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01/11/2012 LE MESSAGER N°3710 P.4 MARCHE NEW-DEIDO UN MAGASIN DE CHARBON BRULE AU MARCHE NEW-DEIDO L’INCIDENT S’EST DECLARE HIER MERCREDI 31 OCTOBRE 2012 AUX ENVIRONS DE 5H DU MATIN Cinquante sacs de charbon. C’est ce qui reste du magasin de Nathalie Ebele. Il en contenait plus de 150. (…) « il était 5h, se souvient Roger, lorsque tout a commencé. J’ai senti une forte odeur de fumée depuis ma chambre. J’ai d’abord attendu, mais elle était persistante. ». C’est alors que ce riverain décide d’en avoir le cœur net. Une fois dehors, il aperçoit un nuage de fumée au dessus de la boutique de l’une de ses amis. (…) Solidarité, courage et détermination aidant, il alerte les voisins, lesquels s’activent à maîtriser le feu. L’ampleur des dommages est considérable…le sac coûte 17.000frs. […] Valgadine Tonga LE MESSAGER N° 3707 2012 P.3 MARCHE MBOPPI PRES D’UNE CENTAINE DE BOUTIQUES CONSUMEES L’INCIDENT A EU LIEU VENDREDI 26 ET SAMEDI 27 OCTOBRE 2012 AU MARCHE MBOPPI A DOUALA, UN MARCHE DE REFERENCE EN AFRIQUE CENTRALE. L’ORIGINE DES FLAMMES RESTE INCONNUE, MAIS LES TEMOINS PENCHENT POUR UN COURT-CIRCUIT. Boutiques de mèches, quincailleries, parfumeries, papeteries et bien d’autres ont été consumées par les flammes au marché Mboppi à Douala. L’incendie s’est déclaré vendredi, 26 octobre à 6 h 30 au bloc 2 et samedi 27 octobre aux environs de 6 h 30 au bloc 3 de ce grand marché qui dessert toute l’Afrique centrale. A en croire des témoins, un court-circuit serait à l’origine des flammes. « Le feu s’est déclenché dans une boutique de mèches au bloc 2 avant de se propager dans les autres boutiques. C’est mon petit frère qui a découvert qu’il y avait des étincelles dans un coin de la boutique et alerté les autres commerçants. » (…). La grande mobilisation des sapeurs pompiers de Ngodi, de l’aéroport, et de Camrail et du Port autonome de Douala qui s’activent toute la nuit, va limiter la propagation des flammes dans les autres blocs de ce marché.

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01/11/2012LE MESSAGER N°3710 P.4MARCHE NEW-DEIDOUN MAGASIN DE CHARBON BRULE AU MARCHE NEW-DEIDOL’INCIDENT S’EST DECLARE HIER MERCREDI 31 OCTOBRE 2012 AUX ENVIRONS DE 5H DU MATINCinquante sacs de charbon. C’est ce qui reste du magasin de Nathalie Ebele. Il en contenait plus de 150. (…) « il était 5h, se souvient Roger, lorsque tout a commencé. J’ai senti une forte odeur de fumée depuis ma chambre. J’ai d’abord attendu, mais elle était persistante. ». C’est alors que ce riverain décide d’en avoir le cœur net. Une fois dehors, il aperçoit un nuage de fumée au dessus de la boutique de l’une de ses amis. (…)Solidarité, courage et détermination aidant, il alerte les voisins, lesquels s’activent à maîtriser le feu. L’ampleur des dommages est considérable…le sac coûte 17.000frs. […]Valgadine Tonga

LE MESSAGER N° 3707 2012 P.3MARCHE MBOPPIPRES D’UNE CENTAINE DE BOUTIQUES CONSUMEESL’INCIDENT A EU LIEU VENDREDI 26 ET SAMEDI 27 OCTOBRE 2012 AU MARCHE MBOPPI A DOUALA, UN MARCHE DE REFERENCE EN AFRIQUE CENTRALE. L’ORIGINE DES FLAMMES RESTE INCONNUE, MAIS LES TEMOINS PENCHENT POUR UN COURT-CIRCUIT.

Boutiques de mèches, quincailleries, parfumeries, papeteries et bien d’autres ont été consumées par les flammes au marché Mboppi à Douala. L’incendie s’est déclaré vendredi, 26 octobre à 6 h 30 au bloc 2 et samedi 27 octobre aux environs de 6 h 30 au bloc 3 de ce grand marché qui dessert toute l’Afrique centrale. A en croire des témoins, un court-circuit serait à l’origine des flammes. « Le feu s’est déclenché dans une boutique de mèches au bloc 2 avant de se propager dans les autres boutiques. C’est mon petit frère qui a découvert qu’il y avait des étincelles dans un coin de la boutique et alerté les autres commerçants. » (…).La grande mobilisation des sapeurs pompiers de Ngodi, de l’aéroport, et de Camrail et du Port autonome de Douala qui s’activent toute la nuit, va limiter la propagation des flammes dans les autres blocs de ce marché.Mais au petit matin de samedi 27 octobre aux environs de 6 h 30, un autre foyer d’incendie se déclare au bloc 3. A l’origine des flammes cette fois-ci une négligence des commerçants. (…). Le gouverneur de la région du Littoral, Beti Assomo, qui s’est rendu sur les lieux du sinistre samedi a mis sur pied une commission d’enquête pour évaluer le nombre de sinistrés et les dégâts. (…).De nombreux dégâts matériels ont été enregistrés. « Je ne peux pas encore estimer ce que j’ai perdu. Mais j’ai perdu beaucoup de chose dans cet incendie », témoigne Gold Win, un sinistré. Cet espace marchand a été fermé jusqu'à nouvel ordre.

Marie Louise ManguéLE JOUR N°1302 P.4LA POINTE DU JOUR UNE CENTAINE DE BOUTIQUES BRULEES AU MARCHE MBOPPIINCENDIE. L’ESPACE A ETE FERME AU PUBLIC SAMEDI, AU LENDEMAIN DU SINISTRE QUI S’EST DECLENCHE DANS L’APRES-MIDI DU VENDREDI 26 OCTOBRE.Une colonne de fumée s’élève d’une boutique de vente de mèches brésiliennes. Des craquements et des petites explosions se font entendre. Un incendie se propage au bloc 2 du

marché Mboppi de Douala. Il est environ 16h30 ce vendredi 26 octobre 2012. Les commerçants courent dans tous le sens. Certains essaient de sauver des marchandises. Une dame, dans sa course folle, se renverse une autre, impuissante devant le feu, implore Dieu à travers des chants de louange. « Mon frère, c’est grave ici. Tout Mboppi brûle », crie un commerçant, au téléphone. Dix minutes plus tard, un camion des sapeurs-pompiers arrive. Les gendarmes de la brigade de Mboppi, les policiers des Equipes spéciales d’intervention rapide (Esir) et du commissariat de sécurité publique du 4ème arrondissement accourent.Accès difficileLes premiers jets d’eau des pompiers atteignent difficilement les flammes. Une autre citerne d’eau arrive quelques minutes après essaye de se rapprocher de l’épicentre  du feu, en empruntant une des entrées du marché. L’étroitesse de l’allée rend difficile l’accès au camion des pompiers. Le véhicule manœuvre près de 25 minutes sur place. Pour permettre le passage du camion-citerne, la devanture d’une boutique est détruite. Mais les flammes gagnent du terrain. La boutique de mèches brésiliennes se consume entièrement. Puis, une papeterie, ensuite une boutique de vente de produits alimentaires. Une centaine de commerces du bloc 2, construits en matériaux définitifs partent en flammes. Les câbles électriques suspendus ici et là servent de conducteur au feu. « Lorsque nous avons aperçu la fumée dans la boutique de mèches, nous n’avons pas pensé tout de suite à un incendie. C’est lorsque le feu a surgi que nous avons contacté les pompiers », raconte Armel Meli, un sinistré témoin de la scène. La thèse d’un court-circuit est avancée. A 17h50, alors qu’on croit le feu vaincu, un autre foyer d’incendie se signale au premier niveau d’un immeuble, à une dizaine de mètres du premier. Mais le feu est aussitôt maîtrisé par les commerçants. « Ce n’est pas logique. Quelqu’un allume ces feux. Tenez-vous sur vos gardes », met en garde un vendeur. Chaque commerçant campe devant sa boutique. On s’empresse de couper les câbles électriques et de déchirer les bâches qui pendent devant les commerces. « Il faut déchirer ces bâches. Elles attisent le feu », conseille un vendeur. A 19 heures, des camions citernes de la société Camrail, de l’aéroport et du port autonome de Douala arrivent en renfort. L’accès au site sinistré est obstrué. Des tuyaux sont raccordés, pour approvisionner la petite citerne des sapeurs-pompiers. Deux bouches d’incendie sont repérées dans l’espace marchand, mais la pression d’eau n’est pas assez forte. Les pompiers vont se ravitailler au lieu-dit carrefour Agip, à une centaine de mètres de Mboppi.17 personnes interpelléesUne marée humaine assiste à la scène, impuissante. Certains badauds se perchent sur les toits des boutiques épargnées par les flammes. Les forces de l’ordre établissent un cordon de sécurité autour de l’espace sinistré. Les marchands essayent de sauver ce qui peut l’être. Des badauds en possession de marchandises sont interpellés par les forces de l’ordre. Ils sont conduits à la brigade de Mboppi. « Près de 17 personnes ont été interpellées. Certaines ont été relaxées le lendemain (samedi) », confie une source  à la brigade.Au petit matin de samedi 27 octobre 2012, les commerçants retournent au milieu des décombres pour évaluer l’ampleur des dégâts. Le sol est recouvert d’eau, où baignent des débris de tout genre. Le contenu de la centaine de boutiques attaquée par les flammes est entièrement consumé. Des braises sont encore ardentes dans certains commerces. Une dame, la mine triste, regarde de loin ce qui reste de ses deux boutiques : n°342 et n°342 bis. « Quand on a signalé le feu, j’ai fermé ma boutique sans rien emporter. Je me disais que les flammes seront maîtrisées. Je vends des produits de parfumerie. Tout a brûlé. Je n’ai rien pu sauver. J’ai perdu des marchandises pour environ 10 millions de FCFA », se désole Eveline Ngoune, une sinistrée du bloc 2. Le gouverneur de la région du Littoral, Joseph Beti Assomo, descendu sur le site samedi, a ordonné la fermeture de l’espace marchand, jusqu’à nouvel avis.Une commission a été mise sur pied pour gérer le sinistre. Elle est présidée par le premier adjoint préfectoral. Le résultat du premier recensement effectué samedi 27 octobre fait état de

75 boutiques consumées dans l’incendie. A en croire Alice Maguedjio, la porte-parole de l’Association des commerçants dynamiques du marché Mboppi (Ascodymm) et par ailleurs présidente du syndicat des commerçants détaillants du Wouri (Sycodew), une ouverture partielle du marché (le secteur non sinistré) est envisageable dans les prochains jours.Mathias Mouendé Ngamo

LE JOUR N°1287 P.4LES DIVERS DU JOUR INCENDIE AU MARCHE MADAGASCARUne quincaillerie, un restaurant, un cybercafé et un bar ont été ravagés par les flammes au marché Madagascar à Douala dans la nuit du 3 au 4 octobre 2012. L’incendie s’est déclaré aux environs de 23h. D’après des témoins, les flammes sont parties du bar et se sont propagées aux autres boutiques construites en matériaux provisoires. Descendus sur les lieux, les sapeurs-pompiers ont pu circonscrire les flammes. Selon Jacques SIMO ; le propriétaire du bar, l’incendie a été causé par des malfrats du quartier Madagascar.  « Ils m’ont cambriolé 14 fois sans emporter grand-chose. Cette fois, ils ont préféré mettre le feu à mon bar pour tout voler», s’indigne-t-il. Des pertes matérielles ont été enregistrées mais aucune victime humaine. Une enquête a été ouverte  au commissariat de sécurité publique du 8ème arrondissement de Douala pour déterminer les véritables causes de l’incendie.J.K (stg).CAMEROON TRIBUNE N°10203/6404 P.17SOCIETE-BUEA FIRE RAZES SHOPS IN MOLYKOCAUSE UNKNOWN, MATERIAL DAMAGE IS ESTIMATED AT ABOVE FCFA 2MILLION.It was a sad morning for the owners of some shops at the Malingo neighborhood in Molyko, Buea, as their shops went ablaze following a fire outbreak on Tuesday 17th 2012.Eyewitness accounts say neighbors raised an alarm which attracted the intervention of some inhabitants when the fire broke out at about 3 A.M. in spite of efforts to extinguish the fire, some of the goods contained in five of the shops could not be retrieved as they had been consumed by the fire. The burnt shops included a cyber café, a documentation centre and a tailoring workshop, among others.Meanwhile, the cause of the incident, according to the witnesses, was not yet known, at press time. But there were speculations that it may have resulted from faulty electrical connections which ignited a spark.No human losses were recorded but for some material damages which could be estimated at more than FCFA 2million. The fire was finally put out at about 5 a.m. thanks to the intervention of the population which used rudimentary methods like water and sand.Anselme NUMBISIA (UB Intern)

LA NOUVELLE EXPRESSION N° 3357 P.4INCENDIE PRES DU MARCHE MOKOLOLES FLAMMES RAVAGENT DES COMMERCES A MOKOLOTROIS ETABLISSEMENTS ONT ETE CONSUMES PAR LES FLAMMES VENDREDI MATIN AU LIEU-DIT EN BAS

Malgré le sinistre, ce sont d’abord les victimes directes de l’incendie qui reconnaissent que le pire n’est pas arrivé à Mokolo ce 09 novembre 2012. C’est le cas de Narcisse Binongo, le propriétaire du salon de coiffure parti en fumée à la suite de l’incendie. « Les sapeurs sont

arrivés, raconte-t-il. Ils ont fait du bon boulot et on doit les féliciter pour ça. » Dans le détail, le feu a été déclaré aux alentours de 08 heures du matin. Tout serait parti de la chambre d’un homme âgé située à l’arrière du bâtiment sinistré. Pendant un premier temps, le feu est resté confiné, dans la chambre du vieil homme. C’est à ce moment que Mr Binongo s’est rendu compte du risque d’embrasement. Avant qu’il ne demande l’aide aux voisins, les flammes sont déjà bien hautes et « attaquent déjà les tôles ». Les murs vétustes en planches ont terminé d’attiser le brasier.

Selon de nombreux témoins, l’origine de l’incendie ne serait dont pas les mauvais branchements électriques. Car raconte-t-on, la pièce d’où est parti l’incendie n’avait pas d’alimentation en électricité. Des suppositions non encore élucidées pointent le mauvais usage de la bougie ou de la lampe tempête par cette personne du troisième âge que la Nouvelle Expression n’a pas pu rencontrer vendredi. En plus si on s’en tient toujours aux témoignages des voisins, la situation aurait pu rapidement être maîtrisée si la tenancière du restaurant envoyée appeler de l’aide les avait effectivement alertés. Mais visiblement, elle n’a pas pu ou su le faire. « Elle est partie jusqu’au marché appeler sa patronne. Quand elle est revenue, il était déjà trop tard », raconte-t-on. Un autre facteur explicatif avancé, elle est du Nord-Ouest et moyennement intégrée au sein du quartier.

L’arrivée de la brigade des sapeurs pompiers de Mokolo quelques minutes après le début effectif de l’incendie a permis de circonscrire le sinistre aux trois établissements évoqués ci-dessus. Autre nouvelle, tout s’est passé hors du périmètre marchant de Mokolo. Une bonne nouvelle pour les commerçants !

William Baytha, Stagiaire      

MUTATIONS N°3257 P.5

09/10/2012

DES FLAMMES A LOM PANGAR

UN INCENDIE, PROVOQUE PAR LA DEFAILLACE DES GROUPES CHARGES

DE LA DISTRIBUTION DE L’ECLECTRICITE A RAVAGE UNE PARTIE DE LA

CITE DU MAITRE D’OUVRAGE

LA PARTIE NORD DE LA CITE DU MAITRE D’OUVRAGE DU PROJET DE

CONSTRUCTION DU BARRAGE RESERVOIR DE LOM PANGAR, DANS LA

REGION DE L’EST, A ETE RAVAGEE PAR LE FEU DANS LA NUIT DE

VENDREDI A SAMEDI DERNIER.

Un ouvrier du chantier raconte que c’est vers 2h, vendredi soir, que le groupe en charge du ravitaillement de la cité en électricité s’est arrêté brusquement, avant de prendre feu. D’après ce témoin, les deux extincteurs de secours disponibles pour maîtriser les flammes étaient ouverts, mais vides. Face au danger que représentaient ces flammes, et pour éviter le pire, l’un des occupants de la cité, un expatrié chinois est allé rapidement fermer le robinet de la cuve à carburant qui alimente les groupes.C’est ainsi que les employés de China Water Electricty Corporation (Cwe), l’entreprise chinoise en charge de la construction de cet ouvrage, se sont débrouillés pour maitriser le feu.

Surtout que le chargé de maintenance du groupe électrogène qui a pris feu, d’après les mêmes sources, était absent. Mais les efforts des ouvriers sont restés vains face à la violence des flammes. Selon des sources locales, aucune perte en vie humaine n’a été enregistrée. L’incendie aurait cependant provoqué de nombreux dégâts matériels ainsi que des déplacés, qui restent sans-abri jusqu’ici.DéfaillanceAu moment de l’incendie, aucune autorité de la ville de Bertoua n’était joignable. « Dans notre effort de secours, nous avons réussi à joindre au téléphone, vers 2h, une journaliste de la CRTV », déclare un ouvrier de la CWE. C’est cette dernière, en service au Poste national à Yaoundé, qui aurait saisi par téléphone le gouverneur de la région de l’Est, encore aux obsèques du frère aîné du président de la République à Mvomeka’a. Ivaha Diboua va rapidement passer des instructions au secrétaire général de la région, Emmanuel Ledoux Engamba, afin que des secours soient organisés. […]Mais l’incident de vendredi dernier montre que des dispositions adéquates pour éviter des cas d’incendie ont été négligées.Sébastian Chi Elvido

CAMEROON TRIBUNE N°10195/6396 P.15

09/10/2012ACTU NOUVEL INCENDIE AU MARCHE CONGODEUX CONTAINERS SONT PARTIS EN FUMEE DANS LA SOIREE DE DIMANCHELa prompte réaction des sapeurs a permis de circonscrire les flammes dimanche dernier au marché Congo. Sinon, les commerçants auraient pu vivre un remake des tristes événements du 03 juillet dernier. Cette fois, deux containers ont été touchés par les flammes. Apparemment, ils viennent d’être installés à cet endroit et portent d’ailleurs la croix de Saint-André. D’ après des informations recueillies sur les lieux, il se pourrait que depuis samedi, le réseau électrique ait connu des perturbations, des baisses de tension régulières. Au final, un court-circuit serait à l’origine d’un feu parti de deux containers chargés des produits de mercerie. Plus de peur que de mal donc, puisque les sapeurs-pompiers sont arrivés à temps, reconnaît l’un des commerçants installés sur le site. Cependant, on note des dégâts matériels importants dans les deux boutiques. Dans le voisinage, de nombreux appareils d’électroménager ont été endommagés. Vendredi dernier, le délégué du gouvernement auprès de la communauté de Douala (Cud), Fritz Ntonè Ntone, a visité des équipements anti-incendie réhabilités du réseau de quatre marchés, parmi lesquels celui du Marché Congo. Mireille Onana Mbenga.

CAMEROON TRIBUNE N°10205/6406 P.9

23/10/2012ECONOMY ENCORE DES TRAFICS A NSAMNON LOIN DE LA SCDP, DES CAMIONNEURS ALIMENTENT UN COMMERCE DE SUPER A 500F/L.Un passant qui part du carrefour Nsam au lieu dit « trois statues » à Olézoa passerait par là dix fois  par jour sans rien remarquer. L’entrée et la sortie de nombreux véhicules d’une enceinte   qui ressemble à une laverie, n’ont de prime abord, rien de surprenant. Sauf quand par le pur

des hasards, un habitué vous y introduit. « J’ai découvert cette station service d’un autre genre récemment. Un taxi que j’ai emprunté s’y est arrêté pour prendre du carburant et j’ai été surpris de l’intense activité qui s’y déroule », raconte Firmin Biko, habitant de Yaoundé.En effet, à un jet de pierre de l’agence régionale  de la Société Camerounaise des Dépôts Pétroliers (SCDP) à Nsam, ça grouille à longueur de journée. Les automobilistes défilent sans cesse. Chacun vient chercher la quantité de super dont il a besoin. En lieu et place des pompes, de gros bidons cachés dans une broussaille bien entretenue par les revendeurs. Pour remplir les réservoirs des véhicules, des broussailles d’1,5 litre coupées par le bas servent d’entonnoir.Sur les raisons de la fréquentation de cette enceinte, les automobilistes interrogés évoquent une seule raison : le coût « le carburant est moins cher ici que dans les stations », explique un taximen. Le litre d’essence est vendu ici à 500Fcontre 569F dans les structures légales de vente. « Tu as de quoi prendre une bière après avoir acheté 10 litres », lance un autre habitué des lieux. De plus, les clients estiment que le super proposé est de meilleure qualité. «  Dans certaines stations, le carburant est mélangé alors qu’ici c’est pur, parce que ça vient directement de la source » révèle un autre client. En outre, lorsqu’on est un habitué, on peut se voir accorder un crédit. Après avoir pris 10 litres d’essence, un automobiliste se rend compte qu’il n’a pas assez d’argent sur lui et sans souci, permet de revenir payer le reste plus tard. Les vendeurs sont si sûrs de la qualité de leur produit qu’ils ne le vendent pas n’importe comment. « Les consommations se font en lots de cinq litres. Quelqu’un ne peut venir ici chercher deux ou trois litres de carburant comme à la station », déclare l’un d’entre eux. Peu discrets, ces commerçants le sont davantage lorsqu’on les questionne sur la provenance de ce carburant.DangerMais de l’avis des clients, il ne faut pas aller chercher bien loin. « Soit ils siphonnent les wagons-citernes qui arrivent de Douala, soit ce sont les camions de livraison des stations qui les approvisionnent », croit  savoir un taximan. Selon un observateur de coin, il n’y a qu’à voir le manège très remarquable qui s’y passe pour comprendre qui les approvisionne. « Tout camion qui sort de la SCDP fait arrêt dans cette enceinte.  C’est certainement pour y laisser une partie de sa cargaison », pense t-il. Et l’attroupement qui se fait au passage, très bref, de ces camions est assez explicite. Les revendeurs accourent, parlementent avec le chauffeur pendant qu’ils emplissent leurs gros bidons et reviennent s’asseoir, impassibles. Pourtant, à l’entrée un écriteau interdit l’accès des lieux aux camions citernes.En plus de l’illégalité dans laquelle ces personnes opèrent, le danger d’une catastrophe comme celle de 1998 plane. Mais personne n’en a cure. « L’incendie de Nsam s’est produit parce qu’un wagon-citerne qui transportait des milliers de litres de carburant s’est renversé et les gens sont venus en masse pour se servir. Nous ne manipulons que de petites quantités de ce liquide et il n’y a pas foule ici », se défend l’un des nombreux vendeurs. Et d’ajouter que leur activité, ils l’ont commencée bien avant ce malheureux incident et continuent jusqu’aujourd’hui. Ces commerçants ont d’ailleurs des horaires de service. De lundi à samedi, entre 8h et 18h.

