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C’est un fait indéniable, l’augmentation massive et incessante des données définit désormais l’environnement informatique dans lequel évoluent les entreprises, petites ou grandes. Selon les analystes de l’IDC spécialisés dans ce secteur, de 2013 à 2020, l’univers numérique sera multiplié par 10, passant de 4,4 trillions de gigaoctets à 44 trillions. Au cours de cette période, la croissance est plus que doublée tous les deux ans. S’il ne fait aucun doute que cette croissance représente un défi non négligeable en matière de stockage, il reste à savoir comment relever ce fameux défi. Une telle incertitude repose en grande partie sur l’effort grandissant réalisé pour contrôler les dépenses informatiques (capex et opex). Sans ces contraintes budgétaires, le simple fait d’augmenter la capacité en stockage primaire coûteux afin de s’adapter à l’augmentation des données structurées et non structurées apparaîtrait comme la solution la plus logique. Les besoins en matière de capacité, de performances et de protection des données seraient satisfaits et l’utilisation d’une solution de stockage unique pour l’ensemble des applications permettrait de simplifier le déploiement et la gestion. Mais cette approche simpliste ne serait ni raisonnable ni efficace, même dans la meilleure situation financière qui soit, et encore moins dans le climat d’austérité financière qui règne actuellement au sein du secteur informatique. Toutes les données ne sont pas équivalentes et les responsables informatiques sont bien conscients que le rapport coût/efficacité d’une solution de stockage est directement lié à sa capacité à répondre efficacement aux besoins en matière de données. C’est pourquoi l’optimisation du stockage (soit l’adaptation du stockage aux besoins en matière de performances, de capacité et d’accessibilité des données) est devenue une étape stratégique et incontournable pour les entreprises dans leurs efforts pour faire face au flot de données sans précédent de notre époque. L’archivage sécurisé, le stockage hybride et unifié et le stockage haute densité représentent autant d’approches innovantes et rentables capables de maximiser le RSI du stockage et offrant l’équilibre recherché entre performances, capacité et protection des données aux applications qui leur sont destinées. Mais afin d’atteindre ce plein potentiel, des solutions de stockage conçues avec une compréhension approfondie des défis spécifiques à leur environnement opérationnel doivent être mises en place. L’ARCHIVAGE SÉCURISÉ : MEILLEUR RSI DU STOCKAGE, MOINS DE RISQUES DE PERTE DE DONNÉES L’exemple d’optimisation du stockage le plus fréquent consiste à déplacer de grandes quantités de données rarement consultées d’un stockage primaire performant et coûteux vers un stockage secondaire moins performant et moins coûteux (voir Figure 1). Cela augmente le RSI du stockage primaire en libérant davantage de capacité et en améliorant les performances du niveau primaire, tout en écourtant sa fenêtre de sauvegarde en réduisant la quantité de données primaires qui doit être sauvegardée. DONNÉES inactives depuis 90 jours ou plus DONNÉES inactives depuis 30 jours ou plus DONNÉES ACTIVES 10 à 12 % de la capacité totale FIGURE 1 SEUL UN PETIT POURCENTAGE DE DONNÉES EST ACTIF SUR LES SYSTÈMES DE STOCKAGE PRIMAIRE TYPES STOCKAGE PRIMAIRE 1 IDC, The Digital Universe of Opportunities: Rich Data and the Increasing Value of the Internet of Things, avril 2014 GUIDE DE SOLUTIONS DE PROTECTION DES DONNÉES

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DESCRIPTION DE LA SOLUTION

C’est un fait indéniable, l’augmentation massive et incessante des données définit désormais l’environnement informatique dans lequel évoluent les entreprises, petites ou grandes. Selon les analystes de l’IDC spécialisés dans ce secteur, de 2013 à 2020, l’univers numérique sera multiplié par 10, passant de 4,4 trillions de gigaoctets à 44 trillions. Au cours de cette période, la croissance est plus que doublée tous les deux ans. S’il ne fait aucun doute que cette croissance représente un défi non négligeable en matière de stockage, il reste à savoir comment relever ce fameux défi.

Une telle incertitude repose en grande partie sur l’effort grandissant réalisé pour contrôler les dépenses informatiques (capex et opex). Sans ces contraintes budgétaires, le simple fait d’augmenter la capacité en stockage primaire coûteux afin de s’adapter à l’augmentation des données structurées et non structurées apparaîtrait comme la solution la plus logique. Les besoins en matière de capacité, de performances et de protection des données seraient satisfaits et l’utilisation d’une solution de stockage unique pour l’ensemble des applications permettrait de simplifier le déploiement et la gestion.

