SOA : pour une interopérabilité intrinsèque du Système d’Information
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République Algérienne Démocratique et PopulaireMinistère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière
Institut National de Santé Publique
Evaluation du SystèmeNational d’Information Sanitaire
Rapport finalAlgérie 2011
Health Metrics Network (HMN)Réseau de Métrologie Sanitaire (RMS)
Groupe de coordination du projet- Dr Samira TOUAMI Médecin Spécialiste en Epidémiologie - INSP : Point focal / Coordinatrice - Dr Hakim BRAHIMI Maitre assistant en Epidémiologie - INSP : Collaborateur- Dr Fatiha CHERF-BOUZIDA Médecin de Santé Publique - INSP : Collaboratrice
Groupe de travail élargi- Mme Rachida ABERKANE Sous Directrice - Direction de la Planification et du Développement MSPRH- Mr Faouzi AMOKRANE Chef de Division - Ministère de la Prospective et des Statistiques- Mr Omar BENBELLA Chef d’Etudes - Office National des Statistiques- Pr Jean Paul GRANGAUD Professeur en Pédiatrie-Expert - Faculté de Médecine d’Alger- Dr Salima MAGUEMOUN Chef de programme - Direction des Services de Santé MSPRH- Dr Ghania MERBOUT Sous Directrice Maladies Transmissibles - Direction de la Prévention MSPRH - Dr Kenza ZEBBOUDJ Chef de programme - Direction de la Prévention MSPRH
Analyse et rédaction du rapport- Dr Samira TOUAMI- Dr Hakim BRAHIMI- Dr Fatiha CHERF-BOUZIDA
Contribution et lecture du rapport- Mr Faouzi AMOKRANE- Pr Jean Paul GRANGAUD
Secrétariat - Mme Leila KHELOUF- Mr Karim CHEROUATI
Institut National de Santé Publique, 04 Chemin El Bakr, El Biar, 16030-Alger-AlgérieTéléphone : (+213) 23 37 50 37 - Fax : (+213) 23 37 50 15
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire2
L’information sanitaire est essentielle pour le bon fonctionnement de tout système de santé. Le Système d’Information Sanitaire joue un rôle prépondérant dans la prise de décisions et la planification en matière de santé dans le but de garantir une meilleure santé et un accès équitable à des soins de qualité à la population.
L’Algérie a consenti des efforts considérables en matière d’information sanitaire depuis son indépendance et a adopté les résolutions de l’OMS concernant les renforcements des Systèmes Nationaux d’Information Sanitaire (SNIS).
Un outil standard le « Health Metrics » a été développé par l’OMS en collaboration avec le Réseau de Métrologie Sanitaire (RMS) permettant l’évaluation des Systèmes Nationaux d’Information Sanitaire en vue de leur renforcement et offrant la possibilité de comparaison des résultats entre pays.
L’Institut National de Santé Publique, avec l’appui de l’OMS Algérie, a procédé à l’évaluation du SNIS à l’aide de cet outil.
Ce travail a été enrichi par la participation des représentants de différents ministères et institutions en charge de l’information sanitaire. Qu’ils trouvent ici l’expression de nos remerciements pour leur contribution.
Les résultats de cette évaluation fournissent des informations très intéressantes sur les six composantes de notre système d’information sanitaire. Elles doivent être exploitées à bon escient.
Pour des raisons logistiques, ce rapport n’a pas pu être publié après sa finalisation. Le Directeur Général de l’Institut National de Santé Publique, Monsieur le Professeur Lyes RAHAL, a permis son édition en facilitant les procédures.
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Préface
Rapport Final - Algérie 2011
Nos vifs remerciements s'adressent au Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière pour leur soutien permanent et leur aide qui nous ont permis de mener à terme ce projet.
Nos remerciements vont également à l’Organisation Mondiale de la Santé et au bureau de l’OMS Algérie qui nous a permis d’approcher un sujet aussi important que le système d’information sanitaire et d’avoir assuré un appui �nancier et technique.
Nous remercions aussi les Dr. Mohamed El Kamel KELLOU et Dr Zahia CHERFI ex Directeurs Généraux de l’Institut National de Santé Publique pour leurs encouragements constants et leurs indéfectibles soutiens de même que le Pr. Lyes RAHAL, Directeur Général de l’Institut National de Santé Publique, pour avoir facilité la publication de ce rapport.
Nous tenons à remercier toutes les institutions nationales et onusiennes qui ont apporté leur contribution à travers leurs représentants.
Nous remercions chaleureusement tous les participants pour leurs apports lors de l’évaluation du Système National d’Information Sanitaire dans ses di�érentes phases.
Que toutes les personnes qui nous ont soutenu et encouragé trouvent ici l’expression de notre gratitude.
Remerciements
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire4
5Rapport Final - Algérie 2011
Sigles et abréviations 07Résumé 09Introduction 10
I. PRÉSENTATION DE L’ALGÉRIE 13 1.1 Géographie 13 1.2 Situation socio-économique et démographique 14 1.2.1 Economie 14 1.2.2 Social 14 1.2.3 Démographie 15 1.2.3.1 Etat Civil 15 1.2.3.2 Indicateurs démographiques 17
II. SYSTÈME NATIONAL DE SANTÉ 21 2.1 Organisation 21 2.2 Financement 25 2.2.1 Dépenses de santé 25 2.2.2 Sources de financement 25 2.3 Indicateurs de santé 27 2.3.1 Sources d’information 27 2.3.2 Indicateurs épidémiologiques 27 2.3.3 Ressources humaines 29
III. SYSTÈME NATIONAL D’INFORMATION SANITAIRE 30 3.1 Présentation du SNIS en Algérie 31 3.2 Organisation et circuit de l’information 32 3.3 Forces et faiblesses du SNIS 34
IV. OBJECTIFS ET MÉTHODOLOGIE DE L’ÉVALUATION 35 4.1 Objectifs 35 4.2 Méthodologie 35 4.2.1 Outil de l’évaluation 35 4.2.2 Préparation et étapes de l’évaluation 38
V. RÉSULTATS DE L’ÉVALUATION 41 5.1 Ressources 42 5.1.1 Coordination, planification et politiques 43 5.1.2 Ressources humaines et financement du SIS 44 5.1.3 Infrastructures du SIS 45
Sommaire
13Evaluation du Système National d’Information Sanitaire6
5.2 INDICATEURS 46
5.3 SOURCES DES DONNÉES 47 5.3.1 Recensement 48 5.3.2 Statistiques de l’état civil 50 5.3.3 Enquêtes auprès de la population 52 5.3.4 Dossiers de santé et de maladies 54 5.3.5 Banqe des services de santé 56 5.3.6 Banque des ressources 58
5.4 GESTION DES DONNÉES 65
5.5 PRODUITS DE L’INFORMATION 67 5.5.1 Indicateurs de l’état de santé 68 5.5.1.1 Mortalité 69 - Mortalité chez les moins de 5 ans 69 - Mortalité maternelle 70
5.5.1.2 Morbidité 71 - Prévalence du VIH 71 5.5.2 Indicateurs du système de santé 72
5.5.2.1 Taux de couverture de la rougeole par 12 mois d’âge 73
5.5.2.2 Accouchements assistés par des personnels de santé qualifiés 74
5.5.2.3 Taux de réussite du traitement de la tuberculose dans le cadre du traitement de brève durée sous surveillance directe (DOTS) 75
5.5.2.4 Dépenses générales de l’état en matière de santé par habitant 76
5.5.2.5 Dépenses privées de santé par habitant 77
5.5.2.6 Densité du personnel sanitaire pour 1000 Habitants 78
5.5.2.7 Tendance à fumer chez les 15 ans et plus 79
5.6 DIFFUSION ET UTILISATION DES PRODUITS DE L’INFORMATION 80
5.6.1 Analyse et utilisation de l’information 81
5.6.2 Utilisation de l’information pour l’action et le plaidoyer 81
5.6.3 Utilisation de l’information pour la planification et la fixation des priorités 82
5.6.4 Utilisation des informations pour l’allocation des ressources 82
5.6.5 Utilisation de l’information pour sa mise en application et pour l’action 83
VI. RECOMMANDATIONS 85
Conclusion 90 Annexes 91 Références bibliographiques 162 Liste des tableaux 165 Liste des figures 167
ANDRS Agence Nationale de la Documentation et de la Recherche en SantéANDS Agence Nationale de Documentation de la SantéANS Agence Nationale du SangCENEAP Centre National d’Etudes et d’Analyses pour la Population et le DéveloppementCHU Centre Hospitalier UniversitaireCITP Classification Internationale par Type de Profession CNES Conseil National Economique et SocialCNS Comptes Nationaux de la SantéCNT Centre National de ToxicologieCREAD Centre de Recherche en Economie Appliquée pour le DéveloppementDFM Direction des Finances et des MoyensDP Direction de la PréventionDPD Direction de la Planification et du DéveloppementDPop Direction de la PopulationDRH Direction des Ressources HumainesDSP Direction de la Santé et de la PopulationDSS Direction des Services de SantéEASF Enquête Algérienne sur la Santé de la FamilleEASME Enquête Algérienne sur la Santé de la Mère et de l’EnfantEDG End Decade GoalsEH Etablissement HospitalierEHS Etablissement Hospitalier SpécialiséEHU Etablissement Hospitalier UniversitaireENMAS Ecole Nationale de Management et de l’Administration de la SantéEPH Etablissement Public HospitalierEPSP Etablissement Public de Santé de ProximitéFNUAP Fonds des Nations Unies pour la Population GATS Global Adult Tobacco SurveyGSHS Global school-based student health survey GYTS Global Youth Tobacco Survey HMN Health Metrics NetworkINSP Institut National de Santé PubliqueIPA Institut Pasteur d’AlgérieMDG Mid-Decade GoalsMDO Maladies à Déclaration ObligatoireMICS Multi Clusters Indicators Survey
Sigles & Abréviations
7Rapport Final - Algérie 2011
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire8
MPS Ministère de la Prospective et des StatistiquesMSPRH Ministère de la Santé, de la Population, et de la Réforme HospitalièreNTIC Nouvelles Technologies de l’Information et de la CommunicationOMD Objectifs du Millénaire pour le Développement OMS Organisation Mondiale de la Santé ONS Office National des StatistiquesONUSIDA Organisation des Nations Unis chargée du SidaOS Objectif StratégiquePAPFAM Pan Arab Family Health SurveyRMS Réseau de Métrologie SanitaireRSI Règlement Sanitaire InternationalSEMEP Service d’Epidémiologie et de Médecine PréventiveSI Système d’InformationSIG Système d’Information Géographique SIS Système d’Information Sanitaire SNIS Système National d’Information SanitaireSSE Système de Surveillance Epidémiologique UDS Unité de Dépistage et de SuiviUNFPA United Nations Population FundUNICEF Fonds des Nations Unies pour l’Enfance
Résumé
Un système de santé doit disposer d’un bon Système d’Information Sanitaire (SIS) qui nécessite pour son fonctionnement optimal un cadre de référence, des ressources humaines et matérielles ainsi qu’un financement. Le SIS garantit la production, l’analyse, la diffusion et l’utilisation d’informations fiables et actualisées sur les déterminants sanitaires, la performance des systèmes de santé et l’état sanitaire dans le but d’aider à la planification et la gestion des activités du secteur de la santé.
L’évaluation du Système National d’Information Sanitaire (SNIS) s’est avérée nécessaire pour établir un état des lieux en vue de son renforcement. Cette évaluation d’ordre qualitatif entre dans le cadre d’un projet de coopération Algérie-OMS et a été réalisée à l’aide de l’outil « Health Metrics » développé par le Réseau de Métrologie Sanitaire (RMS) en collaboration avec l’OMS.
La coordination et la réalisation du projet ont été confiées à l’Institut National de Santé Publique. L’évaluation s’est faite avec les professionnels de la santé en collaboration avec des représentants d’autres institutions en charge de l’information sanitaire.
Elle a porté sur les six (06) composantes du SNIS telles que définies par le RMS que sont : les ressources, les indicateurs, les sources de données, la gestion des données, les produits de l’information et la diffusion et utilisation.
Les résultats de cette évaluation classent le Système National d’Information Sanitaire dans la catégorie « existe mais pas satisfaisant » selon la grille fournie par l’outil de l’OMS avec un score global de 48,3 %. Les six composantes du SNIS ont été différemment appréciées par les évaluateurs avec des scores respectifs de 59,1 % pour les produits de l’information, de 53 % pour les sources de données et de 50,7 % pour les indicateurs, classant ces trois composantes dans la catégorie « satisfaisant ». Les trois composantes restantes sont dans la catégorie « existe mais pas satisfaisant » avec des scores respectifs de 49,4 % pour les ressources, de 45,7 % pour la diffusion et utilisation et de 32 % pour la gestion des données.
Des recommandations portant sur l’ensemble des composantes ont été formulées et serviront d’éléments de réflexion en vue du renforcement de l’actuel système d’information sanitaire.
94 Rapport Final - Algérie 2011
Introduction
Une information sanitaire fiable, communiquée en temps opportun revêt une importance cruciale car elle constitue le fondement de toute décision et action de santé publique tant au niveau national, régional que mondial. Elle est essentielle aux décideurs pour leur permettre d’opérer des choix judicieux en matière de politique de santé, et de s’assurer que les objectifs des différents programmes de santé ont été atteints à des coûts efficients, que des stratégies ont été mises en place et enfin, que ces différents programmes sont régulièrement évalués notamment en vue de la détermination des besoins et d’une allocation équitable des ressources.
Le Système d’Information Sanitaire (SIS) constitue la pierre angulaire de tout système de santé. Il peut être défini comme « un processus intégré de collecte, de notification, d’analyse et d’utilisation de l’information et des connaissances sur la santé pour l’élaboration des politiques, l’exécution des programmes et la promotion de la recherche ». Le SIS nécessite un cadre de référence, des ressources humaines et matérielles, des indicateurs de base et des stratégies pour la collecte, l’analyse et la diffusion de données.
L’introduction des nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) dans les systèmes d’information sanitaire permet d’améliorer efficacement la collecte de données fiables en temps réel ; celles-ci doivent faciliter leur disponibilité et la diffusion des informations pour une surveillance intégrée de la santé des populations et une riposte appropriée.
Ce processus d’organisation de l’information trouve toute son importance dans sa contribution dans la planification et l’aide à la prise de décision. A cet effet, il est recommandé qu’il soit régulièrement révisé et adapté aux exigences nationales, régionales et internationales.
D’ailleurs, le Règlement Sanitaire International (RSI) impose aux états membres l’obligation de notifier rapidement à l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) les évènements susceptibles de constituer une urgence de santé publique de portée internationale et de renforcer leurs capacités de surveillance et d’action en faveur de la santé publique. C’est pour cela que le RSI a fait l’objet d’un processus de révision adopté par l’Assemblée Mondiale de la Santé lors de sa réunion du 16 juin 2005 et que cette nouvelle règlementation est entrée en vigueur en juin 2007.
La réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) constitue également l’un des grands défis du siècle et nécessite entre autre la modernisation et l’adaptation des systèmes d’information sanitaire aux normes internationales afin de disposer d’une base de données fiable.
13Evaluation du Système National d’Information Sanitaire10
Les engagements internationaux de l’Algérie œuvrent au renforcement du SNIS dans le but de le rendre plus performant, plus dynamique et en conformité avec les normes mondiales.
Le Système National d’Information Sanitaire (SNIS) a toujours été une préoccupa-tion majeure des dirigeants et des politiques vu son importance et des efforts considérables ont été entrepris dans ce domaine.
L’Algérie a adopté les résolutions de l’OMS relatives aux renforcements des systèmes d’information sanitaires (WH60.27 ; Genève 23 mai 2007) et aux interven-tions prioritaires pour renforcer les Systèmes Nationaux d’Information Sanitaire (AF/RC54/R3).
La déclaration d’Alger adoptée lors de la conférence ministérielle sur la recherche pour la santé dans la région africaine tenue en juin 2008 a mis l’accent sur la nécessité de « développer le SNIS par la mise en place de procédures permettant de garantir la production et la disponibilité d’informations conformes aux normes internationales et par la définition de relations claires entre les différents sous systèmes ainsi que des mécanismes nécessaires pour leur évaluation régulière. D’identifier et intégrer les différentes sources d’information dans les systèmes nationaux en tenant compte du secteur privé, afin de disposer d’une information fiable et sure, d’acquérir les technologies de l’information et de la communication et de les rendre accessibles à toutes les sources et à tous les utilisateurs potentiels de l’information, afin de disposer de bases factuelles actualisées pour le développement de la recherche pour la santé1 ».
Le SNIS dispose d’atouts considérables en termes de ressources humaines, financières et matérielles. Il est composé de plusieurs sous systèmes dont le système de surveillance épidémiologique des Maladies à Déclaration Obligatoire (MDO), des registres de certaines maladies chroniques et les données d’enquêtes de santé de population...
Bien que n’ayant pas fait l’objet de travaux de recherche pour son renforcement et son développement, le SNIS a constitué un axe de coopération avec l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). L’Institut National de Santé Publique (INSP), dont l’une des missions essentielles est la gestion de l’information sanitaire pour l’aide à la décision, a contribué à la révision du SNIS dans le cadre de la coopération avec l’OMS.
Une première intervention a porté sur la révision du système d’information épidémi-ologique en 1997 (OMS AFRO/POC 96-97), la seconde a concerné les indicateurs essentiels et a eu lieu en avril 1999 à Taghit dans la wilaya de Béchar (OMS/bienni-um 1998-1999).
Dans le cadre de la coopération Algérie-OMS pour le biennium 2010-2011, l’INSP a été chargé de la coordination et de la réalisation du projet portant sur l’évaluation du SNIS.
1 Référence : Déclaration d’Alger : conférence ministérielle sur la recherche pour la santé dans la région Africaine (réduire le déficit des connaissances pour améliorer la santé en Afrique 23-26 juin 2008)
11Rapport Final - Algérie 2011
Cette évaluation qualitative du SNIS a été réalisée à l’aide de l’outil « Health Metrics » développé par le Réseau de Métrologie Sanitaire (RMS) en collaboration avec l’OMS.
Le Réseau de Métrologie Sanitaire (RMS) ou Health Metrics Network (HMN) est un partenariat mondial bénéficiant de l’appui financier de plusieurs institutions. Il a été officiellement lancé en mai 2005 lors de la 58ème Session de l’Assemblée Mondiale de la Santé en vue d’aider les pays et les autres partenaires à améliorer la santé mondiale en aidant aux renforcements des systèmes d’information sanitaires.
Le RMS vise à accroitre la disponibilité et l'utilisation de l'information sanitaire en temps opportun, en favorisant le financement conjoint et le développement de systèmes nationaux d'information sanitaire de base.
Les objectifs stratégiques du RMS sont de :
◘ Créer un cadre harmonisé pour la mise en place de systèmes d’information sanitaires nationaux (Cadre HMN).
◘ Renforcer les systèmes nationaux d’information sanitaire par une assistance technique.
◘ Améliorer l’accès à l’information sanitaire et à son utilisation.
Le présent rapport a pour objet de présenter le Système d’information sanitaire en Algérie, la méthode de travail adoptée pour la réalisation de l’évaluation à l’aide de l’outil Health Metrics et les résultats de cette évaluation.
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire12
PRESENTATION DE L’ALGERIE
1.1- GÉOGRAPHIE
Pays sud méditerranéen situé au nord-ouest du continent africain et au centre du Maghreb, l’Algérie avec un territoire de 2.381.741 km2 est le premier pays d’Afrique en superficie, et le neuvième du monde. Bordée au nord par la Méditerranée avec près de 1200 km de côtes, l’Algérie est située entre sept pays : le Maroc et le Sahara Occidental à l’ouest, la Mauritanie, le Mali et le Niger au sud, la Libye et la Tunisie à l’est.
Selon le découpage administratif, l’Algérie compte 48 Wilayas, 547 Daïras et 1541 Communes. La Wilaya est la plus grande entité administrative. Elle est constituée par un ensemble de Daïras dont chacune se compose d’un groupe de communes. La commune constitue ainsi l’entité de base dans l’organisation administrative du pays.
Les principales villes d’Algérie sont : Alger, capitale de l’Algérie, située au nord du pays sur la mer Méditerranée, elle est également chef-lieu de wilaya et regroupe 28 communes. La deuxième ville est Oran : Au nord-ouest du pays, sur la mer Méditerranée, à 423 km d’Alger. La troisième ville est Constantine, située au nord-est de l’Algérie, à 424 km d’Alger et en léger retrait du littoral méditerranéen. Annaba, située au nord-est de l’Algérie est la quatrième ville du pays.
Les wilayas du sud occupent les plus grandes superficies et sont : la wilaya de Tamanrasset, Adrar et Illizi.
Codes des Wilayas d’Algérie01. Adrar 08 .Béchar 15. Tizi Ouzou 22. Sidi Bel Abbes 29. Mascara 36. El Tarf 43. Mila02. Chlef 09. Blida 16. Alger 23. Annaba 30. Ouargla 37. Tindouf 44. Ain Defla03.Laghouat 10. Bouira 17. Djelfa 24. Guelma 31. Oran 38. Tissemsilt 45. Naama04. Oum El Bouaghi 11. Tamanrasset 18. Jijel 25. Constantine 32. El Bayadh 39. El Oued 46. Ain Temouchent05. Batna 12. Tebessa 19. Setif 26. Médéa 33. Illizi 40. Khenchela 47. Ghardaia06 .Bejaia 13. Tlemcen 20. Saida 27. Tlemcen 34. Bordj Bou Arreridj 41. Souk Ahras 48. Relizane07. Biskra 14. Tiaret 21. Skikda 28. M’Sila 35. Boumerdes 42. Tipaza
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1.2- SITUATION SOCIO-ÉCONOMIQUE ET DÉMOGRAPHIQUE
1.2.1- ECONOMIE L’Algérie est un important producteur et exportateur d’hydrocarbures. Ses principales recettes proviennent de la rente pétrolière. Aujourd’hui, la situation économique du pays est extrêmement favorable tant sur le plan interne qu’au niveau externe, suite à une politique de développement visant la modernisation des infrastructures économiques et sociales et l’encouragement de l’investissement privé, aussi bien national qu’étranger et soutenue par l’augmentation importante des prix des hydrocarbures sur le marché mondial. La croissance économique du pays a suivi une progression constante et stable, passant de 2,1% en 2001 à 5,3% en 2005, avec un pic de 6,1% en 2008. Sur le plan externe, l'Algérie est considérée comme la quatrième puissance économique du continent africain. L’indice du Produit Intérieur Brut par habitant est en nette augmentation d’année en année et particulièrement à partir de l’an 2000, ce qui place l’Algérie désormais confortablement parmi le groupe des pays au revenu moyen.
1.2.2- Social
L'analphabétisme, dans la population âgée de 10 ans et plus, a fortement reculé depuis l'indépendance. Il est passé de 74,6% en 1966 à 31,9% en 1998 pour atteindre 22,1% en 2008. Le taux de chômage a régressé, il est passé de 15,3% à la fin 2005 à 10,0% en 2010, selon les chiffres de l’Office National des Statistiques.
Selon les rapports mondiaux sur le Développement Humain du Programme des Nations Unies pour le Développement, l’Indice de Développement Humain (IDH) est en augmentation constante. Il était de 0,551 en 1990 et a atteint 0,698 en 2011, classant l’Algérie au 96ème rang selon le classement de l’IDH.
Tab.1- Evolution du Produit Intérieur Brut (PIB) en dollars US, par habitant, de 1990 à 2008, en Algérie
Tab.2- Evolution de l’Indice de Développement Humain (IDH) de 1990 à 2011, en Algérie
Année 1990 1995 2000 2005 2007 2008 2009
Source : Ministère des Finances
PIB 1636 1470 1790 2993,3 3909,4 4922,8 3873,6
2010 2011
4494,2 5365,8
Source : Rapports PNUD
Année 1990 2000 2005
IDH 0,551 0,624 0,667
2009
0,691
2010
0,697
2011
0,698
L’Indice de pauvreté humaine est en net recul, passant de 23,5% en 1990 à 17,16% en 2008. Le pourcentage de la population vivant avec moins de 1 US $ est en régression aussi, passant de 1,7% en 1990 à 0,5% en 2009.
