Invest In Djibouti 2009

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Copyright Afrikasources - Avril 2009 AFRIKASOURCES Strategic Intelligence Division Mai 2009 par Jean Philipppe PAYET [Director] [email protected] Afrikasources Consult Ltd « Your partner to invest in Africa» INVEST IN DJIBOUTI
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Investir à Djibouti - Présentation générale et Opportunités

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Page 1: Invest In Djibouti 2009

Copyright Afrikasources - Avril 2009

AFRIKASOURCES

Strategic Intelligence

Division

Mai 2009

par Jean Philipppe PAYET [Director][email protected]

Afrikasources Consult Ltd« Your partner to invest in Africa»

INVEST IN DJIBOUTI

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Pays: République de Djibouti

Capitale: Djibouti

Superficie : 23 200 km²

Population : 830.000 habitants [est.]Langues: Français (officiel), Arabe (officiel), Somalien, Afar

Religions: Islam 94%, Christianisme 6%

Espérance de vie: 49.37 hommes, 53.1 femmes

Monnaie: 1 euro = 280 Franc Djiboutien (FDJ)

1 USD=177 FDJ

Situation:- Pays de la Corne de l'Afrique relativement

exigu - Djibouti est limité au nord et à l'ouest par

l'Ethiopie, au sud par la Somalie, à l'est par le détroit de Bab El-Mandeb qui ouvre le passage vers la Mer Rouge et par le Golfe d'Aden, soit 370 km de frontières maritimes.

Relief:- Les terrains sont d'origine volcanique. - Les plateaux sont bordés par de grandes

failles et les plaines alternent avec les chaînes basaltiques.

- Le Moussa Ali culmine à 2 010 mètres d'altitude.- En 1978, une violente éruption, située à l'ouest de la capitale près du lac Assal, a donné naissance au volcan Ardoukala.

Climat: - Le climat est particulièrement rude et

désertique - La végétation est éparse, les cours d'eau

permanents sont absents, car les pluies sont rares et irrégulières (170 mm).

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The city’s population grew 10-fold between 1950 and 2002 2/3 de la population vit dans la seule ville de Djibouti40 % de la population < 15 ans et seulement 15 % > 40 ans

Djibouti has little arable land, little rainfall, and limited possibilities10 % des terres arables [1.000 ha] sont exploitées

Water availability in the capital is better than in rural areas, but supply and sanitation are problems there as well; the rapidly growing population will make the supply issue worseSOLUTION: unité de désalinisation

UNE TERRE D’OPPORTUNITÉS: UNE CROISSANCE DEMOGRAPHIQUE RAPIDE

Djibouti vit principalement d’une économie de rente:

bases militaires louées aux français et aux américains

revenues du Port aide étrangère

Categorized as suffering from very high food vulnerability;

About 45% of the population is food vulnerable

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SITUATION ECONOMIQUE FAVORABLE Le Gouvernement Djiboutien a orienté sa stratégie de développement

sur la transformation du pays en une plate forme commerciale et de services pour la région de la COMESA.

Cette stratégie s’appuie sur un port moderne en eaux profondes situé sur la principale route maritime reliant l’Asie du Sud-Est à l’Europe, l’Afrique de l’Est et la péninsule arabique, et axe le développement sur le secteur privé et plus particulièrement des services.

Celle stratégie a permis d’attirer de très importants investissements privés et publics qui devraient permettre, dans les prochaines années, d’accroître substantiellement la capacité des terminaux conteneurs et vraquier et de les relier à un aéroport cargo moderne, de réhabiliter et étendre le réseau routier et ferroviaire reliant aux pays voisins, de désenclaver l’intérieur du pays et d’améliorer les télécommunications.

Ces investissements en infrastructures privés et publics viennent en complément de politiques sectorielles fortes ayant pour objectif la réalisation des Objectifs du Millénaire en République de Djibouti. Ces politiques sectorielles se déclinent dans les domaines de la santé, de l’assainissement, de l’habitat, de l’énergie, de l’éducation et concourent à l’amélioration du bien être de la population.

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SITUATION ECONOMIQUE FAVORABLE L’économie reste très largement dépendante

du secteur tertiaire, qui constitue 79 % de son PIB, et notamment des activités portuaires, qui sont avant tout constituées des activités de transit à destination de la Somalie et surtout de l’Ethiopie. Djibouti est pauvre en industrie (16 % du PIB) et l’agriculture est presque inexistante (% % du PIB).

