Improving your business communications

Overcoming language and cultural barriers in business: a guide for exporters

Un accompagnement sur mesure pour les entreprises françaises qui s’implantent au Royaume-Uni

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Avec une population de près de 63,2 millions d’habitants, le Royaume-Uni est la sixième plus grande économie dans le monde et l’une des plus performantes d’Europe. Représentant un marché important tout secteur confondu, c’est aussi la première destination des sièges sociaux d’entreprises européennes. Aussi, le Royaume-Uni devrait dépasser l’Allemagne à l’horizon 2030, devenant ainsi la plus grande économie d’Europe.

Considéré comme l’un des pays les plus cosmopolites du monde, la mixité culturelle qui compose le paysage Britannique lui offre une particularité unique. Vivant et dynamique, le Royaume-Uni est sans aucun doute l’une des destinations privilégiées des touristes étrangers, mais aussi et surtout la destination n°1 des investisseurs Européens.

Présent partout dans le monde, les experts de UK Trade & Investment aident de nombreuses entreprises à s’implanter et à développer leur activité au Royaume-Uni.

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Sommaire

Les missions de UKTI France

Accompagner et conseiller gratuitement les entreprises

Soutenir les PME et favoriser les synergies entre entreprises françaises et britanniques

Le Royaume-Uni, un pays à fort potentiel d’affaires pour les investisseurs

Un environnement favorable au développement commercial des PME

Le Royaume-Uni, pays Européen n°1 en terme de création d’entreprise

Tech City : la Silicon Valley Londonienne, capitale digitale de l’Europe

Le Royaume-Uni, leader Européen des secteurs de pointe

Les industries créatives : moteur de l’économie britannique

Les NTIC : un secteur fortement novateur

Les sciences de la vie : une industrie productive de haute qualité

Les énergies renouvelables au cœur de la stratégie du gouvernement britannique

Case studies

Focus sur des exemples de réussites :

- Sidetrade : pionner du « Software as a Service »

- Stallergenes : spécialiste du traitement des allergies respiratoires

- Noveol : start-up d’éoliennes innovantes

- Be Relax : espace de bien-être international

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UK Trade & Investment est une organisation gouvernementale britannique pour le développement des entreprises à l’international. L’organisme aide les entreprises étrangères souhaitant s’implanter au Royaume-Uni et les entreprises britanniques souhaitant assurer leur croissance à l’international. Les services offerts par UK Trade & Investment (UKTI) s’appuient sur un réseau de spécialistes du secteur commercial et d’équipes de soutien présentes dans tout le Royaume-Uni et dans les représentations diplomatiques britanniques sur plus de 100 marchés dans le monde.

Accompagner et conseiller gratuitement les entreprises

Basé au sein de l’ambassade de Grande-Bretagne à Paris, UK Trade & Investment conseille les entreprises françaises innovantes qui souhaitent se développer au Royaume-Uni.

• Les équipes de UKTI indiquent aux investisseurs la démarche à suivre pour enregistrer leur entreprise et les mettent en relation avec les autorités locales et les organismes à contacter. L’organisme aide ensuite les entrepreneurs à remplir les formalités administratives britanniques.

• Les équipes de UKTI proposent également des visites personnalisées dans les régions qui intéressent les investisseurs, suite à quoi l’organisme les aide à trouver le lieu d’implantation idéal pour leur entreprise. Dans ce cadre, UKTI réalise des analyses régionales comparatives en fonction des secteurs d’activité de chacun.

1. Les missions de UKTI France

• Les équipes de UKTI mettent les investisseurs en contact avec les meilleurs spécialistes en conseils juridiques et fiscaux. Ces spécialistes dispenserons à ces derniers des conseils ciblés, fiables, et sur mesure.

UKTI collabore avec de nombreuses organisations partenaires au Royaume-Uni dont les ministères, les agences de développement à l’échelle régionale et les administrations décentralisées, les divers organismes d’aide aux entreprises, les chambres de commerce et les associations commerciales.

Des collaborateurs dans plus de 100 pays

Les équipes ainsi que les ressources financières de UKTI proviennent du Ministère des Affaires Etrangères du Commonwealth et du Ministère du Commerce de l’Innovation et des Compétences sous lesquels est placé sa tutelle. Le réseau UKTI compte plus de 2300 conseillers et collaborateurs répartis dans 100 pays.

UKTI, dont le siège social est basé à Londres, est présent en France à Paris, Lyon, Bordeaux et accompagne les entreprises françaises dans toutes leurs étapes de création et d’installation : choix de l’implantation, aide au recrutement, rencontres avec les experts sectoriels etc. Les services sont par ailleurs confidentiels et gratuits.