En 2005, l’Algérie a présenté son premier rapport national, sur la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD), suivi par un deuxième rapport en 2010.
Dans le dernier rapport des Nations Unies sur le Développement Humain, l’Algérie est comptée parmi les top 15 pays au monde à avoir réduit sur les 20 dernières années leur déficit en développement humain de manière significative.
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1.2.3- DÉMOGRAPHIE
Comme il est admis chez les utilisateurs des données démographiques, trois sources de données sont réputées pour être les principales pourvoyeuses d’informations statistiques, à savoir les recensements généraux de population, les enquêtes par sondage et les registres de l’Etat civil.
L’Algérie a fortement investi dans le développement de ses canaux d’informations statistiques, d’abord en capitalisant les données collectées en continue par les bureaux d’Etat Civil disséminés à travers le territoire national, ensuite en reconduisant tous les dix (10) ans l’opération de recensement général de sa population. A côté de ces deux opérations, plusieurs enquêtes thématiques par sondage ont été menées depuis l’indépendance et qui ont souvent éclairé la prise de décision.
1.2.3.1- Etat civil
L'Algérie dispose d’un Etat Civil depuis très longtemps ; ce dernier a été mis en place en 1882 pour le Nord du pays et en 1905 pour le Sud. Aujourd’hui, l'Etat Civil est régi par l’ordonnance du 19 février 1970 qui attribue les fonctions d'Officier d’Etat Civil au Président, aux Vices Présidents de l'Assemblée Communale (APC) et à l'étranger, aux Chefs de Missions Diplomatiques.
Les données de cette source d’information sont gérées par l’Office National des Statistiques (ONS), l’institution centrale des statistiques. Cet office a intégré depuis 1981 une nouvelle méthode de collecte annuelle des données basée sur deux enquêtes : une enquête exhaustive et une par sondage qui concernent quatre évènements démographiques (naissances, décès, mort-nés et mariages).
La déclaration des évènements démographiques est faite sur des actes de l'Etat Civil qui sont inscrits, dans chaque commune, sur trois (03) registres tenus en double :
◘ un registre des actes de naissances,
◘ un registre des actes de mariage, et
◘ un registre des actes de décès.
L'enregistrement des mort-nés est effectué sur le registre des décès.
L’enregistrement des faits de l'Etat Civil s'effectue gratuitement et couvre l'ensemble des 1541 communes.
a) Acte de naissances
La déclaration des naissances doit se faire dans les cinq (05) jours suivant l'accouchement, sont exclus les jours de repos hebdomadaire et les jours fériés. La déclaration est faite par jugement quand ces délais sont dépassés. Dans les wilayas du sud, le délai règlementaire pour la déclaration est de 60 jours, alors que dans les pays étrangers il est fixé à 10 jours. L'Acte de naissance énonce :
◘ le jour, l'heure et le lieu de naissance,◘ le sexe de l'enfant et les prénoms qui sont donnés,◘ les prénoms et noms, âge, profession et domicile des père et mère.
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b) Acte de décès
La déclaration d’un décès s’effectue dans les vingt quatre (24) heures à compter du décès pour les wilayas du Nord. Cette durée est prolongée pour les wilayas du Sud. L'Acte de décès énonce :
◘ le jour, l'heure et le lieu de décès,
◘ les prénoms, nom et lieu de naissance,
◘ profession et domicile de la personne décédée,
◘ les prénoms, noms, professions et domiciles de ses père et mère,
◘ les prénoms, nom, âge, profession et domicile du déclarant,
◘ et les nom et prénoms de l’autre époux, si la personne décédée était mariée, veuve ou divorcée.
c) Acte de mariage
L'enregistrement du mariage est effectué sur le champ, lorsque le mariage est conclu devant l'Officier d'Etat Civil ou le juge. Dans le cas où l’enregistrement est fait par ce dernier, celui-ci est chargé de transmettre l'Acte à l'Officier d'Etat Civil dans un délai de trois (03) jours. Avant la déclaration du contrat de mariage, le notaire ou l’officier de l’état civil doit constater que les deux parties se sont soumises aux examens médicaux et ont eu connaissance des maladies ou des facteurs de risque qui peuvent contre-indiquer le mariage.
d) Acte de divorce
Le divorce prononcé par le tribunal est notifié juste après sa prononciation à l’officier de l’état civil qui procède à son inscription en mention marginale sur l’acte du mariage et sur les extraits de naissances. Aucun délai n’est fixé pour la notification du jugement de divorce.
e) Couverture des évènements démographiques
Les efforts déployés pour la couverture des évènements démographiques depuis l'indépen- dance, en 1962 ont permis d'atteindre des taux d'enregistrement de plus de 90 % pour les naissances et de 70 % pour les décès durant les années 70.
Les corrections des sous-déclarations étaient effectuées sur la base d’enquêtes annuelles réalisées par l’ONS. En 1981, les taux de couverture des évènements démographiques portés à la connaissance des chercheurs et des divers utilisateurs des données étaient : pour les naissances de 98,2 %, pour les décès de 82 % et pour les morts nés de 77,5 %, dont 32 % étaient constitués par des faux mort-nés qui interviennent dans la rectification des taux de couverture des déclarations des naissances et des décès.
En 1989, une enquête réalisée par le Ministère de la Santé (MMI) sur un échantillon de 22 422 ménages, confirmait quelque peu ce niveau de couverture et donnait des taux pour les naissances et les décès infantiles à respectivement de 96,5% et 81%. Ces taux variaient en
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17
fonction du milieu (urbain, rural) puisque le taux de couverture des naissances était de l’ordre de 97,2% pour les zones agglomérées et de 93,06% pour les zones éparses.
En 2002, une autre enquête a été réalisée par le Ministère de la santé en collaboration avec l'Office National des Statistiques (Papfam) sur un échantillon de 20 000 ménages avait permis d'actualiser la correction de la mortalité infantile. En effet, de nouveaux taux de correction des naissances et des décès ont désormais été appliqués aux données de l'état civil, avec pour les naissances de 100 % et pour les décès de 91%.
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Rapport Final - Algérie 2011
1.2.3.2- Indicateurs démographiques
En Algérie, la natalité et la mortalité font l’objet d’une observation continue à travers l’enregis-trement des naissances et des décès. De 1966 à 2008, la population algérienne a pratiquement triplé, passant de 12 à 35 millions d’habitants. Au 1er juillet 2010, la population résidente totale est estimée à 36 millions d’habitants et l’accroissement naturel vient de franchir le seuil de 2 %, soit 731 000 personnes.
Tab.4- Evolution de la population résidente (en milliers d’habitants) de 1966 à 2010, en Algérie
* : Recensement général de la population et de l’habitatSource : ONS
Tab.3- Taux de corrections issues d'enquêtes 1970-1981 et 2002
Sources : Annuaire statistique 1990, ONS PAPFAM-2002, ONS/Ministère de la Santé de la Population et de la Réforme Hospitalière
86,8
92,892,8
93,298,7
99,9
EnsembleAnnées
Femme
-
Homme
99,09
60,6
63,864,3
64,881,1
91,0
Ensemble
66,4
69,0
69,3-
88,4
-
Homme
Taux de couverture des naissances
54,9
58,8
59,3
-71,0
-
Femme
Taux de couverture des décès
1970
19771978
19801981
200298,34
29272
14801
14171
Population totale
2010
Masculine
Féminine
12096
2006 2007 2008* 20091966* 1987* 1998*
6073
6023
1977*
16064
7992
8072
22881
11574
11308
33481
16915
16566
34096
17225
16871
34745
17577
17168
35268
17846
17422
35278
18205
17773
2011
36717
18579
18138
2012
37495
Année
18972
18723
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire18
Bien que la population algérienne ait augmenté de façon importante au fil du temps, son taux d’accroissement naturel (TAN) s’est progressivement réduit. Cette réduction du taux d’accroisse-ment naturel est interrompue depuis 2001, année à partir de laquelle le nombre des naissances, qui était en régression pendant les années quatre-vingt-dix, a ré-augmenté. Actuellement, avec près de 2% d’accroissement annuel moyen, la population connait de nouveau un rythme d’évolu-tion relativement soutenu.
556
1,69
Accroissementnaturel (en milliers)
2010
TAN (%)
-
2006 2007 2008 200966-76 2004 2005
3,21
77-86
-
3,08
528
1,63
595
1,78
634
1,86
663
1,92
690
1,96
731
2,03
2011
748
2,04
2012
808
2,16
Année
Tab.6- Evolution de l’accroissement naturel (en milliers) et du TAN (en pourcentage)
En 2010, l’Algérie a enregistré 887 810 naissances vivantes. Ce volume est passé en 2012 à 978 000 naissances vivantes. Cette augmentation continue du nombre de naissances est liée, entre autres, au fait que le nombre de mariages a, lui aussi, considérablement augmenté passant de 158 298 mariages en 1998 à 331 190 mariages en 2008, atteignant 371 280 en 2012.
Tab.7- Evolution des naissances vivantes et du taux brut de natalité en Algérie
703
21,36
Naissances(en milliers)
2010
TAN (%)
775
2006 2007 2008 20091990 2000 2005
30,94
1995
711
25,33
600
19,36
739
22,07
783
22,98
817
23,62
849
24,07
888
24,68
2011
910
24,78
2012
978
26,08
Année
Source : ONS
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gérie Selon les recensements de la population algérienne, la part de la population jeune âgée de moins
de 20 ans est en nette diminution, passant de 58,25 % en 1966 à 38,84 % en 2008. Ce constat est à relativiser dans les années à venir puisqu’à la faveur de la flambée des naissances depuis pratiquement 2005, la frange de la population d’âge inférieur à 20 ans est appelée à se renforcer davantage dans l’avenir.
Tab.5- Répartition de la population algérienne par tranche d’âge (%) à travers les RGPH de 1966 à 2008
54,74
41,31
3,95
0-19 ans
20-64 ans
65 et plus
199819871966
58,25
38,75
3,00
48,24
47,30
4,46
2008
38,84
55,83
5,33
Année
100,0Total 100,0 100,0 100,0
19
34,6
30,3
Garçons
2010
Filles
49,2
2004 2007 2008 20091990 2001 2003
45,8
2000
38,4
35,3
38,9
35,9
32,2
28,0
27,9
24,4
26,9
23,9
26,6
22,9
25,2
22,2
2011
24,6
21,6
2012
23,9
21,2
Année 2002
36,1
33,1
Source : ONS
La mortalité infantile, qui constitue un des indicateurs phares qui traduit l’efficacité d’un système de santé, a nettement baissé depuis l’indépendance (1962). De 142 pour mille naissances vivantes en 1970, le taux de mortalité infantile (TMI) passe à 46,8 ‰ en 1990 pour atteindre 34,7 ‰ en 2002 et 25,5 ‰ en 2008. Ce taux poursuit toujours son même rythme de diminution pour enregistrer 23,7 ‰ en 2010 et 22,6‰ en 2012.
Tab. 9- Evolution du Taux de Mortalité Infantile par sexe (pour mille naissances vivantes)
2005
32,4
28,2
2006
28,3
25,3
23,730,4 26,2 25,5 24,846,8 37,5 32,536,9 23,1 22,6Total 34,7 30,4 26,9
73,9
75,8
Hommes
2011
Femmes
52,6
2005 2009 20101970 1990 2004
52,8
1980
55,9
58,8
66,3
67,3
73,6
75,6
74,7
76,3
75,6
77,0
75,6
77,4
Année 2000
71,5
73,4
Source : ONS
L’espérance de vie à la naissance s’est considérablement améliorée depuis 1970, due essentielle-ment à la diminution de la mortalité infantile et de la mortalité générale. Elle est passée de 52,6 années en 1970 à 76,3 années en 2010, avec respectivement 75,6 années pour les hommes et 77 années pour les femmes. En 2012, l’espérance de vie à la naissance est de 76,4 ans.
Tab. 10- Evolution de l’espérance de vie à la naissance (en années)
2006
74,7
76,8
76,574,6
2008
74,8
76,4
75,6 75,5 76,352,6 66,9 74,857,4
2012
75,8
77,1
76,4Total 72,5 75,7
2007
74,7
76,8
75,7
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Rapport Final - Algérie 2011
Le taux brut de mortalité (TBM) qui dépassait les 15‰ dans les années soixante, se stabilise actuellement autour de 4,5‰. Cependant, si le nombre de décès enregistrés depuis les années 70 n’a pas varié de façon importante, malgré le fait que la population ait pratiquement triplé, la structure des décès a été sensiblement modifiée puisque l’on enregistre un recul de la part des décès des enfants et on recense désormais davantage de décès aux âges avancés.
Tab. 8- Evolution des décès et du taux brut de mortalité en Algérie
149
4,38
Décès (en milliers)
2012
Taux brut de mortalité (‰)
2008 2009 2010 20112006 20072005
147
4,47
144
4,30
153
4,42
159
4,51
157
4,37
162
4,41
170
4,53
Année
Source : ONS
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire20
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gérie En 2008, le taux de mortalité maternelle (TMM) était estimé à 86,6 pour 100 000 naissances
vivantes contre 230 pour 100 000 naissances vivantes en 1989 et 117 pour 100 000 naissances vivantes en 1999.
Tab. 11- Evolution du Taux de Mortalité Maternelle (pour 100 000 naissances vivantes)
TMM
Année
Sources : Rapport OMD 2010 ; MSPRH
85-89
230
1992
215 117,4
1999 2007
88,9
2008
86,2
2010
76,9
2011
73,9
21
SYSTEME NATIONAL DE SANTE
2.1- ORGANISATION
Le droit de tous les citoyens à la santé est consacré par les Constitutions de 1989 et de 1996, qui consacrent le champ de responsabilité dévolu à l'Etat, à travers l’article 54 qui stipule que : " Tous les citoyens ont droit à la protection de leur santé. L'Etat assure la prévention et la lutte contre les maladies épidémiques et endémiques ".
En 2008, le Gouvernement Algérien a adopté le Schéma National d’Aménagement du Territoire (SNAT horizon 2030), qui s’est traduit par une loi publiée en 2010, auquel le Schéma Directeur Sectoriel de la Santé (SDSS) a été intégré. Ce programme appuie le développement et le renforcement des capacités du Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière (MSPRH), de ses institutions sous tutelle et de ses niveaux opérationnels, pour garantir une meilleure santé et un accès équitable à des soins de qualité à la population algérienne, tels que définis par les axes d’intervention de la Politique Nationale de Santé :
◘ Rapprocher la santé du citoyen ;
◘ Améliorer la qualité des prestations ;
◘ Prendre en charge la transition démographique et épidémiologique ;
◘ Atteindre les Objectifs du Millénaire ;
◘ Rationaliser la gestion du secteur.
Le Système National de Santé Algérien est structuré selon une forme pyramidale et est constitué de trois échelons :
Echelon central
1. Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière (MSPRH) : Le MSPRH gère l’ensemble du système de santé public et règlemente l'offre de soins privée. Dans l’organigramme modifié de l’année 2011, le MSPRH est constitué de dix (10) Directions : la Direction Générale de la Prévention et de la Promotion de la Santé, la Direction Générale des Services de la Santé et de la Réforme Hospitalière, la Direction Générale de la Pharmacie et des Equipements de Santé, la Direction de la Population, la Direction des Etudes et de la Planification, la Direction de la Règlementation, du Contentieux et de la Coopération, la Direction des Ressources Humaines, la Direction de la Formation, la Direction des Finances et des Moyens, la Direction des Systèmes d’Information et de l’Informatique.
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Rapport Final - Algérie 2011
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire22
Le MSPRH est chargé dans le domaine de la santé selon le journal officiel N° 63 du 23 novembre 2011 :
- d’élaborer, de mettre en œuvre et d’évaluer la stratégie et la politique nationale dans le domaine de la protection et de la promotion de la santé ;
- d’organiser la prévention, la sauvegarde de la santé, de la population et la lutte contre les maladies transmissibles et non transmissibles ;
- d’initier les programmes d’action de santé spécifiques aux populations vulnérables ou en difficulté ;
- d’élaborer les programmes de santé de proximité ;
- de veiller à la lutte contre la toxicomanie et les pratiques additives ;
- d’élaborer et de proposer l’organisation du système national de santé, notamment l’établissement de la carte sanitaire ;
- d’organiser les soins médicaux dans les structures de santé ;
- de règlementer l’exercice des professions de santé ;
- d’élaborer la politique nationale des produits pharmaceutiques, des dispositifs médicaux et des équipements de santé à usage de la médecine humaine ;
- de veiller à l’approvisionnement en produits pharmaceutiques, dispositifs médicaux et équipements de santé et à leur qualité ;
- de veiller à la protection sanitaire en milieux spécifiques ;
- d’impulser les activités liées à la prévention et à la lutte contre les maladies épidémiques, endémiques et non transmissibles et de proposer les mesures de dépistage y afférentes ;
- d’initier et de mettre en œuvre les mesures de lutte contre les nuisances et pollutions ayant un impact sur la santé de la population.
Dans le domaine de la population, le MSPRH est chargé également:
- d’élaborer, de mettre en œuvre et d’évaluer la stratégie et la politique nationale en matière de population ;
- de définir les priorités en matière de maitrise de la croissance démographique et de la planification familiale ;
- de procéder à des analyses et d’entreprendre toute étude prospective en matière de démographie.
2. Structures d'Appui : Que sont l'Institut National de Santé Publique (INSP), l'Institut Pasteur d'Algérie (IPA), la Pharmacie Centrale des Hôpitaux (PCH), l'Agence Nationale du Sang (ANS), l'Ecole Nationale de Management et de l’Administration de la Santé (ENMAS), le Laboratoire National de Contrôle des Produits Pharmaceutiques (LNCPP), le Centre National de Toxicologie (CNT) et l'Agence Nationale de Documentation de la Santé (ANDS).
3. Organes consultatifs : Représentés par les 24 Comités Médicaux Nationaux et les comités ou Groupes ad hoc.
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Rapport Final - Algérie 2011
234
Echelon intermédiaire
1. Conseil Régional de la Santé : Créé par arrêté interministériel N° 22 le 11 avril 1995, est un organe consultatif ayant pour mission de développer la coordination et la concertation intersectorielles et d'assurer de manière rationnelle et efficiente, la protection, la promotion et la réhabilitation de la santé des populations. Il est chargé, en relation avec les organismes et structures concernés: de veiller à la collecte, au traitement et à la diffusion de l'information sanitaire, d'orienter l'action sanitaire en fonction de la situation épidémiologique, des ressources disponibles et des priorités arrêtées, de proposer des programmes régionaux de santé et de procéder à leur suivi et à leur évaluation périodique.
L’Algérie comprend cinq (05) régions sanitaires regroupant chacune un certain nombre de wilayas. Il s'agit des régions : Centre - Est - Ouest - Sud Est et Sud Ouest avec pour chef lieu, respectivement, les wilayas d’Alger - Constantine - Oran - Ouargla et Béchar.
2. Observatoire Régional de la Santé (ORS) : Les ORS ont été crées par l’arrêté N°43 du 22 juin 1995 et sont des annexes de l'Institut National de Santé Publique. Ils sont au nombre de cinq, un par région sanitaire, ayant pour siège la wilaya chef lieu de la région sanitaire. Ils constituent la structure pivot de la région sanitaire en matière d'information sanitaire, de protection et de promotion de la santé, de lutte contre la maladie, de formation et de recherche en santé publique.
3. Directions de la Santé et de la Population de Wilaya (DSP) : Elles sont au nombre de 48, une par wilaya et sont chargées de la mise en œuvre de la politique de santé du MSPRH. (Offres de soins, gestion des infrastructures sanitaires, collecte et analyse de l'information sanitaire, gestion des programmes de santé).
Echelon local
Le système de santé Algérien repose sur un ensemble de structures médicales, techniques et administratives. L’offre de soins est repartie en trois secteurs d’inégale importance: un secteur public dominant, un secteur privé en expansion rapide et un secteur parapublic.
1. Le Secteur public : L’organisation et le fonctionnement des Secteurs Sanitaires crées par le décret 97- 466 du 2 décembre 1997 constituaient la base de la pyramide des soins. Chaque Secteur Sanitaire desservait en moyenne un bassin de population de 100 000 à 300 000 habitants et comprenait: un hôpital général, un Service d’Epidémiologie et de Médecine Préventive (SEMEP), des structures légères (polycliniques, centres de santé, salles de soins) organisées en sous secteurs et d’Unités de Dépistage et Soins Scolaires (UDSS), reparties par groupements d’écoles.
Cette organisation a été modifiée par le décret exécutif 07-140 du 19 mai 2007 et son application depuis janvier 2008 a transformé les 185 Secteurs Sanitaires en 191 Etablissements Publics Hospitaliers (EPH) et 271 Etablissements Publics de Santé de Proximité (EPSP).
Le secteur public compte aussi 68 Etablissements Hospitaliers Spécialisés (EHS) crées par le décret 97-465 du 2 décembre 1997 couvrant plusieurs spécialités telles que :
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Rapport Final - Algérie 2011
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire24
la cancérologie, la cardiologie, la chirurgie cardiaque, la psychiatrie, la rééducation, la traumatologie, la neurochirurgie et les maladies infectieuses…, 13 Centres Hospitalo- universitaires (CHU) crées par le décret 97-467 du 2 décembre 1997, implantés dans 10 wilayas du pays. Ils sont sous la double tutelle du Ministère de la Santé, de la Population et de la Reforme Hospitalière (MSPRH) et du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (MESRS). Leur personnel médical de rang magistral assure des activités de soin, de formation et de recherche.
Le secteur public compte également quatre (04) Etablissements Hospitaliers (EH) et un (01) Etablissement Hospitalier Universitaire (EHU).
Le secteur public a pour rôle d’assurer les soins primaires et les urgences, les soins spécialisés et la prévention.
Tab. 12- Répartition des structures publiques selon le type d’infrastructure
Infrastructures extra-hospitalières
Etablissement Public de Santé de Proximité (EPSP)
Regroupant :
- Polycliniques
- Salles de soins
- Maternités publiques
271
1419
5077
271
1436
5258
427419
20092008Structures 2010
Infrastructures d’hospitalisation
Centre Hospitalo-universitaire (CHU) 13
Etablissement Hospitalo-universitaire (EHU)
Etablissement Public Hospitalier (EPH) 190
Etablissement Hospitalier (EH) 04
01
Etablissement Hospitalier Spécialisé (EHS) 57
01
13
192
04
61
13
194
04
01
64
271
1491
5350
431
2. Le Secteur privé : Le secteur privé est en pleine expansion depuis 1988. Il compte des cabinets médicaux, dentaires, des centres d’imagerie, des laboratoires d’analyses médicales, des officines pharmaceutiques et des cliniques médicochirurgicales.
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Tab. 13- Composition du secteur privé par type d’infrastructures
20092008Structures 2010
Infrastructures privées
Cabinet de spécialistes
Cabinet de généralistes
Cabinet dentaire
Cabinet de groupe
Maternités privées
5621
4717
301
6202
85
6206
5904
4909
335
94
6208
5105
376
6315
97
25
3. Le Secteur parapublic : On dénombre aujourd’hui environ 600 centres médicaux sociaux (CMS) crées et financés par des entreprises et 23 par des institutions publiques.
MSPRHStructures d’appui
Echelon Central
Echelon Intermédiaire
Echelon Local
DSP
Conseils Régionaux de la Santé
Observatoires Régionaux de la Santé
Secteurs Public, Privés et Para public
Pyramide sanitaire en Algérie
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Rapport Final - Algérie 2011
2.2- FINANCEMENT 2.2.1- DÉPENSES DE SANTÉ
Les dépenses de santé sont passées de 106 milliards de dinars en 1998 à 192 milliards de dinars en 2002 atteignant 535 milliards de dinars ce qui représente environ 7% du budget de l’état pour l’année 2012.