Les créanciers du Club de Paris et le Gouvernement de Djibouti ont conclu le 16 octobre 2008 un accord de rééchelonnement de la dette publique extérieure du pays. Cet accord fait suite à l’approbation par le Fonds Monétaire International le 17septembre 2008 d’une Facilité pour la Réduction de la Pauvreté et pour la Croissance.

La pauvreté globale du pays est accentuée par le grand nombre de refugiés présents sur le territoire national en provenance de Somalie et d’Ethiopie

Les ressources hydriques exploitables sont proches de 20 millions de m3 par an soit moins de 50 m3 par an et par habitant (1100 m3 étant la moyenne par an et par habitant pour les pays d’Afrique du Nord Moyen-Orient).

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SITUATION ECONOMIQUE FAVORABLEL’économie djiboutienne commence à gagner en compétitivité mais reste entravée par le coût et la disponibilite des services de base (40 cents le kWh contre 10 cents en Ethiopie) et le poids de la main d’œuvre (la fonction publique représentant 12,5% du PIB contre 6% en Ethiopie pour un revenu par habitant de 1.100 USD contre 200 USD en Ethiopie).

INDICE MO IBRAHIM SUR LA GOUVERNANCE

COMESA countries account for only about 10 percent of Ethiopia’s total trade (of which 5 percent i s Djibouti, and the rest mainly Sudan, Egypt, and Kenya). This appears to be due in large part to similar production structures, inadequate infrastructure, and lack of information on trade opportunities.

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Indice de développement humain [2008] 0.494 soit 148ème rang sur 177 pays en 2008

PIB – Produit Intérieur Brut 850 millions USD 2007

Croissance du PIB réel estimée à 5,9% en 2008 contre 5,3% en 2007[]

Inflation [impact de la hausse du prix des matières premières] 12 % 2008

PIB per capita 1.060 US$ 2007

Indice de pauvreté 42 % [valeur absolue]

Chômage 45-60 %

Déficit public 1.9 % du PIB en 2008 contre 2.6% en 2007

Balance des paiements 40.4 % 2008

Réserves 174 millions US$ [3.3 mois d’importation

Dette 614 millions US$ soit 2.9 % du PIB 2008

Part des investissements dans le PIB 23% en 2005 à plus de 50% en 2008

Surplus de monnaie M3 +17.2 %

Crédits au secteur privé +23 % 2007

Nombre de banques 7 [bientôt 12]

Doing Business 2008 146/178 Juin 2007

Logistics performance index, 2007 [Industrial Development Report 2009] 145/150 [score1.94 – Dubai 3.73 - Singapour Rank 1 – 4.19] 2007

Commerce extérieur en valeurs [2007/2008] Importations : 2.036.312.000 US $ Exportations : 195.018.000 US $

Principaux pays partenaires commerciaux [2007/2008] France | Ethiopie | EAU | Arabie Saoudite | Chine | Inde | Turquie | Italie

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Au plan politique, le pays dispose d’un régime présidentiel avec un Président élu pour un mandat de six ans.

Le Président Ismail Omar Guelleh, qui a succédé en 1999 à Hassan Gouled, au pouvoir depuis l’indépendance (1977), a été réélu, seul en lice, lors des élections présidentielles en 2005.

L’assemblée nationale se compose de 65 députés, qui – suite à un boycott des élections parlementaires en février 2008 par les partis de l’opposition, sortis sans aucun siège des premières élections multipartites en 2003 – sont tous membres du parti majoritaire UMP (Union pour la Majorité Présidentielle).

La situation dans le domaine des droits de l'homme reste difficile bien que certaines améliorations aient été constatées dans les prisons et dans la lutte contre la corruption.

La justice est rendue selon deux modes : elle est coutumière et islamique pour régler les différends d’ordre traditionnels et familiaux ; elle est moderne et laïque pour les autres compétences. La justice repose ainsi sur la législation et les décrets de l'exécutif, le droit français codifié tel qu'adopté à l'indépendance, la loi islamique (la charia) et les traditions nomades.

UNE DEMOCRATIE SOUS INFLUENCE

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Au cours des dix dernières années, Djibouti a mis en place des réformes profondes visant à transformer le pays en une plate-forme commerciale et de services pour la région de la Corne de l’Afrique:

Le développement du port comme moteur de croissance économique et de l’emploi, la création d’une zone franche et l’amélioration de l’environnement des affaires, par exemple par des réformes du droit.

