, « Tout esprit devra goûter la mort ». Avec nos frères musulmans devant la

souffrance et la mort, 1980. VD BOZ SM. Pierre Boz, L’islam.Découverte et rencontre,

1993. VD BOZ DR.

Hassan Boutaleb II. Classement par thèmes: Busayrî.

J.-B. Brenet II. Classement par thèmes : Averroès.

Alain Brissaud, Islam et chrétienté. Treize siècles de cohabitation, 1991. VD BRI IC.

Maurice Bucaille, La Bible, le Coran et la science. Les Écritures saintes examinées à la

lumière des connaissances modernes, 1976. VD BUC BCS.

C

Baron Carra de Vaux, Le mahométisme. Le génie sémitique et le génie aryen dans l’islam,

1898. VD CAR M. Bernard Carra de Vaux, 1867-1952.

Robert Caspar, Pour un regard chrétien sur l’islam, 1990. VD CASP REG.

Comte Henry de Castries, L’islam. Impressions et études, 1897. Henry de Castries, 1850-1927. VD

CAS.

Jacqueline Chabbi, Le Coran décrypté. Figures bibliques en Arabie, 2008. VD CHA COR.

Malek Chebel, L’islam et la raison, 2005. VD CHE RAI.

Christian de Chergé II. Classement par thèmes : Algérie : Tibhirine.

Mustapha Cherif, Rencontre avec le Pape. Mettre fin aux préjugés, 2013. VD CHER RP.

Fatima Cherqaoui Lisbeth Rocher.

André Chouraqui, Lettre à un ami arabe, 1969. VD CHO ARA.

Luigi Cirillo et Michel Frémaux, Évangile de Barnabé, fac-similé, traduction et notes,

deuxième édition, 1999/2010. VD BAR C/F.

Communio, XVI, 5-6, L’islam, 1991. VD COM 16/91.

Henry Corbin, Avicenne et le récit visionnaire, 1999. 189 AVI COR. Daryush Shayegan.

Gilles Couvreur, Musulmans de France. Diversité, mutations et perspectives de l’islam

français, 1998. VD COU MF.

Élisabeth Crouzet-Pavan, Le mystère des rois de Jérusalem 1099-1187, 2013.

D

Paolo Dall’Oglio, avec la collaboration d’Églantine Gabaix-Hialé, préface de Régis Debray, Amoureux de

l’islam, croyant en Jésus, 2009. VD DAL AMO.

Felice Dassetto, Islams du nouveau siècle, 2004. VD DAS ISL.

Anne-Marie Delcambre, La schizophrénie de l’islam, 2006. VD DELC SCH.

Jean-Marie Delmaire, Najib Zakka, Jésus dans la littérature arabe et hébraïque

contemporaine, 1998. VD DEL/ZAK JES.

Christian Delorme Rachid Benzine.

G. Delphin, La philosophie du cheikh Senoussi d’après son Aqida es-so’ra, 1898. VD DELP

SEN Émile Dermenghem, Mahomet et la tradition islamique, 1957. VD MAH DER.

Christian Destremau, Jean Moncelon, Louis Massignon, 1994. VD MASS DES/MON.

Joseph Doré (Sous la direction de), Christianisme, judaïsme et islam, 1999. V DOR CJI.

Alain Ducellier, Chrétiens d’Orient et Islam au Moyen Âge Ve-XV

e siècle, 1996. VD DUC

CO.

E

Anne-Marie Eddé, Saladin, 2008. VD SAL EDD.

Aboubaker Djaber Eldjazaïri, La voie du musulman, français-arabe, traduction Moktar

Chakroun. VD ELD VM 1-3.

Mircea Eliade, Histoire des croyances et des idées religieuses : 3. De Mahomet à l’âge des

Réformes, 1983. V ELI 3.

Jacques Ellul, Islam et judéo-christianisme, 2004. VD ELL IJC.

Rifaat El-Saïd, Muhammad Saïd Al-Ashmawy, Khalil Abdel Karim, Contre l’intégrisme

islamiste, 1994. VD ELSA INT.

Hazem El Shafei, L’islam. Religion, société, vérités, non daté. VD ELS ISL. Hazem El

Shafei, Les femmes en islam. Des réflexions, non daté. VD ELS F.

F

Toufy Fahd II. Classement par thèmes : Anges, démons et sorcellerie, Cosmos, Songes.

Majid Fakhry, Histoire de la philosophie islamique, 1989. VD FAK PHI.

Jean Flori II. Classement par thèmes : Croisades.

Michel Frémaux Luigi Cirillo.

G

Francesco Gabrieli (Sous la direction de), Histoire et civilisation de l’islam en Europe. Arabes

et Turcs en Occident du VIIe au XX

e siècle, préface de Jean-Paul Roux, 1983. VD GABR

HIS.

Jean-Paul Gabus, Ali Merad, Youakim Moubarac, Islam et christianisme en dialogue, 1982.

VD GAB IC.

Marius Garau, La rose de l’imam. L’amitié entre un chrétien et un musulman, 1983. VD

GARAU.

Roger Garaudy, Promesses de l’islam, 1981. VD GARA PRO.

Mercedes Garcia-Arenal (Sous la responsabilité de), Mahdisme et millénarisme en islam,

« Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée » n° 91-94, 2000. VD MAHD GAR.

Louis Gardet II. Classement par thèmes : Louis Gardet et Maurice Borrmans.

Maurice Gaudefroy-Demonbynes, Mahomet, 1957/1969. VD MAH GAU.

J. M. Gaudeul, Islam et christianisme, textes du « dialogue » islamo-chrétien en

accompagnement d’un cours donné à l’Institut Catholique de Paris, 1996. VD GAU IC.

Émile-Félix Gautier, Mœurs et coutumes des musulmans, préface de Jacques Berque, « Club

du Meilleur Livre », 1959. VD GAUT MC.

R. Gay-Canton II. Classement par thèmes : Marie.

Claude Geffré II. Classement par thèmes : Christianisme et islam.

Eric Geoffroy, Abd el-Kader, un spirituel dans la modernité, 2010. VD ABDK GEO.

Ghazali II. Classement par thèmes : Ghazali.

Virgil Gheorghiu, La vie de Mahomet, traduit du roumain par Livia Lamoure, 1962/1984. VD

MAH GHE.

Maurice Gloton, Jésus le Fils de Marie dans le Qur’ân et selon l’enseignement d’Ibn ‘Arabî,

2006. VD GLO JES. Ibn ‘Arabi, Râzî.

A.-M. Goichon, Introduction à Avicenne. Son Épître des définitions, traduction avec notes,

1933. 189 AVI GOI.

Sylvain Gouguenheim, Aristote au Mont Saint-Michel, 2008. 189 GOU ARI.

GRIC (Groupe de Recherches Islamo-Chrétien), Ces Écritures qui nous questionnent. La

Bible et le Coran, 1987. VD GRIC ECR. Pluralisme et laïcité. Chrétiens et musulmans

proposent, 1996. VD GRIC PL.

René Grousset II. Classement par thèmes : Croisades.

Azzedine Guellouz, Le Coran, 1998. VD GUE COR.

H

Muhammad Hamidullah II. Classement par thèmes : Pèlerinages.

Jacques Heers II. Classement par thèmes : Croisades.

Alain Houziaux Gérard Israël.

I

Ibn ‘Ajîba, L’Ascension du regard vers les réalités du Soufisme, traduction annotée Jean-

Louis Michon, 2010. VD SOU IBAJ.

Ibn al-‘Arîf, Splendeurs des enseignements soufis, traduit par Jean-Louis Bour, Albouraq,

2012. VD IBAR SES.

Ibn ‘Arabi II. Classement par thèmes : Ibn ‘Arabi.

Ibn Hichâm, La vie du prophète Mahomet, établi, traduit de l’arabe et annoté par Wahib

Atallah, 2004. VD MAH IBN.

R. Imbach II. Classement par thèmes : Averroès.

Gérard Israël, Alain Houziaux, Khaled Bentounès, Le Coran, Jésus et le judaïsme, 2004. VD

ISR COR.

Islamochristiana, 1996-2002. VD ISL 22-28.

J

Jean Damascène II. Classement par thèmes : Jean Damascène.

Gwenolé Jeusset, Rencontre sur l’autre rive/François d’Assise et les musulmans, 1996. VD

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Jacques Jomier, Bible et Coran, 1958. VD JOM BC. Jacques Jomier, Les grands thèmes du

Coran, 1978. VD JOM GTC. Jacques Jomier, Pour connaître l’islam, 1988. VD JOM ISL.

Jacques Jomier, Le Coran. Textes choisis en rapport avec la Bible, 1989. VD JOM COR.

Jacques Jomier, L’islam vécu en Égypte, 1994. VD JOM EGY. Jacques Jomier, Dieu et

l’homme dans le Coran, l’aspect religieux de la nature humaine joint à l’obéissance au

Prophète de l’islam, 1996. VD JOM DIE. Marie-Thérèse Urvoy.

K

Mohamed Kably, Société, pouvoir et religion au Maroc à la fin du Moyen Âge, 1986. VD

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Gilles Kepel, Les banlieues de l’islam. Naissance d’une religion en France, 1987. VD KEPE

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Tarif Khalidi, Un musulman nommé Jésus, 2003. VD KHA JES.

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Maurice Landrieux, L’islam, 1913. VD LAN ISL.

Serge de Laugier de Beaurecueil II. Classement par thèmes : Ansârî.

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Maurice Lombard, L’islam dans sa première grandeur (VIIIe-XI

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Amin Maalouf II. Classement par thèmes : Croisades.

Zuhair Mahmood Benoït M. Billot.

Christian Makarian, Le choc Jésus Mahomet, 2008. VD MAK JM.

