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Bohemian Films présente

Sylvie Testud

dans

INSOUMISES

INSUMISA Un film de Fernando Perez et Laura Cazador

Avec Yeni Soria, Antonio Buil, Hector Noas et Mario Guerra

Suisse / Cuba, 2018, 94’

Fiction, Couleur, Version originale espagnole sous-titrée FR, Dolby surround 5.1

SORTIE ROMANDE LE 28 AOUT 2019 Images : http://sister-distribution.ch/insoumises/

Distribution Sister Distribution 4 rue des Marbriers, 1204 Genève +41 22 808 08 63 [email protected]

Production Bohemian Films

André Martin www.bohemianfilms.ch

[email protected]

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Table des matières

1. Pitch ....................................................................................................................... Page 4

2. Genèse et fabrication du film ................................................................................. Page 5

3. «Insoumises», l’épopée d’une oubliée de l’histoire (Le Temps du 9 mars 2019) .......... Page 8

4. Casting ............................................................................... ……………………….Page 10

5. Equipe .................................................................................................................. Page 11

6. Réalisation

Fernando Perez ................................................................................................... Page 12

Laura Cazador ..................................................................................................... Page 14

7. Production ............................................................................................................ Page 15

8. Festivals (en cours) .............................................................................................. Page 16

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Pitch Janvier 1819. Enrique Faber, médecin-chirurgien suisse né à Lausanne, débarque à Cuba à la recherche de son fils. Après quelques semaines, il découvre que celui-ci a été brûlé vif durant l'attaque d’une plantation par des esclaves en révolte. S'installant non loin de là, à Baracoa, il reprend peu à peu le dessus en ouvrant un cabinet où il soigne riches et pauvres, noirs, blancs et esclaves. Son succès comme médecin, son engagement contre l’esclavage et son mariage avec Juana, une belle et jeune campagnarde dont la réputation a été salie, font bientôt naître les pires jalousies. Des rumeurs malveillantes courent aussitôt sur sa voix haut perchée et son aspect fragile. Une nuit, des hommes envoyés par le puissant trafiquant d’esclaves Benitez lui tombent dessus et le déshabillent. Ils découvrent qu’Enrique est une femme. Enrique(ta) Faber est jeté(e) en prison. Commence alors le procès le plus scandaleux de toute l’histoire coloniale cubaine. Basé sur une histoire réelle et des faits historiques

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Genèse et fabrication du film Insoumises raconte l’histoire incroyable mais vraie d’Henriette Faber, une Lausannoise partie à Cuba au début du XIXème siècle. Vêtue en homme pour pouvoir exercer la médecine, profession alors interdite aux femmes, elle tombe amoureuse de Juana, une jeune femme pauvre des environs. Leur mariage ainsi que l’affirmation de ses convictions anti-esclavagistes marquent le début de sérieux ennuis.

Aux origines : destins croisés d’une Vaudoise et d’une Genevoise à Cuba

En 2005, la jeune cinéaste genevoise Laura Cazador entend parler de la vaudoise Enrique(ta) Faber sur un tournage à La Havane, où elle travaille comme assistante de réalisation. Elle lui est présentée comme la première femme médecin de Cuba, et le premier cas connu – rétrospectivement – de mariage lesbien. Son vif intérêt pour cette histoire est réanimé à l’occasion d’un nouveau séjour à Cuba en 2009. De retour sur sol helvétique, elle décide d’écrire un film sur cet incroyable destin, et propose au cinéaste cubain Fernando Perez une collaboration tant à l’écriture qu’à la réalisation. Ils se connaissent depuis plusieurs années et ont été amenés à travailler ensemble dans le cadre du collectif Espera… Espera Bioprod. En 2010, Laura Cazador approche André Martin de Bohemian Films pour lui soumettre son projet. Hasard heureux, le producteur a aussi eu vent de l’histoire d’Enrique(ta) Faber et accepte de concrétiser le film.

