MARS 2014

LE PREMIER MAGAZINE DU PÔLE UNIVERSITAIRE

L’interview exclusive de trois anciens de l’EMLV, fondateurs du mouton qui porte la moustache et fait des chaussures.

M . M o u s t a c h e

rendez-vous pages 4-5

Après de bonnes glis-sades sur les pistes, quelques rayons de soleil et un verre de vin chaud, il est temps de revenir au Pôle et d’attaquer ce mois de mars !

Pour ce numéro six, Interpôle vous fera un zoom sur les prochaines Leolym-piades qui feront leur grand retour d’ici peu. Vous saurez tout sur le succès du site « Adopte un mec » et découvrirez les meil-leurs festivals d’Eu-rope!

Aller, n’attendez plus pour découvrir ce nouveau numéro !

Bonne lecture !

EDITORIAL

INTERPÔLE MARS 2014

INTERVIEW M. MOUSTACHERetrouvez pages 4 et 5 l’interview

de trois anciens pas comme les autres

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L’importance des NTIC

Le phénomène Windows phone

Les smart-phones chinois

IIMEMLV ESILV8 1210

Crédits photo : PôletechIllustration : Fabien Grandvalet

> PAGE 4 : INTERVIEW

> PAGE 8 : ZOOM SUR ...

> PAGE 10 : PAGES EMLV

> PAGE 12 : PAGES IIM

> PAGE 14 : PAGES ESILV

> PAGE 16 : PAGES SPORT

> PAGE 20 : UN PETIT COUCOU DE...

> PAGE 22 : LA SÉLECTION INSTAGRAM

> Bonjour, vous êtes les fondateurs de M.Moustache, quel est votre parcours ? Guillaume Alcan, l’un des 3 fonda-teurs de M. Moustache. Nous avons tous les trois fait l’EMLV, là où nous nous sommes rencontrés en 2006. J’ai fait un master finance en 4e an-née avec Antoine, et Thibault était en marketing, nous avons décidé à ce moment là de reprendre la junior en-treprise de l’EMLV, c’est à ce moment qu’on a commencé a travailler sur des projets. Nous avons ensuite pris une année de césure. Antoine est parti faire de l’analyse financière, Thibault est parti chez Publicis où il s’est fait engagé, et moi je suis parti travailler un an à Shangai pour un groupe tex-tile. En rentrant, j’ai commencé mon master 2 avec Antoine, et nous avons décidé de créer une boite. Avec Thi-bault, qui est parti de chez Publicis au lancement commercial de M. Mous-tache

> Comment vous est venu l’idée de créer votre propre marque ?L’idée de base était de créer un pro-duit, plus que de proposer un service. Nous nous sommes donc lancés sur le marché de la chaussure, plus in-dépendant que celui du textile. Nous nous sommes dirigés vers l’incubateur du Pôle, Peego, qui nous a sélection-né. Du coup, notre stage de fin d’étude a été de monter la boite, pendant que Thibault continuait de travailler chez Publicis en parallèle.

> PAR ESTELLE LAUTRETTE

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INTERVIEW M. MOUSTACHE

> Toutes vos chaussures ont des noms de garçons, pourquoi avoir choisi ce concept ?On s’est dit qu’on n’allait pas révolution-ner le monde de la chaussure, mais on voulait proposer un produit à la fois chic et confortable, il nous manquait le petit plus pour faire la différence. Nous nous sommes dont penchés sur le dévelop-pement de l’univers qui accompagnerait nos produits. Nous avons donc donné des prénoms aux chaussures, présentées dans des caisses à vin.

> Vos produits sont en cuir, daims et contiennent parfois de la laine de mou-ton, comment les fabriquez-vous ?Tous nos produits sont fabriqués en Chine, puisque la production y est la meilleure en rapport qualité-prix. On ne voulait pas proposer une basket à plus de 100€, et comme j’avais déjà travaillé en Chine, nous n’avons pas eu de mal à trouver des usines à taille humaine pour la produc-tion. Pour les chaussures plus « casual », nous les produisons au Portugal, où on peut produire en petite quantité et de bonne qualité.

> Comment faites-vous connaître vos produits ?Au début nous n’avions pas beaucoup de moyens, il a donc fallu trouver un moyen de produire à moindre coût. Nous avons commencé par faire des shootings pho-tos un peu home-made, on s’est adressé à notre entourage (mon père est photo-graphe et ma sœur graphiste). Pour le lancement, on a utilisé seulement Face-book, en faisant une fanpage et en faisant des teasings qui révélaient les produits petit à petit. Le succès a été immédiat, nous sommes aujourd’hui distribués par 72 points de vente à Paris et en province, ainsi que sur notre e-shop, mais il nous reste encore beaucoup de travail pour gagner en notoriété dans le futur.

> Vous avez sorti Melle Rodolphe, un modèle pour femme, vous pouvez nous en parler ?Nous l’avons sorti l’hiver dernier pour faire un premier test de modèle féminin, qui a bien marché ! Mais être une marque homme avec un produit féminin n’est pas très cohérent. Nous avons donc choisi d’arrêter les modèles féminins pour le moment pour s’y concentrer en tant que

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vrai univers de marque femme pour l’hi-ver 2015, où nous travaillerions sur une vraie gamme, complète.

> Comment décririez-vous le style de vos collections ?Quand nous travaillons sur nos collec-tions, on s’intéresse à un univers parti-culier (street, maritime, Grands Boule-vards…), puis notre styliste nous propose de grand mood-board avec plein de pho-tos, et on lui dit ce qu’on aime dedans et ce sur quoi il doit partir. Il va en suite ré-fléchir à des couleurs et des modèles qui correspondent à cet univers.

> Un conseil pour un jeune qui souhaite entreprendre ?Le plus important lorsqu’on a une idée en tête, c’est de la partager, ça permet d’avoir des retours, des conseils de gens qui ont peut être plus d’expérience que vous. Au début on n’osait pas vraiment, on avait peur de se faire copier, on restait dans notre coin mais au final, le fait d’en avoir parlé autour de nous nous a énor-mément aidé !

Aussi, il faut beaucoup réfléchir avant de se lancer ! Le nombre d’entrepreneurs est croissant depuis les dernières années, donc c’est un milieu très concurrentiel, attention !En somme, il faut se poser les bonnes questions, et bien s’entourer !

> Comment voyez-vous le futur de M.Moustache ?Comme dit précédemment, nous avons 72 points de ventes. L’idée dans un futur proche est d’être vendus sur 100 points de ventes en France, et au moins le double sur l’Europe et le reste du monde. Un autre point, c’est la collection femme qui arrivera hiver 2015 avec sûrement une dizaine de modèles. A très court terme, nous souhaitons augmenter l’effectif ! A 4 c’est un peu « short », donc on va recru-ter deux nouveaux stagiaires et aller em-baucher. A côté, nous avons plein d’idées que nous souhaitons développer mais nous nous concentrons avant tout sur l’existant, pour vraiment avoir une base très solide et stable.