Tab. 14- Evolution des dépenses de santé (en pourcentage du PIB)
Année 1998 1999 2000 2001 2002 2011 2012
Dépenses de santé totale (%) 3,8 3,7 3,6 3,9 4,3 - -
Dépenses publiques de santé (%) 2,5 2,5 2,5 2,9 3,2 6,05 6,96
PIB (milliards de dinars) 2 782 3 168 4 023 4 236 4 455 13 849 15 256
Dépenses privées de santé (%) 1,3 1,2 1,1 1 1,1 - -
Dépenses de santé (milliards de dinars) 106 117 145 165 192 - -
* *
* Sources : MSPRH
2.2.2- SOURCES DE FINANCEMENT
La répartition du financement de la santé révèle un pourcentage élevé de dépenses publiques (État et Sécurité Sociale) et un très faible pourcentage de dépenses privées. Une estimation a été effectuée lors de la préparation des comptes nationaux de la santé (CNS) pour l’année 2001 et publiée pour la première fois en mai 2003. Les dépenses publiques représentaient 74% des dépenses totales de santé, contre 26% pour les dépenses privées. Le système de sécurité sociale est la principale source de financement public. Il a contribué à 41,6% des ressources du secteur de la santé et l'Etat en a financé 33%.
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire26
La plus grande partie du financement budgétaire du secteur de la santé, soit 87% en 2001, provient du Ministère de la Santé. D’autres départements ministériels apportent également leurs contributions : le Ministère de la Défense finance les hôpitaux militaires ; le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche prend en charge les salaires des médecins des CHU ; d’autres ministères financent les établissements de santé destinés à des groupes sociaux bien précis.
Les dépenses privées finançant des prestations dans le secteur privé sont de trois ordres : Il s'agit tout d'abord des dépenses des mutuelles. Celles-ci sont au nombre de 35 et elles comptent 1,6 million d'adhérents. Elles complètent les prestations des caisses de sécurité sociale dans la limite de 100% du tarif règlementaire. Viennent ensuite les dépenses de santé de certaines grandes entreprises au profit de leurs salariés (financement de centres médicosociaux et de centres de médecine du travail), puis les dépenses des ménages pris en charge par le secteur privé.
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Dépenses totales d’investissement
Tab. 15- Sources de financement du système de santé, 2001 (Dépenses en milliards de dinars)
Dépenses % Total % PIB % PIB HH
Budget 43,9 25,2 1,0 1,56
Dépenses totales de fonctionnement 50,8 29,2 1,2 1,80
5,95 3,4 0,14 0,21
Autres Ministères (budget de fonctionnement) 6,9 4,0 0,2 0,24
1- Dépenses publiques
Source : Comptes Nationaux de la Santé, mai 2003
Ministère de la santé (budget fonctionnement)
0,6 0,3 0,01 0,02Autres Ministères (budget d’investissement)
6,6 3,8 0,15 0,23
Ministère de la santé (budget d’investissement)
Dépenses publiques totales
57,37 32,9 1,35 2,04
72,4 41,6 1,7 2,57Sécurité sociale
129,75 74,5 0,00 4,61
Budget Total
Coopération internationale
1,96 1,1 0,05 0,07
Investissement du secteur privé 5,25 3,0 0,1 0,18
35,15 20,2 0,8 1,25
Entreprises 1,90 1,1 0,04 0,07
2- Dépenses privées
Mutuelles (coopérative d’assurance)
44,22 25,4 1,04 1,57Dépenses privées totales
0,2 0,1 0 0
Ménages
174,18 100 4,09 6Sources Totales
27
2.3- INDICATEURS DE SANTÉ
2.3.1- SOURCES D’INFORMATION
Les informations recueillies et utilisées dans le système national d’information sanitaire sont classées en deux groupes selon les méthodes de collecte des données:
a) Informations de routine : Elles sont produites à intervalles réguliers à partir des :
◘ Statistiques des services de santé portant sur les programmes de santé et les prestations de soins.
◘ Données administratives portant sur les finances, les ressources humaines et matérielles,…
◘ Données épidémiologiques et de surveillance.
◘ Données sur les interventions sanitaires au niveau des collectivités.
◘ Données d’évènements naturels tels que les naissances, les décès, mariages,…
b) Informations non systématiques : Elles proviennent généralement à partir de :
◘ Enquêtes démographiques et de santé.
◘ Enquêtes d’établissements.
◘ Recensements de population.
◘ Comptes nationaux de santé.
2.3.2- INDICATEURS ÉPIDÉMIOLOGIQUES
L’Algérie subit depuis le début des années 80 une « transition épidémiologique », marquée par une diminution nette des maladies transmissibles endémiques, des maladies contrôlables par la vaccination et des anthropozoonoses avec une augmentation notable des maladies non transmissibles.
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Rapport Final - Algérie 2011
Tab. 16- Evolution des Maladies à Déclaration Obligatoire (MDO) contrôlables par la vaccination, en Algérie
63Tétanos 136 37 28 5 10 9 7 6 7
9Diphtérie 496 73 57 3 0 0 0 0 0
18Poliomyélite 228 72 0 0 0 0 0 0 0
22Coqueluche 1201 81 13 17 47 80 117 33 27
-Hépatite B - - - 1264 1583 1802 1985 1783 2003
4162Rougeole
58
381
75
591
-
902 3733 14973 3132 932 823 1547 2248 1486 1899
20091998 2006 2007 20081963 1979 19891969 2010 2011Année
Source : MSPRH - INSP
Les autres maladies à déclaration obligatoire (MDO) sont en nette diminution grâce aux différents programmes de prévention mis en place par le Ministère de la Santé pour réduire l’incidence et la prévalence de celles-ci.
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire28
L’incidence des tuberculoses toutes formes confondues est stable.
Tab. 17- Evolution des incidences de la tuberculose de 2003 à 2011
Année
Source : MSPRH - INSP
2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
Tuberculose toutes formes confondues nb de cas
14 187 19 713 20 090 20 590 19 375 18 526 21786 2190219 364
Tuberculose toutes formes confondues incidence /100.000 hbts
44,23 60,62 60,94 61,62 57,24 53,99 61 59,9061,19
2003
TP incidence /100.000 hbts 23,9 32 31,6 30,5 28,58 26,33 28,9 27,5133,51
19,6 26,17 26,02 25,6 24,68 22,1 24,04TPM+ incidence/100 000 hbts 22,8027,28
L’Algérie n’étant pas un pays endémique en matière de paludisme, la majorité des cas notifiés sont des cas importés.
Tab. 18- Evolution du nombre de cas de paludisme de 2003 à 2011
Année
Source : MSPRH - INSP
2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010
163 299 117 288 196 94 408427
141 289 112 245 192 90 400394
2003
Nombre de cas de paludisme autochtone 2 1 1 26 3 0 1
2011
191
187
15
Nombre de cas de paludisme importé
Nombre de cas de paludisme
Pour le VIH-SIDA, la séroprévalence est de l’ordre de 0,1%, ce qui classe l’Algérie parmi les pays à profil épidémiologique bas.
Tab. 19- Evolution du nombre de nouveaux cas de sida et du nombre de nouveaux cas de séropositifs au VIH de 2004 à 2012
Source : MSPRH - INSP
Année 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
58 46 91 60 131 142 10228
187 267 735 585 684 688 658
93
619266
2004
Nombre de nouveaux cas de séropositifs auVIH
Nombre de nouveaux cas de sida
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La vaccination anti-rougeoleuse a été rendu obligatoire en 1985. Le vaccin anti Hépatite B, dès l’âge d’un mois, a été introduit en 2003. Le vaccin contre l’Hémophilus Influenza a été introduit en 2008 en vue de consolider le programme national de lutte contre les Infections Respiratoires Aigues (IRA).
Tab. 20- Evolution des taux de couverture vaccinale chez les enfants âgés de 12 à 23 mois en %
Source : Rapport OMD 2010 ; MICS 4* : Données provisoires
Vaccination complète
BCG
Anti-rougeoleux
DTCP3
Vaccin Hépatite B
1992EASME
83,3
97
85,7
89
-
1995MDG
84
93
77
83
-
2000EDG
87
93
83
89
-
2002EASF
88,6
97,9
90,6
92,3
-
2006MICS3
88
99
90,5
94,8
80
2011MICS4*
82,7
98,4
90,2
90,7
97,6
Selon l’enquête TAHINA réalisée par l’INSP en 2003, sur l’analyse des causes de décès pour l’année 2002 menée dans 12 wilayas, les quatre premières causes de décès selon la CIM 10, sont les maladies cardio-vasculaires (26,1 %), les affections périnatales (13,5 %), les cancers (9,5 %) et les traumatismes (8,6 %). La répartition des décès par groupes de maladies selon GBD (Global Burden Disease) est comme suit : Maladies Transmissibles, maternelles et périnatales (22,7%), Maladies Non Transmissibles (58,6%) et les traumatismes (10,6%).
Les données sur l’incidence et la prévalence des maladies non transmissibles (HTA, diabète, maladies cardiovasculaires, cancers,…) sont fournies par les données d’enquêtes de santé, par les données de registres, ...
2.3.3- RESSOURCES HUMAINES
Selon l’annuaire des statistiques sanitaires du Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière (MSPRH), les effectifs des personnels médicaux et paramédicaux et la densité médicale par habitant est en nette augmentation d’année en année.
Tab. 21- Densité des personnels médicaux et paramédicaux par habitants
Généralistes
Médecins
Chirurgiens dentistes
Spécialistes
Paramédicaux
Pharmaciens
Source : Annuaire statistique MSPRH
-
1/8112
1/64327
-
1/2276
1/50926
1966
1/1750
1/1177
1/3752
1/3594
1/346
1/6134
1999
1/1708
1/969
1/3646
1/2240
1/367
1/5389
2005
1/1567
1/918
1/3141
1/2218
3/352
1/5388
2006
1/1373
1/830
1/3191
1/2081
1/341
1/4571
2007
-
1/721
-
-
-
1/3414
2008
1/1457
1/677
1/3167
1/2052
1/370
1/4148
2009
1/1314
1/640
1/3093
1/2305
1/350
1/3962
2010
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Evaluation du Système National d’Information Sanitaire30
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Système National d’Information Sanitaire
Le Système d’Information (SI) est un ensemble organisé de ressources matérielles, de logiciels, de personnels, de données et de procédures qui permet de regrouper, de classer, de traiter et de diffuser de l’information sur un phénomène donné.
Le Système National d’Information Sanitaire (SNIS) est un ensemble organisé de structures, d’institutions, de personnels, de procédures, de méthodes et d’équipements permettant de fournir l’information nécessaire à la prise de décision, à la gestion des programmes sanitaires et au développement du système de santé. Il englobe aussi bien le secteur public que le secteur privé du système national de santé.
Le SNIS a pour but d’accroitre la disponibilité en temps voulu d’une information sanitaire sure à tous les niveaux du système de santé (Réf : Déclaration de Ouagadougou, 30 avril 2008 sur les soins de santé de base).
Les objectifs des SNIS se déclinent à travers les points suivants :
1. Fournir aux décideurs un outil d’aide à la prise de décision.
2. Fournir à tous les acteurs et utilisateurs du système de santé ainsi qu’aux partenaires potentiels de la santé l’information utile.
3. Soutenir le processus de planification, de gestion, et d’évaluation des programmes et des services de santé.
4. Promouvoir et soutenir la recherche.
5. Appuyer les échanges internationaux en matière d’information sanitaire.
En général, un SNIS est composé d’un ensemble de sous systèmes dont :
◘ la surveillance épidémiologique qui est axée essentiellement sur les Maladies à Déclaration Obligatoire (MDO),
◘ la surveillance et l’évaluation des activités des services de santé,
◘ la gestion des programmes de santé,
◘ la gestion des ressources (finances, personnel, infrastructures, équipements, etc…),
◘ les enquêtes de santé,
◘ le système d’information à assises communautaires,
◘ l’état civil (naissances, décès, mariages…).
Chaque sous système est défini par des objectifs opérationnels, des outils, des procédures, une organisation et des ressources qui lui sont propres.
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Rapport Final - Algérie 2011
3.1- PRESENTATION DU SYSTEME NATIONAL D’INFORMATION SANITAIRE EN ALGERIE
Au lendemain de l’indépendance, le SNIS a fait l’objet d’une attention particulière puisque dès décembre 1962 un texte règlementaire portant déclaration des maladies transmissibles a été promulgué. Le système d’information sanitaire était basé essentiellement sur le système de surveillance épidémiologique des MDO qui a fait l’objet de révisions continues et sur le suivi des programmes nationaux de santé mis en place.
En mai 1998, les assises nationales de la santé recommandaient : «la nécessité de développer le SNIS qui constituait une urgence afin de permettre l'aide à la prise de décision à tous les niveaux d'une part et d'élaborer la programmation sanitaire d'autre part. Le système d'information exige l'identification des producteurs de données, le circuit et doit permettre l'analyse et le traitement des données, l'archivage, la rétro information et l'évaluation ».
Des dates importantes ont marqué le système d’information sanitaire parmi elles :
1964 Création de l’Institut National de Santé Publique.
1965 Mise en place des programmes nationaux de lutte contre le paludisme, le trachome et la tuberculose avec l’appui de l’OMS.
1975 Programmation sanitaire du pays avec l’adoption de normes et la formulation d’un certain nombre de programmes nationaux de santé (Protection Maternelle et Infantile, Programme Elargi de Vaccination...).
1979 Mise en place du Système de Surveillance Epidémiologique (SSE) des maladies transmissibles et édition du Bulletin Epidémiologique National jusqu’en 1987, par l’INSP.
1979 Création des secteurs sanitaires et des services de prévention chargés de la production de l’information sanitaire et du suivi des programmes nationaux de santé.
1984 Elaboration et mise en place du programme national de lutte contre la mortalité infanto-juvénile avec l’appui de l’Unicef.
1985 Création des Services d’Epidémiologie et de Médecine Préventive (SEMEP).
1989 Publication de l’annuaire « Statistiques Sanitaires » par la Direction de la Planification du Ministère de la Santé.
1989 Publication du 1er numéro du Relevé Epidémiologique Mensuel (REM) par l’INSP.
1995 Création de deux agences nationales, la première du Développement de la Recherche en Santé (ANDRS) et la seconde de Documentation de la Santé (ANDS).
1996 Création de 5 Régions Sanitaires (Est, Centre, Ouest, Sud Est et Sud Ouest), de 5 Conseils Régionaux et de 5 Observatoires Régionaux de la Santé.
2002 Publication d’un document intitulé « La santé des Algériennes et des Algériens » par la Direction de la Population du Ministère de la Santé.
2006 Mise en place d’un système de surveillance électronique « intranet » au niveau du MSPRH.
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire32
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gérie 2002 Publication d’un document intitulé « La santé des Algériennes et des Algériens » par
la Direction de la Population du Ministère de la Santé.
2006 Mise en place d’un système de surveillance électronique « intranet » au niveau du MSPRH.
2007 Promulgation du décret portant réorganisation des structures de santé et création des Etablissements Publics Hospitaliers (EPH) et des Etablissements Publics de Santé de Proximité (EPSP).
2011 Création de la Direction des Systèmes d’Information et de l’Informatique (DSII) au niveau du MSPRH par Décret exécutif n°11-380 du 21 novembre 2011 portant organisation de l’administration centrale du MSPRH, inexistante lors de l’évaluation du SNIS.
Des efforts considérables ont été consentis en matière d’information sanitaire et se sont traduits par la mise en place de certains registres tels que : les registres régionaux des cancers, les registres du diabète de l’enfant, le registre national de l’hémophilie etc…, ainsi que par la mise en place d’une base de données sur les causes médicales de décès, par la réalisation d’enquêtes de santé nationales et/ou régionales (1ère Enquête Nationale Santé 1990, enquête nationale sur la mortalité maternelle 1999, enquête nationale sur la santé de la famille PAP FAM 2002, enquête nationale sur les cancers 2002, enquête nationales sur les Urgences Médico-chirurgicales 2003, enquête nationale santé TAHINA 2005, enquêtes à indicateurs multiples sur la santé de la mère et des enfants (MICS) 1995, 2000, 2006, 2010, enquête sur les facteurs de risques des MNT Steps 2003, enquêtes sur le tabagisme (enquête mondiale sur la consommation de tabac chez les adultes GATS 2010, enquête mondiale sur la consommation de tabac chez les jeunes âgés de 13 à 15 ans GYTS 2007, … ), enquête nationale GSHS 2010 (Global School-based Student Health Survey) et d’autres…
3.2- ORGANISATION ET CIRCUIT DE L’INFORMATION
Le système de surveillance épidémiologique (SSE) est de type pyramidal, vertical allant de la base représentée par les structures sanitaires vers la centrale. Il est organisé en trois niveaux :
Périphérique : Les données sanitaires sont notifiées et adressées aux Services d’Epidémiologie et de Médecine Préventive (SEMEP) territorialement compétents, à partir de l’ensemble des structures sanitaires de base. Les médecins des SEMEP établissent un bilan de situation hebdomadaire, mensuel ou trimestriel selon la périodicité requise et adressent les déclarations au MSPRH, aux Directions de Santé et de Population (DSP) de leurs wilaya respectives et à l’INSP.
Intermédiaire : Les Directions de Santé et de Population (DSP) des wilayas assurent le contrôle quantitatif et qualitatif des déclarations et dressent les bilans de situation épidémiologique de leurs wilayas respectives et les transmettent au MSPRH et à l’INSP.
Central : Les services du MSPRH colligent l’ensemble des données émanant des SEMEP, des DSP les analysent et veillent à la mise à jour des statistiques sanitaires nationales.
et 2004
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Rapport Final - Algérie 2011
Les services de l’INSP, sur la base des déclarations hebdomadaires, mensuelles et trimestrielles traitent (saisie, contrôle), analysent et diffusent les informations relatives à la situation épidémiologique nationale par le biais de rapports. Le relevé épidémiologique mensuel (REM) édité en est un exemple.
Les données concernant les ressources humaines, les infrastructures, le financement, les activités des structures de santé obéissent à un circuit de déclaration de type vertical allant des structures de base (niveau périphérique), aux DSP de wilaya (niveau intermédiaire) puis aux Directions Centrales du MSPRH.
Structures d’appuiMinistère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière
- INSP- ANDS- IPA- ANS- CNT- ...
ORS
Directions CentralesDP - DSS - DPop - Dplanif - ...
Organes Consultatifs
D S PConseil Régional de la Santé
Nive
au c
entr
alNi
veau
pér
iphé
riqu
eNi
veau
inte
rméd
iair
e
Secteur Public Secteur Para PublicSecteur Privé
Structures Hospitalières Structures Extra Hospitalières
- CHU- EHU- EH- EPH- EHS
EPSP- Polycliniques- Centres de soins- UDS- Laboratoires d’hygiène communaux- SEMEP- DAT
- Cliniques- Cabinets- Officines
Schéma organisationnel
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire34
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gérie 3.3- FORCES ET FAIBLESSES DU SNIS
De nombreux acquis ont enrichi l’actuel SNIS qui dispose indéniablement d’atouts considérables, néanmoins des insuffisances et des incohérences sont constatées et ont d’ailleurs été relevées lors de la Conférence Nationale sur la Santé en 2011 : « le morcèlement et le cloisonnement de l’information sont pour l’essentiel la source du dysfonctionnement de l’actuel SNIS».
Parmi les nombreux atouts dont dispose l’actuel SNIS :
◘ L’existence d’une volonté des autorités sanitaires du pays pour un SNIS performant prenant en compte les différents niveaux de la pyramide sanitaire.
◘ La couverture géographique relativement homogène en termes d’infrastructures permet-tant un accès de proximité satisfaisant.
◘ La présence à chaque niveau de la pyramide sanitaire de personnels chargés de la collecte, de l’analyse, de la gestion et de la diffusion des données du SNIS.
◘ L’existence de structures nationales chargées de certaines composantes des sous systèmes du SNIS tels que les laboratoires de référence, les structures d’appui…
Des faiblesses sont à souligner pour le SNIS en cours et qui sont représentées essentiellement par :
◘ Le manque de fiabilité et d’exhaustivité des données collectées ;
◘ Les retards enregistrés dans la transmission des données ;
◘ Les limites et la lenteur dans l’analyse des données ;
◘ La répartition inégale du personnel en charge du SNIS aux différents niveaux de la pyramide sanitaire ;
◘ La faible adhésion du secteur privé et parapublic au système de notification du SNIS ;
◘ L’insuffisance des moyens techniques ;
◘ La faible informatisation du SNIS, bien qu’un réseau informatique ou intranet ait été mis en place par le MSPRH ;
◘ Le manque, parfois même, l’absence de rétro information ;
◘ Le manque de collaboration et de coordination dans la gestion des données entre les différents intervenants en charge du SIS aux différents niveaux de la pyramide sanitaire et avec les autres secteurs (Statistiques, Planification) ;
◘ Le manque de sensibilisation de certains praticiens et gestionnaires à l’information sanitaire ;
◘ Le retard dans la mise en place du Système d’Information Hospitalier (SIH) au niveau hospitalier.
35Rapport Final - Algérie 2011
Objectifs et Méthodologie de l’Evaluation
L’évaluation du SNIS entre dans le cadre du projet de coopération entre l’Algérie et l’OMS comptant pour le biennium 2010-2011 et répond à l’Objectif Stratégique OS10 de l’OMS intitulé « systèmes et services de santé ».
Selon l’OMS, « Le résultat escompté par pays porte sur l’évaluation et la consolidation des capacités du SNIS pour l’amélioration et le suivi de la situation sanitaire dans le temps et selon les régions ainsi que sur la gestion des programmes et des services de santé ».
4.1- OBJECTIFS
■ Objectif principal
Evaluer le SNIS à travers l’ensemble de ses composantes, à l’aide de l’outil «Health Metrics» fourni par l’OMS.
■ Objectifs spécifiques
◘ Présenter le cadre et les normes du RMS. ◘ Appliquer l’outil d’évaluation standard de l’OMS « Health Metrics». ◘ Identifier les forces du SNIS.◘ Identifier les faiblesses du SNIS.
◘ Formuler des recommandations en vue du renforcement du SNIS.
■ Résultats attendusLe Système National d’Information Sanitaire est évalué et les recommandations sont formulées.
4.2- MÉTHODOLOGIE
4.2.1- Outil de l’évaluation L’outil d’évaluation Health Metrics (HM) est un instrument standardisé qui a été développé par le Réseau de Métrologie Sanitaire (RMS) ou Health Metrics Network (HMN) de l’Organisation Mondiale de la Santé. Il s’agit d’une application Excel dans sa version 4.00, portant sur les six (06) composantes du SNIS que sont :
◘ Les ressources.◘ Les indicateurs.
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gérie ◘ Les sources de données.
◘ La gestion des données.
◘ Les produits de l’information.
◘ La diffusion et l’utilisation.
Chaque composante comporte un ensemble d’items ou de questions auxquels les évaluateurs doivent attribuer des scores.
L’outil Health Metrics est doté d’un utilitaire qui génère de façon automatique les résultats de l’évaluation, sous forme de tableaux et de graphiques.
Il est constitué d’un questionnaire comportant cent quatre vingt dix sept (197) items, structurés autour des six (06) composantes indiquées dans le tableau ci-après.
I. Ressources
II. Indicateurs
III. Sources des données
VI. Gestion des données
V. Produits de l’Information
Entrée des Scores
Résumé des résultats
Résultats des commentaires
VI. Diffusion et Utilisation des résultats
Graphiques et scores
Graphiques Tout le SIS Ressources Sources des données
Entrée des Résultats
Abréviations
Glossaire
A propos de l’Outil d’Evaluation du RMS du SIS
Outil d’évaluation et de suivi du renforcement des systèmesnationaux d’information sanitaire
Draft version 4.00 010808
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Rapport Final - Algérie 2011
Tab. 22- Nombre de questions par composante de l’outil d’évaluation « Health Metrics »
F. Enregistrement des ressources
E. Enregistrement des services de santé
ii. Ressources humaines
i. Infrastructures et services de santé
iii. Financement et dépenses pour services de santé
II. Indicateurs
A. Recensement
11
13D. Enregistrement des maladies et surveillance
C. Enquêtes auprès des populations
11
25
6
4
8
7iv. Equipement, consommables, biens et services
Rubriques
25
7
Nombre de questions
A. Coordination, Politiques et Planification
I. Ressources
C. Infrastructures du SIS
B. Ressources humaines et financement
III. Sources de données
13
5
5
83
10
13B. Statistiques démographiques
V. Produits de l’information
IV. Gestion des données 5
69
10
197
VI. Diffusion et utilisation
Total
Le score théorique maximal pour chacune des questions des différentes rubriques de l’outil d’évaluation est de trois (03) points. L’évaluateur ou participant attribue une note à chacune des questions ce qui correspond au score observé. Une moyenne est calculée à partir des scores observés de tous les participants pour chaque question et chaque rubrique. Ce score moyen observé est divisé par le score théorique afin de le convertir en un pourcentage.