Mais cette approche simpliste ne serait ni raisonnable ni efficace, même dans la meilleure situation financière qui soit, et encore moins dans le climat d’austérité financière qui règne actuellement au sein du secteur informatique. Toutes les données ne sont pas équivalentes et les responsables informatiques sont bien conscients que le rapport coût/efficacité d’une solution de stockage est directement lié à sa capacité à répondre efficacement aux besoins en matière de données. C’est pourquoi l’optimisation du stockage (soit l’adaptation du stockage aux besoins en matière de performances, de capacité et d’accessibilité des données) est devenue une étape stratégique et incontournable pour les entreprises dans leurs efforts pour faire face au flot de données sans précédent de notre époque.

L’archivage sécurisé, le stockage hybride et unifié et le stockage haute densité représentent autant d’approches innovantes et rentables capables de maximiser le RSI du stockage et offrant l’équilibre recherché entre performances, capacité et protection des données aux applications qui leur sont destinées. Mais afin d’atteindre ce plein potentiel, des solutions de stockage conçues avec une compréhension approfondie des défis spécifiques à leur environnement opérationnel doivent être mises en place.

L’ARCHIVAGE SÉCURISÉ : MEILLEUR RSI DU STOCKAGE, MOINS DE RISQUES DE PERTE DE DONNÉES L’exemple d’optimisation du stockage le plus fréquent consiste à déplacer de grandes quantités de données rarement consultées d’un stockage primaire performant et coûteux vers un stockage secondaire moins performant et moins coûteux (voir Figure 1). Cela augmente le RSI du stockage primaire en libérant davantage de capacité et en améliorant les performances du niveau primaire, tout en écourtant sa fenêtre de sauvegarde en réduisant la quantité de données primaires qui doit être sauvegardée.

DONNÉESinactives depuis90 jours ou plus

DONNÉESinactives depuis30 jours ou plus

DONNÉES ACTIVES10 à 12 % de la capacité totale

FIGURE 1 SEUL UN PETIT POURCENTAGE DE DONNÉES EST ACTIF SUR LES SYSTÈMES DE STOCKAGE PRIMAIRE TYPES

STOCKAGE PRIMAIRE

1IDC, The Digital Universe of Opportunities: Rich Data and the Increasing Value of the Internet of Things, avril 2014

GUIDE DE SOLUTIONS DE PROTECTION

DES DONNÉES

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Cependant, toute donnée ayant été déplacée vers un stockage secondaire ou vers une archive par le biais d’une telle optimisation doit aussi être copiée lors des sauvegardes, qui peuvent alors être utilisées afin de restaurer les données d’origine si ces dernières sont perdues ou trop endommagées.

Ce qui soulève une question essentielle en matière de risque de perte de données. Les fichiers actifs sur un stockage primaire sont constamment consultés et ouverts, ainsi toute corruption de données ou toute absence de fichier est rapidement repérée. En revanche, les fichiers présents sur le stockage secondaire sont ouverts moins fréquemment : des semaines, des mois, voire des années peuvent s’écouler avant qu’une entreprise ne remarque la corruption ou même l’absence d’un fichier.

Le remède ? Une solution d’archivage sécurisé spécialement conçue pour offrir un maximum de sécurité, d’intégrité et de confidentialité des données dès que le fichier est intégré à l’archive. Ce n’est qu’en utilisant une vérification complète de l’intégrité des données que l’on peut protéger une solution d’archivage contre une corruption silencieuse des données (qu’elle soit due à une défaillance matérielle, logicielle, ou à une erreur humaine telle que la suppression ou l’écrasement accidentel de fichiers par les employés, etc.) ou d’autres menaces telles que des attaques malveillantes de cybercriminels.

Contrairement aux systèmes d’archivage et de sauvegarde traditionnels, une solution d’archivage sécurisé sur mesure permet aux professionnels de l’informatique de répondre aux quatre questions sensibles qui se posent au sujet des données qu’ils sont chargés de protéger :

1. Comment savez-vous si tous vos fichiers se trouvent dans votre sauvegarde ou archive ?

2. Comment savez-vous s’il y a une copie de tous vos fichiers sur un site distant ?

3. Quel est l’état de santé (intégrité) de vos fichiers sur chaque site ?

4. Si les fichiers sont différents, lesquels sont les bons ?

Autre avantage du système d’archivage sécurisé sur mesure : comme la vérification complète de l’intégrité nécessite la duplication de chaque fichier lors de l’intégration à l’archive sécurisée, les données n’ont pas besoin d’être sauvegardées. Cette approche garantit non seulement une meilleure protection des données, mais élimine également les coûts relatifs au matériel informatique, à la gestion des données et aux applications de sauvegarde dépendant de la capacité (en To) qui sont associés aux sauvegardes incrémentales journalières ou hebdomadaires complètes.