Robert Mantran, L’expansion musulmane VIIe-XI

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Manuel II Paléologue, Entretien avec un musulman, T. Khoury, 1966. C SC 115.

Geneviève Massignon II. Classement par thèmes : Sept Dormants.

Louis Massignon II. Classement par thèmes : Louis Massignon.

Denise Masson, Monothéisme coranique et monothéisme biblique. Doctrines comparées,

1976. VD MAS MON. Denise Masson, L’eau, le feu, la lumière d’après la Bible, le Coran et

les traditions monothéistes, 1985. VD MAS EFL. Denise Masson II. Classement par

thèmes : Coran.

Abul A’la Maudoudi, Comprendre l’islam, 1973. VD MAU CI.

Abdelwahab Meddeb, La maladie de l’islam, 2002. VD MED M. Abdelwahab Meddeb, Face

à l’islam, entretien mené par Philippe Petit, 2004. VD MED F. Abdelwahab Meddeb, Contre-

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Ali Merad Jean-Paul Gabus. Ali Merad, Charles de Foucauld au regard de l’islam, 1975.

VD FOU MER. Ali Merad, Lumière sur Lumière. Pages d’islam, introduction à la pensée

islamique, 1978. VD MER LUM.

Marijan Molé II. Classement par thèmes : Art, littérature et musique.

Charles Molette II. Classement par thèmes : Sept Dormants.

Claude F. Molla, L’islam, c’est quoi ?, 1989. VD MOL ISL.

Jean-Luc Monneret, Les grands thèmes du Coran, classement thématique, préface de Dalil

Boubakeur, 2003. VD MON COR.

Djamchid Mortazani, Soufisme et psychologie, 1989. VD SOU MOR.

Youakim Moubarac Jean-Paul Gabus.

Philippe Moulinet, Les clefs d’Ibn Arabî, 2010. VD IBNA MOU.

N

Tilman Nagel, Mahomet. Histoire d’un Arabe. Invention d’un Prophète, 2012. VD MAH

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Seyyed Hossein Nasr, Essais sur le soufisme, traduits par Jean Herbert, 1980. VD SOU NAS.

Christian van Nispen tot Sevenaer, Chrétiens et musulmans, frères devant Dieu ?, 2009. VD

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O

Michel Orcel, L’invention de l’islam. Enquête historique sur les origines, 2012. VD ORC

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Abd-al-Wâhid Pallavicini, L’islam intérieur. Message d’un maître soufi, 2013. VD PALLA

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Alexandre Papas, Mystiques et vagabonds en islam. Portraits de trois soufis qalandar, 2010.

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Jean-Jacques Pérennès, Pierre Claverie. Un Algérien par alliance, 2000. VD CLA PER.

Jean-Jacques Pérennès, Georges Anawati (1905-1994), un chrétien égyptien devant le mystère

de l’islam, 2008. VD ANA PER.

Jean-Jacques Pérennès, Le Père Antonin Jaussen, o.p. (1871-1962). Une passion pour

l’Orient musulman, 2012. VD JAU PER.

Régine Pernoud II. Classement par thèmes : Croisades.

Georges Peyronnet, L’islam et la civilisation islamique VIIe-XIII

e siècle, 1992. VD PEY ISL.

Jean Picano (Sous la coordination de), Les apports du judaïsme, du christianisme et de l’islam

à la pensée occidentale, 1996. V PIC A.

Nadine Picaudou, L’islam entre religion et idéologie. Essai sur la modernité musulmane,

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Emmanuel Pisani II. Classement par thèmes : Laïcité.

Christian Poché II. Classement par thèmes : Art, littérature et musique.

Jean-Luc Pouthier (Préface), Chrétiens face à l’islam. Premiers temps, premières

controverses, 2009. VD POU CHR.

Henri-Charles Puech (Sous la direction de), Histoire des religions, « Encyclopédie de la Pléiade »,

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R

Abdur Rahman ben Hammad Al Omar, La religion de vérité, traduit en français par Salah

Eddine Mohammed Ibrahim, 1977. VD RAH RV.

Tariq Ramadan, Muhammad. Vie du Prophète. Les enseignements spirituels et

contemporains, 2006/2012. VD MAH RAM.

Tariq Ramadan, L’autre en nous, 2009. VD RAM PLU.

Râzî, Traité sur les noms divins, introduction, traduction et annotations par Maurice Gloton,

2009. VD RAZ ND.

Ernest Renan, Averroès et l’averroïsme, essai historique, quatrième édition, revue et augmentée,

Paris, 1882. 189 AVE REN.

Jean Richard II. Classement par thèmes : Croisades.

Jacques C. Risler, L’islam moderne, 1963. VD RIS ISL.

Umberto Rizzitano, Mahomet, 1973. VD MAH RIZ.

Lisbeth Rocher, Fatima Cherqaoui, D’une foi à l’autre. Les conversions à l’islam en

Occident, 1986. VD ROC F.

Maxime Rodinson II. Classement par thèmes : Cosmos.

Jean-Paul Roux, L’islam dans les collections nationales, catalogue de l’exposition, 2 mai-22

août 1977. VD ART ROU.

Stéphane Ruspoli, Écrits des Maîtres soufis 3, traduction et présentation de trois traités de

Khotalânî, Nûrbakhsh et Kâshânî, Arfuyen, 2012. VD SOU RUS/EMS 3.

S

Mohamed Chérif Sahli, Abd-el-Kader, chevalier de la foi, 1967. VD ABDK SAH.

Guillemette de Sairigné, L’islamisme, 1977. VD SAI ISL.

Biancamaria Scarcia, Le monde de l’islam, 1981. VD SCA ISL.

Annemarie Schimmel, Le soufisme ou les dimensions mystiques de l’islam, 1996. VD SOU

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Sabine Schmidtke II. Classement par thèmes : Islam : Philosophie, théologie,

apologétique et éthique.

Frithjof Schuon, Comprendre l’islam, 1976. VD SCH ISL.

Youssef Seddik René-Samuel Sirat.

Philippe Sénac, Le monde musulman des origines au XIe siècle, 1999. VD SEN MM.

Michel Serfaty Benoît M. Billot.

Abbé Vincent Serralda, Le combat de Mahomet, non daté. VD SER MAH.

Daryush Shayegan, Henry Corbin, penseur de l’islam spirituel, Albin Michel, 2011. VD

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Marianna S. Simpson, L’art islamique : Asie, 1983. VD ART SIM.

René-Samuel Sirat, Olivier de Berranger, Youssef Seddik, Juifs, chrétiens, musulmans.

Lectures qui rassemblent, lectures qui séparent, 2007. V SBS JCM.

Faouzi Skali, Moïse dans la tradition soufie, 2011. VD SOU FS/M.

Pierre-Marie Soubeyrand, L’islam en question, 1989. VD SOUB ISL.

Dominique Sourdel II. Classement par thèmes : Eschatologie.

Dominique Sourdel, L’islam, « Que sais-je ? », 1977. VD SOUR ISL.

Dominique et Janine Sourdel, Dictionnaire historique de l’islam, 1996. VD SOUR DIC.

SRI (Secrétariat pour les Relations avec l’Islam), Tous fils d’Abraham, pour un regard

chrétien sur l’islam, 1980. VD ABR SRI.

T

Nahal Tajadod, Sur les pas de Rûmi, 2013. VD SOU/RUM TAJ.

Jean-Jacques Thibon Soufisme.

Thomas d’Aquin, L’unité de l’intellect contre les Averroïstes suivi des textes contre Averroès

antérieurs à 1270, texte latin, traduction, introduction, bibliographie, chronologie, notes et

index par Alain de Libera, 1997. 189 AVE TA.

Yves Thoraval, Dictionnaire de la civilisation musulmane, 1995. VD THO DIC.

Yves Thoraval, L’ABCdaire de l’Islam, 2000. VD THO ABC.

U Marie-Thérèse Urvoy (Études réunies et coordonnées par), En hommage au père Jacques

Jomier, o.p., 2002. VD JOM URV.

V

Jean-Claude Vadet, Les idées morales de l’islam, 1995. VD VAD MOR.

Jean-Marie Vernier II. Classement par thèmes : Avicenne.

Eva de Vitray-Meyerovitch, Rûmî et le soufisme, 1977. VD SOU/RUM VIT.

W

W. Montgomery Watt, Mahomet, 1980. VD MAH WAT.

Avital Wohlman II. Classement par thèmes : Averroès.

Y

Sadik Yalsizuçanlar, Itinéraires d’un soufi. Récits d’Ibn ٬Arabî, traduit du turc par Alberto F.

Ambrosio, préface de Abdelwahab Meddeb, 2013. VD IBNA YAL.

Ahmed Youssef, Le moine de Mahomet, 2008. VD MAH YOU.

Z

Najib Zakka Jean-Marie Delmaire.

Gaston Zananiri, L’Église et l’islam, 1969. VD ZAN EGL.

Slimane Zeghidour, La vie quotidienne à La Mecque de Mahomet à nos jours, 1989. VD

ZEG MEC.

Slimane Zeghidour, Le voile et la bannière, 1990. VD ZEG VB.

II. Classement par thèmes

Abd el-Kader

Eric Geoffroy, Abd el-Kader, un spirituel dans la modernité, 2010. VD ABDK GEO. Ce livre

est issu de deux colloques tenus, l’un à Damas (2008), l’autre à Strasbourg (2009). Une première partie est

consacrée à Abd el-Kader, « un homme de son temps », qui aujourd’hui « nous invite à œuvrer pour un monde

universel, cimenté par les vertus que l’humanité doit mettre en commun » (Cheikh Khaled Bentounès, p. 10).

