HENRI BREMONDde l'Académie française

HISTOIRE LITTÉRAIRE DU

SENTIMENT RELIGIEUX.TOME XII

INDEX ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE.

HISTOIRE LITTÉRAIRE DU

SENTIMENT RELIGIEUX EN

FRANCEDEPUIS LA FIN DES GUERRES DE

RELIGION JUSQU'A NOS JOURS.

par

Henri Bremondde l'Académie française

XII

INDEX ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

PAR CHARLES GROLLEAU.

PARISLIBRAIRIE BLOUD ET GAY

3, rue Garancière, 31936

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NOTE LIMINAIRE

L’Index alphabétique et analytique ne complèteni n’achève le monument érigé par les mains savantes quin’ont pu, hélas ! en conduire jusqu’au bout l’habileordonnance. Il offre simplement au chercheur la clef qui luipermettra de retrouver à son gré et sans tâtonnements l’unou l’autre des précieux trésors accumulés dans l’Histoirelittéraire du sentiment religieux.

On voudra bien excuser les inadvertances et les oublispossibles qui se seraient glissés dans un travail où le désird’être utile aux autres et l’affection vénérante pour l’auteuront seuls pu soutenir l’ouvrier. Celui-ci a du moinsconscience d’avoir réalisé le voeu d’un maître très aimé. M.Henri Bremond parlait quelquefois de cet Index, enreconnaissait l’incontestable utilité, en précisait les détailsd’exécution, puis congédiait d’un mot, avec son malicieuxet bon sourire, cette évocation inopportune du jour où saplume infatigable aurait écrit ta dernière page.

De quels précieux conseils eût bénéficié le présenttravail s'il eût pu s’accomplir sous ses yeux ! Du moins leregret d’une telle absence aura-t-il atténué dans une largemesure par la sollicitude éclairée des PP. Jean et AndréBremond. Qu'ils daignent trouver ici l’expression de laplus vive reconnaissance pour les soins qu'aura donnés leurpiété fraternelle à la révision et à la mise au point de cetouvrage.

Ch. G.

Les chiffres imprimés en caractères gras indiquent les pages où lesujet est spécialement et plus longuement traité.

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Le douzième volume (Introduction à la philosophie de la prière)qui est un supplément est désigné par la lettre S.

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INDEX ALPHABETIQUE ETANALYTIQUE

A

AARON. – IX, 148.ABBESSES [les grandes). – II, 394-441 ; le

nombre imposant d’abbesses réformatrices, 494,395 ; les jeunes abbesses et Henri IV, 402 ; lesréformatrices, leur extrême jeunesse, 405, sq. ;prestige des réformatrices, leur science, 410, 411 ;leur naissance, 412 ; leur grand air, 416 ; leurbeauté, 418 ; la « belle Écossaise », 418.

ABEL. – IX, 148.ABÉLARD. – X, tenait pour sacrilège de

préférer les vers profanes ou de les égaler à ceuxdes saints, 153.

Traité d'hymnologie (Annales de philosophiechrétienne), X, 153.

ABELLY (Louis). – La vie du vénérable serviteurde Dieu, Vincent de Paul. I, 253. – II, 4. – III,portrait de V. de P., 223 ; son infinie délicatesse,226 ; respect et confiance inspirés par lui, 228 ; uncœur fort tendre, 233 ; comment il célébrait lamesse, 235, 236 ; se dépréciait à outrance, 244 ;adhérence aux états du Verbe incarné, 252 ; 253 ;lent et tardif dans les affaires, par nature et parmaxime de vertu, 256. – IV, 71. – IX, 329. v.Renar.

ABIZZI (d'), o. p. – IV, 594.

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ABLANCOURT (Perrot d’). – IV, 12, 17. –IX, 201. – X, 252.

ABRA DE RACONIS (Mgr). évêque deLavaur. – Examen et jugement du livre de « laFréquente communion », IV, de la mélancolie deSaint-Cyran, 67 ; collaboration de Saint-Cyran à laFréquente communion, 69, 70. – IX, 50, 57, 77. – X,sur les critiques d’Arnauld contre les actes decontrition, 20, 26, 27. – XI, amour deconcupiscence, puis amour de bienveillance, 301.V. abbé d'Artigny, Féret, Auvray.

ABRA DE RACONIS (Mlle d’), protestanteconvertie par Bérulle. – II, 244, 245 ; elle estrecueillie par Mme Acarie, 245, 251. – III, récit desa conversion, 9-13.

ABRAHAM. – IX, 148.ABRAM (Nicolas). – L'Université de Pont-à-

Mousson, histoire extraite des manuscrits du P. NicolasAbram, publié parle P. A. Carayon, I, 67. – II, 3. –XI, une affaire de fausse spiritualité, 173.

ABSOLU (Mère Jeanne, dite de Saint-Sauveur). – X, sa dévotion pour l’eau bénite, 348.– XI, modèle d'oraison passive, est obligée derenoncer à la méditation méthodique ; sesépreuves ; soupçonnée d'illuminisme ; confirméedans son état, 340-345. v. Auvray.

ABSOLU (Nicolas,), père de Jeanne Absolu(Mère de Saint-Sauveur). – XI, 340.

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ACADÉMIE FRANÇAISE. – Mission duSecrétaire perpétuel auprès des membres endanger de mort, IX, 351.

ACARIE (Mme) (Marie de [2] l'incarnation). –I, ses rapports avec saint François de Sales, 96 ;les futures carmélites s'initient chez elle à lasainteté, 97. – II, son cousin, Charles Bochart deChampigny, lui fut une sorte de directeurspirituel, 3 ; 31 ; le Père Coton fut un de sesintimes, 52 ; Nicole Tavernier, fausse mystique,est démasquée par elle, 69-71 ; 127 ; influence deBenoît de Canfeld, 156, 158 ; 170 ; Mme Acarie etle Carmel français. 192-262 ; son activité est unmiracle. 194 ; impossibilité de la peindre ; 194 ;196 ; son biographe, 196, sq. ; naissance etéducation, 200, sq. ; liseuse de romans que sonmari lui fait délaisser pour des livres de piété,203 ; sa vocation mystique, 203 ; premièresextases, 204 ; stigmates, 205 ; mystique et femmeforte, 210 ; son apprentissage des affaires, 212,sq. ; éducatrice, 215-222 ; ses enfants, 221, 222 ;sa charité, 223 : conversions qu’elle opère, 225sq. ; collabore à la fondation des Ursulines deFrance, 226 ; fréquence de ses extases, 228, 229 ;prière vocale et lecture difficiles, 229 ; ne pouvaitplus lire les livres de spiritualité, 230 ; mission etaction mystiques, 231 ; raconte une de seslongues extases, 231, 232 ; sa discrétion absoluesur les phénomènes mystiques dont elle estl'objet. 233 sq. ; la dernière extase, 233 ; Mme

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Acarie et s. François de Sales. 235 ; 237 ;clairvoyance et autorité spirituelle, 240 sq. ; sa« liaison » spirituelle avec Michel de Marillac, 245,246 ; son action dans la réforme descongrégations religieuses, 248 sq. ; réforme deMontmartre, 248 ; essais de congrégationsreligieuses à Aumale, à Pontoise, 249 sq. ; lesdébuts du Carmel en France, 252 ; choix etformation des futures carmélites, 253 sq. ; Mme

Acarie entre sœur converse chez les carmélites,259 ; son importance dans l'histoire mystique duXVIIe siècle, 259-262 ; 264, 274, 281 ; sa vision desainte Thérèse, 282 ; fondation du Carmelfrançais, 282-285 ; 290, 291, 297, 298, 299, 306,310, 315, 316, 319, 324, 334 ; Mme Acarie et safille Marguerite, 344, 345 ; 420, 452, 457, 478,507. – III, 13, 15, 175. – IV, 47. – V, 133, 203,311, 326, 330. – VI, 230. – XI, 128, 341. v. Duval.Gallemant, prince Emmanuel de Broglie.

ACARIE (Jean), fils de Mme Acarie. – II, 222.ACARIE (Marguerite). – III, 537. v.

Marguerite du Saint-Sacrement.ACARIE (Pierre), conseiller du Roi, mari de

Mme Acarie. – II, ligueur zélé, 201 ; redouté par safemme, 202 : défend à Mme Acarie la lecture desromans et lui fait lire des ouvrages de piété, 203,207, 208, 209, 210 ; sa prodigalité, 211 ; il estexilé, 212, 213, 217 ; son hôtel transformé encloître, 255-258. – III, 14. – V, 128.

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ACARIE (Pierre), fils de Mme Acarie. – II,221, 222.

ACHERY (dom Luc d’), bénédictin. – VI,178 ; édition des œuvres de saint Augustin ;travaux sur Lanfranc, 207. – X, 33.

ADAM (P.), s. j. – I, 205. – X, 176.ADAM (abbé J.-L.). – Le mysticisme à la

Renaissance ( ?) ou Marie des Vallées dite la sainte deCoutances, III, 605 ; la possession de Marie desVallées, 607 ; elle entend le latin de la Vulgatesans connaître cette langue, 608 ; défense etimpuissance de communier, 615-619 ; 625.

ADAM DE SAINT-VICTOR. – III, 90. –VII, 305. – X, 63, 67, 70, 83, 87. 93, 96, 100. 101 ;strophe de l’hymne pour la Présentation, 108 :115, 116, 119, I45.

Œuvres poétiques (éd. Gautier), X, 155. v.Misset.

ADAMITES. – XI, 72. v. Pluquet,Alphandéry.

ADELIN (saint), évêque de Sherborn. – X.94. [3]

ADORATION PERPÉTUELLE. – IX, 207.v. Eucharistie.

ADORATION RÉPARATRICE. – IX, 207.v. Eucharistie.

AEGIDIUS ALBANUS. – AugustinusYprensis vindicatus, IV, de l’obligation pour lechrétien de se croire du nombre des prédestinés,325.

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AGNÈS ARNAULD (Mère). – IV, 11, 40,56. 61, 64, 93, 104, 135 ; sa longue résistance àSaint-Cyran, 141 ; 143, 170, 171 ; 176-243 ;représente mieux qu’Angélique la vie intérieure dePort-Royal, 176 sq. ; note biographique, 177 ; sonportrait par Philippe de Champaigne, 178 ; ceportrait n’est pas janséniste. 178, 179 ; fut enrapport avec saint François de Sales, 181, 185 ;voyage à Port-Royal des Champs, 194 ; à proposde la libération de Saint-Cyran, 195 ; Agnès etCondren, 200-202 ; l'empreinte oratorienne, 202 ;Chapelet secret du Saint-Sacrement, 202 ; sous ladirection de M. de Saint-Cyran, 212 sq. ; subit lacontagion au point de vue de la « séparation » duSacrement, 216 ; pourquoi les jansénistes n’ontpas publié sa correspondance, 220 ; son quiétismeapparent, 220 : tend vers l'union paisible desmystiques, 222 ; vraie fille de l'école française,223 ; 231 ; avantages de l'humiliation, 234 ; lepardon et le silence, 235 ; Port-Royal pendant sonexil, 237 ; 257, 281, 282, 283, 302, 320, 420, 422,427, 473. – VI, 124, 355. – IX, le Chapelet duSaint- Sacrement, inspiré par Condren, 49. – XI,118 : le Chapelet du Saint-Sacrement, 191, 200,277.

Lettres, IV, 177 ; à propos de la sévéritéd'Angélique Arnauld, 181 ; contre l’inquiétude,188 ; des désirs imparfaits, 189 ; « souffrezcomme si vous étiez juste », 190 ; le repentir del'enfant, non du mercenaire, 190 ; le joug de Dieu

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est pesant si on y ajoute, 191 ; direction desnovices, 191 ; 192-194 ; sur la gravité solennelledes Arnauld, 196 ; sur la mort de M. de Séricourt,196 ; la désistance de l’âme, 200, 201 ; dévotion àCelui qui est, 202 ; déclaration à propos duChapelet secret, 204 ; séparation du Sacrement,216 ; devoirs rendus par Port-Royal au Saint-Sacrement, 217 ; de la communion fréquente,218-220 ; contre l’oraison qui dépend duraisonnement, 221 ; lettre à son jeune frèreAntoine Arnauld, 222 ; adorer Dieu caché dans lefond de notre esprit, 222, 223 ; il faut subsistersans subsistance et se laisser à la pure merci deDieu, 223 ; 231 ; sur la signature du Formulaire.232, 233 ; à propos de la censure d’Arnauld par laSorbonne, 232, 233 ; signature du Formulaire etrétractation par sa nièce, Sœur Angélique deSainte-Thérèse, 236 ; lettre à Sœur Flavie, 239 ;251.

L'image d'une religieuse parfaite et d’une imparfaite,S., seconde manière de faire l’oraison mentale,351, 352. v. Faugère.

AGNÈS D’AGUILLENQUI, capucine. –VI, 427 ; son oraison, 428.

Vies des premières religieuses capucines du monastèrede Marseille, VI, 427. v P. H. de Verclos, P. Marcde Bauduen.

AGNÈS DE LANGE AC (Mère Agnès deJésus). – II, 33, 38, 53. – VI, 270.

Vie d'Agnès de Langeac, sur Marie Jay, 272.

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AGNÈS (sainte). – VI. 98.AGREDA (Marie d’). – I, 142. – IX, 273-

276. v. Legendre, Bossuet, P. Samaniego.AIES (abbaye des). – II, 400.AIGUILLON (duchesse d’). – VI, 7, 80.AIMÉE DE JÉSUS (Mlle Deschamps),

carmélite. – II, 308.AIS (Zacharie d’), oncle de Jean de Saint-

Samson. – II, 369.AIX (P. François d’), s. j. – II, 133.[4]ALX (Mme Jeanne-Marie d’). v. Coton.AIZ (Marie d'). – II, 368.AKAKIA (Simon). – IV, 592.ALACOQUE (sainte Marguerite- Marie). v.

Marguerite-Marie.ALBERT-LE GRAND. – V, 273.ALBERT (Mme d'). – IX, communiait tous les

jours pendant l’octave de la Fête-Dieu, 122.ALBI (P. Henry), s. j. – Fie de la Mère Jeanne de

Jésus, II, 34.ALBIN. – La poésie du Bréviaire, X, 120, 177.ALBORNOS (cardinal d’). – II, fonda en

Avignon, sous le pape Jean XXII, une maison dedominicaines, sous le nom de Sainte-Praxède, 31.

ALCUIN. – X. 56.ALDOBRANDINI (cardinal). – II, 90, 91.ALEGAMBE. - I, 67.ALÈS (P. Adhémar d’), s. j. – VII, définition

de la prière (Dict. d’Apologétique, art. Prière), 7, 8 ;

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deux conditions de la prière (Dict. d'Apologétique,art. Prière), 12, 13. – XI, De Sacramento Pœnitentiæ :de l’attrition, 294, 295. – De Pænitentia (Dict. deThéologie catholique), 319 ; sur le livre du P.Périnelle : de l’attrition d’amour (Recherches deScience religieuse), 320 ; distinction, par le P.Périnelle, entre l’amour de bienveillance etl’amour de charité (Recherches de Science religieuse),322. – S., il y a telle prière qui actuellement nedemande rien (Dict. d'Apologétique, art. Prière), 13 ;essence propre de la prière, 13 : conditions sinequa non de la prière : croyance à la personnalitéde Dieu, croyance à sa présence, 17 ; 19, 118.

ALEXANDRE VI. – II, 456.ALEXANDRE VII. – III, 211, 558. – VII,

322. – IX, condamne la traduction du Missel parJ. de Voisin, 178, sq. ; 183, 185, 186. – XI, 278,301, 313, 314.

ALEXANDRIN DE LA CIOTAT (Père),capucin, disciple d’Harphius et représentant trèsaverti de la tradition franciscaine. – Le parfaitdénuement de l'âme contemplative, III, 683. – VI, si,méprisé, on adhère aux inclinations de la nature,c’est le signe d’une vie pas assez pure, 266. – VII,267. – VIII, 88 ; du repos mystique ou abandonau bon plaisir de Dieu, 90. – X, 325 ; retranchertout raisonnement est une illusion, 326, laméditation facile pour tous, 326 ; l’art d’aimer,327. – XI, 349 ; les âmes se trompent qui se

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portent d’elles-mêmes à la contemplation passive,354, 355 ; sentir et non pas voir, 431. v. Piny.

ALEXIS (saint). – V, 36g. 386.ALEXIS DE JÉSUS (P.). – Théopneste (Miroir

de tonte sainteté en la vie de... Bernard deMenton avec le Cours de la vie spirituelle). I, onapprend dans ce livre les secrets de la vie dévoteen se promenant dans un parterre et dans lessalles d’une demeure princière, 320 ; Théopnesteest un des nombreux enfants de Théotime, 359.

ALIGRE (Anne d'). – II, 397 ; passionnée delectures, 411 ; tentations contre la foi, 412 ; grâceet fragilité corporelles, 419 ; elle corrige lesdélicatesses de certaines religieuses, 425. v. Mèrede Blémur.

ALLUÆS (François). – I, 450. v. P. Yves deParis et marquis d’Asserac.

ALLIER (Raoul). – III, 530.La Cabale des dévots, IV, 72. La psychologie de la

conversion chez les peuples non civilisés, VII, 22.ALLINE (Henry). – IV, sa conversion, 359 ;

récit, 364, 365, 366, 367, 369, 370. v. WilliamJames.

ALLIOT. – Histoire de l'abbaye et des religieusesbénédictines de [5] Notre-Dame du Val-de-Gif, IV,300 ; 589-594.

ALLUIN (duc d'). – II, guéri parl'intercession de Marguerite d’Arbouze, 531.

ALLUIN (duchesse d’). – II, 531.ALMERAS. – III, 257.

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ALPHANDÉRY (Paul). – Revue d'histoiremoderne et contemporaine, VI, à cf. sur Simon Morin,49’. – XI, 79,80 ; Le Gnosticisme dans les sectesmédiévales latines (n Mémoires du Congrèsd'histoire du Christianisme »), des Adamites etdes Turlupins, 79, 80.

ALPHONSE DE LIGUORI (saint). – V,192.

ALUMBRADOS (los). – VIII, 194, 195 ;l’Espagne et l'épouvantail de l’illuminisme, 196-227 ; sources de leur histoire, 196 ; lesAlumbrados d’Espagne, 198 sq. ; Alumbrados deLlerena, en Andalousie, 219 ; leur procès, 220 ; cequ’on leur pardonne le moins, c’est d'inviterégalement tout le monde à la vie parfaite, 226 ;procès de Llerena, 250. –. IX, 80. – XI, 296.

ALVAREZ (P. Balthazar), s. j. – II, Vie, parle Père Dupont, 6 ; 287. – V, accusé de vouloirintroduire dans la Compagnie de Jésus unespiritualité nouvelle, 11 ; 15, 395. - VIII, 182, 191,193, 194 ; la condamnation de Balthazar Alvarez,228-269 ; note sur sa vie, par Dupont, 228 ; sacondamnation est une date critique dans l’histoirede la spiritualité, 229 sq. ; maître des novices deMedina del Campo ; fut un des confesseurs desainte Thérèse, 236 ; tarde à prendre contact avecles Exercices ; commence à abandonner l’oraisondiscursive, 235 ; sa rigueur en matière dediscipline, 238 ; contre la sensibilité dansl'oraison, 239 ; écrit, sur la demande du Père

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Suarez, un mémoire pour rendre compte de sonoraison, 242 ; son embarras naturel dans ladéfinition de son oraison, 243 sq. ; les argumentsde sa défense supposent tous qu’il ne s’agit passeulement des hauts états de l'oraison, mais del'oraison en soi, 245 ; jouissance du Fils de Dieu,non pas consolation sensible, mais adhésiondirecte, union, 245 ; sa philosophie de la prièrefondée sur le dogme de la grâce sanctifiante, 246 ;l’ascèse cherche, la prière a trouvé, 246 ; l’oraisonqu’il défend n’exclut pas le « discours », mais il lecomprend, coupé de repos adorants, 246 ; que nedemande point, une âme qui se sait en la présencede Dieu ? 247 ; il convient, même aux débutants,de commencer par l’oraison de silence, 247, 248 ;trois étapes dans l’oraison : un essai de« discours », aussi peu tendre que possible ; essaisde silence, acheminement vers l’oraison de silence(3a étape). Il ne faut pas faire état des grâcesexceptionnelles, 248 ; idées singulières que lescritiques. d’Alvarez se faisaient du travailintellectuel dans la prière, 248 ; ses jugesregardent son oraison bonne peut-être pourd’autres, mais contraire à la philosophieignatienne de la prière, 249 ; s’appuie, dans sesmémoires, sur les conclusions et écrits d'autresPères de son ordre, 249 ; sa condamnation, 252sq. ; prié de rédiger un rapport où il devrapréciser nettement en quoi il se distingue desAlumbrados, 252 ; sa mort, 254 ; 261 ; d'Alvarez à

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Lallemant, 270-288 ; 279, 281, 282, 283, 284, 286,287, 289, 290, 291, 312, 327, 371, 372. – XI, 339.– S., 138, 177. v. Suarez, Dupont, Dudou.Bernard.

ALVAREZ DE PAZ (P. Jacques), s. j. – V,341. – XI, 205. – S., la contemplation estexcellente mais ordonnée à une autre excellence,celle d’un amour proprement efficace, 174.

ALVARO DE MENDOZA (don), évêqued'Avila. – II, 286.

ALVEQUIN (Catherine), bénédictine, del'abbaye de Montmartre. – II, 449.

[6]ALVEQUIN (Marie). – II, 449 ; réformatrice

des Augustines pénitentes, 455 ; ses donssurnaturels et son prestige, 456, 457 : vénérée dutout Paris spirituel, 457 ; son amour pour lesimages saintes, 458 ; 501. v. M. H. de Lacout,sieur de Marivaut,

ALYPE. – VI, 262.AMADIS JAMYN. – I, 35o.AMBOISE (Renée d’). – II, 414, 415,AMBROISE (P.), capucin, a publié les

Œuvres spirituelles de Jeanne Chézard de Matel. –VI, 269.

AMBROISE saint. – III, 95. – IV, 389, 493,531. - VII, 294. – IX, Marie sans pleurs deboutdevant la Croix, 277. – X, 63, 64, 70, 87, 173, 185.– S., 329.

De Officiis, IV, 545. – Hexameron, X, 82, 86.

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AMELINE (Claude). – IV, visiteur del’abbaye de Gif, 591.

AMELOTE (P.), de l’Oratoire. – III, 33, 39,123, 126, 212, 217. – IV, 32, 40 ; chez Saint-Cyran, 58, 59 ; 205, 403. – IX, 134, 138, 155.

Vie du Père de Condren, I, le Père de Condrenet les poètes, 195 ; état du clergé à son époque,220 ; les aigles de la Sorbonne, 221 ; 253, 254 ;expériences d’alchimie du Père de Condren, 271 ;ce qu’il pensait de l’état religieux, 359. – II, étatdu clergé sous Louis XIII, 4 ; le Père de Condrenet Barbe de Compiégne, 67-71 ; Barbe et laréversibilité, 68. – III, l’Oratoire et la vertu dereligion, 34-37 ; il a renouvelé l’application desesprits à Jésus- Christ, 46 ; Bérulle et les premiersoratoriens, 76, 77 ; le fond de l’esprit de Condrenétait une continuelle adoration de la majesté deDieu, 122 ; l’adoration bérullienne est un « recueildes principales vertus chrétiennes », 122 ; 127 ;l’ascèse traditionnelle et le bérullisme, 133, 134 ;156 : témoignage d’A. sur l’Oratoire, 165-167,l’Oratoire doit exercer toutes les fonctions dusacerdoce, 173 ; l’humanisme des Oratoriens, 194,195 ; 263, 283 ; A. disciple préféré et biographede Condren, 284 sq. ; sa doctrine littéraire, 285,286 ; le Père Charles de Condren, 284-340 ; labiographie psychologique ; « l’âme » et le « corps »d’une vie, 287, 288 ; « l’intérieur » et « la sourcemême », 288 ; incroyable beauté de son héros,288 ; 329 ; ravissement de Condren à l’âge de

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douze ans, 342-348 ; les aimées de solitude, 349-351 ; la Sorbonne, 351-355 ; les leçons de Bérulle,355-358 ; la doctrine, 360-418 ; 421, 427, 452,524, 525, 533, 552, 554, 680. – IV, la vie cachéede Jésus-Christ, 403, 404. – V, comment le Pèrede Condren pratiquait les exorcismes, 399.

Petit Office du Saint Enfant Jésus, litanies del’Enfance, X, 189, 190 ; composées ou remaniéessous l’inspiration de Marguerite de Beaune, 189 ;210.

Discours sur l'Enfance du Fils de Dieu, III, de ladévotion à l’Enfant Jésus, 515, 550. – IX, surNotre-Dame de Matarieh, 287, 288 ; contient unKalendrier des mystères de Jésus et des Saints dévots à sonenfance et des Saints martyrs au-dessous de l'âge de douzeans, 288.

Vie de Marguerite de Beaune, III, 531, 532, 533,547, 551, 553.

Abrégé de la Théologie, IX, définition dusacrifice, 135 ; Jésus-Christ prêtre dès sonIncarnation, mais d'un « sacerdoce intérieur »,145, 146 ; Jésus-Christ a accompli en sa personnetous les sacrifices, 148 ; la mort du Christ, secrèteet inconnue dans sa sainteté de sacrifice, 149,150 ; différence entre la Cène et la Croix, 150 ;pourquoi la Cène avant la Croix, 152 ; nécessitéd'un sacrifice visible dans l’Église, 153. – XI, duprécepte de l’amour de Dieu, 284, a85, 286.

Notice sur Barbe de Compiègne (Vie du Père deCondren), VI, 343. [7]

19

AMIEL (H.-F.). – X, 82.AMPÈRE (J.-J.). – Histoire littéraire, X,

chercher dans la littérature l’histoire dudéveloppement intellectuel de la nation, 61.

AMYOT. – I, 340. – IV, 494. – VII, 187.Psautier du Chevalier (attribué à Amyot), X,

229 ; Prière du Roi au Saint-Esprit, 229.Analecta juris pontificii, I, 431.ANAXAGORE. – XI, 427.ANCELET-HUSTACHE (Mme) – Mechtilde

de Magdehonrg, VII, sur le « centre de l’âme » ;influence de Richard de Saint-Victor sur lemysticisme spéculatif, 49.

ANCEZUNE (Louise d’). – I, 47.ANDILLY (d’), frère d’Antoine Arnauld. –

III, 337. – IV, 286. – X, 176.ANDILLY (Mme d'), femme de Robert

Arnauld d’Andilly. – IV, 51.ANDILLY (Robert Arnauld d’). – IV, 10, 11,

17, 20, 37, 39, 40, 41, 46, 51, 61, 94, 112, 133,140, 180, 188, 195, 201, 225, 248, 249, 421. – IX,344.

ANDRÉ (saint). – VIII, 306.ANDRÉ (P.). – Malebranche, III, 157.ANDRÉE (chanoine d’). - VI, 426.ANDREWES (Lancelot), évêque anglican. –

Dévotions (traduites par Newman), X, 207, 233. v.A. Whyte.

ANDRIEU(Pierre), éditeur de l’Antidotairesacré de Nicolas Salicète. -I, 327.

20

ANETZ (dom Léandre), bénédictin. – VI,181.

ANGÈLE (sainte). – VI, 443. v. abbéParenty.

ANGÈLE DE FOLIG.NO (sainte). – II,208. – VII, 146.

ANGÉLIQUE ARNAULD (Mère). – II,429. - III, 327. – IV, 1, 39, 40, 61, 62, 64, 65, 90-94 ; lettres à Saint-Cyran, 96, 102, 104, 113, 125,137, 147 » 177 ; la Mère Agnès, 182 ; le PèreSuffren, 182 ; le Père Archange, 183 ; rigorismeprécoce, 184 sq. ; n'a pas attendu Saint-Cyranpour déraisonner, 187 ; 194, 197, 199 : sur l'extasequi dépend de nous, 199, 200 ; 209, 210, 213 ;seconde et stimule Saint-Cyran, 214 ; omission dela communion pascale, 215 ; oraison écrite parelle, 225 ; 231, 233, 236, 244, 248, 285 ; sarévélation ( ?) sur Philippe d’Orléans, encoreenfant, 303 ; 351, 422, 470, 589, 593. – IX, Saint-Cyran et la sainte Communion, 57 ; A. A. auraitécrit une Horloge de la Passion, 214 ; lettre àFrançoise de Bernières sur la préparation desenfants à la communion, 226, 227 ; 274, 285. – X,280. – XI, 115, 118, 120, 121, 124, 127.

Entretiens et conférences de la Révérende Mère MarieAngélique Arnauld, IV, des trois sortes d'extase,200.

Relation de la conduite que M. Zamet... a tenue àl'égard du monastère de Port-Royal... (Mémoires pourservir à l’histoire de Port-Royal), IV, 91.

21

Vie de la Mère Angélique, ms. de l’InstitutCatholique, IV, 195, 198, 199. v. Fèron.

ANGÉLIQUE DE LA TRINITÉ (Sœur),fille du maréchal de Brissac. – II, 239.

ANGÉLIQUE DE SAINT-JEAN (Mère). –IV, 188, 241, 450 ; son petit traité de l'oraisonmentale, 479. – VI, 355 ; fait le moulage en plâtredu visage de Mère Agnès Dauvaine après sa mort,386.

Exercices de piété à l'usage des Religieuses de Port-Royal, IV, 303 ; 326, 327, 328, 329.

Relation de l'origine et de la querelle du Chapeletsecret, IV, 212.

ANGÉLIQUE DE SAINTE-THÉRÈSE. –IV, signe le Formulaire, puis se rétracte, 236. v.lettre de la Mère Agnès. [8]

ANGENNES (Julie d’). – X, 239, 241.ANGENNES (Marguerite d’), abbesse de

Saint-Sulpice. – II, 395.ANGES. – Dévotion aux Saints Anges, II,

115. – X, 188, 189. v. le bienheureux PèreLefèvre.

ANGINOT (P.), s. j. – V, 165, 185, 250.ANGOT DES ROTOURS (baron). – Un

saint normand, le Père Eudes, III, résurrection de lagloire du Père Eudes, 584.

ANGRAN (Mme). – IV, 229.ANIMA, pointe de l’âme. – XI, 367, 368 ;

372, 383, 390, 402, 403, 411, 412, 430, 433, 434.

22

ANIMUS, surface où se forment lesconcepts. – XI, 367 ; 372, 382, 383, 390, 402, 410,412, 430, 433, 434.

ANNAT (P.), s. j. – IV, 32, 228. – VI, 493. –XI, 232, 233.

Libelle intitulé Théologie morale des jésuitescontredit et convaincu en tous ses chefs (réponse à unlibelle d'Arnauld), XI, 256 ; l'acte intérieurd’amour de Dieu et les jésuites, 257, 260 ; 263,264, 277.

ANNE D’AUTRICHE. – II, donna l’ordrede publier la vie de Marie de Valence par Louis deLa Rivière, 62 ; ses visites au Carmel de Paris,359, 413 ; son amitié pour Marie Alvequin, 457 ;au tombeau de Marguerite d’Arbouze, 485 ; 487 ;le Val-de-Grâce, 496, 498, 534 ; Anne d’Autrichefait déposer au Val-de-Grâce les cœurs desprinces et princesses de la Maison de France, 535.– III, 546, 550. – IV, 180. – VI, 82, 236, 417. –IX, assiste à la mise en clôture des bénédictinesdu Saint-Sacrement ; prononce une amendehonorable, 211, 212.

ANNE DE JÉSUS (Mère), carmélite. – II,s’occupa de la publication des œuvres de sainteThérèse, 281 ; son mot sur Pierre de Bérulle, 297 ;opinion de sainte Thérèse sur Anne de Jésus,298 ; rigidité majestueuse et glaciale, 299 ; 300,301 ; arrivée en France, 304 ; préjugés sur laFrance, 306 ; elle visite la basilique de Saint-Denis, 307 ; 3o8 ; née pour gouverner, 309 ; sa

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vigilance au point de vue du danger quiétiste, 310-314 ; fondation en Flandre, 318, 319 ; sesvivacités, 320 ; Mlle de Praslin, 409 ; Mme deChantal, 557 ; lettre de saint François de Sales,560.

ANNE DE JÉSUS, de la Visitation (Mlle deCamilly). – III, 593, 600, 601.

ANNE DES ANGES (Mère), carmélite. – II,357.

ANNE DE SAINT-BARTHÉLEMY(Mère), carmélite. – II, son mot surQuintanadoine, 281, 282 ; vision réelle ouprétendue de sainte Thérèse, 289 ; amie etservante volontaire de sainte Thérèse, 299, 300 ;voyage en France des carmélites espagnoles, 302-304 ; 317, 319 ; lettre de Marguerite Acarie, 347.

ANNE-ÉLISABETH de FRANCE, filleaînée de Louis XIV. – II, 535.

ANNE-EUGÉNIE ARNAULD (Mère).Mémoire de la sœur Anne-Eugénie de l’Incarnation

Arnauld. sur le premier esprit de Port-Royal... (Mémoirespour servir à l’histoire de Port-Royal et à la vie de laRévérende Mère Angélique), IV, 56-57.

ANONYMES. L’Art de servir Dieu, VIII, 231.La Belle Mort exprimée en la personne d’un jeune

enfant dévot à Notre-Dame (par un Père de laCompagnie de Jésus), IX, accepter la mort pour lagloire de Dieu, 374 ; l’enfaut (Charles Clarentin),à sa mort, parlait latin et citait l’Écriture, 381.

24

Abrégé des principes de morale et des règles deconduite qu'un [9] prêtre doit suivre pour bien administrerle sacrement de Pénitence, IX, sur la premièrecommunion, 226 ; 230.

Conduite pour sanctifier le jour anniversaire dubaptême, IX, de la Pâque annotine, 36, 37.

Devoir des mères avant et après la naissance de leursenfants, IX, 302 ; prière propre aux mères qui sontenceintes pour demander l'humilité qui convient àleur état, 304, 305 ; 309 : obligation qu’ont lesmères d'allaiter elles-mêmes leurs enfants, 311.

Dévote salutation des membres sacrés du Corps de laglorieuse Vierge (J. H., capucin), IX, 284.

La dévotion, aux mystères de Jésus-Christ et deMarie, connue sous le nom de la Dévotion aux quinzesamedis (abbé...), IX, 245. v. La Sausse.

Entretiens affectueux d’un malade qui se prépare àbien mourir, IX, prière confiante d'un mourant,372, 376.

La manière de vivre... en parfait chrétien, IX, 376.Essais d’exhortations avant et après l'administration

du saint viatique (par un prêtre de l'Oratoire), IX,nécessité pour le prêtre de préparer sesexhortations, 355.

Exercice spirituel contenant la manière d'employertoutes les heures du jour au service de Dieu (V. C. et P.),IX, 270. – X, contient sept petits Offices, 211,212 ; prière qu’on peut dire quand il tonne, 246 ;désirer le ciel non pour soi mais pour la gloire deDieu, 247 ; exercice du Dimanche : se façonner

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aux douze degrés d'humilité, 247 ; pour chaquejour de la semaine, 247, 248 ; garder l’uniformitédans sa vie, 248 ; formule de confession pour lespersonnes qui se confessent souvent, 248 ;exercice du matin, 249, 250 ; l'Exercice spirituel futrévisé en 1682 par Cousin, Pellisson et autresécrivains habiles, 250 sq. ; 257, 288.

Grec ou chrétien (Vie intellectuelle), XI, lalumière de la foi est « grosse de rationalité », 380.

Hortus deliciarum, X, 116.Hymnes de l’Église selon l’usage de Paris traduites

en vers, X, 178.Les Images morales, VII, 325.Instruction sur le mariage par dialogue d’une mère à

sa fille. IX, le modèle éternel du mariage humain,292 ; des cérémonies du mariage, 293 ;symbolisme de l’anneau, 293, 294 ; du voile, 294 ;du « oui », 295 ; mariage humain et mystérieuxmariage du Christ et de son Église, 297 ; despéchés contre la sainteté du mariage, 298 sq. ; laloi de la chair et la loi de l'esprit, 299 ; commentrenoncer au plaisir dans la nécessité qui nousl'impose, 300, 301 ; des exercices de piétéconvenables aux femmes enceintes, 310 ; les« croix c du mariage, 312-314 ; la dernière descroix conjugales, 314 ; de l’éducation de l'enfantcommencée avant sa naissance, 320, 321 ; del'éducation religieuse de l'enfant une fois baptisé,322-324, 325.

Jésus souffrant, par un Père minime, VII, 325.

26

Journée du chrétien, dédiée à Mme de France, X,212.

Lettres sur le nouveau bréviaire, X, 39.Lettres théologiques et morales sur quelques sujets

importants (dom François Lamy ?), IX, de la vraieet de la fausse dévotion à la Sainte Vierge, 270.

Litanies tirées de l’Écriture sainte, IX, contient :Litanies du Baptême, 40. – X, 190 ; excellence desprières composées avec les termes mêmes del’Écriture sainte, 190-195.

Méditations sur la Passion (Un solitaire), X,contient la traduction des Litanies de l’Enfance, parle Père Amelote, 190.

Méditations sur les plus importantes véritéschrétiennes, X, l’auteur veut donner aux autres parses méditations écrites un modèle [10] desmouvements qu'ils devraient tâcher d’exciter dansleur cœur, 274, 275 ; pour les retraites : sur lemépris, les mauvais supérieurs, l’élection, 314,335.

Méthode chrétienne pour finir saintement la vie et serendre heureux en ce monde et en l'autre (un prêtre de laMission de Saint- François de Sales), IX, 361.

Méthode utile pour se préparer à la mort, IX, 353 ;ne point importuner les mourants, 353.

Miroir de l’âme du pécheur et du juste (un prêtrede la Mission de Saint-François de Sales), VII.372.

Miroir pour les personnes colères, X, 293, 298 ;prière pour demander la grâce de surmonter la

27

colère, 299, 300, aux saints Anges, 300, 301 ; sivous ne pouvez vous guérir, rtassez du moinsvotre colère sur le démon, 301, 302.

Morale pratique des jésuites, XI, 255.Observations sur le nouveau Bréviaire de Cluny

(Thiers ?), X, 77.Office du Bon Pasteur, X, 214, 215.Office de la Pénitence, X, 209, 215.Exercices du Pénitent, X, 209, 215.Office de la Providence, X, 216.Office de la Sainte Famille (un Père jésuite), X,

214.Office du Triomphe de la Fui, célébré à la

paroisse de Saint-Roch, X, 218-221.La Perle évangélique, XI, 167.Points d'humilité, II, 230.Prières chrétiennes en forme de méditations sur tous

les mystères de Notre-Seigneur et de la Sainte Vierge(attribué au Père Quesnel), X, sur le mystère deN.-S. J.-C. perdu, cherché et trouvé, 277, 278 ;chercher les vérités chrétiennes sous la protectionde la Sainte Vierge, 278, 279.

Prières particulières en forme d'office... pourdemander à Dieu la conversion des Juifs (domFoulon ?) X, 216-218. v. dom Poisson.

Les Regrets d'une âme touchée d’avoir abusélongtemps de la sainteté du « Pater », X, honte d’avoirsi souvent redit le ne nos inducas tout en se jetantan milieu des tentations, 32.

28

Du renouvellement des vœux du Baptême et des vœuxde Religion, IX, conformité aux sentiments de J.-C.dans son anéantissement, 16.

Le secret de l'oraison mentale où l'on découvre laparfaite idée de la méditation. X, 324, 325.

Sentiments chrétiens propres aux personnesmalades..., IX, du repos et du silence désirés par lemourant, 354 ; avant-propos, 360 ; paraphrase desprières pour l'Extrême-Onction : onction desmains, 368.

La Théologie germanique, XI, 167.De l’usage de célébrer le service divin dans l’Église en

langue non vulgaire, IX, l’intention de l'Église n'ajamais été d'ôter aux fidèles la connaissance de cequi se dit... dans la célébration de la Messe, 187.

Le vrai dévot considéré à l'égard du mariage et despeines qui s'y rencontrent, IX, 314 ; des mal mariés,315-320 ; la prière de la mal mariée, 319 ; les malmariés font se remplir les monastères, 317.

ANSELME (saint). – I, 235. – IV, 187, 385. –X, 276.

ANTHROPOCENTRISME. – III, son pointde vue a longtemps dominé, 24 sq. – VII, Ch. I,in toto. L’un est panhédoniste, l'autre ascéticiste,17 ; le repliement sur soi tenu pour la principalesource de la perfection morale, 43. – S., 121 ;définition, 122. v. Francis Vincent.

Anti-Coton (l’), I, 28. v. Richeome.ANTOINE (Frère). – II, 360.ANTOINE DE PADOUE (saint). – X, 279.

29

ANTOINE DE SAINT-GABRIEL (P.). v.saint Bernard. [11]

ANTOINE DE SAINT-PIERRE. – La viedu Révérend Père Dom Eustache de Saint-Paul(Asseline), I, 222 ; des ordres monastiquescachant avec soin les vies de leurs saints, 250,251.

ANTOINETTE (Mère), augustine deMontdidier. – XI, 115 ; entre avec Madeleine deFiers à Maubuisson, 130, 131 ; 132, 133, 136, 144.

ANTOINETTE D’AVIGNON et son petitcénacle. – II, 26, 35.

ANTOINETTE DE CAVAILLON. – II, 35.ANTOINETTE DE COMPIÈGNE. – VI,

274.ANTOINETTE DE JÉSUS. – III, 411. –

VI, 339-373 ; appartient à la famille spirituelle deMarguerite Romanet et de Catherine de Jésus,340 ; le soldat pendu, 341 ; initiation mystiqued’A. de J., 343, 344 ; son indépendance, 344 ;novice à l’abbaye de Sainte-Perrine, 344 ; a écrit lavie de la Mère Anne de Costerel de Bonneuil,344 ; prestige d’Antoinette ; personne ne l’a faitsouffrir, 346 ; correspondance suivie avec despersonnes du monde et des bénédictines deMontmartre, 346 sq. ; le style de ses écrits, 347 ; àune religieuse qui avait pensé mourir, 348 ; surune amie défunte, 348 ; à une religieuse élueprieure, 349 ; à une amie qui lui demandait unelettre qui lui tînt lien de prédication, 350 ; à un

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gentilhomme de ses amis, 350 ; le Saint-Espritétait une de ses grandes dévotions, 350 ; sur laPentecôte, 351 ; à une religieuse : « quand vousseriez aussi morte que les morts... », 351, 352 ; sadirection spirituelle, 352 sq. ; 353 ; à unedemoiselle sur sa fête, 354 ; l’impuissance desmots ; « le silence est notre langage », 355, 356 ;qu’on ne peut écrire la vie des mystiques, 357 ;avant la retraite de 1649, 358-360 ; sondéveloppement spirituel, 358 ; l’école française,358 ; extrême liberté d’esprit, 359, 360 ; la retraitede 1649, 360-364 ; rien de nouveau quel’intelligence de ses voies, 360 ; elle se voit...refoulée en quelque sorte hors d’elle-même, 361 ;l’intérieur de Jésus est un intérieur crucifié, 362 ;angoisse intellectuelle, 362 ; Jésus veut l’unir aufond de son Cœur, 364 ; les trente dernièresannées. 364-373 ; la vocation particulièred’Antoinette s’adaptait merveilleusement à sanature et ne doit pas nous surprendre, 364 sq. ; entout, « l’essentiel », 364 ; la mort... fait toute mavie, 365 ; perdue dans cet Être suprême, pour n’yplus apercevoir que Lui tout pur, 365 ; n’oubliepas les devoirs communs de la piété catholique,366 ; en tout fidèle à la doctrine oratorienne, 366 ;dévotion aux martyrs, à saint Denis, 366 ; lessacrements et sa vie mystique, 366 ; son Credo,367 ; son obéissance aux directeurs, 368 ; sesétapes mystiques, 369, 370 ; le retour au « néant »

31

sur l’ordre du Père Marin, 371-373 ; l’amour puret l’inexprimable, 372, 373.

Abrégé de la vie de la Révérende Mère Anne deCosterel de Bonneuil, VI, 344 ; « elle portait les effetsde l’amour et ne les discernait pas », 345 ; sesconsignes d’humilité et de patience pour tenirtoujours sa nature à la gorge, 345.

La Vie de la Mère Antoinette de Jésus, religieusechanoinesse de l'ordre de Saint-Augustin... (anonyme),VI, 340-373.

ANTONIN (saint). – IX, 47. – X, 7.APOLLINAIRE DE VALENCE (P.). –

Toulouse chrétienne, Histoire des capucins, II, les Frèresmineurs capucins en France, 140, 141 ; lescapucins à Montpellier, 142 ; 146.

Apologie pour M. A. Arnauld, IV, 70.APOSTOLAT DE LA PRIÈRE. – VI, 488.APPILLY (Louis d ). – [12] H. M. Boudon, ou

la folie de la Croix, VI, 241.AQUAVIVA (cardinal). – II, il travaille à la

rentrée des jésuites en France, 89 ; 93, 94 ; 97 ;lettre sur la méditation, 139.

AQUAVIVA (P. Claude), s. j. – I, 32. – V,341. – VIII, 255 ; sa lettre à toute la Compagniede Jésus sur la pratique de l’oraison et de lapénitence, 256 ; 257 ; sa lettre maintient etconsacre le départ entre « l’oraison pratique »seule conforme à l’esprit de la Compagnie et lacontemplation, 270 sq. ; 284. – XI, prescrit uneenquête sur Isabelle Bellinzaga, 13 sq., 14 ; lettre

32

au Père Gagliardi sur les bruits de réforme desOrdres religieux, 15, 16 ; éloigne Gagliardi deMilan, 17.

ARAOZ (P.), s. j. – VIII, 214, 218, 221.ARBOUZE (Marguerite d’). – II, 196 ;

apprend l'italien et l'espagnol pour lire les livresspirituels écrits dans ces langues, 410 ; éprouvéepar Marie de Beauvillier, 452 ; 455, 467, 486 ;l’abbesse idéale, 486 ; son culte de la traditionbénédictine, 488 ; avait convoité le Carmel, 488 ;son érudition, ses lectures, 488-491 ; extrêmeréserve sur sa vie mystique, 491 ; a modéré chezses filles le goût de la direction, 492, 493 ; origineet enfance, 496 ; novice à Montmartre, 497 ; sesdémêlés avec Marie de Beauvillier, 498 sq. ;abbesse du Val-de-Grâce, 501-536 ; prompteréforme, 502 ; amitié d’Anne d’Autriche, 504 ; lesmystiques parisiens et le parloir du Val-de-Grâce,507 ; Marg., le Père Binet et les jésuites, 507, 508 ;« esprit œcuménique », 509, 510 ; donne sadémission d'abbesse, supprime l’inamovibilité dece titre, 511 ; fonde à la Charité-sur-Loirel’Abbaye du Mont-de-Pitié, 512 ; son voyage à laCharité-sur-Loire, 513-528 ; dévotion de cevoyage, 515 ; conférences mystiques, 516-521 ; surle Cantique des Cantiques : les fleurs dans lecarrosse, 518, 519 ; 1’« Époux blanc et rouge » etla « marguerite », 519, 520 ; les dévotionsnouvelles, 521-523 ; sa mort, 528 ; ses reliques,529-531 ; odor margaritæ, 530 ; douleur d’Anne

33

d’Autriche, 532. – V, 133, 142, 203. – VI, 385. v.Binet, Clade Fleury.

ARBOUZE (dom Pierre d'), prieur etseigneur de Ris, frère de Marguerite d’Arbouze. –II, 523.

ARCHANGE DE PEMBROCK (P.),capucin. – IV, 183 ; lettres à la Mère Angélique,183-186 ; lettre à la Mère Agnès, 186 ; 187, 241.

ARCHANGE DU TILLET (P.). – IV, 183.ARCHIMBAUD (abbé). – Nouveau recueil de

pièces fugitives, IX, sur le livre de Briguet, 288.ARCHIMÈDE. – XI, 426, 427, 428.ARCY (P. d’), s. j. – VII, définition de la

prière (Hastings Encyclopedia of Religion and Ethics,art. Prayer), 7. – S., la prière : communion de l’âmeavec Dieu (Hastings Encyclopedia of Religion andEthics, art. Prayer), 13.

AREVALO (P.), s. j., hymnologue. – X,critique des hymnes de Santeul, 157, 158 ; textelatin de ces hymnes dans Institutions liturgiques etleur traduction dans Annales de Philosophiechrétienne, 158.

ARENTHON D’ALEX (Mgr Jean d’). – V,401. – IX, son Directoire pour « sa maladie demort », 381. v. dom Le Masson.

ARGENSOLES (Mme l’Abbesse d’). – XI,135.

ARGENSON (d’). – VI, ses rapports avecMarie de l'Incarnation (Mme Martin), 118.

34

ARGENTAN (P. d'), capucin. – A publié lesinédits de J. de Bernières, VI, 233.

ARGONNE (Bonaventure d’). – L’Éducation,maximes et réflexions de M. de Moncade. avec un discoursdu Sel dans les ouvrages de [13] l'Esprit, IX, de lalecture des Livres saints, 328, 329.

ARGRAND (dom Maurice), barnabite. – Viede Mgr D. Juste Guérin, religieux barnabite..., évêque etprince de Genève, V, scènes de possession à Turin,400, 401.

ARGUIBEL (M. d’). – IV, 63, 71.ARIAS (P. François), s. j. – Traité de l'oraison

mentale, mis en français par le R. P. Fr. Solier, III,de l’union affective de l'amour, 29. – XI, 205.

ARIAS (Jean). – IX, 81. – Traité de laCommunion, 130.

ARINTERO (P). – S., toute vraie« consolation » est déjà expérience mystique, 96.

ARISTOTE. – I, 520. – III, 112. – IV, 552. –V, 269, 270, 276. – VI, 465. – VII, 111, 121, 383.– VIII, a entrevu la valeur thérapeutique etpurgative de la poésie, 53 ; 286. – X, 173. – XI,160, 336. – S., 70, 72, 82, 103.

ARIUS. – X, 44.ARMAGNAC (cardinal d'), archevêque

d'Avignon. – II, 31.ARMAING (Germaine d’), Clarisse. – VI,

434 ; tentations douloureuses, 435. v. P. J.-B. C.,

35

ARMAND (P. Ignace). – I, lettre à saintFrançois de Sales sur la Visitation, 567, 568 – II,87.

ARMELLE NICOLAS. – III, 230, 606. V,120-138 ; a réalisé l'idéal mystique de l’école duPère Lallemant, 120 ; difficultés particulières queprésente la « spiritualisation » d’Armelle, 122 sq. ;notes biographiques ; ses premières places deservante ; besoin maladif de changement, 122 sq. ;lectures spirituelles entendues, première initiation,123 ; la Passion de N.-S. ; les rues teintes de sang,124 ; reconnaîtra plus tard le mélange de nature àses ardeurs, 124 ; pacifiée et instruite par uncarme, 124, 125 ; tentations et cauchemar, 125,sq. ; persécutions, 127, 128 ; en service au manoirde Roguédas, 129 ; suite de ses épreuves, 129 ; lesjésuites de Vannes, 129 6q. ; tourière chez lesursulines de Vannes, 130 ; le Père Rigoleuc luiordonne de rentrer chez ses anciens maîtres, 130 ;son développement spirituel, 133 sq. ; « chasséed'elle- même », 134, 135 ; le centre de l’âme, 135 ;l’esprit devenant plus fort, le corps lui-mêmereçoit « moins d’incommodités » 135 ; présencepresque habituelle de Dieu, 136 ; divine solutionde la controverse quiétiste, 137 ; « dame etmaîtresse de toutes choses », 138. – V, 164, 171,203. v. Jeanne de la Nativité. Le Gouvello, Poiret,Lobineau, Père de Lesseau, Guilloré.

ARMINIUS, théologien calviniste. – I, 164.

36

ARNAUD (Dr.), vicaire à la Ciotat. – III,660.

ARNAULD (Agnès), v. Agnès Arnauld.ARNAULD (Antoine). – I, 24, 130, 163, 401,

413 – III, 238, 243 ; sur le Père de Condren etSaint- Cyran, 328. – IV, 1, son épitaphe, 22 ; 26,29, 31, 38, 41, 72, 83, 102, 118, 119, 123, 139,140, 141, 151, 173, 184 ; ses explications sur leChapelet secret, 203 ; 209, 221, 227, 228 ; chez lesvisitandines d’Angers, 229, 230, 231, 232 ; 246,251, 253, 265, 271, 279 ; le grand Arnauld, lejansénisme et le sentiment religieux en Francependant le siècle de Louis XIV, 281-317 : 285 ;tout à fait dénué de vie intérieure, 286 ; docteurqui n’est que docteur, 286, 287 ; les jarretières,286, 287 ; son innocence, 287 ; les colporteurs deses livres mis aux galères, 287 ; se soucie d’abordde ses livres, 287, 288 ; testament spirituel, 289sq. ; y prend Dieu à témoin de sa parfaiteinnocence, 289 ; le Tartufe de Molière aurait écritle même testament, 290 ; assure dans sontestament qu’il a toujours répudié le dogmejanséniste, 291 ; sa messe quotidienne et saintVincent de Paul, 391, 292 ; [14] il nous aide àcomprendre ce que n’est pas la religion, 292 sq. ;Arnauld et Bossuet, 295 ; sa propagande fait dessectaires, 296 ; 300 ; sa prière est moliniste, 301,302 ; l’admiration du grand siècle pour AntoineArnauld, 305 ; 316, 320, 330, 397, 404 ; surBeurrier, 407 ; 409, 410, 412, 414, 419 ;

37

importance capitale de son intervention dans lemouvement janséniste, 421 sq. : 423, 426, 428,429, 431, 434, 437, 445, 446, 447 ; thomistehonteux, 448 sq. ; 449. 450, 451, 454, 455, 456,464, 465, 473, 474, 484, 486, 558, 592. – VI, 124 ;aurait eu l’idée première du Saint Augustin desMauristes, 208 ; 236, 248. – VII, 294, 295, 343. –VIII, 343. – IX, 25 ; son prétendu calvinisme, 48,49 ; la Fréquente Communione et le mythe del’infréquente, 48 sq. ; de la communion différée,53. – X, 2, 26, 43, 44, 49, 154, 163. – XI, 179,232, 242, 243, 246, 249, 303. – S., 192.

Fréquente Communion, I, 164, 188, 222, 278 ;opinion de Sainte-Beuve sur la FréquenteCommunion, 387, 388 ; 390. – II, 137. – III, 34 ;lettre de saint Vincent de Paul contre la FréquenteCommunion, 237 ; 486. – IV, 69, 70, 81, 131, 148,208, 291, 293, 307, 422, 424 ; sa diatribe contreles actes de contrition, 509 ; 518. – IX, 49 ; sonétude vraiment critique encore à faire, 50 ;éclaircissements donnés par Arnauld, 50 ;réfutation par le Père Petau et Abra de Raconis,50, 52, 60, 63, 71, 72, 77, 78, 80, 82, 89, 91, 97,99, 100, 102, 103, 104, 105, 106, 107, 109, 110,111, 114, 120, 181, 190, 201, 255. – X, facilité desactes de contrition ; difficulté de la contrition elle-même, 19 sq. ; 26, 27, 28, 154. – XI, 178, 224,255. – S., 202.

Perpétuité de la foi, III, 237.Réflexions sur l’éloquence des prédicateurs, IV, 14.

38

Remontrances aux Pères jésuites, IV, 18.Apologie de M. Jansénius, IV, 15.Apologie pour feu M. Jean du Vergier de Hauranne,

IV, 85.Apologie pour M. l'abbé de Saint- Cyran, IV, 55,

61, 62, 88, 95, 101, 102, 118.Réponse générale à un mémoire de Mgr l'évêque de

Langres, IV, 88.Défense de la censure, IV, 209.L'innocence et la vérité défendues, IV, 203.Testament spirituel, IV, 289, 291, 293.Morale pratique (des jésuites), IV, 298, 458,

459.Fantôme du jansénisme, IV, 471.Avertissement sur quelques sermons (du Père

Nouet), prêchés contre le livre de la FréquenteCommunion, IX, 50.

Défense de la vérité catholique contre les erreurs dusieur de La Milletière, IX, 50.

Tradition de l'Église sur le sujet de la Pénitence et dela Communion, IX, 53 ; a épuisé dans sa longuepréface le vrai sujet de ce livre : « Les dispositionsdemandées pour communier dignement », 53 ;ramène les dispositions nécessaires à l’amour deDieu, 54.

Extrait de quelques erreurs, réfutation du PèreA. Sirmond, XI, 188

Dissertation théologique sur le commandementd’aimer Dieu, même sujet, XI, 188 ; à propos de ladoctrine du Père Sirmond, 238, 241 ; 256, 257 ; la

39

mauvaise foi dans la critique du Père Sirmond,259, 260 ; 274, 277, 393.

Œuvres complètes d'Arnauld, IV, 18, 19, 93, 95,203. – IX, Abus des nouveaux casuistes et directeursjésuites, prédits et condamnés par le Père Emery de Bonis,78 ; sur le livre du Père Salazar, 88, 89. – XI, atoujours cru à l’innocence du Père Laurent deTroyes, 94. v. Jurieu, Nouet, Yves de Paris,Camus, Sainte-Beuve.

ARNAULD (Anne-Eugénie). v. Anne-Eugénie Arnauld [15]

ARNAULD Henry), évêque d’Angers. – IV,225 sq. ; 236, 286. v. Cochin.

ARNAULD (famille des). – IV, 179, 195 ; savraie gloire est dans les femmes, 224. v. Maynard.

ARNAULD (Madelon). – IV, son entretienavec Angélique Arnauld, sa sœur, 187.

ARNAULD (Marie-Claire). – I, 412. – IV,40, 116 ; 213 ; lettre à M. Singlin pour lui rendrecompte de son oraison, 242, 243.

ARNAULD (Sœur Marie-Eugénie). – IV,158, 167. – XI, 119.

ARNOLD (Matthew). – VIII, 101.ARNOLFINI. – XI, 148.ARNOUX (P.), s. j. - I, 171, 297. – II, 106,

506.ARPAJON (Marguerite d’). – II, 31.ARPAJON (Mère Philippe d’) et les

dominicaines d’Avignon. – II, 31, 32.ARS (saint curé d’). – II, 194. – VI, 10.

40

ARTIGNY (abbé d’). – Nouveaux Mémoiresd'histoire, IX, 50. – XI, 340.

ASCÈSE. – III, aucune ascèse n’a pour finimmédiate d’établir l’homme dans un étatquelconque, l’ascèse bérullienne pas plus que cellede saint Ignace, 150. – S., ascèse ou prière ? 23-122 ; activités d’ascèse, activités de prière, 46-55 ;l’ascèse de la prière, 97-102 ; la prière pure n’estpas sentiment, elle est énergie, 97 ; ascèse ouprière, 141, 142 ; activités de prière ; activitésd’ascèse, 150, 151 ; l’adhérence unitive et lesactivités d’ascèse, 241-279. v. J.-H. Quarré,Guilloré.

ASCÉTICISME (P). – VII, 26-36 ; pourl’abbé F. Vincent l’oraison n’est qu’une ascèse,35 ; l’ascéticisme n’est pas un mythe, 39 ; premierobjet de l’oraison : perfectionnement du moi, 41 ;le « culte du moi » n’est coupable que lorsqu'il sepréfère explicitement au culte de Dieu, 44 ; oublidu divin laisser-faire, 255 ; sa critique ; la prière,pour l’ascéticiste, est, avant tout, un exerciced'ascèse, 344. – VIII, l’ascéticisme idéal ignore lesactivités profondes et ne cultive que le « faire »,145, 146 ; l’angoisse de Bourdaloue et la genèsede l’ascéticisme, 181-391 ; les commencements dela réaction ascéticiste dans la Compagnie de Jésus,185-195 ; condamnation de Balthazar Alvarez, ch.III, passim. ; du travail intellectuel dans la prière,248 ; développement de l’ascéticisme, 270 sq. ;ascéticisme et mystique ; la véritable unanimité

41

des spirituels jésuites et leur unanimité prétendue,284-288 ; les ascéticistes toujours tendus vers la« pratique », 333 ; ch. VI : la spiritualité deBourdaloue, 310-360. – S., 111-122 ; explicationdu mot « ascéticisme », 116 sq. v. abbé F.Vincent, Rousselot, Jean Aumont.

ASSE (Eugène). – VI, article sur Desmarets(Grande Encyclopédie). 445.

ASSELINE (dom Eustache de Saint-Paul),feuillant. – I, 95 ; François de Sales lui donne desconseils, 97. – II, 242, 419 ; enjoint à Marguerited’Arbouze de lire les Pères, 489 ; 506. v. Eustachede Saint-Paul.

ASSERAC (marquis d’). – Nouvelle méthoded’astrologie et Fatum universi, en collaboration avec leP Yves de Paris (sous le pseudonyme commun deFrançois Allæus, arabe chrétien) I, 450, 451.

ASSOCIATION DE LA FAMILLE DUSAINT ENFANT JÉSUS. – III, 544 sq. ; 554,558, sq. ; 569.

ASSOCIATION DU SAINT-AMOUR. –IX, 286.

ASTROS (cardinal d’). – L’Église de Franceinjustement flétrie dans un ouvrage ayant pour titre :Institutions liturgiques, X, examen des critiques dedom Guéranger sur une hymne de Santeul, 156,157 ; des hymnographes du [16] XVIIe siècle et deshérésies des temps, 161 ; dom Guéranger et lebréviaire de 1736, 162.

42

ATTICHY (P. Louis d’). – Histoire générale del'Ordre sacré des Minimes, I, 382. – II, 506.

ATTICHY (P. d’), s. j. – VIII, 283.ATTRITION. – XI, problème de l’attrition

dans la littérature spirituelle de l’ancien régime,293-326.

AUBANEL (Théodore). – I, 348.AUBIGNAC (abbé d'). – IX. 178.AUBINEAU (Léon). – Notices littéraires sur le

XVIIe siècle, I, le XVIIe siècle n’est pas seulementune époque de gloire, mais un temps où lasainteté abonde, XVII ; son histoire encoreincomplète, XIX ; 240 ; sur l’édition desProvinciales, par Maynard. 414 – IV, 23 ; a édité leP. Rapin, 316.

AUBRÉE (dom Joseph), bénédictin. – VI,180.

AUBRY (Nicole). – V, Histoire de sapossession, 186, 187 ; exorcismes publics, 187,193. – XI, 158.

AUDE (Édouard), conservateur de laMéjane. - VI, 431. – VIII, sur les Thomassin deProvence, 433, 434.

AUDEBERT (dom Bernard), bénédictin. –VI, 82, 181, 207, 213.

AUDIFFRET. v. P. Hercule.AUDIFFRET (Marguerite) – VII, 166.AUDIFFRET (Pancrace). – VII, 166.AUGER (A). – I, Études sur les mystiques des

Pays-Bas au Moyen Age : sur Ruysbroeck, XXI, XXII.

43

AUGER (dom), chartreux. – II, 420, 506.AUGERY (Mère Gaspard). – La vie et les

vertus de la Vénérable Mère Catherine de Jésus(Ranquet) religieuse ursuline, VI, 333-339.

Vie de la Vénérable Mère Catherine del'Incarnation (de Veteris du Revest), 428, 429.

AUGUSTE (abbé Alph.). – Contribution àl’histoire de la Compagnie du T. S. Sacrement de l’Autel,les Sociétés secrètes catholiques du XVIIe siècle et H.M Boudon, VI, 241 ; documents sur Desmarets deSaint-Sorlin, 445 ; lettres mystiques copiées parDesmarets et envoyées à M. Boudon, 482 ; laprétendue folie de Desmarets, 486 ; programmede la « Société pour les intérêts de Dieu », 490,491 ; lettre de Desmarets à M. Boudon : offensivecontre le diable, 492-494.

Histoire des Filles de l’Enfance, V, 266.AUGUSTE (Charles). – Vie de saint François

de Sales, I, 254.AUGUSTIN (saint). – I, 124, 158, 341, 489.

– II, 159, 490, 526. – III, sa morale, 25, 26 ; sonanthropocentrisme, 25, 26, 27 ; 341, 521, 632. –IV, 29, 32, 55, 122, 125, 162, 166, 168, 208, 215,254, 255, 276, 284, 331 ; à propos du « Tu ne mechercherais pas... » de Pascal, 378 ; 382, 386, 389,434, 435, 438, 442, 443, 492, 501, 528, 530, 542,544, 567, 592. – V, 335. – VI, 91 ; lettre de saintAugustin à saint Paulin, 188 ; 205 ; édition de sesœuvres par les Mauristes, 207, 208 ; 210, 262. –VII, 6, 8, 26 ; chez lui pas la moindre parcelle de

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moralisme, 47 ; 49 ; appelle cœur la cime de l’âme,51 ; 52, 60, 97 : 141, 148, 280, 283, 296, 304, 305,318, 359, 377, 394 ; sur la récitation de l’office,398, 399 ; 402. – VIII, 22, 32, 143, 267, 390. – IX.10, 35, 54 ; sa règle sur la communion fréquente,64 ; 67, 141 ; sur l’Amen, 176 ; 255, 343 ; voulutmourir dans un grand silence, 353. – X, 31, 48,87, 95, 133, 191, 204 ; sur les formules hérétiquesde dévotion, 226, 272 ; saint Augustin priscomme modèle à peu près unique des auteurs deméditations, 275 ; 276, 293, 298. – XI, 43, 213,225, 253, 270, 275, 276, [17] 288, 303, 380 ; parled'une illumination soudaine et fugitive, 381, 382 ;383, 385 ; la contemplation d’Ostie, 392, 393 ;394 ; contraste – et non opposition – entre lediscours et la contemplation, 434-436. – S., 12,71, 93, 191 ; c’est la charité qui gémit, c’est ellequi prie, 192 ; 349.

Confessions, III, 25, 27. – IV, sainte Moniqueet les consolations divines, 338, 339 ; 385. – VII,198, 398. – VIII, 168.

Cité de Dieu, XI, les Romains, leurs déesses del'activité, la déesse de la quiétude, 329. v. Ingold,Petau.

AUGUSTIN DÉCHAUSSÉ (un religieux). –La vie et les vertus de la Sœur Jeanne Perraud, III, 571 ;vision de Jésus-Enfant portant la croix et lesinstruments de la passion, 575 ; des imagespeintes d'après ses indications, 577, 578 ; 582.

45

AUGUSTINES DE MONTDIDIER. – XI,107.

AUGUSTINES PÉNITENTES. – II, leurréformation par Marie Alvequin, bénédictine deMontmartre, 455 sq. ; Marguerite d’Arbouze seréfugie chez elles, 501.

Augustinus, (l’), III, 212. v. Jansénius.AUMALE (prince d’). – II, 201.AUMONT (Jean). – Le vigneron de

Montmorency et l’école de l’oraison cordiale, VII,321-373 ; sa doctrine, 330-355 : 1° la cave, 330-335 ; 2° l’alambic, 335-339 ; 3° les renards et lejansénisme, 339-344 : 4° violence et prière, 344-347 ; 5° les activités de prière et « l’amortissementdu propre esprit naturel » (méthode d’initiation àla vie mystique), 347-355 ; ce qui empêche notreliberté, ce ne sont ni images, ni formes, maisl'attache venimeuse de notre amour-propre, 337,338 ; l’école de l'oraison cordiale, 355-367 ;premier initiateur ou l’un des principaux ouvriersd'une propagande mystique, 356, 357 ; latendance de cette école fut de mettrel’enseignement traditionnel à la portée des foulespieuses, 356 ; J. A. a eu, le premier, l’idéed’illustrer, par des images, les principes et laméthode de l'oraison cordiale, 367, 368.

L’Ouverture intérieure des sept sceaux de l'Agneauoccis dans nos cœurs, VII, 326, 327 ; éloge desapprobateurs, 328 ; la science de l’Écriture netend qu’à perfectionner notre homme intérieur,

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329 ; Dieu, l’intime de notre intime, frappe à laporte du... plus profond de nos âmes, 332 ; lespuissances actives... constituent l’hommeraisonnable.. dans son étage fini, humain etborné, 333 ; c’est dans le fond de la volonté quela foi reçoit la vie d’amour, 334 ; de l'entendementcordial, 334 ; l’opération de la grâce exige dessujets... abandonnés à toutes ses immensesdiffusions, 335 ; erreur de ceux qui ne veulent paspenser à la très sainte humanité de Jésus-Christ,336, 337 ; la vraie spiritualité est libre et ne détruitrien du corporel, 338 ; injures pittoresquesprodiguées à l’amour- propre, 339 ; les ravages decelui- ci, 339, 340 ; il nous persuade toujours lemal hors de nous, jamais en nous, 340 ; l’anti-mysticisme de Port Royal, 341 sq ; les vraiesactivités de prière ne demandent de nous qu’unesimple adhérence, 344, 345 ; l’oraison qui fait malà la tête... lassante parce que voulant atteindre laDivinité qu’elle s’imagine en dehors d’elle, 346,347 ; il est bon, pour ceux qui commencent, de seservir de formes ou images, 347 ; toutes leslumières de l'esprit ne peuvent rien contrel’amour-propre, 348 sq. ; l’anéantissement requisn’est pas celui du propre être, mais celui de sonestime, 349, 350 ; se détourner de tout le dehors,tourner face en dedans, 351 ; passivité, c'estlaisser libre emploi de nos puissances au Saint-Esprit, 351 ; méthode pour rendre l’amour divinopérant [18] et impérieux ; cesser ses propres

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actes par des pauses et attentes passives, 352-355 :user discrètement de l’imagination. iJG ;.

Abrégé (de l'Ouverture), VII, 327 ; quitter unpeu de son extérieur pour donner temps et lieu àson intérieur, 354 ; prélude, par l’image regardéeou évoquée, puis perdue de vite, à l’oraisoncordiale, 361, sq. ; tendre en dedans à Dieu ;pacifier les saillies de l'esprit, 362 ; réponse auxcritiques de l’oraison cordiale, 363 sq. ; image ducœur aux sept sceaux, 368, 369.

AUMONT (Mme d’). – IV, 192, 590.AUTHIER DE SISGAU (Christophe),

évêque de Bethléem, organisa la Congrégationdes Missionnaires du Saint-Sacrement. – IX, 210 ; leChapelet du Saint-Sacrement, 240-244 : sespratiques de piété pour stimuler la dévotion auSaint Sacrement ; fonda l’Institut des Prêtres duSaint-Sacrement ; acclamations, 241 ; oraisonsjaculatoires, 242 ; établit un Chapelet du Saint-Sacrement, 242 ; comment il le fallait réciter, 242,243. v. Nicolas Borely, abbé Nadal.

AUVRAY. – IX, de la pénitence (janséniste)qui consiste à s’éloigner du confessionnal et del’autel (cit. par Abra de Raconis), 55.

AUVRAY (Jean), prêtre. – Modèle de laperfection religieuse en la vie de la V. M. Jeanne Absolu,dite de Saint-Sauveur. X, 348. – XI, la Mère de SaintSauveur appelée très tôt à l’oraison de quiétude,340, 341 ; on consulte pour elle la Faculté de

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Théologie et les maîtres en spiritualité, 342, 343 ;ses inquiétudes, 344. v. abbé d’Artigny.

AUVRY. – III, 607.AVEILLON (P.), de l’Oratoire. – Exercices

spirituels pour une retraite de dix jours, IX, du mariagechrétien, 289, 290. – X, prier en chrétien, c’est-à-dire en adhérant à Jésus-Christ, 332.

AVELLANEDA (P. Diego de), s. j. – VIII,se fait remettre pour examen et jugement tous lesécrits de Balthazar Alvarez, 251 ; 252, 253, 256,258.

Avenir (l’) journal, IV, 465.AVILA (Jean d’). – VIII, sur l’Abécédaire

d’Osuna, 221. – IX, 46, 62. 74.AVRIGNY (P. d’), s j. – Mémoires

chronologiques, IV, 38, 52. – V, l’archevêque deBordeaux et les exorcistes, 183, 186. – IX, contrela traduction des prières de la Messe, 185. – X,contre Letourneux, 50. – XI, à propos desIlluminés de Picardie, 105 ; la crainte n’est pas unobstacle à l’amour pur, mais en est le prélude,313, 314.

AVRILLOT (Barbe), (Mme Acarie). v. cenom.

AVRILLOT (Nicolas), seigneur deChamplâtreux, (père de Mme Acarie). – II, 200,201.

AXULAR, curé de Sare. – Gvero, IV, 71.AYRAULT (P.), s. j. – V, 14.

B

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BABOU DE LA B0URDAISIÈRE (famille),ancêtres de Jeanne Michelet. – VI, 7. v.Boissonnot.

BABOU DE LA BOURDAISIÈRE (Anne),abbesse de Beaumont-les-Tours. – II, 444, 446. –VI, 11, 12.

BABOU (Anne), 2e du nom, abbesse deBeaumont. – II, 444. [19]

BABOU DE LA BOURDAISIÈRE (Jean). –VI. 11.

BABOU DE LA BOURDAISIÈRE(Madeleine), abbesse. – VI, 11.

BABOU DE LA BOURDAISIÈRE (Marie),mariée à Claude de Beauvillier, comte de Saint-Aignan. – II, 444. – VI, 12.

BABOU DE LA BOURDAISIÈRE(Philibert). – VI, 11.

BACHAUMONT. – I, 205.BACHELIER (Simon), général des Minimes.

– IX, 246.BACHELIER DE GENTES. – IX, 246. v.

dom Claude Bretagne.BACHELLERIE (P. de), s. j. – V, 185.BACKER (P. de), s. j. – Bibliothèque des

écrivains de la Compagnie de Jésus, V, 202.BACON (chancelier). – I, conseils aux

historiens, xi ; – 432. IX, 364. – XI, 336.BACOUËL (chanoine). – VI. 382.BAGOT (P. Jean), s. j. – V. directeur de la

« Société des bons amis », noyau des missions

50

étrangères, 9 ; fut l’agent parisien de l’œuvre desmissions bretonnes, 114. – VI, 233.

BAIL (P. Louis Le). – III, 466. – VII, 328,335.

De triplici examine, V, a inséré dans cet ouvrageles règles données par Maunoir aux « confesseursdes adeptes des démons », 89.

La Philosophie affective, VII, 325. – IX, lemercredi, jour consacré au souvenir du Baptême,35 ; enquête à Port-Royal sur la fréquentation dessacrements, 59 : 118.

Exercices du cœur, VII, 325.Les actes intérieurs d'amour de Dieu, VIII, le pur

amour et les « suppositions impossibles », 418.BAILLES (Mgr). – III, 494.La Congrégation de l’Index mieux connue et vengée,

V, 155.BAILLET – III, 197.Jugement des savants, VI, 486.De la dévotion à la Sainte Vierge (contient les

Avis et la Lettre pastorale de Choiseul), IX, 259,260 ; 270, 273. 274 ; contre la légende de lapâmoison de N.-D. au pied de la Croix, 279, 280 ;traduction d'un passage de l’hymne d’Habert, 280.

BAILLON (Élisabeth de l’Enfant Jésus) –VI, 230. v M M de Mauroy.

BAINVEL (P.), s. j. – La dévotion au Sacré-Cœur, III, 584, 588 ; de l'office du S -C par le PèreEudes, 636, 637 ; le Cœur de chair, élémentsensible de la dévotion au S.-C, 645 ; la

51

Congrégation des Rites et la dévotion au S.-C.,646 ; cette dévotion comparée aux autres. 648 ;sur le passage du cœur à la personne, 654 sq. ; ladévotion à « tout l’intime de Jésus », 656, sq. ;Bérulle et le Cœur de Jésus, 664, 665 ; le culte duS.-C. précédant la définition nette de la doctrine,666 ; la dévotion de Paray, 668, 669. – VI, del’influence du Père Louis Lallemant sur lebienheureux Jean Eudes et le groupe Bernières,233 ; cite J.-.vl. Deleloë parmi les précurseurs deMarguerite-Marie Alacoque, 378 ; 401.

La vie intime du catholique, VII, toute prière està la fois d’ordre moral et d’ordre mystique, 162.

BAIOLE (P. André), s. j – V. 168, 266, 267.– VII. 268.

De la vie intérieure où il est traité de trois entretiensde l'âme avec Dieu, V, sur les illusions de l’action,341, 342 – VIII, parle de l'omniprésence de Dieusans faire allusion à la présence particulière de lagrâce, 276-278. – XI, la quiétude tient plus del’amour que du regard, 397 ; oraison etintelligence, 399 ; 400 ; la quiétude augmentel’amour, 402 ; notable différence entre lacontemplation philosophique et Lacontemplation chrétienne, 425, 426. v. MarieBaron. [20]

BAIUS (Michel). – IV, 29, 121 – X, 44.BAKER (dom). – VII, 415.Sancta Sophia (Holy Wisdom), VIII, sur la

condamnation de B. Alvarez, 230 ; 301. – X,

52

prière mentale et prière vocale, 3 ; Devout exercisesof immediate acts and affections of the will, 340 ; lesoraisons jaculatoires traduisent des actesimmédiats de la volonté, 340. – S., Dieu guide etdirecteur de la vie contemplative, 49 : la prière nes’exerce immédiatement que par la volonté ou lesaffections adhérant à Dieu, 66 ; du grand nombrede livres enseignant les règles de la prièrediscursive, 74 ; les exercices discursifs ne sont quedes préparations à la prière, 153.

BALDUINI CABILLIAVI. – Magdalena, I,384.

BALLET, prédicateur du Roi. – Traité de ladévotion à la Sainte Vierge, IX, des douleursintérieures de la Sainte Vierge, 280.

BALLON (de), épousa Françoise deCharmoisy, la fille de Philothée. – VI, 417.

BALLON (Louise-Blanche de). – VI, 334,417, 418 ; a connu saint François de Sales ; fondala Congrégation des Bernardines réformées enSavoie et en France, 417 ; sa vie offre une foulede détails sur l'histoire religieuse de son temps,418. v. Jean Grossi.

BALSAMO (P.), s. j. – II, 33.BALZAC (Guez de). – I, enchainé par les

rythmes latins, 178 ; a travaille à rendre éloquentela vieille prose du XVIe siècle, 198 ; la solitude l’arendu sérieusement chrétien, 333 ; 335. – II, 118.– IV, 18. – VI, 334. – VII, 167, 180, 186, 265. –VIII, 31. – X, 204.

53

Le Socrate chrétien, I, 225. – IV, 494. – VII,187.

Entretiens, XI, différence entre oisiveté etparesse, 364 ; la volupté qui monte plus haut queles sens, 367. v. Sabrié, Guillaume.

BALZAC (Honoré de). – VI, 23.BAÑES (P. Dominique), o. p. – II, 288 ; ce

qu’il dit de la Mère Anne de Jésus, 298, 299. –VIII, 7.

BAPTÊME. – La dévotion au baptême, IX,1-42 ; en quel sens on peut parler « d’unedévotion au baptême », 1 sq. ; la dévotion aubaptême, l'école française et la Métaphysique desSaints, 2, 3 : ascèse mystique impliquée dans ladévotion au baptême, 12 sq. ; critique desexorcismes, 24 ; pratiques de la dévotion aubaptême, 33-42 ; le chrémeau, 33 ; « les habits dubaptême », 34 ; l’anniversaire du baptême, 35 sq. ;la Pâque annotine, 36 ; « l’habit du baptême »,petit scapulaire en toile de lin, 34 ; les litanies etl'office du baptême, 40-42 ; Litanies du Baptême,tirées de l'Écriture sainte, 40 ; Bucaille ; Projet d’Officepour l’anniversaire du saint Baptême, 41 ; Corblet,Histoire du Baptême, 41. – X, Office pour l'anniversairedu saint Baptême, 221.

BAPTISTE DE CRÈME. – VIII, 199. v.Père Premoli.

BARAT (Mme). – II, 438.

54

BARBE (sainte). – IX, son culte au titre depatronne des mourants et de la confession inextremis, 361, 362.

BARBE DE COMPIÈGNE. – II, Barbe et lecardinal de Bérulle ; elle révèle un complot contreLouis XIII, 67 ; ses rapports avec le Père deCondren, 68. – III, 411. – VI, 342 : conduite « partoutes les voies de la Passion », 363 ; le rideautiré ; son appel à la vie intérieure n’est autre que lapureté de l’Esprit de Dieu, 363, les « états » et« l’essentiel » du Verbe incarné, 363, 364 ; 493. –IX, 210. V. Amelote.

BARBERY (abbaye de). – XI, 123.BARBEY D’AUREVILLY. – I, 498. – IV,

croyait que l’angoisse de Pascal était la peur del’enfer, 355. – VI, 466. [21]

BARBIER, bibliographe. – IX, 41.BARBIER (Charles). – V, 149. v. Dr Légué.BARBIER (Anne Le). – II, 66.BARBIER D’AUCOUR. – Les sentiments de

Cléante sur les entretiens d'Ariste et d'Eugène, III, 196.BARCILLON DE MAUVANS. – Critique

(manuscrite) du Nobiliaire de Provence : lesThomassin de Provence, VIII, 433.

BARCOS (de). – IV, 60, 61, 71, 73, 80. 153,285, 474, 479, 494, 525, 533, 534.

BARDE (Mgr de La), évêque de Saint-Brieuc.– VII, 202, 203 ; interdit à Noulleau laprédication, 206 ; sa conduite vis-à-vis du PèreNoulleau, 208 sq.

55

BARDY (G). – En lisant les Pères, III, 154.BARON (Marie). – V, sa vocation mystique,

168 : absorbée en la présence de Dieu, 168 ; « Ilsemblait que son élément fut le feu », 169 ;cachait avec soin ses extases, 169, 170 ; sa mort etses funérailles, 171 ; 182.

BARONIUS (cardinal). – I, 221, 222, 233,234. – II, 148. – IX, 47, 285. v. Durand.

BARRÉ (P. Nicolas), minime. – Lettresspirituelles, IX, sur la communion fréquente, 118. –XI, 363.

BARRÈME (René), – III, 475.BARRÉS (Maurice). – I, 297. – III, 51. – VII,

280. – X, 224.L’Angoisse de Pascal, IV, sur la réalité de sa

vision, 355 ; sur le talisman de Pascal, 358.Méditation sur Sainte-Beuve, IV, 550.BARRIÈRE (Jean de La), fondateur de

l'Ordre des Feuillants. – I, 250. - II, 7-9.BARRIÈRE Mme de). v. Vicomtesse de

Roussille.BARRY (Dr). – Cambridge modern history. I, les

humanistes et les chefs de l’Église, 16.BARRY (P. Paul de), s. j. – I, caricaturé par

Pascal dans la neuvième Provinciale, 328, 329. –IV, 300. – IX, 250, 264, 266.

Cantique en l’honneur de sainte Madeleine, I, 206,207.

La dévotion à la glorieuse sainte Ursule, I, 207,208.

56

L'année sainte ou l'instruction de Philagie, I, 329.La mort de Paulin et d'Alexis, I, anecdote sur

Louis XIII, 362. v. abbé Maynard, Nicole.BARTAS (du). – I, 274.La Semaine, I, a impressionné les descriptifs

dévots de son temps, 265.BARTHÉLEMY (abbé). – I, 4.BARTHÉLEMY DES MARTYRS (dom),

archevêque de Braga. – VI, 404. v. Saci.BARUTEIL. – Genèse du culte du Sacré-Cœur de

Jésus, III, la dévotion du Père Eudes (au Sacré-Cœur) est celle des savants, 667.

BARUZI (Jean). – Saint Jean de la Croix et leproblème de l’expérience mystique, VIII, 196 ; articlesur Carranza (Revue protestante de Strasbourg),220 ; 395. – XI, appelle la quiétude « créationd’un être nouveau » : 353 ; 356, les touchesdivines se produiraient après le dépouillement,362 ; 384 ; le dégoût ressenti pour tout ce quiserait un état différent de celui-là même où noussouffrons, 408 ; dans la quiétude, la connaissancede Dieu est. enveloppée dans la connaissance desoi, 409 ; 410, 414.

BASILE (saint). – IV, 389.Hexameron, X, 82.Basilica Teresiana. – VIII, 196. v. Père

Colunga.BASILISSE (sainte) – V, 339.BASTIDE (P.), s. j. – V, 185, 236, 256, 257. –

VIII, 283.

57

BASTIDE (dom Marc),bénédictin. – VI, 82,181. [22]

BATAILLON (Marcel), éditeur du Dialogo deDoctrina Cristiana de Juan de Valdès – VIII, 196. –XI, à propos des Alumbrados de la NouvelleCastille, 58 sq.

BATARNAY (Marie de), femme deGuillaume de Joyeuse. – II, 143.

BATIFFOL (Mgr Pierre). – Leçons sur la Messe,IX. sainte Mélanie demande, à ses derniersmoments, que le prêtre dise à haute vois lesprières de la Messe, 174, 175 ; sur la querelle duMissel de Meaux, 176.

L'Ordinaire de la Messe selon l'usage de Paris (Vieet Arts liturgiques), IX, l’Hanc igitur dans unetraduction du XIVe siècle, 182.

Histoire dit Bréviaire romain, X. parle del’hymnaire de Ferreri, 68.

BATTEREL (P.), de l’Oratoire. – III, 7. –VII, 190, 211, 214 : sur le de religione christiana deNoulleau, 219. – IX, 11. – XI, 219 ; donne surl’affaire Séguenot la version oratorienne, 221, 222.– S., 120.

Mémoires domestiques pour servir à l’histoire del'Oratoire, II, notice sur le Père Jean Jaubert, 24 ;356. – III, 157, 191, 192, 193, 196 ; le PèreBourgoing et la bulle d’Alexandre VII, 211, 212 ;note du Père François de Saint-Pé sur lejansénisme, 213, 214 ; Batterel fidèle à laspiritualité oratorienne, 217 sq. ; 283, 284, 293 ; le

58

Père de Condren, 296 ; son éducation toutemilitaire, 298 ; Condren au Collège d’Harcourt,301 ; 309, 314 ; Condren entre à l’Oratoire, 322 ;Gaston d’Orléans et le Père de Condren, 325 ;Condren et Saint-Cyran, 328-331 ; Bérulle au PèreGibieuf sur Condren, 335 ; Bernard « le pauvreprêtre », 336 ; boutades du Père de Condren,337 ; sur Messieurs de Saint-Sulpice, 420 ; le Pèrede Condren et les congrégations religieuses, 423-426 ; 523 ; le Père Gibieuf et Marguerite deBeaune, 533 ; 570 ; Isaac Habert et le PèreGibieuf, 674. – IV, le Père Gibieuf et M. deBérulle, 27, 28 ; 58, 87. – VII, sur le Père J.-B.Noulleau, 201 ; du zèle rigoureux de Noulleau,203 ; Noulleau, réformateur inflexible etuniversel, 206 sq. ; il est soupçonné à tort dejansénisme, 207 ; enfance du Père de Clugny,281 ; notes biographiques sur le Père de Clugny,282 sq. ; mortifications de François de Clugny,287 ; Fr. de Clugny et l’infaillibilité du SouverainPontife, 288 ; 375 ; sur Claude Thomassin, 376,377 ; du prétendu jansénisme du Père Thomassin,378 ; sur un des mémoires sur la grâce (du PèreThomassin), 378, 379 ; le Père Thomassin et leplatonisme, 383 ; extravagantes accusationsd’athéisme du Père Hardouin contre le PèreThomassin. 383 ; du glossaire hébreu du PèreThomassin, 384 ; Thomassin, lecteur effréné etqui savait lire, 385. – IX, sur François Pouquet,66 ; sur Jean de Neercassel, 257. – X, sur le Père

59

de Fursy, 180 ; sur l’Élévation du P. Desmarets etVidée du Sacerdoce de Condren retouchés parQuesnel, 279, 280 ; sur une « prière à Jésus-Christ » attribuée à Quesnel, 280. – XI, 303.

BATZ (M. de). – III, 564.BAUDIN. – XI, 277.Le panhédonisme psychologique de Pascal (Rev. des

Sciences religieuses, Strasbourg), VII, Pascal et lepanhédonisme libertin, 19, 20 ; panhédonismelibertin et panhédonisme religieux s’unissentcontre les mystiques, 22 sq ; Pascal et lapsychologie libertine de l’amour de Dieu, 26 ; 79

Psychologie. XI, une attention passive est unpur non sens, 395.

BAUDOT (Paul), évêque de Saint- Omer,puis d'Arras. – I, 222.

BAUDBAND. – Mémoire sur la vie de M. Olier,III, 420 ; le P. de Condren apparaît à M Olier,421 ; portrait de M. Olier, 433. [23]

BAUDRILLART (Mgr). – Calvinisme(Dictionnaire de Théologie catholique), IV, 324- – S.,132.

BAUDRY (abbé de). – I, fait l'éloge deDéage, gouverneur de François de Sales, 85 ;déposition de sainte Chantal sur la grandetentation de François de Sales, citée dans laDissertation sur la controverse entre Fénelon et Bossuet,86 ; le Véritable esprit de saint François de Sales : lettrede François de Sales à un gentilhomme en proie àune grande mélancolie, 87 : complication

60

théologique de la crise de François de Sales, 88 ;sur la distinction entre l'amour propre et l’amourde nous-même, 121 ; sainte et noble vie de J.-P.Camus, 151 ; du conflit entre Camus et certainsordres religieux, 156 ; le Père Sauvage, jésuite, etCamus, 158 ; Camus et les disciples de Jansénius,164 ; 165 ; Camus veut imiter François de Salesdans ses sermons, 167 ; lettre de Camus àFrançois de Sales, 169, 170 ; l’abbé deLongueterre et l'Esprit de saint François de Sales, parCamus, 172 ; Camus et le pur amour (lettre deFénelon à Bossuet), 182.

BAUDRY (Paul). – Les religieuses carmélites àRouen, documents inédits, II, 267 ; lettre de Jeande Quintanadoine à Mère Marie de la Trinité, 279.– III, portrait d’une carmélite fait à son insupendant sa prise de voile, 9.

BAUMANN (Émile). – Mon frère le dominicain,VIII, 285. v. Père Lavaud.

BAUMOND (Gervais de), premier Présidentde la Cour d’Aix. – VIIJ, 433.

BAUNARD (Mgr). – La vénérable Louise deMarillac, I, sur J.-P. Camus, 151 ; 170, 240. – VI,9.

BAUNY (P.), s. J. – III, 216. – IV, 132.BAUTRU. – VI, 452.BAVENT (Sœur Madeleine, dite de la

Résurrection). – V, 403. XI, 158 ; le diableDagon, 161 ; accuse le fondateur du monastère,

61

Pierre David, d’avoir participé aux pratiquesdiaboliques, 164 sq., 168, 169.

Histoire de Madeleine Bavent (réédition de 1878),XI, 167. v. Possessions de Louviers, P.Desmarets.

BAVIÈRE (duchesse de). v Bouillon.BAYARD (Paul). – VI, 181.BAYLE. – II, 183. – IV, 470. – VI, 452.Dictionnaire, VI, 486, 487.République des Lettres, VII, 383.BAZAN (P.), minime. – I, 385 – - II, 49.BAZANCOURT (M. de). – IV, 58.BÉATRIX DE LA CONCEPTION,

carmélite. – II, 300.BÉATRIX DE JÉSUS (Mère), carmélite. –

II, 319.BEAUCOUSIN (dom), chartreux. – I, 95. –

II, fut directeur de Henri de Joyeuse, 150 : fut undes docteurs en Sorbonne qui approuvèrent laRègle de perfection de Benoît de Canfeld, 158, 160 ;234, 237 ; fut directeur de Mme Acarie, 282, 283 ;du Père Philippe Thibaut, carme, 373. – III, 14. –XI, 24, 55.

BEAUFORT (abbé de). – Mœurs et entretiensdu Frère Laurent, VI, 392 ; le pur amour du FrèreLaurent et celui de Fénelon, 394.

BEAUFORT-FERRAND (Mme de). – I, 296.BEAUGENDRE (dom A ). – La vie de M.

Bénigne Joly, IX, dévotion au Baptême, 37.

62

BEAUMONT (Christophe de), archevêquede Paris. – X, autorise la célébration dans l’églisede Saint- Roch de la fête du « Triomphe de laFoi », 218.

BEAUMONT-LES-TOURS (abbaye de). –II, 444 sq ; 468, 511. – VI, 11, 386. [24]

BEAUVAIS (Anne de), ursuline. – VI, Anneet son professeur de musique, 443, 444. v. DomFrançois Chamard.

BEAUVAIS (P de), s. j – Vie de Jean deQuintanadoine, II, 266, 269, 271, 272, 274, 276,321, 322.

BEAUVEAU (Gilles de), évêque de Nantes.– IX, 65.

BEAUVILLIER (Anne-Marie de), sœur dumarquis de Beauvillier. – II, 444. – VI, 12.

BEAUVILLIER (Claude de), comte de Saint-Aignan – II, 444. – VI, 12.

BEAUVILLIER (Françoise de), abbesse deSaint-Pierre-de-Lyon. – II, 497.

BEAUVILLIER (Marie de), abbesse deMontmartre. – I, 97 ; ses rapports avec Françoisde Sales, 101-103. – II, 156 ; reçoit à Montmartre-Anne de Jésus et les carmélites espagnoles, 307 ;395 ; elle ranime l'abbaye de Montmartre, 409 ;420 ; Marie de Beauvillier et les mystiques deMontmartre, 442-484 ; louée, de son vivant, àl'égal des plus grandes saintes, 442, 443 ; ceséloges surprennent un peu l’historien, 443 ; Mariede Beauvillier, novice à Beaumont-les-Tours, 444-

63

446 ; nommée abbesse de Montmartre, 446 ;succès de sa réforme, 452 ; Marie de Beauvillier etCharlotte Le Sergent, 476 ; Marguerite d’Arbouzeet M. de B., 486, 487 ; 496-500, 504, 534. – VI,11, 12.

Exercice divin ou pratique de la conformité de notrevolonté à celle de Dieu, II, 453.

BEAUVILLIER (Paul de) – II, 444.BÉCAN – XI, du précepte d'aimer Dieu,

259 ; 260, 261.BÈDE (vénérable). – VI, 223. – IX, 357.BEDEL (P ). – Vie de saint Pierre Fourier I,

254, 272 ; un vers anacyclique de saint PierreFourier, 317, 318.

BÉGASSIÉRE (P. de La). – III, sur ladévotion au Sacré-Cœur (article dans leDictionnaire d'Apologétique), 641.

BELCIER (Jeanne de). – V, 201. v. Jeannedes Anges.

BELETH. – IX, 36.BELLARMIN (cardinal). – II, 83, 148. – V,

la piété des Français, 53. - X, 52. - XI, 17, 259. –S., 201.

BELLATI (P.), s. j. – Les obligations d’un épouxchrétien envers son épouse, IX, des grâces attachées ausacrement de mariage, 321.

BELLAY (Joachim du). – I, 193.BELLECIUS (P ), s. j. – IX, 369.BELLEFONDS (abbesse Laurence de). – I,

341.

64

BELLEFONDS (Mère de). – Les œuvresspirituelles de Mme de Bellefonds, IX, de la vraieconnaissance de nous-même qui nous vient à lamort, 364.

BELLEFONDS (général de). – I, 341. v.Brébeuf.

BELLEFONT (Mère de). – Vie de Madame deBellefont, supérieure et fondatrice du monastère de Rouen,par le Père Bouhours, II, 415 ; son grand airinspirait de la crainte, 416.

BELLEGARDE (abbé de). – Réflexions sur leridicule et sur les moyens de l'éviter, III, 334.

BELLEGARDE (Octave de), archevêque deSens. – II, 356. – III, 327. – IV, 210 ; querelleavec Zamet, 210 ; défère le « Chapelet du Saint-Sacrement » à la Sorbonne, 210 sq. ; 212.

BELLÈRE (messire César de), frère aîné deLouise de Bellère. – V, 345.

BELLÈRE (François de), frère de Louise deBellère. – V, 345.

BELLÈRE (Pierre de), père de Louise deBellère. – V, 345. [25]

BELLÈRE DU TRONCHAY (Mlle Louise-Agnès de). – V, 340. v. Louise du Néant.

BELLESSORT (André). – L'apôtre des Indes etdu Japon, saint François Xavier, III, assaut que subità ses débuts, la Compagnie de Jésus, 204 ;triomphe de saint Ignace, 207 ; 491.

65

BELLET. – Vie du cardinal Le Camus, VII,228. – IX, lettre de Le Camus à Pontchàteau surla mort de Madame, 335.

BELLINZAGA (Isabelle-Christine). – XI,Achille Gagliardi et la charte de l’amour, 3-56 ;parallèle avec Mme Guyon, 6 ; auxiliaire de saintCharles Borromée, 6 ; affiliée à la Compagnie deJésus, 7 ; nouvelles enquêtes, 13 sq. ; accusée depréparer avec le Père Gagliardi une réforme desordres religieux, 14, 15, 16, 17 ; 25, 28, 53, 54,212. v. P. Viller, Dagens, H. Bremond, Guiseppede Luca.

BELLISSIME, curé de Saint-Galmier. – IX,197.

BELLOMER (abbaye de). – II, 411.BELLOT (Christophe), doyen de la collégiale

de Roye. – XI, il ouvre une école spéciale defilles, prélude à la fondation prochaine des Fillesde la Croix, 106.

BELSUNCE (François de), évêque deMarseille. – IV, 76, 197. – IX, 63.

BEMBO. – I, sa lettre à Pic de La Mirandole(une certaine forme divine de bien écrire), 519,520.

BÉNARD (dom Laurent). – I, 222, 381 ;Parénèses chrétiennes, citations : vision de saintOdon, 196 ; ne pas éteindre par l'étude la ferveurde l’esprit, 223 ; décadence bénédictine, 229, 230 ;l’abbé doit être savant, 230, 232 ; sur les jaloux,230 ; la science, remède contre les mauvais effets

66

de l’étude, 230, 231 ; les fastes de l’Église, 234,235 ; sur le portail de Reims, 235 ; les moines deCluny, 236 ; les attraits de la grâce, 237. v. domDidier Laurent.

BENCE (Jean), de l'Oratoire. – III, 156.BENDA (Julien). – Le Christianisme et la Mort

(N. R. F.), IX, 336.BÉNÉDICTINES. – II, la Réforme, 394-

441 ; abus réels, mais exagérés par les historiensde la Réforme, 400 sq. ; ruches endormies, maisvivantes, 452 sq ; les inspirateurs et les directeursde la réforme, 419 : influence des bénédictins,celle des ordres nouveaux, 421 sq. ; retour àl’observance accepté d'enthousiasme, 422 sq. ; laréforme et les réformatrices jugées du point devue des « anciennes », 425 sq ; opposition desfamilles, 429 ; une autre « journée du guichet »,429 ; facilité relative de la clôture ; difficultés pourle retour à l’ancien habit, 431 sq. ; retour à lacommunauté, 432 sq. ; la réforme dans laréforme, 437 ; introduction d'un esprit nouveau,437 ; influence des jésuites, 438. V. Abbesses.

BÉNÉDICTINES DE MONTMARTRE. –III, adoptent la fête du Cœur de Jésus établie parJean Eudes, 587.

BÉNÉDICTINES DU SAINT-SACREMENT. – III, adoptent la fête du Cœurde Jésus établie par le Père Jean Eudes, 587. – X,310.

67

BÉNÉDICTINS. - II, leur influence sur laréforme des bénédictines, 421 ; la réforme deSaint-Maur et Marie de Burges, 534, 535. – VI, nefont pas vœu d’érudition, 206. – VII, parallèle(par F. Vincent) entre le bénédictin et le jésuite,30 sq.

Gallia Christiana, IX, 285.BÉNÉDICTINS (Congrégation de France).

– VI, édition et traduction nouvelle de sainteGertrude, 213.

BÉNIN (dom), confesseur de l’abbaye deMaubuisson. – XI, 116, 118, 120. v. SœurEustochie.

BENOIST (P.), de l’Oratoire. – IV, 198. [26]BENOÎT (saint). – II, 189. – III, sa Règle est

moins un code qu’un traité spirituel, 184 ; n’avaitpas prévu Mabillon, 193 ; décrit l'ingénuitéchrétienne sous les traits de l’humilité, 531. – IV,569. – VI, 89, 193, 200, 218, 223. – X, 118. – S.,85.

BENOÎT (curé), confesseur de Henri IV. –II, 83, 99.

BENOÎT (Père). – XI, 124.BENOITE (Sœur). – Notre-Dame du Laus et la

vénérable Sœur Benoîte (Anonyme), VI, 422-425.BENOÎT DE CANFELD (Guillaume Filch),

capucin. – II, 135-168 ; sa conversion, 152 ; prièreautobiographique, 152 ; ses premièresimpressions en France, 153 ; ce qu’il pense de ladécadence du catholicisme français, 153 ; sur la

68

musique des églises en France, 154 ; son tableaude Notre-Dame, 155 ; prend l'habit de capucin,155 ; ses extases, 155 ; importance de son actionau point de vue mystique, 156 ; son prétenduquiétisme, 158 sq. ; frontispice synthétique de saRègle de perfection décrit, 160, 161 ; Marthe et Marie,161, 162 ; spéculation intellectuelle et viemystique, 162, 163 ; l’union mystique, 164 ;activité suréminente de la vie mystique, 164 sq. ;« annihilation » des activités inférieures, 165 ;union foncière de la vie active et de la viecontemplative, 165, 166 ; pratiquer et contemplerla Passion, 167 ; ses disciples, 168 ; 170, 192 ;Benoît de Canfeld et Mme Acarie, 207, 208 ; 234,244, 251, 260, 379, 419, 421, 433, 438, 444, 446 ;auxiliaire de la réforme de Montmartre, 450, 451 ;453, 477, 602. – III, 13, 14. – IV. 421, 475, 492. –V, 7, 74, 154. – VI, IV, 230, 233, 269, 446. – VII,50, 147, 266, 267, 271, 273. – VIII, 178. – X. 42.– XI, 55, 166, 169 ; l’Esprit et son ombre vraie,405, 406.

Règle de perfection réduite au seul point de la volontédivine, II, 156, 157, 158, 160-168, 170, 451, – VI,233. – VII, 270

Traité de l'oraison, II, 170.La Volonté de Dieu, XI, 165, 167. v. Fagniez,

Dedouvres.BENOÎT XIV. – II, 587. – X, Quæstiones

canonicæ, définition de la prière mentale et de laprière vocale, 3 ; 39, 144.

69

BÉRANGER. – I. 209, 212.BERBISEY (Marguerite de), mère de sainte

Chantal. – II, 538.BERCHMANS (saint Jean). – VI, 409. – S.,

ne pouvait lire les Confessions de saint Augustin,28. v. Peeters.

BERGER (Pierre), chanoine de Notre-Damede Paris. – II, éloge du Traité de l'Amour de Dieu deFrançois de Sales, 581.

BERGERET. – X, éloge des prières écritespar Pellisson, 252.

BERGH (dom). – IX, son rapport surl'Apostolat Eucharistique dans les couvents (CongrèsEucharistique de Londres) : sur l’Institut duSaint-Sacrement fondé par Zamet), 210.

BERGIER – XI. parle des Guérinets ouIlluminés de Picardie, 104.

BERGSON (Henri). – I, 222. – IV, 473. –VII, 331. – XI, 368, 390.

BERKELEY. – II, 468.BERLUC (Léon de). – VI, 427.BERMOND (Catherine de). – II. 27, 28, 35.BERMOND (Françoise de). – II, a contribué

le plus efficacement à l’établissement desUrsulines en France, 27, 28, 29, 30, 31, 35. v.Anonyme.

BERMOND (Jeanne de). – II, 32.BERNADETTE de Lourdes – V, 247.BERNARD (saint). – I, XXII, 116, 177, 178,

227, 510. – II, disciplines de la vie intérieure chez

70

les capucins conformes à la méthode [27] de saintBernard, 137 ; les faveurs divines sont toujourssecrètes, 423 : Marguerite d'Arbouze puisait danssaint Bernard des sujets de méditation, 490. –XII, 323, 660. – IV. 134, 162 ; à propos du « Tune me chercherais pas »... de Pascal, 378, 379 ;380, 459, 477, 489, 490, 547- – V, 276, 279. – VI,99, 311. – VII, 141, 149, 198, 283, 305, 359. –VIII, 16, 134. – IX, 249, 270, 271, 277, 321. – X.185, 204, 262, 312, 320. – S., 71, 315, 348.

Traité de l'Amour de Dieu, traduction Antoinede saint Gabriel, III. 26.

Sermons sur le Cantique des Cantiques, V, (serm.57) : « au mouvement de mon cœur j'ai compris laprésence de Dieu », 340. – VI. (Serm. 83) : sur lemariage mystique, 94. – XI, craindre est déjàgoûter, 324 : 380 : du retour (du contemplatif) deséclairs à la réflexion, 383, 385 ; contemplation :élévation suspensive, 393.

de Consideratione, IV, 531.BERNARD (P.). – VII, sa conduite avec les

blasphémateurs, 243.BERNARD (P ), des missions bretonnes. –

V, 90, 91, 92, 111, 138. v. MaunoirBERNARD (Claude), dit « le pauvre prêtre ».

– I, converti par Camus, 151. – III, 336. – IX,213. v. Thomas le Gauffre.

BERNARD (Claude), physiologiste. – S.,114.

BERNARD (dom), feuillant. – II, 9.

71

BERNARD (P. Henri), s. j. – Essai historiquesur les Exercices spirituels de saint Ignace, VIII, 29 ; surles textes de Nadal supprimés par ordre deMercurian, 188, 189 ; les chartreux de Colognedédient à saint Ignace une édition de Harphius,190 ; Bellarmin, Louis de Grenade, BalthazarAlvarez, Alphonse Rodriguez et les Exercices, 191.193 : délaissement des Exercices au XVIe siècle, enAndalousie, 192 ; prestige des Exercices menacé,194, 195 ; de la réaction antimystique de laCompagnie de Jésus, 196 ; accusationd'illuminisme de Melchior Cano contre laCompagnie, 197-200 ; les Alumbrados assimilésaux luthériens, 199 ; des controverses entrespirituels (v. Calunga), 200 ; Nadal et saint Ignace,212, 213 ; vocations, parmi les premiers jésuites, àla vie érémitique, 213 ; procès des Alumbrados àLlerena, 219, 220 ; sur l’Abécédaire d’Osuna.221 ; saint Thomas de Villeneuve et les Exercices,221 ; les Alumbrados, 222 : Carranza et Cano.223 ; Carranza, François Suarez, Cano,Dominique Soto et les Exercices, 225-227 ; 228 ;Mercurian et l'esprit de la Compagnie, 230 ;proscription des mystiques par le Père Mercurian,231 ; lettre du Père Mercurian au Père Cordeses,232, 233 ; excès de certains jésuites espagnols eumatière d'oraison (lettre du recteur d’Oropesa auPère Mercurian), 234, 235 ; sur le Père Gaspar deSalazar, 235 ; sur l'oraison du Père BalthazarAlvarez, 236 ; opinion du Père Gonzalès Davila

72

sur la direction du Père Balthazar Alvarez, 237 ;Mémoire écrit par le Père Alvarez pour justifierson oraison, 242 ; mémoire d’Alvarez envoyé àRome, 150 : ordre du Père Mercurian de s'en teniraux méthodes d'oraison enseignées par saintIgnace, 251 ; humilité et patience d'Alvarez, 252 ;le Père François Suarez juge « mauvais etdangereux », le mémoire du Père Alvarez, 252 ;citation de Louis de Grenade sur les règlesspirituelles et l’art de la grâce, 286. – S., 23.

BERNARD D’ARRAS P ) – Le ministèreprimitif de la Pénitence enseigné dans toute l'Églisegallicane. XI, 304, 318.

BERNARD DE BOLOGNE (P.), capucin. –I. parle d’Yves de Paris dans ses éloges decapucins illustres, 423. [28]

BERNARD DE CHARTRES. – I, portraitde « l'honnête homme », 5, 6.

BERNARD D'OSIMO (P.), provincial desCapucins. – II, 146, 147.

BERNARDIN DE MONTOLMO, capucin.– VIII, le vrai capucin devait, d’après lui, fuirl’étude, 217.

BERNARDIN DE SAINT-PIERRE. – Lavie et les ouvrages de Rousseau, X. Rousseau et les« Litanies de la Providence », 205.

Études de la Nature, X, Rousseau priant auMont Valérien, 205. v. Monglond.

BERNARDIN DE SIENNE, saint) – III, lecœur de la Vierge uni à Dieu par une incessante

73

contemplation, 649. – IX, Bernardin de Sienne,favorable à la légende de la Pâmoison de Notre-Dame, 277.

BERNARDINES. – II, 66. v. Ponçonas.BERNARDINES RÉFORMÉES

(Congrégation des). – VI, en Savoie et en France,417.

BERNIÈRES (abbé de), neveu de Jean deBernières. – VI, 258.

BERNIÈRES (Charles de). – XI, 158.BERNIÈRES (Ch. Maignard de). – IX, 58,

59. v. Féron, Ellies du Pin.BERNIÈRES-LOUVIGNY (Jean de). – II.

261 ; fut disciple de Charlotte Le Sergent, 480 ;492. – III, 3, 604, 627. – IV, 11, 256, 478, 479.483, 493, 494, 495, 498, 545, 554, 555, 581. – V,7, 154 ; réédition de sou œuvre, 155. – VI,organise l’envoi au Canada de religieusesmissionnaires ; ses rapports avec Marie del’Incarnation, 4 sq. ; autour de Jean de Bernières,229-266 ; l’originalité de son groupe : son chef estun laïc, 230 ; succès prodigieux de ses livres, 230,231 ; comparaison entre l’oraison ordinaire etl’oraison passive, 232 ; 415, 482, 483. – VII, 329.– VIII, 322, 323. – X, 42. – XI, 148, 332, 362,373. – S., 5.

Le Chrétien intérieur, IV, 477 – VI, 230, 231 ;condamné par l’Inquisition, 233. – Traductionsitaliennes du Chrétien intérieur et de ses Œuvres

74

spirituelles (Lettres), condamnées par l’Inquisition,233.

Lettre à la Mère Élisabeth, XI, il faut que Dieuseul opère la quiétude, 354. v. Mère de Blémur,Souriau, Mgr Dorey.

BERRYER. – S., 166.BERSIER (pasteur). – X, des formules

artificielles dans la prière improvisée, 341.BERTAUD (Mgr), évêque de Tulle. – VI, 312.BERTAUD, de la maison du prince de Conti.

– V, 267.BERTAUT. – I, 191, 201, 202, 290 : ses vers

retouchés par Camus, 374, 375.BERTHIER (P.). – Œuvres spirituelles du Père

Berthier, contiennent des « réflexions sur lesmaximes de M. de Bernières », VI, 234.

BERTHOD. – Lettres de M. Berthod, XI, l’âmene doit pas se mettre activement dans un videnaturel et infructueux, 354 ; préfère recoulement àintroversion pour quiétude, 389 ; du simple regard,391 ; la quiétude : amour lumineux etconnaissance, 397 ; c’est un enfer que ce nous-même quand Dieu par sa vérité le fait voir, 412 ;de la complaisance dans l’action, 413 :clairvoyance de l’âme devant sa misère, 413 ; letravail de la grâce affame et dépouille, 414.

BERTIN (P.). – IV, 28, 114.BERTRAND (L ). – Mélanges de biographie et

d’histoire, I, lettres de Richeome, 22, 29 ; une nuit

75

de saint Macaire, par Richeome, 64. – II. 336. –XI, 325, 326.

Bibliothèque sulpicienne : sur l’abbé de Baudry, I,525. – III, 420. – Mémoire de Baudrand, III, 420,421, 433, 494. [29]

BERTRAND DE BEUVRON (abbé H.). –Notice sur le monastère du Val-de-Grâce, II, 536.

BÉRULLE (Pierre de), cardinal – I, 32, 96,97, 159 ; Descartes a trouvé stimulantes lesÉlévations de Bérulle, 219 ; 220, 222. – II, Bérulleet l’Oratoire de Provence, 17 ; 22, 24 ; Barbe deCompiègne, 67 ; Nicole Tavernier, 70 ; amitié deBérulle pour le Père Coton, 106 ; 108, 120 : Mme

d’Aix, sœur du Père Coton, 131, 132, 133 ; 156,170, 202 ; fut seul dans le secret des stigmates deMme Acarie, 205 ; 228, 234, 237, 242 ; Mlle d’Abrade Raconis, 244, 245 ; 246, 251, 252, 253, 259,260, 262, 264 ; Bérulle n’a pas eu dans lafondation du Carmel (en France) le rôleprépondérant que certains lui prêtent, 265 ; 274,281, 283 ; il pose la première pierre du prieuré deNotre-Dame-des-Champs, 285 ; 287, 289, 290,294, 296 ; voyage eu Espagne pour la fondationdu Carmel en France, 297-299 ; 302, 303, 305,306, 310 ; fondation du Carmel de Dijon, 312,313 ; 314, 315, 316, 317 ; Bérulle et Madeleine deSaint-Joseph, 323-330 ; Bérulle écrit la préface dela vie de Catherine de Jésus, par la MèreMadeleine de Saint-Joseph, 331, 332, 333 ;correspondance de Catherine de Jésus avec

76

Bérulle, 341, 342 ; Bérulle et Marguerite Acarie,347, 351, 353, 355, 356, 362 ; Bérulle directeur duPère Philippe Thibaut, 373 ; 419 ; Louise del’Hospital, 420 ; les carmélites et Bérulle, 439 ;454 ; Marie Alvequin, 457 ; l’Oratoire duFaubourg Saint-Jacques, 503 ; sainte Chantal, 556.– III, Ch. 1, 3-21 ; l’exceptionnelle grandeur deBérulle, 4 ; il ne s’impose pas à première vue, 6 ;raisons qui invitent plutôt à lui résister, 6 ;« l’oubli et le mépris auquel il a été après samort », 7 ; conversion d’une calviniste, 9-13 ;autodidactisme, 13, 14 ; relations avec Mme Acarieet son groupe, 14 sq. ; relations avec les jésuites,15 sq. ; la retraite de Verdun, 16 sq. ; soncurriculum vitæ, 20, 21 ; activité politique, 21 ; larévolution théocentrique, 21, 24 ; longuedomination du point de vue anthropocentrique,24 sq ; sources de sa doctrine, 32 ; a « renouveléen l’Église la vertu de religion », 33, 34 ; toute savie intérieure consiste à confesser joyeusement lagrandeur de Dieu, 38 sq. ; le silence de Dieu, 38 ;un sublime nouveau, 39 ; mission diplomatiqueen Angleterre, 41 ; la « mission de l’Homme-Dieu » et la génération éternelle du Verbe, 42 ; sadoctrine : la dévotion au Verbe incarné, 43-110 ;Et Verbum caro factum est, 51-61 ; le parfaitadorateur, 61-64 ; les « États » et 1’« Intérieur » duVerbe incarné, 64-79 ; « Vivo ego, jam non ego », 79-88 ; Jésus en Marie, 88-98 ; Jésus dans les saints,98-110 ; la principale application de la religion

77

chrétienne va à l’Incarnation, 43-51 ; renouvelle ladévotion au Verbe incarné, 43-51 ; dévotion auVerbe incarné refroidie en général, 46 ;continuellement « occupé de Jésus-Christ », 48 ;don particulier de « lier » les âmes à Jésus-Christ,48, 49 ; Jésus-Christ « lui-même, considéré en sonêtre divinement humain », 51, 52 ; réalisationintense et constante du mystère de l'Incarnation,53 ; le « divin composé », 54 ; n’est pas moinsoccupé « de la vie terrestre de Jésus » que du« Christ céleste », 56, 57 ; plus disciple de saintJean que de saint Paul, 56 ; la dévotion médiévale,58 ; les Exercices de saint Ignace, 58, 59 ; lepseudo-Bonaventure, 59 ; tendresse et gravité,60 ; Bérulle et Lacordaire, 60 ; le parfaitadorateur, 61 ; l’Oratoire n’a pas le monopole dela dévotion au Verbe incarné, 61 sq. ; le Christ,« objet et moyen suprême de la religion », 62-64 ;le Christ « grand sacrement de piété », 63 ;« l’Adorateur infini », 63, 64 ; Bérulle a enrichi lalangue de la dévotion ; sens [30] nouveauxdonnés aux mots ordinaires. 64, 65 ; actions,états : excellence particulière des états, 65 ; leChrist adorant par état, 66 : dévotion auxcommencements de Jésus, 67 ; la dévotion de B,au mois de Marie, 67 ; ses prétenduesabstractions, 68 ; la dévotion au Sacré- Cœur, 71,72 ; simplification de l’ascèse traditionnelle, 73,74 ; transformation théocentrique du problèmemoral, 74 ; tous les jours et tous les moments du

78

Christ sont adorables, 74 sq. la dévotionbérullienne a pour objet tout le connu et toutl'inconnu de l’être et de l’histoire du Christ, 76 : afait « comme l'anatomie » de tous les mystères,77 : « la fête de Jésus-Christ », 77-79 : la « fête deJésus » honore tout le « composé adorable del’Homme-Dieu », 78 : « la substance de notre êtreconvertie en une relation pure » vers Dieu, 83 :prémisses mystiques du bérullisme, 87, 88 ; adieuxà la dévotion médiévale, 93, 94 : l’état et le nouvelêtre de la Vierge 95 sq. : Marie, pure capacité deJésus, remplie de Jésus, 96-98 ; les saints « liés » àla personne du Verbe et par ce qu'ils ont de pluspersonnel, 100 ; Bérulle consulte le Père Cotonsur son éloge de sainte Madeleine, 102 sq. : lestyle de Bérulle, 109, 110 : les calomniateurs del'adoration bérullienne, 120 sq ; l’adorationbérullienne est un « recueil des principales vertuschrétiennes », 122 ; caractère lyrique de la religionbérullienne, 124-126 : adhérence, 127-154 ; del'adoration à l'adhérence, 127 sq : adhérencebérullienne et communion des sulpiciens, 127-128 ;l’ascèse traditionnelle et la bérullienne, 133, 134 :critique de l’ascèse traditionnelle et des moralistespaïens, 134 sq. ; l'ascèse bérullienne estthéocentrique, 137, 138 ; caractère pratique del'ascèse bérullienne, 139 ; actes qu'elle commande,désire et demande, 140, 141 ; ratification, 142-145 ; l'état de servitude, 146-154 ; l’ascèsebérullienne tend à établir des états, 146 sq ; ces

79

états sont actifs, mais d’une activité particulière,147 : l'état de servitude, fin suprême de l'ascèsebérullienne, 147 sq. : orientation mystique de sonascèse, 150, 151 : vœux d'esclavage, 151 : Bérulleet le bérullisme ; travail intérieur qui prépare sadoctrine, 152-154 ; prébérullisme, 153 : missionde Berulle en fondant l’Oratoire, non deréformer, mais de sanctifier le clergé, 127 sq ; 174,177, 178, 179, 180, 182, 183, 192 ; Bérulle et laCompagnie de Jésus, 197-215 ; le mémoire desJésuites à Richelieu contre Bérulle, 200 sq. : 203,204 ; maladresses de Bérulle dans la querelle entrel’Oratoire et les Jésuites, 205 sq. ; le Discours del’État et des grandeurs de Jésus et le branle-bas desapprobations, 207 sq. : 212, 214, 219 ; Bérulle etVincent de Paul, 222-257 ; 223, 224, 230, 232.Jésuites bérulliens, 258-279 ; 264, 272, 275, 276,277 ; dirigé par le Père de Condren, 292 ; 296,312, 321, 322, 323, 326, 327, 335, 336, 349, 350,353, 355, 356, 357 ; abondance de formulesreligieuses dans la littérature bérullienne, 389 sq ;425, 460, 461, 466, 478, 485, 488, 494, 496, 512,514, 524, 525, 534, 535, 537, 540, 551, 552, 553,555, 571, 590, 633, 634. 635, 640, 643. 644, 645,653, 659, 665, 666, 671, 673, 674, 675, 676, 680,681, 682, 683. – IV, 21, 25, 26, 28, 29, 30, 32, 37,38, 39, 40, 102, 115, 118, 141, 160, 175, 198, 205,212 ; l'homme de l’Église universelle, 253 : tenirtout de Jésus-Christ, 262, 263, 279, 284, 301, 347,387 : regarder Dieu et non soi-même, 395 ; 421. –

80

V, 27, 36. 62, 74, 162. – VI, 235, 305, 311, 400,410. – VII, 24, 50. 110 ; François de Sales etPierre de Bérulle, Ch. III, in toto ; 128 ; théorie des« états », 133, 134 : identité foncière de laphilosophie salésienne et de la bérullienne, 139 ;141, 196, 200, 201, 216, 218, 231, 384- – [31]VIII, 279, 280, 294, 295, 327. – IX, 3, 134, 138,209, 224, 248, 249 ; la dévotion mariale serattache constamment chez lui au mystère del’Incarnation, 251 ; 266, 273, 284, 294, 298. – X,57, 180, 204. – S., 23, 60, 61, 121, 122, 164, 165,168, 170, 354, 355, 359.

Œuvres complètes (Migne), III, Mlle de Raconisraconte sa conversion, 13 : Bérulle et les Exercices ;ses notes de retraite, 17-20 ; regarder Dieu et nonsoi-même, 29 ; le silence de Dieu, 38 ; Il veut lui-même se glorifier en nous, 39 ; les mystères« passagers » et le mystère perpétuel, 52 ; de la viedivinement humaine et humainement divine del’Homme-Dieu, 53 ; le Verbe toujours naissant enl’éternité, 54 ; le Verbe, fleur, germe et fruit toutensemble, 55 ; la vie humaine du Verbe incarné,55, 56 ; le sujet de la naissance de Jésus communà tous ; contemplation de la crèche et, toutensemble, des grandeurs et des abaissements, 57 ;des trois demeures où chercher le Verbe, 58 ;l'état de Jésus dans le monde et dans la loi, avantqu’il vienne au monde, 59, pureté et sublimité desainte Madeleine, 60 ; le Verbe lumière, 61 ; leChrist, « objet et moyen suprême de la religion »,

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62-64 ; États et Actions eu Jésus-Christ, 65 ; lesÉtats et le « fond » des mystères, 66 ; les vies de laVierge au regard de son Fils, 68 sq ; l'Incarnationest un état permanent, 69 ; l’état intérieur dumystère extérieur, 70 : dévotion au Sacré-Cœur,71, 72 ; chaque fidèle s'appropriant certains étatsde Jésus 73, 74 ; de l’Homme-Dieu doit émanercontinuellement un monde d’effets excellents, 75,76 ; Jésus « capacité divine des âmes », 82, 83 ;l'homme « capacité de Dieu » ; l'être de l'homme.« vide qui a besoin de se remplir », 83-86 ;désappropriation et anéantissement du moi, 87,88 ; le regard de Dieu sur Marie ; la plus hautepensée que le Très-Haut ait sur tout ce qui estcréé, 89, 90 ; élévation sur « l’état » de la TrèsSainte Vierge avant l’Annonciation, 91 ;l’Annonciation, 91-94 ; l’état et le nouvel être dela Vierge après l'Incarnation, 92, 96 ; elle estindissolublement unie aux états du Verbe, 96, 97 ;les deux éléments de l’adoration, 118 ; 120 ;adoration et adhérence, 128 ; adhérence à l’êtredivin et aux états du Verbe incarné, 129, 130,131 ; adhérer à tout l’inconnu de Jésus, 132 ;adhérence, programme complet de la viechrétienne, 132, 133 ; aimer la vertu plus parrelation et hommage à Jésus-Christ que par désirde la même vertu en soi- même, 136 ; 138, 140 ;s'exposer aux « influences » et aux « impressions »de l’esprit de Dieu, 142, 143 ; oblation à l’enfance,148 ; oblation en état de servitude au Père éternel,

82

148 ; spiritualité oratorienne, 169-173 ; le sens oùnous conduit la vision de la crèche est fort etsévère, 516 ; l’enfance, l’état le plus vil et le plusabject après celui de la mort, 516, sq. ; 525. – XI,la vie que nous recevons de Jésus-Christ nerespire que croix et abnégation. 4 ; traductionlibre par Bérulle du Breve compendio sous le titre deBref discours de l’abnégation intérieure, 24 sq. ; 26, 28 ;avant-propos, 28 sq. ; versions comparées destraductions Bérulle et Binet du Breve compendio, 29,30, 31 ; Bref discours, fermer à l’amour-propre lesdélectations de la partie supérieure de l’âme, 33,34 ; renoncer non au désir de la vertu, mais à lapropriété par laquelle l’âme est attachée à cequ’elle désire, 36, 37 ; purifier le désir de la gloireéternelle, 38 ; Dieu enlève à l'âme le pouvoir deréfléchir sur son intérieur, 40 ; Dieu élève l’âme àune manière d'opérer la vertu, plus simple et plusparfaite, 42 ; 44, 47, 53, 54, 55, 56, 167, 189, 190 ;à propos de sa consécration à Jésus et à Marie,191 ; 193, 194, 199, 200, 202, 222, 232. 270. [32]

Élévations à Jésus-Christ Notre-Seigneur sur laconduite de son esprit et de sa grâce vers sainte Madeleine,III, 100, 101 ; Madeleine et « l’ordre de l'amour »,102 ; 103, 104 ; le banquet chez le pharisien, 105,106 ; sainte Madeleine et le Calvaire, 107 ; l'amourséparant, 108.