Immersion dans la Cuba d'il y a 200 ans

Commence alors, pour Laura Cazador et Fernando Perez, un long travail de recherche, de documentation et d’écriture, à Cuba. S’il existe un certain nombre de romans, d’articles et même une pièce de théâtre sur le thème, la seule source historique solide s’avère être les archives du procès, conservées au Tribunal de La Havane. Les scénaristes prennent le parti de laisser libre court à leur inspiration à partir des faits réels. Ils utilisent par exemple des extraits originaux de l’accusation du procureur pour la scène du jugement, mais imaginent complètement les aspects plus intimes de l’histoire, comme le moment de la confession d’Enrique(ta) Faber à Juana de Leon au sujet de son véritable sexe. Les auteurs-réalisateurs s’attachent également à comprendre le contexte socio-politique cubain de l’époque. Ils choisissent d'en restituer l'essence, plutôt que de procéder à de grandes reconstitutions. Il s'agit d'une période décadente et contradictoire de l'histoire cubaine, entre oppression coloniale, aspirations indépendantistes naissantes et rébellions d’esclaves d’un côté, et tentatives de syncrétisme du catholicisme espagnol et des religions africaines de l’autre. Ils souhaitent que ces différents aspects se reflètent à la fois dans le son et dans l’image du film.

Un défi sonore et musical

Ainsi, une pièce musicale mêlant tambours et musique classique est spécialement imaginée et composée pour le carnaval du Jour des Rois, en collaboration avec la designer de son cubaine Sheyla Pool. De manière générale, les réalisateurs conçoivent avec cette dernière une bande-sonore la plupart du temps très simple et réaliste, à

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l’exception du prologue qui retrace le fil de la mémoire tourmentée de la protagoniste, et de quelques autres scènes. Afin de renforcer l’austérité des temps évoqués dans le film, il est décidé avec le compositeur suisse Philippe Héritier d’utiliser uniquement des musiques diégétiques. Enfin, pour l’enregistrement du son direct, il faut composer avec tous les bruits de la Cuba moderne (pots d’échappement des vieilles voitures américaines tuberculeuses, klaxons personnalisés, reggaeton à tue-tête…) et s’armer de patience. Finalement, environ la moitié des dialogues devra être refait en post-synchronisation entre Genève et La Havane.

Une image à trouver

Concernant l’image, un travail important est réalisé avec le directeur de la photographie Raul Perez Ureta et le directeur artistique Alexis Alvarez au moment de la préparation du tournage pour reproduire avec sobriété la réalité dure, sale et contrastée de la Cuba de l’époque. Lumières, costumes, maquillages et décors sont ainsi passés au crible fin dans le but d’acquérir pour le film une texture réaliste, usée, dégradée, mate, très peu colorée, qui ait du «corps».

Casting

Une attention toute particulière est portée au casting, les acteurs et figurants devant répondre à des exigences historiques précises ne correspondant pas nécessairement aux modes actuelles. Ainsi, il faut des moustaches, des barbes et des cheveux plutôt longs, jamais rasés. Tatouages, piercings, sourcils épilés et teintures capillaires sont en outre évidemment proscrits. Par ailleurs, pour interpréter les esclaves, les réalisateurs ont besoin de chevelures naturellement crépues, et non lissées à la kératine comme c’est souvent le cas aujourd’hui. De même, des peaux très noires sont recherchées, et non métissées (il y avait encore peu de mélange racial à Cuba au début du XIXème siècle, contrairement à aujourd’hui).

A la recherche d'un couple d'insoumises

Mais c’est surtout pour les deux rôles protagonistes, Enrique(ta) Faber et Juana de Leon, que les cinéastes s’efforcent de «voir au plus juste». Dès le début, il semble évident que le premier doit être tenu par une actrice européenne, en premier lieu pour l’accent étranger dont est pourvu le personnage à son arrivée à Cuba. L’intérêt manifesté par la française Sylvie Testud pour interpréter Enrique(ta) semble ainsi tomber à pic. Son physique androgyne, sa disposition à apprendre très sérieusement l’espagnol en quelques mois et sa capacité à entrer dans la peau de cette insoumise vêtue en homme, à la fois froide, hermétique et fragile en font une option de choix. L’interprète de Juana de Leon, la jeune actrice cubaine Yeni Soria a été remarquée par les réalisateurs des années auparavant lors d'un stage à l'Ecole de cinéma de San Antonio de los Baños. Elle est aussi choisie en fonction des caractéristiques physiques de Sylvie Testud (notamment taille, poids et forme du visage). Il s’agit que le couple «fonctionne», que l’image de Juana de Leon «n’affaiblisse pas», ou plutôt «ne féminise pas» celle d’Enrique(ta) Faber, tout en ayant la force et l’irrévérence nécessaires à ce personnage maltraité par la vie.