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Soutenir les PME et favoriser les synergies entre entreprises françaises et britanniques

Selon les chiffres publiés dans le Inward Investment Report 2012/2013, le Royaume-Uni conserve sa place de leader européen pour l’investissement direct étranger. La France est le plus important contributeur au niveau européen avec 93 nouveaux projets pour l’année 2012/13, soit une augmentation de 43% par rapport au bilan 2011/12. Le marché britannique est ainsi une destination stratégique pour les PME françaises puisque celles-ci sont les premières d’Europe à contribuer à l’emploi en Grande-Bretagne.

Les investisseurs se doivent de prendre en considération plusieurs domaines clés avant de s’implanter au Royaume-Uni. Les équipes de UK Trade & Investment sont là pour en discuter et pour aider les entrepreneurs à accéder à de nombreuses ressources pour l’élaboration d’un plan visant à atteindre leurs objectifs :

• Premier contact avec le Service Investissement

• Analyse approfondie des besoins avec un responsable de projet

• Elaboration d’un dossier personnalisé répondant à toutes les questions

• Organisation de visites de sites et rencontres avec de potentiels partenaires

• Suivi jusqu'à l’aboutissement de votre projet

Aujourd’hui, le Royaume-Uni mise plus que jamais sur ses atouts, notamment son économie flexible et diversifiée, sa position de tremplin vers l’international et en particulier vers les Etats-Unis, mais aussi sur sa créativité et sa capacité d’innovation. Ces atouts permettent au Royaume-Uni de se classer, année après année, n°1 en Europe en terme d’investissements directs étrangers (IDE).

Ainsi, de nombreuses entreprises françaises tentent avec succès l’aventure outre-Manche pour y développer leurs activités. L’objectif du gouvernement britannique est clair : « faire du Royaume-Uni la destination business par excellence pour les investisseurs étrangers » à déclaré Vince Cable, Secrétaire d’Etat au Commerce, à l’Iinnovation et aux Compétences.

Aussi, dans l’optique de séduire les entreprises françaises à investir au Royaume-Uni, un certain nombre d'initiatives sont mises en place par le gouvernement britannique : les Partenariats Locaux d'Entreprises (PLE). Les PLE sont des partenariats mis en place entre les autorités locales et les investisseurs. Par ailleurs, UKTI collabore étroitement avec les 39 PLE existantes pour attirer les investisseurs étrangers, en les mettant au courant des facteurs uniques qui font du Royaume-Uni un marché compétitif.

© Gary Yeowell / Digital Vision/ Getty Images

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Un environnement favorable au développement commercial des PME

Toujours plus nombreux, les investisseurs étrangers affluent vers le Royaume-Uni et pour cause, les conditions commerciales y sont très favorables pour le développement des entreprises. L'excellence du pays dans les services financiers et commerciaux en fait l’endroit idéal pour se développer. De plus, l’environnement économique outre-Manche se veut aussi stable que la fiscalité y est attractive. L’année 2014 promet de réelles perspectives de développement pour les entreprises.

2. Le Royaume-Uni, un pays à fort potentiel d’affaires pour les investisseurs Français

Le Royaume-Uni, assurément le pays de la création d’entreprise

Le Royaume-Uni affiche une croissance insolente. En effet, économie forte du moment, elle offre une flexibilité du travail qui reste l’une des clefs même de sa réussite. Le plan de soutien de croissance du gouvernement souhaite positionner la Grande-Bretagne comme le pays doté du système fiscal le plus compétitif du G20 et démontrer que c’est l’endroit idéal en Europe pour implanter, financer, et développer son entreprise.

Le cadre réglementaire du pays est propice à la création d’entreprise, la croissance et la rentabilité, notamment grâce à des délais administratifs courts et des coûts réduits. La Banque Mondiale rappelle par exemple qu’il faut environ 13 jours au Royaume-Uni pour créer une entreprise alors que 32 jours en moyenne sont nécessaire dans les autres pays européens. La première étape d’enregistrement de sa société ne prend quant à elle que 24 heures.

L’impôt sur les sociétés devrait passer à 20% dès 2015 selon le budget d’austérité présenté en mars 2013 par le Ministre britannique des Finances, George Osborne. Il s’agira ainsi du taux d’imposition le plus bas d’Europe.

Quelques chiffres clefs

• Le rapport 2013/2014 du Forum Économique Mondial de la Compétitivité a évalué le Royaume-Uni comme cinquième marché du travail le plus efficace au monde.

• Le Royaume-Uni affiche une croissance de 0,7% fin 2013 et de 1,9% sur l’ensemble de cette même année d’après l’ONS. Selon la Banque d’Angleterre, ce chiffre devrait progresser pour atteindre 3,4% au cours de l’année 2014.