Les scores observés, exprimés en pourcentage, qui ont été attribués à chacune des six composantes du SIS évaluée sont interprétés en quartiles et en catégories.
Tab. 23- Interprétation des scores observés
Quartiles
2ème quartile (Q2)
1er quartile (Q1)
4ème quartile (Q4)
3ème quartile (Q3)
Scores observés (%) Catégories (niveau de satisfaction)
Moins de 25%
De 25% à moins de 50%
De 50% à moins de 75%
De 75% à 100%
Pas du tout satisfaisant
Existe mais pas satisfaisant
Satisfaisant
Très satisfaisant
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire38
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gérie 4.2.2- PRÉPARATION ET ÉTAPES DE L’ÉVALUATION
L’Institut National de Santé Publique a été chargé de la réalisation du projet d’évaluation du SNIS et du suivi de tout le processus depuis la phase de préparation, en passant par la collecte des informations, jusqu’à la production du rapport. Un groupe de coordination du projet, de trois (03) personnes, a été mis en place au niveau de l’INSP. Il s’agit du :
- Dr Samira TOUAMI : Médecin Spécialiste en Epidémiologie - INSP : Point focal/ Coordinatrice
- Dr Hakim BRAHIMI : Maitre assistant en Epidémiologie - INSP : Collaborateur
- Dr Fatiha CHERF-BOUZIDA : Médecin Santé Publique - INSP : Collaboratrice
Le groupe de coordination a été élargi à des représentants du Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière (MSPRH) et à d’autres ministères et institutions comme le Ministère de la Prospective et des Statistiques (MPS), l’Office National des Statistiques (ONS) et à un expert en santé publique (Annexe 1). Le groupe de travail s’est réuni à plusieurs reprises pour discuter de l’outil Health Metrics, du calendrier des activités et de l’organisation de l’évaluation.
Etapes de l’évaluation
Avant d’entamer l’évaluation, le groupe de coordination a procédé à une recherche bibliographique sur les Systèmes d’Information Sanitaires (SIS) dans le monde et en Algérie, sur le cadre du Réseau de Métrologie Sanitaire (RMS) ainsi que sur l’outil d’évaluation « Health Metrics » de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Le travail d’évaluation du SNIS s’est déroulé en six (06) étapes essentielles :
a. Information et sensibilisation du groupe élargi
Une première réunion de travail s’est tenue en janvier 2011 à l’INSP pour informer le groupe élargi sur le projet d’évaluation du SNIS et sur l’intérêt de la collaboration de toutes les institutions impliquées dans le Système d’Information Sanitaire (SIS) qu’ils soient produc-teurs, utilisateurs ou décideurs. Durant cette journée, deux communications ont été présentées, l’une portant sur le projet d’évaluation, ses objectifs et les résultats attendus, l’autre sur le Réseau de Métrologie Sanitaire et l’outil d’évaluation « Health Metrics ».
Cette évaluation est de type qualitatif. Il s’agit de l’une des techniques utilisées dans différents domaines permettant le calcul d’indices composites. Le groupe élargi a procédé à la lecture et à la critique des six questionnaires composant l’outil Health Metrics durant quatre (04) séances de travail. Il a également proposé de rédiger un guide d’utilisation des questionnaires et de compléter le glossaire des termes utilisés. D’autres séances de travail ont permis au groupe élargi de cibler les institutions, de dresser la liste des participants au séminaire national d’information et d’élaborer le programme de ce dernier.
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Rapport Final - Algérie 2011
b. Organisation d’un séminaire national d’information
Le séminaire national d’information du lancement du projet d’évaluation du SNIS s’est tenu le 18 avril 2011 au niveau de l’INSP et a réuni prés de 120 participants. Ont pris part au sémi-naire des représentants des Directions Centrales du Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière (Direction de la Prévention, Direction de la Population, Direc-tion des Services de Santé, Direction de la Planification et du Développement, Direction des Ressources Humaines, Direction des Finances et des Moyens, etc ), des institutions sous tutelle (Institut Pasteur d’Algérie, Agence Nationale du Sang, etc), des représentants de Directions de Santé et de Population des wilayas, des Centres Hospitalo-universitaires, (CHU), d’Etablissements Publics Hospitaliers (EPH), d’Etablissements Publics de Santé de Proximité (EPSP), des représentants d’autres ministères tels que le Ministère de la Prospec-tive et des Statistiques (MPS), de l’Office National des Statistiques (ONS), des centres de recherche tels que le Centre de Recherche en Economie Appliquée pour le Développement (CREAD), le Conseil National Economique et Social (CNES), le Centre National d’Etudes et d’Analyses pour la Population et le Développement (CENEAP…) et des représentants d’organismes internationaux tels que l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), l’Organisa-tion des Nations Unis chargée du Sida (ONUSIDA), le Fonds des Nations Unies pour la Popu-lation (FNUAP), etc.
Les travaux se sont déroulés en session plénière, les communications ont porté sur la présentation du projet d’évaluation du SNIS, sur les Systèmes d’Information Sanitaires (SIS) dans le monde et en Algérie, sur le cadre du Réseau de Métrologie Sanitaire (RMS) ainsi que sur l’outil d’évaluation « Health Metrics » (Annexe 2).
c. Organisation des ateliers
Deux (02) ateliers ont été organisé pour procéder à l’évaluation du Système National d’Infor-mation Sanitaire (SNIS) à l’aide de l’outil «Health Metrics » de l’OMS. Le premier atelier s’est tenu les 3 et 4 mai 2011 et le deuxième les 10 et 11 mai 2011, au niveau de l’INSP (Annexe 3). Chaque atelier comportait deux (02) groupes de 20 participants. La répartition des groupes a été faite sur la base de la liste des présents au séminaire national d’informa-tion qui s’est tenu le 18 avril 2011 tout en respectant la représentativité des différents secteurs (Annexe 4). Les questionnaires au nombre de six (06) ont été distribué aux partici-pants afin de les renseigner (Annexe 5). Un guide et un glossaire ont également été fournis (Annexes 6 et 7).
Un participant a été désigné dans chaque groupe pour lire les questionnaires portant sur les six composantes du SNIS. Les travaux se sont déroulés de manière interactive et ont suscité à chaque fois des échanges d’information et de connaissances. Les débats étaient animés et les participants ont adhéré pleinement aux travaux.
Au total, 70 participants ont assisté aux deux (02) ateliers ; Parmi eux : 44 médecins (épidémiologistes et autres), 09 statisticiens, 03 économistes, 02 gestionnaires,
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire40
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gérie 02 démographes, 04 chargés de programme dans des institutions internationales (OMS,
ONUSIDA, UNICEF, FNUAP) et 06 autres profils. Les participants ont représenté 17 wilayas du pays.
Tab. 24- Nombre de questionnaires renseignés par groupe et par atelier
Total
Atelier 2
Groupe 2
-
16
Groupe 4
18
18
Groupe 1
16
-
Groupe 3
20
20
Total
Atelier 1 16 -16 - 32
38
70
d. Saisie et analyse des données
Les questionnaires renseignés ont été contrôlés puis saisis sur une application Excel fournie par le RMS. Une base de données a été constituée. Cette application permet de calculer les scores observés en pourcentage, d’éditer les tableaux et les graphes des résul-tats de l’évaluation par composante. Une synthèse globale des résultats des quatre groupes a été réalisée.
e. Consolidation des résultats
Un atelier de consolidation des résultats a été organisé les 13 et 14 décembre 2011 à l’Institut National de Santé Publique en vue de la validation des résultats de l’évaluation et la formulation des recommandations (Annexe 8). Cet atelier a réuni le groupe de coordination de l’INSP, les membres du groupe élargi et des personnes ressources d’autres secteurs ayant participé aux ateliers d’évaluation (Annexe 9). Les travaux se sont déroulés en session plénière durant deux (02) jours. Le groupe de coordination de l’INSP a présenté les résultats de l’évaluation du SNIS composante par composante. Chaque présentation était suivie d’un débat permettant des échanges riches et fructueux et la formulation de recommandations. Une synthèse des recommandations a été présentée aux participants pour leur validation et elles figurent dans ce rapport.
f. Rédaction du rapport de l’évaluation Un rapport détaillé de l’évaluation du SNIS comportant la méthodologie appliquée, les résultats obtenus ainsi que les recommandations formulées a été rédigé par le groupe de coordination du projet.
41Rapport Final - Algérie 2011
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Résultats de l’Evaluation
L’évaluation du SNIS à l’aide de l’outil Health Metrics est de type qualitatif et a été réalisée par des professionnels de profils et de secteurs divers.
Le résultat global de l’évaluation des six composantes du SNIS est de 48,3 %, le classant dans la catégorie « existe mais pas satisfaisant » correspondant au deuxième quartile de la grille proposée par l’outil Health Metrics de l’OMS.
Le score le plus faible qui est de 32 % est attribué à la composante « Gestion des données », suivie de la composante « Diffusion et utilisation » avec un score de 45,7 % puis de la composante « Ressources » avec un score de 49,4 %, les classant toutes les trois dans la catégorie « existe mais pas satisfaisant ».
Le score limite de 50,7% est attribué à la composante « Indicateurs », suivie de la composante « Sources des données » avec un score de 53% puis de la composante « Produits de l’information » avec un score de 59,1%, les classant dans la catégorie « satisfaisant » correspondant au troisième quartile.
Il en résulte tout de même un élément très pertinent qui consiste à dire que le principal reproche que le panel consulté fait au système d’information sanitaire actuel est inhérent à la manière dont les masses de données, que fournit le système de santé et autres organes statistiques, sont gérées et mises à la disposition des utilisateurs, notamment ceux qui doivent prendre des décisions sur les programmes de santé à mettre en œuvre.
Existe maispas satisfaisant
Très satisfaisant
32 %
Pas du toutsatisfaisant
Score total
Ressources
Indicateurs
Sources des données
Gestion des données
Produits de l’information
Diffusion et utilisation
Satisfaisant
48,3 %
49,4 %
50,7 %
53 %
59,1 %
45,7 %
Clé :
Fig. 1 - Scores de l’évaluation des six composantes du SNIS, Algérie 2011
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire42
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gérie Il s’agit donc d’un résultat agrégé à ce stade de l’analyse mais qui relève pratiquement de la
gouvernance institutionnelle en matière d’information statistique que d’un aveu de carence dans la disponibilité de structures spécialisées à même de produire les données requises.
La suite de l’analyse des résultats se penchera, composante par composante, sur des éléments encore plus précis afin de mettre le doigt sur les véritables motivations de ce constat global.
Il convient de signaler que même dans les composantes jugées globalement satisfaisantes, à l’image de celle traitant de la « production », il peut exister en leur sein des éléments désavantageux, qui n’ont certes pas trop pesés dans le score mais qui requièrent tout de même une attention particulière. La suite de l’analyse va également aborder cet aspect.
5.1- RESSOURCES
Le résultat de l’évaluation de la composante relative aux Ressources est de 49,4%, elle est dans la catégorie « existe mais pas satisfaisant » et correspond au 2ème quartile, selon la grille de l’outil Health Metrics de l’OMS.
Cette composante comprend trois sous composantes qui sont différemment appréciées.
La sous composante Infrastructures du SNIS est jugée « satisfaisante » avec un score de 67,3% suivie de la sous composante Ressources humaines et financement avec 47,4% et de la sous composante Coordination, Planification et Politiques avec un score de 33,3%. Ces deux dernières sont dans la catégorie « existe mais pas satisfaisant ». C’est donc cette dernière sous composante qui représente un élément hautement stratégique notamment aux dossiers transversaux, qui a le plus tiré les résultats vers le bas.
Existe maispas satisfaisant
Très satisfaisant
Pas du toutsatisfaisant
Ressources
Coordination,Planification et Politique
Ressources Humaines et financement du SIS
Infrasttucturesdu SIS
Satisfaisant
33,3 %
47,4%
67,3 %
Clé :
Fig. 2 - Scores de l’évaluation de la composante “ RESSOURCES ” du SNIS, Algérie 2011
49,4 %
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Rapport Final - Algérie 2011
Existe mais pas satisfaisant
5.1.1- COORDINATION, PLANIFICATION ET POLITIQUES
Selon les répondants, le SNIS dispose d’une législation révisée, offrant un cadre d’information sanitaire couvrant certaines composantes spécifiques telles que les registres de l’état civil, les Maladies à Déclaration Obligatoire et autres avec un score de 66,7% la classant dans la catégorie «satisfaisant ».
Les faiblesses de cette sous composante peuvent être liées à l’absence d’un plan stratégique écrit du SIS (10%), à l’absence d’un comité national chargé de la coordination (13,3%) et à l’absence d’un système d’évaluation permanent (16,6%), ces rubriques ont été jugées « pas du tout satisfaisant ».
Il semblerait que le manque de certains mécanismes de coordination et de planification aux différents niveaux de la pyramide sanitaire et entre les institutions en charge de l’information sanitaire peuvent expliquer le faible score de cette sous composante qui est de 33,3%, la classant dans la catégorie « existe mais pas satisfaisant ».
Tab. 25- Résultats de l’évaluation de la sous composante “Coordination, planification et politiques”, Algérie 2011
I.A.1 66,7
Score moyenobservé %
Rubriques
La législation est à jour et offre un cadre d’information sanitaire couvrant : les registres de l’état civil, MDO secteur privé, l’assurance sociale, confidentialité et principes fondamentaux des statistiques officielles.
I.A.2
50,0
Les règles et les procédures sont à jour pour appliquer les principes fondamentaux des statistiques officielles sous forme de bonnes pratiques et garantir que les services nationaux de la statistique restent intègres (professionnalisme, objectivité, transparence et respect des normes éthiques dans la collecte, le traitement et la diffusion des données sanitaires).
I.A.3 10,0
Plan stratégique du SIS écrit utilisé pour renforcer les principales sources de données, et exécuté au niveau national.
Signification
Satisfaisant
Satisfaisant
Pas du toutsatisfaisant
I.A.4 Pas du toutsatisfaisant
13,3Comité national représentatif chargé de la coordination du SIS, il fonctionne
I.A.5 40,0
L'institut national de la statistique et le ministère de la santé ont mis en place des mécanismes de coordination, mécanisme multisectoriel.
Existe mais pas satisfaisant
I.A.6 16,6Système permanent de contrôle du rendement du SIS et de ses divers sous-systèmes.
Pas du tout satisfaisant
36,6
La politique officielle est d’organiser régulièrement des réunions dans les formations sanitaires et les bureaux de l’administration sanitaire (par ex.au niveau national, régional/provincial, de district) pour analyser l’information du SIS et agir sur la base de cette information.
Existe mais pas satisfaisant33,3Total
I.A.7
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire44
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gérie 5.1.2- RESSOURCES HUMAINES ET FINANCEMENT DU SIS
Les résultats relatifs à l’évaluation des Ressources humaines et financement du SIS sont dans la catégorie « existe mais pas satisfaisant » avec un score de 47,4%.
Les ressources humaines en charge de l’information sanitaire sont disponibles et jugées satisfaisantes avec un score de 53,3% pour le Ministère de la Santé et de 60% pour l’Institut National de la Statistique correspondant à l’Office National des Statistiques avec un taux de roulement du personnel de 53,3%.
Les différentes activités (conception, élaboration, gestion, analyse, diffusion et utilisation des données) de la cellule administrative centrale du SIS sont réduites et celles relatives au renforcement des capacités du personnel en charge de l’information sanitaire sont dans la catégorie « existe mais pas satisfaisant ».
Le financement de toutes les sources de données importantes du SIS est dans la catégorie « existe mais pas satisfaisant » avec un score de 40%.
Tab. 26- Résultats de l’évaluation de la sous composante “Ressources humaines et financement du SIS”, Algérie 2011
I.B.1 53,3
Score moyenobservé %
Rubriques
I.B.2 60,0
I.B.3
40,0
Signification
Satisfaisant
Satisfaisant
Existe mais pas satisfaisant
I.B.4 Existe mais pas satisfaisant33,3
I.B.5 60,0
I.B.6
46,6
Satisfaisant
Existe mais pas satisfaisant
Existe mais pas satisfaisant
I.B.7 56,6
Le ministère de la santé dispose de suffisamment de compétences dans les sciences de l’information sanitaire pures (épidémiologiste, démographe, TIC…etc)
L'institut national de la statistique dispose de suffisamment de compétences en statistiques (démographie, statistiques, technologies de l’information et de la communication (TIC).
Il existe une cellule administrative centrale fonctionnelle du SIS au ministère de la santé ; elle est chargée de concevoir, élaborer et appuyer la collecte d’information sanitaire, la gestion, l’analyse, la diffusion et l’utilisation des données en vue de la planification et de la gestion.
Il existe une cellule administrative centrale fonctionnelle du SIS chargée du recensement de la population et des enquêtes auprès des ménages dans le but de concevoir, élaborer et appuyer la collecte d’information sanitaire
Au niveau infranational (par ex. Régions/provinces, districts), il existe des postes à plein temps d’agents chargés de l’information sanitaire, et ces postes sont occupés.
Des activités de renforcement des capacités ont été organisées au cours des années passées pour le personnel du SIS du ministère de la santé (statistiques, maintenance des logiciels et des bases de données et/ou épidémiologie) aux niveaux national et infranational.
Des activités de renforcement des capacités ont été organisées au cours des années passées pour le personnel de l'institut national de la statistique (statistiques, maintenance des logiciels et des bases de données) aux niveaux national et infranational.
Satisfaisant
I.B.8 40,0
Des activités de renforcement des capacités du SIS ont été organisées au cours des années passées pour le personnel des structures sanitaires (sur la collecte, l’autoévaluation, l’analyse et la présentation des données).
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Rapport Final - Algérie 2011
Satisfaisant
I.B.9 33,3
Score moyenobservé %
Rubriques
I.B.10 53,3
I.B.11 56,6
Signification
Satisfaisant
Existe mais pas satisfaisant
I.B.12 Existe mais pas satisfaisant40,0
I.B.13
53,3 Satisfaisant
Disponibilité de l’assistance au personnel de la santé et du SIS en vue de la conception, de la gestion et du soutien des bases de données et des logiciels aux niveaux national et infranational.
Taux de roulement acceptable du personnel d’information sanitaire au niveau national dans les services du ministère de la santé.
Taux de roulement acceptable du personnel d’information sanitaire au niveau national dans l'institut national de la statistique.
Le budget national prévoit des lignes budgétaires spécifiques pour les divers secteurs afin de garantir un financement suffisant pour un SIS performant pour toutes les sources de données importantes du ministère de la santé.
Le budget national prévoit des lignes budgétaires spécifiques pour les divers secteurs afin de garantir un financement suffisant pour le fonctionnement du système statistique pour toutes les sources de données importantes de l'institut national de la statistique.
47,4 Existe mais pas satisfaisant
Total
5.1.3- INFRASTRUCTURES DU SIS
La sous composante Infrastructures du SIS est jugée satisfaisante avec un score de 67,3% vu la disponibilité des infrastructures notamment les infrastructures de base des Technologies de l’Information et des Communications (TIC) tels que les téléphones, l’accès Internet, les courriels… Sa faiblesse réside dans la mauvaise planification des services de maintenance et d’entretien des équipements des TIC ainsi que leur disponibilité et le score est de 40 %.
Satisfaisant
I.C.1 86,7
Score moyenobservé %
Rubriques
I.C.2 86,7
I.C.3 63,3
Signification
Très satisfaisant
Très satisfaisant
I.C.4 Satisfaisant60,0
I.C.540,0 Existe mais
pas satisfaisant
Les formulaires, papier, crayons et fournitures nécessaires pour enregistrer les données des services sanitaires et sur les maladies sont disponibles.
Les formulaires, papier, crayons et fournitures nécessaires pour enregistrer l’information sur les statistiques démographiques sont disponibles.
Les ordinateurs sont disponibles dans les principaux bureaux aux niveaux national, régional/provincial, et de district pour une compilation rapide de données infranationales
Les infrastructures de base des technologies de l’information et des communications (TIC (téléphones, accès Internet, courriels)) existent aux niveaux national, régional/provincial et de district.
Les services de maintenance des équipements des technologies de l’information et des communications (TIC) sont disponibles au niveau national, régional/provincial et de district.
67,3 SatisfaisantTotal
Tab. 27- Résultats de l’évaluation de la sous composante “Infrastructures du SIS”, Algérie 2011
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire46
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gérie 5.2- INDICATEURS
L’évaluation de la composante portant sur les Indicateurs est jugée satisfaisante, avec un score de 50,7% correspondant au 3ème quartile.
Existe maispas satisfaisant
Très satisfaisant
Pas du toutsatisfaisant
Indicateurs
Satisfaisant
50,7 %
Clé :
Fig. 3 - Score de l’évaluation de la composante “ INDICATEURS ” du SNIS, Algérie 2011
Les forces de cette composante résident d’abord dans la mesure des indicateurs sanitaires des OMD avec un score de 73,3%, mesure sanctionnée par des rapports périodiques et également par l’existence d’indicateurs minimum de base définis mais ne couvrant pas tous les types d’indicateurs avec un score de 60%.
Les faiblesses de cette composante sont probablement dues au fait que les indicateurs ne sont pas définis en concertation avec les partenaires des différentes institutions en charge de l’information sanitaire avec un score de 33,3% et que la diffusion de l’information sur le nombre minimum d’indicateurs de base ne se fait pas de manière périodique et le score est de 36,7%.
II.A.1 60,0
Score moyenobservé %
Rubriques
II.A.2 73,3
II.A.3
33,3
Signification
Très satisfaisant
Satisfaisant
II.A.4 50,0
36,7 Existe mais pas satisfaisant
À l'échelon national et infranational, on a défini des indicateurs minimums de base du pays, qui couvrent tous les types d'indicateurs de santé (les déterminants de santé, les données relatives aux investissements, au processus et aux résultats du système de santé, et à l'état sanitaire).
Il existe une stratégie officielle claire et explicite visant à mesurer chacun des OMD fixés par le pays concerné dans le domaine de la santé.
Les indicateurs de base sont définis en partenariat avec toutes les principales parties prenantes, par exemple le ministère de la Santé, l'institut national de la statistique (INS), d'autres ministères concernés, les organisations profession-nelles, les spécialistes au niveau infranational, les principaux programmes centrés sur les principales maladies.
Les indicateurs de base ont été choisis selon des critères clairement définis, notamment leur utilité, leur pertinence scientifique, la fiabilité de leur représentativité, leur caractère pratique et leur accessibilité.
II.A.5 La diffusion de l'information sur le nombre minimum d'indicateurs de base se fait périodiquement.
50,7 SatisfaisantTotal
Tab. 28- Résultats de l’évaluation de la composante “Indicateurs ”, Algérie 2011
Existe mais pas satisfaisant
Satisfaisant
47
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gérie
Rapport Final - Algérie 2011
5.3- SOURCES DES DONNEES
Il ressort des résultats de l’évaluation que le score global pour les Sources des données est de 53 %, appartenant au 3ème quartile et jugé « satisfaisant ». Ce score est de 57 % pour le recensement de la population (satisfaisant), de 52 % pour les statistiques de l’Etat Civil (satisfaisant), de 62,1 % pour les enquêtes auprès de la population (satisfaisant), de 55,9 % pour les dossiers de maladies et surveillance (satisfaisant), de 44,3 % pour la banque des services de santé (existe mais pas satisfaisant) et de 50,3 % pour la banque des ressources (satisfaisant).