Au port de Djibouti, géré par Dubai Ports World (DPW) depuis 2000, s’est ajouté un deuxième port, le port de Doraleh, qui permet d’effectuer des opérations plus complexes et s’accompagne d’une zone franche de 20 hectares.

Un nouveau terminal pétrolier, construit par DPW et Emirates National Oil Co. (ENOC), est entré en service en 2006 et un terminal à conteneurs a été inauguré en décembre 2008.

Les réformes ont réussi : la croissance djiboutienne a doublé au cours des trois dernières années, passant de 3 % en 2004 à 5,8 % du PIB réel en 2008. Elle est surtout entretenue par un flux d’investissements directs étrangers important (24 % du PIB en 2008), en provenance notamment du Golfe Arabo-Persique. En chiffres absolus, les investissements directs étrangers ont augmenté d’une moyenne annuelle de 3 millions USD entre 1990 et 2000 à 39 millions USD en 2004, 59 millions USD en 2005, 164 millions USD en 2006 et 195 millions USD en 2007.

UN TERRITOIRE EN MUTATION

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Djibouti s’efforce de créer un environnement favorable aux investissements, par exemple par la mise en place de la TVA à taux unique de 7 % à compter de janvier 2009 et d’un tarif extérieur commun (TEC). Le Franc Djibouti (FDJ) est totalement convertible et indexé sur le dollar au taux fixe de 177,7 FDJ pour 1 USD depuis 1973.

Le FMI estime que Djibouti, comme les autres pays africains, ressentira les effets de la crise internationale, ce qui se traduira surtout par des retards dans les projets d’investissements directs étrangers et une décélération de la croissance du volume d’échanges avec l’Ethiopie. Il prédit néanmoins une croissance du PIB réel de 5 % en 2009 .

95 % des produits en provenance ou à destination de l’Ethiopie transite par le port de Djibouti.

Le développement du secteur privé rencontre de nombreuses contraintes dont les principales sont : (i) une pression fiscale encore importante; (ii) le faible niveau d’intermédiation financière avec un taux de bancarisation de 10% ; (iii) le faible développement des ressources humaines; (iv) le coût élevé des facteurs de production (eau, électricité, et télécommunications). Pour améliorer l’environnement des affaires, le Gouvernement vise à réduire le coût élevé des facteurs de production dans le cadre du programme de réformes structurelles, notamment celles relatives à la privatisation de la gestion d’entreprises publiques et à la libéralisation du marché du travail.

UN TERRITOIRE EN MUTATION [2]

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Port de Djibouti DES INFRASTRUCTURES MOTEUR DU DEVELOPPEMENT

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DP World Doraleh – August 2008

DES INFRASTRUCTURES MOTEUR DU DEVELOPPEMENT

A new container terminal was constructed in Doraleh to accommodate oil products, liquefied petroleum gas [LPG] edible oils, and bitumen. The second phase o f the project consists of a comtainer port 18-20 meters deep with a 2.000 meter quay lenght.

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LA PROTECTION DES INVESTISSEMENTSCOMESA -African Trade Insurance AgencyBanque islamique de développement MIGA

Liste des accords bilatéraux de protection des investissements signés par Djibouti

Egypte – 21 juillet 1998Malaisie – 3 aout 1998Suisse – 4 février 2001 [seul accord ratifié]Inde – 19 mai 2003Chine – 18 aout 2003Italie – 8 février 2006Ethiopie - …… 2007 [?]France - 13 décembre 2007

Djibouti n’est pas signataire de la Convention pour le règlement des différends relatifs aux investissements entre Etats et ressortissants d’autres Etats du 18 mars 1965 (Convention de Washington)

Membre de l’OMCمMembre du Marché commun de l'Afrique orientale et australe (COMESA)مMembre de l'Union africaine (UA)مMembre de la Communauté des Etats sahélo-saharien (CEN-SAD)م Membre de l'Autorité inter-gouvernementale de développement (IGAD) dont Djibouti accueille leمsecrétariat permanent

Membre de la Ligue arabeمBénéficiaire de l’AGOAم

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APPRECIATION DU RISQUE-PAYS

Source: DUCROIRE Risque pays: http://www.ondd.be/WebONDD/Website.nsf/AllWeb/Djibouti?openDocument&Disp=1&Language=fr

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LA DIPLOMATIE REGIONALEDjibouti est un îlot de sécurité dans une région troublée

En juin 2008, un conflit frontalier a opposé Djibouti à l’Erythrée, faisant de nombreuses victimes des deux cotés. La situation demeure toujours tendue, mais les affrontements ont cessé.