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Les petites et moyennes entreprises me disent toujours que l'accès au financement est leur problème numéro un, les empêchant d'investir et de grandir. C'est pourquoi, par la Banque d'Affaires, nous développons une gamme de mesures pour permettre à tous d’avoir accès au type de finance qui leur convient." à déclaré Vince Cable, le secrétaire d'État au Commerce, à l'Innovation et aux Compétences.

Une récente enquête menée par l'Institut National de Recherche Économique et Sociale (INRES) met par ailleurs en lumière le fait que les PME aient été, d'une façon disproportionnée, affectées dans leur capacité à avoir accès au financement, comme le résultat de la contraction des banques prêtant depuis 2008.

Le Royaume-Uni, 1er pays européen en terme de création d'entreprise

Pour les entrepreneurs du monde entier, le Royaume-Uni est l'emplacement idéal pour lancer son entreprise. Marché à part entière pour entreprendre, le pays confirme son statut par les chiffres 2014 de la Banque Mondiale, qui classent le Royaume-Uni parmi les pays européens facilitant le mieux la gestion et la création d’entreprise.

Les statistiques nationales du « Department for Business, Innovation and Skills » (BIS) ne font que confirmer la place que souhaite se donner la Grande-Bretagne : faire du Royaume-Uni le pays n°1 de la création d’entreprise. Conformément à cet objectif, et en coopération avec la maison d’entreprise HM Revenue & Customs, le Royaume-Uni veut devenir le pays ou il est le plus rapide de mettre en marche son entreprise ainsi que le pays ou il est le plus facile de configurer son projet, peu importe sa taille. Les résultats publiés par Invest in Cornwall en aout 2013 suggèrent que la culture entrepreneuriale britannique prospère plus encore avec une estimation d’environ 1,8 millions d’entreprises qui verraient le jour dans les 5 prochaines années.

Le gouvernement prend des mesures facilitant le financement des start-up

Les prêts de 112 millions de Livres Sterling, à l’origine accordés aux jeunes pour les aider à financer le démarrage de leur start-up, s’étendent désormais aux entrepreneurs de tous âges. En novembre 2013, le 10000ème prêt a été accordé à un entrepreneur de Cornwall. L’entreprise des prêts aux start-up a annoncé ce même mois que cette mesure était désormais aussi étendue au Pays de Galles. Par ailleurs, plus de 520 000 entreprises ont été fondées en 2013 selon le groupe de campagne des entrepreneurs Start-Up Britain.

Les PME auront désormais un éventail d'options plus large pour obtenir un financement et ce, grâce au lancement de la première phase de la nouvelle Banque d'Affaires. 300 millions de Livres Sterling seront ainsi investis à côté de l'investissement privé pour combler les écarts de longue date du marché du financement des PME, en encourageant la croissance des prêts accordés aux plus petites entreprises et aux nouveaux entrants sur le marché. Cet argent est le premier déploiement du milliard de Livres Sterling du nouveau capital alloué à la Banque d'Affaires dans la Déclaration du gouvernement d'automne 2012. Il fondera son succès sur le Partenariat de Finance d'Affaires pour démultiplier au moins le même montant d’investissement que dans le secteur privé.

©Justin Lightley / Photographer's Choice RF/Getty Images

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Quelques chiffres clés

• Pour le début de l’année 2013, le chiffre d’affaire du secteur privé a été évalué à près de 4,9 millions au Royaume-Uni1.

• Ce même secteur a employé pour la même année près de 24,3 millions de personnes pour un chiffre d’affaire évalué à 3 300 milliards de Livres Sterling2.

• C’est plus de 520 000 entreprises qui ont été créées en 2013 au Royaume-Uni selon la campagne des entrepreneurs du groupe Start Up Britain.

• Une étude publiée en novembre 2013 montre qu’en fin juin de cette même année, c’était près de 31 880 entrepreneurs qui avaient été aidés par UKTI et que 68% d’entre eux avaient eu des retours sur investissement significatifs3.

• Pour l’année 2015, UKTI s’est fixé de soutenir 50 000 entreprises dans le cadre des objectifs ambitieux du gouvernement britannique.

La mise en place d’un programme de soutien aux entreprises à forte croissance

Un nouveau département pour soutenir les entrepreneurs britanniques et les investisseurs a été annoncé par le Chancelier George Osborne durant un événement célébrant l'esprit d'entreprise le 25 avril dernier, dans la Ville de Tech City. Les entrepreneurs et salariés de Tech City étaient les premiers à entendre parler de ce nouveau programme baptisé « Future Fifty ».

Le programme « Future Fifty » à pour but d’offrir aux entreprises à forte croissance l’expertise et l’aide dont elles ont besoin pour grandir plus rapidement. Délivrée auprès un mix d’experts des secteurs privés et publics, cette aide inclura un plan de management ainsi que des conseils sur l’immigration, sur l’exportation et le commerce international, mais permettra aussi d'obtenir de l'aide et des conseils stratégiques de la part de « mentors ».