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ZOOM SUR...LES LÉOLYMPIADES

ConceptL’année 2013 vit pour la première fois apparaitre cet événement jusqu’alors inédit au sein de notre PULV, en effet, l’idée est venue d’un petit groupe d’étudiants souhai-tant apporter une touche originale et créative afin de vous divertir. Ne vous attendez surtout pas à un évènement comme dans le film « American Pie : campus en folie » où alcool, sexe et drogue sont des éléments indispensables. Non, les LéOlympiades, c’est avant tout une manifestation sportive réunissant l’ensemble des étudiants du Pole. En outre, les étudiants sont invités à constituer des équipes de 5 personnes afin de pouvoir participer à un grand nombre de défis proposés par l’ensemble des associations sportives du pôle. De plus, des activités non sportives vous seront aussi proposées, garantissant ainsi une équité parfaite entre étudiants.

> PAR REDOINE KHERBACHE

Elles sont enfin de retour !!!!!! Et oui, après un an d’attente, les Olympiades font leur grand « come-back » au sein de notre très cher et fidèle PULV. Comment ? Certains ne savent pas ce que sont les LeOlympiades !!!!!! Pas de panique étu-diants pulviens, votre dévoué magazine a décidé ce mois-ci de faire un zoom, non pas sur une seule association mais sur un événement inter-pulviens : les LéOlympiades !!

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ZOOM SUR...

Projet pour cette annéeCette année les LéOlympiades se dérouleront au Stade du Pré Saint-Jean à Saint-Cloud, non loin du Pole. Et le thème n’est autre que les Jeux Olympiques de Rio qui auront au lieu en 2016. Et oui, compétition et esprit d’équipe seront les mots clés lors de cet événement où les étudiants devront chercher les ressources nécessaires afin de soulever le Saint-Gall Olympique, le trophée des vainqueurs. Mais, la vic-toire n’est pas une fin en soi, plus important, la participation et le plaisir que vous procurera cette journée ayant pour but d’unir les étudiants dans la joie et la bonne humeur. On dit souvent que le sport rassemble les personnes, alors n’hésitez pas, constituez votre équipe et inscrivez-vous à cette manifestation. Au mieux vous serez vainqueurs et heureux, au pire vous vivrez un moment festif et convivial, donc ne perdez pas une seconde de plus !! Qui pour succéder à LéoVoile au Printemps 2014 ? Le choix vous appartient.

« L’essentiel n’est pas de gagner mais de participer »

Pierre de Coubertin”“

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Comment les entreprises se servent-elles donc de ces NTIC, et à quel escient, vous demandez-vous ? Et bien essentiellement pour faire de la communication ! Jusque là, ça parait logique… Mais il faut savoir que c’est devenu un élément indispensable, et qu’elles se doivent de le maîtriser.

EMLV

Au secours, nous sommes envahis par les NTIC ! Les NTI… Quoi ? Oui oui, les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication pardi ! Ne me dites pas que vous n’avez jamais entendu quelqu’un prononcer ce sigle, vous petits étudiants de l’EMLV, ou même vous, chers lecteurs de notre maga-zine Interpôle ? Mais il faut savoir que ces dernières touchent tout le monde, que ce soit le commun des mortels ou bien même les entreprises !

Vous n’êtes pas sans ignorer le fait que depuis quelques années, beaucoup d’entre nous ont eu tendance à tomber dans la spirale infernale des nouvelles technologies. J’entends par là, les techniques de l’audiovisuel, des multimédias, de l’internet et des télécommunications qui permettent de communiquer, d’échanger, de partager ou encore de produire des informations. De même, de plus en plus de personnes vivent en étant en permanence connectées sur les réseaux sociaux par le biais de divers appareils électroniques comme les or-dinateurs, Smartphones ou bien les tablettes ! Ainsi, d’aucuns sont libres d’être alertés en avant première de toutes les informa-tions concernant leurs sujets préférés ! C’est là que les entreprises entrent en jeu et se servent de ces moyens de communi-cation pour véhiculer les sujets qui leur tiennent à cœur, que ce soit les actualités, le lancement d’un nouveau produit, d’une campagne publicitaire… ou autre, notam-ment à l’aide des réseaux sociaux.

L’importance des NTIC> PAR MANON SOIHET

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EMLV

Par ailleurs, d’après un récent article du JDN (Journal Du Net), de nombreuses per-sonnes déplorent la non-utilisation des réseaux sociaux et des NTIC par les marques du Luxe en général, qui demeurent très inactives. Cela prouve bien, que tout le monde vit de plus en plus à travers cela, et que demain ne peut être imaginé sans, d’où l’ex-pansion ces dernières années de ce phénomène ! Alors, à vos Smartphones pour ne rien louper, et être à la page en permanence !

ils ne peuvent rien louper, et c’est bien leur but premier. Le fait est que les NTIC représentent une avancée considérable et permettent aux différentes entreprises d’accroître leur notoriété et d’avoir un moyen d’agir sur l’image qu’elles souhaitent donner aux consommateurs.

Par exemple, les multinationales, pour la plupart, ont des pages Facebook, des comptes Twitter, et il est même possible de trouver les responsables sur Linkedin ou encore Viadeo. Leur but est d’avoir le maximum de « likes » pour Facebook ou encore de « followers » pour Twitter afin de toucher le plus de personnes possibles lorsqu’elles divulguent des informations. Les gens étant connectés en permanence

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IIMLes smartphones chinois

> PAR PATRICIA AWAD

Bonne année ! Non je ne me suis pas trompée de numéro, récemment nous avons fêté le nouvel an chinois et qui dit chinois dit… ben dit industrie chinoise face aux défis technologiques, évidemment ! (vous l’aurez deviné avec le titre hein) Plus pré-cisément : l’industrie des smartphones chinois.Il existe actuellement de plus en plus de mobile chinois sur le marché, tellement que l’on ne sait plus quoi choisir. Lisez donc cet article pour mieux comprendre (ou découvrir) les options importantes à connaitre sur les smartphones chinois

Rivalisant parfois avec les plus grandes marques vous vous demandez peut être : pourquoi sont-ils populaires ?

Je vais tout te révéler, jeune samouraï !

IIM

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> Ne pas chercher le téléphone le moins cher du marché ressemblant à « ... » mais un téléphone dont tu auras l’utilité.> Les vendeurs qui vendent à prix coûtant n’existent pas mais certain vendeurs pré-fèrent parfois miser sur de gros volumes de vente à faible marge que sur la qualité (appareils et services), il en résulte souvent une absence de communication/services avec des vendeurs qui ne parlent que chinois ou très mal l’anglais (quand ils vous répondent)> Comme pour tous achats, avant d’acheter un smartphone chinois, il faut définir tes besoins.> Un smartphone chinois pour aller sur Internet ?Dans ce cas il te faudra un smartphone chinois 3G (Par ex avec CPU Mediatech MT)> Smartphone chinois avec pavé numérique, clavier Physique ou tout tactile.Quelle taille pour ton future Smartphone Chinois tactile ?3.5’’ >> Un peu petit (type Iphone)4.0’’ le plus courant actuellement (Iphone 5)4.3’’ ou 4.5’’ >> Courant chez Samsung Avec le S2, LG....4.8’’ >>Misant plus sur la longueur format 16:9e type Galaxy S35’’ à 5.3’’ >> Gros smartphone chinois format Galaxy note Samsung6’’ >> Gros smartphone chinois ou petite tablette> Android est présent sur quasiment tous les nouveaux smartphones chinois 3G et assure l’installation d’application via le Google Play et une utilisation Internet / mul-timédia

> Entre 130€ et 150€ pour un entrée de Gamme> Entre 160€ et 200€ pour un Smartphone digne de ce nom> Entre 200€ et 300€ pour les smartphones haut de gamme (écran 3D, Sortie HDMI, Nouveau CPU dual core, ecran HD ou QHD...)