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Sets de tournage

Pour des questions logistiques, tous les lieux de tournage sont trouvés aux alentours de La Havane. Un vrai défi à l’aune des particularités géographiques de l’est de Cuba, plus encore de Baracoa. Mais l’existence à l’intérieur et autour de la capitale de nombreux bâtiments à peine rénovés et de paysages variés, agrestes, sauvages et luxuriants – surtout pendant la période de tournage, en pleine saison humide -, sont autant d’alliés. Le film est ainsi notamment tourné à Puerto Escondido (en direction de Matanzas) où est construit le bohio (cabane) de Juana en pleine nature «baracoesque», entre montagne et mer; dans le domaine d’Angerona, vers la province de Pinar del Rio où la vieille bâtisse d’un allemand du XIXème siècle, classée patrimoine national mais en piteux état, servira de cabinet à Enrique(ta) en échange d’une rénovation bienvenue, négociée avec l’historien du lieu ; et à Régla (quartier populaire de La Havane) où les demeures du XIXème siècle sont quasiment intactes et où est installée la maison des Garrido dans le bâtiment des Anciens combattants de la révolution cubaine. Et puis, le Peñon de Santa Cruz offre le décor idéal pour l’abîme où se trouve la nonne Enriqueta, prise dans ses souvenirs devant une mer déchaînée. Si l’époque du tournage ne semblait pas propice à la présence de fortes vagues et de vent, l’arrivée du cyclone tropical Irma début septembre 2017, a permis de capturer de puissantes images, qui ouvrent et concluent le film.

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«Insoumises», l’épopée d’une oubliée de l’histoire Par Sylvia Revello, Le Temps du 8 mars 2019

Elle fait partie de ces figures féminines que l’histoire nationale a ignorées. Enriqueta Faber, née à Lausanne en 1791, est la première femme à avoir exercé le métier de médecin à Cuba, sous les traits d’un homme. Inconnue en Suisse, elle est devenue l’icône de la communauté lesbienne, transgenre ou encore des militants antiesclavagistes sur son île d’adoption. Le film Insoumises lui rend hommage sous les traits de Sylvie Testud. Méconnaissable, l’actrice française incarne à la perfection ce personnage flamboyant dont l’éthique ne fléchit devant aucun obstacle.

C’est lors d’un séjour à Cuba, il y a dix ans, qu’André Martin, producteur du film, entend parler pour la première fois d’Enriqueta Faber. «On me l’a d’abord présentée comme une Allemande, raconte-t-il, chacun réécrivait son histoire à sa manière; il existait de multiples versions parfois contradictoires.» De retour en Suisse, André Martin fait des recherches et découvre que cette femme au parcours extraordinaire est Suisse.

Que sait-on d’elle? Mariée très jeune à un soldat enrôlé dans les troupes napoléoniennes, Enriqueta se retrouve veuve à 18 ans. Déguisée en homme, elle part alors à Paris pour étudier la médecine, puis s’embarque pour Cuba en 1819. Dans la ville de Baracoa, dans l’est du pays, elle devient Enrique Faber, ce chirurgien à la peau claire qui soigne les nécessiteux et intrigue la bonne société locale. Lorsque la vérité éclate sur son mariage avec une femme en 1823, elle se retrouve au cœur d’un des procès les plus scandaleux de l’histoire coloniale de Cuba.

L’atmosphère capiteuse de Baracoa, saturée de valeurs religieuses, transparaît à merveille dans Insoumises. Dans la moiteur tropicale de l’île rompue au commerce d’esclaves, où les inégalités sociales crèvent les yeux, Enriqueta Faber refuse la domination blanche. Au milieu des effluves de cigares et de rhum, de la végétation luxuriante qui enserre la cité coloniale, elle se dresse face aux préjugés, repoussant les faveurs d’une société clientéliste qui voit en elle une alliée.

Puis vient la rencontre avec Juana de Leon, belle sauvageonne que la société rejette pour avoir perdu sa virginité avant le mariage – elle a en réalité été violée par un influent marchand d’esclaves. Enriqueta la sauve d’une fièvre tenace et, très vite, l’idylle brûlante s’enracine. A l’église, le mariage est célébré avec ferveur et dentelle noire, un tremplin qui affranchit Juana des commérages. Dans le même temps, les manières peu viriles du médecin sont de plus en plus questionnées. Lorsque son travestissement apparaît au grand jour, les flammes et bientôt les foudres de la justice coloniale se déchaînent contre elle. Séparée de Juana qu’elle tente de sauver de l’opprobre, Enriqueta ne trouve la rédemption que seule, face à la mer.