Discours de l’état et des grandeurs de Jésus, III, parla vertu de l’amour puissant de Jésus, la substancede notre être change d’état et de condition, 80 ;

83

202, 263, 634 : approbations du livre parRichelieu, La Roche-Posay, Zamet, dom Sans,Henri de La Grange, Hardivillier, Frogier,Eustache de Saint-Paul, Philippe Cospeau, 208 ;Grillié, P. Joseph de Paris, Nicolas Bourdon, 209 ;J.-P. Camus, 209, 210. – VII, deux voies et deuxmanières d’honorer Dieu (citation de Séguenot),131. – XI, 191, 203, 223.

Élévations (sur sainte Madeleine), I, 384.Élévations, IV, 31.Élévation à la Sainte Trinité, III, 45.Vie de Jésus, III, 24.Opuscules divers de piété, III, 24.Traité de l'abnégation intérieure, III, 24.Traité des énergumènes, III, 24.Mémorial de direction pour les supérieurs, III, 24.Retraite de M. le cardinal de Bérulle, III, 32.Office de Jésus pour le jour de l'octave de sa fête, III,

78, 79.Officium solemnitatis Domini Jesu, III, 79.Narré de ce qui s'est passé au sujet d'un papier de

dévotion dressé en l'honneur de J.-C. N.-S. et du mystèrede l’Incarnation, III, 202. v. Houssaye, GermainHabert, Tabaraud, Batterel, Perraud, Bossuet,Eudes, Quarré.

BÉRULLE (Mlle de). – II, 237.BESGUE DE MAJAINVILLE. –Hymnes du nouveau Bréviaire de Paris traduites en

vers français, X, 178.BESIAT (Pierre). – VI, 181.

84

BESNAULT (Sébastien), hymnographe, curéde Saint-Maurice de Sens. – X, 65, 66, 91, 92, 94 ;strophe d’une hymne pour la Circoncision, 103 ;traduction en vers français, 104 ; hymne pour laCirconcision, 127, 128, 129 ; traduction d’unestrophe de cette hymne en vers français, 129, 145.

BESSE (Pierre de). – I, 193 ; Héraclite chrétien,309 ; Démocrite chrétien, 309.

BETHLÉEM. – Note sur les évêques- dits deBethléem, VI, 430.

BÉTHUNE (Anne-Berthe de), abbesse deBeaumont-les-Tours. – II, 444, 455 ; fut élève deCharlotte Le Sergent, 468 ; 478, 482, 484. – VI,12, 386. v. chanoine Boissonnot.

BÉTHUNE (Marie de), abbesse de Gif. – IV,593, 594.

BÉTHUNE (Hippolyte de). – VI, 12.BEURRIER (Paul), génovéfain. – Mémoires,

publiés par E. Jovy, IV, 406 sq. ; dernièreconfession de Pascal, 406, 407 ; 445. – IX,premières impressions religieuses de B., 326. – X,ces Mémoires contiennent de curieuses formules deprières, 293, 298 ; prière devant la mer, 302-305. vJovy.

BEUVELET (Mathieu). – X, 298 Conduitepour les exercices principaux, X, Directions pour lesfonctions du prêtre : pour baptiser, 305, 306 ;pour donner la communion, 306 ; pour lesacrement de Pénitence, 306, 307 ; pour la visitedes malades, 307 ; pour le sacrement de mariage

85

et bénédiction du lit, 307 ; pour le clerc dessacrements, 307, 308 ; pour le catéchisme, 308 ;pacte avec Notre-Seigneur pour lui faire offre detoute la journée, 308, 309. [33]

BÉZARD (Yvonne). – IX, a publié les Lettresdu Président de Brosses à Ch. C. Loppin de Gémaux,351.

BÈZE (Théodore de). – VI, 257.Bible de Douai, I, 178.Bible de Louvain, IX, 329.Bibliothèque janséniste. v Colonia,Bibliothèque du protestantisme français, IX, 97.Bibliothèque d'un Senonais, I, 423.BICHI (cardinal). – VI, 426.BIDAULT DE SAINTE-MARIE. – De la

dévotion des quinze communions pendant quinzemardis..., IX, 244.

BIGNON. – IV, 46.BILLECOCQ (P.), o. p. – VIII, 4-7 ; 12.Les voies de Dieu, VIII, critique de l’action,

424, 425 ; connaissance expérimentale de la grâce,425-427 ; de l’incertitude du saint, 427-429 ;l'acceptation hypothétique de l’enfer, 429-433.

BILLETTES (église des). – IX, miracle del’hostie poignardée par un juif, 220 ; Adorationmiraculeuse et royale du Très Saint Sacrement del'autel dans l’église des Révérends Pères Carmesdu couvent du Très Saint-Sacrement des Billettes,220.

86

BILLOT (cardinal). – III, lettre sur saint JeanEudes et la dévotion au Sacré-Cœur, 588, 589.

BINET (Etienne), s. j. – I, 76, 128-148 ;influence de saint François de Sales, 128 ;imagination somptueuse, très beaux donsd’écrivain, mais peut se classer parmi lesburlesques, 131 ; notes biographiques, 131, il estbon d'être aveugle et sourd, 132, 133 ; éloge de lasurdité, 133 ; le concert des vertus, 133. 134 : lacolère des femmes, 134, 135 ; les héritiers, 135 ;l’homme de foi, 136 ; les gemmes de la foi, 136 ;aux hommes sans foi, 137 ; verbiage oratoire ; sonattitude envers le mysticisme, 138 ; méditation surle sacrifice d'Isaac, 139, 140 ; sur le paineucharistique, imaginations fâcheuses, 141, 142 ;conseille d'orner sa chambre d'images pieuses,144 ; sur les images lascives, 144 ; musique etdévotion, 144 ; la grâce est gaie, active, ardente,145 ; la miséricorde divine, 145 ; il dépouille, avecl'âge, sa truculence, 146 ; la mansuétudeévangélique, 147 ; à l'école des Anges, 147, 148 ;la tendresse du pape Grégoire, 148 ; un desmeilleurs panégyriques de saint François de Sales,148 ; 179, 258 ; sur la guerre, 259 ; s'intéresse auxspectacles de la vie commune, 260-264 ; 267 ; lagoutte, 310, 311 ; la médecine et les médecins,312-316 ; 425, 532. – II, 59 ; a collaboré au livredu Dr André Duval sur Mme Acarie, 228, 229 ; saprofonde humilité, 234 ; 237, 240, 242, 244, 246 ;sur Marguerite Acarie, 344 : sur Marguerite

87

d'Arbouze, 491, 492 505, 506, 517. – III, 226,644. – IV, 26, 182, 205, 326. – V, 98. – VI, 76-78 ; voulut écarter sainte Chantal de certainspoints des directions de F. de Sales, 78 ; 80, 82,451, 507. – IX, 247, 250. – XI, a traduit le BreveCompendio sous le titre Abrégé de la perfectionchrétienne, dans le Recueil de ses Œuvres spirituelles, 25,26, 28 ; 30, 31 ; au lieu d'une vertu créée, ne plusdésirer que la volonté de Dieu, 36, 37 ; dépouillerle désir de la gloire éternelle, 38 ; de la privationdu sentiment de la vertu et des tentations qui sontla suite de celte privation, 39, 40 ; Dieu enlève àl’âme le pouvoir de réfléchir sur son intérieur, 40,41 ; Dieu dépouille l'âme des actes mêmes devertu ; plus de vertu possible si ce n'est de vouloirce que Dieu veut, 41, 42 ; Dieu dépouille l'âme del’acte même de conformité ou d'amour, 44, 45 ;n’entend pas que le premier venu s’aventure surde tels sommets, 44 : dans une telle [34] passivité,jamais on ne perd les actes extérieurs de vertu, 45,46 ; 47 ; l’âme, privée non seulement de sa vertuactive mais aussi de la passive, 48, 49 ; de la hautespiritualité du Breve Compendio, 51, 52 ; la doctrinedu Breve Compendio aisée à pratiquer et à entendre,52 : 54, 55, 193, 194, 199, 200.

Réponse aux demandes d’un grand prélat (Zamet)touchant la hiérarchie d'Église et la juste défense desprivilégiés et des religieux (sous le pseudonyme deFrançois de Fontaine), I, 131.

Le riche sauvé par la porte dorée du ciel, I, 132.

88

La fleur des psaumes, I, 133-139, 145.La consolation aux malades, I, 134, 135, 143,

144, 145, 310-316.Les attraits tout-puissants de l'amour de Jésus-

Christ, I, 140-142 ; 195.Du gouvernement spirituel doux et rigoureux, I,

146-148.Le grand chef-d'œuvre de Dieu et les souveraines

perfections de la Sainte Vierge, I, 146.Recueil des œuvres spirituelles du Père Binet, I, 190,

195.De la sainte hiérarchie. Vie de saint Aldérald, I,

369.Essais des merveilles de nature et des plus nobles

artifices (sous le pseudonyme de René François) ; I,« Table » de l’ouvrage, 258 ; 259, 260, 261, 262,264, 265.

Remarques (anonyme) publiées contre leChapelet secret par un jésuite (que l’on croit être lePère Binet), IV, 211. v. Godefroy (Paul), domClaude Martin.

BIROT. – Le Sacrifice, IX, 134.BISHOP (Edmund). – X, sur un type de

litanies, 184, 185.BISSETT PRATT (James). – The religions

philosophy of William James, VI, sur le témoignagedes mystiques, 11 ; W. James et le sentiment deDieu, 111.

The religious consciousness, VI, la théologie,première science de l’enfant, 13 ; l’instinct

89

d’imitation de l’enfant, 15. – VII, le charmemagique comparé à la prière, 13. – X, prayer andprivate worship, 12. – S., la prière n’est pas néedu charme magique, 19 ; faute d'une foi active, laprière n’est plus qu’une simple méditation, 62.

BISSY (de), évêque de Meaux. – IX, 176.BITZIUS (A.), protestant. – X, recommande,

dans le culte, suivant l’heure, combinaison desformes fixes et des formes libres, 342.

BLAMPIGNON. – Massitlon, III, 157.Étude sur Malebranche. IV, 298.BLAMPIN (dom), bénédictin. – VI, a

travaillé à l’édition des Œuvres de saint Augustin,208.

BLANCHARD (A.), prieur de Saint-Marc-les-Vendôme. – Nouvel essai d'exhortation pour lesétats différents des malades, IX, 350 ; exemplesd’exhortations, 356, 357, 358.

BLANCHARD (P.), s. j. – III, 564, 568.BLANCS-MANTEAUX (couvent des). – VI,

82, 87.BLANLO, sulpicien. – L’Enfance Chrétienne,

III, l’attrait de l’enfant, 522, 523 ; l’espritd’enfance, 525, 526 ; l’abandon à Dieu figuré parl’enfance, 527, 528 ; se laisser conduire par Jésus-Christ, 529, 530.

BLÉMUR (Mère de), bénédictine. – I, 253,254. – Éloges de plusieurs personnes illustres en piété del’ordre de saint Benoit, II, Anne Le Barbier, bergèremystique, 66 ; les « Éloges » de la Mère de

90

Blémur ; parallèle avec Madeleine de Chaugy,396 ; son beau talent, 397 ; ses vues sur lamystique, 398 ; notice sur Françoise de Foix,abbesse de Saintes, [35] 398 ; 400 ; les religieusesde la Pommeraye déguisées en bergères, 401 ;Laurence de Budos, 401, 419, 435 ; les jeunesabbesses et Henri IV, 402 ; persistance, avant laréforme, de la vie claustrale, 402, 403 ; extrêmejeunesse de certaines abbesses, 405 ; Renée deLorraine est portée, à six semaines, à l'abbaye deSaint-Pierre, 405, 406 ; Anne de Plas et laprincesse Palatine, 406 ; Mère Anne de Jésus etMlle de Praslin, 409 ; prestige des réformatrices ;leur érudition, 410 ; Anne d’Aligre, 397 ; le prêtreastrologue, 411 ; tentations contre la foi, 411,412 ; 419, 425, 426 ; Françoise de La Châtre, 412 ;Françoise de Foix, 413, 417, 423, 424 ; Luce deLuxe, 415 ; Guyonne de Médavy, 417 ;Marguerite de Kircaldi, 418, 426 ; les ouvriers dela réforme de Montmartre, 420 : les bénédictins etleur rôle primordial dans les réformes, 421 ;réforme de Chelles, de Saint- Pierre de Reims,422 ; de Beauvais, 422, 423 ; Marie de Lorraine,426, 427 ; Marguerite de Quibly, 427, 428 ; MarieLescuyer, 428 ; Claude de Choiseul, 428, 429,434 ; Laurence de Budos rétablit à la Trinité deCaen la clôture et prescrit le retour à la règlecommune, 431 ; Madeleine de Sourdis, 433, 434 ;la querelle du surplis noir à Saint-Paul deBeauvais, 436 ; Laurence de Budos initie ses

91

religieuses à la pratique des Exercices spirituels, 439,440 ; de Châteauneuf aide ses jeunes religieuses àfaire oraison, 440, 441 ; Marie de Beauvillier, 444,445, 446 ; les sœurs Alvequin et le Frère Jean,449 ; Benoît de Canfeld et Ange de Joyeuse, 450,451 ; Geneviève Granger, 455 ; Marie Granger,458-467 ; la Mère de Blémur marque peu de goûtpour la prière trop disciplinée, 470, 471.

Éloge de la Vénérable Mère Élisabeth de Brème(dévotion aux premiers jeudis du mois), IX, 245.

Exercice de la mort, IX, 245 ; de la pénitencetardive, 334 ; 361 ; retraite de trois jours pour cetexercice, 364, 365 ; paraphrase des onctionsrituelles : aux yeux, 366 ; proteste à l’avancecoutre le manque de confiance possible à l'heurede la mort, 370, 371 ; acte de suprême espérance,374. – X, 190 ; contient la formule oratorienne ;« O Jesu vivens in Maria », 310 ; baiser les plaiessacrées du Christ, 347.

Abrégé de la vie de ta Vénérable Mère Charlotte LeSergent, XI, son esprit était sans aucun attrait pourune prière toute passive, mais l'intime de son âmey trouvait des délices ineffables, 345, 346 ;Charlotte Le Sergent soupçonnée d'illuminisme,346 ; justifiée et vénérée, elle dirige l'abbaye deMontmartre dans les voies qui lui sont familières,347.

BLOIS (comte de). – III, 325.BLOIS (Louis de), bénédictin. – VIII, 294,

301. v. Blosius.

92

BLOIS Pierre de), Petrus Blesensis. – I, del’étude des anciens, 5, 6.

BLONAY (Mère), visitandine. – II, 584.BLONDEL (Maurice). – IV, 238. – VI, 457.

– VII, sur la connaissance réelle (Procès del’intelligence), 134. – VIII, 393. – XI, des étatsmystiques (Cahiers de la Nouvelle Journée), 354 ; 371,400.

L’anticartésianisme de Malebranche, III, pourMalebranche la philosophie, c'est la vraie religion,220 ; 384. v. Lefèvre.

BLOSIUS. v. Louis de Blois.BLOUET DE CAMILLY (Jacques). – III,

592.BLOUET DE CAMILLY (Jean-Jacques). –

III, 600.BLOY (Léon). – VIII, 33.BOBUSSE (René), sacristain à l’abbaye de

Gif. – IV, 592. [36]BOCHART DE CHAMPIGNY (Charles),

conseiller au Parlement de Paris. – II, fut pour sacousine, Mme Acarie, une sorte de directeurspirituel, 3.

BOCHART DE CHAMPIGNY (P.Honoré), capucin. – II, seconda plusieursabbesses dans leur œuvre de réforme, 151 ; 200.

BOCQUILLOT (Lazare). – I, le baptême desmonstres, 237. – X, 34.

93

Vie et ouvrages, de M, Lazare Andre Bocquillot,IX, lettre à Mabillon sur les exorcismes duBaptême, 25.

Homélies un Instructions familières sur lescommandements de Dieu, IX, comment vivifier la foichez les enfants par le vivant souvenir de leurbaptême, 39.

Homélies sur l'Oraison dominicale, IX, desdévotions extérieures, 270 ; sur l'Angelus, 282.

Homélies, IX, du devoir des mères d’allaiterleurs enfants, 311.

BOÈCE. – I, 5. v. Dodord.BOEHMER. – S., valeur de la méthode des

Exercices, 43, 44.BOHYRE (P.), s. j. – VIII, 282.BOILEAU (abbé), prédicateur, académicien.

– IX, 337.BOILEAU (abbé J.-J.), dit de l’Archevèché. –

IV, 483, 485. – IX, 32, 72, 337, 380. – XI, 303.Lettres de Monsieur B... sur différents sujets de

morale et de piété, IX, conseille la communionfréquente, 67 ; la mort du duc d’Epernon, 335 ; lamort de la duchesse de Luynes, 337-350. – X,pratiques de piété ; se tenir fort éloigné de l’autel,346 ; prosternations, 346 ; baiser les pieds ducrucifix, 347 ; ce recueil contient la lettre sur levertige de Pascal, 349.

Relation abrégée (non signée) de la vie de Mme deCombe, institutrice de la Maison du Bon Pasteur,X, 214.

94

BOILEAU-DESPRÉAUX. – I, Godeauréfute à l’avance ses théories sur l’art chrétien,198. – IV, 17, 292 ; a presque adoré le grandArnauld, 306 ; 473. – V, 152. – VI, 468, 471, 480,486, 495, 496, 503. – X, sa réponse à Louis XIVau sujet de Letourneux, 40 ; 62, 63 ; n’aimait pasSauteul, 67 ; 75, 79, 99, 100, 181, 319. – XI, 186,187, 230, 246, 315, 435 – S., 53, 107.

Art poétique – VI, 500. – X, 66, 67.Le Lutrin, IV, 51.Épître sur l'amour de Dieu, IV, 306 – VIII, 98 –

XI, 233, 278 ; glorification inconsciente dusirmondisme, 279 ; 304, 305.

BOINET (Madeleine). – V, hérite de l’espritmystique de Marie Baron, 172 ; la Sainte Viergelui manifeste le glorieux privilège de sonImmaculée Conception. Sa conversion, 173 ;institutrice chez Mme de Saujon, 174 ; assisteMarie Baron à son lit de mort, 174 : prend soindes deux filles de Marie Baron, 175 ; sa mort,176 ; persécution démoniaque, 176 ; aida par sesprières et pénitences le Père Surin dans sesépreuves d’exorciste à Loudun, 177 ; 182, 197. v.Père Surin.

BOIS (M.-H.). – La prédestination d'aprèsCalvin, IV : « ce qui nous épouvante, c'est ce quirassure Calvin », 324 ; théorie de l’élection, 331 ;témoignage du Saint-Esprit, 338 ; crainte etcertitude, 377.

95

BOIS (du). – IV, sa théorie littérairechrétienne, 14.

BOIS (Antoine du), v. Fontaine-Maran.BOIS de la Salle (Gabriel du), seigneur de

Roguédas. – V, 128 ; son témoignage sur Armelle,I3I, I32.

BOISROBERf. – VI, 449, 452.BOISSAT, académicien. – X, sa dévotion une

fois converti, 348. v. Pellisson.BOISSERIE (dom Arnaud), bénédictin,

prieur de la Daurade, à Toulouse. – VI, 181.BOISSIEU (P. Antoine), s. j. – La vie de la

Vénérable Mère Jeanne Chézard de Matel, VI, 269.[37]

BOISSONNADE. – I, 4.BOISSONNOT (chanoine). – La Lydwine de

Touraine, Anne-Berthe de Béthune, II, 444 ; 482. – VI,12, 386 ; a publié dans ce livre des lettres deMechtilde du Saint Sacrement à Anne deBéthune, 386.

BOISTARD (dom Claude). – VI, 100, 213.BOISY (Mmo de), mère de saint François de

Sales. – I, 93. – II, 547.BOIVIN- l’aîné. – X, fit vœu d’écrire chaque

année une pièce en prose ou en vers en souvenirde sa mère, 266 ; sa prière, Flux de mélancolie(Histoire de l'Académie des Inscriptions), 266, 267 ;270, 271.

96

BOLGENI (P.), s. j. – XI, avait vouluprouver que la charité n’est qu’un amour deconcupiscence, 258.

BOLLANDISTES. – VIII, 233.BON (Marie). – VI, 421, 422. v. P. Jean

Maillard.BONA (cardinal). – VI, 394. – VII, 322. –

VIII, 301, 323. – IX, 231.BONAL (François), franciscain. – IV, 19 ;

dénonce à l'avance la secte janséniste, 304.Le Chrétien du temps, I, de l’Écriture sainte,

392, 393 ; contre la théologie inhumaine, 393,394 ; la démangeaison de disputes, 395 ; la docteignorance, 396, 397 ; fermer les livres des docteset ouvrir l’Évangile, 398 ; de l’autorité de saintAugustin, 399 ; le pharisaïsme, 400 ; letempérament janséniste, 401 ; les philosophestragédiens, 401 ; le jansénisme, une religion deroman, 402 ; à propos des arguments sur la puretéde la primitive Église, 402, 403 ; la fable de l'âged’or, 403 ; exaltation par les jansénistes de laprimitive Église aux dépens de la moderne, 404 ;prétendue décadence du Christianisme, 405, 408 ;la charité, abrégé de la dévotion, 408 ; les deuxâges de l'Église et les merveilles de sa vieillesse,408-410 ; louange de son temps, 409 ; le romanjanséniste de la grâce, 410 ; conséquence de lathéologie inhumaine, 411 ; elle fait des infirmesdésespérés et des libertins impénitents, 412 ; dusalut des infidèles, 414, 415 ; des enfants morts

97

sans baptême, 415, 416 ; Agar et Ismaël, 416,417 : sobre sagesse de Bonal et sa sensibilité, 417 :définition du chrétien, 417-420 ; sur la grâce, 418-420 ; 425.

BONAVENTURE (saint). – I, 416. – II, 490.– III, 26. – V, 273, 276 ; 279. – VII, 49, 146, 266,328. – IX, 82, 87. – X, 312. – XI, 74, 317, 399,400. – Stimulus amoris, II, 137. v. Brancati deLauria.

BONAVENTURE (pseudo-). – Meditationesvitæ Jesu Christi, II, 137.

Méditations sur la vie de Jésus- Christ, III, 59 ;l'Annonciation, 93. – IX, Marie devant la Crèche,277. – S., 103. v. dom Le Bannier.

BONET (saint). – IX, sa messe nocturne àClermont, 285.

BONHOMME (J.). – S., Edition du Combatspirituel, citation de J.-P. Camus, 47.

BONIS (P. Emery de), s. j. – IX, Abus dequelques personnes touchant la sainte Communion,chapitre d’un livre écrit par le Père de Bonis etreproduit dans les œuvres d’Arnauld, 78.

BONNEFOI (P.), de l’Oratoire. – IV, 198.BONNE-NOUVELLE (abbaye de). – VI,

82.BONNETTY. – Annales de philosophie

chrétienne, X, 36 ; critique de Santeul, 63, 64.BONNIOT (P. de), s. j. – Le Miracle et ses

contrefaçons, V, les possessions de Loudun, 180 ;

98

« les démons aux premiers siècles de l’Église »,193.

BON PASTEUR (Congrégation du). – III,592. v. N.-D. de Charité. [38]

BOONEN (Jacques), archevêque de Malines.– Ordonnance, XI, Avis aux confesseurs au sujet dela contrition parfaite, 300 ; ami de Jansénius, 301 ;sa soumission, 301.

BORDES (de). – IX, 187. v. Bossuet.BORDES (P. Jeau de), s. j. – II, coopérateur

de la Mère Jeanne de Lcstonnac, 7.BORELY (Messire Nicolas). – La vie de

Messire Christophe d'Authier de Sisgau, évêque deBethléem, instituteur de la Congrégation du T. S.-Sacrement, VI, 429. – IX, 240 sq. ; sur le Chapeletdu Saint-Sacrement créé par Mgr Authier, 243 ; sesLitanies en l’honneur du S. S., 243 ; les psaumesConfitemini, 243, 244.

Le Chapelet du T. S.-Sacrement et la manière de lebien dire, IX, 244.

BOSCHET (Père), s. j. - Le parfait missionnaireou la vie du B. P. Julien Maunoir,~V, 82, 83 ;biographie du Père Maunoir, 84-89 ; sa peur dumiracle ; son voyage en Basse-Bretagne, 84 sq. ;les missions bretonnes et l’Église primitive, 84 ;les miracles du Père Maunoir, 84 sq. ; commercedes missionnaires et de la foule avec le mondeinvisible, 87 ; l’iniquité de la Montagne, 88 ;Michel Le Nobletz, 90 ; la prédiction de domBriant, 95, 96 ; les processions avec tableaux

99

vivants, 101-104 ; les cantiques, 104-106 ; lesfemmes catéchistes, 107-109 ; 110, 112, 113, 115,116

BOSROGER (du), janséniste. – VI, sonarrestation, 499.

BOSROGER (Père Esprit du), capucin – LaPiété affligée ou Discours historique et théologique de lapossession des religieuses dites de Sainte-Élisabeth deLouviers, XI, 158 ; scènes de possession, 160 ;manœuvres de Mathurin Picard, 162 sq. ; 164,166.

BOSSE (Abraham de), graveur. – I, 184. –XI, 203.

BOSSUET (Jacques-Bénigne). – I, 22, 179,183, 186, 205, 221, 235, 341, 364, 371 ; du fait deses attaques contre les faux mystiques a rendususpects les vrais, 394 ; assimile plus ou moinspéché originel et concupiscence, 58, 59. – II, 114,116, 120, 232, 265, 298, 488 ; sur la Mère Anne-Marie Rosset, 584. – III, 3, 26 ; sa langue estfoncièrement oratorienne, 65 ; 124, 125, 149, 426,485, 501, 592, 656, 676, 679. – IV, 21, 39, 43, 48,51, 158, 160, 200, 208, 231 ; ses raisons pour lasignature du Formulaire, 231 ; 232, 236, 262, 287 ;échauffé, entraîné par le discours, touche enfin larégion du mystique silence, 295 ; 343 ; sonthéocentrisme lyrique, 396, 397 ; 398, 427, 430,443, 444, 465, 483, 486, 487, 581. – V, 27, 56, 62 ;demande l’approbation du Catéchisme spirituel du P.Surin, 150 ; sur le P. Surin 259 ; 291, 353. – VI,

100

28, 149, 233, 234, 236, 238, 264, 266, 296, 297,298, 299, 305, 389. – VII, 140, 146, 177, 198, 256,259, 294, 348, 392, 394. – VIII, 6, 32, 33, 35, 38,68, 74, 81, 86, 153, 175, 182, 288, 304, 313, 314,318, 319, 325, 330, 331, 356, 357, 359, 381. – IX,44, 62, 64, 72, 124, 126, 132, 139, 155, 176, 205,230, 241, 267, 269, 271, 320, 339, 342, 352. – X,37, 66 ; aimait Santeul, 153 ; 213, 224, 239, 278,297 – XI, 5, 39, 67, 97, 98, 184, 185, 186, 212,215, 237, 254, 280, 283, 312, 318, 320, 330, 391 ;on est contemplatif sans le penser être, 415. – S.,traite de raffinement insupportable la prétentionde supprimer de la prière les demandes sousprétexte de perfection, 15 ; 111, 148 ; moins lacréature travaille, plus Dieu opère, 165, 166 ; 270,356.

Histoire des Variations, II, 78.Exposition de la Doctrine catholique, II, 83. – IX,

254.Oraison funèbre du Père Bourgoing, III, éloge de

Pierre de Bérulle, 4 ; sur l’abbaye de Saint-Magloire, 156, 157.

Correspondance, IV, 232. – [39] V, 151, 294. –VI, à Mme de La Maisonfort : des personnes ayantdifficulté et même impossibilité aux prièresvocales, 234 ; 236 ; à Mme de La Maisonfort surses rapports avec Boudon, 265 ; 392. – IX, de lacommunion fréquente, 119 ; excès dans ladévotion à la Sainte Vierge, 254 ; lettre à Mme

Cornuau : des nouvelles maximes sur la

101

communion, 70, 71 ; il lui conseille la communionquotidienne, 121 ; de la communion des enfants,121 ; il insiste sur la nécessité de communierfréquemment, 122 ; de la manière d’entendre lamesse, 159 ; sur le bref d Alexandre VIIcondamnant une traduction du Missel, 185, 186 ;conseille à M de Borne la lecture des traductionsde l'Écriture sainte et de l'Office divin, 187 ; de lacommunion ordonnée par pénitence et de lafréquente, 230 ; de la dévotion à la vue de l'hostie,238 ; de l’honneur véritable dû à la Sainte Vierge,254, 258 ; à propos du livre du Père Crasset sur lavraie dévotion à la Sainte Vierge, 264 ; contreMarie d'Agréda, 274 ; sainteté du mariage, 291. –X, sur la condamnation du Bréviaire en françaisde Letourneux, 44 ; àMme d'Albert, sur les Litaniesdes Saints, 190. – XI, son opinion réelle surRuysbroeck, Tauler, Harphius, Jean de la Croix,95 ; instruction à Louis XIV sur la prière, 280.

Maximes sur la Comédie, I, 46.Sermons, IV, 295. – VII, se retirer au plus

grand secret et dans le centre du cœur, 1 ;consentir à la vérité, 2 ; dans la prière, élévationd’abord, 14, 15 ; seule la charité prie, 15 ; 17, 23,25, 26, 70. – IX, critique des excès de la dévotionà la Sainte Vierge, 254. – X, 204. – S., celui-là neprie pas qui loin de s’élever à Dieu demande queDieu s’abaisse à lui, 20 ; il n’y a que la seulecharité qui prie, 21.

102

Traité sur la concupiscence, IV, 295. – X, 173,292.

Élévations sur les mystères, IV, 396, 397, 416. –VI, 33. – X, 67 ; du rachat du Rédempteur, 107 ;honorer les mystères en demeurant devant Dieuen grande admiration et eu grand silence, 109 ;204, 272.

Relation sur le quiétisme, V, 268.États d'oraison, VI, dit que Marie de

l’Incarnation (Mme Martin) est une seconde sainteThérèse, 9. – VIII, 317. – X, des formules deprières, 28 ; actes commandés, 296.

Œuvre s oratoires, VII, avis aux Visitandines deMeaux sur l’acquiescement et l’adhérence, 65, 66 ;analyse de ces avis, 66, 67. – IX, sur l’anciennecérémonie du Baptême, 21 ; le Baptême estoublié, 40 ; l’action de communier est la plussainte, la plus auguste du christianisme, 118 ; descommunions de la Reine, 119 ; du mariagechrétien, 290 ; de la préparation à la mort, 333 ;qui ne désire pas la mort n’est pas chrétien, 376.

Politique tirée de l'Écriture sainte, VII, 229.Discours sur l'abandon, VIII, 331.Traité de l'Existence et des attributs de Dieu, X,

291.Méditations sur l’Évangile, IX, épreuve et

préparation à la communion, 120 ; 158 ; citationpar Caylus, 189. – X, du trouble de Jésus dansson agonie, 46, 47 ; 272, 288.

103

Lettre à Innocent XI sur les études du Dauphin, IX,du respect inculqué au Dauphin pour l’Évangile,328.

Préface sur une instruction pastorale de M. deCambrai, jugement superficiel sur François deSales, VII, 91. – XI, des moments certains oùs'affirme l’obligation d’aimer Dieu, 235.

Histoire de France donnée en thèmes à Mgr leDauphin, XI, instructions de saint Louis à sa filleIsabelle sur l’amour de Dieu, 282.

Œuvres (Ed. Lebarcq-Urbain), VIII, Dieu...source toujours féconde de plaisirs réels, 347. v.Journal de Ledieu, P. Lavaud. [40]

BOSSUET (M.), conseiller au Parlement. –III, 545.

BOSSUET (neveu de). – IX, son rigorismeau point de vue pénitence et communion, 72. v.chanoine E. Prévost.

BOSWELL (James). – I, 173. – VII, 198.BOTTES-LORIÈRES (Mme des). – IV, 227,

228, v. Grandet.BOUCHARDON (Pierre). – L'Auberge de la

Tête noire, S., 166BOUCHER (J.-B. A.). – Vie de la Bienheureuse

Marie de l’Incarnation (Mme Acarie), II, 3, 71, 194,196, 200, 201, 205, 207, 210, 214, 220, 221, 222,225, 232, 235, 236, 240, 242, 244, 245, 246, 253,255-258, 291, 292, 298, 299, 301, 302, 314, 319,345.

104

BOUCHER (Jean Le). – Le pèlerinage de Notre-Dame de Moyen-Pont I, sur les monstres, 237 ; desirrévérences dans les pèlerinages, 241 ; la crainte aplus d’ascendant que l'amour, 382.

BOUDHORS (Ch.), – Pascal et Méré (RevueHist. Litt.), IV, 350, 409.

BOUDIGNON (P. B.). – SaintVincent de Paul, modèle des hommes d’action et

d’œuvres, III, 223 ; Vincent de Paul ne pouvaitentendre parler d’un malheureux sans soupirer,233 ; sa dévotion particulière à « Jésus-Christanéanti », 253.

BOUDON, lieutenant de la citadelle de LaFère, père de Henri-Mario Boudon. – VI, 241.

BOUDON (H.-M.), grand archidiacred’Évreux. – III, 604. – VI, v, 230 ; « le style denos ouvrages est simple », 232 ; 233, 234, 236,237 ; sa vie, 240-248 ; eut pour marraine laprincesse Henriette-Marie d’Angleterre. 240 ;242 ; huit ans victime d’une infâme calomnie,243-248 ; son évêque. Mgr de Maupas,l'abandonne, 244 sq. ; se dit heureux de seshumiliations ; accepte de donner sa démission degrand vicaire mais garde sa charge d’archidiacre,246 ; il continue sa mission réformatrice. 247 ; sesécrits, 249-260 ; ses méditations sur la calomnie,« la contradiction des bons », et« l’abandonnement... des amis », 250-253 ;abondance et verbiage, malgré tout, se laisse lire,253 ; éditions innombrables de ses petits livres,

105

259 ; son voyage en Allemagne, 260-262 : M.Boudon à Saint-Cyr, 263-265 ; son silence devantla calomnie, indice de vie mystique, 166 ; 482,489, 490. – VII, 212. – VIII, 356, 357. – IX, 272.– X, 42.

Vie du Père Surin, V, 149, 150, 165 ; surJeanne des Anges, 204.

L’Homme intérieur ou la vie du vénérable Père JeanChrysostome, VI, 235 ; prière du pur amour, 237 :sur le Père Chrysostome, 238 ; servir Dieu toutseul, pour Lui seul, 240 ; servir Dieu incessamment,mais non pas par une application actuelle et continue,240 ; prières : « Ne demeurez pas, Seigneur, dansle silence » 255 ; « Donnez à votre serviteur... desjours pleins de votre Saint-Esprit », 255, 256 ; sonoffensive contre les lettrés : inefficacité de leurslivres pieux qui, souvent, ne se vendent pas, 256-259.

Le Règne de Dieu en l’oraison mentale, VI,l’auteur, dans la réédition de ce livre, protestecontre le reproche possible d’avoir favorisé leserreurs du quiétisme, 240. – XI, de trois sortes deconnaissances en l’oraison. 401. – S., 30.

Les saintes voies de la Croix, VI, 250 ; despersécutions qui nous viennent des gens deprobité, 251-253 ; soupirs sur la foi languissante,253, 224.

Les grands secours de la divine Providence par laTrès Sainte Vierge... invoquée sous le titre de Notre-

106

Dame du Remède, VI, 266 ; a écrit tout un livre surl’esclavage de la Sainte Vierge, 266. [41]

Le triomphe de la Croix en la personne de la V. M.Élisabeth, fondatrice de l'Institut de Notre-Dame duRefuge, des vierges et filles pénitentes, VI, 384.

La vie de la R. M. Marie-Thérèse Erard, supérieuredu monastère de Notre-Dame du Refuge de Nancy. VI,386.

Œuvres complètes, éd. Migne, VI, 241.Dieu seul, approuvé par Bossuet, condamné

par le saint-office, VI, 233 ; se sauver pourl'unique intérêt de la gloire de Dieu, 239.

La vie et les vertus de feu Henry-Marie Boudon, VI,241 (attribué à M. de Rocquemont).

Vie (manuscrite) par M. Courtin, prêtre deSaint Nicolas, VI, 241.

Vie (manuscrite), par un prêtre des Missionsétrangères. VI, 241.

Vie (manuscrite), par M. Thomas, conseillerau Châtelet, VI, 241.

La vie de M. Henry Marie Boudon. par M. Collet,prêtre de la Mission, contient une dissertationhistorique et apologétique sur les ouvrages de MBoudon. VI, 241.

Vie nouvelle de M. Henry-Marie Boudon, par M.Mathieu, VI, 241.

L'Homme de Dieu seul ou le célèbre Boudon, parJean Darche, VI, 241.

H.-M. Boudon ou la folie de la Croix, par Louisd'Appilly, VI, 241.

107

Contribution à l'histoire de la Compagnie du TrèsSaint-Sacrement de l’Autel. – Les sociétés secrètescatholiques du XVIIe s. et H -M. Boudon, par Alph.Auguste, VI, 241. v. Bouix.

BOUFFLERS (comtesse de). – V, 166.BOUGAUD (abbé), depuis Mgr. – Histoire de

la Bienheureuse Marguerite-Marie, VI, 401.BOUGIS (dom Simon), bénédictin. – VI,

180.BOUHIER (Président). – X. 52, 88.BOUHOURS (P.), s. j. - I, 177, 193. – II,

415. – III, 196, 214, 216. – IV, 15. 23, 299. – V,91, 328, 380. – VI, 8, 111, 185 ; fut précepteur dufils de Colbert, 402 ; 405. – VIII, 31.

Vie de saint Ignace : Vie de saint François Xavier ;Vie de la Mère de Bellefonds, I, 253, 254. – II. 415,416.

Recueil de vers choisis. III, vers pour Mgr le ducde Bourgogne, 300.

Doutes sur la langue française, VI, 236. v. Barbierd'Aucour, G. Doncieux.

BOUILLIER (Fr.). – IX, 355. v. Fontenelle.BOUILLON (les), comtes d'Évreux. – VI,

260.BOUILLON (cardinal de). – VI, 260.BOUILLON (Mauricette-Fébronie de),

duchesse de Bavière, nièce de Turenne. – VI,appelle Boudon à sa cour, 260.

BOUILLON (princesse Louise de). – VI,260.

108

BOUIX (P. Marcel), s. j – Traducteur desainte Thérèse, II, 194. – Ed. d’œuvres du PèreSurin, V, 148. 149, 152.

Autobiographie de la vénérable Mère Anne de Saint-Barthélemy, II, Jean de Quintanadoine, Anne deJésus, 298, 299, 300 ; impressions d'Anne de Jésuspendant son voyage d'Espagne en France, 303 ;Lettres de sainte Thérèse, II, carmes déchaussés etcarmélites, 286.

Vie du Père J.-J. Surin, V, 149 ; la sœur du PèreSurin, carmélite, 161 ; Isabelle des Anges,carmélite, 162 ; le P. Surin inondé à treize ansd'une joie céleste, dans la chapelle du Carmel deBordeaux, 163, 164 ; entre quinze et seize ans.admis chez les jésuites à Bordeaux, 164 ; novice àBordeaux, étudie philosophie et théologie à LaFlèche ; troisième an à Rouen, 164 ; aima d’abordla bagatelle littéraire, 164 ; Marennes et la [42]Saintonge mystique, 165 ; l’agonie du Père Surin,253 ; 256, 261, 262, 266 ; sur l’oraison où l’âmeest attentive à Dieu par une vue confuse, 299,300.

BOULANGER, graveur – I, 272.BOULANGER, philosophe. – IV, 399.BOULAS. – Un moraliste chrétien, J. P. Camus,

I, 156, 291.BOULAY (P.). – Vie du vénérable Jean Eudes,

III, 151, 156 ; l’Oratoire italien et l’Oratoirefrançais, 164 ; l’Oratoire et les séminaires. 174,175 ; 177, 214, 585, 591, 592 ; le Père Eudes et

109

Mme de Camilly, 596 ; Anne de Jésus (Mme deCamilly), 601 ; le Père Eudes et Marie des Vallées,603, 605 ; possession diabolique de Marie desVallées, 607, 610, 611, 624-628 ; la divine Sapience,620 ; « Je cherche mes frères qui sont perdus »,621, 622 ; le paradis terrestre qui est le SaintSacrement de l’Autel, 622, 623 ; 636 ; le Royaumede Jésus du Père Eudes, 641-643. – IV. attitude deJean Eudes, de saint Vincent de Paul et de M.Olier dans la querelle du jansénisme, 308-310. –V, les religieuses de Bouviers, 404 – VI, 235 ; Mgr

de Maupas et Boudon, 245.BOULLÉ (Thomas), vicaire de Mathurin

Picard. – V, 403. – XI, 157, 158 : brûlé vif avec lecadavre de Mathurin Picard, 164 ; 166, 168. v.possessions de Louviers.

BOUQUET. – Éditeur des Mémoires de duFossé, VI, 242, 499.

BOUQUET D’ÉDEN (le) ou Recueil des plusbelles prières et méditations des principaux auteursmodernes, IX, 305, 306, 307. - – X, 260. v. PasteurMerlin, ministre Fartley, Preye (Abraham).

BOURBON (connétable Charles de). – II,503.

BOURBON (Henri de), duc de Montpensier.– II, 150.

BOURBON (Marie de), fille de Catherine deJoyeuse. – II, 150, 187, 188.

BOURBON (Nicolas). – III, 195.BOURDAISE. – III, 234.

110

BOURDAISIÈRE (Mme de La) – II, 444.BOURDALOUE. – III. 65, 682. – IV, 296. –

V, 11 ; il est la vraie réponse aux Provinciales, 15 ;32, 380, 396. – VI, 157 ; fut précepteur des fils deLamoignon, 402 ; 405, 407. – VIII, 6, 10, 111 ;l'angoisse de Bourdaloue et la genèse del’ascéticisme, 181-391 ; 195, 289, 305 ; laspiritualité de Bourdaloue, 310-360 ; le R. P.Daeschler et Bourdaloue méconnu, 311 sq. ;Bourdaloue n’a pas moins de sensibilité que deraison, 313 ; critique du « Sermon sur la prière »,314 ; c’est l'unique sermon où Bourdaloue aittraité ex professo le problème de la prière, 315 ; sonauditoire coupé en deux, 316 ; le semi quiétismefrançais et le molinosisme, 319 ; « Oraisonchimérique » qui choque le bon sens, 319 ;l'Évangile n’en parle pas, 321 ; elle est absolumentinintelligible, 322 ; l'oraison extraordinaire, 325 ;« l’oraison pratique », la « plus parfaite », la seuleparfaite, 326, 327 ; confusion perpétuelle entreextase et prière, 328, 329 ; le vrai Bourdaloue,tendre, impulsif, plus que « raisonnable », 329 ;genèse du « Sermon sur la prière », 330 ; neconçoit l’union à Dieu que sensible, 336 ; sonpanhédonisme, 337 ; pas de plaisir, pas de prière,337 ; dès que nous aimerons Dieu, nous irons à laprière avec joie, 338 ; mon Dieu, faites-moisentir... quelques-unes de ces touches secrètes...,33g ; des hommes... contents de Dieu, 34o ;mouvements affectueux qui ravissaient les saints,

111

342 ; la « sensibilité » de Madeleine, 343 ; l’échelledes « divins plaisirs », 344 : le « centuple »proposé par [43] Dieu, 344 ; la paix de l'âme,345 ; connaissance expérimentale des bienssurnaturels, 348 ; il n’y a qu’un Dieu qui puisseme contenter, 348, 349 ; « ces délicieux dégoûtsdu monde, qui surpassent toutes les délices »,350 ; une certaine onction... qui occupe... toute lacapacité de l'âme, 350 ; confusion entre les délicesde la contemplation et la contemplation même,351 sq. ; un mystique qui s'ignore, 352, 353 ; desaridités dans la prière, 354, 355 ; Seigneur... je nedois avoir en vue que vous-même, 355 ; ne sortezjamais de vous-même, c'est là que vous trouverezDieu, 355, 356 ; la grande méthode d’oraison,c'est d'aimer Dieu, 356 ; passage du discours à lacontemplation, 356 ; peut et doit resterparticulièrement cher aux spirituels les plusexigeants, 356 ; 374, 375. – IX, des vœux duBaptême, 10 ; 48, 96, 98 ; de la sainteté nécessaireà la réception des sacrements, 106 ; de lafréquente communion, 108-110 ; l’humanité deBourdaloue et la dialectique pure d’Arnauld, 109-111 ; 128, 134 ; son sermon sur la messe, 230 ;231, 232, 264, 266, 267, 335 ; sur la mort de Mme

de Monaco, 336, 337 ; 342, 352, 364, 376. – X,36, 37, 38, 40, 48, 79 ; aimait Santeul, 153 ; 158,284, 287, 295, 319. – XI, 307, 319, 320. – S., 148,358.

112

Pensées sur divers sujets : de la vraie et de lafausse dévotion ; « faire de son devoir son plaisirpar rapport à soi-même », VIII, 346-348. – XI, dela contrition et de l’attrition, 306.

Œuvres complètes, X, lettre à Mme de Maintenonsur les oraisons écrites, 270, 271. – Sermon surl’Amour de Dieu, XI, 190, 289. – Sermon sur lejugement dernier, XI, il ne nous est point permis decraindre Dieu sans l’aimer, 305. v Castets, Lépin,Dargent, Griselle, Daeschler, Feugère.

BOURDET. – III, 233.BOURDOISE. – II, 4. – III, 224, 232. – IV,

277. – X, 58.BOURGEOIS (Dr). – IV, 131.Relation de M. Bourgeois, Dr en Sorbonne,

contenant ce qui s'est passé à Rome... pour la justificationdu livre de la Fréquente Communion (d'Arnauld), IX,les jésuites et le cardinal de Lugo, 77, 78.

BOURGEOIS (P ), o. p. - VIII, a réédité LaCroix de Jésus du Père Chardon, 4.

BOURGES (Elémir). – X, sur Perrotd'Ablancourt, 252.

BOURGFONTAINE (chartreuse de) – II,212. – IV, 289.

BOURGFONTAINE (Conspiration de). –V, 266.

BOURGOGNE (duc de). – III, 300. – XI,282, 283.

BOURGOING (Père), de l'Oratoire. – III, 4,7, 156, 157, 174, 182, 196 ; sur la bulle

113

d’Alexandre VII, 211, 212 ; 214, 215, 217, 218,294, 426, 570, 627 ; Bérulle et la fête de Jésus,645, 646. – IV, 40 ; l'Oratoire et l’esprithiérarchique (lettre à Saint-Cyran). 114 ; 115, 205.– VII, 376 – XI. 28. – S., Avis sur l'oraison, 6 ;120, 121.

Les vérités et excellences de Jésus-Christ...communiquées à sa sainte Mère et aux Saints, III,l'oraison théocentrique, 30-33 ; les saints ne sontrien, sinon un pur regard d'honneur et d'amourpour Jésus, 100 ; de l’oraison, 115 ; notre religiondoit être « une vie d'élévation et de sociétéintérieure », 117 ; les deux cléments del'adoration, 118 ; admiration et louange, 125, 126 ;nous devons toujours nous porter davantage auxmystères inconnus, 132 ; oraison par voie deregard et d’honneur, 143 ; les mystères et les étatsde Jésus-Christ envoient d'eux-mêmes leursrayons, 144, 145. – IV, rapporter toute notre [44]oraison à la seule gloire de Dieu, 395.

Vie du Père de Condren, III, la spiritualité del’Oratoire, 34.

Méditations, III, -263. – S., l’oraison, entretiende l'âme avec Dieu, fondé en la société que nousavons avec lui par Jésus-Christ, 101 ; l’usage denos facultés, entièrement nécessaire, est plutôt unmoyen et une aide à l'oraison que l’oraison même,101, 102.

Directions et avis, X, 321. – S., 281-326 ; à laReine des Cieux, 281, 282 ; préface, 283-285 ;

114

l’oraison est un don de Dieu, 282, 286 ; la fin del’oraison, 286-288 : pratique de l’oraison, 288,289 : nécessité de l'oraison, 290 ; puretéd’intention, 291-293 ; dispositions intérieures,293 ; attention, 294, 295 ; humilité, 296 ;révérence, 297 : degrés de pauvreté, 297-299 ;affections, 299 : oraison par voie de regard etd'honneur, 299-301 ; prier en esprit en lapersonne et au nom de Jésus, 301-303 ; lademande 303-306 ; regards vers Jésus enl’oraison, 306-308 ; diverses sortes d’oraison, 308-310 : l'oraison de combat et de peine, 310-314 ;préparation, 314, 315 ; la méditation, 316, 317 ; lamatière 318 ; affections, 318-321 ; revue sur lesdéfauts, 321-324 ; difficultés, 325, 326.

Préface des Œuvres complètes de Bérulle, III,Bérulle a renouvelé en l’Église la vertu de religion,33, 34 ; 40 ; la dévotion au Verbe incarné,refroidie en général, 46 ; Bertille adorait lapersonne divine de Jésus-Christ, unie à notrenature, c'est-à-dire lui-même considéré en sonêtre divinement humain, 51 : les mystères« passagers » et le mystère perpétuel, 52 ; le Christ« grand sacrement de piété », 63 : Bérulle adoraitcontinuellement Jésus en Marie, 98 ; le désird'aimer est un amour commencé, 140 ; l’état deservitude, 147, 148, 151, 156 : vénération deBérulle pour le sacerdoce, 158, 159 ; pourquoi futinstitué l’Oratoire, 164 ; le Fils de Dieu, prêtresouverain, 171 ; 174, 182.

115

BOURGUIGNON. – Vie du Père Romillon, II,J.-B. Romillon abjure le calvinisme, 17 ; nomméchanoine de la collégiale de l'Isle-sur-Sorgue, 18 ;il suit les catéchismes de César de Bus, 21, 22 :l’Oratoire provincial, 23 ; les Ursulines, 26, 31.

BOURIGNON (Antoinette). – III, 620. –VI, 139, 335.

BOURRÉE (P.), de l’Oratoire – III, 665. –VII, 280.

Abrégé de la vie du Père François de Clugny, VII,280 ; François de Clugny enfant et Marguerite deBeaune, 281, 282 ; études chez les Oratoriens deBeaune, 282 ; sou inclination pour lesmathématiques et les machines, 282 ; novice àquatorze ans chez les Oratoriens, 282 ; devientaveugle, 282 ; Clugny au confessionnal, 286 ; sesmortifications, 287 ; sur la vraie pensée de Clugnydans son paradoxe des délais de la confession,295 ; 320.

BOURRET (cardinal). – III, 674. – S., 68, 78.BOURRIGAUT, directeur des Visitandines

d’Angers.- – IV, 226 sq ; 231.BOURZEIS (abbé de). – VII, 201.BOUTAULD (P. Michel). – II, a publié les

conférences du Père Coton sous le titre LeThéologien dans les conversations avec les gens du monde,102.

BOUTAULD (Père) s. j. – Méthode pourconverser avec Dieu, X, conseille les colloques

116

intimes avec Dieu et prétend en démontrer lafacilité, 323, 324 ; 325.

BOUTMY (E ). – Taine, Schérer, Lahoulaye.VII, sécurité sensible dans l’incroyance, 84.

BOUTROUX (Emile). – I, Pascal, xx.La psychologie du mysticisme, II, de l'extase, 586.

[45]BOVÉ (Salvador). – Assaig-critich sobre'l

filosoph barceloni en Ramon Sibiude (Raymond deSebonde), I, 424.

BOYRE (P. Arnault), s. j., provincial deGuyenne. – V, insiste pour que le Père Surinparte pour Loudun, 198. – VI, lettre à la MèreAgnès de Langeac : du secret nécessaire sur ce quise passe entre Dieu et l’âme, 270, 271.

BRACHET (dom Benoît), bénédictin. – VI,82, 208. 213, 214, 215.

BRADLEY – Oxford lectures on Poetry, XI, 434.BRANCATI DE LAURIA. – De oratione

christiana, VII, définition de la prière, 8, 9. – XI,textes de saint Bonaventure sur la raison etl'intellect, 399, 400. – S., la prière : louange, actionde grâces, demande, 14 ; 63.

BRANDT (Sébastien), auteur du Vaisseau desfous ou Vaisseau de Narragonic, cit. par Saint-Jure. –III, 261.

BRANTOME. – Sur Jean Babou de LaBourdaisière, VI, 11.

BRASCORREA, confesseur et prédicateurdu roi du Congo. – II, 277.

117

BRAY (Françoise du), mère de ClaudeHélyot. - – V, 315.

BRÉAL (A.). – Cheminements, XI, des notionsprécises abolies par l'activité du moi intérieur.430.

BRÉAUTÉ (Charlotte de Harlay de Saucy.marquise de). – II, ses rapports avec Mr Acarie,257 : formée à la vie religieuse par Mme Acarie,258 ; carmélite sous le nom de Marie de Jésus,308 ; 319 ; 327 ; Victor Cousin a longuementparlé d'elle, 343. – IV, 212. – VI, 346.

BRÊBEUF (Georges de). – Entretiens solitaires,I, 340-345 ; 352, 377 : dignité, familiarité sainte,optimisme, 343. v. René Harmand, Ch. Marie.

BRÉBEUF (Jean de), s. j. – I, 341. – VI, 128.BRÉBEUF (Nicolas de), prieur-curé de

Venoix. – X, 341.BRÉCHARD (Mère Charlotte de). – I,

Cantique : « Pourquoi donner à mon âme », 217.– II, 573, 584.

BRÉGIS (Mme de) – XI, 115.BRÊME (Élisabeth de), bénédictine. – II,

399, 482, 484.BREMOND (Antoine). – Un des généraux

de l'Ordre des Frères Prêcheurs, IV, 99. – VIII, 5.BREMOND (Henri). – VI, La Ville enchantée,

traduction, 425.L'Humanisme chrétien et les origines de la théologie

moderne, I, 17.Léonce Couture et l'humanisme chrétien, I, 17.

118

Newman, essai de biographie psychologique, I, 82,233. – III, 235, 304.

La Provence mystique au XVIIe siècle, I, 336. – II,le Père Yvan et saint Philippe Néri, 25. – VI,Antoine Yvan et Madeleine Martin, 427. – VIII,79.

Apologie pour Fénelon, I, 59, 394, 524. – II, 41,598. – IV, 232, 566. – VII, 18 – XI, Fénelon àMme de La Maisonfort sur Mme Guyon, 12.

L’Enfant et la vie, III, citation de Newman surla première enfance, 344.

L’Inquiétude religieuse, IV, 322, 381. – S., 358.Prière et poésie, VII, 51, 134. – VIII, 53. – X,

101, 173, – XI, enrichissements discursifs queprocure la quiétude, 379 ; 427, 433, 434. – S., 359.

Racine et Valéry, X, 101.Divertissements devant l'Arche, X, 152 ; citation

et commentaire du Domine probasti me de GermainHabert, X, 174.

Deux musiques de la prose, X, 171.Abbé Tempête, X, sur le duel Rancé-Le Roy,

174.Notes sur les Exercices de saint Ignace (Vie

spirituelle), X, 311.Bérulle quiétiste ou Cagliardi ? (Vie spirituelle),

XI, 4, 25.Ascèse ou Prière (Revue des [46] Sciences

religieuses de Strasbourg), S., 7 ; 130 ; lesExercices spirituels, tels que les veulent certains,

119

pourraient aussi bien servir à la formation moraled’un incrédule, 57 ; 134, 135, 137, 144, 152.

Les méthodes critiques du R. P. Cavallera et laphilosophie de la prière (réponse à la Revued'ascétique et de mystique), S., 126.

Saint François de Sales et les Exercices de saintIgnace, S., 132.

Le R. P. Cavallera et la philosophie de la prière,VIII, 379.

Article sur réaliser (Revue de France), VII,134.

Anthologie des Écrivains catholiques, Prosateursfrançais du XVIIe siècle, recueillie et publiée par H.Bremond et Ch. Grolleau, III, 492.

BRENIER DE MONTMORAND. – SaintVincent de Paul, III, 223 ; comment Vincent dePaul jugeait Antoine Arnauld, 244 ; le côtéhumain de Vincent de Paul, 246 ; sonpessimisme, non des jansénistes, mais de Bérulle,252.

BRESSAND (Mère de), visitandine. v. Marie-Constance de Bressand.

BRESSANI (P.) s. j. – VI, 128.BRETAGNE. – V, sa réévangélisation au

XVIIe siècle, 82-117 ; romanisation totale etprofonde du catholicisme gallois, 92 ; la Bretagnemystique, V, ch. III, 118-147. v. Renan

BRETAGNE (dom Claude). – Vie de M.Bachelier de Gentes, IX, dévotion de M. Bachelier de

120

Gentes aux Saluts, 246 ; il jette une statue dans leTibre, 246.

BRETESCHE (P. de La), s. j. – XI, 342.BRÉTIGNY (M de). – II, 283.BRETON (Mgr) – Les origines de la philosophie

de Malebranche, III, 220.BRETONVILLIERS (M. de) – II, M. de

Bretonvilliers et Marie de Valence, 54. – III, 487,636.

BREUSCHE DE LA CROIX. –Divertissement d’Ergaste, I, le saint désert deMarlagne des Carmes déchaussés, 336.

Breve Compendio intorno alla perfezione cristiana,XI, Isabelle Bellinzaga et Achille Gagliardi, ch. I,passim; 14, 17, 19 ; son mérite est de ramasser, enquelques, pages lumineuses, l’enseignementcommun des mystiques, 20 ; nature et méthodede la collaboration de Gagliardi et d’IsabelleBellinzaga, 20 ; 21 ; diffusion du livre en Italie ;traductions françaises ; épître dédicatoire d'unedes plus anciennes 22 ; 23 ; 28, 31 ; BreveCompendio mis à l'Index en 1703, 56.

BRIANSON DE RAYNIER. v. Timothée.BRIANT (dom). – V, 95.BRIARD (Jean), un des confesseurs de

Louise du Néant. – V, 358, 359, 362, 368, 369,371.

BRIAS (Jacques de), archevêque de Cambrai.– VI, 262.

121

BRIÇONNET (Guillaume), évêque deMeaux. – II, 3.

BRIDAINE (P.). – V, 93. – VIII, 111.BRIENNE (comte de). – IV, 426.BRIGNON (P. B.-J.), s. j – V, éd. des

Fondements de la vie spirituelle du Père Surin, 149,151, 270 ; corrections des Fondements 272, 273 ;édition de l’Introduction à la vie dévote, 151.

BRIGUET (abbé). – Élévations et Prières à laSainte Vierge pour tous les jours du mois, IX, 283 ;contre les ennemis de la Sainte Vierge, 284 ;litanies diverses, 284 ; calendrier historique etbibliographie mariale, 285 ; 288. – X, LesÉlévations contiennent Litanies du Saint-Esprit parrapport à Marie, 203. [47]

BRINVILLIERS (Mme de). – V, 157. – IX,215.

BRION (abbé de). – La vie de la très sublimecontemplative Sœur Marie de Sainte Thérèse, VI, 435.

BRIQUET (Sœur Christine). – IV, 241, 463.BRIROY (M. de). – III, 607.BRISACIER (P.) s. j. – IV, 18, 19, 118, 203,

228.BRISSAC (maréchal de), père de Sœur

Angélique de la Trinité. – II, 239.BRISSAUD (Jean). – Un libéral au XVIIe

siècle, Claude Joly, IX, 328.BROC DU NOZET (M. de). – II, 512.BROGLIE (prince Emmanuel de). – La

bienheureuse Marie de l’Incarnation (Mme Acarie, II,

122

fondation du prieuré de Notre-Dame-des-Champs, 285, 286.

Mabillon et la Société de Saint- Germain-des-Présau XVIIe siècle, VI, lettre du chanoine Folard àdom Vincent Thuillier, 199. – X, de dom Ruinartsur dom Mabillon, 347.

BROQUA (de). – Claude Bernard dit le PauvrePrêtre, II, Claude Bernard a publié le testament deson père où Camus trouvait « des exhalaisons duParadis », 3.

BROSSES (Président de). – Lettres à Ch. C.Loppin de Gémaux, IX, 351.

BROSSIER (Marthe). – XI, 158.BROU (P.), s. j. – S., 25, 27, 33, 41, 43, 46,

83, 109, 121, 128, 144 ; la grande loi de l’action,150 ; 156, 158, 174.

La Compagnie de Jésus (Revue de philosophie),II, méthode des jésuites, méditation active,discursive, 138 ; lettre du général ClaudeAquaviva sur la méditation et la contemplation,139.

Les Jésuites de la légende, IV, influence néfastedes polémiques pour et contre le jansénisme, 317,318.

La spiritualité de saint Ignace, III, des méthodesd'oraison dans les Exercices, 113, 114 : citation duP Roothan sur l’art de méditer, 115 ;contemplation ignatienne, 647 – S., 23 ; Ignace etFrançois de Sales, 29 ; des méthodes ignatiennes37 ; la grande loi de l'action, 50 ; comment saint

123

Ignace comprend le combat spirituel, 57 ; de laprière qui aboutit à l’action, à l'amour effectif, 84,85 ; 86 ; « que l'oraison produise de sérieux fruitsde réforme intérieure conduisant à un amourpratique », 108 ; réserve de saint Ignace enmatière de haute oraison, 110.

Saint Ignace, maître d'oraison, VIII, les premiersspirituels de la Compagnie et les Exercices, 190,191 ; Nadal et saint Ignace (sur le temps donné àl'oraison), d'après Camara, 212, 213. – S., 23.

Les Exercices spirituels... Histoire et psychologie,VIII, à propos du dominicain Pédroque, 188 ; surles Alumbrados de Tolède, 221. – S., 23 ; les motsd'ordre de saint Ignace, 57 ; ou tirerait aisémentdu petit livre d'Ignace tout un code d'actionprudente et ferme, 58 ; les Exercices nous mettenten face du modèle divin, 60, 61 ; du travail deréalisation de certaines vérités devenues banalespar l'accoutumance, 81.

BROUSSE (Jacques). – Les saints del'Auvergne, I, 246 ; Trad. de la Vie de Benoît deCanfeld, par F. de Diest, 254.

La Vie du Révérend Père Ange de Joyeuse, II, 145,146, 148, 149, 151, 152, 154, 155, 156.

BROWNE (P. Henri), s. j. – XI, dès qu'oncesse de discourir dans la prière, on entre dans lavoie mystique, 332 : de l’esprit mécanique de laméditation, 336. v. dom Butler.

BROWNE (Thomas). – Religio medici, I, 329.

124

BROWNING (Robert). – I. XXII ; The Ringand the Book, I, 7. [48]

BRUCKER (P ), s. j. – IV, deux articles dansRecherches de science religieuse : sur des lettres inéditesde Saint-Cyran, 41-43 ; 54, 58, 62, 64, 131, 138,139, 142, 144, 151, 161, 163 ; citations de Saint-Cyran sur la prière, 164 : sur la suspension dudiscours, 166 :170. – XI, 187, 221, 222.

BRULARD (Président). – III, 545.BRULARD (Présidente). – II, 547, 557, 559,

560 ; saint François de Sales lui écrit au sujet deson oraison, 161.

BRUN, doyen de Saint-Agricol. – Nouvellesremarques sur différents articles du dictionnaire de Moreri,XI, critique de l’Épître de Boileau sur l'amour deDieu, 279, 280.

BRUNET, bibliographe. – I, 197, 450.BRUNET, médecin. – III, 536.BRUNETIÈRE (Ferdinand). – I, son édition

des Provinciales, 394. – III, s'était promis d’écrireune vie du Père Eudes, 585. – IV, 25, 404. – XI,184.

BRUNOT. – VI, 185.BRUNSCHVICG, éditeur des Pensées et

Opuscules – IV, 330, 331 ; sur les premièreslectures de Pascal, 346, 347 ; désintéressement dePascal, 394.

BRUNSWICK ET LUNEBOURG(duchesse douairière de). – VIII, 87. v. Piny

125

BUCAILLE. – Projet d'Office pour l’anniversairedu saint Baptême, IX, avertissements, 41.

BUDES (Mme). – V, 142.BUDOS (Laurence de), abbesse de la Sainte-

Trinité de Caen. – II, 395 ; Laurence de Budos etle gentilhomme, 401 ; les archives en désordre,416 ; Laurence de Budos et Henri IV, 419 :correspondance avec le Père de Condren, 420 :elle rétablit la clôture dans son abbaye, 430 ;retour à la règle de communauté, 432 ; 435 ; ellese met à la pratique de l’oraison mentale, oubliéedans son monastère. 439, 440.

BUFFALO, nonce. – II, 90.BUFFON – III, 591.Discours sur te style, VIII, 28.BULL, anglican – Christian prayers and holy

meditations, X, 227.BUNYAN (John). – IV, 370. – VII, 269, 339.

– X, ennemi des formules liturgiques, 341, 343.Pilgrim's progress, I, 31, 321. – V, 98.BUQUET (Antoine), prêtre, religieux

augustin, disciple de Pierre Guérin. – XI, 104,107 ; 109 ; mort victime de la charité, 113 ; 114,129, 156.

BUQUET (Claude), curé de Saint-Pierre deRoye, disciple de Pierre Guérin. – XI, 104, 106,107, 109 ; sa mort, 113, 114 ; 129, 156.

BURON. – X, a donné dans Regnabit de longsextraits du livre du Père Gourdan : Le Cœurchrétien, 202.

126

BURGES (Sœur Marie de). – II, accompagneMarguerite d'Arbouze à la Charité-sur-Loire, 513 ;devenue sous-prieure, accompagne les restes deMarguerite d'Arbouze, 529, 530 ; elle est nomméeabbesse du Val-de-Grâce, 533, 534.

BURTON (Robert). – Anatomie de lamélancolie, II, 329.

BUS (Alexandre de). – II, 10.BUS (P. Balthazar de), s. j. – VI, 334, 427.BUS (P. César de). I, 216 ; demanda des vers

à Paul d’Agar pour sortir, dit-il, de la vie enchantant, 216 ; 254. – II, César de Bus et soncousin Romillon, 10 ; sa jeunesse, 11 ; le chapelierLouis Guyot, 12 : Antoinette, 13 sq. ; conversion,15 ; débuts apostoliques de César et de Romilion,19 sq. ; la Doctrine chrétienne, 20 sq ; 31, 35. –VI, 334. v. Pierre Dumas, P.-J Marcel, abbéChamoux. [49]

BUSSIÈRES (Jean de). – I, a chanté sainteMadeleine, 384.

BUSSY. – VI, 101.BUSSY-RABUTIN. – V, 355. – IX, 336.BUTAVANT (P.), o. p. – VIII, 84.BUTLER, de l'Oratoire. – III, Association de la

Famille de l'Enfant-Jésus, 569.BUTLER [dora Cuthbert), bénédictin –

Western mysticism, VIII, 387. – XI, dès qu’on cessede discourir dans la prière, on entre dans la voiemystique (texte anglais), 332 ; 336 ; le vide del’esprit et le silence des facultés, 356 ; mystiques

127

de la lumière : Augustin, Grégoire, Bernard, puismystiques de la nuit : Tauler, Ruysbroeck, Jean dela Croix, 380 sq. : 400, 402. v. P. de La Taille.

BUVÉE (Barbe). – XI, 158.

C

CABALE DES DÉVOTS. – III, 240, 325. –IV, 212. – V, 9.

CABRIÈRES (cardinal de). – S., surl'Imitation, 28.

CABROL (dom F.), bénédictin. – X, 34 ; surle Gallicanisme (Dictionnaire de Théologiecatholique), 139 ; la réforme liturgique (romaine)s’est faite trop souvent sans discernement, 144.

La Prière des premiers chrétiens, IX, 23.Liturgies néo-gallicanes (Liturgia), IX, 177. – X,

39.CADENET (Pierre de), de l’Oratoire. –

Paraphrase dévote, littéraire et mystique sur les psaumesdu prophète royal David, X, 280 ; sur le verset Quidat nivem sicut lanam, 281.

CAHOUR (P.). – Bibliothèque critique des Poètesfrançais, IV, Sainte-Beuve et le Formulaire, 22, 23.

CAILLE (Denise de La). – XI, 158.CAJETAN (cardinal). – I, des enfants morts

sans baptême, 416 – VIII, 205. – XI, 179.de Spasmo B. Virginis Mariæ, IX, 277 ; critique,

dans ce livre, la fête de la Pâmoison, 277.CALABRE (P. Edme), de l’Oratoire. – IX, sa

dévotion au Baptême, 38.

128

Homélie ou paraphrase du Psaume L, avec unepratique de piété, IX, acte d’acceptation de la mort,373, 374. – X, 197 ; a fondé la « Société desAdorateurs de Jésus-Christ expirant », 374.

Litanies de Jésus-Christ pour les pécheurs et lespénitents, X. 197.

Homélie ou paraphrase du Miserere, X, sur lesdeux mots ; mei, Deus, 282.

Entretiens avec Jésus-Christ, dans le SaintSacrement, X, 197. v. P. Cloyseault.

CALADE (Jean de La). – VIII, 433.CALENDRIERS MYSTIQUES. v. Briguet,

Jacques de Jésus, Amelote, Jovy, Jean deFerrières.

CALENUS. – IV, 105, 110.CALLAEY (P. Frédégaud), o. m. p. –

L’infiltration des idées franciscaines spirituelles chez lesfrères mineurs capucins au XVIIe siècle, VIII, 217 :passion des Alumbrados pour le merveilleux, 222.

CALLIÈRES (Jean de). – Le Courtisanprédestiné, II (Vie d’Ange de Joyeuse), 146.

CALLOT. – VI, 398. [50]CALVAIRE (Congrégation du). – II, 8 ;

fondée par Antoinette d’Orléans et le PèreJoseph, 170 ; 187.

CALVET (J.). – Saint Vincent de Paul, texteschoisis et commentés, II, 4 – III, 223 ; la Grecque deTunis et le renégat, 229 ;- chez les Gondi, 229,230, 231 ; l’attitude de Vincent de Paul envers lesprotestants, 237 ; honorer la tranquillité de Jésus,

129

253. – IV, lettre de saint Vincent de Paul sur M.Arnauld et la Fréquente communion, 292.

CALVIN. – III, 110 ; la passion de sentir lavie du régénéré, 380. – IV, 26, 32, 38, 72, 74, 155,233, 282 ; dit sa doctrine « douce et savoureuse »,323, 324 ; contre Pighius, 325 ; 331, 377, 391,423, 425, 449, 494. – VI, 257. – IX, 185, 186, – X.44, 159.

Institutions, II, 16. v. Richard Simon, Bois.CAMAIN (P. Michel). – III, 203.CAMARA (Gonçalvez da), s. j. – Mémorial,

VIII, Nadal et saint Ignace (sur le temps donné àl’oraison), 212, 213.

CAMARET. – Le pur et parfait christianisme, I,qu'au milieu du désordre de l’époque, Jésus-Christne laisse pas d’y être le souverain de beaucoup desaintes âmes, 368, 369.

CAMART (Gilles). – I, sermons sur le SaintSacrement, 197.

CAMILLY (Mme de). – III, 592, 593.CAMPENON. – VIII, 5.CAMPET DE SAUJON (famille de),

hugnenots convertis, amis du Père Surin. – V, 166sq. v. Saujon.

CAMUS de Saint-Bonnet, père de J.-P.Camus, fidèle serviteur de Henri IV. – T, 152.

CAMUS (Jean-Pierre). – I, Les maîtressalésiens, 148-186 ; le portrait de Camus parPhilippe de Champaigne, 73 ; sur saint Françoisde Sales, 87 ; 129 ; disciple, mais très personnel de

130

F. de S. 150 ; a trop écrit, mais ne mérite pasqu’on l’oublie, 150 ; son système : sorte deplatonisme salésien et fénelonien tout ensemble,150 ; notes biographiques, 150, 151 ; fut lepremier directeur de Louise de Marillac, 153 ; trèsjeune, voulut se retirer dans une chartreuse, 154 ;Godeau a fait son oraison funèbre, 156 ;conspiration de Bourgfontaine, 157, 158 ;beaucoup de livres attribués à Camus, ne sont pasde lui, 157 ; Camus et la Compagnie de Jésus,159-163 ; Camus et le jansénisme, 164 ; parallèleentre Camus et saint François de Sales, 165 sq. ; iln’eut jamais la faveur de Port-Royal, 165 ; sesrapports familiers avec saint François de Sales,167 sq. ; il a des pages sans nombre où seretrouve le plus exquis de F. de S., 168. ; sadirection humains et pacifiante, 163 ; ses lettresde direction à Louise de Marillac, 175 ; il aurait punous donner la traduction de la Bible que nousn’avons pas, 177 ; caractère musical de sa prose,178 ; exorde d’une homélie sur le cantique, 178,179 ; « la belle clarté de la joie qui est au servicede Dieu », 179 ; sa description du centre de l’âme,181 ; on Nicole moins délié, moins gris, mais plusconsolant, 181 ; sa défense du pur amour,. 181sq. ; ses romans, 273-307 ; le d’Urfé ou plutôt leWalter Scott de l’humanisme dévot, 275 ; la listede ses romans et de ses nouvelles estinterminable, 275 ; possède l’art de conter, undon chétif, 275 ; le prêtre et le parisien, 283 ; la

131

piété dans ses romans, 285 ; les ressortsmystiques, 289 ; les citations poétiques, 290 ; sonéloge de Duperron, 291 ; ses romans sont des« méditations historiques », 292 ; il n’inventepresque rien, 292 ; un Tallemant ingénu, 293 ;donne la clef de ses romans, 293 ; les morales deses romans, 298 ; peintures et critiques des mœursdu temps, 299 sq. ; son indulgence foncière, 301 ;sur l’amour humain, [51] sa curiosité bienveillanteet parfaitement chaste, 302 sq. ; théorieplatonicienne de l'amour ; innocence de sesromans, 306 ; Camus et les hardiesses del’espérance chrétienne, 374-376 ; 390, 430 ; notescritiques sur J.-P. Camus, 526-534. – II, 3, 192. –III, 115. – IV, 253. – VII, ses souvenirs surFrançois de Sales et le Combat spirituel, 53 ; J.-P.Camus et le panmysticisme salésien, 140-162 ;Camus, pur salésien, 141 ; critique du mysticismemoderne, 145-148 ; réconciliation avec lesmystiques modernes, 148-152 ; la substitutionlibératrice, 152-154 ; critique de l'ascéticisme, 154-156 ; facilité de la contemplation, 156-162 ; 254,310. 325. – VIII, 383, 384 ; Camus et les à-côté dela mystique, visions, extases, 393, 394. – IX, 10 ;Camus et la fréquente communion, 389, 390. – X,3I7.

ŒUVRES SPIRITUELLES :L’Esprit de saint François de Sales, I, 70 ; la seule

œuvre de Camus que l’on lise encore, 156 ;comment il voulut en « prêchant » imiter saint

132

François de Sales, 166, 167 ; ses visites à Annecy,168, 169-171 ; 172, 173, 174.

Parénétique de l'amour divin, I, 155.Les devoirs du bon paroissien, I, I57.Le directeur désintéressé, I, 157.Acheminement à la dévotion civile, I, 168.Les reliques du Bienheureux François de Sales, I,

168.L’unité vertueuse, I, il tient toute sa doctrine de

son livre des paroles et des écrits de François deSales, 174.

Homélies spirituelles sur le Cantique des Cantiques :des inspirations, leur suavité et leur progrès, I,178, 179.

De la syndérèse, discours ascétique, I, 180, 181. –VII, 56, 142.

La Caritée, ou le portrait de la vraie charité, I,s’adonner aux bonnes œuvres non pour larécompense, mais par amour, 183 ; portrait deCaritée, 184 ; 185, 186. – XI, Dieu aimé et servipour lui-même, 201 ; portrait, 202, 203 ; 205,206 ; de la crainte servile et de l'amourmercenaire, 207 ; tous peuvent faire un bon usagede la crainte servile et de l’espérance mercenaire,208, 209 ; de l'amour-propre, 209 sq. ; le plus âpredes remèdes pour extirper l’amour-propre,acquiescer à sa damnation, 213 sq. ; saint Ignaceet le pur amour, 214 ; 226, 229, 236 ; effets dupur amour, 250 ; simplicité, profondeur, facilité

133

de l'amour pur, 252, 253 ; conditions d'une œuvreméritoire, 253 ; 257, 261, 262, 269, 271, 278, 282.

La Réformation intérieure, I, saint François deSales son unique maitre, 174 ; 181. – VII, sur lasuprême et sublime partie de l'âme, 56 ; 141, 143.

L’usage de la pénitence et de la fréquente communion ,I, 164.

Du rare et fréquent usage de l’Eucharistie, I, 164.Pratique de la fréquente communion, I, 164.La fausse alarme du côté de la Pénitence, I, 164. –

IX, 389, 390.Exposition des passages allégués dans le livre de la

Fréquente communion, I, 164.Épîtres théologiques sur les matières de la

prédestination, de la grâce et de la liberté, I, 165.Homélie des désordres des trois ordres, I, le pauvre

peuple, âne surchargé de la fable, 300.Homélies et panégyriques, I, 155 ; Panégyrique de

saint Ignace, 160, 161 ; louange des Exercices, 162 ;que saint Ignace n'est pas espagnol, 163 ; défensedes jésuites, 160-164.

Traité de la désappropriation claustrale, VI, 236.De l'unité vertueuse..., [52] VII, 141 ; sa

doctrine, reçue de la bouche de saint François deSales, 142.

La Théologie mystique, VII, 142 ; proposer de lathéologie mystique « le côté le plus clair... le plussain », 144, 145 ; critique de la « passivité », 146sq. ; rien de ce qu'enseignent les mystiquesmodernes qu’on « ne puisse pratiquer avec la

134

grâce commune », 148-152 ; des élévationsd’esprit tenues pour effets de l'oraison passive nele sont que de l’active, 149 ; du recueillementactif, 150, 151 ; « Infus » au lieu de « Passif », 152-154 ; le regard de la méditation... pénible,laborieux. 154 ; l'exercice de la contemplationredouté par de bonnes âmes, 156, 157 ; vive etglobale réalisation de la présence divine, 158 ;contre ceux qui n’admettent de contemplationque miraculeuse, 160 : contre le faux sublime quivoile au commun des âmes la divine simplicité dela mystique, 161, 162. – VIII, 393 ; les images desainte Gertrude, 394 ; visions et révélations desainte Thérèse, 394 ; du degré de créance queméritent les révélations faites à des saintscanonisés, 394, 395 ; le conflit entre Jean de laCroix et Thérèse, 395, 396 : des extases etravissements, 396.

La lutte spirituelle... selon la doctrine de saintFrançois de Sales, I. prière pour une âme tentée,176, 177 – VII, 142 ; de la contemplation et desméthodes de méditation, 154, 155 ; la méditationest rarement sans quelque degré decontemplation, 156, 157 ; de l’élévation au rayonsurnaturel des divines ténèbres, 156-160 ;efficacité supérieure de l’ascèse contemplative,160. – S., critique des méthodes compliquées enmatière d'oraison, 29, 30 : opinion de François deSales sur le Combat spirituel et l’Imitation, 47 ; 144.

De la volonté de Dieu, VII, 142, 270.

135

Le renoncement de soi-même, VII, 142. – XI,Camus explique dans cet ouvrage les difficultésde l’Abrégé de toute perfection, 195.

Le renouvellement de soi-même, XI, rassure lesâmes troublées par le Bref Discours (BreveCompendio) et l’Abnégation intérieure de Bérulle,26, 27 ; son livre est un commentaire de ces deuxouvrages, 27, 28 ; sur les délectations pieuses, 32,33 ; renoncer aux désirs agréables et angoisseuxdes vertus solides, 36 ; renoncer au désir intéressédu Paradis, 38 ; Dieu nous enlève le sentiment dela vertu, 39 ; de la conduite à tenir contre lestentations qui sont la suite de cette privation, 39 ;47 ; dans la passivité ou souffrance de l'action dela grâce en nous, il y a encore de nous et du nôtre,48 ; 53, 185, 187, 188, 189, 191 ; sur l’Abrégé detoute perfection, 194 ; il trouve dans ce livre lethéocentrisme absolu du Traite de l’amour de Dieu,195.

Exercices pour une retraite de dix jours, d’aprèsl'Abrégé, XI, 195, 196 ; Camus menacé de prison.218, 219 ; 221, 223 ; son attitude dans la querelleau sujet de la Fréquente communion, 224 ; 227, 233,239, 246, 256. 258, 260, 263, 265, 267, 268, 274,275, 276, 280, 281, 283, 284, 296 ; préférait le motinfusion à passivité, 353 ; dit que bien des genscontemplent sans le penser, 415.

La Défense du pur amour, XI, 186 ; 192, 193 ;explication des termes mystiques : adhésion,désappropriation, etc., 196, 197, 198 ; il ne faut

136

pas réserver le privilège d’aimer Dieu pour lui-même à une caste de raffinés, 199 ; différenceentre l’amour-propre et l'amour de nous-même,209 sq. ; le pur amour n'est pas une chimèreinaccessible, 251.

Animadversions sur la préface d'un livre intitulé :Défense de la vertu, XI, Caritée, symbole du puramour et ses critiques, 204 sq. ; 207 ; défense deSaint-Cyran contre Sirmond, 224, 225 : sur la [53]question des vœux, 22.2, 226 ; Camus se défendavec vigueur contre les attaques du Père Sirmondet de ses partisans, 227. sq. ; 228.

Notes sur un livre intitulé : La Défense de la vertu,extraites de plus amples animadversions, XI, 228, 229 ;23o, 237 ; Sirmond favorable à la vertupélagienne, 247, 248 ; le pur amour est, pour lePère Sirmond, un fantôme et une chimère, 248,249 ; 254 : contradictions parmi les jésuites àpropos du Père Sirmond, 262.

Annotations, XI, 240.Notes, XI, qui s’attache à la vertu, sinon celui

qui aime, 220, 254.ROMANS

Événements singuliers, I, charmes et influencedes premières amours, 152, 153 ; 279 ; sur lesAllemands, 280 ; l’Italie, 280, 281 ; les Provincesde France, Paris, 282 ; le Languedoc et l'Espagne,282, 285, 300 ; rien de si saint que l’amour quandil est juste, 282 ; les jeux dangereux, 301, 302 ;306.

137

Hellenin ou son heureux malheur, ensembleCallitrope, I, le départ d’un cadet de Gascogne,275. 276 ; les cadets de Gascogne, 282, 283 ; lesdemoiselles du Languedoc, 283 ; citationspoétiques, 290, 291 ; 299 ; à un « mélancolique »qui reprochait à Camus de parler d'amour, 305,306.

La Mémoire de Darie, I, 165 ; il a écrit cettehistoire pour son divertissement, 278 ; clef despersonnages, 293 ; sur sainte Chantal, 298 ; 532.

Palombe ou la femme honorable, I, 277, 284, 301 ;l'amour honnête, 303, 304 ; lettre de Palombe àson mari, 304 : 307.

La pieuse Julie, I, 151, 152 ; sur Périandre(Camus), 171 ; 279, 285 ; la fuite de Julie vers lecloître, 286-290 ; 291, 293, 294 ; dédicace à labaronne de Veuilly, 296, 297 ; 299, 526. – XI, 71.

Rencontres funestes, I, 301.Roselis ou l’histoire de sainte Suzanne, I, 189 ;

l’aigle royale, 276 ; Roselis et Joachim, 284 ;l'amour naissant, 302, 303 ; contre les amoursséniles, 306 ; sur un poème de Bertaut, 376.

Parthénice, I, 73, 74.Pétronille, I, 526.L'amour et la mort (Événements singuliers), I, 152.

v. Salazar, Père du Sault, Griselle, Boulas, Baudry,Rigault, François de Sales, Navatel.

CANDIDE (Sœur). v. Sainte-Candide leCerf.

138

CANISIUS (P.) s. j. – II, 21. – VIII, a rééditéau XVIe siècle les œuvres de Tauler, 190. – S., 31.

CANO (Melchior), o. p. – VIII, 10 ; sesaccusations d'illuminisme contre la Compagnie deJésus, 197, 198 ; Cano et les chasseurs d'hérésie,199, 200 ; 201, 223 ; accuse Louis de Grenade deprétendre que tous deviennent des contemplatifset des parfaits, 226 ; même reproche au FrèreLuis de Léon, 226 ; (cit. par le Père Bernard),226 ; 227, 282. – XI, 296.

CANTIMPRÉ (Th. de). – Bonum Universale deApibus, IX, du culte de sainte Barbe, patronne dela confession in extremis, 362.

CANTU (César). – Les Hérétiques d’Italie, I, 15.CAPOLAIN (Gilles). – III, 605.CAPPONI (cardinal). – IV, 131.CAPUCINES de Marseille, (monastère des).

– VI, 427.CAPUCINS ET JÉSUITES. – II, Ordres

nouveaux, ouvriers de la contre-réforme et de larenaissance spirituelle, 136 sq.

CARAYON (P.), s. j. – Mélanges Carayon, I,67 ; a édité l’Histoire des Jésuites de Paris, écrite parle P. F. Garasse, 159. – II, a édité N. Abraham,Histoire de l'Université de Pont-à-Mousson (Documentsinédits), 3. [54]

Documents inédits sur la Compagnie de Jésus, VI,397. v. Nicolas Abram.

CARELASSE (Sœur Françoise), ursuline. –VI, un miracle ingénu, 429.

139

CARMEL. – Première maison du Carmelfrançais, II, 188 ; débuts en France, 252 ; origines,263-322 ; fondation du Carmel français ; unconseil à la Chartreuse de Paris, 283 ; raisons del’opposition des Carmes, 288 sq. ; 290 : le grandvoyage en Espagne, 293-308 ; séjour à Valladolid,295 sq ; Bérulle en Espagne, 297-299 ; victoiredes Français, 300 sq. ; le retour en France, 301sq. ; les deux carmes du cortège, 303, 304 ; Mme

Jourdain et la bienvenue de sainte Thérèse, 304 ;les impressions des carmélites espagnoles enFrance, 306 sq. ; arrivée à Paris, 306 ; prieuré deNotre-Dame-des-Champs, 284, 308 ; lespremières carmélites françaises, 308 ; leurinitiation à la vie du Carmel ; gouvernement de laMère Anne de Jésus, 309 sq ; initiation mystique,310 ; prompte diffusion du Carmel, 311, 312 ; savie propre et indépendante, 314 sq. ; lescarmélites ont moins reçu de leurs supérieuresqu’elles ne leur ont donné, 316 ; les carmélitesespagnoles quittent la France, 319 ; monastère del'Incarnation, 326 ; monastère de la Mère de Dieu,326 ; visites royales, 327, 328 ; les primaires de lamystique et le charme du Carmel, 361, 362 ; 488.– VIII, tous les vrais mystiques, d’où qu’ilsviennent, s’y trouvent nécessairement d’accord,295. v. Mme Jourdain, Madeleine de Saint-Joseph.

CARMEL D’ALENÇON. – VII, 162.CARMEL D’AMIENS. – VI, 381.CARMEL D’AVIGNON. – VI, 417.

140

CARMEL DE BEAUNE. – III, centre etfoyer de la dévotion à l’Enfant Jésus, 524 ; 537. –VI, 391. v. Marguerite de Beaune.

CARMEL DE BLOIS. – II, 606.CARMEL DE BORDEAUX. – III, 560. –

V, la mère et une sœur du Père Surin s’y fontreligieuses, 161 ; « Assemblées de dévotion »pendant la Fronde bordelaise, 266. – VI, 435.

CARMEL DE CAVAILLON. – VI, 432.CARMEL DE DIJON. – II, 267 ; sa

fondation, 312 sq. v. sainte Chantal.CARMEL DE LA GRAVELLE. – XI, 175.CARMEL DE LECTOURE. – III, 561.CARMEL DE LISBONNE. – II, 71.CARMEL DE PARIS. – III, sa froideur à

l’égard de Marguerite de Beaune, 533 ; 546, 550.CARMEL DE TOURS. – III, 43.CARMÉLITES. – Mémoire sur la fondation, le

gouvernement et l'observance des Carmélites déchaussées,II, 264 ; empressement des carmélites d’Espagnepour la fondation du Carmel en France, 280, 281 ;nombreux obstacles à cette fondation, 286, 288,289, 290 ; lettre de J. de Quintanadoine auGénéral des Carmes, 292, 293 ; le grand voyaged'Espagne eu France, 295-322 ; Madeleine deFontaines, 325 ; 350 ; apostolat des carmélites,327-329 ; la séduction du Carmel, 329. v. Mme

Acarie.CARMES DÉCHAUSSÉS. v. Breusché de la

Croix.

141

CARMES. – Saint Louis et les religieux duMont-Carmel, II, 363, 364 ; le couvent de la placeMaubert, 364 ; le couvent des Aygalades, 364 ;leur réforme par le Père Philippe Thibaut, 365 ;373. v. Jean de Saint-Samson, Philippe Thibaut,Dominique de Saint Albert, Léon de Saint-Jean.[55]

CARMES DÉCHAUSSÉS DE ROUEN,amis de H.-M. Boudon. – VI, 248.

CARNAHAN (D.-H.). – The « Ad Deumvadit » of Jean Gerson, IX, 278.

CARNÉADE. – XI, 427.CARON, père de Sœur Claude du Calvaire et

de Sœur Marie du Saint-Sacrement. – V, 402.CARON (P.), o. p. -VIII, 81.

CARRANZA (Barthélemy), archevêque deTolède, prisonnier de l’Inquisition romaine. –VIII, 201 ; 220, 223. v. Dominique Soto.

CARRANZA (Procès de). – XI, 61.CARRILLO (P.), s. j. – I, 89, 92.CARTAUD DE LA VILATE. – Essai

historique et philosophique sur le goût, III, 197.CARUS (W.). – Memoirs of the life of the Rev.

Charles Simeon..., IV, 375.CASASSUS (Fleurette de), ursuline. – VI,

443.CASGRAIN (abbé). – Histoire de la Mère

Marie de l’Incarnation (Mme Martin). – VI, 9.CASILDE DES SAINTS-ANGES, prieure

du Carmel de Valladolid. – II, 205 ; lettre à Jean

142

de Quintanadoine sur l’esprit des constitutions duCarmel, 309.

CASSIEN. – III, 138, 152, 265. – VIII, 7. –S., 52, 85.

Conférences, I, furent une des principalessources de l’Introduction à la vie dévote, 107. – IV,493, 530. – X, de l’oraison jaculatoire, 3.

CASTALI0N (Sébastien). – VI, 257.CASTETS. – Bourdaloue, la Vie et la prédication

d'un religieux au XVIIe siècle, IV, 297, 301. – IX,citation de Lemaistre sur le mariage, 289 ; sur Mme

de Sévigné et ses craintes de la mort, 332 ; de laconversion in extremis, 334 ; sur la mort de ’Mma deMonaco, 336, 337. – X, sur les sermons deBourdaloue pour Noël, 319, 320.

Catéchisme annuel et commode (Dict.), IV, 374.Catéchisme des dimanches et des fêtes (Paris, 1734),

IX, contient plusieurs pages sur la dévotion auBaptême, 37.

CATELAN (Mme de). – V, 142.CATHERINE, fille morte de la peste à

Nivelle. – IX, 381-387. v. Hanart.CATHERINE DE BAR (Mechtilde du Saint-

Sacrement). – VI, 386. – IX, 207 sq. v. Mechlilde,abbé Duquesne.

CATHERINE DE GÊNES sainte). – II,337. – III, 504. – V, 369, 377 ; VII, 121, 146.

CATHERINE DE L INCARNATION,ursuline (C. de Veteris du Revest). – VI, ses actesd’humiliation, 428, 429. v. Gaspard Augery.

143

CATHERINE DE JÉSUS, carmélite. – II,317, 328 ; sa Vie par Mère Madeleine de Saint-Joseph, 331-343 ; mérites singuliers de ce livre,331 sq. ; l’apothéose de la petitesse, 332, 333 ; savocation, 334 ; étapes de sou ascension mystique,334 sq. ; dépossession de soi-même, 336-339 ; lestentations, 339, 340 ; prie et souffre pour laFrance, 340, 341 ; correspondance avec Bérulle,341, 342 ; sa mort, 342, 343 ; 467. – III, 4,élévations, actes intérieurs, 149, 150 ; modèleachevé de la dévotion bérullienne, 540 ; 541, 544,571. – V, 121, 123, 133. v. Madeleine de Saint-Joseph, -Marguerite de Beaune.

CATHERINE DE JÉSUS (V. M.) (Ranquet),ursuline. – VI, 333- 339, le don et le goût d’écrire,333 sq. ; tentation de superbe, 334 ; l’empreintebérullienne, 335 ; plus occupée de la présence quede l’histoire de Notre-Seigneur, 335 ; effets deconnaissance [56] rétroactive, 335 ; plus d’autremot que « oui », 336 ; contemplation plus facileen dehors de l'oraison. 337 ; oubli apparent de laSainte Vierge, 338 ; folie de la Crèche et folie dela Croix, 338 ; 339.

CATHERINE DE JOYEUSE, fille uniquede Henri de Joyeuse, mariée à Henri de Bourbon,duc de Montpensier, puis à Charles de Lorraine,duc de Guise. – II, 150.

CATHERINE DE MÉDICIS. – II, 77 ;appela en France (1574) les Frères mineurs

144

capucins, 140 ; enleva aux Augustines pénitentesleur première maison pour y établir sa cour, 456.

CATHERINE DE SAINT-BERNARD,ursuline. – V, 74, 75. v. Rigoleuc.

CATHERINE DU SAINT-ESPRIT (Mère),carmélite. – II, 275.

CATHERINE DE SAINT-JEAN (Sœur). v.Mme Le Maître.

CATHERINE DE SIENNE [sainte). – II,31, 38. 333. – V, 276, 281, 369. – VI, 98, 279, 280,342. – VII, 146. – XI, 23, 213. – S., 271.

CATOIS (dom). – XI, 127, 128, 129.CATON. – Distiques, IX, 329.CAULET (François de). – III, 422, 429. – IV,

89, 98, 99.CAUMARTIN (Lefebvre de), évêque

d’Amiens. – XI, 107, 150, 151, 153, 175, 176.CAUMONT (Anne de), comtesse de Saint-

Paul, duchesse de Fronsac. – II, 188, 412. – IX, saretraite de préparation à la mort, 370.

CAUSSADE (P. de), s. j. – I, a déclaré queBossuet, très malgré lui, du fait de ses attaquescontre les faux mystiques, a rendu suspects lesvrais mystiques eux-mêmes, 394. – II, 159. –VIII, 178. – XI, 59. – S., 96.

Instructions spirituelles... sur les divers étatsd'oraison : l’amour de pure bienveillance, II, 597,598 ; épreuves du futur contemplatif, 599, 600 ;du quiétisme, 602. – IV, douleur de renoncer àtoute action propre, 571. – VIII, de ceux qui

145

condamnent ce qui leur parait surprenant dans ceque l’Esprit Saint opère dans les âmes, 322.

Traité de l'abandon, contient des lettres à laMère de Rosen, VIII, 357.

L'Abandon (petit abrégé), S., 341. v. P.Ramière.

CAUSSE (E.). – Mme Necker de Saussure etl'éducation progressive, X, 22.

CAUSSIN (P. Nicolas), s. j., confesseur deLouis XIII. – I, son entretien avec Rancé, 189. –IV, 87. – V, 112. – VI, 235 ; sa vénération pourMère Agnès Dauvaine, 385. – XI, 221 ; del’attrition, 264, 265.

Les devoirs funèbres rendus à la mémoire de Mme deBeauvillier, II, 442, 443.

La Cour sainte (les Maximes), IX, de l’abus descommunions fréquentes, 91, 92 ; 114 ; desconfesseurs importunant les mourants, 353.

CAUVEL (M.). – VI, 368.CAVALLERA (P.), s. j. – I, le Décret du

Concile de Trente sur le péché originel (Bulletin deToulouse) 17. – VI, Critique de l’édition, par Mgr

Gauthey, de la vie de Mère M. Alacoque (Bulletinde littérature ecclésiastique), 400. – VII, ses éloges dulivre de M. Fr. Vincent (Revue d'ascétique et demystique), 38, 39. – VIII, idéalisme et pragmatismede saint Ignace (Revue d'ascétique et de mystique),187 : son édition critique des Lettres du PèreSurin, 281 ; spiritualité du P. Surin, apparentée àla spiritualité bérullienne, mais en gardant ses

146

attaches avec les Exercices, 281 ; sur lacorrespondance du Père Général Vitelleschi àpropos du Père Surin et de sa [57] doctrine, 282,283, 284. – S., 23, 27, 34, 35, 36, 41, 46, 48, 57,58 ; l’adhérence de Bérulle et l’imitation d'Ignace(Revue d'ascétique et de mystique), 60 ; saint Ignace etl’intellectualité des Exercices, 73, 74 ; 72, 77 ; dansla pensée d'Ignace, le bien fait à l'intelligencecompte comme celui qui a directement pour objetla volonté, 82 : 114, 117, 118, 121, 122 ; le R. P.Cavallera et la philosophie de la prière, 125-186 :la méthode critique du Père Cavallera, 134-137 ;les guillemets impudents, 134 ; suppressions,135 ; méprises, 136 ; 138, 139, 141, 144, 146, 148,152-158 ; substitution perpétuelle du concret àl'abstrait, 162, 163 : un coup de théâtre, 164-170 ;du parallèle entre la méthode soi-disantignatienne et la méthode bérullienne, 164 sq. ;adhérer aux états du Verbe incarné (Bérulle) ;imiter ses actions (Ignace), 164 sq ; les troisformules mystiques du P. Cavallera et la retraitede l'ascéticisme, 171-186 ; éloge du livre de Fr.Vincent (Revue d'ascétique et de mystique), 184 ; 338,359, 360.

Ascétisme et liturgie, III, il y a, dans les Exercices,plusieurs méthodes d’oraison, 113 ; l'id quod volo,114. – IV, 527 ; X, 52 ; extraits des Mémoires deTrévoux sur l'Année chrétienne du Père Croiset, 53 ;des mêmes Mémoires : sur le figurisme, 54 ; de laparenté outre les Années chrétiennes et l'Année

147

liturgique, 54, 55 ; sur l'Art de méditer du PèreRoothaan, 322.

La Spiritualité des Exercices (Revue d’ascétiqueet de mystique), S., 25 ; des commentateurs desExercices, 33, 34 ; les Exercices ne proposent pasmoins de six manières de prier différentes, 37 ;aucune méthode ne surpasse l’ignatienne ensimplicité, 37, 38 ; les Exercices, méthode pourordonner sa vie selon la volonté de Dieu, 44.

CAVELIER DE VILLEQUIER (Catherine).– II, 266.

CAYLUS (de), évêque d'Amiens. – IX,mandement pour le Carême de 1751, pour latraduction en français des prières de la messe,189, 190.

CAYLUS (Mme de). – Souvenirs, VI, 318, – XI,281.

CAYRÈ (P.), a. a. – S., 139.Principes de la spiritualité de saint Augustin. (Vie

spirituelle), VIII, 23.La Contemplation augustinienne, XI, l’âme, dans

les pires épreuves, reste préoccupée de Dieu dontla réalité la pousse à se reposer en Lui, 407, 408.

CAZÈRES (Françoise de), fondatrice de laCongrégation des Ursulines de Bordeaux. – V,201.

CEJADOR. – XI, accuse les Alumbrados depanthéisme, 59.

CÉLESTIN DE SAINT-SIMON (P ),carme. – La vie de sœur Scholastique de Saint Elie,

148

religieuse de l'ancienne et étroite observance de l’Ordre deNotre-Dame du Mont-Carmel, VI. 379.

CELESTINS (moines), de Saint-Pierre-en-Chartre. – I, 336.

CELLE (prieuré de La). – II. 535.CÉPÉDE (Jean de La). – Les théorèmes de

Messire Jean de La Cépède sur les sacrés mystères de notreRédemption, I, 347-357 ; souvenirs et symbolismesbibliques, 349-357 ; tableaux de la Passion, 350 ;qualité religieuse de sa contemplation desmystères, 356, 357.

CERVANTES. – I, 280.CÉSAIRE (saint). – IV, 134.CÉSAR DE NOSTRE-DAME. – Les perles

ou les larmes de sainte Madeleine, I, 384.CHABANES (M.). – II, 527.CHADUC (P.). – III, 541.CHAISE (P. de La), v. La Chaise. [58]CHAIZE (M. de La). – Vie de saint Louis, IV,

587.CHAIZE (Françoise de La), femme de

Claude Guilloire. – V, 355.CHAMARD (dom François). – Vie des saints

personnages de l'Anjou (contient une noticeconsacrée à Louise de Bellère), V, 344 ; accuse dejansénisme les religieuses de Charonne et leconfesseur de Louise, 352 ; 355, 364. – VI, 444.

CHAMARIN (Mme de). – III, 296.CHAMBAUD (Marguerite). – II, 42, 50, 115.CHAMESSON (Mlle de). – IV, 214.

149

CHAMIER (Daniel), pasteur. – Histoirenotable du Père Henry, jésuite, II, 79 ; 81, 82, 83. v.Pierre Coton.

CHAMILLART (M ). – IV, 237.CHAMOUX (abbé). – Vie du vénérable César

de Bus, II, Antoinette (de Cavaillon) et César deBus, 13, 14 ; conversion de César de Bus, 15 ; 23.

CHAMPAGNE (Christofle de), baron deNeuvillette. – VI, 387.

CHAMPAGNOT. – Vie (manuscrite) de M.de Brétigny, II, la fausse stigmatisée de Lisbonne,71. – Vie inédite de Jean de Quintanadoine, II, 266,268, 269, 270, 271, 272, 275-278, 294, 321, 322.

CHAMPAIGNE (Philippe de). – I, 73. – IV,179, 180, 500.

CHAMPION DE LA MAHÈRE (P.), s. j. –V, sa vie, 4 ; il réveille la tradition de l'écolemystique du P. Lallemant, 4 sq. ; quelle est sacontribution personnelle aux écrits de Rigoleuc etaux résumés du Père Lallemant ? 39 ; 67 ; sur lePère Surin, 151.

La vie du Père Jean Rigoleuc, IV, les silences duPère Lallemant, 47. – V, ch. I, in toto : ch. II,passim.

Vie de Mlle de Francheville, V, 82.Lettres spirituelles du Père Surin, V, 151, 172.Vie du Père Vincent Huby, V, 81.Vie de M. de Kerlivio, grand vicaire de Vannes,

V, 114.

150

CHAMPS (P. Étienne de), s. j., recteur ducollège de Clermont. – VI, 402.

CHAMPVALLON (abbé de). – II, sonrapport à l’assemblée du clergé (29 mars 1651)conclut au blâme de Marie de Valence et de sonbiographe Louie de La Rivière, 63.

CHANAN (P. Philippe), s. j. – II, 21, 22.CHANCELADE (abbaye de). – III, 553, sq.

– VI, 440.CHANDENIER (Mlle). – V, 352.CHANSOU (abbé). – Étude de psychologie

religieuse sur les sources et l'efficacité de la prière, VII,définition de la prière, 9 ; de la crainte révératrice,12, 13 ; des distractions dans la prière, d'aprèssaint Thomas, 405. – S., premier actepsychologique d’un homme qui prie : élévation, 14 ;de la crainte vénératrice, 18.

CHANTAL (Celse-Bénigne de). – II, 538,566. – VI. 49, 63, 71.

CHANTAL (Charlotte de). – II, 566.CHANTAL (Françoise de). – II, 566.CHANTAL (sainte Jeanne de). – II, 47, 49,

77, 133, 196, 267 ; le Carmel de Dijon, 313, 314 ;323, 351, 357, 396, 446, 518 ; saint François deSales et Jeanne de Chantal, Ch. VII, in toto ;Jeanne de Chantal tient une grande place dansl’histoire intime du Traité de l'Amour de Dieu, 538 ;son épanouissement mystique el celui de saintFrançois de Sales sont une seule et -mêmehistoire, 538 ; ses premiers pas sur la voie

151

mystique, 539 ; scrupules et détresse spirituelle,540, 541 ; attente d'un directeur, 541, 542 ; lesvœux imprudents, 542 ; la première confession deJeanne de Chantal, 545 ; le Carmel de Dijon ; [59]la direction de sainte Thérèse, 555-564 ; la scènedes adieux ; les enfants de Mme de Chantal, 566 ;sa prétendue sévérité, 568 ; 604. – III, 5, 47, 231 ;confiée à saint Vincent de Paul par François deSales, 232 ; se met sous la direction de Saint-Cyran, 232 ; 240 ; opinion de Jeanne de Chantalsur le Père de Condren, 291. – IV, 37, 40, 46, 75,155, 183, 188, 230. – V, 143, 247. – VI, 49, 50, 63,71 ; sur l’oraison de Mère Anne-Marie Rosset,395 ; 440. – VII, 55 ; générosité et héroïsme ;nature et qualité de sa prière, 87 sq. ; le Traité del'Amour de Dieu écrit pour elle, notamment lesderniers chapitres du livre IX, 89 ; 143, 368. –VIII, 203.

Œuvres : I, 73 ; affabilité de saint François deSsles, 75 ; son détachement, 81 ; texte de saintFrançois de Sales, 82 ; déposition de sainteChantal sur la grande tentation de François deSales, 86 ; sur la manière dont François de Salesélevait les âmes à l'amour de Dieu, 108 ; formée àla ressemblance de François de Sales, 128, 129 ;ses rapports avec le Père Binet, 132, 143 ; 165,184 ; sur les cantiques, 211 ; le cantique de Mèrede Bréchard, 217 ; à propos de saint François deSales, 330 ; sa lettre à J.-P. Camus au sujet descapucines, 532 ; première rencontre avec saint

152

François de Sales, 543 ; la direction du saint, 549 ;sa gravité, sou humble douceur, 550 ; des âmesque Dieu dénue de toute satisfaction, 553 ; totalabandon, 554, 355 ; la Visitation, toute fondée surla vie intérieure, 569 ; les premières visitandinesne voulaient parler que de l’oraison, 571 ;François de Sales et les goûts sensibles, 574 ;l’oraison des visitandines, 574-576 ; duretranchement des livres subtils et de La pratiquedes vertus, 579 ; sainte Chantal dit dans une lettreà une carmélite que le Traité de l'Amour de Dieurésout toutes les difficultés de la vie spirituelle,581 ; 583 ; l’attente et le laisser-faire à Dieu, 599.– VII, sur les âmes sans consolation, 88 ; unepetite lumière en la suprême pointe, 88.

Correspondance, I, sur le Père Binet, 143. – VI,78. v. Binet.

CHANTAL (Marie-Aimée de). – II, 566.CHANTELAUZE. – Saint Vincent de Paul et

les Gondi, II, 356 ; Marguerite Acarie et Ph. Emm.de Gondi, 356.

CHANTERAC abbé de). – V, 294.CHANTRE (M. Le). – IV, 64.CHAPELAIN (Jean), médecin de Louise de

Savoie. – II, 503.CHAPELAIN (Jean), poète. – VII, 167 : son

mot sur Antoine Godeau, 168, 169. – X, 266.CHAPELET DU TRÈS SAINT-

SACREMENT. – VI. sur les contrefaçons du

153

chapelet au XVIIe siècle, 431. v. P. Mortierd'Authier.

CHAPELET SECRET DU SAINT-SACREMENT, (le). – IV, 195 ; sa légende etl’histoire, 202 sq. ; analyse, 204-209 ; sa doctrineest foncièrement oratorienne, 201 ; mais pousséeaux dernières limites du raisonnable, 206 sq. ;n’est pas janséniste, 209 ; 210 ; notice de Nicole,211, 212 ; 310. – VII, 216. – VIII, 304. – XI, 191,192, 200, 222. v. Mère Agnès, Arnauld, Zamet,Rapin, Saint-Cyran, Surin, Tournier, Condren. O.de Bellegarde, Guilbert, Nicole, Binet, Richelieu,Relation des Filles du Saint Sacrement.

CHAPELLE. – I, 205.CHAPMAN (dom John). – Contemplative

prayer, XI, 399.What is mysticism, XI, d’après dom Chapman,

la connaissance mystique ressemblerait à laconnaissance angélique, 400 ; de la pauvreténoétique et affective des lueurs qui parviennent,dans l’oraison de quiétude, à la conscience réflexe,408 ; douloureuse [60] perception de la présencedu moi, 412 ; 433.

Article Mysticism dans l’Encyclopédie deHastings, XI, à propos de la ligature despuissances, 360. – S., de la méditation discursive(Encyclopédie de Hastings), 147 ; 149.

CHAPONNET (P.). – Examen des voiesintérieures, VII, la suavité inséparable de l’amour deDieu, 24.

154

De l'usage de célébrer le servire divin en languevulgaire, X, réponse aux protestants sur l’emploidu latin dans la liturgie, 226.

CHAPOT (abbé Léon). – Histoire de laVénérable Mère Marie de l'Incarnation (Mme Martin),d’après dom Claude Martin, VI, 9 ; sur Marie del’Incarnation et sa méthode d'oraison mentale,22 ; 54.

CHAPPUIS (V. M.). – S., 139.CHAPUYS. – II, 6.CHARBONNEAU-LASSAY. – Les marques

commerciales des premiers imprimeurs français, VII,vignettes représentant Jésus enfant assis dans uncœur, 368.

CHARCOT (Dr). – V, préface du livre deLogué sur Jeanne des Anges, 203.

CHARDON (P.), o. p. – VII, 49, 405. – VIII,au point de vue de la spiritualité chrétienne,s'arrêter de préférence à la présence de Dieu ennous, 3 ; 6, 7, 8, 9, 12, 13 ; cherche, comme Piny,à expliquer les épreuves de la vie intérieure, 14sq. ; a voulu vulgariser le dogme essentiel de la viedivine en nous, 17 ; métaphysique de la grâce, 18 ;veut déterminer le mode habituel et la finsuprême de la présence agissante de Dieu, 21 ; laprésence de Dieu eu tous ses ouvrages, 24 ;façonne les âmes éprouvées à identifier silence etprésence, 26 ; par la subsistance mystique, lesâmes saintes sont une seule personne mystiqueavec Jésus, 26, 27 ; ses dons d’écrivain, 31, 32 ;

155

l’état de grâce et l'inclination à la Croix, 39-43 ;83, 138, 143, 169, 193, 372, 375, 376, 384. – X,33. – XI, 4, 47, 189. – S., 355, 359.

La Croix de Jésus, où les plus belles vérités de laThéologie mystique et de la grâce sanctifiante sont établies,réédition moderne sous le titre de : La Croix deJésus où les divines affinités de la grâce et de la Croix,VIII, 4, 9 ; sur le mépris où l’on tient lesmystiques, 10-12 ; il commence par la spéculationqu’il entend bien tourner à aimer, 13 ; 17 ; LaCroix de Jésus, 19-77 ; « La présence de Dieunaturelle eu toutes choses par Immensité », 19-25 ; ce livre n’est, en somme, qu'un traité de laprésence de Dieu dans les âmes, 19 ; Dieu, par saprésence, tire sans cesse la créature de l'abîme deson néant, 21, 22 ; Dieu opère eu nous tout ceque nous sommes, 22, 23 ; l’inclination à la croix,pondus, produite par la grâce en l’âme de Jésus-Christ, 25-39 ; les deux présences divines, 25 sq. ;du maniement des âmes et de la véritable autorité,28, 29 ; deux forces contraires produites par lagrâce dans l’âme du Christ : le poids de la gloire etle poids de la souffrance, 30 ; des joies étrangèresà l’amour ne font qu’accroître ses peines, 32 ; lestorrents de la gloire éternelle n'éteignirent pasdans le Christ sou inclination à souffrir, 33 ; lebaiser de Judas, 34 ; Jésus n'aime rien tant que lebien de mourir, 34 ; Dieu est partout parce qu’ilest amour, 35 ; de l'humble état de la charité sur laterre, 36 ; la grâce, sans nos déficiences et nos

156

défaillances, serait un divin plaisir, 36 ; l’onction,source de joie, se voit suspendue en la partiesupérieure de l’âme de Jésus-Christ, parce qu'il ade l'amour pour la justice, 37, 38 ; l’huile pour lesinvités aux noces ; l'huile pour la sépulture desmorts La double onction de Jésus, 38 ;l’inclination que l'âme de Jésus [61] a pour lacroix, a son exercice dans les âmes saintes, 39 sq. ;ce serait un désordre... si des membres nourris dedélicatesse étaient liés à un chef percé d’épines,40 ; des souffrances spirituelles. L’âme... dans lanudité de la grâce dont Dieu suspend les effetssensibles, 41 ; consolations pour l’esprit de ceuxdont le corps est éprouvés 42 ; ceux qui sonttouchés de l’amour ne sont plus à eux- mêmesmais à l’objet qui les ravit, 42 ; l'amour, principede vie et principe de mort, 42 ; mort des chosesdont la vie est contraire à celles que Dieu veutproduire dans l’âme, 42 ; instruites des propriétésde l’amour sacré, les âmes ne voudraient pas avoirchangé leur martyre aux délices du Paradis, 43 ;présence active des trois Personnes divines dansl’âme du juste, 43 ; les Personnes incréées ne sontpas en nous en la manière de simples habitudesoisives mais elles y agissent sans relâche, 44 ; lesdeux Processions : la première a ses effets dansles dons de la nature, la seconde ne secommunique qu’avec les dons surnaturels et clôtainsi le cercle de l’Amour, 45, 46 ; la créature,transformée en Dieu, perd en Lui son non-être et

157

la crainte de devenir moindre, 46, 47 ; vie passivede l’âme et active à la fois par l’effet de laprésence divine, 48 ; Missions invisibles desPersonnes divines, par conformité aux deuxvisibles : l'Incarnation et la Pentecôte, 48, 49 ; le« poids » crucifiant des « Missions divines », 49-59 ; les croix spirituelles attirent les Missions desPersonnes divines d’autant qu’elles sont plusaffligeantes, 49, 50 ; les croix spirituelles ne sontpas des absences de Dieu, mais les excès d’ardeursont, par elles, recueillis dans leur centre afin den’avoir plus d’action que pour le Créateur, 50, 51 ;des tentations des contemplatifs, 51, 52 ; desopérations intimes de l’Esprit Saint dans l’âmeéprouvée, 52 ; dans les désolations spirituelles,l’œil intérieur de l’âme est rendu très simple pourne plus pouvoir regarder... que la gloire de Dieu,54 ; la désolation, chemin royal vers le pur amouret l’union mystique, 55 ; l’alchimie divine du puramour, 55 ; les croix non plus reçues comme dessources d’affliction, mais (comme) la présence duDieu vivant, 55, 56 ; dans le vide de tout ce quiest sensible et de ce que saurait atteindre laraison... l’âme apprend que Dieu est tout... et quele reste n’est rien, 57-59 : la catharsis« deiformante », 59-68 ; de l'action dépouillantedes Missions divines sur nos facultés spirituelles,69 sq. ; les premières impressions se font sur lamémoire : sa purgation, 60, 61 ; la purgation de lamémoire laisse subsister les distractions. 61 ; la

158

fécondité d’une puissante mémoire nuit àl’entendement pour assurer son jugement, 61, 62 ;la mémoire étant réduite à la pure nudité, il nereste plus à l'entendement que l'étonnement de lagrandeur de Dieu, 62 ; l'entendement a plusd’approche aux grandeurs inaccessibles par lesextrémités de son abaissement que par lesélévations qui le ravissaient, 63 : contemplationn’est ni révélation, ni vision, 63, 64 ; l'âme,abîmée dans son propre vide, y trouve son Toutet son Rien, 64 ; « Qui êtes-vous et qui suis-je ? »,64 ; dans cet évanouissement d’espèces etd’images, l'âme jouit de la tranquillité d’une paixdont l’état des âmes du Purgatoire est une copietrès parfaite, 65 ; « Je ne veux point d’image, jeveux le Bien-Aimé », 65, 66 ; l’âme, parsoustraction et négation de toute penséeaffirmative... apprend, non ce que Dieu est, maisce qu’il n’est pas, 67 ; l’entendement n'est pascapable de toucher l’amour en sa propre forme,mais la volonté est digne de l’atteindre et del’embrasser eu lui-même, 67 ; l’Ancien Testamentet la Mystique de la Croix, [62] 68-77 ; dixchapitres de la Croix de Jésus consacrés au martyreintérieur de la Sainte Vierge, 68 ; comment Dieufit connaître au prophète Elie la mystique de laCroix, 69, 70 ; Dieu se donne mieux ens'absentant, 71 ; sur le patriarche Jacob etcomment Dieu l’a privilégié, 72, 77 ; Jacob seservait (d’abord) de Dieu plus qu’il ne le servait,

159

73 ; l’amour de concupiscence élève cependantl’amour-propre dans un ordre supérieur, bien quetrès éloigné du pur amour, 74 ; le combat deJacob avec l’Ange ou la lutte du pur Amour, 74-77 ; les deux lutteurs n’ont point pour fin laséparation, mais l’union, sq. ; apprenons en laconduite de Jacob... que les désolations n’ontpoint de séparation, mais de l’attachement, 77. v.Bourgeois.

CHARENTON EN-BOURBONNAIS(abbaye de). – II, 512, 523.

CHARITÉ (Mère de la). – XI, 124.CHARITÉ-SUR-LOIRE (abbaye de La). –

II, la dévotion dite « de l’esclavage », 521-523.CHARLEMAGNE. – X, 56.CHARLES BORROMÉE (saint) – I, 128. –

II, 19, 29. – IV, 31, 131. – IX, 51, 55 ; réagitcontre le zèle intempestif des apôtres de lacommunion fréquente, 73 ; 102 ; Protestation àl'Ange gardien, 361. – XI, 6, 7.

CHARLES V, roi de France. – II, 188.CHARLES VIII, roi de France. – II, 456.CHARLES-EMMANUEL DE SAVOIE. –

II, 148.CHARLEVOIX (P. de), s. j. – Vie de la

Vénérable Mère Marie de l'Incarnation (Mme Martin),II, du centre de l'âme, 606. – VI, 4 ; juge l'œuvrede dom Claude Martin, 8, 9, 11, 18 ; sur Marie del’Incarnation et sa méthode d'oraison mentale,

160

22 ; Marie de l'Incarnation chez son beau frère,24 ; 28, 36, 54, 77, 113, 176.

Histoire et description du Japon ; Histoire de Vile deSaint-Domingue ; Histoire du Paraguay ; Histoiregénérale de la iXouvelle- France, VI, 8.

CHARME(le), abbaye de l'ordre deFontevrault – II, 249. v. Mme Acarie.

CHARMOYE (abbé de La), supérieur deMaubuisson. – XI, 127, 128, 129 ; consent àl’entrée de Madeleine de Flers à Maubuisson. 129,130, 137, 154.

CHARNY (comte de). – III, 325.CHAROST (comte de). – X, 281.CHARPENTIER (J.-P.). - Tableau historique de

la littérature française aux XVe et XVIe siècles, IV, surles ruines de Port-Royal, 23, 24.

CHARRIER (P. Pierre), s. j. – VI, 404, 411.Histoire du Vénérable Père Claude de La

Colombière, VI, 402-406.CHARRON. – VII, 34.CHARTABLON (de). – La manière de se bien

préparer à la mort, IX, 361.CHARTON (M.). – II, 457.CHARTREUSE DE MONTRIEUX. – VII,

170.CHARTREUX de Bourgfontaine. – I, 19. –

II, 6 ; nombreux au XIVe s., 2.CHARVIN (dom G.). – X, 91. v. dom

Martène.CHASSAGNY (P.), o. p. – VIII, 84.

161

CHASSENEUZ (B, de), encyclopédistemoralisateur. – I, 258.

Catalogue de la gloire du monde, I, 259. v. Pignot.CHASTENET (P. Léonard). – La vie de Mgr

Alain de Solminihac. evesque, baron et comte de Caors,VI, 441.

CHATEAUBRIAND (René de). – III, 679. –IV, 179. – X, 66, 154, 224.

Vie de Rancê, I, Rancé et le Père Caussin, 189.[63]

Le Génie du Christianisme, IV, 160. – VI, 448,461, 466. – VII, 81. – X, 48.

CHATEAUBRIAND (Mme de). – VII, 380.CHATEAUNEUF (M. de). - II, 16..CHATEAUNEUF Mme de), cousine de J.-B.

Romillon. – II, 16CHATEAUNEUF (Marie de). – II, on la met

dans l'abbaye royale de Saint-Laurent de Bourges,406 elle devient abbesse de ce monastère ; estdirigée par les jésuites de Bourges, 420 ; 440.

CHATEL (le régicide). – II, 84, 208.CHATEL (Mère Marie Péronne de),

visitandine. – II, 573, 584 – VI, lettre de saintFrançois de Sales à la Mère de Chatel sur lesvisions et révélations de Sœur Marie-Constance(de Bressand, 268 ; répugnait à communiquer deson intérieur, 271 ; 274. v. M. de Chaugy.

CHATELLAIN (Vital). – Le Père Denis Petau,II, 3.

162

CHATRE (Françoise de La), abbesse deFaremoutiers – II, 395, 406 ; érudite etmusicienne, 410 ; son mot sur la noblesse de sesreligieuses, 412.

CHATRE (Mme de La). – III, 545.CHAUDON. – Bibliothèque d'un homme de goût,

VIII, sur Bourdaloue, 313.Nouveau Dictionnaire historique, X, sur

Letourneux, 50 ; 283.Dictionnaire historique des auteurs ecclésiastiques, X,

sur la traduction de Horstius par Fontaine, 192 ;sur les ouvrages de dom Robert Morel, 283.

Dictionnaire, article Labadie, XI, 175.CHAUGY (Mère Madeleine de). – II,

Parallèle entre Mère de Chaugy et Jacqueline deBlémur, 396 ; – VI, 401, 419.

Mémoires, I, sainte Chantal et le martyred’amour, 216, 217 ; 253 ; J.-P. Camus et lesvisitandines envoyées dans son diocèse, 533. – II,vie simplement chrétienne de Mme de Chantal,538, 539 ; la Visitation, carmel pour les faibles,567 ; lettre du Père Ignace Armand à François deSales sur la Visitation, 568, 569.

Vie de la Mère de Chatel, VI, 271.CHAULNES (duc de). – V, 91, 100.CHAULNES (Madeleine de). – IV, 300.CHAUMONOT (Pierre), s. j. – VI, sa

jeunesse ; sa fuite chez les Pères de l'Oratoire,398 ; novice en Italie chez les jésuites. ; n’a jamaisconnu la sécheresse ou le dégoût dans les

163

oraisons, 398 ; pèlerin de Lorette ; doit apprendreà nouveau sa langue maternelle, 399 ;missionnaire chez les Hurons, 399 ; lettre au PèreCrasset : aimer Jésus-Christ parce qu'il est leparfait adorateur du Père, 399, 400.

Autobiographie, VI, Chapelet de la Sainte-Famille, 431. v. P. Martin, P. Carayon.

CHELLES (abbaye de). – II, 395, 402 ; laréforme y fut établie dans une grande paix, 422 ;426.

CHENARD (Messire Laurent), prêtre etdocteur en Sorbonne. – Considérations sur lesprincipales obligations de la vie ecclésiastique, X, 327,328, 329 ; vue simple du mystère médité ;acquiescement de foi ; avis généraux sur lesaffections, 329, 330, 331.