Jocelyne Ndouyou Mouliom                       

Tiko Market In Ashes

Posted by Admin on Mar 4th, 2010 and filed under Business, Featured. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0. Both comments and pings are currently closed.

Peter EFANDE| 3/4/2010| Cameroon Tribune|

Tiko Market Disaster, March 2, 2010 - Photos By Njei M. Timah

Over 800 stores destroyed in the inferno but no life lost.

Smiles are rare in Tiko as the population is yet to understand what has befallen their most cherished market. The inferno that ravaged the entire market with over 800 stores, started at about 6 pm on Tuesday, March 2. Attempts by the population and the security forces proved futile as the fire blazed alarmingly. Traders wept as they helplessly watched the fire consume their goods worth millions. The cause of the fire is yet to be established but eyewitnesses told CT that it emanated from a store in “Line One, Street Five Gate”.

Actualites - Societe Lundi, 22 Mars 2010 17:47 Très tôt ce matin, le générateur chargé d’alimenter en électricité une poissonnerie du marché s’est enflammé, mettent en feu l’ensemble de  l’édifice.

 

Il avait été,  selon certains, mis au service au delà de ses heures de résistance à cause d'un délestage prolongé d'énergie électrique. Pour le propriétaire, le feu  vient d'une maison voisine. Affirmation curieuse car que celle-ci n'était pas en flammes.

Les sapeurs pompiers arrivés très tôt sur le lieu ont été assistés par les populations du quartier. Ces dernières, dans un élan de solidarité obligatoire, se sont mouillées pour transporter de l'eau de  leur maison vers le feu, au risque de voir leur propre domicile voler en fumée à cause de la promiscuité et l’occupation anarchique de l’espace.

Moins connu du grand public mais très fréquenté par les riverains, le marché Saker est le deuxième marché de Deido de par son importance. Il est essentiellement constitué d’une  forte

concentration de boutiques alimentaires contigues, pour la plupart, à des maisons d’habitation.

CAMEROUN, BAFOUSSAM : UN INCENDIE DÉVASTE QUATRE BOUTIQUES AU

MARCHÉ CENTRAL

En attendant les résultats des enquêtes ouvertes par les éléments de la brigade de

gendarmerie de Djeleng, les pertes sont chiffrées à des dizaines de millions de

francs Cfa.La consternation était visible, dans la matinée de vendredi 12 mars, sur le

visage des commerçants du marché central de Bafoussam qui ont vu leurs

marchandises réduites en cendres dans un incendie qui aurait déclenché aux

environs de 6 h. De l’avis de certains benskineurs qui ont contribué à circonscrire les

flammes afin de limiter les dégâts, c’est d’un atelier de couture que le feu serait parti

avant d’embraser trois autres boutiques spécialisées respectivement dans la vente

des matelas de premier choix, des machines à coudre et des vêtements prêts à

porter pour hommes, femmes et enfants. Dans ces quatre boutiques, rien n’a été

récupéré, malgré la forte mobilisation des populations qui ont cassé un tuyau du

réseau de la Camerounaise des eaux pour essayer d’éteindre le feu. En plus de ses

marchandises, Visas Christopher, le propriétaire de l’atelier de couture d’où le feu

serait parti, a également perdu d’importantes pièces administratives et une forte

somme d’argent dont les restes ont été retrouvés dans les cendres.

Il est président de l’Association des parents d’élèves du lycée bilingue de Bafoussam

et promoteur d’une école primaire dans la ville de Bafoussam. «Quand nous sommes

arrivés sur les lieux, la première des choses c’était de monter sur la toiture pour

enlever les tôles et les lattes afin de circonscrire la zone des flammes. Par la suite,

nous avons utilisé de l’eau dans les récipients pour neutraliser les flammes», conte

Albert, conducteur de moto. C’est dans ce même élan de cœur qu’ils ont pu casser

trois boutiques pour sauver leur contenu. Tissus et vêtements, réfrigérateurs,

congélateurs ainsi que des moulins à écraser ont été sortis et déversés sur la

chaussée ; même si certains propriétaires déplorent quelques actes de vandalisme

qui, malgré la présence de la force de l’ordre, leur aurait fait perdre des objets

précieux. L’une des deux agences de la société Express Union, situées sur la même

rue et distantes l’une de l’autre d’environ 100 mètres, a été aussi sauvée de justesse

grâce à l’alerte du vigile. Au sujet de l’origine des flammes, trois pistes sont en train

d’être explorées. Les hypothèses portent sur un court circuit, un fer à repasser laissé

sur la prise la veille lors de la fermeture de l’atelier ou encore une main criminelle.

Absence des sapeurs pompiers

Le préfet de la Mifi, Bernard Atebede, le procureur de la République près les

tribunaux de la Mifi et bien d’autres personnalités se sont mobilisés sur le lieu de

l’incendie. C’était avant même l’arrivée de l’unité des sapeurs pompiers de l’aéroport

de Bamougoum qui n’ont été appelés en renfort qu’après la maîtrise des flammes.

Sur le site de l’incendie, ils ont failli se faire lyncher par les populations. Il a fallu que

le préfet intervienne pour leur faire savoir qu’il s’agit d’une unité rattachée à un

service bien précis et non réservée pour des interventions du genre. Cet autre cas

d’incendie, qui vient de se produire au centre ville de Bafoussam, remet sur la table

le dossier relatif à la dotation de la ville de Bafoussam d’une unité de sapeurs

pompiers. Le problème avait d’ailleurs été posé au ministre d’Etat, ministre de

l’Administration territoriale et de la Décentralisation lors de l’installation du

gouverneur de la région. A en croire Bernard Atebede, préfet de la Mifi, les locaux

qui abritaient l’ancienne commune rurale de Bafoussam ont été mis à la disposition

du ministère de la Défense pour abriter l’unité des sapeurs pompiers dans la ville de

Bafoussam dont la création pourrait limiter les dégâts en cas d’incendie dans les

marchés, services publics et privés et autres résidences.

© La Nouvelle Expression : Blaise Nzupiap Nwafo

Paru le Lundi 15-03-2010 09:21:08   Lu : 642 fois

Cameroon: Kumba Market Remains Exposed To Fire

Nkeze Mbonwoh10 March 2010

The non respect of norms alongside acts of negligence make the market vulnerable.

Markets in the South West Region are under terrible threat of fire. Be it the Tiko "burning market", the "Limbe flames market", as it stands, markets and even private homes have of late become theatres of gutting flames in this part of the country.

Fingers point to human carelessness, "voodoo" practices and electric risks on the one hand. On the other, the laxity and artlessness of public authorities in managing fire situations also to blame. They neither pre-empt nor manage fires with the techniques required. One of the oldest and populous markets in the South West is the Kumba main market constructed in the 1960s.

Just the Block "B" of the market which has 122 lock-ups, 122 open occupied spaces, 54 developed open-space facilities and its 400 open-space stalls. Multiply this by at least two for the two blocks of the markets, "A" and "B", and then we get to some 1.500 rented and packed store spaces. Authorities in Kumba attest that at least 70 per cent of the market is occupied by "Ibos" from neighbouring Nigeria. The market has four main entrances and feeds the public treasury with some CFA 50 million yearly. It caught a razing fire in 2006 and last year a section of it was swallowed by the gutting mouth of blaze.

The Mayor of Kumba I Council, Prince Ekale Mukete, in whose mothering territory the market is situated, said safety laxity over the market still prevails. He assured that his Council has plans for a modern market which respects rules of safety. For now, the Kumba market remains under the management order of the Senior Divisional Officer since the Kumba city was segmented into three Councils many years ago.

Last year, a Douala based insurance company, in search of customers, hurriedly organized Kumba traders to inculcate rudimentary fire preventive and fighting techniques. The traders themselves hold the keys to the main gates and like last year are the ones who fight fire whenever it breaks out.

But what usually causes such fire outbreaks and mostly in the nights? A chilling revelation (true or false) holds that many traders, especially foreigners, possess "juju" pots which they light and leave burning before closing their shops each evening.

If the pots were protective why then burn and damage their articles? Electrical appliances, too, have been at the root cause of some of the fires. Candles and anti mosquito "moon tiger" burns have contributed to fire in habitats.

Tiko Market Disaster, March 2, 2010 - Photos By Njei M. Timah

The fire could have been extinguished if water was available. But the Tiko municipality has no fire fighting unit and there are no taps inside or at the precincts of the market. Fire fighters came in late from Douala after the fire had already consumed the entire market. When CT visited Tiko yesterday, hundreds of curious onlookers were at the scene. In tears, some wept but were kept at bay by security forces. Angry traders, victims of the inferno, were bitter and poured blame on the Tiko Council. “We have asked for taps to be put inside and outside the market. But the Tiko Council has not listened to our plea. If we had water, the flames would have been brought under control,” laments Njume Loko, a Tiko based musician now doing business. “I’m pleading for the government to rebuild this market very fast if not Tiko will be a desert,” he said. “We have been used to fire incidents in the Tiko Market. But this is the worst disaster in the annals of this town. No store or shop in the market has been spared,” a victim, in tears, told CT.

Tiko Market Disaster, March 2, 2010 - Photos By Njei M. Timah

Alerted, the Governor of the South West Region, Koumpa Issa and other senior officials were at the Tiko Market to see for themselves the scope of the disaster. At press time yesterday, a crisis committee was set up and its members visited the market for an evaluation. The cost of goods and material lost is yet to be established but it will certainly be in millions of CFA francs. It should be recalled that fire disasters occur at the Tiko Market almost on a yearly basis. But this year’s incident is so alarming that the area resembles a bombed war zone. Hope lessons will be learnt once and for all.

Tiko Market Disaster, March 2, 2010 - Photos

Douala Deux domiciles rasés par un incendie

Les habitants du quartier Bonateki – Deido à Douala ont

connu une nuit du jeudi 25 au vendredi 26 février 2010 très

agitée.

Deux domiciles familiales, sis derrière le bâtiment abritant l’Université de l’eau, ont été entièrement

consumés par un incendie ravageur. Tout est parti aux environs de 20 heures, lorsque plongé dans la

pénombre parce que délesté par l’énergie électrique de Aes Sonel, le quartier Bonateki, au lieu nouvelle

route, va être subitement illuminé par une montée de flammes violentes. Ce sont les cris et appel au

secours qui vont indiquer le danger que couraient les habitations de ce bloc de maisons enchevêtrées

dans une promiscuité indescriptible où l’on trouve à peine une issue de servitude.

En effet, deux maisons construites en matériaux essentiellement provisoires et situées au cœur de ce

bloc d’habitations volaient sous les flammes ardentes. Menaçant d’embrasser la trentaine d’habitations

voisines. Les dégâts n’ont été évités que par la promptitude de l’arrivée des sapeurs-pompiers qui a été

saluée par les habitants de ce quartier. Et dont l’intervention va permettre de circonscrire les flammes et

éviter la propagation vers d’autres domiciles.

L’origine des flammes reste encore floue. Les habitants du domicile où sont parties les flammes disent

n’avoir rien au feu. Mais à l’analyse, des témoins, il ne fait aucun doute que c’est une bougie placée

sans aucune protection sur un support en bois qui est à l’origine de cet incendie. Un incendie qui a

sinistré plus d’une vingtaine de personnes. Et qui n’a permis de récupérer le moindre objet. Chacun des

occupant de détenant que les habitats qu’il portait sur lui comme souvenir.

Ecrit par: Mathieu Nathanaël Njog 0 commentaire(s) Publié : Samedi le 27 Fevrier 2010 10:34:11 Samedi, 23 Janvier 2010 12:39

Le très populaire marché de Mvog-mbi a échappé aux flammes dans la nuit de jeudi à vendredi.

 

Marché Mvog-mbi ce matin du vendredi 22 janvier 2010, le rayon poisson fumé a plus de monde que d’habitude. Visiblement, quelques comptoirs ont subi la fureur des flammes. Hier encore, les commerçants y ont posé leur poisson fumé.

Derrière les braises laissées par les étalages, et à quelques mètres de hauteur du chemin de fer qui passe par là, un important tas d’ordures à moitié brûlées. La fumée y monte encore selon la direction du vent. C’est de là qu’est parti le feu.

Les dégâts sont négligeables. Moins d’une dizaines de comptoirs en bois

ont brûlés. Pas de quoi inquiéter. Hervé a perdu un comptoir : « c’est une grande chance qu’on ait seulement perdu quelques comptoirs ». « Si le feu avait atteint les magasins, nous aurions tout perdu !» a-t-il ajouté. En fait, plusieurs magasins sont situés justes en face. Et chaque soir, des dizaines de commerçants y gardent leurs marchandises.

Pendant que certains commerçants commentent sur le sujet, une femme arrive en courant. Elle a les mains sur la tête. Puis, elle esquisse un geste de soulagement. Son nom, mama Ada comme tout le monde l’appelle au marché. «C’est un autre commerçant qui m’a dit au téléphone que le marché a brûlé ! » s’exclame-t-elle. « J’ai tout de suite pensé à mon salon de couture ». Cette couturière d’un âge avancé vend aussi des draps. Son salon de couture se trouve aussi en face du tas d’ordures qui a créé la frayeur.

Il existe à plusieurs endroits du marché d’autres tas d’ordures. Chaque fois que la quantité devient importante, les commerçants y mettent du feu. Généralement, les ordures brûlent toute la nuit comme ça était le cas jeudi. Et personne ne reste là pour s’assurer que les flammes ne vont pas s’attaquer aux comptoirs et plus loin aux magasins.

Le marché Mvog-mbi fait parti des marchés les plus fréquentés de la ville de Yaoundé. Il y règne une grande promiscuité qui représente un énorme danger si jamais il se produisait un incendie.

Maroua : la délégation du Minesec en feu

Un incendie s’est déclaré dans le bâtiment abritant les services régionaux, heureusement il a été vite maîtrisé.

 Patrice MBOSSA

 [05/01/2010]

Plus de peur que de mal, le jour de la reprise des cours pour le compte de deuxième trimestre. L’incendie qui s’est déclaré dans cet immeuble a été bien maîtrisé par les sapeurs-pompiers. Les experts arrivés sur les lieux du sinistre, ont sans hésitation pointé un doigt accusateur sur les ouvrages d’art. Il est un peu plus de 10h quand un incendie se déclare dans l’immeuble abritant aussi bien les services de la délégation régionale que ceux de la délégation départementale des Enseignements secondaires. Alors que la quasi-totalité du personnel s’attelait à sa tâche, survient une interruption subite de l’énergie électrique dans tout l’immeuble. Sur le compteur électrique placé négligemment au premier étage de ce bâtiment de trois niveaux, on pouvait observer la danse des flammes. C’était la débandade totale.

Alertés, les sapeurs-pompiers sont arrivés sans attendre. Quelques instant après, le préfet du Diamaré, Naseri Paul Béa, son état-major et les trois sous-préfets de la ville de Maroua ont accouru sur le lieu de l’incendie. Tout comme les populations riveraines. Tous ont les yeux braqués sur les sapeurs- pompiers qui se battent pour empêcher la propagation de l’incendie. Au bout d’une trentaine de minutes, les soldats du feu ont pu maîtriser la situation. Aucune victime en vie humaine n’a été enregistrée. Mais le personnel en poste dans ces structures reste pris de panique. Il s’agit là du troisième incendie déclenché dans cet édifice en l’espace de cinq ans.

Incendie dans un magasin d’Aladji informatique

Par frank.william.batchou | Mercredi 25 novembre 2009 | Le Messager

Rien ne présageait un triste sort pour le magasin Aladji informatique sis au carrefour ancien Stamatiades à Akwa. Ce magasin est spécialisé dans la vente des consommables informatiques. Le pire s’est produit hier, 24 novembre 2009, autour de 15 heures 56. Les passants et autres personnes exerçant dans ce secteur de la ville de Douala ont subitement eu le regard tourné vers une épaisse fumée noire. Des employés sortent en trombe et on peut entendre des cris de détresse : « Au feu ! Ça brûle dedans. A l’aide, il y a du feu dans le magasin ». Quelques courageux ont foncé dans le magasin, question d’apporter leur soutien aux personnes en détresse. Parmi eux, ont figuré des personnes venues se remplir les poches. Mais, elles ont été très vite extirpées du magasin par les forces de l’ordre arrivées sur les lieux. Selon des témoins de la scène, l’incendie est partie d’un court-circuit au niveau du compteur électrique installé au fond du couloir du magasin. Aucune perte en vie humaine. Mais, d’énormes pertes matérielles. Le reste des marchandises sauvées a été transféré dans un autre magasin de la ville grâce à une camionnette louée à cette occasion. Les appartements jouxtant ce magasin n’ont pas été touchés par le feu. On a eu chaud !

07.10.2009

Bafoussam : Incendie à la Camtel 

Des équipements de télécommunications ont été ravagés par les flammes mardi dernier.

Plusieurs éclatements de câbles se sont signalés le mardi, 6 octobre 2009, dans les locaux de la représentation régionale de la Cameroon Telecommunication (Camtel) de l’Ouest. L’un des pôles de l’incendie s’est déclaré dans le secteur administratif, alors que l’autre s’est produit dans la zone réservée à la branche technique, non loin de la résidence du sous-préfet de Bafoussam 1er. D’après des témoins, il est environ 12h30 mardi dernier lorsque l’alerte est donnée par un vigile. Dès lors, l’heure de la pause prévue à 13h est anticipée. Suspendant ainsi un séminaire qui se tenait dans les parages. Une opération de secours est amorcée avec le concours d’une équipe du Groupement mobil d’intervention (Gmi) n°3 de la même ville. C’est ainsi que tous les bureaux avoisinants sont débarrassés de leurs contenus, pour la plupart constitués des ordinateurs, matériels de bureau et autres documents importants.

Lesquels sont ensuite entassés dans la cour.

Pendant ce temps, l’on s’arme des extincteurs disséminés sur la véranda, pour atténuer la férocité de la flamme. Toutes les communications sont suspendues sous l’ordre d’Alfred Essam, le représentant régional de la Camtel à l’Ouest. Les gouttes de pluie qui sont tombées dans le même intervalle de temps permettent de calmer la furie des flammes : «Si les dégâts sont importants, on va continuer le séminaire demain», indique M. Essam à quelques séminaristes. Cet incendie intervient quelques mois après le déménagement effectué par les services régionaux de la Camtel, qui a quitté ses anciens locaux situés en face de la chefferie supérieure Bafoussam. En attendant de reprendre du service, l’on médite sur le sort survenu dans ladite structure, même si les riverains dénoncent la vétusté des installations électriques de ce côté. D’aucuns redoutent déjà que cet incendie paralyse le fonctionnement du réseau téléphonique à Bafoussam.

Robert Nkaké

Friday, 27 February 2009

Fire Guts Five Shops In Tiko Market

By Elvis Tah

A fire that broke out at about 9 pm on Sunday, February 22, razed five shops in Tiko market in the Southwest Region.

 

Smouldering ruins of section of burnt market

The fire is estimated to have destroyed goods worth over FCFA 30 million. The stores that were affected were mainly for fashion materials, located at the first entrance of the market. Given that the market is located beside a motor park which is always busy, when the people noticed the smoke billowing from the market, they quickly stepped in to put off the fire.

Some shops that were not yet on flames were demolished to save the rest of the market, while other fire fighters engaged in using fought to put off the fire. The fire was, however, finally quenched with the use of a fire engine from SONARA, Limbe.

As we went to press, the exact cause of the fire had not yet been determined. However, speculations were rife that the fire was caused by an electrical short circuit from a meter that hung on the wall of one of the shops. But AES SONEL officials debunked the claims on grounds that the meter was still in tact.

Meantime, the grapevine had it that the owner of the store where the fire originated, a Nigerian, (names withheld), dabbles with voodoo practices.It is said that he belongs to a cult that harbours a mystical python in the market.

The suspicion was re-echoed by the DO of Tiko, Augustine Fonka Awa, while conversing with the SDO, Jules Marceline, when he (SDO) came to study the damages caused by the fire. Fonka told the SDO that there have been mysterious stories of witchcraft in the market that led to a serious prayer session by a combination of clergymen from diverse denominations.

He stated that no sooner did the clergymen invoke "holy ghost fire" to cast all the demons in the market, than the fire incident occurred.The SDO cautioned the shop owners in the market to conform to the technical norms of installing electricity. Some of the fire victims included Victoria Okorye, Bennet Okeke, Evelyn Bianda and Polycarp Ihedi.

Cameroun: un incendie ravage le marché central de Douala

(AFP) – Il y a 13 heures

DOUALA

15/12/2009 : Incendie Au Marche Central

Un incendie a ravagé mardi le marché central de Douala (sud-ouest du Cameroun), considéré comme un des plus grands de la sous-région avec 4.000 à 5.000 commerçants, a constaté un journaliste de l'AFP.

Les autorités n'avaient pas encore fait de bilan mardi soir.

Selon différentes sources policières et militaires ainsi que des pompiers, l'incendie du marché, situé dans le centre-ville, n'a pas fait de morts. Plusieurs personnes dont des pompiers, intoxiquées par l'importante fumée dégagée, ont cependant été transportées à l'hôpital.