Maintenant que je t’ai transmis mon savoir jeune samouraï, je te laisse dans ta paix et ta réflexion.

LES PRIX ?

LES SECRETS

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Steeven Ly élève de 3ème année ESILV, dont le nom a été modifié par mesure de sé-curité, a été identifié comme le patient zéro. Premier étudiant de l’Esilv à se montrer avec un Windows phone de type Nokia 1020, il a aujourd’hui décidé de se confier à la rédaction.

ESILV

Depuis environ un an déjà, quelque chose ne tourne pas rond à l’ESILV. Petit à petit, tel une épidémie qui se propage, un phénomène que nous, détenteurs d’iPhone ou d’Android ne parvenons pas à comprendre s’est mis à posséder nos camarades. Chaque jour, une nouvelle victime vient nous rappeler que de-main, ce sera peut-être nous qui utiliserons un Windows phone. Enquête.

Le phénomène Windows phone> PAR ARTHUR ÉLIE & MÉLANIE JOURNÉ

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Victime de ce phénomène ? Hésitant à changer de téléphone ? N’hésite pas à te ren-seigner sur le Windows Phone !

Damien, élève de l’ESILV lui aussi, a accepté de parler sous couvert d’anonymat. « Il faut bien que nos cours servent a quelque chose, en ce moment on fait du C#, et les applications Windows phone utilisent le même langage. Alors autant coder nos propres applications ! Et il y a aussi des applications inexistantes sur iPhone ou An-droid comme Morph it  !  » Ce qu’il ne nous confie pas en revanche, c’est qu’il est 75ème mondial sur 82 000 joueurs. Mais la rédac’ a enquêté pour vous.

Facebook, Flappy bird, Tinder, tout y est ! « Et c’est gratuit » rajoute-t-il. Émerveil-lement de la rédac’. Nous voilà donc convaincus que les trois OS se valent et se res-semblent. Mais y a-t-il quelque chose de plus ? Et si oui, quoi ?

Pourquoi dans ce climat actuel, ou la technologie est si belle, un futur ingénieur, censé représenter l’élite de notre société, s’impose-t-il cela ? C’est la première ques-tion que nous lui avons posé. « Mais les Windows phone c’est ouf » nous explique-t-il, dégainant en un éclair son engin. En effet, en quelques mouvements de doigts, une dextérité sans égal, Steeven nous expose une variété de fonctionnalités, qui, à notre grande surprise arrivent largement au niveau, technologiquement, de nos très chers iPhones (dans tous les sens du terme).

ESILV

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> PAR AXEL HUGON

PAGE SPORTDécouvre… le Kabaddi!

Le Kabaddi est un sport d’origine indienne qui se joue principalement au Pakistan.Kabaddi signifie « retenir son souffle ». Ça peut vous donner une idée de ce sport !

Deux équipes de 7 joueurs s’opposent sur un terrain d’environ 10m x 12,5m coupé en deux. La rencontre se déroule en deux mi-temps de 20 minutes pour les hommes et 15 pour les femmes, séparées par une pause de 5 minutes permettant aux joueurs de changer de terrain.

Ce mois ci, Interpôle vous fait découvrir un sport étrange… peut être même dangereux ! Enfin bon… je vous conseille de le pratiquer qu’en cas de… partiels ratés ! Voici le Kabaddi !

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PAGE SPORTLe déroulement d’une rencontre : A tour de rôle, les équipes envoient un « raider » de l’autre coté du terrain  : c’est l’équipe qui attaque. L’équipe qui défend forme une file en se tenant la main. L’ob-jectif de raider est de briser cette chaîne et de revenir dans son camp... le tout, en un souffle ! Si la chaîne est cassée, un membre de l’équipe défensive doit sortir du terrain et l’équipe qui attaque marque 1 point. Le but des défenseurs est d’empêcher le raider de retourner dans son camp. Dans le cas ou le raider inspire (ou meurt), il est éliminé et l’équipe qui défend marque 1 point.Sauf pendant une lutte avec le raider, un joueur est invité à quitter le jeu s’il dépasse les limites du terrain. Un joueur éliminé rapporte toujours un point à l’équipe ad-verse. Lorsque toute l’équipe adverse est éliminée, on parle de «  Iona »  : l’équipe remporte 2 points ! A la fin du temps réglementaire, c’est l ‘équipe qui a le plus de point qui remporte la rencontre.

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LE SPORT AU TOP  : Ce mois de Février a été marqué par les Championnats IDF de Karaté, en individuel et en équipe, qui ont vu les pulviens BRILLER ! On compte, au sein du PULV, 4 champions IDF, 5 vices champions et 3 troisièmes places ! Good Job !

LE RESULTAT : Ce mois-ci, le résultat célébré est l’ensemble des sacres Pul-viens ! Après les 12 podiums en Karaté, on compte également 6 titres de Champion IDF (double mixte de Badminton, en boxe anglaise -64 kg, en fleuret et en épée par équipe Hommes, en Kick Boxing -89kg et en Boxe Thaïlandaise -65kg) et 2 titres de vice champion IDF (fleuret féminin par équipe et Boxe Thaïlandaise -59kg). Bra-vo à vous !LES INVAINCUS : Suite à leur joli mois de Janvier, les handballeurs pulviens conti-nue de gagner grâce à leur victoire 31-27 sur UP13 Villetaneuse.

Le LEO D’OR de Février est attribué à Me-hdi OMARA pour son titre de CHAMPION de France sur 400 mètres haies !! Bravo !

Le fil rouge de la saison  : On avait lan-cé un défi aux Eagles le mois dernier et c’est lors de la 3ème rencontre qui s’est soldée par le score de 6-6 que la série a pris fin. Malgré leur victoire 6/0 lors du deuxième match, ils ont encaissé leurs premiers points lors de ce dernier match, mais ils restent invaincus  et en course pour le titre ! Go Eagles !

LA STAR : Petit détour en dehors du pôle pour féliciter l’étudiante de l’ESILV Es-telle MOSSELY pour son titre en Boxe, de championne de France 2014 (Champion-nat de France Amateur Senior Femmes) 60 kg !! Elle est sacrée pour la 3ème fois !! Bravo !! Direction JO ;)

Voici l’ensemble des équipes qui nous ont agréablement marqué ce mois-ci :

Résultats Pulviens de Mars 2014PAGE SPORT

A R EY O UREADY?

UN PETIT COUCOU DE...