Sait-on qu’il avait envisagé en 1848 de se rendre à Rome, accompagné d’une délégation d’oulémas, pour

rencontrer le pape Pie IX ? Il fut, comme le rappelle Ahmed Bouyerdene, un précurseur du dialogue

interreligieux, mais ses espoirs déçus n’ont probablement pas été étrangers à ce que, quelques années plus tard, il

« augure sur un ton apocalyptique une rencontre autrement plus douloureuse » (p. 29) : La religion est unique. Et

ce par l’accord des prophètes. Car ils n’ont été d’un avis différent que sur certaines règles de détail. […] Si les

Musulmans et les Chrétiens avaient voulu me prêter leur attention, j’aurais fait cesser leurs querelles : ils

seraient devenus, extérieurement et intérieurement, des frères. Mais ils n’ont pas fait attention à mes paroles : la

Sagesse de Dieu a décidé qu’ils ne seraient pas réunis en une même foi. Ne fera cesser leurs divergences que le

Messie lorsqu’il viendra. Mais il ne les réunira pas seulement par la parole, bien qu’il ressuscite les morts et

guérisse l’aveugle et le lépreux. Il ne les réunira que par le sabre et la lutte à mort. Deux articles soulignent plus

particulièrement la dette intellectuelle et spirituelle d’Abd el-Kader à l’égard de l’œuvre du grand philosophe

musulman Ibn Arabî : « La théophanie des noms divins, d’Ibn Arabî à Abd el-Kader » (Denis Gril) et « Abd el-

Kader, lecteur des Fusûs al-Hikam d’Ibn Arabî » (Bakri Aladdin).Signalons également la contribution de Shirine

Dakouri : « La femme selon Abd el-Kader al Hassani ». Comme Ibn Arabî, « il l’a quasiment sanctifiée et a fait

d’elle la manifestation suprême des noms divins, puisqu’elle conjoint en elle l’action et la réceptivité. Il a su

faire parler le sens intérieur des versets coraniques et des paroles prophétiques qui semblent, en apparence,

minimiser le rang de la femme, et ainsi donner une valeur ontologique à la femme qui n’a rien à envier à celle de

l’homme » (p. 257).

Mohamed Chérif Sahli, Abd-el-Kader, chevalier de la foi, 1967. VD ABDK SAH.

Afrique

Amadou Hampâté Bâ, Vie et enseignement de Tierno Bokar, le sage de Bandiagara, 1980.

VD BA TB. Tierno Bokar (1875-1939), fondateur d’une école coranique à Bandiagara (Mali). Le livre

d’Amadou Hampâté Bâ (1900-1991), disciple de Tierno Bokar, a été adapté au théâtre en 2004 par Peter Brook.

Algérie

Jean-Jacques Pérennès, Pierre Claverie/Un Algérien par alliance, 2000. VD CLA PER.

Henri Teissier, Un pays musulman élargit son regard à son patrimoine chrétien, in En

hommage au père Jacques Jomier, o.p., études réunies et coordonnées par Marie-Thérèse

Urvoy, 2002. VD JOM URV.

Abd el-Kader.

Tibhirine

Bruno Chenu (Textes recueillis et présentés par), Sept vies pour Dieu et l’Algérie, 1996. IC

OCI TIB CHE.

Christian de Chergé, L’invincible espérance, textes recueillis et présentés par Bruno Chenu,

2010. G CHER ESP.

Frère Christophe, Aime jusqu’au bout du feu / Cent poèmes de vérité et de vie, 1997. IC OCI

TIB CHR/P.

Frère Christophe, Le souffle du don / Journal 8 août 1993-19 mars 1996, 1999. IC OCI TIB

CHR/J.

Mireille Duteil, Les martyrs de Tibhirine, 1996. IC OCI TIB DUT.

John Kiser, Passion pour l’Algérie/Les moines de Tibhirine, 2006/2010. IC OCI TIB KIS.

Marie-Christine Ray, Christian de Chergé, prieur de Tibhirine, 1998. IC OCI TIB RAY.

Anges, démons et sorcellerie

Toufy Fahd, Le monde du sorcier en islam, in Le monde du sorcier, « Sources orientales »,

1966, p. 157-204. C SO 7. Toufy Fahd, Anges, démons et djinns en islam, in Génies, anges et

démons, « Sources orientales », 1971, p.155-214. C SO 8.

Ansârî Khwâdjâ ‘Abdallâh Ansârî

Ansârî, Cris du cœur/Munâjât, traduit du persan, présenté et annoté par Serge de Laugier de

Beaurecueil, 1988. VD ANS CRI. Ansârî, Cris du cœur/Munâjât, édition bilingue, présentation

et traduction du persan de Serge de Laugier de Beaurecueil, préface de Amir Mohammad Ali

Moezzi, 2010. VD ANS CRI/B. Serge de Laugier de Beaurecueil (1917-2005). Les Munâjât sont comme

des « cris du cœur » adressés à Dieu « sans contrainte, avec le lyrisme et parfois la violence caractéristiques du

tempérament de l’auteur » (p. 59). Pour Ansârî, qui n’était ni un philosophe, ni un théologien, l’expérience

spirituelle est inexprimable. On ne peut que la suggérer. Aussi, « plus que comme un penseur, [procède-t-il] à la

fois comme un peintre et comme un musicien : par touches successives et par déroulement de la mélodie » (p.

33).

Serge de Laugier de Beaurecueil, À l’école des Sept Dormants/La « futuwwa » chez Ansârî de

Herat (1006-1089), in Marie-Thérèse Urvoy (Études réunies et coordonnées par), En

hommage au père Jacques Jomier, o.p., 2002, p.49-60. VD JOM URV.

Dictionnaire historique de l’islam, p. 89.

Art, littérature et musique

Kudsi Erguner, La Fontaine de la Séparation/Voyages d’un musicien soufi, préface de Jean-

Claude Carrière, 2000. 781.7 ERG SOU.

Jean-Paul Roux, L’islam dans les collections nationales, catalogue de l’exposition, 2 mai-22

août 1977. VD ART ROU.

Hayat Salam Liebich, L’art islamique : Bassin méditerranéen, 1983. VD ART LIE.

Marijan Molé, La danse extatique en islam, in Les danses sacrées, 1963, p. 147-280. C SO 6.

Christian Poché, La musique arabo-andalouse, 1995. 781.7 POC ARA.

Marianna S. Simpson, L’art islamique : Asie, 1983. VD ART SIM.

Islam : Histoire et civilisation.

Farid ud-Din ’Attâr

Poète persan (1174-1248)

Fariddudine Attar, Le livre divin. Elahi-Nameh, traduction française de Fuad Rouhani,

1961/1990. VD ATT LD.

Farid-ud-Din’Attar, Le mémorial des saints, traduit d’après le ouïgour par A. Pavet de

Courteille, 1976. VD ATT MS.

Farid ud-Din ’Attâr, Manteq ut-Tayr, traduction de Manijeh Nouri, 2012. VD ATT MT. Le

Manteq ut-tayr narre l’histoire d’oiseaux qui, sous la conduite de la huppe, partent à la recherche de Simorgh, un

oiseau fabuleux, qu’ils ont choisi pour roi, et à la fin du voyage, illustration de la recherche de l’Un-Absolu, ils

accèdent « à une plus profonde éternité ».

Averroès

Ibn Rouchd (1126-1198)

Averroès, Le livre du discours décisif, introduction par Alain de Libera, traduction inédite,

notes et dossier par Marc Geoffroy, 1996. 189 AVE DIS.

Ali Benmakhlouf, Averroès, 2009. 189 AVE BEN. Ali Benmakhlouf présente un Averroès « en

contexte » : « Philosophe andalou, il a fait de la pratique philosophique un savoir effectif. Lecteur scrupuleux du

Coran, il y a vu un projet de connaissance. Féru de logique aristotélicienne, il a fait de la démonstration le mode

parfait du savoir, compatible avec le projet coranique. Face à la polémique, concernant la place de l’homme

dans le monde, qui agite les milieux théologiques, Averroès rappelle que la valeur suprême reste la vie selon

l’intellect. Un tel credo, loin d’être un renoncement au monde, est plutôt la condition d’une participation active

à celui-ci sous forme de vie réglée. »

J.-B. Brenet, Les sources et le sens de l’anti-averroïsme de Thomas de Strasbourg, in Revue

des sciences philosophiques et théologiques, tome 90, n° 4, 2006, p.641. Thomas de Strasbourg,

mort en 1357, conteste dans son commentaire des Sentences, « de façon dense et singulière », la noétique

d’Averroès.

R. Imbach, Le traité de l’eucharistie de Thomas d’Aquin et les averroïstes, in Revue des

sciences philosophiques et théologiques, tome 77, n° 2, 1993, p. 175.

Ernest Renan, Averroès et l’averroïsme, essai historique, quatrième édition, revue et augmentée,

Paris, 1882. 189 AVE REN.

Thomas d’Aquin, L’unité de l’intellect contre les Averroïstes suivi des textes contre Averroès

antérieurs à 1270, texte latin, traduction, introduction, bibliographie, chronologie, notes et

index par Alain de Libera, 1997. 189 AVE TA.

Avital Wohlman, Les deux facettes de l’unique Vérité selon Averroès, in Revue thomiste,

octobre-décembre 2004.

Averroès Dictionnaire de l’islam, p. 49. Dictionnaire historique de l’islam, p. 118-119.

Avicenne

Ibn Sina (980-1037)

S. Ayada, Le modèle avicennien de la subjectivité, in Revue des sciences philosophiques et

théologiques, tome 83, n° 3, 1999, p. 491.

Henry Corbin, Avicenne et le récit visionnaire, 1999. 189 AVI COR.

A.-M. Goichon, Introduction à Avicenne/Son Épître des définitions, traduction avec notes,

1933. 189 AVI GOI.