L'incendie s'est déclaré vers 15H00 locales (14H00 GMT) et n'était pas encore maîtrisé à 20H00 (19H00 GMT).

"On m'a averti par téléphone. Quand je suis arrivé, tout avait brûlé ou presque", a affirmé Roméo, vendeur de vêtements pour enfants, qui a pu accéder à son échoppe et sauver "quelques marchandises".

Il évalue ses pertes à 3,5 millions de FCFA (5.250 euros). "Les pompiers sont arrivés 45 minutes après le début de l'incendie alors qu'on tentait d'éteindre le feu avec du sable".

Des centaines de membres de forces de l'ordre ont pris position autour du marché, qui a été fermé, pour disperser des milliers de badauds et riverains et prévenir des pillages dans ce marché, construit en 1982 et comptant quelque 700 boutiques.

Les policiers surveillaient les sorties du marché, fouillant méthodiquement les personnes escaladant les grilles pour sortir.

"Nous contrôlons les sorties: nous arrêtons ceux qui ne sont pas commerçants et qui sont donc des pillards. Il y a eu plusieurs dizaines d'interpellations", a expliqué un policier.

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INCENDIE À L’HÔTEL TALOTEL DE BAFOUSSAM (03/12/2009)

Le matin d’hier 2 décembre 2009, l’ambiance était à la désolation sur le site de Talotel, structure hôtelière de Bafoussam localisée à un jet de pierre des locaux qui abritent les services du fonds national de l’emploi (FNE).

Par Azap Ndongo (Le Messager)

Incendie à l'hôtel Talotel à Bafoussam

Le secteur de cette structure où sont logés les services d’hébergement, de la restauration

et du service traiteur, de la location des voitures, du pressing, de l’internet a été ravagé

par des flammes. Les appartements de la restauration et du service traiteur, la terrasse,

la salle des conférences et leurs contenus, exclusivement, sont partis en fumée.

On observait après ce sinistre des pans de murs calcinés au-dessus desquels s’élèvent

des torsions de fumées. Sur le sol, une épaisse couche de cendre constituée d’objets

hétéroclites calcinés. Dans le giron de la terrasse, quelques bonhommes fouillent dans les

décombres pour y retirer les bouteilles de bières qui n’ont pas explosé sous l’action du

feu. Celles qui leur échoient sont vidées avec délectation de leur contenu. « Les dégâts

matériels sont importants. Nous avons sollicité sans succès l’intervention des sapeurs

pompiers. Mais Dieu est grand parce qu’il n’y a pas eu de pertes en vies humaines. Si

l’incendie avait lieu pendant le week-end où il y a de l’affluence, ce serait la catastrophe.

Un court-circuit serait à l’origine du drame », confie un employé de la structure.

L’incendie s’est déclaré dans la nuit de mardi à mercredi 2009 aux environs de 1h 30 mn

du matin. « Nous avons vu des flammes s’élever dans le ciel à cette heure de la nuit. Les

employés du service du nuit, tétanisés par la puissance du feu criaient pour solliciter des

secours. Seulement, le feu, comme animé par un esprit malin se propageait,

inexorablement parce que les toits des appartements étaient couverts de chaume. Les

câbles électriques éclataient déjà, nous avons alerté les services d’Aes- Sonel, ils sont

intervenus pour arrêter le courant. Ce qui a sauvé les maisons alentour connectées sur la

même ligne électrique d’un éventuel incendie. Les autres appartements de la structure

hôtelière ont été épargnés du feu parce que des personnes hardies ont défoncé les tôles

adjacentes à celles des appartements en proie aux flammes », confie un riverain. Un

autre renchérit que dans le secteur de l’hébergement, c’était le sauve-qui-peut : « Nous

avons vu des hommes et femmes affolés, sortir précipitamment, pieds nus, de leur

chambre et prendre le large. Et c’est quelques instant plus tard qu’ils se sont

approvisionnés en sandales auprès des boutiquiers alentour ».

09 Oct, 2009

Incendie d’un bateau pétrolier au large du Cameroun

Posted by: admin In: Français| General

Un bateau pétrolier battant pavillon ghanéen en provenance du Nigeria s’est échoué dans la nuit de mercredi à jeudi au large du Cameroun voisin où il a pris feu, selon la gendarmerie camerounaise qui a indiqué à l’AFP n’avoir trouvé sur place “aucun corps” jeudi après-midi. Le bateau s’est “échoué au large de Debunscha”, à une trentaine de kilomètres de Limbé (sud-ouest) pour des raisons encore indéterminées, a expliqué l’adjudant-chef Elie Mbape, commandant de la brigade de gendarmerie d’Idenau (sud-ouest). Il a “commencé à brûler aussitôt”, a-t-il ajouté. Selon lui, jusqu’à jeudi en début d’après-midi, l’incendie n’était pas éteint et “aucun corps” n’avait été retrouvé par les forces de sécurité camerounaises

(gendarmerie, police et marine) dépêchées sur place. La direction des opérations autour du bateau a été confiée à l’armée. Jusque vers 22H00 locales (21H00 GMT), aucune source sécuritaire ou militaire n’avait pu être jointe pour savoir si l’incendie avait pu être maîtrisé. On ignorait également s’il y avait des personnes à bord ou si le bateau transportait du carburant.

Un responsable local de la Croix-Rouge a indiqué qu’une équipe de secouristes de son organisation avait été dépêchée sur place mais n’était pas joignable en raison de difficultés de communication.D’après l’adjudant-chef Mbape, les causes de l’accident ne sont pas encore connues et “aucune piste n’est à exclure”, même pas celle “d’une attaque pirate”.Selon lui, le capitaine du bateau était un Ghanéen et le registre du navire “indique qu’il a fait une livraison de 14.000 litres de carburant avant l’accident”. Aucun détail supplémentaire n’a été fourni sur cette livraison.Les attaques de groupes rebelles sont fréquentes au large du Cameroun, notamment à Bakassi (sud-ouest), et se soldent parfois par des prises d’otages.Selon la gendarmerie camerounaise et le quotidien privé camerounais Le Jour, une personne avait été tuée et deux autres blessées mercredi lors de l’attaque d’un chalutier camerounais à Bakassi.AFP

Cameroun: Nouvel incendie aux alentours de Nsam à Yaoundé, aucune perte humaine!

Par Idriss Linge - 28/08/2009

Un train de produits pétroliers a déraillé causant un incendie

 

Ce vendredi 28 août, de grandes colonnes de fumés noires ont été aperçues sur le ciel de Yaoundé. L’information a circulé très rapidement. Immédiatement après l’annonce de l’explosion, on a vu des voitures de police se rendre à toute allure pour d’après nos premières informations sécuriser les lieux. Des témoins affirment aussi avoir vu une voiture des sapeurs pompiers ainsi qu’une ambulance.

Les premières informations sur l’incendie d’Obobogo rapportent qu’un train en provenance de Douala et à destination de Yaoundé et N’Gaoundéré a déraillé, provoquant le renversement des wagons. Sur les 34 wagons que comptaient le train, 11 contenaient des produits pétroliers, dont le gasoil et le pétrole. Ils ont pris feu. Immédiatement les autorités ont réagi. Un dispositif des sapeurs pompiers et des forces de l’ordre ont investi les lieux pour le sécuriser.

 

© Journalducameroun.com Les pompiers à Obobogo, site de l'incendie

Le ministre Issa Tchiroma de la communication a tenu une conférence de presse cet après midi dans l’enceinte de son département ministériel. Il ressort de sa communication que l’incident d’Obobogo n’a jusqu’à l’heure pas fait de mort. Les seuls cas relevés, sont ceux d’un homme de trente ans, qui a été admis aux urgences de l’hôpital central pour y recevoir des soins intensifs. Deux pompiers ont aussi été victimes de suffocation, en raison de la forte fumée qui avait envahi les lieux.Le ministre de la communication a tenu à rassurer les riverains qu’ils pouvaient regagner le chez eux, mais devraient rester prudents. Des risque de pollution existent, a tenu à préciser issa Tchiroma. De nombreuses personnes ayant été au courant de l’incident, ont sécurisé leurs familles par crainte d’une aggravation de la situation. J’ai fui avec mes enfants lorsque j’ai vu les flammes monter, affirme un témoin de la scène.

Dans la ville de Yaoundé, les populations se refusent de se rendre vers les lieux. Elles ont sûrement en mémoire le souvenir de la catastrophe qui avait eu lieu 11 ans plus tôt au même endroit.

Le 14 février 1998, des wagons-citernes de la Société camerounaise de dépôts pétroliers (Scdp) s’étaient renversés accidentellement sur les rails. Un incendie s’est déclenché sur les lieux, alors que des personnes s’y étaient trouvées pour se procurer du carburant. Le bilan avait été lourd. Près de 250 morts et des centaines de blessés laissant des familles marquées à vie.

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07.08.2009

Yaoundé :

Incendie mortel à Ngoa Ekelle Catégorie : Faits divers Posté par : admin

Narcisse Kounou, employé à la direction générale des Impôts a été calciné par les flammes au petit matin d'hier.

Les populations du quartier Ngoa EKelle II au lieu dit plateau Atemengue étaient pétrifiés hier jeudi, 06 août 2009 par la macabre situation qu'ils ont découverte au petit martin. En effet, Narcisse Kounou, depuis peu souffrant, a été retrouvé calciné dans sa demeure. D'après le chef de 3e

degré du coin, Francisco Alima, par ailleurs voisin direct de la victime, le réveil a été tumultueux. Le chef a été réveillé "par des cris stridents d'un voisin". Après avoir cru à une agression, le voisinage a décidé de sortir de maison. C'est alors que les populations,

le chef en tête, sont surprises par la découverte du triste spectacle des flammes ayant totalement dévoré le domicile du défunt. Aidé par quelques voisins venus à la rescousse, Francisco Alima entreprendra de forcer la porte centrale de la concession, sans suite.

Dans leur initiative salvatrice mais vaine, la porte forcée laissera de multiples brèches d'où les grandes quantités de masses d'air ayant entraîné la propagation de flammes. Face à la furie des flammes, les secours vont recourir aux services des sapeurs pompiers arrivés aussitôt sur le site du sinistre où il mettront en déroute les flammes qui avaient malheureusement déjà, causé de nombreux dégâts. Conséquence, l'assistance découvrira médusée, le corps calciné du voisin gisant dans son salon. Selon des éléments de la brigade des sapeurs pompiers, l'incendie serait dû à la mise sous tension ou sur un réchaud à pétrole aux alentours de 4h du matin, d'un médicament. Epuisé par la maladie cependant, Narcisse Kounou se serait endormi. Ceci constituerait la principale cause du sinistre. Le corps de Narcisse Kounou a été déposé à la morgue de l'Hôpital central de Yaoundé par sa famille qui a confié qu'il serait inhumé dans son village natal à Akono au courant de cette journée d'hier.

Charles Ndjana (stagiaire)

source:quotidienMutation du 07/08/09

Cameroun: Douala - Incendie dans un hôtelWilfried Joël Tankeu (stagiaire)10 Juillet 2009

Venues d'une habitation voisine, les flammes ont fait vider sept chambres de l'établissement voisin de l'université.

Ambiance inhabituelle hier matin, 09 juillet 2009 à l'hôtel Mont Essec, à quelques encablures de l'université de Douala. Atmosphère timide, va et vient incessants de quelques curieux aux visages fermés. Des clients de cet hôtel une étoile n'ont pas eu de sommeil la nuit du 08 au 09 juillet à partir du moment où a déclenché l'incendie qui a fait voler en éclat sept chambres. Selon certaines sources, le feu est venu d'une habitation voisine. Une femme aurait allumé dans sa cuisine aux environs de minuit le gaz sur lequel elle a pausé une marmite contenant de l'huile, avant d'aller accompagner un ami.

Après avoir excessivement chauffée, l'huile va produire des flammes qui seront à l'origine de l'incendie. Les voisins vont tant bien que mal essayer de maîtriser les flammes sans y parvenir. Les flammes vont alors attaquer des tuyaux en plastique qui servait de conduit pour les eaux de pluies. Ces tuyaux vont brûler au point d'atteindre le plafond du bâtiment B de l'hôtel qui à son tour va se consumer au fur et à mesure au point de surprendre des clients qui n'étaient pas au courant du drame.

C'est alors que ces derniers, qui ne pouvaient emprunter les escaliers parce que bouchées par les flammes, vont tenter de se sauver. Le premier, pris de panique va sauter de l'étage. Ceci ne sera pas sans dégât puisque l'homme va se fracturer le pied l'épouse de l'infortuné et les autres clients dont deux enfants étouffés par la fumée auront la chance de voir une échelle mise à leur disposition qui leur permettra de s'éloigner des flammes. "Quand nous avons aperçu le feu, nous avons emprunté une échelle pour quitter l'endroit. J'étais en caleçon et aussitôt, j'ai pris une moto

qui m'a accompagné chez ma soeur où j'ai trouvé des vêtements", se souvient un client en ramassant ce qui reste de ses affaires. Informés, les sapeurs pompiers, arrivés une trentaine de minutes plus tard, vont maîtriser les flammes. Jusque là, ce ne sera pas sans conséquences majeurs puisque le téléviseur, le lit, la chaise, la table, les coffres des sept chambres des clients vont se réduire en charbon.

Les climatiseurs et autres installations sanitaires sont endommagées. Sur le sol desdites chambres, tout comme sur le balcon, des morceaux de bois noircis venus du plafond y sont éparpillés. Des tôles tordues et fixées sur quelques rares lattes ont été déchirées au cours du triste événement. "Je suis déséquilibré. J'étais en face quand j'ai vu le feu venir. Je n'ai pas encore fait le bilan des pertes", a expliqué le propriétaire de l'hôtel, Philippe Ngamo qui supporte malgré le coup. Dans l'habitation en matériau provisoire d'où est venu le feu, des étudiants ont perdu leurs documents scolaires et personnels. Trois motos et une somme d'un demi million y ont été emportées par les flammes. Trois enfants du propriétaire de cette habitation précaire sauvés par les sapeurs pompiers sont brûlés au deuxième degré et sont actuellement dans un

Cameroun: Incendie dans une Radio à Douala

Par Ericien Pascal NGUIAMBA - 09/07/2009

Le feu a consumé les locaux de la Radio des Lauréats au quartier Bonamoussadi

 

C’est le quotidien gouvernemental Cameroon Tribune qui rapporte cette nouvelle ce 9 juillet 2009. L e personnel de la Radio des Lauréats une chaine de proximité émettant depuis la capitale Camerounaise ne savent plus à quel saint se vouer depuis l’incendie qui vient de faire de ravage au sein de cette station. Selon nos confrères, tout serait parti aux environs de 19h 30 heures locales lorsque l’incendie s’est signalé dans le vaste bâtiment à trois niveaux qui abritait les locaux de Lauréat FM lundi dernier. Certaines indiscrétions parlent d’un court circuit qui serait à l’origine de cet incendie. Les mêmes sources indiquent que le climatiseur situé derrière le bâtiment de la radio a pris feu. On parle aussi d’une explosion de la bouteille de gaz contenue dans cet appareil.

La radio des Lauréats dispose pourtant d’un extincteur qui malheureusement n’a pas pu être manipulé par le vigile de garde. Ce dernier ne connaissait pas son mode d’emploi indique t-on du côté de Bonamoussadi, siège de cette jeune chaine urbaine. C’est la raison pour laquelle le bilan de cet incendie est lourd : Il ne reste presque plus rien des deux studios qui faisaient office de bureaux de la Radio. Les microphones le matériel de sonorisation les bancs de montages des émissions, et des journaux parlés ont été emportés par le feu. Idem pour le matériel de bureau, les archives les documents du personnel et la toiture du bâtiment ont été emportés par la puissance des flammes. Appelés en renfort, les sapeurs pompiers arrivés quelques temps après le déclenchement de l’incendie, ont néanmoins pu maitriser le feu qui aurait pu envahir le bâtiment abritant l’école primaire et maternelle du groupe scolaire Waffo. En effet c’est dans l’enceinte de ce groupe qu’a été installée la jeune station de Radio. Au siège de la radio, les entrées sont filtrées, d’autant plus qu’une enquête a été ouverte pour trouver les origines exactes de cet incendie. Le fondateur de cette Radio, l’homme d’affaires originaire de l’ouest du pays, Waffo Pierre est le promoteur le plus malheureux actuellement, lui qui s’est investi à donner à la jeunesse de Douala, un outil de communication, mieux de formation et de pédagogie pour une meilleure insertion dans la vie active. La Radio des Lauréats est l’une des dernières chaines de proximité créées dans la capitale économique.

L’incendie qui vient de survenir dans cette jeune entreprise de communication devrait servir d’exemple aux autres promoteurs des structures de communication audiovisuelle, qui accordent peu d’attention à la sécurité des employés, du site et du matériel de travail. Car comment comprendre que la Radio ait recruté un vigile qui ignore tout de l’usage d’un extincteur.IL s’agit aujourd’hui de mettre un accent particulier sur la sécurité des investissements pourtant bénéfiques pour le développement du secteur de la Communication, plus précisément le secteur de l’audio visuel de plus en plus développé dans les principales métropoles Camerounaises que sont Douala et Yaoundé. Dans la ville de Douala, la Station régionale de la CRTV (Cameroon Radio and Télévision) et la Chaîne de proximité CRTV FM

105 doivent faire face à une rude concurrence que leur livrent les Radios privées telles que Radio Equinoxe, Nostalgie, Sweet FM, Cauris FM, Radio Veritas, Radio Bonne Nouvelle et… la Radio des Lauréats.

Yaoundé : Deux morts dans un incendie au quartier Manguiers Ecrit par Adrienne Engono   

26-06-2009

Les victimes, âgées respectivement de 4 et 5 ans ont été consumées par des flammes causées par une bougie en l’absence de leur mère.

Mamela, 4 ans et Victoire Odette Betia, 5 ans, sont mortes dans la nuit de mercredi à jeudi, dans un incendie au quartier Manguiers à Yaoundé (derrière la station service Pétrolex). Selon les témoignages recueillis à la brigade de gendarmerie de Nlongkak, il était 0h25min, lorsqu’un habitant de ce quartier a signalé la présence du feu dans la chambre qu’occupaient Florence Essengué et sa cousine, Pem Françoise, accompagnées de leurs deux fillettes.

Le commandant de la brigade, Martin Abiana, qui a reçu le coup de fil, a aussitôt contacté le service des sapeurs pompiers. Une équipe de secours s’est rendue sur le lieu. A leur arrivée à 1h, les sapeurs pompiers réussiront à maîtriser les flammes. Mais, les deux fillettes qui se sont couchées sous le lit pour se mettre à l’abri du feu seront retrouvées calcinées. D’après les voisins, une bougie serait à l’origine de cet incident. Mais pour Florence Essengué, la mère de Mamela, l’incendie est plutôt mystique. «Il n’y avait rien d’allumé dans la chambre au moment où je suis allée en route chercher quelques médicaments pour calmer ma douleur. J’ignore d’où est venu ce feu qui a ôté la vie à ma fille et à ma nièce», déclare-t-elle en larmes. Elle raconte qu’après avoir acheté les médicaments, elle a été retardée par un cousin qu’elle a rencontré sur son chemin, puis un de ses voisins lui a demandé si elle avait allumé le feu dans sa chambre. «C’est alors que je me suis dirigée vers ma chambre, les flammes étaient si violentes que nous n’avons rien pu pour les éteindre», déclare-t-elle.Une enquête a été ouverte par la brigade de gendarmerie de Nlongkak, alors que les corps des deux fillettes ont été transportés à Goura, par Mbangassina, dans le département du Mbam et Kim, région du Centre où ils ont été inhumés hier. 

Douala: Allons danser en toute insécurité

Écrit par Louis Blaise Ongolo Mercredi, 01 Juillet 2009 09:29

Les boîtes de nuits sont de plus en plus dévastées par des incendies. Une situation qui suscite la peur dans la ville. Les habitués de la boîte de nuit dénommée « Olympia night club », située au centre administratif à Bonanjo, ne verront pas leur temple de l’ambiance ouvert de sitôt. La faute à un grave incendie qui l’a ravagé le samedi 27 juin 2009.  Le lieu, sens dessus dessous, n’affiche pas bonne mine. Déjà cerné par une longue corde de sécurité, il est inaccessible. Et une odeur de matières consumées enfume l’air. Le vigile de service confirme la gravité des dégâts, et précise que « rien n’avait été sauvé de la catastrophe » qui avait commencé aux environs de 9 h.C’est en ce moment là, explique un agent d’entretien d’une structure voisine à la boîte de nuit, que les premières vagues de fumée sortant de l’arrière du bâtiment, ont été aperçues. Mais, tout étant fermé, les premières personnes ayant accouru sur les lieux n’ont rien pu faire et le feu a pris de l’ampleur. Il sera alors proposé au propriétaire de la boîte, arrivé lui aussi  quelques instants après, de casser un pan du mur arrière du bâtiment qui ne dispose d’aucune issue de secours, pour faciliter l’intervention. Ce dernier opposera un refus, même aux pompiers dont la réaction, selon les témoignages a été prompte. Et c’est sur insistance des pompiers, et au regard de l’ampleur de la situation que le propriétaire de la boîte, un expatrié,  consentira et un pan du mur sera cassé. Mais, trop tard pour sauver quoi que ce soit en dehors de quelques climatiseurs arrachés à la hâte. L’intervention des pompiers empêchera que le feu se propage dans le voisinage. A propos de l’origine du feu, l’on évoque un circuit électrique défectueux duquel le feu serait parti. L’incendie de Olympia night club, vient ainsi rappeler celui survenu il y a quelques mois au Dreams night club à Akwa, faisant aussi beaucoup de dégâts. Heureusement, dans l’un et l’autre cas, il n’y a pas eu de perte en vies humaines. Néanmoins, la situation demeure inquiétante dans les boîtes de nuit de la ville où, quand ce n’est pas le feu, ce sont de fausses alertes de dangers qui mettent en émoi la clientèle et le voisinage.