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STOCKAGE HYBRIDE ET UNIFIÉ : PERFORMANCE ET FLEXIBILITÉ DE SAUVEGARDE ABORDABLES Tandis que l’optimisation du stockage grâce à des archives sécurisées aide à réduire le pourcentage de données situées sur le stockage primaire, il existe néanmoins une grande quantité de données devant être hébergées (que ce soit sur du stockage primaire ou secondaire)... et celles-ci doivent régulièrement être sauvegardées. Malheureusement, les contraintes budgétaires ont mené de nombreux départements informatiques à accepter le statu quo en ce qui concerne la protection des données. Cela implique l’utilisation de systèmes de stockage sur disque dur de grande capacité mais de faible performance, dont le coût est moins élevé, comme support de sauvegarde et de restauration.

Notez que dans les environnements à protocoles mixtes où l’on emploie un SAN pour le stockage en mode bloc et un NAS pour le stockage de fichiers (un scénario de plus en plus fréquent), deux solutions de sauvegarde séparées et distinctes sont requises. Cela rajoute bien évidemment des dépenses considérables, ce qui entrave les efforts réalisés pour réduire les coûts en matière de sauvegarde.

Par le passé, les quantités modérées de données que possédaient la plupart des entreprises rendaient les modestes performances de ces solutions de sauvegarde axées sur l’aspect financier acceptables. Mais l’environnement de travail d’aujourd’hui, international et continu, pousse les professionnels de l’informatique à réduire les fenêtres de sauvegarde et à diminuer leurs objectifs de perte de données maximale admissible (RPO), ainsi que la durée maximale d’interruption admissible (RTO), tout en devant gérer des quantités de données nettement plus importantes que ne serait-ce que quelques années auparavant.

Heureusement, le perfectionnement continu des technologies hybrides d’aujourd’hui permet aux entreprises de tirer profit de la remarquable vitesse du SSD (solid state disks) pour des applications de sauvegarde qui ne justifieraient jamais le coût rebutant d’une solution composée exclusivement de SSD... ni même le prix élevé de certains systèmes de stockage primaire sur disques durs (voir Figure 2).

La façon dont une solution de stockage hybride intègre la DRAM, les disques SSD et les disques durs joue un rôle crucial pour en déterminer les performances, l’efficacité et l’aptitude à protéger les données. Un des facteurs essentiels à prendre en compte lorsqu’il s’agit d’évaluer une solution de sauvegarde hybride est la méthode utilisée pour gérer les données de façon dynamique entre SSD et disque dur. La mise en cache est plus efficace que le stockage à plusieurs niveaux car le chemin d’accès pour les données mises en cache est court et les données sont intrinsèquement protégées : la mise en cache de lecture utilise des algorithmes prédictifs pour copier les données depuis le disque dur vers le disque SSD de façon proactive et ainsi bénéficier d’opérations E/S plus rapides.

Si le taux de transfert et le nombre d’opérations E/S par seconde permettent en effet de mesurer l’efficacité d’un système de stockage et de sauvegarde, la flexibilité et la facilité d’administration en sont également des facteurs clés. La prévalence grandissante des systèmes SAN (stockage en mode bloc) et NAS (stockage en mode fichier) dans les entreprises de toutes tailles définit désormais les besoins en matière de stockage de pratiquement toutes les infrastructures informatiques. La capacité à prendre en charge les systèmes SAN et NAS au sein d’une solution de sauvegarde hybride et unifiée procure divers avantages :

• Une plus grande consolidation

• Une gestion plus simple

• Une utilisation optimisée de la capacité

• CAPEX et OPEX optimisés

PERF

ORM

ANCE

S E/

S AL

ÉATO

IRES

COÛT

SSDUNIQUEMENT

HYBRIDE

DISQUEROTATIF

FIGURE 2 LE STOCKAGE HYBRIDE PERMET L’ÉQUILIBRE OPTIMAL ENTRE COÛT ET PERFORMANCE

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STOCKAGE HAUTE DENSITÉ : PLUS DE CAPACITÉ ET MOINS D’ESPACE (ET D’ÉNERGIE) À l’heure où les entreprises recherchent d’autres moyens de limiter leurs dépenses informatiques, les solutions de stockage haute densité font l’objet d’une popularité grandissante. Et pour cause, la promesse d’une plus grande capacité de sauvegarde et de meilleures performances dans des centres informatiques de plus petite taille semble irrésistible pour quiconque recherche plus d’efficacité et de rentabilité pour sa structure informatique existante. Il n’est pas surprenant de voir de nombreux fournisseurs se lancer dans la production de systèmes de stockage haute densité afin de répondre à cette demande croissante.

Toutefois, la conception et la fabrication de systèmes de stockage efficaces et fiables et intégrant un nombre nettement plus important de disques durs n’est pas un processus simple. Les défis mécaniques et électriques de conception (vibrations, températures élevées, consommation excessive d’énergie, remplacement de disque fastidieux, etc.) que présentent les systèmes de sauvegarde haute densité sont rebutants et deviennent d’autant plus complexes avec l’augmentation de la densité de stockage.