L’hiver s’est bien installé en France et pendant que certains reviennent de leurs vacances au ski, d’autres bouclent leurs valises pour repartir en stage, quant aux derniers ils ont déjà repris le chemin du Pulv. Quoi de mieux que de lire les témoignages de nos expatriés pulviens aux quatre coins du monde, histoire de se réchauffer un peu le cœur ? Témoignage d’Erasmus ? Mais plus seulement, les stages ont bel et bien commencé. De la Californie, à Barcelone… en passant par Londres, il y en aura pour tous les goûts.

> PROPOS RECEUILLIS PAR CELIA DELBARD

Une année à Londres...

Étudiante à l’EMLV, Londres était mon premier choix et cela en vue d’obtenir « le bachelor of Business Administration », mais également car la capitale Anglaise est une ville qui bouge et qui ne cesse de croître. J’effectue donc deux semestres à la London South Bank University située dans le quartier d’Elephant and Castle. Concernant cette université, les profes-seurs sont des professionnels ce qui est très enrichissant. Par ailleurs, il y a peu de modules mais beaucoup de travail personnel, ce qui change du système français. Les matières sont très intéres-santes et la réalisation d’un mémoire de recherche également ! En ce qui concerne la ville, le coût de la vie est très cher, ce qui est à prendre en considération (je tra-vaille dans une boutique à temps partiel). J’apprécie énormément cette ville et la mentalité anglaise ; on ne s’ennuie jamais ! La ville est toujours animée et pour sor-tir, il y a le choix ! Les quartiers ont tous leurs propres styles. Je recommande cet échange car c’est une expérience enri-chissante, tant au niveau étude que de la vie étudiante.

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UN PETIT COUCOU DE...Un stage à la cool à Barcelona...

Pas envie de vous prendre la tête pour trouver un stage? Barcelone les amis ! Une recherche plutôt simple et ra-pide au vue du nombre d’offres de stage que cette ville propose et des vacances, à coup sûr prolongées! Vous ne pouvez pas vous rater, soleil (même en décembre), fêtes, découvertes, plage, repos, visites, culture, tout y est. Passer ses vacances à Barcelone c’est super mais finalement y travailler ce n’est pas si mal non plus. Les gens y sont super accueillants, aussi bien dans la rue qu’en entreprise. Ce qui vous donne des journées de boulot plutôt cool, sans stress, avec de quoi rigoler et de quoi travailler sur des choses intéressantes. En résumé : playa, fiesta, cerveza, sont les seuls mots qui vous se-ront réellement indispensables ! Ensuite la seule chose à laquelle vous devez penser, c’est vous dorer la pilule, rencontrer du monde, sortir, boire, sortir, boire …. Et ac-cessoirement, vous réveiller le matin pour aller bosser !

California Love ... Ce qui a motivé mon choix c’était avant tout l’idée de découvrir la Californie...Quoi de mieux que vivre au so-leil pendant 4 mois ? (je crois que je peux compter sur une main les jours où il a plu). Pour résumer mon ex-périence, je dirais qu’elle a été positive. Elle m’a donné l’opportunité d’être vraiment autonome, de découvrir des cultures différentes grâce aux locaux et aux erasmus rencontrés. J’ai également pu assister à des cours de qualité dans une bonne université (il faut admettre que ça donne un petit cachet au CV d’avoir étudié aux Etats-Unis), et dans un autre registre, j’ai eu l’occasion de vi-siter beaucoup de beaux endroits (Los Angeles, Las Ve-gas, San Diego...). Le seul bémol, c’est que sans voiture on ne va nulle part, tout est espacé, et les transports sont assez peu développés. Attention également aux étudiants qui ont moins de 21 ans, vous allez rater pas mal de choses qui font partie de la vie étudiante.

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> PAR CÉLIA DELBARDLA SELECTION INSTAGRAM

Des voyages, des assos déchainées, des shows, des soirées, des cours et des diplômes bien mérités. Un mois au PULV en image.A vos hashtags!

#pulv #zlatan

#nuitinterécole#dilôme #iim

#dvb #hoodie

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#leopompom

#st-valentin

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#lkw #pulv

> PAGE 24 : INTERPOLE A TESTÉ POUR VOUS

> PAGE 26 : LA CHRONIQUE CINÉMA

> PAGE 28 : #YOLOSWAG

> PAGE 30 : ARTS & CULTURE

> PAGE 32 : OH MY BUZZ !

> PAGE 34 : LA MINUTE MODE

> PAGE 36 : LES TIPS BEAUTÉ DE LYSOU

> PAGE 38 : A XXXKM DE CHEZ NOUS

> PAGE 40 : A XXXKM DE NOS TÉLÉS

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On va pas se mentir, on s’est payé un mois de février bien dégueu. Histoire de con-tinuer à fantasmer sur l’été, tant attendu, voici comme promis une sélection des meilleurs festivals d’Europe, histoire de te faire kiffer pendant nos deux seuls mois aux températures un tant soit peu normales. Enjoy.

INTERPOLE A TESTÉ POUR VOUSLes meilleurs festivals d’Europe

4 jours perdus au milieu de la campagne belge, entre 2 vaches et un champ d’éoliennes, le décor est posé. La programmation de malade réunit une populace des 4 coins d’ Europe alors pourquoi pas toi ? N’oublie tout de même pas ta jolie paire de bottes en plastique, en 25 ans, le soleil ne s’est pointé qu’à une seule édition. Enjoy.

Tout droit venu de la franchise ULTRA originaire de Miami, ce bon p’tit festoche prend place à Split et te reserve plus d’une surprise dans sa program-mation. On y vient des quatre coins de la planète, c’est te dire. C’est vite fait un Tomorrowland plus accessible, sans les décors trop fonsdé au bord de la mer.

Dans un cadre paradisiaque, au bord de la mer adriatique, les pieds dans l’eau (mais vraiment hein, c’est au bord de la plage). Que dire de plus... La programmation ne rassemble pas des poin-tures du monde de la musique, mais l’ambiance y est, alors pourquoi se priver ? Le plus : des croi-sières sont organisées tous les jours, alors, pour-quoi hésiter ?

Direction l’ile de Pula, en Croatie, petit paradis sur terre envahi par les anglais pour l’occasion. Orga-niser par la meme team que l’Outlook, on ne peut s’attendre qu’au meilleur. En plus, si tu décides d’y aller en mode yolo, tu peux louer ta tente et ton sac de couchage sur place. Que demande le peuple ?

Dour

Ultra Europe

Soundwave Croatia

Dimension

Partagez vos bons plans à contact@interpolemag.com25

INTERPOLE A TESTÉ POUR VOUS

Allez, il ne te reste plus qu’a économiser et te faire un bon road trip en Croatie, puisque clairement c’est là bas qu’il y en a le plus. Et puis comme d’hab, si t’as des bons plans à conseiller, que tu veux nous voir tester des trucs hard core, ou juste partager ton expérience sur un de ces festivals, n’hésite pas à nous contacter !

On reste sur l’ile de Pula, une semaine après le dimension. On te passe tout le blabla sur le décor de rêve et la prog monstrueuse, mais si t’as envie de te faire kiffer pendant 10 jours sur une ile para-disiaque, c’est l’occas’, ou alors tu peux prévoir tes vacances en aout ou en septembre, kifkif !