  AutorisationDe l’avis des spécialistes du bâtiment rencontrés à la suite de l’incendie de l’Olympia night club, l’édifice ne respectait pas les normes de sécurité exigées en bâtiment. Et Calvin Limaleba, architecte urbaniste en service dans une structure publique de la place, de s’indigner des pratiques qui ont cours au Cameroun en général et à Douala en particulier, dans les constructions des édifices publics. Ce dernier révèle que plusieurs édifices publics ne respectent pas les normes en matière de construction. A propos des issues de secours qui ont fait défaut dans le cas de l’Olympia night club, l’architecte indique que, « aucun lieu public ne doit être construit sans issue de secours comme c’est le cas de plusieurs boîtes de nuit de la ville ». Selon Calvin Limaleba, toute boîte de nuit devrait avoir dans la moindre mesure, outre des issues de secours en fonction de sa capacité d’accueil, et accessibles aux pompiers et leur matériel en cas de nécessité, mais aussi des détecteurs de fumée, un bon système d’eau incendie, et un système fiable d’installations électriques. Des infrastructures qui fonctionnent selon un système automatique dès que le feu se signale dans l’édifice. Les architectes ne vont pas sans insister sur le certificat de conformité exigé par la loi de 2004 portant sur la construction. Le certificat de conformité selon eux, ne peut être délivré qu’après vérification par les autorités, que les normes devant guider la réalisation de l’ouvrage correspondent à la taille dudit ouvrage et que celles-ci sont respectées. Et lesdites normes doivent être contenues dans le dossier technique. Pourtant, fort de tout cet arsenal juridique, l’administration délivre les autorisations d’ouverture de boîtes de nuits, dans la plupart des cas, aménagées dans des bâtiments non réglementés qu’ils trouvent d’ailleurs en place.

Le Messager N°2878 P3

Bonadibong15 Juin 2009Un incendie ravage trois maisonsC’est autour de 23h dans la nuit du lundi 15 juin que l’incident est survenu. Trois maisons, toutes construites en matériau provisoire, ont volés en fumée, sous le regard effaré et impuissant des populations environnantes. Selon le témoignage, la forte pluie qui s’est abattue sur presque toute la ville ce soir là a provoqué l’interruption de l’énergie électrique. Une fois celle-ci rétablie, on a signalé un premier cas d’incendie dans l’une des cases. A la faveur du matériau (planche) de construction de cette maison, les flammes vont rapidement prendre du volume et gagner les maisons voisines. Les sapeurs pompiers appelés à la rescourse sont parvenus à maîtriser le feu qui n’a vraisemblablement laissé derrière lui que du charbon et de la cendre. Aucun meuble n’a été sauvé de la furie des flammes. Les dégâts n’ont pas encore pu être évalués, mais aucune perte en vie humaine n’a été enregistrée. L’origine de cet incident reste toujours inconnue.

le Jour N° 429 P 5Divers du jourLe jour a vu21.05.2009Incendie au marché A de BafoussamC’est en rangs serrés qu’une dizaine de commerçants du marché A de Bafoussam ont sollicité, lundi 20 avril dernier un rendez-vous avec Emmanuel Nzété, le délégué du gouvernement auprès de la communauté urbaine de bafoussam. Ces derniers voulaient savoir quelle aide la communauté urbaine pouvait leur apporter, après l’incendie qui a réduit en cendres leurs investissements.  « Nous payons régulièrement les impôts, et il est normal que la municipalité nous vienne en aide lorsque nous sommes victimes d’untel sinistre », souligne Roger Fokou, commerçant. Rien ne leur a été promis.

Dans la nuit du mercredi à jeudi derniers, le feu a embrasé le secteur appelé marché mondial. Les 7 boutiques de ce secteur du principal marché de la ville de Bafoussam étaient spécialisées dans le commerce général. Les commerçants ont évalué les à plus de 10 millions les dégâts consumés dans le feu. Les premiers éléments de l’enquête que mène la police précisent que c’est un court circuit électrique qui a produit l’étincelle meurtrière. Si cette thèse se confirme, ce sera le 5eme cas identique d’incendie au marché de Bafoussam depuis le début de l’année.

Mutations N°2403

Yaoundé :14.05.2009

Frayeurs au Hilton hôtel

L'un des compartiments de refroidissement y a pris feu hier sur le toit du 13è étage.La présence de deux véhicules de sapeurs-pompiers, dont l'un garé dans le parking souterrain de l'hôtel Hilton à Yaoundé, renseignait sur la situation qui y prévalait hier matin. De nombreux curieux, accourus à l'annonce d'un incendie dans cet établissement hôtelier huppé de la capitale, avaient les yeux levés vers le toit de l'immeuble où s'élevait de la fumée noire quelques instants plus tôt. De source policière, on apprend ainsi que c'est l'une des cuves de refroidissement qui est à l'origine de cet incendie qui s'est déclaré aux environs de 9h20 minutes. "Un soudeur travaillait sur l'une des cuves qui se trouve sur la plateforme. Il y a eu masse et celle-ci a pris feu", indique notre source. Des propos qui ont été confirmés plus tard par la direction générale de l'hôtel

Celle-ci précise que : "Un compartiment de la tour de refroidissement a pris feu sur le toit du 13è étage". Ajoutant par la suite que "les investigations pour connaître l'origine de cet incident sont en cours". Incident qui "serait sans doute dû à une opération de soudure d'entretien d'une société externe spécialisée", continue le communiqué parvenu à notre rédaction. C'est le seul dégât qui sera enregistré, puisque les sapeurs-pompiers ont réussi à maîtriser les flammes aux alentours de 9h45, avant que celles-ci ne se propagent. "C'est moi qui ai donné l'alerte. Je passais par là et j'ai vu les flammes en haut", raconte un pompier, avec rang de sergent chef. "J'enlevais les herbes face à l'hôtel lorsque j'ai senti une forte chaleur. C'est en levant les yeux au ciel que j'ai vu le feu sortir du pied de la tour", relate Chantal Ada.

C'est à ce moment, ajoute-t-elle, qu'elle a alerté ses autres camarades, tous membres d'une Ong, qui désherbaient le long du portail encadrant le Centre pilote. "Je suis allé prévenir le vigile. Il ne m'a pas cru. Il a fallu qu'il sorte et qu'il voie les flammes pour s'en convaincre. Ce n'est qu'après qu'il est allé alerter sa hiérarchie", renchérit Gabin Fouda. Etaient également présents sur les lieux, le procureur de la République, les éléments de la Direction provinciale de la police judiciaire (Dppj) et de la brigade de recherche du lac, venus prendre le pouls de la situation. Alors que l'incident n'a fait aucun blessé, du côté de l'hôtel, on se veut rassurant. "Il faut rappeler que c'est une installation moderne qui a été totalement changée en 2006 (et) régulièrement entretenue. Et dont la durée de vie est d'environ 15 ans", affirme la direction générale, non sans rappeler que "la sécurité est un

élément essentiel dans le groupe Hilton".

Patricia Ngo NgouemCameroon Tribune N°9350/5551 P18Mvan : un mort dans un incendieUne maison s’est consumée samedi dernier dans ce quartier de Yaoundé. Les causes demeurent inconnuesUne forte odeur de grillade et de chevelure brûlées est répandue au service des urgences chirurgicales de l’hôpital central de Yaoundé ce samedi matin. Une dame brûlée au 3e degré est allongée sur un lit. Marie Claire Tchaptchet, souffre le martyr. Excepté sa tête, le reste du corps est dépourvu d’épiderme. Son corps est rouge. Elle a été brûlée dans un incendie survenu quelques heures plutôt au domicile familial à Mvan. Sa sœur aînée, Tamwo A, âgée de 76 ans a eu moins de chance. Elle est décédée.L’incendie de la maison se serait déclenché vers 2 h du matin. « J’ai lavé les assiettes jusqu’à1h 12 parce que je voulais me reposer samedi. A peine je me suis couchée, que j’ai entendu Marie Claire crier au feu. Je suis sortie et je me suis rendue compte que le feu avait déjà envahi le salon », raconte Berthe Ngangue Tamwo, la maîtresse de la maison et fille de la décédée. Alerté par ses cris, Willy, l’homme qui vit dans la chambre de l’extérieur va chercher une hache chez le voisin  et vient forcer la porte. Berthe Ngangue Tamwo sort indemne de l’incendie. Marie Claire Tchaptchet surgira peu après, couverte de flammes. Sa sœur aînée, restée  dans une autre chambre, sera quant a elle brûlée vive. Les sapeurs pompiers arrivés peu après  vont limiter les dégâts. De la grande maison qui servait également de restaurant, il ne reste plus rien, excepté la cuisine.Berthe Ngangue Tamwo, le chef de famille dit ignorer les causes de cet incendie. Et elle écarte l’hypothèse d’un court circuit, car affirme t-elle, pendant l’incendie des ampoules étaient allumées. Pour Marie Claire, l’incendie serait d’origine accidentelle. S’agissant de l’état de santé de Marie Claire, les médecins révèlent qu’il est préoccupant.Hugues Marcel Tchoua

Le Messager N°2853 P6Yaounde12.05.2009IncendieL’agence Cnps de Melen en feuLe feu aurait été provoqué par un court-circuit. Certaines pièces de l’agence de Melen de la Caisse nationale de prévoyance sociale.Cnps, sont parties en feu dans la nuit du mercredi 6mai 2009. Le feu se serait déclenché  aux alentours de 2 heures du matin. Les sapeurs pompiers contactés quelques temps après les responsables de la Cnps vont venir stopper cette furie incendiaire des flammes. Elles vont s’arrêter heureusement dans la salle d’accueil et dans les guichets de payements des pensionnés, deux ordinateurs et certains meubles ont été calcinés par les flammes. L’on apprendra plus tard  des électriciens de la Cnps que le feu aurait été déclenché par un court-circuit. L’on espère que cet incendie n’handicapera pas le prochain processus de payement des allocations et autres pensions sociales aux différents bénéficiaires qui ont l’habitude de se faire payer dans cette agence.

Dikalo P3Bafoussam27.04.2009IncendieUn feu d’une extrême intensité a ravagé le marché Sokade de Bafoussam dans la nuit de mercredi à jeudi dernier. Plusieurs comptoirs ont été consumés par les flammes et les propriétaires, impuissants face à la fureur du feu, n’avaient que leurs yeux pour pleurer. Des ateliers de couture, des salons de coiffure, des parfumeries et même de la nourriture pour revendeuses, rien n'a échappé aux braises incendiaires méchamment allumées. Ce qui a laissé sur le carreau de nombreux dégâts matériels.L'une des victimes dit avoir d'ailleurs récupéré dans les décombres, des têtes de machine totalement calcinées, au même titre que les échoppes construites en matériaux locaux et dont les épaves étaient irrécupérables.Ce marché comme tant d'autres de la ville de Bafoussam n'est pas loin de souffrir de la promiscuité en matière de logement. L'absence des installations électriques, la vétusté et l'insuffisance des locaux, l'étroitesse de la route qui y passe, l'environnement insalubre, le voisinage fallacieux pris sous le joug des brigands et bien d'autres, sonnent la cloche de la méfiance.Les dégâts n'ont pas encore été évalués, mais cet autre incendie s'ajoute à la liste des marchés sinistrés à Bafoussam. En février 2009, une partie du marché B a été soufflée par des flammes. Les pertes s'estimaient à près de 10 millions de FCFA.Les enquêtes ont été ouvertes. Déjà on évoque l’hypothèse d’une main criminelle surtout que quelques jours avant, il avait reçu la main des malfrats et le marché n’était pas alimenté par l’énergie électrique.

Le Popoli  N°849 P 417.04.2009

IncendieLe Bybloss dévoré par les flammesIl ne fait aucun doute que le bizness se portera mal les jours prochains pour la société Noumi-Cameroun, et le dream (ancien Bybloss), deux commerces au quartier Akwa, qui ont pris feu dans la nuit de mercredi à jeudi 16 avril.Le feu s’est déclaré aux environs de minuit alors que la tempête faisait rage dans la ville.

Audrey, le responsable commercial du Dream, parle de la foudre qui se serait abattue sur le site, détruisant sur son passage, toute l’installation qu’il juge de piètre qualité comme  dans un film de science fiction, les flammes ne sont pas protégé jusqu’au niveau de l’entreprise import-export (dont le mur est collé à celui du Dream).

Et très vite, le feu s’est mis à consumer tous les meubles à l’intérieur. Une source nous confirme que la dizaine de personnes qui se trouvait à l’intérieur s’est mise à paniquer lorsque la fumée st sortie de la cabine du technicien.

Certaines personnes ont tout fait d’appeler les sapeurs pompiers qui sont arrivés aux environs d’une heure du matin, lorsque, les murs et tout ce qu’il y avait à l’intérieur des deux commerces s’effondrait déjà. Jeudi matin encore, la rue où a eu lieu l’incendie, était noyée dans un nuage de fumée. Mais difficile de savoir d’où elle provient car les devantures sont restées intactes, et les vigiles continuent d’assumer le service de gardiennage à l’entrée du Dream comme si de rien n’était. A côté, quelques employés de Noumi sont en train de maquiller tout ce qui pourrait faire découvrir l’état dans lequel est resté le commerce. Un coup d’œil à l’intérieur nous a permis de constater que tout a été brûlé ce qui amène à en déduire que le bilan des pertes est excessif que ce soit ici où au Dream qui a subi le même sort. Il se chuchote alors que les propriétaires ne sont pas encore arrivés sur les lieux pour en savoir plus. Toutefois, un photographe et des huissiers y étaient pour faire le décompte des pertes. Mais peut-être que c’est pour annoncer qu’il fera bientôt beau temps ici après que ces deux commerces soient dédommagés.Avant cet incendie, la société Noumi-Cameroun, était une entreprise qui faisait dans l’import-export pour l’ameublement, et le dream, une boîte de nuit très réputée dans la capital économique.

Fidèle Ntoogue

Cameroon Tribune N°9320/5519 P.24AES-SONELDes bureaux en cendres à l’agence de KoumassiLes causes de cet incendie, déclarées dans la nuit de Lundi, ne sont pas encore élucidées.L’accès est désormais interdit à l’agence AES-SONEL de Koumassi. Un périmètre de sécurité a été mis en place pour éviter toute intrusion, le personnel a été déversé dans d’autres agences particulièrement celles de New-Bell et d’ Akwa. C’est que lundi aux environs de 22h, certains bureaux, notamment sur le rez de chaussée du vaste Bâtiment qui abrite la direction commerciale, ont pris feu. Pendant près de deux heures, ordinateurs, caisses, papiers de caisse, mobiliers, pièces personnelles de certains agents et bien d’autres ont détruit dans les flammes. Celles des coffres forts ont résisté à la fureur du feu. Même si les responsables minimisent l’ampleur des dégâts, il faut néanmoins dire qu’ils sont importants.

D’après les premiers éléments d’information mis à notre disposition, c’est au milieu de la nuit de lundi qu’un feu s’est déclaré dans le bureau du chef d’agence. C’est le système de sécurité qui a alerté les vigiles de nuit. Immédiatement, ceux-ci ont fait appel aux sapeurs pompiers. Entre temps, le feu a continué à se propager dans les bureaux avoisinants, principalement le bureau des caisses. 1 heure et demie, c’est le temps qu’ont mis les soldats du feu pour circonscrire cet incendie. Le reste du bâtiment n’ayant pas été touché. Si des enquêtes permettront sans doute d’en savoir plus quant aux causes de ses flammes, des informations glanées ça et là font état d’une prise électrique qui aurait fondu, d’autres pistes mènent plutôt vers un ordinateur qui n’aurait pas été débranché le soir après la fermeture du service. Dans tous les cas, les enquêteurs sont sur le terrain pour établir les responsabilités. Toutefois, des indiscrétions laissent entendre que le personnel de l’agence de Koumassi venait juste d’être remanié, et que certains responsables auraient dû prendre leur service dès la journée d’ hier.

Pour clarifier la situation, le directeur de la communication, Alexandre Siewé, précise que les Bâtiments qui abritent les services techniques n’ est pas concerné par l’ incendie, celui se trouve au moins à 200 m du commercial. Pour ce qui est des clients de l’agence, ils pourront se rendre dans les autres structures pour régler leurs factures pour régler leurs factures ou encore résoudre d’autres problèmes. Les travaux de remise à neuf de cette partie du Bâtiment seront entrepris dans les prochains jours.Mireille Onana Mebenga

Le Jour n°415 p.4

DoualaUn court circuit cause un incendie à AES-SONELLe bureau du chef d’agence de Koumassi a complètement été réduit en cendres.Le travail a été interrompu hier mardi 31 mars 2009 dans certains bureaux de l’agence AES-SONEL à Koumassi. A l’origine de cette interruption, l’incendie qui s’est produit la veille dans le bureau du chef d’agence. Le feu s’est déclaré autour de 23 heures et a complètement consumé ledit bureau. Les matériels informatiques, les documents «confidentiels», les meubles ont été réduits en cendres. Le sol et le mur sont noircis par les flammes «nous avons été alertés par les flammes et la fumée qui s’échappait du bureau du chef d’ agence.» témoigne un vigile de la société distributrice d el’ énergie électrique.Hier sur les lieux, les visites étaient proscrites. La caisse de l’agence de Koumassi est restée fermée toute la journée. Les clients ont été invités à faire le versement dans les autres agences de la ville. Certains employés convoqués par la direction, s’activaient à fouiller dans ce qui reste du bureau calciné pour sauver quelques documents. D’autres se sont chargés de mettre à l’abri les tenues de sécurité qui se trouvaient dans les bureaux voisins. Selon des témoignages, de plusieurs employés, c’est un court circuit qui serait à l’origine de l’incendie.Le feu a été maîtrisé aux environs de 1h du matin par les sapeurs pompiers. Une intervention qui a été salvatrice pour l’agence AES-SONEL  de Koumassi. «Sans l’intervention de secouristes, l’agence devait finir en cendres» a déclaré un vigile. Pour l’heure aucun bilan n’est encore donné. Néanmoins, le chef d’agence Simon Amugui Embolo, a déclaré que les pertes sont «importantes». Il y’ a quelques semaines, c’est un transformateur de la même agence qui s’ était complètement grillé et avait privé plus d’ une dizaine de quartiers de Douala d’ énergie électrique.Christelle Kouétcha (Stagiaire)  

Le Popoli N°835 P11

24.03.2009BaliUne bouteille de gaz enflamme un atelierPlus de peur que de mal à «bali» hier après midi. Une bouteille de gaz a explosé dans un atelier de froid et climatisation voisin du bar « FC Barcelone». La bouteille de gaz aurait commencé à brûler à l’intérieur avant de péter » on a oublié de la fermer », explique fidèle Kamgo responsable dudit atelier. Les habitants du quartier ayant vu les flammes se sont mobilisés pour éteindre le feu à l’aide du sable et d’eau. C’est finalement l’intervention des sapeurs pompiers de Ngodi qui a été salutaire. Limofote Eric employé de cet atelier pense que le feu se serait calmé parce qu’il y’ avait délestage. La gendarmerie nationale, légion du Littoral s’est pointée par la suite par la suite pour le constat. Le responsable Kamga Fidèle qui a connu de légères brûlures au front et aux mains estime déjà ses pertes à près de 1 millions de francs CFA.ATA lire Le Jour N°414 31.03.2009Le supermarché SKT échappe à un incendieUn bruit assourdissant a causé la panique hier, lundi, aux environs de 13heures, non loin d el’ entrée de la pharmacie camerounaise située en face de la Cathédrale Notre dame des victoires de Yaoundé. L’enseigne lumineuse de la pharmacie a menacé de s’écrouler, les vendeurs à la sauvette ont cru voir arriver les agents de la Communauté urbaine qui les pourchassent en journée pour les empêcher de se réinstaller, quand, soudain, une fumée noire a  envahi la petite case où est logé le compteur qui alimente le super marché Skt en électricité. Heureusement, à l’aide d’un extincteur du supermarché, un vigile va freiner l’évolution des flammes, quelques minutes avant l’arrivée des Sapeurs-pompiers qu’ont fait venir des vendeurs à la sauvette.AELe Popoli N°833 P.820.03.2009GrèvesIncendie à SHO PlusIl est 10h ce jeudi à Akwa et tous les employés de l’immeuble abritant l’espace Bernabé et autres sont en poste. Quelques minutes après, une "grosse bombe" éclate dans la salle technique et secoue tout l’immeuble. Panique générale et cafouillage total. Les uns tombent sur les autres, une scène à la sauve qui peut. «Je ne savais pas que je pouvais encore courir » mais j’ai vu la mort aujourd’hui» s’exclame Nadège essoufflée. Ceux qui sont à l’étage ont escaladé pour atterrir de l’autre côté à 1st trust et à Naturalia. On a saisi le corps national des sapeurs pompiers pour calmer les hostilités avec bien sûr le concours de AES-SONEL qui a coupé cette ligne depuis la direction. Selon des informations recueillies sur place, ce sont des branchements anarchiques

qui seraient à l’origine des flammes. Roméo de pain-œuf viande, avocat nous confie que «ce n’est pas la première fois. Très souvent quand nous sommes ici dehors, des étincelles jaillissent de là. Personne, curieusement ne veut porter la casquette, chacun accuse son colocataire. Cet immeuble abrite les cabinets d’avocats, les bureaux de SHO Plus, l’espace Bernabé…Le dégé de Bernabé aurait en vain sollicité l’intervention de AES-SONEL récemment pour mettre de l’ordre dans ces câbles qui se mêlent à tort et à travers. Il aurait souhaité porter plainte mais se serait buté à une réalité camerounaise » vous voyez vous-même, ce sont tous des avocats». A côté, on raconte que de mauvaises manœuvres de piraterie d’énergie électrique qui seraient à l’origine de cet incendie. Heureusement, aucune perte en vie humaine n’a été enregistrée. Mais il y’ a eu quelques dégâts matériels.

Le jour n°0397 p.511/03/2009Incendie à l’Immeuble ShellDans la matinée d’ hier, 10 mars dernier, un incendie s’est déclaré à l’ Immeuble Shell Concorde, dans le centre ville de Yaoundé. D’après les témoignages recueillis sur les lieux, c’est aux alentours de 11h que les occupants du 13ème étage de ce bâtiment qui en compte au total 15, ont senti une odeur de fumée. Immédiatement, le courant électrique a été coupé et les sapeurs pompiers alertés, tandis que les occupants évacuaient l’immeuble.Les sapeurs pompiers sont arrivés quelques minutes plus tard pour prêter main forte aux employés de l’immeuble, qui avaient commencé à éteindre les flammes, à l’aide des seaux d’eau. De leurs investigations pour connaître l’origine de l’incendie qui a été vite maîtrisé, l’on a tout au plus appris que c’ est d’ un conduit d’ eau du 9e étage de l’ immeuble, qui ne dispose pas de matériel de protection ou de détection incendie. Pour éviter que la situation ne se reproduise à nouveau, le gestionnaire  préconise la sensibilisation des occupants de l’immeuble.