«Pour incarner Enriqueta Faber, personnage haut en couleur, sombre et complexe, Sylvie Testud s’est investie sans compter, souligne André Martin. Non seulement dans le jeu, mais aussi dans l’apprentissage de la langue.» L’actrice a en effet dû apprendre l’espagnol pour les besoins du film. Une corde de plus à son arc, elle qui a déjà tourné

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en allemand et en japonais. Le résultat est très probant, même si le personnage francophone laisse une petite marge de manœuvre.

Fruit d’une maturation de plus de sept ans, Insoumises a bien failli ne jamais voir le jour. «Coproduit par Bohemian Films, l’Institut du cinéma cubain et la RTS, il n’aurait pas pu se tourner, raconte André Martin, sans le soutien de Vera Michalski-Hoffmann.»

A l’été 2017, le tournage démarre dans des conditions parfois rocambolesques. «Nous étions sans cesse tributaires des pénuries, du bruit incessant, de la météo capricieuse, raconte André Martin. Cuba est un pays qui marche au bord du gouffre, étranglé par l’embargo américain.» Ce qui a transformé le tournage en défi logistique. «Il est arrivé qu’on doive s’arrêter parce qu’il manquait des clous ou de la peinture pour finaliser les décors d’époque, souligne-t-il. Heureusement que la débrouillardise latino-américaine et l’extraordinaire savoir-faire des équipes cubaines viennent à bout de tout.» Le premier et le dernier plan du film s’ouvrent sur une falaise battue par des vagues immenses. «C’était juste quelques heures avant l’arrivée de l’ouragan Irma.»

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Casting

Sylvie Testud

Yeni Soria

Antonio Buil

Hector Noas

Giselle Gonzalez

Mario Guerra

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Equipe

Scénario et réalisation : ........................................... Fernando Perez – Laura Cazador

Producteurs : ............... André Martin – Ramon Samada Suarez – Danilo Leon Alonso

Coproductrices : ............................ Françoise Mayor (RTS) – Vera Michalski Hoffmann

Producteurs associés : ............................................. Alain Rabufetti – Mario Bondanini

Direction de la photographie : ............................................................ Raul Perez Ureta

Direction artistique : ................................................................................ Alexis Alvarez

Montage image : .................................................................................... Rodolfo Barros

Musique : .............................................................................................. Philippe Héritier

Mixage : ................................................................................................. Denis Séchaud

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Réalisation

Fernando Perez

Licencié en langue et littérature hispanique de l’Universidad de la Habana en 1970. Membre de l’Instituto Cubano de Arte e Industria Cinematográficos (ICAIC). Critique de cinéma pour la revue CINE CUBANO et de nombreuses publications. «Corresponsales de guerra» Prix de Casa de las Amèricas en 1982. Professeur à de nombreuses reprises à l’école de Cine y Televisión de San Antonio de los Baños, créée par Gabriel García Márquez. Elu cinéaste cubain de la décennie par l’Asociación Cubana de la Prensa Cinematográfica, en 1990. «Hello, Hemingway» nominé aux Goya de 1990, Meilleur film ibéro-américain, Prix de la Critique de Cinéma, New York, en 1990. «La vida es siilbar» Goya du meilleur film en 2000 et Sundance/NHK International Film Award. «Suite Habana» Film d’ouverture au Festival de San Sebastián en 2003, nominé aux Goya en 2003. Membre du jury dans de nombreux festivals internationaux. 2007, Prix national de «Cinematografía en Cuba».

Filmographie

Plus de 20 documentaires entre 1974-1984

1987 – CLANDESTINOS

! Prix de la première œuvre et Prix d’interprétation féminine au Festival del Nuevo Cine Latinoamericano

! Prix du meilleur film et Prix d’interprétation masculine au Festival de Cartagena

1990 – HELLO, HEMINGWAY

! Premier Prix, Festival del Nuevo Cine Latinoamericano

! Grande distinction de l’Asociación de Cronistas Hispanos de Nueva York

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1994 – MADAGASCAR

! Prix spécial du jury, Festival del Nuevo Cine Latinoamericano

! Prix “Caligari” au Festival de Berlin

! Prix du meilleur film ibéro-américain, Sundance Film Festival

! Premier Prix, Festival de Biarritz

1998 – LA VIDA ES SILBAR

! Premier Prix Coral, Prix de la meilleure photographie et Prix FIPRESCI, Festival del Nuevo Cine Latinoamericano