La consommation excessive d’énergie est un problème particulièrement épineux en matière de solutions de sauvegarde haute densité, dont découle un autre problème, qualifié de paradoxe énergie/efficacité, qui empêche les utilisateurs finaux d’utiliser pleinement la surface au sol rendue disponible par les architectures haute densité. Pour faire simple, les besoins en énergie par rack de stockage deviennent si élevés que la capacité électrique maximale du centre informatique est atteinte avant que toute la surface au sol ne soit exploitée (voir Figure 3).

L’atténuation de ce paradoxe nécessite des systèmes de stockage haute densité spécifiquement conçus pour améliorer l’efficacité énergétique. Cela permettra non seulement d’améliorer le RSI du centre informatique en permettant d’installer davantage de racks (et donc une plus grande capacité de stockage) sur la surface au sol disponible, mais aussi de réaliser des économies grâce à « l’effet de cascade », selon lequel pour chaque réduction d’un watt au niveau des composants (processeur, mémoire, disque dur, etc.), il y a une économie supplémentaire de 1,84 watt sur la facture d’électricité (résultant de l’inefficacité des systèmes d’alimentation, de distribution de l’énergie, d’alimentation sans coupure et de refroidissement, mais aussi des transformateurs moyenne tension, etc.).

Les dispositifs de stockage haute densité font également l’objet de certains problèmes engendrés par les vibrations rotationnelles (VR) lorsque les disques durs sont collés les uns aux autres. Les vibrations qui émanent des disques environnants au sein du même boîtier peuvent induire des recalibrages répétés pouvant dégrader le débit effectif du système de manière significative. La configuration monobloc des systèmes haute densité rend la lutte contre les températures élevées plus difficile, puisque l’espace de circulation de l’air entre les disques est limité.

En bref ? Si les avantages des solutions de sauvegarde haute densité paraissent évidents (plus de capacité de stockage dans des centres informatiques de taille réduite équivaut à un meilleur RSI), les défis de conception qu’elles présentent sont moins clairs, mais revêtent une importance capitale quand il s’agit d’évaluer l’offre d’un fournisseur. Les approches et les technologies innovantes qui limitent la consommation d’énergie et permettent la gestion de la température et le contrôle des vibrations sont tout simplement vitales si l’on recherche une solution de sauvegarde capable d’offrir tous les avantages d’une architecture haute densité.

kW+

kW+

kW

FIGURE 3 LES DISPOSITIFS DE STOCKAGE GOURMANDS EN ÉNERGIE PEUVENT EN RÉALITÉ RÉDUIRE LA RENTABILISATION DE LA SURFACE AU SOL DU CENTRE INFORMATIQUE.

LE PARADOXE ÉNERGIE / EFFICACITÉPLUS VOUS INTÉGREZ DE SYSTÈMES ÉNERGIVORES DANS UN RACK... . .MOINS VOUS POUVEZ DÉPLOYER DE RACKS DANS UNE SALLE.

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DESCRIPTION DE LA SOLUTION 5

CONCLUSIONLa croissance exponentielle des données et les budgets informatiques limités amènent les entreprises à envisager de nouvelles stratégies et technologies dans leur quête de solutions plus rentables pour atteindre leurs objectifs en matière de capacité de stockage, de performances et d’intégrité des données. L’archivage sécurisé, le stockage hybride et unifié et le stockage haute densité sont trois manières efficaces d’aborder ces objectifs, mais sachez que des solutions de stockage spécialement conçues dans le but d’atteindre ces objectifs sont nécessaires afin de faire de leurs avantages théoriques une réalité pratique et rentable.

À PROPOS D’IMATION

Imation est une société internationale spécialisée dans le stockage et la protection des données. L’offre Nexsan d’Imation se décline autour des technologies SAN, du stockage hybride unifié et du stockage objet en architecture scale-out. Les solutions Nexsan optimisent le traitement des applications transactionnelles, des environnements virtualisés et du stockage secondaire de type sauvegarde et archivage. Les systèmes Nexsan intègrent des caractéristiques uniques sur le marché en termes de densité, de résilience, d’évolutivité, d’efficacité énergétique et de performances. Plus de 11 000 clients dans le monde utilisent les produits de Nexsan et plus de 33 000 systèmes ont été déployés depuis 1999. Les solutions Nexsan sont disponibles à travers un réseau mondial de fournisseurs de services spécialisés dans le cloud, de revendeurs à valeur ajoutée et d’intégrateurs de solutions. Pour obtenir davantage d’informations, rendez-vous sur www.imation.fr/nexsan.