Le Messager N°2806 P.3DrameLe marché de Ngaoundéré en flammesUn incendie géant s’est déclenché le 6 mars 2008 vers 19h30 au marché de Ngaoundéré situé à quelques encablures du centre commercial de la ville. Pour l’heure, nul ne peut localiser avec exactitude l’origine du feu. Des témoignages font penser à un incendie causé par un court-circuit. Une thèse difficile à réfuter au vu des branchements anarchiques qui pullulent dans le coin. Toutefois, d’autres voix s’élèvent pour indexer des vendeurs de poulets à la braise. Lesquels n’auraient pas pris le soin d’éteindre les braises incandescentes avant de quitter leur lieu de travail. Le bilan de cet incendie inédit au marché de Ngaoundéré fait état de pertes matérielles énormes. Beaucoup de boutiques et autres marchandises ont été consumées. Près d’une centaine de moutons et de volailles ont été brûlés vifs. Ce bilan aurait pu être plus grave si les populations ne s’étaient pas montré réactives face à la furie des flammes. Des gens se sont empressés d’arracher les toitures des échoppes pour éviter la propagation du feu. Les sapeurs pompiers appelés de Camrail et de l’aéroport sont arrivés tard. Sur place leur tâche a été rendue difficile par une rupture d’eau. Entre autres autorités ayant fait le déplacement pour mesurer l’ampleur des dégâts, l’on cite Zang III (représentant du gouverneur de l’ Adamaoua) et le maire de Ngaoundéré 2e Mahaman Toukour. Ce drame repose le problème de la modernisation de ce marché qui brille autant pour son insalubrité que par l’anarchie qui y règne. En 2003, avec l’appui d el’ Union européenne, l’ex commune urbaine de Ngaoundéré a voulu changer la donne. Mais elle a buté sur de gros intérêts.

The Herald N°2191 P.6Ng’dere market suffers second fire disaster in 3 monthsMerchandise worth over 50 million FCFA was consumed by raging flames. The origin of the fire is still not known.Scores of traders at a market in Ngaoundéré popularly known as Petit Marché lost Dozens of millions worth of merchandise to flames at the close of last week.It was the second time the market was experiencing a blazing inferno in barely three months.Reports say stalls belonging to about 100 traders were reduced to ashes as raging flames spread through the poorly constructed market on Friday 6 March. No human casualties were reported.Intervention by area residents who rushed to the scene with pails of water to douse to those the flames prevented the fire from causing more damage. But witnesses said the fire brigade which arrived when the flames had already been put out could have significantly reduced the damage if the damage if they had arrived at the scene shortly after the fire broke out.

Alhadji Mouhamadou, president of the association of Ngaoundere traders, is quoted as saying that the net worth of merchandise lost to flames was merchandise lost to flames was over 50 million FCFA. This figure has not been independently confirmed.The cause of the fire is not yet known, at least officially, although witnesses have advanced various theories.Some traders said the flames leaped from a restaurant in the vicinity of the market onto a stall which caught a fire that spread to other stalls. But restaurant owners disclaim that version, saying that they are always careful to put out the flames of their cookers to save fuel.Others said the fire was caused by an electrical fault. They said the market is replete with chaotic electrical connections that are like a powder ked just waiting for a spark.Many traders blamed in similar fire incident in December 2008 on faulty electrical installations.The secretary general of the Adamawa region, Georges Zang III, visited the damaged Petit Marché to access the situation.It is hoped that government will investigate the cause of the fire in order to prevent similar disasters in the future.By Eric Venyui 

Cameroun: Incendie à l'Institut national de la statistique

Steve Libam3 Mars 2009

A la vue du nuage de fumée qui s'échappait du bâtiment de l'Institut national de la statistique, les riverains eurent tôt fait de faire des prévisions pessimistes. Pourtant à première vue, un seul bureau semble avoir été touché par le feu qui s'est déclenché dans après-midi d'hier autour de 15 h 30 mn. Les employés des locaux massés à l'extérieur se remettent tranquillement de leurs émotions, en dissertant sur les circonstances dans lesquelles le feu les a surpris à leur poste de travail. D'autres s'interrogent sur les causes de cet incendie. En pénétrant à l'intérieur à la suite des éléments des sapeurs-pompiers du centre secours de Yaoundé ville arrivés sur les lieux rapidement, on constate que la majorité des bureaux sont restés ouverts. Des livres et documents sont renversés sur le sol. Dans un autre local, c'est l'onduleur d'un ordinateur qui siffle encore.

Tout seul dans son bureau au deuxième sous-sol du bâtiment, Ferdinand Fandio Tchabo essaye de récupérer ce qui peut encore l'être, entre les tas de papiers brûlés et l'eau. C'est en effet du bureau de ce statisticien employé à la sous-direction de la statistique des entreprises du secteur industriel que le feu s'est déclenché. « Je revenais tout juste d'une course à l'extérieur. J'ai juste posé ma mallette sur le siège et je suis allé voir un de mes supérieurs hiérarchiques quand on m'a appelé pour me dire que mon bureau était en feu », explique-t-il. Par ailleurs, il estime avoir été le plus touché par le feu : « Ma mallette et la chaise sur laquelle elle se trouvait ont consumé. J'ai perdu des documents personnels », confie l'intéressé.

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Parmi les documents disparus, on recense le dossier du véhicule de Ferdinand Fandio, un ordre de mission pour Douala, un livret d'épargne, etc. Selon le jeune ingénieur, l'ordinateur qui contient des données sur le recensement actuel des entreprises du secteur industriel serait intact. De source bien informée, un incident électrique avait déjà été enregistré dans le même bureau il y a quelques mois à cause de l'humidité sur les murs. Quelques prises électriques auraient alors été changés par un technicien. Cependant, les sapeurs-pompiers disent toujours ignorer la cause du départ d'incendie, même si on évoque un court-circuit. Approchée, la direction de l'Institut national de la statistique n'a pas daigné répondre à nos sollicitations.

Cameroon tribune N°9295/5494 P.925.02.2009Yaoundé: quatre commerces incendiésLes flammes éteintes une première fois dans la nuit de lundi, ont repris mardi au petit matin, faisant de gros dégâts.Michel Ambassa a du mal à réaliser ce qui lui arrive. De sa menuiserie, il ne reste plus qu’une grosse machine « fait tout », dont les deux moteurs sont en panne, des tôles noircies et des morceaux de planches, à moitié brûlés. Du bois, tout compte fait ! Hier matin au Mvog-Mbi, entouré d’un huissier de justice et de sa famille venus constater les dégâts, Michel Ambassa évalue les pertes à près de 4 000 000 de FCFA. Les trois autres pièces du bâtiment construit en planches, sont entièrement calcinées.  L’une était un restaurant, dont la tenancière, « maman Thérèse », dit avoir sauvé l’essentiel de son commerce la veille. La troisième pièce était tenue par un jeune vendeur de sciure et la dernière pièce servait de chambre à l’une des filles de la bailleresse, apparemment malade mentale.Tout a commencé, lundi dernier, aux environs de 22heures. « c’ est la fille de la bailleresse qui a mis le feu en faisant la cuisine», raconte « maman Thérèse », la fille en question, une dame de près de 40 ans, parle toute seule dans son coin, en tirant quelques uns de ses vêtements enfouis dans le sable. «Elle est folle. Dans sa chambre il y’ avait de sacs en plastique qui ont sûrement propagé le feu», pense Michel Ambassa. Avec le concours des voisins et plus tard les pompiers, le feu semblait maîtrisé. Et à ce moment là, la menuiserie n’avait aucun dégât. «Les autres pièces étaient même encore récupérables», se souvient un riverain. «Curieusement, on me rappelle à 4 heures du matin pour me dire que le feu a repris et que tout est en train de brûler», se lamente Michel Ambassa, cette fois au bord des larmes. «Apparemment, les sacs de sciure d el’ autre magasin avaient gardé de la flamme, ce qui a remis le feu», ajoute-t-ilCette fois, le feu impitoyable s’est attaqué aux fils électriques, endommageant les moteurs du «fait-tout» et d’autres appareils électriques. Les pompiers, redescendus sur le terrain, ont eu de la peine à maîtriser les flammes qui n’ont bien laissé derrière elles. Hier matin, un des neveux de ladite bailleresse arrivé sur le lieu du sinistre, lance en direction des victimes: «c’est bien fait! Ça fera un bon débarras». Une phrase qui fait dire à Michel que l’incendie est de source criminelle.Félicité BAHANE N

The Post N°01029 P.7Fire Guts five shops in Tiko MarketA fire broke out of about 9 pm on Sunday, February 22, razed five shops in Tiko Market in the Southwest Region.The fire is estimated to have destroyed goods worth over FCFA 30 million. The stores that were affected were mainly for fashion materials, located at the first entrance of the market.Given that the market is located beside a motor park which is always busy, when the people noticed the smoke billowing from the market, they quickly stepped in to put off the fire.Some shops that were not yet on flames were demolished to save the rest of the market, while the other fighters engaged in using fought to put off the fire. The fire was, finally quenched with the use of a fire engine from Sonara, Limbé.As we went to press, the exact cause of the fire had not yet been determined. However speculations were rife that the fire. The fire was caused by an electrical short circuit from a meter that hung on the wall of the one of the shops. But AES-SONEL officials debunked the claims on grounds that the meter was still in tact.

Meantime, the grapevine had the owner of the store where the fire originated, a Nigerian (names withheld), dabbles with voodoo practices.It is said that he belongs to a cult that harbours a mystical python in the market.The suspicion was re-echoed by the DO of Tiko, Augustine Fonka Awa, while conversing with the SDO, Jules Marceline, when to study the damages caused by the fire.Fonka told the SDO that there have been mysterious stories of witchcraft in the market that led to a serious prayer session by a combination of clergymen involve “holy ghost” to cast all the demons in the market, than the fire incident occurred.The SDO cautioned the shop owners in the market to conform to the technical norms of installing electricity.Some of the fire victims included Victoria Okorye. Bennet Okeke, Evelyn Bianda and Polycarp Ihedi.By Elvis TAH

APA 12-02-2009Un grave incendie consume le marché de Bafoussam à l’Ouest du Cameroun

APA – Douala (Cameroun) Un incendie s’est déclaré mercredi soir au marché central de Bafoussam (Ouest), ravageant une bonne partie des boutiques, a appris APA de sources concordantes à Douala.Les pertes matérielles se chiffreraient à des dizaines de millions de francs CFA, d’autant que plus de six grandes boutiques du marché « B », auraient été entièrement consumées par les flammes.Il s’agit notamment d’un compartiment construit en matériaux locaux, sans oublier que la présence des tissus, des tapis et de la maroquinerie ont permis la progression rapide des flammes.Selon les premiers éléments d’enquête, le feu qui s’est déclenché pendant que le marché était fermé aurait été provoqué par un court-circuit, suite à un retour en force de l’électricité consécutif à une longue coupure d’énergie électrique.L’installation anarchique et la surcharge des lignes ont facilité la propagation du feu, qui a causé de nombreux dégâts avant l’arrivée des sapeurs pompiers.Un collectif de commerçants menace de porter plainte contre la firme américano-camerounaise AES SONEL, chargée de production, de transport, de distribution et de commercialisation de l’énergie électrique.«Nous sommes sinistrés régulièrement par des incendies à cause des courts-circuits causés par des coupures et des retours en force du courant. Pour cette raison, nous allons saisir les tribunaux pour que le principal responsable de cette situation qu’est AES SONEL supporte des dommages », ont indiqué des commerçants.MBOG/mn/APA

Cameroon Tribune 9284/5483 P.909.02.2009Quatre boutiques brûlent au marché d’ EssosLes dégâts du sinistre survenu dans la nuit de jeudi sont évalués à plus de 10 millions de francs.«Comment peut-il y avoir court-circuit dans une des boutiques alors qu’il y’ avait toujours l’électricité dans mon domicile et dans les autres boutiques qui sont tous reliées au même câble?» s’interroge la propriétaire qui n’a de cesse de considérer son bâtiment. Entièrement consumé par les flammes dans les débris éparpillés au sol, des enfants ramassent des bonbons et autres petites friandises à moitié brûlées. Ceci sous le regard interrogateur des commerçants et passants qui arrivent vendredi matin à ce lieu dit « nouveau marché» d’ Essos. C’est dans la nuit du jeudi aux environs de 23 heures que le feu s’est déclaré, alors que tout est fermé «ce sont des passants qui nous ont alertés.» raconte la propriétaire des locaux qui réside juste à l’arrière de l’échoppe, donc l’une des boutiques contenant des produits alimentaires a complètement été détruite. Tout aussi désemparé, le locataire de cette boutique estime des pertes à plus de dix millions de francs Cfa, dont six en espèces. Sa voisine qui vendait des mèches parle d’environ un million de FCFA. Les deux autres boutiques, dont une parfumerie et un comptoir de sous- vêtements n’ont pratiquement rien perdu. Un court-circuit serait la cause du désastre selon les sapeurs pompiers. Arrivés sur les lieux de l’incident la veille, ils demandent d’arrêter tous les compteurs électriques du bâtiment et ceux environnant. Curieusement alors que le secteur est plongé dans le noir, les lumières restent allumées dans la salle d’une église voisine, dont les fidèles tenaient un culte à cette heure de la nuit. Un gendarme résidant dans les environs et  témoin de la scène raconte que « la dame qui officiait le culte ne s’est pas gêné de dire qu’il s’agissait d’ un miracle de Dieu». En tout cas, c’est ce qui amène les sapeurs pompiers à constater que plusieurs fils électriques à cet endroit sont directement branchés aux poteaux. D’ où l’hypothèse d’un court-circuit.Une supputation que refute la

propriétaire qui avoue par ailleurs que, «la porte de l’une des boutiques était ouverte lorsqu’ on nous a alerté. C’est même à cet endroit que le feu est parti». L’enquête ouverte permettra certainement d’ y voir plus clair.Félicité Bahane N.Le Messager N°2782 P.926.01.2009Société-Vie quotidienne

Cinq personnes meurent dans un incendieLa tragédie a eu lieu dans la nuit, vendredi 23 janvier 2009 au quartier Biyem-Assi à Yaoundé. Trois enfants calcinées dans l’incendie; deux adultes qui tentaient de stopper le feu meurent électrocutés.La nuit du vendredi 23 au samedi 24 janvier restera sans doute à a jamais gravé dans les esprits des populations du quartier «Biyem-Assi carrefour » à yaoundé. Le courant électrique y a fait de nouvelles victimes. Désormais on parlera de Miranda, Daniela  et

Muriel, respective ment âgées de deux, trois et cinq ans au passé. Les trois filles sont mortes calcinées dans leurs chambres à coucher. Aujourd’ hui, il ne reste plus grand-chose du studio de deux mètres sur trois dans  lequel la tragédie s’est produite. Si la porte en bois de l’édifice et sa partie avant semblent n’avoir pas subi la furie des flammes, à l’intérieur, c’est un désordre indescriptible qui accueille les curieux, dans la pièce qui servait de salon, fils électriques et autres câbles, vêtements, sacs de classe, tableaux décoratifs, sceaux et quelques ustensiles de cuisine, tous calcinées constituent le décor. Une forte odeur de roussi empeste la pièce. "Ça provient de ce qui reste du matelas de la chambre des enfants" explique Mylène une voisine.Tout part de l’ interruption de courant qui s’est produite au soir du vendredi 23 janvier. Il est environ vingt et une heures "la mère des trois enfants, gérante de call box, avant de regagner " la route", laisse les mômes avec une bougie qu’elle pose au chevet du lit. Par la suite, les enfants se seraient endormis. On ne s’est par quel moyen l’incident est survenu, mais la bougie aurait fondu, laissant la flamme attaquée les sacs et les autres outils pendus au mur. Ucylle, la sœur aînée des trois autres, presque par miracle est sortie et est partie alerter sa maman. Prise de panique, cette dernière crie au secours, implorant de l’aide auprès des populations. Un moto taximan et un colleur de roues qui étaient dans le voisinage acceptent de lui prêter main forte. Les deux secouristes de circonstance puisent de l’eau, font irruption dans la maisonnée et la verse sur les flammes qui s’attaquent déjà au salon." Raconte une voisine. Dans leur sauvetage inespéré, l’inattendue se produit: «les câbles électriques au contact de l’eau et en présence de deux corps mouillés crée un choc. Impuissants, les deux jeunes gens meurent électrocutés.»Selon certains témoignages, les sapeurs pompiers ont été appelés à la rescousse. Mais comme souvent, «ils sont arrivés sur les lieux du drame, lorsque l’incendie s’était déjà calmé.», se souvient un témoin. Dans une même pièce, gisent trois corps inertes. Aujourd’ hui, le studio constitué d’une chambre et d’un salon est comme hanté. Les sapeurs pompiers auraient emportés les corps des deux jeunes hommes pour identification. Tandis que la maman des trois jeunes filles, locataires se seraient rendus au village pour l’inhumation de ses bébés.

La Nouvelle Expression N°2404 P.3Yaoundé 31 janvier 2009Une mini cité estudiantine ravagée par un incendieAu total dix personnes en sortent sans abrisAu milieu d’une foule déconcertée, un petit garçon s’agite, pousse des cris, des pleurs et essaye de se jeter dans les débris de ce qui reste encore de leur maison. Il est retenu par son oncle qui lui tient fermement la main. Malgré son très jeune âge, 3 ans, le garçonnet mesure l’ampleur des dégâts. La chambre qui leur servait de maison, ses parents et lui, tous étudiants, a été complètement consumée par un énorme incendie qui s’est déclaré dans leur cité située en face de la cité universitaire de Ngoa Ekelle. C’était samedi, 31 janvier 2009, peu après 16h.Et c’est l’année scolaire de neuf étudiants et un garçonnet qui vient d’être stoppé net. Aucune des quatre chambres de cette cité construite en terre battue, n’a pas pu résisté aux affres du feu. Une salle de séjour, une tablette de la paperasse et quelques pieds de chaussure sont disposés en désordre dans la cour d’une cité voisine. Sur la véranda de l’autre de l’autre cité, de la paperasse et quelques pieds de chaussure sont disposés en désordre dans la cour d’une cité voisine. Sur la véranda d el’ autre cité, de la paperasse et quelques habits encore en bon état sont versés. C’est pratiquement ce qui a pu être sauvé.Dans la foule d’étudiants, tous plus ou moins tristes, les sinistrés se reconnaissent par leur mise et leur regard enclin à vouloir sauver éventuellement quelque chose des ruines. «Mon first school leaving certificate, mon ordinary et mon A level, bref, tous mes documents sont partis dans le feu. J’étais à l’université l’année dernière; j’ai arrêté cette année parce que je n’avais pas assez d’argent, mais je travaillais parce que mon espoir était que je puisse reprendre l’année prochaine. Maintenant tout est parti en feu et je ne sais plus ce que je vais faire » se lamente Oscar Marcellus Bong. Comme lui, un autre n’a plus que ses yeux pour faire le triste constat. Lui qui n’a plus pour seul bien que ce costume qu’il porte et la paperasse qu’il tient en main : «Je faisais les TD et on m’ a appelé pour me dire que ma maison en feu, quand j’ arrive, je me rends compte que tout est parti dans le feu; même l’ argent, raconte-t-il en cherchant déjà à résoudre l’ équation du lieu où il va passer cette première nuit quand il s’ apprête à tomber. Le pauvre peut se réjouir tout simplement d’avoir retrouvé le fils de son frère. Ce garçonnet de trois ans qui était porté disparu au début de l’incendie. Alors que son géniteur est revenu ivre, incapable de participer même au sauvetage.Les causes de l’incendie ne sont pas encore identifiées «Mes voisins immédiats étaient là» quelqu’ un m’a dit que soit quelqu’ un voulait allumer du gaz, je ne sais même plus», avance Oscar Bong, troublé. Cette même thèse du gaz est évoquée par une voisine qui a participé aux premières actions de secours.Mais « on a tout simplement constaté qu’il y’ avait du feu dans la cité voisine, et on s’est organisé pour commencer à éteindre avec les seaux que vous voyez dans les décombres là. On a réussi à sortir des meubles et des documents dans les chambres qui n’étaient pas encore touchées. Quand le toit est tombé, en feu, on ne pouvait plus rien, on ne pouvait plus continuer à éteindre que continuer à éteindre le feu, et on a coupé les fils électriques pour éviter que le feu se propage» témoigne Yannick Sandjong, étudiant.Selon ce dernier, «les pompiers sont arrivés environs dix minutes après que le toit tombe» A cause des nombreux bouchons dans les rues de la capitale. «Nous sommes partis d’ Etoudi, et malgré les sirènes, on n’a pas pu arriver à temps, parce qu’il y’ avait trop d’embouteillages, confie furtivement un des pompiers aux reporters, comme pour justifier leur retard. Toujours est –il que quand les secouristes ont pris la relève des voisins, ils se sont rapidement attelés à étouffer les dernières poches de résistance d el’ incendie, avant de détruire complètement les derniers pans des mures qui ne représentaient plus qu’un danger pour les passants.Lindovi Ndjio

30.01.09- Bertoua La villa du délégué régional des Enseignements secondaires incendiée

Deux enfants ont été brûlés et transférés à Yaoundé dans u  état inquiétant.Le domicile du délégué régional du ministère des enseignements secondaires de la province de l’Est, servais Nkah, a été ravagé par les flammes vendredi 30 janvier dernier. C’est autour de 21h que le feu a surpris les occupants de la villa. Ces derniers, pris de panique, n’ont pas pu sauver grand chose de la maison, même les milliers de curieux qui ont accouru et les sauts d’eau projetés n’ont pu rien faire face à al violence des flammes.