Le 30 janvier 2009, Cheikh Charif Ahmed était élu président de la Somalie lors d’élections tenues à Djibouti sous la férule des Nations unies, à la demande des Somaliens. Sur la base d’un accord conclu à Djibouti entre le Gouvernement fédéral transitoire (GFT) et la résistance (les éléments des Tribunaux islamiques) au début de l’année2009, une solution semble ainsi enfin se dégager pour la crise de la Somalie qui n’avait connu que des échecs successifs depuis la dislocation de l’État Somalien en 1991.

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UN ESPACE GEOSTRATEGIQUE MAJEURDepuis le 11 septembre 2001, l’importance géostratégique de Djibouti s’est accrue. Djibouti accueille, outre une forte présence militaire française, depuis 2002 une base militaire américaine d’environ 2 000 personnes dans le cadre de la lutte anti-terroriste. La présence militaire étrangère (France, Etats-Unis, Allemagne) est d’ailleurs à l’origine de près de 8 % du PIB et 19 % du budget de l’Etat.

En septembre 2008, à l’initiative de la France et de l’Espagne, le Conseil européen a décidé la création d’une cellule de coordination de la lutte contre la piraterie maritime, chargée d’une part de coordonner les moyens déployés dans le Golfe d’Aden et, d’autre part, d’informer les armateurs européens de tels déploiements.

Dans le cadre des actions militaires entreprises pour lutter contre la piraterie, telle l’opération EU NAVFOR / Atalante en Somalie, la France joue un rôle-clé avec l’apport de moyens maritimes – une frégate –, aériens – un avion de patrouille maritime – et logistiques – avec le dispositif prépositionné à Djibouti.

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UN ESPACE GEOSTRATEGIQUE MAJEURLe positionnement américain à Djibouti a notamment pour mission de détecter les groupes terroristes en liaison avec ceux du Moyen-Orient. Le gouvernement américain soupçonne, en effet, l’organisation Al-Qaïda de s’être implantée en Afrique de l’est, en particulier en Somalie qui aurait abrité, selon Washington, le comorien Fazul Abdullah Mohammed et le kenyan Saleh Ali Saleh Nabhan, impliqués dans les attentats contre les ambassades américaines au Kenya et en Tanzanie en 1998 au cours desquels deux cent vingt quatre personnes avaient été tuées.

Le positionnement américain à Djibouti, face au Golfe, permet en outre le contrôle stratégique de la route maritime qu’emprunte un quart de la production pétrolière mondiale. La base de Djibouti permet ainsi aux Etats-Unis et à la France de dominer l’extrémité orientale de la vaste bande pétrolière traversant l’Afrique considérée désormais comme vitale pour leurs intérêts stratégiques, une bande allant de l’oléoduc Higleg-Port Soudan (1600 km) dans le sud-est à l’oléoduc Tchad-Cameroun (100 km) et au Golfe de Guinée dans l’Ouest. Un poste d’opération américain en Ouganda donne aux Etats-Unis la possibilité de contrôler le sud-Soudan où se trouve le gros des réserves soudanaises de brut.

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L’AGENCE NATIONALE DE

PROMOTION DES

INVESTISSEMENTS

http://www.djiboutinvest.djL’Agence National pour la Promotion est une structure administrative dotée, sur le papier, d’un statut de société anonyme et crée par la loi 114/AN/01/4e L du 14 janvier 2001. Elle joue un rôle de guichet unique pour simplification des procédures de création d’entreprises et pour la promotion de l’investissement privé national ou étranger.

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L’INTELLIGENCE STRATEGIQUEL’intelligence stratégique peut être définie comme l'ensemble des actions coordonnées de recherche, de traitement et de distribution, en vue de son exploitation, de l'information utile aux acteurs économiques. Ces diverses actions sont menées légalement avec toutes les garanties de protection nécessaires à la préservation du patrimoine de l'entreprise, dans les meilleures conditions de délais et de coûts.

(Rapport Henri Martre, Commissariat du Plan, 1994 )

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Le processus d’intelligence stratégique

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DEMARCHE CONSTRUIRE UN PROJET STRATEGIQUE DE DEVELOPPEMENT

DU TERRITOIRE Etat des lieux du territoire Développement d’une vision à long terme Construction de la stratégie – prioriser Focus sur mise en œuvre et suivi.