Jean-Marie Vernier, La définition de l’âme chez Avicenne et S. Albert le Grand. Étude

comparative du Liber de anima d’Avicenne et du De Anima de S. Albert le Grand, in Revue

des sciences philosophiques et théologiques, tome 76, n° 2, 1992, p.255.

Avicenne Dictionnaire de l’islam, p. 49-50. Dictionnaire historique de l’islam, p. 119-120.

Bistami Abou Yazid al-Bistami

Louis Gardet, Bistami ou l’ascèse du vide, in Expériences mystiques en terres non

chrétiennes, 1953, p. 115-129. VD GAR EXP.

Louis Massignon, Essai sur les origines du lexique technique de la mystique musulmane,

avant-propos de Roger Arnaldez, 1999. VD MASS MYS.

Bistami Dictionnaire de l’islam, p. 60-61.

Busayrî Al-Busayrî

Al-Busayrî, Al-Burda. La perle des odes et le diadème des hymnes à la gloire du Prophète,

traduction et commentaire Hassan Boutaleb, 2013. VD BUS ALB/BOU. Al-Busayrî (ou Bûsîrî),

né en Haute-Égypte en 1211 (an 608 de l’hégire), mort à Alexandrie en1295, est l’auteur d’une ode célèbre à la

gloire du Prophète dont le titre original évoque « le resplendissement des astres à travers l’éloge de la plus

parfaite des créatures », Muhammad, « le bien-aimé » :

Il a invité les hommes à Dieu, et ceux qui s’attachent solidement à lui,

saisissent une anse qui ne cède jamais.

Chantre de l’Envoyé de Dieu, dont il remémore les grands moments de la vie (la naissance, les miracles,

l’ascension céleste et le voyage nocturne, les combats…), l’imâm al-Busayrî consacre l’une des dix sections de

son poème au Coran dont les versets « perdurent parmi nous et dépassent tous les miracles » :

Leurs significations profondes sont telles les vagues successives de l’océan,

et dépassent en valeur et en beauté les perles qu’il renferme.

Si, comme le remarque Hassan Boutaleb, « prétendre restituer la beauté de ce texte en une langue quelconque –

autre que l’arabe – est impensable », la version française proposée n’en permet pas moins d’apprécier une page

inspirée écrite « dans un style concis et parfait, recourant à l’arabe le plus subtil et raffiné qui soit, et sans rien

concéder à la rythmique sublime des plus grands compositeurs de qasâ’id [pluriel de qasîda, terme arabe

désignant le genre poétique adopté par al-Busayrî] à travers les âges ».

Christianisme et islam

Jean-Mohammed Abd-el-Jalil, L’islam et nous, aperçus et suggestions, 1947. VD ABD IN.

Jean Abd-el-Jalil, Aspects intérieurs de l’islam, 1949.VD ABD AI. Jean-Mohammed Abd-el-Jalil

(1904-1979) Maurice Boormans, Prophètes du dialogue islamo-chrétien, 2009. VD BOR PDIC. Alfred-

Louis de Prémare, Le retour de Jean-Mohammed Abdeljalil, in En hommage au père Jacques Jomier, o.p.,

études réunies et coordonnées par Marie-Thérèse Urvoy, 2002. VD JOM URV.

Rachid Benzine, Christian Delorme, Nous avons tant de choses à nous dire/Pour un vrai

dialogue entre chrétiens et musulmans, 1998. VD BEN/DEL CM.



Maurice Borrmans, Prophètes du dialogue islamo-chrétien/Louis Massignon, Jean-

Mohammed Abd-el-Jalil, Louis Gardet, Georges C. Anawati, 2009. VD BOR PDIC. Le texte

de la déclaration conciliaire Nostra aetate sur les relations de l’Église avec les religions non chrétiennes reflète

« toute une nouvelle attitude que nombre de chrétiens d’avant-garde avaient peu à peu exprimée » (Maurice

Borrmans). Louis Massignon (1883-1962), Jean-Mohammed Abd-el-Jalil (1904-1979), Louis Gardet (1904-

1986) et Georges Anawati (1905-1994) apparaissent ainsi comme des « prophètes » du dialogue islamo-chrétien.

Une bibliographie relative à chacun d’eux complète cet ouvrage.

Pierre Boz, « Tout esprit devra goûter la mort »/Avec nos frères musulmans devant la

souffrance et la mort, 1980. VD BOZ SM. Pierre Boz, L’islam/Découverte et rencontre,

1993. VD BOZ DR.

Alain Brissaud, Islam et chrétienté/Treize siècles de cohabitation, 1991. VD BRI IC.

Robert Caspar, Pour un regard chrétien sur l’islam, 1990. VD CASP REG.

Mustapha Cherif, Rencontre avec le Pape. Mettre fin aux préjugés, 2013. VD CHER RP. Pour le penseur algérien Mustapha Cherif, dont le livre rend compte de sa rencontre, le 11 novembre 2006, avec

Benoît XVI, le dialogue islamo-chrétien « est au cœur des problèmes de notre temps qui, au vu des ignorances et

des manipulations, exige que l’on sorte des diversions, qu’on assume nos responsabilités, que l’on se connaisse,

qu’on communique, qu’on coexiste sans nier les métamorphoses et les différences » (p. 20). Ce tête à tête a pour

genèse le fameux discours que Benoît XVI donna le 12 septembre 2006 à Ratisbonne et dont le contenu – une

référence aux idées de l’empereur byzantin Manuel II Paléologue – provoqua une vive émotion dans le monde

musulman. Mustapha Cherif prit alors l’initiative d’écrire à Benoît XVI : « Les enjeux et les défis majeurs de

notre époque, notre responsabilité de croyants et les besoins immenses de l’humanité exigent que nous

pratiquions l’interconnaissance, que nous témoignions de la foi qui nous habite et que nous fassions tout pour

empêcher les dissensions entre les fils d’Abraham » (p. 62).



Communio, XVI, 5-6, L’islam, 1991. VD COM 16/91.

Concilium, revue internationale de théologie, 116, Chrétiens et musulmans, 1976. VD CONC

116 CM.

Paolo Dall’Oglio, avec la collaboration d’Églantine Gabaix-Hialé, préface de Régis Debray,

Amoureux de l’islam, croyant en Jésus, 2009. VD DAL AMO. Le fondateur de la communauté

monastique de Deir Mar Moussa (Syrie), Paolo Dall’Oglio, est un témoin exceptionnel du dialogue islamo-

chrétien. Ce jésuite italien revendique une double appartenance. Il se dit appartenir à l’Église « dans le sens où [il

fait] partie du mystère du Christ-Église » et à l’islam « parce que l’Église en [lui] va à l’islam, veut rencontrer les

musulmans, veut reconnaître le travail de l’esprit de Dieu dans l’expérience religieuse musulmane ». Il coule

ainsi « la pâte de [son] identité chrétienne dans le moule de l’islam ».


Alain Ducellier, Chrétiens d’Orient et Islam au Moyen Âge Ve-XV

e siècle, 1996. VD DUC

CO. Jacques Ellul, Islam et judéo-christianisme, 2004. VD ELL IJC.

Jean-Paul Gabus, Ali Merad, Youakim Moubarac, Islam et christianisme en dialogue, 1982.

VD GAB IC.

Marius Garau, La rose de l’imam/L’amitié entre un chrétien et un musulman, 1983. VD

GARAU.

J. M. Gaudeul, Islam et christianisme, textes du « dialogue » islamo-chrétien en

accompagnement d’un cours donné à l’Institut Catholique de Paris, 1996. VD GAU IC.

Claude Geffré, Révélation chrétienne et révélation coranique. À propos de la raison

islamique selon Mohammed Arkoun , in Revue des sciences philosophiques et théologiques,

tome 81, n° 2, 1997, p. 219. « Mohammed Arkoun tend à montrer que la raison islamique se dégrade

toujours en idéologie au service du pouvoir. En vertu d’une interrogation critique, on s’emploie à montrer qu’il

ne s’agit pas là d’une fatalité, ni pour la raison islamique, ni pour la raison chrétienne. » (Claude Geffré).

Islamochristiana, 22-28, Pontificio Istituto di Studi Arabi e d’Islamistica, 1996-2002. VD

ISL 22-28.


ISR COR.

Michel Lafon, Prières et fêtes musulmanes/Suggestions aux chrétiens, 1982. VD LAF PFM. Ce recueil « s’adresse à tous ceux et celles qui rencontrent quotidiennement des musulmans dans leur travail ou

leur quartier […]. Il offre un instrument de travail qui saisit l’occasion de la prière, du jeûne et des fêtes de

l’islam pour favoriser la découverte de la vie musulmane. » (Michel Lafon, p. 12).

Maurice Landrieux, L’islam, Reims, 1913. VD LAN ISL. Maurice Landrieux (1857-1926), évêque

de Dijon en 1915. Les opinions exprimées dans ce livre sont un exemple d’apologétique et de polémique « de

jadis » auxquelles, écrit Hans Küng, il n’est pas aujourd’hui, dans le christianisme, « de retour possible »

(L’islam, p. 52).

Annie Laurent (Dirigé par), Vivre avec l’islam ?/Réflexions chrétiennes sur la religion de

Mahomet, 1996. VD LAU VIV.