On ne déplore aucune perte en vie humaine pour l’instant. Mais deux enfants, Joseph Rodrique Ziem, élève en classe de terminale C et Emmanuel Nkah, élève en classe de 3ème, ont  été victimes de brûlures et admis en urgence à l’ hôpital régional de Bertoua; avant d’ être transférés à Yaoundé dans un état inquiétant. Les pertes matérielles en revanche sont importantes. Les causes de cet incendie n’ont pas encore été élucidées. D’ après le témoignage de Paul Yoteu, enseignant et répétiteur des deux enfants brûlés, avec qui elle devait travailler peu avant le drame, l’incendie aurait été provoqué par une bougie allumée dans un couloir de  maison après une coupure

électrique survenue dans la ville de Bertoua le vendredi 30 janvier 2009. La bougie s’est consumée et la flamme de la mèche a mis le feu à la moquette. Il s’est propagé jusqu’ aux pots de peinture et les bouteilles de diluants qui se trouvaient à proximité.

Le Popoli N°785 P.7Vendredi 09.01.2009-Bepanda double ballesSa maison et sa boutique incendiéesLe feu a encore réduit au chômage une camerounaise. Ce vendredi aux environs de quatre heures au marché Double balles, le feu s’ est déclaré dans une boutique de vêtements féminins calcinant tout son contenu. A première vue, il est difficile de se faire l’idée d’ un incendie parce que la boutique était dans un contenaire. Mais tout a été brûlé à l’intérieur : vêtements, mannequins et mobilier »il parait que le feu s’est déclaré aux environs de quatre heures. Personne n’étant ici et l’on sait toujours pas la cause de cet incendie » déclare Mr Taxou Paul, vendeur de médicaments. Les pompiers auraient rapidement éteint le feu, sauvant du même coup toutes les boutiques et étals environnants. La dame propriétaire de la boutique a vite fermé pour se soustraire aux différentes interrogations. Mais de source sûre, le domicile de cette dame aurait également été bouffé par les flammes deux jours avant l’incendie de sa boutique. Grimba ou malchance ?

Toujours est-il que nous faisons là face au énième incendie de ces jours-ci dans la ville de Douala. Les incendies sont de plus en plus récurrents. On serait tenté de s’interroger sur les causes de cette vague d’incendies. On pourrait citer entre autres. la qualité du matériel électrique utilisé (à l’exemple des multiprises dites chinoises») et les branchements anarchiques, dans nos marchés. Alors prudence quand nous achetons le matériel électrique, notre vie en dépend.Denise Virginie Messi

13.12.2008-Douala, Cameroun Incendie au Marché Congo - Plusieurs Boutiques Incendiées - 60 boutiques brûlées au marché CongoL’incendie qui s’est déclaré dans la nuit de vendredi à samedi a fait d’importants dégâts matériels.Yvette Azono n’a plus assez de force pou pleurer. Les yeux rougis par les larmes, le regard hagard, elle parle à peine. Cette jeune femme vient de perdre près de 7 millions de FCFA dans l’incendie qui a ravagé le marché Congo, dans la nuit de vendredi à samedi. Son magasin, une mercerie est parti en fumée ainsi qu’une soixantaine d’autres boutiques. Tous ces magasins, situés du côtés du lieu dit » Camp Bertaud », abriteraient textiles, menuiseries, restaurants, scieries, ateliers de couture, le tout en matériaux provisoires.

Ce samedi matin, une odeur âcre enveloppe l’air. De la fumée s’échappe encore des débris de ballots de tissus qui jonchent le sol. Tout a brûlé, des meubles, des machines de menuiserie, des ordinateurs, des tissus, des matelas. Les propriétaires desdits magasins, assis sur des bancs de fortune et sous le choc, ne savent plus à quel saint se vouer. Le feu ne s’est pas encore complètement éteint mais déjà, les badauds se servent. Ils ramassent bouts de tissus, boutons, planches.

Samuel Zobel Silassia, propriétaire d’un magasin de tissus, a presque tout perdu. D’une voix hachée, il raconte comment le feu s’est déclenché. Tout serait parti d’un court circuit. L’un des gardiens du marché qui lui téléphone dans la nuit lui a expliqué qu’il était près d’une heure du matin lorsqu’ une flamme gigantesque s’est élancée vers le ciel. «Un feu immense ravageait des boutiques entières. On entendait des explosions ci et là. Ma boutique n’était pas encore atteinte par le feu. Je l’ai vite ouverte et ramassé ce que je pouvais, c’était effrayant, j’ai dû abandonner», raconte-t-il. Toujours selon lui, en plus de la brigade des sapeurs de Ngodi, il a fallu appeler en renfort les brigades du port et celle de l’aéroport pour venir à bout du feu.

Charles Tchakounté, propriétaire d’une menuiserie, explique avoir sauvé quelques uns de ses meubles. Mais il a beaucoup perdu: penderies, classeurs, tables, chaises, lits et autres. Près d’un million de pertes, estime t-il. Il pense que le feu est dû à l’installation anarchique des câbles électriques dans le marché. Pour les éléments du commissariat du 3e  arrondissement, le feu a bel et bien débuté vers une heure du matin. L’accès à l’intérieur du marché s’est avéré difficile pour les sapeurs pompiers qui ont néanmoins pu maîtriser les flammes. Toujours selon eux, les causes de cet incendie ne sont pas encore connues.

Josy Mauger

Le ¨Popoli N°773 P.5

Marché CongoDes dizaines de magasins en flammesPlus d’une cinquantaine de magasins en bois et de lingerie ont été ravagés par des flammes nerveuses dans la nuit de vendredi à samedi.Les commerçants rencontrés au marché Congo de Douala, notamment ceux établis en face du lieu dit commissariat 3e, sont inconsolables en cet après midi de samedi 13 décembre. C’est le cas de papa Jean qui va devoir côtoyer la galère dans les jours à venir, à moins de disposer de sources supplémentaires de survie.»J’avais ici le salon d’un client que j’ai dû retaper entièrement. Tout cela est parti en fumée, de même que mes machines » nous confie le pepère  l’air abattu. Le lieu qu’il indique de la main n’est plus qu’ un tas de décombres, mieux des braises ardentes sous lesquelles le feu couve. En témoignent ces légers nuages de fumée qui se dégagent des restes de ce qui justifie jusqu’ à la veille le vendredi, constituait encore un atelier de bois et de fabrication de meubles. Sur place, quelques braves gaillards dont Sébastien, constituait encore un atelier de bois de fabrication de meubles. Sur place, quelques braves gaillards dont Sébastien le «fils» de papa Jean s’affairent à récupérer la carcasse de quelque machine complètement calcinée. Il s’agit d’établis, de toupies et de raboteuses. Selon des victimes rencontrées sur le lieu de l’incendie, deux usines ont été dévorées par des flammes. Ce sont donc plusieurs millions de FCFA qui sont ainsi perdus.Mais la douleur de papa jean et fils est relativement au regard du cas de ce voisin à lui, qui aurait perdu 40 salons tous des commandes faites dans le cadre des fêtes de fin d’année. Le secteur de la lingerie qui jouxte celui des meubles n’a pas été épargné par la furie des flammes.Les avis sont partagés sur l’origine de ces dernières. Pour les uns, c’ est un gardien dudit marché qui aurait été alerté par une forte explosion suivie de flammes difficiles à affronter. Mais la version la plus répandue ici laisse savoir que ce sont des agents d’ Hysacam qui ont aperçu les premières flammes.»Ils sont allés le signaler aux sapeurs pompiers. C’était aux environs de minuit et demi. Les sapeurs pompiers ont travaillé à éteindre le feu jusqu’ au matin » nous a confié le nommé Tsague, épargné miraculeusement par l’incendie étendu sur près de 100 m2. D’aucuns disent que les sapeurs n’avaient pas d’eau en quantité suffisante. L’incendie aurait été causé par un câble électrique, et qui aurait servi d’adjuvant aux ndoss qui se sont servis à leur guise malgré le dispositif de sécurité déployé sur place par la force d el’ ordre. Comme quoi l’occasion fait le larron.Théodore Tchopa 

Mutations N°2303 P.6Près de 50 commerces consumées au marché CongoLes dégâts des flammes qui se sont déclenchés samedi dernier à Douala sont estimés à des centaines de millions de francs CFA.Le marché Congo à Douala a été pris d’assaut par des badauds observant le spectacle macabre qui s’offrait à eux. D’aucuns ne parvenaient pas encore à comprendre ce qui s’était passé dans ce grand marché de la capitale économique.. Certains sinistrés assis sur des étals regardent le voile de fumée qui se dégage des décombres. En effet , le feu qui s’ est déclanchée aux environs de 1h du matin, samedi 13 décembre, au « camp menuiserie» situé en face du camp Bertaud, a consumé environ[…….]. Lesquels sont constitués des ateliers de menuiserie et des merceries. «L’incendie a uniquement touché le camp des menuisiers et ravagé à son passage quelques magasins de mercerie», a indiqué Samuel Zobel Silassia, un sinistré. Les magasins étaient construits en matériaux provisoires ce qui pourrait expliquer la propagation rapide du feu. Cet espace était un véritable labyrinthe, a-t-on appris. Les boutiques étant superposées  les unes aux autres.Selon certains témoignages, le feu s’est déclaré aux environs de 1h du matin. Certains commerçants informés par des vigiles commis au gardiennage des lieux vont immédiatement faire appel aux sapeurs pompiers. Lesquels vont arriver sur les lieux, une heure après. A leur arrivée, les flammes avaient déjà consumé une bonne partie des ateliers de menuiserie. Avec l’intensité de ce feu, les sapeurs n’ont pu maîtriser les flammes. «Les deux citernes d’eau n’ont pas pu éteindre les flammes, a indiqué un sinistré. C’est finalement la brigade de l’aéroport venue en renfort qui va réussir à éteindre le feu. «Si la brigade de Ngodi avait suffisamment de l’eau, les dégâts ne seront pas aussi importants. Le temps que les agents ont mis pour aller chercher le renfort nous a coûté nos merceries», a soutenu Blaise Noibissié. Les causes de cet incendie restent encore inconnues. Mais certaines indiscrétions font état des aménagements anarchiques effectués par certains commerçants sur les installations de al société AES-SONEL.Les sinistrés dénoncent le pillage dont ils ont été victimes pendant cet incendie. «Certains articles que j’ai réussi à sauver des flammes ont été dérobés par des personnes véreuses», a déploré une des victimes. Laquelle a pu sortir quelques rouleaux de tissu avant la propagation du feu. Heureusement aucune perte en vie humaine n’a été enregistrée. Les dégâts matériels quant à eux sont énormes. Entre autres, des rouleaux de tissu, des meubles, des machines à coudre et à raboter ont été consumées. Les sinistrés les évaluent à des centaines de millions de Fcfa. «Une machine de rabotage coûte près de 20 millions Cfa. Vu le nombre de machines utilisé par les menuisiers qui a brûlé, nous pouvons évaluer les pertes en outils à des centaines de millions», a confié Charles Ngabmen, un menuisier. Malgré les flammes qui se dégageaient encore des

décombres. Les responsables de ces ateliers ont entrepris de démonter ce qui restait de ces machines. Une enquête a été ouverte pour élucider les véritables causes de l’incendie. Qui est le deuxième du genre qui survient dans la ville de Douala après celui du complexe Monkam au marché Ndokotti, survenu il y’ a quelques semaines.Sandrine Tonlio (stagiaire)

Mutations N°2294 P.403.12.2008-DoualaNeuf maisons consumées dans un incendieLes sinistrés de al mini cité de Bonanjo évaluent les pertes matérielles à plusieurs millions de FCFA.Les sinistrés de l’incendie qui est survenu lundi dernier, 1er décembre, au quartier Bonapriso, précisément à Kondo II n’ étaient pas au bout de leurs peines. «J’ ai l’ impression que le ciel s’ abat sur nous », lance l’ un des sinistrés, les mains aux hanches. Hier matin, soit quelques heures après le malheureux incident les victimes ont eu une altercation avec un riverain. Ce dernier aurait tenté d’emporter une somme de 200. 000 Fcfa lors du drame alors qu’il aidait les sinistrés à sauver ce qui restait des meubles.Devant son refus, le dénommé Njoh se verra confisquer son téléphone portable comme » compensation ». Ce qui va provoquer sa colère. Très tôt hier matin, il a fait appel à ses amis résidant au quartier Youpwè. Les deux parties vont en venir aux mains. Il aura fallu l’intervention du groupement mobile d’intervention (Gmi) numéro 2 pour que la calme revienne. A l’issue de cette bagarre générale, trois personnes vont être blessées dont deux sinistrés. Les victimes s’en sortent avec des lésions et fractures. Elles ont été immédiatement conduites au dispensaire de new Bell. L’auteur du conflit Njoh, a réussi, quant à lui, à échapper aux forces de l’ordre et à la population.Pendant ce temps, les causes de  cet incendie restent encore inconnues. Selon le témoignages, l’incendie s’ est déclaré aux environs de 17 h. « je venais tout juste de revenir du travail lorsque j’ ai entendu  des personnes qui demandaient de tout éteindre et de sortir. Chose faite, je suis sorti de la maison sans trop savoir pourquoi on nous le demandait. Ce n’est qu’une fois à l’ extérieur que j’ ai constaté que le feu avait envahi deux chambres », a confié moustapha Mama. Les habitants qui ont été alertés feront leur possible pour éteindre les flammes, en vain. « Nous avons essayé d’éteindre les flammes avec le sable amassé non loin sans succès », soutient Mohammed Youssoup. Il aura fallu l’intervention des sapeurs pompiers, une heure plus tard, pour neutraliser le feu.Malheureusement, les neuf chambres construites en matériaux provisoires dans cette mini cité seront totalement consumées. On ne dénombre pas de perte en vies humaine, mais les sinistrés évaluent les pertes matérielles à plusieurs millions. « Nous avons presque tout perdu dans cet incendie. Y compris les achats pour la fête du mouton qui se prépare », a indiqué Moustapha Mama. Néanmoins, les habitants des derniers domiciles consumés ont pu récupérer quelques matériels. En attendant de trouver un autre logis, les sinistrés ont été accueillis chez des   voisins

Cameroon Tribune P.1824.11.2008-BonaprisoUne boulangerie en flammesSamedi, il est un peu plus de 15 heures 30. Les boulangeries et le personnel d’appui de al boulangerie ABZ de Bonapriso sont en plein travail. C’est le week-end et la demande est généralement plus grande. Subitement l’un des employés voit une épaisse fumée qui s’échappe du côté gauche du bâtiment. Ce dernier alerte les autres. Pendant que le personnel cherche à savoir d’où vient la fumée, il se retrouve nez à nez avec des flammes en furie. Une bonne partie de l’établissement a en effet pris feu. Aussitôt, l’on a fait appel aux sapeurs-pompiers. Malgré cette intervention rapide de soldats de feu, on note des dégâts matériels importants. Plusieurs équipements ont été consumés. D’ après les premiers explications, l’incendie dû à une panne électrique.

Quotidien Mutations / Lundi 24 Novembre 2008Douala : Un enfant décède dans un incendie

Madenguè Epée, âgé de deux ans, a été surpris dans son sommeil par les flammes.

Les traces laissées par l'incendie qui a totalement consumé le lieu d'habitation étaient encore visibles samedi, 22 novembre dernier. Les débris noircis par les flammes étaient entassés dans un coin de la cour. C'était tout ce qui restait de la maisonnée de cette famille victime de l'incendie survenue très tôt ce matin-là. La scène s'est produite non

loin du marché Saker à Deido (Douala). Mais, les flammes n'ont pas seulement brûlé cette maison d'habitation construite en matériaux provisoires. Le petit Madenguè Epée, benjamin de cette famille, a été calciné dans cet incendie pendant son sommeil. Il n'aurait pas eu le réflexe, comme les six autres occupants de la maison, de sortir à temps. La victime était âgée de deux ans! Les causes de ce drame restent encore inconnues. Selon certains témoignages cependant, le feu se serait déclenché aux environs de 4h, ce matin-là. "Nous avons été alertés par les flammes", a confié un voisin. Alertés, les habitants dudit domicile et certains riverains vont chercher, chacun, à s'échapper de leurs demeures. "Nous avons été guidés par l'instinct de survie", a affirmé l'un d'eux. C'est une fois à l'extérieur de la maison que la maman du petit Madenguè Epée ne le voyant pas parmi les personnes qui ont passée la nuit dans la maison, va entreprendre les recherches. Malheureusement pour eux, l'intensité des flammes va les empêcher d'évoluer. Ce n'est qu'après la neutralisation du feu par les sapeurs-pompiers arrivés sur les lieux après le coup de fil de détresse passé par une dame, que la fouille du jeune Madenguè va commencer. Mais il se fait bien tard. C'est un corps calciné que la famille va découvrir enfoui dans les décombres. Les éléments de police du commissariat du 9e arrondissement sont descendus sur les lieux du drame. Comme d'habitude en pareil cas, une enquête a été ouverte pour élucider les causes de cet incendie où rien n'a pu être récupéré. "N'eût été l'intervention des sapeurs-pompiers, nous aurions peut-être aussi perdu nos maisons. Ils sont intervenus à temps pour neutraliser le feu afin qu'il ne se propage pas", a soutenu un des voisins des victimes. La dépouille du petit Madenguè Epée a été aussitôt inhumée au cimetière de Deido. Sandrine Tonlio (Stagiaire)

16.11.2008NdokottiIncendie : 9 boutiques calcinées au complexe commercial MonkamLe carrefour Ndokotti a été la nuit de dimanche 16 novembre 2008 le théâtre d’une série des flammes qui a calciné 9 boutiques au complexe commercial Monkam qui compte près de 500 boutiques. Le pire a été évitée grâce à l’action synergique des sapeurs pompiers et des forces de maintien de l’ordre. Pendant quatre heures, de 20heures à 24 heures, ils ont combattu la furie du feu qui s’est déclenchée en plein cœur de ce complexe commercial qui était hermétiquement fermé. Difficile de savoir l’origine du feu. Au final ce ne sont que les boutiques I paires (allant de I 2 à I 18) qui ont été touchées. Pendant ce temps, dans la foule,  des commerçants pleuraient à chaudes larmes et d’autres s’évanouissaient. Sans savoir avec précision le bilan des dégâts, certains commerçants se disaient perdus parce qu’ils voyaient ainsi s’évaporer toutes leur fortune, voire, leur raison de vivre. D’autres avouaient y garder d’importantes sommes d’argent, très souvent le capital des commerçants, sinon les fonds des tontines. Hier matin encore, le complexe est resté fermé toute la matinée pour besoins d’enquête. Laissant les commerçants qui venaient d’apprendre le drame dans le désespoir

09.11.2008 Incendie au Marché Central de BertouaUn incendie d'une extrême violence s'est produit au petit matin du dimanche 09 novembre 2008 au marché central de Bertoua, du côté dit " marché des planches ". Le feu, qui selon les témoignages des riverains  a commencé dans la nuit autour de 03 heures du matin, serait parti d'une des boutiques construites en matériaux provisoires, avant de réduire en cendres  les deux autres boutiques voisines. Le feu a été provoqué par un court-circuit, selon les mêmes témoignages. C'est d'abord l'intérieur des boutiques qui a été réduit en cendres par les flammes. Lorsque les flammes d'une rare violence voulaient attaquer les domiciles aux alentours, les premiers secours ont accouru et ont érigé un cordon de sécurité pour empêcher l'évolution des flammes et  protéger les habitations et les magasins des commerçants. Mais c'est la pluie qui s'est mise à tomber entretemps sur la ville de Bertoua qui a maîtrisé le feu, pour ainsi dire. Le bilan est cependant important : Les pertes subies dans les trois boutiques consumées, des quincailleries précisément, sont estimées à plusieurs millions de Fcfa. Cet incendie vient à nouveau remettre sur la sellette le phénomène des installations électriques anarchiques au marché central de Bertoua

Charles Mahop

AFP 29/08/2008 | Mise à jour : 14:14 Limani – Mayo SavaDeux personnes sont mortes et une quinzaine ont été brûlées hier soir à Limani (nord du Cameroun) lors de l'incendie d'un camion-citerne qui s'était renversé et alors que des habitants tentaient de récupérer l'essence, a-t-on appris de source préfectorale vendredi.

"Le camion s'est renversé, la citerne s'est ouverte et l'essence s'est écoulée", a expliqué le préfet du Mayo-Sava, Albert Friki. Des habitants sont aussitôt accourus pour récupérer l'essence. Une flaque a alors pris feu, apparemment au passage d'un autocar, embrasant le camion et les habitants.

"Le camion, chargé d'essence, provenait du Nigeria et était en route pour le Tchad" tout proche, a ajouté le préfet.

CAMEROON-ONE Infos Les Dernières infos Sur CAMEROON-ONEDouala - Un Incendie Consume Deux Boutiques à New-bellACTUALITéSLa scène s'est déroulée hier, mardi 26 août, causant des dégâts matériels et pertes financières importantes.

ACTUALITéS

27 Août 2008

Publié sur le web le 27 Août 2008

By Yves Sandjo (stagiaire)

La scène s'est déroulée hier, mardi 26 août, causant des dégâts matériels et pertes financières importantes.

Les populations du lieu dit "Deux Eglises " à Douala, à quelques encablures du Lycée de New-Bell, ont été brutalement réveillées hier, mardi 26 août, par un énorme brasier qui s'est déclaré aux environs de 3 heures, emportant dans sa furie deux boutiques spécialisées dans la vente des rideaux et tapis exotiques. Cet incendie qui a englouti d'importants ballots de marchandises stockés dans ces boutiques en matériaux provisoires n'a laissé aucune âme sensible indifférente.

Sur les lieux du sinistre, les secouristes bénévoles s'attelaient encore quelques heures après le déclenchement du feu à sauver les rouleaux de rideaux ayant survécu aux flammes enfouies sous les décombres. Selon le témoignage de Yonzon Magloire, habitant du coin resté éveillé, la hauteur de flammes était impressionnante. C'est ce dernier qui va alerter le chef de bloc 7, Mbabouga qui à son tour alertera ses voisins.

C'est donc à jets d'eaux et de pierres qu'ils vont dans un premier temps essayer de venir à bout des flammes. Ils seront ensuite rejoints par les agents de police en patrouille dans le coin. Avant d'opter pour la solution d'informer les sapeurs pompiers. C'est après moult tentatives, selon MagloireYonzon, que ces derniers vont rallier les lieux de drame, une heure après.

Effondré devant sa boutique, Félix Ekenna, originaire de la zone Aria State au Nigeria et installé au Cameroun depuis quatre ans, ne sait pas à quel saint se vouer.