Les 25 premières entreprises du programme Future Fifty ont déjà été choisies et annoncées en octobre 2013. Deux mois plus tard, les 25 autres ont elles aussi été dévoilées. Elles font toutes partie du secteur technologique mais ne sont pas forcément toute basées à Tech City. Ainsi, on retrouve, parmi les plus connues : House Trip, Shazam ou encore Omnifone.

Les entrepreneurs au Royaume-Uni sont optimistes quant-à leur croissance

Selon un rapport publié par le cabinet Deloitte en octobre 2013, 8 entrepreneurs britanniques sur 10 seraient convaincus que le chiffre d’affaire de leur entreprise augmentera de 10% l’année suivante. Cette prévision de croissance est la plus optimiste enregistrée depuis 2008; année à laquelle le cabinet Deloitte a commencé son enquête auprès des entrepreneurs. Ce même rapport révèle notamment que presqu’un tiers (soit 29%) des entrepreneurs interrogés prévoient d’investir dans de nouveaux produits et d’exporter sur de nouveaux marchés, et ce en guise de principale stratégie de croissance.

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1, 2, 3 UK Standing Out 2014

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Dans le secteur des technologies numériques, certaines villes du Royaume-Uni excellent particulièrement. C’est le cas notamment de Cambridge, Manchester, Glasgow, Bristol, ou encore de la partie Est de Londres, que l’on appelle aussi Tech City.

Tech City est la capitale digitale de l'Europe ce qui lui confère le titre de centre de l’innovation britannique avec plus de 1300 entreprises4 innovantes implantées en son sein. De ce fait, ce lieu est un emplacement de premier choix pour les entreprises du secteur numérique notamment de part son environnement multiculturel et, qui plus est, sa riche communauté d’investisseurs aux idées novatrices.

Tech City, assurément le foyer des entreprises innovantes

L'économie du numérique pèse lourd dans l'économie britannique et les Français ne s’y trompent pas : les prévisions portent ce secteur à une croissance moyenne de 11% par an jusqu’en 2016, date à laquelle Tech City pèsera plus de 220 milliards de Livres Sterling5.

Ainsi, les entrepreneurs Français sont de plus en plus nombreux à s'installer dans la «Silicon Valley» londonienne impulsée par le Premier Ministre, David Cameron, lors de son arrivée à Downing Street en mai 2010. Pourtant, cette même année, la zone ne comptait qu’à peine plus de 200 entreprises, principalement des start-up. C’est en novembre 2010 que Tech City sera ainsi baptisée. En seulement quelques année, Tech City est tout simplement devenue « the place to be » dans le domaine du digital.

La capitale digitale de l’Europe qu’est Tech City abrite aujourd’hui plus de 88 000 entreprises à Londres d’après le Rapport Annuel de Tech City. Londres entreprend par ailleurs de mettre en place dans un futur proche des clusters spécialisés dans le Nord Est de la capitale.

Il y’a 5 ans, la zone n'était peuplée que de quelques artistes. Petit à petit, attirés par le prix modéré des loyers, des réseaux sociaux se sont installés. C’est le cas de Facebook ou Twitter. Puis des géants, tels Cisco, Intel, Microsoft ou IBM, y sont venus chercher la perle rare. Google s'est même offert un immeuble entier sur Bonhill Street, dont il loue le sous-sol à Central Working, une pépinière d'entreprises qui voit grand.

Un élargissement des conditions d’obtention des visas

Le gouvernement souhaite faciliter, encore plus, la venue des entreprises étrangères. De ce fait, et pour mieux séduire les talents du secteur digital, David Cameron le Premier Ministre britannique avait annoncé en décembre 2013 qu’il élargirait les conditions d’obtention de visas. Ces visas seraient bien sûr accordés aux leaders mondiaux des nouvelles technologies dès le mois d’avril 2014. Le gouvernement britannique souhaite en effet faire de Tech City un pôle d’attraction international et a, par conséquent, alloué un programme de 18,5 millions d’euros à la capitale dans l’optique de doper son attractivité.

4 UKTI European HQ5 UK Standing Out 2014

2. Tech City : Silicon Valley Londonienne et capitale digitale de l’Europe

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contribuent à hauteur de 5% aux emplois en Grande-Bretagne, de 10% au PIB, et représente près de 11% des exportations du pays.

Le Royaume-Uni est par exemple la première puissance européenne en termes d’attractivité pour les entreprises de logiciels. Résolument l’un des pays les plus dynamiques dans le secteur des services informatiques, la Grande-Bretagne est aussi leader européen en terme d’audiovisuel, d’applications digitales, ou encore de jeux vidéos, employant près de 26 000 personnes6 dans ce dernier secteur, directement ou non.