CHÉREL (Albert) – Fénelon au XVIIe siècle,III, 503.

Fénelon ; explication des articles d’Issy, III, le puramour de M. Olier et celui de Fénelon, 503.

CHÉRON, docteur en Sorbonne. – IV, 236.CHÉRON (P.), carme. – VI, 446. – XI, 95,

177.CHÉROT (P. H ). – Étude sur la vie et les

œuvres du Père Le Moyne, I, 199 ; le portrait duSauvage, 362 sq. ; la Dévotion aisée [64] et les satiresjansénistes de ce livre, 377.

Jansénius et le Père Rapin, IV, 110.CHÉRUEL. – V, 355.CHESNOIS (P ), o. p. – VIII, 6.

164

CHEVALIER (Ulysse). – VI, 210.Poésie liturgique des Églises de France, IX. Habert,

Hymne à Laudes de la Compassion, 276. – X, 39 ;éloge de Letourneux, 50 ; 62, 64, 71 : citationsd’Hymnes de J.-B. Santeul (sur la couronned'épines), 77, 78 ; sur la Nativité de la Vierge, 78 ;d’une strophe de Besnault pour les Laudes de laCirconcision, 79 ; citations de l’Hymne desMatines de Pâques par Letourneux, 80, 81 ;Coffin et les hymnes fériales, 82 sq. ; son recueilcontient une soixantaine de proses, 93, 94 ;Hymne de Santeul et Prose de Gourdan pour lesMatines de saint Jean l’Évangéliste, 95, 96 ;Hymne de Santeul et Proses de Gourdan pourl’Assomption, 96, 97 ; pour l’Invention de laSainte Croix, 97 ; pour la fête de sainte Madeleine,97, 98 ; Prose de Gourdan pour la Sainte Trinité,99 ; Prose de la Dédicace, 100 ; variantes de cetteprose, 100, 102 ; Hymnes de Santeul pour laPurification, strophes latines et traductionfrançaise, 104-108 ; Hymnes de Claude Santeul etde Coffin pour le Commun des Saints, 112-122 ;Hymne et Prose de Santeul pour les Docteurs,117, 118 ; Prose de Gourdan pour le Commundes Veuves, 119 ; 127, 128 ; Hymnes de Santeulpour la Décollation de saint Jean-Baptiste, 130 ;131, 132, 133, 134, 135, 136, 138, 144, 162, 168 ;projet d’un nouveau bréviaire par FrédéricFoinard, 213.

165

Poésie liturgique traditionnelle de l'Église catholiqueen Occident, IV, 402.

Hymnes et Puises inédites de Claude Santeul, X,64 ; une strophe de Claude Santeul, 78 ; dépréciequelque peu la poésie de Jean-Baptiste Santeul,90.

CHEVALIER (Jacques). – Essai sur laformation de la nationalité et les réveils religieux du Paysde Galles, VII, saint Patrice et la présence de Dieu,49.

CHEVILLARD (François). – Petit-Tout, I,257 ; 267-271 : l’éléphant, 269 ; la leçond’anatomie, 269, 270.

CHÈVRE (P. du), prieur de Bourgfontaine. –II, 281.

CHEVREUSE (duc de). – III, 486. – IX,339.

CHÉZARD DE MATEL (Jeanne). v. Matel.CHOISEUL (Gilbert de). – Lettre pastorale,

IX, sur Pellisson et les fausses dévotions, 254 ;257 ; dénonce les excès des critiques contre lelivre de Widenfelt, 260, 261, 262, 263 ;recommande la lettre d’un homme de conditionsur les Avis de Widenfelt, 265 ; 266, 267, 269,270.

CHOISEUL-PRASLIN (Claude de), abbessede N -D. de Troyes. – II, 395 ; elle avait quatreans quand on la confia à sa tante, abbesse de N-D, de Troyes, 406 ; elle est attirée par le Carmel,407, 408 ; 409 ; réforme son abbaye, 428 ; refuse

166

à son père le maréchal de Choiseul l’entrée dumonastère dont elle a rétabli la clôture, 429, 430.

Oraison funèbre de M'ne Claude de Choiseul-Praslin,par un prêtre de l’Oratoire, II, 407, 408, 429, 430.

CHOISEUL-PRASLIN (Gilbert de) évêquede Tournai – XI, Éclaircissement touchant le légitimeusage de toutes les parties du Sacrement de Pénitence : dela contrition et de l’attrition, 302.

CHOISY (abbé de). – Pensées chrétiennes surdivers sujets de piété, V, des moyens de connaître lavolonté de Dieu (texte du Père Surin d’après saintIgnace), 271, 272. [65]

CHOISY (Mme de). – I, lettre sur lesjansénistes, 413.

CHOSTAL (Pierre). – Le soldat français, IV,18.

CHOUL (Guillaume du). – I, 245.CHRÉTIEN (Florent). – IX, a mis en vers

grecs et latins les quatrains de Pibrac, 329.CHRISTINE (Mme), duchesse de Savoie. – II,

498.CHRISTINE DE PISAN. – IX, 328.Christus (Manuel d’Histoire des religions). – I,

510. – III, le Père Rousselot sur la moraled’Augustin, 26 ; dévotion de saint Paul au Verbeincarné, 56 ; 94, 95 ; la dévotion au Verbe incarnéet les Pères apostoliques, 153 ; 154 ; dumouvement franciscain et de la dévotion a lapersonne de Jésus, 516. – V, sur l’influence dujansénisme, 16. – S., 338.

167

CHURCH (Dean), doyen de Saint- Paul. –Outspoken essays, VIII, 434.

CICÉRON – IV, 435, 436. – V, 269, 283. –VI, 334, 404. – IX, 96. – X, 5. – S., 119.

Ciencia Tomista, italien. T, P. Colunga.CIRON (abbé de), directeur du prince de

Conti. – V, 266.CISNEROS. – VIII, 198.CÎTEAUX (abbaye de). – VI, 190.CLAIRE (sainte). – I, 143.CLAIRE (P.), s. j. hymnographe. – X, 89 ;

Hymni ecclesiastici novo cultu adornati, 164 ; du conflitentre la poésie quantitative et la syllabique, 165 ;ses hymnes remaniées, 165-168.

CLARENTIN (Charles). – La Belle Mort, IX,381. v. Anonymes.

CLARIS. – Dictionnaire des Hérésies, XI, 78. v.Pluquet.

CLAUDE DU CALVAIRE (Sœur). – V, 402.CLAUDEL (Paul). – VII, parabole d'Animus

et d'Anima, 48, 49. – VIII, 393. – XI, 367. v.Lefèvre.

CLAVIUS (P. Christophe) s. j. – I, 22.CLÉMENCET (dom). – Histoire de Port-

Royal, IV, Saint-Cyran à Vincennes, 54 ; 89, 90.CLÉMENT (Anne-Marguerite), visitandine.

– VI, son oraison, 394-396. v. Saudreau, P.Galice.

CLÉMENT VII. – X, 68.

168

CLÉMENT VIII. – II, bulle d’institution duCarmel de France, 286 ; 287. – X, 35 : décret surles Litanies, 186, 187 ; 202. – XI, impose silence àIsabelle Bellinzaga, 17, 18 ; 19.

CLÉMENT IX. – IV, 241, 294.CLÉMENT XI. – IX, 66, 373. – X, 280.CLÉMENT XIV. – IV, 118. – VIII, 208,

254.CLÉMENT-SIMON (M -G.). – Le Père

Martial de Brive. La Muse séraphique au XVIIe siècle,I, 200, 348.

CLERC (M. Le). – II, 506.CLERGÉ DE FRANCE (Assemblées

générales 1645, 1646, 1650 et 1651, actes, titres etmémoires), – II, examen de Marie de Valence etde son biographe Louis de La Rivière, 64.

CLÉRISSAC (P. Humbert), o. p. – LaBienheureuse Jeanne d’Arc, triduum monastique, III, del'ingénuité. Absence de retour sur soi, un dessignes de la sainteté, 531 ; 532.

Le Mystère de l'Église, IV, Pascal poignant plusque tendre, 323.

Les doctrines dominicaines de la grâce dans leurapplication pratique (L’esprit de saint Dominique).VIII, 9.

CLERMONT DE MONGLAT (Anne-Victoire de), abbesse de Gif. – IV. 300, 590, 591,593.

CLERMONT-TONNERRE (Madeleine de),abbesse de Saint-Paul-les-Beauvais. – II, chargée

169

par sa grand'tante, Madeleine de Sourdis, d’écrirel’histoire de l’abbaye de Saint-Paul, 410, 411 ; 436.v. P. Malinghen. [66]

CLÈVES (Catherine de). – II, 405.CLOCHE (Maître), général de l’Ordre

dominicain. – VIII, 81, 83.CLORIVIÈRE (P. de), s. j. – VIII, de

l'oraison ayant pour fin immédiate l’acquisitiondes vertus, 261, 262 – S., objet de l'oraison :l’enrichissement moral, 176.

Considérations sur l’exercice de la prière, XI, lerecueillement passif... devient comme habitueldans l’oraison de quiétude, 416 ; 419. v.Watrigant.

CLOTAIRE, roi de France. – II, ami de saintColumban, 487.

CLOYSEAULT (P.), de l’Oratoire. – III,191 ; René Barrème et les tableaux du Poussin,475. – VI, 442. – X, 58.

Recueil des vies de quelques prêtres de l’Oratoire,publié par le Père Ingold, II, le Père Romillon etle jeune calviniste, 17 : 24.

La vie du Père François de Saint-Pé, III, lettres duPère François de Saint-Pé sur le devoir del’oraison, 172 ; conférences de piété de M. deBérulle, 183 ; le Père François de Saint-Pé et laduchesse d’Orléans, 187, 188 ; note biographique,188, 189.

170

Notice sur le Père de Clugny (Bibliothèqueoratorienne), VII, 280 ; sur le Père Thomassin, 382 ;la fin édifiante et la mort du Père Thomassin, 384.

Bibliothèque oratorienne (T. III, contient unelongue notice sur le Père Edme Calabre, IX, 324 ;sur le Père Rubelin mourant, 374. v. Ingold.

CLUGNY (P. François de), de l’Oratoire. –VII, 50, 256. François de Clugny et la mystiquedes pécheurs, 279-320 ; lettre à son frère surl’abandon qu'il fait de ses bénéfices, 284, 285 ;accusé de quiétisme, 287 ; la mystique despécheurs, 288-320 ; l'état de pécheur, 288-301 ;l’oraison est l'activité mystique du pécheur, 302-320 ; ne permet aux pécheurs que la prière mêmedes saints, 305, sq. ; 375. – VIII, 89, 272.

De l’oraison des pécheurs par un pécheur, VII, 279 ;sur saint François de Sales, 286 ; que le pécheurfasse oraison, mais dans le plus profondanéantissement, 302 ; ne pas se dilatera « produiredevant Dieu de belles pensées », 303, 304 ;demeurer « exposé » devant Dieu, 307 ; que nousserions heureux si nous pouvions dans l’oraisoncesser d'être, 307 ; « la prière est un sacrifice »,308 ; l’âme innocente, dans l’oraison, se perd enDieu ; mais les pécheurs ? 308 ; les états, les voiesextraordinaires, tout ce langage n’est point pour lespécheurs, 309 ; mais s’ils n’ont point les mots, ilsdoivent en réaliser l’esprit, 309, 310 ; ne points’exciter soi-même dans la prière, 311 ; ne pass’attacher à une routine réglée et prescrite pas à

171

pas ; silence de nos facultés actives, 312 ; c’est sedistraire que d’embrasser dans une même oraisonplusieurs vérités différentes, 313 ; l’entretien dedévotion n’est pas la véritable oraison, 314 ;simplification de l’intelligence et, plus encore,mortification de l’imagination, 314 ; s’imaginerquelque chose de bon, savourer de pieuxsentiments, ce n’est pas faire oraison, 315 ; pas deredditions de compte de ce qu’on a fait dansl'oraison, 316 ; du silence intérieur ; la véritableoraison demande le silence même du cœur, 317-320.

La Dévotion des pécheurs par un pécheur, VII,279 ; les pécheurs dans l’Évangile, 289, 290 ;l'Enfant prodigue et la Chananée, 289, 290 ;l'usage de la qualité de pécheur, 290, 291 ; lepoids du péché est un effet de la bouté que Dieuconserve pour nous, 291 ; paradoxe sur les délaisde la confession, 292, 293 ; abus de (vouloir)passer à l’état de sainteté sans demeurer dans lapénitence, 296 ; des conversions orgueilleuses,297, 298 ; les pécheurs ne font point pénitencepar sacrifice, 299 ; se contenter à [67] la Messe duKyrie, 299 ; ne pas imiter les grands dévots, 299,300 ; des enfants qui, pardonnés, restent honteuxet contrits, 301 ; si nous étions tels (d'humblespécheurs) les parfaits nous porteraient envie,301 ; l’esprit humain est l’un des plus grandsobstacles à la véritable piété, 304, 305 ; lespécheurs ont trois degrés pour descendre dans cet

172

abîme salutaire : l’enfance chrétienne, le silence, lesentiment du néant, 309.

Le Manuel des pécheurs par un pécheur, VII, 279 ;des livres d’oraison qu’un pécheur ne peut suivre,289 ; dire que nous sommes des pécheurs, mais ledire pour de bon, 300 ; de la discrétion dupécheur devant le Trés Saint Sacrement, 301.

Catéchisme de dévotion (ne serait pas du P. deClugny), VII, 320. – S., des méditations pleines dediscours étudiés, 80. v. Bourrée, Cloyseault,Colonia.

CLUGNY (Guy de), lieutenant du roi, pèrede François de Clugny. – VII, 280.

CLUNY (abbaye de). – VI, 190.Cluver (le petit), dictionnaire. – I, 257.COCHIN (Claude). – IV, sa thèse sur Henry

Arnauld, 242.COEFFETEAU. – Réponse au mystère

d'iniquité, IV, 471. v. Ch. Urbain.COËTLOSQUET (Mgr de). – III, 591.CŒUR. – III, symbole de la personne

même ; v. sur ce sujet : conception eudistique,tradition bérullienne, franciscaine, salésienne,pascalienne, 650.

COFFIN (Charles). – X, 61, 63, 64, 65, 70-77, 79, 81 ; citations de ses hymnes fériales, 82sq. : 83, 84, 87, 90-92, 104, 110 ; strophe d'unehymne de la Passion, 111 ; hymne pour Noël,134 ; 140, 142 ; hymne 0 Luce qui mortalibus, 147,148 ; Grates peracto jam die, 149 ; 150, 157 : sur

173

l'indignité de Coffin, 159-163 ; aurait reçu du Papeun bref de félicitation pour une hymne (fête dessaints Pierre et Paul), 159 ; 161, 173, 179, 182.

COGNET (abbé). – Antoine Godeau, VII. 168,169.

COHON, évêque de Nîmes – V, 185.COLBERT (Adrieune), bénédictine, tante du

ministre – II, 455.COLBERT (Charles-Joachim), évêque de

Montpellier. – IV, 72, 75, 76, 80, 89.Instructions générales en forme de catéchisme (rédigé

par François Pouquet, de l’Oratoire, IX, 65, 66.COLBERT (Nicolas), archevêque de Rouen,

fils du ministre Colbert. – VI, 402.COLBERT (J -B.), ministre. – VI, 402, 403. –

IX, sa mort, 352.COLERIDGE. – VI, 174. – VIII, 286.Table-Talk, VII, sur la prière, 5. – S., la prière

est la plus haute énergie dont le cœur humain soitcapable, 11.

COLET.(John). - XI, 60.COLIGNY (P. de) – IV, 198.COLLET (dom Augustin), bénédictin, prieur

de Vendôme. – VI, 181 ; son témoignage sur domClaude Martin, 213.

COLLET (Pierre). – A donné un résumé del’Esprit du bienheureux François de Sales, par Camus,I, 173. – III, 253 – IV, 131.

Dissertation sur la manière de réciter le Canon(Examen et résolution des principales difficultés qui se

174

rencontrent dans la célébration des Saints mystères), IX,177.

Instructions et prières à l'usage des domestiques et despersonnes qui travaillent en ville, X. 245.

La vie de Henry-Marie Boudon, VI, 241 ; M.Boudon et M. du Vaucel, 242 ; 244 ; conduite deMgr de Maupas envers Boudon, [68] 245 ;conversion d’un ennemi de Boudon, 249 ; sur lestyle des écrits de Boudon, 257 ; 266.

Dissertation historique et apologétique sur lesouvrages de M. Boudon (Vie de H.-M. B.), VI, 241. v.Feret.

COLLETET. – IX, a mis en quatrainsfrançais les Distiques moraux d'Antoine Loisel, 329.– XI, 72 ; Sonnet (contre les Illuminés ouquiétistes), liminaire a l’ouvrage du Père ArchangeRipault, 72. v. Anonyme.

COLOMBIÈRF. (P. de La) s. j. v. LaColombière.

COLONIA (P de), s. j. – III, 196.Bibliothèque janséniste, III, 674. – VII, notice

sur François de Clugny, 287 ; 311. – IX, dit que laPerpétuité est de Nicole, 49 ; 158 ; sur le livre deDuguet relatif à la célébration de la messe, 232,233 ; sur les Monita de Widenfelt, 255, 256 ;contient bibliographie des écrits pour et contreles Avis de Widenfelt, 258, 259 ; 283 ; sur leBonheur de la mort chrétienne, par Quesnel, 378. – IX,accuse les jansénistes de ne pas croire à laPrésence réelle, 49 ; l’auteur n’a pu citer aucun

175

texte de la Fréquente Communion qui montre le livredestiné à combattre la communion fréquente,voire même la communion, 51 ; 63 ; sur leCatéchisme de Montpellier, par Fr. Pouquet, 66 ;158. – X, 42, 43, 44 ; contre le Bréviaire françaisde Letourneux, 46 ; 47, 48 ; trouve dangereux lelivre des « Prières chrétiennes » qu’il pense être duPère Quesnel, 279, 280 ; a calomnié dom RobertMorel, 280.

Dictionnaire des livres jansénistes, IV, citationd’Aegidius Albanus sur la prédestination, 325 ; lesjansénistes disent que la confiance consiste a seregarder comme étant du nombre des élus (Traitéde la confiance chrétienne), 373 ; 375. – IX, sur Adamde Widenfelt et les jansénistes, 256, 257, 258. – X,accuse Letourneux de jansénisme, 44.

COLUMBAN (saint). – I, le miracle des épisde blé, 243. – II, 487. – V, 106.

COLUNGA (P.), o. p. – VIII, de laCompagnie de Jésus et de sa réactionantimystique, cit. par le Père Bernard, 196 ; sur lesAlumbrados, 199 ; les lettres et controverses entrespirituels, 200 ; 220 ; les Alumbrados, mêmeorthodoxes, trop crédules au merveilleux, 222 ;pour eux les grâces sensibles et extraordinairessont l’essence même de l’oraison, 222 ; causesprofondes du conflit entre mystiques (affectifs) etintellectualistes (spéculatifs), 224-225.

Los Alumbrados espanoles (tiré à part de laBasilica Teresiana). VIII, 196.

176

Intelectualistas y mysticos en la teología española enel siglo XVI, in Cienda Tomista, VIII, 196.

COMBALOT (abbé). – V, 83.COMBÉ (Mme de), institutrice de la Maison

du Bon-Pasteur. – X, 214. v. abbé Boileau.COMET (M. de). – III, 228.COMMIRE (P.), s. j. – X, auteur d’hymnes à

sainte Ursule et à saint Martin, 88, 89.COMMOLET (P.). – II, 202.COMMUNION. – IV, Entretien sur le devoir

pascal, cité dans Dict. des livres jansénistes, 374. v.Eucharistie.

COMPAGNIE DU SAINT-SACREMENT.– VI, 230 ; Desmarets lié avec plusieurs de sesmembres, 487 ; 490, 491. – VII, manifeste duPère Noulleau contre les blasphémateurs, 237,242. – IX, 210, 217. v. Maurice Souriau,Christophle d’Authier de Sisgau.

COMPANS (Sœur Catherine). – II, 513.COMTE (Auguste). – Bibliothèque positiviste,

III, 26. [69]CONCILE DE CAMBRAI – IX, 362.CONCILE DE CHALCÉDOINE. – IV,

444. – VI, 50.CONCILE D’ÉPHÈSE. – IV, 444.CONCILE DE LATRAN. – IX, défend aux

médecins de visiter plus de deux ou trois fois lesmalades non confessés, 351.

CONCILE DE TRENTE. – I, sesdéfinitions préparées par un bon et paisible travail

177

dans les cellules, 16 ; la théologie moderne et leConcile de Trente, 17. – II, 136, 421. – III, a misen pleine lumière la théologie de saint Paul et desaint Jean, 271, 272. – IV, 254 : les pères duConcile en savent plus long sur la grâce que leDocteur de la grâce, 254 ; 444. – VI, 404. – VIII,168. – IX, 44, 46. 67, 187, 195, 277, 351. – XI,296, 315, 317, 320. – S., 113. v. Richeome,Bossuet.

Catéchisme du Concile de Trente, IX, l’initiationaux saints mystères n’est pas nécessaire auxfidèles, 170.

CONCILE DU VATICAN. – IV, sur laraison humaine et son pouvoir de connaître, 390.– X, 66.

CONDÉ (le Grand). – II, 188.CONDÉ (P. de). – VI, 286.CONDILLAC. – IV, 505.CONDREN (P. Charles de), de l'Oratoire. –

I, XVII, 159 : Condren et les poètes, 195 ; 220,222 ; ses traités sur « les secrets de la nature »,270 ; ses expériences d'alchimie, 271 ; 359. – II,24, 47 : Condren et Barbe de Compiègne, 67-71 ;120, 261, 265, 419, 420, 438, 457. – III, 3, 34, 79,88, 98, 116, 123 ; auteur de : Veni, Domine Jesu...,140 ; 154, 157 ; véritable mission de l'Oratoire,162 167 ; 174 ; dévotions de l'Oratoire, 174-178 ;181, 182, 187, 189, 197, 211, 214, 217, 254, 283-340 ; témoignage des contemporains, 291-296 ;directeur de Bérulle, 292 ; vénéré par Richelieu,

178

292 ; « jamais la religion chrétienne ne fut si belleque dans sa bouche », 293 ; sa famille, 296 ;formation toute militaire, 297-300 ; rudesseapparente, 299 ; enfant, détruit son portrait àcoup de flèches, 300 ; au collège d'Harcourt, 301 ;la période critique : prêtre ou soldat ? 302 sq. ;indécision apparente, attente paisible du signaldivin, 302 sq. ; sa maladie, supplie son père de ledédier à l'Église, 305, 306 ; veut faire le tour desconnaissances humaines, 307-309 ; s’adonne à lapoésie, 307, 308 ; son culte pour Cicéron, 308 ;toutes les sciences l’attirent, 308, 309 ; la chasse etl’oraison, 309, 310 ; les années de lumière, 311 ; lechemin de « la foi nue », 311 ; argumentationsscolastiques, 313, 314 ; ordonné prêtre, 314 ;exorciste, 315-319 ; fait prononcer les exorcismespar un enfant, 318 ; nouvelle période d’attente,320 sq. ; essayait sur lui-même la « grâce » desdifférents ordres, 320, 321 ; jamais en peine sur sacondition, 321 ; se décide brusquement pourl'Oratoire, 322 ; intervention de Bérulle, 322,323 ; son curriculum vitæ depuis son entrée àl'Oratoire, 324 ; confesseur de G. d’Orléans, 324sq. ; note critique sur leurs relations, 325 ; lapauvre Louison, 325 ; Condren et Saint-Cyran,325-382 ; opinion du Père Rapin, 326, 327 ;version janséniste, 327, 328 ; versiontraditionnelle, 328 ; le mémoire du Père Gibieuf,328, 329 : témoignage de l’oratorien Pierre, 329 ;des oratoriens Saint-Pé et Desmares, 329

179

témoignages équivalents et de source oratorienne,329, 330 ; conclusion, 330, 331 ; son étrangeinactivité, 328-332 ; sa modération très originale ;son prestige réel, mais seulement aux yeux d’uneélite, 335 ; son franc- parler et ses boutades, 337,338 ; les délices de sa conversation, 338, 339 ; del'enjouement au sublime, 338, 339 : on ne sauraitle juger d'après ses écrits, 340 : vers le bérullisme,340-358 ; bérullien, avant d'avoir rencontréBérulle, 340 ; son « ravissement » à l'âge de douzeans, 342 ; critique du récit [70] d'Amelote, 343-345 ; « l'âge de douze ans ». 344 : quatre phasesprincipales dans son développement ; I, leravissement, 345-351 ; prélude : réalisation de lavérité fondamentale : Dieu est tout et je ne suisrien, 345, 346 : l’éblouissement, 346, 347 ; del’adoration au sacrifice, 346 ; l’adoration-cantiquede Bérulle et l'adoration-sacrifice de Condren ;sources lointaines de cette doctrine dansl'intelligence de Condren, 346, 347 : le crépuscule,pauvreté du sacrifice humain 347, 348 ; de l’auteldes holocaustes à l’autel du Calvaire, 348 ; II : lesannées de solitude, 350 sq. ; les leçons duravissement et le travail constant de ces années,349 ; « l’intérieur du Fila de Dieu lui fut ouvert »,350 ; orientation de plus eu plus nette vers lebérullisme, 350 ; III : la Sorbonne, 351 sq. ; notesintimes de Condren analysées par Amelote, 352 ;tous les éléments du bérullisme, mais non pasencore la synthèse, 353-355 ; IV : les Leçons de

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Bérulle, 355 sq. ; quelques mots auront suffi, 356 :le maître et le disciple, 356-358 : Condren plusbérullien que Bérulle, 357 ; petite oraison avantl’Office, 354 ; la doctrine, 360- 418 : I, lesprincipes, 360 sq. ; esprit de pureté qui ne peutsouffrir que rien vive que Dieu, 360 ; « que Dieusoit en nous comme Dieu plus que nous-même »,361 ; sa doctrine repose sur le fait de la Création,non comme celle de P.-R. sur le dogme de lachute, 361, 362 ; le sacrifice dans la religionnaturelle, 363 ; les sacrifices païens et ceux del'ancienne loi, 363, 364 ; le sacrifice d'un néantn’est, lui aussi, qu’un néant, 365, 366 :l’Incarnation seule a rendu possible un sacrificedigne de Dieu, 366, 367 ; l’unique victime,l’unique adorateur, devenu notre sacrifice, notreadoration, 367 sq. ; s’offrir à l’approbation divine,373 sq. ; « que l’âme ne doit rien être, afin queJésus- Christ soit tout en elle », 373-375 ; « ens’appliquant aux

hommes, Jésus-Christ les anéantit dans sonapplication même », 375 sq. ; « il adorait Dieu etses mystères comme ils étaient en eux-mêmes etnon pas comme il les comprenait », 383, 384 ;rôle de l’intelligence ; des concepts aux réalités,383 sq. ; impureté foncière de tous les conceptsque nous nous formons des choses divines, 384,385 ; « vouloir Dieu et ses mystères, comme ilssont en eux-mêmes », 386 ; « aimer Dieu par-dessus ma connaissance et mon affection », 386 ;

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Mlle de La Roche, 386, 387 ; nul quiétisme dans sadoctrine ; un volontarisme aussi décidé que celui desaint Ignace, 388, 389 ; applications de sadoctrine : A. Formules d’adhésion et d’adhérence,389-391 ; B. L’examen de conscience, 391-397 :C. Dévotion à la Sainte Trinité, 397-401 ; D.Dévotion au second avènement du Verbe, 401-403 ; E. La communion fréquente, 403-405 ; F.Le prêtre à l’autel, 405-406 ; G. La direction 406-411 ; H. La mystique, 411-413 ; I.L’anéantissement posthume, 413-418 ; « Il fautprononcer de parole les choses quand notre espritles refuse par impuissance », 390 ; « vœu deservitude », 391 ; parallèle entre saint Ignace etCondren, 392-397 ; grâce et nature résistentnécessairement chez lui aux méthodesignatiennes, 392 sq. ; s’examiner sur « l’usage »que l’on a fait de Jésus-Christ et de ses mystères,393 sq. ; sa méthode infiniment moins difficileque l’ignatienne, 394 ; contre l’examen particulier,395 ; contre l’examen « de nos bonnes actions enparticulier » 395 ; sa psychologie et celle de saintIgnace, 395 ; fausseté des jugements que nousportons sur nous-mêmes, 396 ; marcher par lavoie de la foi, 396 ; dévotion à la Sainte Trinité,difficile à imaginer et peu commune, 398 ; choixde ce mystère parce qu’il est « le plus séparé de lacréature », 398, 399 ; Condren et Pascal, 400 ; ladévotion au second [71] avènement du Verbe,dévotion théocentrique, 401 sq. ; dans la

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communion, notre utilité spirituelle ne doit pasêtre notre première intention, 404, 405 ; sur laconfession, 405 ; direction lumineuse et toute àtous, 406-411 ; ne s’attribuait jamais la qualité dedirecteur, 408 ; lenteur de ses décisions, 409, 410 ;que les défaillances des extatiques n'ont rien decéleste, 411 sq. ; nous recevons toujours plus oumoins « impurement » le don de Dieu, 412 ; sesdernières heures, 415-418 ; Condren « un des plusgrands ornements de tous les siècles chrétiens »,418 ; sa sainte « indifférence » 422 ; la méthodedes grands initiateurs et les entretiens deCondren, 424-426 ; son héritier par excellence estM. Olier, 425-428 ; 460, 466, 475 ; la prière : OJesu vivens in Maria, 475 ; 478, 485, 488, 492, 494,496, 512, 520, 524, 525, 551, 552, 555, 602, 608,635, 643, 644, 666, 671, 673, 674, 675, 676, 677,678, 682, 683. – IV, 1, 21, 25, 26, 29, 30, 32, 33,37, 38, 39, 40, 41, 72, 89, 102, 114, 115 ; saclairvoyance au sujet de Saint-Cyran, 149 ; 175,198, 199, 200, 201, 205, 206, 207, 208, 209 ; aapprouvé et peut-être retouché le Chapelet secret,209 ; 212, 224, 241, 279, 283, 284, 320, 475. – V,62, 183 : comment il pratiquait les exorcismes,399, 400 ; fit un jour prononcer les exorcismespar un petit enfant, 400. – VI, 220, 235, 305, 342,343, 358, 362, 363, 365, 370, 400, 493. – VII,serait l’auteur du livre du Père Séguenot, Conduited'oraison, 113 ; 200, 201, 216, 231, 376. – VIII,178, 304, 356, 357. – IX, 132, 134, 138, 141, 148,

183

209, 230, 323. – X, 236. – XI, 150 ; fit partie de lacommission appelée à examiner le cas deMadeleine de Flers, 152 sq. ; essaya de sauver lePère Séguenot en insinuant que son livre était deSaint-Cyran, 220 ; 222. – S., 120.

Lettres III, 156 ; véritable mission del’Oratoire, 162-164 ; à ses frères lui notifiant sonélection au généralat, 171, 172 ; l'Oratoire et lesCollèges, 174 ; l’esprit de l’Oratoire, 179, 180 ;l'esprit de religion ne peut souffrir que rien viveque Dieu, 360 ; que Dieu soit en nous commeDieu plus que nous- mêmes, 361 ; se démettre desoi-même, 372, 373 ; que l’âme ne doit rien être,afin que Jésus-Christ soit tout en elle, 373-375 ;379 ; ne s’arrêter à rien de ce qui se passe ennous, 380, 381 ; on ne « ressent pas le divin » ;nous ne ressentons que ce qui est nôtre, 381 ; lenouvel homme a plus de volonté que d'esprit..plus d’amour que de science, 382 ; que lacommunication que nous avons ici-bas... deschoses de Dieu tient de la faiblesse de l'esprithumain, 384-386 ; 388, 389, 390 ; le vœu deservitude, 391 ; vivre en Jésus-Christ et par luipar-dessus notre nature et nos forces, 394 ; contrel’examen particulier ; contre l'examen de nosbonnes œuvres en particulier ; ne rien faire aveceffort de nos sens et de notre esprit, 395 ; être àDieu sans élection d’aucun moyen pour l’honorer,396 ; fuir comme un enfer la considération de soi-même, 397 ; dévotion au second avènement du

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Verbe, 401-403 ; nous faisons tort à Jésus-Christen ne communiant pas plus souvent, 404, 405 ; leprêtre à l'autel, ne devrait jamais dire assezsimplement ; Hoc est enim corpus meum, 405, 406 ; laparole de Dieu produit de plus grands effetsquand ceux qui la portent aux autress'anéantissent en eux-mêmes, 407, 408 ; le silencedu maitre, 408, 409 ; manière de faire sontestament, 413 ; vouloir être dans l’oubli de lamort, 414 ; se cacher en Dieu, 414 ; ne donneraux âmes que par degrés les enseignements deJésus, 513 ; l’école française coéternelle à l’Église,514 : extrême misère de l’enfance où Jésus estcaché et captif en nous, 519, 520, 682. – IV, 31.

Mémoire sur l'astrologie judiciaire, III, 309. [72]Considérations sur les mystères de Jésus-Christ, III,

l’anéantissement du moi par adhérence àl'anéantissement du Christ, 308-370 ; l'usage divinque le Fils de Dieu fait des facultés de notre être378 ; Jésus-Christ aime mieux la Sainte Trinitéque son Église, 400 ; les trois retraites du Fils deDieu, 519 ; l’enfant, un composé de quatrebassesses, 520. – IV, nos devoirs envers lesmystères de Jésus-Christ, 395, 396 ; sur le mystèrede l’Incarnation et ses rapports avec celui de laTrinité, 400, 401.

L’idée du sacerdoce et le sacrifice de Jésus-Christ, III,360 ; la créature, en tout état, doit rendrehommage à son Créateur, 362 ; le sacrifice répondà tout ce que Dieu est, 363 ; Dieu entrant en

185

communion des sacrifices qui lui étaient offerts,364 ; 369. – IX, 134. – X, 279.

Lettres et Discours, IV, 205 ; laissez être le Filsde Dieu en vous, 207 ; sur la société des troispersonnes divines, 396, 397.

Quatre lettres inédites du Père de Condren (éd.Ingold), III, 182. v. Amelote, Jean Abadie, Pin,Batterel, Quesnel, Mémoire écrit par un Frère quiservait le Père de Condren (III, 337).

CONFESSION. – VII, confession brusquée(voir Père de Clugny), 292, 293- – VIII, v.Duguet, 417.

CONFRÉRIE DU SAINT-SACREMENT.– I, 469.

CONGRÉGATION DE LA DOCTRINECHRÉTIENNE. – II, 15.

CONGRÉGATION DES PRÊTRESMISSIONNAIRES DE SAINT-JOSEPH – VI,411- v. Crétenet.

CONGRÉGATION DU SAINT-SACREMENT. – IX, 243.

CONRAD (J.). – The shadow line, VII,l’enfance a le privilège de vivre en dehors dutemps, 134.

CONRART. – I, 414. – III, 196. – VII, sespapiers ; Lettres et Journal du Père HerculeAudiffret, 166 ; 167, 168, 169, 170, 176, 180, 189.

CONRIUS (P.), cordelier, plus tard évêqueen Irlande. – IV, 105, 110, 116.

186

CONSEIL DE CONDAMINE (Anne du),mère de François de Clugny. – VII, 281, entrachez les carmélites de Beaune, 281.

CONSTANTIN (P. Boniface), s. j. – La viedu Reverendissime évêque Claude de Granyer,prédécesseur de François de Sales I, 92, 251. – II,403.

CONSTANTIN DE RHODES (P.),capucin. – III, 568.

CONSUMMATA. - S., 339. v. Plus.CONTEMPLATION. – VIII, ne relève

aucunement de la médecine ou n’en relèveraitqu’à titre de remède si l’on trouvait jamais larecette de l’initiation mystique, 53 ; contemplationn’est ni révélation ni vision, 63, 64 ; la« contemplation pure » n’est pas « l’amour pur »,67 ; le « discours » d’après les ascéticistes,supérieur à la contemplation, 273 sq.

CONTEMPLATION IMAGINATIVE ouromancée des mystères. – X, 311 319. - XI, 391sq. v. Jacques de Jésus, Quiétude.

CONTENSON (P.) o. p. – III, 466. –Theologia mentis et cordis : contempler Dieu au plusintime de nous-mêmes, VII, 362.

CONTI (prince de). – III, a fait imprimercertains ouvrages du Père Surin, 157. – V, 150 ;ses relations avec le Père Surin, 266. 267 ; a faitpublier le Catéchisme spirituel. 267. – VII, 255, 285.

187

CONTI (princesse de). – V, Les Fondements dela Vie spirituelle du Père Surin lui sont dédiés parl’éditeur, 272. – VII. 281, 285.

CONTRE-RÉFORME. – I, a commencébien avant Luther, XVI ; la Compagnie de Jésus ya collaboré, 15.

COPERNIC. – S., 121. [73]CORBIE (monastère de). – II, 531.CORBLET. – Histoire du Baptême, IX, 41.CORBLET (abbé). – Origines troyennes de

l'Institut des Filles de la Croix (Extrait de l’Artchrétien), XI, 103 ; 105 ; procès, arrestation etmise en liberté à quatre reprises de Pierre Guérin,Claude Buquet, etc., 107 sq., 109 ; dit que laSainte Économie de Pierre Guérin est d'unedoctrine irréfutable, 111 ; des motifs réels de lapersécution coutre les Guérinets, 113 ; 114, 115.

CORDELIÈRES (les Petites), couvent desainte Claire. – V, 313.

CORDESES (P.), s. j. – VIII, propageaitautour de lui une oraison plus simple quel’ignatienne, 232 ; se soumit en toute simplicitéaux ordres de son général, 233, 234.

Traité de l'oraison, non édité (British Museum),VIII, 233. v. Borgia.

CORNEILLE (Pierre). – I, 345, 346, 357. –V, conflit entre le Cid et l’Académie, 274. – VI,450, 471. – VIII, 313. – X, 288. – XI, 55.

Imitation mise en vers, VI, 257.Le Cid, VII, 196.

188

Ode au Père Delidel, S., 113. v. Nisard, Poucel.CORNEILLE (Thomas). – VI, 450.CORNELIUS, martyr anglais. – V, a exorcisé

les possédés de Denham, 188.CORNELIUS A LAPIDE. – III, 683.CORNET (Mère Marie). – VI, 382.CORNET (Nicolas). – VI, 382.CORNILLIÈRE (Gillette de La), carmélite. –

V, fut favorisée d’une apparition du V. F. Jean deSaint-Samson qui venait de mourir, 119.

CORNUAILLE. – IX, assiste Colbert à sonlit de mort, 352.

CORNUAU (Mm). – IV, 43. – IX, 70. v.Bossuet.

CORTADE (P. Jean). – I, 205 ; Les Sept saintstutélaires de l'Agenais, la grotte de saint Vincent àAgen, 200 ; le martyre de sainte Foi, 241 ; sursaint Vincent, 245.

Octave du Saint-Sacrement, I, 223 ; un sous-bois,335 ; douceur et « précieux ajustements » de lagrâce prévenante, 370 ; la crainte servile, 382.

COSIN, évêque anglican. – A collection ofprivate devotions, X, 227.

COSNAC (comte de). – V, sur les rapportsdu Père Surin et du prince de Conti, 266, 267.

COSPEAU (Philippe de). – I, 222. – III,202 ; ses lettres au Père Eudes, 601, 602. – VII,200, 201. – IX, fausses consolations aux maladesen danger de mort, 350. v. David de La Vigne.

189

COSSART (P. Gabriel), s. j. – V, 20. – VI,402. – X, 89.

COSTAR. – VI, sur G. de Scudéry, 503.COSTARD (Pierre), (Saint-Marc), guérisseur.

– VI, 494.COSTE (P.). – Saint Vincent de Paul, Lettres

choisies, publiées d'après les manuscrits, introduction etnotes, III, 223 ; lettre de Vincent de Paul sur laconduite à tenir vis-à-vis des ministresprotestants, 239.

Saint Vincent de Paul et la Compagnie du Saint-Sacrement III, 240.

Edition complète et critique des œuvres de saintVincent de Paul, III, 246.

Correspondance de saint Vincent de Paul, entretiens,documents, III, 257.

Rapports de saint Vincent de Paul avec l'abbé deSaint-Cyran, IV, 65, 73, 75 ; réponses de Vincentde Paul interrogé sur Saint-Cyran, 76-79 ; 81, 89,94, 118, 131, 147, 151.

Correspondance de saint Vincent de Paul, VI, 441.[74]

COSTERRL DE BONNEUIL (Mère Annede), prieure de l’abbaye de Sainte-Perrine. – VI,344, 345 ; sa vie par Antoinette de Jésus, 345.

COTIN. – I, poème sur sainte Madeleine,384.

COTON (P. Pierre), s j. – I, 27, 28, 161. – II,Le Père Coton et Marie de Valence, 41, 42, 47,48, 51, 53, 54, 63, 64 ; Coton et la trêve du Roi,

190

76-134 ; Coton et les mystiques, 75 sq. ; conseilleret collaborateur de Henri IV, 75 ; famille d’anti-ligueurs et d’anti-jésuites, 77 ; sa douceur, 77 ; surla controverse protestante, 79 sq. ; son aménité etsou urbanité habituelles, 81 sq. ; suspect deminimisme, 83 ; sa situation à la cour, 83 sq. ;première rencontre avec Henri IV, 86 ; agentofficiel et otage de la Compagnie de Jésus auprèsdu Roi, 87 ; son attachement de tendresse pourHenri IV, 87 sq. ; homme de cour, diplomate etmystique, 97 sq. ; comparé au Père Joseph, 97 ;son apostolat à la cour, 101 sq. ; sa vie intérieure,109 sq. ; a subi l’influence italienne, 109 ; saressemblance avec saint François de Sales, 109,110 ; aisance, familiarité avec le sublime dans sessermons, 110 ; a publié ses sermons sous formede méditations, 111 ; ses sermons, commentairesdes Exercices, 111 ; les deux étendards ; portrait deLucifer, 111, 112, 113 ; dévotion aux bons anges,115 ; archanges et archi-démons, 117 ; prière auxAnges, 117 ; particularités du style pieux à sonépoque, 117 ; Prière à Notre-Dame, 118 ; le puramour facile à tous, 121 ; contre « l’espritmercenaire », 122 ; les formules du pur amour,123 ; l’adoration parfaite, 124 ; le pur amour auseuil même de l’enfer, 125 ; un des plus« représentatifs » parmi les saints personnages deson temps, 127 ; sa carrière d’exorciste, 128 sq. ;quitte la cour en 1619, 133 ; ses différents postesjusqu’il sa mort, 133 ; glorieuses funérailles, 134 ;

191

a donné témoignage des stigmates de Mme Acarie,205 ; fit donner un prieuré à Pierre Acarie, 221 ;226, 234 , 237 ; consulte Mme Acarie sur sespropres besoins et ceux d’âmes qu’il dirige, 241-244, 246, 260, 261, 307 ; Catherine de Jésus estconfiée à sa direction, 334 ; 419, 425, 606. – III,14, 21 ; il souhaite que Bérulle compose un officede sainte Madeleine, 79 ; lettre à Bérulle sur lelivre de celui-ci consacré à sainte Madeleine, 103,104 ; lettre à Bérulle sur la fondation del’Oratoire, 170 ; 175 ; sur l’affaire des carmélites,203-205 ; 215, 604 ; prière que lui emprunteMarie des Vallées, 610, 611, 679. – IV, 253, 421. –V, 91. – X, 318. – XI, 25.

Le Théologien dans les conversations avec les gens dumonde, (publié par le Père Michel Boutauld), II,102.

L'Intérieure occupation d'une âme dévote, II, 103-105 ; ministère des anges, 116, 117 ; prière àl’ange gardien, 117 ; « Je vous donne tout » , 120 ;formules de pur amour, 123, 124. – IX, 130 ;contient une version de l’Horloge pour l’adorationperpétuelle, 218.

Sermons sur les principales et plus difficiles matièresde la foi, II, les deux étendards ; portrait etharangue de Lucifer aux démons, 111-113 ; lesmagiciens, 115, 116 ; les bons anges, 116, 117 ;prière à Notre-Dame, 118 ; l’abandon total, 119 ;contre l’esprit mercenaire, 122 ; la vraie prière,124 ; la vraie contrition, 124 ; louanges des

192

bienheureux, 125 ; l’adieu des damnés, 125, 126 ;le héros chrétien, 126. v. l’Anti-Coton I, 28,Calma-Cayet.

COTON (Guichard), seigneur deChenevoux, père du P. Coton. – H, 77. [75]

COTON (Jeanne-Marie), sœur du PèreCoton. – II, sa vie mystique, 131 sq.

COUDRAY (Mme du), carmélite, Marie de laTrinité. – II, 308.

COUET. – IX, 32.COULLIÉ (cardinal), archevêque de Lyon. –

V, a travaillé à faire retirer le Père Surin del’Index, 156.

COUPÉ (abbé). – Les soirées littéraires, I (sur P.J. Sautel), 318.

COUR (dom Didier de La), réformateur deSaint-Vanne. – II, 2 ; s’était formé à l’Universitéde Pont- à-Mousson, 372. v. dom Didier Laurent.

COUR (P. Jean de La), s. j. – V, 81.COURBON, grand vicaire de l'archevêque de

Vienne. – V, fut directeur de Marie Bon ; lui fitécrire un traité sur l’oraison, 343.

COURBON (Dr A.). – IX, 292.COURIER (P.-L.). – VII, 327.COURTILZ (Françoise de), abbesse de Gif.

– IV, 590.COURTIN, prêtre de Saint-Nicolas et ami de

Boudon. – VI, a écrit une vie de celui-ci,demeurée manuscrite, 241.

193

COURTOT (P ), cordelier. – X, 333. v. P.Soyer.

COUSIN (Victor). – II, 343. – III, 6. – IV,437. – VI, 495. – IX, 58.

Jacqueline Pascal, IV, 178 ; 181.COUSIN. – X, a révisé, avec Pellisson,

l'Exercice spirituel où le chrétien peut apprendre lamanière d’employer toutes les heures du jour au service deDieu, 250.

COUSTANT (dom), bénédictin. – VI, acollaboré à l’édition des œuvres de saint Augustin,208 ; dom Claude Martin le fit travailler sur lesœuvres de saint Hilaire, 211, 212. – X, 92.

COUTURE (Léonce). – IV, Bulletin deToulouse, du jansénisme de Pascal, 381. – X, de laréforme des bréviaires au XVIIe siècle, (Revue deGascogne), 39 ; 64, 110 ; excellence de l’Hymnairegallican (article Revue de Gascogne), 141-146.

COUVENTS DE FEMMES. – II, dessupérieurs canoniques, 287, sq.

COYSSART (P ). s. j. – I, 205.CRANMER. – X, composa la première

Letanie (litanie) pour l'Église anglicane, 207.CRASHAW (Richard). – The weeper, poème

sur sainte Madeleine, I, 384.CRASSET (P. Jean), s. j. – IV, 19, 300. – V,

68, 69, 283 ; a édité les Œuvres spirituelles de M.Helyot : sur le silence après la communion, 334 ;380. – VI, 399. – VIII, 182, 236, 289-309 ; sesrelations avec les Helyot, 289 ; l’état d’abandon ;

194

les chaînes brisées, 290, 291 ; ses scrupules devantla voie nouvelle, 291 ; ses rapports avec le PèreSimon de Lessau, 291, 292 ; son ouvrage surLabadie, 292 ; ses notes spirituelles, 292, 293 ;l'oraison de Mme Helyot, 293 ; mourir « audiscours », 294 ; le Tout et le Rien, 294 ; dirigea laMère Françoise de la Mère de Dieu, 295, 296 ; la« Congrégation des Laquais », 307-309 ; 330.

La véritable dévotion envers la Sainte Vierge, IV,18 ; il ne peut goûter les livres de piété écrits avectrop d’art et de politesse, 18. – IX, 258 ; sur lesAvis de Widenfelt, 259, 260 ; critique des fauxdévots à la Sainte Vierge, 263 ; 264, 266, 267,271 ; des pratiques de dévotion à Marie, 280, 281.

La Vie de Mme Helyot, V, nul homme sensé« qui ose blâmer l’usage de la contemplation »,281 ; 311-339 ; un des beaux textes religieux duXVIIe siècle, 311 ; Remarques sur la vie de Mme Helyot,312 ; le Père Crasset et les adversaires desmystiques, 321 ; sur la [76] contemplation de l'êtrede Dieu par Mme Helyot, 321, 322 ; Mme Helyot nevoyait que Dieu seul, dans l'anéantissement detoutes ses conceptions, 322, 323 ; critique desbiographies religieuses, 324, 325 ; reprochesqu’on lui lit d’avoir rapporté des choses puérileset vulgaires dans la vie de Mme Helyot, 328 ; leportrait de Mme Helyot, 338, 339. – VIII, 308. –XI, de la quiétude passive de Mme Helyot, 358.

Le chrétien en solitude, VIII, les portes des sensétant fermées, l’Époux entre dans le cœur de son

195

épouse, 193 ; l’âme unie à Dieu sans image et sansmilieu, 293, 294.

La foi victorieuse de l’incrédulité, VIII, 290 ;notice biographique placée en tête de cet ouvrage(posthume), 290, 291.

Lettre à la Mère Françoise de la Mère de Dieu,carmélite (cit. : dans la Vie de cette religieuse, V.son nom), VIII, un néant trouve son compte às'anéantir. L’éloignement des choses sensiblesn'est point privation de Dieu, 295, 296.

Cantiques spirituels pour toutes les grandes fêtes del'année, VIII, 306, 307 ; sur les Cantiques du Pèredes Hayes, 307 ; « que je sens dans mon cœur unmouvement étrange », 308 ; s heureux habitantsde ces bois », 308.

Méthode d’oraison avec une nouvelle forme deméditation, VIII, 297 ; véritable manuel d'initiationmystique, 297 ; l'auteur y évite le langagecaractéristique des contemplatifs, 297 ; des saintesâmes qui n’arrivent jamais à la terre depromission (l'oraison contemplative), faute deconnaître la route qu’il faut tenir, 297, 298 ;l’auteur veut surtout instruire les commençants,298 ; efforts ascétiques indispensables, 298 ;donner à l'affection plus qu'à la considération,298 ; suspendre l'affection elle-même pour seprêter en silence au travail divin, 299 ; il y atoujours du mérite à aimer, pas toujours àméditer, 299 ; l’action ne vaut pas la souffrance,299 ; l'auteur laisse un peu de confusion entre les

196

mouvements affectifs et l’affection profonde,299 ; les soupirs de l’amour, 299, 300 ; lesoraisons jaculatoires, 301, 302 ; la « nouvelleforme de méditation », petits poèmes où chaquepensée est un vers, où chaque vers appelle de soiune pause de silence, 303-306 ; qu’il faut bienfaire toutes ses actions, 303 ; de l’anéantissement,304 ; l’incompréhensibilité de Dieu, 304 ;cantique d’amour, 304, 305 ; des actes deconformité, 306. – X, l’auteur écrit pour ceuxqu’affligent dans l'oraison les distractions et lasécheresse, 267, 268 ; 321 ; essaie de façonner lesâmes à ne plus discourir et à contempler, 322. –S., peines et travaux dans l’oraison, 31, 32 ; l’âmedoit méditer avant d’aimer, 72.

Considérations sur les principales actions de la vie,IX, pour la communion fréquente, 98, 99, 100 ;105 ; de la visite au Saint Sacrement, 245. – X,faut-il, en priant, s’empêcher de soupirer ? 348. –XI, la tradition exige pour la contemplation uneélévation d’esprit au-dessus de... tous les discours,335 ; de la quiétude, 352 ; 359 ; la vraie...contemplation se passe dans le cœur, 391, 392.

Traité IV (des pèlerinages), IX, des vœux faitsà la Vierge, 281.

Préparation à la mort, IX, l'Extrême-Onctionspirituelle, 366 : paraphrase des prières pourl'Extrême-Onction : onction des narines, 367,368 ; Réflexions sur la mort (publiées à la suite de la

197

Préparation), 369 ; la crainte, bonne pendant lavie, dangereuse à la mort, 375.

CRESOLIUS. – XI, 205.CREST (P. de). – VI, 286.CRÉTENET (Jacques). – VI, 411-416 ; Vie de

messire J. Crétenet (anonyme), 411 ; la peste à Lyon,411 ; son mariage, 411 ; ses rapports avec la MèreMadeleine de [77] Saint-François, 411-413 ;connut M. Olier, 413 ; organise et dirige desmissions ; établit la Congrégation des Prêtres deSaint-Joseph (crétenistes), 414 ; est ordonnéprêtre après la mort de sa femme, 415 ; meurt lelendemain de son ordination, 415 ; sa directionspirituelle, ses leçons sur l’oraison, 415, 416 ; 482.

La Vie de messire Jacques Crétenet, prêtre etinstituteur de la Congrégation des prêtres missionnaires deSaint-Joseph et de la ville de Lyon, VI, 411.

CRIQUEVILLE (de). – III, 305.CROCQ (du). – VI, 382.CROISET (A. et M.). – I, 4.CROISET (P. Jean), s. j. – V, 149.Abrégé de la vie de la Sœur Marguerite-Marie

Alacoque, VI, 400.Année chrétienne, IX, 204.Exercices de piété pour tous les jours de l'année

(réédités plus tard sous le titre : Année chrétienne),X, 52 ; dissertation sur le sénevé des Évangiles,55, 56 ; sur la mort, 56 ; sur la Septuagésime, 56 ;le combat chrétien, 56, 57 ; des divertissementsdu carnaval, 57.

198

CROIX (P. de La), s. j. – III, 6.CROIX (Sœur de La), supérieure de la

Salpétrière à l’époque de l’internement de Louisedu Néant. – V, 354, 355 ; 362.

CROIX-CHRIST (abbé de La). – V, 166.CROSET (P.). – IX, a traduit la Vie de

Vénérable Mère de Jésus (Marie d’Agreda) par le R.P. Joseph Ximenes Samaniego, 274.

CROZE (Anne de), fondatrice de l’Unionchrétienne. – V, 350.

CROZE (Marie de). – II, 535.CRUSSOL (Diane de). – I, 47.CRUX CANTABRICA. – IV, 71.CSAKANYI (P.). – S., 174.CURLEY (P. F. de), s. j. – La Mère de

Saumaise et les révélations de Paray, III, la « Messe defeu » du Père Eudes, 637.

CUSA (Nicolas de), cardinal. – I, 696. – XI,332.

De visione Dei, IV, Dieu présent avant que l’onne se tourne vers lui, 379.

Cynosura mysticæ navigationis (cit. par Sainte-Beuve), I, 321.

CYPRIEN (saint). – IV, 276. – IX, disait quela mort était « le vœu des chrétiens », 373. – X,222.

CYPRIEN DE LA NATIVITÉ (P ). carmedéchaussé ; a traduit la Vie de l'esprit du Dr

Antoine de Rojas.

199

Recueil des vertus et des écrits de Mme la baronne deNeuvillette, VI, 387-390.

CYRANO DE BERGERAC. – VI, 387.CYRILLE (saint). – IX, 20 ; sur l’Amen, 176.

D

DABILLON (André). – XI, 173 ; sorti de laCompagnie de Jésus, meurt curé de Magné, enSaintonge, 174.

DACRIANUS. – II, 490.DAESCHLER (P.), s. j. – VIII, Réponse à H.

Bremond au sujet de l’angoisse de Bourdaloue,181, 182. – S., 148.

La spiritualité de Bourdaloue (MuseumLessianum), VIII, 311 sq. ; Bourdaloue, maîtrespirituel, 312 ; chez Bourdaloue, éléments d’unedoctrine spirituelle, mais non « parfaitement [78]cohérente », 314 ; le terrible « sermon sur laprière », 314 sq. ; citations de Bourdaloue surl'oraison, 324-326 ; Bourdaloue vise, dans sacritique, les dons sublimes « en tant qu’ils sontl’objet des désirs inconsidérés des âmes légères etambitieuses », 328 ; Bourdaloue et la grâceactuelle, 332 ; des divines opérations du Saint-Esprit en nous, d'après Bourdaloue, 330-337 ;citation de Bourdaloue sur les douceurs sensibles,338-343 ; ce que Bourdaloue entend par« centuple » proposé par Dieu, 344 sq. ; 350 ;portrait moral de Bourdaloue d’après la comtessede Pringy, 345, 346 ; combien avantageux d’avoir

200

tout méprisé pour J. C., 348 ; « mon Dieu... je suiscontent de vous », 348, 349 ; on pourrait trouverchez Bourdaloue une description... des principauxétats mystiques, 350 ; 352 ; des aridités dans laprière, 350, 355 ; textes mystiques de Bourdaloue,355, 356 ; la Mère de Rosen et Bourdaloue, 357. –IX, du sermon de Bourdaloue sur la FréquenteCommunion d’Arnauld ; ferveur eucharistique deBourdaloue ; ses instructions sur la communion,109-111. – X, absence de pathétique, au profitd’une solide théologie, 320.

Le Père Judde et la tradition mystique dans laCompagnie, VIII, 311.

DAGENS (J.). – Notes sur la source du BrefDiscours de l'Abnégation intérieure (Revue d’Histoireecclésiastique), XI, 4 ; à propos d’une traductionfrançaise du Breve Compendio, 22 ; 55.

DAILLÉ. – IV, 444.DALESCHAMPS. – I, sa Botanique, 257.DAMBRUN (Esprite). – VII, 166.DAMOUR (Sœur), religieuse de Maubuisson.

– XI, 116.DAMPIERRE (marquise de) – I, 296.DANIEL (P. Ch ), s. j. – VI, a réédité la Vie

de la sœur Marguerite-Marie Alacoque du PèreCroiset, 400.

Histoire de la Bienheureuse Marguerite-Marie, VI,400.

Des études classiques dans la Société chrétienne, X,36.

201

DANIEL (P. Gabriel), s. j. – III, 214 – IX,98, 105.

Lettre touchant la fréquente communion, IX,conseils de juste mesure dans la fréquence descommunions, 100-105.

Entretiens d'Eudoxe et de Cléandre, réponse auxProvinciales, XI, 233 ; Extraits des Entretiensd'Eudoxe et de Cléandre : à propos du Père AntoineSirmond, 234, 236, 237 ; les actes d’amour sonttout différents des actes des autres vertus, 244 ;on peut, sans défendre la doctrine de Sirmond,défendre l’auteur, 256 ; Sirmond et le Concile deTrente, 257 ; l’acte intérieur d'amour de Dieu,toujours enseigné par les théologiens jésuites,257, 258 ; mensonge ou témérité de Pascal, 260 ;.avoue que Sirmond n’est pas défendable, 260 ;265 ; de l’amour affectif et de l’amour effectif,explication de la doctrine de Sirmond, 266-271.

DANIÉLOU (Catherine), collaboratrice desMissions bretonnes. – V, 111, 138

DANSES. – X, 339.DANTE – IV, 383. – Purgatoire, VII, 1.Divine Comédie, VII, 414.DARAN (Adrien), s. j. – V, 120.DARANATZ (chanoine). – IV, de l’énigme

de la Crux cantabrica, 70, 71 – Société bayonnaised’Études régionales : Duvergier de Hauranne (Saint-Cyran) était Basque, 71 ; 108.

DARCHE (Jean). – L'homme de Dieu seul ou lecélèbre Boudon, VI, 241. [79]

202

DARGENT (P.). – Sermon de Bourdaloue sur laMesse, IX, 231.

DAUDET (Alphonse). – Numa Roumestan,VI, 1141

DAUNOU. – III, 157.DAUPHIN (P.), eudiste. – III, a travaillé

avec le Père Lebrun, à rassembler et publier lesécrits du Père Jean Eudes, 585.

DAURAT (Jean). – II, 9.DAUVAINE (Mère Agnès). – VI, 384-386 ;

son père, maitre d’hôtel du duc de Vaudémont,384 ; elle fonda à Paris une maison de l’ordre desAnnonciades, 384 ; vœux de clôture absolue,384 ; persécution et calomnies, 385 ; sa lettredemandant à un religieux d’écrire un traité sur laclôture, 385, 386 ; son visage, moulé après samort, par la Mère Angélique de Saint-Jean, 386 ;429.

La vie de la Vénérable Mère Agnès Dauvaine, l'unedes premières fondatrices de l'Annonciade céleste, à Paris,VI, 384.

DAVID (Jacques), bénédictin de Bonne-Nouvelle de Rouen. – VI, 181.

DAVID, abbé Joseph). – V, 344.DAVID (Pierre). – V, 402. – XI, 167, 169.DAVID (le psalmiste). – VII, 407.DAVID D’AUGSBOURG (P.), franciscain.

– Formula novitiorum, III, 27.

203

DAVID DE LA VIGNE (P.). – Miroir de labonne mort... ou méthode pour bien mourir, tirée... desdernières paroles de Ph. de Cospeau, IX, 350.

DAVILA (P. Gonzalès), s. j. – VIII, 29 ; surla direction du Père Balthazar Alvarez, 237 ; 238.

DAVOIR (marquise). – V, fonda l’hôpital deParthenay, 389, 390.

DEBERRE (abbé). – Histoire de la vénérableMarguerite du Saint- Sacrement, II, 4. – III, 532, 533,534 549, 551, 552, 570.

DÉBONNAIRE (P. Simon), prémontré. –VI, 382.

DEBUCHY (P. Paul), s. j. – Introduction àl'étude des Exercices spirituels de saint Ignace. III, dansles Annotations, les Notes et les Règles desExercices se trouve une véritable pédagogiespirituelle, 113.

La vénérable Catherine de Francheville, initiatricedes retraites de femmes, V, 82, 141 ; lettre duPère Huby à Mme du Houx, 145, 146.

DÉCLARATION DE 1682. – X, 66.DEDOUVRES (chanoine) – Vie du Père

Joseph (du Tremblay). Fragments parus dans« Revue des Facultés catholiques de l’Ouest » et« Études Franciscaines », II, 169, 170. – Unchapitre de la vie du Père Joseph, le baron de Maffliers,170 ; Le Père Joseph, ses charges, ses prédications de1604 à 1613, 170 ; Un précurseur de Bossuet, le PèreJoseph écrivain, 170, 171 ; 174 ; parallèle entre« l’Introduction à la vie spirituelle » du Père

204

Joseph et le « Traité de l’Amour de Dieu » desaint François de Sales (Revue des Facultéscatholiques de l'Ouest), 184 ; le Père Joseph et leSacré Cœur, fondation des Filles du Calvaire, 187 ;éloge du Père Joseph par dom Grégoire Tarisse,189 ; importance de son œuvre écrite, 190.

Le Père Joseph et le quiétisme (Revue des Facultéscatholiques d’Angers), XI, diffusion en France dela doctrine des Illuminés, 88, 89, 90.

DEFFAND (Mme du). – IV, 240. – VI. 107,187. – XI, sou mot sur la légende de saint Denis,350, 351.

DEFORIS (dom), bénédictin. – IX, 230.DEGERT (M -A.) – Histoire des séminaires

français III, l’Oratoire ne s’est pas absorbé dans lafondation des séminaires, 177.

Étude sur la réaction des Provinciales sur la théologiemorale [80] en France (Bulletin de l'Institutcatholique de Toulouse), IV, les Provinciales etl'abandon de la casuistique ; un nouveau systèmede théologie morale, 30.

DEIMIER (Pierre de). – Académie de l'Artpoétique, I, Eloge de Richeome, 6".

DEJEAN (Et.). – Un prélat janséniste au XVIIe

siècle, Nicolas Pavillon, V, 266.DELACROIX (Eugène). – VIII. sa fresque

du combat de Jacob avec l'Ange, 72, 74, 75.DELACROIX (Henri). – II, 589.Études d'histoire et de psychologie du mysticisme, V,

sur l’hypothèse pathologique comme explication

205

des états mystiques, 309, 310. – XI, « Lemysticisme commence lorsque cesse le discours »,331 ; 363 ; du mode d’action et d’énergie divinedans l’âme, 365 ; 371, 425,430.

La religion et la fui, XI, nébulosité initiale dulyrique et du musical, 429.

Psychologie de l’art, XI, 431.DELACROIX (abbé Jean).Ascétique et mystique, II, 140 : définition de

l'expérience mystique, 589 ; 605.DELAPORTE (P.), s. j. – L'art poétique de

Boileau commenté par Boileau et ses contemporains, VI,502, 503.

DELATTE (dom), abbé de Solesmes. – VII,se sanctifier pour mieux glorifier et adorer, 32.

DELEHAYE (P.), s. j., bollandiste. – VI,210.

DELELOË (Jeanne de Saint-Mathieu). – VI,375-379 ; son directeur et sa supérieure veulent ladétourner de l'oraison, 375, 376 : ses angoisses,376 : elle rencontre enfin un aide précieux dansLa personne d’un abbé bénédictin, 376. v. domBruno Destrée, dom Martène, P. Bainvel,Dévotion au Sacré-Cœur.

DELFAU (dom), bénédictin – VI, a travailléà l'édition des Œuvres de saint Augustin, 208.

DELFOSSE (P.). – IX, 236.DELGOVE. – Histoire de Mgr de la Motte, X,

162.Délices de la poésie française., I, 331.

206

DELIDEL (P.), s. j. – Théologie des saints, S.,113 ; 114, 137.

DELPHINE (sainte). - V, 330.DELPLANQUE (abbé A.). – Saint François

de Sales humaniste et écrivain latin, I, 72, 78 ; sur lescitations classiques dans l’œuvre de saint Françoisde Sales, 94, itération de synonymes, 316.

La pensée de Fénelon sur les Litanies de sonManuel de piété, X, 196, 197.

DEMANDOLX (Madeleine de). - V, 182,185, 194. v. Sébastien de Michaelis.

DEMOLETS. – Mémoires de littérature etd’histoire, I, 92.

DENCK (Hans). – IV, Dieu déjà présentpuisqu’on le cherche, 379. v. Rufus M. Jones.

DENHAM (l’affaire des possédés de). – V,aveu d’un des exorcistes, 188. v. Pollen, Dibdale,Cornelius, Shakespeare.

DENIFLE. – VII, 49.DENIFLE-PASQUIER. – IV, 338.DENYS l’Aréopagite. – I, 510. – II, 6 ; sa

lecture a dû accréditer la dévotion aux Anges,115 ; 168 ; Jean de Saint-Samson s'est assimilé sesécrits, 379 ; Marguerite d’Arbouze s'en servaitpour ses méditations, 490 ; ce qu’il dit desmystiques, 593. – IV, 206, 269, 491, 492. 493 – V,291, 293, 296, 299, 322. – VI, 139, 233, 304, 323,366. – VII, 49, 146, 148, 152, 157, 158, 275, 331.– VIII, 13, 45, 57, 67, 68, 383. – XI, 23, 332, 381,429.

207

DENYS LE CHARTREUX. – II, 6. – V,276, 279. – IX, 81. – XI, 59, 427. [81]

DÉPERY (abbé). – I, sur J.-P. Camus, 151 ;156 ; réédite l’esprit du Bienheureux François de Sales,173 ; Notes sur cette réédition, 524 sq.

Histoire hagiologique du diocèse de Belley, I, 151,156.

DERMENGHEM (Émile). – VII, 170.DÉROULÈDE (Paul). – VI, 488.DESBARREAUX. – VI, 448, 481.DESBORDES (Mlle). – V, 350.DESCAMPS (P.), s j. – IX, 236.DESCARTES (René). – I, a trouvé

stimulantes les Élévations de Bérulle, 219. – III,encouragé, mais non bien compris par Bérulle,40. – IV, 305, 344, 552 – VI, 176. – VII, 236, 376.– X, 12, 292. – XI, 336.

DESCHAMPS (Mlle), (Aimée de Jésus. – II,308.

DÉSERTE DE LYON (abbaye de la). – II,399, 400, 427, 428. v. P. Polla.

DESFONTAINES (abbé). – X, à proposd’une strophe de Santeul, 157.

DESJARDINS (P.) – Saint François de Sales,docteur de l'Église (Études), II, 576, 580.

DESLIONS (M.). – VI, 378.DES LYONS (Jean). – III, 329.DESLOGES, janséniste. – VI, son

arrestation, 498.

208

DESMARES (P ), de l'Oratoire. – III, adieuxde Bérulle partant pour l’Angleterre, 41 ; le Pèrede Condren avertit le Père Desmares de ne points’attacher à Saint-Cyran, 329, 331, 423 ; sa liaisonavec le Père de Condren, 424-426 ; le PèreDesmares rassasié de sublime après une ou deuxheures de conversation avec Condren, 435. – IV,21, 302. – VI, 402. – IX, 105.

DESMARETS (P ), de l’Oratoire. – IV, 198.– X, 275.

Élévations à Jésus Christ Notre-Seigneur sur sapassion et sa mort (publié par le Père Quesnel), X, ilfaut lire ce livre dans un esprit et une dispositionde prière. 276.

Histoire de Madeleine Bavent... avec sa confessiongénérale et testamentaire, XI, 158.

DESMARETS Jean de Saint-Sorlin). – IV,229, 475, 477, 483, 494. – VI, montre, dans lesDélices de l’Esprit, uue vraie connaissance des étatsmystiques, 446 sq. ; tour à tour Eusèbe lemystique et Philédon le libertin, 448 ; les étapesd’une conversion, 448 ; fit remanier par Boileauson Art poétique, 450 : lendemain de conversion,478- 501 ; les années mystiques, 478-486 ; à peineconverti, devint-il « un dévot effréné » etfanatique ? 479 ; trois périodes de vie après laconversion, 479 ; longues années derecueillement, 480 ; nombreuses œuvreschrétiennes et morales, 480 ; lettre à son frèreRoland, 480 ; admis dans le petit monde des

209

saints, 482 ; directeur laïque, 483, 484 ; aucunindice d’exaltation morbide, 485 ; la crise, 486-499 ; première croisade, 487 ; l’Avis, introuvableaujourd’hui, 487 ; les rapports de Desmarets avecla Compagnie du Saint-Sacrement, 487 ; l’arméequ’il veut lever est purement mystique, 488, 489 ;sa conduite avec l’illuminé Simon Morin, 492-494 : les Chevaliers de « l'Infaillibilité », 488organise une « Société pour les intérêts de Dieu »,492 : se tourne contre les jansénistes, 425 sq. ; faitpenser quelquefois à Jérôme Coignard, 495 ; desdiablotins de Boucher, 495 ; de la bonté desdiables, 495 » : les dernières années, 499-501 ;affaiblissement de sa première ferveur religieuse,500 ; initiation de Philédon à la vie mystique, 501-518 ; sa critique de l’Art poétique de Boileau, 502 ;architecte et poète de l’architecture, 503 ; laconquête mystique et Jean Desmarets, 518. [82]

Délices de l’Esprit, I, 381. – III, a57. – IV, 474,475. – VI, VI, 445-518 passim. ; la conversion dePhilédon, 445-478 ; dialogue à deux personnages :Eusèbe (le mystique) et Philédon (le libertin),447 ; première rencontre de Philédon etd’Eusèbe, 447 ; la cabane des plaisirs charnels,448, 449 ; le séjour des Arts et celui des Sciences,451 ; le Palais de la Fortune (chez Richelieu), 451,452 ; portrait de Richelieu, 452-454 ; conversionde Desmarets, 454 ; avait-il perdu la foi ? 455-457 ; l’apologétique pascalienne et newmanienneavant Pascal et Newman, 457, 458 ; « Je veux te

210

prouver par ton goût même qu’il y a un Dieu »,458, 459 ; « Je te le ferai connaître au-dessus detout raisonnement », 459 ; « Tu es seulementfugitif de sa lumière », 460 ; le « Palais de laScience », la « porte de la logique », 462 ; la vraievolupté ; étude et exercice continuel des vertus,463 ; croire, goûter, connaître, 463-465 ; l'échelledes plaisirs, 466 ; le Palais des Arts ; délices de lamusique, 467 ; rançon amère de ces délices ; nousne pouvons plus souffrir les médiocres, 468 ; lesappartements de la Poésie, 468 ; la demeure de laPhilosophie, 469 ; duel entre l'Amour et laChasteté, 470, 471 ; infirmités de la moraleséparée : ascétisme et mystique, 472 ; la ville del’Intérieur, 473 ; il faut la grâce pour y entrer, 473,474 ; la conversion de Philédon, 474 sq. ;promesse d'initiation mystique, 476 ; prière dePhilédon, 477 ; le Cheval blanc de l’Apocalypse,485 ; 486, 491, 496, 500, 501, 503, 506 ; Philédonaccueilli dans la Cité de l’Intérieur, 507 ; porteétroite et basse de la Foi, 507 ; les appartementsde la Foi, 507 ; le pavillon de l’Humilité ; lecachot du Néant, 508 ; les balcons de l'Espérance,508 ; les trente-trois cavernes de l'Obéissance,509, 510 ; chambre de la Pureté, 510 ; contre lescrupule, 510 ; la demeure de la Patience, 511 ; leTemple de l'Amour divin, 512 ; les Missionsétrangères et le Musée de la Marine, 512, 513 ; lestrois salles de la sainte Oraison : l'Oraison vocale,

211

la Méditation, la Contemplation, 513-516 ;suspension des puissances, 517, 518.

Marie-Madeleine ou le triomphe de la grâce, I, dédieson ouvrage à celles que l’amour possède, 381 ;389. – VI, 500.

Quatrième partie de la réponse aux insolentesapologies de Port- Royal, III, rapports de Desmaretsavec saint Vincent de Paul, 257. – IV, sur laréprobation et l’élection, d’après les jansénistes,371 ; sur le N, T. de Mons, 371, 372 ; Réponse àNicole, 372, sur la traduction janséniste de l’in ipsovivimus... 562, 563. – VI, de l'impudence de Port-Royal contre le Roi, 446, 447.

Visionnaires, VI, 477 ; le château de Richelieu,506 ; 518.

Les promenades de Richelieu ou les vertuschrétiennes, VI, 480 ; vers sur la « Tristesse del'automne », 480.

Les morales d’Épictète, de Socrate, de Plutarque etde Sénèque, VI, 480, 481.

Les quatre Livres de l'Imitation... et le Combatspirituel, VI, traduction en vers, 481.

Clovis ou la France chrétienne, VI. 481, 496.Le Cantique des Cantiques, VI, 481.Le Cantique des degrés, VI, 481.Explication allégorique de la Genèse. VI, 481.Instruction pour l’Oraison, VI, 481.Relation de la découverte du faux Christ, nommé

Morin, chef des Illuminés, VI, 492.L'avis du Saint-Esprit au Roi, VI, 486, 491.

212

Esther, VI, 500.Les amours du compas et de la règle et ceux du soleil

et de l'ombre, VI, 504-566. [83]Avis aux beaux esprits du monde (prélude à un

commentaire de l'Apocalypse), VI, 481 ; nécessitédes images et des symboles, VI, 516.

Ariane, VI. 518. v Eugène Asse. Kerviler.Hipp. Rigault Nicole, Rapin, abbé A. Auguste.

DESMARETS (Marguerite). – VI, 449.DESMARETS (Roland). – VI, composa les

distiques figurant au bas des portraits (galerie desFrançais) Palais Cardinal, 449.

Rolandi Maresii epistolarum philologicarum liberprimas (contient un éloge de Jean Desmarets), VI,449 : fut élève du Père Petau, 450.

DESPAUTÈRE. – I, l’art d’écrire et lesecours d’en haut, 520. – IV, 372.

DESPORTES. – Cent psaumes, I, 190, 192,193. – X, sa traduction des Psaumes enchantaitsaint François de Sales, 174.

Sonnets religieux, I, 199, 201.Diane, I, 331.DESTRADES (Jean), évêque de Condom. –

X, sur les Litanies des Saints Anges, 188.DESTRÉE (dom Bruno). – Une mystique

inconnue du XVIIe siècle, la Mère Jeanne de Saint-Mathieu Deleloë, VI, 375-379.

DESVILLARS, official de Saint- Claude. –Conférences théologiques et morales sur les principaux

213

devoirs de la vie religieuse, IX, contient denombreuses pages sur la communion, 230.

DEVILLE (P. Jean), s. j. – Journée du chrétien,IX, version abrégée des prières du Père Sanadon,204.

DÉVOTIONS. – L’Horloge de la Passion,IX, 359. v. Érasme.

DIBDALE (R.), martyr anglais – V, aexorcisé les possédés de Denham, 188.

Dictionnaire des hommes illustres de la Provence etdu Comtal Venaissin (Anonyme), III, 660.

Dictionnaire des livres jansénistes. v. P. deColonia.

Dictionnaire de Théologie Catholique, XI, articleAttrition, 301 ; 306, 319.

DIDEROT. – XI, « Que j’aie un récitpathétique à faire... mon discours se suspend »,429 ; « Combien de choses senties et qui ne sontpas nommées », 436. v. Trahard.

DIDIER DE LA COUR (dom). v. DidierLaurent.

DIDIER LAURENT dom). – I, Dom Didierde la Cour... et la réforme des bénédictins deLorraine, 22.

DIDIOT (abbé). – IX, 273.DIEBOLT. – La Théologie morale catholique en

Allemagne au temps du philosophisme et de laRestauration, XI, l’auteur critique la thèse de l’abbéFr. Vincent, 289.

214

DIEST (Faustin de). – Vie de Benoît de Canfeld,I, 254. v. J. Brousse.

DILLENSCHNEIDER (P. Clément),o. r. – La Mariologie de saint Alphonse de Liguori,

XI, Bérulle et sa dévotion du saint esclavage, 191.DINET (M. P.). – Cinq livres des hiéroglyphiques

où sont contenus et propriétés et les plus rares secrets de lanature de toutes choses, 1, 196, 259.

DINET (P.), s. j. – VI, 74.DINOUART. – X, 122.DINTEVILLE (Mme de), abbesse de N.-D.

de Troyes. – II, 406 ; la Mère Anne de Jésus luiprédit que Mlle de Praslin sera réformatrice de sonmonastère, 409.

DIX-SEPTIÈME SIÈCLE. – II, les famillessaintes, 3 ; du nombre et de l’activité desmystiques dans la première moitié du XVIIe siècle,3 sq. [84]

DODART – Vie et ouvrage de M. Lazare-AndréBacquillot, I, 237. – IX, 32.

DOMAT. – IV, 416.DOMENCHI (P.), s. j., provincial de Milan.

– XI, saisit les dictées des révélations d'IsabelleBellinzaga, 18.

DOMENECH. – IV, éditeur du Père Rapin,110.

DOMINICAINES. – II, communautéd'Avignon, 31. – III, de Saint-Maximin, 571.

DOMINICAINS. – Année dominicaine, VI.442. v. Michaelis (Sébastien).

215

DOMINIQUE (saint). – VIII, 5, 285. – XI,15.

DOMINIQUE DE SAINT-ALBERT (P.),carme, (Vincent Leschart) – II, disciple préféré deJean de Saint-Samson, 388 ; ses lettres à celui-cisur la « vraie théologie » et celle des livres, 389.

DOMPTIUS (P.). – XI, 157.DONATIEN DE SAINT-NICOLAS (P.).

-II, a édité les œuvres de Jean de Saint-Samson,381.

Les Œuvres spirituelles et mystiques du divincontemplatif et mystique Jean de Saint-Samson, II, 381,382, 387.

DONCIEUX (G ). – Un Jésuite homme de lettresau XVIIe siècle, le Père Bouhours, III, ses distractionsinnocentes, 216.

DONCŒUR (P.), s j. -VII, préfère àanthropocentrisme le mot égocentrisme, 16 ; préfère lemot moralisme à celui d’ascéticisme, 26 ; sa critiquedu livre de l’abbé Fr. Vincent (Études), 38. – VIII,de la culture du moi et de ce qui est premier dansle Christianisme (Études), 360. – IX, la Messe « riteprivilégié de notre culte ». Restituer aux fidèlesl'intelligence de la communion du Sacrifice(Études). 165 ; de la participation liturgique desfidèles au Saint Sacrifice, 205. – XI, 187, tropd’âmes ont étouffé dans la prison du moralismereligieux (Études), 199. – S., 130 : culture du moiou vie divine de fils ? critique de l’abbé FrVincent) (Études), 185.

216

DONEY (Mgr) – IV, 478. – V, a obtenul’autorisation de publier à nouveau Jean deBernières, 155. – VI, a donné nue nouvelleédition de Bernières, en règle avec l’Index, 234.

DONFRÉRE (P. Marc). – Oraison funebre deCatherine de Montluc de Balagny, abbesse d’Origny,II, 414, 415.

DONNADIEU DE GRIET, évêque deComminges – III, 326. – IV, ; 76.

DONNAULD (dom Pierre). – I, fut évêquede Mirepoix ; son étonnante charité, 236. v.Laurent Bénard.

DONY D’ATTICHY (P. Louis). – Histoiregénérale des Minimes, I, « les contemplatifs et lamusique », 210, 211.

DORÉ (P. Ange Le), eudiste. – III, 588.DORÉ (Pierre). – I, 30.DORIZY (Marie). – VI, 382-384 ; ne parlait

que de ce qu’elle avait goûté ; interrogée sur leCantique, disait des choses merveilleuses, 383 ; lerefrain du pur amour, 384. v. Ernest Jovy.

DORRON (P ), de l’Oratoire – Jésus-Christdans les Écritures, III, 218,

DOUBLET G.). – Jean du Ferrier, Toulousaind'après ses mémoires inédits, VI, sur la cause duVénérable A. de Solminihac, 442.

DOUET (M.). - II, 368.DOURLENS. – IX, 209. v. Hervin.

217

DOUSSOT (Mère Élisabeth), carmélite. –VI, 204, 205. v. Père Marie-Joseph du Sacré-Cœur.

DOUSSOT (P.) o. p. – VI, 204, 205. v. PèreMarie-Joseph du Sacré-Cœur. [85]

DOYLE (P. W.), s. j. – VI, note sur une deses pénitences, 90.

DRELINCOURT. – Prière pour la vieillesse,X, 261, 262.

DREULIN. – V, saint Vincent Ferrier estmort dans la maison de Dreulin, 128.

DREVON (J -M.). – Histoire d’un collègemunicipal, IV, 37.

DREXELIUS (P. Jérémie), s.j. - I, image dela Caritée, 184, 185.

La Rhétorique céleste, VII, 169. – S., de l’utilitéde joindre la prière à la mortification, 49.

Prière en forme de litanies pour obtenir une bonnemort, mise en français par le Père Crasset, IX, 361.

La Droite intention, XI, 202 ; 205, 260.DROUET DE MAUPERTUIS. – Histoire de

la Réforme de l'Abbaye de Sept-Fonts, IX, sur uneimage de la Vierge ornant l'autel du monastère,281.

DUBARRAT, archiprêtre de Saint- Martin dePau. – IV, 70, 108, – X, 142.

De quelques prières du Paroissien de Bayonne(Mélanges de Bibliographie et d'histoire locale),IX, sur la paraphrase des prières de Sanadon, 204.

218

DUBÉDAT. – Tabaraud (Bulletin de laSociété arch. et hist. du Limousin), III, 157.

DUBOIS. – Histoire de l'abbé de Rancé, III, 325.DUBOS (abbé). – IX, 351.DUBOURG (Jean), évêque de Laon. – V,

visite Nicole Aubry et conclut à la possession,187 ; la fait exorciser en public, 187, 188.

DU BREUIL (P.), de l'Oratoire. – IV, 287,288.

DUBREUIL. – Théâtre des Antiquités, IX, lastatue de Notre-Dame de Souffrance, 283.

DUBRUEI. (P. M.), s. j. – Un épisode del’histoire de l'Église de France au XVIIe siècle. NicolasPavillon... et Etienne Caulet (Recherches de sciencereligieuse), IV, 35.

DUCÉRE (E.). – Histoire des rues de Bayonne,IV, 37.

DUCHEMIN (Charles) – IV, 284.DUCHEMIN (dom). – XI, 132, 136.DUCHEMIN (dom Jacques), bénédictin,

prieur de Saint-Aubin d’Angers. – VI, 181.DUCHESNE, docteur en Sorbonne. – IV,

194.DUCllESNE (Mgr). – VI, 10, 190. – S., 129.DUCREUX (abbé X.). – Les siècles chrétiens ou

Histoire du Christianisme, III, sur saint Vincent dePaul, 245. – XI, des Illuminés de Picardie, 103.

DUDON (P. Paul), s. j. – VIII, sur le PèreMelchior de Villanueva et les Exercices, (Revued’asc. et de myst.), 191. – S., 128.

219

Les Leçons d'oraison du P Balthazar Alvarez(Revue d’Asc. et de Myst.), VIII, 228 ; héritierslégitimes d’Alvarez au XVIIe siècle, 230. 233 ;écarts possibles de ses disciples, 236, 237 ; 245 ;étapes dans l’oraison, d’après Alvarez, 248 ;Alvarez, dans ses mémoires, s’appuie sur d’autrespères de son ordre, 249 ; pour Alvarezl’abnégation prêchée par saint Ignace, devaits’épanouir dans les dons de l’oraison mystique,249, 250 ; condamnation d’Alvarez, 252-254 ; lePère Dudon et la « morale de l’histoire » (procèset condamnation d’Alvarez), 257 ; la vie spirituelledans l’Ordre, régie par les supérieurs, 258.

Pour la communion fréquente et quotidienne : lepremier livre d’un jésuite sur la question (traduction deMadridius), IX, 73 ; 76, 81. saint Ignace et lacommunion quotidienne, 91.

Michel Molinos, XI, 148.DUDY (P.), eudiste. – III, 599. [86]DUEZ (P. Paul. – V, a traduit en français la

Pratique de la perfection de Rodriguez, 42 ; 43.DUFRESNE (M.). – III, 231.DUFRESNE (Adrienne). – II, sa possession ;

exorcisée par le Père Coton, 128, 129 ; 131.DUGAS. – VI, 403.DUGUET Jacques-Joseph). – I, 278. – III,

220, 674, 683. – IV, 11. – VI, 230, 231. – VII,296. – IX. 65, 67, 72, 105, 130, 132, 134, 138, 141,148, 156. – X, 28, 54, 288 ; ses directions pour laprière, 294 sq. ; 320, 342.

220

Lettre sur la grâce générale, IV, Nicole et la grâcemolinienne, 431, 432 ; 440, 588.

Recueil de quatre opuscules fort importants de feu M.l'abbé Duguet, IV, 432.

Lettres sur divers sujets de morale et de piété (Avispropres à conserver une piété fervente), VIII, dela confession brusquée, 417. – IX, accueil fait à sadissertation sur les Exorcismes du Baptême, 32,33 ; de la communion fréquente ; il faut faireentrer dans votre cœur celui qui seul peut ledéfendre, 69 ; ne pas juger de la piété par desmouvements sensibles, 70 ; lettre à un curé sur lamanière d’instruire ses paroissiens sur le SaintSacrifice de la Messe, 135-138 ; du sacrifice del’Eucharistie et de celui du Calvaire, 146-148 ;conformité essentielle entre l’Autel et la Croix,151 ; montrer aux fidèles comment le sacerdocede Jésus-Christ et son état de victime sontcommuniqués aux hommes, 155 ; à un jeuneecclésiastique sur la dévotion à Marie, 276 ; mêmesujet à Noë-Mesnard, 276 ; ses lettres deconsolation aux malades en danger, 380. – X,préférer la prière publique et la communion àtoute autre, 293 ; faire grand état de la prièrementale ; substituer la lecture à la stérilité del’esprit, 294. – S., la prière n’est jamais plus pureque lorsque l’attention volontaire en est absente,55.

Le Tombeau de Jésus-Christ, IX, de la mort, del'ensevelissement et de l’anéantissement en Jésus-

221

Christ, 17 ; portrait d’un chrétien enseveli avecJésus-Christ, 17 ; le baptisé est un homme secretet caché... l'homme du cœur, 17, 18 ; le baptiséadhère à l’incorruptibilité de Jésus dans sonsépulcre, 18 ; Duguet s’inspire dans ce livre d’untraité de M. de Sainte-Marthe (v. ce nom), 19 ; sereprésenter, par une foi vive, l’antique cérémoniedu Baptême par immersion, 22.

Explication du Mystère de la Passion, IX, Aaronet quelques autres ont compris ce que signifiaientles figures de l'ancienne Loi, 140 ; 144 ; lesacrifice du-Calvaire, « vrai sacrifice dans l’usageintérieur que le Sauveur en a fait », n’est pas àproprement parler, sacrifice liturgique, 149 ;Jésus-Christ à suppléé à ce défaut par l’institutionde l’Eucharistie, 150 ; Jésus-Christ, pontife éternelet Agneau de Dieu ; la liberté de son immolation,151 ; la Cène ne serait qu’une cérémoniefigurative si elle ne s’appropriait pas, en ladevançant, l'immolation prochaine de la Croix,152-154 ; Notre-Dame debout au pied de laCroix, 280.

Explication du livre de la Genèse. IX, sans lesacrifice extérieur, la religion est commelanguissante, 136, 137 ; le sacrifice, partieessentielle du culte public, 138 ; les figures dusacrifice du Christ : Caïn et Abel, Noé, 139 sq. ;sacrifice d’Abel, 140-142 ; Abel, premiersacrificateur, première hostie, 142, 143 ; le

222

sacrifice de Noé, 143, 144 ; de Melchisédech,d’Aaron, 144 – X, 283, 291.

Traité sur les dispositions pour offrir les saintsmystères et pour y participer avec fruit, IX, de l'utilité etde la convenance de la célébration fréquente de lasainte Messe, 232, 233. [87]

Dissertations théologiques et dogmatiques, IX, desexorcismes du Baptême, 23-33.

Conduite d'une dame chrétienne, IX, de lacommunion fréquente, 68. – X, 31.

Préparation pour la confession, X, de l'usage desformules, 29 sq.

Lettres, X, préférer la prière publique etcommune, 31 ; 347.

Traité de la prière publique, X, de la prièreintérieure, 297.

Traité de la prière. X, 51.Commentaire sur l’œuvre des six jours. X, 85, 291.Mystère de la Croix, X, 283.Explication de l'ouverture du Côté et de la sépulture

de Jésus- Christ, X, prière : « Que l’activité de mafoi me tienne lieu de tout ce que je n’ai pas vu »,284 ; Prière à Jésus-Christ enseveli et dans leTombeau, 289-291.

Traité de la Croix de Notre-Seigneur ouExplication du Mystère de la Passion, X, toutes lesÉcritures faites pour les personnes saintementaffligées, 285 ; l’Agonie au jardin, 285-287.

Explication des qualités et des caractères que saintPaul donne à la charité. XI, du précepte de l'amour

223

de Dieu, 287, 288 ; la charité même imparfaite, atoute la vérité de son être, 303, 304.

DUHEM. – I, 257.DU JARDIN (Mme). – II, 250.DUMAS (Paul). v. Martial de Brives.DUMAS (Pierre). – Vie du V. César de Bus. II,

jeunesse mondaine de César de Bus, 11 ; 14.DUMONT. – X, 176.DUMONTET. – Le désir de voir l'hostie et les

origines de la dévotion au Saint Sacrement, IX, 237.DUPANLOUP (Mgr). – I, 240. – II, 194. –

IX, fit rééditer à 100.000 exemplaires la Lettre deFénelon sur le Fréquent usage des Sacrements, 127.

DUPERRAY, avocat au Parlement. – IX,aurait assuré la publication des Sentimentschrétiens..., 360 et de l’Homme de cour de BalthazarGracian, 360.

DUPERRAY (abbé J.). – Le Christ dans la viechrétienne d'après saint Paul, IX, le Baptême, clef devoûte de toute la spiritualité de saint Paul, 7. – S.,du problème de l’action de Dieu sur l’homme338, 339.

DUPERRON (cardinal). – I, 191 ; son élogepar J.-P. Camus, 291. – II, 88.

L’Adieu au inonde de M. de Joyeuse entrant enreligion, II, 146.

DUPIN (Ellies). – Bibliothèque universelle desÉcrivains ecclésiastiques, I, v, 16.

Nouvelle bibliothèque ecclésiastique, X, 50.

224

Traité philosophique et théologique sur l’amour deDieu, XI, 276.

DUPLEIX. – Philosophie française, VI, 80.DUPONT (Jean). – Vie de la Bienheureuse

Esprite de Jésus, VI, 426.DUPONT (Maur). – VI, 181.DUPONT (P.), s. j. (Louis de La Puente). –

VI, 250. – IX, 81. – XI, 205, 260, 339.Vie du Père Balthazar Alvarez (traduit par R.

Gaultier), II, 295. – V, 11. – VIII, 228 ; JeanSuarez, 238, 240, 242, 243 ; le bûcher deVilleverd, 240 ; B. Alvarez fait figure d’illuminéaux yeux de Suarez, provincial de Castille, 241 ;grâces exceptionnelles dont le Père BalthazarAlvarez fut favorisé, 244 ; distingue mal l’oraisonpersonnelle de B. Alvarez de celle qu’il enseignaità ses novices, 245 ; 246, 247, 250 ; humblesoumission et silence de B. Alvarez pendantl’examen de ses écrits, 251 ; 252, 256, 257.

Perfection du chrétien, IX, 130.DUPOU. – VI, 185. [88]DUPOUEY (lieutenant Pierre). – Lettres

intimes, IV, la prière de louange, 395.DUPRAT (P.), o. p. – VIII, 84.DUPRÉ (Marie), nièce des frères Desmarets.

– VI, 449, 450.DUQUESNE (abbé). – Vie de la vénérable

Mère Catherine de Bar, dite, en religion, Mechtildedu Saint-Sacrement. II, 482. – VI, 386.

225

DURAND (Claude). – I, a publie un abrégéde Baronius, 222.

DURAND DE MENDE. – IX, 36.DURANT. – La Magdaliade, I, 384.DURENGUES (chanoine A.). – Monsieur

Boileau de l'Archevêché, IX, à propos de la mort dela duchesse de Luynes, 349, 350.

DU SAULT (P.), s. j. – Œuvres spirituelles, XI,les deux anachorètes ou du pur amour de Dieu,290-293.

DU SAULT (Mlle). – V, 175.DUSSAULT. – VIII, Bourdaloue et son

argumentation de sang-froid, 332.DUVAL (André), docteur en Sorbonne. – I,

95, 222. – III, 14, 197, 205, 324, 429. – XI, 107,342. – X, 122 ; sa traduction, en vers français, del’hymne O Luce qui mortalibus, 148.

Les Hymnes de l'Office de l’Église de France,traduites en vers français ; à propos de latraduction facile pour un homme né français, X,178, 179.

Vie de Madame Acarie. – La vie admirable de labienheureuse sœur Marie de l'Incarnation (Mme Acarie),I, 253, 431. – II, M. Roussel, confesseur de Mme

Acarie, 5, 6 ; 158 ; André Durai, directeur du PèreJoseph, 170 ; charme et ascendant de Mme A.,195 ; comment Mme A. se comportait avec leprochain ; des ravissements et des extases, 198,199 ; c’est assez pour les biographes, d’avoir ledésir de la perfection, 199 ; Pierre Acarie, 201,

226

202 ; vocation mystique de Mme A. ; ses premièresextases, 203, 204 ; les stigmates, 205, 206 : Benoîtde Canfeld. 207 ; Pierre Acarie fait morigéner safemme par le clergé de Saint-Gervais, 209, 210 ;Mme A., mystique et femme forte, 210, 211 ; sesépreuves et sa lutte contre la ruine due à son mari,212-215 ; Mme A. éducatrice, 215-222 ; sa charité,223, 224 ; les conversions nombreuses qui luisont dues, 225 ; elle collabore à la fondation desUrsulines de France, 226 ; sou rayonnementmystique, 227, 228 ; fréquence de ses extases,228, 229 ; elle ne pouvait plus lire les livres despiritualité, 230 ; sa discrétion absolue au sujet desphénomènes mystiques dont elle était l’objet,233-235 ; 237 ; la dernière extase, 233 ; Duvalinitié à la vie mystique sous l’influence de Mme A.,238 ; il la voit un jour toute lumineuse, 239, 240 ;clairvoyance et autorité spirituelle, 240 sq. ; sonaction dans la réforme des congrégationsreligieuses, 248 sq., 252 ; retour de Pierre Acariedans son hôtel transformé, 255, 256 ; 259, 261,281 : Mme A. entreprend la fondation du Carmelfrançais, 282-284 ; 287, 314, 315, 316, 343, 373,380, 420, 506, 606. – IV, 17, 109, 118, 182.

DU VERGER DE MARENNES, mari deMarie Baron. – V, 168, 170, 171. [89]

E

ECHARD. – IX, 79.

227

ECHAUX (Mgr d’), évêque de Bayonne. – IV,71.

ECKHART (Maître). – VII, 49.Éclaircissement sur quelques ouvrages de théologie

par M. X..., docteur en Sorbonne, IV, 380.ÉCOLE FRANÇAISE. – III, sa définition, 4,

5 ; unanimité de tous ses maîtres, 5 : école de vieintérieure, 5 ; la doctrine de Pierre de Bérulle etl’école française, 22-154 ; le théocentrisme, 22-42 ; l’école française, son prestige, 42 ; son espritliturgique, 79 ; étudie et expose les doctrines desaint Jean et de saint Paul sur la vie de la grâce,79, 80 : sa dévotion à la Vierge ne fait qu'un avecla dévotion au Verbe incarné, 97, 98 ; culte dessaints, essentiellement théocentrique, 99 ; l’écolede saint Ignace et celle de Bérulle comparées aupoint de vue de la méthode, 112 sq. ; Bérulle, àproprement parler, ne propose aucune méthode,112 ; élévation ou adoration lyrique, 117-126 ; lesdeux éléments de l’adoration, 118 ; se soumettre« volontiers à tout ce que Dieu est », 119 ;adhérence à l’être divin et aux états du Verbeincarné, 129 sq. ; se donner tout entier à l’espritde Jésus, 131, 132 ; vouloir ce que le Verbe avoulu pour nous, 141, 142 ; s’exposer aux« influences », aux « impressions » de l’esprit deDieu, 142 ; « les vertus divines sont opératives »,142, 143 ; oraison par voie de regard et d’honneur(Bourgoing), 143 ; les mystères et les états deJésus envoient d’eux-mêmes leurs rayons

228

(Bourgoing), 144 ; les vertus du Christ impriméesen nous, « quoique nous ne nous efforcions pointd’en produire les actes », 144, 145 ; oraison parmanière de regard, v. Bourgoing, Tronson, 145,Roussier (Antoine), 146, Temple, 146 ; v. Saint-Jure ; v. Condren ; anti-intellectualisme foncier decette doctrine, 382 sq. ; triomphe de l'amour purau dernier jour, 403 ; l’école française et lesdévotions catholiques, 511-683 ; son évolutionhistorique, les résistances qu’elle rencontre, 512sq. ; l’école française et « l’esprit d’enfance », 523 ;fait sienne la dévotion de Beaune et tâche d’ensauver les éléments bérulliens, 552 sq. ; lesthéologiens et l’école française, 673-679 : défiancedes théologiens envers les spirituels de l’écolefrançaise, 673 sq. ; l’école française et l’école desaint Ignace, 679-683 ; spiritualité ignatiennecomparée à celle de l’Oratoire, 679. – IV, l’Écolefrançaise et le rigorisme de Port-Royal, 22-35 ;présente la même « rigueur » que Port-Royal, 26sq. ; son exagération et son pessimisme, 26 sq. ; lamorale et la voie étroite, 29 ; le jansénismedénoncé dés le début par les maîtres de cetteécole, 31-35 ; à quel point les maîtres de cetteécole diffèrent du jansénisme, 33-35 ; sonmysticisme corrige son pessimisme, 3 ; dévotionde l’école française à la Sainte Trinité, 395 sq. ; sadévotion théocentrique au Verbe incarné, 403,404. – IX, tradition bérullienne sur le Sacrifice. Iln’est pour les bérulliens de vrai sacrifice que

229

liturgique, 136 sq. v. Bourgoing, Tronson,Roussier, Temple, Saint-Jure, Condren, Dévotionau Sacré Cœur, Eudes.

ÉDIT DE GRACE, concernant les Illuminésde Séville et de Cadix. – XI, 57 :61 sq., 71, 82, 83,84, 85, 87, 90, 93, 94, 96, 109, 112, 157, 162, 170,179. v. Mercure français. [90]

ÉDIT DE ROUEN (1603). – II, difficultésavec Rome ; belle conduite du Père Coton, 92-95.v. Prat.

EDMOND DE MESSA (Frère). – II, 202.ÉDOUARD D'ALENÇON (P.), capucin. –

I. 423. – II, 142.Pages inédites de la vie du Père Ange de Joyeuse

(Études franciscaines), II, 143, 144 ; lettres deHenri III au Père Bernard d’Osimo et au frèreAnge de Joyeuse, 146, 147.

ELIOT (George). – I, sur la beauté, 364.ÉGLISE (L’) ET LES MYSTIQUES. – II,

37.ÉLÉONORE D'AUTRICHE, seconde

femme de François Ier. – II, 267.ÉLÉONORE DE SAINT-BERNARD,

carmélite. – II, 300.ÉLISABETH DE QUATREBARBES,

carmélite. v. Élisabeth de la Trinité.ÉLISABETH DE LA CROIX (de Ransaing).

– VI, 384. v. Boudon.ÉLISABETH DES ANGES (Sœur), une des

« signeuses » du formulaire. – IV, 238.

230

ÉLISABETH D’ANGLETERRE. – II, 155.ÉLISABETH DE L’ENFANT- JÉSUS,

dominicaine. – VI, 390-392 ; dirigée par le PèreSaint-Jure et M. de Renty, 390 ; ses mémoires ontservi au Père Saint-Jure pour écrire la vie de M. deRenty, 390 ; sur la peine qu’elle éprouve à l’office,391 ; sa dévotion au Sacré-Cœur, 392. – XI, 361,362.

Vie de la Vénérable Mère Élisabeth de l'Enfant-Jésus (anonyme), XI, de l’opération de Dieu dansla quiétude, 361, 362. v. Marie-Madeleine deMauroy.

ÉLISABETH DE LA TRINITÉ (Mlle deQuatrebarbes), prieure de Beaune. – II, 312. – III,537 ; toute dévouée à Marguerite de Beaune, 540.

Éloges historiques de tous les grands hommes et trèsillustres religieux capucins de la province de Paris..., I,426.

ELOUAN (saint). v. Maunoir.ELZÉAR DE SABRAN (saint). – V, 330.EMBIDONNES (Jeanne d'). – III, 559-561.EMMERICH (Anne-Catherine-. – I, 142.EMPIS. – VIII, 5.ENCYCLOPÉDISTES DÉVOTS. – I, 255-

272 ; l’encyclopédisme avant l’Encyclopédie, 255 ;impuissance à tout embrasser ; Père desspécialistes, 256 ; curiosité et vie dévote, 266 ;propagent l’esprit de curiosité dans les milieuxpieux, 267.

231

ENFANCE (L’). – III, 344. v. Condren,Martineau, Newman, Blanlo, Conrad.

ÉPERNON (duc d’). – II, 145. – IX, samort, 335. v. Tamisey de Larroque.

ÉPICTÈTE. – I, 440. – V, 24. – VI, 465,472. – VII, 18. – XI, 297. – S., 58, 163, 338.

Manuel, IV, 469.ÉPICURE. – VII, 18.ÉPIPHANE-LOUIS (P.), abbé d’Estival. –

IV, 486, 494, 495, 497, 542, 543, 555. – IX, 210,211, 214. – XI, 332.

Horloge pour l'Adoration perpétuelle du Saint-Sacrement, IX, 214-219 ; minuit : attaques desprinces des ténèbres contre la Très SainteEucharistie, 215 ; sept heures du matin : sacrilègesde quelques âmes vendant les saintes hosties,215 ; dix heures du matin : des prêtres indignesou médiocres, 216 ; onze heures du matin :indignités dans les églises, 216 ; une heure del’après-midi : les saintes hosties vendues aux [91]Juifs, 216 ; six heures de l’après- midi : le SaintSacrement sans honneur en plusieurs églises decampagne, 216, 217 ; neuf heures du soir : lesprojets des impies à déshonorer le Très SaintSacrement, 217, 218 ; des confréries diaboliques,217-219.

La nature immolée par la grâce ou la pratique de lamort mystique, IX, des religieuses réparatrices, 2l3 ;pas de tristesse en la Sainte Vierge, 279.

232

Conférences mystiques sur le recueillement de l'âme,XI, nous ne sommes agis qu’afin que nousagissions, 366 ; l’âme dans la quiétude, qui est uneoisiveté agissante, opère et parle. Sa parole et sonopération sont la connaissance et l'amour, 371-374 ; il explique nettement en quoi consistent lesinterférences de la quiétude et du discours, 385-387. v. Nicole.

ÉPIPHANE (saint) – XI, 78.ÉRARD (Marie-Thérèse), supérieure du

Refuge de Nancy. – VI, 386 ; associée à laConfrérie du pur amour, 387 ; dévotion au Sacré-Cœur, 387 ; fut victime de libelles diffamatoires,387. v. Boudon.

ÉRASME. – III, 47. – VIII, 199, 216.Éloge de la Folie, I, 4.Le soldat chrétien, VII, 52.De preparatione ad mortem, traduit sous le titre

de : 7,e manuel du soldat chrétien et la préparation à lamort, IX, 214 ; de la superstition attachée à ladévotion du regard vers l’Hostie, 240 ; 311 ; del'assistance des fidèles auprès des mourants, 355 ;s’exercer au personnage du mourant, 364.

De Arte bene moriendi, IX, 358, 359.La manière de prier Dieu, X, la prière en esprit

n’est pas nécessairement la prière sans paroles, 4,5 ; 12, 68 ; la prière chrétienne et l’Écriture, 77 ;oraison pour l’enfant à dire devant que d'étudiersa leçon, 233 ; sur les collectes liturgiques, 233 ;

233

« Prière pour conserver une bonne réputation »,233 ; 237, 244.

Recueil de prières et l'explication de l’Oraisondominicale, X, Oraison de celui qui se veut mettresur mer, 231, 232.

Enchiridion militis christiani..., XI, saint Ignacelui aurait emprunté le Fundamentum des Exercices,60 ; 64. v. Claude Joly.

ERMITE (L’) DE COMPIÈGNE, filleul deMichel de Marillac. – Sa vie, I, 336.

ERMITES ET ERMITAGES au XVIIe siècle.– Ermites du Mont Valérien, I, 336 ; La vie del'ermite de Compiègne, 336. v. H. Bremond, Picot.

ESCHAUX (Bertrand d’), archevêque deTours – V, 185.

ESCHYLE. – IX, 194.ESCOBAR (P.), s. j. – IV, 397. – VI, 194. –

XI, 231, 258, 278.ESCOUBLEAU DE SOURDIS (Jeanne d’),

ursuline de Loudun. - V, 215.ÉSOPE. – XI, 194.ESPAY (chevalier d’). – Vie de Mme Du Houx,

V, 140.ESPRITE DE JÉSUS, tertiaire de saint

Dominique. – VI, 426, 427. v. Jean Dupont.ESTIVAL (abbaye d’). – II, 535.ESTIVAL (abbé d’) v. P. Épiphane-Louis.ESTOUTEVILLE (princesse Marguerite d’).

– II, 188, 285, 497.ESTRÉES (comte d’). – V, 6.

234

ESTRÉES (maréchal d’. – III, 296.ESTRÉES (Jacqueline d’), abbesse de

Maubuisson – II, 447.ÉTATS. – Théorie des « états »

(métaphysique bérullienne). VII, ch III.ÉTHÉRIE. – X, 183. [92]ÉTIENNE DE GRANDMONT (saint). –

VI, 96, 98.EUCHARISTIE. – IX, 43-246 ; la communion

fréquente, 45-128 ; doctrine sur la communion) desspirituels qui ne relèvent ni de Port-Royal, ni de laCompagnie de Jésus, 111 sq. ; vers la communionquotidienne dans les couvents, 119 sq. ;révolution (vers la communion fréquente s'achèveavec Fénelon ; plus de différence entre lescouvents et le monde, 124 sq. ; l’Adorationréparatrice, 207-224 ; adoration et réparation, 208 ;la vocation de victime, 208, 209 ; l'amendehonorable d'Anne d’Autriche, 211, 212 ; l’horlogemechtildienne et l’expiation des sacrilègescommis à toutes les heures du jour, 214-219 ; desprofanations et sacrilèges, 215 ; Litanies etOffices de la Réparation, 219 sq. 1° Office desbénédictines du Saint-Sacrement, 220-222 ; 2°celui de Saint-Merry, Paris. 220-222 ; Adorationperpétuelle du Très Saint Sacrement de l’Autel, érigéedans l'église royale et paroissiale de Saint-Germain-en-Laye, 220 sq. ; l’Adoration perpétuelle dans lesparoisses, 222 sq. ; iconographie de l’Adorationréparatrice, 223, 224 ; Thrésor eucharistique de

235

Machault, frontispice, 223, 224 ; le poèmeeucharistique de M. de Saci, 224, 225 ; la premièrecommunion, 225-227 ; la question de la fréquentecommunion pendant le XVIIIe siècle, 227-230 ; ledésir de voir l’hostie, 237-240 ; le Chapelet duSaint-Sacrement, 240 : la communion des quinzemardis et des quinze samedis, 244-245 ; v (p lesmardis : Bidault de Sainte-Marie, 244 ; (p lessamedis ; Antonio Thomas, 244 et Anonyme(l’abbé La Sausse) la Dotation aux mystères de Jésus-Christ et de Marie, 245 ; les visites au Très SaintSacrement, 245 ; les Saluts, 245, 246.

Méthode pour honorer le Saint Sacrement pendantl'Octave, tirée de la Vie de Marguerite Alacoque(sainte Marguerite-Marie), 286. v Olier,Dumontet, Ripault. Suffren, Noulleau,Letourneux Bossuet, Saint-Jure, Érasme, Thiers,Authier de Sisgau.

EUDES (saint Jean). – III, 4, 56, 70, 86, 89,94, 98 ; sur la vertu « recherchée selon l’esprit desphilosophes païens », 135-137 ; Rodriguez et JeanEudes, 137 : vertus « chrétiennes » et vertus« morales », 136, 137 ; « Venez, Seigneur Jésus... »,141 : « Tous avez fait un très saint usage de mon être,141, 142 ; 151 ; aimait à rapprocher le prêtre de laSainte Vierge, 177, 178 ; 245, 265, 460, 461, 488 ;le Père Eudes et Marie des Vallées, 582-628 ; lePère Eudes ressuscité par la critique moderne,582 sq. ; sa gloire volontairement obscurcie parles jansénistes, 584 : biographie, 584 sq. ; premier

236

apôtre, premier docteur de la dévotion au Sacré-Cœur ; auteur du « culte liturgique » du Sacré-Cœur, 586 sq. ; établit la fête du Cœur de Jésus,586, 587 ; retour des Eudistes contemporains à ladoctrine bérullienne du Père Eudes, 589 sq. ;moins séduisant et moins fascinant que d’autressaints, 591 ; rusticité ou rudesse, 591 : ses lettres àMme de Camilly 592 sq. : le mariage de Fanfan,593 ; outrance, littéralisme et manque d’humour,594 ; sa vraie tendresse, 597 ; adieux à unemourante, 597-599 ; Jean-Jacques de Camilly et lavocation de Fanfan, 600, 601 ; l’initiation aubérullisme, 602 sq. ; rencontre de Marie desVallées, 603 ; 615 ; ne doit à Marie des Vallées nisa propre doctrine spirituelle, ni le dessein de sespropres fondations, 625 sq. ; le Père Eudes et ladévotion au Sacré-Cœur, 629-671 ; le Père Eudesécrivain et les autres maîtres de l’école française,629-633 ; prédicateur plutôt qu’écrivain, 630,631 : le cœur de la Vierge Marie, harpe duvéritable [93] David, 631 sq. ; mérite des œuvreslatines (offices liturgiques) du Père Eudes, 633-638 ; la « Messe de feu », 637 ; sa plus grandegloire est d’avoir inauguré le culte public duSacré-Cœur, 628 ; bérullisme foncier, 640 sq. ;doctrine spirituelle, toute bérullienne, dans sonRoyaume de Jésus, 641 sq. : sa définition du« cœur », 648, 649 : ce qu’il entend par « cœur »,650 ; le cœur-personne et le cœur-amour ;oscillations du Père Eudes entre ces deux

237

conceptions, 651 sq. ; doctrine bérullienne deJésus vivant en nous, 663, 664 ; sa dévotion auSacré-Cœur et la dévotion bérullienne au Verbeincarné, 665 sq. ; le théocentrisme de la dévotioneudistique, 667 682. – IV, 29, 32, 33, 205, 279 ;interdit de porter en chaire les questionscontroversées (jansénisme), 309 ; 580. - V, 5, 82.– VII, 264. – IX, 248, 250. – X, 200.

Le Royaume de Jésus III, 137 ; Veni, Domine Jesu,140 : 625, 633, 640 ; ce livre fut publié sousl’inspiration directe des maîtres oratoriens, 641 ;666, 667.

Vie de Jésus dans les âmes, III, 218.Mémorial, III, deux années de repos obligé le

forment à une vie spirituelle intense, 602 ; projetde fondation des Eudistes, 626.

Le Cœur admirable de la Très Sainte Mère de Dieu,III, 633, 650 ; le Cœur de Jésus est le principe dela vie de tous les enfants de Dieu, 666.

L’Enfance admirable de la Très Sainte Mère deDieu, III, silence admirable de la Très Sainte Mèrede Dieu dans sa sainte enfance, 97.

Office du Cœur de Jesus, III, 636.Office du saint nom de Marie, III, 634.Office du divin Sacerdoce, III, 634 ; Salvete, mundi

sidera, III, 635.Le bon confesseur, IV, 30.La manière de bien servir la sainte Messe, VI, 220,

235, 242, 245, 248, 347. v. Lebrun, Boulay, Joly,Angot des Rotours, Batterel, Bainvel Pie X.

238

EUGÉNIE (Mère), visitandine. – IV, 238.EUGÉNIE DE SAINT-AUGUSTIN Jeanne

Gautier), carmélite. – VI, 432-434 ; tentationspendant son noviciat, 433 ; ses mortifications,434 ; attirée à l’oraison mystique ; un de sessupérieurs lui défend la lecture de saint Jean de laCroix et de Bernières, 434.

Le chemin sûr de la perfection chrétienne découvertsur la Croit par la sœur Eugénie de Saint-Augustincarmélite déchaussée de la ville de Cavaillon (Anonyme),VI, 432-434.

EUPHÉMIE (Sœur), religieuse deMaubuisson. – XI, 121 sq. v. Louis Quinet.

EUPHROSINE (Sœur). - IV, 194.EUSTACHE DE SAINT-PAUL (Asseline –

II, 106 ; IV, 30, 182. - XI, 341.La vie du R P. Eustache de Saint-Paul, par

Antoine de Saint-Pierre, donne une idée très nettede l'activité intellectuelle dans la Sorbonne audébut du XVIIe siècle, I, 222 ; E. de Saint Paulsoumet à François de Sales une Somme de théologie,223, 224, 250, 251, 254. – II, 5 Henri III établit àParis un monastère de feuillants, 8, 9 ; E. deSaint-Paul enjoint à Marguerite d’Arbouze de lireles Pères, 489.

Adresse spirituelle, IX, 130.EUSTOCHIE (Sœur), religieuse de Port-

Royal, fille de Mme de Brégis – Modèle de foi et depatience dans toutes les traverses de la vie et dans lesgrandes persécutions ou vie de la Mère Marie des Auges,

239

abbesse de Maubuisson et de Port-Royal. XI, 115 ; domBénin et l’histoire des trois Maries, 116, 117 ; surdom Louis Quinet, 117 ; inquiétudes etcontradictions sous le gouvernement de Mère[94] Marie des Anges, 119 ; sur dom Quinet et sapropagande mystique à Maubuisson, 119 ; lespères de Cîteaux interdisent à Mère Marie desAnges de prendre des confesseurs n’appartenantpas à leur ordre, 124 ; 134 ; Madeleine de Flers etsœur Candide, 134 sq. ; doctrine attribuée d’aprèssœur Candide à Madeleine de Flers, 137 sq. ;tentations d’une sœur de Maubuisson (Candide ?)dues à la doctrine malfaisante de Madeleine deFlers, 139-142 ; les Pères de Cîteaux convaincusde l’innocence de Madeleine de Flers, 145, 146 ;Mère Marie des Anges obtient de faire sortir deMaubuisson Madeleine de Flers et les autresaugustines, 146, 147 ; Saint-Cyran appelé àMaubuisson pour réparer le mal causé par lesilluminées (Madeleine de Flers et ses compagnes),147.

ÉVANGILES (SAINTS). – III, saint Ignaces'attache de préférence aux synoptiques, lesbérulliens à saint Jean 264.

Nouveau Testament de Mons, IV, 15, 371,372…

Exercices de piété à l'usage des religieuses de Port-Royal du Saint- Sacrement ; d’après ce livre lesreligieuses de Port-Royal communiaientfréquemment, IX, 57.

240

EXORCISMES – V, exorcismes publics etles dangers qu’ils présentent, 184 ; les exorcistes(à Loudun) au service de l’État et non de l'Église,185 sq. ; évolution moderne et regrettable del’exorcisme, 186, 187 ; exorcismes publics réputésmoyen de conversion 189 sq. ; possessionsprolongées par leur publicité, 190 ; oubli duRituel, 190 ; le public admis à conférer avec lesdémons, 191 ; Loudun et les possessionsdiaboliques au XVIIe siècle, 397-400. v. saintVincent de Paul, Amelote, Condren, Père Surin,Jeanne des Anges, Jean Dubourg, Poulain.

F

FABER (P.), de l’Oratoire. – III, de laméthode spirituelle des jésuites, 112, 113 ; 116,117, 570. – IX, 266, 272, 372.

Progrès de l’âme, III, de la méthode oratorienned’oraison, 153.

Spiritual Conférences ; Preparation for death, IX,critique les représentations dramatiques enmatière de préparation à la mort, 369.

FABERT (maréchal). – III, 237.FABRE – La jeunesse de Fléchier VII, 167 ;

fragment d’une lettre de Fléchier sur les œuvresde son oncle, le Père H. Audiffret, 171, 172.

FABRE (Ferdinand). – VI, 241.FABRI (Sixte), général des Dominicains. –

VIII, examine les prétendus stigmates de Mariede la Visitation, 207.

241

FAGES (P.), o. p. – V, éd. des Œuvres desaint Vincent Ferrier, 65.

Histoire de saint Vincent Ferrier, V, 129.FAGNIEZ. – VIII, 219. – XI, 88, 105 ; sur

les illuminés de Picardie, 108 sq.Le Père Joseph et Richelieu, II, 169.FAGUET (Émile). – I, 341.FAILLON, s. s. – Vie de M. Olier, II, 38, 40,

47, 54, 64 ; ses rapports avec Marie de Valence etAgnès de Langeac, 38 : 40 ; il aide de ses deniersMarie de Valence, 47 ; le tableau déshonnête, 54 ;l’évêque de Valence désapprouve la Vie de Mariede Valence par L. La Rivière, 64. – III, 174, 177 ;Condren et Saint-Cyran, 329 ; vénération de [95]saint Vincent de Paul pour Condren, 336 ; 420,421 ; épreuves extraordinaires de M. Olier, 431,438-440, 443-445 ; conférences de Condren, 435,436 ; Olier et la doctrine de Condren, 452-455 ; ilfait graver, d'après ses instructions, des imagesemblématiques, 475 ; direction élevée etbienfaisante, 487 ; adhérence à l’anéantissementdu Verbe, 490, 491 ; dévotion eucharistique, 492,493 ; 496, 547, 636.

Vie intérieure de la Très Sainte Vierge (tirée parM. Faillon) des inédits de M. Olier, III, 494.

FALCONI (Jean). – IV, 486, 494, 495. – XI,55.

FAREMOUTIERS (abbaye de). – II, 395,406.

242

FARGES (Sœur de), visitandine, a écrit avecla sœur Verchère, la vie de sainte Marguerite-Marie Alacoque. – VI, 400.

FARTLEY, pasteur. – IX, 302 ; Le Bouquetd'Éden : Prière pour la femme en travail d’enfant,306, 307.

FAUGÈRE (P.). – Éditeur des lettres de laMère Agnès Arnauld, IV, 177.

FAURE (P.), réformateur des Génovéfains. –II, 5.

FAURE (P. Charles). – Vie du R. P. CharlesFaure, abbé de Sainte-Geneviève de Paris (Lallemand etChantonnet), II, 6.

FAVRE (Mère), visitandine. – II, 584.FAVRE (Antoine). – X, 6.FAVRE (Président). – Entretiens spirituels, I,

Aimez, mais Dieu seul, 381 ; il faut que nos désirsaiment tout ce qu'Il veut, 382.

FAYET. – Examen des « Institutions liturgiques »,X, définition de la prière mentale et de la prièrevocale, 3.

FAYOLLE (Nicolas de La). – Génie deTertullien, I, 226.

FEDON (Renée), du Tiers Ordre de laSainte-Trinité. – VI, 431, 432 ; son oraison, 432 ;sur la vanité des louanges, 432.

Abrégé de la première partie de la vie de la sœurRenée Fedon, par un religieux du même ordre(Anonyme), VI, 431.

243

La vie de la sœur Renée, par un religieux del’Ordre de la Sainte- Trinité, VI, 431.

FEILLET. – La misère au temps de la Fronde, I,prédominance, au XVIIe siècle, dans larégénération du catholicisme français, del’élément agissant et social sur l'élément ascétiqueet solitaire, XVIII ; 368. – IX, 335.

FELLER (François-Xavier de). – X, sesinsinuations contre l'orthodoxie de Letourneux,47.

FELLON (Thomas-Bernard), éd. duCatéchisme spirituel du Père Surin. – V, 149, 270 ;avertissement du Cathéchisme spirituel : del’indolence des faux mystiques, 282, 283.

FÉNELON. – I, 4 ; Camus et le pur amour,182, 183 ; mot de Fénelon sur Molière, 192 ; ildemande des livres de Camus, 186 ; 382, 511. –II, se fier aux lumières des humbles, 40, 41 ; a l'aird'isoler l’amour pur de la piété commune, 110 ;122, 183 ; contemporain de Mme Acarie, n’auraitpas écrit les Maximes des Saints, 262 ; 350, 444 ;l’Église en condamnant ce livre n’a pas condamnéle pur amour, 397. – III, 26, 65, 152, 479, 487,502, 503, 553, 556, 557. – IV, 29, 48, 160, 197,208, 209, 231, 322, 426, 430, 483, 487, 566. – V,62, 294, 308. – VI, 12, 230, 234 ; son erreur fut demépriser l'acte d'espérance, 238 ; 240, 264-266,275, 277, 296 ; cite dans ses défenses le FrèreLaurent, 393, 394 ; 441, 446. – VII, 19, 23, 26, 86,97, 186, 196, 228. – VIII, 74, 165, 288, 318, 331,

244

339, 356, 357. – IX, 44, 101, 117, 186, 204, 272,298, 328, 339, 342, 358, 369. – X, 50 ; [96] aimaitSanteul, 153 ; Litanies de son Manuel de Piété, 196,197 ; 204, 205, 236, 239, 252, 283, 292, 298. – XI,5, 10, 17, 18, 37, 47, 54, 88, 95, 101, 184, 186,205, 212, 213, 215, 230, 232, 237, 254, 275, 277,280 ; Lettre à Bossuet sur les instructionsdonnées par celui-ci au Dauphin à propos del'amour de Dieu, 281 ; 282, 283, 313, 320, 321,330, 332, 411 ; un moment de recueillement,d’amour et de présence de Dieu fait plus voir etentendre la vérité que tous les raisonnements deshommes, 422, 423 ; 424. – S., 111.

Lettre à l'Académie, I, parfait manueld'humanisme, 9, 177. – X, 39.

Télémaque, I, 179. – VII, 187.Traité de l’Existence de Dieu, III, 26.Articles d'Issy, III, 333.Maximes des Saints, III, 501. – IV, 232, 262. –

V, F. s'y montre moins catégorique que le PèreSurin sur le pur amour, 287. – VI, 237, 432. –VII, 259. – VIII, 79, 130. - XI, 55. 56, 184.