"Avec ce feu, j'ai perdu près d'un million de francs Cfa en terme de marchandises ", confie ce ressortissant étranger dans un français écorché. Toujours selon lui, ce n'est qu'une estimation partielle en attendant le déblayage du site. Même son de cloche chez Samira, âgée de 24 ans et gérante de la deuxième boutique consumée. " En plus des rideaux brûlés contenus dans les ballots, même le poste de télévision est parti en fumé ", indique cette jeune fille, très choquée. L'on ne sait toujours pas l'origine de cet incendie.

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Mutations n°2164 p. 6DoualaPlusieurs tonnes de coton tchadien en fumées (le 30 mai 2008)L’incendie, vendredi dernier, d’un magasin de l’entreprise Saga aurait causé un milliard de pertes.

Il faut des témoignages pour y croire. Pour savoir qu’à cet endroit précis s’élevait un vaste magasin de plusieurs mères de hauteur, à l’exemple des deux autres qui restent encore debout. Juste en face de la gare du port situé dans le domaine portuaire, le long de l’avenue Leclerc, à Douala, le magasin s’est effondré comme un château de carte. Quelques heures après la furie des flammes, il ne reste plus qu’un amas de débris de ballots de coton amassés, de feuilles tôles, de quelques fers qui rappellent le socle de cette maison dont les limites sont aujourd’hui méconnaissables. Un tuyau cassé laisse échapper de l’eau, une fumée épaisse s’élève toujours des décombres, l’air reste fortement pollué des débris de coton qui s’évaporent. ‘’Le feu ne peut pas s’étendre de si peu, il continuera encore à brûler pendant longtemps, c’est la particularité du coton’, soutient un employé d’une société voisine du magasin de la Saga qui est parti en flammes.

Et pourtant, selon plusieurs témoignages, le feu s’est déclaré dans ce magasin depuis vendredi dernier, autour de 3 heurs. ‘’Nous avons pris fuite, lorsque les flammes ont vraiment commencé à jaillir parce qu’elles atteignaient plusieurs mètres de hauteur ‘’, témoigne un autre employé de la zone portuaire. Pour montrer la gravité des faits, il poursuit avec un brin d’ironie, que ‘’c’est presque tous les sapeurs pompiers de Douala qui étaient là pour éteindre les flammes’’  .Avec heureusement beaucoup de bonheur, ‘’puisqu’ils ont quand même empêchés que les flammes ne s’attaquent aux autres magasins, même si le contenu du magasin est entièrement parti en fumée ’’, rapporte un agent de sécurité de ses magasins appartenant à l’une des sociétés du groupe Bolloré. Qui a la charge au port autonome de Douala, depuis plusieurs années, du coton tchadien destiné à l’exportation.

Et pour une fois, les cause de l’incendies ne sont pas automatiquement orientées vers n problèmes d’électricité, à travers l’inévitable ‘’courts circuit’’. ‘’Le coton peut prendre feu seul, parce qu’il ne résiste pas à une certaine température ‘’, explique un cadre de la Sodecoton contacté au téléphone. Il en est ainsi aussi pour l’instant de l’évaluation de la quantité de coton partie en fumée. ‘’Seul le magasinier peut donner cette estimation ‘’, indique les agents de sécurité. ‘’Le magasin était rempli de coton’’, poursuit cependant notre source. Sur le plan financier, de source au sein du groupe Bolloré avancent des chiffres qui avoisinent le milliard de francs Cfa. Ce n’est pas la première fois, à Douala, que le coton tchadien subit la fureur des flammes. Au mois de Décembre 2007, un autre incendie survenu dans un entrepôt du port avait déjà causé la destruction de plus de 300

tonnes de coton. Pareil incendie, sur le coton tchadien, avait déjà aussi été enregistré dans la ville de Ngaoundéré, il y’a quelques années.

Vendredi 18 Avril 2008C’est toute la partie supérieure du duplex de David Nkotto Emane au quartier Nkomo, lieu dit Okoui lotissement Maetur, dans la périphérie de Yaoundé, qui a été consumé vendredi dernier. Selon des témoignages concordants, l’incendie s’est déclenché autour de 6h30 et est parti de la chambre de l’un des enfants du directeur général de la Cameroon Telecommunications. Ce sont les voisins qui, les premiers, vont s’en rendre compte et alerter les occupants de la maison.(Voire Journal MUTATIONS 21/04/2008)

Yaoundé : La maison du Dg de Camtel brûle

Une défaillance électrique serait à l’origine de l’incendie qui s’est déclenché vendredi dernier en matinée.Junior Binyam

C’est toute la partie supérieure du duplex de David Nkotto Emane au quartier Nkomo, lieu dit Okoui lotissement Maetur, dans la périphérie de Yaoundé, qui a été consumé vendredi dernier. Selon des témoignages concordants, l’incendie s’est déclenché autour de 6h30 et est parti de la chambre de l’un des enfants du directeur général de la Cameroon Telecommunications. Ce sont les voisins qui, les premiers, vont s’en rendre compte et alerter les occupants de la maison. A cette heure là, presque toutes les chambres situées à l’étage supérieur sont vidées de leurs occupants puisque tous les enfants se trouvent au rez-de-chaussée pour le petit déjeuner avant le départ à l’école. Le Dg et son épouse sont les seuls à être encore dans leur chambre à coucher et ne pourront s’extraire des flammes que par une sorte d’escalier de service qui débouche à l’extérieur de la maison.

Les tentatives de joindre les pompiers au 118, numéro vert, seront infructueuses, ce numéro étant sujet à quelques perturbations. Dans la panique, personne n’arrive à retrouver les clés des différents véhicules stationnés. C’est un des gendarmes commis à la garde de la maison qui va aller à la base des sapeurs pompiers de Mimboman sonner l’alerte. C’est grâce aux soldats du feu arrivés peu après 07h que l’incendie sera circonscrit à l’étage supérieur qui comprend quatre chambres, toutes carbonisées avec des dégâts matériels importants qui n’ont pas encore été évalués. Quand débute le travail des pompiers, il se trouve déjà là des collègues du Dg de Camtel, des membres de la famille et des voisins.

Après le départ des plombiers, les assureurs accompagnés d’experts d’une société spécialisé dans les installations électriques vont conclure à une défaillance du système électrique de la

maison, rapporte une source proche de la famille. Cette dernière mentionne déjà qu’en début de semaine dernière, il y avait eu du feu dans un pot électrique à l’intérieur de la maison. Le pot avait préalablement explosé du fait d’un circuit électrique défectueux, mais la flamme avait été rapidement maîtrisée cette fois là. Depuis vendredi dernier, David Nkotto Emane et sa famille ont intégré la maison de fonction dévolue au Dg de Camtel au quartier Bastos à Yaoundé. Installé à la tête de cette société nationale de télécommunications le 25 février 2005, M. Nkotto Emane, qui officiait alors comme chef de la division informatique à la Cnps, n’avait toujours pas intégré sa maison de fonction.

Tuesday 15th April 2008 – 19 Girsl killed in Uganda School Fire2 Adults Also Perish In Overnight Blaze At Primary School Outside CapitalA volunteer of Uganda Red Cross inspects the burned dormitory of Buddo Junior Primary School outside Kampala, Uganda, Tuesday April 15, 2008. (AP Photo/ Stephen Wandera)

(AP / CBS)School worker James Kiiza said the doors had been locked from the outside. He said there was no electricity at the time of the fire, but that the school does not permit the use of candles.

Sylvia Nakatte said she received a phone call to tell her that her 12-year-old daughter, Mary, had died.

"I rushed to the school but her body cannot be identified," she said, weeping and clawing at the sodden ashes.

Authorities were investigating the cause of the fire, said police spokeswoman Judith Nabakooba.

© MMVIII The Associated Press. All Rights Reserved. This material may not be published, broadcast, rewritten, or redistributed.

Some, if not all, deaths could have been avoided if there were smoke alarms and a fire escape routine... This is why no building should be liveable without electricity, especially with this many people, no matter what country. why in the world were the doors locked from the outside? these girls didn''t have a chance.

Posted by jetlizhan at 11:16 AM : Apr 15, 2008THIS IS A HORRIBLE STORY TO EVEN READ.I FEEL FOR THE GIRLS AND THE FAMILES AND FRIENDS OF PEOPLE INVOLVED AND VICTIMS,HOPEFULLY THE REMAINDER OF THE GIRLS WILL BE ABLE TO CONTINUE THEIR SCHOOLING ELSEWHERE. LETS START BEING MORE CAREFUL AND START PAYING MORE ATTENTION.MY HEART GOES OUT

07.01.2008At c.a. 18h30 a fire was reported in a foam factory CAMMOUSSE situated at the ports in Douala.Material losses are estimated at about 100Mfcfa. No casualties were reported.

09.06.2006

Défaillance : La protection des travailleurs dans l’abîme 

Les comités d’hygiène et la sécurité tardent encore à être véritablement créées dans les entreprises.

Pascal E. Dang

Une bonne dizaine d’employés des Aciéries du Cameroun sont actuellement devant les tribunaux avec leur employeur. Ils exigent des réparations pour les blessures graves qu’ils ont écopées après l’explosion qui avait provoqué la mort de leur collègue dans la fonderie au quartier Ndogsimbi à Douala le 15 août 2005. C’était le troisième accident de ce genre que les Aciéries du Cameroun enregistraient ainsi en cinq années. Des accidents de travail qui viennent s’ajouter aux nombreux autres enregistrés chaque année dans des entreprises opérant dans divers secteur d’activité. Depuis le début de cette année, pour ce qui est des accidents mortels, la société Aes-sonel en compte trois (déclarés) dont un sur un poste de transformation au quartier Déido à Douala et deux autres sur des installations de moyennes tension au cours des opérations menées par des entreprises sous-traitantes à Dizangué et à Kribi.

Dans les Cimenteries du Cameroun (Cimencam), certains employés se sont retrouvés avec des brûlures plus ou moins graves sur le visage et les bras, provoquées par les chambres de transformation par cuisson des matériaux crus en clinker.

Pour les employés des Aciéries du Cameroun, les causes des divers accidents enregistrés se trouvent dans la défaillance criarde présentée par les mesures de sécurité prises pour protéger les travailleurs. " Si on avait prévu des sangles pour soutenir les mécaniciens pendant les opérations de dépannage, notre collègue Munyenguè ne serait jamais tombé dans l’une des marmites contenant des métaux fondus lorsqu’il était monté repérer le pont ", soutient Samuel Mbogol, employé dans l’entreprise au moment de l’accident. Les responsables de Cimencam quant à eux, évoquent la violation par les employés, des règles de sécurité. " Les directives sont fermes, il y a un temps minimum à observer avant d’ouvrir certaines machines qui transforment les produits, en cas de panne ", expliquait, il y a quelques mois, Floribert Bihina Eloundou, Directeur en charge de la sécurité au sein de l’entreprise. Des sanctions étaient alors préconisées contre l’employé coupable de " transgression des règles de sécurité ", même comme ce dernier avait été brûlé.

Maladies Les mauvaises conditions de travail exposent aussi les employés à d’autres types de risques, notamment les maladies professionnelles, négligées du fait de leur manifestation souvent tardive sur les employés qui en sont victimes. Dans les plantations villageoises et industrielles et dans les entreprises de fabrication des peintures et autres, les employés sont très souvent exposés à ce type de maladies. Il y a quelques temps, la pratique d’épandage dans les bananeraies des filiales de la Compagnie fruitière de Marseille dans le Moungo et de Delmonté dans le Sud-Ouest, était décriée par des Organisations non gouvernementales. Le Cercle international pour la promotion de l’environnement (Cipcre) notamment, condamnait le fait que des avions pulvérisent fréquemment des produits toxiques alors que les ouvriers sont encore dans les bananeraies.

Des conditions de travail peu sécurisantes que vivent encore les ouvriers dans les champs de la Société des Plantations nouvelles de Penja (Spnp), ceux de la Société des Bananeraies de la Mbomé (Sbm) et de la Plantation du Haut Penja (Php). Selon Charles Mbonguè, médecin d’entreprise, " la manipulation et l’usage intensif des pesticides dans les plantations peut avoir des répercutions graves sur la santé des travailleurs qui s’y trouvent ". Il explique que le contact et l’inhalation de ces produits toxiques peuvent entraîner des maladies telles que les cancers de la peau et de l`estomac, les affections des voies respiratoires, la stérilité, l’invalidité et des malformations chez les nouveau-nés. Des risques sanitaires sur lesquels les travailleurs ne reçoivent que très

peu d`informations.

A la délégation provinciale du Travail et de la prévoyance sociale du Littoral à Douala, les responsables ne se prononcent pas sur le niveau d’application de l’arrêté ministériel qui impose, depuis 1984, la création des comités d’hygiène et de sécurité dans certains groupes d’entreprises. La déléguée provinciale, Mme Ejanguè, seule habilitée à s’exprimer pour le compte de cette administration, trouve la question "sans aucune pertinence ". Ce qui trahit la faiblesse des contrôles opérés par les inspecteurs du travail et les médecins-inspecteurs du travail. A Aes-sonel, l’on en est encore à la phase de mise en place des comités d’hygiène et de sécurité. Les responsables de Cimencam, quant à eux, affirment que ces comités existent depuis longtemps au sein de l’entreprise.

" Nous avons tout un manuel qui traite des problèmes de sécurité et, régulièrement, nous faisons appel à un inspecteur ou à un médecin-inspecteur du travail pour parler de sécurité et d’hygiène avec nos employés", expliquent-ils. Toutes ces entreprises soutiennent par ailleurs qu’elles investissent en équipement et en communication pour " parvenir au risque zéro en terme d’accident du travail ". Dans la province du Littoral, la Caisse nationale de prévoyance sociale (Cnps), qui supporte des charges de près de 3 milliards de FCfa pour les seuls cas d’accident de travail, a récemment lancé " une campagne d’éducation et de sensibilisation " des patrons d’entreprises qui hésitent encore à se plier à ces exigences. Dans la même foulée, des séances de formation ont été initiées pour les membres des comités d’hygiène et de sécurité existants.

14.12.2005 BUEA : UN INCENDIE FAIT DEUX MORTS Plusieurs maisons et boutiques consumées.

Après Kumba, la ville de Buea vient d’être victime d’un incendie. Tout commence lundi le 12 décembre aux environs de 23h. Le quartier Great Soppo où l’on retrouve quelque boutiques et des maisons d’habitation, s’apprêtait à plonger dans le calme de la nuit, lorsque des cris se font entendre. Le début d’un incendie signalé. Hélène Bobda qui braise le poisson à la gare routière à Mile Seventeen vient à peine de rentrer après une dure journée de travail que sa fille se met à crier. “ Le feu avait commencé chez les voisins. Je suis sortie avant de me rendre compte de la gravité de la situation ”, explique-t-elle.

Selon les témoins, les flammes se sont vite répandues dans le coin, si bien qu’il a été difficile de les éteindre. Malgré l’intervention des pompiers, il a fallu du temps pour venir à bout des flammes. Le bilan est lourd. Une dizaine de maisons d’habitation complètement brûlées ainsi que environ 7 boutiques. “ Nous n’avons même pas eu le temps de sauver une aiguille ”, se plaint Mme Bobda. Certains boutiquiers ont, selon des sources concordantes, réussi à sauver quelques bouteilles de gaz.

Un couple a également été calciné au cours de cet incendie. Onyama Jeremiah, affaibli par l’âge et les maladies, ainsi que son épouse, Onyama Mary, elle aussi un peu souffrante, n’ont pas pu échapper à la colère des flammes. L’homme, selon les témoins, est paralysé et souffre également des problèmes de vision, alors que la femme a, entre autres problèmes, celui de la surdité. Par ailleurs ils vivaient dans leur maison avec leur petit-fils âgé d’environ 14 ans. Selon nos sources d’information, l’incendie serait parti de cette maison. Et le petit-fils des victimes aurait couru pour alerter les voisins. Le temps que ceux-ci réagissent, les flammes avaient déjà pris de l’ampleur. Tous les efforts fournis, pour sauver les deux personnes, n’ont pas connu de succès. D’où le drame vécu par la famille de Jeremiah Onyama.

En attendant d’élucider les causes réelles de cet incendie, les habitants de Great Soppo n’ont plus que leurs yeux pour pleurer. “ Notre maison et les 4 boutiques que nous mettions en location sont réduites en cendre. Nous nous retrouvons à la belle étoile. Le commandant de brigade a envoyé des éléments pour ouvrir une enquête. Nous attendons de voir ce que les autorités vont faire pour nous ”, relève Mme Bobda Hélène.

2005-01-21 09:39:50Cameroun: Un incendie ravage le musée et une partie de la chefferie BandjounYAOUNDE, 20 janvier (XINHUANET) -- Un incendie probablement  d'origine criminel a ravagé dans la nuit de mercredi à jeudi le  musée, la case communautaire et plusieurs batiments de la grande  chefferie de Bandjoun (300 km à l'ouest de Yaoundé), a-t-on appris jeudi de source officielle de Yaoundé.        L'incendie s'est déclenché jeudi à 01h00 (00h00 GMT), d'abord  par une petite case dans le domaine royal et, lorsque les  populations réveillées se débattaient pour l'éteindre, on a aperçu la grande case communautaire et le musée dans un nouveau brasier  plus important.   L'incendie a également consumé plusieurs cases, notamment  celles où vivait le roi défunt, Joseph Ngnié Kamga. Les premiers éléments de l'enquête engagée par les gendarmes  font état d'un "probable incendie criminel". Fin 

La catastrophe de NSAM rappelée à la mémoire collectiveLe ministre de l'urbanisme et de l'habitat a effectué ce mardi 23 décembre 2003 une descente sur le site de recasement des sinistrés. Selon les premières indications, 100 lots sont déjà disponibles...

Au lendemain de la catastrophe du 14 février 1998 survenue à Nsam, un quartier de la ville de Yaoundé, et après de vives critiques des associations de défense de l'environnement, la SCDP (société camerounaise des dépôts pétroliers) et l'Etat se sont engagés à lancer des travaux de réaménagement du dépôt de Nsam. Ces travaux devaient être suivis de ceux de la création d'un lotissement de recasement des populations pour permettre le processus d'évacuation et de réinstallation de ces populations. Le déroulement de cette opération a été prévu sur une période de deux ans. Selon les déclarations du directeur général de la SCDP, le 7 fevrier 2002, la première étape consistait à amenager le site d'accueil par la MAETUR (organisme d'aménagement des terrains) en produisant 100 lots environ entièrement alimentés en eau et électricité. On envisageait aussi la création de l'accès en terre et déviation provisoire des eaux usées de la SIC Mendong.

La deuxième étape devait porter sur l'indemnisation de 53 familles situées en zones I, II et III du périmètre de sécurité pour un coût estimatif de l'ordre de 844 millions de FCFA TTC. Enfin, la troisième étape prévoyait la délivrance des titres fonciers aux familles déguerpies.

Pour la deuxième année, c'est-à-dire l'exercice 2002/2003, la Caisse Autonome d'amortissement devait, dans un premier temps, se charger de la sécurisation d'un fonds d'un montant global de 1 350 millions de FCFA prévu pour la finalisation des opérations de déguerpissement et d'indemnisation des populations. Dans un second temps et parallèlement, le programme des travaux était sensé s'articuler autour de l'indemnisation des 13 familles restées en zone IV et des trois sociétés qui y sont implantées. Il y a avait aussi la création de la voie de contournement, l'assainissement des zones libérées, et le bitumage des voiries.

A ce jour, tout porte à croire que le chemin à parcourir est encore long. Les populations de Nsam ne sont pas très bien fixées sur le sort qui leur est reservé au cas ou elles viennent à quitter le site actuel. Ce qui est plus dangereux, c'est que la vente du carburant a repris tout autour du dépôt de Nsam avec tous les risques d'incendie. Le gouverneur de la province du Centre, M. FAI Yengo Francis, dans une opération de ratissage systématique au mois de juin 2003, a attiré l'attention des décideurs sur les dangers que la nation courait en laissant prospérer au vu et au su de tout le monde, le commerce illicite du carburant (parfois frelaté). Etant donné que l'on annonce pour Juin 2004 la fin des travaux de construction du périmètre de sécurité autour de la SCDP, on ne perd rien à attendre.

Le jour / Mercredi 8 octobre 2008Incendie Mindef : Le bureau du général Nganso entièrement consuméL'intervention rapide des sapeurs pompiers a permis de maîtriser cet incendie qui n'a fait aucune victime humaine. Ceux qui connaissent le général Nganso, disent de lui qu'il est un homme calme, presque taciturne, et que peu de choses ébranlent. Hier soir pourtant, il a perdu son légendaire sang-froid, devant le spectacle cruel de son bureau qui brûlait, avec tout son contenu, et dont l'importance était perceptible au désarroi du vieil officier. Il a fallu les bras de quelques solides hommes, accourus sur le lieu de l'incendie, pour empêcher le vieux militaire de tenter un geste désespéré, dans le genre se jeter dans les flammes, pour aller sauver on ne sait quel précieux objet ou document. Hier à la tombée de la nuit, un incendie s'est donc déclaré au troisième étage de l'immeuble en face du Mess des officiers, abritant l'inspection générale des armées, le contrôle général des armées et le conseiller logistique des armées. Cet immeuble, datant des années 60 est un ancien hôtel, le "Grand Hotel", qui, il y a une demi-douzaine d'années, a été reconfiguré en bureaux, pour abriter les structures nouvellement créées au Ministère de la Défense. Cet immeuble sert donc de bureaux à un ensemble de généraux dont : le général Tataw James, conseiller logistique des armées, le général Pierre Semengue, contrôleur général des armées et son adjoint, le général Taka Songola, l'inspecteur général des services, le général Nganso Sundji Jean, et son adjoint, le général Youmba Jean René. L'intervention des sapeurs-pompiers, survenue juste une vingtaine de minutes après le déclenchement de l'incendie, a permis de circonscrire celui-ci au troisième étage, et à l'unique bureau dans lequel il s'est vraisemblablement déclenché. Sur les causes de cet incendie, plusieurs hypothèses sont avancées, y compris celle de la vétusté des installations électriques de cet immeuble dont certains témoignages recueillis sur les lieux de l'incendie font état. On peut se souvenir qu'en février 2001, un autre incendie, cette fois-là, plus spectaculaire et plus bruyant a eu lieu à la soute à munitions du ministère de la défense. Une commission d'enquête avait été mise sur pied pour faire la lumière sur cet incident. Reste les souvenirs et sans doute les archives de près d'un demi-siècle carrière du général Nganso, partis en fumée, en une demi-heure d'incendie.