! Prix de la critique hollandaise, Festival de Rotterdam

! Prix CICAE, Festival de Berlin

! Prix international Ennio Flaiano de la meilleure œuvre étrangère en Italie

! Goya du meilleur film ibéro-américain

! Sundance/NHK International Film Award

2003 – SUITE HABANA

! Premier Prix Coral y Prix FIPRESCI, Festival del Nuevo Cine Latinoamericano

! Prix Luis Buñuel (avec «Los lunes al sol ») de la Federación Iberoamericana de Productores de Cine y Audiovisuales (FIPCA)

2006 – MADRIGAL

! Mention spéciale, Festival de Toulouse

! Prix spécial du jury et Prix de la meilleure direction artistique, Festival de Nuevo Cine Latinoamericano

! Premier Prix, Festival de Utrecht

2010 – JOSE MARTÍ: EL OJO DEL CANARIO

! Prix de la meilleure réalisation et Prix de la meilleure direction artistique, Festival del Nuevo Cine Latinoamericano, La Habana

! Prix de la meilleure réalisation et Prix de la meilleure direction artistique, Festival de Cine de Huelva

! Deuxième Prix du public, Festival de Lima, Perú

2018 – ULTIMOS DIAS EN LA HABANA

! Sélection officielle hors compétition, Festival de Berlin

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Laura Cazador Née en 1983 à Genève, Laura Cazador (Hunter-Houvet Sardiñas Garcia) a été plongée très jeune dans le cinéma par un papa cinéphile et distributeur de films du sud. Partie étudier le scénario et la réalisation à Cuba à l’âge de 19 ans, elle participe à plusieurs projets avec des collectifs indépendants à La Havane et à Genève, dont le documentaire Anatomie d’un film cubain: le cas h2o en 2008, avant d’écrire et de réaliser en 2013 le moyen-métrage de fiction Lucia 21. En 2016, son scénario Being Ana est sélectionné pour des rencontres auteurs-producteurs dans le cadre du 69e Festival de Cannes. Quand elle ne fait pas de films, elle prépare un master en histoire ou écrit des nouvelles et des articles.

Filmographie

2008 — ANATOMIE D’UN FILM CUBAIN: LE CAS H 2 O 26’, Documentaire (Co-scénario et co-réalisation) 2013 – LUCIA 21 36’, Fiction (Scénario et réalisation)

! Muestra Joven, La Havane ! Festival AluCine Latin Film+Media Arts Festival, Toronto ! Festival de Cine Guerillero, Lima ! Festival Filmar en América latina, Genève ! Muestra libre, Murcia ! Festival des Cinq Continents, Ferney-Voltaire

2015 – VERDE VERANO 3’, Vidéo clip (Scénario et réalisation) 2016 – PALABRAS DE LOS INTELECTUALES 52’, Documentaire (Scénario) – en post-production. 2017 — LA BANDE A FASEL Documentaire (Scénario et co-réalisation) — en développement

2019 — TRICONTINENTALE, LE TIERS-MONDE EN INSURRECTION Documentaire (Scénario et réalisation) — en développement

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Production Une production Bohemian Films – ICAIC – RTS – Vera Michalski Hoffmann

Avec la participation de Cinéforom et le soutien de la Loterie Romande

Avec le soutien de l’Office fédéral de la culture/Media Desk Suisse

Avec le soutien au développement créatif de SSA/Suissimage

Fonds Culturel Suissimage

Agence pour la Coopération et le Développement COSUDE

Emilie Gourd – Focal – Fonction: Cinéma

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Festivals (en cours) Sélection officielle, Festival de cine de Lima, Pérou, 2019

Sélection officielle, Viña del Mar, Chili, 2019

Sélection officielle, FilmFest München, Allemagne, 2019

Sélection officielle, FIFDH, Genève, Suisse, 2019

Sélection officielle. Habana film festival, New York, Etats-Unis, 2019

Sélection officielle, Guadalajara International Film Festival, Mexique, 2019

Sélection officielle en compétition, Festival de Malaga, Espagne, 2019

Sélection officielle en compétition, 40mo Festival del nuevo cine latinoamericano, La

Habana, Cuba, 2018

> Prix spécial du jury

> Mention spéciale de l’agence de presse internationale Prensa latina

> Prix de la campagne contre la violence Sumate

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