Lettres, IV, 323.Œuvres, IV, 232. – IX, exhorte un

gentilhomme à la communion fréquente, 124 ; deceux qui peuvent et doivent communier, 125 ;(lettre) sur le fréquent usage des sacrements, « pourvuque le laïque vive en bon laïque, il peut et doitcommunier tous les jours », 126, 127 ; « aux âmessaintes appartient le pain quotidien », 127 ; sa

245

lettre sur le fréquent usage, charte de la communionfréquente ; rééditée à 100.000 exemplaires par Mgr

Dupanloup, 127 ; du désir de la mort, 377. – XI,Camus attaqué sur les mêmes raisons alléguéescontre F., 185 ; Camus et le pur amour, 278 ; de lacontrition parfaite, 305 ; de l'attrition et del'amour naissant, 323 ; la passiveté n'est pas uneentière inaction de la volonté, 349 : Fénelon n’ajamais cru que, dans l'oraison de quiétude, l'âmefut entièrement inactive, 352 ; l'action de Dieu etl’impuissance de l’âme, 360 ; dans la quiétude, lefidèle n'est conduit que par la lumière de la simplerévélation et de l'autorité, 384.

L'Éducation des Filles, VI, 13. – IX, montreraux enfants les fonts baptismaux, 39 ; du mariagechrétien, 290 ; de l'éducation religieuse dès lepremier âge, 325, 326 ; faire connaître, auxenfants les « belles histoires » des deuxTestaments, 327.

Dialogues sur l’Éloquence, VIII, 316.Manuel de Piété, IX, assister à la Sainte Messe

sans y participer, c'est manquer à suivrel’institution de ce sacrement, 127.

Méditation pour le jour de l’Assomption :Marie modèle de l'adoration en esprit et en vérité(Manuel de Piété), IX, 273.

Sermon pour le jour de l'Assomption, IX, 273.Entretien sur la rie religieuse, IX, des tribulations

du mariage, 320, 321.

246

Notes pour un sermon sur la Confession, XI, dudegré d'amour nécessaire pour la pénitence, 310-312. v. Phelippeaux, Henri Bremond.

FENOUILLET, évêque de Montpellier. – II,142.

FÉRAUD (Louis). – Progrès de l'âme chrétiennedans les progrès de la vie intérieure, X, préparationindispensable pour l'oraison où Dieu agit commeil le veut, 328.

FÉRET. – L'abbaye de Sainte-Geneviève, II, 6.La Faculté de théologie de Paris, III, 284. – VI,

sur Collet, 241. – IX, 50. – XI, 123.FÉRON (Alex.). – La Vie et les œuvres de Ch.

Maignart de Bernières (1616-1662). L’Organisation del'Assistance publique à [97] l'époque de la Fronde, IX,des communions fréquentes de Ch. Maignart deBernières et de Mme de Longueville, 58, 59 ; lettrede la Mère Angélique Arnauld à Françoise deBernières, 226, 227 ; 236.

Le Dr Pierre Maignart : une controverse médicale auXVIIe siècle, XI, 158.

FERRAIGE (Jacques). – La Vie admirable dela Bienheureuse Mère Marguerite d'Arbouze, I, 254. –II, 486, directeur ordinaire de Marg. d'Arbouze,487 ; qualités et défauts de l’œuvre de Ferraige,493-496 ; les mystiques parisiens et le parloir duVal-de-Grâce, 505, 506 ; l'esprit œcuménique deMarg. d’Arbouze, 508-510 ; voyage de Marg.d'Arbouze à La Charité-sur-Loire, 513-515 ;conférences mystiques. Les fleurs dans le

247

carrosse, 515-521 ; Marg. d'Arbouze et l'abbaye deCharenton-enTBourbonnais, 523-525 ; maladie etmort de Marg. d'Arbouze, 526-528 ; 530 ; lettrede dont Athanase de Mousin à Ferraige sur Marg.d'Arbouze, 531, 532, 534.

FERRAND (Germain). – VI, 181.FERRERI, hymnographe. – X, 68. v.

Battifol.FERRIER (abbé du). – Mémoires, XI, 150 :

sur Madeleine de Flers, 151 sq.FERRIER (Jean du), toulousain. – III, 422,

435. – VI, 442. v. G. Doublet.FERRIÈRES (Jean de), curé de Saint-

Nicolas-des-Champs. – Thrésor des prières, oraisons,et instructions chrétiennes pour invoquer Dieu en touttemps, IX, ne contient pas une seule prière àréciter pendant la Messe, 196 ; Calendrier historial,288 ; 301 ; oraison pour dire quand une femmeenceinte est en travail d’enfant, 302, 303. – X,168 ; paraphrase sur le Libera, 168, 169 ; contientle Calendrier hystorial, 228-231 ; plusieurs desprières du Thrésor viennent d’Érasme, 231 ;Oraison de celui qui se veut mettre sur mer (Érasme),231, 232 ; Oraison de celle qui se veut marier, 233,234 : pour la paix de l’Église, 234, 235 ; pour tonsrois, princes et pasteurs de l'Église, 235 ; pour lesincrédules, les égarés, 235 ; pour les malheurspublics, 235 ; esprit œcuménique et désintéresséde ces formules, 236 ; confession générale que

248

les fidèles font des péchés, 237, 238 ; 241, 244,288.

FESTUGIÈRE (dont), bénédictin. – X, 219.– S., 41. – La liturgie catholique, essai de synthèse, III,de l'id quod volo des Exercices, 114.

FEUGÈRE. – Bourdaloue. sa prédication et sontemps, VIII, 320.

FEUILLANTS. – II, Jean de La Barrière(Bernard), 7 ; fonde la congrégation de Notre-Dame-des-Feuillants, 8 ; Henri III établit à Parisun monastère de Feuillants, 9.

FEUILLET, chanoine de Saint-Cloud. –Histoire abrégée de la conversion de M. Chanteau, IV,302.

FÈVRE (Nicolas Le). v. Le Fèvre.FEYDEAU (Mathieu), curé de Vitry. – IV,

302.Mémoires de M. Feydeau (publiés par Jovy), IX,

sur Mme Maton, 57, 58 ; sur la premièrecommunion, 226 ; dit qu’un grand nombre depersonnes suivaient le prêtre dans la chambre desmourants, 354 ; la mort de Mme de Tourotte, 379,380. – X, Mme Maton aimait à se tenir au pas del'église, 346. – XI, 175 ; rapports de Feydeau avecune ancienne pénitente de Jean Labadie, 175, 176.v. Jovy.

FIACRE (Frère). – III, 547.FIANT (M.), confesseur du couvent du Val-

de-Grâce. – II, accompagne Marguerite

249

d’Arbouze aux premières étapes de son voyage àLa Charité-sur-Loire, 514, 515. [98]

4p8 INDEX ALPHABETIQUEFICHET (P.). – Histoire de sainte Chantal, I,

l’auteur y a inséré « les Saintes reliques de l'Erothée »,320.

FICIN (Marsile). – I, 4. – II, 329.FILASSIER (Marius). – IX, 360.FILCH (Guillaume). v. Benoît de Canfeld.FILÈRE (Alexandre). – Discours poétique à

messieurs de la religion prétendue réformée, I, 197, 198.FILÈRE (P. Joseph), s. j. – La sage Abigaïl, I,

la chaussure magnifique des patins royaux, 323.FILLEAU, avocat poitevin. – I, ses

révélations sur le complot de Bourgfontaine, 158.FILLES DE LA CROIX. – V, 312. – XI,

103 ; leur fondation, 106 ; persécutions etcalomnies, 107. v. Corblet, de Salinis.

FILLES DE L’INTÉRIEUR DE LASAINTE VIERGE (Communauté des) – V, 166.v. Olier.

FILLES DE LA PROVIDENCE. – V, 352,379. v. Louise du Néant.

FILLES RELIGIEUSES DE LAMISÉRICORDE DE JÉSUS. – III, 558.

FINE POINTE (la). – VII, 49, 50, 93 ; pasde discours dans la fine pointe, pas d’images, pasde sentiments, 77 ; ce qu’est son activité. 95 ;n’est le siège d’aucun plaisir, 103 ; Ch. III, in

250

toto : de la fine pointe aux « états », 131 sq. ;nécessité de certaines consignes pratiques pour...libérer la véritable activité de la prière, 347, 348. –VIII, son activité surnaturelle, 142 sq. ; 393. v.François de Sales, Séguenot.

FITZ-JAMES, évêque de Soissons. –Ordonnance et Instruction pastorale de Mgr l'Évêque deSoissons (condamnation du livre du P. Pichon, v.ce nom), IX, exhortation à la communionfréquente, 228, 229.

FLACHAIRE (Charles) – La dévotion à laVierge dans la littérature catholique au commencement duXVIIe siècle, III, M. de Bérulle et la dévotion à laSainte Vierge, 89, 94 ; sur M. Olier, 421. – VI,266. – IX, 248, 249 ; des jésuites et de la formequ’aurait revêtue chez eux la dévotion à la Vierge,250 ; Bossuet et la dévotion à la Vierge, 251 ; 254,263, 267, 269, 273, 277, 279.

Un discours inédit du Père Garasse (MélangesLanson), VI, sur Jeanne Guichard. abbesse de laTrinité de Poitiers, 519.

FLAUBERT (Gustave). – IV, 19.FLAVIE (Sœur). – IV, 239. – VI, 479. v.

Mère Agnès.FLÉCHIER (Esprit). – I, le sermon bouffon

de Haute-Bruyère, 321. – VII, 166 : sa jeunesse,170 ; 177, 187. – VIII, 31. – XI, 73. v. Fabre.

FLERS (Madeleine de), religieuse augustine.– XI, 107 ; 114-156 ; ses extases ; lévitation ; elleentre à Maubuisson, 130, 131 ; 132, 133, 134 ; ses

251

conversations au parloir avec Mère Marie desAnges et d’autres religieuses, 135, 136 ; 139, 141 ;son credo secret, 142 ; 144, 145, 148, 149, 156,164, 170. v. Jean Racine, Sœur Eustochie, SœurCandide, abbé du Ferrier.

FLEURY (Claude). – La vie de Marguerited’Arbouze, II, Marguerite d’Arbouze apprendl'italien et l'espagnol pour lire les livres spirituelsécrits dans ces deux langues, 410 ; a modéré chezses filles le goût de la direction, 492 ; Fleury, enlui empruntant, a gardé tout l’exquis de Ferraige,494 : le style Fleury-Ferraige, 495 ; Marguerited’Arbouze et Anne d'Autriche, 496 ; naissance etjeunesse, 496, 497 ; ses démêlés avec Marie deBeauvillier, 498 sq. ; elle est nommée abbesse duVal-de-Grâce, 501 ; prompte réforme, 502 ;l'abbaye est transférée faubourg Saint-Jacques,503, 504 ; [99] Marguerite d’Arbouze et sa belleculture, 510 : elle va créer un nouveau monastèreà La Charité-sur-Loire, 512 ; la dévotion del’esclavage, 521, 522 ; Marguerite d’Arbouze partpour Charenton-en-Bourbonuais, 523, 524 ; domRobert Mauvielle et les reliques de Marguerited'Arbouze, 530 ; un miracle de Marguerited'Arbouze, 531 ; douleur d’Anne d'Autriche à lamort de Marguerite d'Arbouze, 532 ; exil de laMère de Saint-Etienne, 533 ; Anne d'Autriche etMarie de Birges, 534, 535. – X, 245.

252

Grand Catéchisme historique (Préface), IX, lesmeilleurs catéchistes sont les parents, 324 ; 326 ;l’enfance et les Livres saints, 327.

Devoirs des Maîtres et des Domestiques, contientun Abrégé de l'Histoire sainte à l'usage desdomestiques, IX, 329.

FLINES (abbaye de). – II, scènes de laréforme de cette abbaye, 403, 404.

FLŒUR (P. Pierre), de l’Oratoire. –L’adorateur de l'Enfant-Jésus, III, de l'enfance deshommes et de celle de l'Homme-Dieu, 523 ; 531.

Adoration du Très Saint Sacrement, IX, contient ;la « Pratique des vœux du Baptême aux pieds deJésus-Christ humilié dans le Saint Sacrement »,37 ; de l’oblation à Dieu que les enfants doiventfaire devant le Saint Sacrement, 322, 324.

FLORIOT. – IX, sur l'Eucharistie et lacommunion, cité par Bibliothèque janséniste), 49 ; 72.

Morale chrétienne (Morale du Pater), IX, lacommunion fréquente déconseillée à ceux quisont pris par le travail cl les affaires, 63 ; sur laFréquente communion, 63 ; encouragement à lacommunion fréquente, 63, 64.

FOI (sainte). – I, 241. v. Germain Cortade.FOINARD (Frédéric). – Projet d'un nouveau

bréviaire, X. 213, 214.FOIX (abbé de). – III, 422.FOIX (Françoise de), abbesse de Saintes – II,

395 ; sa douce et profonde piété, 397 ; sonhumilité souriante, 398 ; était apparentée aux

253

familles royales de France et d’Angleterre, 413 ; saréforme de l'abbaye de Saintes, 423, 424. – IV,218.

Mère J. de Blémur, filage de Madame Françoisede Foix, abbesse de Saintes, II, 397.

FOLARD (chanoine). – VI, lettre à domVincent Thuillier, de Saint-Maur, sur les vieilleschroniques, 199.

FONSECA. – Traité de l'amour de Dieu, I,coutre les séductions féminines, 361, 362 ;l’amour de la beauté humaine, 379. v. Maillard(Nicolas).

FONTAINE (François de), pseudonyme duPère Etienne Binet – I, 131.

FONTAINE, confesseur de Mme Acarie. – II,il assiste avec M. Duval à sa dernière extase, 232,233.

FONTAINE, janséniste. – VI, sonarrestation, 499. – Mémoires pour servir à l'histoire dePort-Royal. – IV, 12, 58 ; les conférences de Saint-Cyran, 59 ; Saint-Cyran à Port-Royal, 61 ; domJouault et Saint-Cyran, 90, 91 ; la Mère Angéliqueet sa défense de l'autorité épiscopale, 113 ;l’érudition de Saint-Cyran, 125 ; Saint-Cyran et lacommunion fréquente, 141, 142 ; sa direction,158 ; 167 ; sur la Mère Agnès, 182 ; la petiteMadelon, 187 ; Mère Agnès et M. Lemaître, 195 ;omission de la communion pascale, 215 ; lettre deMarie-Claire Arnauld sur son oraison, 242, 243 ;les larmes de M. de Saci, 247 ; 248, 258. – VI,

254

499. – X, a traduit le Paradisus animæ de Horstius,192. v. Chaudon.

FONTAINE (V. M. Louise-Eugénie de). –La Vie de la V. M. Louise-Eugénie de Fontaine, parJacqueline Marie du Plessis (Mme Bonneau),visitandine, X, aimait et [100] chantait lesPsaumes mis en vers par le Père Le Breton, 174.

FONTAINES (Mme de). – II, 324.FONTAINES-MARAN (Antoine du Bois,

seigneur de), père de Madeleine de Saint-Joseph.– II, 200, 323.

FONTAINES-MARAN (Mlle de). – v.Madeleine de Saint-Joseph.

FONTANGES (Mme de). – IX, 352.FONTENELLE. – IV, 470. – VI, 8. – X, 87,

173. – XI, 111.Éloge de Leibniz, III, 393.Éloges (éd. Fr. Bouiller), IX, sur la mort de

Carré, 335, 336 ; sur M. de Montmort, 355.FONTEVRAULT (abbaye de). – V, 142. –

VI, 402.FONTEVRAULT (Ordre de). – II, 187, 436.FORESTA-COLLONGUE (de), vicaire

général de Marseille, puis évêque d’Apt. – VI,422.

FORGET DE FRESNE (Pierre). – II, 445.FORTUNAT. – IV, son hymne Salve festa

dies, 401, 402. – X, 80 ; se proclamait gourmand,151. v. Ulysse Chevalier.

255

FOSSÉ (Pierre Thomas, sieur du). – IV, 20,140, 246, 268, 271, 298. – X, 43.

Mémoires de Pierre Thomas, sieur du Fossé, IV, lesleçons de M. Le Maître, 11 ; 25, 63, 238, 248,249 ; sur M. de Tillemont, 258 ; la mort de M. deTillemont, 268. – VI, sur Le Mettayer, 242 ;l’arrestation des jansénistes, 498, 499. – IX, 224 ;cérémonie du renouvellement de la Sainte Hostiedans la suspension (tabernacle), 239. – X, sur Mme

de Sévigné et ses éloges de Letourneux, 50 ; celivre contient des prières, 293.

FOSSEYEUX (Marcel). – Les solitaires del'Oratoire (Revue des Études historiques), III, 157.

FOSSILLON, curé de Saint-Nicolas. – VI,248.

FOUCAULT (P.), de l'Oratoire. – Le pain cuitsous la cendre..., III, 217, 218.

FOUCHÉ. – III, 185.FOUILLOT (P.). – III, 683.FOUQUERAY (P. H.), s. j. – Histoire de la

Compagnie de Jésus, I, 47. – II, 13, 101. – IX, 47,49 : Règlement (du P. Maggio) pour l’assistancedes élèves des jésuites à la messe, 183. – XI, 187,221, 222.

FOUQUET (Mgr), évêque de Bayonne. – III,241. – IV, 71.

FOUR (Sœur Marguerite du). – II, 513.FOURNEAUX (Mme de). – VI, 243, 245,

249.FOURRIER-BONNARD. – X, 64.

256

Histoire de l'abbaye royale de Saint-Victor de Paris,II, renouveau des Victorins de 1550 à 1600, 2. –X, 64. 95 ; lettre de Santeul au Père Gourreau,153.

FOX. – X, ennemi des formules liturgiques,341.

FRAIN DU TREMBLAY. – Traité de lavocation chrétienne des enfants, IX, ce qui faitl’impureté de l’âme, 299 ; 318.

Conversations morales sur les Jeux ellesDivertissements, IX, sur l’éducation religieuse dès leplus jeune âge, 324, 325.

FRANCE (Anatole). – Thaïs, IV, 16.FRANCHEVILLE (Catherine de),

organisatrice des Retraites de femmes. – V, 109,139, 145. v. P. Debuchy.

FRANCISCAINS. – II, la traditionséraphique, 135 ; arrivée des franciscains enFrance, 140. – VII, le Père de Lagny et lepanmysticisme franciscain, 266-278. V. P. Joseph.

FRANÇOIS (Claude). – II, 2.FRANÇOIS D’ASSISE (saint). – II, 168 ;

François d’Assise et saint Benoît, 189. – III, 90,516, [101] 517, 531, 540. – IV. 27, 392. – VIII,202. – XI, 15.

FRANÇOIS DE BORGIA (saint), marquisde Lombay, duc de Gandie, s. j. – VIII, 29, 187,201 ; ses rapports avec le Frère Juan de Texeda,203, 204 ; 208, 210, 211, 213, 214. lettre à saintIgnace relative aux Pères Oviedo et Onfroy, 215,

257

216, 217 : fut toujours persuadé de l’innocence deCarranza, 220 ; lettre au Père Cordeses surl'oraison qu'il enseignait, autre que l'ignatienne,232, 233. – IX, son programme pour lacommunion hebdomadaire, 95. v. Suau.

FRANÇOIS DE PAULE (saint), ami de lafamille Guyard. – VI, 11.

FRANÇOIS DE SAINT-BERNARD (dom),feuillant, confesseur de Marie de l'Incarnation(Mme Martin). – VI, 20, 22.

FRANÇOIS DE SALES (saint). – I, 68-127 ;François de Sales, la Renaissance et l'Humanismedévot, 70, 71 ; il a mis toute la Renaissancechrétienne à la portée des plus humbles, 72 ; élèveappliqué des bons Pères, 72 ; écrit un latin joli,maniéré, sémillant, précieux, qui l’a conduit aufrançais de ses chefs-d’œuvre, 72 : charmephysique, 73 ; simplicité, complexité, 74 ;cordialité et faiblesse, 75 sq. ; sensibilité pieuse,77, 78 ; contemplation des saints mystères, 79,80 ; indépendance de cœur, 81, 83 ; activité etsouplesse d'assimilation, 83, 84 ; scrupules de sajeunesse, 85 ; son gouverneur, M. Déage, 85, 86 ;la grande tentation, déposition de sainte Chantal,86 sq. ; la Vierge noire de saint Etienne-des-Grès,86, 91 ; complications théologiques de la crise,88 ; François de Sales rédige une protestation deconfiance, 89, 90 ; adieux au thomisme, 90, 91 ;son séjour à Paris ; importance de ce séjour dansle développement du saint, 92 sq. ; Mme de Boisy,

258

mère de saint François de Sales, 93 ; relations dusaint avec Henri IV, 93 ; il prend le ton des lettrésde Paris, 95 ; retour aux classiques, 95 ; Françoisde Sales et les mystiques parisiens, 96 ;effacement et observation, 97 ; épanouissementfinal et premières lettres de direction, 98 sq. ;exigences de sa direction ; sa méthode ne paraitaccommodante qu’aux profanes, 104 sq. ; mort del’amour-propre ; le sacrifice de Jeanne de Chantal,107 ; mot de M. Olier sur François de Sales, 107 ;la douceur de son esprit est-elle purement desurface ? 107 sq. ; il fait la guerre à toutes lesformes de l’inquiétude, 111 sq. ; les diversions,l’esprit de joie, 114 ; François de Sales théologienet philosophe, 115 ; la pensée salésienne et sescaractères, 115 ; fondement dogmatique etexpérimental de son optimisme, 115 sq. ; il aforgé les armes les plus sûres contre lepessimisme janséniste, 117 sq. ; talismans contrel’obsession pessimiste, 120-122 : François de Saleset les moralistes du grand siècle, 123 ; les deux« moi » ; croire à l’amour, 123, 124 ; unité etsolidité du système salésien ; 126 sq. ; François deSales et la civilisation catholique, 126, 127 ;influence de saint François de Sales, 128 sq. ; lesderniers livres du Traité de l'Amour de Dieu sont lacharte du haut mysticisme français pendant leXVIIe siècle, 127 ; 129, 138, 144, 147 ; un desmeilleure panégyriques de François de Sales, 148 ;v. Les Maîtres salésiens, 124-186 ; ami intime

259

de Jean-Pierre Camus, 151 ; François de Salescélèbre dans la Préface du Traité de l'Amour deDieu, l’ouvrage de J.-P. Camus : Parénétique del'Amour divin, 155 ; s’en tient, pour les poètesclassiques, à ses cahiers de collège, 190 ;appartient à la littérature universelle, 219 ; 222,223, 284 ; ouvrages allégoriques consacrés àFrançois de Sales, 321 ; 327, 329, 346. 358, 377,389, 390, 425 ; Traité de [102] l'Amour de Dieu,sublime mais accessible, 508 ; François de Sales a,pour les hautes spéculations, le même goût queles platoniciens de la Renaissance, 508 ; 510;l'autorité de François de Sales demeure ; elle nepassera pas, 512 ; 521, 523. – II, 47, 49, 133 ;permit aux visitandines la lecture de la Règle deperfection de Benoît de Canfeld, 157 ; 172, 178,181 ; son éloge de Mme Acarie, 235, 236 ; soninfini respect pour elle, 246 ; 261 ; François deSales consulté sur la fondation du Carmel enFrance, 283 ; le Carmel de Dijon a, par Mme deChantal, achevé l'initiation mystique de Françoisde Sales, 313, 314 ; 357, 377, 379, 419, 446 ; appuiet conseil de Marie de Beauvillier, 451 ; 518 ;François de Sales et Jeanne de Chantal, 536-584 ;importance capitale de François de Sales dansl’histoire de la mystique, 538 ; première entrevueavec Jeanne de Chantal, 543 ; il hésite à devenirson directeur, 546 ; 547 ; caractères de la directionde François de Sales, 548 ; lenteur et effacement,550 ; progrès mystiques de Mme de Chantal ;

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hésitations de François de Sales, 551-555 ; sadirection pacifiante et dépouillante, 555 ;l’initiation mystique de saint François de Sales,562 ; il déclare ses projets à Mme de Chantal, 565.– III, 3 ; ce qu’il a dit de Bérulle, 5 ; 15, 36, 39, 47,81, 152, 226, 231, 232, 249, 275, 446, 481, 487,506, 521, 555, 611, 644, 665, 667, 679. – IV, 20,25, 26, 27, 38, 43, 46, 48, 132, 133, 136, 141, 160,162, 167, 182, 183 ; ses relations avec Port-Royal,187, 188 ; 197, 198, 201, 209, 212, 224, 241, 253,254, 279, 302, 316, 320, 322, 327, 410, 411, 412,413, 421, 465, 469, 475, 492, 494, 496, 498, 523,526 ; « la contemplation n'est autre chose qu'uneamoureuse, simple et permanente attention del’esprit aux choses divines », 552 ; 558, 569. – V,64, 242. – VI, IV, 30, 78 ; sa tentation contre laprésence réelle, 88, 89 ; 269, 275, 290, 313, 315,381, 483. – VII, François de Sales et la primautéde la prière, Ch. I, 5-47 ; ardemmentthéocentriste, 16 ; 17, 19, 26, 27, 29, 30, 31, 34,36 ; son théocentrisme, 37-47 ; il s’affirme dèsl’Introduction à la vie dévote, 37 sq. ; le « culte dumoi » est constamment subordonné par Françoisde Sales à la prière, 41 ; philosophe au sensrigoureux du mot, 52 ; le Combat spirituel, son livrede prédilection, 52 ; genèse de la distinction entreles deux « moi » dans l’esprit de François de Sales,54 sq. ; lecture des mystiques ; expériencesd’Annecy ; l’âme de sainte Chantal, 55 ; leChantre sourd, 77-95 ; la prière de sainte Chantal,

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87 sq. ; François de Sales et Pierre de Bérulle ; dela « fine pointe » aux « états », 112-139 ; identitéfoncière de la philosophie salésienne et de labérullienne, 139 ; J.-P. Camus et le panmysticismesalésien, 140-162 ; n'a eu parmi les écrivainsspirituels de l'ancien régime qu’un petit nombrede disciples directs, 140 ; l'originalité de laphilosophie salésienne, 144-145 ; 187, 196, 200,251, 253, 254, 285, 331, 333, 348, 353, 359, 388,392, 393, 405, 407. – VIII, 7, 8, 24, 102, 111, 138,143, 193, 203, 222, 234, 238, 246, 261, 280, 327,328, 329, 336, 349, 353, 363, 371, 372, 373, 378,383, 390 ; ne semble pas avoir lu saint Jean de laCroix, 396 ; 397. – IX, 44, 50, 54, 61, 62, 67, 75,85, 102, 110, 111, 113, 118, 125, 126, 128, 130,132, 156, 201, 227, 269, 291, 294, 312, 342, 369,370. – X, François de Sales a-t-il méprisé la prièrevocale ? 6-11 ; demande à Antoine Favre desformules de prières à Notre-Seigneur crucifié, parSaldoz, 6 ; pour lui, et pour toute la tradition, iln’y a pas de prière vocale qui ne soit mentale, 8-11 ; 140 ; l’Étendard de la Sainte-Croix, le VexillaRegis, trad. en vers français par Théodulphe, 170,171 ; 204. [103] – XI, 4, 26, 47, 52, 53, de lacontemplation, 389 ; définition de lacontemplation, 395 ; 400. – S., méditer n’est pasprier, 6 ; 59, 120, 123, 129, 149, 185, 189, 194,196, 199, 200, 207, 212, 224, 232, 240, 253, 254,275, 318, 332 ; 28, 35, 48, 59, 71, 98 ; sur l'ordrede la Visitation, 102 ; 117, 120, 121, 122 ; de la

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manière charitable de regarder une action, 132 ;139, 148 ; méditer n'est pas prier, 153 ; 340, 341,354, 355, 359.

Introduction à la vie dévoie, I, 18, 19 ; les « petitsécrits » de François de Sales pour ses pénitentessont devenus, à peine retouchés, l’Introduction, 19 ;les rides de Philothée, 68 sq. ; sa gloire est d’avoirvieilli, de paraître vieillir, 69 ; hardiesse,nouveauté, importance de ce livre, 69, 70 ; ils’adresse à qui veut coûte que coûte, devenirparfait, 107 ; 108, 129, 173 ; la Dévotion aisée duPère Le Moyne, paraphrase de l’Introduction, 377 ;jugement de Sainte-Beuve, 387, 388 ; 391, 508,526. – II, la Visitation a été conçue par Françoisde Sales dans le même esprit que ce livre, 566 ;573, 577. – III, 47, 640. – IV, 26 ; traduite enbasque, 70 ; 302, 323, 347, 389. – VI, sur le malqu’on reçoit des gens de bien, 126, 127. – VII, 39,55 ; sur l’estime des consolations, 79 ; lesdouceurs sensibles sont des appâts pour nousattirer à l’amour de Dieu, 81 ; « sentir n’est pasconsentir », 81 ; c’est le consentement qui parfaitl’acte vertueux, 81 ; de la détresse d’aimer sanssavoir si l’on aime, 94 ; croire à l’amour que nousne sentons pas, 98 ; le brasier sous la cendre, 100 ;111. – VIII, 344. – IX, 48, 63 : la communionfréquente, 112 ; 130 ; le sacrifice de la Messe,centre de la religion chrétienne, 132 ; du mariagechrétien, 290 ; célébrer l’anniversaire de sonmariage, 330. – XI, III, 202.

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Traité de l'Amour de Dieu, I, 67, 72, 91, 95, 98,108 ; citation de la Préface, 115, 116 ; Dieu estDieu du cœur humain, 117 ; de l’inclinationnaturelle à aimer Dieu sur toutes choses, 117,118 ; cette inclination ne demeure pas pour néantdans nos cœurs, 118, 119 ; l'aube de l’amour divinchez un infidèle, 119 ; « la rédemption de Notre-Seigneur touchant nos misères, les rend plusutiles et aimables que n’eût jamais été l’innocenceoriginelle », 119, 120 ; 121 ; notre âme en tantqu'elle est raisonnable est le vrai temple du grandDieu, 124 ; 129, 151, 182, 508. – II, ce n'est paschose équitable que les âmes bien avancées soientprivées de viandes solides, 157 ; 183, 261, 262,551 ; quel besoin de se représenter en image celuide la présence duquel on jouit, 560 ; 564 ;François de Sales dit que son livre est une partiedes communications qu’il eut avec les premièresvisitandines, 572 ; 573 ; il recommande la lecturedu Traité aux gens du monde, aux hommes decour, 577 ; le Traité, ouvrage proprementmystique, s’adresse à tous, 577 sq. ; originalité,mais extrême prudence, 579 ; 581 ; son succès,581 ; adhésion unanime des spirituels, 581 ; écritpour sainte Chantal et d’après elle, 583 ; 584,590 ; « la connaissance, ayant produit l’amoursacré, l’amour passe outre et s’avance bien fort endeçà d’icelle », 596 ; 605, 606. – III, 47, 137, 182,631, 640. – IV, 385, 389, 496 ; du repos de l’âmerecueillie, 560. – VI, 322. – VII, 39 ; le désir de

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louer Dieu est insatiable, 40 ; la fin de l'oraison,nous unir à Dieu, 41 ; aimer les vertus d’abordparce que Dieu les aime, 42, 43 ; ne vouloir êtreparfait que pour plaire à Dieu, 43 ; pénitenceimparfaite où l’amour n'entre point, 44 ; oubli etdépouillement de soi, 45-47 ; 52 ; sur la volonté,53, 55 ; le saint des saints ; acquiescement de lafine pointe à la vérité, 56-58 ; l'amour cherche cequ’il a trouvé, 60 ; le don de charité, 60 : douceurdivine [104] engageant et liant la volonté, 61, puisla conduisant à la charité parfaite, 61, 62 ; s’unir àDieu qui nous est uni par avance et présent d'uneprésence active, 62, 63 ; il suffit à l’amour queDieu soit Dieu, 64 : l’obéissance sans autre loique l’amour, 64 ; ne plus souhaiter ni vouloir quele vouloir de Dieu, 64 ; l'acte de parfaitacquiescement possible, même aux commençants,66, 67 ; préférer Dieu sur toutes choses, 68 ;l’amour, maître des vertus, 68 ; esprit général etesprit particulier de toutes les religions (famillesreligieuses), 69 ; « la vraie extase de la volonté »,69 ; le Saint-Esprit fait nos œuvres en nous, parnous et pour nous, 70, 71 ; la volonté humaine« réduite et trépassée en la volonté de Dieu », 72,73 ; cet anéantissement de l’âme est volontaire,74, 75 ; l’âme écoulée en Dieu ne meurt pas, ellevit sans vivre en elle-même, 75, 76 ; le mont duCalvaire et l’amour, 77 ; sentiment de la présencede Dieu, non pas sensible, mais résidant en lacime de l’esprit, 78 ; celui qui aime ne pense pas à

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soi mais à la présence de celui qui le ravit, 80, 81 ;la volonté est la seule puissance que Dieu veut, lesautres courent après elle, 82 ; l’oraison, mannesecrète, tombe avant la clarté d’aucune science,82 ; si Dieu ne s’unissait à nous, jamais nous nenous unirions à Lui, 82, 83 ; de l’aide insensiblede Dieu, 83 ; du sentiment imperceptible de laprésence divine, 83, 84 ; oraison et théologiemystique, 84 ; danger des suavités, 84, 85 ; lesangoisses spirituelles... rendent l’amour... pur etnet, 85 ; disposition naturelle à l’amourcontemplatif, 85, 86 ; « privés de l'amour naturel,aspirez au surnaturel », 86, 87 ; le chantre sourd,89 sq. ; sur l’amour qui n’est appuyé d'aucunplaisir, 90-95 ; la volonté n'aime qu’en voulantaimer, 96 ; 98 ; de la vraie quiétude, 102 sq. ; lastatue, 106, 107 ; le divin amour, habitude activeet tendant au mouvement, 109 ; 111, 368. – VIII,de l’inclination naturelle à aimer Dieu, 24 ; 343,368 ; « la partie inférieure de l’âme prie », 374. –IX, compassion de Notre-Dame, 278, 279. – XI,abnégation totale de la volonté, 49, 50 ; 51, 195,206, 213 ; de la repentance, de la pénitence, de lacrainte et de l'amour (attrition et contrition), 297-300 ; de la pénitence religieuse et nonexclusivement morale, 323, 324 ; du recueillementvolontaire et de la quiétude donnée par Dieu seul,357 ; du sentiment de présence et de la quiétude,361 ; la convenance au bien n’est pas uneconvenance de la seule volonté, 370. – S., 29 ; la

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méditation se fait pour le bien et pour le mal, 66 ;182, 339, 359.

Entretiens, I, 77 ; pas de tendreté sur soi-même, 83 ; F. de S. imite pour devenir un saint,les attitudes d’un jeune condisciple, 85 ; 94, 108 ;suavité envers le prochain, 109 ; 110 : garder lapaix du cœur 112 ; remède au sentimentd’aversion contre le prochain, 114 ; le trouble quedéchaînent en nous les passions est inévitable,121 ; 129. – VII, 39 ; l'oraison nous unit à Dieu,41 ; Dieu glorifié, même dans nos imperfections,41 ; pourquoi tant s’empresser à la perfection desoi-même, 43 ; distinction entre les deux « moi »,51, 52 ; 69 ; de ceux qui ne font point dedifférence entre Dieu et le sentiment de Dieu, 78 ;du secret de la perfection, 95 ; peu savoir et fairebeaucoup, 96, 97 ; « les aversions sontinvolontaires », 97.

Lettres, I, 72, 73 ; à propos de la conversionde deux prêtres apostats, 73 ; horreur de l’hérésie,74 ; « je voudrais donner la prudence du serpent àla colombe », 74, 75 ; toute lutte de front lecontrarie, 76 ; le valet de chambre Roland, 77 ;« bien établir mon âme dans une constante paix »,77 ; « que cette nuit est douce ! (Noël) », 78 ;l'Enfant Jésus transi [105] et qui pleure, 78, 79 ;Madeleine au pied de la croix, 79 : deuxprocessions du Saint Sacrement, 79, 80 ; laconfession d'un jeune gentilhomme, 81 : unetentation, 83 ; le gai réveil, 84 ; 98 ; aux esprits

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nobles, mettre le fer en main afin qu’ils fassenteux-mêmes l’incision, 99 ; à une religieuse, 99 ;servir Dieu à l'humaine et selon son temps, 100,101 ; à Marie de Beauvillier, 102, 103 ; à Mme deChantal, 104, 105 ; 108 ; « Tâchez de remettrevotre esprit en posture de suavité », 109 ; « quiprêche avec amour, prêche assez contre leshérétiques », 110 ; « je ne veux point une dévotionfantasque... mais- une piété toute franche », 111 :a une certaine humilité joyeuse », 111 ; lesméditations sur les quatre fins doivent finir toutespar l'espérance, 112 ; pas de retours indéfinis surnous-mêmes, 112, 113 : contemplation desmystères : « il ne faut ni s’y amuser, ni la du toutmépriser », 113, 114 ; « réveillez souventes fois envous l'esprit de joie et de suavité », 115 : nosmisères ne nous doivent pas étonner, 121 ; ne pasdésirer sentir Dieu, ni nos propres vertus, 122 ; lebien que je veux, je ne le fais pas, mais... je le veuxd’une volonté inviolable, 124 ; je combats pourune bonne cause quand je défends la sainte etcharitable liberté, 125 ; agir dans les espritscomme les anges font, 125 ; il faut tout faire paramour et rien par force, 126 ; conseils sur le styleet la méthode de composition, 224. – II, 550,551 ; de la représentation imaginative del'humanité sacrée du Sauveur, 559, 560 ; il n'estpas bon de penser toujours rencontrer Dieu àl'imprévu, 561 ; François de Sales s'affectionne àl’oraison, 562 ; il ne veut pas, sans en savoir

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davantage, se départir de la méthode ordinaire,563 : première ébauche de la visitandine, 570 ; lemusicien aveugle, 583. – VI, billet à Mme deChantal sur Celse-Bénigne, 57. – VII, l’esprit etl'intérieur, le corps et son extérieur, 54 ; « quenous doit-il chaloir si nous sentons on ne sentonspas l'amour », 79 ; à sainte Chantal, son âme etson état (le chantre sourd), 89 ; le « petit filet debonne volonté », 98, 99 ; « cette bonne volontévit en moi, mais je suis mort pour elle », 99 :adhésion à la grâce, 99. – VIII, « d’examiner sivotre cœur lui plaît (à Dieu), il ne le faut pasfaire », 379. – IX, des communions retardées ousupprimées, 75, 76 ; mieux vaut ouïr la messe quede ne l’ouïr pas sous prétexte de continuerl’oraison chez soi, 133 ; avis pour l'assistance à lamesse, 136. – X, 317. – XI, à Mme de Chantal, surla lecture de livres de haute spiritualité (Brevecompendio, etc.), 50, 51. – S., mettons-nous enattente devant notre Soleil crucifié, 51 ; allersimplement à Dieu ; le vrai amour n’a guère deméthode, 54.

Directoire, VI, 132.Sermons, VII, sur la charité, 15 ; toutes les

choses sont créées pour l'oraison, 40. – S., lemouvement premier de la charité est de secomplaire au bien de celui qu'elle aime, 21.

L'Étendard, VII, adoration et volonté, 111. v.J.-P. Camos, Griselle, Boniface Constantin,

269

Pératé, Hamon, Hauteville, Sainte-Beuve, Baudry,Navatel, dom Mackey, P. Surin, Jacquinet.

FRANÇOIS (René). v. Binet.FRANÇOISE DE LACROIX (Mère),

institutrice des religieuses hospitalières de laCharité Notre-Dame. – V, 402. – XI, 164 ; quittel'hôpital de Louviers et entre à l'hôpital de la placeRoyale avec quelques religieuses, 167.

Vie de la Mère Françoise de la Croix, institutricedes religieuses hospitalières de la Charité-de-Notre-Dame(Anonyme), XI, 158 ; comparution de MèreFrançoise de la Croix devant l'officialité [106]parisienne et son acquittement » 168. v.possession de Louviers, Pin, Père Boulay, Mariede l'Incarnation.

FRANÇOISE DE LA MÈRE DE DIEU,carmélite. – VIII, 294.

Vie de la Mère Françoise de la Mère de Dieu,carmélite, publiée d'après un manuscritcontemporain, par l'abbé Abel Gaveau, VIII, 295,296 ; son bérullisme, 295.

FRANÇOISE DE LORRAINE. v. Mlle deMercœur.

FRANÇOIS RÉGIS (saint). – V, 82, 83 v.Vianey.

FRANÇOIS XAVIER (saint). – IV, 116. –XI, 258. – S., 106.

FRANQUEVILLE (de). – Office de la Sagesseéternelle, X, 210 ; oblation au saint Enfant Jésus,211.

270

FRANZELIN (cardinal), s. j. – III, 678.FRAYSSINOUS. – VI, 461.FRÉMYOT (André). – II, 544.FRÉMYOT (Bénigne), père de Jeanne

Frémyot de Chantal. – II, 538, 543, 556.FRÈRES DE LA VIE COMMUNE. – III,

27.FRÈRES MINEURS. – II, 175.FRÈRES MORAVES. – X, 208.FRESSENCOURT (P ). – V, a publié les

Lettres spirituelles du Père Lejeune, 67.FROGER, curé de Saint-Nicolas du

Chardonnet. – VII, approuve le manifeste duPère Noulleau contre les blasphémateurs, 237.

FROGET (Georges). – I, 222.FROMENTIÈRES. – III, 219.FROMOND (Dr). – IV, 105, 110, 211.FRONSAC (duchesse de), v. Caumont.FRUGES (G.-M. de). – J.-J. Olier, essai

d'histoire religieuse sur le XVIIe siècle, III, 421.FUMECHON (P. Barthélémy de), s j. – V,

initié par Rigoleuc à la vie intérieure, 80, 81.FUNCK-BRENTANO. – Le drame des

poisons, V, 157.FURSTEMBERG (prince Ferdinand de),

évêque de Munster. – X, 165.FURSY (P. de), de l’Oratoire. – X, 179-182. v

saint Magloire.FUSTEL DE COULANGES. – I, 221.

271

FUZET (Mgr). – Les Jansénistes du XVIIe s.français, IV, sur la soumission de Jansénius, 110.

G

GABOURY (Mère), bénédictine. – II, 533.GABRIEL. – I, 416.GAËTAN (saint) – I, 522. – VIII, 199. v.

Maulde de La Clavière, P. Orario Premoli.GAGLIARDI (P. Achille), s. j. –

commentateur des Exercices de saint Ignace, VIII,187 ; décrit et exalte l’oraison pratique, 262, 263 ;266. 268, 300. – IX. a écrit que saint Ignace disaità voix haute les paroles de la messe, 175. – XI, ch.I, 3-56 ; entre dans l’intimité d’Isabelle Bellinzaga,8 ; il explique le secret de son influence, 8, 9 ; sasoumission exemplaire, 18 ; lettre à propos del’examen à Rome des écrits d’Isabelle, 21 ; le BreveCompendio finit par lui être attribué exclusivement,24 ; 25, 26 ; Breve Compendio : 1er degré : Parfaitrenoncement aux choses extérieures etcorporelles, de soi indifférentes à l’état de la viede l’esprit, 30 ; 2e degré : [107] désappropriation« des choses saintes et spirituelles », 30-36 ; 3e

degré : renoncement à la vertu, 36 sq. ; Gagliardiemprunte au Fundamentum ignatien la notiond’indifférence, 30 ; 31, 32, 33 : de la conduite desâmes avancées qui reçoivent des lumières etallectione divines en surabondance, 34, 35 ; dansles oraisons, même les plus passives, l’âme seperfectionne « en une manière fort secrète », 35 ;

272

après que l’infusion divine a cessé, il fautretourner à l’usage de nos fonctions, 36 ; Dieunous enlève le désir de la gloire éternelle, 37 ; 42,43, 44 ; des actes opérés par Dieu dans l'âmesoumise, 46, 47 ; Dieu dépouille l’âme de savolonté elle-même, 47-56 ; 98, 135, 193, 194, 195,199, 200, 212, 213, 339, 342, 375. – S., dansl’application des puissances, saint Ignace attendde nous une progression constante d'efforts, 70 ;71, 79 ; la prière, instrument le plus infailliblepour exercer les vertus, 86, 87, 91, 94, 98 ; de laprière pratique, 159 ; 161, 174.

S. P. Ignatii de Loyola, de Discretione spirituumregulae explanatae, critique des règles ignatiennes duDiscernement des Esprits, XI, 31. v. Bellinzaga, P.Viller, Dagens, H. Bremond, Giuseppe de Luca.

GAILLARDIN. – XI, 37.GALERNE, recteur de Mûr, en Bretagne. –

V, 113.GALICE (P.). – Vie de la Mère A. Marguerite

Clément (écrite en latin), VI, 394.GALIEN. – Conduite des chrétiens digne

des vrais philosophes, V, 43.GALILÉE. – V, 155. – VII, 29.GALITZIN (prince Auguste). – Vie de la

Mère Jeanne de Matel, VI, 269, 397.GALLEMANT, docteur en Sorbonne. – I,

95. – II, son opinion sur le Père Coton, 76 ;fonde des Congrégations de filles, 249 ; 252, 259 ;fut un des premiers supérieurs du Carmel

273

français, 281 ; 283, 287 ; fondation du Carmel deDijon, 312 ; 314, 315, 316 ; Jean deQuintanadoine et ses épreuves intérieures, 317 ;420, 561. – III, 14.

GALLIFET (P. de), s. j. – III, auteur d'undes premiers Offices du Sacré-Cœur, 637 ; 651 ;de la vraie dévotion au Sacré-Cœur, 654, 666.

GALLOT, docteur en Sorbonne. – II, 238.GALTIER (P.), s. j. – De paenitentia, XI, 319.GAMACHE docteur en Sorbonne. – I, 222.

– II, 420, 457. – III, 312.GAMBART. – Vie symbolique de François de

Sales, I, 321.GANGANELLI. – VIII, 208. v. Clément

XIV.GARASSE (P.), s. j. – I, l’indulgence divine

pour le pauvre d’esprit qui travaille beaucouppour peu de chose, 56. – II, 78 ; mort etfunérailles du Père Coton, 133, 134 ; 169. – III,202. – IV, 18.

Histoire des Jésuites de Paris, I, 131, 132 ; 159 ;sur J.-P. Camus, 161 ; 190, 191.

La doctrine curieuse des beaux esprits de ce temps, I,défense de Ronsard, 192, 193.

Apologie, I, les esprits mal faits, 308 ;l’Eutrapélie, 308, 309.

Discours inédit, VI, sur les lumièresthéologiques de Jeanne Guichard, abbesse de laTrinité de Poitiers, 519. v. Ch. Flachaire.

274

GARAT (P. Jean). – III, 520 ; son aversionextravagante pour l'enfance, 520-522 ; 553-557 ;abbé de Chancelade, s’inscrit dans la « famille dusaint Enfant Jésus », 554 ; ramène tous lesmystères du Verbe incarné au mystère del’Enfance, 554, 555. v. Léonard Roche.

GARAT (Nicolas). – III, 553. [108]GARD (chanoine). – I, sur la date de la

tentation de saint François de Sales, 87 ; saprotestation, 89.

GARDEIL (P.), o. p. – S., 139.La structure de l’âme, XI, un chrétien, ce n'est

pas une âme, c'est un homme, 370, 371.GARNIER, curé de Saint-Pierre-le-Rond. –

II, apprit le latin à Jean de Saint-Samson, 369.GARNIER (P.), s. j. – VI, 402.GARRIGOU-LAGRANGE (P.), o. p. – VII,

162. – VIII, sur Chardon (Vie spirituelle), 18. –S., 96, 139, 360.

Le progrès spirituel et la communion quotidienne,IX, 128.

L'amour de Dieu et la Croix de Jésus, XI, 414.GARRIGUET (L.). – Le Sacré-Cœur de Jésus,

VI, 401.GASPARD. – Histoire de notre temps, XI, 71.GASSENDI. – VII, 376.GASTAUD (P. Jacques), de l’Oratoire. – III,

156.

275

GASTOUÉ (Amédée). – III, de l’Office duSacré-Cœur par le Père Eudes, (Eucharistia, rev.),637, 638.

GAUDERON (P.), eudiste. – Le Sacré-Cœurde Jésus, principe de la vie spirituelle d'après le PèreEudes (Les Saints Cœurs de Jésus et de Marie,rev.), III, 664.

GAUFRIDY. – V, 182, 186, 194. – XI, 157,158.

GAUGUIN (Jean), père de Simone Gauguin(Mère Françoise de la Croix). – V, 402.

GAUGUIN (Simone). – V, 402. v. MèreFrançoise de la Croix.

GAULT (P. J.-B.), de l’Oratoire. – IV, 30,114, 115. – V, 185.

GAULTIER (François). – I, 222.GAULTIER (Jacques). – Table chronologique de

l'état du Christianisme depuis la naissance de Jésus-Christ, I, montre que l’Église a toujours été lavraie épouse de l’Agneau, 233 : « variations » detoutes les hérésies, 234.

GAULTIER (Léonard), graveur. – I, 34.GAULTIER (Jules de). – IV, du

« bovarysme », 293, 294.GAUME (Mgr). – X, du gaumisme, 64.GAUTHEY (Mgr Léon). – VI, a réédité la

Vie de Vénérable Mère M.-M. Alacoque, par Mgr

Languet, 400.

276

Appendice bibliographique surles historiens de laBienheureuse Marguerite-Marie (Alacoque) (Vie deMère M.-M. Alacoque par Mgr Languet), VI, 400.

Vie et œuvres de la Bienheureuse Marguerite-MarieAlacoque ; 1er vol. : Vie par les contemporaines : 2e

vol. : Autobiographie de la sainte, VI, 400.GAUTHIER (René), conseiller d’État,

traducteur des Fleurs des Saints de Ribadeneyra etde la Vie d'Alvarez. – II, 6 ; témoin au procès debéatification de Mme Acarie, 225 ; il est du voyageen Espagne pour chercher des carmélites, 292 ;294, 297, 302, 304, 305. – V, 11. – VIII, 240.

GAUTHIER (Marie). – VI, 382.GAUTIER (P.), s. j. – Chronologie, XI, 71.GAUTIER (Léon). – Histoire de la poésie

liturgique au moyen âge, III, 121.GAUTIER (Théophile). – VI, 152.GAUTRON (Mère Madeleine), prieure des

bénédictines de Saumur. – II, 424, 425 ; établit laréforme dans son prieuré, 425. – V, s’opposaitaux exorcismes publics, 400.

La vie de la Révérende Mère Madeleine Gautron,prieure de Saumur (Anonyme), II, 424, 425. v. JeanPassavant.

GAVEAU (abbé Abel), éditeur de la Vie de laMère Françoise de la Mère de Dieu. – VIII, 295, 296.[109]

GAY (Mgr)- – III, 65, 677.GAZEAU (P.), s. j. – Bossuet et le Jansénisme

(Études). – IV, de la doctrine janséniste, 131 ;

277

Bossuet et la signature du Formulaire, 231, 232 ;236.

GAZET (Guillaume). – Consolateur des âmesscrupuleuses, I, le Christ console l'âme pécheresse,373, 374.

GAZIER (M.). – IV, 406, 408. – IX, 10.Mémoires de G. Hermant, IV, les ouvrages de

piété du Père Rapin, 17.Article dans Revue des Cours et Conférences, IV,

316.Abrégé de l'Histoire de Port-Royal, IV, les

jarretières de M. Arnauld, 286.De Santolii Victorini sacris hymnis, X, 64 ; ne

goûte qu'à moitié Santeul, 90 ; sur l’hymne deSanteul pour saint Josse, 112 ; sur l'hymne deSanteul pour le Commun des Docteurs, 116.

GELLÉ (Abbé F.). – À propos de l'initiationliturgique des enfants. Un problème de la communion,(Vie et arts liturgiques), IX, 128 ; 157 ; de lalecture du Missel par les enfants, 193, 194.

GENEVIÈVE (Mère) (Le Tardif). – IV, 181.GÉNOVÉFAINS. – II, 5. v. Père Faure.GERARDUS. – Nom donné au Pape par les

jansénistes dans leurs écrits, IV, 109.GERBERON (dom) (F. du Vivier). – IV,

enfant terrible du jansénisme, 303. – IX, 60.Histoire du jansénisme, IV, 4.Éditeur des Lettres de Jansénius à Saint-Cyran,

IV, 87.

278

Le Miroir de la piété chrétienne, IV, 3oa ; ce livre,manuel du désespoir, 302, 3O3.

GERBERT. – I, son éloge par sir RichardJebb, 5.

GERBET (abbé Ph.). – IV, 465. – VI, 221.GERSON (Jean). – I, 143, 416, 452. – III,

262, 531. – V, 104. – IX, 81, 277. – X, 213, 262. –XI, 61, 179.

La Montaigne de contemplacion, VII, définitionde la prière, 8 ; fort désirer, c’est fort prier, 97 ;141 ; de la récitation de l’office, 398. – S., oraisonest tout humble et dévote affection ramenéefinalement à Dieu, 13 ; 103.

Ad Deum vadit, IX, Notre-Dame au pied de laCroix, douloureuse et debout, 278. v. Pinet, D. H.Carnahan.

GERTRUDE (sainte). – II, 441 : ses œuvrestraduites par Marguerite d’Arbouze, 487 ; 490. –III, 585. – IV, sa conversion, 359 sq. ; sa vision deJésus adolescent, 360-362 ; 363, 364, 365, 367. –V, 80. – VI, 98 ; traduction de ses œuvres, 212 ;269, 272, 295, 298, 305, 377, 378. – VII, 146. –VIII, 231. – X, 290, 312, 320. – XI, 385. – S.,271.

Les Insinuations, I, 142. – VIII, 394. v. Camus,dom Mège, Congrégation de France.

GERVAISE (dom), bénédictin. – III, 325.GIBALIN (P.), s j. – VI, directeur de Jeanne

de Matel, 273 ; indiscrétion apparente de Jeannede Matel, 273 sq. ; intellectuel converti à la

279

mystique, 277 ; tient Jeanne de Matel nonseulement comme orthodoxe, mais commeinspirée, 277 ; 278, 285.

GIBBIUS. – II, 380. v. Gibieuf.GIBBON. – IV, 268.GIBERT. – X, controverse avec dom

François Lamy, sur la poésie dans la prière, 173.GIBIEUF (P.), de l’Oratoire. – II, 317, 380. –

III, 39 ; lettre aux Carmels français leurinterdisant tout commerce avec [110] Port-Royal,212, 213 ; Condren et Saint-Cyran, 328, 329 ;335 : le Père Gibieuf et Marguerite de Beaune,533 ; 537 ; la « famille de l'Enfant-Jésus », 545. –IV, le Père Gibieuf et M. de Berulle, 27, 28 ; 29 ;se déclare contre le jansénisme, 32. – VII, 200. –VIII, dirigea la Mère Françoise de la Mère deDieu, 295. – IX, 248. – S., 120.

De la liberté de Dieu et de celle de la créature, III,673.

La vie et la grandeur de la très Sainte Vierge Marie,IX, de la compassion de Notre-Dame, 279.

GIDE (André). – Lettres intimes de PierreDupouey (Le Correspondant). IV, 395.

GIDEL. – IX, éditeur des Œuvres choisies deSaint-Evremond, 362.

GIF (abbaye de). – IV, devenue citadelle dujansénisme féminin, 300.

GILLOTIN (dom Jean). – VI, 200.GILSON (Etienne). – III, 39.

280

La liberté chez Descartes et la théologie, III, 40 ;sur le Père Gibieuf, 40 ; 354. – IV, 32.

Introduction à l'étude de saint Augustin, XI, 276.GIORDANO BRUNO. – I, 8.GIRARD (M.). docteur en Sorbonne. – IV,

431. v. Nicole.GIRARD (Henri). – S., 1.GIRAUD (P.). – Prêtre et hostie. Notre-Seigneur

Jésus-Christ et son prêtre considérés dans l'éminentedignité, du sacerdoce, III, 168 ; 421, 677, 678.

GIRAUD (Victor). – Blaise Pascal, IV, 178.GISBERT (P.). – Histoire critique de la chaire

française (et art. Revue Bourdaloue), II, Sermonsdu Père Coton, 111-114.

GIUSEPPE DE LUCA (dom). – Quelquesmanuscrits romains sur Gagliardi (Revue d’Asc. et deMyst.), XI, 4, 5.

GLATIGNY (prieuré de). – II, 406.GODEAU (Antoine). – III, 337, 427. – IV.

302. – VII. 167 ; lettre au Père Hercule Audiffret,168 ; son dégoût des mascarades poétiques oùl'on mêle le merveilleux mythologique ausurnaturel chrétien, 169 ; 176, 186 : traduit, dansun concours de poésie avec le Père HerculeAudiffret, le psaume Laudate, 190 ; 196 ;soumettait ses ouvrages au Père L. Thomassin,376. – X, traduction des Psaumes en versfrançais, 174.

281

Poésies chrétiennes, I, sur l’art chrétien, 198 ;« Bénis sa main toute puissante », 201 ; 205 ; achanté sainte Madeleine, 384.

Instructions et prières chrétiennes pour toutes sortes depersonnes. IX, Prière de la femme enceinte, 303,304. – X, 239 ; contient un Discours de la prièrechrétienne ; le chrétien doit toujours être dansl’esprit d’oraison, 239, 240, 241 ; nombred’oraisons de ce recueil relèvent de l’Écolefrançaise, 241 sq. ; prière d’un officier de finance,242 ; des personnes qui ont des procès, 242, 243 ;dit son livre destiné à ceux qui mènent une viecommune, 245 ; 246, 288 ; de l’abondance deparoles dans la prière, 345.

Lettres de M. Godeau, IX, de l’anniversaire duBaptême (lettre au Président Thomassin), 37 ;196 ; lettre à Monsieur... sur sa première messe,234, 235 ; 301, 309. v. Abbé Cognet.

GODEFROY. – Dictionnaire, I, 10.GODEFROY (Frédéric). – Histoire de la

littérature française, IV, citation de Saint-Réal, 15.GODEFROY (Jean). – La vie de dom

Simplicien Gody, poète et écrivain mystique, X, 92.GODEFROY (Paul). – I, note sur Etienne

Binet, Revue d'Histoire littéraire de la France, 265.GODU (dom), bénédictin – Le Sacrifice

eucharistique et la communion, IX, 128 ; le saintSacrifice [111] de la Messe, synthèse de tout leculte, 132 ; 134.

282

GODY (dom Simplicien), bénédictin deSaint-Vanne. – X, 92. v. Jean Godefroy.

GOERRES. – I, 240.GOETHE. – I, 274.GOJOZ (Jeanne-Bénigne), converse à la

Visitation de Turin. – VI, 418-421 ; sur le puramour, 419 : le signet miraculeux, 419. v.Elisabeth de Provane.

GOLDSMITH (Oliver). – The deserted village,IV, 24.

GOMAR, théologien calviniste. – I, 164.GOMERFONTAINE (abbaye de). – IV,

199.GONCOURT (Edmond de). – VI, qualifie

Binet de merveilleux styliste, 78.GONDI (abbé de). – III, 334.GONDI (famille des). – II ; 188, 189. – III,

224, 228.GONDI (Albert de), duc de Retz. – II, 188.GONDI (Charles de), marquis de Belle-Île. –

II, 188.GONDI (Henri de), évêque de Paris, premier

cardinal de Retz. – II, 106, 188, 253, 447.GONDI (Jean-François de), archevêque de

Paris. – II, 188 ; écrivit un mémoire surMarguerite Acarie, 356 ; 500. – IV, 209.

GONDI (Jean-François Paul de), cardinal deRetz. – II, 188. – III, 224. – IV, 250. – VI, 179,195, 196. – VII, 228. – IX, 178, 180, 181. – X, 69.

283

GONDI (Mme de). – II, 356. – III, lettre àsaint Vincent de Paul, 230, 231.

GONDI (Marie-Catherine), supérieuregénérale du Calvaire. – II, 189.

GONDI (Philippe-Emmanuel de). – II, 188,355. – III, 230.

GONDI (cardinal Pierre de), évêque deParis. – II, 188.

GONDRIN (abbé de). – III, 334.GONTIER (P.), s. j. – II, 420, 452.GONZAGUE (Anne de). – II, 406, 407. –

VIII, 88. v. Piny.GONZALES (P.), s. j. – VIII, sur le

délaissement (au XVIe siècle, en Andalousie), desExercices, 192.

GOODWIN (Thomas). – The Heart of Christin Heaven, III, livre consacré à la dévotion auSacré-Cœur, 641.

The works of Th. G., IV. a écrit sur le Sacré-Cœur, 324 ; des mouvements différents de lanature et de la grâce (texte anglais) 348 ; 354, 374,382.

Œuvres complètes, VII, l’enfant de lumièremarchant dans les ténèbres, 67.

GORDON. – I, mourant, ne lit plus que leDream of Gerontius de Newman, 61.

GOSSE (Edmund). – Father and son, IV, dupère qui goûtait un plaisir égoïste à parler de Dieu(texte anglais), 512.

284

GOUDIN (P. Antoine). – VIII, 85 ; sonappréciation de l'Oraison du cœur par le Père Piny,86.

GOUFFART (dom Martin), abbé de Saint-Denis-en-Brocqueroye. – VI. sa correspondanceavec la Mère J.-M Deleloë, 376-378.

GOUGAUD (dom), bénédictin. – IX. 361.Les Loricæ celtiques, III, adjuration empruntée

au Livre de Cerne, 154.GOUHIER (Henri) – Méditations chrétiennes de

Malebranche avec Introduction et Notes, X, chezMalebranche la métaphysique s'achèvenaturellement en prière, 292.

GOUJET (abbé). – Continuation des Essais demorale, contenant la vie de Nicole... IV, 229, 419 : surle Traité de l’Oraison, 479 ; Bossuet, Nicole et lequiétisme, 486.

La Vie de Nicole, S., 189. [112]GOULU (dom Jean). v. Jean de Saint-

François.GOULU (Nicolas). – II, 9.GOURDAN (Simon). – III, de la dévotion

au Sacré-Cœur, 670. – X. 64, 70, 89 ; prose pourla fête de saint Jean l’Évangéliste, 92, 96 ; pourl’Assomption, 97 ; pour l’Invention de la Sainte-Croix, 97 ; pour la fête de sainte Madeleine, 97 ;98 ; pour la Sainte Trinité. 99 ; 100, 115 ; pour leCommun des Veuves, 119 ; son Hymne pour lafête de saint Lazare, 123, 124 ; lettres auxMessieurs de Saint- Sulpice au sujet des hymnes

285

et proses de « l’Intérieur de Jésus », composéespar lui, 131, 132 ; 153 ; lettre au cardinal deNoailles, 202.

Le cœur chrétien formé sur le Cœur de Jésus-Christ.X, 200-203 ; le Cœur de Jésus doit être pour lechrétien le premier mobile dans tous sesmouvements, 201 ; adhésion à la vie intérieure duChrist, 201.

Élévations, X, 282. v. Levesque, Buron.GOURGUES (M. de), premier Président au

Parlement de Bordeaux, cousin de Bérulle. – II,334.

GOURREAU (P.). – X, 153.GOUTISMENIL (dom René de), bénédictin,

prieur de Noyers. – VI, 181.GOYAU (G.). – Une ville-église, Genève, IV,

citation de Vinet, 471.GRACIAN (Balthazar). – L'Homme de cour,

IX, 360.GRAMMONT (comte de). – II, 305.GRAMMONT (maréchale duchesse de). –

IX, 378.GRANCEY (Mlle de). – IX, 336.GRANDET (Joseph). – Les saints prêtres

français du XVIIe siècle, publié par G. Letourneau.I, VIII, XVII, – III, 157, 192. – V, 111, 114. – VI,241, 442.

Mémoires de Joseph Grandet ; Histoire du séminaired’Angers, publiés par G. Letourneau, IV, retraitespastorales de l'abbé de La Pérouse, 225, 226 ; Mme

286

des Bottes-Lorières, 227, 228 ; 230 ; la paix del’Église, 242.

GRANDIER (Urbain). – V, 177 ; accuséd'avoir déchaîné la possession chez les Ursulinesde Loudun ; son innocence. 179, 180 ; 195, 196,201. – XI, 159. v. Ursulines de Loudun, Jeannedes Anges, Dr Légué.

GRANDIN. – VII, 328.GRANDMAISON (L. de), s. j. – III,

défaillances corporelles des mystiques, 432.La Religion personnelle, I, les mystiques, XXII,

XXIII ; l’approche et l’aurore de la vie mystique,518, 519 ; états naturels, ébauche de la viemystique, 521. – II, les phénomènes extatiques,rançon de l’état mystique, 206 ; 585 ; de la valeurdu témoignage des mystiques, 588 ; del’expérience mystique, 588, 589, 590 ;contemplation, extase, défaillances naturelles,591 ; connaissance mystique, 592. – IV, l’élanmystique, 560. – V, des phénomènes morbideschez les mystiques, 133. – VII, définition de laprière, 8 ; de la part de la volonté humaine dans letravail de la sanctification, 154. – VIII, la raisonhumaine a le droit d’exiger l’absence decontradiction, mais non l’absence de mystère,320 ; 359, 360 ; Note sur la forme faible de l'oraisonde simplicité (Rev. d’Asc. et de Myst.). 360. – S., laprière, conversation de l’homme avec son Dieu,13 ; 132, 140.

287

De l’oraison de quiétude (Rev. d’Asc. et deMyst.), XI, 347.

Un ascète anglais contemporain (Rev. d’Asc. et deMyst.), VI, 90.

GRANGER (P.), s. j. – II, 506.GRANGER (Geneviève), bénédictine, – II,

455 ; 463 ; mystique en dépit d’elle-même, 463 ;dépouillement spirituel, 465-467 ; eut sous sa[113] conduite spirituelle Mme Guyon, 467.

GRANGER (Mère Marie), fondatrice ducouvent de Montargis. – II, 418 ; on appliqua deses reliques sur le front des possédées de Loudun,458 : ses humiliations et ses détresses, 459 sq. ;dilatation de son cœur, 461 : indiscrétion de lareine, 461 ; annonciatrice de la dévotion au Sacré-Cœur, 463. v. Mère de Blémur.

GRANGIER (Balthazar), évêque deTréguier. – V, 114, 145. v. dom Lobineau. PèreSéjourné.

GRANIER (Mgr Claude de). – I, 92. v.Boniface Constantin.

GRATIAN (P. Jérôme), carme. – II, 270,286, 292.

GRATRY (P.). – Les Sources, S., 35.GRAVENNEGG (P. Wolfang). – IX, sa

méthode d'Extrême-Onction spirituelle, 368.GRÉA (dom). – Le Bréviaire romain,

traduction annotée, IX, 206.

288

GRÉGOIRE. – Histoire des sectes religieuses, X,Sylvain Maréchal et les « Litanies de laProvidence », 205.

GRÉGOIRE LE GRAND (saint). – II, 490,492. – III, 645. – IV, 255. – VIII, 7. – X, 70, 71,72, 73, 74, 76, 140. – XI, 380 ; l’esprit (animus)aperçoit, par éclairs, la lumière sans bornes, 382,383 ; 385. – S., 349.

Morales, IV, 545, 564.GRÉGOIRE DE NAZIANZE (saint). – VI,

205, 257. – VII, 169.GRÉGOIRE DE NYSSE (saint). – VI, 96. –

S., 100.GRÉGOIRE DE TOURS. – IX, 183.GRÉGOIRE VII. – III, 158.GRÉGOIRE XV. – II. confie (1622) au

cardinal de La Rochefoucauld la réforme desOrdres de Saint-Augustin, de Saint-Benoît, deCluny et de Cîteaux, 107.

GRÉGOIRE LE THAUMATURGE (saint).– II, 116.

GRENADE (Louis de). – I, 144. – II, 410. –IV, 71.

La Guide des pécheurs, VII, 318.Mémorial, IX, 130.GRENIER (Pierre). – Du bon et fréquent usage

de la communion, IX, qu'on n'empêche pas decourir à la communion aussitôt après laconfession, 117.

289

GRENTE (abbé J.). – Jean Bertaut, I, le PèreGarasse et les poètes, 191.

Une paroisse de Paris sous l'ancien régime. Saint-Jacques-du-Haut-Pas, II, 284.

GRIFFET (P.), s. j. – Année du chrétien, IX,contient une traduction du Missel entier, 204.

GRIGNAN (Mme de). – VI, 432.GRIGNION DE MONTFORT

(bienheureux Louis). – II, a renouvelé la« dévotion à l'esclavage », 522. – III, 4, 86, 89,151, 243, 245, 460, 492, 494, 590, 683. – IX, 266,269 ; le dernier des grands bérulliens, réconciliedans sa propagande mariale le théocentrisme et ladévotion populaire à la Vierge, 272. – XI, 191.

La vraie dévotion à la Sainte Vierge, IX, 272, 273.v. P. Lhoumeau.

GRIMAL (M.). – III, lettre de saint Vincentde Paul à M. Grimal, 237, 238.

GRIMAL (P.), mariste. – Le Sacerdoce et leSacrifice de Notre-Seigneur Jésus-Christ, III, 361 ; 421 ;675-678.

GRIMALDI (Dominique de), archevêqued’Avignon. – II, 28.

GRIMALDI (cardinal Jérôme de),archevêque d’Aix. – III, 570.

GRIMAUD, avocat au Parlement deGrenoble. – VI, son rapport sur les apparitions deNotre-Dame du Laus, 423-425.

GRIMMINCK (Charles). – VII, 84. – IX, 59.v. Persyn. [114]

290

GRINELLE (la), sorcière. – III, 606.GRISELLE (E.). – Panégyrique de saint François

de Sales, I, réponse de François de Sales au PèreBinet à propos des sermons trop nombreux qu’ilacceptait, 76 ; 77 ; 92.

Camus et Richelieu en 1632, I, 151.La Vénérable Mère Marie de l’Incarnation,

supplément à sa correspondance, IV, 221. – VI, 4 ; 6, 7.Bourdaloue, histoire critique de sa prédication, VIII,

313 ; 345. – IX, Bourdaloue assiste à leur lit demort le duc de Lesdiguières, Mme de Fontanges,Colbert, 352 ; Michel Le Tellier, 352, 353.

Les Sermons de Bourdaloue sur l'Amour de Dieu,IX, citation de Bourdaloue sur les obligations duBaptême, 10. – XI, 190 ; ils proclament tous leprécepte de l’amour de Dieu, 286.

Bourdaloue, IX, 257 ; une lettre (de Pellisson) àWindenfelt, 266 ; 364.

GROISELIERS (de). – VI, 117.GROSEZ (P.), s. j. – Journal des Saints, X, 53.GROSSI (P. Jean), de l’Oratoire. – La vie de la

Vénérable Mère Louise- Blanche-Thérèse de Ballon, VI,417.

GROTIUS. – IX, 141.GROU (P. Nicolas), s. j. – IV, les premières

douceurs du service de Dieu, 347. – V, 308. – VI,8. – VII, 186. – IX. 272. – S., des gens, mêmehabiles, ne connaissent pas la nature de la prière,4 ; 27, 96 ; la prière et la grâce sanctifiante (texteschoisis du Manuel des âmes intérieures), 223-240 ;

291

Dieu seul nous enseigne à prier, 223 ; nature de laprière, 224-229 ; l’objet de la prière, 229-232 ;qualités de la prière 232 ; dispositions, 232-236 ;Marthe et Marie, 236-240 ; 326.

L'Intérieur de Jésus et de Marie, III, del’ancienneté de la dévotion au Sacré-Cœur, 658. –IV, la prière n'est pas seulement demande maisadoration, 393, 394 ; Jésus-Christ l'uniqueadorateur, 402, 403. – X, danger de certainesméthodes, 321. – XI, oraisons où l’on se perd devue, même chez les commençants, 416.

Méditations en forme de retraite sur l'amour deDieu, XI, du précepte de l’amour de Dieu, 288,289.

L’École de Jésus-Christ, S., 6.Manuel des âmes intérieures, S., 51.GROULT (Pierre). – Les Mystiques des Pays-

Bas et la littérature espagnole du XVIe siècle, XI, 59 ;Osuna ne craint pas de remarquer ce que l’activitécontemplative a d’humain et de physiologique,427.

GROZELIER, chanoine de Beaune. – III,551.

GUARDINI (Romano). - X, 34, 288, 344.L’Esprit de la Liturgie, X, 190, 224.GUÉBRIANT (comtesse de). – III, 545.GUÉMÉNÉE (princesse de). – IV, 65.GUÉRANGER (dom). – III, 81, 180. – X,

11 ; a méconnu l’âme profonde des innovationsliturgiques du XVIIe siècle, 34 ; 43, 47, 48, 50, 54,

292

55, 58 ; sur la lutte pour le retour à la liturgieromaine, 63 ; 66 ; sur les hymnes de Santeul, 67 ;les hymnographes gallicans auraient attenté à laliturgie, 68 sq. ; 72, 73, 79, 83, 86, 88, 89, 90, 92,100, 138, 140, 145 ; du problème de la soumissionde Santeul, 154 ; épitaphe d’Arnauld, 154 ; 157,159, 160, 162, 163, 237.

Institutions liturgiques, IX, 160 ; contre lesméthodes qui suppriment pour l’assistance à lamesse, l’union des fidèles au prêtre, 166 ; contrela traduction [115] de l’ordinaire de la messe, 169,170 ; 176 ; sur la condamnation du missel traduitpar J. de Voisin, 178, 179 ; contre la traduction duCanon, 180 ; 181, 182, 183 ; sur la traduction deVoisin, 184 sq. ; 186 ; sur les traductions dumissel employées pour servir il la conversion desprotestants, 187 ; contre la diffusion destraductions de la messe en français, 188 ; desquerelles à propos des missels en français, 190,191 ; l’ordinaire de la messe, sa mystérieuseprofondeur, 192 ; sur le Canon de la messe, 194,195 ; sur la traduction du missel par le PèreGriffet, 204 ; 205, 281. – X, 3, 38, 39, 54, 74, 75,146 ; sur une hymne de Santeul suspecte dejansénisme, 156, 157 ; contient, à l’appendice, letexte latin d’Arevalo, 158.

Année liturgique, X, 42. v. Fayet.GUÉRIN (Marguerite), béuédictinc. – II,

élevée à la plus haute contemplation, en portaitles effets à l’aveugle, 478.

293

GUÉRIN (Maurice de), – Le Cahier vert, XI,quiétude naturelle où l’esprit demeure néanmoinsactif, 429.

GUÉRIN (Pierre), curé de Saint-Georges deRoye, initiateur et chef des Illuminés de Picardie.– XI, 103 ; 106, 107, 109 ; se démet de sesfonctions de curé et s’adonne tout entier à ladirection des Filles de la Croix, 113 ; 114, 115,129, 156.

La sainte Économie de la famille de Jésus, XI, 111.Le Dévot consultant, XI, 112.GUÉRIN (Mgr D.-Juste). – V, travailla à la

béatification de saint François de Sales ; billet etlettre à Charles-Auguste de Sales, 401. v. domArgrand.

GUÉRY (abbé Ch.), – Les œuvres satiriques duPère Zacharie de Lisieux, I, 512.

GUEVARA. – Lettres, I, 260.GUIBERT (P. de), s. j. – XI, La contemplation

de Platon : repos d’une pensée philosophique enface de la vérité possédée (Rev. d'Asc, et deMyst.), 395.

L'emploi des méthodes dans la vie spirituelle (Rev.d’Asc. et de Myst.) S., 42 ; les Exercices sont avanttout une méthode, 43 ; saint Ignace a-t-il eudessein de former par ses Exercices les âmes àl’oraison (Rev. d’Asc. et de Myst.), 110.

GUIBERT DE NOGENT. – VI, 205.

294

GUICHARD (Jeanne), abbesse de la Trinitéde Poitiers. – VI, ses vues sur l'Incarnation duVerbe, 519.

GUIETTE (Catherine), bénédictine. – II,478.

GUIGNARD (P.), s. j. – II, 84.GUILBERT (abbé). – IV, éditeur des

Mémoires de Lancelot, 211 ; à propos du Chapeletsecret, 211.

GUILHERMY (P. de), s. j. – III, a publié uneréédition de l’Union avec Notre-Seigneur du PèreSaint-Jure, 271.

GUILLAUME (J.-L.). – Guez de Balzac et laProse française, XI, 364 ; 367.

GUILLAUME DE SAINT-THIERRY. –III, 390.

GUILLEBERT, curé de Rouville, – IV, 346.GUILLENTENA, prêtre. – IV, 71.GUILLOIRE (Charles), chanoine de Paris,

confesseur de Louise du Néant. – V, 355 sq. ;361, 362, 368.

GUILLOIRE (Claude), secrétaire du Roi. –V, 355.

GUILLOIRE (Claude), frère du chanoineGuilloire, secrétaire de la Grande Mademoiselle. –V, 355.

GUILLORÈ (P. François), s. j. – III, 32, 65,88, 196. – IV, 29, 477, 478, 479, 483, 493, 494 ;les illusions de la vie spirituelle, [116] 495-497 ;analyste impitoyable du cœur humain : crainte

295

morbide de l’illusion, 495, 496 ; 498, 534, 542,554, 555, 559, 570 ; ce que signifie sonpanégyrique de la sécheresse, 570-572 ; 581. – V,11, 12, 40, 64, 69, 120 : sur Armelle Nicolas, 121,340-393 ; établit la communauté de l'Unionchrétienne, 350 ; 366, 368 ; sa première entrevueavec Louise du Néant, 369 ; traite Louise avecbeaucoup de sévérité, 370 sq. ; sa méthode sévèrede direction vis-à-vis de Louise du Néant ; ill’abaisse et l'élève tour à tour et la produit audehors comme modèle, 382-384. – VI, 230. –VIII, 10, 147, 234, 280, 323. – X, 2, 338. – S., 5,6, 65, 326.

Maximes spirituelles pour la conduite des âmes, II,les lumières des mystiques ne valent que ce quevaut leur génie et leur sainteté, 595. – III, Jésus seplaît à régner en Dieu dans le grand vide et le riende notre nature, 276 ; imiter Notre-Seigneur ets’en revêtir n'est pas une même chose, 276, 277 :279. – IV, 536 ; de l’effort humain dans la prière,539, 540. – V, 30 ; tout acte d’obéissance est« intérieur », 49 ; 325 ; des abus qui se glissentdans la vie de l’esprit, 371 ; nécessité de duresépreuves pour les âmes favorisées de grâcesextraordinaires, 372-375 ; laisser certaines âmesdans leurs peines intérieures, 377. – XI, oraisonde quiétude, oisiveté agissante, 352 ; erreur devouloir accroitre l'opération divine par des effortsnaturels, 355 ; l’approche de Dieu et le silenceintérieur, 363. – S., la grande occupation de

296

l’entendement nuit ordinairement à celle du cœur,67 ; des esprits curieux, jamais contents si leurentendement n'est rempli de clartés, 69. –TEXTES CHOISIS, S., 253-279. – Dans toutes lesimpuissances de l'âme, de quelque côté qu’ellessoient et dans toutes les privations, il faut serevêtir des opérations de Jésus-Christ, 253, 254 ;la différence qu’il y a entre imiter Notre-Seigneuret se revêtir de Notre-Seigneur, 254-256 ; il estmontré quand il faut se revêtir de Notre-Seigneur,256-259 ; la haute sainteté de ce revêtement deNotre-Seigneur est montrée, 259-261 ; toutchrétien a l’obligation d’être animé de l'esprit deJésus-Christ en toutes actions, 262, 263 ;l’obligation d’agir dans l’esprit de Jésus, prise de lapart de lui-même, 263-268 ; l’obligation d’agirdans l’esprit de Jésus prise de notre part, 268-273 ; suite du même, discours, 273-276 ; lesdistractions favorisent quelquefois lacontemplation, 276-279.

Progrès de la vie spirituelle, II, retours sur soi-même et réflexions qui contrarient l’amour, 597 ;épreuves et dépouillement de l’âme, 600 ;Guilloré suspecté de quiétisme, 602. – III, de laconsomption de tout notre être pour la gloire deDieu, 275, 276. – IV, sur Malaval, 497 ; rejet detoute règle dans l’oraison. 542, 543 ; silencevolontaire dans l'oraison, 543 ; se réjouir d’êtreprivé des douceurs de la prière, 568 ; d'oùviennent les sécheresses de l’âme, 569. – V, point

297

de consolation sur la terre, 376 ; faire peu de casde tout ce qui passe, 377. – X, illusions desprières vocales et des pratiques, 13-18 ; illusionsde l’oraison, 18 ; 19, 20, 23. 29.

Conférences spirituelles pour bien mourir à soi-même,III, 275-279 ; de l'adoration par l’anéantissement,361, 362 ; unir l’oblation du rien que noussommes à l’anéantissement de Jésus, 368 ; Dieuse substitue à l'âme unie à Lui par sonanéantissement, 377, 378 ; 681. – VII, devoiressentiel, l'adoration. 16 ; 26, 268. – XI, l’amour...inclination universelle à faire et à souffrir toutl’imaginable, 3 ; 50, 138, 148 ; des actes confusopérés [117] dans l’âme réduite à la passiveté, 349,350 ; témoignage secret de la conscience dansl’inertie apparente de la quiétude, 407. – S., dupeu de réussite de beaucoup dans l'oraison, 31 ; laméditation, exercice on les méthodes sont si peuefficaces et le succès si rare, 33 ; dans votreoraison, que Dieu se contente sans que vouspensiez jamais à vous contenter vous-même, 52 ;toute adoration est exercice d’anéantissement, 53,54 ; l’oraison (de simple regard) laisse toujoursune forte tendance à toutes les vertus pratiques,99, 100.

Manière de conduire les âmes, IX, invite àcommunier souvent pour réparer l'abandon de lacommunion fréquente par les gens de qualité,123, 124 :209.

298

Œuvres spirituelles, III, se défier de toutesensibilité intérieure, 457.

Œuvres complètes, éditées par Michallet, V, 7.GUILLOT (P. Jean), o. p. – IX, 79, 84, v

Salazar.GUILLOUZOU (P. Richard), o. p. – La vie

de sœur Marie Paret du Tiers-Ordre de Saint-Dominique,VI, 416.

Nouveau jardin à fleurs de la Très Sainte Vierge, auterroir de Bretagne, VI, 416.

GUINCESTRE, curé de Saint-Gervais. – II,216, 217.

GUISE (duc de). – II, 217.GUISE (Mme de), professe de Saint-Pierre de

Reims. – II, 453.GUTTIEREZ (P. Martin), s j. – VIII, 249.GUYARD (Florent), père de Marie Guyard.

– VI, 11.GUYARD (Marie) (Marie de l'Incarnation). –

VI, 7 ; a épousé Claude-Joseph Martin, 12. v.Marie de l'Incarnation.

GUYET. – X, 33.GUYON (Mme). – I, on a cru devoir se voiler

la face parce que l’on a trouvé, parmi ses livres,des comédies de Molière et un volume dépareilléde Don Quichotte, 41. – II, 262, 444, 467. – III,479. – IV, 358 : son entrevue avec Nicole, 483sq. ; 494, 495, 497, 553, 568. – V, 203, – VI, 6, 71,139. 239, 240, 266, 275, 277, 289, 339, 426, 434,436. – VIII, 330. – IX, 24, 264. – X, 28. – XI, 5,

299

8, 10, 12, 18, 37, 40, 54, 98, 132, 139, 148, 275,282.

Moyen court, IV, 483, 486. – VII, 270 ; amanqué de conseils la maintenant dans latradition, 329. – XI, 55, 69.

Justifications (Moyen court et Cantique), X, de laprière vocale et en particulier du Pater, 338 ; laconsommation de la prière, 338, 339. – XI, le feude la contemplation, avant d’opérer l'union,extrait de l’âme tout ce qu'elle a d’impur, 414.

GUYOT (Louis) – II, 12, 13, 14, 15.

H

HABERT (Germain), abbé de Cérisy,hymnographe. – II, 297. – VI, 309. – VII, 167. –IX, Hymne des Laudes de la Compassion, 276,279, 280. – X, 33, 65, 88, 91 ; traduction duDomine probasti me, 174. La vie du cardinal de Bérulle,III, 7 ; un docteur de douze ans, 8, 9 ; 13 ; Bérullea renouvelé la dévotion au Verbe incarné, 43-45 :47, Bérulle continuellement occupé de Jésus-Christ ; don particulier de « lier » les âmes à Jésus-Christ, 48, 49. v. H. Bremond. [118]

HABERT (Isaac), évêque de Vabres. – III.673, 674.

HAGIOGRAPHIE. – I, décadenceprogressive, dans la littérature hagiographique, del'ancienne curiosité universelle, 240.

HAITZE (de). – IV, 71.HALÈS (Alexandre de). – I, 416.

300

HALLAYS (André). – II, 535.Pèlerinage de Port-Royal, IV, 178.HALLIER. – III, 426.HAMON (P. Auguste), s. j. – X. 200, 201.Histoire de la dévotion au Sacré-Cœur, Vie de la

Bienheureuse Marguerite-Marie, VI, problèmes quesoulèvent les révélations, 401, 402. – XI, 26, 416.

HAMON (M.), curé de Saint-Sulpice. – Viede saint François de Sales (éd Letourneau). – I, laVierge noire, 87 ; la protestation de saint Françoisde Sales, 89 ; séjour à Padoue, 92 ; séjour à Paris93 : Baudry et Camus, 526. v. Simon Gourdan.

HAMON (Jean), médecin. – I, 278. – IV, 11 ;16, 17, 20, 246 ; l'humilité du silence (prière),249 ; son portrait par Sainte-Beuve, puremerveille, 257 ; légèrement surfait, 257 ; 278, 280,283, 421, 446, 458. – VI, 402. – X, 43.

Relation de plusieurs événements de la vie de M.Hamon faite par lui-même..., IV, 249.

Mémoires de M. Hamon, IV. 258.Lettres, IV, 258.Traités de piété, IV, 258. – VII, 2 ; sur la prière,

6 ; la volonté de prier, 97. – S., nous ne vivonsqu'à proportion que nous prions, 11 ; la prière estle mouvement du cœur, 80.

Principes de conduite dans la défense de la vérité, IV,la vraie défense de la vérité, 298.

HANART (P. Jean), de l'Oratoire. – Les bellesmorts de plusieurs séculiers..., IX, sainte Barbe, Mèrede la confession, 362 ; Michel Le Nobletz et la

301

tête de mort aux cheveux blonds, 369, 370 ;retraite de préparation à la mort d'Anne deCaumont, 370 ; de la mort de Léopold Guillaume,archiduc d'Autriche, de Nicolas Lefebvre, 380 ;Catherine, morte de la peste à Nivelle, 381-387.

HANNEQUIN (Jean), procureur en laChambre des Comptes de Rouen. – V, 402.

HANNIVEL (Marie d'). v. Marie de laTrinité.

HANNIVEL (Robert d’). père de Marie de laTrinité – II, 267.

HARCOURT (Bernard d’). – Maurice deGuérin et le Poème en prose, XI, des étatsd’immobilité qui précèdent les « crises » decréation poétique, 429 430.

HARDIVILLIERS (Pierre de), archevêquede Bourges. – III, Approbation des Lettres etDiscours du Père Ch. de Condren, 340.

HARDOUIN (P.), s. j. – IV, 269, 273. – VII.accusa d’athéisme le Père Thomassin, 383.

HAREL (Jean). – VI, 181.HARENT (P.), s. j. – VII, sur la piété

janséniste (à propos de l'Apologie pour Fénelon, deH. B.) (Études), 18, 19. – XI, commente un textedu Père Surin sur Bérulle (Recherches de sciencereligieuse). 190. – S., 113.

Fénelon et la question de l'amour pur (Études), XI,à propos de la réfutation de Bolgeni par Herrera,258 ; Jansénius et l'amour pur, 275, 276 ; 277.

HARLAY (Président de). – II, 217.

302

HARLAY (Anne-Bathilde de), abbesse deNotre-Dame de la Pommeraye. – II, 395. 426,427.

HARLAY DE CHAMPVALLON (Françoisde). – II, coadjuteur, puis archevêque de Rouen etenfin archevêque de Paris. 221. – III, 607. – IV,455, 486, 591. – [119] VI, 248. – VII, 171. – IX,33, 136 ; ses instructions sur la Messe, 159 ;sur lepsaume Judica me, 160 ; union des fidèles auprêtre ; l'offertoire, 161, 162, 163 ; 173, 182, 183 ;fait imprimer à cent mille exemplaires les Heurescatholiques précédées de l'Ordinaire de la Messeen français, 188 ; 275 – X, 35, 37, 39, 42, 44, 86,91, 92, 156, 182 ; sa réforme des livres liturgiquesdu diocèse de Paris, 65 sq.

HARLAY DE SANCY (Charlotte de),marquise de Bréauté (Marie de Jésus). v. Bréautè.

HARMAND (René). – Essai sur la vie et lesœuvres de Georges de Brébeuf, I, 340, 341.

HARNACK (Th.). – X, de la prière libre duliturge (dans le culte protestant). 341, 342.

HARPHIUS. – II, 7, 168, 174, 379. 490. –IV, 492-493. – VII, 144, 146, 148, 158, 266. –VIII, 89, 190, 199, 231. – XI, 59, 95, 152, 167,427.

HARTWELL JONES (Rev.). – Celtic Britainand the Pilgrim Movement, V, 92.

HASSIA (Heinrich de). – Speculum animæ seusoliloquium, IV, prière pour demander laconsolation spirituelle, 341, 342.

303

HATZFELD. – IX, édition des Sermons deBourdaloue, 364.

HATZFELD et MEUNIER. – Les Critiqueslittéraires du XIXe siècle, XI, citations de Saint-MarcGirardin et de Diderot, 434-436.

HAURÉAU (B.). – Mélanges poétiques deHildebert de Lavardin, I, 6.

Histoire littéraire du Maine, I, Notice sur JeanBoucher, 329. – XI, 325.

HAUSER. – L'Humanisme et la Réforme enFrance (Études sur la Réforme française). I,l'humanisme, 5, 6 ; Marguerite d’Angoulême, 10.

HAUTES-BRUYÈRES (abbaye de). – II,464. – XI, 340.

HAUTEVILLE (Nicolas de). – Les Caractèresou les Peintures et la vie du bienheureux François, I, 321.

HAVET (Ernest). – IV, 330.HAYES (P. des), s. j. – VIII, ses cantiques

spirituels, 307.HAYNEUFVE (P. Julien), s. j. – IV, 17, 198.

– V, 9. – S., recommande les formes d'oraisonvocale, 77 ; 79.

L'Ordre de la vie et des mœurs, I, les passionshumaines. 365 ; nature et surnature. 366, 367.

Méditations sur la vie de Jésus-Christ, III, 262.Méditations pour, le temps des Exercices.... IV, du

péché véniel, 144.HÉBRARD (dom), bénédictin. – IV, à

propos du « Tu ne me chercherais pas... » dePascal (article dans Les Cahiers), IV, 378 ; 381.

304

HEDLEY (Mgr). – XI, contempler c'estaimer, mais d'un amour plus pur, 402 ; 403.

HEILER (Friedrich). – VII, 8. – S., 13.La Prière, X. 12. v. Père d Alès.HELLO (Ernest). – VIII, 33. – X, 264.Le Siècle, III, M. Olier et son groupe, 123,

124.Œuvres choisies de J. Ch. de Matel, VI, 269 ;

critique de cette édition, 269 : 295-299 ; l'or et leclinquant de son style ; digression sur le styleprophétique, 295, 296 ; définition insuffisante dugénie de Jeanne, 298 ; elle ressemble à tous lespoètes chrétiens. 299 ; il ne faut pas la lire de tropprès, 299 ; 305, 312.

HELYOT (dom Ambroise), chartreux, onclede M. Helyot. – V, 314.

HELYOT (Catherine). – V, 314.HELYOT (Claude). – V, 314. eut dessein

d’embrasser l’état ecclésiastique, 315 : apprit àpeindre [120] en Italie, 315 ; épouse Mlle Olivieret, en secondes noces, Marie Hérinx, 315 ; le marid’une sainte ; un ménage mystique ; M. Helyotimite sa femme et la surpasse, 330, 331 ; ses excèsde ferveur, 331 ; sa grande charité, 331 ; les petitsramoneurs, 332.

Œuvres spirituelles de M. Helyot..., V, 315, 330 ;à l'enterrement d’un homme de métier, 332, 333 ;sa marche vers la contemplation, 333, 334 ;commentaire par le Père Crasset, 334 : terreursnocturnes de M. Helyot, 335 ; comment prit fin

305

cette épreuve, 335 ; les cantiques et les silences del’amour, 335, 336, 337 : sur le pur amour. 337,338 ; aimer tout dans l’amour, 338 ; M. Helyotdessina et grava le portrait de sa femme, 338,339 ; sur le Sacré-Cœur, 343.

HELYOT (Jean), bisaïeul de M. Helyot. – V,314.

HELYOT (P. Jérôme), franciscain. – V, 314.HELYOT (les). – V, 170 ; 311-339 ; 380. –

VI, 399. v. P. Jean Crasset.HELYOT (Mme). – V, son portrait, 312, 313 ;

il n’y avait qu’à la regarder pour calmer sespassions, 312 ; ses leçons de lecture, 314 ; aimaitle luxe, comme son mari, 316 ; sa conversion,316 ; ravie d’entendre parler de Dieu, mais lalecture l’incommodait, 317 ; mort de son jeunefils ; un ballet au Louvre ; elle prend pourconfesseur le Père Crasset ; excès de ferveur,318 ; sa vocation mystique, 319 sq. ; commencepar les Exercices, 320 ; passe, après quelquesannées, au repos de la contemplation, 320 ; lesannées de silence, 325, 326 ; elle passe àl’apostolat, 326 ; chez les pauvres, 326 ; demandel’aumône par les rues, déguisée en gueuse, 327 ;son humilité, 327, 328 ; les petites bougies. 328 ;les bouquetières de Paris, 329 ; prophéties etmiracles, 329, 330. – VIII. 293. v. Père Crasset.

HELYOT (Pierre), père de Claude Helyot. –V, 315.

306

HENNEQUIN, docteur en Sorbonne. – III,429.

HENNEQUIN (Jean), procureur de laChambre des Comptes de Rouen ; a fondél’hôpital de Louviers. – XI, 164.

HENNEQUIN (Mme). – XI, 164, 167, 168. v.Catherine Le Bis.

HENRI III. – II, 145 ; lettre au Provincialdes Capucins, 146, 147 ; sa lettre au Frère Angede Joyeuse, 147 ; offre à M. de Fontaines(Antoine du Bois) la charge de secrétaire d’État,324 ; 368, 445.

HENRI IV. – I, 155. – II, 41, 64, 83 ; sapolitique à l’endroit des jésuites, 84 sq. ; lettre surles jésuites à Jacques Ier, roi d’Angleterre, 84, 85 ;évolution de ses sentiments à leur endroit, 85 ; 87,89, 97 ; sa dévotion, 98 ; Henri IV et la conquêtemystique de la France, 105 ; la Trêve du Roi, 105sq. ; 148, 150, 155, 194, 201, 212, 292, 368, 419,456. – III, 21, 296.

HENRIETTE-MARIE, duchesse d’Orléans,reine d’Angleterre. – II, 498 – IV, 41. – VI, 240,410.

HENRYS, avocat. – L'Homme-Dieu ou leparallèle des actions divines et humaines de Jésus-Christ, I,plaider la cause de Dieu, 226, 227.

HERBAIS DE LA HAMAIDE. – Voyage deRichelieu et de Bretagne, IX, 236.

HERBERT (George). – III, 333, 477.

307

Le Temple, I, 341 ; thème d’un de ses poèmes,343.

HERBODEAU (P.), s. j. – V, 266.HERCÉ (présidente de), une des

correspondantes de saint François de Sales. – VI,134.

HERCULE AUDIFFRET, Père de laDoctrine chrétienne. – VII, 165-196 ; à Godeau,sur son humeur de faire des vers, 169 ; lettre de[121] l’ermite Palémon à Arthémis, sur sa retraiteen Provence, 170 ; ses retraites parcorrespondance, 182 ; 230, 254. – VIII, 272. – X,204.

Questions et explications spirituelles... sur lepsautier, VII. 166 ; oraison funèbre de Margueritede Jésus (v. ce nom), 172 ; la musique... image del’ordre, 187 ; paraphrase du Psaume LXIV, 187 ;fragilité de l’homme... ; des vices travestis envertus, 188.

Ouvrages de piété, instructions chrétiennes etreligieuses, VII, 166 ; 169 ; oraison funèbre deJeanne de Lorraine, abbesse de Jouarre (v. cenom), 176 ; lettre à un prédicateur sur la manièrede prêcher aux religieuses, 180, 181, 182 ; despéchés légers et secrets, 183 ; pour prier sanscesse, 183, 184 ; sur l’empressement de voir undirecteur, 184 ; lettre à un ami sur les méditationsdont il voudrait lui faire part, 185 ; La Science del'oraison (Ouvrages de piété). 189 ; oraison en unité desujet et d’application, 190, 191 ; oraison d'état et

308

de repos, 191, 192 ; oraison de pénitence, 192 ;objection à l’oraison de pénitence, 192, 193 ;réponse : il faut se défaire de tout attachementpour bien prier. 193, 194, et surtout del’attachement aux grâces sensibles, 195 ; raisonsde la nécessité de ce détachement, 195, 196. –VIII. 397-407 ; fragments d’un sermon sur lavisite des prisonniers, 397 ; l’Eucharistie et le puramour, 399.

Petit traité de style épistolaire à l'usage des moniales,VIII, 399-407 ; le silence est une bonne réponse,405 ; on répond mieux par prière que par lettre,405-407.

HERINX (Jean), père de Mme Hélyot. – V,313.

HERINX (Guillaume), évêque d’Ypres,parent de Jean Hérinx. – V, 313.

HÉRINX (Mme), mère de Mme Hélyot. – V,319.

HERINX (Marie). v. Mme Hélyot.HERMANT (Godefroy). – III, 328.Mémoires sur l'Histoire ecclésiastique, IV, 11 ; 17.

131, 271, 302. – VI, sur H.-M. Boudon, 242. –XI, 188.

Histoire des Hérésies, XI, des Illuminés dePicardie, 104.

Défense de la piété et de la foi de l'Église contre lesimpiétés de Jean Labadie, apostat, par le sieur de Saint-Julien (Mémoires de Feydeau), XI, 173, 176.

309

HERNANDEZ (P. Paul), qualificateur duSaint-Office de Séville. – VIII, 252.

HERP. v. HarphiusHERRERA (P.), s. j. – XI, réponse au Père

Bolgeni à propos de la charité, 258.HERSENT (P.). – III, 173.HERVIN et DOURLENS. – Vie de la Très

Révérende Mère Mechtilde du Saint-Sacrement, fondatricede l'Institut des Bénédictines de l'Adoration perpétuelle duTrès Saint- Sacrement, VI, 386. – IX, 209, 210 ;l’amende honorable prononcée par Auned’Autriche à la mise en clôture des Bénédictinesdu Saint-Sacrement, 212.

HIÉRONYMITES. – II, 8.HIÉROTHÉE (saint). – VI, 35.HILAIRE (saint). – VI, 211. v. dom CoustantHILAIRE DE BARENTON (P.), capucin. –

La Dévotion au Sacré-Cœur, III, saint François deSales et la sainte Humanité de Notre-Seigneur,47 ; 593, 644, 666, 668. – IV, 389.

HILARION (saint). – V, ses exorcismes, 186.– VIII, 99.

HILARION DE COSTE (P.). – Vie duRévérend Père Marin de Mersenne, I. 271.

HILDEBERT DU MANS. – I, XXII ; mot dePierre de Blois sur ses lettres, 5.

HILDEGARDE (sainte). – II, 490, 514. –VI, 193, 269. [122]

310

HISTOIRE LITTÉRAIRE DUSENTIMENT RELIGIEUX : sources, méthode,divisions, I, xi.

HOCQUINCOURT (maréchal d’). – X, 80.HOFFÉE (P. Paul), s. j. – S., 31.HOFMANNSTHAL (Hugo von), – Entretien

sur la poésie (Écrits en prose, coll. Écrits intimes),VII, 134.

HONORÉ DE CHAMPIGNY (P.), capucin.– II, 3, 106, 420 ; prend part à la réformebénédictine, 433 ; ses visites à l'abbaye deMontmartre, 451 : aide aux projets de Marguerited'Arbouze, 506. – VII, 267. v. Mazelin.

HONORIUS D'AUTUN. – X, 83.HOPE SCOTT. – VII, Newman a fait son

oraison funèbre, 176.HÔPITAL DE LA MISÉRICORDE. – V,

332.HÔPITAL SAINT-GERVAIS. – V, 332.HORACE. – IV, 383. – VI, 486. – X, 61, 72,

79, 87, 101, 134. 185.HORGNY (M. d'). – IV, 309.HORLOGE MECHTILDIENNE. v.

Mechtilde du Saint-Sacrement.HORSTIUS (Jacques Merle). – Le Paradis de

l'âme, X, 192. v. Fontaine.HOSPITAL (Louise de L'), abbesse de

Montvilliers. – II, 395 ; érudite et lettrée, 410 ; fitson entrée à Montvilliers, pieds nus, 420.

311

HOSPITALIÈRES DE LA CHARITÉ DENOTRE-DAME. – V, 402, 403.

HOSPITALIÈRES (Sœurs), de Tréguier. –V, 145.

HOTMAN (Antoine), avocat général auParlement, marié à Jeanne Absolu. – XI, 340.

HOUSSAYE (abbé), biographe de Bérulle. –II, 194.

Histoire du cardinal de Bérulle, II. 264, 267.Monsieur de Bérulle et les carmélites de France, II,

286 ; 294, 297, 298. 305 ; son interprétation durôle de Bérulle dans la fondation du Carmel deFrance, 314, 315 ; rencontre de Bérulle et de Mlle

de Fontaines-Maran, 323-325 ; Madeleine deSaint-Joseph et les destinées du Carmel français,326 ; les Reines et leur suite, 327 ; l’apostolat descarmélites, 328, 329 ; Richelieu fait prier leCarmel pour la France, 330 ; 350, – III, 5 ; gravitéprécoce de Bérulle, 9 ; il prend en main lesintérêts des Pères jésuites exilés de France, 16 ;son curriculum vitæ, 20, 21 ; Le Père de Bérulle etl'Oratoire, 21 : ferveur du culte de Bérulle pour laVierge Marie, 88 ; 156 : ferveur liturgique dujeune Oratoire, 180 ; les jésuites et l'Oratoire, 198,199, 202, 204, 206, 215, 216 ; Le cardinal de Bérulleet le cardinal de Richelieu, le Carmel de Troyes etl'anniversaire de la mort de Bérulle, 5 ; activitépolitique de Bérulle, 21 ; 43, 101, 151, 156 ;Condren et Cicéron, 308 ; Condren à laSorbonne, 312.

312

Les carmélites de France et le cardinal de Bérulle.Courte réponse. III, 21 ; 203 ; le Père Cotonencourage Bérulle à écrire un Office de sainteMadeleine, 79 ; lettre de Bérulle au Père Cotonsur sainte Madeleine, 102, 103 : lettre du PèreCoton à Bérulle sur la naissance de l'Oratoire,170 ; 175 ; l'affaire des carmélites, 203-205 : lettredu Père Gibieuf portant défense aux Carmelsfrançais de tout commerce avec Port-Royal, 212.– IV, 32.

HOUTTEVILLE (abbé). – IX, 351.HOUX (Hilarion de Forsan, seigneur du). –

V, 140.HOUX (Mme du), Jeanne Marie Pinczon du

Hazay, mariée au seigneur du Houx. – V, 109.140 ; dirigée par un carme, le Père Valentin, 141 ;envoyée par son évêque à Loudun pour étudier[123] Jeanne des Anges, 141 : crut presquetoujours que la Mère Jeanne des Anges était dansl'illusion, 142 sq. ; sa vocation extraordinaire,143 ; sa mission dans les maisons religieuses, 144sq. ; sa mission dans le diocèse de Tréguier, 145 ;la mission de Vannes et l’œuvre des retraites,145 : jugement de dom Lobineau sur Mme duHoux, 146 ; a mission d’examiner Jeanne desAnges, 247 : guérit Jeanne des Anges de sesillusions et la pacifie, 250, 251 ; 299. – VI, 440. v.Espay, dom Lobineau. Huby.

313

HOWLEY (J.). – Psychology and Mysticalexpérience, XI, absence des mouvements discursifs,caractère distinctif de l’expérience mystique, 331.

HUBY (P. Vincent), s. j. – V, 6, 8, 68, 90, 91,112 ; fonde l’adoration perpétuelle du Saint-Sacrement, 113 ; dit que les « voies intérieures »n’ont jamais été si connues que de son temps,120, 121, 130, 138, 139, 144, 145 ; lettre à Mme duHoux, 145, 146.

Œuvres spirituelles, V, 81, 82. v. Champion.HUDSON (W.-H.). – Un flâneur en Patagonie,

XI, l’esprit, dans la solitude, dégagé du réseau desinfluences extérieures, retrouve sa fraicheur nativeet, cessant en apparence de penser, goûte unrepos inconnu et qui lui semble familier, 431-433.

HUET (Daniel), évêque d’Avranches. – I, seslivres légués à la maison professe des jésuites(Paris). 25. – X, sa refonte du Bréviaired'Avranches, 72 ; 92 ; hymne pour la fête de saintAubert, 164.

Origines de Caen, III, sur le Père Eudes, 592.Mémoires, VI, 504. v. Travers, G. Mancel.HÜGEL (baron de Fr.). – The Mystical element

in religion, V, sur l’hystérie, 205.I 23HUGO (Victor). – I, 204. – VI, 495. – X,

101, 154.HUGUENY (P.), o. p. – XI. 363.HUGUES DE SAINT-VICTOR. – I, 116. –

VII, 49. – X, 83, 115, 213.

314

Exposit. in hierarch. cœlest. Dyon., II, 596.HULST (Mgr d’). – S., 132.Mgr d'Hulst et les Exercices de saint Ignace

bibliothèque des Exercices), III, 113.HUMANISME. – Humanisme de la

Renaissance, I, 7 ; humanisme n’est pas vertu ;manque parfois d’humanité, 9 ; sa doctrinefondamentale, 10 ; son histoire vraie reste àécrire, 16.

HUMANISME CHRÉTIEN. – I, sathéologie est celle de l'Église, 9 ; met en lumièreles vérités les plus consolantes ; croit que ledogme central n’est pas le péché originel mais laRédemption, 11 ; ses adversaires, 13. 14 ; allianceavec la Contre-Réforme, 15 ; se distingue del’humanisme dévot, 17 ; l'humanisme chrétien etles mystiques de la Contre-Réforme, 522, 523.

HUMANISME DÉVOT. – I, applique auxbesoins de la vie intérieure les principes et l'espritde l'humanisme chrétien, 17 ; progrès etmanifestations diverses, 187-385 ; printemps dela dévotion, 187 ; écrivains rebelles à la révolutionclassique dans un siècle (celui de Louis XIII)étincelant et bizarre, 188 ; culte des poètes. 189 ;mélange du sacré et du profane, 193 sq. ; les filsde l'humanisme prétendent que les choses belles,où qu’elles soient, leur appartiennent, 194 ; poésiechrétienne, 195 ; les poètes chrétiens au XVIIe

siècle, 198 sq. : cantiques populaires, 206 sq. :poésie mystique, sublime ou bégayante, 210 sq. ;

315

paroles saintes sur des airs frivoles, 211 ; leshautes études religieuses. 219-338 ; aux XVIe etXVIIe siècles les œuvres dévotes appartiennent à lalittérature [124] universelle, 218 ; une certainedivision du travail fera peu à peu de la littératuredévote une littérature spéciale, 219 ; l’humanismedévot hostile, par définition, à cette séparationdes genres, 219 ; ignorance prétendue du clergéfrançais au début du XVIIe siècle, 220 ; les livresqui se lisaient alors, 221 ; prestige, valeur etrayonnement de la Sorbonne, 221, 222 ;l'humanisme dévot et la scolastique, 223 ;renaissance théologique et renaissance mystique,225 ; les œuvres de haute vulgarisationthéologique, 225 ; le programme de la réformebénédictine, 227 ; l’Abbé doit être savant, 230 ;panégyrique de l’homme docte, 230, 231 ;l'histoire de l’Église passionne les écrivainsreligieux de cette époque. 232 : prestige et actionde Baronius, 233 ; dom Laurent Bénard et l’Églisedes Pères, 234, 235, et les moines du Moyen Age,235, 236 ; Histoire intime de l’Église, 236-238 ;250 ; les humanistes dévots partagent la curiositéuniverselle, la stimulent et l'entretiennent. 257 ;pendant la première partie du XVIIe siècle, lesécrivains religieux sont, pour la plupart, au-dessous du médiocre, 322 ; l’humanisme dévotn’est pas responsable de ces misères, 325 ;sucreries dévotes, 326 ; sérieux, dignité de lalittérature dévote avant Port-Royal, 329 sq. ; de

316

l’importance que la première génération deshumanistes dévots attache à la contemplation desscènes évangéliques, 346 ; foncièrementoptimiste, 359 sq. ; au confluent des deuxoptimismes, celui de la Renaissance et celui desmystiques, il fait la synthèse entre l'un et l'autre,359 sq. ; fondements théologiques de cetoptimisme, 370 sq. ; tendent à confondre les deuxobjets de l'amour, le beau et le bien, 378 : l'amourde la beauté humaine, 379 ; l'humanisme conduitlogiquement au mysticisme, 382 ; 384, 385 ;l’humanisme dévot contre le jansénisme 386-420 ;défiance croissante à l’égard des humanistesdévots, 388 sq. ; l’optimisme chrétien et lejansénisme, 390 sq. ; vertu des humanistes plusexigeante que celle de Port-Royal, 390 ; deuxphilosophies du christianisme, 391 : leshumanistes et la controverse janséniste, 392 sq. ;les humanistes ne paraissent jamais plus humainsque lorsqu’ils glorifient la grâce, 420 ; les dangerspossibles et la fin de l’humanisme dévot, 507-512 ; l’optimisme chrétien, doctrine d’héroïsme,512 : de l’humanisme au mysticisme, 513-524 ;l’humanisme dévot a prévalu pendant la premièremoitié du XVIIe siècle, 512 ; cette prédominanceexplique, en partie, la renaissance mystique de lamême période, 514-516 ; affinités entrel’humanisme et le mysticisme. 516 ; tendancesmystiques de la Renaissance, 516 sq. ; Bembo,Despautère et les philosophes, 519 sq. ; déviation

317

du sens mystique. 520, 521 ; la dévotion del’humanisme dévot et la vie mystique. 523. – IV,l'humanisme dévot et l’école française à proposde Port-Royal), 25 sq. ; a-t-il évolué vers unemondanité appelant une réforme, et a-t-il suscitécelle du jansénisme ; question et réponse. 316,317.

HUMANISME ÉTERNEL. – I, 9.HUMBERT. – Les Origines de la théologie

moderne, I, la théologie moderne, les humanistes etla tradition catholique, 17 ; citation deMélanchton, 517.

HUME. – V. 166.HUMIÈRES (Louise d’), abbesse de

Mouchy. – II, 415.HUMPHREY WARD (Mme). – IV, 252.HUNAULT (dom Laurent), bénédictin,

prieur de Saint-Nicolas d’Angers. – VI, 180.HURAULT (Françoise), femme d’Amos de

Tixier. – I, 296. [125]HURAULT DE CHEVERNY (Madeleine),

prieure, puis abbesse de Gif. – IV, 590, 591.HURAULT DE MAISSE, ambassadeur de

France en Angleterre. – Mémoires, II, vit jouerHamlet à la Cour, 169.

HURÉ (Ch.). – Nouveau Testament, IV, 374.HURET, graveur. – I, XXIII.HUVELIN (abbé). – III, 591. – S., 345.HUYGENS. – IX, 60.

318

HUYSMANS (J.-K.). – I, la Vierge noire deSaint-Etienne-des-Grès, 87 ; 240. – IV, 343. – VI,241, 481. – IX, 195. – X, « oraisons » du XVIIe

siècle, 262-264 ; sur Jeanne de Matel, 264 : ilignore tout du XVIIe siècle, 264.

La Cathédrale X, les « Journées du chrétien »,les « Eucologes ». etc., 262, 263.

HYMNES ET PROSES. – X, La scolagallicane et l'évolution de l'hymne liturgique, 65-100 ; un exemple des restaurations gallicanes, 70-76 ; exégèse lyrique des livres saints ; leshymnographes gallicans ne prient et ne chantentque bibliquement, 76 sq. ; symbolisme statique etspectaculaire des anciennes hymnes ; dynamiquedes nouvelles, 85 sq. ; caractère populaire de noshymnes, 87 ; le lyrisme liturgique de la scolagallicane, 101-140 ; A. le lyrisme triomphant, 103-122 ; B. le lyrisme dramatique, 122-131 ; C. lelyrisme mystique, prière et poésie, 131-140 ;hymnes du nouveau Bréviaire français : strophe(en vers français) d'une hymne pour laCirconcision, 104 ; hymnes et proses pour leCommun des Saints, 112-116 : les Docteurs, 116-118 ; les saints Moines, 118 ; les saintes Veuves,119 ; la Toussaint, 119-122 : du récit évangélique àl’hymne, 122 sq. ; fragments d’hymnes au Sacré-Cœur, 133, 134 ; O quando lucescet tuus, 142 : le riteromain aurait pu s'accommoder et de la prière etde la poésie française, 144-146 ; hymne O Luce quimortalibus, texte complet, 147 ; sa traduction en

319

vers français par Duval, 148 ; traduction anglaised’Isaac Williams, 148 ; hymne Grates, peracto jamdie (texte complet), 149 ; traduction en versfrançais par l’abbé de Majainvillc, 149 : Santeul etCoffin. ou les deux péchés originels de l'hymnairegallican, 150-163 ; Te Deum, traduction en versfrançais, 169, 170 ; le Vexilla Regis, traduction envers français transcrite par s. Fr. de Sales, 170,171 : sur la traduction (en vers) des hymnes dubréviaire par les messieurs de Port-Royal, 174.

Hymni gallicani, X, 59-182.Hymnes selon l'usage de Paris, traduites en vers,

X. 61. 114.Hymnes du nouveau Bréviaire de Paris, traduites

en vers français, X, 61.Hymnes propres des saints patrons des paroisses et

communautés du Diocèse de Paris, citations d'hymnespour les fêtes de plusieurs saints, X, 112-114. v.Ulysse Chevalier.

I

ICARD (H.-I.). – Doctrine de M. Olierexpliquée par sa vie et par ses écrits, III, 420 ; 494 : àpropos du livre de M. Olier : Vie intérieure de laTrès Sainte Vierge, 495, 496 ; union bérullienne etunion mystique, 499 : Olier et Fénelon, 501, 502 ;de la lumière de la foi et des lumièresparticulières, 506, – IV, 29. [126]

Explication de quelques passages des Mémoires deM. Olier sur Marie Rousseau, III, 420.

320

IGNACE DE LOYOLA (saint. – I, sonéloge par J.-P. Camus, 163 ; les ouvriers de laContre-Réforme n'ont pas travaillé dans uneFrance avilie et morte, 220. – II, saint Ignacedisait que sur cent personnes admises à l’oraison,quatre- vingt-dix sont dans l’illusion, 139 ; 176,189, 373, 421, 438, 454, 488. – III, 27 ; lethéocentrisme des Exercices, 29-32 ; 59, 65, 72, 81,116, 120, 124, 138, 145 ; l'école ignatienne en faitd’« actes », connaît surtout les décisions, lesrésolutions, 148 ; 181, 183, 193, 207, 266, 277,278 ; parallèle entre saint Ignace et Condren, 392-397 ; l’examen particulier, 392 sq. ; 422, 527 ;spiritualité ignatienne comparée à celle del’Oratoire, 679-683. – IV, 116, 118, 163 ; laconsolation et l’ascèse ignatienne, 342 ; 387, 392,526, 527, 528. – V, 12, 18, 23, 43, 50, 139, 270,271, 276, 296, 341. – VI, 82, 203. – VII, 37, 84,313, 348 ; pour lui, la prière cherche, elle netrouve ou ne croit trouver que lorsque la motionse fait sentir, 352, 353. – VIII, 54, 201, 202, 204,208, 210, 213, 214, 225, 234, 238, 253. – IX, 44 ;conseillait aux âmes parfaites la communionquotidienne, 71. 72 ; 73 ; lettre à Thérèse Rejadellsur la communion quotidienne, 81 ; 83, 90, 97 ;célébrait la messe à voix haute, 175. – X, 58, 123,270, 272, 287, 295, 335. – XI, 15, 16, 17, 49, 59,187, 200, 255, 258, 262, 263, 270, 296 ; laméthode ignatienne de l'application despuissances est tout ensemble une logique et une

321

rhétorique, 336,337. – S., 23. 33, 34, 37 ; indiqued'un mot dans les Exercices les « actes à poser » etles « vertus » à désirer, 40 ; « professeurd'énergie ». et non d'oraison. 42-46 ; les Exercicessont-ils vraiment un dressage des activités deprière, 43, 45 ; les Exercices... méthode toutemystique d’élection, 46 ; facultés d'ascèse etactivités mystiques, 46 ; 50, 55, 63, 64 ; l’humiliténous instruit et non le discours, 70 ; 73 ; d’uneprière nouvelle que saint Ignace aurait inventée,84-90 ; 97, 98 ; l’interprétation traditionnelle desExercices et l’histoire de la prière, 102-111 ; sa« mystique de l'élection », 102, 103 ; ce qu'était saprière, 103 sq. ; « composition de lieu », 106 ; 111,130, 134, 135, 138, 143, 144, 145, 148, 149, 163,165, 167, 173.

EXERCICES SPIRITUELS, I, Le Pèlerin de Lorettede Richeome fait en chemin les Exercices, 31 ;éloge des Exercices par J.-P. Camus, 161. – II, lesdeux étendards, 111 ; v. Père Joseph, 175 sq. ; lesExercices et la tradition franciscaine, 137, 177 ;375, 422, 489. – III, 17 ; contemplation des deuxétendards amplifie et dramatise un texte deNicolas de Lyre, 29 ; méditation fondamentale,30-32 ; le « revereatur », 34 ; 51, 59 ;considération du profit spirituel, 62 ; 65 ;l’examen particulier, 72 ; les trois degrésd’humilité, 73 ; 94, 125, 129, 181 ; la doctrinebérullienne se concilie sans peine avec lesExercices 200 ; 261 ; parallèle entre saint Ignace

322

(Fondement) et Saint-Jure (de l'Indifférence),267 ; 268, 270, 276, 389, 392, 395, 422, 463, 464,467, 470, 472 ; les Exercices adaptés facilement àl’initiation mystique, 498 ; 680, 681, 682. – IV,140, 162, 163, 169 ; consolation et désolation,339 ; 342, 343, 347. 474, 504, 526, 529. – V, 139,277, 296, 396 397. – VI, 405 : 412. – VII, leurfondement : le fait de la création et les devoirsqu’impose cette vérité ; le fondement dubérullisme : le fait de la rédemption, 117 ; 352,359, 360 ; dans une vieille édition illustrée, unemain représente les cinq « temps » de l'examen,372. – VIII, La Contemplation ad amorem, (Exercices),pourrait être proposée à un incroyant, 23 ; 143,151, 161 ; saint Ignace et la prière. [127] Ce quesont les Exercices. Aucune ambition doctrinale,185 sq. ; intense propagande des jésuites aux XIXe

et XXe siècles pour les Exercices, 189 ; saint Ignaceprescrit de ne permettre que rarement la lecturedes auteurs mystiques, 190 ; les Chartreux deCologne lui dédient une édition de Harphius,190 ; le prestige des Exercices menacé ; réactiondes supérieurs de la Compagnie, 192-195 ; 197,199, 201 ; saint Ignace fait examiner par lesthéologiens le cas des Pères Oviedo et Onfroy, s.j., soupçonnés d'illuminisme, 207 ; n’a pas songé àimposer ses propres vues sur la philosophie de laprière, mais à maintenir le caractère particulier deson ordre, 212 ; lettre à François Borgia relativeaux Pères Oviedo et Onfrov, 215, 216 ; 226, 232,

323

234, 236, 249, 250 ; saint Ignace n’a jamais écritune ligne qui s’oppose à ce que ses fils vaquent àla contemplation, si Dieu les y appelle, 256 :conduit jusqu'à l’extrême seuil de la prière, maisnous y laisse aux soins de l’activité divine, 259 ;rappel constant aux vertus de la vie active, 263,264 ; n’a jamais songé à une prière spéciale quiserait moins prière qu’exercice ascétique, 264 ;283, 285, 286, 287, 324, 357. – X, 5, 311 ; plus onavance dans le XVIIe siècle, plus les spirituels de laCompagnie se désintéressent pratiquement decette méthode ; application des sens,contemplation au sens ignatien du mot, 318. –XI, 31, 269, 335 ; d'un repos actif et procuré parun effort persévérant de la volonté ; il diffèreentièrement de la quiétude mystique, 356. – S.,24, 25, 26, 27, 28, 29, 32, 41 ; tension ascétiquedes Exercices, 55-58 ; 74, 88, 95, 104, 105, 107,118, 128, 129 ; la règle d'or, 132 ; 133 ; la crise,138-140 ; la constitution apostolique Summorumpontificum et la critique des Exercices. 143-145 ;« malaise » et « coup d’état » 146 ; 173.

Constitutions de la Compagnie de Jésus, II, 375. –V, 277, 278. – VIII, 212, 250. – XI, règle 17e ;servir Dieu plutôt pour l'amour de lui-même quepar la crainte des châtiments ou l'espoir de larécompense, 214.

Lettre sur l’obéissance, IV, 41.Bibliothèque des Exercices, X, 331.Monumenta, S., 25, 31.

324

Exercices spirituels et Directoires, S., texteoriginal dans les « Monumenta Ignatiana », 23 :citation du Père Polanque, 40. v. Watrigant,Gagliardi, Saint- Jure, Henri Bremond.

ILLUMINÉS, – Les Illuminés de Séville, XI,57-70 ; leur procès, 62 sq. ; les Illuminés dePicardie, 103-156 ; les Guérinets, 105-113 ; lesdiableries de Louviers, 157-169 ; les Illuminés deMontdidier, 162, 165, 170. v. Alumbrados, abbèCorblet, Père de Salinis, abbé Ducreux, Bergier,Mémoires de Trévoux, Hermant, Père d’Avrigny,Fagniez.

Image du monde (Encyclopédie dévote), I, 255.Imago primi sæculi, I, 21. – IX, 10.IMBART DE LA TOUR. – Origines de la

Réforme, I, le Moyen Age n’aurait pas pénétré legénie et la culture antiques, 5 ; 6 ; les grandshumanistes ne séparent point la culture de lamorale, 516, 517, 522.

Imitation de Jésus-Christ. – I, 224 ; son succèsdans les premières années du XVIe siècle, 522. –II, 346, 347, 490, 604, 605. – III, 27, 497. – IV,347. – V, 238, 273. – VI, 257, 322. – IX, 47. – X,29, 30. – S., 47, 50.

INDEX (Congrégation de l') ; ses décisionsn’engagent pas l’infaillible autorité du Saint-Siège.– V, 155, 156. v. Mgr Baillés.

INGE (W.-R ), doyen de Saint-Paul. –Personal religion and the [128] life of dévotion, VIII,Panmysticisme (texte anglais), 434, 435 ; la

325

surface et la cime de l’âme (texte anglais), 435,436 ; l’extase et les à-côté sensationnels de la viemystique (texte anglais), 436 ; du « mysticismepassionnel » (texte anglais), 436, 437 ; l’ignoratioelenchi de la prétendue « Psychologie religieuse »,437 ; regrette que le mot « expérience religieuse »soit aujourd’hui à la mode, 437.

Outspoken essays, VIII, 434.Bampton Lectures, VIII, 434 : son livre sur

Plotin, 434.Mysticism, XI, la foi est un acte de la

personnalité tout entière, 371.INGOLD (P.), de l’Oratoire. – III, 214, 475.

– VII, 376. – X, 58.Quatre lettres inédites du Père de Condren, III, 182.Considérations sur les mystères de Jésus-Christ (du

Père de Condren). V. ce nom.Histoire de l'édition bénédictine de saint Augustin.