Tu réserves 3 jours mi juin, et c’est parti : direc-tion Barcelone ! Le soir, grosse teuf de 19h jusqu’à l’aube, et la journée, tu décuve en buvant de la sangria (faut combattre le mal par le mal, hein) et tu vas t’empifrer de tapas. Sinon, si tu es un war-rior, tu peux aussi continuer de teufer la journée, ouais, parce que Sonar, c’est jour et nuit !

Accroche toi bien, c’est parti pour une semaine depure folie ! 7 jours à Budapest, en Hongrie, au mi-lieu du mois d’aout, tu vas pas t’ennuyer ! Et si, à première vue, t’enfoncer à l’est de l’Europe, ca te botte pas plus que ça, rassure toi, il n’y a presque QUE des français ! Alors, on se chauffe ?

Dans un style assez différent, le Monegros prend place dans un désert. Oui oui. Bon, on va pas se mentir, heureusement que ça dure que 20h, parce que bon, il s’agit pas non plus d’y laisser ta peau. Hormis ce petit détail, ça vaut bien le coup d’y laisser trainer ses oreilles le temps de quelques heures.

Outlook

Sonar

Sziget

Monegros

LA REVUE CINÉMA

LA REVUE CINÉMA

Par Nawelle Alouani

Un volcan qui explose et une his-toire sans intérêt, voilà à quoi se résume Pompéi. Rien de bien extraordinaire dans cet énième péplum, prévisible à en mou-rir. Paul W.S Anderson aurait pu s’abste-nir.La première heure lourdingue du film nous plonge dans les bras de Morphée. La ressemblance avec le Gladiator de Scott est frappante mais, rien y fait, on ne rentre pas dedans. Le scénario est bi-don et la petite amourette des person-nages est déconcertante. La seule chose que l’on pourrait sauver de ce film sont les abdos de Kit Harington que l’on voit sous absolument tous les angles. C’est seulement après avoir bâillé une heure que l’on se réveille, enfin, pour voir exploser le Vésuve dans des effets spéciaux pas trop mauvais mais totale-ment désordonnés. Et pour couronner le tout on a droit à un ras de marée digne du film 2012. Finalement, Pompéi est catastrophique et n’aurait jamais du renaître de ses cendres.

Par Cyril Icekei

Vous avez vu Gladiator ? Parfait, épargnez vous une séance onéreuse et restez chez vous à regarder ce superbe film. Pompei vous fera perdre 2h de votre temps. Il n’a ni cohérence, ni inté-rêt narratif ou scénaristique, c’est juste un mauvais film.

Enfin presque, il y a tout de même deux trois choses relativement correctes, le film est visuellement sympathique, Kit Harrington (Jon de Game of Throne) vaut le détour (pour son physique, pas pour son jeu d’acteur) et les combats sont bien filmés, pas de caméra qui vous retournera l’estomac.

Mais cela ne sauvera pas ce film, rien ne le pourra.

En l’an 79, Milo, esclave d’un puissant marchand, est contraint de risquer sa vie en tant que gladiateur afin de racheter sa liberté et épouser sa bien-aimée romaine. Au même moment le Vésuve entre en éruption et menace la cité de ses immenses fumées noires. Cela ne présage rien de bon…

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LA REVUE CINÉMA

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Par Nawelle Alouani

Phil Lord et Chris Miller sont de retour pour notre plus grand plaisir. Les deux acolytes font vivre ces petits personnages jaunes qui ont bercé notre enfance dans un film plein de folie et de rebondisse-ments. La grande aventure Lego nous emmène au fin fond de l’univers my-thique des Lego. Dans un rythme endiablé, on traverse les époques à la rencontre de person-nages  tous plus attachants les uns que les autres. Bourré de références à la culture pop, le film enchaîne les trou-vailles brillantes. En passant par Star Wars ou le Seigneur des Anneaux, les 15 000 pièces utilisées bougent devant nos yeux et nous font retourner en enfance. A la fois émouvant et créatif, l’aventure Lego atteint son apothéose dans le der-nier quart du film qui nous transporte et où toutes les pièces prennent leur sens. Réunissant petits et grands La Grande aventure Lego vous prouvera que « Tout est super génial ! »

Par Cyril Icekei

Beaucoup d’entre nous ont joué avec des Legos, de tous genres et provenant de tous les univers possible et imaginables.

La grande aventure Lego combine tout notre imaginaire d’enfant et le trans-forme en une incroyable aventure ani-mé. Tous les petits scénarios que l’on a pu imaginé prennent vie sous nos yeux et pendant les 100 minutes de film, on se retrouve à avoir 10 ans.

Entre son visuel parfait et sa fin don-nant tout son sens à cet excellent film, La grande aventure Lego est une expé-rience rare que toutes les personnes ayant conservé une part d’enfance en eux devraient vivre.

Emmet est un personnage banal qui se retrouve impliqué malgré lui dans une quête extraordinaire afin de sauver le monde. Entraîné dans un périple rocam-bolesque il devra faire face à un redoutable ennemi. Mais le pauvre Emmet n’est absolument pas prêt à relever le défi.

Hipster? So mainstream bro ! (Part II)

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YOLOSWAG> PAR JONATHAN CHAMBERS

C’est vrai, le hipster, c’est un vaste sujet qui demande vraiment qu’on se penche sur la question, et qu’on a pas fini d’aborder. On remet donc le couvert ce mois-ci. Fini son image, son look, toussa toussa, on a compris, on sait tous en repérer un quand on le croise dans la rue. Non non. Ce mois-ci, on va regarder ce qui se passe dans sa tête, observer son comportement, et croyez-moi, c’est pas toujours d’une logique imparable !

Bah tant qu’on y est, allons-y. L’Instagram d’un hipster ça ressemble à quoi? Bah à des chatons, des nuages, des assiettes pleines de bouffe cuisinées par mamie, ou des sel-fies. Bah oui, le hipster est rêveur, sensible à la progéniture des chats qui se servent de ton jardin comme d’une litière géante, de mets raffinés, mais surtout, il se kiffe putain.

Instagram

La marque à la pommeNan mais allo? T’es un hipster t’as pas d’Iphone? Ha bah oui, ça parait logique, parce que sans Iphone, pas d’Instagram, et donc pas de planète qui peut juger le fabuleux repas que tu es sur le point de goinfrer. Ca fait le bohème fauché comme ça, mais il est hors de question de passer un coup de fil sans débourser 600 balles dans un téléphone, tu rigoles !

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YOLOSWAGCertes, t’as un Iphone avec capteur 8 mégapixels, mais ça c’est juste pour foutre un filtre sépia et un effet flou dessus. Pour prendre de vraies photos, rien de mieux qu’un argentique ! Mais le hipster n’est pas forcément ultra calé en photographie. Que ce soit avec un réflex ou un jetable, plus il y a de grain, plus il sera heureux.

Voilà voilà, on aurait encore plein de choses à dire, mais soyons raisonnables, est ce que ça vaut vraiment le coup d’écrire un pavé de 300 pages sur ce mouvement ? Non. Parce que bon, finalement, les vrais hipsters trouvent tout ça déjà mainstream, on en aura jamais fini. Et si jamais t’es a fond dans le délire et que pour toi, tout ça n’est qu’hérésie et diffamation, prends pas l’seum, hater !