Michel Lelong, J’ai rencontré l’islam, préface par Ali Merad, 1975. VD LEL JRI. « Aujourd’hui, je suis persuadé que musulmans et chrétiens ont beaucoup à partager, beaucoup à recevoir les uns

des autres, beaucoup à cheminer ensemble. » (Michel Lelong, p. 7). Michel Lelong, Le don qu’Il vous a

fait, textes du Coran et de la Bible, 1977. VD LEL CB. Michel Lelong, L’Islam et l’Occident,

1982. VD LEL IO. Michel Lelong, L’Église catholique et l’islam, 1993. VD LEL EGL.

Michel Lelong, Prêtre de Jésus-Christ parmi les musulmans, mémoires, 2007. VD LEL

PRE. Michel Lelong, Les papes et l’islam, 2009. VD LEL PAP. On peut regretter avec l’auteur de

Jean-Paul II et l’islam qu’en Europe, les épiscopats, contrairement aux nombreux catholiques qui, répondant à

l’appel de Paul VI, se sont engagés dans la voie du dialogue, aient été « trop longtemps, trop souvent, peu

attentifs à cette question pourtant majeure, des relations islamo-chrétiennes ». Si aujourd’hui on peut se réjouir

du chemin parcouru, il reste encore beaucoup à faire « pour que les orientations données désormais par les plus

hauts responsables chrétiens et musulmans et les expériences de dialogue, de plus en plus nombreuses, vécues

sur le terrain par des groupes de rencontre islamo-chrétiens s’étendent peu à peu à l’ensemble des croyants dans

l’une et l’autre des communautés ». « Lumière et Vie », numéro XXV, L’islam, 1956. VD LV 25 ISL.

Christian Makarian, Le choc Jésus Mahomet, 2008. VD MAK JM.

Manuel II Paléologue, Entretien avec un musulman, T. Khoury, « Sources chrétiennes » n°

115, 1966. C SC 115.

Christian van Nispen tot Sevenaer, Chrétiens et musulmans, frères devant Dieu ?, 2009. VD

NIS CM. L’islam a d’abord été pour ce jésuite « une réalité massive inconnue », puis il a découvert que

musulmans et chrétiens sont « invités par Dieu à vivre ensemble, à se rencontrer, à une émulation dans le bien, à

construire une société où la foi en Dieu a sa place comme fondement de la dignité humaine ».

Jean-Jacques Pérennès, Georges Anawati, 2008. VD ANA PER. Portrait du Père Georges Anawati

(1905-1994), dominicain égyptien, islamologue Maurice Borrmans, Prophètes du dialogue islamo-chrétien.

Jean-Jacques Pérennès, Le Père Antonin Jaussen, o.p. (1871-1962). Une passion pour

l’Orient musulman, 2012. VD JAU PER.

Jean-Luc Pouthier (Préface), Chrétiens face à l’islam/Premiers temps, premières

controverses, 2009. VD POU CHR. Les textes du Monde de la Bible rassemblés dans ce livre éclairent le

lecteur sur nombre d’aspects de l’histoire et de la culture de l’islam comme la conquête musulmane de

l’Espagne, l’art islamique ou l’histoire du Coran.

Lisbeth Rocher, Fatima Cherqaoui, D’une foi à l’autre/Les conversions à l’islam en Occident,

1986. VD ROC F.

René-Samuel Sirat, Olivier de Berranger, Youssef Seddik, Juifs, chrétiens,

musulmans/Lectures qui rassemblent, lectures qui séparent, 2007. V SBS JCM.

SRI (Secrétariat pour les Relations avec l’Islam), Tous fils d’Abraham, pour un regard

chrétien sur l’islam, 1980. VD ABR SRI.

Marie-Thérèse Urvoy (Études réunies et coordonnées par), En hommage au père Jacques


Ahmed Youssef, Le moine de Mahomet, 2008. VD MAH YOU. L’auteur évoque les grandes

figures chrétiennes et juives qui ont jalonné la vie de Mahomet en leur redonnant vie « à la lumière d’un unique

soleil : la tolérance, que leur manifesta le prophète de l’islam ». Il s’interroge en même temps sur la signification

« d’un lien aussi fort entre la présence judéo-chrétienne et l’avènement de l’islam ».

Gaston Zananiri, L’Église et l’islam, 1969. VD ZAN EGL.

Algérie, Coran, Croisades, Jean Damascène, Charles de Foucauld, François d’Assise,

Louis Gardet, Islam, Jésus, Marie, Louis Massignon.

Coran

Traductions

L’Alcoran de Mahomet translaté d’arabe en françois par le Sieur du Ryer, Sieur de la Garde

Malezair, Paris, chez Antoine de Sommaville, 1649. VD COR RYEA. L’Alcoran de Mahomet

translaté d’arabe en françois par le Sieur du Ryer, Sieur de la Garde Malezair, La Haye, chez

Adrian Moetjens, 1683. VD COR RYEB. On doit cette première traduction française du Coran à André

du Ryer, orientaliste et diplomate français, mort en 1660.

Le Koran, traduction nouvelle faite sur le texte arabe par M. Kasimirski, Paris, 1862. VD

COR KAS. Une édition moderne a été réalisée de la traduction d’Albert Kasimirski (1808-1887) Le Coran,

traduit de l’arabe par Kasimirski, chronologie et préface par Mohammed Arkoun, 1970. VD COR KAS GF.

Le Koran, traduction, précédée d’un abrégé de la vie de Mahomet et accompagnée de notes,

par Savary, 1960. VD COR SAV. Claude-Étienne Savary (1750-1788). Le Coran, introduction, traduction et notes par Denise Masson, Bibliothèque de la Pléiade, 1967. VD

COR MAS PLE. L’édition « poche » de la traduction de Denise Masson est cotée VD COR MAS 1-2. Denise Masson

(1901-1994).

Le saint Coran, traduction, introduction et notes de Muhammad Hamidullah avec la

collaboration de M. Léturny, 10e édition révisée et complétée, 1401/1981. VD COR HAM.

Le saint Coran et la traduction en langue française du sens de ses versets, Mushaf Al-

Madinah An-Nabawiyyah, 1410/1990. VD COR ALM.

Le Coran, traduit de l’arabe par Malek Chebel, 2009. VD COR CHE.

Études

Roger Arnaldez, Le Coran/Guide de lecture, 1983. VD ARN COR.

Malek Bennabi, Le phénomène coranique/Essai d’une théorie sur le Coran, 1976. VD BENN

PC.

Jacques Berque, Relire le Coran, 1993. VD BER COR.

Régis Blachère, Le Coran, « Que sais-je ? », 1973. VD BLA COR.

Claude Gilliot, Un verset manquant du Coran ou réputé tel, in En hommage au père Jacques

Jomier, o.p., études réunies et coordonnées par Marie-Thérèse Urvoy, 2002. VD JOM URV.

Azzedine Guellouz, Le Coran, 1998. VD GUE COR.

Jacques Jomier, Les grands thèmes du Coran, 1978. VD JOM GTC. Jacques Jomier, Dieu et

l’homme dans le Coran, l’aspect religieux de la nature humaine joint à l’obéissance au

Prophète de l’islam, 1996. VD JOM DIE.

Jean-Luc Monneret, Les grands thèmes du Coran, classement thématique, préface de Dalil

Boubakeur, 2003. VD MON COR.

Gérard Troupeau, La signification du mot « tuwbâ » chez les commentateurs du Coran (s.

XIII, v. 29), in En hommage au père Jacques Jomier, o.p., études réunies et coordonnées par

Marie-Thérèse Urvoy, 2002. VD JOM URV.

Bible et Coran

Maurice Bucaille, La Bible, le Coran et la science/Les Écritures saintes examinées à la

lumière des connaissances modernes, 1976. VD BUC BCS.

Jacqueline Chabbi, Le Coran décrypté/Figures bibliques en Arabie, 2008. VD CHA COR. Le

propos de l’auteur est de retrouver à travers les figures bibliques du Coran la parole première d’un islam naissant

qui « ne savait pas encore à quel destin plurimillénaire il était promis ». Abraham, Moïse, David, Salomon sont

au nombre de celles dont l’appropriation coranique « a été la condition première pour que l’islam croie en lui-

même et que Mahomet se reconnaisse comme un prophète », mais il y a loin du Salomon de la Bible à celui du

Coran : « C’est une sorte de personnage presque surnaturel qui, par la grâce de Dieu, gouverne aux vents, règne

sur le peuple des démons, et asservit, par la magie dont il a été fait dépositaire, une reine yéménite ». S’il y a là

« beaucoup à retrouver dans les fantasmes d’un imaginaire arabe péninsulaire qui […] croyait côtoyer les djinns

redoutés du désert », c’est que le texte coranique a d’abord été « une parole, témoin et acteur de son temps ».

Emmanuel Pisani, « Bulletin d’islamologie », Revue thomiste, 109 (2009), p. 467-470.

GRIC (Groupe de Recherches Islamo-Chrétien), Ces Écritures qui nous questionnent/La Bible

et le Coran, 1987. VD GRIC ECR.


ISR COR.

Jacques Jomier, Bible et Coran, 1958. VD JOM BC. Jacques Jomier, Le Coran/ Textes

choisis en rapport avec la Bible, 1989. VD JOM COR.

Louis Massignon, Élie et son rôle transhistorique, khadiriya, en islam, in Élie le prophète,

tome deuxième, collection « Études carmélitaines », 1956. VD ELI EC.

Denise Masson, Monothéisme coranique et monothéisme biblique/Doctrines comparées,

1976. VD MAS MON.

Denise Masson, L’eau, le feu, la lumière d’après la Bible, le Coran et les traditions

monothéistes, 1985. VD MAS EFL.

Youakim Moubarac, Le prophète Élie dans le Coran, in Élie le prophète, tome deuxième,

collection « Études carmélitaines », 1956. VD ELI EC.


Jan Slomp, Vérités évangélique et coranique/L’Évangile de Barnabé, in En hommage au père

Jacques Jomier, o.p., études réunies et coordonnées par Marie-Thérèse Urvoy, 2002. VD

JOM URV.