VI, 208 ; a réédité de Malebranche ; Méditationspour se disposer à l’humilité et à la pénitence, III, 219-221. v. Cloyseault, Batterel, Condren et Oratoire.

INNOCENT (P.), s. j. – II, 208.INNOCENT IX, – II, 143.INNOCENT X. – Bref Ex Romani, III,

confirme les constitutions de l’Oratoire, 174 ; lesdeux bulles de 1653 sur la dévotion à la Sainte-Enfance, 570. – VII, 378. – IX, 255.

INNOCENT XI. – VII, 381, – IX, 287, 328.– XI, 278.

INNOCENT XII. – IX, 186.

326

INSTITUT DE L’ADORATIONPERPÉTUELLE fondé par Catherine de Bar. –II, 483.

INSTITUT (parisien) DE L’ADORATIONPERPÉTUELLE. – IX, 210. v. Zamet, domBergh.

Instructions dogmatiques et morales pour fairesaintement sa première communion, IX, 226.

INTROVERSION. v. Quiétude.Inventaire sommaire des registres de la Jurade, V, le

prince de Conti à Bordeaux, 267.ISAAC, anagramme de Saci. – IV, 15.ISABELLE, fille de saint Louis. – XI, 282.ISABELLE DES ANGES (Mère), carmélite.

– II, 300 ; resta en France après le départ descarmélites espagnoles, 302 ; 311 ; le Père Surinenfant fut initié par elle à la vie intérieure, 312 ;319. – V, fondatrice du Carmel de Bordeaux, 162.

ISABELLE DE SAINT-PAUL, carmélite. –II, 300.

ISAÏE – X, 78.ISNARD (P.), s. j. – VI, 271.ISOARD (Mgr). – La Vie chrétienne, de la fête

de l’anniversaire du Baptême, IX, 40.

J

JACOBSEN. – Les Mânes, VII, de l'élémenthumain dans la prière, 10, 11. – S., le besoin desecours, 16.

JACOPONE DE TODI (Fra). – V, 106.

327

JACQUES D’AUCH (P.), capucin. – I, sonentrée avec ses frères, au couvent de Montpellier,141, 142.

JACQUES D’AUTUN, capucin. – Les justesespérances de notre salut opposées au désespoir du siècle, I,392 ; jansénisme, doctrine de désespérance et deparesse, 413 ; [129] la grâce, sœur de l'amour, faittout par douceur, 419.

JACQUES DE JÉSUS – Exercices de dévotionsur la vie de Noire- Seigneur Jésus-Christ et de sa TrèsSainte Mère IX, 280 ; sur Notre-Dame (JeMatarich ; « de l’arrivée de Notre-Seigneur en laville d'Amatheria en Égypte et de son séjour »,287, 288 ; du culte de sainte Barbe, patronne desmourants, 362. – X, 188 ; l’auteur veut faire partaux autres des pieux mouvements et diversesaffections que lui a obtenus la Sainte Vierge, 273 ;pour prier devant la Crèche, 273 : avis au lecteur,311, 312 ; Jacques de Jésus et la contemplationmystique ou romancée des mystères, 311-319 ; ilcontinue la tradition médiévale du Pseudo-Bonaventure, de Ludolphe, de Gerson. etc., 311 ;a publié sous le nom de Jacques de Sainte-Barbe :Entretiens, spirituels pour adorer le Saint Sacrement del'autel et, sous le nom de Jacques de Sainte-Marie :Exercices et considérations très utiles pour une âme dévote,311 ; Litanies des Saints Anges, 188, 311 ; Avis auxâmes dévotes touchant l'intérêt de Dieu négligé, 311 ; lelivre du Bouclier invincible, 312 ; l’Ambassade del'Église souffrante en Purgatoire, 312 ; Ces Exercices

328

donnent des modèles de contemplationimaginative des mystères, 312, 313 ; la naissancede Marie, 313 ; ses fiançailles, 313 ; la Nativité,313 ; Lazare ressuscité, 314 ; Gethsémani, 314 :apparition de Notre- Seigneur à Josephd’Arimathie, 314 ; les dernières années de laVierge, 314 Marthe visitant Marie avant sondépart en Provence, 314 ; départ de Jean deJérusalem après la mort de Marie, 314, 316 ; Jésusau jardin des Oliviers, 315 ; son arrestation, lescruautés de la soldatesque, 316 ; aspiration pourclore l’exercice, 317 ; sa méthode est une de cellesque saint Ignace avait codifiées, 318 ; 319, 320.

Discours sur l’enfance du Fils de Dieu, IX, 288.Petit Office du saint Enfant Jésus, IX. 288.JACQUES DE SAINTE-BARBE et

JACQUES DE SAINTE-MARIE. v. Jacques deJésus.

JACQUES Ier, roi d’Angleterre. – II, HenriIV lui écrit une lettre à propos des jésuites, 84, 85.

JACQUINET. – Les prédicateurs au XVIIe

siècle, avant Bossuet, I. sur l'Introduction à la vie dévote,19 ; 138 ; sur J.-P. Camus. 167. – IV, 14, 21 ; lerigorisme du Père Lejeune, 30.

JACQUINOT (P, Barthélemy), s. j. – I, 329.– II, 242, 438, 488. – V, 236 ; confessa le PèreSurin, au cours des épreuves de celui-ci, 256. –VI, 288. – VIII, 282. – XI, 342.

Adresse chrétienne pour vivre selon Dieu dans lemonde, I, 330. – IX, 130. v. Agnès Dauvaine.

329

JAMES (William). – VIII, 344. – S., 356.The Varieties of religious expérience, II, la

conscience d’une illumination est... la marqueessentielle des états mystiques. 586.

L'Expérience religieuse, III, 343. – IV, laconversion de Henry Alline, 359 ; récit de HenryAlline, 364-366 ; 367. 369, 370. v. J.-B. Pratt,Leuba.

JAMMES (Francis). – I, 40.Géorgiques chrétiennes. VI, 480.JANNEL (dom André), bénédictin de Saint-

Denis. – VI, 181.JANET (Paul). – État mental des hystériques, V,

205.JANSEN (P. T.-X.), s. j. – Baïus et le baïanisme,

XI, 276.JANSÉNISME. – I, 3e partie, ch. I., passim. –

Antimysticisme de Port-Royal, 523, 524 ; Camuset le jansénisme, 164 sq. – IV, du prétendu « stylejanséniste », 3-21 : déviation précoce : l’esprit[130] d'Arnauld substitué à celui de Saint-Cyran,5-7 ; si les jansénistes ont créé le « stylejanséniste », ce fut malgré eux, 14 sq. ;commence-t-il avec Saint-Cyran ou avec le grandArnauld ? 69 sq. ; 83 ; activité des conspirateursde Louvain et importance de leur rôle, 106 sq. ;préjansénisme flamand, 106 ; la hiérarchie et laguerre aux réguliers, 112-117 ; prétend défendrepartout l'autorité épiscopale. 113 ; la restaurationde l’augustinisme, 118-228 ; ses deux fondateurs,

330

Jansénius et Arnauld, ne sont que desintellectuels, 123, 124 ; la paix de l'Église, 241-243 ; le grand Arnauld, le jansénisme et lesentiment religieux eu France pendant le siècle deLouis XIV, 281-317 ; du jansénisme négatif, 300 ;piété catholique des premières générationsjansénistes, 300 sq. ; a tari pour longtemps la sèvemystique de la France, 305 ; a fait des sectairesdans le parti de ceux qui le combattaient, 308 ;influence fâcheuse des polémiques contre lejansénisme sur la vie intime du catholicismefrançais, 310, 311 ; le jansénisme et la retraite dumysticisme, 316 ; la cinquième proposition, 320 ;Nouveau Testament de Mons, 371 ; l’espérancechrétienne consiste, pour les jansénistes, à seregarder comme étant du nombre des élus, 373,374 ; de l’espérance au point de vue catholique etjanséniste, 373, 374. – IX, la tradition unanime dupremier siècle janséniste sur la communionfréquente abandonnée par le jansénisme du XVIIIe

siècle, 71, 72 ; le jansénisme et la dévotion à laVierge, 249. – XI, premiers assauts contre le puramour ; la dixième Provinciale, Ch. VII, in toto.

Unigenitus, (Bulle), IX, 174, 189, 190. v.Bonat, Sainte-Beuve, Lallemant.

JANSÉNISTES. – IV, leur vrai talisman ;leur grand air de religion et d’austérité, 26 sq. ; netrament, tout d'abord, rien contre l’Église, 107sq. ; désir de rester eu communion avec lesUniversités catholiques, 108 ; soumission au

331

Pontife romain, 108, 109 ; désiraient gagner lePape à leur conspiration, 110 sq. ; l'assaut contreles jésuites, 114 sq. ; veulent tout ensembleraisonner et sentir, 169 ; 297 ; bureaux dediffamation, 299 ; la piété de Port-Royal, pas plus« grave » ni moins « puérile » que celle descouvents molinistes, 303 ; ont parlé pieusementde la dévotion au Sacré-Cœur, 303 ; peu à peu,l’organe créera la fonction et la secte, l'hérésie,304 ; le jansénisme du XVIIIe siècle, 304 ; la piétéjanséniste et la certitude au moins implicite dusalut, 327 sq. ; voient dans les douceurs de laprière un « signe » de prédestination, 328 ; ôtentau Père (créateur), pour donner au Fils(rédempteur), 399 ; les quiétistes de Port-Royal,533 ; 536 ; pour eux pas de prière sinondéterminée par une consolation sensible, 567. –VI, leur tapage autour de la Vie de Marguerite-MarieAlacoque, par Mgr Languet, 400. – X, Arnauld et sacritique des actes de contrition, 19 sq. ; 26, 27 ;psychologie janséniste de l’amour, 21-24. v.Bonal, Rapin, Joubert, Sainte-Beuve, Olier, Jurieu,Chanteau. Gerberon.

JANSÉNIUS. – I, Richeome répondd’avance à l’Augustinus, 55 ; 130 ; conciliabulesavec Saint-Cyran, 158 ; l’œuvre de Camus« respire » contre le rigorisme de J., 165 ; 367,387 ; la métaphysique irréelle de J., 396 ; 511 ;Luther et Jansénius, 523. – III, 331. – IV, 19, 29,32, 37, 38, 63 ; lettres à Saint-Cyran, 85-87 ;

332

impression que donnent ces lettres, 87 ; 96, 105,107, 108 ; surnoms employés dans sacorrespondance, 108 ; sa soumission au lit demort, 109, 110 ; 111, 112 ; sur les réguliers, 115 ;lettre contre les jésuites à propos de lacanonisation de saint Ignace, [131] 116, 117 ; sonacharnement et celui de son parti contre lesjésuites, 117 ; 119 ; lettre à Saint-Cyran (avril1619), 120 : lettre à Saint-Cyran (octobre 1620),121 ; il « découvre » saint Augustin et les cinqpropositions, 121 ; lettre du 5 mars 1621 sur saintAugustin, 122, 123 ; sa découverte de saintAugustin et des cinq propositions n’a rien dereligieux, 123 ; la conspiration de Bayonne, 124-126 ; 128, 130, 138, 153, 211, 224, 230, 232, 233,241, 246, 319, 320, 324, 330, 378, 385, 390, 391,404, 409, 410, 413, 416, 423, 426, 427, 428. 429,435, 438, 445, 454, 592, 594. – V,prodigieusement intéressé par les livres de Pierrede Lancre sur les magiciens et sorciers, 194. –VII, 392. – IX, 10, 288. – X, 42, 44, 144, 160. –XI, 208, 222, 257, 275, 276, 277, 278.

Augustinus, II, 161, 201. – IV, 4, 81, 119, 121,124, 126, 127, 128, 131, 209, 285, 300, 302, 304,311, 347, 370, 423, 427. – IX, 210. – XI, 188, 274,277.

Jansénius... sa soumission au Saint-Siège, par desmembres de l’Université de Louvain, IV, 87.

333

Institutiones in linguam hebraicam, Quinquarbre,Jo, Aurilaceus (Jansénius), IV, 108. v. Pinthereau,dom Gerberon, Chérot.

JANSON. – IV, 121, 126.JANSSEN. – III, 112.Montaigne fidéiste, IX, croire aux promesses de

béatitude pour ne pas craindre la mort, 377.JARENTE D’ARDAILLON (Mme Romane

de), abbesse de l’abbaye bénédictine de Saint-Jean-le-Vieux. – II, 31.

JARENTE DE MONCLAR (Anne de) et laréforme dominicaine. – II, 32.

JAUBERT (P. Jean), de l’Oratoire. – II, 24.JAY (Marie). – VI, « la sainte chambrière de

Billom », 271 ; par une simple pensée s'abîmait euDieu, 272.

J.-B. C. (Père), de l’Observance de Saint-François. – VI, 434.

La vie et les vertus de la sœur Germaine d'Armaing,religieuse des Pauvres Filles de Sainte-Claire du faubourgSaint-Cyprien de Toulouse, avec ses lettres spirituelles, VI,434.

JEAN (Frère), ermite du Mont-Valérien. – II,449, 450.

JEAN-BAPTISTE (saint). – X, 123.JEAN CLIMAQUE (saint). – IV, 254. – V,

42.L'Échelle sainte ou les degrés, composés par saint

Jean Climaque, traduits du grec en français par

334

Arnauld d’Andilly, IV, 251 ; le solitaire et lagrappe de raisin, 251. – V, 44.

JEAN CHRYSOSTÔME (P.), du tiers ordrefranciscain. – I, 248, 265, 297. – VI, v ; initiateuret maître du groupe Bernières, 233 ; biographie,235. 236 ; avait fondé une « Société de la sainteAbjection », 236.

Traité de la désoccupation des créatures, VI, 236. v.Boudon, cardinal Mathieu, M. Souriau.

JEAN CHRYSOSTÔME (saint). – III, 515.– IV, 389, 492, 530. – V, 339. – IX, 11, 14.

JEAN DAMASCÈNE (saint). – VII. 6, 8. –S., 12.

JEAN DE CARTHEY (F.), carme. – V, 98.JEAN DE DIEU (P.). – Contemplation, XI,

400.JEAN DE LA CROIX (saint). – II, 158, 181,

273, 286, 298, 337, 376, 488. – III. 502, 506. – IV,le zèle inquiet des commençants, 349 ; 370, 473,492, 493, 498, 540 ; « 1a théologie mystique est laconnaissance mystérieuse et surnaturelle deDieu », 552 ; 555, 558, 566, 577, 578. – V, 36, 64,74, 308. – VI, 7, 31, 93, 111, [132] 139, 233, 251,269, 314, 323, 457. – VII, 148. – VIII, 192, 305,322, 381, 384. – XI, 5, 67, 95, 120, 151, I52, 212,332, 333, 339, 356, 376, 380 ; vouloir savoir deschoses par voie surnaturelle est bien plus bas quede vouloir d’autres goûts spirituels dans le sens,384 ; définition de la contemplation, 395 ; laconnaissance de Dieu ne surgit que de la

335

connaissance de soi, 409 ; 410, 416. – S., 119,147.

Vive flamme, IV, 538.Montée du Carmel, XI, deux sortes de

sentiments spirituels, 402. v Jean Baruzi.JEAN DE SAINT-FRANÇOIS (dom

Goulu), feuillant, traducteur du Pseudo-Denys,du Manuel d’Épictète auteur d’une Vie de saintFrançois de Sales, des Lettres à Phyllarque contreBalzac. – II, 9 ; son entretien avec François deSales sur Mme Acarie, 235, 236. – VI, 35.

JEAN DE SAINT-SAMSON, carme, I, 267.– II, 2, 158 ; 363-393 ; l’organiste aveugle. Il se lieavec le Père Mathieu Pinault, 366 ; au couvent deDol, 367 ; enfance et jeunesse, 368 sq. ; sesprogrès dans la musique, 369 ; il quitte son tuteur,370 ; noviciat 5 Dol, 371 ; la peste de 1607 ;dévouement de Jean de Saint-Samson ; 371 ;principal collaborateur du Père Thibaut, 376 ; sonprestige, 377 ; les possédées de Loudun, 377 ; sesépreuves, 377 sq. ; les signaux mystérieux, 378 ;débuts ignorés de son initiation mystique, 378,379 ; il a grandi seul, 379 ; le Jean de la Croix desCarmes français, 379 ; enquête sur les « états »,379, 380 ; il reçoit l'ordre de communiquer sesinspirations, 380 ; son oraison, 383, 384 sur lessommets de la théologie mystique, 384, 385 ; nipanthéisme, ni quiétisme, 385 ; élève du pseudo-Denys et des mystiques allemands, 385 ; la« guerre ou combat d’amour », 386 ; la plus haute

336

extase, 387, 388 ; ses disciples, 388. – IV, 492. –V, 119. – VI, IV. – XI, 325.

Vrai esprit du Carmel, II, la contemplationforme l’esprit principal de l’Ordre et donne desrègles pour s’incorporer cet esprit, 376.

De la consommation du sujet en son objet, II, 380.Cabinet mystique, II, 380.Méditations, II, 380.De la souveraine consommation de l’âme en Dieu par

amour, II, 381.Le Miroir et les flammes de l'Amour divin. II, 381.Contemplations et divers soliloques, II, 381.Vie de Jean de Saint-Samson par le P. Sernin de

Saint-André. v. P. Sernin ; Père Donatien deSaint-Nicolas, Philippert Thibaut, Dominique deSaint-Albert, Léon de Saint-Jean, Lobineau deSaint-André.

JEAN-LOUIS DE SAINT-AUGUSTIN (P.),carme. – VI, 432.

JEAN-MARIE de Vernon (P.). – La Vie de laV. M. Marguerite-Marie de Saint-Xavier, V, del’attachement aux charges, 168. – VI, 396, 397.

JEAN XXII. – II, 31.JEANNE D’ARC. – V, 123. – XI, 108, 109,

144.JEANNE DE JÉSUS (Dauphine Lanfrèze,

fondatrice de six maisons d'Ursulines. – II, 33. v.P. Henry Albi.

JEANNE DE LA NATIVITÉ, ursuline. –Le triomphe de l'amour divin dans la vie d'une grande

337

servante de Dieu, nommée Armelle Nicolas, V, 82, 120-138.

JEANNE DE LORRAINE, abbesse deJouarre. – VII, son oraison funèbre par le P.Hercule Audiffret : exorde, 177 ; de la lecture desromans, 179.

JEANNE DES ANGES (Mère), ursuline. –III, 620. – V, 150, 153, 169, 172, 177, 178-251 ;une malade qu'il ne convient pas d’assimiler auxsaintes authentiques, [133] 201 ; sonautobiographie ; les souvenirs du Père Surin dansle Triomphe de l'Amour divin. 202 ; mimétismespirituel, 203 ; sa guérison par saint Joseph ; unonguent prétendu céleste, 204 ; enfance etjeunesse, 204, 205 ; « penchants déréglés », 205 ;personne ne l’aime et elle n'aime personne, 206 ;entre, à dix-huit ans, chez les bénédictines deSaintes, 206 ; ses débuts dans la vie religieuse,206, 207 ; premiers essais de cabotinage spirituel.207, 208, 209 ; travail parallèle de la grâce, 209,210 ; son égoïsme foncier, 211 ; elle intrigue pourêtre envoyée à Loudun, 211 ; nommée prieure deLoudun, 212 ; le couvent divisé, 213 ; son goûtexcessif pour le parloir ; elle y a couvé sa folie,213 ; « affections déréglées », 214, 215 ; lescommérages du parloir, 216 ; comment expliquerles remords qu’elle avoue ? 216 ; UrbainGrandier, 216 sq. ; l’affaire de Loudun et la demi-responsabilité de Jeanne, 217 sq. ; peu pressée devoir la fin de sa possession, 223 sq. ; lutte contre

338

le Père Surin, 225 ; son rôle après le départ duPère Surin, 237 ; la possession dure encore, 238 ;prétend ne pouvoir être guérie que sur letombeau de saint François de Sales, 238 ; lesstigmates, 239 ; vision de son ange gardien, 239.240 ; la grande guérison de Jeanne et le baume desaint Joseph, 240, 241 ; 251 ; excellait àconfectionner des onguents, 241 ; son voyagetriomphal à Annecy, 242 sq. ; caractères impriméssur sa main gauche, 242 ; 246, 251 ; exposée aupublic chez M. de Laubardemont, 243 ; reçue parle cardinal de Richelieu, 244, 245 ; sa réception àla cour, 245, 246 ; son prestige spirituel, 247 ; semêle de diriger le Père Surin, 247, 248 ; réponseau Père Surin sur le commerce de demandes et deréponses qu’elle entretient avec son Ange gardien,249. 250 ; expiation suprême, 250 ; 281, 309, 384,392 ; opinion d'un exorciste contemporain, 397,398. – VI, 111 : réponse de M. H. Bremond auchanoine Saudreau, 440. – XI, 137, 158.

Abrégé de In vie de la Mère Jeanne des Anges,inséré dans le Triomphe de l'Amour divin. V, 201,202. V. Mme du Houx, Ursulines de Loudun, PèreSurin (Triomphe de l’Amour divin), Père deBonniot, Dr Légué, abbé Leriche.

JEBB (sir Richard). – I, éloge de Gerbert(Cambridge modern history), 4, 5.

JEGOU (P. Jean), s. j. – L'usage du sacrement dePénitence, IX, 334. – XI, de l’attrition et de lacontrition, 307, 308 ; 319

339

JENNESSEAUX (P.). – I, 146.JÉRÔME (saint). – III, de la vaine

contention en argumentant et présomption detout savoir, 313. – IV, 247, 254. 263. – V, saintHilarion et saint Jérôme, témoins de la traditionen matière d’exorcisme, 186. – VI, 208, 209 ; saversion du Livre de Job, 210 ; 405. – VIII. 99. –IX, sur l’Amen, 176, 177. – S., 166, 329.

Vie de saint Hilarion, V, sage conduite du saintau cours d’un exorcisme, 192.

JÉRÔME DE POLIZZI (P.), général descapucins. – II, 143, 144.

JÉSUITES. – I, Camus et la Compagnie deJésus, 159-163. – II, l'Édit de Rouen, 90 sq. ; lesjésuites et la mystique, 138-140 ; leur influencedans la réforme des abbayes bénédictines, 438sq. ; accueillent chaleureusement le Traité del’Amour de Dieu de saint François de Sales, 582. –III, les jésuites et Pierre de Bérulle, 15 sq. – V,l'École du Père Lallemant. et la tradition mystiquedans la Compagnie de Jésus, Tome V in toto ;idéal sobre, volontaire, méthodique, 12, 13 ; letroisième an, 13. 14 ; prétendues infiltrationsjansénistes dans la Compagnie, 15, 16 ; les [134]jésuites et l’action, 26, 27 ; Status collegiiCorisopitensis, 112 ; les « retraites », une de leursgloires, 139 ; les jésuites et l’évolution dusentiment religieux, 139 ; 152, 270. – VII,parallèle (par l’abbé F. Vincent), entre lebénédictin et le jésuite, 30 sq. – VIII, les

340

commencements de la réaction ascéticiste dans laCompagnie de Jésus, 186-195 ; Constitutions, 188 ;les premiers spirituels de la Compagnie ne seréclament pas des Exercices, 189, sq. ; les premiersjésuites auraient désiré qu’une part moins réduitefût faite à la prière dans les Constitutions qui sepréparaient, 212 ; vocations à la vie érémitiqueparmi les premiers jésuites, 213 ; critique de« l'oraison pratique o non en elle- même, maisdonnée comme la vraie prière, 263-269. – IX, lesjésuites et la Communion fréquente, 72 sq. ; lesjésuites français et la campagne contre lafréquentation démesurée de la communion, 80sq. ; contre la traduction de l'Ordinaire de lamesse, 19 ; dévotion à la Vierge, 250 ; la IXe

Provinciale, 252. – XI, les jésuites et la diffusiondu quiétisme au temps de Louis XIII, 170-183 ;les théologiens jésuites et l’amour pur, 257 sq. ;comment Sirmond et des jésuites ont été amenésà minimiser l’obligation d’aimer Dieu, 270 sq. –S., Il y a toujours eu, dans la Compagnie,d’insignes spirituels pour protester contre ladictature de l’ascèse, 110 ; certains tiennent lesExercices pour un Manuel d’initiation à la plushaute mystique, 110 ; démêlés avec Bérulle etl’Oratoire, 197-215 ; les jésuites ont cru quel’Oratoire méditait leur ruine, 200 sq. ; les plusgrands spirituels de la Compagnie au XVIIe sièclese sont ralliés à Bérulle, 200 ; leur Mémoire contreBérulle 200 sq., 204 ; jésuites bérulliens. 268-279.

341

Constitutions, I, 23.Ratio studiorum, I, 29.Ménologe, VI, 442.Sommaire des Constitutions, III, 184.v. Bainvel, Grou, Gallifet, Lallemant, dom

Guéranger, Journal de Trévoux.JÉSUS ENFANT. – III, l'esprit d’enfance et

la dévotion du XVIIe siècle à l’Enfant Jésus, 511-582 ; progrès de la dévotion à l’Enfant Jésusdepuis les premiers siècles jusqu’à Bérulle etoriginalité de la dévotion bérullienne, 516 sq. ; lesens où cette dévotion conduit est fort et sévère,516 sq. ; l’enfance, l’état le plus vil et le plus abjectaprès celui de la mort, 517 ; Confrérie de l’EnfantJésus, 520 ; la famille du saint Enfant Jésus, 544sq. ; 558, critique de la doctrine bérullienne ; lesattraits de l’enfance, 522, 523 ; espritd'anéantissement, 525 ; les docteurs de l’espritd'enfance, 525 ; « n'être plus le propriétaire desoi-même », 527 sq. ; un bérullisme attendri etplus humain, 527 sq. ; abandon, au lieud’anéantissement, simplicité au lieu d’oubli de soi,528 ; consécration de M. de Renty à l’EnfantJésus, 529, 530 ; pour devenir populaire, ladévotion à l’Enfant Jésus devait s'écarter del'austérité bérullienne, 530 ; le Petit Office dusaint Enfant Jésus et l'institution de sa Famille parsœur Marguerite du Saint-Sacrement, 558 ; 569 ;les deux images de Beaune, le petit Roi de Gloire,549-552 ; triomphe du « Petit Roi de grâce » à Aix

342

et à Marseille, 570 sq. ; sur le « Petit Roi degloire », à propos de la vision de Jeanne Perraud,576 sq. ; vision de Jeanne Perraud, instinct desâmes pieuses à associer aux mystères de l’Enfanceceux de la Passion, 576, 577 ; la dévotion à JésusEnfant, sorte d’acheminement à la dévotion deParay, 581. v. École française, Marguerite deBeaune, Garat, Condren. Jeanne Perraud.

J.-L. C., curé de Savenez. – Traité historique desanciennes cérémonies de l’Église dans [135]l'administration du Sacrement de Baptême, IX, 22.

JOANNES A JESU-MARIA. – V. 276.JOB. – III, 417.JOFFRE. – S., 155.JOGUES (B. P.), s. j. – VI, 128.JOHANNET, – Lettres sur les ouvrages de piété,

IX, contient un long développement sur lerenouvellement des vœux du Baptême, 38 ;mandement de Mgr Mongin, mandement de Mgr

Vintimille, 38 ; mandement sur un miracle àArras, 39.

JOHNSON (Dr). – I, 173.JOHNSTON (P.). – IX, 264.JOINVILLE (Jean, sire de). – I, 183, 184. –

XI, 205, 212, 273, 301.JOLY (Bénigne). – IX, sa dévotion au

Baptême, 37.Vie de Bénigne Joly, X, la majesté de la

cathédrale de Reims lui inspire la résolution d’êtreprêtre, 348. v. dom A. Beaugendre.

343

JOLY (Claude). – Avis chrétiens et moraux pourl’institution des enfants, IX, qu’il faut donner auxenfants une grande idée et une forte opinion deslivres saints, 327, 328.

Petit traité de l'orthographe française, IX, 328 ; surÉrasme, 328 ; lire aux enfants des livresconcernant les mœurs, 329 ; faire apprendre auxenfants de petits abrégés de l'Écriture sainte, 329.v. Jean Brissaud.

JOLY (Henri). – Sainte Thérèse, II, méthode depiété des jésuites, claire, pratique, raisonnée, 138.

Le Vénérable Jean Eudes, III, 584, 591.JONAS, évêque d'Orléans. – IV, 548, 569.JORET (P.), o. p. – La Contemplation mystique,

VIII, 21. – IX, les conditions d'une bonnecommunion, 128. – S., 139.

JOSEPH (P.), carme. – II, 305.JOSEPH DU TREMBLAY (P.), capucin

(Éminence grise). – II, 8, 96, 158 ; 168-192 ; lePère Joseph et Richelieu, 168 ; diplomate ethéraut de l’amour divin, 169 ; comparé à Bossuet,171, 172 ; son génie allégorique, 173 ; à l’école desaint Ignace, 174 ; modifications apportées à latradition franciscaine, 174 ; son oraison et le jeudes facultés intellectuelles, 176, 177 ; il veut unefoi peu curieuse de voir et de sentir, 177 ;représente la tradition la plus vénérable, 181 ; lesecret du Père Joseph, 186 ; a-t-il pu rester ledisciple de Canfeld ? 187 ; prêche la dévotion auSacré-Cœur, 189 ; le Calvaire et la

344

« modernisation » de l’Ordre bénédictin, 189 ; sondévouement aux Filles du Calvaire, 190 sq. ; sesnombreux écrits à leur usage, 190 sq. ; tristesse decertains de ses écrits, 191. – III, 21, 328, 337. –IV, son rôle dans le procès de Saint-Cyran, 87. –VII, 267. – VIII, 219. – IX, 50. – XI, son rôledans l’affaire des Illuminés, 88 sq. ; il fait arrêteret conduire à la Bastille deux capucins et unimprimeur, 89 ; 107, 108, 110 ; fait examinerMadeleine de Flers, 144 ; 147, 151, 157, 158, 162,222.

Introduction à la vie spirituelle par une facile méthoded’oraison, II, les livrées de l'Enfant de Bethléem,141 ; 169 ; les aigles séraphiques, 170, 171 ; lechariot triomphant, 171 ; les grenouilles, 172 ;l'orgueil et la paresse vautrés dans l’étable de leurssentiments, 173 ; de la quiétude commençante, etqui passe, 173 ; du temps perdu aux examensscrupuleux, 173, 174 ; cette « méthode » est unegymnastique ignatienne, mais pratiquée dansl’attente du don mystique, 175 ; résumé de cetteméthode, 176 ; une méditation sur l’enfance duChrist, 177, 178 ; la Crèche et le berceau deMoïse, 178-180 ; la mystique proposée auxcommençants, 181, 182 ; sur les ennemis de lamystique, 184, 185 ; la [136] quiétudecommençante, le second degré d'union, 185, 186 ;les âmes séraphiques, 192.

Les dix jours, retraite prêchée aux Calvairiennes, I,138. – II, 190. 191, 192.

345

Vocation des religieuses de la première règle de saintBenoit, II, 190.

Histoire de Mme Antoinette d’Orléans, II, 190.JOSSET (Elie). – X, 42.JOUAULT (dom), bernardin, abbé de

Prières. – IV, le cabinet d’Allemagne de Saint-Cyran, 60 ; rôle de dom Jouault dans le procès deSaint-Cyran, 75, 88, 89 ; aurait essayé de ramenerPort-Royal à l’observance primitive, 90 ; domJouault et Zamet, 93 ; 96 ; sa déposition au procèsde Saint-Cyran, 100-104. – XI, 117, 124, 125, 126,222.

JOUBERT (Joseph). – I, de l'égoïsme moral,521, 522. – IV, 24, 25 ; les jansénistes ôtent auPère pour donner au Fils, 399 ; 401. – VI, 174.

JOURDAIN (Mme). – II, 290-308 ; son entréeau Carmel sous le nom de Louise de Jésus, 308.

Journal de Trévoux. – VI, 8.JOURNEL (Simon), père d’Antoinette de

Jésus. – VI, 340, 341.JOUSSAUD. – VI, 426. v. Esprite de Jésus.JOUVENCY (P.), s. j. – I, 4. – X, 89, 321. v.

Pomey.JOVY (Ernest). – I, XIII. – IV, éditeur des

Mémoires de Beurrier, 406. – X, 293, 346.Pascal inédit, IV, Pascal et la grâce de prier,

321 ; Beurrier et Pascal, 406, 408. – IX, Lescontemporains de Pascal d’après les mémoires inédits duPère Beurrier ; Beurrier et les pratiques religieuses

346

de son enfance, 326. – X, élévation devant la mer,par le Père Beurrier, 302-305.

Écrits sur la grâce (Pascal), IV, 381.Une mystique en pays perthois au XVIIe siècle.

Marie Dorizy de Verzet..., VI, 382, 383.Éludes pascaliennes, l'almanach spirituel de M.

Pascal, IX, 288.Mémoires de M. Feydeau (Société des Sciences

de Vitry-le- François), IX, 58, 354. – XI, 175.JOYARD (P.), s. j. – IX, 40.JOYEUSE (Ange de). – II, 142-152, sa

vocation. 145 ; reprend la cuirasse, 148 ; Benoîtde Canfeld lui rappelle sa vocation, 150 ; ilreprend la corde et l’habit de capucin, 151 ; 420 ;auxiliaire de la réforme de Montmartre, 451.

JOYEUSE (Anne de), amiral, frère d’Ange deJoyeuse. – II, 145.

JOYEUSE (cardinal de). – II, sa rencontreavec son frère Ange de Joyeuse, 143, 144.

JOYEUSE (Catherine de), fille de Henri deJoyeuse. v. Catherine de Joyeuse.

JOYEUSE (Guillaume de), lieutenant-généraldu Roi. – II, 143.

JOYEUSE (Henri de), comte de Bouchage.v. Ange de Joyeuse.

JOYEUSE (Mgr de), archevêque de Rouen. –III, 607.

JOYEUSE (Scipion de), gouverneur duLanguedoc. – II, 148.

347

JUDDE (P.), s. j. – VIII, 182, 323. – X, 252.– XI, ne pas regarder l’attrition comme un actesimple, 309. 310, 319.

Instructions, IX, 155.Œuvres spirituelles, IX, critique de la méthode

d'entendre la messe qui consiste à s’unir auxparoles et aux gestes du prêtre, 165, 166 ; deuxméthodes pour entendre la messe, 196 ; sur lesprières de Pellisson pour la messe, 198 ;paraphrase du Credo, 199, 200 ; paraphrase duSuscipe, 200 ; 202.

JUDÉAUX (P.), s. j. – S., 131.JULIENNE DE NORWICH. – I, 467.JUMIÈGES (abbaye de). – VI, 82. [137]JURIEU. – IV, 288, 305. – IX, sur le livre de

la Vraie dévotion à la Sainte Vierge, par le PèreCrasset, 264.

L’esprit de M. Arnauld, IV, Antoine Arnauldidolâtre de ses propres écrits, 288 ; les jansénistes,désespérément vindicatifs, 297.

JUSTE-LIPSE. – IV, 37, 132, – IX, 285, 288.JUSTIN (saint). – S., 329.

K

KANT (Emmanuel). – I, remarque au sujetdes Provinciales, 394. – IV. 155, 264.

KEATS (John). – Ode sur un vase grec, VI, III.KEBLE (John). – Christian Year, I, 341.De Poeseos vi medica, VIII, 53.KEMPIS (Thomas A.). – S., 289.

348

KÉRAUDRET (Anne). – V, a joué un rôledans les missions bretonnes, 108.

KERBIC (Yves). – I, 222.KERDANET (Miorcec de). – Notices

chronologiques sur les théologiens... et historiens de laBretagne, VI, 416.

KERDERF (Marguerite de), organisatricedes Retraites de femmes (Bretagne, XVIIe siècle). –V, 139.

KÉRIOLET (Pierre de). – V. ses relationsavec le prince de Conti, 267. – VI, 440. v. LeGouvello.

KÉRISAC (M. de). – V, 113, 115.KERLIVIO (M. de), vicaire général de

Vannes, créateur, avec le Père Huby, des Retraitesd'hommes (Bretagne, XVIIe siècle). – V, 114, 139,145 ; sa vie, par le Père Champion, 114.

KÉRODERN (les), ancienne famille duLéon, ascendants de Michel Le Nobletz. – V, 90.

KERVILER (René). – La Bretagne àl'Académie française, III, Buffon et Coëtlosquet,591.

Jean Desmaretz, sieur de Saint-Sorlin, l’un desquarante fondateurs de l'Académie française, VI, 445 ; lelivre de Desmarets et le Génie du Christianisme, 447,448 ; 452, 481 ; la légende de la folie deDesmarets, 486 ; publication de l’Avis du Saint-Esprit, 487 ; le plan de bataille, 488 ; sur La MotteLe Vayer et Desmarets 497, 503.

349

KIRCALDI (Marguerite de), abbesse deSaint-Pierre de Reims. – II, 395, 418, 426.

KIRK (K.). – The vision of God (BamptonLectures), XI, du mot « ascéticisme » 187, 188, 189.

L

LABADIE (Jean). – XI, 156, 173 ; quitte laCompagnie de Jésus et finit par embrasser leprotestantisme, 173-176 ; 179, 180, 181, 182.

Quatre lettres sur l’Oraison et la contemplationchrétienne, adressées à Mlle Schurmann, XI, 176. v.Bertrand (Lansinay). Sabré, Jovy.

LABANDE. – VI, 427.LABARDE (P.), o. p. – Le théâtre sanglant de

sainte Catherine martyre..., I, 242.LA BARDE. V. Barde.LA BARRIÈRE. v. Barrière. [138]LA BAUME LE BLANC DE LA

VALLIÈRE (G. de). – La Lumière du chrétien,erreur de désirer un agrément sensible pour sortirde l’état de péché. IV, 568.

LABBE (P. Philippe), s. j. – IV, 19. – V, 68. –VI, 402.

LABBE DE CHAMPGRAND (Ferdinand).– III, a édité et commenté Pietas seminarii sanctiSulpicii, auctore J.J-. Olier, 420, 531.

LA BÉGASSIÈRE. v. Bégassière.LABERIUS. – Mimes ou sentences, IX, 329.LA BLÉTERIE (abbé de). – IV, sur

Tillemont, 259.

350

LA BORDE (P. Vivien de), de l'Oratoire. –Conférences familières sur les dispositions nécessaires pourrecevoir avec fruit le sacrement de Pénitence, XI, c’estdéjà aimer que de désirer l’amour ; attrition etcontrition, 315-317 ; 319.

LABOULAYE. v. Boutmy.LA BOURDAISIÈRE. v. Bourdaisière.LA BRETESCHE (de), v Bretesche.LA BROUE, évêque de Mirepoix. – IX, 146,

154. 155.LA BRUNETIÈRE, évêque de Saintes,

hymnographe. – X, 88, 91.LA BRUYÈRE. – I, 138. – IV, 20, 576. – VI,

173. – XI, 73.Caractères I, (de la chaire), le sacré et le

profane... glissés ensemble jusque dans la chaire,193. – IX, la belle Messe, 236 ; les saluts, 245 ; (dela mode) : du confesseur (in extremis), Théotime,352 ; 358. – X, de la chaire, du prédicateur désiréqui explique uniment la parole divine, 41 ; Théonas(Santeul). 152, 153 ; 251.

Dialogues sur le quiétisme, V, 7.Lettre à Santeul, X, 153.LABUSQUETTE (Robert de). – Autour de

Dante, IV, les Béatrices, 566.LA BUYSSE. v. Marie de Valence.LA CAILLE. v. Caille.LA CALADE. v. Calade.LA CÉPÈDE. v. Cépède.

351

LA CHAISE (P. François d’Aix de), s. j.,confesseur de Louis XIV. – II, 133. – IV, 225. –V, 351. – X, 42, 88.

LA CHAISE (Guillaume de), seigneur d'Aix,beau-frère du Père Coton. – II, lettre du PèreCoton à propos des extases de Jeanne-MarieCoton, sa sœur, 131, 132.

LA CHARMOYE v. Charmoye.LA CHATRE. v. Chatre.LACHÈVRE (Frédéric). – VII, 237.Le libertinage au XVIIe siècle. Une seconde révision

des œuvres de Théophile de Viau, I, floraison depoésie chrétienne au XVIIe siècle, 199 ; note sur J.-P. Camus, 291.

LA COLOMBIÈRE (bienheureux P. Claudede), s. j. – III, 668. – VI, 401-410 ; un saint lettré ;précepteur des fils de Colbert, 402 ; ses relationsavec Patru, le Père Bouhours, 403 ; renvoyé danssa province, 403 ; discours académique, 403, 4o4 ;lettre du Père Bouhours sur Port-Royal, 404,405 ; sainteté grave 405 ; n’est pas un mystique ausens rigoureux du mot, 406 ; prédicateur de laduchesse d’York, 410.

Journal des retraites, VI, sur la guerre éternellequ’il faut se faire à soi-même, 405 ; sa pente à lavaine gloire, 406 ; Dieu seul immortel et parfait,406, 407 ; vers la fin de sa vie, orienté vers lacontemplation, 408, 409.

352

Sermons ; Œuvres complètes ; Retraite spirituelle ;Journal des retraites du bienheureux Père de LaColombière, VI, 401. v. Charrier.

LA CONDAMINE. – III, 591.LACORDAIRE (P. H.-D.), o. p. – II, 390. –

III, 60, 242. – IV. 262, 465. – VII, 231. – VIII,33, 314- – X. 38, 163. – XI, 11.

Sainte Madeleine, III, 101. [139]LA CORNILLIÈRE. v. Cornillière.LA COUR. v. Cour.LACOUT (M. H. de), sieur de Marivaut. –

La Vie et les actions de la Vénérable Mère MarieAlvequin, II. 449 ; réforme des Augustinespénitentes de Paris, 455, 456 ; Marie Alvequinpénétrait le secret des âmes, 457 ; son amour pourles images saintes, 458.

LA CROIX, v. Croix.LA CROIX-CHRIST (abbé de). v. Croix-

Christ.LACTANCE (P.). – V, 224.LA FAYETTE (Marie de), mère de François

Leclerc du Tremblay (Père Joseph). – II, 169.LA FAYETTE (Mme de). – IV, 513. – VI,

347.LAFERRIÈRE (M. J.). – Étude sur Jean

Duvergier de Hauranne, IV, 37 ; Jacques Lescot ditde Saint-Cyran que trop de lectures lui ont tournéla tête, 50 ; 51, 58, 87, 117, 127 ; idées de Saint-Cyran sur l’âge de la première communion, 144 ;

353

lettre de Saint-Cyran à Arnauld, 167 ; 198 ; laMère Agnès et l'Eucharistie, 207.

LAFITTE pierre). – Les Exercices, vrai chef-d’œuvre de sagesse politique et morale, S., 43 ; 46.

LA FONTAINE (Claude de). – III, 157.LA FONTAINE (Jean de). – III, 157. – VI,

480. – IX, 66, 196. – X, 82, 100, 101. – XI, 72,206, 220.

LAGE DE PUYLAURENS (Anne de),visitandine. – IV, 93, 94.

LAGRANGE (P.), o. p. – IX, espritparticipé, grâce sanctifiante (cité par le P.Lemonnyer), 9.

LA HARPE. – Aurait traduit en prose leshymnes de Coffin, X, 179.

LA HAYE (Père de), s. j., un des directeursde Marie de l’Incarnation (Mme Martin). – VI, 4.

LAIRUELS (Servais de), réformateur desPrémontrés. – II, 2 ; s’était formé à l’Universitéde Pont-à-Mousson, 372. v. Eugène Martin.

LAJEUNIE (P.), o. p. – S., 343.LA JOIE (abbaye de). – V, 144.LALANE (Noël de). – III, 426. – IV, 426,

429.LALEMANT (PA, génovéfain. – Testament

spirituel ou prière à Dieu pour se disposer à bien mourir,IX, 361, 371 ; la conclusion, 372.

Considérations sur la mort (par un magistrat)ajoutées an Testament, IX, la mort devenant, par

354

amour, un acte de religion, 372 ; le vœu demourir, 373.

Les saints désirs de la mort, IX, 3, 6.La mort des justes..., IX, 380.LALLEMANT (P. Jérôme), s. j., un des

directeurs de Marie de l’Incarnation (Mme Martin).– VI, 4, 7, 110, 120, 125, 127.

LALLEMANT (P. Gabriel), s. j. – VI, 128.LALLEMANT (P. Louis), s. j. – II, 72, 134,

420. – III, 3, 321 275, 278, 333, 497, 679. – IV,11, 29, 30, 47, 256, 317, 421, 475. – V, 120, 130,151, 154, 156, 157, 158, 159, 163, 165, 172, 268,271, 282, 307, 319, 341. – VI, iv, 7, 8, 139, 166,230, 233, 408, 513. – VII, 17, 29, 141, 268, 356. –VIII, 7, 70, 102, 108, 182, 183 ; les mystiques deson école et le culte des Exercices, 189 ; 193, 258,261 ; d’Alvarez à Lallemant, 270-288 ; 290, 295,312, 327, 330, 357, 359. – XI, 26. 53, 171, 189,190. – S., 24, 27, 96 ; c’est une erreur dansl’oraison que de se gêner pour la rapporter toute àl’action, 98 ; 110, 121, 122, 130, 138, 145, 146,148. 176, 177, 183, 355, 357, 359.

La Doctrine spirituelle, IV, de ceux qu'unepassion porte à faire profession de l'hérésie, 304.– V, 3-65 ; son curriculum vitæ, 8 sq. ; ses épreuves,10 ; ses [140] disciples et leurs premièresrésistances, 10 ; pas d'autre maître que le Saint-Esprit, 10 ; excellence de sa direction, 11 :doctrine de son école : la seconde conversion, 13-26 ; raison et bon sens ne suffisent pas pour la

355

perfection chrétienne, 14 ; le salut dépend de laseconde conversion, 15 ; les non-convertis, 16,17 ; de la coalescence des pêches véniels, 17 ; lemonde au couvent, 18 ; antinomies résolues parsaint Ignace, 18 ; critique des ordrescontemplatifs, 18 ; les religieux et l’orgueil, 19 ; lepalliatif des « bonnes intentions », 21 ; néant duzèle naturel, 22, 23 ; « franchir le pas », secondeconversion, 23 ; transformation soudaine ettotale, 24 ; caractère nettement mystique de laseconde conversion, 25, 26 ; sa doctrine : lacritique de l'action, 26-36 ; « le principal, la vieintérieure », 27, 28 ; qu’une vertu solide etpratique ne suffit pas à un ordre actif et qu’il fautaller jusqu’au mysticisme, 27, 28 ; nulle initiative,« fort peu d’action au dehors », 28, 29 ; l’actionpour la vie intérieure, 29, 30 ; primauté del’obéissance, 30, 31 ; s'appliquer aux fonctionsextérieures, comme par manière dedivertissement, 31, 32 ; l’apostolat n’a pas àsouffrir de la primauté de la vie intérieure, 31, 33 ;il n’est pas nécessaire dans l'oraison de toutrapporter à l’action, 33, 34 ; critique du« moralisme », 34, 35 ; l'essence des vertus, 34,35 ; ne pas mettre « le but de toutes lesinspirations divines en l'action et en la pratique »,36 ; la garde du cœur, 36-46 ; Journal intime, 36 ;« Purgation » et « garde du cœur », 37 ; difficultéet nécessité de l’exercice de la garde du cœur, 38 ;entrainement à l’analyse morale, 40 ; voudrait la

356

confession et la communion quotidienne, 41 ; lessacrements « exercices principaux de laperfection ». 41 ; pureté du cœur plutôtqu’exercice des vertus, 42 ; l’ascèse plutôtnégative de Lallemant, et qui conduit à l'uniondivine, 44, 45 ; la conduite du Saint-Esprit, 46-65 ; le Saint-Esprit seul nous possède et nousgouverne, 46 ; la garde du cœur n’est autre choseque la retraite au centre de l’âme, 46 ;s’abandonner, « se lier » au Saint-Esprit, 47 ; sur« l’esprit intérieur » des calvinistes, 48 ; conduitedu Saint-Esprit et obéissance, 48, 49 ; l’obéissancene dirige que « pour le regard de l’extérieur », 49 :direction du Saint-Esprit et cas de conscience,50 ; le Saint-Esprit et « la science de la vieintérieure », 51 ; direction du Saint-Esprit, viespirituelle, vie apostolique, 52 ; relisaitconstamment la Bible ; semble avoir peu lu lesmystiques, 52 ; doctrine des dons du Saint-Esprit,53 sq. ; Lallemant et Newman, 54 ; dond’intelligence, 54 ; sagesse et science, 54, 55 ;discernement des esprits, 55 ; l’âme, dans lacontemplation, se découvre des défauts qu’elle nevoyait pas auparavant, 56 ; sur les souvenirsd’enfance et de jeunesse, 56 ; les « lumièressubites », 57 ; « assurances certaines » du donmystique, 57 ; contemplation ordinaire etextraordinaire, 57 ; la contemplation est la vraiesagesse, 58 ; l’âme purifiée supporte sans émotionet suspension des sens les opérations divines, 58 ;

357

contre la timidité des directeurs, 59 ; sans lacontemplation on n’avancera jamais beaucoupdans la vertu, 59 ; l’homme d’oraison doits’attendre à des critiques, 60 ; la vie mystique et lanécessité de « l’application » à Jésus-Christ, 60 ; laméthode du Père Lallemant réduit autant quepossible les chances d’illusion, 60 ; Dieu uniquesouverain de l’intérieur, 61 : place éminente quetiennent dans la méthode du Père Lallemantl’Eucharistie et la Très Sainte Vierge, 61 ; aujugement dernier cessera l’exercice de toutes lespuissances pour céder la place au souverainSeigneur, 61 ; « l’intérieur qui est sans bornes »,62 ; [141] anthropocentrisme du Père Lallemantet du milieu qui l'a forme, 62 ; il admet cependantle principe de l'amour désintéressé, 62 ; aprèsl'Incarnation, nous ne dévons rien admirer. 63 ; ily a des contemplatifs plus sublimes que le PèreLallemant, il n’en est pas de plus sage, de plus sûr,63-65 ; ne dit rien qu’il n’ait expérimenté, 64 ; sonécole, ch II, passim ; sa parole vivante ; une éliteseule l’aura suivi, 66 sq. ; son école discrète, àpeine sensible au dehors, mais très active, 69 sq. –S., c’est une erreur dans l’oraison que de se gênerpour la rapporter toute à l’action, 177, 178. v.Père Aloys Pottier. Saudreau, J. Petit, Champion.

LALLEMANT (P.). – Histoire de l'éducationdans l’ancien Oratoire de France, III, 157, 196.

LALORE (Ch.). – - Mélanges liturgiques relatifsau diocèse de Troyes, III, 121.

358

LA MAISONFORT (Mme de). v. Maisonfort.LAMARTINE. – VI, 495.LAMBALLE (P, E.), eudiste. – La

Contemplation ou principes de théologie mystique, IV,l’action du Saint-Esprit dans le sentiment dusurnaturel, 505 ; 552 ; sur la contemplationparfaite (cit. de sainte Thérèse), 556 ; (sainteThérèse) sur le sentiment de présence, 560, 561 ;effort n’est pas contemplation, 563. - XI, 395.

LAMBERT (P. Nicolas), de l’Oratoire. – III,329. – IV, 198. – VII, 201.

LAMBERT (P.), s. j. – VI, 427.LA MEILLERAIE. v. Meilleraie.LAMENNAIS. – IV, 465. – VII, 231. – X,

66.Journée du chrétien, IX, prière (pendant la

messe), avant l’Évangile, 203 ; donne latraduction intégrale des prières de la Messe, 205.– X, 205, 206.

Essai sur l'indifférence, I, 225.Paroles d’un croyant, X, 262.LAMI (P. Bernard), de l’Oratoire. – III. 185,

193, 195, 196 – IV, 162.Entretiens sur les sciences..., III, 156 ; l’Oratoire

des collèges, 174 : respect et amour de l’Évangile,181 ; l’esprit de l’Oratoire. 183, 184 ; une visite àl’Oratoire, 186-190 ; J-J. Rousseau faisait sesdélices des Entretiens du Père Lami, 187 ; 191, 192.– IV, qu’on doit lire Nicole, 15.

LA MILLETIÈRE. v. Milletière.

359

LAMOIGNON. – V, 157. – VI, 402.LA MONNOYE (B. de). – X, 88, 158.Œuvres choisies, esprit de Santeul, X, 152, 153.LA MOTTE (Mgr de), évêque d’Amiens. – X,

expurge son bréviaire, mais y maintient leshymnes de Coffin, 161, 162. v. Delgove.

LA MOTTE (Antoine Houdart de). – X, 173.LA MOTTE (dom Jean de), bénédictin, sous-

prieur de Saint-Thierry. – VI, 181.LA MOTTE-FÉNELON (M. de). – III, 556.LA MOTTE-GOULAS. – Mémoires, III. sur

le Père de Condren, 293 ; 357.LA MOTTE-HOUDANCOURT (Henri de),

évêque de Rennes, puis archevêque d’Auch. – III,558. – V, 141. – VI, 483, 487, 493.

LA MOTTE LE VAYER. – VI, 497.LA MURE. v. Mure.LAMY (dom François), bénédictin de Saint-

Denis. – VI, 181 ; son témoignage sur dom Cl.Martin, 213. – X. fut un des premiers apologistesqui aient exploité les Pensées de Pascal, 292. – XI,284.

Alliance de la souveraine béatitude avec lessouffrances de Jésus-Christ (Lettres théologiques etmorales...), VII, ou peut aimer Dieu non seulementsans plaisir, mais au milieu des peines, 24.

La Rhétorique de collège trahie [142] par sonapologiste, X, controverse avec Gibert sur la poésiedans la prière, 173.

Confessions, X, 292.

360

Lettres édifiantes. X, se mettre au dernier rangdans l’église, 346 ; prosternations, 346.

De la connaissance et de l'amour de Dieu. XI duprécepte de l'amour de Dieu et de l’excellence desa pratique, 286, 287.

LANCELOT. – III, 115. – IV, 5, 15, 20 ; sonrenouvellement, 134-136 ; 140, 144, 151, 157, 169,220, 346, 253, 278. – VII, 35.

Mémoires, III, 328. – IV, 25, 40, 43, 44, 45, 46,47, 49, 50, 57, 58, 59, 61, 62, 63, 64, 65, 66, 71,72, 76, 80, 134-136, 150, 162 ; sur le Chapeletsecret, 210, 211 ; 212, 214 ; les cantiques à Port-Royal, 247, 248. – XI, 92 ; innocence reconnue etmise en liberté du Père Laurent de Troyes, 94.

LANCISIUS. – S., citation de saint LaurentJustinien, 78.

LANCRE (Pierre de). – Tableau de l’inconstancedes mauvais anges et démons, V, 194.

L'incrédulité et mescréance du sortilège..., V, 194.LANCY (Anne de). – XI, 106.LANCY (Charlotte de). – XI, 106.LANDRIOT (Mgr). – La Prière, VII, 69.LANDRY (P.), o. p. – VIII, 84.LANFRÈZE. v. Jeanne de Jésus.LANG (Andrew). – VII, 13, – S., 19.LANGEAC (Agnès de). – II, 523. – III, 4. –

V, 198. v. Lantages.LANGEAC (monastère de). – II, 33.LANGELLE (dom Jean), bénédictin aux

Blancs-Manteaux. – VI, 181.

361

LANGERON (abbé de). – I, 186.LANGLE (de), évêque de Boulogne. – X, 93.LANGLOIS (Ch.-V.). – La connaissance de la

nature et du monde au Moyen Age, I, 255.LANGLOIS (Mme). – II, 514.LANGOGNE (P. Pie de) (Mgr Sabaden),

capucin, Consulteur du Saint-Office. – VI, sonavis sur les livres de J. de Bernières, 233.

LANGUET (Mgr Jean-Joseph). – III, 638.Traité de la confiance en la miséricorde de Pieu pour

la consolation des âmes IV, la confiance permise etmême commandée ; elle est inséparable del'amour. 374.

La vie de la Vénérable Mère M.-M. Alacoque, VI,400.

Discours sur les vies miraculeuses des saints, VI,400.

LANIER, abbé de Vaux. – V, 150.LA NOÉ-MÉNARD (de). v. Noé-Ménard.LA NOIE (comte de). v. Noie.LANSON (Gustave). – IV, 286.Mélanges Lanson, VI, 519. v. Ch. Flachaire.LANTENAY (A. de) (M. Bertrand). –

Mélanges de biographie et d'histoire, I, lettre deRicheome, 22, 29 ; une nuit de saint Macaire, parRicheome, 64. – II, 336. – XI, 325, 326.

Bibliothèque sulpicienne, I, sur l’abbé de Baudry,525. – III, 420, 494.

Mémoire de Bautrand, III, 420, 421, 433.

362

Labadie et le Carmel de Gravelle, XI, lettres du P.Sabré à Jean Labadie, 175, 176.

LANTAGES (M. de), sulpicien. – Vie de laV. M. Agnès de Jésus, (Agnès de Langeac), II, 523.– III, l’office divin, le saint sacrifice font-ils quel’oraison mentale serait superflue ? 118 ;l’adoration première et principale occupationdans l’oraison, 126. – VI, 270, 271. v. Letourneau.

LANVERSIN (P. de), s. j. – Esquisse d'unesynthèse du sacrifice, IX, 134 ; dans tout sacrifice ausens propre, l’oblation rituelle est de rigueur, 138.

LA PÉROUSE (abbé). – IV, 225, 226. v.Mémoires de Grandet. [143]

LA PETITIÈRE (M. de), v Petitière.LA PORTE (de). v. Porte.LA POTHERIE. v. Potherie.LA PUENTE (P. Louis de). v. Dupont.LA RIVIÈRE (baron de). – V, 166.LA RIVIÈRE. v. Rivière.LARME DE VENDOME (la Sainte). – VI,

211.LA ROCHE. v. Roche.LA ROCHEFOUCAULD (cardinal de). – II,

106 ; reçut du Pape Grégoire XV la mission deréformer les Ordres de Saint-Augustin, de Saint-Benoît, de Cluny et de Cîteaux, 107 ; 247. – IV,184. – XI, 107.

LA ROCHEFOUCAULD (François de). –IV, 468. – VII, 20, 23, 76. – VIII, 56.

363

Maximes, IV, 506. – V, 40. – VI, 173. – VII,331.

LA ROCHEFOUCAULD (duchesse de)(Andrée de Vivonne). – V, 266.

LA ROCHEPOSAY (H. de), évêque dePoitiers. – IV, 37. – V, 185.

LAROUSSE, Dictionnaire. – X, définition dumot vocal, 2.

LA RUE. v. Rue.LA SERRE. v. Serre.LA TAILLE. v. Taille.LATIL (Jeanne), mère de L. Thomassin. –

VII, 375.LA TOUR (P. de), général de l’Oratoire. –

IV, 485.LA TOUR (de), pseudonyme de G. Le Roy,

abbé de Haute-Fontaine. – III, 157.LA TOURETTE (Dr Gilles de). v. Jeanne

des Anges.LATREILLE. – J. de Maistre et la Papauté, VII,

363.LAUBARDEMONT (Jean-Martin de). – IV,

37, 74, 88, 90, 94, 95, 98. 145. – V, 179, 182, 183,195, 196, 198, 224, 236, 243, 245, 246. – XI, 158.v. Pinthereau.

LAUBARDEMONT (Mme de). – V, guériepar l’onguent de Jeanne des Anges, 241.

LAUBÈPINE (Marie de), abbesse de Saint-Laurent de Bourges. – II, 395.

364

LAUNAY. – Histoire de la Société des Missionsétrangères, V, 114.

LAUNAY-COMATZ (Mme de). – V, 142.LAURAS (P.), s. j. – III. 216.LAURENCE (Marguerite). – III. 255.LAURENT (dom Didier). – Dom Didier de la

Cour de la Vallée et la reforme des bénédictins deLorraine, II, 2.

LAURENT (saint). – VI, 106.LAURENT DE LA RÉSURRECTION

(Frère), carme déchaussé – VI, 392-394 ;sentiment constant de la présence de Dieu, 393. –VII, 330.

Maximes spirituelles fort utiles aux âmes pieusespour recueillir la présence de Dieu, VI, 392.

Mœurs et entretiens du Frère Laurent, par l’abbéde Beaufort, VI, 392. v Bossuet. Fénelon.

LAURENT DE PARIS (P.), capucin. – LePalais d'amour divin de Jésus et de l'âme chrétienne, I,320, 321 ; les litanies de l’homme, 360.

LAURENT DE TROYES (P.), capucin. –XI, arrêté et emprisonné à la Bastille commesuspect d’illuminisme, 90 ; a reçu sa doctrine de latradition harphienne, par l’enseignement deCanfeld, 91 ; se réclamait sans doute de Tauler,97 ; 98 ; critique des accusation portées contre sapersonne et sa doctrine, 99 sq. ; 102, 113, 170,179.

365

LAURENT JUSTINIEN (saint). – V, 64. –VI, 98. – S., soumettre la cime de l'intelligence aujoug de l'humilité, 78 ; 83.

LAUZUN (duc de). – V, 355.LA VALETTE-MONBRUN (de). – Maine de

Bilan, critique et disciple de Pascal, IV, après unelecture de Pascal, 322 ; Pascal et Jésus-Christ, 416.– XI. 422. [144]

LA VALLIÈRE (M. Angélique de). v.Vallière.

LA VALLIÈRE (Mlle de). v. Vallière.LAVAL-MONTIGNY (abbé), évêque de

Pétrée – VI, 242.LAVAL-MONTMORENCY (Mgr François

de), abbé de Montigny, vicaire apostolique auCanada. – VI, 119 ; veut réformer lesconstitutions des Ursulines au Canada, 120 ; 128,234, 258.

LA VARENNE. v. Varenne.LAVAUD (P.), o. p. – VIII. sur le livre

d’Émile Baumann. Mon frère le dominicain (Viespirituelles 285.

Attrition d'amour et de charité (Vie spirituelle),XI, de la contrition imparfaite ou attrition, 293,294 ; (la thèse de l’attrition d’amour selonBossuet), 304 ; attrition d’amour et de charité,313 ; l’attrition de crainte condamnée par l’Église.319 ; 320, 321.

Enseignement et prédication de la morale (Viespirituelle). XI, 324.

366

LA VIGNE. v. David de La Vigne.LA VILLERABEL. v. Villerabel.LAVISSE (Ernest). – Histoire de France, I,

« négliger les choses religieuses au XVIIe siècle...c’est ne pas comprendre l’histoire de ce siècle »,VII. – III, 334. – IV, la vie heureuse de Port-Royal, 248. – V, 91, 100.

LAW (William). – X, 12, 233.Serious call, S., définition de la dévotion, 47. v.

A. Whyte.Lay Folk's Mass Book (missel anglais des

laïques), IX, 193.LAYNÈS (P.), s. j. – VIII, 187, 197, 208.LE BAIL v. Bail.LE BAILLEUL (Présidente). – II, 533.LE BANNIER (dom Fr.). – Méditations sur la

Vie de Jésus-Christ, traduction du pseudo-Bonaventure, III, l’Annonciation, 93.

LE BARBIER. v. Barbier.LE BELLEC (Claude). – V, a joué un rôle

dans les missions bretonnes, 108.LEBERON (Mgr André de). – II, 51.LEBEUF (abbé). – X, sur le chant des

Proses, 94 ; sur le poème satirique de Santeul« Divi Maglorii Querimonia » (Mercure de France),179-182.

LE BIS (Catherine). – V, 402. – XI, 164.LE BOUCHER. v. Boucher.LE BOUTHILLIER (Mgr). – III, 325.

367

LEBRETON (P.), s. j. – X, a mis en vers lesPsaumes de David, 174.

LEBRETON (P.), s. j. – L'Oraison et l’ascèse(Recherches de science religieuse), VIII, 360. – S.,185.

LE BRUN, pseudonyme d'Antoine Arnauld.– VI, 497.

LE BRUN, peintre. – III, a gravé desestampes pour M. Olier, 475 ; 492. – X, 123.

LEBRUN (P.), eudiste. – Œuvres complètes duvénérable Jean Eudes, III, c’est vers Jésus-Christ ques'oriente depuis l’Incarnation, la vie religieuse del’humanité, 44 ; 49, 50 ; le Cœur de Jésus occupeune grande place dans les œuvres de saintFrançois de Sales, 47 ; 51, 56 ; la vie de Jésus dansles âmes, c'est la vie de la grâce, 80, 81 ; dévotionaux saints et aux anges, 98, 99 ; vertus chrétienneset vertus morales, 136, 137 ; le sacerdoce, de sanature, est une condition de vie supérieure mêmeà la profession religieuse, 162 ; 167, 168 ; Eudesaimait à rapprocher le prêtre de la Sainte Vierge,177, 178 ; 180, 584 ; le Père Eudes, père du cultedes Sacrés-Cœurs, 586-588 ; retour des eudistescontemporains à la doctrine bérullienne de leurfondateur, 589 ; 594-603 ; 625 ; 632-635, 636 ;Mgr Languet rend au Père Eudes la gloire d’avoirété le promoteur du culte du Cœur de Jésus. 638,639 ; 642, 644 ; Eudes et la fête du Sacré-Cœur,645, 646 ; le [145] Saint-Esprit et le Cœur deJésus, 649 ; ce que le Père Eudes entend par

368

« cœur ». 650-652 ; 654, 659, 664 ; sources de ladévotion eudistique, 665 ; celle-ci serait ladévotion à l'amour de Dieu pour les hommes,667 ; 670. – IV Étude qui sert d’introduction auRoyaume de Jésus. 29.

Le bienheureux Jean Eudes et le culte du Sacré-Cœur de Jésus. – III, 584 ; lettre du cardinal Billotau Père Lebrun sur son livre, 588, 589 : les armesdes Eudistes, 593 ; éloge, par le Père Bainvel, del’Office du Cœur de Jésus (du Père Eudes), 636, 637.

LE BRUN (P.), s. j. – IX, 39.Institutio juventutis christianæ. IX, de la bonne

préparations la communion (texte latin), 96.LE CAMUS (cardinal). – III, 192. – IV, 300.

– IX, lettre à Pontchâteau sur la mort deMadame, 335. v. Bellet.

LECANU (abbé). – Histoire de Satan. – V,180 ; jurisprudence absurde en matière desorcellerie ou de possession, 186 ; sur la durée despossessions de Loudun, 190 ; un exorcisme desaint Hilarion, 193 ; sur le livre du Père A. deMontalembert (v. ce nom), 193, 194 ; explique lesstigmates de Jeanne des Anges par la supercherie,239.

LE CERF (dom). – Bibliothèque historique etcritique des auteurs de la C. de Saint-Maur, III, 560. –VI, critique de la Vie de dom Claude Martin pardom Martène, 189 ; 190, 193, 211.

LE CHARPENTIER DU TERTRE (Mme). –V, 123 ; eut Armelle Nicolas à son service, 127 ;

369

elle reconnait la sincérité et l’élévation spirituellede sa servante, 127, 128.

LE CLERC. – L’Uranie pénitente, I. 384.LE CLERC. v. Clerc.LECLERC (Jean), président aux requêtes

puis ambassadeur à Venise, père de FrançoisLeclerc du Tremblay (Père Joseph). – I, 169.

LECLERC DU TREMBLAY (François), v.Père Joseph.

LE COIGNEUX (Mme), abbesse de l’abbayede la Joie. – V, 144.

LECOINTE (Charles). – III, 192.LECZINSKA (Marie). – II, 536.LEDIEU (abbé). – III. 151. – VII, 198, – IX,

sou édition du missel de Meaux ; la querelle desAmen, 176, 177 ; 205,

Mémoires, IX, la réédition de cet ouvragecontient une bibliographie de l'affaire des Amen,177.

Journal, IX, 232. – XI, du précepte de l’amourde Dieu (à propos d'une confession de laduchesse de Bourgogne), 280 ; 304.

LEDOS. – S., 1.LEDOUX (abbé B.), – S., sur la

« Métaphysique des Saints » (Vie catholique), 354-360.

LEFEBVRE D'ETAPLES. – I, 522. – II, 6.– VI, 328. v. Imbart de La Tour.

LEFEBVRE DE CAUMARTIN. v.Caumartin.

370

LE FELOU (Antoine). – La conversion dupécheur... pour servir de défense au livre intitulé : Conduiteà la Pénitence, XI, 300, 301.

LE FÉRON. – IV, 58.LE FÈVRE (Nicolas), sieur de Lézeau,

conseiller et précepteur de Louis XIII. – II, acollaboré à la Vie de Catherine de Jésus, 336. – IX, sabelle mort, 380. v. Hanart.

LEFÈVRE (P.). de l’Oratoire. – VII. 243.LEFÈVRE (Frédéric). – L'Itinéraire

philosophique de Maurice Blondel, VIII, 393.LEFÈVRE (bienheureux Pierre), s. j. – S.,

106.Mémorial, II, ou trouve dans ce livre,

parvenue à son plein développement, la dévotionaux Anges, 115.

LEFÈVRE (P. H.), de l’Oratoire. – III, 220,221, 680, 682, 683.

LEFÈVRE (dom Gaspar). – Missel, IX, 206.[146]

LEFÈVRE (Madeleine, Mme Journel), mèred’Antoinette de Jésus. – VI, 340, 341.

LE GALL. (Jeanne). – V, fut au service deMichel Le Nobletz, 109.

LE GALL(de Querdu). – L'Oratoire du cœur ouméthode très facile pour faire oraison avec Jésus-Christdans le fond du cœur, VII, de l’oratoire du cœur, 321-330 ; avertissement, 322 sq. ; 334 ; les images duDr Le Gall, 367-373 ; se retirer, pour prier, dans lachambre intérieure de notre cœur, 359 ; images

371

symboliques illustrant l’Oratoire du cœur, 369 sq. ;note sur la réédition de 1839, 373. v. Ssint-Fard.

LE GAUDIER (P. A.), s. j. – V, 89. – X, 12.De Perfectione vitæ spiritualis, VIII, 19 ; se

cantonne sur le terrain propre de l’ascèse, 20 ; dela présence de Dieu dans l’âme, 20 ; 21, 24 ;méditation et contemplation, 382.

De communione, IX, 95 ; les sacrifices,institution divine, 137. – X, ce qu'il dit de lacontemplation, 318. – XI, « l’âme est en quiétudequand elle cesse de discourir », 331 ; 394 ; l’amourest l’âme de la contemplation, 400 ; deuxdélectations dans la contemplation,. 410 ; pasd’état spirituel où les discours ne s’épanouissenten intuition, 416 ; amour et contemplation, 421. –S., 68, 71, 77, 79 ; un simple acte de foi estsouvent une vraie contemplation, 96 ;contemplation affective et contemplationopérative, 175.

Introduction à la vie intérieure, VIII, sadistinction entre la prière des mystiques et laprière des ordres actifs, 272-274 ; 275, 300.

LE GAUFFRE (Thomas). – La vie de ClaudeBernard, dit le pauvre prêtre, IX, le Père Bernard etles blasphémateurs, 213.

LEGENDRE (chanoine). – Mémoires, IX, surla condamnation des écrits de Marie d’Agréda,274 ; sur le grand Arnauld, 275 ; des chanoines deNotre-Dame inféodés au jansénisme, 275 ; 276 ;M. Sachot et son office de consolateur auprès des

372

mourants, 358. – X, extravagances de J.-B.Santeul, 152.

LE GOFFIC (Charles), – V, 109.LE GOUVELLO (H.) – Le vénérable Michel

Le Nobletz, V, 82, 83, 90, 93, 101, 108.Le pénitent breton, Pierre de Kériolet, V, 82, 147,

184, 266, 267.Une mystique bretonne au XVIIe siècle, Armelle

Nicolas, dite la bonne Armelle, V, 82, 120, sq., 138.LEGRAS (Mlle) – III, ce qu’elle dit du comte

de La Noie à saint Vincent de Paul, 227 ; 231,232 ; saint Vincent de Paul lui écrit ; « Honorezdonc la tranquillité de la Sainte Vierge », 253, 255.v. Marillac.

LÉGUÉ (Dr Gabriel). – Urbain Grandier et lespossédées de Loudun, V, 149. 180 ; Jeanne des Angeset son enquête avant l’arrivée du Père Surin àLoudun, 182.

Sœur Jeanne des Anges... autobiographie d’unehystérique possédée, éditeurs Dr Gabriel Légué etGilles de La Tourette, V, 149 ; 183 ; peines decorps et d’esprit du Père Surin avant l’arrivée àLoudun (d’après un manuscrit du Père Surin),197, 198 ; cet ouvrage manque de sérénité, 202,203, 204, 205, 208, 210-212, 214, 218 ; le départde Loudun du Père Surin, 236.

LE HAGUAIS (Anne). v. Camilly.LEHODEY (dom V.). – Les voies de l'oraison

mentale, S., la méditation n’est pas tant l’oraisonque l’introduction à l’oraison, 66 ; 153.

373

LEIBNIZ, – II, 98.LEJAY (Paul). – III, 491.LEJEUNE (Mlle) (la jolie troyenne). – II, 257.LEJEUNE (P.), de l’Oratoire. – IV, 21 ; sa

prédication rigoureuse, 30.Sermon CXXXIX : de mon très honoré Père

l’éminentissime [147] cardinal de Bérulle, III, messesd’action de grâces (dites par les Pères jésuites)pour le bien fait à l’Église par M. de Bérulle, 6 ;Bérulle a fait comme l’anatomie de tous lesmystères, 77.

Sermon sur les trois naissances du Verbe, III, 218.LE JEUNE (P. Paul), s. j. – VI, 110. – VII,

ses lettres, 214. – VIII, dirigea la Mère Françoisede la Mère de Dieu, 295, 296 ; ses lettres à laMère Françoise de la Mère de Dieu : il l’éclairesur son. état en matière d’oraison, 296.

Lettres spirituelles publiées par le P.Fressencourt). V, 67 : 82, 83. – IX, à unereligieuse contre la communion trop fréquente,96, 97.

Solitude de dix jours, X, « Je voudrais bien, monDieu, que vous fussiez mon tout » 31 ; adaptationdes Deux Étendards, 331, 332.

Épîtres spirituelles écrites à plusieurs personnes depiété, XI, à une supérieure de couvent, sur lesécrits soi-disant mystiques d’une de sesreligieuses, 171, 172 ; 173, 175, 318.

LE LASSEUR (P.), s. j. – IV, 23 ; éditeur duPère Rapin, avec Léon Aubineau, 316. – V, 159.

374

LE MAISTRE (P.), s. j. – Pratiques de piété oules véritables dévotions, IX, des communions stériles,111 ; 282 ; de la pensée de la mort avant lesommeil, 365. – S., considérations méthodiques,74, 75.

LE MAITRE (M.). – IV, 11 ; les rythmes dela prose, 12, 13 ; 19, 39, 40, 48, 58, 61, 64, 87, 91,92 ; dit que Saint-Cyran lui donnait l’absolution àchaque confession, 145 ; 179, 183, 195 ; lettres àla Mère Agnès : sur le mariage ; sur le Chapeletsecret, 195 ; 196, 245, 248, 250, 251, 253, 254,280, 314, 350, 421. – IX, communion fréquentedes religieuses de Port-Royal. 57.

Règles de la traduction française (Mémoires de duFossé), IV, 12.

Apologie pour M. de Saint-Cyran, IV, 90, 91 ; 98,140, 141.

Mémoires pour servir à l'histoire de Port-Royal, IV,225. – Pratiques de Piété. IX, de la visite au TrèsSaint Sacrement, 245. – X, 331. v Rapin, Castets.

LE MAITRE (Mme), sœur Catherine de Saint-Jean. – IV, 201, 214.

LEMAITRE (Jules). – I, 81, 516. – IX, 332.LE MASLE (Michel), prieur des Roches. – V,

355.LE MASSON (dom Innocent), chartreux. –

VII, 141. – VIII, par une humble demandé, onavance plus que par des propos multipliés, 268.

La psalmodie intérieure de l’Office de la SainteVierge, IX, 246. – X, 281 ; regarder par la foi les

375

scènes de la vie de Jésus plutôt que se formerdans l'esprit des images (Vie spirituelle), 319.

Le Directoire des mourants, à l’usage de l'ordre desChartreux, IX, ne point étourdir les mourants desermons appris, 353 ; des exhortations auxmalades, 355, 356.

Vie de Mgr d’Aranthon d'Alex, IX, 381.Introduction à la vie intérieure, S., la spéculation

contraire à la ferveur, 71 ; des propos multipliéset obstinés moins efficaces que l’humilité etl’humble demande, 94 ; « Dieu met la coupe deJoseph dans votre sac sans que vous le voyez »,100.

LE METTAYER. – VI, 242.LEMNIUS. – Étude sur la botanique biblique, I,

257.LEMONNYER (P.), o. p. – VIII, 370.La prière chrétienne de demande, VII, sur la

prière, 6 ; la prière n’est prière que révérente etsoumise, 15 ; de la charité, 15, 16. – S., la prière,expression du désir chrétien, 12 ; la prière dedemande est prière en tant que pénétrée derévérence, 20 ; amour de bienveillance, dans [148]la prière, pour Dieu qui est le plus digne de cetamour, 21.

Théologie du Nouveau Testament, IX, les deuxréalités de l'homme nouveau, 8 ; son livre est toutbérullien, 11. – X, 157 ; la contemplation de grâcen’est pas réservée à une caste spirituelle. 337.

376

Origine et évolution de la religion (traduit du P. W.Schmidt, XI, 324.

LE MOUGIN (Athanase). – VI, 181.LE MOYNE (P.), s. j. – I, 198, – VI, 481. –

X, 177. – XI, 232, 234.Les Peintures morales, I, 204 ; Portrait du

Sauvage, 362, sq.La Dévotion aisée, I, vain tapage fait autour de

ce livre, 376 sq. ; la Diotime de Platon, 378 ; 381.– IV. 17, 18, 26. – VII, 291. v. H. Chérot

LEMOYNE (Alphonse). – III, 429.LE MOYNE (dom François), bénédictin,

sous-prieur des Blancs-Manteaux. – VI, 181.LE NAIN (Jean). – IV, 258 ; conflits avec

sou fils Sébastien Le Nain de Tillemont, 270, 271.LE NAIN (Pierre). – IV, 258.LE NAIN (Sébastien). v. Tillemont.LE NOBLETZ (Marguerite). – V, 108. v.

Rosarnoux.LE NOBLETZ (Michel). – V, 70, 88, 89, 90-

117 ; a révélé sa vocation de missionnaire àMaunoir. 90 ; notes biographiques, 90 ; sonapostolat, entreprise essentiellementcatéchistique, 93 sq. ; cartes allégoriques, 93 sq. ;les faisait peindre par des artistes populaires, 93 ;ses cahiers donnant la clef des cartes allégoriques,94 ; la baguette blanche, 94, 95 ; la carte desconseils et le canal de Panama, 96 ; la carte duchevalier errant, 97 ; la bouline, 97, 98 ; sourceslittéraires des cartes, 98 ; la carte des malades, 98-

377

101 ; les doléances du vilain, 100, les tableauxvivants et la grande procession. 101-104 ; lescantiques ; le cantique du missionnaire, 104-106 :les cantiques de l’île d’Ouessant, 107 ; les femmescatéchistes. 107 ; son mémoire sur son inactionprolongée comme prédicateur, 110. – IX donne àMlle de Quisidic, sa pénitente, une tête de mortaux cheveux blonds pour ses méditations sur lamort, 369, 370. v. Le Gouvello, Maunoir.Kerodern.

LÉON (P.), carme. – XI, 325.LÉON (saint). – III. 515.LÉON DE SAINT-JEAN (P.), carme (Jean

Macé). – Une des plus solides colonnes de l'Ordredes Carmes, II. 389, 390 ; Richelieu lui fit sadernière confession, 390 : fut prédicateurordinaire de Louis XIII et de Louis XIV, 390.

Portrait de la sagesse universelle, I, sur l’éruditionchaotique, 257 ; variété et multiplicité dessciences, si loin de l’unité, 266 (Studium sapientiæuniversalis). – II, 390.

Vie de la Vénérable Mère Marie de Saint-Charles,I. 296.

Le vrai serviteur de Dieu, éloge du Révérend PèreAntoine Yvan, I, oraison funèbre du Père Yvan,326.

La France convertie... octave à l'honneur dubienheureux saint Denys l'Aréopagite, I, douceurde la grâce prévenante, 370 ; le passage del’Académie de Platon à celle de la Crèche et du

378

Calvaire, 378. – II, obligation pour tous d’étudieret de pratiquer la théologie mystique, 391 ; del’obscurité de saint Denys et de saint Paul, 392 ;réponse aux antimystiques, 392. 393.

Jésus-Christ en son trône établissant la vraie religion,la morale chrétienne et la théologie mystique, II, 390.

Religionis christianæ liber primus, II, 390.L'Économie de la vraie religion chrétienne, II,

l’amour approche davantage de ce sentimentspirituel et occulte qui forme... l’essence de lareligion, 390.

LÉONIDE (saint). – VII, 281.LÉON X. – I, 4. – X, 68, 69, 87. – XI, 179.

[149]LÉON XIII. – III. 586. – VI, 400. – X, 111.LÉOPOLD GUILLAUME, archiduc

d’Autriche. – IX, 380, v. Hanart.LE PICARD, de la maison du prince de

Conti. – V, 267.LEPIN. – L'idée du sacrifice dans la religion

chrétienne, III, 676.Idée du Sacrifice de la Messe, IX, 134, 154, 230.LEPORCQ (Jean), de l’Oratoire. – XI a

voulu réfuter les jausénistes par leurs propreslivres de dévotion, 254.

Les sentiments de saint Augustin sur la grâceopposée à ceux de Jansénius, I, l'esprit de piété opposéà la doctrine janséniste, 397, 398. – IV, 302.

LE QUEUX (Sœur Thomasse). – II, 513.LEQUIEN (P.), o. p, – VIII, 6.

379

LE QUIEU (Antoine). – IX. inaugura àMarseille l’Institut de l'Adoration perpétuelle, 210.

LERICHE (abbé). – Étude sur les possessions engénéral et sur celles de Loudun en particulier. V,prétendue lévitation de Jeanne des Anges, 182.

LE ROGUÉE (Barbe). – III, 487.LEROQUAIS (abbé). – Livres d’heures

manuscrits de la Bibliothèque Nationale, X, 226.LE ROY (G.), abbé de Haute-Fontaine. – IV,

446, 464. – X, a écrit sous le nom de La Tour unelettre au Père Adam. jésuite, sur la traduction qu’il a faiteen vers de quelques hymnes de l’Église, 174 sq. v. HenriBremond.

LE ROY (Édouard). – La pensée intuitive, XI,l’intuition... pensée qui se donne, 396.

LE ROY (Albert. – De litteris Provincialibus inlatinam linguam a Wendrockio translatis, IV, 14.

LE ROY (Mmc A.). – Un janséniste en exil,correspondance du Père Quesnel, IV, Arnauld etl'amitié, 288.

LE ROUX (Claude). – La tourterelle gémissantsur Jérusalem, I, 323.

LESCHART (Vincent). v. Dominique deSaint-Albert.

LESCOT (Jacques). – III, 328, 429. – IV, 39,50, 61, 88.

Interrogatoire de M. de Saint-Cyran par Lescot, IV,95.

LESCUYER (Marie-Françoise), abbesse deLys. – II, affligée d'être belle, 418 ; 428.

380

LESDIGUIÈRES (Mgr de). – II, 80, 87.LESDIGUIÈRES (duc de). – IX, sa mort,

352.LE SERGENT (Charlotte), bénédictine. – II,

467-484 : la cime de l’âme : désappropriationtotale, 468 : le charbonnier de saint Jean-en-Grève, 469 : « géhennes » de l’examen particulier,470 ; désir du Carmel, 471 ; 473 ; impuissance àméditer ; la grâce et la méthode, 472 sq. ; aurorede la vie mystique, 473, 474 ; la voie obscure,475 ; la persécution, 475, 476 : sa « frayeur del’état passif », 477 ; l’oraison de simple regard,477 ; ses disciples, 478 ; sou frère, religieuxminime, 478, 479 : Bernières-Louvigny fut un deses disciples, 480 ; ses lettres, 479-483 ; à unesupérieure lui demandant son avis sur unereligieuse qui « avait encore en vue ses intérêtsspirituels », 479 ; à un religieux qui l’avait appeléesa directrice, 479, 480 ; à M, de Bernières-Louvigny, 480, 481 ; à Catherine de Bar(Mechtilde du Saint-Sacrement), 481, 482, 483. –VI, 343, 346, 370. – XI, cherche en vain à se plierà l’oraison méthodique, 345 ; 359. v. Mère deBlémur.

LE SERGENT (P.), minime. – VI, 343. 346,364 ; sa correspondance avec Antoinette de Jésus,368-370 ; sur l’anéantissement mystique, 369, 370.[150]

LESGUE (Rose), de la petite CongrégationSainte-Geneviève. – II, 292.

381

LE SIEUR DE MONTFORT, chanoined’Arras – L’Oraison du cœur, ou manière courte et facilede faire l'oraison intérieure, VII, 325.

LESPAULARD (P.). – III, 203.LESSAU (P. Simon de), s. j. – V, 81 ; sur

Armelle Nicolas, 120, 121. – VIII, ses relationsavec le Père Crasset et le Père Rigoleuc, 191, 192.

LESSIUS (P. Léonard), s. j. – IV, 108.Traité de la prédestination, I, 91 ; saint François

de Sales lui écrit pour le remercier de sonouvrage, 91.

LESTOBEC (Alain). – V, employé du fisc, apeint des cartes allégoriques pour les missions deLe Nobletz, 93.

LESTONNAC (Mère Jeanne de), nièce deMontaigne. – II, 7, 9.

LESUEUR (Eustacbe), peintre. – IV, 178.LETARD (P.), de l'Oratoire. – II, 424.LE TELLIER (Michel). – VI, 499. – IX,

352 ; sa mort. 353 ; 380.LETIERCE (P. E.), s. j. – Études sur le Sacré-

Cœur, V, sur le Père Champion, 6. – VI, le Sacré-Cœur et la Visitation, 401.

LETOURNEAU (G.), curé de Saint-Sulpice.– I, a réédité ht Vie de saint François de Sales, parHamon, édition contenant une reproduction de laVierge noire de Saint-Etienne-des-Grès, 87 ; saintFrançois de Sales à Paris, 93. – VIII, 358.

Écoles de spiritualité : l'école française au XVIIe

siècle, III, 50, 51 ; l’école française et l’attention

382

concentrée sur le Verbe incarné et ses mystères,61 ; 70 ; l’école française étudie et expose lesdoctrines de saint Jean et de saint Paul sur la viede la grâce, 79, 80 ; M. Tronson et M. Olier, 117 ;citation d’Amelote sur l’adoration bérullienne,122 ; Condren et Olier, 122, 123 ; Tronson etl’adoration bérullienne. 123, 124 ; par quels actesfaire passer en nous la vertu du Verbe (Tronson),140, – IV, l’école française et le pessimismeaugustinien. 27 ; 29.

La méthode d'oraison mentale du séminaire deSaint-Sulpice, III, le Père Faber et la méthodespirituelle des jésuites, 112, 113 ; 116 ; citation deM. de Lantages, 118 ; M. Tronson et le devoirpremier de l’adoration dans l’oraison mentale,121 ; 126 ; de la communion, second point de laméditation, 127 ; 128. – S., citation de Tronson,100, 101.

Les origines historiques de la méthode de Saint-Sulpice, III, 115 ; il n’y a pas, à proprement parler,de spiritualité sulpicienne, 116.

Les saints prêtres français du XVIIe siècle, parGrandet, édition Letourneau, III, 157.

La mission de M. Olier et la fondation des grandsséminaires en France, III, 177, 421.

Pensées choisies sur le culte de Notre-Seigneur, tiréesdes Mémoires de M. Olier, III, 420, 475, 476 ; surla fondation du séminaire de Saint-Sulpice, 492 ;496.

383

Le ministère paroissial de J.-J. Olier, III, 421. v.Joseph Grandet (Mémoires).

LE TOURNEUR (Nicolas). – IV, 302.Principes et règles de la vie chrétienne, IV, la prière

égoïste, 394.LE TOURNEUX (Nicolas). – X, prêche un

Carême à Saint-Benoît, 40 ; réponse de Boileau àLouis XIV à propos de Le Tourneux, 40 ; 41 ; LeTourneux et dom Guéranger : un même dessein,celui d'initier les fidèles aux choses de la liturgie.48 sq. ; succès prodigieux de l’Année chrétienne ;peu à peu [151] délaissée, 51 sq. ; 64, 65 ; citationde son hymne pour les Matines de Pâques, 80,81 ; 87, 88, 89, 90, 91, 96, 110, 115, 140, 156, 163.

De la meilleure manière d'entendre la sainte Messe,IX, deux manières, 158, 159 ; sur le Psaume Judicame, 160 ; l’Église ne veut pas que le prêtre sesépare de l’assemblée, 162 ; le peuple témoin de laconsécration offre par le prêtre le Corps de Jésus-Christ, 163 ; la Communion ne doit se faire qu’àla messe, 163 ; la liturgie de la messe est lameilleure méthode pour entendre la messe, 164 ;l’oblation du Corps de Jésus- Christ faite par lesfidèles avec le prêtre 166, 167 ; ses répliques auxpartisans du secret des mystères, 170 ; ce n’est paspar ordre de l'Église que le peuple n’entend pointle latin. 171, 172 ; sur la récitation submissa voce duCanon, 172 sq. ; 176 ; sur les Amen, 176, 177 ;183, 184, traduction du Suscipe (offertoire), 201 ;205 ; de l’élévation à la messe, 237, 238.

384

Année chrétienne, IX, 185. – X, L’Annéechrétienne de Le Tourneux et la propagandeliturgique, 33-68 ; 39, 40, 41 ; l’Année chrétienneà l’Index, 42 ; 43, 44, 47. 48 ; succès prodigieux,51 ; 53, 54, 58.

Introduction sur le mariage, IX, du devoir desmères d’allaiter elles-mêmes leurs enfants, 311.

Carême chrétien, X, 41, 53.Traduction du Bréviaire romain, condamnée

par l’archevêque de Harlay, X, 44.Office de Marie l'Égyptienne, X, 37.Traduction de l’Office de la Semaine Sainte, X, 40.Histoire de la vie de Jésus-Christ, X, 40.Lettres aux cordicoles, III, 639.LEUBA. – VI, II. v. J. Bisset Pratt.LE VALOIS (P. Louis), s. j., professeur au

Collège de Clermont. – VI, 402.Lettres chrétiennes sur la nécessité de la retraite dans

chaque état, V, préférer à tout son propre salut, 30.LE VASCHER, fondateur de l’Union

chrétienne. – V, 350.LE VASCHER (dom Hiérôme), bénédictin.

– VI, 181.LEVASSOR. – Histoire de Louis XIII, in, 329.

– XI, le Père Joseph et son activité dans lapoursuite des Illuminés, 93, 94.

LEVAVASSEUR (Gustave). – MonumentMézeray, Notice sur les trois frères Jean Eudes, FrançoisEudes de Mézeray et Charles Eudes d’Houay, III, 602.

385

Discours prononcé pour l’inauguration dumonument de Mézeray à Argentan, III, 602.

LEVESQUE, s. s. – II, 606. – in, 284. – V,355.

Les dernières années de Bossuet, IX, 177.Anciens offices propres de Saint-Sulpice, X, 132,

221. v. Urbain.LEVOIX (Andrée), femme de chambre de

Mme Acarie, entrée comme sœur converse aupremier Carmel de France. – II, 308.

LEYMONT (H. de). – Madame de Sainte-Beuveet les Ursulines de France, VI, 443.

LÉZÉ (Mère de), fondatrice du prieurébénédictin de Saumur. – II, 425.

LÉZEAU (M.). – U, 345.LEZEAU (P.), s. j. – III, 620.L’HOSPITAL. v. Hospital.LHOUMEAU (P. Antoine). – La Vie

spirituelle à l’école du bienheureux Grignion de Montfort,III, 50, 51, 80 ; « le Christ vivant en nous », idéefondamentale de l’école française, 81 ; les vertusdu Christ imprimées en nous « quoique nous nenous efforcions point d’en produire les actes »(Boingoing), 144 ; non seulement tout ce qu’il y aen Jésus est saint, mais encore sanctifiant(Rigoleuc), 145 ; du saint esclavage, 151. – IX,272, 273. [152]

LIBERMANN (P.). – IV, de la grâce opérantsur les sens, 341. – VIII, presque oublié. 358.

LICENTIUS. – VI, 91.

386

LICINIUS. – X, 184.LIGIER RICHIER. – IX, 281.LIGNY (Mère de).- – IV, son témoignage

pour Saint-Cyran au sujet de la séparation del’Eucharistie, 141, 142.

LIGNY (de). – IX, 60.LIGUORI (saint Alphonse de). – III, 494.Visites au Très Saint Sacrement. IX, 245 ; 266.LINGENDES (Jcan de). – I, 191.LINGENDES (P. Claude de)., s. j. – VI, 286.LITANIES (les). – X, 183-208 ;

développement de la prière litanistique. 185 8q. ;des Saints Anges, 188, 189 ; de l'Enfance, 188,189 ; de la Providence, 189 ; la dévotion privéecherche en vain à intégrer dans la liturgie officielleles litanies qui restent toutefois en relation étroiteavec elle, 196 ; Thesaurus Litaniarum par Sailli,186 ; litanies d’honneur et de louange du SaintNom de Jésus, par le Père Madariaga. 187 ;litanies des Saints Anges, par Jacques de Jésus,188, 189 ; de l’Enfance, par le Père Amelote, 189.190 ; de la Providence, 190, 205, 206 : de saintePélagie, 190 ; du Saint Sacrement ; de la Passion,190 ; litanies tirées de l'Écriture sainte, 190 ;litanies du Père Eternel, 1 y3 ; de saint Paul, desaint Jean, 194 ; du Saint Sacrement, 194, 192 ;des Saints Anges, 192 ; Horstius, Paradis de l’âme,193 ; Fénelon, Manuel de piété. 196, 197 ; PèreEdme Calabre : litanies de Jésus-Christ pour lespécheurs et les pénitents, 197 ; Père Maugras :

387

litanies tirées de l’Écriture sainte, 198, 199. 200 ;abbé Briguet ; Litanies du Saint-Esprit parrapport à Marie, 203 ; l'anglicanisme et les litanies,206, 207 ; Newman, Méditations et Prières. 207 ;psychologie et critique de la prière litanistique,207, 208 ; Père Simon Gourdau, Le Cœur chrétienforme sur le Cœur de Jésus-Christ, 200-203. V. RobertWill, Löhe.

LITURGIE. – IV, l'Église, par elle, nousélève à la religion parfaite, 398. – X, la liturgiecoupe court aux introspections passionnées, 288.

Livre de Cerne. III, 154.LLOYD, History of Wales, V, 92.LOBINEAU (dom). – VI, sur l’auteur de la

vie de Mme du Houx. 440.I.es vies des saints de Bretagne, (éd. abbé

Trévaux), V, 70, 82, 114 ; apparition de Jean deSaint- Samson à Gillette de La Cornillière, 119 ;120, 138 : sur Mme du Houx, 140-147.

LOCHON. – Abrégé de la discipline de l’Église,X, des laïques faisant oraison, 320.

Logique de Port-Royal. – IV, 552.LÖHE, liturgiste luthérien. – X, Éloge de la

litanie. 208.LOISEL, curé de Saint-Jean-en-Grève, dr en

Sorbonne. – VI, 205.LOISEL (Antoine). – Distiques moraux, IX,

329. v. Colletet.LOMBAY (marquis de), François de Borgia.

v. François de Borgia.

388

LONGHAYE (P.) s. j. – I, sur la prière deFénelon, 346.

LONGLÉE (M. de), ambassadeur de Franceà Madrid. – II, aide Jean de Quintanadoine danssa mission pour amener des carmélites espagnolesen France, 273, 274.

LONGUETERRE (abbé de). – Soupirs dePhilothée, I, Camus tenait saint F. de Sales pour unoracle, 170 ; annonce l’ouvrage de Camus sursaint F. de Sales, 172.

LONGUEVILLE (Catherine. demoiselle de).– II, fonda la première maison du Carmelfrançais, 188, 189 ; 258 ; obtint de Henri IV les[153] lettres de fondation pour le prieuré deNotre-Dame-des Champs (Carmel), 284, 285 ; etdes lettres pour obtenir des carmélites d'Espagne,292 ; elle va à la rencontre des carmélitesespagnoles, 306 ; fonda le prieuré de Notre-Dame-de Grâce, 497.

LONGUEVILLE (Aune Geneviève deBourbon, duchesse de). – IV, 181, 227, 286, 321.– V, 260. 266. – VII, 380. – IX., ses communionsà Port-Royal, 58. – XI, 118. v A Féron.

LONGUEVILLE (famille des). – II, 188. v.Orléans-Longueville.

LONGUEVILLE (François de). – II, 188.LOPE DE VEGA. – VIII, l’enseignement de

la Croix, 286.LOPIN (dom Jacques), bénédictin, a travaillé

aux éditions mauristes des Pères grecs. – VI, 229.

389

LOPPIN DE GÉMAUX. – IX. 351. v.Président de Brosses. Yvonne Bérard.

LORBER. – VII, 176.I.ORÉDAN. – Un grand procès de sorcellerie au

XVIIe siècle, l'abbé Gaufridy et Madeleine deDemandolz, V, 182 ; interrogations et mise enscène au cours d'exorcismes, 191, 194.

I.ORET (Jean). – VIII, 316.LORETTE (pèlerinage de). – V, 179.LORIOT. – Morale chrétienne rapportée aux

instructions que Jésus-Christ nous a données dansl'oraison dominicale, IX, de la parole secrète de Dieuratifiant le « oui » des futurs époux, 296.

LORME (M. de), médecin. – II, assiste à uneopération cruelle pratiquée sur Marguerite Acarie,361.

LORRAINE (cardinal de). – II, se faitexorciser. 127.

LORRAINE (Charles de), duc de Guise. – II,150.

LORRAINE (Françoise de). v Merœur.LORRAINE (Marie de), abbesse de Chelles.

– II, 395, 402, 426.LORRAINE (Renée de), fille de Henri

troisième duc de Guise et de Catherine de Clèves.– II, 395 ; elle reçoit Henri IV en son abbaye,mais sous l’égide de sa mère, 402 ; elle n’avait quesix semaines lorsqu'on la porta à l’abbaye deSaint-Pierre, 405.

390

LORRAINE D’ELBEUF (Henriette de),abbesse de N.-D. de Soissons. – II, son oraisonfunèbre par l’abbé du Pille, 413, 414.

LOTH (Arthur). – I. 240.LOTI (Pierre). – X. 76.LOUBERT (Mme de). – VI, 263, 265.LOUDUN (les possédées de). – II, 457. –

III, 315, 316. – VIII, 282, 283. – - XI. 137. v. PèreSurin, Jeanne des Anges, Père Cavallera.

LOUDUN et les possessions diaboliques auXVIIe siècle. – V, 397-400.

LOUET (René de), évêque de Cornouailles.– V, 114.

LOUIS (M. J.). – Mole sur le prétendu fidéisme dePascal (Revue de philosophie), IV, 385.

LOUIS (saint). – I, anecdote de Joinville surla rencontre, par saint Louis, d’une femme tenantune cruche d’une main et de l’autre une torche (v.la Caritée de Camus), 183. – II, saint Louis et lesreligieux du Mont-Carmel, 363. – VII, 280. – X,67. – XI, 273, 281.

LOUIS XI. – VI, 11.LOUIS XII. – II, 456.LOUIS XIII. – I, 362. – II, 106, 390, 457. –

VI, 236. v. Paul de Barry.LOUIS XIV. – II, 133. 390. – IV, 236, 250. –

IX, 184, 186. 202 : disait le chapelet tous les jours.232. – XI. 281 [154]

LOUIS XVI. – IX. 212.

391

LOUIS D’ARGENTAN (P.), capucin. – VII,267.

LOUIS DE BLOIS (bienheureux). – II, 490.– X, ne. propose l’oraison jaculatoire qu’aux âmesavancées, 340. – IX, 81. – XI, 26.

LOUIS DE GONZAGUE (saint). – X, 167.LOUIS-JOSEPH-XAVIER-FRANÇOIS DE

FRANCE, dauphin. – II, 535.LOUIS, dauphin, fils de Louis XV. – II, 536.LOUIS DE GRENADE (P.), o. p. – VIII,

10, 191, 201 ; examina les prétendus stigmates deMarie de la Visitation, 207 ; 223 ; aurait voulu,d’après Melchior Cano, que tout le monde devintcontemplatif, 226 ; des règles spirituelles et del’art de la grâce, 286, – IX, 46, 80, 81.

Traité de l'oraison, II. 16.LOUISE (Mère), voyante. – VI, Anne

d’Autriche délègue en Espagne le Père JeanChrysostôme pour l’examiner, 236.

LOUISE (princesse), sœur naturelle deLouise de Bourbon-Longueville. – VIII, 88. – XI,118.

LOUISE (reine), veuve de Henri III. – II,445.

LOUISE DE JÉSUS, carmélite. – II, 563.LOUISE DU NÉANT. – V, 340-393 ; quitte

sa famille pour servir les pauvres ; enfermée dansune maison de fous. 345 ; hérédité morbide. 346 ;ses parents la persécutent, 346 ; envoyée par eux àAngers, 346 ; sa rentrée dans sa famille, 346, 347 ;

392

elle est adulée et recherchée, 347 ; offre d’unemagicienne, 347, 348 ; étrangeté de ses parents,348 ; court séjour à l’abbaye de Ronceray, 348 ;crise de mondanité, 349 ; désir de la solitude,350 ; offre à une de ses sœurs d’entrer â sa place àRonceray, 351 ; celle-ci ne peut y prendre l'habitque sur un ordre du roi, 351 ; entre au couvent deCharonne, 351 ; premiers symptômes de samaladie, 351 ; délire et extravagances, 352 ;enfermée à la Salpêtrière, 353 ; le grand siècle et letraitement des fous, 353 ; commencement deguérison, 354, 355 ; on lui donne un confesseur,M. Guilloire, 355 ; M. Guilloire et la confessiond’une prétendue sorcière, 356 ; délivrée par lacommunion, 357 ; reste à la Salpêtrière, 357 ; fillede salle. 357 ; son règlement de vie, 358 ; elle veutcontinuer à passer pour folle, 358 sq. ;mortifications individuelles, 358 ; le beau mondeen visite à la Salpêtrière, 359 ; ses extases, 360,361 ; elle obtient que ses extases prennent fin,361 ; sa correspondance, 362 sq. ; extraordinairespénitences, 363, 364 ; son oraison de foi, 364 ;restes d'exaltation, 365 ; une retraite dans uncachot, 366 ; le Père Guilloré envoie de saintespersonnes à l’école de Louise du Néant, 366 ;délire, mais non démence ; exaltation de sonamour, 367 ; jalouse de sainte Madeleine, 367 ; lesinjures qu'elle s’applique lui sont suggérées par sesdirecteurs, 368 ; tentée d’aversion pour le PèreGuilloré, 371 ; quitte la Salpêtrière, mais garde

393

longtemps ses habits de folle, 378 ; ses directeursla laissent faire, 378 ; ils auraient voulu qu’ellerestât à la Salpêtrière, 378 ; chez les Filles de laProvidence, 379 ; on la visite pour la consulter surla vie spirituelle, 379 : ce qui la fait se résoudre àquitter la Communauté, 379 ; partage le Logisd’un pauvre aveugle, 379 ; chez les religieuses duSaint-Sacrement, 381 ; vie errante dans Paris,381 ; abris de fortune, 381, 382 ; humiliations etapostolat, 382 ; le plan du Père Guilloré, 382 sq. ;chez les Pénitentes du Père Guilloré ; à l’hôpitalde Loudun, 385 ; sa vie est une énigmeperpétuelle, 385 ; aventures sur la route de [155]Loudun, 386 ; via media entre le couvent et lemonde, 386 sq. ; Louise dans son vrai cadre, 387,388 ; sa correspondance à cette époque, 386 sq. ;à l'hôpital de Parthenay, 388 ; la journée d’unehospitalière, 388, 389 ; paix et silence, 390 ; onl’oblige à parler de Dieu, 390, 391 ; le don desmiracles, 391, 392 ; sa mort, 392 ; publication desa vie et de ses lettres, 392, 393. v. Guilloré, PèreMaillard, dom Chamond.

LOUISE DE SAVOIE, mère de François Ier.– II, 503.

LOUISMET (dom), bénédictin. – LaContemplation chrétienne, XI, en soi la contemplationest naturelle à l’homme, 428.

LOURDES (pèlerinage de). – V, 179. – VI,pèlerinages similaires, Notre-Dame du Laus, 422sq. ; Alan, 444.

394

LOUVIERS (possessions de). – V, 402. – XI,possession des religieuses dites de Sainte-Élisabeth de Louviers, 158 sq. ; sorte de plagiat deLoudun, 159 ; la commission d’enquête, 159 sq. ;attestations de messieurs les Commissaires, 161 ;procès-verbal du Pénitencier d’Évreux ;déposition de Madeleine Bavent sur ses rapportsavec le démon, 161. v. Mère Françoise de laCroix.

LOUVIGNY (Mmc de). – IX, 336.LUBERT (Mlle de). – IX, lettre à M. de

Gémaux sur la mort de Duclos, 351. v. Présidentde Brosses.

LUC (saint). – X, 42 sq.LUCAT (Christophe). – III, 560.LUCAT DE SAINT-SEVER CAP. – III,

560.LUCOT (abbé). – II, 523.LUCRÈCE. – I, 111, 412.LUDOLPHE LE CHARTREUX. – III, 94.Vie de Notre-Seigneur Jésus-Christ, X, 317. – S.,

103.LUDOVIC DE BESSE (P.), capucin. – VII,

266, 268. – S., 139.LUGO (cardinal de), s. j., théologien. – I,

236. – IX, 77 ; défenseur de la FréquenteCommunion d’Arnauld, 77, 78. – XI, du précepted’aimer Dieu, 259 : 260.

LUILLIER (Madeleine). v Mme de Sainte-Beuve.

395

LUILLIER (Marie), mère de Mme Acarie. – II,200, 201.

LUIS DE LÉON (Frère), augustin. – VIII,220.

LULLE (Raymond). – I, son influence sur lesencyclopédistes dévots, 258 ; 267 ; un des auteurspréférés d’Yves de Paris, 432 ; son Arbre desExemples, cité par Yves de Paris, 433. – VIII, 231.

LULLI. – IV, 500.LUTHER. – I, 4 ; son interprétation

pessimiste des Pères, 522. – III, passion de sentirla vie du régénéré, 380. – IV, 285, 338, 391, 422.– VII, 392. – VIII, 286. – IX, 186. – X, 44. – XI,61, 263, 294, 296, 298, 324.

LUYNES (duchesse de), Marie-LouiseSéguier. – III, 486. – IX, sa mort, 338.

LUYNES (duchesse de), Rohan-Monbazon.– IX, sa mort, 337-350.

LUYNES (Louis-Charles d’Albert, duc de). –III, 486. – IV, 194. – IX, le scandale de sonsecond mariage, 344.

LUYNES (Mme de), religieuse de l’abbaye deJouarre. – IX, 339.

LUXE (Luce de), abbesse de Saint-Ausoned’Angoulême. – II, 415, 416.

LYON (dom Étienne), bénédictin de Saint-Denis, – VI, sa mortification, 191

LYONNE (M. de), secrétaire d’État. – IV,227.

LYS (abbaye du). – II, 418, 428. [156]

396

M

MABILLON (dom Jean). – I, 231. – III, 193.– VI.86, 178, 180, 187, 190, 199 ; édition desœuvres de saint Bernard, 207 ; 211. – X, 33, 34 ;sa ferveur à la vue des églises, 347 ; à Subiaco,347.

Réflexions sur la réponse de M. l'abbé de la Trappe,VI, 226. v. Bocquillot, E. de Broglie.

MACÉ (Jean). – II, 389. v Père Léon de SaintJean

MACHAULT (Jacques de), s. j. – Le Trésordes grands biens de la Très sainte Eucharistie (1661),IX, de la dévotion plus marquée (de son temps) àla Très sainte Eucharistie, 43. 44 ; 47 : lafréquente communion conseillée et recommandéepar les Pères de la Compagnie de Jésus, 73 ; dumépris des nobles et des riches pour la Tablesainte, 122, 123 ; il est à peine question, dans celivre, du sacrifice et la communion y est présentéecomme un « exercice de piété » à part, 134 : del’institution des Bénédictines du Saint-Sacrement,207, 208. v, Madridius.

MACKEY (dom), bénédictin, a travaillé à laplus grande partie de l’édition des Œuvrescomplètes de saint François de Sales (éditiond’Annecy). – I, 70, 83. – III, 47. – XI, 370.

Introduction, I, sur les lettres de direction desaint François de Sales, 98 ; dit que l’esprit del’Introduction à la vie décote est l’esprit monastiqueou religieux, 107 ; de la douceur prétendue de

397

saint François de Sales, 108 ; sorte d’affinité entresaint François de Sales et les patriarches de laphilosophie, 118 ; 525. – II, 573, 576. – VII, lesystème de spiritualité de saint François de Salesn’a d’autre base que l’esprit de prière, 39, 40 ; 91.– IX, des directions salésiennes relatives à lacommunion, 113.

Préface au Traité de l’Amour de Dieu : 577, 579,581, 582, 584.

.MACRINE (bienheureuse). – VI, 96.MADARIAGA (P.), chartreux. – Litanies

d'honneur et de louange du saint nom de Jésus, X,chaque jour de la semaine a sa litanie, 187 ; 189.

MADELEINE-MECHTILDE (Sœur). – IV,sa douleur après la signature du Formulaire, 237,238.

MADELEINE DE SAINT-FRANÇOIS(Mère), du Tiers-Ordre régulier de Saint-François.– VI, ses rapports avec J. Cretenet, 411-413 ;travaillait à « établir dans le monde la pratique del’oraison mentale », 412.

MADELEINE DE SAINT-JOSEPH (Mlle deFontaines-Maran), carmélite. – II, 49, 196 ;formée par Mme Acarie, 258 ; 308. 317 ; 323-330 ;sa rencontre avec Bérulle, 325 ; Madeleine deSaint-Joseph et les destinées du Carmel français,326 sq. ; a écrit la Vie de Catherine de Jésus, 331-343.– III, 4 ; demande en son nom et au nom de sesfilles, le cœur du cardinal de Bérulle, 5 ; dit deBérulle qu’il était continuellement occupé de

398

Jésus-Christ, 48 ; sur Marguerite du Saint-Sacrement (Marguerite de Beaune), 534, 535,536 ; 540, 541, 543. – V, 133.

Vie de la Mère Madeleine de Saint-Joseph, par unprêtre de l’Oratoire, II. 330.

Vie de Catherine de Jésus, II, 331-343. – III, 538,539, 571.

MARIE-MADELEINE (sainte). – Son culteau XVIIe siècle, I, 383 ; note sur les poèmes qui luisont consacrés, 384. v. Bérulle, Raymond Toinet.[157]

MADELEINE DU SAINT-SACREMENT(Madeleine de Saint Sever), carmélite. – III, 558 ;ses origines, 560 ; expulsée du Carmel deBordeaux, 561, 562 ; dix années d'exil, 562 ;retour au couvent. 562, 563 ; sa dévotion àl'Enfant Jésus, 563 sq. : la persécution et lesenfantillages qui l’expliquent 565 sq. ;réhabilitation et prestige, 568, 569. – V, 294.

MADELIN (Louis). – Fouché, III, 157.MAGGIO (P.), s. j. – IX, la confession et les

communions dans les collèges de jésuites (fin XVIe

siècle), 96. – XI, chargé d’une enquête sur IsabelleBellinzaga, 13 ; 14. v. Fouqueray.

MAGIE. – VII, le charme magique comparéà la prière, 13. – S., de la théorie qui veut que lamagie ait précédé la prière, 17 ; prière d’abord,magie ensuite, 19. v. J.-B. Pratt.

MAGLOIRE (saint). – X, 179-182. v.Santeul.

399

MAIGNARD (P.), de l’Oratoire. – IV, 93.MAIGNART (Dr Pierre). – XI, 158 ;

controverse entre Maignart (neveu de Charles deBernières) et Yvelin au sujet d’un cas depossession, 158. v. Alexandre Féron.

MAIGNELAIS (marquise de), sœur deCharles de Gondi. – II, 188, 189, 221 ; auxobsèques de Marguerite Acarie, 342 ; dépose pourla béatification de Mme Acarie, 345 ; le frèreAntoine et Marguerite Acarie, 360 ; 498.

MAILLARD (P. Cl.), s. j. – Le bon mariage oules moyens d'être heureux et de faire son salut en l’état demariage, arec un Traité des Veuves, IX, 292.

MAILLARD (P. Jean), s. j. – V, 68 ; a traduitsaint Jean de la Croix, 342 ; a publié la vie deMarie Bon, 342 ; devint directeur de Louise duNéant après la mort du Père Guilloré, 369 ; 380,385 ; a composé une vie de Louise du Néant. 393.

La Vie de la Mère Marie Bon, religieuse ursuline deSaint Marcellin, V, l’oraison passive ou de simpleregard de Marie Bon, 342 ; dévotion de MarieBon au Sacré-Cœur, 343 ; la vision du pasteur etdes deux brebis, 344. – VI, 421.

Triomphe de la pauvreté et des humiliations ou la viede Mlle de Bellère du Tronchay appelée communément sœurLouise, V, ch. VIII, passim.

Les occupations intérieures de l'âme chrétienne, tiréesdes sentiments les plus tendres de l'Écriture sainte, X,invocation à l'Esprit Saint, 281.

400

MAILLARD (Frère Nicolas), célestin. – Atraduit le Traité de l'amour de Dieu de Fonseca, I,361.

MAILLEZAIS (de), évêque. – II, 420.MAIMBOURG. – II, 201.MAINE (duc du). – I, l’ermite de

Compiègne, 336.MAINE DE BIRAN, – Journal intime, IV,

après une lecture de Pascal. 322 ; larmesheureuses, 357 ; le Mémorial de Pascal, 416. – XI,de la mort à soi-même, 410 ; véritable, uniquepaix intérieure, 422 : présence de Dieu... vue,sentiment intime de la vérité, 423, 424 ; l’intuitiondu divin n’est pas notre œuvre. Passivetéessentielle, mais nécessité d’écarter les obstacles àl’intuition, 424, 425. v. La Valette-Monbrun.

MAINTENON (Mme de). – VI, 263, 264. –VIII, 330. – IX, 274. – X, 178 ; écrivait sesoraisons, 270, 271. – XI, 134, 340. v. Bourdaloue.[158]

MAISONFORT (Mme de La). – VI, consulteBoudon sur ses peines intérieures, 264, 265 ; écrità Bossuet au sujet de Boudon, 264. 265. – VIII,288. – IX, Bossuet lui permettait de communiertrois fois par semaine, 122. – XI, 12. – S., 111.

MAISTRE (Joseph de). – I, 98. – III. 214. –IV, 13, 16. 20, 258. – X, 66. – S., 120, 358.

Soirées de Saint-Pétersbourg, I, 225. – X, critiquedes hymnes de Santeul, 110.

De l'Église gallicane, IV, le style janséniste, 9.

401

Lettres, VII, 363.MAISTRE (Xavier de). – Le Lépreux de la cité

d’Aoste, II, 371.MAJAINVILLE (abbé de). – X, traduction

en vers français de l’hymne Grates peracto jam die,149.

MAJORIUS (P.), s. j. – II. Françoise deBermond et la fondation des Ursulines de France,29, 30.

MALAVAL (François). – III, a écrit unelettre approbative pour la Vie de Jeanne Perraud,572. – IV, 486, 493, 494. 495, 497, 498, 534, 540,547, 554, 555, 557, 559, 565 ; 581. – VI, 398, 422.– VII, 322 ; 329. – VIII, 322, 323. – XI, 332, 411.

Pratique facile pour élever l'âme à la contemplation,IV, que l’Église augmente tous les jours enlumière et en connaissance, 491 ; 497 ; lacontemplation, mort volontaire, 537 ; laméditation, voie plus générale, 542 ; le silence,acte volontaire, acte de foi et d’amour, 543 ; laméthode n’élève pas l’âme à la contemplationmais l’y prépare, 578. – VI, 438. – X, il estdifficile de se figurer que l'action (dans la prière)n’exige pas nécessairement que l’on parle, 269. –XI, on peut se jeter en Dieu par la considérationd'un attribut, d’un mystère, du ciel étoilé..., 377. v.Nicole, Guilloré.

MALDONAT (P. Jean), s. j. – I, 20, 21, 22,232. II, 98. – III, 193. – IX, contre la légende de

402

la pâmoison de Notre-Dame, 277, – X, 52. – XI,303. v. Prat.

MALE (Émile). – IX, 277, 361. – X, 83, 317.L'Art allemand et l'art français du moyen âge. III,

65, 475.MALEBRANCHE. – II, 474. – III, 180, 192,

196. – IV, 15, 162 ; sur Arnauld, 298, 305. – V,297. – VII, la prière « un divin plaisir », 16, 17 ;24, 392. – VIII, 35. – IX, 364. – X, 58, 117. – XI,l’amour commençant, 293, 320. – S., 155.

Conversations chrétiennes, I, 225. – X. 298.Entretiens, I, 225.Recherche de la vérité, I, 431. – III, 219.Méditations pour se disposer à l'humilité et à la

pénitence, III, 219-221.Traité de l'Amour dé Dieu, VII, tout amour de

Dieu est intéressé, 23.Méditations chrétiennes, X, 292, 298. – XI, de la

contrition et de l'attrition, 312, 313 ; de l’amournaissant, 322 ; le pécheur peut par le secours de lagrâce, préférer actuellement Dieu à toutes choses,322, 323. v Père-André Blampignon, Roustan,Henri Gouhier.

MALHERBE. – I, 288, 191, 192, 198 ; sur LaCépède, 347. – IV, 17. – IX, 271. – X, 63. – XI,sur l’affaire des religieuses de Loudun, 113.

MALINGHEN (P.), de l’Oratoire. – La Viede Madame Madeleine de Clermont-Tonnerre, II, 410,411.

MALLARMÉ (Stéphane). – IV, 473.

403

MALLET, archidiacre de Rouen. – VI, 248.MAME, éditeur. – IX. 183.MANCEL (G.). – Journal d'un bourgeois de

Caen, III, à propos des critiques du Père Eudespar Huet, 592. [159]

MANCHON (M.). – III, 594.MANCINI (Hortense). – V, 390.MANDAT (Marie), mère du chanoine

Guilloire. – V, 355.MANGIER (dom). – XI, 127.MANGOT (Mme). – V, 402.MANGOT, garde des Sceaux. – XI, 164.MANNING (cardinal). – III. lettre à Mgr

Ullathorne sur l'excellence du sacerdoce et lahaute dignité du clergé séculier (texte anglais),168.

Manuel de Piété à l'usage des élèves du Sacré-Cœur(1910), IX, ne donne le Canon qu’en latin, 205,

MANZONI. – X, 66.MAQUART. – S., déviations

anthropocentriques et anti-mystiques de ladoctrine de saint Ignace (Vie spirituelle), 173.

MARBEAU (Mgr). – Paroissien des fidèles,donne la traduction littérale de l’Ordinaire de laMesse, IX, 205.

MARC (dom Noël), bénédictin deMarmoutier. – VI, 181.

MARC (saint). – VI, 494. v. Costard.MARC-AURÈLE. – III, 393. – IV, 259, 273.

– VIII, 275.

404

MARC DE BAUDUEN (P.), capucin. – LaVie admirable et les héroïques vertus de la RévérendeMère Agnès d'Aguillenqui, VI, 427.

MARCEL (Gabriel). – S., les travaux d’HenriBremond éveillent « en nous le pressentiment oupeut-être l’obscure mémoire d’une vie supérieurede l’âme » (Europe nouvelle), 343.

Journal métaphysique, VII, définition de laprière, 11. – S., de la prière de demande, 17.

MARCEL (P. J.). – La Vie du Révérend PèreCésar de Bus, I, César de Bus demanda des verspour sortir de la vie en chantant, 216 ; 254. – II,César de bus usait dans ses discours d’un style baset familier, 11 ; 14 ; sa manière simple etaccessible à tous d'enseigner la doctrinechrétienne, 20 ; 21.

MARCHETTY (F.). – La Vie de messire Jean-Baptiste Gault, évêque de Marseille, III, 43.

MARCOU. – Pellisson, IX, 196, 197.MARÉCHAL (P. J.) s. j. – À propos du

sentiment de présence chez les profanes et chez lesmystiques, II, accord entre chercheurs pourdistinguer, au sein du mysticisme l’essentiel del’accessoire, 585 ; point culminant des étatsmystiques : sentiment de la présence immédiated’un être transcendant, 586 ; l’intelligencehumaine ne peut se désintéresser des mystiquesqu’en se reniant elle-même, 587 ; 593. – IV, sur laconnaissance plus lumineuse qui suit lacontemplation, 581. – XI, 434.

405

Science empirique et psychologie religieuse. II, 585 ;rejeter à priori les communications mystiquesn’est pas hérétique mais téméraire, 587.

Sur quelques traite distinctifs de la mystiquechrétienne, II, 585 ; pas de contemplation mystiquesans le sentiment de présence immédiate, 589 ;590.

Réflexions sur l’étude comparée des mysticismes, XI,371 ; de la quiétude, 390 ; intuition signifie aussibien « toucher » ou « contact » que « vision »(Nouvelle Revue théologique), 396 ; la quiétude :saisie immédiate de Dieu par un amour sevré detoute détermination intellectuelle, 398 ; 425 ; lesétats mystiques et les activités psycho-physiologiques générales, 426, 427. v. Pacheu, deGrandmaison.

MARÉCHAL (Sylvain). – X, a fait uncommentaire sur les Litanies de la Providence, 205.[160]

MARGUERITE D’ANGOULÊME. – I, ondiscerne chez elle le point où se séparent laRenaissance littéraire et la Renaissance religieuse,10.

MARGUERITE D’ARBOUZE. v. Arbouze.MARGUERITE DE BEAUNE, carmelite. –

III, 4, 531 ; son dernier biographe, 532 ; conduiteà son égard du Carmel de Paris et des Minimes,533 ; ses maladies, 534 ; ses médecins et la prieurede Beaune ; la relique de Bérulle, 534-536 ; de laPassion à l'Enfance de Jésus, 536 : 537 ; son

406

portrait par l’oratorien Parisot, 537 : Catherine deJésus, prototype et inspiratrice de Marguerite deBeaune, 538-540 ; née pour l'action, 540 ;lévitation, 541 ; réduite à l'état physique del’enfance, 541 ; sa profession, 543, 544 ;orientation nouvelle que prend la dévotionbérullienne, 544 ; « la famille du saint Enfant-Jésus », 544 sq. ; premiers succès de lapropagande, 545 ; Marguerite, Anne d’Autriche etla naissance du dauphin, 546 ; nouvelletransformation de la dévotion bérullienne : laroyauté de l’Enfant-Jésus, 547 sq. ; la chapelle du« Petit Roi », 548, 549 ; les deux images deBeaune, le Petit Roi de gloire, 549-552 ; le PetitRoi de gloire et les diamants de la couronne, 550 ;la dévotion populaire et le Petit Roi, 552 ; 569 ;570, 576, 577, 579. – X, 189, a dicté un PetitOffice en l’honneur de l’Enfance de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 210. v. Amelote, Deberre.

MARGUERITE DE JÉSUS, prieuredominicaine. – VII. son oraison funèbre par lePère Hercule Audiffret : elle voit les chosescomme elles sont, 172 : la douleur la faisait crieret le Seigneur approuvait ses cris, 173 ; elle faisaitun cantique de trois paroles, 173 ; la voixintérieure et secrète de son âme affligée touchaitles oreilles et le cœur de Dieu, 174 : elle ne disaitrien de grand... qu'elle ne descendit... aux abîmesde son néant, 175 ; « Dites, Seigneur, que c'est

407

avec justice qu'il nous prive de... cette aimableMère », 175, 176. v. Lorber.

MARGUERITE DE LORRAINE. – III,330.