Eh oui, c’est bien connu, à chaque fois que tu mets le contact dans ta caisse, tu niques un peu plus le pôle nord, et les ours meurent. Mais le hipster, lui, respecte la planète et se déplace en vélo. Mais comme le hipster refuse d’engraisser les grosses firmes amé-ricaines comme décathlon (je sais, c’est français, mais ça compte quand même), et bah son vélo, il l’achète chez Emmaus. Bim, il a en plus fait sa B-A.

Le hipster est amateur d’art. Mais attention, il aime l’art conceptuel, ce qui lui agite le neurone gauche. On oublie donc tout de suite les grands classiques comme Picasso ou Warhol, on va plutôt traîner dans les petites galeries peu fréquentées qui représentent des artistes qui ont vraiment compris le sens de la vie, et qui font monter la quote du LSD en bourse.

Ha bah tiens, la musique, sujet délicat. Si tu écoutes de la minimale, il y a de forte chance pour que ton Ipod ressemble a celui d’un hipster en 2010. Oui, vois-tu, le hips-ter a toujours une longueur d’avance. C’est un peu un visionnaire qui traîne dans les soirées underground berlinoises et revient avec LA perle rare qui fera vibrer tout le monde deux ans plus tard. Ou s’il a la flemme, il reste posé dans son canap’ à écouter radio Nova. Ca marche aussi.

Les vélos Emmaus

La musique

Les appareils photos argentiques

L’art

> PAR EMMA ROMEU

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ARTS & CULTUREPhotos dans le métro

La photographie traverse depuis quelques années une crise dont elle commence à peine à sortir. Après avoir tant lutté face à la peinture à ses débuts, la photographie s’est faite une place dans le monde artistique.En effet l’art est avant tout de la création, à travers certaines techniques certes, mais surtout au niveau de la pensée, de l’imagination et de la vision de l’artiste. L’art prend vie lorsque le spectateur perçoit le sens, le message de l’œuvre. L’Art n’est donc pas uniquement esthétique. Il a même aujourd’hui une vocation so-ciale, en décrivant et exprimant des tas de choses sur le monde. Les interprétations différentes de chaque œuvre permettent à l’homme de prendre du recul sur l’huma-nité.

C’est ce que recherche PREMIERS METROS – PARIS « Plus ou moins 5h30 à Paris. Qui sont ces gens à l’heure des premiers métros ? Pourquoi sont-ils là ? Portraits photo de ces lève-tôt (ou de ces couche-tard) pour remettre un peu d’humanité dans le ventre de Paris. »

LE CONCEPTQui sont ces gens à l’heure des premiers métros ? Pourquoi sont-ils là ? 

Premiers Métros est une galerie photo des voyageurs de l’aube, pour rappeler toute l’humanité qu’il y a dans le ventre de Paris. Ce projet est mené tôt le matin par Julien B.

Julien prend les premiers métros aux alentours de 5h35 et va à la rencontre des voyageurs, un peu au hasard. Il cherche des métro plutôt vides  ; lorsque la fré-quentation est trop importante, un chan-gement de ligne s’impose pour pouvoir parler tranquillement avec la personne et prendre un cliché avec une prise de vue «  dégagée  ». Les personnes qu’il inter-viewe sont souvent seules et dans leurs pensées. Il amorce la conversation en se présentant comme photographe, pré-sente ensuite son projet, et qu’avant de prendre la photo il souhaiterait s’entrete-nir avec eux. Il arrête vers 6h30, lorsque

les métros commencent à se remplir et à perdre leur semblant d’humanité.Il veille à bien noter la ligne sur laquelle il a rencontré la personne et le nombre d’arrêts pendant lesquels s’est fait l’échange, intègre ensuite la photogra-phie, et diffuse le portrait.

« Ce qui est étonnant à cette heure ma-tinale, c’est que les personnes sont en général très ouvertes et disponibles pour échanger ». Julien B.

Le fait que quelqu’un vienne parler à ces voyageurs matinaux, les distrait et leur fait oublier tout ce qui les contrarie, du-rant le court instant que dure l’échange. Parler d’eux leur fait sentir qu’ils sont importants et non pas transparents et apporte un peu de vie au métro, endroit triste de non partage, de guerre pour avoir une place assise. Ce projet nourri l’espoir qu’un lien social, d’humanité et de solidarité renaisse dans ce monde.

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ART & CULTURE

UN CONCEPT SIMILAIRE A NEW YORK

Premier Métro lui-même s’inscrit dans la lignée de L’inconnu du métro de Marie Dinkle, a inspiré L’inconnu du tramway, à Nantes. Ce concept est donc un mouve-ment qui se met en place petit à petit.Même à New York, l’idée se propage : Humans of New York.De quoi redonner l’espoir qu’un jour les hommes porteront plus d’importance à au-trui.

UN PORTRAIT«Je vais bosser, je suis agent de sécurité incendie. J’ai une grippe d’enfer, mais pas le choix, je dois travailler. J’adore le métro tôt le matin, c’est poétique. C’est zen. Nor-mal, le gens sont épuisés... Je connais bien le métro. J’y ai ...vécu pas mal d’années. Quand tu y vis, c’est différent. Tu dois toujours être sur la défensive. Tu sais jamais ce qui va t’arriver...» Christophe, 44 ans — à Métro, ligne 1.

Nous, à la rédac on est friand de buzz, mais aussi de belles histoires et même si on a pensé à créer « Adopte un Pulvien » (ne faites pas cette mine déçue), rassurez vous en vous disant que nombreux trouvent l’amour pendant leurs études supérieures. En attendant, c’est un secteur qui ne connait pas la crise. L’occasion pour nous de vous parler d’une Start-up Française innovante qui s’y connait en matière de buzz.

> PAR CÉLIA DELBARD

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OH MY BUZZLa déferlante « Adopte un mec »

Le phénomène Adopte un mec Encore un site de rencontres ? Oui mais pas n’importe lequel. C’est en 2008 que deux amis se sont lancés le pari de dépoussiérer les traditionnels sites de rencontres. Rencontrer un mec sur internet  ? Avant, c’était uniquement réservé à Martine, la grande cousine qui vit au fin fond de la Franche-Comté et qui s’est faite recaler à « L’amour est dans le pré ». C’était sans compter l’arrivé « d’Adopte un mec » qui se positionne comme étant « le meetic des jeunes ». Cela en laisse perplexe plus d’un ? Moi la première, jusqu’à ce que mes copines évoquent le sujet à nos traditionnels apéros du jeudi. Avec 5,7 millions d’inscrits en 2013, le succès de la start-up ne cesse de croitre. Alors quel est leur secret ?

Un super marché des rencontres Aussi simple que faire ses courses chez Auchan, le site propose d’ajouter à son « pa-nier », des mecs après avoir visité leur « fiche produit », tout en vérifiant bien que le produit est « disponible ». Attention les gars, la mode est aux « hommes objets ». Le site de rencontres préféré des 18-30 ans met les filles à l’honneur en les dispensant de frais d’inscription. Et cela n’a pas l’air de vous déplaire puisque le site revendique la parité des utilisateurs. L’idée est bel et bien de décomplexer le phénomène de ren-contre virtuelle, finies les promesses mielleuses, ici on parle de CDI, CDD, d’amitié coquine...