Christianisme et islam, Islam : Philosophie, théologie, apologétique et éthique, Jésus,

Marie.

Cosmos

Toufy Fahd, La naissance du monde selon l’islam, in La naissance du monde, « Sources

orientales », 1959, p.237-279. C SO 1.

Maxime Rodinson, La lune chez les Arabes et dans l’islam, in La lune, mythes et réalités,

« Sources orientales », 1962, p. 153-215. C SO 5.

Croisades

Paul Alphandéry, Alphonse Dupront, La chrétienté et l’idée de croisade, 1995. 940.1 CROI

ALP.

Martin Aurell, Des chrétiens contre les croisades (XIIe-XIII

e siècle), 2013. 940.1 CROI AUR.

Après Jean Flori, qui dans Prêcher la croisade (2012) s’attache à découvrir « les mobiles qui ont poussé tant

d’êtres humains à partir […] à l’appel de prédicateurs plus ou moins inspirés qui, parlant au nom de Dieu,

tentaient de les convaincre de s’engager dans cette aventure », Martin Aurell s’intéresse dans le présent ouvrage

aux contestataires de la croisade, les uns « considérant que les pertes de la croisade seront toujours supérieures à

ses profits », les autres « la rejetant sans ambages quelles que soient ses circonstances » (p. 12). Ces critiques,

marginales, sont l’œuvre d’une minorité agissante qui montre que, même si la croisade a joui au Moyen Âge

d’une large acceptation, elle n’en a pas moins été contestée. Des clercs, comme Raoul le Noir, des moines, des

chroniqueurs et même des troubadours ont donné leur opinion sur les croisades, tout un courant de critiques qui,

comme le souligne Martin Aurell, « a permis, à la longue, de changer les esprits » (p. 352).

Pierre Barret, Jean-Noël Gurgand, Si je t’oublie Jérusalem/La prodigieuse aventure de la Ire

croisade, 1982. 940.1 CROI BAR/GUR.

Yvonne Bellenger, Danielle Quéruel (Sous la direction de), Les Champenois et la croisade,

1989. 940.1 CROI BEL.

Georges Bordonove, Les croisades et le royaume de Jérusalem, 1993. 940.1 CROI BOR.

Élisabeth Crouzet-Pavan, Le mystère des rois de Jérusalem 1099-1187, 2013. Cet ouvrage ne

traite pas des croisades à proprement parler, mais de l’histoire de ces hommes qui, de 1099 à 1187, furent rois

dans une Jérusalem « libérée » par les croisés, de Baudouin de Boulogne, couronné roi le 25 décembre 1100, à

Guy de Lusignan. Il s’agit notamment de « comprendre ce que fut, sous la plume des chroniqueurs, la

construction rhétorique de cette figure des rois de Jérusalem, son processus de fabrique, littéraire et

idéologique » (p. 71). On peut résumer l’histoire de ce royaume, qui s’achève par la reconquête de Jérusalem

par Saladin, en une phrase. Si, au moment où une dynastie se met en place à Jérusalem, le corps du roi,

« robuste, actif, souverain […] engendre le royaume », à la fin, « il se rétracte jusqu’à être, à l’instar du royaume,

rongé par la maladie avec Baudouin IV, le roi lépreux » (p. 15-16). Le titre de « mystère des rois de Jérusalem »

demande une explication qu’Élisabeth Crouzet-Pavan prend soin de donner dès les premières pages de son livre :

« Les rois de Jérusalem succèdent au Christ tout comme le Christ a succédé à David mais, ils le savent, ils le

disent, s’ils règnent en Terre sainte, avant de mourir et d’être enterrés au Saint-Sépulcre, le seul véritable roi

demeure le Christ. Il y a bien un mystère actif dans la royauté de Jérusalem et ce mystère va bien au-delà des

querelles entre clercs et laïcs sur le statut de la ville de Jérusalem et les formes du pouvoir à mettre en place, au-

delà des ambitions des uns et des autres ou du poids relatif des barons et des prélats » (p. 8-9). Ainsi, au fil des

textes à la source de cette étude, se lit l’ « impossible royauté » de Jérusalem.


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Sociétés du Monde Musulman (IISMM), 2013. La présente étude est le fruit d’enquêtes conduites par

Élisabeth Allès (1953-2012) en Chine et en Asie centrale. L’islam dont il est ici question est un islam « en

situation minoritaire » représenté par, d’un côté, les Hui, musulmans de langue chinoise, et de l’autre, les

musulmans turcophones appartenant à diverses nationalités (Ouighours, Kazakh, Kirghiz…). Pour Élisabeth

Allès, il n’y a pas un islam chinois donné : « Les caractères permanents de l’islam chinois – ceux qui le

rattachent à l’islam mondial – ne prennent sens et efficacité qu’à travers les représentations changeantes que s’en

font les musulmans au cours des siècles et les stratégies diverses qu’ils mettent en œuvre pour défendre leur

existence eu sein de l’ensemble chinois » (p. 10). VD ALL C.

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Soheib Bencheikh, Marianne et le Prophète/L’Islam dans la France laïque, 1998. VD BENC

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lesquels couleront les ruisseaux, où ils demeureront immortels ». Les chapitres 61 à 65 des Ouvertures ou

Conquêtes Spirituelles Mekkoises (Al-Futûhât al-Makkiyya) du métaphysicien soufiste Ibn ‘Arabî, introduits,

annotés et traduits par Maurice Gloton, traitent de la vie après la mort et des fins dernières de l’homme et du

monde. Il faut tout d’abord savoir que, selon la pensée musulmane, les êtres humains, après leur mort, évoluent

dans un intermonde (barzakh) jusqu’au Jour de la Résurrection : « Au terme de ce séjour […], leurs

comportements en ce monde-ci détermineront en grande partie leur orientation, bonne ou mauvaise, dans cet

intermonde où ils auront toujours la possibilité de s’améliorer ou de se pervertir davantage. Ils auront là un

avant-goût de ce que sera pour eux le Paradis ou l’Enfer » (Maurice Gloton, p. 19). Le Paradis, ce sont les

Jardins promis par Allah. Selon Ibn ‘Arabî, « chaque comportement détermine un jardin correspondant dans

lequel la supériorité de mérite apparaît chez ses bénéficiaires selon l’exigence de leurs dispositions » (p. 203), le

jardin le plus élevé étant celui de la Félicité (Adn, Eden), « là où les êtres humains seront rassemblés pour la

vision de Dieu le Réel (ru’yat al-Haqq). C’est le plus sublime des jardins et il est comparable, en excellence, à la

demeure du roi » (p. 208).

Philippe Moulinet, Les clefs d’Ibn Arabî, 2010. VD IBNA MOU. En proposant une lecture

commentée du Kitâb Fusûs al-Hikam ou Livre des Chatons des Sagesses, l’auteur aimerait qu’on puisse lire cette

somme spirituelle d’Ibn ‘Arabî comme « une histoire dans laquelle nous allons nous retrouver ».

Sadik Yalsizuçanlar, Itinéraires d’un soufi. Récits d’Ibn ٬Arabî, traduit du turc par Alberto F.

Ambrosio, préface de Abdelwahab Meddeb, 2013. VD IBNA YAL. Né à Murcie, en Espagne, Ibn

‘Arabî vécut une trentaine d’années à Séville, puis il voyagea (La Mecque, Bagdad…) avant de s’établir à

Damas. L’écrivain turc Sadik Yalsizuçanlar (né en 1962) nous invite à le suivre dans ses « itinéraires ». Ce livre

est un roman – Gezgin (« Le Voyageur ») en est le titre original – dont la lecture « nous ouvre des horizons

exceptionnels sur ce que la tradition soufie offre de plus raffiné en termes de réflexion philosophique » (Alberto

F. Ambrosio).

Ibn ‘Arabî (1165-1240) Dictionnaire de l’islam, p. 194. Dictionnaire historique de l’islam,

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Islam

Dictionnaires

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l’islam/Histoire- idées- grandes figures, édition française, Brepols, 1995. VD KHO DIC. « Le présent dictionnaire veut apporter sa pierre à une meilleure information, qui traite de la religion musulmane

et du monde de l’islam de manière objective et humainement équitable, et contribuer ainsi à dissiper les

malentendus et la méfiance. » (A. Th. Khoury, avant-propos).

Frédéric Lenoir et Ysé Tardan-Masquelier (Sous la direction de), Encyclopédie des religions :

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dynamiques contemporaines de l’islam dans le monde. » (Felice Dassetto, Université catholique de Louvain).

Anne-Marie Delcambre, La schizophrénie de l’islam, 2006. VD DELC SCH. « Ce court essai

n’est pas un pamphlet. Il est une réflexion sur cette schizophrénie dont souffre l’islam et qui prend sa source

dans des textes qui ont toujours posé problème […]. La caractéristique de la schizophrénie, c’est de ne pas coller

à la réalité et de s’enfermer dans un monde surréel, avec des refoulements obligés qui ne peuvent qu’aboutir,

dans certains cas, au délire violent de persécution. » (Anne-Marie Delcambre).

Hazem El Shafei, L’islam/Religion, société, vérités, non daté. VD ELS ISL.

Roger Garaudy, Promesses de l’islam, 1981. VD GARA PRO.