MARGUERITE-MARIE ALACOQUE(sainte). – II, 190, 523. – III, 547, 585, 638, 640,645, 651, 653, 666, 667. – VI, 111 ; son influencesur la piété catholique ou mieux, de ses disciples ;appartient à l'histoire du XVIIIe siècle, 401 ; il luiaurait fallu, comme biographe, une autre Mère deChaugy. 401 ; ses rapports avec le Père de LaColombiére, 409, 410 ; la vision des trois cœurs,410. – X. 200, 202. – S., 151. v. Sœurs Verchèreet de Farges, Mgr Gauthey, P. Croiset, Mgr

Languet, P. Daniel, abbé Bougaud, P. Cavallera.MARGUERITE DU SAINT-

SACREMENT, carmélite, fille de Mme Acarie. –II, dépassait, a-t-on dit, la sainteté de sa mère,221 ; dirigea une foule de spirituels, notammentM. de Renty, 312 ; influence sur Bérulle. 317 ;330 ; figure très originale et en même temps desplus représentatives, 343 ; manière d’agirextrêmement libre, 344 ; conseils à sa mère, 344 ;l'hôtel Acarie, 345, 346 ; carmélite, ne lit quel’imitation et sainte Thérèse, 346 ; saintetéprécoce, 346 sq. ; indépendance, 347 ;simplification de l’esprit, 348 ; le Maître intérieuret les directeurs, 348, 349 ; lettres à propos de lamort de Bérulle, 350 ; ses écrits, 351 sq. ; sadirection, sa définition de la vie intérieure, 352 :

408

ses lumières sur le siège de La Rochelle, 353-355 ;on lui attribua le don des miracles et le don deprophétie, 355 sq. : son entretien avec Mme deChantal, 357, 358 ; elle lui prédit sa mortprochaine. 358 ; refuse des visites royales, 359,360 ; sa maladie et sa mort, 360-362. – VI, 391. –VII, 281. v. Vernen, Tronson de Chenevière.[161]

MARGUERITE DE SAINT-XAVIER,ursuline à Dijon. – V, 168. – VI, sur son électioncomme prieure, 396 ; vision de l'Homme dedouleurs. 396, 397 ; le chapelet des Gloria Patri,397. v. Jean-Marie de Vernon.

MARIAGE – IX, la mystique du mariage,289-330 ; mystique paulinienne et bérullienne dumariage, 294 sq. ; le « oui » du mariage etl’adhérence au « oui » de l’Incarnation, 295 sq. ;« péchés contre la sainteté du mariage », mariageet pénitence. 297 sq. ; les « croix » du mariage.312 sq.

MARIE (Ch.). - – Notice sur les trois Brébeuf. I.341 ; sur le poète Brébeuf, 343.

MARIE-AIMÉE DE BLONAY, visitandine.– VI, 271.

MARIE DES ANGES (Mère), abbesse deMaubuisson, tante de Nicole. – XI. 115. 118, 123,125. 127, 131, 133. 134, 135, 143, 148.

MARIE-BÉATRICE DE MODÈNE. – VI.410.

409

MARIE BON DE L’INCARNATION.(Mère), ursuline. – V. son Traité sur l’oraison,imprimé en italien, 343. 344.

Traité de la direction (ms.). V, 344. v. JeanMaillard.

MARIE-CLAIRE (sœur Arnauld). v.Arnauld.

MARIE DE LA CONCEPTION, carmélite.– II 312.

MARIE CONSTANCE CONSTANTIN,visitandine – IV, aide Bourrigant à propager lejansénisme, 227 ; 229. exilée à La Flèche, rentredans l’ordre. 230.

MARIE-CONSTANCE DE BRESSAND,visitandine. – -III, 447. – VI, lettre de saintFrançois de Sales à la Mère de Châtel au sujet desvisions et des révélations de M.-C. de Bressand268.

MARIE L’ÉGYPTIENNE (sainte). – X, sonOffice au XVIIe siècle, 37, 38 39.

MARIE DE L’INCARNATION (Bse). v.Mme Acarie.

MARIE DE L’INCARNATION (Mme

Martin. – II, 261 ; du contre de l’âme qui estDieu. L’union constante. 605, 606. – IV, 221. –V, 67. – VI, I, IV, 3-48 ; bibliographie, 3-8 ; lesbiographies, 8, 9 ; les deux autobiographies. 4 sq ;la dévotion au Sacré-Cœur lui fut révéléecinquante ans avant Marguerite-Marie, 6 ; lettres àson fils, 5, 7 ; résumé de sa vie, 11, 12 ; entre chez

410

les ursulines de Tours, 12 ; la mère et le fils, 49-71 ; Abraham et l’ordre de Dieu, 51, 52 ;comment savoir que Dieu exige un pareilsacrifice ? 52 ; examen de ce cas de conscience,69-71 ; 73 ; vocation religieuse d’une de sesnièces, 101-103 ; Marie de l'Incarnation d'après seslettres et les témoins de sa vie, 104-136 ; lesscènes avec son directeur, 106, 107 ; premiersprojets de départ pour le Canada, 105 sq. ; elles’adresse aux missionnaires jésuites du Canada,108 ; nouvelles scènes de dom Raymond, 109 sq. ;le style de ses lettres, 111, 112 ; désir de plaire,113 ; enjouement et mélancolie, 113, 114 ; toutl’intéresse, l'attendrit ou l’amuse, 115 ; ses lettresintéressent la colonisation du Canada et l’histoiregénérale, 124 ; nous voudrions connaître sonvisage de tous les jours, 125. contradictions etpersécutions, 125, 126 ; « être en butte à tout lemonde », et même au « monde saint », 126 sq. ;eut à souffrir de Mgr de Laval. 127 ; ses« persécuteurs » ont des alliés dans le couvent,128 ; soupçons injustes, humiliations, froideurs129 sq. ; vraies causes de l'antipathie que luitémoignaient certaines religieuses, 129, 130 ; la vieintense des mystiques d’après l’expérience et ladoctrine de Marie de l'Incarnation. 137-176 ;primesaut et souplesse de sa claire intelligence,140 ; sa tendance naturelle aux jeux de l’esprit,140 ; de l’étrange agonie qui prélude à la« suspension des puissances », I45, 146 ;

411

acquisition mystérieuse de « nouvelles [162]connaissances », 148 ; Marie de l’Incarnation etl’apologie des mystiques, 175 ; 185, 204, 215, 233,235, 295, 314, 333, 391, 398, 457.

Lettres, VI, le cas de conscience discuté denouveau, dix et vingt ans après, 66, sq. ; réponseaux reproches de son fils devenu moine, 67 sq. ;« je me suis fait mourir toute vive », 68 ; la vraiepensée de Mme Martin sur ce cas de conscience,69 ; à son fils sur le devoir de l'action, 84 ; à sonfils, dix ans après son départ pour le Canada,104 ; ses lettres de Tours à son confesseur domRaymond, 105 sq. ; à son fils, union de loin, maisconstante, 105 ; à son fils, sur les affaires quil'accablent, 112 ; sur les ouvrages de la Mère deBlémur, 112 : nous ne vivons que pour mourir.114 : sur une conspiration des Iroquois et le tourque leur jouèrent les Français, 115, 116 ; sur M.de Groiseliers, aventurier français, 117 ; M. deRepantigny. « courtisan » et mystique, 117, 118 ;ses rapports avec M. d’Argenson, gouverneur duCanada, 118 ; avec Mgr de Laval, 119, 120 ; surMgr de Laval et ses projets de réforme desursulines, 120 ; à son fils qui lui conseille derentrer en France, 121 ; dévots et dévotessauvages, 122 ; « colloques à haute voix » devantles Hurons, 122, 123 ; les dix robes de sergerouge, 123, 124 ; à une religieuse ursuline deTours. 124, réponse à son fils sur le jansénisme,124 ; à son fils qui se plaignait de sa fièvre

412

intellectuelle, 140 ; « l’âme ne pense point à voir,mais à aimer », 141 par la distinction des états deJésus-Christ nous connaissons la différence desnôtres ; rien dans l’imagination ou dans le corps,le tout est dans la substance de l’esprit, 149, 150 :sur l’oraison de quiétude, 156 ; à sainte Chantalsur l’oraison de quiétude, 156 ; la contemplationet la fidèle pratique de l’imitation de Jésus-Christ,157 sq. ; en cet état de contemplation, on se sentpoussé à la pratique de toutes

les vertus, 158, 159 ; la grâce nous découvresuavement ce que nous devons retrancher, 160,161 ; du travail purifiant de l’esprit dans l'âme.161 ; « Dieu me possédait par les maximes de sonsuradorable Fils », 161 ; les sens étant occupés...l’âme en est plus libre, 167 ; Dieu luit au fond del’âme. 167 ; deux âmes, deux vies parallèles ;révolte des passions, subie mais non acceptée,168 ; sur l’incendie de son monastère â Québec,197. – XI, lettre à son fils, au sujet de la MèreFrançoise de la Croix et des religieuses deLouviers, 169, 170.

Méditations, VI, sur une méditation où larépétition de passages de la sainte Écritureembrase sa volonté, 141 ; sur la connaissance deson néant, 143 ; anéantissement progressif, sailliesintermittentes et suspension de la volonté. 143sq. ; sur un texte de saint Jean, 144, 145 ; « Je nelaissai pas d’être instruite », sans avoir reçuaucune leçon, 146, 147 : le goût de Dieu quoique

413

insensible lui donnait une expérience certaine,155 ; « Vers la fin de l’oraison, mon cœur aressenti que son ardeur était extrêmementaccrue », 155 ; sur la prière commune, la ferveurapparente et les illusions qu’elle comporte, 159 ;fragilité des résolutions ordinaires ; celles queprennent les mystiques « demeurent impriméesdans l’âme », 159, 160 ; comment l'expériencemystique supplée aux examens de conscience,160.

Vie (par dom Claude Martin), VI, sonenfance chrétienne, 12 ; sa vénération pour lesprédicateurs, 13, 14 ; songe qu’elle fit à sept ans,14 ; la prière humble, 15 ; les oraisons jaculatoiresde Mme Guyard, sa mère, 15 ; crise de purification,16, 17 ; sur la confession, 17 ; la grande grâce de1620, « porte ouverte » sur la vie mystique, 18-20 ;solitude et prière au milieu des soucis du négoce,20, 21 ; veut mettre en pratique les méthodesd’oraison mentale, 21, 22 ; à la tête, chez sonbeau-frère, d'une [163] grande maison decommerce, 23 ; d’abord traitée comme uneservante puis dirigeant la maison, 23, 24 ; Martheet Marie à la fois, 24 sq. ; la « tendance » :pressentiment, attente d’une grâce plus sublime,24 ; « exubérance » affective ; appel à un « étatplus épuré », 25 ; possession et privation, 25, 26 ;connaissance infuse de la nature de chaque chose,26 ; l’« Humanité de Notre-Seigneur », de moinsen moins sensible, 27 ; le premier ravissement

414

(1626) ; « vue de la Très Sainte Trinité », 29, 30 ;cette expérience ne lui a rien « appris », 30-32 ; dela science des théologiens à la connaissance –contact des mystiques,. 32, 33 ; ravissement, nonrévélation, 32 ; on voit que « ce que l’onexpérimente est conforme à la foi de l’Église »,32 ; dans son ravissement, l’âme se trouvait dansla vérité, 33, 34 ; « ces grandes choses nes’oublient jamais », 35 ; ne pouvait après sonravissement, sortir de l’application aux troisdivines personnes, 36 ; « La grâce présente étaitpour l'amour et par l'amour », 37 ; union des plusintimes avec le Verbe incarné, 38-44 ; de laquiétude aux transports et des transports à laquiétude, 43, 44 ; martyre du silence et des motsimpuissants, 43, 44 ; 46 ; épithalames, 44, 45 ; lescantiques de « la volonté seule », 45 ; vers un étatnouveau « au-dessus de tout sentiment », 47, 48 ;sur l’abandon de son fils, 50, 51 ; ses craintes quel'appel au sacrifice ne soit une tentation, 52 ; laréponse divine, 53 ; elle se résout à l'abandon deson fils et entre chez les ursulines, 53 ; Claude estcru perdu, 54 ; la scène des adieux, 55, 56 ; entréede Mme Martin aux ursulines, 57, 58 ; la paix audébut de sa vie conventuelle, 59 ; les religieuses,ses compagnes, prennent parti pour son fils, 62,63 ; ses craintes sur le salut de son fils et lalégitimité de son sacrifice, 63, 64 ; elle reçoitl’assurance que Dieu aurait soin de son enfant,64 ; des souffrances qu'elle endura pendant son

415

mariage, 79 ; l’histoire du petit brasseur, 131-133 ;l'inspiration probable de la lettre et sontémoignage, 134 : la lettre du petit brasseur faitede fragments de saint François de Sales, 134 ;portrait de Marie de l’Incarnation par son fils,135, 136 ; l'intelligence mystiquement« suspendue » bien avant la volonté, 142 ; « Jesens pulluler en mon esprit... une suite depassages de l’Écriture sainte », 147, 148 ; l'âmeunie au Verbe est dans la source qui lui imprimetoute vérité, 151 ; les deux manières de sereprésenter le Verbe incarné, 152-154 ; efficacitémorale des grâces mystiques, 162 sq. ; dans l’étathabituel de l’union intime, il ne peut rien entrerdans l’âme de contrefait ni d’impur, 164 ; « régionde paix, qui semble séparée de l'âme même »,169 ; les occupations les plus divertissantesn’empêcheront plus la vie mystique, 170 sq. v.dom Claude Martin, abbé Richaudeau, Griselle,Nicole, Chabot, Charlevoix, Casgrain, uneUrsuline, Chapot.

MARIE DE JÉSUS, carmélite. v. marquisede Bréauté.

MARIE DE JÉSUS-CHRIST (Mère),carmélite, fille de Séguier, – II, 353.

MARIE-JOSEPH DU SACRÉ-CŒUR (P.),carme, – Le Père Doussot, dominicain, et la MèreÉlisabeth, carmélite, sa sœur, VI, 205.

MARIE-JOSÈPHE DE SAXE, femme deLouis, dauphin, fils de Louis XV. – II, 536.

416

MARIE-MADELEINE DE LA TRÈSSAINTE-TRINITÉ (V. M.). – Ses Maximesspirituelles, VIII. 84. v. P. Piny.

MARIE DE MÉDICIS. – II, 285 ; sesrapports avec Marguerite Acarie, 359 ; 368 ; ellefait questionner pour elle Jean de Saint-Samson,377. – III, 21, 296, – VI, 236. [164]

MARIE DE LA NATIVITÉ (Sœur), dePort-Royal – IV, 199.

MARIE ROUSSEAU. v. Rousseau.MARIE DE SAINS, religieuse du monastère

Sainte-Brigide de l’Isle-les-Flandres. – XI, 156,157.

MARIE DE SAINTE-BARBE, converseursuline. v. Rigoleuc, dom Lobineau.

MARIE DE SAINT-CHARLES (Mère),baronne de Veuilly. – I, 296, 297.

MARIE DE SAINT-JÉROME. – III, sur lecardinal de Bérulle et son pouvoir de lier les âmesà Jésus-Christ, 48.

MARIE DE SAINT-JOSEPH (Mère, prieuredu Carmel de Séville. – II, ses rapports avec Jeande Quintanadoine, 269, 270 ; celui-cil’accompagne à Lisbonne où les carmélites créentune nouvelle maison, 271 ; l'infante du Congo,272 ; lettre à Jean de Quintanadoine, 275.

MARIE DE SAINT-MICHEL, carmélite. –III, 9.

MARIE DU SAINT-SACREMENT. – V,402.

417

MARIE DE SAINTE-THÉRÈSE, carmélite.– VI. 435-436 ; on peut l'admirer mais non sanseffort, 436 ; sur le trésor que Dieu a mis en sonâme, 436 ; ne se croit point jalousée, maisinaccessible, 436 ; ses « soulagements », 437, sadescription des préludes immédiats de l’union,438 ; ses « puissances » de l’âme et la quiétude,439 ; des révélations attribuées à Dieu et queforme l'esprit, 439. v. abbé de Brion.

MARIE-THÉRÈSE. – I, l'Ermite deCompiègne, 336.

MARIE DE LA TRINITÉ (Mme du Coudray,carmélite. v. Coudray.

MARIE DE LA TRINITÉ (Mère), (Maried'Hannivel), prieure du Carmel de Troyes, unedes fondatrices du Carmel de Dijon. – II, 267,278, 308, 312, 327 ; sainte Chantal au Carmel deDijon, 314 ; 557-561. – III, 5.

MARIE DE VALENCE (MarieTeyssonnier). – I, voit, dans une vision, la foulede ceux que ses prières ont convertis, 372 ; 373 ;sainte Madeleine lui apparut souvent, 384 ; voulaitque l'on parlât de sainte Madeleine avecrévérence, 385. – II, 36-66 ; dans la plupart desgrandes entreprises religieuses du XVIIE siècle, ondécouvre l’inspiration d’une femme, 36, 37 ; 41 !enfance et mariage, 45 ; la petite maison deValence, 46 ; Marie de Valence et M. Olier, 47 ; àpeine convertie au catholicisme, reçoit les visitesdivines, 47 ; sa popularité, 48-51 ; mandée à Lyon

418

par Marie de Médicis, 52 ; son entretien avecRichelieu, 52 ; M. Olier fait brûler un mauvaisportrait de M. de Valence, 54 ; sa vie intérieure,55 ; s'attarde dans la région du sensible, ; ledépouillement progressif des images facile àsuivre chez elle, 55 ; le jardin enchanté du sieur deLa Buysse, 56, 57 ; dialogue avec les créatures,58 ; les oiseaux merveilleux, 59, 60 ; la processionet le « haut dessein », 6o, 61 ; apostolat etcontemplation, 61 ; plus haut que les images, 61,62 ; son culte naissant blâmé par l’Assemblée duclergé de 1651, 63 ; victime de Port-Royal, 63,64 ; n'est pas une exception, 64 sq. ; la paysanneet son « jour intérieur », 65, 66 ; 76, 87, 115, 127,242. – V, 121. – XI, 405.

Histoire de la vie et des mœurs de Marie Teyssonnier,par Louis de La Rivière. v. Louis de La Rivière,abbé Trouillat.

MARIE DES VALLÉES. – III. 4, 413 ; lePère Eudes et Marie des Vallées, 583-628 ;difficultés particulières que présente le cas decette mystique. 604 ; sa jeunesse, 605 ; sapremière crise, 607 sq. ; possession ou névrose ?607, 608 ; sur le chemin de l’union mystique,610 ; la prière du Père Coton, 610, [165] 611 ;renonce à sa volonté propre, 611, 612 : précisionsinutiles et dangereuses dans le don qu’elle fait desa volonté. 612 sq. ; de l’idée-fixe à l'idée-force ;de l’auto-suggestion à l'impossibilité decommunier, 613 sq. ; erreur des directeurs de

419

Marie, 617 sq. ; le traitement et la guérison, 619 :la différence entre vrais et faux mystiques, 619,620 ; son génie propre, 620 : « je cherche mesfrères qui sont perdus », la « divine Esther », 621,622 ; le paradis terrestre qui est le SaintSacrement, 622, 623 ; le Jardin du Saint-Sacrement. 624 ; le prestige de Marie des Vallées,624 sq. ; son curriculum vitæ depuis ses premièrescrises, 624, 625 ; a révélé le Père Eudes à lui-même, 626 sq. ; encouragé par elle, le Père Eudesquitte l’Oratoire, 627. – IV. 580. – VI, 235. v.Nicole.

MARIE DE LA VISITATION, prétenduestigmatisée. – VIII, 207. v. Louis de Grenade,Sixte Fabri.

MARILLAC (chancelier Michel de). – I, 93,336. – II, sur le Père Coton exilé de la cour, 76 ;devait faire partie d’une commission créée pours’occuper de la réforme des anciens ordresreligieux, 106 ; fut pressenti pour écrire la vie deMme Acarie, 196 ; fait obtenir un prieuré à PierreAcarie, fils de Mme Acarie, 221 ; sa vénérationpour cette dernière, 240 ; 243 ; sa liaisonspirituelle avec elle, 245, 246 ; 261 : il pose, avecBérulle, la première pierre du prieuré de Notre-Dame-des-Champs, 285 ; il prévoit que le Carmelsera dans Paris un foyer de grâces, 326 ;Marguerite d’Arbouze, 497, 499. – III, 9,.4.

420

MARILLAC (Louise de), Mlle Le Gras. – I,Camus fut son premier directeur, 151 ; 170. v.Baunard, Mlle Le Gras.

MARILLAC (Péronnelle de), aïeulematernelle de Marguerite d’Arbouze. – II, 496.

MARIN (P.), minime. – VI, 342, 343, 346,358, 362, 368, 436.

MARION. – I, 163. – VI, sur la biographiedu Père Jean Chrysostôme par Boudon, 236.

MARIVAUT (sieur de). v. Lacout.MARIOTE (P.), de l’Oratoire. – III. 221.MARITAIN (J.). – III, 531.MARMION (dom Columba). – Le Christ, vie

de l'âme, IX, dévotion au Baptême, 40.MARMOUTIERS (abbaye de). – II, 323. –

VI, 82 ; note sur le nom de cette abbaye, 185.MAROT (Clément). – VI, 449. – IX, 284.MAROT (Jean). – VI, 449.MARREIN Mère Anne de). – III, 560-569.MARREIN (Marie de). – III, 560.MARREIN (P. de). – III, 360, 561, 564.MARS (dom Noël), bénédictin de

Marmoutiers, un des initiateurs de la réformebénédictine, – I, 222.

MARSOLLES (dom Vincent), bénédictin. –VI, 82, 181, 208, 213, 214, 215.

MARTÈNE (dom Edmond), bénédictin. – I,254. – VI, dom Martin et dom Martène, 176-226 ;le disciple type, 177, 178 ; symbolise le« bénédictin », 178 ; première rencontre avec dom

421

Martin, 178, 179 ; il écrit au jour le jour la vie deson maître, 180 sq. ; les saints modernes del’ordre bénédictin, 181 ; les notices sur les saintsreligieux de Saint-Maur, 181 ; il fait le siège dedom Claude pour connaître sa vie, 182-184 : lesentretiens de dom Claude et de Martènereproduits à l’heure même, 184 ; il s'exile poursuivre dom Martin ; adieux à Saint-Gcrmain-des-Prés, 183 ; « on avait plus d'amitié pour moi queje ne me l’étais imaginé », 186, 187 ; rejoint domMartin à Marmoutiers, 188 ; la vie de dom Martinpubliée malgré les supérieurs de [166] Saint-Maur,188 ; défauts de cet ouvrage, 189 ; faut-il enregretter les « puérilités » ? 189, 190 ; 274 ; s’étaitproposé d’écrire la vie de J.-M. Deleloë, 375.

La Vie de Dom Claude Martin, VI, 4, 6, 10, 72-103, passim.

De antiquis monachorum ritibus, VI, 183, 187.Histoire de la Congrégation de Saint-Maur (publiée

par dom G. Charvin), X, sur les ouvrages de domHugues Vaillant, 91, 92.

MARTHE D’ORAISON. v Oraison.MARTIAL DE BRIVES (P.), capucin.

Parnasse séraphique, I, 200-206 ; a paraphrasé lesPsaumes, le Pater, etc. ; « Lampe d’argent au cielpendue », 201 ; « Bénis sa main toute-puissante »,201 ; « Paillettes d’or, claires étoiles ». 202 ; surles étoiles, 202 ; « céleste et délicate laine », 202 :sur les montagnes, 202, 203 ; cantique de la rosée,203 ; anges sans forme et sans matière, 204 ;

422

« Bien d’autrui tu ne prendras », 205 ; sur la grottedu martyr saint Vincent à Agen, 205 ; Panemnostrum, 206 : adoration des yeux de JésusEnfant, 206 ; 348, 384. – IV, sur l’absolutiondifférée, 148.

MARTIAL D’ÉTAMPES (P.), capucin. –VII, 267.

MARTIANAY (dom), bénédictin, cousin etbiographe de Madeleine de Saint-Sever(Madeleine du Saint-Sacrement). – III, 558, 560,561, 564, 565- – VI, a travaillé à l’édition mauristede saint Jérôme, 210, 211.

La vie de sœur Madeleine du Saint-Sacrement,religieuse carmélite du voile blanc, III, 558 ; 560, 561,562 ; 564-566, 568. v. dom Le Cerf.

MARTIN (P.). – V, son cantique sur la vie etla mort de Maunoir, 107.

MARTIN (dom Claude), bénédictin, fils deMme Martin (Marie de l’Incarnation). – IV, 221. –VI, a publié les deux autobiographies et Lettres dela Vénérable Marie de l'Incarnation, 4 ; Méditations etretraites de la Vénérable Mère de l'Incarnation avec uneexposition succincte du Cantique des Cantiques, 4 ;l'École sainte (catéchisme), 4 ; manipulations qu’ilfit subir aux écrits de M. de l’Incarnation, 4 :correction d'un texte relatif à la dévotion auSacré-Cœur, 6 ; La Vie de la Vénérable M. Marie del’Incarnation, 8 : sa note sur l'endroit où Marie del'Incarnation eut son « transport extatique », 20 ;sur le premier ravissement de Marie de

423

l'incarnation, 29, 30 ; son interprétation desravissements de Marie de l’Incarnation, 35, 41,42 ; la mère et le fils, 49-71 ; explique sa fuite aumoment de l’abandon de sa mère, 54 ; tente dejustifier sa mère de son austérité envers lui, 56,57 ; ses efforts pour retrouver sa mère, 59, 60 ;fait le siège du couvent avec des enfants, 60, 61,62 ; sa vocation, 65 ; 71 ; ses tentations et sonmariage avec la divine Sagesse, 72-103 ; sa vieavant le départ de sa mère pour le Canada, 72 sq. ;la famille de Mme Martin veut se servir de Claudepour empêcher le départ de sa mère au Canada,73 ; son curriculum vitæ, 74 : il rencontre sa mèresur son départ. 74, 75 ; sa conversion ; il veutentrer dans la Compagnie de Jésus, 75, 76 ; lePère provincial (Etienne Binet) le refuse, sous leprétexte qu'il était sourd et de trop peu d’esprit,76, 77 ; fut quelque peu singulier, 79 ; ne penseplus à se faire religieux, 80 ; la duchessed'Aiguillon lui promet son appui, 80 ; un signalmystérieux, 80, 81 ; à la veille d'être pris commesecrétaire par Richelieu, il entre chez lesbénédictins de Saint-Maur ; 81 ; son curriculum dereligieux, 81, 82 ; ses épreuves extraordinairespendant vingt ans, 82 sq. ; tentations, scrupules,veut quitter l'étude qui lui parait trop [167]attrayante, 83, 84 ; récit d'une de ses tentations,85, 86 ; violents remèdes ; le buisson degroseilliers, 89, 90 ; la corde soufrée, 91 : sonévolution ; des Pères du désert aux mystiques du

424

Moyen Age ; de ceux-ci aux mystiques de laContre-Réforme, 92 sq. ; il finira par où sa mèreavait commencé, 93 ; mariage avec la divineSagesse, 93 sq. ; amour humain et amour divin,94 ; le mariage mystique, 94 ; les articles ducontrat, 95, 96 ; la solennité du mariage ; l'anneaud’or, 96 ; ses notes intimes, 96-98 ; sa guérison ;prestige de sa sagesse dans la Congrégation deSaint-Maur, 100 ; portrait de Mère Marie del’Incarnation, 135, 136 ; dom Martin et domMartène, 177-226 ; reçut à Saint-Denis et fit lesobsèques du duc de Valois, de Turenne et ducardinal de Retz, 179 ; consent à raconter sa vie àdom Martène, 184 ; organise les récréations de sesreligieux ; sa cellule toujours ouverte, 191, 192 ;« la loutre », 193 ; ses humbles corvées chez lesreligieux, 194 ; la casuistique des saints, 194 ; lecardinal de Retz et le feu à Marmoutiers, 195,196 ; le voleur récompensé, 198, 199 : rôties auvin d’Espagne et verjus confit, 199-202 ; pratiquede la Règle de saint Benoît : symbolisme de lacuculle, 201 ; n’aimait pas certaines pratiqueséclatantes, 201, 2.02 ; excès d’humilité, 202 sq. ;sur le droit que peut avoir un fils d’écrire la vie desa mère, 205 ; pratique de la Règle de saintBenoît : sur les exercices, voire le travail manuel,pour adoucir la solitude, 206 ; les grandes éditionspatristiques de saint Maur ; le saint Augustin, 207,208 ; édition de saint Jérôme et des Pères grecs,208 ; les Analectes grecs, 209 ; savait l’hébreu,

425

210 ; écrivit pour sa mère des Méditations pourl’octave de sainte Ursule, 210 ; fait travailler sesmoines sur saint Basile le Grand et saint Clémentd’Alexandrie, 212 ; fit traduire par dom Mège, lesœuvres de sainte Gertrude, 212 ; s’intéresse àDescartes ; témoignages sur sa science par domCollet et dom François Lamy, 213 ; dom Claudeet le gouvernement de Saint-Maur, 213, 214 ;crise intérieure, 214 ; l'élection de 1687 etl’exclusion donnée par Louis XIV, 215-218 ; ceque les mécontents auraient pu reprocher à domClaude, 215 sq. : sa vertu rigide, son austéritépour lui-même et le monastère sauf pour tout cequi concernait la maison de Dieu, 218, 219 ; nevoulait, comme servants à sa messe, ni enfants, nihommes mariés, 220 ; son zèle pour l’âme etl’esprit de ses moines, 220 ; les derniers jours,221 ; les derniers entretiens de dom Martin et dedom Martène, 222, 223 ; « Je voudrais être enblanc pour mourir » ; le viatique, 223, 224 ; sasainte mort, « Sancte Claudi, ora pro nobis »,225 ; le dernier baiser de dom Martène, 225.

Conduite pour la retraite du mois à l'usage desreligieux de la Congrégation de Saint-Maur, VI, 204 ;s’unir en esprit aux auteurs dont on lit lesouvrages, 206.

Ses inédits : Conférences ascétiques ; le Pasteursolitaire, VI, 213.

MARTIN (M.). – VI, 79.MARTIN (Mme). v. Marie da l'Incarnation.

426

MARTIN (Eugène). – Servais de Lairuels et laréforme des Prémontrés, II, 2.

MARTIN. – Apologétique traditionnelle, III, 390.MARTIN (P. F.). – Un missionnaire chez les

Hurons, autobiographie du Révérend Père Chaumonot,VI, 397-400.

MARTIN (Edme), libraire, édita le Chrétienintérieur, de J. de Bernières. – VI, 230.

MARTIN (Madeleine). – VI, 427 : fondatrice,avec le Père Yvan, de [168] la Congrégation de laMisericorde, 427. – VIII, 79. v. H. Bremond.

MARTIN et MUGUET, imprimeurs. – IX,188.

MARTINE (P.). – III, 628.MARTINEAU (James). – III, la foi de

l'enfant et le sens du divin, 344.Hours of thought on sacred things, VII, définition

de la prière, 8 ; supporter le poids de la peine dupéché (texte anglais), 296. – S., la prière :communion directe et mutuelle... entre nous etDieu, 13. v. Clugny.

MARTINEUS JUDO. – Libr. 5 de reh.Hispanic., IX, miracle de Notre-Dame deCastelbruedo, 285.

MARTINEZ (F.). – L’Ascétisme chrétienpendant les trois premiers siècles de l'Église, V, citationde Galien, 43.

MARTINEZ (Pedro). – VIII, suites Exercices,286.

MARTINOT (P.). – V, 258.

427

MASS (M.). – II, 317.MASSENET. – Madeleine, III, 507.MASSILLON. – VII, 186. – VIII, 31, III v.

Blampignon.MASSON (chanoine). – III, 298.MASSON Philbert). – VI, 185 188.MASSON-FORESTIER. – Autour d'un

Racine ignoré, IX, 332.MASSOULIÉ (P.), o. p. – VIII, 4-8 ; 12, 13,

16, 74, 79, 83.Traité de l'Amour de Dieu, I, bien user de ce qui

est naturel et sensible, 364. – VIII, 8.Traité de la véritable oraison, IV, « la

considération de Dieu en lui-même, sommet del’oraison ordinaire », 388. – VIII, 8. – X, plus onapplique l’esprit, plus la volonté devient sèche,270. – S., l’union avec Dieu se fait plusparfaitement par les opérations de la volonté quepar les considérations du l’entendement, 66, 67 ;premier avis : qu’il ne peut y avoir d’amour sansconnaissance, mais qu’il peut y avoir de l’amoursans beaucoup de raisonnement, 345-347 :deuxième avis : que la seule connaissance desmystères de la foi et de la religion suffit pour unebonne oraison, 347, 348 ; troisième avis : qu’onne peut pas également appliquer l'entendement etla volonté, 348-350.

Méditations, VIII, 8.MATEL (Jeanne Chézard de). – II, 127. –

III, 547. – VI, v, 267-313 ; parle beaucoup plus de

428

ses « vues » que de ses « états », 269, 270 ; oublides consignes ordinaires de l'humilité, 270 ; sonhumilité vraie, 276 ; Jeanne et « l'éclaircissementde la foi », 278 ; une théologienne précoce, 278 ;elle sait miraculeusement le latin, 279 sq. ;dévotion particulière au Verbe incarné ; la« Parole substantielle » du Père lui donnel’intelligence des Écritures, 281 ; une vocationextraordinaire, 282 ; choisie pour faire voir « uneextension de l’Incarnation », 283 ; apôtre de laVierge immaculée, 283 ; Dieu « veut lui parler parl'Écriture », 284 ; ses écrits sont un tissu de textesde l’Ancien et du Nouveau Testament, 284 ; sestrois maîtres : saint Michel, saint Denis, saintJérôme, 284 ; une mission doctrinale ; faussehonte et inconséquence des panégyristes deJeanne, 287 ; défend elle-même sa mission, 287sq. ; dit que « ni la lecture, ni l'étude » nesuffiraient a expliquer le prodige de sa mission,289 ; ses « vues » ne dépassent pas la capacitéd’un bon esprit masculin ou non, 290 ; sanslectures, sans réflexions personnelles, est-ce bienvrai ? 291 sq. ; ce qu'elle a pu apprendre « hors del'oraison », 292, 293 ; sur la foi d'une vision,intervient, en juge infaillible, dans la question nontranchée par l'Église, des œuvres du pseudo-Denys. 293, 294 ; n’est pas un être d'exceptionparmi les mystiques, 294, [169] 295 ; cataractes desymboles : l’habit blanc, rouge et bleu desreligieuses du Verbe incarné, 300, 301 ; la Mère

429

portière et le lion de Juda, 301 : Marie et lacolombe de l’arche, 302 ; du sublime au médiocre,302, 303 ; mièvreries dévotes, 303 ; les cheveuxde Madeleine, 304, 305 ; le vrai génie de Jeanne ;spéculation et sensation théologiques, 306 ;orchestration du Credo, 307 ; le « sabbat parfait etla circumincession », 307 ; ses vues surl’Incarnation, 309 ; « si même Adam n'eût paspéché, le Verbe se fut incarné », 309-311 ; scotisteinspirée, 310 ; dans tout ce qu'elle a écrit surl'Incarnation, les beautés abondent, 311, 312 :« c'est entre les bras de la Croix que Jésus-Christaccepte le titre de Roi », 312 : l'illusion de Jeannene contredit pas son génie, 313, 314 ; 340 ; sesvues sur l'Incarnation du Verbe, répandues autemps de Louis XIII, 519. – IX, fonde l’Institutdu Verbe incarné, 210. – X. jugement deHuysmans, 264. v. P. Ambroise, Ernest Hello,Penaud, Boissieu, Galitzin, Mère Saint-Pierre deJésus.

MATHIAS DE SALO (P.), capucin. – VII,267.

MATHIEU (cardinal, archevêque deBesançon). – VI, 237.

Vie nouvelle de -V. H.-M. Boudon, VI, Boudonet le pur amour, 238 ; Boudon et la nouvelleédition de son livre : Règne de Dieu dans l oraisonmentale, 240 : 241 ; 244-249 ; Mgr de Maupas seréconcilie avec Boudon, 249 ; 256 ; Boudon parle

430

du succès de ses livres, 259, 260 : note de Boudonsur son voyage en Allemagne, 261-263.

MATHON (François, chapelain du Carmeld'Amiens. – VI, 381 ; « ne parlons ni de paradis,ni d’enfer, mais d’aimer Dieu pour lui-même »,381 ; ses tentations de suicide, 381 ; miseexcentrique, 381, 382. v. Père Postel.

MATHOUD (dom Hugues), bénédictin. – I,admirateur enthousiaste du Père Yves de Paris,422 ; 423, 426, 452.

MATIGNON (Antoinette de). – II, 188.MATIGNON (Éléonore de). – II, 188MATIGNON (Mgr). – III, 607.MATON (Mme), amie de Port-Royal. – IX,

ses communions fréquentes, 58, 59. – X, 346. v.Feydeau.

MATRITIUS ou MADRIDIUS(Christophorus), s. j. – De frequenti usu sanctissimiEucharistiæ sacramenti libellus, IX, de la communionhebdomadaire, 73 ; des restrictions en matière decommnion, 76, 77 ; 90, 91, 97. v. P. Dudon,Machault.

MAUBUISSON (abbaye de). – II, 447. –VIII. 85. – XI, 114 : sa réforme éphémère par laMère Angélique, 118 ; querelles intestines, 126sq. ; 223. v. Piny.

MAUBURNUS. – XI, 427. – Rosetum, VIII,281.

431

MAUGRAS (P.), doctrinaire. – Ode surl'endurcissement des hommes insensibles aux plus grandesmarques de la colère de Dieu, X, 198.

Instructions chrétiennes sur les afflictions,contiennent des Litanies tirées de l’Écriture sainte, X,pour nous abstenir de l’injustice, 198, 199 ; pourne pas tomber dans l’impiété, 199, 200.

Pensées chrétiennes pour tous les jours du mois sur lebon usage des afflictions, X, 200.

Exercices... pour pratiquer la patience dans toutes lesoccasions, X, 200.

MAULDE DE LA CLAVIÈRE. – Vie desaint Gaëtan, I, 522.

MAULÉON (Mlle de). – X, 66.MAUMIGNY (P. de), s. j. – V, 396. – VIII,

183. – S., 177.MAUNOIR (P. Julien). – V, 5, 14 ; 82-117 ;

70, 72, 92, 126, 127, [170] 138 ; les biographiesécrites par lui et non publiées : Bernard, AmicePicard, etc., 82 ; son Journal, 83, 84 ; « l’Iniquitéde la montagne », 88 ; son manuscrit La Montagne,seu de magis, 89 ; notes biographiques, 91 ; letombeau de saint Éloüan, 92 ; le Collège de Jésus, sadédicace à saint Corentin, 92 ; son cantique surles tourments de l’enfer, 106 ; moins original maispeut-être plus grand que Le Nobletz, 110 sq. ;organise la légende et le culte de Le Nobletz.111 ; les supérieurs de Maunoir, 111 ; la« Confédération » des missionnaires, 112-114 ;formule de ses invitations à la mission, 114 ; la

432

mission dans la mission ; vie en commun etrèglement des missionnaires. 115, 116 ; lesmissions bretonnes et la renaissance mystique,117. – IX, poursuivait une vaste affiliationdiabolique : l'Iniquité de la Montagne, 219.

Vie (manuscrite) de Le Nobletz V, 90. v.Séjourné, Boschet, Bail, Michel Le Nobletz.

MAUPAS (M. de). – Vie de sainte Chantal, IV,17.

MAUPAS DU TOUR (Mgr de), évêqued’Évreux. – VI, 242, 245 ; son acharnementcontre Boudon, 247 ; 251. – VII, excommunie J.-B. Noulleau, 212. v. Mathieu (cardinal).

MAUR (saint). – VI, 223.MAUR DE L'ENFANT-JÉSUS (P.), carme.

– Théologie chrétienne et mystique, XI, 325.Entrée à la Divine Sagesse, XI, 325 ; 326. v.

Houréau, Bertrand.MAURE (Mme de). – I, 413.MAURIAC (François). – Les Mains jointes

(Préface de la réédition), VII. du jansénisme et dela délectation sensible, 18.

MAURISTES. – VI, leur vie intérieure, 93. v.dom Martène, dom Claude Martin.

MAUROY (Marie-Madeleine de). – La Vie dela Vénérable Mère Élisabeth de l'Enfant-Jésus, religieusede l'Ordre de Saint-Dominique au monastère de Saint-Thomas d'Aquin à Paris, VI, 230, 390.

MANSONE (P. Louis), s. j. – XI, 21.

433

MANVIELLE (dom Robert). – II, 523 ; lesreliques de Marguerite d'Arbouze, 528-530.

MAXIMILIEN (Mgr), électeur de Bavière. –IX, 287.

MAYNARD (abbé), – Vie de saint Vincent dePaul, II, 4. – IV, 76, 79 ; saint Vincent de Paul etle jansénisme, 81 ; sur le testament de Jansénius,110. – V, 83.

Édition des Provinciales, I, sur l’Imago primisæculi., 21 ; à propos du désir de la gloire humaine,56 ; Nicole et Pascal ont fait des gorges chaudesen lisant Etienne Binet, 142, 143 ; 240 ; Pascal etsa critique injuste du Père Paul de Barry, 328,329 ; sur le Père Le Moyne, 363, 364 ; 377. – XIcitations de Bossuet et de Suarez sur l’amour deDieu, 235 ; défense de la doctrine de Sirmond surl'amour de Dieu, 240.

Pascal, sa vie et son caractère, IV, la vraie gloirede la famille Arnauld est dans les femmes, 224. v.Aubineau.

MAZAN (Mlle de). – II, 28, 29.MAZARIN (cardinal). – II. 535. – III, 660. –

VI, 403, 450. – IX, 123 ; fait condamner latraduction du Missel par J. de Voisin, 180, 181 ;183, 184. – VII, 242.

MAZARIN (duc de). – V, 389.MAZAUGUES (de), cousin du Père

Thomassin. – VII, 378.MAZELIN. – Histoire du vénérable serviteur de

Dieu, le Père Honore de Paris, II, 3, 152.

434

MÉCÈNE. – IV, 383.MECHTILDE (sainte). – II, 441. – III, 585.

– VI, 269. – VII, 146. – VIII, 231. – X, 310. [171]ET ANALYTIQUEMECHTILDE DU SAINT-SACREMENT

(Mère Catherine de Bar). – II, 399, 455 ; religieusede l’abbaye de Montmartre, ses rapports avecCharlotte Le Sergent, 481, 482 ; elle fondel'Institut de l’Adoration perpétuelle. 483, 484. –VI, 12, 234, 235, 248, 265, 386. – IX, fondatricedu Monastère des Bénédictines du Saint-Sacrement, 207 sq. ; l’Institut de l’Adorationperpétuelle. 209 ; l’horloge mechtildienne etl’expiation des sacrilèges commis à toutes lesheures du jour, 214-219 ; Office de la Réparation,215, 220. – XI, 347.

Le véritable esprit des religieuses adoratricesperpétuelles du très Saint-Sacrement de l'Autel, IX, surl’adoration réparatrice, 209 ; sur la saintecommunion, 209 ; les profanations par les impieset les magiciens de la Très Sainte Eucharistie, 214-219. v. abbé Duquesne, Hervin et Dourlens,Boissonno, Père Épiphane Louis.

MÉDARD (saint). – VIII, 320.MÉDAYY (Guyonne de), abbesse de Saint-

Nicolas de Verneuil. – II, 417.MÉDITATION. – XI, la méditation

méthodique devenue, dès avant la fin du XVIe

siècle, un des exercices essentiels de la viechrétienne, 337 ; analyse de. la méditation

435

méthodique, 337, 338 ; la pratique de laméditation discursive, immense progrès et faillitemanifeste, 339. – S., la méditation, exerciced’ascèse orienté vers la prière, 58.

MÈGE (dom). – La vie et les révélations de sainteGertrude..., IV, vision de Jésus adolescent ; saconversion, 360-362.

MEILLERAIE marquis de La), beau-père deTurenne, ouvrit un « prêche » dans le diocèse deSaint-Brieuc. – VII, 213.

MEILLERAYE (Maurice de), marié àHortense Mancini. – V, 390.

MÉLANCHTON. – I, bonté (honestas) desétudes, 517.

MELCHISÉDECH. – IX, 144, 145, l52.MÉLITON. – X, 115.MELLAN (Claude). – III, 475, 492.Mémoires de l’Académie de Caen, I, citation de

Moisant de Brieux, 333, 334.Mémoires sur Mme de Maintenon recueillis par les

Dames de Saint-Cyr, VI, sur Mme d’Aubigné et safille, 57.

MÉNAGE. – Menagiana, IX, mort duchevalier de Rohan, 335.

MÉNARD. – VII, 171.MÉNARD (dom Hugues), bénédictin. – VI,

ses travaux sur saint Grégoire, 207.MENENDEZ Y PELAYO. – I, 424. – XI.

accuse les Alumbrados de panthéisme, 59.Historia de los Heterodoxos españoles, VIII, 196.

436

MÉRAULT (abbé), vicaire général d’Orléans.– Enseignement de la religion, XI, nécessité del’amour de Dieu, 289 ; ôter à la pénitence lecommencement d’amour, c'est en rendre le jougintolérable, 317, 318.

MERCIER DE SAINT-LÉGER. – II, 336.MERCŒUR (duc de). – III, 660.MERCŒUR (Mlle de), (Françoise de

Lorraine). – II, 498.Mercure français (le). – III, annonce la

fondation de l’Oratoire, 156. – XI, 57, 71 ; lesRose-Croix de Paris (Compagnie des Invisibles),157 ; Marie de Sains, 157 ; 179.

Mercure Gallo-Belge. – XI, 179.MERCURIAN (P. Everard), général des

jésuites. – VIII, 182, 187, 188, 193, 195 ; cequ’exige l’esprit de la Compagnie, 230 ; premièreoffensive contre la contemplation ; toute lalittérature mystique expulsée des bibliothèques dela Compagnie de Jésus, 231 ; lettre au PèreCordeses sur l’oraison qui ne doit se faireautrement que par les [172] Exercices, 232-234 ;235, 236 ; ordonne, en réponse au Mémoire« l’Alvarez, écrit sur ordre de J. Suarez, de s’entenir, pour l'oraison, aux méthodes ignatiennes.251 : approuve la sentence portée contre B.Alvarez. 253 ; 254, 255, 258 ; sa métaphysiqueimplicite et l'ascéticisme : croit à l’existence d’uneprière siu generis, conforme au génie de l’Ordre.

437

260, 261 ; 264, 271, 279, 283, 284, 286, 312, 372.– XI, 7. – S., 138, 139, 177.

MERICI (de Desenzano), fondatrice desUrsulines en Italie. – II, 29.

MÉRIMÉE (Prosper). – VIII, 209.MÉRINDOL (P. Jacques), de l’Oratoire. – II,

24.MERLIN, pasteur. – IX, 302 ; Le Bouquet

d’Éden : prière de la femme enceinte, 305, 306 ;309. – X, prière pour le jour de la bataille, 261 ;prière de celui qui voyage en mer, 261.

MERLO (Jacques). – X, 192. v. Horstius.MÉRODE (Noël de). – La Vie admirable de

sainte Brigide, I, 241 ; les vêtements de la sainteaccrochés à un rayon de soleil, 242.

MERSENNE (P. Marin), minime. – I, 257,271, 367. – VII. 237. v. Père Hilarion de Coste.

MESNARD (Paul). – Racine (coll. des GrandsÉcrivains). X, parle des hymnes du bréviairetraduits par Messieurs de Port-Royal, 174.

MESSE. – Le Saint Sacrifice, IX, 129-206 ; lamesse dans la littérature du XVIIe siècle, 129 sq. ;ligne de partage des eaux : dans la premièremoitié, la messe considérée comme un desexercices de la vie dévote ; dans la secondecomme l’acte religieux par excellence, la« synthèse de tout le culte », 131, sq. ; le thème dusacrifice est au cœur même de la spiritualitéoratorienne, 134 ; A) la nécessité du sacrifice, saliaison essentielle avec le culte intérieur et public,

438

sa fin et son objet, 135-138 ; B) les sacrifices quiont précédé la loi et ceux qu’elle a commandés ;leurs différences ; leurs principales cérémonies ;ce qui manquait à tous en général et à chacun enparticulier, 139 ; C) le sacrifice de Jésus-Christ surla Croix figuré et prédit ; l'accomplissement detous ; 139-144 ; D) observer néanmoins ce quimanquait au Sacrifice de la Croix sur le Calvaire.144-148 ; E) comment l’Eucharistie est lesupplément de tout ce qui manquait au Calvaire ;comment par elle le sacrifice de la Croix, endemeurant unique, devient parfait ; commentn'étant offert qu’une fois, il devient néanmoinsperpétuel, 148-155 ; invraisemblable résistanceopposée à la méthode liturgique, 166 sq. ; bataillepour la récitation du Canon à voix haute ; l’affairedu Missel de Meaux et celle du Missel de Troyes,176 ; la bataille pour et contre les traductions del'Ordinaire de la Messe, 177-192 ; le Missel deVoisin condamné par l’Assemblée du Clergé en1660 et par un bref d’Alexandre VII, 178-180 ;comment la bonne foi du pape a été surprise parMazarin, 180-182 ; contre-vérités dans la lettre del’Assemblée au Pape : la traduction de l’Ordinaireen français n’étant pas une « nouveauté », 182,183 ; du XIVe siècle à 1660, le nombre destraductions va croissant, 184 ; le prétendu « secretdes mystères » est le scandale des protestants.186, 187 ; les traductions de l’Ordinairerépandues à deux cent mille exemplaires. 188 ;

439

pouvait-on refuser aux catholiques ce que l’onaccordait aux protestants ? 188 ; la guerre contreles traductions recommence au lendemain de labulle Unigenitus, 189 : violence et démence, 190-192 : les livres de Messe, 193, 194 ; traductions onparaphrases, 195 ; le Père Judde, AntoineMontagnon et les « courtes prières » de Pellisson,196 ; la paraphrase de Sanadon, 196-204 ; lemouvement liturgique et la victoire destraductions. 204-206 ; le sermon de Bourdalouesur la Messe, [173] 230-232 ; le prêtre et la Messede tous les jours. 232-237 ; stipendium des messes,235, 236 ; la Belle Messe, 216 ; 236, 237 ; messede chasseurs, 237 ; messes sèches, 246. v.Vauvenargues. La Bruyère.

MESSIER (Louis), curé de Saint- Landry. – I,222.

MÉTEZEAU (Paul), de l'Oratoire. – III, 156,217.

MEUNIER. v. Hatzfeld.MEUR (Vincent de). – V, 9 ; premier

supérieur des Missions étrangères de Paris, 114. –– VI, 487. v. de La Villerabel.

MEUVREZÉ (Mlle de), supérieure de l'Unionchrétienne. – V, 350.

MEYNIER (P.), s. j. – Port-Royal et Genèved'intelligence contre le Saint Sacrement de l'Autel. IV,138.

MÉZENCE. – I, 193 v. Garasse.

440

MÉZERAY (François Eudes de), frère desaint Jean Eudes. – III 602, v. Le Vavasseur,Patin.

MICHAELIS (Sebastien), o. p. inquisiteur etla réforme des Frères Prêcheurs. – II, 32 ; 35. –V, 182 : a inauguré en France la réforme desFrères Prêcheurs, 194 ; 195. – XI, 157.

Histoire admirable de la possession et conversiond’une pénitente séduite par un magicien, la faisant sorcièreet princesse des sorciers, au pays de Provence, V, 194,195.

MICHALLET. – Édite La Bruyère et desMystiques et les œuvres complètes du PèreGuilloré, V, 7.

MICHAULT. – Mélanges historiques etphilosophiques, I, 237. – X, mot de Fontenelle surl’obscurité dans quelques hymnes, 87.

Mémoires, X, sur le Père Oudin, 89.MICHAUX M.). – IV, son opinion sur le

Mémorial de Pascal, 369.MICHEL (P.), général de l’ordre de Saint-

Ambroise. – II. 127.MICHEL (saint). – VI, 304.MICHEL-ANGE (P.), franciscain. – Ossuna

et Duns Scot, Études franciscaines), I, 12. – XI,l’analyse mystique du point de vue de la théoriescotiste. 368-370.

MICHEL-ANGE DE SAINT-FRANÇOIS(P.), carme. – La vie de sœur Françoise de Saint-Joseph,VI, 417.

441

MICHELET, historien. – VI, 410.MICHELET (Jeanne), mère de Marie

Guyard (Marie de l'Incarnation). – VI, 7, 11, 12.MIGNE (abbé). – Patrologie. I. 4.MIGNON, supérieur des ursulines de

Loudun. – V, 183.MILLET (G.). – Recherches sur l’iconographie de

l’Évangile, IX, 277.MILLETIÈRE (sieur de La). – IX, 50. v.

Arnauld.MILLEY (Louise de), Mère de Saint-Etienne.

– II, 511. son intimité avec Anne d’Autriche,533 : elle est exilée par Richelieu, 533 ; revient auVal-de-Grâce, 533 ; sa mort 534.

MILTON. – Iconoclastes, X, contre la prièreliturgique. 341 ; 343.

Defensio pro populo, même sujet X. 341.MINIMES de Paris. – III contre la

béatification de Marguerite de Beaune, 533. – dela Place Royale, V, 402.

MINUTIUS FELIX. – VII, 169.MIR. – VIII 284, 285.MIRABAUD. – III, 591.MIRAMION Mme de). – VI, 101.Miroir de l'âme, IV. 341. v. Heinrich de Hassia.MIRON (Charles), évêque d’Angers. – II

501.MISÉRICORDE (congrégation de la). – VI,

427. v. Yvan et Madeleine Martin.

442

MISSET. – Symbolisme d'Adam de Saint-VictorLettres chrétiennes), [174] X, sources d’une prosed’Adam, 115, 116.

MISTRAL (Frédéric). – VI, 427. – VIII, 206.Mémoires, I, 247.Trésor du Félibrige, I, 264.MOGORNY (Marie de), mère de Madeleine

de Neuvillette. – VI, 387.MOI (les deux). – VII, le moi de surface et le

moi profond, 51, 52. v. Fine pointe et Ch. III, intoto.

MOISANT DE BRIEUX. – I, poème sur lamaison des champs, 333, 334.

MOÏSE. – VII, 407. – IX, 142.MOISSET (Sauvé), de l’Oratoire. – III, 157.MOLANUS. – De historia sanctarum imaginum,

IX, contre les représentations de Marie défaillanteau pied de la Croix, 277.

MOLÉ (Mathieu). – II, 107. – IV, 92, 93, 95.MOLIÈRE. – I, 309. – III, 334. – V, 266. –

XI, 76.Misanthrope, VII, 304.MOLINA. – III, 681. – IV, 32, 231, 432, 439,

442. – VIII, 7. – X, 48. – S., 173.MOLINIER (Etienne). – I, 205.Le Lys du val de Guaraison, I, sur la renaissance

théologique, 225 : le lieu de Guaraison, tableauxde récollection et de repentir, 337 ; la nouveauté,instrument de grâce, 371.

Les politiques chrétiennes, I, 272 ; 392.

443

MOLINOS. – II, 158. – IV, 486, 494, 495. –V, 7, 64. – VI, 446. – XI, 12, 59, 104, 275. – S.,140, 141.

MOLONDIN, colonel des Suisses, arrête etconduit à la Bastille Sacy, Fontaine et autres. –VI, 498.

MOMBAER. – Rosetum, III, 27.MONACO (Mme de). – IX, sa mort, 336. v.

Mme de Grignan.MONBRUN (J.). – Derniers sentiments de

Pascal, étude documentaire (Bull. litt. ecc.). IV, 408.MONCADE (de). v. Bonaventure d’ArgonneMONCEL. – S., 1.MONCHY D’HOCQUINCOURT (P. de)

de l’Oratoire. – III, 192.Monde (Le), Manuel encyclopédique. – I, 257.MONET (Françoise), carmélite. – VI, 417 ;

visions et prédictions, 417. v. Père Michel-Angede Saint François, abbé Séaume.

MONTFAUCON (dom Bernard de),bénédictin, – VI, 190 ; a travaillé aux éditionsmauristes des Pères grecs, 209.

MONGIN (Mgr) de Bazas. – IX, sonmandement sur le renouvellement des vœux duBaptême, 38. v. Johannet.

MONGLOND (André). – Viespréromantiques, X, 205.

MONIER. – Vie de J.-J. Olier, II, 35. – III, lesséminaires et l’Oratoire, 176 ; 284, 420, 421 ;Condren et M. Olier, 423, 424 ; biographie de M.

444

Olier, 429-434 ; ses épreuves, 438-446 ; fin de lacrise ; M. Olier, chef de la petite compagnieformée par Condren, 450 ; 498. – XI, 150.

MONIQUE (sainte). – IV, comment ellereconnaissait l’origine des douceurs sensibles,338.

MONK (W.-H.). – Hymns ancient and modernfor use in the service of the Church, III, 304.

MONROY (Maître de), général desdominicains. – VIII, 80, 85.

MONTAGNON (Antoine). – IX, a publié,sous son nom, les courtes prières durant la sainteMesse, de Pellisson dans ses Méditations sur laPassion de Notre-Seigneur Jésus-Christ, 197,198 ; 202.

Méditations sur la Passion de Notre-Seigneur pourtous les jours du mois, contient les « Litanies de laProvidence », X, 206. [175]

MONTAIGNE. – I, sa traduction du Libercreaturarum, 424. – II, 7.

Essais, I. 4.Notes de voyage, I, sur le Collège Romain, 21.MONTAIGU (M. de). – III, 608.MONTALANT-BOUGLEUX. – J.-B.

Santeul et la poésie latine sous Louis XIV, X, 61 ; surla poésie de Santeul, 62, 63 ; strophe (traduite envers français) d'une hymne pour la Toussaint,120, 122 ; hymne de Santeul, critiquée par domGuéranger, 157 ; 158, 178.

MONTALEMBERT. – I, 235, 240.

445

Moines d'Occident, II, 327.MONTALEMBERT (P. Adrien de). – V, son

livre sur les exorcismes pratiqués par lui aumonastère de Saint-Pierre, à Lyon, 193 ; influencedésastreuse de ce livre, 194. v. Lecanu.

MONTANGE. – I, 297.MONTANUS, s. j. – XI, 205.MONTARGIS (abbaye de). – II, 418, 458.MONTARIN. – X, a écrit la musique pour

les hymnes de Santeul traduits par l’abbé Saurin,178.

MONTAULT (Charles), évêque d'Angers. –X, 178.

MONTCHAL archevêque de Toulouse. –III, 55. – V, 185. – XI, membre de la commissiond’enquête dans l’affaire de bouviers, 160.

MONT-DE-PITIÉ (abbaye du). – II, 512,529.

MONTESPAN (Mme de). – XI, 281.MONTEZON (P. de), s. j. – IV, Sainte-

Beuve insère dans son Port-Royal, le Mémoire duPère de Montezon sur la Compagnie de Jésus etle jansénisme. 22 ; 23.

Mémoire, IV, 310.MONTIGNY (Anne de), abbesse de

Charenton-en-Bourbonnais. – II, 523.MONTIGNY (maréchale de). – II, 526.MONTIGNY (P. de), s. j. – II, 420.MONTIVILLIERS (abbaye de). – II. 395,

410.

446

MONTLUC DE BALAGNY (Catherine de),abbesse d’Origny. – II, 414. v P. M. Donfrère.

MONTLUC (Marie de). – II. 436.Oraison funèbre de Mme Marie de Montluc, II, 436.MONTMARTRE (abbaye de). – I, 102, 103.

– II, Mme Acarie et la réforme de l’abbaye, 248,249 ; 395 ; Marie de Beauvillier, 409 ; les PèresGontier et de Montigny, s. j., et Potier,bénédictin, ont travaillé à la réforme deMontmartre, 420 ; Exercices religieux dressés parl’abbesse pour ses religieuses, 422 ; légendesmalveillantes, 447, 448 ; centre mais non école demysticisme, 454 sq. ; Marguerite d’Arbouzesimple novice à Montmartre, 497.

MONTMORAND de). – Psychologie desmystiques catholiques orthodoxes, VI, l’adieu de Mme

Martin (Marie de l’Incarnation) à son fils, 71 ;434.

MONTMORENCY (chevalier de). – II, 141,142.

MONTMORENCY (Mme de). – V, 247.MONTMORT (de). – IX, 355.MONTORIO (cardinal). – III, 246.Monumenta historica (de la Compagnie de

Jésus), consultation demandée par saint Ignacesur Juan de Texeda et ses disciples, VIII, 207 ;209.

MOPINOT (dom), mauriste, hymnographe,– X, 92.

447

MORALES (Père Sébastien). – XI, sonenquête sur Isabelle Bellinzaga, 7.

MORANGIS (de). – Conseiller du Roi,membre de la commission d’enquête dans l’affairede Louviers. – XI, 160.

MORANT (Catherine), abbesse de Gif. – IV,589. [176]

MORE (Thomas). – I, 4. – IV. 252. – XI, 60.MOREL (Claude). – Vie de Tronchet, I, 254.MOREL (dom). – IX, 49.Effusion du cœur sur chaque verset des psaumes, X,

282 ; ses autres œuvres, 282, 283 ; 288, 291, 297.MORELLE (Julienne). – I, a traduit le Traité

de la Vie spirituelle de saint Vincent Ferrier ; la viereligieuse et la rusticité, 361. – II, 33. – VI, 425,426 ; sur les Matines. 426.

Traité de la vie spirituelle de saint Vincent Ferrieravec les annotations, VI, 425. v. Père Rousset.

MORERI. – Dictionnaire, I. 152. – XI. lesIlluminés de Picardie, dits Guérinets, 103.

MOREY (abbé J.). – Anne de Xainctonge et lesUrsulines au comté de Bourgogne, VI, 443.

MORIN. – X, 33, 34.MORIN (Jean). – III, 192.MORIN (Simon), illuminé, brûlé vif par les

« bons offices » de Desmarets. – VI. 492-494. v.Desmarets, Ravaisson, Alphandéry.

MORLENCOURT (M. de), prêtre. – II, 367.v. Jean de Saint-Samson.

MORNA (Ambroise). – IV, 593, 594.

448

MORONE (cardinal). – I, ses rapports avecles premiers compagnons de saint Ignace, 14, 15.

MORT. – IX, l'Art de mourir, 331-387 ;conversions in extremis, 332 sq. ; les Préparations àla mort, 355 sq. ; les « belles morts », 380.

MORTIER (P.), o. p. – Histoire des Maîtresgénéraux de l'Ordre des Frères Prêcheurs, IV, 29 : sur lePère Antoine Bremond 99. – V, 194. – VI, 431. –VIII. 3, 5, 6 ; l’ascétisme dominicain est avanttout doctrinal, 6 ; toute science mystique a pourfondement la doctrine de saint Thomas. 6, 7 ; 8,9 ; sur Ia Theologia mystica du Père Valgornera, 16 ;17 ; notes biographiques sur le Père Piny. 79-82 ;sur Marie de la Visitation et ses prétendusstigmates, 207 ; sur B. Corranza, 220.

MOSNIER (P. Fr.), s. j. – I, sa lettre à LouisRicheome, 22.

MOTIN. – I, élégie : « Je cherche un lieudésert »..., 331.

MOTTE-GOULAS (La). v. La Motte-Goulas.

MOTTE-HOUDANCOURT (Henry de La).v. La Motte-Houdancourt.

MOTTEVILLE Mme de). – IV. 180.MOUCHY (abbaye de). – II, 415. – VII, 201.

– IX, 353.MOULIN (Jean du). v. Jean de Saint-

Samson.MOULIN (Pierre du), père de Jean du

Moulin (Jean de Saint-Samson). – II, 368.

449

MOUSIN (dom Athanase de), bénédictin. –II, lettre à Ferraige sur Marguerite d’Arbouze,531.

MUGNIER (P.) s. j. – La véritable politique duprince chrétien, I, 272 ; soutient dans ce livre que « laperfection chrétienne est aisée », 376.

MULY (Denis de), de l'Oratoire. – III, 157.MUNZER (Th.). – IV, 379.MURE (M. de La). – II, 132.Muse chrestienne (la), I, recueil catholique de

poèmes ; muse assez mal baptisée et encore semi-chrétienne, 199.

Musaeum lessiantim, VIII, 181.MUSIQUE. – VII, liaison de la musique et

de la prière, 400.MUSSET (Alfred de). – I, 279, 280. – VI, 502

– X, adorait l’O Christe, dum fixus cruci, 142. [177]MYSTICISME. – II, bien des écoles de

spiritualité, mais pas, à proprement parler,d'écoles de mysticisme, 454.

MYSTIQUE (la). – II, les jésuites et lamystique, 138-140 ; du côté divin tout nous estmystère insondable ; la nuit de l'homme et la nuitde Dieu, 552 sq. ; notes sur la mystique, 585-606 ;l’expérience mystique, 535-590 ; visions etrévélations, 590-591 ; les à côté de la vie mystique,591 ; la connaissance mystique, 592-595 ;littérature dévote et littérature mystique, 594 ; lepur amour, 595 ; le quiétisme, 601-602 ; la viemystique, 603-606. – III, L’École française, T.

450

III, in toto ; vie mystique, définie et distinguée dela vie purement et spécifiquement chrétienne,497, 498. – V, « l’initiation mystique » :impropriété du mot, 290. – VIII, mystiquedominicaine, 4 sq. ; sur les épreuves de la vieintérieure, [v. Chardon et Piny], T. VIII, passim ;les mystiques et l’acceptation hypothétique del'enfer, 124 sq. ; 137, 138 ; l’erreur des fauxmystiques n'est pas d'exagérer mais de réduire larigueur du pur amour, 132.

MYSTIQUE ET DIRECTION. – II, 38 sq.MYSTIQUE (la) et l'HISTOIRE. – I, but de

l’Histoire littéraire du sentiment religieux : suivrele rayonnement de la vie mystique dans l'histoireet dans les écrits des mystiques, XXI.

MYSTIQUE DES PÉCHEURS. v. Françoisde Clugny.

MYSTIQUES (les). – I, ont contribué auprogrès de la langue et des lettres, XXI. – II, lesmystiques de la foule, 65 sq. ; la bergère dePonçonas, 66 ; Anne Le Barbier, 66 ; Barbe deCompiègne et le Père de Condren, 68, 69 ; uncomplot contre Louis XIII, 67 ; Barbe deCompiègne et la réversibilité, 68, 69 ;épanouissement de la vie mystique dans lapremière moitié du XVIIe siècle, 107 sq. ;mystiques franciscains. v. Père Joseph, B. deCanfeld ; généalogie de deux clans mystiques, lesLongueville et les Gondi, 188, 189. – IV, laconnaissance des mystiques se distingue de la

451

connaissance rationnelle et de la connaissancesensible, 551 sq. – V, Dieu jaloux de la réputationdes vrais mystiques, 218 : leurs formules et non laréalité de l'expérience soumises au jugement desthéologiens, 274. – VI, ce sont leurs bégaiementsqui nous touchent le plus ; dès qu'ils entrent dansleur région propre, nous ne pouvons plus lessuivre, 28 ; leur connaissance n’est pas notreconnaissance commune, 32, 33 ; leur goût pour lecantique 43 ; nous les ramenons à notre mesure,46 ; étapes inintelligibles pour nous de leurengloutissement dans le mystère, 45, 46 ; la vieintense des mystiques d’après l’expérience et ladoctrine de Marie de l'Incarnation, 137-176 ;l’agonie et la mort des puissances, 139-146 ;activité intellectuelle des faux et des vraismystiques, 139 sq. ; ce que les mystiques appellentun « regard », 144 ; adhésion de l’âme à sondépouillement ; équivoque à laquelle prête le motde « passiveté » ; injuste accusation de quiétisme,145 ; la vie souterraine des puissances pendant lacontemplation, 146-165 ; a) vie intellectuelle, 146-155 ; le rythme mystique : aspiration, respiration,146 ; adhésion, non aux images du réel, mais auréel lui-même, 150 ; inertie et entretien continu del’intelligence, 154, 155 ; activité surprenante quisuit la contemplation, 155 ; ressemblancelointaine mais non tout à fait imaginaire entrel’expérience mystique et l’expérience poétique,156, 157 ; b) vie morale, 156-165 ; ou reproche

452

aux mystiques l'engourdissement de leur volonté,156, 157 ; malgré la suspension de la volonté, lavie [178] morale n'est aucunement suspendue,127 sq. ; dans la méditation commune,acquiescement cordial à des idées de vertu ; dansla contemplation, adhésion à la sainteté même,158 ; efficacité morale des grâces mystiques, 162sq. ; moralistes et mystiques, 165 ; jeu normal etsimultané de toutes les activités mystiques et nonmystiques de l’âme, 165 ; la suspension despuissances n'est pas un bien en soi, 165 sq. ; ilvaudrait mieux que l’ordre naturel fût maintenu :Catherine de Sienne pâmée, la Sainte Viergedebout, possibilité et réalité d’une union mystiqueplus haute qui ne paralyserait point les facultés,166 ; tentations et faiblesse des mystiques : je voisle pire, mais je suis le meilleur, 168 ; courtepsychologie des moralistes. comparée à celle desmystiques, 173 ; « Interaction des deux vies »,174 ; Marie de l’Incarnation et l’apologie desmystiques, 175, 176 ; Turba magna, T. VI, 2e

partie in toto ; l’expérience mystique se ramène àquelques éléments très simples, et toujours lesmêmes, 230 ; guerre, au XVIIe siècle, entre lesmystiques du groupe Bernières et les disciples dela grâce, (v. Souriau), 232 ; sur les mots :« propriétaire », « pur amour », « pauvreté », 239 ;le mysticisme flamboyant et les mystiques dusilence, 267-373 ; depuis la Contre-Réforme, lesmystiques attachent moins de prix aux

453

manifestations éclatantes, 269 ; l’école deCompiègne, 342 ; l'organisme catholique –dogmes, pratiques, disciplines – ne gèneaucunement la vie mystique mais s'accorde avecelle et la rend plus intime, 367 ; la Francemystique, VI. ch. III, in toto : I) Flandre,Picardie, Champagne, Lorraine, 374-387 ; II)Paris, 387-394 ; III) Franche-Comté, Bourgogne,394-410 ; IV) Lyonnais, Auvergne, 411-417 ; V)Savoie, Dauphiné, 417-425 ; VI) Comtat,Provence, 425-434 ; VII) Languedoc. GuyennePérigord, 434-441. – VII, absurde accusation dequiétisme dont on les poursuit, 101 ; nullecontemplation, nulle quiétude qui n’exige... unacte de la volonté libre, 101. – X, les mystiques etla prière vocale, 338-340 ; ils recommandent laprière vocale, 339 ; les oraisons jaculatoires, 340.– XI, le Procès des mystiques, T. XI, in toto :Isabelle Bellinzaga, Achille Gagliardi et la chartede l’amour, 3-56 ; les Illuminés de Séville, 57-70 ;les premières paniques, 71-102. v. Delacroix,Nicole.

MYSTIQUES (faux). – II, Nicole Tavernier,69-71 ; la stigmatisée de Lisbonne, 71.

N

NADAL (abbé). – Vie de Mgr d’Authier deSisgau... fondateur des Prêtres du Saint-Sacrement,IX, 241 sq.

454

NADAL (P.), s. j. – III, 24 ; VIII, directions àpropos des Exercices, 188 ; ses textes expurgésdans les commentaires officiels des Constitutions,188. v. Camara.

NAPOLÉON. – S., 44.NASSAU (Charlotte-Flandrine de), abbesse

de Sainte-Croix de Poitiers. – II, 395.NAUDÉ (Gabriel). – I, écrivit sur J.-P.

Camus une longue étude et publia son romanPalombe ou la femme honorable, 276.

NAVATEL (P.), s. j. – I, a pris, à partir duXIIIe volume, la suite de dom Mackey pour la[179] publication des œuvres complètes de saintFrançois de Sales (éd. d'Annecy), 108 ; extérieurhumain et débonnaire de la doctrine spirituelle desaint François de Sales, 108 ; 526, 528 ; laVisitation d’Annecy et J.-P. Camus, 532-534.

NAVET (Jean), secrétaire de Jean deQuintanadoine. – II, 289, 290, 292 ; les carmélitesd’Espagne partent pour la France, 300, 301 ;incidents du voyage, 305 ; 320.

NECKER DE SAUSSURE (Mme). – X, 22. vCausse.

NEERCASTEL (Jean de), évêque deCastorie. – IV, 478.

Tractatus de sanctorum et præcipue B. Mariæ cultu.IX, 257.

Du culte des Saints, IX, contre la légende de lapâmoison de Notre-Dame, 279.

455

Amor pænitens, XI, de l'amour de Dieuréclamé pour la pénitence, 302, 303.

NEMOURS (duchesse de). – II. pose lapremière pierre du prieuré de Notre-Dame-des-Champs (Carmel). 285.

NEPOTIEN. – III, 313.NEPVEU (P. Fr.), s. j. – De l'amour de Notre-

Seigneur Jésus-Christ, V, de la médiocrité desparfaits en apparence, 23 ; 69, 342.

Méthode facile d'oraison, X, discourir mais serésigner à le faire avec peine ; excellence del'aridité, 325 ; 327.

NÉRI (saint Philippe). – II, 9, 19, 23, 24, 25.NERVÈZE (Antoine de). – IV, 18.Le jardin sacré de l’âme solitaire. I, 337 ; « ceux

qui sont heureusement épris du Tout-Puissant...cherchent les déserts pour penser paisiblement enlui », 338 ; mépris des mondains pour la solitudepieuse, 338 ; « il attend de Dieu... le repos de sesjours », « si travaillés des nuits et des ennuis decette vie », 339 ; « ô Jérusalem... où sont lescampagnes que nos yeux voulaient voir... », 339,340.

Jérusalem assiégée, I, 337.Épîtres morales, I, 337. v. Gustave Reynier.NESMOND (Président de). – I, consacre

toute une harangue au ciron, 265.NEUVILLE (P. de), s. j. – XI, du précepte

de l’amour de Dieu, 289.NEUVILLETTE (baron de). – VI, 387.

456

NEUVILLETTE (Madeleine de). – VI, 387-390 ; soigna Cyrano de Bergerac pendant sadernière maladie, 387 ; sa mondanité, 388 ;précieuse, dévote et sainte, 388 ; ses lettres d’unton solennel et vide, 388 ; travaillée par M. deRenty, se convertit, 388 ; son mari tué au sièged’Arras, 388 ; visite et console les condamnés àmort, 389, 390. v Cyprien de la Nativité.

NEVERS (comte Guillaume de). – VI. 430.NEVERS (duc de). – VI, 430.NEWMAN (cardinal). – I, danger d’une

éducation littéraire élégante, 9 ; « s’inquiéter de nepas s’inquiéter », 113 ; le real assent, 116 ; on n’osapas lui confier la refonte de la Bible de Douai,178 ; 231, 341, 395. – II, 488. – III, interprétationdu mot awe, 37 : sur l’Eirenicon de Pusey, 209 ;définition du gentleman, 226 ; les omina dans la viede Newman, 303, 304 ; son opinion sur Cicéron,308 ; la première enfance et l’invisible, 344 ; unrealwords, 352. – IV, 444. – V, 280. – VI, 63, 299, 457.– IX, 186, 266, 271. – X, 32, 72, 150. – S., 35.

Dream of Gerontius, I, 61.Historical sketches, I, 233. – IV, 444.Callista, III, 235.Grammar of assent, III, 390. – V, 54. – X, 345.Mental Prayer, VII, 2.Parochial Sermons, VII, a effleuré la théorie

bérullienne des « états » dans Christ manifested [180]in remembrance, 134. – VIII. 72. – X, Forms of privateprayer : sur les formules de prières, 343, 344.

457

Oraison funebre de Hope Scott, VII, 176.Difficulties felt by Anglicans in Catholic teaching,

IX, 266 ; de la religion de la multitude, 267, 268.The Dévotions of Bishop Andrewes..., X, 207 (trad.

par lui d’abord dans Tracts for the Time).Méditations et prières (trad. Mlle M.-A. Pératé),

contiennent des litanies de l’auteur, X, 207.The Arians of the fourth century, XI, de

l’arianisme et de sa méthode de combat (texteanglais). 190. v H. Bremond.

NICAISE. – X, 36.NICERON. – I, 156.Nicodème (évangile de) IX, 277.NICOLAS DE LYRE, franciscain. – III, 26 ;

« toute créature est ordonnée vers Dieu commeune armée vers son général », 27 ; 29.

NICOLE (Pierre). – I, 41 : Nicole et Pascalont fait des gorges chaudes en lisant EtienneBinet, 142 ; 181, 188 ; Nicole heureux avec saBible, saint Augustin... et sa petite lanterne qu’ilpromène dans le cœur humain, 257 : l’enfer nousattend dans l’état de sécheresse, 524. – III, 116,480, 503. – IV. 1, 13, 15, 16, 20, 23 ; adversairedes faux, mais aussi des vrais mystiques, 169 ;approuva le Chapelet secret puis le trouva tropmystique, 212 ; corrige une lettre de Marie del’Incarnation (Mme Martin), 221 ; 227, 229, 231,256, 271, 286, 302, 316, 320, 397 ; Pierre Nicoleou le janséniste malgré lui, 418-471 ; sa partpossible dans les Pensées de Pascal, 420 ; éternise la

458

querelle janséniste en réparant, une à une, lesmaladresses d’Arnauld, 423 sq. ; invente ladistinction du fait et du droit, 436 sq. : cettedistinction apaise les angoisses intérieures dePort-Royal, 427 sq. ; ses tendances molinistes,428 ; son « thomisme atténué », 431 ; la politesseen enfer, 439-441 : Nicole et- l’humanisme dévot,441, 442 ; suspect aux intransigeants du parti, 445sq. ; a-t-il joué double jeu, comme ou l’en accusedes deux côtés ? 446 sq. ; a toujours cru àl’orthodoxie foncière d’Arnauld, 447 ;malentendu persistant entre Nicole et Arnauld,450 sq. ; timidité et optimisme, 450 ; saresponsabilité dans la renaissance du jansénisme,après la « paix de l’Église », 452-454 ; essayed’arrêter le développement de la secte, 455 ;Nicole et Gerbet, 465 ; Nicole n’est pasjanséniste, 465 ; dangers que peuvent présenterles Essais de morale, 466 sq. ; exagérations etdéclamations pessimistes, 466 ; son indulgencefoncière, 467 ; sa méthode morale et l’inoculationdu scrupule, 468 sq. ; deux hommes en lui : lechrétien et le moraliste, 469-471 ; plus moralisteque religieux, 469-471 ; n’est pas mystique, 471 ;Pierre Nicole ou l’antimystique, 472-588 ; stupeurcroissante causée à Nicole par l’enseignement desmystiques, 472 sq. ; un courant mystique, même àPort-Royal, 473, 474 ; le succès de Desmaretsrévèle à Nicole les progrès de la mystique au XVIIe

siècle, 475 sq. ; période d'apaisement ; Nicole

459

entrevoit la difficulté et le sérieux du problèmemystique, 480 ; malgré ses efforts, tiendratoujours l’expérience mystique pour une sorte deparadoxe, 482 ; débuts de l’agitation antiquiétiste ;Mme Guyon chez Nicole, 483 sq. : mort de Nicole,486 : la trilogie antimystique de Nicole et sonimportance, 487 sq. ; son attitude à l’endroit desmystiques modernes ; défiance respectueuse.487 ; dit que les Pères n’ont point parlé del’oraison de quiétude, 490 ; réfutation, 491 ; vicefondamental [181] de sa méthode, dans l'étudedes mystiques, 492 sq. ; les spirituels qu’il acombattus sont-ils vraiment de faux mystiques ?494 sq. ; son parti pris voulu, obstiné ; n'est pasd’un grand esprit, 496 ; ses arguments contre lesfaux mystiques tendent à exterminer les vrais, 497sq. ; l’antimysticisme de Nicole, 500-588 ; danstoute prière, deux activités collaborent, 500-506 :illusions de la prière commune, 506-517 ;palinodie, 518-524 ; nécessité de l’effort humaindans la prière commune ; apologie de laméditation et de saint Ignace, 525-534 ; critiquede l’effort humain dans la prière, illuminisme etquiétisme, 534-542 ; le préjugé antimystique, 543-572 ; l'obsession morale, 545-550 ; la poésie desmystiques est, pour Nicole, un piège du Malin,545 ; anthropocentrisme pessimiste, 546 ; religionn’est que morale, 545, 546 ; l’obsessionrationaliste, 550 ; pour Nicole et beaucoupd’autres, seule est possible la connaissance

460

rationnelle de Dieu, 550 sq. ; pour lui la ferveursensible, c’est la grâce même, 570 ; le romanmystique, 573-588 ; pour Nicole, tout le mal estvenu des livres mystiques, 573, 574 ; la fascinationde l’inertie, 574-579 : traite les épreuves desmystiques de vapeurs, 579, 580 ; le sommeilréparateur, 580-582 ; les « penséesimperceptibles ». 582-588 ; suppose que laconnaissance mystique est du même ordre que laconnaissance rationnelle, 586, 587. – V, 371. –VI, ses corrections sur un autographe de Marie del’Incarnation, 6 ; conseillait la lecture de ses écrits,6 ; rapports avec Mme Guyon, 7 ; 33, 41, 98, 124,139, 149, 157, 158, 159, 173, 176, 232, 234, 336,408, 449, 488. – VII, 17, 19, 23, 25, 29, 70, 146 ;ne se préoccupe pas de fournir une définition dela prière pure, 317 ; 348, 392. – VIII, 12, 13, 81,83, 86, 147, 153, 175, 337. – IX, 32, 49. 72, 102. –X, 19, 30, 265. – XI, 95, 97, 98, 115, 117, 118,138, 148 ; fait sien le travail d'A. Arnauld contrele Père A. Sirmond, 188 ; 230, 246, 256, 259, 277,330, 347, 349, 350, 352, 353, 362, 371, 376, 409,411, 414, 425, 427. – S., il est difficile de discerneren quoi consiste la. véritable prière, 3 ;psychologue de premier ordre, métaphysiciendébile, 6 ; 53, 95, 116 ; Nicole et la critique desactivités intellectuelles dans la prière, 189-221.

Essais de morale, II, 382, 602. – IV, del’éducation d’un prince, 14 ; 419, 429, 466, 468,558, 563. – IX, de la communion fréquente, 59,

461

60 ; des conversions in extremis, 333 ; de la penséede la mort, 353 ; 363, 364, épargner lesméditations sur la mort aux personnesd'imagination trop vive, 370. – X, sur la penséejointe à la prière, 28 ; 37, 50, 51. – XI, 310.

Les Visionnaires, III, 257. – IV, sur Desmarets,372 ; 419, 474 ; illusions et dangers des écrits etdes actes de Desmarets, 476 ; 478, 487 ; ne pasprendre nos pensées pour des vertus, 508 ; lapensée prise pour l'acte, 516 ; du fond obscur etimpénétrable de l’âme, 522, 523 ; adorons en paixla bonté divine qui nous veut dans la nuit, 523 ;les efforts humains ne nous donneraient qu’unepaix humaine, 523 ; intelligence et volonté dans laprière commune, 525 ; science livresque etimaginaire des opérations de Dieu dans l’âme,574. – VI, Desmarets, empoisonneur public, 483 ;Desmarets directeur de conscience, 484 ; Nicoledonne des extraits de l’Avis du Saint-Esprit deDesmarets, 487 ; Seconde Visionnaire : Desmarets etsa « confrérie des victimes », 489-491 ; contreDesmarets et sa direction, 500.

Traduction latine des Provinciales. IV, 14. 419.Traité de la Prière, IV. « la pratique des

conventions », 358.Traité de la Prière (texte [182] remanié du Traité

de l’oraison), IV, 479. – S., 189.La Logique ou l'art de penser, IV, 419, 473, 506.Disquisitiones sex Pauli Irenæi, IV, 419.Lettres sur l’hérésie imaginaire, IV, 419

462

Perpétuité de la foi de l'Église sur l’Eucharistie, IV,419.

Grande Perpétuité, IV, 445.Réfutation des principales erreurs des quiétistes, IV,

419 ; sur Mme Guyon, 485 ; 487, 495 ; l'abbéd’Estival et l'oraison mystique, 516 ; commentdistinguer le bon du mauvais amour, 521 ; critiquede l'effort humain dans la prière, 535 ; 542 ; c’estpenser utilement à Dieu que de penser à sa loi,547 ; dans l’observation des devoirs, où placer lacontemplation, 548 ; la contemplation, ignoranteet présomptueuse, 548 ; le réquisitoire de Nicolecontre les mystiques est un plaidoyer en leurfaveur, 548 ; 553 ; sur l’oraison de foi (cit. deMalaval) ; les mystiques parlent de ce qu'ils fontprofession de n’entendre pas, 555 sq. ; nécessitédes lumières distinctes, 559 ; « Dieu présent aufond de notre cœur », formule qui l’exaspère,562 ; pour Nicole, l’idée de présence plus efficaceque le sentiment de présence, 563 ; sur Malaval,565 ; dénonce ce qu’il croit l’inertie descontemplatifs, 575, 576 ; les martyreschimériques, 579, 580 ; maux d’imagination chezles mystiques, 580 ; l’activité qui suit l’étatd’oraison est pour Nicole un résultat d’ordrephysique, 582 ; 587. – VI, des quiétistes, 7. – XI,326.

Instructions théologiques sur les sacrements, IV, 419.Imaginaires, IV, 474.

463

Instructions théologiques et morales, IV, sur lesymbole, 420 ; 440. – IX, 237 ; « des marquesextérieures de dévotion envers la Sainte Vierge »,282 ; sur le scapulaire, 282.

Traité de l'Oraison, IV, 419 ; rare mérite de cetouvrage, 478, sq. ; le Traité de l'Oraison contre lesmystiques, 478 ; 487 ; saint Bernard et saint Jeande la Croix, 488, 489 ; sur l’oraison de quiétude,489-491 ; sur saint Jean de la Croix, 492 ; pas deprière sans motion divine, 502, 503 ; confondferveur sensible et grâce mystique, 503, 504 ; 506 ;pensées qui nourrissent la prière, 507 : vouloir etnon pas seulement penser, 508 ; critique de lapratique des « conventions » avec Dieu, 500, 510 ;des mouvements du cœur et de l’esprit ; il estdifficile de les distinguer, 510-513 ; de l’amour deDieu qui n’a pour principe que l'amour-propre,513, 514 ; sur la trahison de saint Pierre, 515 ;gens d’oraison qui n’ont jamais prié, 517 : rien deplus caché que la vraie prière, 517 ; des illusionsdans la prière, 518 sq. ; critique de l'illusion dansla prière (1re partie du Traité) ; des conditions dela prière chrétienne (2e partie du Traité, 524 ; surl’oraison méthodique, 326 sq. ; la liturgie,méthode d’oraison mentale, 528 sq. ; sur le travailde la méditation, le lieu de la vérité n’est pasl’esprit, mais le cœur, 528, 529 ; que le sagerumine, mais non le fou, 531 ; de la méthode dansl’oraison, 532 ; 533 ; gémissements et nonlouanges, 544 ; sur l'adoration, 545, sur Jean de

464

Bernières, 545 ; nos méditations ne doiventregarder que nos devoirs, 546 ; prendre lessécheresses pour absence de grâce, 569, 570 ; pasde sensible, pas de grâce, 572 ; sur les illusions del'imagination à l’égard des mouvements del’Esprit de Dieu. 573. – VI, 7. – VII, 316. – VIII,les affections et les résolutions pratiquées dansl’oraison, bien que très utiles, ne sont que desimples pensées, 267, 268 ; toutes les résolutionsdoivent être des espèces de prière, 269 – S., 5, 34,41 ; de l'empressement humain à rechercher despensées dans l’oraison, 73 ; saint Pierre [183]prenant la résolution d'exposer sa vie pour Notre-Seigneur croyait pouvoir ce qu'il sentait vouloir,93 ; des affections et des résolutions, 93, 94 ;nous faisons en aimant Dieu beaucoup plus quepar la diversité d’actes, 99 ; 189 ; en quoi consistel’essence de la prière chrétienne, 191-193 ;éclaircissement plus ample de la manière dont onprend quelquefois les pensées pour lesmouvements du cœur, 193-198 ; ce que c’est quel’intention nécessaire pour sanctifier nosintentions, 198-202 ; de quelle sorte l'imaginationnous fait tomber en diverses illusions, 202-206 ;de l'utilité des bonnes pensées et de ce qu’onappelle oraison méthodique, 207-213 ; abus oùl’on peut tomber dans la recherche des penséesdont on s’entretient devant Dieu dans l’oraison,213-217 ; comment il faut pratiquer la méthode de

465

diviser l’oraison en méditations, affections etrésolutions, 217-221.

Traité de l’Oraison, devenu le Traité de la Prière,X, 20 ; de la contrition et de l’amour de Dieu, 21-24 ; ne pas donner aux fidèles le mépris desformules de prières, 23, 24 ; 321.

Lettres de M. Nicole, IV, 419 ; le latin de saintThomas, 429 ; sur l’infaillibilité, 429, 430, 431 ;préférer l'autorité du Pape, 443 ; obéissance etdévotion à l’Église, 443-445 ; 454, 455 ; des « vuesde conscience » qui d’abord lui avaient permisd'intervenir dans la lutte, 455, 456 ; polémistemalgré lui ; ses regrets, 456 ; ne se reconnaît pasle droit d’écrire contre les ministres de l’Église,457, 458 ; le droit de ne pas médire, 458 ; les loisde la polémique chrétienne, 459-461 ; l’assurancede M. Arnauld, 461 ; ne peut s’appuyer sur lavocation de M. Arnauld, 461, 462 ; « Réflexionssur les contestations qui arrivent entre les amis »,461 ; utilité de la lutte (jansénisme), la chose dumonde dont il doute le plus, 462 ; laisser toutequerelle, prier et se taire, 463 ; sur la publicationdes lettres de M. de Saci, 463 ; dans quel espritest-il permis de s’indigner contre l’injustice, 464 ;468 ; contre Guilloré, 477, 478 ; sur le mot« mystique » et l’oraison de foi, 480-482 ; lettre àun supérieur de l’ordre de Cîteaux sur laméditation, 526, 527 ; variété des Mystères ;remède à l’amour de la multiplicité, 527 sq. ; ditque la contemplation veut retrouver l'état d’Adam

466

avant le péché, 544 ; son aveu en faveur des bonseffets de la disposition mystique, 549 ; 575 ; sonexplication de l’état d’activité qui suit lacontemplation, 581 ; 588, 589.

Traité de la grâce générale, IV, Pascal et lesdogmes de la grâce efficace, 409 ; 419 ; la doctrinede P.-R. réduite â cinq articles de la doctrinethomiste, 431 ; du prétendu « pouvoir » acceptépar les jansénistes, 432, 433 ; une véritable grâce,et « surnaturelle » donnée à tous les hommes, 434,435 ; sur la grâce donnée aux païens, 435 ; 437 ;les « ruines d'un édifice surnaturel sontsurnaturelles » 435, 436 ; sur l'impuissance aubien, 438, 439, 440 ; il y a d’autres Pères que saintAugustin, et saint Augustin à lui seul, n'est pasl’Église, 442 ; 446 ; « on combat un sentimentparce qu’on l’a combattu », 448 ; sur les lumièresextraordinaires et celles dues à l'exercice de laraison, 504 ; sentir, c’est toujours penser, 583 ; lemystère des parties imperceptibles (les « raisonsdu cœur » de Pascal), 584 ; 586 ; les vues etpensées excitées et non exprimées font la beautédes livres et des écrits, 584, 585.

Système entier selon cette opinion de la grâce générale,IV, 439.

Note sur la neuvième lettre où l'on distingue la vraiedévotion à la Sainte Vierge de la dévotion fausse et malréglée, IX, 252 ; Montalte (Pascal) et le Père deBarry, 253 ; caractère de la vraie [184] dévotion àla Sainte Vierge, 258 ; de l’accusation contre

467

Pascal d'avoir tourné en ridicule la dévotion à laSainte Vierge, 261 ; des dévotions populaires,267 ; sur les pratiques extérieures de la dévotion,282.

Edition des Provinciales, X, Note sur ladixième lettre, à propos de la doctrine du PèreSirmond, 238, 242, 243, 245, 246, 249, 277. v.Goujet.

NICOLLET (Gabriel). – Le parfait adorateurdu Sacré-Cœur de Jésus, propose deux petits Offices,Sacré-Cœur de Jésus, Sacré-Cœur de Marie, X,213.

NISARD (Auguste). – Les Deux Imitations, I,357.

NISARD (Charles). – Les gladiateurs de larépublique des lettres, sur le libelle de Richeome, laChasse du renard Pasquin, I, 23.

NISARD (Désiré). – III, 679.NITOT (Philbert). – VI, 181.NOAILLES (Louis-Antoine de), cardinal. –

IV, 594. – VI, 392. – IX, 274, 275, 337 ; sonordonnance recommandant le soin de préparer debonne heure les malades à la mort, 350, 351. –XI, 315.

NODIER (Charles). – IV, 125.NOÉ. – VII, 407. – IX, 148.NOËL (Marie). – VIII, 305, 306, 308. v.

Crasset.NOËL (P.), o. p. – VIII, a réédité la Clef du

pur amour, le Plus Parfait et État du pur amour du

468

Père Piny, 83 ; la doctrine du Père Piny n’a riende commun avec le quiétisme (réédition du PlusParfait), 178. v. Tauler.

NOËL-ALEXANDRE. – VIII, 86.NOÉ-MÉNARD (M. de La). – Catéchisme du

diocèse de Nantes, IX, exhortation à la communiondominicale, 65 ; 72. v. Duguet.

NŒTINGER (dom Maurice), bénédictin. –A traduit le Nuage de l’inconnaissance, XI, 349.

NOGARET DE LA VALETTE (Catherine),femme de Henri de Joyeuse (Père Ange). – II,145.

NOIE (comte de La). – III, 227.NOTKER. – X, 94.NOTRE-DAME de Castelbruedo. – IX, 285.de Souffrance. – IX, 284. d’Argent. – IX,

285. – de Sion. – IX, 286. – d’Einsiedeln. – IX,285. – de Matarieh. – IX, 286, 287. – de Sainte-Croix. – IX, 286. – de Cranganor. – IX, 286. – deMéliapor. – IX. 286. – de Saint-Bernard deComminges. – IX, 287.

NOTRE-DAME D’ALAN. – VI, 444. – desArdilliers. – V, 142.

NOTRE-DAME-DES-CHAMPS. – II,Notice historique sur Notre-Dame-des-Champs(anonyme). 284.

NOTRE-DAME DE CHARITÉ (religieusesde). – III, 592.

NOTRE-DAME-DE-GRÂCE (prieuré de).– II. 497-501.

469

NOTRE-DAME DU LAUS. – VI, 444. v.Benoîte Rencurel.

NOTRE-DAME DE MOREAUCOURT(monastère de). – VI, 382.

NOTRE-DAME DE PASSAU (Munich). –IX, 284 ; Confédération d’amour sous le titre deNotre-Dame Auxiliatrice de Passau, 286, 287.

NOTRE-DAME DE LA POMMERAYE,près de Sens (abbaye de). – II, 401, 426, 427.

NOTRE-DAME DE SOISSONS (abbayede). – II, 413.

NOTRE-DAME DE TROYES (abbaye de).– II, 395, 407, 434.

NOTRE-DAME DU VAL-DE-GIF(abbaye), investie par le jansénisme. – IV, 589,591. v. Alliot.

NOUET (P.), s. j. – III, un des précurseursde la dévotion au [185] Sacré-Cœur, 682. – V, 68,69, 342. – IX, 50, 71, 72, 73, 77. – S., méditation,puis oraison affective, 72.

Vie de Jésus dans les saints, III, 100.Retraite pour se préparer à la mort, IX, de la

conversion in extremis, 334 ; du culte de sainteBarbe, patronne des mourants, 361, 362 ;s’exercer à mourir, 365 ; le Père WolfangGraveneg et sa méthode d’Extrême-Onctionspirituelle, 368 ; « pourquoi aimez-vous la vie ? »377.

470

Clef du Paradis, IX, paraphrase des prièrespour l'Extrême-Onction : onction des narines,367, 368.

L’Homme d'oraison, S., de toutes les actions depiété, l'oraison est la plus mal faite, 147.

NOULLEAU (Jean-Baptiste). – VII,Noulleau et « l’esprit du Christianisme », 197-265 ; ses épreuves, 197-214 ; entre à l'Oratoire.199 : nommé théologal de Saint-Brieuc, 199 ; sonzèle aigrit des esprits contre lui, 203 ; son livre surla pluralité des bénéfices, 203 ; se voit interdire laprédication, 206 ; interdit par son évêque. 206 ; savie pauvre et pénitente, 207, 208 ; interdit sonstoutes les formes par son évêque, 208 sq. : il seretire dans une complète solitude, 210 ; sa mort.211 ; excommunié, 213 ; 214, 215 ; le tout deDieu, 215-217 ; adoration d'abord, 215, 216 ; Dieude Jésus-Christ, 218, 219 ; « Omnia et in omnibusChristus », 220-223 ; la prière chrétienne, 223-227 ; « la sainte grandeur et la politiquechrétienne », 227-236 ; Noulleau mériterait uneplace dans l'histoire de la chaire française, 230 ;son optimisme avec les petits, 233 sq. ; la« Conjuration contre les blasphémateurs », 237-247 ; sur les enragés qui jouaient à l'athéisme, 287,238, le pur amour, 247-256 ; pur amour etpénitence, 256-265 ; 279, 375. – VIII. 383.

Le modèle d’un grand évêque en la personne de feuM. Etienne de Vilazel, VII, 199. 200 ; de la vraie

471

prière pour « le bien public », 227 ; des huguenotsconvertis que l’on délaisse. 233, 234.

Politique chrétienne dans les exercices de piété de Mgr

le Dauphin, VII, 200, 201.Les conseils ecclésiastiques et le sénat de l’Église,

VII, 203.La politique chrétienne et ecclésiastique, VII. 203 ;

des évêques laissés sans aide par leur clergé ;réformes à introduire, 204 sq.

De la nécessité des conférences, des études et de la viecommune des ecclésiastiques. VII, 206.

Traité de l'extinction des procès. VII, 206.Usage canonique des biens de l’Église, VII, 206.Des élections à l’état ecclésiastique, VII, 206.Traité de la sainte liberté de la parole de Dieu et de

la fermeté des prédicateurs évangéliques, VII, 206. Jointsà ce Traité : de la liberté de saint Ambroise, desaint Chrysostôme et de saint Basile, 206 ; de laliberté apostolique de saint Bernard et dubienheureux Pierre Damien ; de celle de Pierre deBlois, 206.

Traité de l’autorité du Saint-Siège, VII, 214.De religione christiana ; Spiritus et ingenium sive

genius Christi, VII, 214.L’Idée du vrai chrétien, VII, 214 ; Dieu en nous,

nous en Dieu ; (le chrétien) adore... plusvolontiers qu'il n’aime, 215, 216 ; dévotion à lasainteté de Dieu, 216, 217 ; la philosophie séparée(à tort) de la théologie ; Platon et Duns Scot, 217,218 : dévotion à la Sainte Trinité, 218, 219 ; l’Idée

472

du vrai chrétien, ouvrage dédié à la princesse deConti et à la duchesse de Longueville, 219, 220 ; apu circuler dans le « saint désert », 220 ; « deuxinséparables, Notre-Seigneur Jésus-Christ etmoi », 225 ; méditation et oraison, 225, [186]226 ; (la prière)… participe à tous les privilèges del’éternité, 226 ; l’Ave Maria d’un grandpersonnage, 228 : des sympathies de grâce ; dessaints que nous nous affectons nous-même parquelque secret rapport, 250, 251. – IX, duBaptême et de la Très Sainte Trinité. 6 ; conseillela dévotion à la vue des saintes Espèces, 237 ; duregard vers l’hostie. 240.

L'Esprit du Christianisme, VII, si ces deuxdevoirs pouvaient se séparer, nous serions plusobligés à vous adorer qu’à vous aimer, 216 ;« Pardonnez-moi de ne vous avoir jamais aimé enJésus-Christ », 220 ; sa grande tentation : ne pasvoir Jésus-Christ comme la seule voie du Paradis,221 ; les trois formules de la religion chrétienne,222, 223 ; « sainte superbe » du chrétien, 223 ; laprière « trajet perpétuel de nos âmes à Dieu parJésus-Christ », 224 ; tout se ramène « à ne respirersans cesse que Jésus-Christ », 224, 225 ; (prièreliturgique) tirer vie de tous les mystères de Jésus-Christ, 227 ; « de la tragédie de ce monde », 229,230 ; dédicace du livre à la Reine Mère Anned’Autriche, 232, 233 ; en convertissant les grands,on convertit les petits qui en dépendent, 233 ; dumenu peuple resté pur ; n’ayant pas le loisir de

473

respirer, ils n’ont pas le temps de pécher, 233 ;que les grands trônes visibles de la majesté deDieu l’y fassent paraître superbement et secachent dans sa majesté, 234 ; de la policechrétienne, 235 ; contrainte et liberté, 244, 245 ;justice, ordre, égalité, 246 ; le pur amour est« toute l’âme et tout l’esprit du christianisme »,248 ; l’obligation de l’amour, 248 ; amour« affectif » et « effectif », 248 ; d’une sorte d’espriten l’homme qui est celui de ses lumièresextraordinaires, 249 ; l’union sympathique descœurs, amour et connaissance, 249, 250 ; aimerDieu de tout le fond de notre être, avec tout lefond du sien, 251 ; connaissance de Dieu infuseau fond de notre âme, 251, 252 ; supériorité desvertus « passives ». état plus excellent d’aimerDieu de toute sou âme que de l'aimer de tout soncœur, 252, 253 ; agir et souffrir, 254, 255 ;« Pénitence ! vertu que Jésus-Christ m’a méritée »,256 ; prière d’adoration, Dieu adoré dans tout cequi est, 257, 258 ; prière ; « O Jésus-Christ, j’adorevotre Cœur comme le cœur du pur amour deDieu », 258, 259 ; prière : « Vous ne m’avez pasmoins commandé d'espérer que d’aimer », 259,260 ; prière : « J’aime mieux le Dieu du Paradisque le Paradis de Dieu », 260 ; prière à Jésus-Christ : « Je vous veux... plus aimer pour vous etpour votre Père, que pour moi-même ». 261, 262 ;prière pour demander le pur amour, 262, 263,264 ; « ce n’est pas moi qui vous demande cette

474

grâce (du pur amour) c'est votre Fils qui vit enmoi », 264 ; que les pécheurs doivent tendre aupur amour, 264, 265. – VIII, des conversationschrétiennes, 407-410 ; l'amour du prochain, 410,411 ; morale et religion, 411, 412 ; lesbénédictions des États, 412-417. – X, Jésus-Christest « tout l’esprit » de nos formules, 31.

Contemplations pour la conduite de la vraiepénitence, VII, 248 ; ce livre est son manuel depiété, « le fils de sa douleur » (dédicace au princede Conti), 255.

Paraphrase des principales prières appropriées auxbesoins et à la piété des personnes de la plus grande qualité(Idée), VII, 228.

Conjuration contre les blasphémateurs, VII, lesgrands ont leurs lois et leurs obligations à part,231, 232 ; 236.

Remontrance... aux seigneurs et dames de piété, VII,232 ; les hérétiques, juges des chrétiens, 233 ;sommation aux puissants d’agir contre l’athéismeet le blasphème, 238 ; de l’aide des Compagnies,Congrégations et Confréries dans cetteConjuration, 239 ; organisation de [187] lacroisade, 240 sq. ; sur le Père Bernard, 243. v.Batterel, Marquis de La Meilleraie,

NOUVELLE (P.), supérieur général del'Oratoire. – VI, 427.

Nouvelles ecclésiastiques, IV, de l’interrogatoirede saint Vincent de Paul au procès de Saint-

475

Cyran, 76. – IX, 72, 191. – X, contre Letourneux,48.

Nuage de l’inconnaissance (Le), œuvre d’unmystique anglais du XIVe siècle, traduit par domMaurice Nœtinger. – XI, de l’oraison de quiétude,349 ; appelle work (œuvre, besogne) la quiétude,352 ; de la quiétude ; on ne peut qu’y consentir,non la créer en soi, 355, 356 ; dit que l’oraison dequiétude est prescrite par les saints Livres, 367,368 ; 406 ; il suffit (dans la quiétude) de se sentirpoussé par quelque chose dont on ne sait rien,407 ; sentir le pesant fardeau de soi-même vautmieux que se livrer aux méditations les plussublimes, 412 ; le péché, masse pesante, qui ne sedistingue pas de nous-mêmes, 414.

O

OBRY. – VI, 382.OCCAM. – I, 14.ODON (saint), abbé de Cluny. – I, sa vision

à propos de Virgile, 196. v. dom Laurent Bénard.OFFICES DE DÉVOTION. – X, 209-221 ;

les Petits Offices et les Tiers-Ordres, 209.OISEAUX. – I, leur langage, 264. v. Et.

Pinet.OLIER (Jacques), père de M. Olier. – III,

428.OLIER (M.). – I, XVII ; son mot sur François

de Sales, 107 ; 167, 220. – II, 33, 35 ; soncommerce avec des âmes saintes, 40 ; Marie de

476

Valence, 47, 53 ; il fait brûler un mauvais portraitde Marie de Valence, 54 ; 63, 120, 261, 265, 594.– III, 4, 51, 79, 88, 89, 98, 115, 116, 117, 126,127, 154, 254 ; le disciple le plus éminent du Pèrede Condren, 294 ; 337, 350, 354 ; adhérence ausacrifice du Christ, 367, 368 ; 379, 389, 391, 407,413 ; son initiation à la doctrine oratorienne, 418-458 ; ses origines, 428 ; étourderies de jeunesse,429 ; se met sons la direction de M. Vincent, 429 ;dirigé par Condren, 430 ; la grande crise, 430-451 ; son portrait par Baudrand, 433 ; sonhéroïsme pendant la crise, 433 sq. ; les entretiensde Condren et la névrose de M. Olier. 435 sq. ;non pas crise morale, mais détresse purementphysiologique, 437, 438 ; complicationsmétaphysiques, suite des leçons de Condren, 438,439 ; il se sentait poursuivi jusque dans lesopérations de la vie physique, 439, 440 ; continue,malgré tout, sa vie de missionnaire, 440, 441 ;tentations de désespoir, 441, 442 ; objet d’unmépris universel, 442, 443 ; au plus affreux de sonmartyre, s’applique à lui-même la doctrine de sonmaître, 444, 445 ; Condren lui-même le délaisse,445 ; le paroxysme et les premiers symptômes deguérison, 445-447 ; l’aube de la guérison. 447,448 ; se délivre de la contemplation de son moipar celle de la Vierge adolescente, 448 ; lescloches de Chartres, 449 ; ses compagnons ne lereconnaissent plus, 449 ; de l’horreur morbide dela superbe aux joies de l’humilité véritable, 449,

477

450 ; chef incontesté de la petite Compagnieformée par Condren, 450 ; mieux que guéri,devient un homme nouveau. 451 ; travail [188]souterrain d'initiation pendant la crise, 451 ; ilretrouve, comprend et s’assimile sans peine toutesles leçons de Condren, 451, 452 ; la crise l'a aidé àréaliser plus profondément la doctrineoratorienne sur la dépossession du moi, 452, 453 ;l’Esprit de Dieu « répandu par tout lui-même,comme s’il y tenait la place de son âme », 453-455 ; l'anéantissement du mystique succède àl'effondrement du malade, 455 ; la crise lui aappris que les goûts sensibles ne sont pas leprincipal de la dévotion, 456-458 ; l’excellence deM. Olier, 458-507 ; éminence de M. Oliercomparé aux autres maîtres de l’École française.460-462 ; ses dons d’écrivain, 460, 461 ; avulgarisé le bérullisme. mais en poète, 461 ; « sedilater », mais « dans autrui », 463 ; le rythme desélévations de M. Olier et le rythme de la prièreignatienne, 467 sq. ; La Journée chrétienne, chef-d’œuvre trop peu connu, 472 ; Catéchisme etJournée, exercices de l’École française, 472, 473 ;sur la psalmodie eu latin. 474 : M. Olier et lepeintre Le Brun, 475 ; propagande bérullienne parl’image, 475 ; le symbolisme des orgues, 477, 478 ;ses lettres de direction, 478-487 ; directiondépouillante, 478 sq. ; sa direction, applicationbienfaisante de la méthode bérullienne, 487 ; leplus conscient des maîtres bérulliens, 488 ; ses

478

vues sur le développement de la vie intérieure etsur les origines de l’École française, 488 sq. ; laplace qu'il se fixe à lui-même dans l’histoire decette école, 488, 489 ; sa contribution personnelleau développement de l’école, 490-507 ; § 1, ladévotion au Saint Sacrement, 491-493 ; § 2, ladévotion à l’intérieur de Marie et des saints, 494-496 ; § 3, passage du bérullisme au mysticismeproprement dit, 496-507 ; le dogme eucharistique,confirmation souveraine des principes bérulliens,491 sq. ; image pour la Confrérie du Saint-Sacrement, 492, 493 ; caractère théocentrique decette dévotion, telle que M. Olier la présente,493 ; interprétation bérullienne du dogme de laCommunion des saints, 495, 496 ; lettre sur le« centre de l’âme », 498-501 ; le vrai caractère dela connaissance mystique, 501 sq. : apparencesquiétistes ; M. Olier et Fénelon, 501-503 ; l'espritd'enfance et l’union au Christ intérieur, 505 ;contre le romanesque dans la dévotion, 505-507 ;524, 525, 547, 552, 553, 666, 671, 673, 675, 676,677, 678, 682, 683. – IV, II, 25, 29, 32, 33, 175,205, 206, 255, 279, 284 ; interdit dans sescommunautés toute dispute sur les erreursjansénistes, 309. – V, 62, 82 ; Anne Campet deSaujon et la fondation de la Communauté des Fillesde l'Intérieur de la Sainte Vierge, 166. – VI, 358, 413.– VIII, 356, 357, 358. – IX. 132, 134, 138, 248,220. – S., 119, 120.

Intérieur de Jésus et de Marie, III,70.

479

Catéchisme chrétien pour la vie intérieure, III, 116,122, 123, 420. 460 ; Jésus-Christ médiateur dereligion et non pas seulement rédempteur, 473 ;de la psalmodie en latin, 474 ; union au Saint-Esprit, dans les sentiments mêmes de JésusChrist, 474, 475 ; 476.

Lettres, III, plus on mêle de soi, moins on estavancé dans les œuvres de la grâce, 138 ; lesouvenir de Condren, 294 ; 328 ; Condren etSaint-Cyran, 332 ; l’anéantissement du moi, c’estl’entrée dans un nouvel être, 365 ; adhérence ausacrifice de Jésus-Christ, 367 : Jésus-Christ estdans les chrétiens tout ce qu'ils ont de Dieu, 370 :Jésus-Christ seul vivant et opérant sous l’écorcede la vieille créature, 376 ; 379, 427, 445 ; lettre àla Mère de Bressand, sur la nuit obscure, 456 ;mépriser les grâces légères ou douteuses, 458 ;460 ; lettre sur le chant de l’Église, 476-478 ; quetoute propriété soit éteinte, 478, 479 ; qu'il faut[189] renoncer à l’appropriation sensible de Dieu,479 ; ce qui se mêle d'impur dans le divin, 479 ;les délices de la pure foi, 480 ; Dieu ne secommunique point.par sentiment, 480 ; la passiondu miroir, 480 ; Dieu est le supplément de tout,481 ; règles pour l’extérieur du prêtre, 481-483 ;lettre à la marquise de Portes attirée vers lejansénisme, 484-486 ; 487 ; lettre sur lacommunion des saints, 495, 496 ; la moelle dufroment, 498 ; la sainte oisiveté, 499 ; la substancede notre âme est très profonde au dedans de

480

nous, 499, 500 ; que l’âme cherche Dieu « commeun bien qu’elle possède », 500 ; ne pas s’amuseraux révélations, aux prophéties, 500 ; lettre à unecontemplative qui ne goûtait pas sainte Gertrude,503-507 ; 531. – IV, 26 ; 34 ; sur les jansénistes,296 ; ne point se remplir l’esprit de questionsdébattues, 307, 308. – V, lettres à Anne Campetde Saujon, 166.

Mémoires, III, sur le Père de Condren, 294,395 ; 498 ; pureté de la lumière de la foi, 506.

Journée chrétienne, III, le Verbe est en vous et yest établi par le Baptême, 376 ; 420, 460 ; laJournée chrétienne, application du bérullisme à lavie quotidienne, 462 ; Actes pour le saint Office,462, 463 ; l’Église dilate ce que Dieu renferme enlui-même, 464, 465 ; Actes avant la conversation,468 ; Ama nesciri, 468 ; sur l’usage du feu, 468 ; del’esprit de sacrifice en plusieurs occasions de lajournée, 470 ; Mon Dieu... seul éternel ! 470 ;Dieu l’éternel printemps, 471 ; 476 ; l’Eucharistie,dilatation de l’Incarnation, 494.

Vie intérieure de la très Sainte Vierge, III, 420,494.

Pensées choisies sur le culte de Notre-Seigneur, III,420.

Pietas Seminarii Sancti Sulpicii, III, 420, 531.Explication des cérémonies de la grand'messe, III,

493.Traité des Saints Ordres, III, 493.

481

L’esprit d’un directeur des âmes, III, que lesfidèles ne s'occupent que de Dieu seul et point dutout de nous, 487. v. Icard, Labbe deChampgrand, Letourneau. Baudrand, Faipon,Munier, de Fruges, Giraud, Grimal, Flachaire, deSalinis ; de Bretonvilliers.

OLIPHANT (Mrs). – A heleaguered City (uneville assiégée), traduit par H. Bremond sous letitre La Ville enchantée, VI, 425.

OLIVAINT (P.), s. j. – V, 11. – VI, 408. –VIII, 189.

OLIVIER (P.), carme. – II. 371.OLIVIER (Élisabeth), mère de Mme Hélyot. –

V, 313.OLIVIER (Mlle), première femme de M.

Hélyot. – V, 315. v. Hélyot.OLIVIER, prêtre, directeur de Louise du

Néant. – V, 368.OLIVIER (Jeanne d’). – II, 27, 28, 30.OLIVIER (Paul). – Cent poètes lyriques, précieux

ou burlesques du XVIIe siècle, VI, 479.OLIVIER (Sibylle d’). – II, 27, 28, 30, 35.ONDEDI, évêque de Fréjus. – IX, 181.ONFROY (P. François), s. j. – VIII, 201,

204 ; subit l’influence de Texeda, 206 ; 208, 210,214, 219. v. s François Borgia, s. Ignace.

OPTIMISME CHRÉTIEN. – I, ch. VIII,358-377.

ORAISON. – VIII, critique de « l’oraisonpratique », 265-269. – X, difficultés de l’oraison

482

méthodique, 267 sq. ; regarder l’oraison commeun exercice d’ascèse, 269 sq. ; l’oraison écrite,270, 271 ; autre solution : les méditations toutesfaites, 271 sq. ; les méthodes faciles, 320, 321 ;facilité de l’oraison discursive, 321-325. – XI,oraison de quiétude (v. ce mot) ; synonymes [190]introversion, recoulement, de silence, d’abandon,de remise, de simple regard, de simple vue, 388sq. – S., un vieux Directoire (s. j.) veut que l'onparvienne dans l’oraison à une connaissanceexquise et à une pénétration totale du sujet, 71 ; lePère Massoulié et la critique de l’activitéintellectuelle dans l’oraison, 345-350. v.Bourgoing, Mère Agnès Arnauld, Bourdaloue.

ORAISON (Marthe d’), baronned’Allemagne, capucine. – La vie des premièrescapucines du monastère de Marseille (Anonyme),contient une notice sur... Marthe d’Oraison, VI,427.

ORATOIRE (l’). – III, fêtes de saint Gabriel,saint Lazare, saint Joseph d'Arimathie, 98 ;l'Oratoire, ch. III. 155-221 ; sa fondation, pointculminant de la Contre-Réforme française, 156,157 ; son esprit ; une congrégation qui, « par unétat perpétuel », honorera « le souverainsacerdoce de Jésus-Christ », 159 sq. ; rend unhommage particulier au Verbe incarné, 168 sq. ;sa mission : vivre et répandre la doctrinespirituelle de Bérulle, 170 ; sa fin principale n’estpas « l’éducation » du clergé, 170 sq. ; voué à la

483

« vertu de religion » et à la louange divine, 171 ;doit exercer, sans exception, toutes les fonctionsdu sacerdoce. Aucun ministère ne lui estspécialement propre ; aucun ne lui est contraire,173 sq. ; ses dévotions principales : après Dieu, laMère de Jésus- Christ, 175-177 ; son Église, 178 ;et l’Écriture sainte, 180 ; l’Oratoire et les collèges,174 ; l’Oratoire et les séminaires, 174-177 ; ferveurliturgique du jeune Oratoire, 179 ; dévotion ausacrement de Baptême, 180 ; 181 ; constitutionssommaires de l’Oratoire, 182-184 ; netteté du typeoratorien, 185 ; la distinction oratorienne, 185 ;simplicité et sérieux, 186, 187 ; indépendance,187-189 ; le Père François de Saint-Pé et laduchesse d’Orléans, 187, 188 ; les trois facteursqui ont contribué à fixer le type oratorien : 1° leshautes éludes, 191-196 ; 2° l'antijésuitisme, 197-215 ;3° la tradition bérullienne, 216-221 ; goût pour lessciences et les belles-lettres, 191, 192 ; étudepassionnée des Conciles, 192 ; Bérulle n’avait pasprévu le développement, dans l’Oratoire, de cegoût pour les hautes études, 192 ; Thomassin etBouhours, 195 ; c’est l’antijésuitisme qui acommencé, 197 sq. ; ce n'est pas la spiritualitébérullienne qui explique les premières antipathiesdes jésuites à l'endroit de l’Oratoire, 198 sq. ;l'offensive contre les jésuites, 209 sq. ; la querelleéternisée dans un livre de dévotion, 210 ;l'Oratoire et le jansénisme, 211 ; calomnie deséditeurs des Mémoires de Rapin, 211 ; son véritable

484

esprit résiste invinciblement au jansénisme, 212sq. ; note sur la jansénisation de l'Oratoire, 214,215 ; dévotion particulière au Verbe incarné, 216 ;Condren, prévoyant la jansénisation de sesconfrères, n’aurait laissé à l’Oratoire que soncorps, 421 sq. ; ce que Condren a pu luireprocher, 422, 423 ; l’Oratoire propage ladévotion de Beaune, 569 ; spiritualité ignatiennecomparée à celle de l’Oratoire, 679-683. – VI,notices oratoriennes compilées par le PèreCloyseault, 442. – VII, le thomisme foncier del'Oratoire ; attaches franciscaines, 218. – IX, sadévotion à la Vierge, 248-250. – X, ferveurliturgique, 58. v. Bérulle, Bourgoing, Amelote,Condren, Eudes, Lamy.

ORATOIRE FRANÇAIS. – II, ses premiersfondements posés par César de Bus et Romillon,15-23 ; sa mystique a subi l’action du Carmel,317 ; 355, 594. v. Bérulle.

ORATOIRE PROVENÇAL. – II, se réunit àl’Oratoire de France, 23.

ORATOIRE DE ROME. – II, 23. [191]ORDRES RELIGIEUX. – III, l'esprit et les

constitutions dans les Ordres religieux, 183, 184.ORIGÈNE. – I, 307. – II, 116, 490. – III,

521. – VII, 52, 169, 281 ; de la force desenchantements dont on n’entendait pas lestermes, 399. – S., 329.

Hexaples, VI, 209.ORIGNY (abbaye d’). – II, 414.

485

ORLÉANS-LONGUEVILLE (Antoinetted'), fondatrice du Calvaire, – II, 8, 170, 176, 187,189. v. Petit, Père Joseph.

ORLÉANS (P. d’), s. j. – II, du Père Coton etde sa carrière d’exorciste, 127-131.

ORLÉANS (Charles-Paris), duc deLongueville. – II, 189.

ORLÉANS (Gaston d’). – III, 157, 324 ; lapauvre Louison, 325 ; 327, 328, 329 ; mariageavec Marguerite de Lorraine, 330 ; 336. – V, 166,200, 242. – VI, 102.

ORLÉANS (Jean d’), bâtard de Dunois,comte de Longueville, – II, 188.

ORLÉANS-LONGUEVILLE (Jean-Louisde), prêtre. – II, 189.

ORLÉANS (Henri d'). duc de Longueville. –II, 188.

ORLÉANS (Henri II d’), duc de Longueville.– II, 188.

ORLÉANS (Léonor d’), duc de Longueville.– II, 188.

ORLÉANS (Philippe d’), duc de Chartres. –IV, 303.

ORLEANS (duc d’), fils du régent. – XI, 315.ORVAL (comte d’). – II, 533.ORY (P.), s. j. – V, 158.OSÉE. – X, 203.OSSUNA. – I, un des auteurs préférés de

sainte Thérèse, 12. – VIII, 199- – XI, 427.

486

Abécédaire, VIII, 221, 242. v. Père Michel-Ange.

OTTO. – X, 208, 343.Das Heilige, XI, 324.OUDIN (P.), s. j. – X, 52 ; a composé un

bréviaire de Verdun, un office de saint FrançoisXavier et des hymnes pour l’église d'Autun, 88,89. v. Michault.

OVIDE. – IV, 584.OVIEDO (André de), s. j. – VIII, 201 ; son

zèle apostolique ; ami de François Borgia, 204 ;assiste la duchesse de Gandie à son lit de mort,205 ; annonce à saint Ignace la vocation de Fr.Borgia, 205 ; la vigne et les oliviers de Fr. Borgia,205, 206 ; sa propension à l’illuminisme, 206 ;208, 209 ; sa vie spirituelle, 209 sq. ; 213, 214 :nommé par le Pape patriarche d’Éthiopie, 218 ;219, 220, 222, 235, 238, 256. v. Suau, Fr. Borgia,saint Ignace.

OXFORD (Mouvement d'). – I, mouvementanalogue chez les anglicans du XVIIe siècle, XIII.

OZANAM (Frédéric). – I, 240. – X, 66, 145.Les Poètes franciscains X, sur le Stabat, 60.

P

PACHEU (P.). – Les mystiques interprétés par lesmystiques, II, discussion des vues du Père Maréchalsurles mystiques, 585 ; définition de l’expériencemystique, 589. – VI, étudie la doctrine mystiquede Marie de l’Incarnation, 9 ; 138.

487

PACORI. – La Journée chrétienne, IX, 365.PAIX-NOTRE-DAME (abbaye de la). – II,

403.PALATINE (princesse). v. Gonzague. [192]PALERNE (Gabriel). – La vie de messire

Antoine Roussier, prêtre, catéchiste, missionnaire desprovinces du Lyonnais, Forets, Auvergne, III, s’oublierpour ne regarder que Jésus-Christ, 146.

PALLADIUS. – Histoire lausiaque, VI, 92.PALMA-CAYET. – II, sur le Père Coton,

78 : Henri IV et l’Eucharistie, 99.PALMER (M.). – III, 333.PANHÉDONISME RELIGIEUX. – VII,

17 sq. ; sa formule extrême : pas de plaisir, pas deprière, 17 ; le culte ascétique du moi, sorte depanhédonisme héroïque, 25. – S., 122.

PAPILLON (abbé). – VII, 320.PAQUIER (M.). – Le Jansénisme, IV, à propos

de la thèse de M. Claude Cochin sur HenryArnauld, 242.

Paradis terrestre (le), ou emblèmes sacrés de lasolitude dédiés au saint Ordre des Chartreux(Anthologie), I, 334 ; la Retraite d'Alcippe, 334-336.

PARAYRE (P.). – La Chronique des religieusesaugustines ursulines de la Congrégation de Toulouse, VI,443.

PARENTY (abbé). – Histoire de sainte Angèle...suivie de notions historiques et biographiques sur lescommunautés d‘Ursulines du nord de la France et de laBelgique, VI, 443.

488

PARET (Marie), du tiers-ordre de saint-Dominique. – Quelques excentricités ; peu deprières vocales ; attrait pour l’oraison de simpleregard, VI, 416. v. Guillouzou.