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OH MY BUZZ

31% du CA consacré au budget MarketingUne des clés du succès d’Adopte, est sans aucun doute sa capacité à créer le buzz. L’auto dérision est la marque de fabrique du site qui n’hésite pas à miser sur des opérations marketing décalées mais branchées. On ne compte plus les nombreuses campagnes publicitaires « Adopte un roux », « Adopte un barbu », … que nous avons encore en tête. Du monde virtuel au monde réel il n’y a qu’un pas, c’est la promesse du site qui a, en 2012 dernier, frappé un grand coup en ouvrant sa boutique éphémère où les célibataires parisiennes (et pas que) avait la possibilité de faire leur shopping parmi les produits mis en rayon pour l’opération.

Le Brand-content par Adopte un mecAdopte un mec, c’est avant tout un uni-vers. En ce début d’année, la start-up, signe son virage au « brand content » (création de contenu ludique permet-tant de fidéliser le consommateur). Ainsi, l’opération digitale «  shoppez lucienne » permettait aux utilisatrices de s’inscrire en équipe de deux, de re-cevoir des instructions afin de trouver Lucienne au BHV (partenaire de l’opé-ration) et de gagner 10 000 euros de shopping pour deux. L’opération qui a été un succès, a également été relayée sur le net grâce au fameux #shoppezlu-cienne. Une chose est sûre : Adopte, nous réserve encore bien des surprises.

Bonjour les filles, il est temps d’aborder une question importante : notre morpho-logie. Ainsi en fonction de la manière dont chacune d’entre nous est formée, on peut s’habiller de différentes façons. Et pour ce numéro de mars, nous avons décidé de vous parler des filles avec une morphologie en huit ! Si vous ressembler à Kim Ka-rdashian, Marylin Monroe ou encore Beyonce (on vous le souhaite), alors oui vous avez une morphologie en huit. Une morphologie en huit, c’est quoi ? C’est en général une poitrine généreuse avec des hanches marquées donc oui vous être une femme pulpeuse ! Qui dit femme pulpeuse, dit une certaine difficulté pour cacher les petits bourrelets des hanches ou du ventre.Mais, partez du principe que la morphologie en forme de huit reste la morphologie parfaite ! La plus sexy et la plus recherchée. Souvent on peut appartenir à plusieurs morphologies : pour connaitre votre morphologie, il suffit de se regarder bien atten-tivement et repérer la partie du corps qui est la plus large. Alors rentrons dans le vif du sujet, avec une morphologie en 8, vous devez impérati-vement : Ne pas oublier de marquer votre taille, avec des ceintures, des foulards noués au-tour de la taille. Vous pouvez également privilégier : des robes, des vestes et des manteaux cintrés. Vous pouvez également vous faire plaisir avec des jupes droites (si vous avez des cuisses fines) ou des jupes trapèzes, des décolletées plongeants ou des cardigans col V.En définitif, il faut en toute circonstance se fier à sa morphologie et malgré quelques petits défauts, par ci par-là, on peut toujours être bien dans son propre corps !Bonne journée ou Bonne soirée les filles !

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LA MINUTE MODELa morphologie en huit.

> PAR ANTHEA MA

Il est temps de se trouver le costume parfait. La première option qui peut s’avérer très coûteuse est de le faire tailler sur mesure, ou de le faire retoucher. Parlons de la deuxième option :

Personne ou presque n’est parfait, tu as peut être connu cette situation gênante quand tu trouves une veste, que dis-je, la veste !Tu choisis ensuite le pantalon en pensant que tout va bien se passer et tu pars l’es-sayer. Et là, la chute, la laideur, la coupe est moche ou la taille ne va pas, bref ça ne colle pas. Si c’est juste la taille qui ne va pas, tu pries pour que le costume ne soit pas vendu comme un tout et que tu puisses choisir une autre taille. C’est à ce moment que le vendeur te dit que chaque veste à son propre froc, pas moyen de changer la taille. Dommage.Mais la révolution est en marche, les marques haut de gamme s’inspirant des petits détaillants comme Zara et H&M commencent à séparer les vestes des frocs. Les stylistes l’ont bien compris, séparer les éléments donne une plus grande chance d’obtenir la perfection, l’ajustement idéal sans passer par le tailleur ou la couturière. Ainsi il sera aussi possible d’acheter seulement le pantalon ou la veste pour pouvoir dépareiller son costume selon ses envies.

Être mal foutu n’est plus un problème, tu trouveras toujours chaussure à ton pied, ou plutôt costume à ta taille.

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LA MINUTE MODEComment choisir son costume en 2014 ?

> PAR ADRIEN BRULÉ

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LES TIPS BEAUTÉ DE LISOUXRecettes de beauté

> PAR ELYSA DZEUANG

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Pour les peaux grassesGénéralement provoqué par un excès de sébum, cela peut créer un effet de brillance sur le visage.Pour le purifier, essayez le masque d’argile/citron : mélangez 2 cuillères à soupe d’argile vert, le jus d’un demi-citron et ajoutez-y 2 gouttes d’huile essentielle d’arbre à thé et une autre goutte d’huile essentielle de citron. Appliquez partout en évitant le contour des yeux, laissez poser pendant un quart d’heure puis allez rincer à l’eau tiède.Pour le masque vinaigre/concombre : pressez quelques fines tranches de concombredans un linge et faites-les macérer dans du vinaigre de cidre. Appliquez ce masque sur le visage, faite attention à éviter les zones sèches et le contour des yeux. Laissez agir un quart d’heure puis allez rincer.Pour le masque fraise/citron/miel : mixez quelques fraises, prenez 1 blanc d’oeuf etbattez le en neige. Mélangez ceci avec 1 cuillère à café de jus de citron et 1 cuillère àsoupe de miel. Appliquez sur le visage en évitant toujours le contour des yeux, laissezagir environ 20 minutes puis rincez à l’eau fraîche.Info : Le miel a des vertus antibactériennes, la fraise des propriétés anti-rides, le blanc d’oeuf resserre les pores et le citron purifie.

Me voilà de re-tour avec des re-cettes de beauté à préparer chez soi. Tout comme vous je suis étudiante et je n’ai pas forcément un énorme budget à dépenser en ce qui concerne les produits cosmé-tiques et les crèmes. Me ruiner pour ça ? NO WAY !

On oublie les produits hors de prix et place aux recettes de beauté fait maison 100% naturelle !

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Ce ne sont que des exemples de recettes, il en existe bien plus encore. Testez et optez pour la solution qui convient le mieux à votre peau. Une recette maison fait bien plus de miracles qu’une crème hors de prix !