Fig. 4 - Scores de l’évaluation de la composante “ SOURCES DES DONNEES ” du SNIS, Algérie 2011
Existe maispas satisfaisant
Très satisfaisant
55,9 %
Pas du toutsatisfaisant
Recensement
Statistiques de l’état civil
Enquêtes auprès de la population
Dossiers de santé, maladies, surveillance
Banque des services de santé
Banque des ressources
Satisfaisant
53 %
52 %
62,1 %
44,3 %
50,3 %
Clé :
Sources des données
57 %
Pour chaque source, une appréciation d’ensemble a été établie pendant l’évaluation de la qualité de son contenu, de ses capacités et pratiques dans la collecte, la gestion et l’analyse des résultats, la diffusion-dissémination, l’intégration et l’utilisation des données.
Tab. 29- Scores des différentes sources des données selon les composantes essentielles (%), Algérie 2011
ContenuCapacité
& Pratiques DiffusionIntégration
et utilisation Total
Recensement Satisfaisant67 %
Satisfaisant59 %
Satisfaisant54 %
Satisfaisant50 %
Satisfaisant57 %
Statistiques de l’Etat Civil Satisfaisant73 %
Existe mais passatisfaisant 41 %
Satisfaisant67 %
Satisfaisant53 %
Satisfaisant52 %
Enquête basées sur la Population
Satisfaisant69 %
Très satisfaisant80 %
Existe mais passatisfaisant 43 %
Existe mais passatisfaisant 32 %
Satisfaisant62 %
Enregistrement desmaladies (incl. Surveillance)
Satisfaisant54 %
Satisfaisant61 %
Existe mais passatisfaisant 40 %
Existe mais passatisfaisant 48 %
Satisfaisant56 %
Enregistrement desservices de santé
Pas du tout Satisfaisant 23 %
Existe mais passatisfaisant 43 %
Satisfaisant62 %
Satisfaisant52 %
Existe mais passatisfaisant 44 %
Satisfaisant58 %
Existe mais passatisfaisant 48 %
Existe mais passatisfaisant 44 %
Existe mais passatisfaisant 41 %
Existe mais passatisfaisant 50 %
Enregistrement des Ressources
- - - - Satisfaisant53 %
Sourcesde données
Total
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire48
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gérie 5.3.1- RECENSEMENT
L’évaluation de la sous composante Recensement enregistre un score de 57%, classant cette source des données dans la catégorie « satisfaisant » correspondant au 3ème quartile.
Les scores enregistrés par composante essentielle sont de 66,6 % pour le contenu, de 59,2% pour les capacités et pratiques, de 54,2 % pour la diffusion et de 50% pour l’intégration et utilisation.
Fig.5- Scores en % des composantes essentielles du Recensement, Algérie 2011
66,6
59,2
54,2 50
0
25
50
75
100Contenu
Capacités etpratiques
DiffusionIntégration-utilisation
Cette évaluation a révélé les points forts suivant :
◘ Des questions portant sur la mortalité ont été introduites lors du dernier recensement.
◘ Le pays dispose de capacités satisfaisantes pour réaliser la collecte, le traitement et l’analyse des données le score étant de 83,3 % jugé « très satisfaisant ».
◘ Un recensement a été réalisé au cours des dix dernières années (RGPH 2008).
◘ Un rapport contenant des statistiques descriptives (âge, sexe, résidence par unité administrative la plus petite) tirées du recensement le plus récent est disponible et largement diffusé.
◘ Les projections démographiques précises par âge et par sexe sont disponibles pour de petites zones (districts ou en dessous) pour l'année en cours.
Comme points faibles, on note que :
◘ L'évaluation de l'exhaustivité des données sur la mortalité adulte, tirées du dernier recensement, n’a pas été mise en chantier et les résultats n’ont pas été publiés, le score est de 20 % jugé « pas du tout satisfaisant ».
◘ Les micro-données n’ont pas été mises à la disposition du public, le score est de 20 % jugé « pas du tout satisfaisant ».
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Rapport Final - Algérie 2011
50 SatisfaisantIII.A.4Intégration & utilisation
4.1- Les projections démographiques permettent de faire une estimation du domaine d'application et une planification des services de santé
57 SatisfaisantTotal
III.A.1Contenu 66,6
Score moyenobservé %
Composantesessentielles
Rubriques
III.A.2Capacité& pratiques
83,3
100
Signification
Très satisfaisant
Satisfaisant
63,3 Satisfaisant
1.1- Des questions portant sur la mortalité ont été introduites dans le dernier recensement
2.1- Le pays dispose de capacités satisfaisantes pour 1) réaliser la collecte des données ; 2) traiter les données ; et 3) analyser les données
2.2- Un recensement a été réalisé au cours des dix dernières années
2.3- Une enquête post censitaire (EP) a été achevée et un rapport écrit est disponible et largement diffusé
III.A.3Diffusion
3.1- Le rapport contenant des statistiques descriptives (âge, sexe, résidence par unité administrative la plus petite) tirées du recensement le plus récent est disponibles et largement diffusé
Tab. 30- Résultats de l’évaluation de la sous composante « Recensement », Algérie 2011
Très satisfaisant
33,3 Existe mais pas satisfaisant
2.4- L'évaluation de l'exhaustivité des données sur la mortalité adulte, tirées du dernier recensement, a été mise en chantier, et les résultants ont été publiés
20 Pas du toutsatisfaisant
80 Très satisfaisant3.2- Décalage temporel entre le moment où les statistiques descriptives (âge,
sexe, lieu de résidence par zone de dénombrement) ont été publiées pour la dernière fois et le moment où ces données ont été collectées
53,3 Satisfaisant3.3- Des projections démographiques précises par âge et par sexe sont
disponibles pour de petites zones (districts ou en dessous) pour l'année en cours
20 Pas du toutsatisfaisant
3.4- Les micro données sont mises à la disposition du public.
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire50
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gérie 5.3.2- STATISTIQUES DE L’ETAT CIVIL
Le score de l’évaluation de la sous composante Statistiques de l’état civil est de 52%, jugé « satisfaisant ».
Les scores par composantes essentielles sont de 73,3% pour le contenu, de 41,2% pour les capacités et pratiques, de 66,7% pour la diffusion et de 53,3% pour l’intégration et l’utilisation.
Fig.6- Scores en % des composantes essentielles des statistiques de l'Etat Civil, Algérie 2011
73,3
41,2
66,7 53,3
0
25
50
75
100
Contenu
DiffusionIntégration-utilisation
Capacitéset pratiques
Les points forts notés dans l’évaluation de cette sous composante sont :
◘ L’existence dans tout le pays d’une source fiable de statistiques de l'état civil qui est l’enregistrement à l'état civil et le score est de 96,7%.
◘ Le taux de couverture des décès enregistrés grâce à l'enregistrement à l'état civil est très satisfaisant et le score est de 93,3%.
◘ Les statistiques publiées à partir de l'enregistrement à l'état civil sont ventilées par sexe, par âge et par région géographique ou administrative (ou zone urbaine/rurale) et le score est de 90%.
Parmi les points faibles de cette sous composante :
◘ La proportion élevée des causes de décès mal définies et le score est 16,7%.
◘ L’outil d'autopsie verbale (AV) n’est pas utilisé et le score est de 3,3%.
◘ Les renseignements sur la cause du décès enregistrés sur une fiche d'enregistrement des décès à l’état civil ne sont ni complètes, ni de bonne qualité et le score est de 30%.
Il faut remarquer également que les pratiques du Système d’Enregistrement par l’Echantillon (SEE) et du Système de Surveillance de la Démographie (SSD) ne sont pas utilisées en Algérie.
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Rapport Final - Algérie 2011
III.B.1Contenu 96,7
Score moyenobservé %
Composantesessentielles
Rubriques
93,3
30
Signification
Très satisfaisant
Très satisfaisant
66,7 Satisfaisant
1.1- Il existe dans tout le pays une source fiable de statistiques de l'état civil : enregistrement à l'état civil, Système d'enregistrement de l'échantillon SEE) ; ou Systèmes de surveillance de la démographie (SSD)
1.2- Taux de couverture des décès enregistrés grâce à l'enregistrement à l'état civil
1.3- Les renseignements sur la cause du décès sont enregistrés sur une fiche d'enregistrement des décès, si l'enregistrement à l'état civil est en place
2.1- Le pays dispose de capacités suffisantes pour : 1) réaliser la collecte de données ; 2) traiter les données ; et 3) analyser les données tirées de l'enregistrement à l'état civil, du SEE ou des SSD
III.B.2Capacité & pratiques
2.3- La classification statistique internationale des maladies et des problèmes de santé connexes (CIM) est actuellement utilisée pour enregistrer les causes des décès
Tab. 31- Résultats de l’évaluation de la sous composante « Statistiques de l’état civil », Algérie 2011
Existe maispas satisfaisant
70 Satisfaisant
2.2- Fréquence de l'évaluation de l'exhaustivité de l'enregistrement à l'état civil
36,7 Existe maispas satisfaisant
16,7 Pas du toutsatisfaisant
2.4- Proportion de tous les décès attribués à des causes mal définies (%) (codes superflus)
90 Très satisfaisant2.5- Les statistiques publiées à partir de l'enregistrement à l'état civil ou du
SEE sont ventilées par 1) sexe, 2) âge et 3) région géographique ou administrative (ou zone urbaine/rurale)
33,3 Existe maispas satisfaisant
2.6- Le Système d'enregistrement de l'échantillon (SEE) est conçu, et il produit des données précises au bon moment
13,32.7- Les sites du Système de surveillance de la démographie (SSD) ont été
conçus, et ils produisent des données exactes au bon moment
3,3 Pas du toutsatisfaisant
Pas du toutsatisfaisant
2.8- Outil d'autopsie verbale (AV)
52 SatisfaisantTotal
53,3 SatisfaisantIII.B.4Intégration & utilisation
4.1- Les renseignements provenant de l'enregistrement à l'état civil, du SEE ou des SSD sur 1) les taux de mortalité et 2) les causes de décès, sont utilisés pour l'analyse à l'échelon national et infranational
66,7 SatisfaisantIII.B.3Diffusion
3.1- Décalage temporel entre le moment où les statistiques tirées de l'enregistrement à l'état civil, du SEE ou des SSD ont été publiées pour la dernière fois et le moment où ces données ont été collectées
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire52
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gérie 5.3.3- ENQUÊTES AUPRES DE LA POPULATION
Les enquêtes réalisées auprès de la population atteignent un niveau satisfaisant avec un score de 62,1% et fournissent des indicateurs essentiels de base notamment en rapport avec l’accès aux principaux services de santé maternelle et infantile (soins prénataux, accouchements assistés par un personnel qualifié, couverture vaccinale et état nutritionnel). Les scores par sous composante essentielle sont de 68,9% pour le contenu, de 80,8% pour les capacités et pratiques, de 43,3% pour la diffusion et de 31,7% pour l’intégration et l’utilisation.
Fig. 7- Scores en % des composantes essentielles des Enquêtes de Populatio , Algérie 2011
68,9
80,8
43,3 31,7
0
25
50
75
100Contenu
Capacités et pratiques
DiffusionIntégration-utilisation
Des points forts ont été notés :
◘ Le pays dispose de capacités suffisantes pour organiser des enquêtes auprès des ménages (notamment les plans de sondage et le travail de terrain), traiter et analyser les données et le score est de 93,3%.
◘ Au cours des cinq dernières années, une enquête auprès d'un échantillon national représentatif a mesuré le pourcentage de la population visée qui reçoit les principaux services de santé maternelle et infantile (planning familial, soins prénataux, accouchements et vaccinations) et le score est de 90 %.
Toutefois, des lacunes non négligeables ont été notées comme :
◘ L’absence au cours des cinq dernières années, d’une(des) enquête(s) auprès d'un échantillon national représentatif de la population qui a(ont) mesuré la prévalence de quelques maladies prioritaires non transmissibles et des principaux facteurs de risque.
◘ L’absence de métadonnées des enquêtes récentes (conception, mise en œuvre de l'échantillon, questionnaire) ainsi que leur diffusion.
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gérie
Rapport Final - Algérie 2011
43,3 Existe maispas satisfaisant
43,3 Existe maispas satisfaisant
◘ L’insuffisance de micro-données des enquêtes récentes ainsi que leur diffusion.
◘ Les circonscriptions sanitaires et statistiques du pays ne collaborent pas suffisament dans les domaines de la conception des enquêtes, de leur mise en œuvre, de l'analyse et de l'utilisation des données.
Le score de 43,3% est attribué à chacune de ces composantes essentielles.
◘ L’insuffisance de coordination et de planification à long terme des enquêtes démographiques mesurant les indicateurs de santé et le score est de 20 %.
III.C.1Contenu
Score moyenobservé %
Composantesessentielles
Rubriques
73,3
Signification
Satisfaisant
90 Très satisfaisant
1.1- Au cours des cinq dernières années, une enquête auprès d'un échantillon national représentatif a mesuré le pourcentage de la population visée qui reçoit les principaux services de santé maternelle et infantile (planning familial, soins prénataux, accouchements, vaccinations).
1.2- Au cours des cinq dernières années, une enquête auprès d'un échantillon national représentatif a fourni des estimations suffisamment précises et exactes de la mortalité infantile et celle des moins de cinq ans.
1.3- Au cours des cinq dernières années, une (des) enquêtes(s) auprès d'un échantillon national représentatif auprès de la population a (ont) mesuré la prévalence de quelques maladies prioritaires non transmissi-bles/problèmes de santé.
Tab. 32- Résultats de l’évaluation de la sous composante « Enquêtes auprès de la population », Algérie 2011
43,3 Existe maispas satisfaisant
III.C.2Capacité & pratiques
93,3 Très satisfaisant2.1- Le pays dispose de capacités suffisantes pour : 1) organiser des enquêtes
auprès des ménages (notamment les plans de sondage et le travail de terrain) ; 2) traiter les données ; et 3) analyser les données.
2.2- Les enquêtes respectent les normes internationales en matière de consentement, de confidentialité et d'accès aux données personnelles.
2.3- Les données permettent de faire une ventilation par âge, sexe et localité (par exemple zone urbaine/rurale, principales régions géographiques ou administratives)
96,7 Très satisfaisant
70 Satisfaisant
2.4- Les données permettent de faire une ventilation par statut socioéconomique : a) revenus et b) niveau d'instruction 63,3 Satisfaisant
III.C.3Diffusion
3.1- Des enquêtes récentes fournissent des métadonnées (conception, mise en œuvre de l'échantillon, questionnaire)
3.2- Des enquêtes récentes fournissent des micro données
4.1- Il y a des réunions et un plan pluriannuel visant à coordonner la synchroni-sation, les principales variables mesurées et le financement des enquêtes démographiques auprès d'un échantillon national représentatif, qui mesurent les indicateurs de santé
20 Pas du toutsatisfaisant
III.C.4Intégration & utilisation
4.2- Les circonscriptions sanitaires et statistiques du pays collaborent étroitement dans les domaines de la conception de l'enquête, de la mise en œuvre, de l'analyse et de l'utilisation des données
43,3 Existe maispas satisfaisant
62,1 SatisfaisantTotal
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire54
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gérie 5.3.4- DOSSIERS DE SANTE ET DE MALADIES (notamment les systèmes de surveillance des
maladies)
La surveillance et l’enregistrement des maladies est satisfaisante avec un score de 55,9%.
Les scores par composante essentielle sont de 54,4% pour le contenu, de 61% pour les capacités et pratiques, de 40% pour la diffusion et de 48,3% pour l’intégration et l’utilisation.
Fig. 8- Scores en % des composantes essentielles de la Surveillance des maladies , Algérie 2011
Contenu
Diffusion
Capacitéset pratiques
Intégration-utilisation
54,4
0
25
50
100
75
48,3
61
40
Les points forts notés pour cette sous composante sont :
◘ L’existence de définitions appropriées de cas pour chacune des principales maladies sujettes à épidémie et le score est de 73,3%.
◘ L’existence d’une stratégie de surveillance pour les états de santé d'un grand intérêt pour la santé publique et le score est de 60%.
◘ L’existence de moyens suffisants pour diagnostiquer et enregistrer les cas de Maladies à Déclaration Obligatoire ; signaler et transmettre en temps opportun des informations sur ces maladies et analyser les données et le score est de 76,7%.
◘ Le nombre des personnels de santé en charge des diagnostiques primaires, qui connaissent les définitions des cas des Maladies à Déclaration Obligatoire est important et le score est de 50%.
◘ Pourcentage satisfaisant des formations sanitaires présentant, en temps opportun, des rapports de surveillance hebdomadaires et/ou mensuels et le score est de 53,3%.
◘ La proportion satisfaisante des poussées épidémiques ayant fait l'objet d'enquêtes et donné lieu à des investigations de laboratoires et le score est de 70%.
Certains points faibles ont été noté pour cette sous composante, dont :
◘ L'absence d’une carte de la population exposée à un risque (malnutrition, pauvreté) et à des risques spécifiques (vecteurs, pollution) et le score est de 30%.
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Rapport Final - Algérie 2011
III.D.2Capacité & pratiques
76,7 Très satisfaisant
2.1 Le pays dispose de capacités suffisantes pour : 1) diagnostiquer et enregistrer les cas de maladies de déclaration obligatoire ; 2) signaler et transmettre en temps opportun des informations sur ces maladies ; 3) analyser les données.
2.2- Pourcentage des personnels de santé en charge des diagnostiques primaires, qui peuvent correctement citer les définitions de cas de la majorité des maladies à déclaration obligatoire.
2.3- Pourcentage des formations sanitaires présentant, en temps opportun, des rapports de surveillance hebdomadaires ou mensuels au niveau du district.
53,3 Satisfaisant
50 Satisfaisant
2.4- Pourcentage des districts présentant à leur hiérarchie directe, des rapports de surveillance hebdomadaires ou mensuels en temps. 53,3 Satisfaisant
73,3 SatisfaisantIII.D.1Contenu
Score moyenobservé %
Composantesessentielles
Rubriques Signification
60 Satisfaisant
1.1- Pour chacune des principales maladies sujettes à épidémie des définitions appropriées de cas ont été mises en place.
1.2- Pour les états de santé d'un grand intérêt pour la santé publique, qui diffèrent de ceux énoncés à la section 1.1 ci-dessus (il existe une stratégie de surveillance.
1.3- L'établissement d'une carte de la population exposée à un risque (par exemple une population souffrant de malnutrition et de pauvreté, l'ethni cité) et de la population exposée à des risques spécifiques.
Tab. 33- Résultats de l’évaluation de la sous composante « Dossiers des maladies-surveillance», Algérie 2011
30 Existe maispas satisfaisant
55,9 SatisfaisantTotal
◘ Les dossiers médicaux des patients conservés par la formation sanitaire ne préservent pas la qualité et la continuité des soins et le score est de 46,7 %.
◘ Les renseignements sur la surveillance des maladies sujettes à épidémie ne sont pas diffusés et répercutés par le biais de bulletins publiés périodiquement et le score est de 40 %.
2.5- Proportion des poussées épidémiques ayant fait l'objet d'une enquête et donné lieu à des résultats de laboratoire.
70 Satisfaisant
2.7- La classification statistique internationale des maladies (CIM) est actuellement utilisée pour les diagnostics de sortie d'hôpital. 76,7 Très satisfaisant
2.6- Les dossiers médicaux des patients conservés par la formation sanitaire préservent la qualité et la continuité des soins.
46,7 Existe maispas satisfaisant
III.D.3Diffusion
III.D.4Intégration & utilisation
3.1- Les renseignements sur la surveillance des maladies sujettes à épidémie sont diffusés et répercutés par le biais de bulletins publiés périodiquement.
4.1- Intégration de la transmission des données sur la surveillance des maladies et d'autres programmes de santé publique en point de mire.
4.2- Proportion des épidémies décelées à l'échelon régional/provincial ou national par le biais d'un examen des données de la surveillance qui proviennent des districts.
80 Très satisfaisant
16,7 Pas du toutsatisfaisant
40 Existe maispas satisfaisant
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire56
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nexe
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tatio
n de
l’Al
gérie 5.3.5- BANQUE DES SERVICES DE SANTE
Le score de l’enregistrement des données au niveau des services de santé est de 44,3%, jugé « existe mais pas satisfaisant ».
Les scores par composante essentielle sont de 23,3% pour le contenu, de 42,5% pour les capacités et les pratiques, de 61,7% pour la diffusion et de 51,7% pour l’intégration et utilisation.
Parmi les points satisfaisants qui ont été notés au cours de l’évaluation de cette composante :
◘ L’existence d’un corps de professionnels de santé qualifiés ayant suivi une formation spécialisée dans le domaine des systèmes d'information sanitaire et le score est de 60%.
Parmi les points faibles, on note :
◘ L’absence d’approche méthodique (supervision, enquête sur l’ensemble des formations sanitaires ou sur un échantillon national représentatif) permettant d'évaluer la qualité des services fournis par les formations sanitaires au moins une fois tous les cinq ans et le score est de 10%.
◘ L’absence d’un système d'information sur les services de santé, regroupant l’ensemble des données provenant des formations sanitaires publiques et privées et le score est de 36,7%.
◘ La formation régulière et continue du personnel de santé en service dans les formations sanitaires du secteur public (cliniques et hôpitaux) dans le domaine de l'information sanitaire n’est pas satisfaisante et le score est de 43,3%.
Fig. 9- Scores en % des composantes essentielles de la banque des services de santé, Algérie 2011
Intégration-utilisation
Contenu
Capacitéset pratiques
Diffusion
0
25
50
75
100
23,3
42,5
61,751,7
57
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gérie
Rapport Final - Algérie 2011
70 Satisfaisant
53,3 Satisfaisant
III.E.2Capacité & pratiques
60 Satisfaisant2.1- Un corps de professionnels de santé qualifiés qui ont suivi une formation
spécialisée d'au moins deux ans et qui sont en poste au niveau du district se consacre au système d'information sanitaire.
2.2- Les personnels de santé en service dans les formations sanitaires du secteur public (cliniques et hôpitaux) reçoivent, dans le domaine de l'information sanitaire, une formation régulière.
2.3- Des mécanismes ont été mis en place à l'échelon national et infranational pour la supervision et la rétroaction des pratiques d'information dans le secteur public.
43,3 Existe maispas satisfaisant
2.4- Du niveau du district à l'échelon national, des mécanismes sont mis en place pour vérifier l'exhaustivité et la cohérence des informations émanant des formations sanitaires.
III.E.1Contenu
Score moyenobservé %
Composantesessentielles
Rubriques Signification
1.1- Il existe un système d'information basé sur les services de santé, qui met ensemble les données provenant de l'ensemble de formations sanitaires publiques et privées
1.2- Il existe une approche méthodique permettant d'évaluer la qualité des services fournis par les formations sanitaires Ladite approche comprend : a) une supervision méthodique et b) une enquête sur l'ensemble des formations sanitaires ou sur un échantillon national représentatif au moins une fois tous les cinq ans.
Tab. 34- Résultats de l’évaluation de la sous composante “Banque des services de santé “, Algérie 2011
43,3Total
3.1- Dernière fois qu'un résumé annuel des statistiques des services de santé a été publié, ces statistiques étant désagrégées par principale région géographique ou administrative.
3.2- Les districts ou des unités administratives similaires établissent leurs propres rapports sommaires mensuels/trimestriels et annuels, désagrégés par formation sanitaire.
III.E.3Diffusion
III.E.4Intégration & utilisation
4.1- Les systèmes de déclaration verticale semblables à ceux de la tuberculose et des vaccinations communiquent bien avec le système général d'établissement de rapports sur les services de santé.
4.2- Les dirigeants et les analystes à l'échelon national et infranational recourent fréquemment aux résultats des enquêtes, de l'enregistrement à l'état civil (ou à d'autres systèmes de statistiques démographiques) afin d'évaluer la validité des données cliniques.