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Abdennour Bidar, L’islam sans soumission/Pour un existentialisme musulman, 2008. VD

BID ISS. « Aussi puissamment que la réaction conservatrice qui attire pourtant sur elle la majorité des regards

et focalise les inquiétudes, c’est un islam de la liberté qui émerge. Et c’est dans le but de donner à cet élan sa

légitimité et sa valeur spirituelle que j’ai voulu me saisir ici du Coran, afin de voir quelle conception et exaltation

de la liberté humaine on peut y trouver – non pas sous la forme d’une vérité qui y serait enfouie depuis des

siècles, mais par une lecture actuelle, inspirée justement par ce mouvement de libéralisation qui se propage chez

les musulmans comme un souffle nouveau. » Ainsi Abdennour Bidar présente-t-il sa démarche pour un

existentialisme musulman, mais dès le début de cette passionnante enquête sur les fondements possibles d’une

nouvelle anthropologie islamique une question se pose : « Peut-on réclamer un islam de la liberté personnelle

alors même que le mot islam est tenu pour synonyme de soumission ? » Elle entraîne une autre question : « Et si

le Coran nous parlait d’une espèce humaine qui devient suffisamment mûre au fil des millénaires pour qu’un jour

Dieu juge que le temps est venu de lui retirer ses chaînes ? » Abdennour Bidar, L’islam face à la mort

de Dieu/Actualité de Mohammed Iqbal, 2010. VD BID IQB. L’auteur voit Mohammed Iqbal (1873-

1938), « père spirituel » du Pakistan, « comme quelqu’un qui par la pénétration de sa pensée se serait aventuré,

solitaire, […] quelque part au-delà des grands modèles d’existence que les religions nous ont proposés jadis,

mais également quelque part au-delà des modèles alternatifs proposés à son tour par la modernité ». Ainsi

adresse-t-il « une double critique à la tradition et à la modernité : à l’une, il dit que la transcendance que nous ont

proposée les religions historiques ne peut plus nous convenir, à l’autre, il dit que l’absence de transcendance

auquel nous condamne souvent le mode de vie actuel ne pourra pas non plus nous suffire très longtemps ».

Mohammed Iqbal, en tentant de « reconstruire » la pensée religieuse de l’islam qu’il « débarrasse de tout ce qui

la retient dans son passé pour la projeter vers l’avenir » (p. 53), se présente en définitive comme « l’un des

premiers à se demander à quoi ressemblera la vie sacrée du futur ». Mohammed Iqbal s’adresse à nous « par-delà

la religion et l’athéisme » (p. 134).

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G. Delphin, La philosophie du cheikh Senoussi d’après son Aqida es-so’ra, 1898. VD DELP

SEN. Senoussi (1428-1490). Gaëtan Delphin considère l’Aqida es-so’ra comme « un manuel de philosophie

scolastique traitant avec une certaine indépendance, et suffisamment d’érudition, les problèmes métaphysiques

qui se posent à côté des dogmes religieux : l’existence de Dieu, ses attributs, la création du Monde», mais si on

retrouve dans Senoussi « l’inspiration de certains passages de Platon et d’Aristote, il n’est guère probable qu’il

ait bien connu ces deux philosophes dans l’ensemble de leur doctrine. »

Aboubaker Djaber Eldjazaïri, La voie du musulman, français-arabe, traduction Moktar

Chakroun, tome1 : Foi, savoir-vivre, tome 2 : Éthique, pratiques religieuses, tome 3 :

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Nadine Picaudou, L’islam entre religion et idéologie/Essai sur la modernité musulmane,

2010. VD PICA ID. « À n’écouter que la rhétorique contemporaine d’un islam politique radicalisé, on

pourrait aisément penser que l’islam n’a connu, à la différence d’autres monothéismes, aucune dynamique

historique d’aggiornamento, voire qu’il est résolument incapable de renouvellement. Nous avons récusé un tel

constat en inscrivant les processus contemporains d’idéologisation du référent islamique dans une archéologie

moderne de l’islam soucieuse de prendre ses distances avec les tentations communes de l’essentialisation,

comme avec le déterminisme présumé de l’origine. » (Nadine Picaudou).

Abdur Rahman ben Hammad Al Omar, La religion de vérité, traduit en français par Salah

Eddine Mohammed Ibrahim, 1977. VD RAH RV.

Tariq Ramadan, L’autre en nous, 2009. VD RAM PLU. « Les pages de ce livre sont un curieux

mélange de pensée analytique, de cartésianisme, de rationalisme rigoureux et d’envolées mystiques. » (Tariq

Ramadan). Les contours d’une philosophie du pluralisme se dessinent au fil des pages du voyage au « cœur de

l’observé » auquel l’auteur invite son lecteur : « Notre philosophie du pluralisme est une immersion dans l’objet

pour aller à la rencontre des êtres humains, des sujets, avec leurs traditions, leurs religions, leurs philosophies,

leurs esthétiques et/ou leurs psychologies. » Foi et raison, tolérance et respect, fraternité et égalité, tradition et

modernité sont quelques unes des étapes de ce périple au terme duquel le lecteur est appelé à « lever la tête,

tourner son visage vers le grand large et sentir naître du tréfonds de son être une autre aspiration ».

Râzî, Traité sur les noms divins, introduction, traduction et annotations par Maurice Gloton,

2009. VD RAZ ND. Fakhr ad-Dîn ar-Râzî (1149-1209).

Daryush Shayegan, Henry Corbin, penseur de l’islam spirituel, Albin Michel, 2011. VD

CORB SHA. « Il y a l’homme, sa quête et le monde auquel aboutit cette quête », écrit Daryush Shayegan à

propos du philosophe Henry Corbin (1903-1978) auquel on doit notamment d’avoir révélé en France les

« aspects spirituels et philosophiques » de la pensée islamique iranienne (En islam iranien). Cette quête va

d’Avicenne à Sohrawardî, « son maître invisible » (p. 187), en passant par Heidegger : « Ce que je cherchais

chez Heidegger, ce que je compris grâce à Heidegger, c’est cela même que je cherchais et que je trouvais dans la

métaphysique irano-islamique. » Ce passage, explique Daryush Shayegan, est « une rupture épistémologique où

l’Être-là heideggerien se dépasse d’une certaine façon pour épouser la dimension eschatologique d’un Être-pour-

au-delà-de-la-mort » (p. 12).

Frithjof Schuon, Comprendre l’islam, 1976. VD SCH ISL. Frithjof Schuon (1907-1998).

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Guillemette de Sairigné, L’islamisme, 1977. VD SAI ISL.

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Sancti patris nostri Joannis Damasceni, monachi et presbyteri Hierosolymitani, opera omnia

quae exstant, et ejus nomine circumferuntur […], opera & studio P. Michaelis Lequien,

Morino-Boloniensis, Ordinis FF. Praedicatorum, Paris, Delespine, 1712. FA-D8 JDA OEU

LEQ.

Jean Damascène, Homélies sur la Nativité et la Dormition, P. Voulet, « Sources Chrétiennes »

n° 80, 1961. C SC 80. Jean Damascène, Écrits sur l’islam, R. Le Coz, « Sources

Chrétiennes » n° 383, 1992. C SC 383. Jean Damascène, La Foi orthodoxe, introduction,

traduction et notes par Pierre Ledrux, avec la collaboration de Vassa Kontouma-Conticello et

G.-M. De Durand, « Sources Chrétiennes » n° 535, 2010. C SC 535. Le 6 mai 2009, le pape Benoît

XVI évoquait la figure de Jean Damascène, « témoin oculaire du passage de la culture chrétienne grecque et

syriaque […] à la culture de l’islam », en rappelant que, comme son grand-père et son père, il occupa un poste

officiel à la cour omeyyade de Damas. Si les dates de naissance et de mort de Jean Damascène restent inconnues,

« une meilleure connaissance de l’œuvre damascénienne, dégagée des préjugés liés à la dimension légendaire du

personnage, a […] permis d’apporter, ces dernières années, un nouveau lot d’informations permettant de tracer

une esquisse biographique » (V. Kontouma-Conticello, p. 28). Ainsi est-il possible d’admettre qu’il resta en

fonction à Damas jusqu’à la mort en 705 du calife ‘Abd al-Malik. De même peut-on raisonnablement penser que

Jean Damascène « n’a pas vécu retiré du monde, comme un simple moine, mais qu’il a occupé une position de

première importance au patriarcat de Jérusalem » (p. 25) où il seconda Jean V. Si, après la mort de ce dernier en

735, il a pu se retirer dans une laure, il n’est pas certain en revanche, contrairement à la tradition, qu’il ait passé

ses dernières années dans une paisible et studieuse retraite : « Le contexte politique, ainsi que le propre

témoignage de Jean, nous conduisent à penser que sa situation fut tout autre au crépuscule de sa vie » (p. 30). De

fait, son opposition à l’iconoclasme et à l’islam le condamnaient à une « double persécution, provenant à la fois

du calife Walîd II et du basileus iconoclaste, Constantin V ».

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à Jésus dans la tradition littéraire arabo-islamique que cet ouvrage rassemble. Cet « évangile musulman », issu

de sources diverses, est constitué de textes dont les plus anciens remontent au VIIIe siècle. Ce que nous y

découvrons, « ce sont des portraits successifs de Jésus qui ont un intérêt littéraire et théologique intrinsèque – un

Jésus ressuscité dans un environnement où il devient un prophète musulman, conservant cependant une identité

qui n’est pas en discordance avec ce que nous trouvons dans les Évangiles canoniques » (p. 13).

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Al-Busayrî, Al-Burda. La perle des odes et le diadème des hymnes à la gloire du Prophète,

traduction et commentaire Hassan Boutaleb, 2013. VD BUS ALB/BOU.

Al-Ghazâli, Comportements et traits de caractères du Prophète, traduction et notes de Hassan

Boutaleb, 2013. VD GHA CTCP.

Émile Dermenghem, Mahomet et la tradition islamique, 1957. VD MAH DER.

François Déroche, Daniel De Smet, Mohyddin Yahia, José Martinez Gazquez, Mehdi Azaiez,

religions & Histoire, n° 36, janvier-février 2011. VD MAH RH

Maurice Gaudefroy-Demonbynes, Mahomet, 1957/1969. VD MAH GAU.