PARAY-LE-MONIAL. – V, 179.PARICOT (Marguerite). v. Marguerite de

Beaune.PARIS (diacre). – IX, 228.PARIS (Gaston). – I, sur Mistral préparant

son Trésor du Félibrige, 264.PARIS (P.), minime. – VI, 368.PARISIS (Mgr), évêque de Langres, prohibe la

traduction littérale de l’Ordinaire de la Messe. –IX, 205.

PARISOT (P.), de l’Oratoire. – III, portraitde Marguerite de Beaune. 537 ; établitl’association pieuse, dite la Famille du saint Enfant-Jésus, 569 ; crée pour les jeunes garçons pauvres etabandonnés le « Petit Bethléem du saint Enfant-Jésus », 570.

Explication de la dévotion à la Sainte Enfance deJésus-Christ Notre-Seigneur, III. 570.

PARKER SOCIETY. – X, 227.PASCAL (Blaise). – I, sur l’Imago primi sæculi

(Ve Prov.), 21 : du désir de la gloire humaine (IXe

Prov.), 56 : a fait avec Nicole des gorges chaudesen lisant Etienne Binet, 142, 143 : 206, 221, 226 ;sa critique injuste du Père Binet (IXe Prov.), 328,329 ; le portrait du Sauvage par le Père Le Moynel’a scandalisé, 363 ; il confond plus ou moins,

489

comme Bossuet, péché originel et concupiscence,364 ; 377, 390 ; Pascal et les casuistes, 410, 411 ;le « cœur » des Pensées de Pascal, 521. – III, 328,502, 507 ; ce que Pascal entend par le « cœur »,650. – IV, 1, 29, 58, 160, 286, 291 ; la prière dePascal, 318-417 ; la doctrine janséniste a-t-ellepénétré la vie intérieure de Pascal ? 319-322 ;complexité particulière du problème, 321, 322 ;sur le pouvoir de prier et d’accomplir lescommandements, 321 ; la joie de Pascal, 322-336 ; sa vie intérieure n’a pas été assombrie par lejansénisme, 322, 323 ; Écrits sur la grâce, 324 ; lesens catholique et le sens janséniste du « Je teveux guérir » 329 sq. ; Le Mystère de Jésus, 329 ; leChrist n’est pas mort pour tous (discussion), 330,331 ; espérer extraordinairement, 333 ; sa crainteest joie, 335 ; le « signe » donné à Pascal et la« consolation sensible », [193] 336-354 : la clef dePascal : « Comment sait-il qu'il est aimé ? » unsigne qui lui est propre, 336 ; le « signe » qui luifut donné n’est pas une révélation mais une grâcede dévotion sensible, 337 : le « signe » de Pascal etle « témoignage du Saint-Esprit » chez lesméthodistes et chez Calvin, 338 : « consolation »et « désolation » d'après les spirituels catholiques,339-343 ; la « consolation » a été la faim et la soifde sa vie, 343 ; développement tardif de lasensibilité religieuse chez Pascal, 344 ; laconversion de 1646 ; 344 ; il a connu avantd'aimer, 345 ; la rechute, 345 : sur les premières

490

lectures de Pascal, 347 ; l’automne de 1654 et lacrise de désolation, 349 sq. : console, dans l'écrit« sur la conversion du pécheur » ceux qui nepeuvent pas sentir, 353 ; le « signe » de feu, 354-383 ; caractère unique de son « ravissement », 354sq. ; le Mémorial, 354-383, passim. ; vision dePascal : hallucination ? expérience mystique ?simple ferveur ? 355 sq. : sur le « Feu » duMémorial, 367-369 ; les deux moments del’expérience, 367, 368 ; au ravissement succèdeune méditation ordinaire, 368, 369 ; certitude dusalut, 370 sq. ; l’angoisse après les pleurs de joie.375 sq. ; sens catholique et sens janséniste du« Tu ne me chercherais pas... », 377 sq. : lesmystiques, les humanistes dévots et l’Écolefrançaise contre Pascal, 382, 383 ; la religion dePascal, 383-417 ; le Dieu de Pascal, 383-392 ; sajoie est tragique. 383 ; ne rencontre que desmaudits, 383 ; opposition invincible entre Dieu etnous, 384 ; doctrine contraire de saint François deSales, 384 ; la peur de Dieu, 384, 385 ; Pascal etl’idée de Dieu, 385 ; Pascal dit qu'il estimpossible, inutile, dangereux, de connaître Dieu.385 sq. ; veut qu’on ne se représente Dieu qu'enfonction de la faute originelle, 386 ; pas d’autreDieu que le réparateur de notre misère, 388 ; lafaute de Pascal n est pas de suivre une fausseté,mais de ne pas suivre une autre vérité, 389 sq. ; leDieu des Pensées et le Dieu de la liturgiecatholique, 390-392 ; incline à croire que le

491

surnaturel est objet d’expérience, 391 ; sur lepéché originel et la misère qui s’en est suivie,391 ; le devoir religieux, 392-398 ; allerdirectement à Dieu, devoir religieux parexcellence, 393 sq. : sur le désintéressement dePascal, 394 ; fausse interprétation d’un passage deCondren, 396 ; son Christ n'a pas su racheter lemonde, 399, 400 ; le Christ vaincu de Pascal etnotre Christ-Roi, 400-402 ; le Christ de Pascald’abord pour l'homme, celui de l'Église d’abordpour Dieu, 402, 403 ; sa christologie, comme toutle jansénisme, dépend de la théologie luthérienneou calviniste, 403 ; le meilleur Pascal, 404-417 : lefond véritable de Pascal n’est pas janséniste, 404sq. ; sur sa dernière confession, 406-408 ; eût, tôtou tard, aperçu les contradictions inconscientesdu jansénisme, 409 sq. ; le « cœur » de Pascal et la« cime de l’âme », 412 ; mysticisme des Pensées,412 sq. ; Pascal et la dévotion à la personne duChrist, 416 sq. ; 419, 420, 427, 429, 465, 470, 484,519, 521, 583, 585. – V, 15, 280. – VI, 416, 457,503. – VII, 17, 22, 25 ; appelle « cœur » la cime del’âme, 51 ; Noulleau et le Mémorial, 219, 220 ; 331,392, 393. – VIII, 26, 33, 38, 331, 337, 339. – IX,178, 285, 380. – X, 288. – XI, 184, 186, 187, 208,227, 230, 234, 236, 237, 240, 242, 246, 412. – S.,119.

Mystère de Jésus, II, 277. – IV, 329. 332, 334,336, 355, 369, 373, 378, 379, 381, 399, 410, 414,470. – V, 76.

492

Provinciales, III, 34. – IV, 5, 132, 212, 217,234, 235, 301, 345, 404, 408, 409, 419, 424, 455,456, 458, 484, 526. – V, de la méthode de dirigerl’intention. 21 ; 51, 370. – VI, 124, 200. VII. 22, 23,186. – VIII, 121. – [194] IX, 53 ; 249 ; attaque lafausse dévotion à la Vierge, 252 ; 253, 266, 267,269. – -XI, 147, 178 ; sur le livre du Père AntoineSirmond « Défense de la vertu », 185 ; 188, 198,207 ; le Père Sirmond et l’amour de Dieu, 231sq. ; 245, 255-258 : 273, 274, 277, 279, 280, 281. –S., 148.

Pensées et Opuscules, III, 262. – IV, 320, 325,329, 330, 332, 333, 334, 337, 344, 350, 351, 353,377, 382, 383, 384, 385, 386, 387, 388, 389, 390,393, 404, 405. 412, 437, 568.

Mémorial, III, 348. – IV, 354-383 : 384, 385,387, 410, 414, 510. – VIII, 337, 349.

Pensées, IV, 295, 391, 399, 410, 414, 420. – V,23, 31. – VI, 457. – VII, 414. – VIII, 45.

Écrits sur la grâce, IV, 324 ; croire d’unecréance mêlée de crainte, 325 ; 381, 416. – IV,381.

Édition des « Grands Écrivains », IV, 350, 353,354, 378, 380, 381, 394, 397.

Écrit sur la conversion du pécheur, IV, 353.Discours sur les passions de l'amour, VII, 19.Apologie, VII, tous les hommes recherchent

d’être heureux..., 19, 20.Almanach spirituel de M. Pascal, IX, 288. v.

Jovy.

493

v. Nicole, Degert, Giraud, Strowski, Calvin,dom Pastourel, Brunschwicg, Saint-Jure, sainteMonique, saint Ignace, Saudreau, Yves de Paris,Libermann, Guillebert, dom. Fr. l.amy, Barrés,Barbey d'Aurevilly, Secrétan, William James,Petitot, Pierre de Poitiers, Grou, Joubert,Maynard, « Tu ne me chercherais pas »..., v. saintBernard, saint Augustin, dom Hébrard.

PASCAL (Gilberte). v. Périer.PASCAL (Jacqueline), (Sœur de Sainte-

Euphémie). – IV, la Mère Agnès et JacquelinePascal. 178 ; 241, 347, 348 ; Jacqueline Pascal etson frère, 349, 350 ; lettre à Gilberte Pascal sur laseconde conversion de son frère, 352, 353 ; 359,372, v. Cousin.

PAULOT (Mgr). – L'Esprit de Sagesse, VII, surla prière, 5 ; 8, 97 ; la contemplation mystique...ne sort pas du domaine des vertus théologales,162. – VIII, la méditation formelle n’est pas uneprière formelle, 363 ; 364, 366, 370, 374, 376. –S., la prière, grande, fonction animatrice de la vieintérieure, 11 ; le mot prière abstrait de tout lereste, exprime proprement l’élévation de l’âme àDieu, 14 ; quand on médite ou ne prie pas ;quand on prie on ne médite pas, 153 ; 155.

La Discipline de la prière (Vie spirituelle), S.,113.

PASQUIER (Etienne). – I, 23, 24, 163, 191.Recherches des recherches, I, 191, 192.

494

PASSAVANT (Jean), de l’Oratoire. – Vie dela Révérende Mère Madeleine Gautron, V, 400.

PASSELÈGE (dom Jean), bénédictin. – II,523.

PASSERAT. – I, a recueilli une bonne partdes livres pris aux bibliothèques de la Compagniede Jésus, 25.

PASSIVETÉ. v. Quiétude.PASTEUR. – IV, 469. – VIII, 125, 253.PASTOUREL (dom). – Le ravissement de

Pascal (Annales de philosophie chrétienne), IV,330, 331 ; 356, 357, 358 ; le « Feu » du Mémorialde Pascal, 367 ; 370 ; la tristesse de Pascal, 375 ;dit que, pour Pascal, c'était une marque d’orgueilque de vouloir aller à Dieu directement, 392.

PATER (Walter). – Marius the Epicurean, III,37.

PATIN (Guy). – II, 5.PATIN (M.). – Discours pour l’inauguration du

monument de Mézeray, III, 602.PATIN (Mère), visitandine. – III, 591. [195]PATMORE (Coventry) – Religio poetae, VII,

134.PATOUILLET. v. Colonia.PATRICE (saint). – Sa lorica : le Christ avec

moi... III, 154. v. Chevalier.PATRON (dom Claude), bénédictin, lecteur

de philosophie au monastère du Mont-Saint-Michel. – VI, 181.

495

PATRU (Olivier). – I, a donné la clef del’Astrée, 293. – IV, 17. – VI, 403, 404, 405, 407.– VIII, 31. – IX, 201. – X. 251.

PAUL (saint). – VII, 52, 295. – VIII, 22, 24,31, 32. – IX, 140, 141. – X, 78, 288. – XI, 253.

Épîtres, V, 298.PAUL V. – II, érige en congrégation la

maison d’Aix de l’Oratoire, 24 ; on propose àRome le règlement par une commission, desproblèmes que soulève la réforme des anciensOrdres, 106 ; Jean de Quintanadoine et l’apostolatchez les noirs, 321. – III, Bulle Sacro sanctae et lescollèges de l’Oratoire, 174, 176, 177.

PAUL (P.), du petit Oratoire de Notre-Damede Grâces. – II, 25.

PAUL DE LAGNY (P.), capucin. – VII, 141,266-218 ; distinction entre la « théorie mystique »et la « vie mystique », 275. – VIII, 178, 272.

Le Chemin abrégé de la perfection chrétienne dansl'exercice de la volonté de Dieu, VII, 267 ; la volontéde Dieu, méthode unique et utile à tous pouratteindre la perfection, 268, 269 ; l’exercice de lavolonté de Dieu : ses débuts difficiles, 271 ; troisétapes, régime d’ascèse pure ; estimer moins nosactes que le plaisir que Dieu peut y prendre ; puisse réjouir en Dieu seul, 271, 272 ; pur amourdevenu comme habituel, 273-275 ; la théologiemystique (contemplation) appartient àl’entendement ; la vie mystique regarde la volonté,276 ; la théologie mystique peut être contrefaite et

496

déguisée par la nature, 278 ; la vié mystique nesubsiste que par la mort de la propre volonté,278 ; la première (haute contemplation) privilègede quelques-uns, la seconde proposée et facile àtous, 278. – XI, de l’oraison appelée introversion(quiétude), 388. v. P. Ubald d’Alençon.

PAUL DU SAINT-SACREMENT (P.),carme. – VI, de la vraie dévotion ; l’essence duChristianisme est de faire un homme intérieur,317 ; 333.

Idée de la véritable piété en la vie, vertus et écrits dedemoiselle Marguerite Pignier, femme de feu noble Claude-Aynart Romanet, VI, 315-333.

PAULE (sainte). – III, 516, 517.PAULIN (saint). – VI, 188, 262.PAULINIER (P.), de l’Oratoire. – VII, 282.PAVILLON (Nicolas), évêque d’Aleth. – V,

267. – IX, supprima, dans le Rituel d'Aleth, lesexorcismes du Baptême, 25. v. Et. Dejean.

PAVIN (Marie), bénédictine. – II, 478.PAZ (P. Alvarez de), s. j. – I, 361. – III, 682.

– VIII, de la contemplation ; son excellencecomme acte religieux si elle est ordonnée à uneautre excellence (d’ordre moral), 271, 272 ; 273.

PEETERS (P. L ), s. j. – Le surnaturel dans lavie de saint Jean Berchmans (Revue d’asc, et myst.),VI, 409.

Vers l'union divine par les Exercices de saint Ignace,S., 110, 139.

497

PÉGUY (Charles). – III, 224. – VII, 279. –VIII, 101.

PEIRESC. – I, 190. – II, 169. – VI, 193.PÉLAGE. – IV, 26. – IX, 185.PÉLAGIE (sainte). – X, 190. v Rancé.PELLÉ (dom Christophle). – VI, 199, 200 ;

de la discrétion de dom Claude Martin dans lapratique des mortifications, 201, 202. [196]

PELLISSON (Paul). – IX, 187, 254, 264,302, 309. – X, 41, 49 ; aimait Santeul, 153 : sarévision de l’Exercice spirituel, 251 sq. ; 264.

Courtes prières durant la sainte Messe, IX, 196 ;prières pour le Kyrie, 197 ; pour le Credo, 199 ;pour le Suscipe, 200, 201 : paraphrase de l’Hæccommixtio de la Messe, 202.

Exercice spirituel, IX, prière que les femmesenceintes peuvent dire le matin, 307, 308.

Lettre (attribuée à Pellisson) sur les Avis deWidenfelt, IX, 265.

Traité de l'Eucharistie, X, 252.Histoire de l'Académie, X, conversion de

l'académicien Boissat, 348.Prières au Saint Sacrement de l'Autel, X, avant la

Communion, 253-257.Réflexions sur les différends de la religion, X, prière

pour le retour des protestants, 298, 299.PEMBROKE (P. Archange de), capucin. –

II, 152, 421.PENAUD (abbé P.-G.). – La Vénérable Mère

Jeanne de Matel, sa vie, son esprit, ses œuvres, VI, 269,

498

273, 276, 278, 279, 282, 283, 288-290, 292, 293,297, 301-304, 306, 309, 311, 312.

PENOT (P. François), s. j. – V, 171. v. MarieBaron.

PÉQUET (P. P.), s. j. – II, 12 ; directeur deJ.-B. Romillon, 18 ; 20, 21, 33, 35.

PÉRATÉ (André). – La mission de François deSales dans le Chablais, I. 92.

PERDRIZET. – Étude sur le Speculumsalvationis, IX, 277.

PÉRÉFIXE (Mgr de), archevêque de Paris. –IV, 231, 238, 285, 591. – VI, 483.

PEREIRA (Alves), – La doctrine du mariageselon saint Augustin, IX, 291.

PÉRICARD (François de), évêque d’Évreux.– V, 403, 404. – XI, 160. v. possessions deLouviers.

PÉRIER les). – VI, 416.PÉRIER (Mme) Gilberte Pascal. – IV, 344,

347, 408.PÊRINELLE (P.) o. p. – L'attrition d’après le

Concile de Trente et d'après saint Thomas d'Aquin, XI,de l’attrition, 295-297 ; 321.

PERLIN (P.), s. j. - IX, 78.PÉRONNE DE CHATEL (Marie),

visitandine. – IV, 271-274. v. Chatel, M. deChaugy.

PERRAUD (Mgr Adolphe), cardinal. – VI,400.

499

L'Oratoire de France au XVIIe et au XIXe siècle,III, 8 ; 156 ; du rapprochement établi parCondren entre l’Oratoire italien et l’Oratoirefrançais, 164 ; 193, 196, 214 ; Condren peint parM. Olier. 295 ; comment Condren parlait desmystères, 357.

PERRAUD (Jeanne). – III, 570 ; n’a pas puconnaître la dévotion de Beaune, 571 ; ses mériteset ses défauts, 572 sq. : ce qu’elle dit de sesmaladies et de son médecin, 572-574 ; la grandevision de 1658, 574-579 ; genèse naturelle de cettevision, critique de la vision de Beaune, 576 sq. ;Jeanne et les artistes provençaux, 577, 578 ;triomphe de la dévotion provençale. 579 ; progrèsspirituels et nouvelle orientation, 580 ; vers ladévotion au Sacré-Cœur, 580 sq. : la « grandeplaie » du côté, qui « pénètre tout l’intérieur »,580 ; la vision de Jeanne et les visionspostérieures de Marguerite-Marie. 581 ; ladévotion au Sacré-Cœur, réfutation la plusdécisive du jansénisme, 581 ; les premierstableaux du Sacré-Cœur, 582 ; déjà tout l’esprit dela dévotion, 582 ; 677. – VI, 392.

Les œuvres spirituelles de lu sœur Jeanne Perraud,III, 571 : 572-574 ; 578. v. Augustin déchaussé.

PERRAULT (Charles). – Les hommes illustres,I, sur les romans de J.-P. Camus, 273, 274.

Éloge de Santeul, X. 101.

500

PERRIN – La retraite d'Alcippe, I, Odes à lagloire de la [197] Chartreuse, 334. v. Le Paradisterrestre.

La Chartreuse ou la sainte solitude, I, 196.PERRIN (P.), de l'Oratoire. – VII, 376. – IX,

39.Exercices spirituels pour la Congrégation de

l'Oratoire, VII, 3.6. v. Cloyseault.PERSE. – I, 190.PERSYN (R.). – Un mystique flamand, Charles

Grimminck, VII, son expérience religieuse, 84. –IX, 59.

PETAU (P. Denis), s. j. – II, 3. – III, 683. –IV, 19, 440. – V, 20. – VI, 450, – IX, a réfuté laFréquente Communion d’Arnauld, 50, 51 ; 53, 54,77, 89. – X, auteur d’hymnes à sainte Geneviève,88.

De Incarnatione, IV, 331. v. Vital Chatellain.PETIT. – Vie de la Mère Antoinette d’Orléans,

II, les premières feuillantines, 8 ; méthoded'oraison du Père Joseph, 176.

PETIT (P. Joseph), s. j. – V, Lallemant etRodriguez, 395-397.

PETIT, imprimeur. – VI, 498.PETITIÈRE (M. de La). – IV, 248.PETITOT (P.), o p. – Pascal, sa vie religieuse,

IV, 322 ; son opinion sur le Mémorial de Pascal,369, 370 ; 381.

PETITPIED, docteur en Sorbonne. – IV,301. – VIII, 86.

501

La vie de la Mère Antoinette de Jésus, religieusechanoinesse de l'Ordre de Saint-Augustin... avec unabrégé de ses lettres recueillies par les religieusesdu même monastère, VI, 340 ; 339-373, passim.

PÉTRARQUE (frère de). - VII, 170.PÉTRONE. – I, 498. – IX, 362.PETRUS FIRMANIUS. v. Zacharie de

Lisieux.PEYRÈS (P. Lucrèce de), o. p. – II, 32.PEYROUX (C.). – Saint Vincent de Paul.

Élévations et Prières, III, 223.PHÉLIPEAUX. – Relation de l'origine dit

quiétisme, II. 41.PHILÉRÈME. – IV, le petit traité d'oraison

mentale écrit par la Mère Angélique de Saint-Jeanfut publié sous ce nom, 479.

PHILIPPE II, roi d’Espagne. – II, 270, 280.– IV, 59. – VIII, 235.

PHILIPPE III. – II, 292, 296.PHILIPPE D’ANGOUMOIS (P.), capucin.

– Occupation continuelle, IX, 130.Adresse de la grâce, IX, 130.PHILIPPE DE CHAMPAIGNE. v.

Champaigne.PHILIPPE NÉRI (saint). – III, 164, 165. –

V, 360. – VII, 300. – IX, 44. – X, 152.PHILIPPE D’ORLÉANS, duc de Chartres.

v. Orléans.PHOEBUS (Gaston. – Oraisons, X, 262-264.

v. Huysmans.

502

PIBRAC (Guy du Faur, sire de). – VII, 157. –XI, 268.

Quatrains, IX, 329. v. Florent Chrétien.PIC DE LA MIRANDOLE. – I, 4, 508 ;

lettre de Bembo à Pic de la Mirandole, 519.PICARD (P. G.), s. j. – La saisie immédiate de

Dieu, VII, 50.PICARD (Marie-Amice), collaboratrice des

Missions bretonnes. – V, 111, 138.PICARD (Mathurin), curé du Mesnil-

Jourdain. – V, 403 – XI, I57, 158, 159, 161 ;exhumé pour être brûlé avec Thomas Boullévivant, 164 ; 166 ; ses parents et ses amis ontprotesté contre la sentence, 166 ; 168.

L’innocence opprimée ou défense de Mathurin Picard(anonyme), XI, 166. v. possessions de Louviers.

PICHERY (dom). – VII. des états mystiqueset du développement normal de la vie chrétienne,162.

PICHON (P. Jean), s. j. – L'esprit de [198]Jésus-Christ et de l’Église sur la fréquente Communion,IX, des jansénistes et de la fréquente communion,60 ; 227-230, condamné par l'Église, 228 ; si l’onpeut donner pour pénitence de communiersouvent, 229.

PICOT. – II, 63.Essai historique sur l'influence de la religion en

France pendant le XVIIe siècle, I, XIV ; donnequelques indications sur les ermites et ermitagesau XVIIe siècle, 336.

503

Mémoires pour servir à l’Histoire ecclésiastique duXVIIIe siècle, X, 39.

PICOTÉ. – III, 498, 547.PICQUET (François). – La vie de Messire

François Picquet, consul de France et de Hollande..., VI,398.

PIE V. – X, 35, 93, 94, 100.PIE VI. – III, 656. – X, 39.PIE IX. – II, 580.PIE X. – III, 584 ; décret de béatification de

saint Jean Eudes, 586, 587. – VI, 233, – IX, sesdirections pour la communion fréquente, 127 ;165, 273. – X, 34, 144.

PIE XI. – S., 25 ; Constitution apostoliqueSummorum pontificum fan sujet des Exercices) ; BulleUmbratilem (louange des Chartreux et de la viecontemplative), 143. v. Mgr Ratti.

PIENNES (marquise de). – I, 368.PIERRE (P.), de l’Oratoire. – III, Condren et

Saint-Cyran, 329.PIERRE D’ALCANTARA (saint). – II, 288.Traité de l'Oraison et de la méditation, IX, la

défaillance de Marie au pied de la Croix, 277. – S.,dans la prière il nous faut plus écouter que parler,51, 52.

PIERRE DE BLOIS. – I, louange des belles-lettres, 5, 6. – S., de la fausse compassion, 203.

PIERRE-CHRYSOLOGUE (saint). – II,490.

PIERRE DE CLUNY. – VI, 205.

504

PIERRE DAMIEN (saint). – I, son remordsd’avoir trop de goût pour les lettres anciennes, 5.

PIERRE-FOURIER (saint). – I, a rédigé unmanuel de l’ambassadeur chrétien, 272 ; acomposé un vers anacyclique, 317. – II, 2, 372. –V, 82. v. Jean Bedel, dom Vuillemin.

PIERRE LE CHANTRE. – X, 115.PIERRE MARTYR. – Leçons, I, 260.PIERRE DE POITIERS (P.),capucin. – Le

Jour mystique, IV, s’il y a quelque temps ouquelques états où il faille laisser l’image de J.-C.,387, 388 ; 523 ; c’est une illusion de vivreconstamment dans la crainte de l’illusion, 524 ; del’oraison de quiétude, 538 ; on ne quitte lespensées que dans un état plus parfait, 576, 577 :angoisse des premières étapes vers lacontemplation, 579.

PIÉTÉ. – VII, janséniste, 17, 18 ; jésuitique,18 ; préjugés sur la piété janséniste, 18. v. Harent.

PIGHIUS – IV, 325. v. Calvin.PIGNIER, avocat au barreau de Chambéry,

père de Marguerite Romanet. – VI, 315.PIGNIER (Marguerite). – VI, 315. v. M.

Romanet.PIGNOT (H.). – Un jurisconsulte au XVIe siècle,

Barthélemy de Chasseneuz, I, 259.PILLE (abbé du). – Oraison funèbre de feue Mme

Henriette de Lorraine d'Elbeuf, II, 413, 414.PILMOT, nom donné par les jansénistes de

Louvain à leur entreprise. – IV, 106.

505

PIMONT (abbé). – Les Hymnes du Bréviaireromain, X, sur les corrections faites pour lebréviaire d’Urbain VIII, 70 sq. ; 72, 73 ; sur leshymnographes gallicans, 74 ; 76, 79.

PIN (abbé). – Œuvres du Père Charles deCondren, III. 156 ; l’esprit de l’Oratoire. 162-164.

Lettres de Condren, III, de l’oratorien uni à J.-C.comme à son chef et souverain prêtre, 171 ; lettre[199] à ses frères, 171, 172 ; 174 ; pleinesoumission à l’Église, 179 ; amour des Écrituressaintes, 180 : du silence dans la direction desâmes, 409. v. Condren.

PIN (P.), génovéfain. – Vie de la vénérable MèreFrançoise de la Croix, V, 402 ; 403, 404.

PIN (Ellies du). – Lettre sur l'ancienne disciplinede l’Église touchant la célébration de la Messe, IX, M. deBernières et les prêtres pauvres, 236.

PINAC (Jeanne de), mère de Marguerited’Arbouze. – II, 496.

PINAULT (P. Mathieu), carme. – II. 364 ; adonné Jean de Saint-Samson aux Carmes, 365sq. ; 367, 369, 388.

PINCZON DU HAZAY (Jeanne-Marie). v.Mme du Houx.

PINDARE. – I, 190. – VI, 296.PINET (M.-J.). – VII, éditeur de la Montaigne

de contemplation, de Gerson, 97.PINETTE (Nicolas), trésorier de Gaston

d’Orléans. – III, 157. – VII, 379, 380.PINOT (Sœur), de Port-Royal. – IV, 182.

506

PINTHEREAU (P.), s. j. – III, 329. – IV,18 ; procès de Saint-Cyran, 89 ; 122 ; a publié leslettres de Jansénius à Saint-Cyran, 85, 87 ; sessuppressions, 86, 87 ; 96. – XI, 232, 233, 260.

La naissance du jansénisme, IV, le PèreBourgoing voulait confier à Saint-Cyran le soind’écrire la vie de Bérulle, 40, 41 ; lettres deJansénius à Saint-Cyran, 107-109 ; 110, 111, 112 ;lettre du Père Bourgoing à Saint-Cyran, 114 ;lettre de Jansénius sur les réguliers, 115 ; contreles jésuites. 116, 117 ; 118 ; lettre de Jansénius àSaint-Cyran, 120 ; lettre de Jansénius sur saintAugustin, 122, 123 ; 126.

Reliques de l’abbé de Saint- Cyran, IV, 37.Progrès du jansénisme découvert, IV, lettre de

Saint-Cyran à R. d’Andilly, 51 ; à propos deslettres de St-C., 85 ; 86, 87 ; papiers deLaubardemont, 88 ; lettres et mémoires qui ontservi au procès de St-C., 93-95 ; 99, 101 ;déposition de l’abbé de Prières. 102, 103 : extraitdes Maximes de St-C., 117 ; la mère Agnèséloignée de la communion par les principes de St-C., 216.

Maximes de l'abbé de Saint-Cyran (Progrès dujansénisme), IV, 95.

Apologie pour M. de Laubardemont, IV, 96-98.PINY (P.), o. p. – VII, 50, 88, 96, 141, 268,

318, 405. – VIII, au point de vue de la spiritualitéchrétienne, s’arrêter de préférence à la fine pointede la volonté. 3, 4 ; 5, 6, 7, 8, 12, 13, 14 ; cherche

507

comme Chardon, à expliquer les épreuves de lavie intérieure. 14 sq. ; 17 ; psychologie de la grâce,18 ; 54, 67. 70 ; le maître du pur amour, 78-178 ;notes biographiques. 79-82 ; publia d'abordquelques ouvrages contre les molinistes, 82 ; lesapprobateurs de ses livres, 84 ; son approbationdu Parfait dénuement du Père Alexandrin de LaCiotat, 88-91 ; fuit les technicités de certainsauteurs mystiques, 89 ; La Doctrine, § 1. Idéegénérale du système, 91-96 ; § 2 Le premiercommandement et la voie du pur amour, 96-101 ;pur amour des parfaits ; pur amour descommençants, 99, 100 ; l'Église et le pur amour,100 ; § 3. « Faire » et « laisser faire », 101-110 ; « ilvaut mieux le laisser faire à Dieu que le faire parnous-même, 101 sq. ; l'objection, 102, 103 ; lechamp précis du « laisser faire », 102 sq. ; « laisserfaire » synonyme de « vouloir » ; critique du« faire », 104 sq. ; § 4. le combat spirituel et le« laisser faire », 110-114 ; § 5. le supplice destentations et le « laisser faire », 115 ; § 6. le« laisser faire » et « l’amour désespéré », 124-137 ;§ 7. activité intense, bien que passive du « laisserfaire », 138-150 ; fine pointe et [200] grâcesanctifiante ; métaphysique de la volonté pure,142 sq. ; le « faire » amorçant le « laisser faire »,146 sq. ; rien de plus actif que le passif, 147 ; § 8.pur amour et prière pure, 1 50 ; psychologie de laprière, 150 sq. ; § 9. le petit monde du Père Piny,168-178 ; l’Union chrétienne, confrérie de l’amour

508

crucifiant, 174-179 ; 301, 336, 361, 363, 364, 367,369, 372, 373, 376, 384. 390, 424. – X, 325 ;approuvait sans réserves la doctrine du PèreAlexandrin de La Ciotat, 326. – XI, 4, 43, 47. –S., 36, 117, 355.

Retraite sur le pur amour, VIII, 86 ; le fiat,moyen court de toute perfection, 96 ; le chapeletdu « Fiat », 146 ; fondation pieuse d’une fille,vouée au pur amour, 177, 178.

Vie cachée., VIII, 87 ; les adeptes du puramour se contentent d'une « vie commune »,109 ; 149 ; des âmes jalouses de la vie cachée, 175,176.

Les trois différentes manières pour se rendreintérieurement Dieu présent, VIII, 87 ; ce qui se passedans la volonté ne demande point à se faire sentir,142.

Le plus parfait, VIII, des deux voies del’abandon, 98 ; la voie de l’abandon doit setrouver dans toutes les autres, 100 ; le « laisserfaire », 101 ; de l’entretien secret de la proprevolonté, 107, 108 ; pas de pénitence plus rude qued’accepter à l’aveugle tout ce que Dieu fait, 109,110 ; des tentations contre la pureté, 121, 122 ; lepur amour nous établit dès ici-bas dans l’étatbienheureux, 133 ; des rigueurs exigées par le puramour, 149 ; 163 ; consentir aux destructions qu’ilplaît à Dieu de faire en nous et de nous, 170,171 ; l’abandon, exercice continuel de pénitence,173 sq.

509

État du pur amour, VIII. 80, 84 ; facilité desactes du pur amour, 97 ; 100 ; « faire » et « laisserfaire », 101 ; du « vouloir » et du « faire », 105 sq. ;de la pleine charité, 130 ; on ne saurait craindrecelui à qui on s’est livré tout entier. 134 : c’estnotre volonté propre qui sert de bois au feud’enfer, 134, 135 ; le chapelet à la louange deDieu, 146 ; de la fidélité héroïque au « Fiat », 149 ;des manières d’occuper l’esprit pendant l’oraison,161, 162 ; deux actes préparatoires à l’oraison,162.

Oraison du cœur, VIII. 79, 85 ; dédicace à la dsse

de Brunswick et Lunebourg. 87 ; le « laisserfaire », 101 ; les actes du pur amour « sont par cemême acte de volonté par lequel nous voulonsqu’ils soient », 107 ; activité du pur amour, et du« laisser faire », 110 ; Dieu n’attend point de nousune nature parfaite, mais une volonté dégagée desimperfections de la nature, 114 ; sur la « croix dumépris », 118 ; des tentations contre la pureté,119 ; des tentations contre la foi, 123, 124 ;vouloir être la joie de Dieu, sans oser penser qu’ildoive être la nôtre, 128 ; l’âme est dans l’amourde son Dieu, pendant qu’elle est dans la volontéde vouloir l’aimer, 129 sq. ; entendre par « cœur »la volonté, 150, 151 ; l’oraison du cœur est uneunion amoureuse de notre volonté à Dieu, 151 ; ily a une oraison que l’on peut distinguer de cellede l’esprit, 152 ; il faut qu’il y ait une oraison ducœur et de la volonté qu’on doit distinguer de

510

l’esprit, 154, 155 ; l’union d’attention et l’union dela volonté profonde, 155 ; l’union parfaite avecDieu ne peut être parfaite que si elle est union devolonté, 156 ; les distractions n’empêchentaucunement l’union du cœur et de la volonté,157 ; de l’occupation de l’esprit pendant l’oraison,160 ; 163 ; l’oraison du pur vouloir, 168 sq. ; del’acte de volonté, âme de l’oraison du cœur, 172,173 ; tout espérer de Dieu sous sa main rude etpaternelle, 174 ; la croix des répugnances,l’esclavage d’amour, 176.

Le Ciel sur la terre ou la plus parfaite de toutes lesvoies intérieures, VIII, 82.

Vie de la [201] V. M. Marie-Madeleine de la T.-Sainte-Trinité, VIII, 79, 84 ; dédiée à la Palatine,88 ; d’une âme qui souffrit les peines de l’enfer etsurtout celles du dam, 127 ; de l’amour désespéré,129 ; 132 ; de l'union à Dieu dans les distractions,155 : souffrir en silence et en patience ledélaissement intérieur, 159, 160 ; sur l’oraison dupur amour, 163-165 ; de l’oraison où l’on s’établitpar l'acte de foi on la présence de Dieu et parl'acte d'abandon à sa volonté, 163.

Clef du pur amour, VIII, 79, 85 ; explicationsplus amples des exhortations données par le PèrePiny à l’abbaye de Maubuisson 85 : Clef du puramour, dédiée à l'abbesse de Maubuisson, 88 ; destrois degrés dans l'adhésion à la volonté de Dieu,91, 92 ; explication du pur amour par la suprêmeindifférence, 92, 93 ; par l’oubli de nous-mêmes,

511

93, 94 : ou par l'amour de la croix, 94 ; quel'abandon n’est pas difficile dans la consolation,95 ; la lutte contre les imperfections, 111, 112 ;c'est un amour-propre... de ne pouvoir se voir nise supporter imparfait, 113 ; tout imparfait qu’onse voit, être toujours content dans cette vue queDieu... est toujours parfait, 113 : les âmes tentéesdoivent continuer « de combattre, de résister,d'abhorrer... » non la tentation elle-même..., mais« ce à quoi elles sont pressées par la tentation »,114 sq. ; des diverses tentations : vanité, ambition,envie, 117 ; contre la pureté, 118-121 ; contre lafoi, 121-124 ; de l’agonie des âmes doutant deDieu et de leur salut, 126 sq. ; Dieu sait que lestentations de désespoir affermissent et épurentl’amour, 127, 128 ; s'occuper volontairement despeines de son état, c'est se reprendre, 131 ; dansles épreuves du pur amour, perdre le souvenir desoi-même, 132 ; de l’abandon total et de la vertud’espérance, 133 ; la tentation de désespoir guériepar le désintéressement absolu, 136 ; c'est un abusde prétendre au pur amour et vouloir vivre sanscombat, 148 ; de l’oraison de l'esprit et de celle ducœur, 153 ; de l’impossibilité de prier, 153, 154 ;l’union crucifiée, 157 ; l’âme doit et peut souhaiterd’être attentive à Dieu dans les exercicesspirituels, 158, 159 ; 163 ; de la prière continuelle,165-167 ; ce que c’est que d’être la joie de Dieu,169 sq. ; être sans joie ; vivre sans joie ; mourirsans joie, 169, 170.

512

PIROT (M.), docteur de Sorbonne. – IV.463, – V, 167.

PITRA cardinal). – III, 639.PLANCHE (Gustave). – VI, 495.PLAS (Anne de, abbesse de Faremoutier. –

II, 395, 406, 407.PLASENCIA (collège de). – VIII, 249.PLATON. – I, des renaissants l’ont obligé à

parler chrétien, 28 ; les élévations du Père Yvesde Paris, paraphrase du Banquet, 497 ; 520. – V,297. – VI, 452, 453. – VII, 218, 383, 384, 412. –VIII, 21, 77, 144, 286. – XI, 392, 426. – S., 119.

Le Phédon, VI, 221.Gorgias, XI, 393.PLAZA (P.), s. j. – VIII, 249.PLESSIS (Frédéric). – III, 491.PLESSIS (du). – Mystère d’iniquité, IV, 471.PLESSIS (P. du), s. j. – Avis et pratiques... à

l'usage des Missions du Père du Plessy, de la Compagniede Jésus, contient : Pratiques de piété pour lerenouvellement des engagements du baptême, IX, 38.

PLESSIS (Jacqueline-Marie du). – Vie de laV. M. Louise Eugénie de Fontaine, III, 174.

PLINE. – I, sur les fleurs des champs, 130. –IV, 399.

PLOTIN. – I, 520. – VII. 49. – VIII, sonrationalisme, 436. – XI, 352.

PLUQUET. – Dictionnaire des hérésies, XI, desAdamites, 78, 79. [202]

513

PLUS (P. Raoul), s. j. – Angélique Arnauld, sesrelations arec saint François de Sales (Études), IV, 188.

Marie-Antoinette, de Geuser, Vie de Consummata,S., de la connaissance de soi et de la connaissancedu Christ, 339.

Un aspect de la spiritualité contemporaine (Études),S., du dogme de la grâce sanctifiante, 341, 342.

Notre temps et l'intelligence de l'état de grâce (Revued’apologétique », S., 342.

PLUTARQUE. – X, 229.POÉSIE. – VII, Incantation poétique

figurant, à sa place, parmi les « charmes » de laliturgie, 400. – X, l’hymnaire gallican, refuge de lapoésie religieuse pendant plus d’un siècle, 59 sq. ;la consécration liturgique ne transforme pas enpoésie ce qui est né prose. 102 ; la poésie,servante de la prière, 102 ; les pièces liturgiquestraduites en vers français, 168-179 ; Oraison pourdire avant le repas (en vers français), 170.

POGGE, découvre l’Institution de Quintilien.– I, 425.

POINCARÉ (Henri). – XI, 396.POIRÉ (P.), s. j. – IX, 250.Triple couronne, IX, 285.POIRET. – I, XIII.POIROT, magicien. – VI, 384.POISSON (Jacques), portier de l’abbaye de

Gif. – IV, 592.POISSON (dom). – X, a publié l'Office pour la

conversion des Juifs de dom Foulon, 216.

514

POISSY (monastère de). – II, 410.POLANQUE (P.), s. j. – VIII, 192. – S.,

tension ascétique des Exercices (MonumentaIgnatiana), 55, 56.

POLASTRON (Marguerite de), une despremières feuillantines. – II, 8.

POLE (Reginald), cardinal. – I, 71.POLIZZI (Jérôme de), général des capucins.

– II, 143, 144.POLLA (P.). – Oraison funèbre de Mme

Marguerite de Quibly, II, décadence de l’abbaye dela Déserte de Lyon, 399, 400 ; 427, 428.

POLLEN (P.), s. j. – Supposed cases of diabolicalpossession, in 1585-1586, V, aveu d’un desexorcistes, 188.

POMEREUX (Mère de), ursuline. – Leschroniques de l’Ordre des Ursulines, VI, 443.

POMEY (P. François), s. j. – S., 34, 75.Indiculus universalis, X. 321.Novus Rhetoricae candidatus (remanié par le Père

Jouvency), X, 321.Dosithée au la manière de bien méditer ou de faire

l’oraison mentale, X, 321 ; Préface, 322 ; il ramènesa méthode aux procédés ordinaires de sarhétorique, 322, 323 ; propose seize manières deméditer, 323 ; 325, 326, 328 ; de l’oraisonjaculatoire, 340. – S., méditation par l’applicationdes trois puissances, 38 ; il n’est personne aumonde qui ne sache méditer, 39 ; ne paspermettre les méditations tendues aux faibles

515

d’imagination, 56 ; les méchants eux-mêmessavent méditer, 155.

POMPONNE (M. de). – IV. 246, 479.PONCET (Matthée), mère de Marguerite

Romanet. – VI, 315.PONCET (P.), s. j. – VI, 128.PONÇONAS (Mère de). – Vie de la Mère de

Ponçonas, institutrice de la congrégation des Bernardinesréformées en Dauphiné, I, XXIII. – II, la paysannemystique, 66 ; 400.

PONCHAT (de). v. Ségur.PONCHER (Etienne), évêque de Paris (XVIe

siècle). – IX, ordonna de prononcer à voix hauteles paroles de la Consécration, 170.

PONLEVOY (P. de), s. j. - VIII. 189. [203]PONTAC (Mme de), correspondante du Père

Surin. – V, 268. – VI, 387.PONTAS (Jean). – Exhortations aux malades en

leur administrant le saint Viatique, IX, 356.PONTCARRÉ (Mme de). – IV, 213, 214.PONTCHATEAU (M. de). – IV, 247, 248,

257, 265, 446, 450, 462, 464. – IX. 335. v. abbéLe Camus.

PONT-À-MOUSSON (Université de). – II,372.

PONTIS (M. de). – IV, 248, 250.PONTIS (P. de), capucin. – VI, sa vocation

de capucin, 442 ; fonde, à Grenade, un monastèred’Ursulines, 443.

PORTE (de La). – I, Recueil de mots, 264.

516

PORTE (Madeleine de La), abbesse deChelles. – II, 395.

PORTES (marquise de). – III, 455, 483.PORT-ROYAL. – I. sérieux, dignité de la

littérature dévote avant Port-Royal, 330 ; Port-Royal n’a pas inventé l’ermitage intérieur, 333 ;n’est pour rien dans l’apparent oubli, par certainshumanistes, de la contemplation des scènesévangéliques, 346 ; Port-Royal s'est reconnu dansla pointure du Sauvage par le Père Le Moyne,363 ; 377 ; il a eu ses Iphigénies, 412 ; Port-Royalet Bonal, 417 : n’a jamais pris en défaut Françoisde Sales, 510 ; son anti-mysticisme, 523, 524. – II,s’est dressé instinctivement contre la dévotion auSacré-Cœur, 189 ; eut recours indistinctement àdes jésuites, à des capucins et à des feuillants, 420.– III, 36, 115, 259, 484, 485. – IV, les stylistes dePort-Royal, 10 ; les Messieurs de Port-Royalécrivent comme les autres écrivains religieux del’époque, 17 ; la prose après Balzac ; 17 sq. ; sesécrivains moins originaux qu’on ne l’a cru, 19-21 ;son originalité tient du mythe, 25 sq. ; le Port-Royal franciscain et salésien des débuts, 182 sq. ;le Port- Royal oratorien, 198 sq. ; le ministère deSaint-Cyran à Port-Royal suscite une crise chezles religieuses, 213 ; « séparation » des sacrements,213, 214 ; la première génération de Port-Royalfut comme vaccinée contre le jansénisme, 217 ;opinion des religieuses de Port-Royal sur leurscompagnes visitandines, 240 ; les « Messieurs » de

517

Port-Royal, 244 sq. ; la pénitence à Port-Royal,247 ; « cantantes et psallentes », 247 ; la joie dePort-Royal ; les deux enfances, 248 ; Port-Royalpendant la Fronde, 250 ; les distractions, 250 ;préludes au sectarisme, 250 sq. ; le manqued’humour, 251 ; fatuité solennelle et dévote, 252 ;leur désert n’est pas catholique, 252, 253 ; ilsignorent la vraie communion des saints, 253-256 ;comme école spirituelle, présente un air depastiche ; archéologues, revenants jacobites, 256,257 ; à Port-Royal, « ce qu’il faut pour écrire »n’est jamais loin du prie-Dieu, 259 ; sa tacheoriginelle, la religion n’intervient qu’en fonctionde la morale, 262 ; 266 ; le Port-Royal présectairenous appartient presque tout entier, 279, 280 ; lapoésie de Port-Royal n’est pas janséniste, 282-284 ; ce que serait une poésie, un lyrismejanséniste, 283 ; les jansénistes n’ont jamais eu delyrisme, 283 ; erreurs théologiques, bizarreries,esprit de secte, 284, 285 ; miracle, vrai ouprétendu, de la sainte Épine, 370 ; incompétenceabsolue de Port-Royal en matière de direction,514 ; sa religion et sa spiritualité, sujet presquevierge, 524 ; 572. – V, 280, 374. – VI, 402, 484. –VII, 17, 22, 26 ; la spiritualité de l’école françaisen’a pas été étrangère à la formation de Port-Royal, 220 ; 228, 286, 298, 363, 379. – VIII, 35,238. – IX, 101, 185, 239, 249, 25l, 254, 261, 33g,344, 347. – IX, Filles du Saint-Sacrement, 210 ;Exercices de piété à [204] l'usage des religieuses de Port-

518

Royal, contient une Horloge de la Passion attribuée àla Mère Angélique Arnauld, 214. – X, 89, 154 ; lesHeures de Port-Royal, 177, 191, 236, 239, 260,280. – XI, 119, 134, 148, 150 ; campagne desjansénistes contre la Compagnie de Jésus àpropos de Jean Labadie, 174-176 ; 178, 179, 220,222, 256.

Exercices de piété à l'usage des religieuses de Port-Royal du Saint-Sacrement, IV, 326, 327.

Relation de ma sœur Geneviève de l'Incarnation, IV,238.

Recueil de plusieurs pièces pour servir à l'histoire dePort-Royal ou supplément aux Mémoires de MM.Fontaine, Lancelot et du Fossé, IV, procès de Saint-Cyran. Interrogatoire ; dépositions, 39, 42, 77, 89,145-147.

Actes, lettres et relations des religieuses de Port-Royal, IV, sœur Madeleine Mechtilde ; sa douleuraprès la signature du Formulaire. 237 ; 238, 239 ;opinion des religieuses de Port-Royal sur leurscompagnes visitandines, 240. v. Visitationd'Angers, Madeleine de Flers. Hermant.

POSSESSIONS DIABOLIQUES. – V,influence désastreuse des livres consacrés à leurhistoire, 192.

POSSEVIN (P.) s. j. – I, ses rapports avecsaint François de Sales. 92.

POSTEL (Guillaume). – I, 521.

519

POSTEL (P.), prémontré. – La vie, l'esprit, lessentiments de piété du vrai serviteur de Dieu, M. FrançoisMathon, VI, 381, 382.

POTHERIE (M. de La). – IV, 217.POTIER (Augustin), évêque de Beauvais. –

II, 436.POTIER (dom P.), bénédictin. – II, a

travaillé à la réforme de l’abbaye de Montmartre,420.

POTTIER (P. Aloys), s. j. – XI, assimile leBreve Compendio d’Isabelle Bellinzaga et deGagliardi au Moyen court, 19 ; démontre que le BrefDiscours de Bérulle et le Breve Compendio sont lemême livre, 25.

Essai de théologie mystique. Le Père LouisLallemant et les grands spirituels de son temps. VII, seséloges du livre de l’abbé Fr. Vincent sur Françoisde Sales, 38. – VIII, 183, 279 sq. ; 294, 312. – S.,23, 118, 121, 127, 177 ; éloge du livre de l'abbéFr. Vincent, 183.

Essai de théologie mystique comparée, critique deGagliardi, XI, 54, 55, 56.

POTTON (P.), o. p. – VI, a édité la Vie de laBienheureuse Esprite de Jésus, par J. Dupont, 426.

POUCEL (P. Victor), s. j. – Une poésie dévote :« l’Imitation v de Pierre Corneille (Études). – I, 357.

POUCHELON (Mathieu), mari de MarieTeyssonnicr. – II, 45, 46.

POUGET (dom Antoine), bénédictin. – Atraduit eu hébreu le Prologue de la Règle de saint

520

Benoît ; a travaillé aux éditions mauristes des Pèresgrecs, VI, 209.

POULAIN (P.), s. j. – VIII, 63. – XI, 332,360. – S., 96, 118.

Les Grâces d'oraison, II, 157 ; sur Benoît deCanfeld, 158, 159 ; l’état mystique, 585, 586 ; lesrévélations peuvent être des illusions, 590 ; lequiétisme, 601, 602 ; affirme que l’oraison desainte Chantal ou de l’auteur de l’Imitation nesont pas mystiques, 604. – IV, 343 ; sur laconsolation spirituelle, 343 ; 475, 497. – V, lespossessions de Loudun, 181 ; les exorcismes.183 ; 189 ; ce que le Rituel interdit aux exorcistes,190. – VI, sur Desmarets, 446, 447 ; 483, 484. –XI, 351. v. Saudreau.

POUPIN (Jean), prieur d’Auxonne. – X,122 ; a traduit les hymnes de Santeul, 178.

POUQUET(François). de l’Oratoire. –Instructions générales en forme de catéchisme, IX, de la[205] communion fréquente, 65, 66 ; eut part à laconversion de La Fontaine, 66 ; définition dusacrifice, 138 ; 155.

POURRAT (P.), s. s. – La Spiritualitéchrétienne, XI, 325, 371.

POUSSIN (Nicolas). – III. 475.POUVREAU (Sylvain), prêtre du diocèse de

Bourges. – IV, a traduit en basque l’Introduction àla Vie décote ; fut secrétaire de Saint- Cyran, 70, 71.

PRADON. – XI, 280.

521

PRASLIN (Mlle de). v. Choiseul-Praslin(Claude de).

PRAT (P.), s. j. – Vie du Père Claude Le Jay, I,15.

Maldonat et l'Université de Paris, I, 21.Recherches historiques et critiques sur la Compagnie

de Jésus en France au temps du Père Coton. I, 25, 28,132, 233, 234. – II, notes biographiques sur lePère Coton, 76-86 ; attachement du Père Cotonpour Henri IV, 87, 88 ; à propos de l’édit deRouen. 92, 93, 95, 96 ; dévotion de Henri IV àl’Eucharistie, 98, 99 ; difficultés du Père Cotoncomme confesseur du Roi, 99, 100 ; son apostolatà la Cour, 102, 103 ; le Père Coton exorciste, 128sq. ; vie mystique de sœur Jeanne-Marie, 131, 132.

PRATT, v. Bissett.PRÉAU (Gabriel du). – Histoire de l'état et

succès de l’Église, I, 236.PREMOLI (P. Orazio). – S. Gaetano Thiene, I,

522.Fra Battista Da Crema, VIII, 199.PRÊPAVIN (P.), de l’Oratoire. – IV, 198.PRÊTRES DU SAINT-SACREMENT. –

IX. 241.PRÉVILLE (de). v. Pinthereau.PRÉVOST (chanoine E.). – Le Diocèse de

Troyes, IX, rigorisme du neveu du Bossuet aupoint de vue pénitence et communion, 72 ; 176.

PRÉVOST, marchand. – VII. Jean Aumonts’est retiré chez lui, 327.

522

PREYE (Abraham). – Bouquet d'Éden, X,prière du fidèle qui s’afflige de ce qu’il ne prie pasDieu comme il faut (par Le Faucher), 32 ; 260-262 ; table des auteurs, 260 ; la plupart des prièresn’ont rien de confessionnel, 260. v. Merlin.

PRIÈRE. – VII, définition de la prière, 5-8 ;la prière en soi n’est pas nécessairement demande,8 ; le mendiant pur ne prie pas, 10 ; la prière dedemande n’est vraiment prière que dans la mesureoù elle est aussi adoration, 10 ; les tuum et lesnostrum du Pater, 14 ; le panhédonisme religieux,16-26, François de Sales et la philosophie de laprière, 48-111 grâce sanctifiante et passivetéinitiale, 59-62 ; dès le baptême, le Christ nous meten puissance, en état passif de prière, 60 ; l’activitéhumaine dans la prière : acquiescement,adhérence, 62-70 ; l’acte religieux en soi, 62 ;critique de la volonté, 70-77 ; critique de lasensibilité, 77 ; la grâce sanctifiante ne tombe pasdirectement sous l’expérience, 83, 84 ; il manqueune bonne étude critique de la dévotion sensible,84 ; directions pratiques de saint François deSales, 95-100 ; « désir » de prier et « prière », 97 ;passiveté terminale, l’état de prière, 100-111.’somme bérullienne de la prière ; la Conduited’Oraison du Père Seguenot, ch. III, passim ; del’activité divine et de l’humaine dans la prière,115-127 ; « Faire oraison avec les pensées deJésus-Christ », (P. Seguenot), 119 ; les « actes » etles « états », 127-139 ; v. école de l’oraison

523

cordiale, 355- 373 ; méthode de l’oraison cordiale,355 sq. ; le Père Thomassin et la prière pure, 374-415. – VIII, dans la plus humble prière, s’ébauche« l’expiration mystique », 58 ; des distractions,139, 140 ; de la prière continuelle, [206] 165-167 ;son indépendance, 259 sq. ; pratique et excellencedes oraisons jaculatoires, 301, 302 ; la vraie prièren'est pas suspendue aux « opérations » des grâcessensibles, 336 ; philosophie de la prière ;éclaircissements, difficultés et réponses, 361-391 ;l’oraison jaculatoire, sens profond de cettepratique, 393. – S., la prière, 11-21 ; la prière, sielle est nécessairement adoration n’est pasnécessairement demande, 15 ; le Pater, modèleunique et divine analyse de la prière, 19, 20 ;ascèse ou prière ? 23-122 ; activités d'ascèse,activités de prière, 46-55 ; le « discours » et laprière, 65-73 ; prière et rhétorique, 74-79 ; réaliseret non spéculer, 80-84 ; la « prière pratique » et lapsychologie des « résolutions », 90-95 ; vers ladépréciation de la prière, 95-97 ; l'ascèse de laprière, 97-102 ; la prière pure n'est pas sentiment,elle est énergie, 97 ; l'interprétation traditionnelledes « Exercices » et l'histoire de la prière, 102-111 ;le P. Cavallera et la philosophie de la prière, 125-186 ; ascèse ou prière 141-142 ; activités de prière,activités d’ascèse, 150, 151 ; Delenda meditatio, 152-157 ; l’oraison pratique, 158-161 ; Nicole et lacritique des activités intellectuelles dans la prière,189-221 ; la prière et la grâce sanctifiante (Textes

524

choisis du Manuel des âmes intérieures), 223. v.Boutmy.

PRIÈRE (la) et les PRIÈRES de l’ancienrégime. – T. X, in toto ; critique de la prière ditevocale, 1-32 ; le problème de la prière vocale auXVIIe siècle, 1 sq. ; tendance moderne à déprécierles formules ; origines de cette tendance ;diffusion foudroyante de la prière dite« mentale », 3-6 ; l’étude de la prière vocale tientpeu de place dans la littérature spirituelle du XVIIe

siècle, 11 sq. ; de la peur du psittacisme, 13 ;Arnauld et une critique plus philosophique desformules, 19 sq. ; facilité des actes de contrition,difficulté de la contrition elle-même, 19 sq. ;dynamisme foncier des formules, 22 ; lesformules et l'angoisse des spirituels, 24 sq. ; laprière vocale vengée par Duguet, 28-30 ;évolution liturgique au XVIIe siècle, 34 sq. ; formesfixes et quasi-liturgiques de la prière privée, 222-264 ; prière liturgique : développement de deuxliturgies, l'une canonique, l’autre privée, 224 sq. ;la littérature des « prières de dévotion », 227 sq. ;recueils anglicans, 227 ; multiplicité croissante desrecueils de prières pendant la seconde moitié duXVIIe siècle, 243 sq. ; les formules du XVIIe sièclede plus en plus générales, extra-liturgiques etignorant l'ancienne opposition entre parfaits etimparfaits, 258, 259 ; goût de l’ancien Régimepour les formules étendues qui l’aident à pratiquerl’oraison dite mentale, 265, 266 ; un de ses

525

immenses bienfaits est qu’elle nous permet denous exposer à Dieu tels que nous sommes, 290 ;notes pour la défense et l’illustration de la prièrevocale, 336-345 ; les mystiques et la prière vocale,338-340 ; le procès des formules, 340-345 ; lesgestes de la prière, 346-348.

PRIÈRES. – Érasme ; Oraison de celui qui seveut mettre en mer, X, 231, 232 ; v. Jean deFerrières, 228-238 ; Érasme : prière pourconserver une bonne réputation, 233 ; Sanadon :Action de grâce après la confession, 238 ;Godeau : prière d’un officier de finance, 242 ; despersonnes qui ont des procès, 242 ; Drelincourt :prière pour la vieillesse, 261, 262 ; pour retrouverce que l’on a perdu, prier saint Antoine dePadoue et les Anges et les Saints, 279 ; deuxgroupes de formules pieuses ; recueils semi-liturgiques, méditations écrites, 288 ; l’effortintellectuel dont les formules dispensent n'est pasla prière même, 295 ; de [207] l’emploi littéraire etpédagogique des formules de prières eu dehorsdes recueils semi-liturgiques, 298-309 ; Pellisson :prière pour le retour des protestants, 298, 299 ;Anonyme : prière pour demander la grâce desurmonter la colère, 299, 300 ; id. aux saintsAnges, 300, 301 ; Beurrier : Élévations devant lamer, 304, 305 ; Maître M. Beuvelet : prières pourles diverses fonctions du prêtre, 305-309 ;diffusion de la formule oratorienne : O Jesu vivensin Maria, 310.

526

PRIÈRES (M. de). – XI, 117. v. dom Jouault.PRINGY (comtesse de). – VIII, portrait

moral de Bourdaloue, 345.PROSPER (saint). – IV, 438.PROUILLE (monastère de). – II, 31.PROYANE (Élisabeth de). – Le charme du

divin Amour ou la vie de l'humble sœur Jeanne-BénigneGojoz, VI, 418-422 ; mystique plus attachante queson héroïne, 419 ; ses remarques sur SœurBénigne et la composition de son livre, 420, 421.

PROVENCE, foyer mystique à la fin XVIe

siècle. – II, 9.PRUDENCE. – I, 340. – III, 93. – VI, 257. –

X, 64, 70, 84, 87, 105, 182.Cathemerinon, X, 82, 86.PRUDHOMME (Marie), mère de Madeleine

de Saint-Joseph. – II, 323.PRUNEL (abbé). – Sébastien Zamet, III, 327,

329, 330, 331. – IV, M. Prunel a pleinementréhabilité Zamet, 91, 93 ; fondation et ruine del'Ordre du Saint-Sacrement, 197 ; Zamet et lesreligieuses de Port- Royal, 197, 198 ; 199 ; leChapelet secret, 204, 205 ; l’Institut du Saint-Sacrement, 209, 210, 211, 212, 214, 215.

Lettres spirituelles de Sébastien Zamet, IV, 197.PSAUMES. – X, Traductions poétiques ;

traduction des psaumes en prose rythmée parBlaise de Vigenère ; de Profundis, 170 ; Cantiqued'Ézéchias, 170, 171 ; Germain Habert : Domineprobasti me, 174 ; Desportes, 174.

527

PTOLÉMÉE. – I, 448.PUCHEUIL (Mme du), née de Quesada. – II,

292, 296.PUENTE (P. Louis de La), s. j. v. Dupont.PUITS-D’ORBE (abbesse du). – II, 547.PUR AMOUR (le). – Vers le pur amour, I,

ch. IX, 378-385. – XI, les premiers assauts contrele pur amour, 184-283.

PURCELL, biographe du cardinal Manning.– III, 168.

PUSEY. – Eirenicon, III, 209. – IX, 266.PYTHAGORE. – Mots dorés, IX, 329.

Q

QUARRÉ (P. Jean-Hugues), de l’Oratoire. –IV, 205. – S., 6.

Trésor spirituel contenant les obligations que nousavons d'être à Dieu, III, se soumettre volontiers àtout ce que Dieu est, 119 ; 120 ; des âmes sansdéfiance d'elles-mêmes, 135 ; la vertu chrétienneest la vie et la vertu même de Jésus qui est enl’homme, 139 ; fruits de la contemplation, 143 ;aspirations de l'âme qui s’abandonne à Jésus-Christ, 148, 149 ; opinion du Père Batterel sur lePère Quarré, [208] 218. – IX. « de la dévotion auBaptême », 4 ; l'homme est, par le baptême,approprié à Dieu et consacré par la Très Sainte-Trinité, 5, 6 ; entrer, par la foi, en l’estime de sonétat de baptisé, 6, 7 ; la vie du chrétien est... uneessence par-dessus toutes les essences, 8, 9 ; de

528

l’état de servitude revêtu au baptême, 11. – X,321. – S., Textes choisis, 241-252 ; desdispositions, et comme elles sont nécessaires en lapratique des vertus, 241-243 ; diverses pratiquesdont on se peut servir pour acquérir les vertuschrétiennes, 243-245 ; comme l’adhérence denotre âme à Jésus est un très parfait moyen pourentrer en la possession de toutes les vertuschrétiennes, 245-249 ; des moyens par lesquels onpeut arriver à l'adhérence de notre âme avecDieu, et des empêchements qui s’y rencontrent,249-252 : du sentiment secret des âmes et de leurattrait pour Jésus-Christ, 342.

QUATREBARBES (Élisabeth de). v.Élisabeth de la Trinité.

QUESADA (de). v. Mme du Pucheuil.QUESLEN (Hyacinthe de). – X, 156.QUESNEL (P.), de l’Oratoire. – III, 211,

214, 220, 674, 683. – IV, sa dévotion personnelle,301, 302 ; 303, 373, 429, 446, 448, 454, 464, 469,588, 594. – VI, 231. – XI, 303.

Office de Jésus pour le jour de l'octave de sa fête... parl’Eminentissime cardinal Pierre de Bérulle, traduit enfrançais avec des réflexions de piété, III, 79.

La piété envers Jésus-Christ, IV, citation deBérulle, 263 ; 265, 288. – IX, résume la thèsefondamentale de la Fréquente Communion, 51, 52 ;des raisons qui engagent à s’approcher de lacommunion, 61, 62. – X, 321.

Correspondance, IV, 288.

529

Un janséniste en exil, IV, point de paix pour lesennemis des jansénistes, 298, 299.

Réflexions morales sur le Nouveau Testament, IV,299, 380. – X, 42, 44, 48, 156, 160, 161, 275, 280.

Pensées de Quesnel, IV, 416.Les trois consécrations, IX, le Baptême est une

consécration, 5 : 10 ; du scapulaire dit « l'habit duBaptême », 34, 35 ; 72, 102, 105, 302.

Prières chrétiennes en forme de méditations, IX,prière d'une femme enceinte pour demander lagrâce d’un heureux accouchement, 308, 309. – X,190, 277.

Le bonheur de la mort chrétienne, retraite de huitjours, IX, il est facile à un vrai chrétien d’aimer lamort, 378, 379.

L’idée du sacerdoce et du sacrifice de Jésus-Christdonnée par le Révérend Père de Condren (publié par lePère Quesnel). – III, 427. – VII, 113, 378. v. Mme

Le Roy. Desmarets.QUÉTIF. – VIII, 5.QUIBLY (Marguerite de), abbesse et

réformatrice de la Déserte de Lyon. – II, 399,427. v. P. Polla.

QUIÉTISME. – II, 310 ; 601-603. – VIII, duquiétisme idéal qui ne connaît que le « laisserfaire », 145, 146. – XI, les jésuites et la diffusiondu quiétisme sous Louis XIII, 170-183 ;préquerelle du quiétisme sous Louis XIII, 185sq. ; le problème de la quiétude, 329-436. v. Puramour. Anne de Jésus.

530

QUIÉTUDE. – VII, ce qu’elle est en vérité,101, 102. – XI, 329 ; la définition négative de laquiétude, 330-334 ; aussi ancienne que l’oraison,332 ; ne peut nourrir d’aucune façon les illusions,333 ; l’expérience fondamentale, 334-347 ; lescandale ou le paradoxe de la quiétude, 347-351 ;activité de la quiétude. 351-353 ; passiveté de laquiétude, 353-358 ; Dieu et l’homme dans laquiétude, XI, ch. II. – L’opération divine dans laquiétude, 359-364 : la [209] quiétude n’est unenégation qu’en apparence, 363 ; de l’activitéhumaine dans la quiétude, 364-375 ; dans l’état dequiétude l’âme saisit le réel directement, au lieuque la connaissance normale ne saisit directementque des notions ; des éclairs discursifs dansl’oraison de quiétude, 375-387 ; l’activitédiscursive n’est jamais suspendue dans l’oraisonde quiétude, 376, 378 ; la quiétude supposel’antériorité du discours, 376 ; les noms de laquiétude, 388-396 ; quiétude et connaissance,397-399 ; quiétude et amour, 400-403 ; la trace deDieu dans la quiétude, 404 la quiétude ne donnepas nécessairement la lumière et la paix d’unecertitude, 404 sq. ; quiétude et angoisse, 409-414 ;la connaissance de Dieu ne peut y être immédiate,409 ; éclairs de quiétude dans la prière commune,415-421 ; le moins parfait des actes de foiimplique déjà une passiveté commençante, 417sq. ; l'amour n’est jamais plus aveugle quelorsqu’il a pour objet l'inconnaissable par

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excellence, 418 ; dès que l’amour paraît, ilentraîne avec soi la quiétude, 419 ; Maine deBiran et la quiétude, 422-436 ; quiétudesprofanes, 425-436.

Article sur la Quiétude (Anonyme) (Revued’Ascétique et de Mystique), XI, 389, 390, 391. v.saint Ignace, Gagliardi.

QUIGNONES. – X, 35.QUINCEY (Thomas de). – Literary

Réminiscences, IV, Wordsworth et l'attentepassionnée, 163.

QUINET (dom Louis), cistercien, confesseurà l’abbaye de Maubuisson. – XI, sa délicatessegourmande, 117 ; 120 ; propage des doctrinesmystiques parmi les religieuses de Maubuisson,121 ; nommé par Richelieu à l’abbaye de Barbery,125 ; congédié de Maubuisson, 126 ; 127, 128,133, 139, 141, 145.

QUINQUARBRE. v. Jansénius.QUINTANADUENAS (Jean de), aïeul de

Quintanadoine. – II, 266.QUINTANADOINE (Fernand de). – II,

266, 268.QUINTANADOINE DE BRÉTIGNY

(Jean de). – II, 71 ; origine du Carmel français,263-322 ; origine des Quintanadoine, 266 ; Jeande Quintanadoine-Brétigny à Séville, à Rouen,267 ; second séjour en Espagne, 259 ; il découvrele Carmel, 269 sq. ; l'esclave du Carmel, 271 ; lafondation de Lisbonne, 271, 272 ; prépare un

532

voyage au Congo, 272 ; projette d’établir leCarmel en France, 272 sq. ; mariage ou prêtrise ?276 ; ses petits écrits spirituels, 276 sq. : Dialoguesmystiques, 278, 279 ; les fiançailles, 280 ; troisièmeséjour en Espagne, 280 ; ordonné prêtre, 281 ;traduit en français la vie de sainte Thérèse, 281 ;288, 289, 290, 291, 292 ; sa lettre au général desCarmes, 292, 293 ; 294, 296, 302, 309, 312, 314,315 ; ses épreuves intérieures, 317, 318 ; son rôledans les fondations du Carmel en France, 318sq. ; 320 ; son désir d’apostolat chez les noirs,321, 322 ; son épitaphe, 322 ; 346, 347. – III, 12.v. P. de Beauvais, Champagnot.

QUINTILIEN. – VI, 404.Institution, I, 425. v. Pogge.QUINTIN (Pierre), o. p. – V, 90 ;

compagnon de Michel Le Nobletz, 93 ; 112, 115.QUISIDIC (Mlle de). – IX, 369, 370. v.

Michel Le Nobletz. [210]

R

RABARDEAU (P.), s. j. – III, 204.RABASSE (P.), récollet, directeur de Marie

Granger. – II, 461, 462.RABBE. – Revue historique, III, 293.RABELAIS. – I, le « train d’études » de son

héros, 262 ; veut savoir pour savoir et non pourparler, 263 ; 340. – II, Rabelais et les écrivainsdévots, 79 sq. ; 118. – IV, 494. – VII, 34.

533

RABOTIN (abbé). – Les textes liturgiques(Liturgia), les litanies, forme très populaire deprière liturgique ; leur origine orientale, 183 sq.

RABUTIN (Mère Marie-Aimée de). – Vie dela Mère Anne-Marie Rosset, VI, 396.

RABUTIN-CHANTAL (Celse-Bénigne de),v. Chantal (Celse-Bénigne de).

RABUTIN-CHANTAL (Christophe de),mari de Jeanne Frémyot (Mme de Chantal). – II,538.

RABUTIN-CHANTAL (Marie de). – VI, 49.RACAN. – Discours de réception à l'Académie

Française, I, du grand mépris de notre langue parles esprits médiocres, 190, 191. – IV, 544.

RACINE (abbé). – Abrégé de l'Histoireecclésiastique, IV, 10. – IX, manœuvres de Mazarinpour obtenir la condamnation du Missel traduitpar J. de Voisin, 181.

RACINE (Jean). – I, 193. – IV, 286, 287,295, 475. – V, 353 ; soumettait ses tragédies auPère Bouhours, 380. – VI, 499. – VII, 52, 166. –IX, 379. – X, 67, 72, 75, 86. 89 ; traduction deshymnes du Bréviaire, 174 : 177, 288. – XI, 55,115.

Petites lettres, IV, 23, 252. – VI, 483.Lettres, IV. sur la mort de M. du Fossé, 268.Esther et Athalie, VI, 448. – XI, 278, 321.Abrégé de l'Histoire de Port-Royal, XI, des

religieuses de Montdidier appartenant à la sectedes Guérinets, 114.

534

RAGOT. – La vie de M. Ragot, prêtre, curé duCrucifix au Mans, III, 230.

RAGUENEAU (P. Paul), s. j. – V, 81, 91.RAINSSANT (dom Firmin), bénédictin. –

VI, 181.Méditations pour tous les jours de l’année, X, 55 ;

l'auteur se contente de fournir la matière, laissantà chacun d’y mettre la forme, 269, 270 ; 297.

RAMIÈRE (P.), s. j. – Le Cœur de Jésus et ladivinisation du chrétien, III, 674, 675 ; lettre du PèreFouillot au Père Ramière, 683. – VIII, éditeur desLettres du Père de Caussade (Traité de l'Abandon),358.

RAMPALLE Antoine). – II, 34, 35.RAMPALLE (Nicolas). – II, 33-35.RANCÉ (Armand de). – I, traducteur de

l’Anacréon, 189 ; 231. – III, 157, 192, 193, 325. –VI, sa controverse avec Mabillon, 83, 86 ; 182,187, 189, 190. – VII, 228, 380. – VIII, 202, 233. –IX, 298. – X. 36, 118 ; aimait Santeul, 153 ; deslitanies de sainte Pélagie lui sont attribuées, 190.

La sainteté et les devoirs de l’état monastique, VI,178.

Lettre d’un abbé régulier, S., on obtient, parl’oraison, la grâce [211] d’exercer une vertu, maison ne l’exerce pas par l'oraison, 161. v.Chateaubriand. Caussin, Père de Rochemonteix,Mabillon.

RANDALL (Giles). V. Rufus M. Jones.

535

RANQUET (Catherine). – VI, 333-339. v.Catherine de Jésus.

RANSAING (de). v. Élisabeth de la Croix.RAPHAËL. - VI, 407.RAPIN (P, René), s. j. – I, 4, 193 ; vers sur

l’avidité intellectuelle des humanistes, 220. – III,196, 216. – IV, disait que d’Andilly avait mis à lamode les livres de dévotion, 10 ; 18, 20, 52, 75,239, 436 ; jugeait prodigieuse l’éruditionpatristique de Saint-Cyran, 156, 157 ; voyait enSaint-Cyran l'auteur principal du jansénisme, 172 ;voyait dans le Chapelet secret un pamphlet contre lacommunion fréquente, 208 ; son antipathie àl’endroit de Nicole, 246 ; sur Antoine Arnauld,285, 286, 287 ; oublie même la lettre del’Évangile, 312. – VI, 299 ; fut précepteur du filsde Lamoignon, 402. – X, 43, 90.

Histoire du jansénisme, I, 164. – III, sur le Pèrede Condren, 293 ; Condren et Saint-Cyran, 325-332. – IV, de l’autorité de Saint-Cyran sur lesesprits, 38 sq. ; lettre de Saint- Cyran à Robertd’Andilly sur l’accouchement de sa femme, 51 ; lecabinet d’Allemagne, 60 ; collaboration de domJouault, 90 ; Jansénius et Richer, 109 ; letestament de Jansénius, 110 ; sur les religieuses dePort-Royal, 198 ; Saint-Cyran et l’Eucharistie,202, 203 ; sur le Chapelet secret, 205 ; Saint-Cyran etses injures contre la Compagnie de Jésus, 313 ; laretraite de M. Lemaître, 313, 314, 315. – XI,

536

Saint-Cyran et les illuminées de Maubuisson, 125,126 ; 147, 148.

Mémoires, III, calomnie contre Bérulle, 211 ; lePère de Condren et la Confrérie du Saint-Sacrement, 293 ; l’abbé de Gondrin, 334, 335. –IV, le style janséniste, 14, 15 ; 17 ; la publicationdes Mémoires du Père Rapin exaspéra Sainte-Beuve, 23 ; les aumônes de Saint-Cyran, 59 ;croyance des religieuses de Port-Royal à laprésence réelle, 138 ; sur la suspension du saintciboire, 169 ; sur M. de Séricourt, 164 ; motd’Anne d’Autriche sur les fruits de M. d’Andilly,180 ; la paix de l’Église, 242 ; sur M. Lemaître,245 ; sur Saci, 246 ; 406, 407. – V, Mme Surin et lecollège de la Compagnie de Jésus à Bordeaux,159 ; les « assemblées secrètes de dévotion »autour de Mme Surin, 266 ; 370. – VI, surl’offensive de Desmarets contre Port-Royal, 495-499 ; Desmarets sur la piste du grand Arnauld,497 : 499.

Les Jardins, IV, 313.Réflexions sur l'éloquence de la chaire, VI, 404. v.

Gazier.RAPINE (P.), récollet. – I, son ouvrage sur

l’histoire de l’Église, 238.RASTOUL. – S., 1.RATHERY et BOUTRON. – Mlle de Scudéry,

sa vie et sa correspondance, X, 252.RATOUYN (P.). – VII, 359.RATTI (Mgr). (Pie XI). – X, 163. v. Pie XI.

537

RAVAISSON. – Archives de la Bastille, VI,Ravaisson y a publié la Relation, par Desmarets, dela découverte du faux Christ nommé Morin, 492, 493.

RAVIGNAN (P. de), s. j. – V, 11. – VIII,189.

RAYMOND DE SAINT-BERNARD(dom), feuillant, confesseur de Marie del’Incarnation (Mme Martin). – VI, lui défend deméditer, 22 ; 24 ; lui fait lire saint Denysl’Aréopagite, 35, 36 ; 80, 81, 105, 108, 109, 110,127.

RAYNAULD (P. Th.), s. j. -X, 33. [212]READ (Herbert). – English Prose style, XI,

citation de Santayana, 431.RÉBELLIAU (Alfred). – III, 530. – IV, sur le

Jansénisme (Histoire de France. Lavisse), 31, 291.I, les « itérations de synonymes » dans la

langue de saint François de Sales (Histoire de lalangue et de la littérature française publiée sous ladirection de M. P. de Julleville), 316.

A publié de Charles Flachaire : La Dévotion àMarie dans la littérature catholique au commencement duXVIIe siècle, IX, 248.

REBOURS (M. de). – IV, 45. v. PèreThomas d’Aquin.

RÉCOLLETS, nom que se donnèrentcertains jésuites espagnols s'écartant de leur règlesous prétexte d’oraison. – VIII, 235.

RECUEILLEMENT. VIE INTÉRIEURE. –I, ch. VII, 322-357 ; le recueillement des

538

humanistes dévots, 331 ; du goût de la solitude autemps de Louis XIII, 333.

Regnabit, revue, X, 202.REGNAULT (Robert). – Vie de sainte Fare, I,

242, 243, 244.RÉGNIER (Colombin). – VI, 181.RÉGNIER (Mathurin). – I, 191 ; aux

« mespriseurs de Desportes », 192 ; 199. v.Garasse.

RÉGNIER (Timothée de). v. Timothée.RÉGNIER-DESMARAIS (abbé). – V, a

traduit la Pratique de la Perfection chrétienne et religieusede Rodriguez, 30. – IX, 351.

Régularités ou Point d’exaction tiré de celui que lesMères espagnoles ont apporté en France (programme devie suivi par le premier Carmel français et encoreen vigueur), II, 309.

REGULUS - X, 134.REJADELL (Thérèse). – IX, 81, 91. v saint

Ignace.Relation sur l’établissement des Filles du Saint-

Sacrement et sur le Chapelet secret, IV, Texte duChapelet secret par la Mère Agnès, 204-207.

Relation de l'Île invisible, V, 355.RELIGIONS (Science des). – VII, erreur de

croire que le rite a précédé le sentiment religieux,406.

RÉMUSAT (Mme de). – Lettres, IV, surNicole, 468.

539

RÉMOND (Florimond de). – Histoire del'Hérésie. V, 187.

RÉMY DE BEAUVAIS. – La Magdeleine, I,384.

RENAN (Ernest). – III, 127, 507. – IV, 17,470. – IX, 371.

Nouvelles études d’histoire religieuse, IV, desécrivains de Port-Royal, 16.

Marc-Aurèle, IV, 273.Souvenirs d’Enfance et de Jeunesse, V, la Bretagne

ramenée au XVIIe siècle par les jésuites à la piétédu reste du monde ; culte des saints locaux, 91,92.

RENAR. – Opuscules spirituels (recueillis parAbelly), IX, comment célébrer l'anniversaire deson mariage, 329, 330.

RENARD (Jules). – Journal, VII, il y a desminutes où l’on renonce à l’égoïsme, 24.

RENAUDET. – I, du très grand succès del'Imitation au début du XVIe siècle ; goût de lalittérature contemplative encouragé par lesOrdres réformés, 522. v. Roersch.

RENAUDOT. – X, 33.RENAULT, prêtre. – V, 368.RENCUREL (Benoîte). – VI, 422-425 ; la

Bernadette des Alpes ; Notre-Dame du Laus etNotre- Dame de Lourdes ; Benoîte et Malaval,422. v. Anonyme, Notre-Dame du Laus et lavénérable Sœur Benoîte, VI, 422. [213]

RENNES (M. de). – VI, 493.

540

RENTY (Gaston de). – I, 295. – II, 312. –III, 4, 263, 329, 421, 460, 488, 524, 525 ; saconsécration à l’Enfant Jésus, 529, 530 ; 545 ; lastatue du Petit Roi de gloire, 550 ; 552, 553, 577,604, 627. – IV, 396. – V, 155, 299. – VI, 230, 233,235 ; lettre à Mme de Neuvillette, 388 ; 390, 391,396, 482, 489. – VII, 330. – VIII, 280, 323. – IX,210. v. Maurice Souriau, Saint-Jure.

REPANTIGNY (de). – VI, 118.RETRAITES (les). – X. 331-335 ; retraites

ignatiennes, 331. v. Paul Lejeune, Aveillon, Soyer,Anonyme.

RETRAITES DE FEMMES, Œuvre deCatherine de Francheville et Marguerite deKerderf, Bretagne, XVIIe siècle. – V, I39. v. P.Debuchy, Vie de Mlle de Francheville.

RETRAITES D'HOMMES, œuvre du PèreHuby et de M. de Kerlivio. – V, 139. vChampion, Vie du Père Huby.

RETZ (Jean François-Paul de Gondi,cardinal de). v. Gondi (Jean-François-Paul).

REURE (chanoine). – La vie et les œuvresd'Honoré d'Urfé, I, dit qu'il ne faut pas lire Camussans défiance ; des relations entre François deSales et d’Urfé, 531.

REVEST (de Veteris du). v. Catherine del’Incarnation.

RÉVOL (Mgr de), évêque de Dol. – II, 377.Revue d'ascétique et de mystique, V, sur le R. P. de

Maumigny, 396. – VI, 8. – S., 24, 25.

541

Revue de Gascogne, VI, 211.Revue des sciences philosophiques et théologiques, III,

679.REYNAUD (P. Théophile), s. j. – Diptyca

Mariana, IX, 253.REYNIER (Gustave). – Le Roman sentimental

avant l’Astrée, I, cite Pierre de Deimier, 67 ; donnequelques indications sur les origines du romandévot, 273 ; parle d’Antoine de Nervèze, 337.

REZ (P. Jacques de), de l’Oratoire. – II, saconversion, 17 ; 24.

RHODES (P. Georges de). v. Georges deRhodes.

RIBADENEYRA (P.), s. j. – La Fleur des viesdes saints, II, 6, 295. – XI, 204.

RIBET (J.). – L'Ascétique chrétienne, III, lesacerdoce, de sa nature, est une condition de viesupérieure même à la profession religieuse, 162.

RICHARD (cardinal). – II, 194.RICHARD DE SAINT-VICTOR. – VII, 49.

– S., 63. v. Mme Ancelet-Hustache.RICHAUDEAU (abbé P.-F.). – Lettres de la

R. M. Marie de l’Incarnation (Mme Martin), VI, 4, 6.– XI, 170.

Vie de M. de l'Incarnation, VI, sur la fuite deClaude Martin au moment où sa mèrel’abandonna, 55 ; 103.

RICHELET. – XI. 117.

542

Dictionnaire, IX, extrait de l’article Messe, 236 ;sur les termes : soleil ou ostensoir, 238. – X,définition du mot vocal, 2.

RICHELIEU (cardinal Alphonse de). – II,533. – V, voulut faire enlever de la main deJeanne des Anges les caractères mystérieux qui s’ytrouvaient marqués, 246. – VI, 285 ; reçoit desplaintes sur l’apostolat mystique de Madeleine deSaint-François, 412 ; menace d’excommunier J.Cretenet, 413, 414. – XI, 175.

RICHELIEU (cardinal Armand de). – I, lesœuvres de Richeome lui sont dédiées, 23 ; sonmot sur J.-P. Camus et ses querelles avec lescapucins, 151. – II, rend visite à Marie deValence, 52, 53 ; 133 ; pria sur la tombe du PèreCoton, à Saint-Paul-Saint-Louis, 134 ; Richelieu etle Père Joseph, 168 ; 170, 181, 192 ; R. et leCarmel de France, 330 ; le siège [214] de laRochelle, 353, 354 ; l’abbaye du Val-de-Grâce,533. – III, 198, 296, 330, 331, 336, 443. – IV,Sévit contre Saint-Cyran, 32 ; il le faitemprisonner à Vincennes, 37 ; envoie Bérulle enmission en Angleterre, 40, 41 ; 53, 54, 60, 74, 75 ;procès de Saint-Cyran, 87 sq. ; 194 ; affaire duChapelet secret, 210, 211 ; retraite de M. Le Maître,313 ; 494. – V, donne à Laubardemont ordre decommencer le procès d’Urbain Grandier, 179 ;182, 195, 245. – VI, 236, 295, 413, 414, 415, 449 »452, 453. – IX, 50. – XI, 89, 93, 94, 107, 108, 113,114, 123, 126, 158, 175, 186, 218, 219 ; a insisté,

543

dans un livre de piété, sur la suffisance de« l’attrition de crainte », 219 ; il fait enfermer lePère Séguenot à la Bastille, 220 sq. ; 222, 226,227, 230, 255, 274.

Mémoires, III, sur la mission de Bérulle enAngleterre, 21.

RICHELIEU (duc de). – VI, 480.RICHEOME (P. Louis), s. j. – I, son

importance parmi les précurseurs de saintFrançois de Sales, 19, 20 ; sa naissance et sonéducation, 20-22 ; symbolisme religieux, 32 sq. ;mêle les délices naturelles à la vie chrétienne ; ilfleurit la voie étroite, 36 ; l’école de l'Église et dela nature, 37 ; l'esprit des enfants ;l’émerveillement devant la création, 38 sq. ; Dieunous permet de rire, 46 ; Richeome moralisteavec humour, 48 ; l'homme « cette cité royale »,52 ; le péché originel et la triple concupiscence,57 ; la vie héroïque et joyeuse, 59 ; le château del’âme, 59 ; mérites littéraires et défauts deRicheome, 63 sq. ; richesse de son vocabulaire,65 ; sa philosophie est simple, noble etbienfaisante, 66 ; il a donné l'ébauche de plusieurs« Introduction à la vie dévote », mais sans le génie desaint François de Sales, 67. – II, 59, 87, 133. – III,679. – V, 152.

L'Académie d’honneur, I, ses souvenirs duCollège romain, 21,

22 ; 23, 30 ; la mouche, 39, 40 ; l’oiseaucardinal, 43 ; son livre, œuvre d'humilité, 46, 47 ;

544

le néant de la gloire, 48 ; thomistes et scotistes,48, 49 ; Dieu nous invite à la vertu par l’attrait dela gloire, 55, 56 ; aimer les mots concrets, del'atelier, de la rue, des champs, les mots drus, 64,65 ; ce livre, l'Académie d’honneur, divisé comme unsermon, mais l’auteur, libre et plein de verve,s’abandonne le plus souvent à son naturel, 66.

Catéchisme royal à l'usage du Dauphin, I, 28 ; lesymbolisme des dauphins, 29 ; 62.

Œuvres polémiques : Plainte apologétique, I, contrePasquier et sa critique de la Compagnie de Jésus,23, 24 ; au roi Henri IV, sur les ennemis desjésuites, 26.

La chasse du renard Pasquin, I, 23La Peinture spirituelle, I, souvenirs de son pays,

20 ; 23 ; promenade à travers le noviciat desjésuites à Saint-André du Quirinal, 29, 30 ; tableaudu martyre de saint André, 33 ; l’ibis, 34 ; l’écolede l’Église et de la nature, 37 ; les glaïeuls épanis,les lys royaux, 38 ; les beaux jardins, 38 ; lecaméléon, 41 ; le moineau, 42 ; les lézardes, 45 ;satire des repas, 51.

Le Pèlerin de Lorette, I, analyse du livre, 31 ;contient le récit d’une chasse, 42 ; sur les oiseauxde proie, 43 ; combat d'abeilles, 43, 44 ; le Pèlerinde Lorette assiste à un grand repas, 47 ; 62. – IX,130.

Les Tableaux sacrés, I, éloge de la peinture, 32 ;avis au lecteur sur l’illustration de ses livres, 34 ; le

545

cheval d’Abraham, 35 ; l’Ange et Elie, 35, 36 ;l’oiseau de Paradis, 43.

Très humble remontrance et requête des religieux dela Compagnie de Jésus, au roi très chrétien de France et deNavarre, Henri IV, I, 24 ; du pillage desbibliothèques appartenant à la Compagnie, 25.[215]

Consolation envoyée à la Reine, I, l'éloquence deHenri IV, 28.

L’Adieu de l'âme dévote laissant le corps, I, 29 ; leslys, 39 ; le moucheron, 40, 41 ; le barbet Gaillard,42 ; le singe, 45, 46 ; 47 ; l’âme, divinement belle,mariée par le Créateur, à un corps divinementbeau, 52 ; nulle créature vivante qui, moins quel'homme, ne touche la terre en marchant, 53 ; entout le corps, rien de plus beau que le visage, 53,54 ; le bras avec la main, vrai portrait du francarbitre et d'une liberté vraiment seigneuriale, 54 ;le franc arbitre, 55 ; la concupiscence, Dieu lalaisse « pour les vaillants », 58 ; l’appareil de l'âmeau combat, 50, 60 ; la mort, dernière phase de lalutte, 61 ; les adieux de l'âme et du corps, 61, 62 ;66 ; les larcins poétiques de l'antiquité, 195.

Le Jugement général. I, Richeome avait eudessein d’y insérer une tragédie, sans doute uneJérusalem détruite, 29. v. François de Sales.

RICHER (Edmond). – IV, 108, 109.RICHESOURCE (de). – VII, 170.RIGAULT (Hippolyte). – I, voulut remettre

à la mode J.-P. Camus, 274 ; 276 ; critiqué à ce

546

sujet par Sainte-Beuve, 277 ; réédita Palombe,roman de J.-P. Camus, 277 ; manière fine etdiscrète de Camus d’indiquer les situationsdélicates. 277 ; 279 ; en matière de décence dansle langage, il n’y a de bons juges que lescontemporains, 284 ; les romans de Camus, trésord’anecdotes historiques, 293 ; sa sensibilitél’empêche d’être aussi moral qu’il le voudrait,301 ; sa pureté d’intention, sa ferveur de zèlechrétien, 306.

Histoire de la querelle des Anciens et des Modernes,VI, contient un chapitre sur Desmarets de Ssint-Sorlin, 445 ; 447.

RIGOLEUC (P. Jean), s. j. – II, 134. – III,32 : non seulement tout ce qu’il y a en Jésus estsaint, mais encore sanctifiant. 145 ; 311. – IV, lessilences du Père Lallemant, 47. – V, 5, 8, 10, 13,44, 52, 62, 91, 112, 113, 115, 120, 130, 138, 151,154, 158, 165. – VI, 446. – VIII, 280. - XI,estimait beaucoup le Traité de l'Abnégation intérieuredu cardinal de Bérulle, 26 ; 54 ; définition durepos, 330 ; 407.

La vie du Père Rigoleuc avec ses traités (Ed.Champion), V, charme et douceur du PèreLallemant, 10 ; du prétendu bon sens pris pourrègle de jugement dans les choses spirituelles, 14 ;les religieux et l’orgueil, 19, 20, 21 ; les vertus deJésus-Christ s’impriment dans ceux qui lescontemplent, 36 ; ce qu’est la « garde du cœur »,37 ; ce n’est pas l’examen de conscience, 37 ;

547

difficulté et nécessité de la garde du cœur, 38, 39 ;66-81 ; 68 ; carrière obscure, 69, 70 ; ses lettres àMarie de Sainte-Barbe, 70 ; le vieux serviteur et lemauvais petit cheval, 71, 72 ; sa vie errante, 72 ;premières impressions pieuses, 72 ; loin de rienôter (à Lallemant), lui a plutôt ajouté. 72 ; sesangoisses de novice. 73 ; la « secondeconversion », 73 ; la « sainte indétermination ».74, 75 ; lettre à la Sœur Catherine de Saint-Bernard, 74, 75 ; avec ses notes du troisième an,avait pour principales règles un abrégé de ladoctrine de saint Jean de la Croix et un deBérulle, 74 ; la parfaite patience, 75 ; la grâce n’estpas sensible, 76 ; on peut aimer Dieu sans savoirqu’on l’aime, 76, 77 ; élévation aux étatsmystiques, 77, 78 ; nuit des sens, nuit de l’esprit,77, 78 ; pendant six ans, se croit damné, 78 ; danscet état relisait un sermon de Tauler, 78 ; sadirection toute mystique, 79 ; sur l’oraison desimple union, 79 ; propagande mystique dans lescouvents et parmi les jésuites, 80 sq. ; sa part dansla « confédération » des missionnaires enBretagne, 113 ; les mystiques bretons, 119. –[216] XI, 352. – S., se tenir en silence parintervalles durant l’oraison, 65 ; I57. v. Champion.

RIPALDA (P ), s. j. – I, 236. – VIII, 252.RIPAULT (P. Archange], capucin. – I, sous

le nom de Piralte. figure dans le livre la Pieuse Julie,de Camus, 293 ; 294, 295, 297. – II, 192. – XI,

548

157, 158, 162, 163, 166, 170, 171, 172, 176, 179,342.

Abominations des abominations des fausses dévotionsde ce temps, IX, les « illuminés » enseignant de nepas regarder l’hostie à l'élévation, 237. – XI, 71 ;sur le cours de dévotion à la mode, 73, 74 ;recueils licencieux camouflés en livres de prières,74 ; médisances des dévots à la mode, 75 ; lesdirecteurs des dévots à la mode, 76, 77, 78 ; croità l’existence d’Adamites (sous Louis XIII). 80, 81,82 ; des illuminés de Séville et de ceux de Paris,comparaisons et similitudes, 83-87 ; 88, 90, 91,92, 93 ; son mérite, malgré d’évidentes injustices,est d’avoir cru en danger et voulu défendre latradition la plus haute des vrais mystiques, 95 sq. ;immoralité de l'illuminisme espagnol dans sathéorie de l’état passif, 96 ; le Père Archange metau clair la confusion entre quiétude et inertie, 96,97 ; des deux sortes d’actes d'entendement, 97 ;sur le dépouillement total que prêchèrent lesnouveaux mystiques, 98, 99. – XI, sonnetliminaire de Colletet, 72 ; sonnet anonyme contrel’illuminisme et le quiétisme, en tête du premiervolume, 73.

La divine naissance, enfance, et progrès admirable del’âme au saint amour de Jésus et de Marie, XI, 100 ; ilgreffe dans cet ouvrage l’esprit bérullien sur lamystique franciscaine, 100 ; nous devons fairel'enfant auprès de Dieu, 100 ; il faut travailler enpauvre homme, qui va du jour à la journée, 101 ;

549

céder la place à l’immense, toi ; de la quiétude.361.

RIPAULT (baron). – XI, 71.RIRE ET LES JEUX (Le). – I, ch. VI, 308-

321 ; le rire est humain et bon, 308 ; emblèmes etallégories, 320, 321.

RIS (Clément de). – Bulletin du Bibliophile, III,critique de l’abbé Houssaye, 8.

RITUEL ROMAIN. – IX, bénédiction de lafemme en travail d’enfantement, 310 ; ne rappellepas dans cette bénédiction la faute de la premièrefemme, 311.

RIVET (dom). – VI, 193.RIVIÈRE (P. Louis de La), minime. –

Histoire de la Vie et mœurs de Marie Tessonnier (Mariede Valence), I, 254 ; vision des innocents, enfantsou ignorants, 372, 373 ; d'un sermon malséant surMarie-Madeleine, 384, 385. – II, 42-66 ; sur le P.Coton, 76, 78, 100, 115.

RIVIÈRE (Polycarpe de La). – Adieu dumonde ou le mépris de ses vaines grandeurs et plaisirspérissables, I, 190.

Le mystère sacré de notre rédemption, I, les larmesde l'Homme-Dieu, 327.

ROANNEZ (Mlle de). – II, 277.ROBINEAU (Guy), père de Madeleine de

Neuvillette. – VI, 387.ROBINET. – X, 140.ROCABERTI (Maître de), général de l’ordre

dominicain. – VIII, 80.

550

ROCH (Mgr Pompée), évêque de Cavaillon. –II, ses rapports avec César de Bus, 13.

ROCHE (Mlle de La). – III, sa pieuse mort,386, 387. v. Condren.

ROCHE (Mère de La), de la Visitation. – II,584.

ROCHE (M. Suzanne de La), de Port-Royal.– IV, 90.

ROCHE Léonard). – Le portrait fidèle des abbésou autres supérieurs réguliers et de leurs [217] religieuxdans la vie du R. P. Jean Garat, abbé de Chancelade,III, aversion du Père Garat pour l’enfance, 520-522 ; 553 ; dévotion à Jésus-Enfant, 554-555.

ROCHECHOUARD DE JARS (Mme de La),abbesse de Charenton-en-Bourbonnais. – II, 512.

ROCHEFOUCAULD (cardinal de La). v. LaRochefoucauld.

ROCHEMONTEIX (P. de). – NicolasCaussin et le Cardinal de Richelieu, I, 189.

Les Jésuites et la Nouvelle France au XVIIe siècle,V, 9 ; sur les Pères Paul Lejeune et PaulRagueneau, 67. – VI, 9, 127, 241.

Un collège de Jésuites. Le collège Henri IV de laFlèche, IX, 236.

ROCHEPOSAY (H. de La). v. LaRocheposay.

ROCQUEMONT (de), auteur d’une vie deHenri-Marie Boudon. – VI, 241.

RODOLPHE (P.), capucin. – XI, 90, 91,102, 113.

551

RODRIGUEZ (P. Alphonse), s. j. – III, 136,138, 259, 260, 265, 589, 682. – IV, 545. – V,opinion d'un théologien moderne sur le PèreRodriguez, 396, 397. – VI, 231. – VII, 25, 269 –VIII, 29, 149. 191, 276, 279, 287, 312, 357, 358. –IX, 81 ; la meilleure manière d'entendre la messeest de se joindre au prêtre... de l’imiter en tout cequ’il fait, 164 ; 170. – XI, 205, 258.

Pratique de la perfection chrétienne et religieuse, III,133. – IV, 469. – V, 30 ; se constituer en laprésence de Dieu doit servir de moyen pour bienfaire toutes nos actions, 42 ; la présence de Dieun’est pas pour s'y arrêter, mais pour bien agir, 42 ;43, 44. – IX, 130. – S., 119, 120, 164, 174, 357.

ROERSCH. – L'Humanisme belge à l'époque dela Renaissance, I, 520, 522.

2 17ROGEAU (chanoine). – VI, 382.ROHAN (chevalier de). – IX, son mot à

Bourdaloue en montant à l'échafaud, 335. v.Ménage.

ROHAN-MONBAZON (duchesse deLuynes). v. Luynes.

ROHRBACHER (abbé). – IV, 465.ROJAS (Dr Antoine de). – La vie de l'esprit, S.,

s’oublier : donner à Dieu la maison vide, 52. v.Père Cyprien de la Nativité.

ROLLAND (Domnat). – V, a joué un rôledans les missions bretonnes, 108, 109.

ROLLE (Anselme). – VI, 181.

552

ROLLIN (Charles). – I, 4. – III, envoyait descouteaux à ses amis, en guise d’étrennes (Annaleslittéraires), 224. – IX, 329.

ROMAN DÉVOT. – I, ch. V, 273-307.Roman de la Rose, VI, 471.ROMANET (Marguerite). – VI, 314-333 ;

nous ne savons rien de sa vie, 315 ; sa vieconjugale, 316 ; sa charité pour les filles perdues,316 ; ses écrits plus révélateurs qu’une biographie,317 ; la journée d'une contemplative vers 1650,318 ; le bouquet de myrrhe ; je le sens (leSeigneur) comme un qui dépouille et qui ravit,318 ; Marguerite Romanet appartient à l’élite,318 ; son oraison, 319 ; les « dilatations » del’amour, 319, 320 ; on lui permettait lacommunion quotidienne, 320 ; elle surmonte lacrainte quand « l’amour l’aveugle », 320, 321 ; lesactes donnés et les actes voulus, 321 ; prièrespendant la journée, 321, 322 ; ingénuité etprofondeur, 322 ; elle dit ce qu'elle « sent »,comme elle le sent, 323 ; l’ouïe est le sens le plusutile dans la religion, 328, 329 ; qualité de sontémoignage, 333 ; 334, 336.

Notes spirituelles, VI, 323 ; la présence de Dieutouche plus vivement lorsqu’il est caché àl'entendement, 323 ; descriptions de la [218] nuitmystique, 324 ; la science de Dieu exclut lesénigmes et les similitudes, 325 ; la « connaissancemystique » est celle des mêmes vérités qu'elle aappris des hommes, 325 ; l'âme « qui roule autour

553

de Dieu », 325, 326 ; Dieu ôte à l'âme sa proprepesanteur, 326 : l'âme libre parmi les défauts descréatures, 326 ; Dieu semble ouvrir l'entendementpour lui ôter sa façon ordinaire de connaitre,326 ; son âme perd quelquefois sa façonhabituelle de contempler et s’unit, en cet état, à lavérité qui se cache, 327 ; la vie, dans la nuitmystique, est la plus noble des vies, 327, 328.

Commentaire du Cantique des Cantiques, VI, 0Séparez [moi' du sang et de la chair », 3a8 ; <1nous nous ferons dos tcmplestes d’or... », 3a8,32g ; f Je suis la fleur des champs », 329, 33o ; acomme le lys entre les épines », 33i ; « Je me suisassise sous l’ombre de oelui que j’avais désiré »,331, 33î.

v. Paul du Saint-Sacrement.ROMANET, avocat au Sénat de Savoie, mari

de Marguerite Romanet. – VI, 315, 316.ROMANOS. – Acrostiches, IX, à Notre-Dame

devant la Croix, 277.ROMANTISME. – X, le romantisme

catholique haïssait le siècle de Louis XIV, 66.ROMILLON (Jean-Baptiste). – II, 10, 12,

15 ; 17-26 ; se sépare de César de Bus, 22 ;l’Oratoire provençal, 23 sq. ; 26, 30, 35. v. Césarde Bus, Bourguignon.

ROMMEVAL (Lucas de), prêtre, « maître etdirecteur des Enfants bleus ». – VI, 382.

RONCEAU, s. j. – V, 185.RONCERAY (abbaye de). – V, 348.

554

RONDELET (Marguerite). v. SœurScholastique de Saint-Élie.

RONSARD. – I, exalté par le Père Garasse,192, 193. – II, fut célébré par trois humanistesdévots ; le Père Joseph du Tremblay, du Perron,Garasse, 169 ; 369. – VII, 25, 414.

Discours sur les misères du temps, I, Ronsard ydonne le signal d’une poésie religieuse qui envahittous les genres, 199.

ROOTHAAN (P.), s j. – III, 115, 117. –VIII, 189.

L’Art de méditer. X, 322. – S., 75, 79, 155.De ratione meditandi, S., 34.ROPARTZ. – Étude sur quelques ouvrages rares

et peu connus... écrits par des Bretons, I, du Père Yvesde Paris envoyé en disgrâce au Croisic, 450.

ROSAIRE (saint), – IX, 244. v. Bidault deSainte-Marie, Anthonin Thomas.

ROSAIRE du T. S. Nom de Jésus. – IX, 244,245. v. Anthonin Thomas.

ROSARNOUX (Blanche de). – Marguerite LeNobletz, V. 82, 108.

ROSE (Sœur). – IV, le « Roman rose », 397 ;483. – VI, 230. – VIII, 330.

ROSE-CROIX de Paris (Compagnie desInvisibles). – XI, 157.

ROSEN (Mère de), visitandine. – VIII, surBourdaloue. 357. v. Père de Caussade.

ROSMADEC (Charles de), évêque deVannes. – V, 114.

555

ROSSET (Mère Anne-Marie). – II, Bossuetparle de l’état intérieur de Mère A.-M. Rosset,584. – VI, son oraison de simple regard, 395 sq. ;396. v. Mère de Chaugy, Saudreau, M.-A. deRabutin.

ROSTAND (Edmond). – I, 204. – VI, 488.ROUGET DE L’ISLE. – X, 87.ROUMANILLE. – I, 348.ROURE (P. Lucien), s. j. – VII, définitions

de la prière (Études), 6, 7 ; sur la prièred’adoration, de demande, 9 ; 11 ; réserve la qualitéd’infuse à la seule [219] contemplationextraordinaire, 164 ; 162. – S., 12 ; 14 ; caractèresde la prière véritable, 15 ; le sentiment de notredétresse nous fait demander l’aide dont nousavons besoin, 16, 17.

ROURE (Henry du). – Essais et Nouvelles, IV,les contradictions excitent l’orgueil, 255.

ROUSSEAU.(J.-J.), – III. faisait ses délicesdu livre du Père Bernard Lamy, Entretiens sur lessciences, 187. – IV, 15, 179, 505 ; confusionmalsaine « de la religion et de l’amour », 566, 568.– X, admirait les « Litanies de la Providence »,205. v. Bernardin de Saint-Pierre.

ROUSSEAU (P.), o. p. – VIII, 6.ROUSSEAU (Marie). – III, 4, 458. – IV, 227,

228. – IX, 210.ROUSSEL. – II, 5 ; confesseur de Pierre

Acarie, lui prête des livres de piété que celui-ci faitlire à sa femme, 203.

556

ROUSSEL (dom Edmond), bénédictin. – VI,181.

ROUSSELOT (P. Pierre), s. j. – Pour l'histoiredu problème de l'amour au moyen âge, I, désaccord,chez plusieurs docteurs du moyen âge, entre lesconcepts définis et leurs intentions profondes,116 ; du mauvais goût de certains auteurs pieuxdu XVIIe siècle, 328.

Le Christianisme et l’âme antique, III, ce qu’est lamorale de saint Augustin, 25.

Le Christianisme au moyen âge, III, progrès dansla dévotion au Christ, 95. – X, 317.

Mélanges Grandmaison, VII, sur la distinctionentre la volonté sèche et nue et le plaisir, 26. –VIII, de la réaction contre le moralisme religieux,377 ; 382 ; « ma volonté n’est vraiment miennequ’en cessant d’être mienne », 390. – XI, 371. –S., 137 ; au delà de la joie ravissante de donner, ily a celle de s'abandonner, 151 ; 339, 341.

Sur le moralisme, VII, 47.L'intellectualisme de saint Thomas, XI, connaître

c’est vivre de la vie d’un autre vivant, 399.Note d’un élève, S., Ascétique et mystique.

Perfection chrétienne, 337, 338.ROUSSET (P. Mathieu), o. p. – II, Intérieur

d’un cloître dominicain. Le monastère de Sainte-Praxèdeà Avignon, 32, 33. – VI, 425.

La Vénérable Mère Julienne Morell, dominicaine,VI, 425.

557

Œuvres spirituelles de la Vénérable Mère JulienneMorell, VI, 425. v. Massoulié.

ROUSSIER (Antoine). – III, 146. v. Palerne.ROUSSILLE (Anne-Marie de Taillefer de),

Mme de Pouchat. – V, 294, 300.ROUSSILLE (vicomtesse de) Mme de

Barrière, correspondante du Père Surin. – V, 294,298, 300, 302.

ROUSTAN. – VII, a édité le Traité de l’Amourde Dieu de Malebranche, 23, 24.

ROUVRAY 1Mlle de). – VI, 382.RUBELIN (P.), de l’Oratoire. – IX, son désir

de la mort, 374. v. CloyseaultRUBENS. – IV, 179.RUE (abbé de La), confesseur de Mme Acarie.

– II, 237, 238. – III, note sur Huet et le PèreEudes, 592.

RUE (P. Charles de La), s. j., professeur auCollège de Clermont. – VI, 402.

RUFUS M. JONES. – Spiritual reformers in the16th, and 17th centuries, IV, de Hans Denck ; Dieudéjà présent puisqu’on le cherche, 379.

RUINART (dom). – X, 347. v. E. de Broglie.RUŒUS. – Étude sur les gemmes apocalyptiques,

I, 257.RUPERT (abbé). – IV, 569. – S., 271.RUSKIN (John). – I, 38. – III, 66. [220]RUTH D’ANS (de). – X, a terminé l’Année

chrétienne de Letourneux. 41.RUY (chanoine). – Procès de l’intelligence, S., 72.

558

RUYSBRŒCK. – I, a enrichi sa languematernelle, XXI, XXII. – II, 379, 386. – III, 261. –V, 64, 308. – VII, 146, 148, 167, 158. – VIII, 190,231. – IX, 81. – XI, 59, 60, 95, 152, 332, 380. v.Auger.

RYELANDT (dom), bénédictin. – Pour mieuxcommunier, IX, de l'intention droite pours'approcher de la Table sainte, 127, 128 ; « lecentre de tout le culte catholique n’est pasl'Eucharistie distribuée à la Table sainte (mais) leSaint Sacrifice de la Messe », 132 ; reçues endehors de la messe les communions sont desexercices de piété à part, 132 ; 134.

S

SA (P. Emmanuel de), s. j. – Vida delBienaventurado P. Fr. Tejeda, VIII. 202.

SABADEN (Mgr). – VI, 233. v. Père Pie deLangogne.

SABATIER (Auguste). – VII, définition de laprière, 11. – S., la prière est essentiellement unappel de détresse, 16.

SABLÉ (Mme de). – I, 413. – III, 216. – IV.193, 228.

SABLIER. – Variétés sérieuses et amusantes, I,321.

SABOYA (P.), s. j. – VIII, 204.SABRÉ (P.). – XI, lettre à Jean Labadie, 175.

v. A de Lantenay.

559

SABRIÉ, – Les idées religieuses de J.-L. Guez deBalzac, I, la solitude a rendu Balzac sérieusementchrétien, 333 ; 335.

SACERDOCE. – III, sa dignité ; le prêtre, entant que prêtre, voué à une perfection au moinsaussi haute que le religieux, 160-162.

SACHOT, curé de Saint-Gervais. – IX, 352,353, 358. v. Legendre.

SACI (Isaac Le Maistre de). – IV, 11, 20, 58,172, 179, 230, 246, 247, 249, 257, 280, 302, 320,421, 463. – VI, 402 ; son arrestation, 498, 499. –X, traduction des hymnes du Bréviaire, 174, 176.

Enluminures, IV, 15.Poèmes contenant la tradition de l'Église sur le Très

Saint Sacrement de l'Autel, IX, 224 ; 225.SACRÉ-CŒUR (dévotion au). – III, la

dévotion au Sacré-Cœur dans ses rapports avecl’École française, 514 i culte liturgique : datesprincipales de son histoire, 63g, 640 : genèse de ladévotion eudistique au Cœur de Jésus ; synthèsede l’école française et de l’humanisme dévot. 640sq. ; dévotion bérullienne au Verbe incarnécontient en germe tous les éléments de ladévotion eudistique au Sacré-Cœur, 644, 645 ; dela « fête (bérullienne) de Jésus » à la fête du Sacré-Cœur de Jésus, 645-657 ; les deux fêtes définiesd’une manière identique par la SacréeCongrégation des Rites, 645, 646) ; Jésus-Christfêté « en tout ce qu’il est en sa personne divine »,646 sq. ; contemplation ignatienne et Sacré-Cœur,

560

647 ; de la personne au cœur, 647 ; cette dévotioncomparée aux autres (Bainvel), 648 ; l'école deParay hésite parfois entre la dévotion au cœur-amour et celle au cœur-personne. 654 sq. ; ladévotion eudistique nécessaire à l'achèvement dela dévotion de Paray, 655, 656 ; de « l'intérieur »au « Cœur de Jésus », [221] 657-663 ; le PèreBainvel et la dévotion à « tout l’intime de Jésus »,657 sq. ; de « Jésus vivant en nous » au « Cœur deJésus », 663, 664 ; l'École française et l'École deParay. 657-659 ; 664-671 ; Bérulle et la dévotionau Sacré-Cœur, 664 sq. ; l'école française moinsparlante à la foule, 665 ; dévotion franciscaine suSacré-Cœur, 666 ; anthropocentrisme de ladévotion de Paray. 668 ; l’école française fait plusde place au « cœur divin », l’école de Paray, au« cœur de chair » ; l'école française pluscontemplative, celle de Paray plus agissante, 669,670 ; la dévotion de l’école française oriente plusimmédiatement vers la vie mystique, 670, 671. –VII, la théologie du pur amour et la théologie duSacré-Cœur, 264. – X, une des hymnes pour lafête du Sacré- Cœur s’inspire de Santeul, 97.

Le cœur chrétien formé sur le Cœur de Jésus-Christ,X, 200-203. v. Noulleau, Père Joseph, Marie del’Incarnation, Antoinette de Jésus, Élisabeth del'Enfant-Jésus, Marguerite-Marie Alacoque,Hamon. Père Letierce, J.-B Bainvel, Garriguet,Marie Bon, M. Helyot, Thomas Goodwin,Bérulle, Guilloré, Jeanne Perraud, Jean Eudes,

561

Bénédictines, Grou, Gallifet, Timothée deRégnier, Hilaire de Barenton, Baruteil.

SADOLET. – I, 71, 508 ; fut en relationsavec saint Gaëtan. 522. v. Père Orazio Premoli.

SAILLI (P. Thomas), s. j. – ThesaurusLitaniarum ac Orationum sacer, X, 186.

SAINT-AIGNAN (comte de), père de Mariede Beauvillier. – II, 444.

SAINT-AMOUR (M. de). – III, 426. – IV,285.

SAINT-ANDRÉ (prieur de). – Réviseur duCatéchisme spirituel du Père Surin, V, 151.

SAINT-ANGE (Frère). – I, 156. – IV, 349.SAINT-ATHANASE (Mère). – VI, 129.SAINT-AUBIN d'Angers (monastère de). –

VI, 82.SAINT-AUSONE D’ANGOULÊME

(abbaye). – II, 416.SAINT-BERTIN (Robert de), bénédictin. –

VI, sa lettre sur la grâce à J.-M. Deleloë, 378, 379.SAINTE-BEUVE (Jean de). – Tradition de

l’Église sur les Bénédictions, IX, 20.SAINTE-BEUVE. – III, 319, 507. – IV, dans

son Port-Royal, sa curiosité plus littéraire oumorale que mystique II, III ; son Port- Royal niapologie du jansénisme, ni apologie duchristianisme orthodoxe, 3 sq. ; préfère Hamonau grand Arnauld, 4 ; cinq volumes sur six de sonœuvre racontent la décadence de Port-Royal. 7 ;son enthousiasme pour Port-Royal ; il ne

562

connaissait pas d’autres chrétiens, 8 ; le stylejanséniste, 9 ; 23, 37, 38, 47, 52, 53, 58, 69, 72,147, 16o, 172, 173, 193, 209, 233, 240, 246, 264,265, 273, 277, 281, 284, 285, 287, 292, 421, 437,443. 445, 558. – VI, 354, 386. – VII. 325.

Port-Royal, I, trouve que François de Salesraffine, 113 ; n’a jamais vu en lui qu’un Lamartinepieux, 126 ; sur la conjuration de Bourgfontaine,158 ; Camus et Port-Royal, 165 ; juge excellent lelivre de Camus sur François de Sales, 173 ; 222 ;note sur Rigault, 277 ; sur les ouvragesallégoriques consacrés à François de Sales, 321 ;estimait Brébeuf, 341 ; révolution que la FréquenteCommunion a déterminée dans la manièred’entendre et de pratiquer la piété, 387, 388 ; 394,401. – II. sagesse humaine et fleurie du PèreArchange de Pembroke. capucin, 152 ; 396. – III,de l'entrevue de saint Vincent de Paul et de M.Bourdoise chez Bérulle, 224 ; 521. – IV, déviationprécoce de l’esprit du premier Port-Royal, 5-7 ;l'utilité morale, règle du style de P.-R., 9, 10 ; 12 ;14, [222] l’épitaphe d’Arnauld, 22 ; citation deJoubert, 24 ; de la réputation de Saint-Cyran, 36 ;Saint-Cyran et les femmes, 39, 40 ; 48 ; sur le livrede Saint-Cyran : Apologie pour de La Rocheposay, 51 ;billet de Saint- Cyran sur le royaume secret auquelil aspire, 52, 53 ; 58, Saint- Cyran et les enfants,64 ; ses larmes faciles, 65 ; Saint-Cyran attendantson heure, sorte de Sieyès spirituel endisponibilité, 68 ; 75 ; du vocabulaire de

563

convention entre Saint-Cyran et Jansénius, 87 ;Saint-Cyran et l'indépendance absolue du chrétienintérieur, 152 ; 153 ; Arnauld mena Port-Royal etles siens hors des voies premières, 173, 174 ; 178 ;la marquise de Sénecé, 180 ; les écrits de la MèreAgnès, 189 ; Sébastien Zamet, 197 ; la MèreAgnès et la signature du Formulaire, 232 ;Relations des filles de Port-Royal, 237 ; la secondegénération des filles de Port-Royal, 241 ; Rapin etNicole, 246 ; les larmes de M. de Saci, 247 ; le rirede Lancelot, 248 ; M. de Saint-Gilles, 250 ; leslettres de M. Le Maître, 251, 252 ; M. Hamon,257 ; M. de Tillemont et les païens, 259 ; lettre deRacine sur la mort de M. Thomas du Fossé, 268 ;Tillemont humble, lent, monotone, mais ayantdes accents d’une angélique beauté, 278 ; le motde Vinet sur Port- Royal. 282 ; Arnauld et lescolporteurs de ses écrits, 288 ; citation deBourdaloue sur la médisance changée en vertu,297 ; le second Port-Royal plus scientifiquequ’intérieur, 306 ; Mémoire du Père de Montézon,310 ; Molière plus triste que Pascal, 322 ; M.Guillebert, 346 ; la conversion d’après Port-Royal,347 ; Joubert et le Jansénisme, 398, 399 ; PierreNicole, 419 ; Nicole et Pascal, 420 ; Nicole et ladistinction du fait et du droit, 426 ; Nicolepsychologue et moraliste, 437 : il écrivait pour lejansénisme, ayant dans l’esprit un système toutopposé, 446 : malentendu entre Arnauld etNicole, 450 ; agitation et nervosité de Nicole,

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461 ; 465, 466 ; Sainte-Beuve et Joubert surNicole, 470 ; Mm° Guyon et Nicole, 484-486. – V,sur le prince de Conti, 266. – VI, 499. – IX, 25 ;du prétendu calvinisme secret d’Arnauld, 48 ; 50,54 ; sur la Fréquente Communion, 56 ; 103 ;Bourdaloue et Port-Royal, sur la réception dessacrements, 106 ; 227, 275, 337 ; de l’agonie de laMère Angélique, 338 ; des mariages du duc deLuynes, 348 ; 362. – X, sur les Institutionsliturgiques de dom Guéranger, 38 ; surLetourneux, 41, 43, 44 ; de l'interdiction desAnnées chrétiennes, 42, 43 ; Letourneux soupçonnédans sa foi en la divinité de Jésus-Christ, 47 ;Sainte-Beuve explique le dessein louable deLetourneux dans ses traductions liturgiques, 49,50 ; sur l’Hymne Stupete gentes de Santeul, 118,119 ; épitaphes d’Arnauld : par Boileau, 154 ; parSanteul, 155 ; traduction des hymnes du Bréviairepar Messieurs de Port-Royal, 174 ; sur latraduction du Veni Creator par M. de Saci, 177 ;283 ; parallèle entre Fénelon et Duguet, 288. –XI, donne sur l’affaire Séguenot, la versionjanséniste, 221 ; voit dans l'affaire Séguenot unesuite de la persécution contre Caussin, 221 ; necroit pas que Séguenot ait prêté à Saint-Cyran sonnom et sa plume, 221 ; refus, au nom de lacritique interne, d’attribuer à Saint-Cyran le livrede Séguenot, 222 ; Sainte-Beuve a fâcheusementignoré la phase oratorienne du premier Port-Royal, 222.

565

Nouveaux Lundis, IV, citation de J.-J.Rousseau, 505.

Lundis, X, son article sur Santeul, 63.SAINTE-BEUVE (Mme de), ursuline (née

Madeleine Luillier, cousine de Mme Acarie). – II,31, 127, 194, 200, 226, 258. – VI, 443. v. H deLeymont.

SAINTE-CANDIDE LE CERF (Sœur)[223] religieuse de Maubuisson. – XI, écrivit lesMémoires dont Sœur Eustochie se servit pourcomposer la Vie de Mère des Anges, abbesse deMaubuisson, 115-156. v. Madeleine de Flers,Illuminée de Picardie, Sœur Eustochie.

Saints Cœurs de Jésus et de Marie, revuemensuelle, III, 590.

SAINT-CORNEILLE DE COMPIÈGNE(abbaye de). – VI, 82, 88.