Haman Mana 19-09-08 Cameroun Tribune page 20(19-09-08)ARSELCommunique relatif à l’arbitrage du litige AES-SONEL contre les sinistrés du marché Congo par ARSEL

En application des dispositions de l’article 42 de la loi n° 98/022 du 24 décembre 1998 régissant le secteur de l’électricité, l’agence de régulation du secteur de l’électricité (Arsel) vient de procéder au règlement du litige entre les sinistres du marché Congo à Douala et AES-SONEL, suite à un incendie survenu le 05 août 2001 et ayant consumer quatre (4) boutiques et deus (2) maisons d’habitation.

La cérémonie de signature des documents y relatif a eu lieu dans la salle de conférence de l’agence, le mardi 09 septembre 2008 à 11heures.

Dans le souci d’aplanir leurs divergences, et d’éviter de s’engager  dans de coûteuses procédures judiciaires, AES-SONEL et les sinistrés ont décider de régler leur différend sous les auspices de l’ARSEL.

La cérémonie s’y évoquée a mis un terme à ce différend, les deux (2) parties s’étant mis d’accord sur les compensations à verser aux sinistrés.Le Directeur Général,Pierre NDOUGA HELL

The Herald P.6To be readDOZENS DIE STEALING PETROL IN MAROUASome 30 people are said to have died and about 17 injured in a fire accident as the tried to collect petrol from a broken fuel tanker About 13 people have reportedly died and 17 others severely injured in Moran, Maroua in what looks like a repeat of the 1998 Nsam fire disaster that left scores of fatalities, as resident in this Yaoundé neighbourhood tied to steal petrol from a broken tanker.Aurore ¨Plus P.10

Catastrophe à la prison de New BellUn court circuit à l’origine du drame?Un vieux ventilateur qui aurait pété les plombs suite à un court circuit est la cause réelle de l’incendie observé mercredi dernier au pénitencier de New Bell. Plusieurs prisonniers séjournent actuellement à la morgue de l’hôpital Laquintinie et dans plusieurs centres hospitaliers.

Par Etamé Kouoh « On était tranquille à la prison quand plusieurs de nos camarades ont été pris de panique. Personne ne peut dire avec exactitude comment le feu est parti mais tout porte à croire que ce sont les gardiens eux-mêmes qui l’ont provoqué pour des raisons qu’on ignore. Ils sont les seuls à pouvoir s’expliquer même si tout le monde pense que ce feu émane de nous. On n’avait d’autre issue que la fuite. Plusieurs d’entre nous sont blessés. D’autres sont morts et j’ai pu apercevoir deux qui ont réussi à fuir. Je ne sais pas s’ils ont été arrêtés par la suite. Il fallait être fort pour pouvoir sortir de cet enfer. » c’ est ainsi qu’ un détenu qui a échappé à la mort ce mercredi lors de cette catastrophe qui a viré à une tentative d’ évasion.Contrairement à cette version de ce prisonnier, un garde prisonnier rompt le mur du silence. « Quel intérêt avons-nous à brûler la prison ? Notre mission est celle d’ y maintenir le calme ».Après enquêtes même si ce n’est pas encore la version officielle qui tarde à venir, le feu qui a crée la panique au sein de la prison centrale de Douala a été provoquée par un court circuit d’un vieux ventilateur. Ce que ne nie pas certains blessés. « On a été surpris par le feu qui venait de la prise. Avant qu’on ne se rende compte que c’est un court circuit, il était tard. Le feu se propageait partout ce n’est pas la première fois que ce ventilateur nous cause des misères. Nous avons dit au régisseur de dépanner les installations électriques vieillissantes mais rien n’est fait en dehors des promesses. S’il faut ajouter le fait que nous sommes mal nourri, je comprends pourquoi ils ont essayé de se sauver. La faute revient aux dirigeants de la prison qu ne font rien pour nous ».En dehors des  morts par brûlures, piétinements, étouffements et bousculades, plusieurs blessés graves sont internés dans plusieurs centres hospitaliers où ils sont suivis par les personnels de santé. A l’hôpital Laquintinie, c’est le service minimum. Au service des urgences, un infirmier est débordé par la gravité de la situation. »Le directeur a demandé le renfort des autres services. Mais personne n’a répondu à son appel. Nous ne sommes pas payés, c’est pour cela que les collègues ont refus é de venir nous prêter main forte. Nous faisons ce que nous pouvons sans compter que nous avons aussi d’autres cas urgents. »

C’est par vagues que les familles viennent faire la reconnaissance des prisonniers à la morgue. Dès qu’un corps est reconnu par sa famille, il est formolisé et mis au placard de la morgue. Une femme vient de reconnaître son mari, une autre son frère, dit le major de la morgue. Ça nous facilite les choses.  » Pour les blessés, un imposant dispositif de sécurité a été mis en place pour empêcher toute communication avec l’extérieur, malgré quelques

failles. En dehors de l’hôpital Laquintinie, les blessés sont aussi présents à l’hôpital général de référence spécialisé dans les brûlures, à l’infirmerie de la garnison, à l’hôpital de new Bell et dans d’autres institutions hospitalières gardées secrètes.  « On les a dispersé pour qu’on ne sache pas exactement le nombre de blessés et de morts. Ça peut choquer l’opinion publique. C’est aussi pour que les médecins ne soient pas débordés » lance dans le tas une infirmière de l’hôpital général.

A cause d’un ventilateur et des installations électriques approximatives, une quinzaine de prisonniers ont déjà trouvé la mort, pour plus de quarante un blessés graves. C’est désormais mille six cent pensionnaires sont sans abri, deux mois après la fusillade entre prisonniers et leurs geôliers. Le vice premier ministre en charge de la justice a fait le tour du centre hospitalier où sont internés les blessés, en ignorant religieusement la morgue. A quand la construction d’une nouvelle prison à l’entrée de la capitale économique ? Les pouvoirs publics laisseront ils une fois de plus cette situation pourrir et causer de plus en plus de dégâts ? plus que jamais , le rôle du gardien de prison à Douala n’ est pas la meilleure destination professionnelle à souhaiter.Liste des prisonniers mortsRené TCHATCHOUEBayard HELEGJean paul SADJENKENGThierry TCHAMORoger FOKOUMarcel NGUELDOBruno YOGOOlivier KOUAMOErnest ASHU(Non identifié)

Liste des blessés gravesHôpital généralRoméo TAKOUORichard TCHINDABouba ZOAJoseph YOUMBI

Hôpital LaquintinieRoger NAYOUJoseph ODJONGabriel ATEBASimon MBATOURonstand NGANDODaniel KOUNGDaniel ISSENDOlivier FOKOUDonald EBONGUEFrancis FONGANGFANKAM SIEMENI

03/07/2008-Cameroon Tribune

Electrical Short Circuit: Danger to Shop Owners

Most shop owners are reinforcing security measures to prevent future fire disasters.

Fire incidents in Yaounde town have become commonplace of recent. Quite a good number of shops and business centres have been hit by fire disasters. The cause of such an unfortunate incident is always attributed to electrical faults. Usually most of the shops, super markets, etc, have poor electrical installations, which many shop owners are taking severe measures to protect their business places from disasters.

Marshall Bayeme, chief of sales in one of the main super markets in Yaoundé told Cameroon Tribune that the super market has had two fire disasters due to short circuit. “We are not able to explain what happened. We were just called in the night to come and quench the fire whereas we have inspected all our installations,” he said. He explained that in order to prevent such incidents, the authorities have equipped the supermarket with sophisticated fire fighting equipements such as fire extinguishers, a water reservoir with a 30 meters long water tube, which is capable to throwing water 20 m away. Also, some personnel have been trained on the different technique of putting out fire in case of an incident. The trained personnel work at night from 7:30 pm to 7:30 am. Apart from that, all electrical installations have been reinforced. Wooden shelves have been reduced as much as possible and changed to either iron shelves or concrete. Workers have also been provided with anti fire equipments to ensure their safety. The story is the same in another famous supper market in town. The supermarket has a contract with a company in town which follows up and recharges fire extinguishers. There are also internal measures which in case of a fire disaster there are boards that orientate people on how to get out of the shop. As for natural cause, the company makes sure expired goods and waste cartoons, for example are burnt, out of town in order not to disturb people around. According to Mr Djongwane, the company is a standard enterprise because it repects all the conditions of hygiene and security. Due to the present situation, many shop owners are working had to improve on the quality of their installations in order to avoid any catastrophe in future.

Elizabeth MOSIMA

Le Jour16/06/2008

Douala : Deux morts dans un incendie à New-Bell Une femme de 60 ans et sa petite-fille sont les victimes de ce drame survenu hier matin.Tristesse et désolation chez les Pouani, cet après-midi du 15 juin 2008. Dans cette famille domiciliée au quartier Nkololoun (New-Bell), la petite Kévine Kamani Wedjio, 14 ans, et sa grand-mère Anasthasie Deunkam, 60 ans, ont trouvé la mort dans un incendie qui a entièrement consumé leur maison construite en matériau provisoire, dimanche en fin de matinée.

Le Jour p4Yaoundé Un étudiant de l’ Ecole normale meurt dans un incendie

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22.01.2007- Incendie dans la salle des Réunions de l’Hotel de Ville de Douala

Début d'incendie sur un avion de la compagnie Nacam

Début d'incendie sur un avion de la compagnie Nacam Auteur: Routard Posté le: 13 Sep 2007 08:51  Yaoundé (Cameroun) - Un avion de la toute jeune compagnie aérienne camerounaise NACAM (National Airways of Cameroon) a été victime d'un début d'incendie sur l'aéroport international de Yaoundé (Cameroun) quelques instants avant le décollage, provoquant une intense panique parmi les passagers.

L'avion, un Boeing 737-200, immatriculé XA-UHZ, vol 9O-103, qui devait effectuer la liaison entre l'aéroport international Nsimalen de Yaoundé et l'aéroport international de Douala (Cameroun) avec environ 40 personnes à bord, était prêt au décollage, vers 2h30 du

matin, heure locale, soit avec 12 heures de retard sur l'horaire prévu, lorsque quelques passagers ont aperçu des flammes sortant du bout d'une des ailes, semblant provenir des feux de position de l'appareil. S'en est suivi un vent de panique qui a obligé les pilotes à interrompre le décollage.

Malgré l'affolement de l'évacuation, il n'y a eu aucun blessé et les secours sont intervenus rapidement pour éteindre un début d'incendie qui ne semblait pas menacer de se propager à tout l'appareil. Les passagers ont été transportés dans l'aérogare et ont refusé par la suite de revenir dans l'appareil, préférant être transférés sur une autre compagnie pour rejoindre leur destination.

 Auteur: Routard Posté le: 14 Sep 2007 16:04  Le même incident raconté par la presse africaine

Citation:

Cameroun: Yaoundé - Panique à l'aéroport international de Nsimalen

Des flammes dans une des ailes de l'avion de la compagnie Nacam occasionne l'annulation d'un vol à destination de Douala.

Il était pratiquement 2 heures 30 du matin hier, lundi 10 septembre, lorsque le Boeing 737- 200 appartenant à la compagnie aérienne la Nacam en escale à l'aéroport international de Yaoundé-Nsimalen et en provenance de Garoua a été surpris par des flammes. "J'étais à l'arrière de l'avion lorsque à travers les hublots j'ai aperçu les flammes sortir d'une des lampes placées sur l'aile gauche de

l'appareil. Face au danger imminent, il fallait immédiatement réagir et arrêter l'équipage qui préparait son départ en trombe de la piste ", a expliqué un agent de navigation de Nacam au bas de l'appareil.

Face au danger, il va courir vers la cabine de pilotage pour donner l'alerte aux membres de l'équipage. Les mêmes flammes également aperçues par les joueurs de l'équipe nationale olympique du Maroc en provenance de Garoua vont semer une grosse panique dans l'avion.

C'est l'affolement total dans l'appareil et les cris de détresse fusent de partout. "Le feu!", "Le feu!", "Au secours!"... dans la petite allée, les passagers se bousculent sans pouvoir sortir. Immédiatement, l'appareil qui démarrait va s'immobiliser. C'est Harouna Nyako, député Rdpc qui va actionner le toboggan, une longue rampe inclinée du haut de la porte de l'avion et sur laquelle vont glisser les premiers passagers. Le reste utilisera l'escalier accroché à la porte. Dans ce vol parti de Malabo en Guinée Equatoriale, se trouvaient également Modeste Mbami, Jean II Makoun et Serge Bikey, internationaux camerounais, des journalistes au retour de la couverture de la rencontre de dimanche dernier entre le Nzalang national de la Guinée Equatoriale et les Lions indomptables du Cameroun, tous descendus à Yaoundé- Nsimalen.

Une fois l'alerte donnée, deux camions des sapeurs pompiers en service à l'aéroport vont prendre position autour de l'appareil immatriculé XA- UH2. De l'aile de l'avion, des colonnes de fumées vont continuer à monter vers le ciel. L'ampoule d'où est venu le feu a fondu avant de se détacher de l'aile gauche de l'appareil. Deux cars, l'un appartenant aux Aéroports du Cameroun (Adc) et l'autre à la Camair, vont effectuer des navettes pour évacuer de la piste principale les passagers toujours pris de panique. Les membres de l'équipage vont tant bien que mal tenter de convaincre les passagers de reprendre leur place. Ils vont essuyer une farouche résistance de la part de la délégation marocaine. C'est finalement à 6h15 que les 40 passagers de l'avion sinistré de la Nacam vont embarquer dans le Boeing 747 de la Camair, le Dja, en transit à Nsimalen et en provenance de Paris.

Toujours un grand plaisir à lire.

 Auteur: NACAM Posté le: 14 Sep 2007 16:11  COMMUNIQUE DE PRESSE

Jeudi, 13 septembre 2007

Incident sur un avion NACAM

Il s’est produit un incident peu avant le décollage d’un vol charter NACAM dans la nuit du dimanche au lundi, 10 septembre 2007 à Yaoundé.

L’avion revenait de Garoua et s’apprêtait à s’envoler pour Douala lorsque le phare d’aide à l’atterissage/décollage, situé sous l’aile gauche, a subitement grillé. Il n’y a eu ni explosion, ni feu, ni fumée s’échappant de l’appareil, mais seulement un flash lumineux, phénomène identique à celui d’une ampoule domestique qui se grille.

Pris de panique, un passager, aidé dans son mouvement par d’autres occupants de l’avion, ont entrepris d’ouvrir la porte de l’appareil ; ouverture qui a automatiquement déclenché le déploiement du toboggan, alors que l’appareil s’apprêtait à décoller. Grâce à la vigilance des pilotes, les moteurs ont été coupés et l’appareil immédiatement immobilisé.

Nous souhaitons rappeler que le comportement de ces passagers est illicite et en violation de toutes les lois locales et internationales en matière de sûreté en transport aérien, et passible de lourdes poursuites judiciaires ; la vie de tous les passagers de l’appareil ayant été gravement mise en danger par ces personnes. Cet état de fait a été parfaitement rapporté dans le rapport d’incident établi par le service de police de l’Aéroport International de Yaoundé - Nsimalen.

Une fois l’incident contenu, le vol a pu repartir vers Douala. Le phare et le toboggan ont été remplacés dans la journée de lundi et nous avons pu reprendre nos vols réguliers dans des conditions normales d’exploitation et de sécurité. Nous souhaitons, par ailleurs, nous excuser auprès de nos passagers de lundi pour le retard et les désagréments à eux causés.

La direction de NACAM déplore cet indicent et remercie sa clientèle pour sa compréhension et sa fidélité.

Pour d’amples informations, nous vous prions de contacter notre service presse.

Pour NACAM,Contacts presse : Jean-François D'Amours / +237 96 29 79 76 / [email protected]

 Auteur: Anonymous Posté le: 14 Sep 2007 18:18  je dois reconnaitre le caractère pro du communiqué de presse de NACAM et cela a titillé mon attention, qui est cette compagnie sachant aussi bien communiquer :

ATDB leur attribue un Yak 40 ukrainien des années 70.... ex Aeroflot ex.....comme flotte (type pas vraiment recommandable, mais enfin....) et une intention d'acquisition de 732, que voici donc...

historique on ne peut plus zen

National Airways Cameroon NACAM 9O Cameroon Yaoundé 2005- Started operations 6/10/05 (using the name of a previous carrier set up in 2000 by South Africa's National Airways Corp using Beech-1900 equipment).

mais tout cela ne nous dit pas d'ou vient le 737 200, un type plutot obsolête qu'on ne trouve plus que dans les pays '''zone 3''' de l'aviation...

je reviens vers vous sous peu, un peu de recherche préhistorique...

 Auteur: Anonymous Posté le: 14 Sep 2007 18:28  NACAM donc disposerait d'un 737 200 de 28 ans, qui a commencé sa carrière aux USA chez Piedmont en 1979 et a bien vécu depuis...

nous le retrouvons donc en Afrique, typiquement le genre d'endroit ou ce genre d'avion termine sa carrière :

ce n'est pas en soi un mauvais type d'appareil, soyons honnêtes, tout est dans le suivi de la maintenance et la disposition des pièces..... souhaitons à cette compagnie, qui sait fort bien communiquer visiblement d'avoir les mêmes talents pour l'entretien !

sauf erreur voici notre avion

http://www.airfleets.net/ficheapp/plane-b737-21816.htm

autres infos d'une data base confidentielle :

21816 592 15.07.79 N769N Piedmont AL 07.08.79 201

US Air mgd 05.08.89 GECAS to USAir 16.8.96

US AW nn 27.02.97 canc 27.9.00

C-FRYH Royal AL lsd 27.09.00 rgd Royal Avtn 06.10.00

Canada 3000 AL 05.04.01 str Quebec CityUS AW bcs 15.07.01, ret US AW, lsd to AAR Distribution 19.10.01

N227AU L-3 Communications Corp slsd 19.10.01 (=US Navy) for 3 years, to Alameda Corp 27.03.02, ret

Alameda Corp 10.04, own AAR Services 28.10.04, own WFBN 01.03.05

XA-MAK Magnicharters lsd 16.03.05 C

en décodant le paleontolangage c'est un avion qui aurait du aller au désert et qui est reparti pour un tour....

XA- UHZ que l'on voit sur la trappe de train serait une immat temporaire pour transit du même appareil, entrevu à Mexico sous cette identité.www.crash-aerien.com

samedi 25 mars 2006

Maroua : le pont vert en feu

L'incendie s'est produit dans ce quartier dans la nuit de mercredi à jeudi dernier.

Ce jeudi au quartier dit Pont vert à Maroua, la fumée s'échappe d'une concession. Un attroupement est visible à l'entrée de ce qui était il y a quelques heures " Noblesse Bar". L'incendie qui est passée par là la veille a consumé l'essentiel du mobilier qui faisait la fierté des habitués de ce bar. Max Malyom Ngongeh le propriétaire du bar est muet devant le désastre ainsi causé.

Tout aurait commencé selon des témoignages concordants dans les environs de 23heures mercredi dernier. Les disciples de Bacchus qui étaient encore présents à cette heure tardive ont été soudain ameutés par un bruit provenant de l'ampoule externe qui illumine la vendeuse de porc braisé. Il s'agit juste d'un court circuit diront les personnes présentes au bar. Ce qui ne retiendra pas plus l'attention de ces clients. Subitement confie l'épouse du propriétaire, " le feu a pris de l'ampleur et il était difficile de récupérer quoi que ce soit, les voisins se sont mis à verser de l'eau sur les flammes qui s'étaient emparées de l'ensemble du bar."

Ils vont donc assister impuissants à la destruction des économies réalisés par Max Mayom Ngongeh pendant de longues années. "Une des femmes qui tentaient de maîtriser les flammes a d'ailleurs été grièvement blessée", dit-elle. Madame Cathérine Maïlong a perdu deux de ses orteils

et s'en est tirée avec une brûlure grave. Elle a bénéficié des soins intensifs à l'hôpital provincial de Maroua. Bien plus, la toiture et les installations électriques ont volé en éclat. Les câbles du centre de diffusion FM de Ngassa ont été sectionnés par les flammes. Ce qui a conduit à l'arrêt de la production des émissions locales de la CRTV station provinciale de l'Extrême Nord.

Pour l'heure, Max Mayom Ngongeh a reçu la visite des responsables des forces de maintien de l'ordre qui sont venus faire les constats. Il a pour sa part commis Maître Abbo, huissier de justice à pour effectuer la même besogne. L'entreprise Aes Sonel a aussi dépêché un avocat sur les lieux.

Publié sur le web le 24 Mars 2006 par Dieudonné Gaïbaï in Quotidien Mutation

Cameroun: Zone d'ombre industrielle à Douala

Une Enquête De Léger Ntiga21 Octobre 2005

Dans un indescriptible désordre, les entreprises des différents secteurs d'activités se côtoient dans la zone industrielle de Douala sans aucun souci pour la sécurité des employés et des populations riveraines.

Entre le 15 août 2005 et le 14 septembre de la même année, deux événements malheureux ont endeuillé la zone industrielle de Douala Bassa notamment. Le premier survenu, le 15 août, fait suite à une explosion du four des Aciéries du Cameroun (une unité de production de l'acier appartenant au groupe Fokou). En plus de nombreux blessés graves (une vingtaine) enregistrés, l'accident a causé la mort de l'employé Ruben Munyengué, et brûlé grièvement 18 autres. Le vendredi 19 août, arrivé à Douala pour s'enquérir de la situation et des précautions qui ont été prises par la direction des Aciéries du Cameroun au moment de son installation pour assurer la protection des employés et des riverains de cette entreprise classée dangereuse, le ministre de l'Industrie, Charles Sale, a décidé de la fermeture de l'usine.

Le 24 avril 1960. L’incendie du quartier Kongo à Douala. Un gigantesque incendie embrase le quartier populaire Kongo de Douala qui est présumé abriter une forte communauté des sympathisants de l’UPC. Aucun rapport n’a pu établir les origines et le nombre des victimes.