Virgil Gheorghiu, La vie de Mahomet, traduit du roumain par Livia Lamoure, 1962/1984. VD

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Ibn Hichâm, La vie du prophète Mahomet, établi, traduit de l’arabe et annoté par Wahib

Atallah, 2004. VD MAH IBN.

Tilman Nagel, Mahomet : Histoire d’un Arabe – Invention d’un Prophète, 2012. VD MAH

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Michel Orcel, « Le Prophète dans l’histoire » dans L’invention de l’islam : Enquête historique

sur les origines, 2012.

Tariq Ramadan, Muhammad. Vie du Prophète. Les enseignements spirituels et

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Umberto Rizzitano, Mahomet, 1973. VD MAH RIZ.

W. Montgomery Watt, Mahomet, 1980. VD MAH WAT.


Marie

R. Gay-Canton, « Lorsque Muhammad orne les autels. Sur l’utilisation de la théologie

islamique dans la controverse autour de l’Immaculée Conception de la fin du XIVe au début

du XVIIIe siècle », in Revue des sciences philosophiques et théologiques, tome 94, n° 2, 2010.

Jésus.

Maroc

Mohamed Kably, Société, pouvoir et religion au Maroc à la fin du Moyen Âge, 1986. VD

KAB SOC.

Louis Massignon

Oeuvres

Louis Massignon, La Passion de Husayn ibn Mansûr Hallâj, tirage à part de la préface de la

nouvelle édition, 1962. VD MASS HAL.

Louis Massignon, La Passion de Husayn ibn Mansûr Hallâj martyr mystique de l’islam exécuté à

Bagdad le 26 mars 922, étude d’histoire religieuse, collection « Tel » 371-374, 1975/2010. VD MASS

HAL/T 1-4. Louis Massignon, Parole donnée, précédé d’Entretiens avec Vincent-Mansour Monteil, 1983.

VD MASS PAR.

Louis Massignon, Les trois prières d’Abraham, 1997. VD MASS ABR.

Louis Massignon, Essai sur les origines du lexique technique de la mystique musulmane,

avant-propos de Roger Arnaldez, 1999. VD MASS MYS.

Louis Massignon, Badaliya/Au nom de l’autre (1947-1962), présenté et annoté par Maurice

Boormans et Françoise Jacquin, 2011. VD MASS BAD.

Biographies, témoignages, études

Christian Destremau, Jean Moncelon, Louis Massignon, 1994. VD MASS DES/MON. Biographie. « Massignon […] fut d’abord un formidable érudit, un infatigable chercheur, un véritable

archéologue de la connaissance, à l’affût des moindres détails, se faufilant dans les plus étroits interstices pour

appuyer certaines de ses percées ; […] tout ce qui a fait de la Passion de Hallâj un travail sans équivalent ».

L’Herne : Louis Massignon, cahier dirigé par Jean-François Six, 1970. VD MASS HER.

Présence de Louis Massignon/Hommages et témoignages, textes réunis par Daniel

Massignon, 1987. VD MASS PRE.

Question de n° 90, revue dirigée par Marc de Smedt, Louis Massignon/Mystique en dialogue,

1992. VD MASS QD.

Pierre Rocalve, Louis Massignon et l’islam, Damas, 1993. VD MASS ROC.

Coran, Sept Dormants.

Pèlerinage

Muhammad Hamidullah, Le pèlerinage à la Mecque, in Les pèlerinages, « Sources

orientales », 1960, p. 91-138. C SO 3.

Slimane Zeghidour, La vie quotidienne à La Mecque de Mahomet à nos jours, 1989. VD

ZEG MEC.

Rûmi

Rûmi, Odes mystiques, traduction du persan et notes par Eva de Vitray-Meyerovitch et

Mohammad Mokri, 1973/2003. VD SOU/RUM OM.

Nahal Tajadod, Sur les pas de Rûmi, 2013. VD SOU/RUM TAJ. Du Manasvi de Rûmi, Nahal

Tajadod a choisi trente-six récits, « étranges, surprenants, parfois scandaleux, assez souvent énigmatiques »

(Jean-Claude Carrière), qui conduisent le lecteur, guidé par un personnage imaginaire, un relieur, de Nichapour

à Konya en passant par Tabriz et Damas jusqu’à la rencontre de Rûmi.

Eva de Vitray-Meyerovitch, Rûmî et le soufisme, 1977. VD SOU/RUM VIT.

Soufisme.

Saints

Nelly Amri, Les saints en Islam/Les messagers de l’espérance/Sainteté et eschatologie au


e siècles, 2008.VD AMR SME. Héritiers des prophètes, les saints du

Maghreb, à la fin du Moyen Âge, « perpétuent l’histoire du salut et sont les garants de la présence divine dans le

monde et du maintien, vivante, de la lumière de la révélation ; par leur présence, non seulement le monde n’est

pas livré à la nuit et privé de rahma (miséricorde), mais l’homme, ce microcosme, reste « capable de Dieu ».

Vecteurs d’une espérance ici-bas, ils sont aussi, à part entière, des Messagers de l’espérance dans l’au-delà. »

Sept Dormants

Bruno Krusch, Gregorii Turonensis Passio VII Dormientium apud Ephesum, in Analecta

Bollandiana, t. XII, 1893.

Serge de Laugier de Beaurecueil, À l’école des Sept Dormants/La « futuwwa » chez Ansârî de

Herat (1006-1089), in Marie-Thérèse Urvoy (Études réunies et coordonnées par), En

hommage au père Jacques Jomier, o.p., 2002, p.49-60. VD JOM URV.

Geneviève Massignon, Le culte des Sept Saints Dormants d’Éphèse, in L’Herne : Louis

Massignon, 1970, p. 170-174. VD MASS HER.

Charles Molette, La tradition des Sept Dormants d’Éphèse, in L’Herne : Louis Massignon,

1970, p. 175-181. VD MASS HER.

Paul Peeters, Le texte original de la Passion des Sept Dormants, in Analecta Bollandiana,

tome XLI, fasc. III et IV, 1923.

Songes

Toufy Fahd, Les songes et leur interprétation selon l’islam, in Les songes et leur

interprétation, « Sources orientales », 1959, p. 127-158. C SO 2.

Soufisme

A. J. Arberry, Le soufisme, introduction à la mystique de l’islam, 1952. VD SOU ARB.

Laleh Bakhtiar, Le soufisme. Expressions de la quête mystique, 1977. VD SOU BAK.

Khaled Bentounès, Thérapie de l’âme, 2011. VD BENT TA. Ce livre « reprend des notions

fondamentales de la tradition coranique à travers une vision soufie qui nous dévoile tout ce que peut nous

apporter cet enseignement universel quant à la thérapie de l’âme ».

Kudsi Erguner, La Fontaine de la Séparation/Voyages d’un musicien soufi, préface de Jean-

Claude Carrière, 2000. 781.7 ERG SOU.

Ibn ‘Ajîba, L’Ascension du regard vers les réalités du Soufisme, traduction annotée Jean-

Louis Michon, 2010. VD SOU IBAJ.

Ibn al-‘Arîf, Splendeurs des enseignements soufis, traduit par Jean-Louis Bour, 2012. VD

IBAR SES. « Ces enseignements faciliteront le cheminement pour le disciple sur la Voie spirituelle. Ils

consolideront sa sincérité et sa certitude qui en sont le fondement, et ils inciteront celui qui les entend à

redoubler d’effort face aux épreuves dans la quête de Dieu. » Ainsi s’exprime le maître soufi d’Almeria

(Andalousie) Ibn al-‘Arîf (1088-1141) pour présenter les Mahâsin al-majâlis ou Splendeurs des enseignements

spirituels.

Martin Lings, Qu’est-ce que le soufisme ?, 1977. VD SOU LIN.

Djamchid Mortazani, Soufisme et psychologie, 1989. VD SOU MOR.

Seyyed Hossein Nasr, Essais sur le soufisme, traduits par Jean Herbert, 1980. VD SOU NAS.

Abd-al-Wâhid Pallavicini, L’islam intérieur. Message d’un maître soufi, 2013. VD PALLA

ISL.

Alexandre Papas, Mystiques et vagabonds en islam. Portraits de trois soufis qalandar, 2010.

VD SOU PAP.

Stéphane Ruspoli, Écrits des Maîtres soufis 3, traduction et présentation de trois traités de

Khotalânî, Nûrbakhsh et Kâshânî, Arfuyen, 2012. VD SOU RUS/EMS 3. Stéphane Ruspoli

avertit le lecteur que les textes publiés dans le présent volume ne sont pas d’un abord aisé : « Leur symbolisme

ésotérique peut dérouter le néophyte, mais ils sont fascinants et d’un intérêt exceptionnel. En effet, nos auteurs

illustrent en quelques pages inspirées et très denses, voire à l’aide de raccourcis oraculaires, l’essence de la

doctrine des soufis qui est à la recherche du dévoilement de Dieu par la voie des théophanies. » Ishâq Khotalânî

(mort en 1423). Mohammad Nûrbakhsh (1392-1464). ‘Abd al-Razzâq Kâshânî (mort en 1329), un des premiers

interprètes iraniens d’Ibn ‘Arabî.

Annemarie Schimmel, Le soufisme ou les dimensions mystiques de l’islam, 1996. VD SOU

SCH.


Jean-Jacques Thibon propose dans La Règle d’Abraham (décembre 2012) une traduction du traité de Sulamî

(937-1021), exposant la doctrine du soufisme, Manâhij al-sâdiqîn min al-sûfiyya (« Les voies des Hommes

sincères parmi les Soufis »).

Farid ud-Din ’Attâr, Ibn ‘Arabi, Louis Massignon, Rûmi.

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