Le CBI, premier organisme de lobbying du Royaume-Uni, a lancé en janvier 2014 sa stratégie pour les industries créatives : « The Creative Nation ». Premier organisme de lobbying au Royaume-Uni, le CBI croit en la capacité du Royaume-Uni à être

le premier et principal exportateur à travers toutes les zones en demande de contenu créatif d’ici 2025, et croit en l’augmentation des niveaux d’investissements intérieurs via plusieurs secteurs créatifs.

Le Royaume-Uni est donc au cœur de l'innovation : cette créativité, couplée avec la facilité de gestion des affaires au Royaume-Uni, a encouragé l'investissement par certains des plus grands acteurs numériques du monde. Google, Facebook et Amazone ont par ailleurs récemment ouvert des centres de R&D au Royaume-Uni. Le secteur des jeux vidéo britannique fait partie des plus populaires dans le monde et le secteur de développement de jeux britannique est assurément le plus grand d’Europe.

Les industries créatives : moteur de l’économie britannique

En mars 2011, George Osborne, annonçait la création du Creative Industries Council (CIC). Ce conseil, dont le but était d’aider le financement des projets d’entrepreneurs du secteur de la création, est né dans le cadre d'un vaste plan de relance de l’économie de Grande-Bretagne. En effet, l’industrie de la création est plus que jamais un moteur de l’économie britannique. Soutenir les industries créatives est un moyen efficace pour le Royaume-Uni de participer à l’innovation et à la création sur son territoire, mais aussi de rayonner culturellement auprès de ses voisins européens et à l’échelle internationale.

Les « industries créatives » font référence à des secteurs qui touchent à la fois la création, la production et la commercialisation de contenus créatifs de nature culturelle et immatérielle. Telles que définies par le gouvernement britannique, ces industries rassemblent les secteurs suivants : le cinéma, l’audiovisuel, la musique, l’édition, la presse, la radio, la mode, l’architecture, la publicité, le design, le spectacle vivant et le patrimoine.

Aujourd’hui au Royaume-Uni, les industries créatives contribuent significativement à la croissance et l’économie britannique : Selon une enquête menée en mai 2013 par le CEBR pour le Arts Council England, les industries créatives

3. Le Royaume-Uni, leader Européen dans les secteurs de pointe

6 UK Standing Out 2014

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Les NTIC : un secteur fortement novateur

Le secteur des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC) est l’un des plus grands créateurs de richesse au Royaume-Uni. Ce secteur a notamment été l’un des plus rapide en terme de croissance au cours des 10 dernières années. Il est notamment renommé pour sa capacité de développement de logiciels à travers une large gamme de domaines incluant aussi bien les services automobiles ou financiers que la vente au détail ou la logistique.

De plus, il va sans dire que le marché de l’électronique grand public au Royaume-Uni est l’un des plus développé et les plus dynamique du monde. Réputé notamment pour être le centre mondial des technologies numériques, le pays offre une chaîne d'approvisionnement complète, l'accès aux compétences, des centres de transport de classe internationale et un environnement qui favorise la créativité, l'innovation et le design. Le tout soutenu par l’assistance du gouvernement britannique.

L'industrie des NTIC et des télécoms représente 8% (soit 75 milliards de Livres Sterling) de la valeur ajoutée brute totale du Royaume-Uni. Aussi, c’est près d’1,5 millions de personnes qui ont été employées par le secteur des NTIC en 2012 au Royaume-Uni10, des chiffres qui tendent à augmenter pour les années à venir.

Par ailleurs, la Grande-Bretagne s’est classée, en 2013, 8ème dans l’indice de développement de l'Union Internationale des Télécommunications, selon la base de 11 indicateurs jugeant le niveau d'accès et d’utilisation des NTIC dans 157 pays11.

Le marché des services informatiques au Royaume-Uni est estimé à 58 milliards de Livres Sterling par an.

Quelques chiffres clés

• L'industrie des NTIC et des télécoms représente 8% (soit 75 milliards de Livres Sterling) de la valeur ajoutée brute totale du Royaume-Uni.

• Le Royaume-Uni a été classé comme la destination à risque la plus basse d’Europe et la 2nde plus basse du monde en terme de localisation de centres de données12.

• La contribution de l'économie d’Internet au PIB britannique est actuellement de 10,9% annuellement13, un chiffre plus haut que la moyenne du G20 et presque le double de la croissance de la Chine.

7, 8, 9 UK Standing Out 2014

Quelques chiffres clés

• La valeur ajoutée brut des industries créatives était de 71,4 millions de Livres en 2012, générant ainsi près de 8,7 millions7 de Livres Sterling par heure.

• Le Royaume-Uni est le 3ème plus grand marché de la musique et le second plus grand exportateur de musique au monde8.

• Les consomateurs Britanniques ont dépensé 2,9 millions9 de Livres Sterling en achat de jeux vidéos, materiels et logiciels informatiques en 2012.