ANALYSER LES SECTEURS PRIORITAITRES Identifier les acteurs et partenaires Organiser les instances de pilotage Définir les ressources nécessaires Préparer le programme de travail

ANALYSER LES PROJETS A PROMOUVOIR

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Expression d’un besoin

Cartographie du besoin

Requête documentaire

Produits secondaires

Décision stratégique

Expression du besoinMéthode de créativité

Acquisition de l’informationDéfinition des mots-clés et des sources

Synthése de l’informationMise en perspective des info pour leur donner du sens

Diffusion de l’informationLettre d’info, serveur web, réunion de travail…

Démarche itérative interneRequalification de l’info

Démarche itérative Validation des résultats

Nouvelle piste de recherche

Outils de décisionsExpert, formation, déplacement, étude complémentaire

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Identifier les acteurs et définir les responsabilitésActeurs : les autorités locales et la société civile : secteur privé, associations, organisations locales, leaders d’opinion, …

S’efforcer d’impliquer dès l’amont tous ceux et celles qui auront à intervenir dans la mise en oeuvre de la stratégies,

Développer l’intervention du public,

Connaitre les objectifs et résultats souhaités par l’ensemble des partenaires.

Définir une vision du futur du territoire

Caractéristiques d’une vision stratégique : Envisage le moyen terme (5/10

ans), mais permet l’action sur le court terme;

Stimulante mais réaliste; Facile à comprendre par tous; Indique des responsabilités

partagées (pas seulement l’autorité locale).

Différentes techniques possibles : Session de brainstorming; Ateliers de construction de scenarii; Visualisation graphiques/imaginaires…

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DÉFINIR UNE STRATÉGIE

Une stratégie se décline en programmes, projets & actions et recherche des résultats mesurables.Etapes : - Sélectionner les axes de développement stratégiques;- A décliner en programmes, projets et actions;- Préciser les critères d’évaluation des résultats;- Développer un programme de mise en œuvre;- Préparer le Plan d’Action du territoire : ‘’qui fait quoi (responsabilités), avec

quelles ressources, dans quels délais’’.

Un programme peut consister en :- Mise en place d’une équipe dédiée;- Redéfinition du plan d’action, par projets (priorités, responsabilités, durée,

ressources, impacts attendus, système de suivi, mise en place de système de résolution de conflit,..)

Nécessité de motiver et maintenir le niveau d’implication et d’intervention des acteurs.

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La matrice SWOT (Strengths/Weaknesses et

Opportunities/Threats)

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 1. • le pays occupe une position stratégique dans la région,2. • il est situé sur la 2ème route maritime au monde,3. • Djibouti est depuis toujours, terre d'échanges et de rencontres,4. • la stabilité politique est un atout supplémentaire,5. • nationaux et étrangers bénéficient des même avantages,6. • la monnaie indexée au dollar US est librement convertible,7. • le système financier, exempt de tout contrôle de change, permet une liberté

totale de transfert de devises,8. • l’économie orienté vers le développement est pleine croissance, 9. • le pays bénéficie du soutien des institutions financières,10.• de grands projets d’infrastructures sont en cours,11. • le système de télécommunication le place parmi les meilleurs en Afrique,12.• de par ses infrastructures portuaires, Djibouti est le principal corridor de la

région,13.• Djibouti est une porte ouverte sur un Marché de plus de 400 Millions d'habitants.

13 RAISONS POUR INVESTIR A DJIBOUTI

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OPPORTUNITES

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Les principaux secteurs de croissance sont :

Le commerce du bétail: jusqu’à 4 millions de moutons, chameaux et vaches par an — de Djibouti, de l’Éthiopie, du Kenya et de Somalie vers l’Arabie Saoudite et, éventuellement, vers d’autres pays du Moyen-Orient comme l’Égypte, la Jordanie et la Syrie.L’agriculture et la pêche

Le secteur du tourisme : la livraison récente de la nouvelle tranche du Palace Kempinski [un hôtel à cinq étoiles dont on prévoit d’accroître la capacité à 1000 chambres] montre le développement du secteur hôtelier. Plusieurs projets d’hôtels à 4 et 5 étoiles sont dans les tiroirs, ainsi que l’aménagement de sites de plongée et la création de casinos.

La zone franche commerciale et industrielle autour du port

La construction de logements privés et de bâtiments industriels

Les activités bancaires avec la création d’au moins six nouvelles banques en plus des deux établissements français déjà présents et le déploiement de nouveaux produits financiers comme les financements de type islamique et la possibilité d’un système bancaire off-shore pour la région.

La santé : L’offre actuelle reste largement insuffisante L’éducation et la formation