SAINT-CYRAN (Duvergier de Hauranne,abbé de). – I, 130 ; conjuration de Bourgfontaine,158, 159 ; 387 ; 389 ; sa doctrine morale moinsexigeante que celle de François de Sales et deCamus, 390 ; ses victimes à Port-Royal, 412. – II,346. – III, 7, 115, 211, 232 ; fasciné par le Père deCondren, 292 ; Saint Cyran et le Père de Condren,325-332 ; 425, 628. – IV, 1, 11 : ses théoriesantilittéraires, 10-14 ; 25, 26 ; se rattache à l’écolefrançaise, 30 sq. ; 31, 32 : la misère de M. deSaint- Cyran, 36-83 ; sa vie entière est une longuefaillite, 36 sq. ; exagération de ses admirateurs etde ses adversaires, 38 sq. ; son prestige ; conduite

566

de Lancelot après la mort de Saint-Cyran, 39 ;illuminisme au moins apparent, 42 sq. ; banalitéde ses oracles, 43 ; prodigieusement occupé desoi, 46 sq. ; ses aphasies soudaines, 46, 47 ; sonhéroïsme prétendu, 47 sq. ; héréditépsychopathique, 50 ; lettre à Robert d’Andilly surl’accouchement de sa femme, 51 ; 52, 53 ;mégalomanie, 52 ; 53 ; courbe de sa névrose, 54 ;vers l’hébétude, 54 ; son érudition, 55 ; le cabinetd’Allemagne, 59, 60 ; son inconstance, 6o sq. ; saconduite à Port-Royal, 61 sq. ; les autres maladesde la famille ; obsession du jeune de Hauranne,63 ; mélancolie douce de Saint-Cyran, 63, 64 ;cœur excellent, sa tendresse pour les enfants, 64 ;a-t-il eu le délire de la persécution ? 65 ; seslarmes faciles, 65 ; retour à l’enfance ; ataxieintellectuelle et morale, 64 ; un génie et un saintmanqué, 67 ; le réformateur, 67 sq. ; lettres d’unévêque d’Aire à Saint-Cyran, 67 ; « une sorte deSieyès spirituel en disponibilité », 68 ; sonincarcération à Vincennes, 73 sq. ; Saint- Cyranconspirateur, 84-128 : ; information de la doctrinede l’abbé de Saint-Cyran par Jean Martin deLaubardemont. 89-93 ; Lettres et Mémoires quiont servi au procès, 93-95, 96 ; interrogatoire deM. de Saint-Cyran par Lescot, 95, 96 ; la défense,96 ; apologie pour M. de Laubardemont, 96-98 ;le procès de Vincennes, 87-98 ; irrégularité duprocès ; principales pièces ; le dossier qui nousreste, 88, 89 ; les témoins à charge, 89 sq. ; la

567

dénonciation de Zamet ; critique de cette pièce,89-93 ; lettre à Vincent de Paul ; lettre à d’Andilly,94 on peut, sans témérité, le soupçonner des piresdesseins, 98 sq. ; la consigne du secret, 99 ; lessecrets innocents, 99 sq. ; procédés indécentspour s’assurer le secret, 100 ; nul ne fut moinssecret que lui, 101, 102 ; la scène devant lesmurailles de Maubuisson, 102-104 ; les deuxSaint-Cyran : à l’état normal et pendant les crises ;le théologien et l’illuminé ; lequel des deux est levrai, 104, 105 ; « la grande affaire », l’ultimesecret, 105 sq. ; Saint-Cyran et Jansénius, 105 sq. ;le Pilmot original ; l’évolution de Pilmot, 111,112 ; ses neveux élevés chez les jésuites deLouvain, 116 ; ses factums, 117 ; le premier projetde Saint-Cyran et de Jansénius n’était pas derépandre la fausse doctrine sur la grâce, 119 sq. ;plus érudit que théologien, 124 sq. ; excitateurplus que maître, 126 sq. ; adopte l’Augustinus,127 ; à la remorque de Jansénius, 127, 128 ; la« grande affaire » et le jansénisme, 127, 128 ; lareligion de Saint-Cyran, 129-175 ; sa vraie religion,son rigorisme, 130 ; sur les dispositions à laconfession et à la [224] communion, 130, 131 ;vague de ses prétentions réformatrices, 131, 132peu de sérieux que présente son rigorisme, 132sq. ; humaniste dévot, 133 ; sur la paix intérieure,132 ; le joug de Jésus-Christ, plein de suavité, 133,134 ; les jeux méprisables de l’ennemi, 133 ; ne se« mettre en peine de rien », 134 ; sur la

568

communion, 134-144 ; ses expériences mystiques,134-138 ; Saint Cyran au confessionnal, 135 sq. ;la direction de Port-Royal, 136 sq. ; sa messequotidienne (lettre de la Mère Angélique), 137 ; lacommunion fréquente, i38, 139 ; le« renouvellement » à Port-Royal, 139-141 ; goûtaitpeu la direction des femmes, 141 ; sur le Saint-Sacrement, 142 ; déformation progressive de sadoctrine sur la communion, 142, 143 ; la joie decommunier, 143, 144 ; sur la confession, 144-148 ;avait, sur l’âge de la première communion,presque les mêmes idées que Pie X, 144 ; avouequ'il différait parfois l'absolution, 145-148 ;semences d’hérésie dans sa pensée confuse, 148sq. ; vers un christianisme purement intérieur,149-151 ; individualisme mystique substitué aucatholicisme, 151 ; se passer des sacrements, 151 ;on l’a dit presbytérien, 152 ; ne pouvant plus direla messe, communiait, non sans ostentation, avecles laïques, 153 ; peut-être est il imprudent de luiattribuer une doctrine, 154, 155 ; le vrai et lemeilleur Saint-Cyran, 155 sq. ; le meilleur : unhomme d’oraison, 155 ; prière de docteur, façadepompeuse cachant une créature de faiblesse, 156 ;sur la vaine gloire, 158 ; le flux et le reflux de lagrâce (prière), 158, 159 ; intensité religieuse ethumanité, 160 ; précurseur du romantismecatholique, 160, 161 ; la prière du pauvre, 161-164 ; se présenter à Dieu sans rien lui dire, 162 ;vers la contemplation, 164 ; nul quiétisme, 165 ;

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silence et flexibilité, 166, 167 ; n'a des illuminésque l'apparence, 168 ; ne fera jamais un maîtreparfaitement sûr, 169 : le jansénisme le trouveratrop mystique, 169 ; ce qui l'empêche de devenirun vrai mystique, 170 ; sa quête douloureuse de lacertitude, 171, 172 ; les « témoignages de Dieu »,171, 172 ; sa grandeur et sa misère, 172-175 ; 184,186, 188, 194, 195, 197, 202, 203 : sa défense duChapelet secret, 205, 211 ; fait approuver leChapelet secret par Jansénius et Fromond, 211 ;son début à Port-Royal, sorte de revivalméthodiste, 213, 214 ; 220, 223, 230, 247, 248,251-254, 257, 281, 282, 284, 285, 300, 302, 310,312, 314, 317, 320, 346, 347, 385, 397, 420, 421,423, 444, 447, 470, 473, 479, 494, 529, 592. – V,185, 307. – VII, 199. – IX, 10, 48 ; la vie bonne etchrétienne... suffit pour donner droit à la saintecommunion, 57 ; 72, 102, 106 ; désirait que lacoutume fut renouvelée ou maintenue de lacolombe eucharistique, 239 ; la dévotion à laVierge, 249, 255. – X, 43, 44, 239. – XI. sesennemis imaginèrent de le mêler à l'affaire del’illuminisme, 94 ; 120, 121 ; ses rapports avecMaubuisson, 125, 126 ; 127, 132, 142, 143, 147 ;les Pères de Cîteaux contre Saint-Cyran, 147 sq. ;179, 219, 220, 221, 222, 223, 224, 225, 226, 227,232, 274, 277.

Lettres chrétiennes, IV, 46, 139, 155 ; à unenovice, 157, 158.

570

Raisons de la cérémonie et de la coutume ancienne desuspendre le Saint Sacrement au-dessus de l'autel, IV,160.

Catéchisme, IV, 49, 144.Réfutation... au sujet du Chapelet secret, IV, 205.Question royale, IV, 50, 51, 115.Théologie familière, IV, 162.Petrus Aurelius, IV, 68, 117, 127. 151, 152,

153.Maximes saintes. IV, 139, 140, 142, 144, 158,

159, 165, 166.Œuvres chrétiennes et [225] spirituelles IV, 132,

133, 134, 162, 167, 172.Maximes, extraites de son information, IV,

117 ; 156.Apologie (pour le Chapelet secret), IV, 211. v.

Rapin, Vincent de Paul, Brucker.SAINTE-CROIX DE POITIERS (abbaye

de). – II, 395, 407, 423.SAINT-DENIS-EN-BROCQUE-ROYE

(abbaye de). – VI, 376.SAINT-DENYS (abbaye de). – VI, 82, 178.SAINT-DISIBODE (abbaye de). – II, 515.SAINTE-ÉLISABETH (monastère de). –

VI, 411.SAINT-ESPRIT. – V, doctrine des dons du

Saint-Esprit, 53 sq. v. Lallemant.SAINT-ÉTIENNE (Mère de). v. Louise de

Milley.

571

SAINT-ÉTIENNE-LEZ-SOISSONS(abbaye de). – II, 249.

SAINTE-EUPHÉMIE. v. J. Pascal.SAINT-ÉVREMOND. – IV, 12. – VII, 20,

23.Œuvres mêlées, IV, 12. – IX, de la mort de

Socrate et de Pétrone, 362.SAINT-FARD (abbé de). – VII, 323 ; a

réédité l'Oratoire du cœur de Querdu Le Gall, 372.SAINTE-FOI (Charles), pseudonyme d'Eloi

Jourdain. – X, sur la réforme du bréviaire de1736, (Université Catholique), 163.

Vie des premières Ursulines de France, VI, 443.SAINTE-FOI (Jean), pseudonyme du Père

Surin pour l’édition des Fondements de la Viespirituelle. – V, 149, 150.

SAINTE-GENEVIÈVE (abbaye de). – Viedu R. P. Charles Faure, Abbé de Sainte-Geneviève deParis, II, 6. v. Père Faure, Férot.

SAINTE-GENEVIÈVE ( Congrégation de),pépinière d'ursulines et de carmélites. – II, 252 sq.292.

SAINT-GERMAIN-DES-PRÉS (abbaye de).– VI, 82, 187.

SAINT-GILLES (M. de). – IV, 250.SAINT-JULIEN (sieur de). – XI, 175. v.

Hermant.SAINT JURE (P. Jean-Baptiste), s. j. – I, 329.

– III, 32, 65 ; son autorité dans la Compagnie deJésus, 258 ; humaniste dévot, 259, 260 ; ses

572

lectures faites en humaniste, 260 sq. ; ne croit pasque la spiritualité a commencé avec les Exercices,261 ; l’art de Saint-J. dans les paraphrases, 261 ;goûte Sébastien Brandt, 261 ; triomphalementacquis à la spiritualité bérullienne, 262 ; deuxpériodes dans son développement, 262, 263 ; G.de Renty lui révèle l’école bérullienne, 263 sq. ;s'attacher singulièrement à saint Jean et à saintPaul, 264 ; saint Ignace et Saint-Jure, sur« l'indifférence », 267, 268 ; insiste sur l’union auVerbe incarné plus que sur l'imitation du Verbeincarné, 268 sq. ; son testament spirituel ; l'unionavec N.-S. J.-C., 270 sq. ; son originalité propre ;n’affadit pas, mais humanise la doctrine de l'écolefrançaise, 275 ; 460, 461, 488, 525, 604, 640, 653,681, 683. – IV, 396, 397. – V, 203. – VI, confèrela direction d’une contemplative à M. de Renty,230 ; 390, 391 ; lettre à Élisabeth de l'Enfant-Jésus : plus les opérations spirituelles sont pures,moins elles entrent dans le sens, 392. – VIII, 280,323. – XI, 205, 258.

De la connaissance et de l'amour du Fils de Dieu,III, apologue du docteur hébreu, 261, 262 ; 271. –IV, entre tous les signes de prédestination, celuide l’amour de N.-S. est le plus grand, 338. – V,202. – VII, 329.

Livre des élus, III, 271.L'Homme spirituel, III, excellence de l’homme,

269, 260 ; l’homme s’embarrasse d'une infinité dechoses inutiles, 261 ; tout le secret de la vie

573

spirituelle est contenu dans ces parolesmystérieuses : « Le Verbe s’est fait [226] chair »,624 ; J.-C. notre niveau et notre loi, 265 ; la raisonn’est pas la règle de nos actions en tant que noussommes chrétiens, 261, 266 ; de l’indifférence quenous devons apporter aux mouvements de N.-S.267, 268 ; le Suscipe de S.-J., 268 ; se lier et s’uniraux mystères de J.-C., 272 ; le Saint-Esprit estparticulièrement la vie de notre âme, 649. – IV,340. – V, 54 – XI, 324.

Vie de M. de Renty, III, 264, 271 ; « J’ai vumon âme... dans la purgation et le vide d’ellemême » (de Renty), 525 ; ne plus agir que par laconduite de l'Enfant Jésus, 526 ; un enfant degrâce produit toutes les œuvres par mouvementde grâce et pour une fin de grâce, 526 ; l’enfancede Notre-Soigneur nous enseignel’anéantissement de nous mêmes, 527 ; lasimplicité ne fait aucun retour de proprerecherche, 228 ; l’innocence de l’état d’enfance estcomme un cristal lumineux à travers lequel ondoit voir les choses innocemment, 528, 529 ; surMarguerite de Beaune, 533 ; Jean Carat, 555. –IV, 17.

L'Union avec Notre-Seigneur Jésus Christ dans sesprincipaux mystères, III, 270 ; le plus noble desseinde Dieu : former et représenter son fils J.-C. ennous, 271 ; distinguer l’esprit et l’intérieur dumystère, 272, 273 ; l’extérieur du mystère,dispositif pour recevoir et goûter l'intérieur, 273 ;

574

J.-C. est l’air que doit respirer notre âme, 274,275. – S., 327 ; J. C. est l’air spirituel, 329-337.

Méditations, III, 258.Conduite pour les principales actions de la vie

chrétienne, IX, bien communier rarement vautmieux que communier souvent et mal préparé,96 ; il faut regarder l’hostie, 238 ; 253 ; de laconversion in extremis, 333. – X, contient, en latin,l’Office de la Sapience incarnée, composé par Henri Suso,210. – S., conduite pour l'union avec Dieu, 327,328.

SAINT-LAURENT DE BOURGES (abbayede). – II, 392, 406, 420. 440.

SAINT-LOUIS (P. de). - la Madeleine au désertde la Sainte-Baume, I, 384.

SAINT-LOUIS (Mme de). – II, 426.SAINT-MAGLOIRE (abbaye de), séminaire

de l’Oratoire. – II, 456. – III, 156, 324.SAINT-MAMERT-BEAUSSIEU (de). – Le

Faisceau de myrrhe de l’Épouse du Cantique, VII, 326 ;l’oraison cordiale diffère de l'ordinaire par lacomposition de lieu qui se fait au dedans, 359 ; deJésus-Christ souffrant en nous, 364 : réponse auxcritiques de l’oraison cordiale, 366, 367. – VIII,les activités de piété, 419 ; dernier état, 419 ; del’opération de l’entendement, 419, 420 ; del’opération de la volonté, 420 ; ce simple regardde l’âme s’augmente et se fortifie, 420, 421 ; « J’aiconnu » des odeurs célestes perçues par quelques-uns, 421, 422 ; les épreuves, 422-424.

575

SAINT-MARC (Pierre Costard). - VI, 494.SAINT-MARC-GIRARDIN. – XI, citation

de saint Augustin, 434-436.SAINTE-MARTHE (Abel Louis de), de

l’Oratoire. – I, 193 – III, 157, 189, 215. – IV, 461.– VII, 379.

Avis à une personne sur le renouvellement dubaptême (Traités de piété...) in Exercices de piété àl’usage des religieuses de Port-Royal, IX, 19, 72.

SAINT-MARTIN DE SÉEZ (abbaye de). –VI, 82.

SAINT-MAUR (abbaye de ). – III, 214.SAINT-MAUR (Congrégation de). – VI, 10,

65-78, 82, 84 ; réforme, 180, 181 ; 188 ; la vieréelle à Saint-Maur, 190 ; édition des œuvres desaint Augustin, 207, 208 ; dévotion des Mauristesà sainte Gertrude, 213. [227]

SAINT-MESMIN (président de). – II, 324.SAINT-NICAISE DE MEULAN (abbaye

de). – VI, 82, 84, 87.SAINT-NICOLAS DE VERNEUIL (abbaye

de). – II, 417.SAINT-PAUL (comtesse de). v. Caumont.SAINT PAUL (dom Charles de), feuillant. –

I, panégyrique de l’amour humain, 379 ; desattributs que les anciens donnaient à l’amour, 380.

Tableau de la Madeleine, I, des orgues ; les petitsenfants au sein de leur mère, 380 ; de l’amourparfait, 382 ; Marie-Madeleine, miracle de l’amouren l’ordre de la grâce, 383 ; 384.

576

SAINT-PAUL-LES-BEAUVAIS (abbayede). – II, 395, 410, 411, 420, 422, 428, 433, 436,445, 511.

SAINT-PÉ (P. François de), de l’Oratoire. –III, disciple fervent de Bérulle, 183 ; converti parCondren 188, 189 ; du jansénisme, 213, 214 ;217 ; Condren et Saint-Cyran, 329 ; 421 ;composa son Nouvel Adam en s’inspirant desinstructions de Condren sur le Baptême, 426 ; surle Père de Condren, 427. – VII, 201. – IX, défendl’interprétation paulinienne et bérullienne despromesses baptismales, 11 ; s’est toujours déclaréhautement contre le jansénisme, 11.

Le Nouvel Adam, I, 372. – III, 426. – IV, surl’O felix culpa, 400. – IX, de la dévotion auBaptême, 4 ; l’imitation de J.-C. et notre état demembres de son corps mystique, 15 ; renoncer àtout ce que nous tenons d’Adam, 16.

Dialogue sur le Baptême, ou la vie de Jésuscommuniquée aux chrétiens dans ce sacrement, III, 180.– IX, de la dévotion an Baptême, 4 ; rien de plushaut que l’idée du Baptême, 6 ; nous recevons suBaptême un nouvel être, 7 ; de l’adhérence àJésus-Christ par le Baptême, 10, 11 ; ce quesignifie le vœu du Baptême, 10 ; deux qualitésreçues au Baptême : celle d’esclave de Jésus-Christ et celle de membres de son corps. 11, 12 ;qu’il faut animer notre Baptême, 12 ; Jésus est lefond de notre être par sa divinité. Il s’honore lui-même en nous lorsqu'il s'imprime dans nos

577

cœurs, 13, 14 ; de l'eau du Baptême, 19 ; figures etsymboles du Baptême : le déluge, le passage de lamer Rouge, 19, 20, 21 ; le catéchumène renonçaitau démon en se tournant vers l’occident, 22 ; ledémon chassé par un souffle léger, 23 ; pratiquesde dévotion au Baptême ; la robe blancheconservée, le chrémeau, 33, 34 i l’anniversaire,35 ; la Pâque annotine, 35. v. Cloyseault.

SAINTE-PERRINE (abbaye de). – VI, 344.SAINT-PIERRE (monastère de). – V, 193. v.

P. Adrien de Montalembert.SAINT-PIERRE DE CHATEYRAC (M.

de). – III, 556.SAINT-PIERRE DE JÉSUS (R. M.). – Vie

de la Révérende Mère Jeanne Chézard de Matel, V,paroles de Dieu à J. Ch. de Matel, 136. – VI, 269,270, 273, 276-297.

SAINT-PIERRE DE LYON (abbaye de). –II, 496, 497.

SAINT-PIERRE-LE-MOUTIER (prieuréde). – II, 533.

SAINT-PIERRE DE REIMS (Abbaye de). –II, 395, 402, 405, 418, 422, 426, 453.

SAINTE-PRAXÈDE (monastère de). – II,31-33. – VI, 425. v. P. Rousset.

SAINT-RÉAL. – IV, 15.SAINT-ROCH (église). – Office du Triomphe de

la Foi, IX, 286.SAINT-SACREMENT (Compagnie du). –

III, 324, 327, 530.

578

SAINT-SACREMENT (dévotion ad Très). –VI, le Chapelet du Saint-Sacrement, 431. v. d'Authierde Sisgau. [228]

SAINT-SACREMENT (ordre du). – IV, 197,209 ; filiale de Port-Royal 210 ; 211, 212. v.Bellegarde.

SAINT-SAMSON. v Jean de Saint-Samson.SAINT-SAUVEUR (Mère de). – XI. 340.

Jeanne Absolu.SAINT-SERGE D’ANGERS (couvent de). –

VI, 82, 88.SAINT-SIMON. – I, 179. – VI, 236. – IX,

les saluts de Versailles, 245.SAINT-SUAIRE (oraison du). – VI, fut une

des grandes dévotions de la Savoie, 322.SAINT-SULPICE (Compagnie de). – II, 22.

– III, 116 ; les messieurs de Saint-Sulpice sevantaient d’avoir l’esprit du Père de Condren,420-423 ; cette opinion héritée de M. Olier, 420-422.

SAINT-SULPICE. – III, paroissebérullienne, 515. – X, Offices propres : Vieintérieure de Jésus-Christ. Sacerdoce de Jésus-Christ. Vie intérieure de Marie, 221. v. Levesque.

SAINT-SULPICE (abbaye de). – II, 395.SAINTE-SUZANNE (Sœur de). – IV, 179.SAINT-VANNE (abbaye de). – II, 420. –

III, 214.SAINT-VICTOR (abbaye de). – II, 535. –

VI, 190.

579

SAINT-VICTOR (Adam de). – III, 477, 478.– VI, 299.

SAINT-VICTOR (Hugues de). – IV, 527,528.

SAINTES (abbaye de). – II, 395, 397, 398,413, 423. – IV, 218. – V, 204, 206.

SAINTS. – II, fluctuations de leur gloire,193, 194. v. Vies de Saints.

SALAZAR (P. Gaspar de), s. j. – VIII, 235.SALAZAR (P. Hernand de), s. j. – Pratique de

la fréquente communion, mise en français par le PèreJean Guillot, o. p. ; IX, avertissement de l’éditeur,79 ; de la communion fréquente faite sans avis dudirecteur, 80 ; la communion quotidienne n’estpas pour les âmes de médiocre vertu, 81 ; desdeux fins de la communion, 82, 83 ; il n’existeaucune preuve de la communion quotidiennedans la primitive Église, 82, préfère, dans lacommunion, la gloire du Sacrement à son propreavantage spirituel, 83 sq. ; de la fréquentation,fréquente mais discrète, de la communion, 87,88 ; de la communion hebdomadaire, 88 ; a écritsur les Proverbes, 89 ; défense de saint Ignace et dela Compagnie à propos de la communionfréquente, 90 ; 91-94, 97-99, 102, 107, 109, 114,116, 120, 126, 130.

SALDOZ, auteur de formules de prières àN.-S. crucifié. – X, 6.

SALES (Jeanne de), sœur de saint Françoisde Sales, – II, 547.

580

SALES (Charles-Auguste de), neveu de s. Fr.de Sales. – V, 401.

SALÈS (P. Jacques), s. j. – I, 22.SALICÈTE (Nicolas). – Antidotaire sacré, I,

327. – IX, 284.SALIN (P. de), s. j. – II, 420.SALINIS (P. de), s. j. – Madame de Villeneuve...

fondatrice et institutrice des Sœurs de la Croix, III, 421.– XI, 103, 108.

SALISBURY (Jean de). – I, sur Bernard deChartres (Polycraticus), 6.

SALLUSTE. – IV, 372.SALMERON (P.), s. j. – I, sa dispute avec

Morone, 14, 15. v. Prat, Cantu, Tacchi-Venturi.SALTET. – Un faussaire bordelais, XI, le Père

Chéron convaincu de faux, 326.SAMANIEGO (P. Joseph Ximenes). – Vie

de la Vénérable Mère Marie de Jésus (Marie d’Agreda),IX, 274.

SANADON (P. Etienne), s. j., traducteur etexégète d’Horace. – IX, 202.

SANADON (P. Nicolas), s. j. – IX, 202 – X,228, 343, 293. [229]

Prières et Instructions chrétiennes. IX, Méditationspour le renouvellement des promesses duBaptême. 37 ; des communions mal préparées,manquées et stériles, 111 ; prières pendant laMesse : avant l'Évangile, 203 ; pratique pour sepréparer à la mort, 283. – X, action de grâces

581

après la Confession, 238 ; pour bien commenceret finir la journée, 258. v. Deville.

SANCHEZ (P. Alonso), s. j. – VIII, 235.SANCY (Charlotte de). v. Bréauté.SANCY (P. de), de l’Oratoire. – III, 198.SANDAEUS (P.), s. j. – VIII, sa définition

de la contemplation qu'il tient pouressentiellement délicieuse, 270.

SANIER (Marie). – XI, 106.SANS DE SAINTE-CATHERINE (dom),

feuillant. – II, 9 ; sur Mme Acarie, 224, 235, 237,242. – IV, 30.

Œuvres spirituelles, I, 330. – II, pratique desvertus et écrivains contemplatifs, 578, 579.

SANTARELLI (P.), s. j. – II, ses thèses sur lapuissance pontificale, 133.

SANTAYANA. – XI, l’amour vrai... affinitéinstinctive, profonde et silencieuse, 431. v.Herbert Read.

SANTEUL (Claude). – VII, 386. – IX, 281.Hymnes, IX, 311. – X, 64, 69, 70, 77. 87, 88,

89, 90, 91, 102, 110 ; pour la Commémoration desaint Paul, 112 ; 115, 132, 134, 136 ; pourl’Expectatio partus, 137 ; pour la Visitation, 138 ;sur la Sainte Tunique, 139 ; 145.

SANTEUL (J.-B.). – X, 36, 61-66 ; 69, 72, 79,88-91, 95-97, 110, 116, 124 ; hymne des vêpres del’office de Marie l’Égyptienne, 38 ; sur laCouronne d’épines, 77, 78 ; la Nativité de laSainte Vierge, 78 ; hymne des matines de saint

582

Jean l’Évangéliste, 95 ; pour l’Assomption, 96 ;l’Invention de la Sainte Croix, 97 ; la fête desainte Madeleine, 97, 98 ; la Purification, 104-108 ;le Commun des Docteurs, 116-118 ; les saintsMoines, 118 ; la Toussaint, 119-122 ; la Visitation,123-127 ; traduction de cette hymne en versfrançais, 123-125 ; 128, 129 ; pour la décollationde saint Jean-Baptiste, 130 ; 132 ; pour saint Jean,133 ; 136 ; la Visitation, 138 ; 140, 145 ; l’indignitéde Santeul, 151-153 ; ses extravagances, 151 ;Santoliana, 151 : sa piété, 153 ; lettre au PèreGourreau, 153 ; sa prière au Christ : O nostrimiserere, 153 ; le jansénisme, 154-158 ; épitaphed’Arnauld, 154 ; critiques d’une hymne pourl'Office des Évangélistes, 155-158 : hymne dupape saint Célestin ; de sainte Barbe ; sur laPassion, 158 ; traduction de ses hymnes par l'abbéSaurin, 177, 178 ; le « Lutrin » de Santeul : DiviMaglorii Quaerimonia, 179-182 ; 210, 279. v.Montalant-Bougleux, Bonnetty, Gazier, Fourier-Bonnard, dom Guéranger.

SARAUSSEAU (Guy de). – V, 345.SARAUSSEAU (Marguerite de). – V, 345.SARBIEWSK1. – X, 36.SAUDREAU chanoine Auguste). – IV, dans

sa théorie de la contemplation semble ne pasassez oublier la raison raisonnante, 564, 563 ;controverse avec le Père Poulain, 564. – V, ladoctrine des dons du Saint-Esprit tient unegrande place dans ses écrits, 53 ; suit de très près

583

le Père Lallemant, 53 ; 58 ; s’inspire constammentdu Père Surin, 308 ; s'appuie bien souvent surSuarez, 341 ; d'un conflit en Espagne au XVIe

siècle entre les spirituels de la Compagnie deJésus, 396. – X, 337. – S., 118, 139, 146, 177.

Les degrés de la vie spirituelle, IV, 339 ; desconsolations spirituelles. 340 : état des chrétiensmédiocres. 345, 346 ; 347, 349 ; retrait desconsolations sensibles, 352 ; la [230] connaissancedégagée du sensible d’après saint Jean de la Croix,539-542 ; le fond, l’essentiel de la contemplation,552 ; du repos de l’âme recueillie, 560 ; 564 ;l'homme peut se disposer à la contemplation maisnon se la procurer, 578 ; épreuves descontemplatifs, 579, 580.

Les faits extraordinaires de la vie spirituelle, V,médecins et croyants devant les faits surnaturels,181 ; sur la possession, 181.

Le mouvement antimystique en Espagne au XVIe

siècle, V, opinion d’un théologien s. j. surLallemant et Surin, 158. – VIII, 195, 359.

L'État mystique, VI, l’auteur étudie dans celivre la doctrine mystique de Marie del’Incarnation, 9 ; 138, 435 ; sur la Sœur Marie deSainte-Thérèse, 438, 439 ; discute l’opinion de H.Bremond sur Jeanne des Anges, 440.

La Vie d'union à Dieu, VI, sur lacondamnation des ouvrages de Jean de Bernières,233, 234.

584

Les tendresses du Seigneur pour une âme fidèle, ouVie de la Mère Anne-Marguerite Clément, VI, 394 ; lapensée des mystères dans l’oraison, 395 ; 396.

Vers l'Amour parfait, VII, l’auteur a recours,dans cet ouvrage, à des figures symboliques, 373.

SAUJON (Anne de). – III, 487. – V, l66. v.Olier.

SAUJON (baron de). – V, 167, 171.SAUJON (baronne de). – V, 167 ; Marie

Baron meurt chez elle, 171 ; le Père Surin luiconfie Madeleine Boinet, 173, 174.

SAUJON (Marthe de), religieuse hospitalièreà La Rochelle, correspondante du Père Surin. – V,166.

SAULT (P. Nicolas du).s. j. – IX. 39.Caractères du vice et de la vertu pour faire un fidèle

discernement de l'un et de l’autre, XI, 176 ; de la cabalecontre les faux spirituels, 177, 178 ; jansénisme etilluminisme, 179 ; persistance de l’illuminismeespagnol, 180, 181 ; d’une autre espèce denouveaux illuminés, 181, 182 ; il ne la connaît quepar ouï-dire, 181.

SAUMUR (prieuré de). – Réforme de la MèreGautron, v. La Vie de la Révérende Mère MadeleineGautron, prieure de Saumur, II, 424, 425. – V, 400.

SAURIN (abbé). – X, 112 ; a traduit leshymnes de Santeul, 177, 178.

SAUTEL (Pierre-Joseph). – Lusus poeticiallegorici, I, la mouche qui se noie, 318 ; poème surle perroquet, 318 ; marche funèbre d’une puce,

585

319, 320 ; a chanté sainte Madeleine, 384. v.Coupé,

SAUVAGE (P ), s. j. – I, sur la réalité ducomplot de Bourgfontaine, 158, 159.

SAVONAROLE. – VIII, 207. – IX, 47.SAZILLY (Claire de), ursuline de Loudun. –

V. 215.SCALIGER (Joseph). – II, 84.SCARRON. – X, 83.Roman comique, I, 283.SCHERER (Edmond). v. Boutmy.SCHLEIERMACHER. – X, « Il faut que la

prière se crée ses propres paroles », 341 ; 343.SCHMIDT (P. W.). – VII, 13. – XI, 324. –

S., 19. v. P. Lemonnyer.SCHOENHER. – Histoire du séminaire de

Saint-Nicolas-du-Chardonnet, III, 174, 177. – VI,241.

SCHOLASTIQUE DE SAINT-ÉLIE(Sœur), carmélite (Marguerite Rondelet). – VI.379 ; décrit avec simplicité les épreuves par oùdoivent passer la plupart des mystiques, 379, 380 ;ses doutes contre la foi, 380 ; « Un jour il me futavis que je descendais en enfer », 381.

SCHURMANN (Mlle). – XI, 176.SCHWARTZEMBERG (prince de). – IX,

255.SCOT (Duns). – I, 112. – II, 137. – VI, 519 –

VII, 218. – XI, 231, 285. v. P. Michel-Ange.

586

SCOTT (Walter). – Redgauntlet, [231] XI, d’unrecueil licencieux camouflé en livre de prières, 75.

SCUDÉRY (G. de). – VI, 502.Alaric, VI, description d’un palais, 503.SCUDÉRY (Madeleine de). – VI, 502. – IX,

sur la mort de Mme de Monaco, 336. – X, lettre deHuet sur Pellisaon, 222. v. Rathery, Boutron.

SCUPOLI (P.), théatin. – Combat spirituel, I,108. – II, 230. – VII, 52 ; les deux volontés quisont dans l’homme, 53 ; 55. – S., de la prière, 48.v. Camus.

SEAUME (abbé). – Françoise de Bona (Fr.Monet) ; histoire merveilleuse et véridique d'une enfant duHaut-Bugey au XVIIe siècle, VI, 417.

SÉBASTIEN (don), roi de Portugal. – VI,404.

SEBONDE (Raymond de). v. Bové Salvador.SÉCHÉ (Léon). – Sainte-Beuve, IV, 468.SECRÉTAN. – Une expérience religieuse, IV,

357, 358 ; 366, 370. v. William James.SÉGAUD (P.), s. j. – IX, 39.SEGNERI. – XI, 330, 347, 349, 350, 352,

353, 362, 376, 409, 411, 414, 425, 427.SEGOND (J.). – La Prière, X, prière vocale et

rites, 12.SEGRAIS (Jean de). – V, 355.SÉGUENOT (P.), de l’Oratoire. – III,

confesseur de Rancé, 325 ; son livre de la saintevirginité condamné en Sorbonne, 331 ; 425. – VIII,272. – X, 321.

587

Conduite d'oraison pour les âmes qui n'y ont pasfacilité, VII, 113 ; sur le petit nombre de ceux quisavent faire oraison, 114, 115 ; les actionschrétiennes doivent être référées à Dieu et nous yréférer, 115, 116 ; Dieu est en nous pour y opérerincessamment, 118 ; soumettre notre esprit àl’esprit de Dieu, 118 ; offrir à Dieu les pensées del’âme sainte de Jésus ; le Fils de Dieu est ennous... pour y parler, 119, 120 ; l’oraison est uneffet et un usage de la société que nous avonsavec Dieu par Jésus-Christ, 120 ; de l’activitéhumaine et de la coopération à la grâce, 121, 122 ;soumettre notre esprit au Saint-Esprit, 121, 122 ;se donner, s’offrir, s'exposer à l'œuvre de Dieu,122 ; la lumière de la foi suffit à éclairer l'oraison,123 sq. ; l’Esprit de Dieu nous tire de lamultiplicité de la nature pour nous mettre dansl’unité même de Dieu, 124 ; essayer toujoursd'entrer par amour dans les lumières plutôt quepar les lumières dans l’amour, 125 ; dumouvement rétrograde de l’esprit dans l’oraison,125 ; se laisser aller... à l’instinct et su mouvementde la grâce, 126 ; les vrais effets de la grâce nesont pas sensibles, 126, 127 ; suavité et goûtquelquefois sensibles à ceux qui en ont besoin,127 ; il se passe en vous des choses que vous neconnaissez pas, 129 ; zone secrète de l'âme « où lagrâce réside principalement s, 129, 130 ; « la grâcerend Dieu présent à l’âme », 130 ; sur les deuxvoies et les deux manières d'honorer Dieu

588

(d’après Bérulle), 131, 132 ; la privation et lapauvreté dans l’oraison n’honorent pas moinsDieu que l’abondance, 133 ; adhérence par état au« repos de Dieu », 134, 135 ; rendre hommage àtout ce qui est de Dieu, 136 ; abnégation totale,137 ; ne point s’imaginer de grandes difficultésdans les voies de Dieu, 138 ; 192, 201, 311, 375. –S., peu de gens sont satisfaits de leur oraison, 32.

De la sainte virginité, XI, nécessité de lacontrition parfaite, 219 ; 220 ; l'affaire Séguenot,221-223 ; 225, 226, 232, 274.

SÉGUIER (Chancelier). – II, 533. – III, 7,443, 545, 548. – VI, 293.

SÉGUIER (Chancelière). – III, 550.SÉGUIER (Louise), duchesse de Luynes. v.

Luynes.SÉGUIN. – III, 545, 550. [232]SÉGUIRAN (P.), s. j. – II, 106.Sermons sut la parabole de l'enfant prodigue, I,

Dieu si lent à châtier, si prompt à pardonner, 373.SÉGUR (Françoise de). – IV, 594.SÉGUR (Mgr de). – III, 673.SÉGUR (Jean-Isaac de), baron de Pontchat.

– V, 294, 299.SEIGNELAY (J.-B, marquis de), fils de

Colbert. – VI, 402.SEILLIÈRE (Ernest). – VIII, sa philosophie

de l’impérialisme, 53 ; 238, 240, 436.

589

Le Péril mystique dans l’interprétation desdémocraties contemporaines, IV, sa définition dumysticisme, 565-568 ; sur le fénelonisme, 566.

SEIZIÈME SIÈCLE. – II, la tradition et lesréserves du mysticisme français, 1-35 ; de laprétendue décadence religieuse du XVIe siècle, 1sq. ; prépare le XVIIe siècle et lui passe leflambeau, 7.

SÉJOURNÉ (P. X.-A.), s. j. – Histoire duVénérable serviteur de Dieu, Julien Maunoir, V, 68, 82,89, 91 ; Maunoir met ses missions sous lepatronage de saint Corentin, 92 ; 93, 111, 113,114, 138.

SELLIER, curé de Hauteville. – II, 129.SELVE (Jean de). – I, 348.SELVE (Lazare de). – Les Œuvres spirituelles, I,

« Levez-vous de cette prairie » (Noël), 208 ; 347 ;Sonnet « sur l’arrivée de Jésus-Christ au montd’Olivet », 348.

SENAULT (P.), de l’Oratoire. – I, 514. – II,325. – III, 157, 192, 196, 218, 219. – VII, 187,201, 230, 283. – X, 181.

SÉNECÉ (marquise de), – IV, eut un rôleimportant dans l’histoire du jansénisme, 180.

SÉNÈQUE. – I, 133, 226, 440. – III, 136. –IV, 545. – VI, 472. – VII, 269.

SEPT-FONS (abbaye de). – IX, 281. v.Drouet de Maupertuis.

SÉRICOURT (M. de). – IV, Saint-Cyran luiapprend à prier, 164 ; 246.

590

SERNIN-MARIE DE SAINT-ANDRÉ,carme. – Vie du Vénérable frère Jean de Saint-Samson,X, saint Louis et les religieux du Mont Carmel,363, 364 ; 364-389.

SERRE (Puget de La). – Les Œuvres chrétiennes(Les pensées de l’Éternité, etc.) V, 323, 324.

SERRY (P.), o. p. – I, sur la protestation desaint François de Sales écrite après qu'il eut étédélivré de sa tentation de désespoir, 91.

SÉVÈRE ALEXANDRIN. – IX, sur un ritede l’Église de Syrie dans la cérémonie duBaptême, 10.

SÉVIGNÉ (chevalier de). – IV, 193.SÉVIGNÉ (marquise de). – II, 538, 566. –

IV, 15 ; sur sa jansénisation, 301 ; 312, 468. – V,355. – VI, 50, 236, 347, 348, 431, 432. – XI, 340.

Lettres, IX, sur un sermon de Bourdaloue,105 ; 107, 158 ; IX, sa crainte de la mort, 331,332 ; sur la mort de Mme de Monaco, 336, 337. –X, éloge de Letourneux, 50 ; elle est déçue par unsermon de Bourdaloue sur Noël, 319. v. Castets.

SEVIN (président). – II, 308.SEVRY (Mme de). – II, 498.SHAKESPEARE. – I, 350, 360, 365. – II,

169 – IV, 441. – V, a pris les diablotins de sonthéâtre dans les relations des exorcismes deDenham, 188. – S., 53.

Roméo et Juliette, I, le moine et Roméo, 380,381.

Le Roi Lear, VI. 495.

591

Le Songe d’une nuit d’été, VII, 35.SHANE LESLIE. – Some Birmingham Bygones,

illustrated front the correspondance of Manning andUllathorne, III, 168. [233]

SIDGWICK (Henry). – Miscellaneous essaysand addresses, I, humanisme des Élisabéthains, 9.

SILLERY (chancelier de). – II, 94.SILLERY (commandant de). – III, 545. – XI,

sa charité pour Pierre Guérin, 113.SILLERY (Mme de). – II, 324.SIMÉON (Charles). – IV, « l'assurance du

salut est un privilège non un devoir », 375. v. W.Carus.

SIMON (Richard). – I, a réédité la Parénétiquede l'Amour divin de J.-P. Camus, 155 ; 233. – II.494. – III. 193, 196, 560. – VI, 190. – XI, donne,sur l'affaire Séguenot, la version oratorienne, 221 ;280.

Bibliothèque critique, III. jansénistes etmolinistes dans l'Oratoire, 215 ; 331. – IV, 32.

Lettres, IV, ne voit guère de différence entreles jansénistes et les calvinistes. 325.

Critique de la Bibliothèque des auteursecclésiastiques, VII, relations du Père Thomassinavec Port-Royal, 377, 378 ; n'admire pasThomassin sans réserve, 383 ; Thomassin faisaitretoucher ses livres français par Claude Santeul,386.

SIMON DE BOURG (P.), capucin. – XI,401.

592

Saintes élévations de l'âme à Dieu par tous les degrésd'oraison, II. c’est abus et ignorance de n'oseraspirer à la vie mystique, 192. v. Boudon.

SINGLIN (Antoine). – II, 277. – III, 115. –IV, 39, 58, 62, 135, 143, 186 ; Port-Royal revientsous sa direction au bon sens et à la tradition,216 ; 223, 224, 230, 237, 242, 253, 275, 285, 422,474. – IX. 72.

SIRI (Vittorio). – XI, 105, 113.SIRMOND (P. Antoine), s. j. – I, 318. – IV,

312. – IX, 13. – X, 52.La Défense de la vertu, réponse à la Défense du pur

amour, XI, 186 ; 188, 190, 191, 193, 203, 207, 212,214, 218, 221 ; l’auteur veut non seulementrépondre à la Défense de l’amour de Camus, maisencore confondre Séguenot et Saint-Cyran, 223-228 ; -230, 231, 233. 234 ; ses sophismes surl'obligation d'aimer Dieu, 236 : distinction entrel’amour affectif et l’amour effectif, 237 sq. ; 240,241, 243, 244, 246 ; de l’amour effectif. 247 ; 249,250 ; ne s'est jamais demandé ce que saint Ignaceaurait pensé de sa doctrine, 254 ; 255-263, 265,266, 267, 270, 271, 273, 274, 275, 277-283 ;ricochets indéfinis de l’affaire Sirmond, 284-289,294. 295, 301, 316, 320, 321, 322, 400, 401, 402.

SIRMOND (Jean). – XI, 186, 227.SIRMOND (Jacques). – XI, 186.SISGAU (Christophle d'Authier de), v

Authier de Sisgau, Nicolas Borély.SIXTE (saint). – VI, 106.

593

SIXTE IV. – II, défendit d'attribuer lesstigmates à d’autres qu'à saint François d’Assise,205.

SIXTE V. – II, 31.SIXTE DE SIENNE. – III, 193.SMITH (Richard). – IV, 117.SOCIÉTÉ BAYONNAISE D’ÉTUDES

RÉGIONALES. – IV, 71.SOCIÉTÉ DES BONS AMIS. v. Bagot.SOCRATE. – VI, 452, 453, 472. – IX, 362.SODOMA (Le). – IV, 179.SOISSONS (Mme de), abbesse de

Maubuisson. – XI, 118, 119.SOL (E.). – Le vieux Quercy, IX, ancienne

formule de prière où se mêle la pensée de la mort,365.

SOLIER (P, François), s. j. v. P. FrançoisArias.

Solitaire des Rochers (la). – VI, 436.SOLMINIHAC (Alain de). – III, 554. – VI,

441, 442 ; réformateur de son Ordre, 441 ;oraison [234] simplifiée et de pur amour, 441 ;correspondance suivie avec saint Vincent de Paul,441 ; sur la condamnation du jansénisme, 441 ; sacause devant la Congrégation des Rites, 441. v. P.Léonard Chastenet.

SOLUËRES (abbé de). – II, 457.SOMMERVOGEL (P.), – Bibliographie, V,

148, 149, 152, 312. – VII, 270. – IX, 79.

594

SOREL (Charles). – Science universelle, I, 257,283.

SOTO (Dominique), o. p. – VIII, sonjugement sur les Commentaires de Carranza, 225.

SOUFFLOT. – X, 69.SOUMET (Alexandre). – VI, 495.SOURDIS (cardinal de). – II, 420, 450.SOURDIS (Henriette de). – II, 453.SOURDIS (Madeleine de), abbesse de Saint-

Paul-les-Beauvais. – II, 395 ; fit rédiger parMadeleine de Clermont-Tonnerre l'histoire del’abbaye de Saint-Paul-les-Beauvais, 410 ; 411 ;réunit en son abbaye tout un concile de religieuxde divers ordres, 420 ; ses religieuses, avides deréforme, demandent au Roi une abbesse plusâgée, 422, 423 ; 428 ; conférences d’Honoré deChampigny et de Benoît de Canfeld sur lapauvreté aux religieuses de Saint-Paul, 433 ; laclôture rétablie par M de S., 436 ; 445.

SOURDIS (Henry de), archevêque deBordeaux. – V, 182, 185.

SOURIAU (Maurice). – La Compagnie duSaint-Sacrement. Deux mystiques normands au XVIIe

siècle M. de Renty et Jean de Bernières, IV, 477. – V,155. – VI, à v. pour rapports de Marie del'Incarnation (Mme Martin) avec M. de Bernières,9, 230 sq. ; 391.

SOUVRÉ (Gilles de), évêque d’Auxerre. – II,512.

SOUVRÉ (Mme de). – VII, 281.

595

SOYER (P.), cordelier. – Pratique familière pourse préparer à faire les vœux, IX, diversité des règlespour la fréquente communion ; abstinence parfoislégitime, 117. – X, s’entretenir sérieusement avecDieu ; conseils pour la confession et l’oraison,333, 334.

SPASIMO (le). – La Mère douloureuse et lacritique du Spasimo, IX, 276-281.

SPENSER (Edmund). – Faerie Queen, VI,471.

SPENCER. – Ennemi des formulesliturgiques, X, 341.

SPINOZA. – VII, 110. – IX, la pensée de lamort, 362.

SPONDE (Mgr Henri de), évêque de Pamiers.– XI, 179.

STACE. – VII, 386.STAFFER (P. A.). – Mélanges posthumes, VII,

26.STEPHEN (Leslie). – Hours in a Library, I,

329.STEWART (H.-F.). – The Litany, a sermon

preached in Trinity college chapel..., X, la Litanie,forme précieuse de la prière, 207.

STROWSKI (Fortunat). – Saint François deSales. Introduction à l'Histoire du sentiment religieux auXVIIe siècle, I, XIV. – II, 576. – VII, les jansénisteset la doctrine de saint François de Sales, 78, 79 ;François de Sales manquerait de l’esprit degéométrie, 110.

596

Pascal et son temps, IV, 178 ; que le jansénismeaurait pu se développer avec humanité, 285 ; 286,330, 351. – XI, note sur l’affaire Sirmond, 189.

La Pensée chrétienne. Saint François de Sales, I,107, 113.

SUAREZ (P. François), s. j. – I, 221. – IV,appelle la dévotion sensible « dévotionaccidentelle », 339. – V, tient que l’acte decontemplation est un acte de foi [235] ou vientd’un raisonnement théologique, 58 ; 341. – VII, 6,9, 70. – VIII, 233 ; son avis sur le mémoire duPère Balthazar Alvarez, 252 ; 272. – XI, 231, 235,259, 260, 261, 285. – S., 12.

SUAREZ (P. Jean), s. j. – VIII, son opinionsur Alvarez et son oraison, 238, 239, 240 ;demande à Alvarez de rendre compte de sonoraison ; remplit son devoir de supérieur avechumanité, 242, 243 ; confie à Alvarez la rédactiond’un petit traité spirituel, 250 ; ce traité est envoyéà Rome, 250.

SUAU (P.), s. j. – Vie de saint Français deBorgia, VIII, 187, 188, 203 ; un des rares chefs-d’œuvre de l'hagiographie contemporaine, 206 ;sur le Père Oviedo, 211 ; 214 ; Borgia et saintIgnace ; leur correspondance relative aux PèresOviedo et Onfroy, 216-218.

SUCHON (Gabrielle). – Le Célibat volontaireou la vie sans engagement, IX, 317, 318.

597

SUFFREN (P. Louis), s. j., confesseur deLouis XIII. – II, 10. 500, 506. – III, 293. – IV,182, 198.

L'Année chrétienne, IX, de la communiondifférée, 52 ; de l’abus des communionsquotidiennes, 92 ; « il vaut mieux se biencommunier et plus rarement que moins bien etplus fréquemment », 93 ; quelques règles pour lesconfesseurs à ce sujet, 93, 94 ; attache un grandprix à la communion spirituelle, 94, 95 ; 97-99,107, 109, 116, 126, 127 ; le premier volumecontient deux cents pages sur la Messe, 130 ;panégyrique du Saint-Sacrifice, 131 ; 132 : septmanières d’entendre la Messe, 156, 157 ; 196,237 ; conseils aux prêtres qui donnent la saintecommunion, 238 ; 282. – X, 52, 53 ; méditationssur divers sujets, 57 ; traduction de l’Adoro Te,172 ; 245, 246, 247. – XI, 205, 223, 260.

Avis et Exercices, IX, méthode d’Extrême-Onction spirituelle, 368 ; 371. – X, Abrégé de lavie du Verbe incarné, 172, 173 ; consécration desjours de la semaine, 212 ; l’auteur se limite dansce recueil aux seuls besoins essentiels du chrétienen soi. Retour à l’universel et à l'abstrait, 244 ;aucune distinction entre les gens du monde et lesreligieux, 245 ; invite à la pratique des méthodesignatiennes, 244.

SUIN (Mme de). – VI, 382.SULLY (duc de). – II, 444.SULLY (duchesse de). – III, 545.

598

SULLY-PRUDHOMME. – VI, 155.SULPICE-SÉVÈRE. – Vie de saint Martin, I,

XXIII. – VI, 222.SURIN (P.) s. j. – II, 71, 134, 159, 261 ; Surin

enfant et la Mère Isabelle des Anges, 312. – III,32 ; certains de ses ouvrages furent imprimés parles soins du prince de Conti, 216 ; 315, 431, 432,498, 556, 625, 680. – IV, sur les fausses dévotions(chapelet secret), 206 ; 279, 358. – V, 4, 10, 11,13, 16, 18, 36 52, 62, 64, 65, 68, 69, 79, 81, 142 ;sa formation et ses débuts, 148-177 ; les démonsligués contre lui, même après sa mort, 148, 149 ;n’a pas encore de biographe et ses œuvres sontintrouvables, 149 ; éditions subreptices et plus oumoins suspectes, 149, 150 ; composition de seslivres, 150 ; le Père Surin au XVIIIE et au XIXe

siècle, 151, 152 ; sous le boisseau, 152 ;possession et aliénation mentale, 153 ; tous sesinédits ne doivent pas être publiés, 154 ; laréaction qui a suivi la condamnation de Molinoset le P. Surin à l'Index, 154-156 ; son orthodoxiefoncière, 156 ; défauts et mérites expliquant laréserve que les jésuites font paraître à son endroit,153-158 : ses origines, famille pieuse et noble, 159sq. ; le P. Surin et Jeanne des Anges, 178-351 ;l’affaire de Loudun calquée sur [236] l'affaired'Aix, 195 ; arrive à Loudun déjà travaillé par unenévrose, 197 ; son supérieur opposé à son départpour Loudun, 198 ; ses vues sur la possession etsur l'exorcisme, 219 sq. ; transformation de l'idée

599

de possession, 221 ; méthode nouvelle pour letraitement des possédés, 221 ; il encourage à soninsu la vanité de Jeanne des Anges, 232 ; ils'achemine vers l'idée fixe, 233 sq. ; les supérieurséloignent le P. Surin, 236 ; le P. Surin et lemoralisme mystique, 252-310 ; il se croit damné,254, 255 ; 258 ; Surin et saint François de Sales,258 ; le Père Surin et le pur amour, 259, 260 ; lesermon chez les carmélites, 260, 261 ; le beau soird'un triste jour, 265 sq. ; les « assemblées dedévotion », au Carmel de Bordeaux, 266, 267 ; leCatéchisme spirituel imprimé par le prince de Conti,267 ; il dirigea le marquis de Fénelon, 268 ; enrelation avec la Compagnie du Saint-Sacrement,268 ; les adversaires du mysticisme dans laCompagnie de Jésus, 267 sq. ; les circonstancesont fait de lui un mystique de combat, 268 sq. ;« dilatation surnaturelle » de l’intelligence, 271,272 ; les adversaires du Père Surin et leur excuse,280, 281 ; Surin et le style jésuite, 282 ; l’enversascétique de la contemplation, 287, 288 ; Surin etSaint-Cyran. 306-308 ; sa névrose et son génie,308-310 ; 322, 353, 354 ; opinion d’un théologienmoderne sur le Père Surin, 396 ; pourquoi leCatéchisme spirituel fut mis à l'Index, 396, 397 ; 399.– VI, 8, 26, 230, 269, 314, 387, 408, 440, 457. –VII, 29, 268. – VIII, 174, 258, 281, 284, 290, 305,307, 323, 359. – X, 42. – XI, 11, 54, 55, 56, 171 ;dénonce comme suspect le sublime de Bérulle,

600

190 ; 229. – S., 27, 96, 110, 119, 120, 138, 148,177.

Lettres spirituelles, II, ses rencontres d’âmesfavorisées de grâces mystiques, 71, 72, 73. – V,une rencontre dans le coche de Rouen, 118, 119 ;lettre à Mme du Houx et aux visitandines deRennes, 143 ; 149 ; sur l’impression du Catéchismespirituel, 150 ; sur le Chrétien intérieur de Jean deBernières, 155 ; bienfaits de la campagne :recueillement de l’esprit, dilatation de l'âme, 159 ;le luxe peut être, après tout, une imitation de lagloire pour laquelle Dieu nous a créés, 160 ; sainteThérèse et le charme du Carmel, 162, 163 : sainteThérèse et la Compagnie de Jésus, 163 ; lettres àMarthe de Saujon, 166, 167 ; sur Marie Baron,168-171 ; lettre à Madeleine Boinet, 174 ; à Jeannedes Anges sur son commerce avec son angegardien, 248, 249 ; prière pour Jeanne des Anges,251 ; ses relations avec la maison du prince deConti, 267, 268 ; lettre au marquis de Fénelon,268 ; à Mme de Pontac, 268 ; les termes simplesemployés pour les états mystiques, 283, 284 ; nejamais perdre la vue confuse de ses péchés, 285 ;obéir à Dieu et procurer sa gloire comme s’il étaitseul au monde, 287 ; « l’ordre inférieur » et laperfection de l'amour, 287 ; le dénûment etl'initiation mystique, 289 sq. ; « laissez opérercette grandeur qui vous absorbe », 291 ; lettre àMme de Roussille sur l'oraison aidée, 294-299 ;paradoxe sur les distractions, 296 sq. ; toujours

601

« la notion universelle » et « le goût confus deDieu », 296, 297 ; 299-301 ; se familiariser avecDieu permis à l'âme innocente ou pénitente, 297,298 ; des personnes sujettes au mal de têtetrouvant du soulagement dans l'oraison, 298 ;faire oraison, l'épée au côté, en visite, etc., 299 ;Dieu connu est silence, 299 ; sur l'esprit de saintFrançois de Sales, 299 ; faire de la sainte humanitéde Jésus l'objet constant de la prière chrétienne,300, 301 ; de l'âme revenue, quand lacontemplation est passée, à sa pauvreté naturelle,303.

Les Fondements de la vie [237] spirituelle, IV, surl'entendement humilié, 294, 295. – V, 149, 272,les saints docteurs au pied du crucifix, 273 ; lesintellectualistes et leurs « formes », 273 ;commentaire d’un verset de l’imitation, 273 ; lavraie mission du théologien, et les limites de sondomaine, 273, 274 ; les raisonneurs et les « visitesde Dieu », 274 sq. ; ce qu’est la déiformité, 299 ;deux voies pour arriver à la contemplation, 304.

Catéchisme spirituel, IV, 206. – V, 7 ; des âmesde bonne volonté, 24, 25 ; 148, 149 ; contrel’avidité de savoir, 269, 270 ; de la communicationde lumière, même naturelle, par une participationà l’intelligence de Jésus-Christ, 272 ; l’obscurité etl’apparente insignifiance des ouvrages mystiques,278, 279 ; goût du P. Surin pour les termesordinaires en langage mystique, 283 ; danger duphébus prétendu mystique, 284 ; commencer par

602

les vertus les plus humbles ; la bénignité, 285 ; lacontemplation et « l’universelle vérité », 292 ; dela métaphysique du pseudo-Denys à l’ascétisme,293, 294 ; dans l’oraison se garder de lamultiplicité ou connaissances distinctes et nes’arrêter qu’aux considérations générales, 301,302 ; lumière indistincte éclairant l’âme, lumièreparfaite et tranquille, 303 ; quels biens possèdel’âme après l’oraison de repos, 303 ; liberté et joiedu mystique, 305. – VI, 233.

Traité inédit de l'Amour de Dieu, V, de l’offrandesuperficielle à Dieu, 21, 22 ; « l'effort del'entendement » et « la voie de l'amour », 270,271 ; sur le texte de saint Paul : « que vous soyezremplis de Dieu avec toute plénitude », 275 ; saintIgnace et « la loi intérieure » de chacun, 277 ;l’expérience incommunicable, 279 ; quelle est lascience propre des saints, 280 ; des âmes qui seretirent de la crainte, 286 ; donner à tout le goûtdu bon plaisir divin, 286 ; « Le motif divin...assujétissant à soi tous les autres motifs, 287 : lavie mystique offerte aux plus humbles, 304 ; lefleuve de paix, 305, 306.

Le Triomphe de l'Amour divin, V, 149 ; sessouffrances pour se conserver propre et net, 160 ;sur sa mère entrée au Carmel de Bordeaux, 162 ;184 ; résistance du démon, 190 ; interrogationsdes démons, 191 ; une conversion dirigée etaffermie par le démon, 192 ; dit que lesexorcismes de Loudun eurent une influence

603

salutaire, 195 ; les exorcistes de Loudun et lui-même obsédés. 197 ; suppression de passages parl’éditeur, 196 ; s’offre, pour guérir Jeanne desAnges, à être lui-même possédé, 199 ; il estpossédé publiquement en pratiquant lesexorcismes, 199-201 ; possession et vocationmystique, 220 ; la direction spirituelle du possédépréférée à l’exorcisme, 221-223 ; délicatesse de sadirection. 226 ; l'esprit bouffon chez Jeanne desAnges, 227 ; discours en latin sur la vie intérieure,228 ; premiers pas de Jeanne des Anges dansl'oraison, 229 ; sincérité de Jeanne des Anges ;son héroïsme, 230 ; le Père Surin vivait sa proprevie mystique devant Jeanne des Anges, 233 ; lepetit parloir dans un grenier, 233, 234 ;suggestions mystiques, 235 ; Jeanne guérie aprèsson vœu d'aller à Annecy prier sur le tombeau desaint François de Sales, 242 ; elle dirige le PèreSurin, 248 ; « les deux âmes », 253, 254 ; Dieuoccupant dans l'âme du Père Surin un étage et ledémon un autre, 254 ; ses confesseurs et sessupérieurs, 256, 257 ; la dictée du Catéchismespirituel, 261, 262 ; il ne dicte plus, mais écrit lesDialogues spirituels, 263 ; l'état d'enfance ; satendresse pour les images de l'Enfant-Jésus, 263,264 ; dernières extravagances, 264 ; avis « trèsimportant » aux âmes qui sont l'objet de grâcesextraordinaires, 264, 265 ; docteurs et mystiques,307, 308. [238]

604

Cantiques spirituels, I, a voulu, par des verssimples, faire connaître les mystères cachés de laperfection, 211, 212 ; Cantiques : délaissement detout pour vivre parfaitement, 212. 213 ; abandonpour arriver à l'Amour de Dieu, 213, 214 :« Comme quand d’une main subtile », 214, 215 ;« Quand nous fûmes dans la demeure », 215, 216.– V, 157, 158, 389.

Dialogues spirituels, XI, la voie mystique,Blosius et Gagliardi ; sur le livre du Père Binet,traduit du Breve compendio, 26. – S., la bonneoraison est celle où Dieu opère le plus, 52 ; pas deraisonnement compassé, mais pratiquesd'abnégation et d’humilité, 68, 69.

Guide spirituel pour la perfection, XI, 325. v.Champion, Marcel Bouix, Fellon, Jean Croisset,Jean de Sainte-Foi, Brignon, Boudon, abbé deChoisy, Saudreau, Légué, Cavallera, Vitelleschi.

SURIN (Mme), mère de J.-J. Surin. – V, 159,161 ; les « assemblées de dévotion » au Carmel deBordeaux, 266.

SURNATURELS (Faits). – V, l’Église et lesinterventions du surnaturel, vraies ou prétendues,179.

SURNOMS donnés par les jansénistes dansleurs écrits. – IV, 108.

SUSO (bienheureux Henri). – III, 261. – IV,492. – V, 64. – VI, 92, 97, 98, 252 – VIII, 3, 12,45, 87, 231. – XI, 59.

Office de la Sapience, X, 210. v. Saint-Jure.

605

SUYREAU (Mère), abbesse de Maubuisson,– IV, 473. – XI, 115. v. Marie des Anges.

SWEENEY (dom), éditeur de la SanctaSophia de dom Baker. – VIII, 230. – X, 3, 340.

SWETCHINE (Mme). – XI, 11.SWIFT (Jonathan). – IV, 50.Gulliver, I, 50.SYDNEY LEE. – The French Renaissance in

England, I, 350.SYLVESTRE. – I, 416.SYLVESTRE II. – VI, 179.SYMMAQUE. – X, 87.SYNODE DE DORDRECHT. – I, 164. –

IV, 122.SYRUS. – Mimes, IX, 329.

T

TABARAUD (P.), de l’Oratoire. – Histoire dePierre de Bérulle, III, 7, 156, 157, 164. v. Dubédat.

TACCHI-VENTURI (P.), s. j. – Storia dellaCompagnia di Gesu in Italia, I, 15, 238. – IX, sur lacommunion fréquente, 46, 47 ; campagne (enItalie) pour et contre la communion fréquente,73 ; il n’existe aucune preuve de la communionquotidienne dans la primitive Église, 82.

TAILLE (P. de La), s. j. – VIII, 362, 389,390. – S., 357, 360.

L’oraison contemplative, VII, de la passivitéconsciente, 150. – XI, passivité consciente dansl’état mystique, 374, 375.

606

Théories mystiques à propos d'un livre récent :« Western mysticism » de dom Butler, VIII, 387.

Article (Recherches de Science religieuse), XI, dansl’oraison qui marque le début de la vie mystique,la lumière de la foi commence à se libérer dudiscours, 331 ; l’âme, dans la quiétude, estdiminuée du côté de l’exercice naturel de sesfacultés, 353 ; du vide que crée l’amour et qu’ilremplit, 363 ; l’amour... oriente le regard. 397 ; laspéculation philosophique n’unit pas à Dieu, 398,399 ; origine de la [239] contemplation 409 ; de lapassivité qui existe partout dans la vie de la grâce,mais ne se laisse apercevoir que chez certains,417 ; ce qui (dans la quiétude) est notoirementpassif, c’est l'insistance du regard, 419, 420.

Mysterium Fidei, IX, 134.Esquisse du Mystère de la Foi, IX, 134, la

Passion ne constitue pas à elle seule l’oblationrituelle, 144 : dès la Cène, le sacrifice de laRédemption est déjà en cours, 152 ; 154.

TAINE, v. Boutmy.TALLEMANT DES RÉAUX. – I, sur J.-P.

Camus, 151. – VI, 449, 453.TAMBURINI (P.). s. j. – X, 52.TAMISEY DE LARROQUE. – Fragments de

la vie de Mme d'Épernon, IX, lettre de l'abbé Boileausur la mort du duc d'Épernon, 335 ; sur les lettresde l'abbé Boileau, 349.

TANNER (P.), s. j. – XI, 260.TARDE. – III, 351.

607

TARISSE (dom Grégoire), bénédictin. – II,ce qu’il pensait du Père Joseph du Tremblay, 189.– VI, 81, 181.

TARUGI. archevêque d’Avignon. – II, fut undes protecteurs de César de Bus et de Romillon.19, conseille à Romillon de former sacommunauté sur le modèle de l'Oratoire deRome, 23, 24 ; 31, 35.

TASCHE (dom Louis), prieur deMarmoutier. – VI, 180.

TASSE (le). – V, la Jérusalem délivrée, 157.TAULER. – II, 379. – III, 261. – IV, 379,

492, 581. – V, 64, 74 ; le Père Surin, au plus fortde ses épreuves lisait Tauler, 78 ; 308. – VII, surle « centre de l’âme ». 49, 50 ; 144, 146, 148, 157,158, 331. – VIII. 3, 12, 13, 45, 83, 135, 190, 199,231, 322, 323. – XI, 59, 60, 83, 95, 152, 332 ; dansla contemplation, l'esprit est transporté au dessusde toutes les puissances, dans une sorte de vastesolitude, 379 ; 380.

Imitation de la vie pauvre de Notre-Seigneur Jésus-Christ, V, la contemplation et la charité, 29 ; lezèle du contemplatif est le plus efficace, 33 ;opérer non en se multipliant, mais dans uneparfaite unité, 35.

Abrégé de la perfection. XI, 358. v. Noël, Théry.TAYLOR (H.-O.). – The medieval mind, I,

Pierre Damien et l’amour des lettres latines, 5.TAYLOR (Jeremy). – X, 12 ; a composé

plusieurs litanies, 207.

608

TEMPLE, archevêque de Cantorbéry. –Memoirs of Archbishop Temple by seven friends, III, dela prière contemplative (texte anglais), 146.

TENCIN (cardinal de). – X, 39. v. Chevalier.TÉNERY (Mlle de). – V, 385, 389, 390, 392.TÉNIÈRE (dom). – II, 506.TÉRENCE. – I. 11. – II, 468. – V, 283. – XI,

293.TERTULLIEN. – I, 137. – II, 117. – III,

120, l64. – IV, 187. – VI, 368. – VII. 410. – IX,20, 293. – S., 329.

TESNIER (Martin). – VI. 181.TESTU LE ROGER DE LA

MARDELIERE (Louise). – III, 325.TEXEDA (P. Juan), franciscain. – VIII, 201 ;

sa conversion, son entrée dans l'ordre franciscain,ses rapports avec saint François de Borgia, 202-204 ; ses rapports avec les jésuites Oviedo etOnfroy, 204 ; 209, 210, 214, 217, 219. v.Emmanuel de Sa.

TEYSSONNIER (Marie). v. Marie deValence.

THÉBAULT (P.). – VIII, 85.THÉOCENTRISME. – III, informulé, mais

existant au moyen âge. 25 sq. ; religion, respect,mais non [240] terreur, 35 sq. ; acclamations dansl'Église latine dès le Xe siècle, 121 : dévotion deCondren au second avènement du Verbe, 401 sq.– VII, chapitre I in toto ; le théocentrisme de saintFrançois de Sales, 37-47. – S., 121 ; définition,

609

132. v. saint Ignace, Bérulle, Bourgoing, Condren,saint Vincent de Paul, Saint-Jure, Guilloré.

THÉODULPHE. – IX. 21. – X. 56 ;traduction en vers français du Vexilla Regis 170,171.

Théologie germanique, II, 6.THÉOPHILE. – I, 192 ; son procès, 367. –

VI, 448, 471.THÉRÈSE (sainte). – II, 37, 41, 137, 140,

264, 265, 266, 269, 270, 274 ; elle apparaît à Mme

Acarie. 282 ; 285, 286, 287, 296, 297, 298, 299 ;sainte Thérèse et Anne de Jésus, 300, 301 ; 308,316, 318, 326, 328, 337. 373, 379, 439, 488, 493,495, 590, 593, 604. – III, 498, 504, 506. – IV,253 ; appelle les consolations sensibles des« contentements », 339 ; 356 ; tristesse et joie duvrai pénitent, 376 ; 393, 397, 490, 492 ; Nicole asu trouver les passages où la sainte prémunit sesfilles contre le danger quiétiste, 496 ; 506, 548,555, 557, 558. – V, II, 15 ; possédant Dieu,quelles vertus peuvent manquer ? 35 ; 64, 80, 123,156, 162, 256, 279, 284, 307, 308, 310, 325. – VI,27, 30, 36, 93, 111, 272, 295, 333, 377. – VII, 24,49, 50, 146. – VIII, ne pouvait croire que Dieun’est présent en nous que par la grâce, 23 ; 192,197, 201, 220, 221, 231, 235, 250, 254, 323, 324,380. – X, de la prière vocale, 2 ; 10, 29, 290. – XI,dit de s'humilier devant les lumières des ignorantsinstruits par la grâce, 12 ; 51, 67, 212, 339, 389,426. – S., 204, 271, 360.

610

Le Chemin de la perfection, II, 230 ; du salut dela Franco, 272, 273 ; liberté de direction pour sesreligieuses. 288 – IV. le chemin de l'oraison,chemin royal, 524 ; contemplation parfaite etoraison mentale. 556.

Vie écrite par elle-même, IV, le sentiment deprésence, 560, 561.

Le Château intérieur, IV, 545. – VII, du fondintime de l'âme, 50 ; pas de chrétien qui ne puissearriver à la véritable union, 67.

Livre des Fondations, IX, illusion de certainesreligieuses à propos de la communion, 74, 75 ; 80.

THÉRÈSE DE JÉSUS (Mère), carmélite. –VI, 391.

THÉRÈSE DE L'ENFANT-JÉSUS (sainte).– II, 194.

THÉRY (P.). – Esquisse d'une vie de Tauler(Vie spirituelle), VII, 50.

THIBAULT (Philippe), réformateur desCarmes. – II, 2 ; 372-376 ; essaya, dans saréforme, de marier l'esprit de saint Ignace et celuidu Carmel, 373 sq. ; réforme des Carmes de laprovince de Touraine, 373 sq. ; esprit de saréforme, 375 sq. ; 379, 380, 390. – V, 119.

THIENE (S. Gaetano). v. Gaëtan, P. OrazioPremoli.

THIERRY (A.-A.). – IX, 34.THIERS (J.-B.). – X, 33, 34.

611

Traité de l'exposition du Saint- Sacrement, IV, 217.– IX, chérir la paroisse, les fonts baptismaux, 40 ;238.

La plus solide, la plus nécessaire... de toutes lesdévotions, IX, 2. – X, de l’abus des litanies, 185 ;saint Augustin et les formules hérétiques dedévotion, 226.

Traité des superstitions, IX, 237, 240, 277, 279 ;critique du Stabat Mater, 280, 281 ; 284.

Observations sur le nouveau bréviaire de Cluny, IX,281. – X, saint Bernard et son Office de saintVictor, 77 ; sur dom Hugues Vaillant. 92 ; sur leStupete gentes de Santeul, 107 ; critique de Santeul,108, 109 ; 115, 158 ; critiques des litanies de saintAugustin, de saint François Xavier, de saintFrançois d’Assise, 180. [241]

THOLART. – III, 233.THOLOSA (don Pierre de). – II, 269.THOMAS (P. Antonin). – Le Rosier mystique...

ou le très sacré Rosaire arec la dévotion des quinzesamedis, IX, 244.

Brève méthode pour dire le rosaire du T. S. de Jésuset quelques pages sur l'Institut de la Confrérie duSaint nom de Jésus, IX, 245.

THOMAS (Louis). – Lettres d'Elémir Bourges(le Divan), X, 252.

THOMAS (P.), s. j. – V, guérison d’un petitpâtre aveugle, 86 ; 113.

THOMAS D’AQUIN (saint.) – I, 432. – II,489, 492. – III, 29, 40, 649. – IV, 55, 320, 386,

612

412 429, 435, 552. – V, 273. – VI, 152, 461. –VII. 6, 8, 49, 56, 111, 251, 359, 377, 397 ;réfection spirituelle de la prière, inséparable del’attention, 405. – VIII, 3, 7, 8, 16. 31, 32, 45, 144,225, 323, 371. – IX, 10, 47, 49. 82, 85. – X, 48,63, 99. – XI, 231, 232, 235, 236, 248, 253, 275,285, 286, 288, 315, 317, 320, 321, 378 ;l'admiration est une certaine crainte, 394. – S., 12,13, 59, 69, 119, 191, 346.

Somme théologique, I, 182. – III, l’état dusacerdoce exige une sainteté plus grande que l’étatreligieux, 162. – V, 55.

Opuscules, VIII, celui qui ignore avoir Dieu ensoi... ne comprend point qu’il a ce qu’il cherche,246.

THOMAS D’AQUIN (P.), carme. – IX,Lettre à son cousin M. de Rebours, sur le livre duPère Salazar, 89 ; 141.

THOMAS, conseiller au Châtelet. – VI, aécrit une vie de Boudon demeurée manuscrite,241.

THOMAS (J.). – Un mot pour les Xainctonge,VI, 443.

THOMAS (Gentien) – VI, 498.THOMAS D’AQUIN DE SAINT-JOSEPH.

– Histoire de la vie et des vertus de la vénérable MèreGaliote de Gourdon. II. 418.

THOMAS DE LA VALETTE (P. Louis de),de l’Oratoire. – III, 157.

613

THOMAS DE VILLENEUVE (saint). – VI,119. – VIII, son opinion sur les Exercices, 221.

THOMASSIN (famille). – III, 579. – VIII,les Thomassin de Provence, 433, 434.

THOMASSIN (Claude), de l’Oratoire – VII.376.

Paraphrase sur Judith, VII, 376.THOMASSIN (Honoré-André), – VIII, 433.THOMASSIN (Joseph). – VII, 375. – VIII,

434.THOMASSIN (Jean-André), marchand

d’Aix. – VIII, 433.THOMASSIN (Jean-André), conseiller au

Parlement d’Aix, VIII. 433.THOMASSIN (P. Louis), de l’Oratoire. – III,

192, 466, 674, 676, 677, 678, 683. – IV, 440. –VII, 353 ; le Père Louis Thomassin et la prièrepure, 374-415 ; de Platon à Bérulle, 374-384 ; sonlivre sur les Conciles, 378 ; son mode de vie. 379,380 ; dates et titres de la plupart de ses œuvres,381 ; ses rapports avec Innocent XI, 381 ;humaniste dévot et bérullien, 382 ; son glossairehébreu, 384 ; sa mort, 384 ; ne met pas la prièreliturgique au-dessus de l’oraison méthodique, nicelle-ci au-dessus de celle-là, 387 : critique del’activité intellectuelle dans la récitation de l’officecanonial, 393-399 ; prière, musique et poésie,399-401 ; l’état de prière, 401-406 ; adhésionhabituelle de l’âme à la grâce habituelle, 401 ;évolution de la prière depuis les temps primitifs

614

jusqu'aux modernes, 406-415 ; de la prière desanciens justes avant le déluge : oraison mentale deNoé, 406 ; porter quelquefois la [242] pensée etl’esprit à Dieu, mais n’en éloigner jamais soncœur, 408 ; sur le Pater, 408, 409 ; vraie primautéde l’office liturgique, 413, 414. – X 33, 34.

Méthode d'étudier et d'enseigner... les poètes, III,195. – VII, 382.

Dogmata theologica, III, Condren et Cicéron,308.

Traité de L’Office divin, VII, 374 ; 385-415 ; § i :à la recherche de la prière pure, 385-393 ; sur latraduction publiée en 1894 à Ligugé, 385 ; prièreliturgique, excellente parce qu’en liaison avecl'oraison mentale pure, 386 ; c’est l’amour qui prieen nous, 388 ; de la vie du Saint-Esprit dans l’âmedes justes, 389 ; la prière pure : acquiescement denotre volonté à la prière continuelle du Christ,389 ; l’office canonial, mélange de l’oraison vocaleet de la mentale, 390 ; l’oraison des ancienssolitaires, 390 ; des pauses de silence après unpsaume, 390, 391 ; des consolations sensibles,391, 392 ; panhédonisme : dit que l’on ne prie pasbien si on ne prie pas avec plaisir, 392 ; § 2 :critique de l’activité intellectuelle dans larécitation de l’office canonial, 393-399 ;distinction entre « jubilation » et « psalmodie »,393, 394 ; de l’Alleluia et de l’Amen, 394, 395 ;l’empereur Justinien ordonna aux évêques et auxprêtres de prononcer à voix haute les paroles du

615

saint sacrifice, 395 ; l'oraison mentale dépasse enétendue et capacité la prière vocale, 395 ; à laMesse, les paroles du prêtre tendent à faire entrerles fidèles dans un très haut degré d’oraisonmentale, 396 ; prier Dieu dans une langue quel'on n’entend pas n'est pas sans intelligence, 397-399 : de la récitation de l’office, 398 ; § 3 : prière,musique et poésie, 399-401 ; force et puissancedes Écritures même non comprises, 399 ; de lamusique sacrée, 400, 401 ; § 4 : l’état de prière,401-406 ; attention de l’esprit et attention ducœur, 402 ; il faut beaucoup aimer pour toutcomprendre, 402 ; la volonté de prier est elle-même une prière, 403 ; les distractionsn’interrompent pas nécessairement la prière, 403-405 ; § 5 : l'évolution de la prière depuis les tempsprimitifs jusqu'aux modernes, 406-415 ; ducommerce de Dieu et des Anges avec les anciensjustes, 407 ; de l'oraison mentale dès les premiersâges chrétiens, 410 ; du temps où l’oraisonmentale produisait les prières vocales, 411décadence de la prière, 411, 412 ; excellence duRosaire, 412 ; l’oraison mentale doit s'insinuerdans la récitation de l’office, 414, 415.

Dogmes théologiques, VII, mieux vaut parveniraux choses divines par l’amour que par laspéculation, 383 ; d'un sens secret au- dessus del’intelligence, 39c, 388.

616

De Deo, VII, d’un sens secret, une sorte detact, au sommet de l’âme, 388. v. Batterel,Cloyseault, Lescœur.

THOMASSIN (Président). – IX, 37.THORENS (baron de). – II, 566.THORENTIER (P.), de l’Oratoire. –

Consolation contre les frayeurs de la mort, IX, 361.THUILLIER (dom Vincent), bénédictin. –

VI, 199, 208.THURSTON (P. H.), s. j. – The Ancient

Church of Wales, V, 92.TIBULLE. – I, 243.TIEPOLO. – X, 129.TILLEMONT (Sébastien Le Nain de). – IV,

11 ; les solitaires et Sébastien de Tillemont, 244-280 ; rythme de sa vie intérieure, de l’angoisse à lapaix, 259 sq. ; sur le silence, 260 ; a le stoïcisme enhorreur, 261 ; prière : « Qu’êtes-vous,Seigneur ? », 261, 262 ; craignait que sa douceurne le portât qu'à lui-même, 263 ; la paix n’aurait-elle pas ses démons ? 264, 265 ; tentations deshommes [243] d'étude, 266, 267 ; le savantchrétien, 268 ; devoirs envers le prochain ;l'indépendance du chrétien et du savant, 269 ;réponse aux plaintes d'un écrivain qu’il, avaitcritiqué, 269 ; sur les parents, 270 ; les siensl'eussent voulu moins caché au monde, 270 ;abandonna plusieurs de ses ouvrages et les fîtsigner par des amis, 271 ; conflits avec les siens,270, 271 ; le commerce avec les méchants,

617

libertins ou molinistes, 272, 273 ; prière : « Amourdes saints et des méchants », 272, 273 ; prière :« Trajan et Marc-Aurèle », 273-274 ; les« Messieurs de Port-Royal » ne lui étaient pas unbien sans mélange, 274 ; commerce avec lesjustes, 274 ; les médisants à Port-Royal, 274, 275 ;le soin qu'on doit de sa maison, 275 ; correctionfraternelle, 276 ; sa ferveur toute proche de celledes mystiques, 276 ; la paix intérieure, âme duChristianisme, 275, 276 ; très homme d'Église,277 ; la piété intérieure et le silence du Ciel, 277 ;sur les petits enfants à la Messe, 277 ; parfaitdisciple de la première génération de Port-Royal,278-280 ; 281, 283, 284, 298, 320. – VI, sonarrestation, 499. – X. 43.

Réflexions morales, III, 135, 679.Comment il faut travailler à profiter de la Passion de

Notre-Seigneur Jésus-Christ, IV, 262. v. Tronchai,Quesnel.

TIMOTHÉE DE RÉGNIER (P.), minime. –III, précurseur oublié de la dévotion au Sacré-Cœur, 659-663.

L'Homme intérieur ou l'idée du parfait chrétien, I, lemystique et les créatures, 271 ; définition del’honnête homme, 360, 361. – III, dédicace àMazarin, 660 ; approbation du Dr Arnaud, vicaireà la Ciotat, 660 ; l'intérieur de Jésus-Christ dansson Cœur divin, 661 ; l’homme intérieur y vitcomme dans son propre élément, 662 ;l’Eucharistie, 662 ; pour l'homme intérieur, la

618

divinité de Jésus-Christ est toujours le premier etprincipal objet, 669.

TIRON (abbaye de). – VI, 82.TISSOT (P. Joseph), Vie intérieure simplifiée,

VII, 141. – S., 139.TITELMANS (P.), capucin. – VIII, 216, 218.TITIEN. – VI, 407. – X, 129.TITUS OATES. – VI, 410.TIXIER (dom), bénédictin, prieur de Saint-

Germain. – VI, 208.TIXIER (Amos de). – I, 296.TIXIER (Charles de), feuillant. – I, 296.TOINET (Raymond). – I, 200, 291.Quelques recherches autour des poèmes héroïques et

épiques français du XVIIe siècle, I, beauté desEntretiens solitaires de G. de Brébeuf, 341 ; Marie-Madeleine, héroïne préférée du XVIIe siècle, 383 ;Toinet cite de nombreux poèmes en sonhonneur, 384.

TOLET (cardinal). – I, a écrit uncommentaire sur saint Jean, 89.

TOMBELAINE. v. Huet.TOUR (P. de La), général de l'Oratoire. ». La

Tour.TOURNAY (Gervais de). – Divina quatuor

energumenorum liberatio facta apud Suessones, V, 188.TOURNEBUS. – I, 193.TOURNEMINE (P. Joseph de), s. j. – IX,

prêcha contre la traduction de l’Ordinaire de la

619

Messe, 191. – X, son opinion sur dom RobertMorel, 282.

TOURNIER (abbé F.). – Vie de Mme

d'Herculais, IV. de l’Inaccessibilité de l'Eucharistieet du Chapelet secret, 208.

TOUROTTE (Mme de). v. Feydeau.TRACTARIENS D’OXFORD. – X, 72.TRAHARD. – Les Maitres de la [244] sensibilité

française au XVIIIe siècle, XI, finition de Diderot,429.

Traité de la confiance chrétienne (v. Dictionnairedes livres jansénistes), la confiance consiste à seregarder comme étant du nombre des élus, IV.373.

TRAJAN. – IV, 259. 273.TRAVERS (J.). – Le Bréviaire de P. D. Huet, X.

75, 164.TRELLON. – Muse guerrière, I, 331, 332, 337.TREMARIA (M. de). – V, 111, 113, 115.TRENTE (Concile de). v. Concile de Trente.TRESVAUX (abbé). v. dom Lobineau.TREUVEY. – Directeur spirituel pour ceux qui

n'en ont pas, IX, 60 ; de la communion fréquente.62 ; semble se rallier à l'opinion singulière quivoulait extrêmement rares les communions destravailleurs, 62.

Trévoux (Journal de), V, sur les livres du PèreSurin, 152.

620

Trévoux (Mémoires de), XI, des Illuminés dePicardie, 104 ; disent que Pierre Guérin et sesdisciples défendaient l'usage de la pénitence, 112.

TRINITAIRES. – VI, 266.TRINITÉ (Mère de la), carmélite – VI, 391.TRINITÉ (collège de la), à Lyon. – VI, 403.TRINITÉ DE CAEN (abbaye de la). – II,

395, 416, 423, 430, 439.TRINITÉ DE POITIERS (abbaye de la). –

VI, 519.TROLLOPE (Anthony). – The last chronicle of

Barset, VI, 248.TRONCHAI, secrétaire de Tillemont. – La

vie et l'esprit de M. de Tillemont, IV, Sainte-Beuve afait à ce livre du nombreux emprunts, 258 ; lespetits écrits de piété de Tillemont, 259 ; âmetimide et scrupuleuse, 260 ; lettre de Thomas duFossé sur la mort de Tillemont, 268 ; 269, 270,271, 277.

Réflexions morales de M. de Tillemont sur diverssujets de murale, IV, 258 ; ces Réflexions sont unesorte de confession, 259 ; sur le silence, 260 ;« n'est-ce pas vous, Seigneur, que j'aime en aimantla vertu ? » 261, 262 ; humbles avec orgueil, 264 ;265 ; tentations des hommes d’étude, 266, 267 ;prière pour apaiser les conflits avec son père,271 ; 273, 274, 275, 276, 277, 278, 279.

TRONSON. – III, de l'adoration, premierpoint de l'oraison, 121 ; l'oraison parfaite, acteunique, comporte à la fois : adoration, admiration,

621

louange, amour, joie, gratitude, 123, 124 ;l'adoration, premier point de l’oraisonsulpicienne, 126 ; 127, 389, 501. – S., l'âmeplongée par amour, par adoration, dans le Cœurde Jésus, est plus pleine de vertus que si elle avaitfait beaucoup d'actes, 100.

Explication de la methode sulpicienne par M.Tronson. III, 128 ; par quels actes faire passer ennous les vertus du Verbe ? 140 ; vertu de religion,moyen court d’acquérir les vertus, 145.

Conférences spirituelles, III, 278. v. Letourneau.TRONSON (Mme). – III, 427.TRONSON DE CHENEVIÈRE. – La vie de

la Vénérable Mère Marguerite Acarie, II, 344-362.TROUILLAT (abbé). – Marie de Valence, II,

43, 64.TURENNE (maréchal de). - VI, 179.TURLUPINS, hérétiques. – XI, 79, 81. v.

Alphandéry.TURRICELLA, évêque de Marseille. – V,

182. [245]

U

UBALD D’ALENÇON (P.), capucin. – S.,41, 52.

De la méthode traditionnelle de l’oraison au moyenâge (Études franciscaines), II, 140.

L'âme franciscaine, II, 140.Traduction du Stimulus amoris, II, 140.

622

Les Frères Mineurs et les débuts de la réforme àPort-Royal des champs, II, 152 ; 156 : la MèreAngélique sur le Père Archange de Pembroke. –IV, 183 ; lettres du Père Archange de Pembroke àla Mère Angélique, 183-186.

Élude sur le Père de Lagny (AnnalesFranciscaines), VII, 267, 268.

UBALDINI, nonce. – II, 83.ULLATHORNE (Mgr). – Correspondance

avec le cardinal Manning. v. Shane Leslie.UNDERHILL (Miss). – Man and the

supernatural, VII, sur la prière, 6 ; la crainte au seuilde l’adoration, 13. – S., l’âme qui prie faitl’expérience de la liberté humaine sous la forme laplus intense, 11 ; la crainte (révérentielle) et leculte, matière brute de la prière d’adoration, 19.

UNIGENITUS (Bulle). – IV, 304. – X, 42,156, 159.

UNION CHRÉTIENNE, communautéétablie parle Père Guilloré. – V, 350. v. Piny.

Univers (l’), journal. – IV, 23.UNIVERSITÉ DE PONT-A-MOUSSON. –

II, 2. v. Abram.URBAIN (abbé Charles). – V, 355. – VI, 189.Nicolas Coeffeteau, IV, 471.Les dernières années de Bossuet, IX, Ledieu et le

Missel de Meaux, 177. v. Levesque.URBAIN V. – X, 158.URBAIN VIII. – II, 399. – III, 45. – IV, 38,

83. – X, 35 ; sa réforme du Bréviaire, 35 sq. ;

623

Bulle Divinam psalmodiam : que la psalmodie soitsans ride et sans tache, 36 ; sa réforme poétiquedu bréviaire, 68 sq. ; 70-74 ; 111, 119.

URFÈ (Claude d’). – II, 77.URFE (Honoré d’). – Astrée, I, délices et folie

de toute la France, 273 ; François de Sales etd’Urfé, 531. v. G. Reynier, chanoine Reure,Camus.

URQUIJO (Julio de). – Una fuente del« Gvero », IV, 71.

URSULE (sainte). – Sa légende, VI, 210, 211.v. Dom Claude Martin.

URSULINE (une religieuse). – La VénérableMère Marie de l'Incarnation (Mme Martin), avecintroduction de Mgr Baunard, VI. 9, 11.

URSULINES – II, établissement desUrsuliucs en France, 27 sq. – VI, leursConstitutions nouvelles au Canada, 129 :Ursulines françaises (Extraits de leurs annales)(XVIIe siècle), 442-444. v. Jeanne de Jésus. Mme

Acarie, Parayre, Mère de Pomereux, Parenty. Ch.de Sainte-Foi, H. de Leymont, abbé J. Morey, J.Thomas, dom Chamard.

URSULINES d’Évreux. – VI, prétenduesrévélations d’une religieuse contre M. Boudon,247. – de Lambesc. – III, 571. – de Langres. – IX,191. – de Loudun. v Loudun ; Urbain Grandier ;Jeanne dea Anges ; P. Surin : Dr Légué. – deSaint-Marcellin. – V, 342, 343. – de Saint-Sever.– III, 561. – de Tours. – VI, 72. – de Tréguier, de

624

Guingamp. de Saint-Brieuc, de Lamballe, dePontivy. – V, 145.

US (M. d’). – XI, 124.USUREAU (M.). – V, 344.UVALRIC, abbé bénédictin. – II, 491. [246]

V

VAILLANT (dom Hugues), mauriste,hymnographe. – X, a composé un Office de saintFrançois de Sales, 91, 92. v. dom Martène, Thiers.

VAIR (Guillaume du). – V, 182, 195.Éloquence française, I, 265.VAL-DE-GRACE (abbaye du), vallée de la

Bièvre. – II, 456 ; 485 ; 501-503 ; son transfertfaubourg Saint-Jacques, 503-536. – VI, 82. v.Marguerite d’Arbouze.

VALDÈS (Juan de). – Dialogo de DoctrinaCristiana, VIII, 196. – XI, 58.

VALENCE (chartreuse de). – VIII, 235.VALENSIN (P. Albert), s. j. – Un aspect de la

théologie de la prière, S., 343.VALENTIN (P.), carme. – V, 141.VALENTINIENS (les). – XI, 163.VALGORNERA (P.), o. p. – Theologia

mystica, VIII, 16, 17.VALLADIER. – I, 193.VALLEMONT (de).- – Du secret des mystères

ou l'Apologie de la rubrique des missels, IX, veutl’ancienne discipline du secret, les saints mystèrescachés aux fidèles, 168, 169 ; 174 ; les « Amen »

625

rubriqués du Missel de Meaux, 176 ; contre latraduction des paroles du Canon, 177 ; 192.

VALLESIUS. – De Sacra philosophia, I, 257.VALLIÈRE (Mère Angélique de La),

ursuline. – VI, 124.VALLIÈRE (Mlle de La). – I, 341. – II, 298.VALOIS (duc de). – VI, 279.VAN BEVER (Ad.), éditeur du « Cahier

vert » de Maurice de Guérin. – XI. 429.VANDAL (Albert). – I, 221.VANLOO. – III, son tableau de l’Enfant

Jésus, 579.VARENNE (La). – II, 94.VARET. – lettres chrétiennes et spirituelles, IX, de

la communion différée, 64, 65.VARIN. – La Vérité sur les Arnauld, IV, son

portrait de Robert d’Andilly, 11 ; sur la MèreAgnès, 188 ; 224 ; Angélique de Saint-Jean, 241.

VASQUEZ (P.) s. j. – II, 130, – XI, 261.VASSAL (A. de). – Un maître de la vie

spirituelle. Le Père Alphonse Rodriguez, VIII,Alphonse Rodriguez et les « Exercices », 193.

VATIER (P.), s. j. – La Conduite de saintIgnace, VIII, « dans l’oraison il est meilleur depâtir que d’agir », 366. – S., 51, 151.

VAUCEL (du), grand vicaire d’Évreux. – VI,242.

VAUDÉMONT (duc et duchesse de). – VI,384.

626

VAUGE (P. G.), de l’Oratoire. – Traité del'espérance chrétienne, IV, chaque fidèle est obligéd’espérer qu’il est du nombre des élus, 325 ;citation de sainte Thérèse, 376 ; 377 ; plus ondésire Dieu, plus on le possède, 379.

VAUGELAS. – I, 177. – II, 118. – IV, 17. –X, 236, 251, – S., 120.

VAURÉAL. – III. 591.VAUVENARGUES. – VI, 174.Œuvres posthumes, IX, la Belle Messe, 236.VAUVINEUX VAUCELAS (Mme de),

abbesse de Beaumont-les-Tours. – VI, 12.VAUX (abbaye de). – V, 150.VENDÔME (duc de). – II, 498. [247]VENDÔME (Mlle de). – II, 498.VENDÔME (François de), duc de Beaufort.

– V, 240.VENDÔME (Mme de). – II, 534,VENI D'ARBOUZE (Gilbert de), père de

Marguerite d’Arbouze. – II, 496.VENTADOUR (Henry de Livy, duc de). –

III, 324. – VI, 487.VERBE INCARNE (Ordre du). – VI, 296.

297. v. Jeanne de MatelVERCHÈRE (Sœur), visitandine. – A écrit,

avec la Sœur de Farges, la vie de sainteMarguerite-Marie Alacoque, VI, 400.

VERCLOS (P. Hyacinthe de), capucin. – VI,Vie de la Révérende Mère Agnès d'Aguillenqui, abbessedes Capucines de Marseille, 427.

627

VERDELIN (Mme de). – IV, 505.VERGER (Joantot du). – IV, 37.VERGIER (Mme du), mère de Saint-Cyran. –

IV, 125.VERGIER DE HAURANNE (du). v. Saint-

Cyran.VÉRIN (Michel). – Distiques moraux, IX, 329.VERJUS (P.), s. j. – Vie de Michel Le Nobletz,

V, 82.VERLAINE (Paul). – I, 206 ; a peut-être

imité le Temple de G. Herbert, 343. – VI, 481.VERNE (Jules). – X, 63.VERNON (P. J.-M. de). – Conduite chrétienne

et religieuse selon les sentiments de la Vénérable MèreMarguerite (Acarie), II, livre composé d’extraits deslettres et des notes de Marguerite Acarie, 345 ;simplicité ; oubli de soi ; rapports avec lesdirecteurs, 348, 349 ; l’enfer seul est impénétrableà recevoir les miséricordes de Dieu, 351, 352.

Testament de la Sainte Vierge Marie pour le jour deson Assomption, pieuse méditation rédigée par laMère Marguerite, 362. v. Marguerite Acarie.

VERNY (pasteur). – X, 177.VERT (de). – X, 33.VERTHAMON (dom Grégoire de). – VI,

83.VEUILLOT (Louis). – I, 240. – IV, 23, 29,

224. – VI, 482. – X, a traduit en vers françaisl’hymne O Luce qui mortalibus, 143 ; 154.

VEUILLY (baron de). – I, 296.

628

VEUILLY (baronne de). v. Marie de Saint-Charles.

VIALART (Mgr), évêque et comte deChâlons. – Préface aux Litanies tirées de l'Écrituresainte, X, 190, 191, 192.

VIANEY. – Le Pétrarquisme au XVIe siècle, I,origines du mouvement de poésie religieuse, 199 ;291.

Vie de saint François Régis, V, 83.VICQ (de). – III, 302.VICTORIN (P.), récollet. – École spirituelle de

perfection, VII, 326 ; comment bien faire l’oraison,357, 358 ; qu’adorent les chrétiens dans leur cœurquand ils y adorent Jésus-Christ ? 364.

Le Chrétien uni à Jésus-Christ au fond du cœur,VII, 325.

VICTORINS (les). – II, leur renaissance auXVIe siècle, 2 ; 6.

VIERGE NOIRE (de Saint-Etienne-des-Grès). – I, 87.

VIERGE (TRÈS SAINTE). – VI, ladévotion de l’esclavage, 266. – IX, la dévotion à laSainte Vierge pendant la seconde moitié du XVIIe

siècle ; déclin ou progrès ? 247-288 ; lerenouveau : deux tendances, renouvelant ladévotion médiévale et la dévotion bérullienne,249-252 ; le conflit entre les deux dévotions et lacampagne contre « les dévots indiscrets », 252-266 ; le scandale des protestants, 253 sq. ; de lacampagne contre les « dévots indiscrets » à

629

l’apostolat marial de Grignion de Montfort, 266 ;excellence de la dévotion populaire, 271-273 ;[248] esclavage à Marie, 273 ; abus condamnés,273 ; la Mère douloureuse et la critique du« Spasimo », 276-281 ; la haute spiritualitéfrançaise pendant tout le XVIIe siècle est contre le« Spasimo », 277 ; pratiques de dévotion, 281-288.v. Grignion de Montfort, Bérulle, Boudon.

VIES DE SAINTS. – I, Ch. 11, 239-254 ;nombre et variété des Vies de saints publiées de1600 à 1670, 239, 240 ; deux groupes trèsdistincts : vies des saints d’autrefois et celles descontemporains, 240 ; décadence progressive del’ancienne curiosité universelle dans la littératurehagiographique, 240, 241 ; la légende et l'espritcritique, 241 : les saints au village ; professions etmétiers, v. Nouveau recueil de vies des saints proprespour servir d'exemple à toutes sortes de personnes, dequelque vocation quelles soient dans la campagne, par undocteur en théologie, 246 ; la communion dessaints, 249 : biographie des saints du XVIIe siècle,grâce archaïque, aimables défauts du style LouisXIII, 249 ; résistance des anciens ordres qui serefusaient à raconter les saints de la veille, 251 :probité et mérites littéraires des biographes, 251 ;goût du détail concret et des documents, 251 ;curiosité psychologique, 252 ; vues synthétiques,253 : la fin de cette grande école hagiographiquesuit la déroute des mystiques, 253.

630

VIGENÈRE (Blaise de). – X, traduction enprose rythmée du psautier en français, 171.

Des prières et oraisons qui se doivent conformer toutesà l'Écriture sainte, X, 171 ; « De profundis », 171 ;« Cantique d’Ézéchias », 171, 172 ; « VeniCreator », 172.

VIGIER (P.), de la Congrégation de laDoctrine chrétienne. – II, 24.

Réponse aux lettres sur le nouveau bréviaire, X, 39.VIGNANCOUR (abbé Jean de). – La volonté

de Dieu, conduite spirituelle pour une âme, VII,conformité à la volonté de Dieu, source uniquede perfection, 269, 270. – IX, 377.

VIGNE (P.) fondateur de la Congrégation duTrès Saint-Sacrement. – IX, 243.

VIGNEROD (Marie-Marthe de). – III, 487.VIGNERON DE MONTMORENCY (Le),

et l’École de l’oraison cordiale, VII, 321-373. –VIII, 383. v. Querdu Le Gall, Jean Aumont.

VIGNY (Alfred de). – VI. 495.VIGUÉ. – Étude sur les travaux du Père de La

Taille et de M. Lepin, (Liturgia). IX, 134.VIGUIER (P.), de l’Oratoire. – V, 185.VILAZEL (Mgr de), évêque de Saint- Brieuc.

– VII, 200 ; ses remontrances à Louis XIII, 201 ;a fait l’oraison funèbre de Condren, 201 ; sesidées de réforme de l’Église, 202 ; 227, 233. v.Noulleau.

VILLANUEVA (P. Melchior de), s. j. – VIII,220.

631

Libro de la oración mental, VIII, ne nomme dansce livre ni saint Ignace ni les Exercices, 191.

VILLARS (Mgr de), archevêque de Vienne. –V, 343, 344.

VILLECOURT (cardinal). – III, 494.VILLEMAIN. – I, 222.VILLER (P.), s. j. – Abrégé de la perfection, de la

dame milanaise (Isabelle Bellinzaga). XI, 4, 5, 7, 9.13, 14 ; sur la lettre du général Aquaviva au PèreGagliardi à propos des bruits de réforme desordres religieux, 15, 16 ; 17-19, 21 ; pense queBérulle a découvert le Breve compendio grâce auxjésuites du collège de Clermont, 24 : peut-être parle Père Coton, 25 ; 26, 27.

VILLERABEL (de La). – Vie de [249] Meur,missionnaire breton, V, 114.

VILLEROY (M. de). – II, 91, 92, 94.VILLESAVIN (M. de). – II, 501.VILLEVERD (Julien). – VIII, soi-disant

agent de liaison entre les Alumbrados et lesluthériens, 240 ; 242.

VILLEY. – Les Sources d’idées (Bibliothèquefrançaise, XVIe siècle), I, œuvres de l'Antiquité,source de connaissance, 256 ; 229, 260.

VILLIERS (P. Jean), prémontré. – VI. 382.VILLON (François). – S., 360.VINCENT.abbé Francis). – VIII, 183, 186,

229, 279, 329, 375, 379. – S., 139.Saint François de Sales, directeur d'âme et éducateur

de la volonté. VII, 27 ; distingue deux courants dans

632

le développement de la spiritualité chrétienne :ascétisme moral (ascéticisme) et ascétisme dereligion (théocentrisme), 27 sq. ; pour M. Vincent,la victoire de l'ascétisme moral est un progrès,27 : louange de Dieu et culte du moi, 33 sq. ;François de Sales n’aurait considéré la liturgie quecomme un moyen de culture. 34, 35 ; unedéfinition nouvelle du poché, 36 ; la vraiereligion : culture de nous-mêmes, 36 ; la doctrineanthropocentriste de M. Vincent, 36, 37 ; sa thèseconçue en fonction du livre de M. Payot(l’Éducation de la volonté). 37 : réactions diverses desspirituels de la Compagnie de Jésus devant lathèse de M. Vincent, 37-39 ; 79, 387. - – IX, 112.– X, sur le chapelet, 4 ; déformation de la penséede saint François de Sales sur la prière, 7-9 ; 265.– XI, M. Vincent reprend et aggrave la doctrinedu Père Sirmond 289 : moralismeanthropocentriste prêté à saint François de Sales,298. – S., 179 ; sous la Loi ancienne, adoration deDieu ; sous la Loi nouvelle, nous fixerons ennous-mêmes le centre de nos préoccupations,180 ; l’ascétisme liturgique repose sur uneconception craintivement révérentielle de laDivinité, 181. v. Pottier, Cavallera, Doncœur.

VINCENT (P.), de l'Oratoire. – XI, 124.VINCENT (Samuel). – Méditations religieuses.

VII, sur la prière, 5, 6 : 8 ; Dieu... une personne...présente, 12. – S., la prière est l’activité appliquéeaux parties les plus élevées de la vie intellectuelle,

633

11 ; la prière, commerce actuel de l’âme avecDieu, 13 ; Dieu présent à l’âme, 17.

VINCENT FERRIER (saint). – V, 85, 92,104, 128.

Tractatus de vita spirituali, V, justification del’esprit, introversion, échelle mystique, 64, 65. v.Julienne Morell.

VINCENT DE PARIS (P.). – XI, 168.VINCENT DE PAUL (saint). – I, XVII, 151,

159 ; Camus, premier directeur de Louise deMarillac, la confie à saint Vincent de Paul, 151 :159. – II, 4, 188, 225, 265. 345 ; son éloge duTraité de l’Amour de Dieu de saint François deSales. 581. – III, 4, 167 ; Bérulle et Vincent dePaul, 222-257 ; le portrait et la légende de Vincentde Paul. 222, 223 ; son prétendu « gros bonsens », 223 ; aussi complexe, aussi peu simple queFénelon, 223 ; a trop dit qu'il n’était qu’un paysan,224 ; la mimique du paysan. 225 ; extrêmedélicatesse, 226 ; « entrer dans les sentiments duprochain », 227 ; vains essais de rusticité, 228 ;son prestige sur les femmes, 229 sq. ; la Grecquede Tunis, 229 ; Mme de Gondi, 230 ; Mlle Le Gras,231 : sainte Chantal, 231-233 ; sensibilité presqueféminine, 234 ; comment il disait la messe, 234,235 ; haute raison, profondeur de son esprit, 236 :magnanimité, son [250] attitude envers lesprotestants, 237-239 ; réalisation de l'Évangile,240 sq. ; son attitude en présence du jansénismecommençant, 240 ; pas moins d’esprit que de

634

cœur, 241 ; mépris constant et naturel de soi, 242,243 ; disait trop de mal de lui-même, 244, 245 ; saconversion à la sainteté, 246 sq. ; avant tout,mystique, 246 ; détachement quasi naturel deschoses d'ici-bas, 247 ; converti par l'exemple desmystiques bérulliens, 249 sq. ; s'est façonné surFrançois de Sales, mais plus encore sur Bérulle,250 sq. ; son théocentrisme, 251 sq. ; pessimismeaugustinien non des jansénistes, mais de Bérulle,250 sq. ; « tous les états » du Verbe incarné 252sq. ; « l’état inconnu du Fils de Dieu » et « samodération dans l'agir », 252, 253, « honorer l’étatdu divin intérieur de Jésus-Christ », 253 ; emploiele lexique bérullien, 254 ; les voies particulières dela Providence, 255 : les œuvres de Dieu « se fontd'elles-mêmes », 256 ; Vincent de Paul et lesmystiques de l'École française, 257 ; si l'onmanque de vie intérieure, On manque de tout,257 ; sur le Père de Condren, 292 ; 326, 330, 336,409, 429 ; sa tentation contre la foi, 430, 431 ;554, 608, 676. – IV, 21, 33, 40 ; son témoignagesur Saint-Cyran ; son intimité avec lui, 70 ; avénéré Saint-Cyran, mais n’a pas pris au sérieuxses boutades réformatrices, 71-73 ; loin de chargerSaint-Cyran l'excusera de son mieux, 73 sq. ; sadéposition au procès de Saint-Cyran, 74 sq. :second jugement de Vincent de Paul sur Saint-Cyran ; comment l'expliquer, 79 sq. ; son premierjugement, résultat d'une longue séried'observations ; le second, d’un raisonnement, 81-

635

83 ; 88, 90, 92, 93, 96, 102, 117, 118 ; dépositionau procès de Saint-Cyran sur l’absolution différée,147 ; son indulgence envers Saint-Cyran, 149 ;150, 151, 172, 252, 255, 291, 292 ; ordonne de nepoint prêcher sur les erreurs jansénistes, 309-311.– V, 83. – VI, 388. – VII, approuve le manifestedu Père Noulleau sur les blasphémateurs, 237 ;239, 243. – XI, chargé de l’examen des curésGuérin et Buquet, 106.

Lettres, III, 222 ; à sainte Chantal, 233 ; à MGrimal sur les rapports avec les protestants, 237,238 ; sur la conduite d'un évêque vis-à-vis desréguliers, 240, 241 ; à sainte Chantal, 240 ;« Honorez toujours Notre Seigneur à l’étatinconnu de Fils de Dieu », 252, 253 ; 256. – IV,supplie le Pape d’étouffer le jansénisme naissant,32. – V, sur l’exorcisme d’une jeune fille, 398,399.

Avis et Conférences spirituelles aux membres de laCongrégation, III, 223 ; de l’esprit de relâchementchez certains missionnaires, 224, 225 ; 233, 234,243 ; scandale des messes dites par certainsprêtres négligents, 248 ; dévotion édifiante decertains chapitres ; les chanoines de Notre-Dame,248, 249 ; sur M. de Bérulle et sa doctrine, 250,251 ; 253, 257.

Conférences aux Filles de la Charité, III, 223,225 ; faut il que nous menions une vie à gogo ?226 ; à propos du comte de La Noie, 227, 228 ;M. de Bérulle et l’élévation à Dieu, 250, M. de

636

Bérulle se faisant bénir par les petits enfants, 251 ;252, 254 ; 255, 256.

Abrégé de la méthode de prêcher, III, 244.Correspondance, Entretiens, Documents, publiés

par Pierre Coste, III, 227 ; fragments d'une lettrede Mgr de Solminihac sur la condamnation dujansénisme, 441. v. Calvet, Abelly, Coste,Boudignon, Peyroud. Grenier de Montmorant,Maynard.

VINET. – IV, 282, 283, 284, 471. MélangesStapfer, VII, 26.

Études évangéliques, VII, ce qui élève l'homme,ce n’est pas la joie, c'est l'amour, 67.

V INSON,J.). – Revuede linguistique et dephilosophie comparée, IV, 71. [251]

VINTIMILLE (Mgr de) – IX, 38.Bréviaire, X, 39, 65, 81, 92, 156, 159, 160, 162.VIOLE (Anne de). – II, 327.VIOLLET-LE-DUC. – X, 69.VIPERA (P. Jean-François), s. j. – XI, ses

rapports avec Gagliardi et Isabelle Bellinzaga, 10-12.

VIRGILE. – I, des renaissants l’ont faitparler chrétien, 28. – III, 95. – IV, 383, 441, 500.– V, 269. – VII, 198. – X, 73, 92, 101, 154, 263. –XI, 378.

Géorgiques, VI, 299, 502.VISITANDINES du Faubourg Saint-

Jacques. – IV, 236. – d’Ornans. – VI, ont rééditéla Vie de Sœur J -B. Gojoz, 418. – de Rouen. –

637

III, leur Manuel de la dévotion du Sacré-Cœur (1694)dit expressément : « Le Sacré Cœur de Jésus est, àproprement parler, l’Intérieur de Jésus-Christ »,658, 659.

VISITATION (la). – I, 129. – II, la Visitationet le Carmel, 555-564 ; son esprit, sa nature, 565sq. ; transformation insensible, 568 sq. ; premièreébauche de la Visitandine : Marthe et Maried’abord, puis Marie toute seule, 570 ; l’oraison desVisitandines, 574. – III, remarques sur lesorigines, 182.

VISITATION d’Angers. – IV, le Port-Royald’Angers, 226 ; le théâtre au couvent ; une farceantimoliniste, 228, 229. v. Henry Arnault,Bourrigant, Marie Constance Constantin.

VISITATION de Caen. – III, 600. – deMontargis et de Melun, VI, 394. – de Nevers. –IV, 225.

VISITATION de Rennes. – V, 143.VISSAC. – La poésie latine en France au siècle de

Louis XIV, X. lettre de Rancé à Nicaise sur leshymnes de Santeul, 37 ; les hymnes, triomphe denotre poésie latine, 64 ; 88, 101, 159.

VITELLESCHI (P.), général de laCompagnie de Jésus. – VIII, 281 ; sacorrespondance à propos du P. Surin, 281-283. –XI, interdit que l’on écrive la vie d’IsabelleBellinzaga, 18. – S., 138. 177.

VIVANT (François), docteur en Sorbonne,hymnographe. – X, 96.

638

VIVENEL, mari d’Antoinette Journel(Antoinette de Jésus.) – VI. 341.

VIVÈS. – X, 77.VIVIER (F. du). v. dom Gerberon.VIVONNE (Andrée de), femme de François

de La Rochefoucauld. v. La Rochefoucauld(duchesse de).

VOISIN (Joseph de). – Sa traduction duMissel, IX, 177 ; elle est condamnée, 178 sq. ; atraduit l'Office de la Semaine sainte, 184.

Une Théologie des Juifs, IX, 178.Notes sur le « Pugio Fidei » de Raymond Martin,

IX, 178.Défense du Traité du prince de Conti contre la

Comédie, IX, 178.VOITURE. – VII, 265.VOLTAIRE. – I, 4. – IV, 15, 406, 498. – VI,

8, 139. – VII, 20. – VIII, 321. – IX, 24, 316. – X,83, 107, 122. – XI, 313.

La Henriade, II, sur Ange de Joyeuse, 143.VOOGHT (P.). – XI, 320.VOYAGES des personnes de piété au XVIIe

siècle. – V, 142.VUILLEMIN (dom). – La Vie de saint Pierre

Fourier, II, 2. [252]

W

WADDING. v. Yves de Paris.WALLET (Françoise). – XI, 106.WALTER SCOTT. – X, 63.

639

Waverley, VI, 252.WARD (Mary). – VI, 262.WARD (William G.). – IX, 266. – X, The

Ideal of a Christian Church : l'inconvénient desformules et l’excellence des prières improvisées,344.

Five lectures on attrition, contrition and sovereignlove, XI, du degré d’amour naissant nécessairepour la pénitence, 308.

WATELET. - III, 591.WATRIGANT (P.), s. j. – III, critique de ses

études sur les Exercices de saint Ignace, 28-34. –V. a réédité du Père Champion : les Vies du PèreVincent Huby, de Mlle de Francheville, de M. deKerlivio, 82. – S., 27, 41 ; demande qu'un exercicede prière enveloppe les exercices d'ascèse(ignatienne), 48, 49 ; 86, 89, 92, 94, 98, 99, 109,117, 145, 158, 159, 161, 170, 174, 175, 178.

La Méditation fondamentale avant saint Ignace, III,citation du Père Nadal, 24 ; de Nicolas de Lyre,27 ; 28, 32.

Genèse des Exercices spirituels de saint Ignace(Études), III, 28.

Bibliothèque des Exercices de saint Ignace, IV, 342 ;526. – IX, cite Gagliardi à propos de saint Ignaceet de son habitude de dire à haute voix les parolesde la Messe, 175. – S., sur le Père Guilloré et sathéorie de la pauvreté des lumières dans l'oraison,68, 69 ; citation de saint Ignace : l'humilité nousinstruit et non le discours, 70 ; du raisonnement

640

spirituel pour nous persuader de pratiquer lesvertus les plus difficiles, 77, 78 ; citation de saintLaurent Justinien, 78 ; de l'oraison pratique, 85sq. ; saint Ignace et l’oraison pratique, 87, 88.

Des Méthodes d'oraison dans notre vie apostolique,selon la doctrine des « Exercices » (Bibliothèque desExercices) VIII, 186, 189, 229, 250, 262, 266.268 ; citation du Père Sandæus sur les douceurssensibles dans la contemplation, 270 ; citationd'Alvarez de Paz sur la contemplation 272 ; 300 ;359. – S., 23, 130.

WEHRLÉ (abbé). – S., 360.La vie contemplative, couronnement de la vie

chrétienne, VII, 162.WEISS (J.-J.). – III, Article sur Désiré Nisard

(Essais suri histoire de la littérature française), 679, 680.WENDROCK. v Nicole.WERQUIGNOEUL (Florence de), abbesse

de la Paix-Notre-Dame. – II, ses adieux à l'abbayede Flines, 403-405.

WESTON (P.), s. j. – V, exorcise lespossédés de Dunham, 188.

WHITMAN (Walt). – The uncollected poetry andprose, VII, les deux moi, 50.

WHYTE (Alexander). – Thirteen appreciations,III, éloge de Thomas Goodwin, 641 ; IV, 348 ; X,sur Lancelot, Andrewes et William Law, 233.

WIDENFELT (Adam de). – IX, Monitasalutaria B. V. Mariae ad cultores suos indiscretos, 254,255 ; bibliographie des écrits contre ce livre, 258 ;

641

259 ; 262, 264 ; 265-269 ; 271 ; 274. v. Père deColonia.

WILL (Robert). – Le Culte. Étude d’histoire etde philosophie religieuse, X, 12 ; la litanie, formepotentielle de la prière, 208 ; prier [253]d’abondance ou réciter une formule ? 341 ;élévation par la parole sacrée de la communautéempirique à la hauteur de la communauté idéale,342, 343.

WILLIAMS (Isaac). – Hynms translated fromthe Parisian Breviary, X, 72, 76, 122 ; traduction(anglaise) de l’hymne « O Luce qui mortalibus »,148 ; traduction (anglaise) de l'hymne « Gratesperacto jam die », 150.

WILMART (dom). bénédictin. – IX, 361. –X, 34, 288.

L'Hymne et la Séquence du Saint-Esprit (Vie etArts liturgiques), X, des proses latines disparuesdu Missel, 92.

Pour les prières de dévotion (Vie et Artsliturgiques), X, prière liturgique et prière privée,222-224 ; les missels et les recueils d’oraisonsprivées, 225, 226 ; des formules de prièresprivées, 226, 227 ; 317.

WORDSWORTH. – III, 344. – IV, 163. –XI, 429. v. de Quincey.

WUNDT. – X, 340.

X

XAINTONGE (Anne de). – II, 127.

642

Y

YVAN (P. Antoine), de l'Oratoire. – II, sonculte pour S. Philippe Néri, 25 ; formé à la vieintérieure par Benoît de Canfeld, 158. – VI, 427 ;fondateur, avec Madeleine Martin, de laCongrégation de la Miséricorde, 427. – VIII, 79,169. v. H. Bremond.

YVELIN. – XI, 158.YVES LE BRETON (Frère) – I, 183. v.

Camus.YVES DE PARIS (P.), capucin. – I, 185 ;

représentant le plus achevé de la dernièregénération de l'humanisme dévot, 345 ; l'hommeet l’écrivain, I, IIIe partie, chapitre II, 420-452 ; ungrand oublié, 421 sq. ; l’éditeur de ses œuvresposthumes l’appelle « le beau génie de sonsiècle », 422 ; sa place dans l'histoire del'humanisme, 423 ; sa naissance, 425 ; ses débutsau barreau, 426 ; sa vocation religieuse, 427 ; cequi l'attirait chez les capucins, 428 ; liberté etsimplicité de l’Ordre, 429 ; son activité littéraire,430, 431 ; son examen en Sorbonne, 430 ; sesauteurs préférés, 432 ; ses délices, 433 ; son style,le rythme, les images, 443 ; sa doctrine, sonorthodoxie, son apparence profane. 454, 455 ; sesidées sur « le sexe infirme », 454 ; son mysticismepersonnel, 503 sq. ; ses réserves contrel'exagération des faux mystiques 504 ; ne peutatteindre qu'une élite ; avec lui, l'humanismedévot tend à redevenir l'ancien humanisme

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chrétien, 508 ; non pas un directeur, mais uncontemplateur, 509 ; ne méprise pas, mais ignoreles profanes, 509 ; ne peut voir que la naturesurélevée par la grâce, 509 ; on dirait qu'il n'a pasle sens du péché, 510 : piété tendre, mais prendsouvent un air lointain, 510 ; n’emprunte rien auxExercices de saint Ignace, ignore les méthodesoratoriennes, 510 ; sa [254] métaphysique estaussi dévotion, action, ascèse, 511 ; intelligencepure et rayonnante, 511 ; 521. – II, dès lapremière heure, s’est dressé avec plusieurs de sesfrères contre la Fréquente Communion d’Arnauld,137 ; 142. – III, 679. – IV, 1, 19. – VIII, 14, 396.– X, 204.

Les Miséricordes de Dieu en la conduite de l’homme.I, réponse directe à la « Fréquente communion »,391, 392 ; de l’amour abandonné aux seulesmiséricordes du Père, 397 ; ne pas tirer desconséquences infaillibles et absolues des textesdes Pères, 399 ; conséquences de la théologieinhumaine. 411 ; contre l’opinion janséniste surles vertus des païens qui ne seraient que despéchés, 415 ; 431 ; contre les exagérations desfaux mystiques, 504.

Les Fausses opinions du monde, I, 422.Le Magistral chrétien, I, 422.La Théologie naturelle, I, de la vanité de la

gloire, 424 ; les délices d’une sérieuse retraite ennous-mêmes, 430 ; 431 ; dévotion à la lumière,435 ; les spéculations universelles, libres du

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temps, du lieu et de la matière, 437 ; ducontemplateur et du curieux, 439, 441 ; lessentiments de Dieu qui nous surprennent... sontdes demi-extases, des voix de l’éternité, 442 ; de lacontemplation extatique, 442, 443 ; la résurrectionde Lazare, 445 ; les astres et notre avenir, 445 ; lechrétien peut monter au Ciel par le ministère desmauvais prêtres, 446 : la philosophie chrétienne etl'astrologie, 447-449 ; le bien devance toujours lemal, 456 ; larmes de l’enfant qui vient de naître,456 ; notre plaisir (corporel) est sans relâche,457 ; ces lâches pensées de la misère de l’homme,461 ; la farce du monde, 468 ; sympathies etunion, 477 : des Anges gardiens, 486 ; Dieusensible, Dieu palpable, 487-489 ; l'homme nesaurait éteindre le sentiment naturel qu'il a deDieu, 489 ; de quel droit mettre un instinct au-dessus de la raison raisonnante, 490 ; cet instinctest intelligence ; atteindre Dieu par cet instinct etpar la raison, 491 ; le sentiment de Dieu, apanagede la partie supérieure de l’âme, 491, 492 ; rapportentre ce sentiment et la connaissance mystique,492 ; l’âme ressent, par une secrète réflexion, queson essence est incorruptible, 492, 493 ; la pointede l’âme, 493, 494 ; stérilité des connaissancessans amour, 495 ; infirmité de la raisonraisonnante, 495 ; toute beauté est spirituelle,499 : révélation de la beauté, 499, 500 ; la beautécorporelle n’est qu'une ombre de la divine, 501 ;

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panégyrique de l'amour, 502, 503 ; du pur amour,504 ; les deux parties de notre âme, 509.

Le Gentilhomme chrétien, I, les jeux et lesexercices d'un gentilhomme, 425, 426 ; de lasujétion d’être juge, 426, 427 ; 431 ; lacontemplation est unifiante et trouve tout enchaque chose, 433 ; la physique qui a tant debeautés qu’on n’a point d’esprit si on ne l’aime,437 ; spectacle digne de merveille : voir unvaisseau bien équipé sortir du port, 438 ; lesvoyages, 438 ; des inclinations naturelles, 457 ; dusentiment de l’honneur, 464 ; les courtisans etl’honneur, 464 ; de la mode, 465 ; les vocationsforcées, 469, 470 ; décadence de la noblesse, 471 ;les pages, 471 ; mariages d’argent, 472 ; lesnourrices mercenaires, 473 ; les Anges et l’ordredu monde, 485 ; de la beauté, 497, 498 ; l’échelledes beautés ; attrait de la diversité, excellence del’unité, 498, 499 ; les premières flammes del’amour, 500, 501 ; ne haïr ni l’amour ni la beautésensible s’ils ne sont pas détournés de leur fin,502, 503.

Les heureux succès de la piété, I, vocationreligieuse, 427, 428 ; ce qui attirait Yves chez lescapucins, 428, 429 ; les missions dans lescampagnes, 429, 430 ; les cicatrices du mauvaispassé, 445 ; le [255] sentiment de la religion serencontre aux deux extrémités de notre âge, 456 :les mariages politiques, 472, 473 ; les abus quiajoutent à la souffrance du peuple sont les plus

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graves, 473 ; les Anges meuvent les globescélestes, 484 ; les plus grands docteurs ne-sontpas les plus connaisseurs, 494 ; les frères lais,maîtres de l’humilité, 495 ; notre âge eûtrencontré de lui-même ce qu'il a reçu despremiers auteurs, 497. – IX, 10.

Les Morales chrétiennes, I, la solitude oùl'homme respecte la majesté de ses pensées, 430 ;431 : les hommes ne doivent pas rendre lesactions de grâces à Dieu avec des larmes, 433,434 ; la promenade du sage, 434-436 ; lesinfiniment petits, 436 ; les abeilles, 436 ; tous lessens ont leur part de la fête de la nature, 436 ; lemusée du contemplatif, 437 ; il n’y eut jamais dephilosophie si contemplative que la chrétienne,440, 441 ; Judith, 444 ; de la beauté féminine,446 ; 447 ; Jésus-Christ, l’astre de chacun, encorequ’il le soit de tous, 455 ; combien la science a desympathie avec les qualités du chrétien, 458 ; laculture des fleurs, 458, 459 ; le sage se persuadeaisément des perfections de l’homme, 463 ;l’espérance en la miséricorde céleste, 467 ; lesfaux dévots, 468 ; les vocations forcées, 470 ;479 » l’amour dans le mariage, souverain appareilaux plaies que ce dernier fait à la liberté, 480 ;harmonies conjugales, 481 ; panégyrique del’amitié, 482-484 ; les voûtes gothiques et lerecueillement de l’âme, 488.

Progrès de l'Amour divin, I, amour naissant,amour souffrant, amour agissant, amour

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jouissant, 431 ; 497 ; vers l’amour pur, 505, 506 ;510 ; de la docte ignorance, 495, 496 ; révélationde la beauté, 499-501 ; la beauté, la vertu, lascience... essais pour instruire notre cœur à sedonner su souverain bien, 505 ; vers l’extase, 505,506.

Digestum sapientiæ, I, 431.Fatum Universi (Histoire future de l’univers),

en collaboration avec le marquis d’Asserac et sousle nom de François Allæus, arabe chrétien, I, 431,432.

L'Agent de Dieu dans le Monde, I, que lespersonnes publiques soient des lois vivantes pourtempérer les lois écrites, 427 ; 431 ; Gerson etl’astrologie, 452 ; le fou rire, revanche de l’ordre,459 ; la joie des pauvres, 459, 460 ; du danger desconfréries de prière ou de charité de setransformer en cabales politiques, 468, 469 ; lamisère publique et les exactions des gouverneurs,473, 474 ; projet d’une Caisse syndicale pour lesartisans infirmes, 475 ; Dieu se cache pourdonner de l’exercice à notre courage, 475, 476 ; leriche subsiste par la miséricorde des pauvres,479 ; 494.

Jus naturale, I, 431 ; le sage devant le spectaclemonde. 433 ; 497.

Les Vaines excuses du pécheur, I, lacontemplation, 432 ; jugement sur divers pays,439, 440 ; plus de perfections ici-bas que dedéfauts, 455 ; l’amour-souffrance est une

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perversion de l’homme, 458 ; avantage despassions, 461 ; l’excellence de l’homme en soin’est pas contredite par la misère morale desparticuliers, 463 ; la fidélité conjugale en France,465 ; Dieu prend le gouvernail quand les pilotessont endormie, 465 ; 479 ; la beauté sensible n’estpas le vrai centre du cœur, 502.

La conduite des religieux, IV, de l’émotionreligieuse, 340 ; douleur et joie du vrai pénitent,376 ; en cherchant Dieu, le posséder, 378, 379.[256]

Z

ZACCARIA (saint). – VIII, 199.ZACHARIE DE DIJON (P.), capucin. – A

publié sous le titre Parnasse séraphique les œuvrespoétiques du Père Martial de Brives, I, 200.

ZACHARIE DE LISIEUX (P.), capucin. –II, 142.

De la Monarchie du Verbe incarné, I, 512.Sæculi genius, I, 512.Gyges gallus, I, 512.Relation du pays de Jansénie, I, 512. v abbé Ch.

Guéry.ZAMET (Sébastien), évêque de Langres. – I,

131. – III, conquis par Condren, 324 ; 327 ;Zamet et Saint-Cyran, 330, 331 ; 430. – IV, 41,61, 75, 89, 90, 92 ; sa déposition au procès deSaint-Cyran, 89-93 ; 102, 186 ; sa direction dePort-Royal, 197, 198 ; 204, 209 ; a approuvé et

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peut-être retouché le Chapelet secret, 209, 210,211, 212, 214. – IX, fonda l’Institut (parisien) del’Adoration perpétuelle gouverné par la MèreAngélique. 210.

Mémoire contre Saint-Cyran, IV, 92, 93, 198,215. v. François de Fontaine, Prunel.

ZENON – I, 379.ZINZENDORFF. – X, a introduit la litanie

dans la Communauté des Frères Moraves, 208.ZWINGLE. – XI, 61.

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