• Oxford Economics estime que les ventes de vêtements de designer britanniques ont augmentés de près de 20% par an ces 10 dernières années et valent actuellement entre 2,5 et 2,9 milliards de Livres Sterling.

• Le Royaume-Uni est le sixième plus grand marché mondiale dans le secteur de la publicité selon des analystes de recherche publicitaires du cabinet Warc et devrait dépasser l'Allemagne en 2014 et prendre ainsi la cinquième place.

10, 11, 12, 13 UK Standing Out 2014

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Les sciences de la vie : une industrie productive de haute qualité

Divers et novateur, le secteur des sciences de la vie regroupe les produits pharmaceutiques, la technologie médicale, la biotechnologie et la biotechnologie industrielle.

Le Royaume-Uni, qui a derrière lui un riche héritage de découverte en matière de science de la vie, a transformé la connaissance scientifique et continue d’ouvrir des occasions cliniques et commerciales au monde entier. Des composants du nouvel âge génomique aux secrets des cellules, les sciences de la vie au Royaume-Uni font office de secteur de classe internationale, offrant aux acteurs de cette industrie l’occasion d'établir des partenariat avec des pionniers et des innovateurs mondialement connu. L’objectif du gouvernement pour les 10 prochaines années en terme de sciences de la vie est de faire du Royaume-Uni le centre mondial de ce secteur et de s’assurer que le pays reste un emplacement de choix pour les investisseurs de ce domaine.

L’excellence des laboratoires de recherche britannique et la main d’œuvre hautement qualifiée qu’elle comprend fait du Royaume-Uni un véritable pôle de compétitivité rassemblant acteurs publics et privés. La Grande-Bretagne compte en effet près de 380 laboratoires pharmaceutiques employant presque 70 000 personnes, avec un chiffre d'affaires annuel de 30 milliards de Livres Sterling14. Ajouté à cela, le secteur des biotechnologies technologiques et médicales emploient ensemble plus de 96 000 personnes et génèrent un chiffre

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d'affaire annuel de près de 20 milliards de Livres Sterling15. Des chiffres non négligeables qui ne font qu’affirmer le statut du Royaume-Uni dans le secteur des sciences de la vie

Grâce, entre autres, à un accès sans limite à des installations d’avant-garde, les chercheurs britanniques continueront de garder un rôle actif dans l'innovation et la recherche, leur permettant de transmettre et traduire la découverte médicale au monde entier. Avec une main d’œuvre fortement qualifiée et des équipements de pointe, les entreprises britanniques se retrouvent ainsi toujours au premier rang du développement des dispositifs médicaux et technologiques.

La science constitue un des moteurs de la croissance pour le Royaume-Uni, et le gouvernement britannique a confirmé, à l’occasion de la Spending Review de juin 2013, les orientations financières de sa politique scientifique : le budget pour la recherche est toujours sanctuarisé jusqu’en 2015, à hauteur de 4,6 milliard de Livres.

14, 15 Enquête annuel par l’ONS (novembre 2013) 16, 17, 18 UK Standing Out 2014

19 rapport de l’Association Bio Industry

Quelques chiffres clés

• Le secteur des sciences de la vie est le troisième plus grand contributeur de la croissance économique du Royaume-Uni, représentant près de 167 000 emplois avec un chiffre d'affaires annuel de 50 milliards de Livres16.

• 1/6ème des médicaments17 les plus populaires délivrés sur ordonnance ont été développés au Royaume-Uni.

• Le chiffre d'affaires du secteur technologique médical a augmenté de 50% entre 2009 et 201218.

• Le Royaume-Uni recense actuellement 77 Prix Nobel pour des contributions a la science biomédicale et possède le plus grand rassemblement de biosciences d’Europe19.

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Les énergies renouvelables au cœur de la stratégie britannique

Le marché des énergies renouvelables britannique est l’un des plus attractifs au monde. D’ici 2020, grâce à la stratégie du gouvernement britannique, près de 115 milliards d’Euros seront investis dans ce secteur car la demande en énergie mondiale devrait avoir augmenté de 34% avant 2035, selon les prévisions de l'Agence Internationale de l'Energie. Moins d’importations, moins d’émissions de CO2, moins d’énergie consommée et un coût raisonnable pour les consommateurs : tels sont les priorités du gouvernement britannique en matière énergétique.

Dans le cadre de la directive européenne sur les énergies renouvelables de 2009, le Royaume-Uni s’est engagé à fournir 15 % d’énergies renouvelables d’ici 2020. C’est un challenge considérable pour un pays qui, en 2011 et en 2012, puisait encore très largement son énergie de centrales à gaz ou à charbon.