60 Satisfaisant
36,7 Existe maispas satisfaisant
10 Pas du toutsatisfaisant
36,7 Existe maispas satisfaisant
30 Existe maispas satisfaisant
43,3 Existe maispas satisfaisant
Existe maispas satisfaisant
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire58
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gérie 5.3.6- BANQUE DES RESSOURCES
La banque de données des ressources sanitaires regroupe les données sur les infrastructures et les services de santé, les ressources humaines, le financement et les dépenses de santé ainsi que sur les équipements. Le score enregistré pour cette sous composante est de 50,3% et jugé « satisfaisant ».
Les scores par composantes essentielles sont de 58,3% pour le contenu, de 48,2% pour les capacités et les pratiques, de 43,3% pour la diffusion et de 41,2% pour l’intégration et l’utilisation.
Les scores attribués aux sous composantes infrastructures et services de santé, aux ressources humaines, et aux équipements sont respectivement de 51,7%, de 64,6 % et de 61,7% jugés satisfaisants.
Concernant le financement et les dépenses de santé, le mécanisme de collecte de données existe mais n’est pas jugé satisfaisant et le score est de 33,7%.
Fig. 10 -Scores de l’évaluation de la sous composante “ BANQUE DES RESSOURCES ” du SNIS, Algérie 2011
Existe maispas satisfaisant
Très satisfaisant
Pas du toutsatisfaisant
Infrastructures et Services de santé
Ressources Humaines
Financement et Dépenses de santé
Equipements, fournitures et produits
Satisfaisant
50,3 %
64,2 %
33,7 %
61,7 %
Clé :
Banque des resources
51,7 %
59
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gérie
Rapport Final - Algérie 2011
5.3.6.1- INFRASTRUCTURES ET SERVICES DE SANTÉ
Le score enregistré pour la sous composante Infrastructures et services de santé est de 51,7% jugé « satisfaisant ».
Les scores enregistrés par composante essentielle sont de 41,7% pour le contenu, de 61,7% pour les capacités et les pratiques, de 66,7% pour la diffusion et de 36,7 % pour l’intégration et l’utilisation.
Fig. 11- Scores en % des composantes essentielles des infrastructures et services de santé, Algérie 2011
Parmi les points forts relevés au cours de l’évaluation :
◘ La base de données nationale des formations sanitaires est mise à jour régulièrement et le score est de 83,3%.
◘ L’existence, au niveau de certaines wilayas, de cartes indiquant la localisation des infrastructures sanitaires, des personnels de santé et des principaux services de santé et le score est de 66,7%.
◘ L’existence d’un fichier national des structures sanitaires des secteurs public et privé doté d’un code identificateur unique et le score est de 56,7%.
Parmi les points faibles notés :
◘ Pour la majorité des formations sanitaires, les coordonnées du Système mondial de localisation par satellite (GPS) ne sont pas incluses dans la base de données consacrée aux formations et le score est de 26,7%.
◘ L’insuffisance des ressources humaines et des équipements pour la gestion et la mise à jour de la base de données et des cartes sur les formations sanitaires et les services de santé et le score est de 40%.
41,7
61,7
66,7
36,7
0
25
50
75
100
Intégration-utilisation
Contenu
Capacitéset pratiques
Diffusion
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire60
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66,7 Satisfaisant
83,3 Très satisfaisant
◘ À l'échelon national et au niveau des districts, les dirigeants et les analystes ne font pas d’évaluation de l'accès direct aux services, en établissant un lien entre les données concernant la localisation des formations sanitaires et des services de santé d'une part, et la répartition de la population d'autre part et le score est de 36,7%.
III.F.2Capacité & pratiques
2.2- La base de données nationale des formations sanitaires a été mise à jour.
3.1- Dans la plupart de districts, on dispose de cartes indiquant la localisation des infrastructures sanitaires, des personnels de santé et des principaux services de santé.
4.1- À l'échelon national et au niveau des districts, les dirigeants et les analystes font fréquemment une évaluation de l'accès direct aux services, en établissant un lien entre les données concernant la localisation des formations sanitaires et des services de santé d'une part, et la répartition de la population d'autre part.
36,7 Existe maispas satisfaisant
56,7 SatisfaisantIII.F.1Contenu
Score moyenobservé %
Composantesessentielles
Rubriques Signification
1.1- Il existe un fichier national des formations sanitaires des secteurs tant public que privé. Il a été attribué à chaque formation sanitaire un code identificateur unique qui permet de réaliser la fusion des données sur les formations.
1.2- Pour la majorité des formations sanitaires, les coordonnées du Système mondial de localisation par satellite (GPS) sont incluses dans la base de données consacrée aux formations .
2.1- Il existe des ressources humaines et l'équipement pour la gestion et la mise à jour de la base de données et des cartes sur les formations sanitaires et les services de santé.
Tab. 35- Résultats de l’évaluation de la sous composante “Infrastructures et services de santé”, Algérie 2011
40 Existe maispas satisfaisant
III.F.3Diffusion
III.F.4Intégration & utilisation
51,7 SatisfaisantTotal
26,7 Existe maispas satisfaisant
61
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Rapport Final - Algérie 2011
5.3.6.2- RESSOURCES HUMAINES
L’évaluation de la sous composante Ressources Humaines est jugée « satisfaisante » avec un score de 64,2%. Les scores par sous composante essentielle sont de 60% pour le contenu et de 68,3% pour les capacités et les pratiques.
60
68,30
25
50
75
100
Intégration-utilisation
Contenu
Capacitéset pratiques
Diffusion
Fig. 12- Scores en % des composantes essentielles des ressources humaines, Algérie 2011
Ces résultats sont liés essentiellement à :
◘ L’existence d’une base de données nationale et de statistiques sur les ressources humaines tant dans le secteur public que privé et le score est de 63,3%.
◘ L’existence d’une base de données sur les diplômés sortant des facultés de médecine et le score est de 56,7%.
◘ La disponibilité de ressources humaines pour la gestion et la mise à jour de la base des données des ressources humaines et le score est de 53,3%.
53,3 Satisfaisant
83,3 Très satisfaisant
III.F.2Capacité & pratiques 2.4- Les statistiques de la base de données nationale des RH sur le nombre
des professionnels de la santé en service dans le secteur public ont été mises à jour pour la dernière fois.
63,3 SatisfaisantIII.F.1Contenu
Score moyenobservé %
Composantesessentielles
Rubriques Signification
1.3- Il existe une base de données nationale des ressources humaines (RH) qui permet de suivre à la trace le nombre, par principales catégories professionnelles, des personnels techniques de la santé en service tant dans le secteur public que dans le secteur privé.
1.4- On dispose d'une base de données nationale qui permet de suivre à la trace le nombre de diplômés sortant chaque année des établissements de formation en médecine.
2.3- On dispose de ressources humaines pour la gestion et la mise à jour de la base de données nationale des RH.
56,7 Satisfaisant
Tab. 36- Résultats de l’évaluation de la sous composante « Ressources Humaines », Algérie 2011
64,2 SatisfaisantTotal
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire62
Sys
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Parmi les points faibles notés pour cette sous composante :
◘ Carences du système permettant aux spécialistes des finances de suivre à la trace les budgets et les dépenses de santé du secteur privé.
◘ Il n’y a pas de personnel qualifié sur contrat à long terme et régulièrement affecté aux travaux sur les Comptes Nationaux de la Santé (CNS) et le score et de 26,7%.
◘ Absence de périodicité et de rapidité d'exécution des travaux sur les Comptes Nationaux de la Santé.
◘ Difficulté d’accès aux données sur les Comptes Nationaux de la Santé et le score est de 20%.
5.3.6.3- FINANCEMENT ET DÉPENSES DE SANTÉ
Le score enregistré pour la sous composante financement et dépenses consacrées aux services de santé est de 33,7% jugé « existe mais pas satisfaisant ». Les scores enregistrés par composante essentielle sont de 45% pour le contenu, de 32,5% pour les capacités et les pratiques, de 20% pour la diffusion et de 30 % pour l’intégration et l’utilisation.
Fig. 13- Scores en % des composantes essentielles du Financement et des Dépenses de Santé, Algérie 2011
45
32,5
2030
0
25
50
75
100
Intégration-utilisation
Contenu
Capacitéset pratiques
Diffusion
63
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Rapport Final - Algérie 2011
33,7Total Existe maispas satisfaisant
20 Pas du tout satisfaisant
46,7 Existe maispas satisfaisant
26,7 Existe maispas satisfaisant
III.F.2Capacité & pratiques
2.1-Un nombre suffisant de personnels qualifiés sur contrat à long terme est régulièrement affecté aux travaux sur les comptes nationaux de la santé (CNS), que ces personnels soient ou nom employés par le ministère de la Santé).
2.2- Périodicité et rapidité d'exécution des travaux sur les Comptes nationaux de la santé.
2.3- Les CNS fournissent périodiquement des renseignements sur les quatre classifications suivantes des flux financiers : les sources de financement, les spécialistes des finances, les prestataires et les fonctions.
Existe maispas satisfaisant
2.4- Les CNS fournissent des données sur les dépenses de santé par principales maladies, champ d'application des programmes de santé, région géographique/administrative et/ou populations cible (selon les grandes préoccupations en matière de politique).
III.F.1Contenu
Score moyenobservé %
Composantesessentielles
Rubriques Signification
1.5- Il existe des dossiers financiers sur les dépenses publiques de santé auxquelles fait face l'État et ses composantes (le ministère de la Santé, d'autre départements ministériels, la sécurité sociale, les administrations publiques régionales et locales, les entités extrabudgétaires) et sur les dépenses de santé encourues par le secteur privé et ses composantes.
1.6- On dispose d'un système permettant aux spécialistes des finances de suivre à la trace les budgets et les dépenses (dépenses du gouvernement central et de ses composantes et les dépenses de santé du secteur privé et ses composantes ventilées par niveau infranational ou par district .
Tab. 37- Résultats de l’évaluation de la composante “Financement et dépenses de santé”, Algérie 2011
3.2- Les données recueillies des CNS sont largement et facilement accessibles.
III.F.3Diffusion
III.F.4Intégration & utilisation
4.2- Les CNS ont permis l'élaboration de politiques et l'affectation des ressources. 30
50 Satisfaisant
40
30 Existe maispas satisfaisant
26,7 Existe maispas satisfaisant
Existe maispas satisfaisant
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire64
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gérie 5.3.6.4- EQUIPEMENTS, FOURNITURES ET PRODUITS
L’évaluation de la sous composante équipements, fournitures et produits est jugée « satisfaisante » avec un score de 61,7%. Les scores enregistrés par composante essentielle sont de 86,6% pour le contenu, de 46,6% pour les capacités et les pratiques et de 56,7% pour l’intégration et l’utilisation.
Fig. 14- Scores en % des composantes essentielles des équipements, fournitures et produits, Algérie 2011
Les rapports d’inventaire sont édités au moins une fois par an par chacune des formations sanitaires (construction, entretien, alimentation en eau, …) et le score est de 93,3%. Il n’existe pas de ressources humaines suffisamment qualifiées pour gérer les infrastructures, les matériels et les équipements et le score est de 43,3%.
43,3 Existe mais pas satisfaisant
53,3 Satisfaisant
III.F.2Capacité & pratiques
2.2- Périodicité et exhaustivité des rapports sur les équipements et les infrastructures matérielles du secteur public.
93,3 Très satisfaisant
III.F.1Contenu
Score moyenobservé %
Composantesessentielles
Rubriques Signification
1.1- Chacune des formations sanitaires doit, une fois au moins par an, présenter un rapport sur l'inventaire et l'état des équipements et des infrastructures matérielles du secteur publique (par exemple la construction, l'entretien, l'alimentation en eau, le système électrique, le système d'évacuation des eaux usées).
1.3- Chaque formation sanitaire du secteur public doit, une fois au moins par trimestre, présenter un rapport sur son stock de fournitures et de produits (les médicaments, les vaccins, les contraceptifs et d'autres fournitures).
2.1- Dans le secteur public, on dispose d'assez de ressources humaines suffisamment qualifiées pour gérer les infrastructures matérielles et la logistique liée à l'équipement, aux fournitures et aux produits.
80 Très satisfaisant
Tab. 38- Résultats de l’évaluation de la sous composante “Equipements, fournitures et produits”, Algérie 2011
61,7 SatisfaisantTotal
56,7 Satisfaisant
2.3- Périodicité et exhaustivité des rapports sur les fournitures et les produits dans le secteur public.
Intégration-utilisation
Contenu
Capacitéset pratiques
Diffusion
86,7
56,7
0
25
50
75
100
46,7
4.1- Les systèmes d'information pour différents produits et fournitures sont pris en compte dans le secteur public.
III.F.4Intégration & utilisation
43,3 Existe mais pas satisfaisant
65
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Rapport Final - Algérie 2011
5.4- GESTION DES DONNEES
L’évaluation de la composante Gestion des données existe mais n’a pas été jugée satisfaisante et le score est de 32%.
Fig. 15 -Score de l’évaluation de la composante “ GESTION DES DONNEES ” du SNIS, Algérie 2011
Existe maispas satisfaisant
Très satisfaisant
Pas du toutsatisfaisant Satisfaisant
32%
Clé :
Gestion des données
Parmi les points faibles :
◘ Insuffisance de mise en œuvre des procédures écrites existantes permettant la gestion des données, notamment la collecte, le stockage, le nettoyage, la maitrise de la qualité, l'analyse et la présentation des données et le score est de 43,3%.
◘ Absence à l'échelon national d’une unité du Système d'Information Sanitaire (SIS) qui fait fonctionner une banque de données contenant des informations provenant de diverses sources et dotée d’un utilitaire de transmission de données accessible au public et le score est de 36,7%.
◘ Absence d’un dictionnaire de métadonnées qui fournit la définition des variables ainsi que leur emploi dans les indicateurs, les caractéristiques de la méthode de collecte des données, la périodicité, les désignations géographiques et les techniques d'analyse et le score est de 6,7%.
◘ Existance de codes identificateurs pour les unités géographiques ou administratives mais ne sont pas utilisés afin de faciliter la fusion des nombreuses bases de données provenant de différentes sources et le score est de 40%.
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire66
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tatio
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l’Al
gérie
6,7
IV.A.3
Il existe un dictionnaire de métadonnées qui fournit la définition des variables ainsi que leur emploi dans les indicateurs, les caractéristiques de la méthode de collecte des données, la périodicité, les désignations géographiques, les techniques d'analyse utilisées et les éventuelles erreurs systématiques
Des codes identificateurs existent pour les unités géographiques ou administratives (par exemple les régions/provinces, les districts, les municipalités, etc.), dans le but de faciliter la fusion des nombreuses bases de données provenant de différentes sources.
36,7
IV.A.1
Score moyenobservé %
Composantesessentielles
Rubriques
Il existe un ensemble de procédures écrites permettant la gestion des données, notamment la collecte, le stockage, le nettoyage, la maîtrise de la qualité, l'analyse et la présentation des données pour le public visé. Ces procédures sont mises en œuvre sur tout le territoire.
À l'échelon national, l'unité du Système d'information sanitaire (SIS) fait fonctionner une banque de données contenant des informations provenant de toutes les sources (aussi bien les sources axées sur la population que celles reposant sur les formations sanitaires, y compris tous les principaux programmes de santé), et est dotée d'un utilitaire convivial de transmission de données auquel divers publics utilisateurs ont accès.
À l'échelon infranational, il existe une banque de données similaire à celle que l'on trouve au niveau national, et un utilitaire de production de rapports auquel divers publics visés ont accès.
Tab. 39- Résultats de l’évaluation de la composante “Gestion des données ”, Algérie 2011
33,3
IV.A.4
IV.A.5
Total
36,7
43,3
Pas du toutsatisfaisant
Existe maispas satisfaisant
Signification
Existe maispas satisfaisant
Existe maispas satisfaisant
Existe maispas satisfaisant
IV.A.2
32 Existe maispas satisfaisant
67
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Rapport Final - Algérie 2011
5.5- PRODUITS DE L’INFORMATION
La cinquième composante du Système d’Information Sanitaire représentée par les Produits de l’information évalue la qualité des indicateurs générés par le système que sont :
◘ Les indicateurs de l’état de santé (ex : mortalité, morbidité).
◘ Les indicateurs du système de santé (ex : taux couverture vaccinale, traitement DOTS de la tuberculose).
◘ Le nombre de médecins pour 1000 habitants etc.
◘ Les indicateurs des facteurs de risque (% de fumeurs dans la population âgée de 15 ans et plus).
L’évaluation de cette composante se fonde sur un certain nombre de critères que sont :
◘ La méthode de collecte des données.
◘ La rapidité de publication (délai).
◘ La périodicité.
◘ La cohérence et l’exhaustivité.
◘ La représentativité.
◘ La désagrégation et
◘ Les méthodes d’estimation.
La composante Produits de l’information a été jugée satisfaisante avec un score global de 59,1%.
Elle est respectivement de 72,2% pour les facteurs de risque, de 60% pour les indicateurs se rapportant à l’état de santé et de 56,8% pour les indicateurs du système de santé.
Fig. 16- Scores de l’évaluation de la composante “ PRODUITS DE L’INFORMATION ” du SNIS, Algérie 2011
60%
Clé :
Indicateurs de l’état de santé
56,8%Indicateurs du systèmede santé
59,1%Produits de l’information
Existe maispas satisfaisant Satisfaisant Très
satisfaisantPas du toutsatisfaisant
72,2%Facteurs de risque
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire68
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gérie Le tableau ci-dessous résume les résultats de l’évaluation de cette composante par type
d’indicateurs et selon les critères d’évaluation prédéfinis.
5.5.1- INDICATEURS DE L’ÉTAT DE SANTÉ
L’évaluation des indicateurs de l’état de santé porte sur les indicateurs de mortalité, essentiellement la mortalité des enfants âgés de moins de cinq ans et sur la mortalité maternelle ainsi que sur les indicateurs de morbidité se rapportant à l’infection par le VIH.
Les indicateurs de mortalité et de morbidité sont jugés satisfaisants avec des scores respectifs de 59,3% et de 61,7%.
Tab. 40- Tableau récapitulatif des résultats (en %) de la composante“Produits de l’information ”du SNIS, Algérie 2011
TOTAL
Indicateurs de l’état de santé Facteursde risque
Très satisfaisant90 %
Satisfaisant67 %
Satisfaisant53 %
Satisfaisant70 %
Très satisfaisant80%
--------
Satisfaisant56 %
Satisfaisant70 %
Satisfaisant 59 %
Satisfaisant70 %
Satisfaisant54 %
Satisfaisant58 %
CatégoriesContenu
Indicateurs duSystème de Santé
TotalGénéral
Collecte de données
Opportunité
Périodicité
Représentativité
Existe mais passatisfaisant 38 %
Désagrégation
Méthode d’estimation
Satisfaisant68 %
Satisfaisant62 %
Satisfaisant68 %
Satisfaisant50%
Satisfaisant53%
Morbidité Total
Très satisfaisant87 %
Satisfaisant65 %
Très satisfaisant80 %
Cohérence Satisfaisant50 %
Satisfaisant63 %
Satisfaisant67 %
-------- Satisfaisant50%
Satisfaisant 63 %
Satisfaisant 58 %
Satisfaisant 58 %
Satisfaisant 55 %
Satisfaisant 69 %
Satisfaisant 51 %
Existe mais passatisfaisant 25 %
Satisfaisant73 %
Satisfaisant64%
Satisfaisant63 %
Satisfaisant55 %
Satisfaisant65 %
Satisfaisant55%
Satisfaisant63 %
Satisfaisant59 %
Satisfaisant59 %
Satisfaisant60%
Satisfaisant57 %
Existe mais passatisfaisant 30 %
Satisfaisant62 %
Satisfaisant72 %
Fig. 17- Scores de l’évaluation de la sous composante “INDICATEURS DE L’ETAT DE SANTE ”
du SNIS, Algérie 2011
59,3%
Clé :
Mortalité
77%Mortalité des enfantsâgés de < 5 ans
60%Indicateurs de l’état de santé
Existe maispas satisfaisant Satisfaisant Très
satisfaisantPas du toutsatisfaisant
41,4%Mortalité maternelle
61,7%Morbidité
Existe mais passatisfaisant 43 %
69
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Sant
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sPr
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tatio
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l’Al
gérie
Rapport Final - Algérie 2011
77,1 Très satisfaisant
96,7 Très satisfaisant
5.5.1.1- MORTALITÉ
- Mortalité chez les moins de cinq ans
L’évaluation de l’indicateur se rapportant à la Mortalité chez les moins de cinq ans est jugée très satisfaisante avec un score de 77,1%, ceci est lié à l’enregistrement à l’état civil d’au moins 90 % des décès des moins de 5 ans. Le délai écoulé entre la collecte des données et la publication des derniers résultats est très satisfaisant et il est inférieur à 2 ans. Pour ce qui est de la cohérence des données, quelques écarts sont rapportés entre les différentes sources de données.
La désagrégation est faite selon les caractéristiques géographiques et par localité (wilaya) mais pas selon le statut socioéconomique et le score est de 56,7% la classant dans la catégorie satisfaisant.
Les méthodes d’estimation ont été jugées satisfaisantes avec un score de 66,7%.
V.A.1.3Périodicité
Cohérence des révisions dans le temps et l'ensemble des données entre les principales sources au cours des dix dernières années.
Le champ d'application des données.
V.A.1.1Méthode de collecte des données
Score moyenobservé %Rubriques
Méthode de collecte de données utilisée pour les données les plus récentes.
Délai écoulé entre collecte des données et la publication des estimations les plus récentes.
Nombre de fois que la périodicité a été mesurée au cours des dix dernières années.
Tab. 41- Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Mortalité chez les moins de cinq ans”, Algérie 2011
V.A.1.4Cohérence
V.A.1.5Représen-tativité
Total
63,3 Satisfaisant
Signification
86,7 Très satisfaisant
86,7 Très satisfaisantV.A.1.2Rapidité de publication
83,3 Très satisfaisant
Prévisions les plus récentes, ventilées par caractéristiques géographiques, par statut socioéconomique et par localité.
Les prévisions nationales recourent à des méthodes d'estimation transparentes et éprouvées.
V.A.1.6Désagrégation
V.A.1.7Méthodesd'estimation
56,7 Satisfaisant
66,7 Satisfaisant
Critèresd’évaluation de la qualité
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire70
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gérie - Mortalité maternelle
L’évaluation de l’indicateur se rapportant à la mortalité maternelle existe mais n’a pas été jugé satisfaisant par les participants et le score est de 41,4%.
La méthode de collecte utilisée pour les prévisions ou les données publiées existe mais n’est pas jugée satisfaisante (36,7%). Elle repose essentiellement sur les méthodes directes à partir d’enquêtes auprès des ménages et des recensements plutôt que sur l’enregistrement à l’état civil. Le délai écoulé entre la collecte des données et la dernière estimation est long, il varie entre 6 et 9 ans et porte sur un échantillon de décès, le score est de 36,7% la classant dans la catégorie existe mais pas satisfaisant.
La périodicité de recueil des données est longue et de nombreux écarts sont notés entre les différentes sources de données, le score étant de 43,3%. Les données publiées sont désagrégées selon les caractéristiques géographiques et par localité mais pas selon le statut socioéconomique et le score est de 50,0%. Les méthodes d’estimation existent mais ne sont pas jugées satisfaisantes, le score étant de 33,3%.
41,4 Existe maispas satisfaisant
36,7Existe mais
pas satisfaisant
V.2.3Périodicité
Données cohérentes au cours des dix dernières années.
Champ d'application sur lequel reposent les prévisions les plus récentes.
V.2.1Méthode de collecte desdonnées
Score moyenobservé %
Critèresd’évaluation de la qualité
Rubriques
Utilisées pour les prévisions qui ont été publiées très récemment ou qui seront publiées.
Délai écoulé entre la collecte des données et les prévisions publiées le plus récemment.
Nombre de fois que la périodicité a été mesurée au cours des dix dernières années.
Tab. 42- Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Mortalité Maternelle”, Algérie 2011
V.2.4Cohérence
V.2.5Représen-tativité
Total
36,7
Signification
43,3 Existe maispas satisfaisant
36,7 Existe maispas satisfaisant
V.2.2Rapidité de la publication
53,3 Satisfaisant
Les prévisions qui ont été publiées le plus récemment, ou qui seront publiées, sont ventilées par caractéristiques géographiques, par statut socioéconomique et par localité.