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LES TIPS BEAUTÉ DE LISOUX

Pour les peaux sèchesEn général, les peaux sèches sont dues à un manque d’hydratation et cela en-traîne des tiraillements de la peau et des rugosités. Pour y remédier, préparez vous un masque à l’avocat. Pour ce faire, pre-nez la chair d’un avocat bien mûr, écra-sez-la jusqu’à ce que cela devienne de la

purée, puis mélangez avec un peu d’huile d’olive. Appliquez sur votre visage et rin-cez au bout d’un quart d’heure. Pour la crème de soin : mixez 2 cuillères à soupe de flocons d’avoine, ajoutez 3 cuillères à soupe d’eau chaude pour faire gonfler la poudre et 2 cuillères à café d’huile de germe de blé ou d’amande.

Pour les peaux sensiblesCe type de peau est la plupart du temps difficile à traiter car il est hyper-réactif.Préparez vous un masque à l’avoine : mélangez 3 cuillères à soupe de farine d’avoineavec 1 à 2 cuillères à soupe de vinaigre de cidre diluées dans la même quantité d’eau dans le but d’obtenir une pâte plu-tôt épaisse. Etalez bien sur votre visage et gardez le jusqu’à ce qu’il soit sec. Après cela, rincez et terminez en appliquant une lotion adoucissante.

Info : l’avoine est idéale pour traiter l’acné et les irritations cutanéesPour le masque poudre d’amande/yaourt/miel : Prenez 3 cuillères à soupe de poudre d’amande, 3 cuillères à soupe de yaourt entier, 3 cuillères à café de miel et mélangez letout. Appliquez sur votre visage, le cou et le décolleté en évitant le contour des yeux. Massez légèrement, en douceur, insistez bien sur la partie cen-trale (front, nez, menton) et rincez à l’eau tiède.

Pour nettoyer le visageAstuce noyau de mangue : après avoir mangé le fruit, gardez le noyau où il reste un peu de chair et passer le doucement sur votre visage. Gardez pendant 5 – 10 minutes ce qui a été déposé sur votre peau puis rincez votre visage à l’eau tiède.Info : la mangue permet de nettoyer la peau plus profondément, de déboucher les pores et d’éclaircir le teint.

Me voilà de re-tour avec des re-cettes de beauté à préparer chez soi. Tout comme vous je suis étudiante et je n’ai pas forcément un énorme budget à dépenser en ce qui concerne les produits cosmé-tiques et les crèmes. Me ruiner pour ça ? NO WAY !

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> PAR ROUCOOL

A 3618,5 KM DE CHEZ NOUSLes JO de Sotchi les plus chers de l’histoire

« Plus vite, plus haut, plus fort », c’est le slogan des Jeux Olympique mais en Rus-sie il prend une autre signification.

Au total, les coûts d’installation et de personnel s’élèvent à 37 milliards d’euros dont 2 milliards sont dédiés uniquement à la sécurité des athlètes et des installations (en 2012 les coûts s’élevaient à 15 milliards d’euros pour accueillir 3 fois plus d’athlètes). On compte : 40 000 policiers chargés de la surveillance et des contrôles, 30 000 soldats de l’armée russe surveillant « la zone interdite » : frontière Russie/ Géorgie. De nombreux agents du FSB sont en stationnement dans la région de Sotchi ainsi que 10 000 spetsnaz (groupe d’intervention spécial) qui sont postés dans les mon-tagnes. On peut y ajouter 1 700 auxilliaires des services de secours, 820 cosaques et 15 agents du FBI.

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A 3618,5 KM DE CHEZ NOUSPourquoi tant de mesures ? Tout d’abord les risques d’attentats sont élevés pour la Russie. L’autoproclamé « émir du Caucase », Dokou Oumarov a menacé plusieurs fois le pays. Les islamistes luttant contre le pouvoir Russe en Tchétchénie et au Daghestan pourraient utiliser un atten-tat à Sotchi pour faire entendre leur voix. Une zone de manifestations a été installée à plusieurs kilomètres du lieu des jeux, permettant de contrôler le nombre de manifestants. Cette zone de liberté fait polé-mique. De nombreuses ONG voient de la part de Poutine une violation des droits de l’Homme et un moyen détourné de lutter contre la « propagande homosexuelle ». D’ailleurs Hollande et Gauck ne viendront pas aux jeux pour marquer leur désappro-bation (efficace ? ). Le manque de tolérance du pays envers les homosexuels n’est pas le seul sujet des manifestations. Il y a 150 ans, les circassiens ont été exterminé par le tsar Russe à l’endroit des JO. Depuis 2007 les circassiens manifestent, ils demandent la recon-naissance de leur génocide, leur indépendance et l’annulation des jeux (ça c’est un peu trop tard).

Néanmoins les JO ont des point positifs pour la région. Les dépenses pour les trans-ports comme la création de voies de chemin de fer, d’un nouveau terminal d’aéroport et d’hôtels vont sûrement rendre la région plus dynamique sur le long terme.

A 495.02 KM DE NOS TVBenefits Street ou la rue maudite

On n’est pas habitués à ce genre d’émission dans un pays aussi traditionnel et conser-vateur, pourtant une chaîne a décidé de montrer aux spectateurs la réalité des choses c’est-à-dire vol à l’étalage, consommation de drogues, arnaques aux allocations… la vie de débrouille des marginaux, des outsiders si vous préférez, de la rue James Tur-ner. Et comme vous pouvez vous en douter, ce reality show a fait polémique lors de sa diffusion le 8 juillet et pourtant il a réuni plus de sept millions de téléspectateurs.

Ca y est l’Angleterre est en émoi ! Depuis quelques temps, une émission est dif-fusée sur les antennes de Channel 4, une émission de téléréalité nommée « Be-nefits Street » autrement dit « La rue des allocs » en français. Le concept ? Suivre le quotidien hors la loi des habitants de Birmingham, deuxième ville la plus défavorisée d’Angleterre, où le taux de chômage est plutôt élevé puisqu’il atteint 16,5%, soit deux fois plus que le taux national.

> PAR MARIE_CAROLINE ROYET

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A 495.02 KM DE NOS TV

Une indignation générale a saturé les réseaux sociaux ce soir-là. Les anglais se sont insurgés de cette « racaille ». Une pétition a été lancée pour stopper l’émission car certains anglais, dont Monsieur Osborne, ministre des Finances, considèrent que les chômeurs n’ont pas à recevoir autant d’aides sociales. « Où est la justice pour le travailleur qui s’en va au travail tôt le matin alors qu’il fait encore nuit, et voit les ri-deaux fermés de son voisin qui se la coule douce grâce aux allocations ? » Une vision un peu trop réductrie à mon goût mais qui a quand même causé une coupure de 12 milliards de livres destinées aux aides sociales.

Un portrait assez cru est dressé de ces habitants, leur intimité est dévoilée au monde entier, leur quotidien est scruté, un quotidien souvent vide et sans intérêt. Pourtant les habitants sont toujours filmés avec le sourire aux lèvres ! On s’aperçoit très vite au cours des épisodes que leurs vies ne sont pas si outrageuses que ça, un coté hu-main en ressort. Ils sont laissés pour compte par la société alors qu’ils ont le droit comme tout le monde de travailler et de ne pas être exclus. Après tout, ce sont des humains comme les autres mais que la société a rendu « abrutis » de par leur dé-pendance aux allocs. A suivre…

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