En 2013, seul le Royaume-Uni a augmenté ses dépenses en énergies renouvelables en Europe

Le monde a investi 45,9 milliards de dollars20, soit 34 milliards d’euros, dans les énergies renouvelables, comme l'éolien et le solaire, au troisième trimestre 2013. Il

20 Rapport de l’Ambassade de France au Royaume-Uni (mai-juin 2013) 21, 22 Etude menée par Bloomberg New Energy Finance

s’agit là d’une baisse de 20% par rapport à la même période l’année précédente. En Europe, les dépenses pour les énergies renouvelables ont quand à elles diminué après la chute des aides publiques allouées dans certains pays. Ainsi, la France a ainsi investit 727 millions de dollars (536 millions d’euros), contre 1,2 milliard de dollars21 au trimestre précédent (884 millions d’euros). Pour l’Allemagne, les investissements ont même retrouvé leur niveau de 2004, avec 1,6 milliard de dollars22 (1,18 million d’euros).

Seul le Royaume-Uni a augmenté ses dépenses d’un milliard de dollars, soit 737 millions d’euros. Ces chiffres, tirés d’une étude menée par Bloomberg New Energy Finance, sont la preuve d’un effort mis en place par le gouvernement britannique pour lutter contre

notamment le réchauffement climatique, un élément clé pour le Royaume-Uni, qui s’est engagé depuis 2011 à réduire de 50% ses émissions de carbones pour 2025.

Les énergies marines tiennent une place importante dans la stratégie britannique

Les énergies marines représentent un axe à part entière de la feuille de route britannique et ce depuis 2002, où elles figuraient dans la liste des priorités en recherche énergétique.

Ainsi, le potentiel des énergies marines au Royaume-Uni ne cesse d’être souligné : plus récemment, un rapport publié en janvier 2013 par la Royal Society indiquait que les énergies marines pourraient répondre à plus de 20 % de la demande britannique en électricité dans les prochaines années.

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4. Case Studies

Créer en 2000, le groupe Sidetrade est un des leaders européens de solutions de service-logiciel. Pionner du SaaS (Software as a service), Sidetrade propose aux entreprises des solutions dédiées à la gestion financière de la relation clients.

Le groupe aide ainsi les entreprises et organisations de tous type à gérer leurs encours clients, réduire leurs délais de paiement et leurs risques de crédit. Sidetrade permet à 50 500 utilisateurs d’entreprises de toutes tailles dans toutes les industries de collaborer à travers son logiciel Sidetrade Network. En associant la technologie Cloud aux

ressources expertes et aux meilleures pratiques pour créer de la valeur aux entreprises, Sidetrade répond aux enjeux du principal actif de l’entreprise : le poste client.

En 2011, ce groupe français a installé son premier bureau à Londres avec l’aide de l’agence gouvernementale UK Trade & Investment. « La taille du marché britannique en fait une cible naturelle dans notre stratégie de croissance européenne » commente Olivier Novasque, Président-Directeur Général de Sidetrade.

UKTI a fourni à Sidetrade toutes les informations nécessaires pour que l’entreprise puisse s’installer de façon optimale sur le marché britannique (réglementation fiscale, recrutement, lieux pouvant accueillir les locaux de l’entreprise etc.). UKTI a également présenté la société à des banques, des comptables, des avocats et à une agence de marketing.

Je n’hésiterai pas une seconde à conseiller aux sociétés françaises désirant s’implanter au Royaume-Uni de faire appel à UKTI. Leurs services sont gratuits, ils connaissent bien leur métier et peuvent vous accompagner à chaque étape de l’implantation."déclare Olivier Novasque, Président-Directeur Général de Sidetrade.

Cette expansion représente une étape importante pour le développement du groupe et Sidetrade va ainsi devenir l’un des rares éditeurs français spécialisés dans le SaaS à exporter son modèle d’entreprise à l’étranger.

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Depuis 50 ans, Stallergenes est spécialisé dans le traitement des allergies respiratoires sévères telles que la rhino-conjonctivite, la rhinite ou encore l’asthme allergique. Réunissant 1 100 salariés, Stallergenes est présent dans 18 pays et commercialise ses produits dans plus de 50 pays.

Ce laboratoire pharmaceutique français a inauguré son siège au Royaume-Uni en 2010 et s’est tourné vers UK Trade & Investment pour obtenir de l’aide et des conseils sur le marché des produits d’immunothérapie en Grande-Bretagne.

« Nous avons attendu de nombreuses années avant de chercher à nous

UKTI s’est révélé être une source d’informations précieuses et lorsque nous aurons à nouveau besoin de conseils sur nos activités au Royaume-Uni, je ne manquerai pas de passer un coup de fil aux consultants UKTI"Pavel Solsky, Directeur des opérations internationales Stallergenes.

implanter sur le marché britannique, et ce en raison des nombreux obstacles qui se présentaient à nous. Mais ce marché était trop important pour que nous puissions continuer de l’ignorer » commente Pavel Solsky, Directeur des opérations internationales Stallergenes.