Les prévisions nationales recourent à des méthodes transparentes et éprouvées.
V.2.6Désagrégation
V.2.7Méthodesd'estimation
50,0 Satisfaisant
33,3 Existe maispas satisfaisant
Existe maispas satisfaisant
71
Sys
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Sant
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stèm
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form
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gérie
Rapport Final - Algérie 2011
5.5.1.2- MORBIDITÉ
- Prévalence du VIH
L’évaluation de l’indicateur se rapportant à la prévalence du VIH est jugée satisfaisante avec un score de 61,7%. Néanmoins, des insuffisances sont notées et se rapportent à la méthode de collecte des données qui est axée essentiellement sur la déclaration des cas de VIH plutôt que sur la surveillance des populations à haut risque et le score est de 43,3%.
S’agissant d’une épidémie concentrée, la représentativité est limitée à une population à haut risque d’une localité et le score est de 30% la classant dans la catégorie existe mais pas satisfaisant.
Les estimations récentes sont jugées satisfaisantes avec un score de 66,7% et sont désagrégées selon les caractéristiques démographiques et par wilaya mais pas selon le statut socioéconomique.
61,7 Satisfaisant
43,3 Existe maispas satisfaisant
V.3.3Périodicité
Points de données et tendances cohérents au cours des 5 dernières années.
1. S’agissant d’une épidémie généralisée 2. S’agissant d’une épidémie concentrée
V.3.1Méthode de collecte de données
Score moyenobservé
%
Critèresd’évaluation de la qualité
Rubriques
Les points de données les plus récents :1. S’agissant d’une épidémie généralisée 2. S’agissant d’une épidémie concentrée
Délai écoulé entre la collecte des données et les estimations publiées le plus récemment.
Nombre de fois qu’a été mesurée la prévalence du VIH au cours des 5 dernières années.
Tab. 43- Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Prévalence du VIH”, Algérie 2011
V.3.4Cohérence
V.3.5Représen-tativité
Total
63,3
Signification
80 Très satisfaisant
86,7 Très satisfaisantV.3.2Opportunité
30,0 Existe maispas satisfaisant
Les estimations récentes sont classées par caractéristique démographique, statut socioéconomique et par localité.
V.3.6Désagrégation 66,7 Satisfaisant
Satisfaisant
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire72
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gérie 5.5.2- INDICATEURS DU SYSTÈME DE SANTÉ
L’évaluation des Indicateurs du Système de Santé est jugée satisfaisante avec un score de 56,8%. Cette évaluation a porté sur le taux de couverture vaccinale de la rougeole, les accouchements assistés par du personnel de santé qualifié, le taux de réussite du traitement DOTS, les dépenses de santé par habitant ainsi que sur la densité du personnel de santé.
Fig. 18- Scores de l’évaluation de la sous-composante “INDICATEURS DU SYSTEME DE SANTE ”
du SNIS, Algérie 2011
72,9 %
Clé :
Taux de couverturevaccinale rougeole
71,4 %Accouchements
en milieu assisté
56,8 %Indicateurs du système
de santé
Existe maispas satisfaisant Satisfaisant Très
satisfaisantPas du toutsatisfaisant
82,4 %Taux de réussite
DOTS
41,7 %Dépenses publics de santépar habitant
19,2%Dépenses publics de santé
par habitant
61,7 %Densité de personnel de santé
73
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gérie
Rapport Final - Algérie 2011
5.5.2.1- TAUX DE COUVERTURE DE LA ROUGEOLE PAR 12 MOIS D’ÂGE
L’évaluation de l’indicateur relatif au taux de couverture de la rougeole par 12 mois d’âge est jugée satisfaisante avec un score de 72,9%. Le score le plus faible se rapporte à la périodicité de publication des estimations annuelles basées sur les statistiques administratives au cours des 5 dernières années avec un score de 46,7%.
Tab. 44- Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Taux de couverture de la rougeole par 12 mois d’âge ”, Algérie 2011
66,7 Satisfaisant
86,7 Très satisfaisant
72,9 Satisfaisant
V.4.3Opportunité
Nombre d’estimations annuelles publiées, au cours des cinq dernières années sur la base de statistiques administratives.
Concordance des données avec les enquêtes récentes et les rapports
V.4.1 Méthode de collectedes informations - statistiques adminis-tratives
Score moyenobservé
%
Critèresd’évaluation de la qualité
Rubriques
Estimation grâce aux statistiques administratives soumises par au moins 90% des centres de vaccination, contrôlées et corrigée à chaque niveau. Calcul de la couverture grâce aux estimations fiables de la population.
Fréquence de mesure du taux de couverture de la rougeole au cours des 5 dernières années par au moins 2 enquêtes nationales menées auprès des ménages et à chaque enquête, présentation les cartes de vaccination des 2/3 des enfants au moins ont été présentées
Délai écoulé entre la collecte des données et les estimations les plus récentes (mois).
V.4.4Périodicité
V.4.5Cohérence
Total
46,7
Signification
80 Très satisfaisant
V.4.2 Méthode de collecte des informations - statistiques fournies par les enquêtesauprès des ménages
73,3 Satisfaisant
Couverture des données sur lesquelles se fondent les toutes dernières estimations
V.4.6Représentativité 90,0 Très satisfaisant
Existe maispas satisfaisant
Les estimations qui ont été publiées très récemment ou qui vont l’être sont désagrégées par les facteurs démographiques, les facteurs socio économiques et la localité.
V.4.7Désagrégation 66,7 Satisfaisant
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire74
Sys
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gérie 5.5.2.2- ACCOUCHEMENTS ASSISTÉS PAR DES PERSONNELS DE LA SANTÉ QUALIFIÉS
L’évaluation de l’indicateur portant sur les accouchements assistés par des personnels de santé qualifiés est jugée satisfaisante avec un score de 71,4%. En ce qui concerne la méthode de collecte des informations, la périodicité de la mesure au cours des 10 dernières années et la représentativité, elles sont jugées très satisfaisantes avec des scores respectifs de 86,7% et 80% pour les deux dernières.
Tab. 45- Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Accouchements assistés par des personnels de la santé qualifiés”, Algérie 2011
63,3 Satisfaisant
86,7 Très satisfaisant
71,4 Satisfaisant
V.5.3Opportunité
Nombre de fois mesurée au cours des 10 dernières années.
Concordance entre les données d’enquêtes récentes et les rapports.
V.5.1 Méthode de collectedes informations - statistiques adminis-tratives
Score moyenobservé %
Critèresd’évaluation de la qualité
Rubriques
Données soumises par au moins 90% des installations sanitaires compétentes. - Statistiques contrôlées à chaque niveau (intégralité, cohérence et correction des discordances). Des estimations fiables de la population permettent de calculer ce taux de couverture.
Fréquence de mesure du pourcentage des accouchements assistés par un personnel sanitaire qualifié, par au moins 2 enquêtes nationales menées auprès des ménages.
Délai écoulé entre la collecte des données fiables et le calcul du taux de couverture (en mois).
V.5.4Périodicité
V.5.5Cohérence
Total
80,0
Signification
60,0 Satisfaisant
V.5.2 Méthode de collecte des informations - statistiques fournies par les enquêtesauprès des ménages
66,7 Satisfaisant
Couverture des données sur lesquelles se fondent les toutes dernières estimations.
V.5.6Représentativité 80,0 Très satisfaisant
Très satisfaisant
Les estimations les plus récentes sont désagrégées par les facteurs démographiques, le statut socioéconomique et la localité.
V.5.7Désagrégation 63,3 Satisfaisant
75
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gérie
Rapport Final - Algérie 2011
96,7 Très satisfaisant
5.5.2.3- TAUX DE RÉUSSITE DU TRAITEMENT DE LA TUBERCULOSE DANS LE CADRE DU TRAITEMENT DE BRÈVE DURÉE SOUS SURVEILLANCE DIRECTE (DOTS)
L’évaluation de l’indicateur portant sur le taux de réussite du traitement de la tuberculose dans le cadre du traitement de brève durée sous surveillance directe (DOTS) a été jugée très satisfaisante avec un score de 82,3% la classant dans le 4ème quartile.
Les résultats enregistrés témoignent de la réussite du programme national de lutte contre la tuberculose.
Tab. 46- Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Taux de réussite du traitement de la tuberculose dans le cadre du traitement de brève durée sous surveillance directe (DOTS)”, Algérie 2011
80,0 Très satisfaisant
82,3 Très satisfaisant
V.6.3Périodicité
Cohérence des taux de réussite du traitement au cours des 10 dernières années (fluctuations due à la procédure de collecte des données non harmonisées, définitions, etc.).
% des rapports trimestriels régionaux sur le traitement DOTS, qui ont été reçus au cours de la toute dernière année par le programme national de lutte contre la tuberculose.
V.6.1 Méthode de collectedes informations
Score moyenobservé
%
Critèresd’évaluation de la qualité
Rubriques
Sources d’informations et méthode utilisée pour les données les plus récentes.
Délai écoulé entre la collecte des données et le calcul des estimations les plus récentes.
Fréquence de mesure au cours de la dernière année (doit se faire tous les trois mois).
V.6.4Cohérence
V.6.5Représentativité
Total
83,3
Signification
93,3 Très satisfaisant
V.6.2Opportunité
93,3 Très satisfaisant
Les estimations désagrégées par les facteurs démographiques, le statut socioéconomique et la localité.
V.6.6Désagrégation - 1 70,0 Satisfaisant
Très satisfaisant
Les toutes dernières estimations sont désagrégées par le statut sérologique et la résistance aux médicaments.
V.6.7Désagrégation - 2 60,0 Satisfaisant
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire76
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gérie
56,7 Satisfaisant
30,0 Existe maispas satisfaisant
5.5.2.4- DÉPENSES GÉNÉRALES DE L’ETAT EN MATIÈRE DE SANTÉ PAR HABITANT
L’indicateur portant sur les dépenses publiques de santé par habitant existe mais n’a pas été jugé satisfaisant par les évaluateurs et le score est de 41,7% correspondant au 2ème quartile. Il est à noter que pour environ ¾ des critères d’évaluation de la qualité des données, à savoir la méthode de collecte des données, l’opportunité, la périodicité, la cohérence, la désagrégation et la méthode d’estimation existent mais n’ont pas été jugés satisfaisantes avec des scores variant de 26,7% à 46,7%. Il faut noter également le manque de cohérence des définitions sur les dépenses en santé entre les différents intervenants (Ministère de la Santé, autres ministères, Sécurité Sociale …).
Les scores les plus faibles se rapportent aux méthodes d’estimation et plus particulièrement à la disponibilité d’informations détaillées sur les sources ainsi que sur les méthodes utilisées pour la production de statistiques, il est de 26,7% suivi de celui portant sur la désagrégation des dépenses gouvernementales financées de l’extérieure et la disponibilité des données selon les sources de financement qui est de 30,0%.
43,3 Existe maispas satisfaisant
41,7 Existe maispas satisfaisant
V.7.3Périodicité
Cohérence des définitions des dépenses de santé entre les composantes (ministère de la santé, autres ministères et sécurité sociale, administrations régionales et locales, autres organismes extrabudgétaires) et pendant la période.
Composante représentées.
V.7.1 Méthode de collectedes informations
Score moyenobservé
%
Critèresd’évaluation de la qualité
Rubriques
Méthode de collecte des informations utilisées pour les données les plus récentes.
Pour les toutes dernières estimations publiées, nombre d’années depuis la collecte des informations
Périodicité.
V.7.4Cohérence
V.7.5Représentativité
Total
Signification
43,3 Existe maispas satisfaisant
V.7.2Opportunité
53,3 Satisfaisant
Estimations désagrégées des dépenses générales du gouvernement disponibles (toutes les composantes: ministère de la santé, autres ministères et sécurité sociale, administrations régionales et locales, organismes extrabudgétaires) aux niveaux de la région ou du district.
V.7.6Désagrégation - 1
33,3 Existe maispas satisfaisant
Estimations désagrégées des dépenses gouvernementales financées de l’extérieur et disponibles par source de financement (c’est-à-dire sources multilatérales, bilatérales, fondations privées, ONG et autres).
V.7.7Désagrégation - 2
Tab. 47- Résultats de l’évaluation de l’indicateur du système de santé “Dépenses générales de l’Etat en matière de santé par habitant”, Algérie 2011
46,7 Existe maispas satisfaisant
Disponibilité, pour toutes les estimations produites, d’informations détaillées sur les sources et les méthodes utilisées pour les statistiques, ainsi que sur le compte rendu de tout écart des normes internationales.
V.7.8Méthodes d’estimation 26,7 Existe mais
pas satisfaisant
77
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Rapport Final - Algérie 2011
Total 19,2 Pas du toutsatisfaisant
16,7 Pas du toutsatisfaisant
26,7 Existe maispas satisfaisant
13,3 Pas du toutsatisfaisant
13,3 Pas du toutsatisfaisant
23,3 Pas du toutsatisfaisant
5.5.2.5- DÉPENSES PRIVÉES DE SANTÉ PAR HABITANT
L’indicateur mesurant les dépenses privées de santé par habitant sur la base des dépenses des ménages, des assurances de santé privée, des ONG, des firmes et sociétés na pas été jugé satisfaisant par les évaluateurs, le score global étant de 19,2% correspondant au 1er quartile.
Les scores les plus faibles de 13,3% sont enregistrés pour les rubriques se rapportant à la périodicité de collecte des données, à la cohérence des dépenses de santé entre les différentes composantes, au niveau de désagrégation et de disponibilité des données à l’échelle régionale ou de district.
V.8.4Cohérence
Taux de couverture de la population.
Estimations désagrégées des dépenses privées (toutes composantes: dépenses des ménages, assurance-santé privée, ONG, firmes et sociétés) disponible aux niveaux régional et du district.
V.8.1Méthode de collectedes informations
Score moyenobservé
%
Critèresd’évaluation de la qualité
Rubriques
Méthode de collecte des informations utilisées pour les données les plus récentes.
Pour les toutes dernières estimations, nombre d’années depuis la collecte des informations.
Cohérence des libellés des dépenses sur la santé entre les composantes (dépenses des ménages, assurance-santé privée, ONG, firmes et sociétés) et pendant la période.
V.8.5Représentativité
V.8.6Désagrégation - 1
Signification
V.8.2Opportunité
Estimations de dépenses privées désagrégées par source de financement (sources multilatérales et bilatérales, fondations privées, ONG et autres).
V.8.7Désagrégation - 2
30,0 Existe maispas satisfaisant
Disponibilité, pour toutes les estimations produites, d’informations détaillées sur les sources et les méthodes utilisées pour les statistiques, ainsi que sur le compte rendu de tout écart des normes internationales.
V.8.8Méthodes d’estimation
Tab. 48- Résultats de l’évaluation de l’indicateur du système de santé“Dépenses privées de santé par habitant”, Algérie 2011
16,7 Pas du toutsatisfaisant
Périodicité.V.8.3Périodicité 13,3 Pas du tout
satisfaisant
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire78
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53,3 Satisfaisant
60,0 Satisfaisant
80,0 Très satisfaisant
5.5.2.6- DENSITÉ DU PERSONNEL SANITAIRE POUR 1000 HABITANTS
L’indicateur mesurant la densité du personnel sanitaire pour 1000 habitants a été jugé satisfaisant avec un score de 61,7% correspondant au 3ème quartile.
La méthode de collecte des données est jugée satisfaisante avec un score de 53,3%. Les statistiques administratives sont validées par des enquêtes menées par les structures sanitaires sur les effectifs du personnel et par les données du recensement de la population.
Pour les estimations les plus récentes, le nombre de mois depuis la collecte des données est compris entre 6 et 11 mois la classant dans la catégorie satisfaisante avec un score de 50%.
La désagrégation du personnel sanitaire est faite selon la Classification Internationale par Type de Profession (CITP) à 03 chiffres et le score est de 53,3%.
V.9.4Cohérence
Catégories de travailleurs sanitaires.
CITP : Classification Internationale Type de Professions.
Les estimations qui ont été publiées très récemment ou qui seront publiées sont désagrégées par (1) le sexe, (2) la zone urbaine ou rurale, (3) la principale région géographique ou administrative et (4) le secteur public ou privé.
V.9.1Méthode de collecte des données
Score moyenobservé
%
Critèresd’évaluation de la qualité
Rubriques
Les statistiques administratives courantes sont validées par les résultats d’une enquête ou d’un recensement régulièrement mené par les installations sanitaires, d’une enquête sur les effectifs du personnel, et d’un recensement de la population.
Pour les estimations les plus récentes, nombre de mois depuis la collecte des informations.
Variables et définitions des données concordantes pendant la période) à travers différentes sources.
V.9.5Désagrégation - 1
V.9.6Désagrégation - 2
Signification
V.9.2Opportunité
53,3 Satisfaisant
Tab. 49- Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Densité du personnel sanitaire pour 1000 habitants”, Algérie 2011
50,0 Satisfaisant
Total 61,7 Satisfaisant
Nombre de fois mesurée au cours des 5 dernières années.V.9.3Périodicité 73,3 Satisfaisant
79
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Rapport Final - Algérie 2011
90,0 Très satisfaisant
53,3 Satisfaisant
80,0 Très satisfaisant
5.5.2.7- TENDANCE À FUMER CHEZ LES 15 ANS ET PLUS
L’indicateur mesurant la tendance à fumer chez les sujets âgés de 15 ans et plus est jugée satisfaisante par les évaluateurs avec un score de 72,2% correspondant au 3ème quartile. Les rubriques ayant enregistrées les scores les plus élevés, jugés très satisfaisant, sont celles ayant trait à la méthode de collecte et à la désagrégation des données les plus récentes avec respectivement 90% et 80%.
Les rubriques ayant enregistré des scores plus faibles mais qui sont jugés satisfaisants sont celles relatives à la cohérence (53,3%), à la périodicité (66,7%), à la représentativité (70%) et à l’opportunité de la collecte des données (73,3%).
V.10.4Cohérence
Type d’échantillon sur lequel se fondent les estimations les plus récentes.
Les estimations qui ont été publiées très récemment ou qui seront publiées sont désagrégées par les facteurs démographiques (comme le sexe et l’âge) le statut socioéconomique (le revenu, la profession, l’éducation), et la localité (zone rurale ou urbaine, principale région géographique ou administrative)
V.10.1Méthode de collectedes informations
Score moyenobservé
%
Critèresd’évaluation de la qualité
Rubriques
Méthode de collecte des informations utilisée pour les données les plus récentes.
Pour les estimations les plus récentes, nombre d’années depuis la collecte des informations.
Données concordantes au cours de la période.
V.10.5Représentativité
V.10.6Désagrégation
Signification
V.10.2Opportunité
70,0 Satisfaisant
Tab. 50- Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Tendance à fumer chez les sujets âgés de 15 ans”, Algérie 2011
73,3 Satisfaisant
Total 72,2 Satisfaisant
Nombre de fois mesurée au cours des 10 dernières années. V.10.3Périodicité 66,7 Satisfaisant
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gérie 5.6- DIFFUSION ET UTILISATION DES PRODUITS DE L’INFORMATION
La Diffusion et l’Utilisation des produits de l’information est la sixième composante du SIS. Elle comprend cinq sous composantes représentées par :
◘ l’analyse et l’utilisation de l’information,
◘ l’utilisation de l’information pour l’action et le plaidoyer,
◘ l’utilisation de l’information pour la planification et la fixation des priorités,
◘ l’utilisation des informations pour l’allocation des ressources,
◘ l’utilisation de l’information pour la mise en application et l’action.
Cette composante est dans la catégorie existe mais pas satisfaisante selon la grille d’évaluation, avec un score de 45,7% correspondant au 2ème quartile. Le score le plus élevé qui est de 50% a été enregistré pour la sous composante « action et plaidoyer ». Les autres sous composantes sont dans la catégorie «existe mais pas satisfaisant » avec des scores respectifs décroissants de : 48,9% pour l’analyse et l’utilisation de l’information, 47,8% pour la mise en application et l’action, 40% pour l’allocation des ressources et 36,7% pour la planification et la fixation des priorités.
Fig. 19- Scores de l’évaluation de la composante “DIFFUSION ET UTILISATION DES PRODUITS DE
L’INFORMATION” , Algérie 2011
Clé :
48,9 %Analyse et utilisation
de l’information
45,7 %Diffusion et utilisation
de l’information
Existe maispas satisfaisant Satisfaisant Très
satisfaisantPas du toutsatisfaisant
50,0 %Action et plaidoyer
36,7 %Planification et fixationdes priorités
40,0 %Allocation des ressources
47,8 %Mise en alpplicationet action
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Rapport Final - Algérie 2011
5.6.1- ANALYSE ET UTILISATION DE L’INFORMATION
La sous composante portant sur l’analyse et l’utilisation de l’information existe mais n’a pas été jugée satisfaisante par les évaluateurs et le score est de 48,9% correspondant au 2ème quartile.
Il faut noter que les deux premières rubriques jugées satisfaisantes avec des scores de 53,3% chacune, portant sur les exigences des décideurs de disposer d’informations sanitaires complètes, opportunes, précises, utiles et validées ne sont pas toujours bien comprises et les représentations graphiques ne sont pas largement utilisées au niveau des administrations sanitaires pour présenter les informations.
Le score le plus faible qui est de 40% concerne les représentations cartographiques qui ne sont pas largement utilisées pour représenter les informations sanitaires surtout aux niveaux périphériques et même quand elles existent, elles ne sont pas toujours à jour et bien comprises.
Tab. 51- Résultats de l’évaluation de la sous composante “Analyse et utilisation de l’information ”, Algérie 2011
53,3 SatisfaisantVI.A.1
Score moyenobservé %
Rubriques
Les gestionnaires et décideurs haut placés exigent des informations SIS complètes, opportunes, précises, utiles et validées.
Utilisation large de graphiques, à tous les niveaux et au niveau des installations sanitaires pour présenter les informations. Ils sont à jour et parfaitement compris.
Signification
VI.A.2
53,3 Satisfaisant
Représentations cartographiques largement utilisées pour présenter les informations et au niveau des installations sanitaires. Elles sont à jour et parfaitement comprises.
VI.A.3
Total
Composantesessentielles
40,0 Existe maispas satisfaisant
48,9 Existe maispas satisfaisant
5.6.2- UTILISATION DE L’INFORMATION POUR L’ACTION ET LE PLAIDOYER
L’évaluation de la sous composante Utilisation de l’information pour l’action et le plaidoyer a été jugée satisfaisante avec un score de 50%, ceci est lié au fait que les rapports analytiques du SIS produits couvrent effectivement un minimum des principaux indicateurs y compris ceux des OMD et ils sont distribués au moins une fois par an au ministère de la santé.
Tab. 52- Résultats de l’évaluation de la sous composante “Utilisation de l’information pour l’action et le plaidoyer ”, Algérie 2011
50,0 Satisfaisant
VI.B.1
Score moyenobservé %
Rubriques
Les rapports analytiques SIS intégrés couvrent un minimum de principaux indicateurs y compris ceux des OMD et des partenaires mondiaux de la santé, sont régulièrement distribués à toutes les parties concernées.
SignificationComposantesessentielles
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gérie 5.6.3- UTILISATION DE L’INFORMATION POUR LA PLANIFICATION ET LA FIXATION
DES PRIORITÉS
L’Utilisation de l’information pour la planification et la fixation des priorités existe mais n’est pas jugée satisfaisante avec un score de 36,7%, ceci est lié au fait que l’utilisation de l’information sanitaire reste limitée au niveau central et est utilisée occasionnellement et/ou pas convenablement aux autres niveaux de la pyramide sanitaire.
Tab. 53- Résultats de l’évaluation de la sous composante “Utilisation de l’information pour la planification et la fixation des priorités”, Algérie 2011
VI.C.1
Score moyenobservé %
Rubriques
Les informations sanitaires sont utilisées dans le planning (plans annuels de fonctionnement et de développement intégré, cadres des dépenses à moyen terme, plans stratégiques à long terme et les études périodiques du secteur sanitaire) à tous les niveaux (central, régional ou provincial et de district).