Stallergenes a passé près d’un an à rechercher la meilleure façon de travailler au Royaume-Uni avant d’installer des bureaux à Londres. La société a pris contact avec UKTI qui lui à alors fournit de l’aide et des conseils précieux quant-au marché de l’immunothérapie au Royaume-Uni, mais aussi sur les entreprises concurrentes, la NHS (équivalent de la sécurité sociale), ainsi que sur l’ensemble des acteurs locaux. Par ailleurs, UKTI a mis Stallergenes en contact avec des cabinets de recrutement pour faciliter le travail d’embauche.

Débuter au Royaume-Uni s’est avéré être très simple et nous avons été agréablement surpris par la rapidité avec laquelle nous avons pu créer une structure légale pour notre nouvelle société » commente Pavel Solsky, Directeur des opérations internationales Stallergenes.

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En 2011, Maximilien Petitgenet et Abdennour Rahmani, deux ingénieurs et entrepreneurs français, ont crée Noveol, une entreprise 100% française qui commercialise le Nov’éolienne, une éolienne à axe vertical révolutionnaire à la fois esthétique, silencieuse et puissante. Avant la Nov’éolienne, « presque toutes les turbines à vent avaient le même design, à savoir un axe vertical avec un rotor à trois lames (…) Nos turbines offrent une alternative esthétique et silencieuse au design traditionnel et sont adaptées au milieu urbain. Le modèle

dédié aux professionnels est assez puissant pour fournir de l’électricité à un bâtiment entier et le modèle disponible aux particuliers permet à une famille de quatre personnes d’être auto-suffisante en électricité » explique Maximilien Petitgenet.

Initialement destiné exclusivement au marché français, Maximilien Petitgenet et Abdennour Rahmani ont rapidement perçu les innombrables opportunités qu’offre le marché britannique aux start-up innovantes. C’est alors que Pierre Alexis Mosnier, commercial chez Noveol, est parti poser les bases de l’expansion de l’entreprise au Royaume-Uni. L’entreprise a installé son siège social et son bureau de vente à Londres pour rester à proximité des locaux de Noveol à Paris et a entrepris de se familiariser avec son nouveau marché.

Nous sommes arrivés comme des inconnus dans un marché en très forte croissance UKTI nous a aidés à comprendre comment les choses fonctionnent en Grande-Bretagne. Ils ne nous ont pas seulement donné des informations et des statistiques pertinentes, ils ont pris le temps de nous connaître. UKTI nous a véritablement aidé à poser les fondations de notre activité au Royaume-Uni" affirme Maximilien Petitgenet

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Be Relax est née en 2003 de cette simple idée : faire en sorte que le voyage ne soit plus une corvée, en permettant aux passagers de se relaxer et de passer du bon temps dans un espace lounge dédié au bien-être. C’est à Paris en 2004, dans l’aéroport de Paris Charles De Gaulle que s’est lancé le concept, puis à l’étranger dès 2008. Aujourd’hui, Be Relax est présent dans plus de 30 points de vente, dans 10 aéroports et 6 pays. Depuis ses débuts, Be Relax se considère comme une marque internationale et l’expansion de l’entreprise à l’étranger est vue

Ce qui est super, c’est qu’ils sont encore à nos côtés ! Beaucoup d’institutions perdent le contact après un certain temps, mais nous avons encore des échanges avec eux. Nous sommes très heureux de notre collaboration et je recommande sans hésitation UKTI à toute entreprise qui souhaite s’installer au Royaume-Uni"conclut Jordan Bailleul Seguève, associé et conseillé juridique de Be Relax

comme une étape naturelle par ses fondateurs.

En 2008, Frederic Briest et son frère Nicolas décident de s’établir en Grande-Bretagne et demandent à UK Trade & Investment de les assister dans cette démarche. Les équipes de UKTI Paris ont répondu à l’appel et leur ont apporté une connaissance exhaustive du marché britannique, allant des mesures fiscales au droit du travail local. UKTI a également assisté Be Relax en leur recommandant des agences de recrutements et les a mis en contact avec une multitude d’acteurs locaux incontournables.

Aujourd’hui, Be Relax est présent au Terminal 5 de l’aéroport de Heathow à Londres ainsi qu’au Terminal 1 de l’aéroport de Manchester. « Nous avons rencontré une équipe formidable chez UKTI » se réjouit Jordan Bailleul Seguève, associé et conseillé juridique de Be Relax. « On s’est tout de suite senti à l’aise

et nous avons entamé une franche collaboration avec UKTI. Ils sont professionnels et proactifs, c’est un vrai plaisir de travailler avec eux ».

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Published March 2014 by UK Trade & Investment © Crown Copyright

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