SignificationComposantesessentielles
36,7 Existe maispas satisfaisant
43,3 Existe maispas satisfaisant
VI.D.1
Score moyenobservé %
Rubriques
Les informations du SIS sont largement utilisées par les équipes de gestion au niveau local et de district pour intégrer l’allocation des ressources dans les processus budgétaires annuels.
Les informations du SIS sont utilisées pour plaider en faveur de l’équité et de l’accroissement des ressources octroyées aux communautés et aux groupes défavorisés, par exemple en attestant leur maladie et leur accès limité aux services.
Signification
VI.D.2
Tab. 54- Résultats de l’évaluation de la sous composante“ Utilisation des informations pour l’allocation des ressources ”, Algérie 2011
36,7 Existe maispas satisfaisant
Total
Composantesessentielles
40,0 Existe maispas satisfaisant
5.6.4- UTILISATION DES INFORMATIONS POUR L’ALLOCATION DES RESSOURCES
La sous composante Utilisation des informations pour l’allocation des ressources est dans la catégorie « existe mais pas satisfaisant » avec un score global de 40% correspondant au 2ème quartile. Ceci est lié au fait que les allocations budgétaires annuelles s’appuient rarement sur les informations du SIS, le score est de 43,3% et que les informations du SIS sont utilisées de façon ad hoc pour plaider en faveur de l’équité, le score étant de 36,7%.
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Rapport Final - Algérie 2011
5.6.5- UTILISATION DE L’INFORMATION POUR SA MISE EN APPLICATION ET POUR L’ACTION
L’évaluation de la sous composante Utilisation de l’information pour sa mise en application et l’action existe mais n’a pas été jugée satisfaisante par les évaluateurs et le score global est de 47,8% correspondant au 2ème quartile.
La rubrique qui a enregistrée le score le plus faible qui est de 43,3% est du au fait que l’information sanitaire n’est pas utilisée par les gestionnaires au niveau régional et périphérique pour la gestion des services de santé, le suivi et l’évaluation périodique des activités mais que les principales décisions sont prises au niveau central.
Les deux dernières rubriques enregistrent des scores de 50% chacune, les classant dans la catégorie satisfaisant. La première concerne l’utilisation de l’information sanitaire par les fournisseurs de soins à différents niveaux de la pyramide sanitaire sauf au niveau périphérique représenté par les centres de santé. La seconde porte sur les informations relatives aux facteurs de risque pour la santé qui sont régulièrement utilisées pour un plaidoyer en faveur d’un comportement à moindre risque mais qui ne sont pas toujours adaptées à chaque groupe vulnérable.
Tab. 55- Résultats de l’évaluation de la sous composante“ Utilisation de l’information pour sa mise en application et pour l’action ”, Algérie 2011
VI.E.1
Score moyenobservé %
Rubriques
Utilisation des IS pour la gestion de la prestation de services sanitaires, le suivi et l’évaluation périodique par les gestionnairesdes bureaux administratifs de la santé à tous les niveaux.
Utilisation des IS pour la gestion de la prestation de services, le suivi et l’évaluation périodique par les fournisseurs de soins à tous les niveaux.
Signification
VI.E.2
50,0 Satisfaisant
Utilisation des informations sur les facteurs de risques pour la santé pour un plaidoyer en faveur d’un comportement à moindre risque du grand public et des groupes vulnérables visés
VI.E.3
Total
Composantesessentielles
50,0 Satisfaisant
47,8 Existe maispas satisfaisant
43,3 Existe maispas satisfaisant
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85Rapport Final - Algérie 2011
Recommandations
Sur la base des résultats obtenus lors de l’évaluation du SNIS, des recommandations ont été formulées et validées lors d’un séminaire atelier. Ce dernier a regroupé différents intervenants ayant pris part aux ateliers d’évaluation, parmi eux des décideurs, des gestionnaires, des praticiens médicaux et paramédicaux, des statisticiens, des démographes, des informaticiens, des analystes, des économistes, ….
Les recommandations ont été formulées pour les six composantes du SNIS et essentiellement pour les rubriques nécessitant soit un renforcement soit l’élaboration de nouvelles stratégies.
1. RESSOURCES
Coordination, planification et politiques◘ Elaborer un plan stratégique écrit du SNIS.
◘ Réviser et renforcer le cadre législatif et règlementaire régissant le SNIS.
◘ Créer un comité national représentatif de plusieurs secteurs chargé de la coordination du SNIS.
◘ Renforcer les mécanismes de coordination intra sectoriels et intersectoriels.
◘ Mettre en place un système de suivi - évaluation du SNIS.
Ressources humaines et financement◘ Budgétiser le SNIS et allouer des lignes spécifiques aux différentes composantes
(enquêtes, audits,...).
◘ Renforcer les capacités de la cellule administrative en charge du SNIS en moyens humains et matériels.
◘ Mettre à niveau les connaissances du personnel en charge du SNIS en insistant sur la formation continue.
◘ Pérenniser et valoriser les ressources humaines en charge du SNIS en prenant en charge leur plan de carrière.
Infrastructures◘ Renforcer les services de maintenance des équipements des Nouvelles Technologies de
l’Information et de la Communication (NTIC) du SNIS.
2. INDICATEURS◘ Etablir une liste d’indicateurs nationaux de santé (indicateurs essentiels) aux différents
niveaux de la pyramide sanitaire.
◘ Elaborer un dictionnaire de métadonnées.
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gérie 3. SOURCES DE DONNÉES
Recensement
◘ Procéder à l’évaluation de l’exhaustivité des données sur la mortalité adulte à partir des données du recensement.
◘ Faciliter l’accès du public aux micro-données des recensements.
Statistiques de l’état civil
◘ Règlementer et assurer la disponibilité des supports de déclaration des causes de décès (certificat médical de décès) dans les secteurs public et privé.
◘ Assurer la formation des médecins praticiens au renseignement du certificat médical de décès et à la codification des causes médicales de décès.
◘ Initier les professionnels de la santé à l’autopsie verbale.
Enquêtes auprès de la population
◘ Planifier et réaliser des enquêtes de santé sur les Maladies Non Transmissibles (MNT) et les facteurs de risque en respectant la périodicité (par exemple tous les 05 ans).
◘ Réaliser des enquêtes épidémiologiques sur les décès maternels.
◘ Mettre en place un système d’audit des décès maternels.
◘ Créer une base de données des résultats des enquêtes de santé réalisées et en faciliter l’accès (rapports, micro données, métadonnées …).
◘ Renforcer la coordination entre le secteur de la santé et les organismes chargés des statistiques dans la réalisation des enquêtes de santé.
Dossiers de santé et de maladies notamment les systèmes de surveillance des maladies
◘ Etablir des cartes des populations exposées à des risques sanitaires chimiques, vectoriels et industriels.
◘ Mettre en place un système de conservation et d’archivage des dossiers médicaux des patients.
◘ Assurer la production et la diffusion régulière des bulletins de surveillance des maladies épidémiques.
Banque des Services de Santé◘ Instaurer une évaluation périodique de la qualité des services fournis par les structures
sanitaires (supervision, enquêtes…).
◘ Harmoniser la codification administrative des structures sanitaires.
Banque de ressourcesInfrastructures et services de santé◘ Généraliser l’utilisation du Système d’Information Géographique (SIG) pour la localisation
des structures sanitaires.
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gérie◘ Renforcer en moyens humains et matériels le personnel en charge du Système
d’Information Géographique (SIG).
◘ Evaluer périodiquement l’accessibilité de la population aux services de santé.
Ressources humainesLes résultats de l’évaluation pour la sous composante Ressources Humaines ont été jugés satisfaisants, aucune recommandation n’a été formulée.
Financement et dépenses consacrés aux services de santé ◘ Elaborer régulièrement les Comptes Nationaux de Santé (CNS) et assurer une large
diffusion des rapports produits.
◘ Utiliser les rapports sur les Comptes Nationaux de Santé (CNS) dans l’élaboration des politiques de santé et l’affectation des ressources.
Equipements, fournitures et produits◘ Assurer une production périodique des rapports sur les fournitures et les produits
(médicaments, vaccins et autres) dans le secteur public.
4. GESTION DE DONNÉES
◘ Elaborer un dictionnaire de métadonnées pour la gestion des données.
◘ Mettre en place, au niveau national, des procédures écrites pour la gestion des données (collecte, stockage, analyse, présentation des résultats).
◘ Créer une unité chargée du SIS alimentée par diverses sources (population, structures sanitaires, programmes de santé…).
◘ Rendre accessible la banque de données du SIS ainsi que les rapports produits au niveau régional et national.
◘ Harmoniser les codes identificateurs des unités géographiques et administratives des bases de données du SIS.
5. PRODUITS DE L’INFORMATIONIndicateurs de l’état de santé Mortalité chez les moins de cinq ans◘ Désagréger les données de mortalité chez les enfants de mois de cinq ans par niveau
socio économique et par localité (commune).
Mortalité maternelle ◘ Réaliser des enquêtes nationales exhaustives et périodiques sur la mortalité maternelle
et assurer une large diffusion des rapports produits.
Prévalence du VIH◘ Réviser le système de déclaration des cas de VIH.
◘ Réaliser des enquêtes sérologiques périodiques auprès des populations à risque.
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire88
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gérie Indicateurs du système de santé
Taux de couverture de la rougeole par 12 mois d’âge◘ Assurer une large diffusion des rapports annuels produits sur la couverture vaccinale
anti rougeoleuse.
Accouchements assistés par des personnels de la santé qualifiés◘ Les résultats de l’évaluation ont été jugés satisfaisants, aucune recommandation n’a été
formulée.
Taux de réussite du traitement de la tuberculose dans le cadre du traitement de brève durée sous surveillance directe (DOTS)◘ Les résultats de l’évaluation ont été jugés très satisfaisants, aucune recommandation n’a
été formulée.
Dépenses générales de l’état en matière de sante par habitant ◘ Elaborer annuellement les comptes nationaux de la santé (CNS) et assurer la publication
et une large diffusion des rapports produits.◘ Réaliser périodiquement des enquêtes de consommation pour évaluer les dépenses des
ménages en matière de santé.
6. DIFFUSION ET UTILISATION DES DONNÉES
Analyse et utilisation de l’information◘ Développer la cartographie sanitaire au niveau local, régional et national.
◘ Elaborer périodiquement les rapports analytiques du SIS comprenant les principaux indicateurs y compris ceux des OMD.
Utilisation de l’information pour la planification et la fixation des priorités ◘ Utiliser les informations sanitaires à chaque niveau de la pyramide sanitaire pour la
planification et la fixation des priorités.
Utilisation des informations pour l’allocation des ressources ◘ Utiliser les informations du SIS pour l’allocation de ressources budgétaires au niveau
local.
◘ Utiliser les informations du SIS pour assurer l’équité en matière d’accès aux soins des populations vulnérables.
Utilisation de l’information pour sa mise en application et pour l’action ◘ Utiliser les informations sanitaires pour la gestion des prestations des structures
sanitaires, leur suivi et leur évaluation.
◘ Utiliser les informations sur les facteurs de risque pour le plaidoyer en faveur d’un comportement à moindre risque destiné au grand public et aux groupes à risque.
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RECOMMANDATIONS GÉNÉRALES
Sur la base de l’ensemble des recommandations formulées, des recommandations générales ont été identifiées de part leur importance et l’urgence de leur mise en œuvre, elles se résument comme suit :
Elaborer un plan stratégique écrit du SNIS.
Créer un comité national représentatif de plusieurs secteurs chargé de la coordination du SNIS.
Etablir une liste d’indicateurs nationaux de santé à différents niveaux ainsi qu’un dictionnaire de métadonnées.
Mettre en place une base de données concernant les décès maternels axée sur les enquêtes épidémiologiques et la mise en place d’un système d’audit des décès maternels.
Elaborer régulièrement les Comptes Nationaux de Santé (CNS) et assurer une large diffusion des rapports produits pour permettre leur utilisation dans l’élaboration des politiques de santé et l’affectation des ressources.
Utiliser les informations sur les facteurs de risque pour le plaidoyer en faveur d’un comportement à moindre risque destiné au grand public et aux groupes à risque.
Harmoniser la codification administrative des structures sanitaires.
Instaurer une évaluation périodique de la qualité des services fournis par les structures sanitaires (supervisions, enquêtes…).
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gérie CONCLUSION
L’évaluation du Système National d’Information Sanitaire réalisée à l’aide de l’outil Health Metrics de l’Organisation Mondiale de la Santé, a permis de mettre en évidence les nombreux atouts dont jouit l’actuel SNIS tels que la bonne couverture des structures en charge de l’information sanitaire dotées des nouvelles technologies de l’information et de la communication, la disponibilité des ressources humaines, un système de notification des maladies bien organisé, l’existence de registres de maladies, la réalisation d’enquêtes de santé et de populations…De plus un état civil performant et des institutions en charge des statistiques telles que l’Office National des Statistiques viennent renforcer le SNIS.
Néanmoins, des insuffisances sont constatées et semblent liées à un manque d’organisation et de coordination des activités à différents niveaux de la pyramide sanitaire.
Les recommandations formulées par les professionnels constituent des éléments de réflexion et ouvrent des pistes de travail sur des dossiers constituant des priorités en matière de Santé Publique tels que l’audit des décès maternels, les Comptes Nationaux de la Santé, les causes médicales de décès, le Dossier Electronique du Malade (DEM)…..
Ce rapport représente une première expérience du genre qui, tout en suivant rigoureusement les consignes méthodologiques développés par l’OMS, s’est attelé à rapporter fidèlement les avis tels qu’ils ont été exprimés par les participants, après des échanges non moins animés dans les ateliers. Il constitue une richesse que le secteur de la santé se doit de conserver et de capitaliser, en ce sens qu’il offre un point de repère à toute évaluation prospective du système d’information sanitaire.
Le principe de la gouvernance dans le domaine de l’information et notamment de l’information statistique revient incessamment dans les débats. Aussi, l’élaboration d’un plan stratégique en vue du renforcement du SNIS se présente comme une nécessité absolue et un préalable à tout effort visant une meilleure gestion des ressources en santé et une prise en charge efficace et efficiente des besoins sanitaires de la population. Ces deux points doivent constituer un socle d’interventions prioritaires au secteur en charge de la santé.
De plus, il convient de rappeler que s’agissant d’avis exprimés par un panel de professionnels qui sont confrontés quotidiennement à la prise en charge sanitaire des citoyens aux différents échelons de la pyramide du système de santé, il se pourrait que certains aspects du SNIS aient été majorés ou minorés. Ceci pourrait représenter en soi l’image que se font ces professionnels de leur propre système de santé et traduit, par conséquent, le degré de la démocratisation d’accès aux informations utiles pour une meilleure compréhension de l’environnement professionnel dans lequel ils évoluent.
Rapport Final - Algérie 2011 91
Annexes
ANNEXE 1
Liste du groupe élargi
Nom - Prénom Fonction InstitutionMme Rachida ABERKANE Direction de la Planification et du Développement
MSPRHSous Directrice
Mr Faouzi AMOKRANE Ministère de la Prospective et des StatistiquesChef de Division
Mr Omar BENBELLA Office National des StatistiquesChef d’Etudes
Pr Jean Paul GRANGAUD Faculté de Médecine d’AlgerProfesseur en Pédiatrie-Expert
Dr Salima MAGUEMOUN Direction des Services de Santé-MSPRHChef de programme
Dr Ghania MERBOUT Direction de la Prévention- MSPRHSous Directrice Maladies Transmissibles
Dr Kenza ZEBBOUDJ Direction de la Prévention- MSPRH Chef de programme
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gérie ANNEXE 2
Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme HospitalièreInstitut National de Santé Publique
Séminaire national d’information sur le projet« Evaluation du Système National d’Information Sanitaire »
INSP, 18 avril 2011
Programme
08.30 Accueil des participants
09.00 Séance inaugurale - Dr Z. Cherfi, Directrice Générale INSP
Séance 1 : Séance plénière
09:30 Objectifs du projet Dr. Touami, INSP09:45 Modélisation du Système d’Information Sanitaire dans le monde Mr. Amokrane, MPS10:00 Système National d’Information Sanitaire en Algérie Pr. Grangaud 10:15 Statistiques Sanitaires en Algérie Dr. Zerrouki, DP-MSPRH 10:30 Système d’Information Sanitaire et TIC Mr. Benkaci, MSPRH10:45 Statistiques Démographiques en Algérie Mr. Benbella, ONS11:00 Débat 11:15 Pause café
Séance 2 : Séance plénière
11:30 Cadre du Réseau de Métrologie Sanitaire de l’OMS Dr. Belamri,INSP11:45 Ressources du SNIS Dr. Cherf-Bouzida, INSP12:10 Indicateurs et sources des données du SNIS Dr. Brahimi, INSP12:25 Gestion des données et produits de l’information du SNIS Dr. Touami, INSP12:40 Diffusion et utilisation des données du SNIS Dr. Belamri, INSP12:55 Débat 13:15 Déjeuner
Séance 3 : Séance plénière
14:00 Outil d’évaluation «Health Metrics » de l’OMS Dr. Brahimi, INSP 15:00 Débat 15:30 Diffusion des documents et préparation des ateliers 16:30 Clôture du séminaire
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gérieANNEXE 3
Programme des ateliers d’évaluation
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIREMINISTERE DE LA SANTE, DE LA POPULATION ET DE LA REFORME HOSPITALIERE
INSTITUT NATIONAL DE SANTE PUBLIQUE
Atelier de travail sur Evaluation du Système National d’Information Sanitaire par l’Outil Health Metrics
Projet de coopération Algérie/ OMSBiennium 2010 – 2011,
N° : 10.04.30 DZA
INSP, Alger03-04 mai 2011
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gérie Première journée : 03 mai 2011
08h30 Accueil des participants Remise de la documentation09h00 Séance inaugurale - Dr Z. Cherfi, Directrice Générale INSP09h30 Rappels des objectifs de l’atelier
09h30 - 11h00 QUESTIONNAIRE N°1 : RESSOURCES • Renseignement des rubriques du questionnaire en travaux de groupe avec débat
11h00-11h15 Pause Café
11h15 - 13h00 QUESTIONNAIRE N° 2 : INDICATEURS• Renseignement des rubriques du questionnaire en travaux de groupe avec débat
13h00 - 14h00 Dejeuner
14h00 - 15h30 QUESTIONNAIRE N°3: SOURCES DES DONNEES• Renseignement des rubriques du questionnaire en travaux de groupe avec débat
15h30 - 15h45 Pause Café
15h45 - 17h30 QUESTIONNAIRE N°3: SOURCES DES DONNEES (SUITE)
• Renseignement des rubriques du questionnaire en travaux de groupe avec débat
17h30 Clôture de la journée
Deuxième journée : 04 mai 2011
09h00 - 11h00 QUESTIONNAIRE N°4 : GESTION DES DONNEES
• Renseignement des rubriques du questionnaire en travaux de groupe avec débat11h00 - 11h15 Pause Café
11h15 - 13h00 QUESTIONNAIRE N°5 : PRODUITS DE L’INFORMATION• Renseignement des rubriques du questionnaire en travaux de groupe avec débat
13h00 - 14h00 Dejeuner
14h00 - 15h30 QUESTIONNAIRE N°5 : PRODUITS DE L’INFORMATION (SUITE)
• Renseignement des rubriques du questionnaire en travaux de groupe avec débat15h30 - 15h45 Pause Café
15h45 - 17h30 QUESTIONNAIRE N°6 : DIFFUSION ET UTILISATION DES DONNEES • Renseignement des rubriques du questionnaire en travaux de groupe avec débat
17h30 Clôture de l’atelier
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Listes des participants aux ateliers d’évaluation du SNIS
Atelier d’Evaluation du Système National d’Information Sanitaire INSP, les 03 et 04 mai 2011
Groupe A
Nom - Prénom(s) InstitutionABERKANE Rachida Direction de la Planification et du Développement
MSPRHSous Directrice
EPSP BouzaréahALLAM Farida Epidémiologiste - Médecin Chef SEMEP
BENBELLA Omar Office National des StatistiquesChef d’Etudes
BENHABYLES Nadjia INSPEpidémiologiste - Chef de service MDO
BENKACI Youcef MSPRHConseiller
BERKANE Aicha Office National des Statistiques Chargée des programmes statistiques
BOURKICHE Ahmed Direction de la Population - MSPRHSous Directeur
INSPBOUTEKDJIRET Leila Médecin Santé Publique
CHERF-BOUZIDA Fatiha INSPMédecin Santé Publique
KELLOU Med El Kamel INSPEpidémiologiste
KITOUS Nadia CHU Tizi OuzouEpidémiologiste
MAGUEMOUN Salima Direction des Services de Santé - MSPRHChef de programme de santé
MAZOUZ Hassane
Fonction
Médecin Généraliste - Chef de service-SEMEP
MERBOUT Ghania Direction de la Prévention-MSPRHEpidémiologiste - Sous Directrice Maladies Transmissibles
TCHICHA Boualem
INSP
Médecin Santé Publique
TOUAMI Samira Epidémiologiste
ZANTAR Akila Fariza INSPIngénieur en statistiques
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ENMASCHAOUCHE Ali Enseignant
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gérie Atelier d’Evaluation du Système National d’Information Sanitaire
INSP, les 03 et 04 mai 2011
Groupe B
Nom - Prénom(s) InstitutionAIT OUBELLI Kamel Direction de la Prévention-MSPRHEpidémiologiste
ENMASAKSA Kahina Administrateur
ALIANE Zazou ENMASAdministrateur
AMOKRANE Fawzi Ministère de la Prospective et des StatistiquesChef de Division
BENGUERGOURA Fouzia Agence Nationale du SangPharmacienne Spécialiste
BRAHIMI Hakim INSPEpidémiologiste
BRAHMA Nassima Direction des Services de Santé - MSPRHIngénieur en statistiques
Office National des StatistiquesCHEMINI Boujemaa Ingénieur d’état en Statistiques
DAMERDJI Djamel Eddine Etablissement Public Hospitalier BoufarikMédecin
GRANGAUD Jean-Paul Faculté de Médecine d’AlgerSpécialiste en Pédiatre - Expert
HADDAB Abdallah Ministère de la Solidarité Nationale et de la FamilleSous Directeur
HAMMOUDA Doudja Professeur en EpidémiologieChef de département Contrôle des Maladies
HEMAIDI ZOURGUI Ahmed INSP
Fonction
Secrétaire Général
KHEDDACHI Rachid INSPEpidémiologisteResponsable du PEV
SOUAMI Kahina Agence Nationale du SangDirectrice de la Formation
SOULIMANE Abdelkrim Professeur en EpidémiologieMédecin Chef du SEMEP
Centre Hospitalo-Universitaire Sidi Bel Abbes
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Rapport Final - Algérie 2011
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Atelier d’Evaluation du Système National d’Information Sanitaire INSP, les 10 et 11 mai 2011
Groupe C
Nom - Prénom(s) InstitutionABI AYAD Fatima DSP de la wilaya d’Alger Médecin Santé Publique
INSPABROUK Samira Médecin SpécialisteChef de Département Méthodologie
BEDRANI Abdelkader Ministère de la Prospective et des StatistiquesDirecteur des Etudes
BELKACEMI Daoud CENEAPChef de Département Informatique
BERKANI Amina Office National des StatistiquesIngénieur en Statisticienne Chargée de l’état civil
BOUDAA Nasser DSP de la wilaya de ChlefDirecteur de la Santé et de la Population
BOUGHOUFALAH Amel INSPMédecin Santé Publique
EPSP Bordj Menaiel CERBAH Hamid Médecin coordinateur du SEMEP
CHERF-BOUZIDA Fatiha INSPMédecin Santé Publique
CHERID Chahira INSPEpidémiologiste
CHOUGRANI Saada EHU d’OranProfesseur en Epidémiologie
DAAS Mohamed Adil Chef de Service
DJELLATO Salima EPH Jijel
Fonction
Epidémiologiste
DRALI Tassadit Institut Pasteur d’AlgérieBiologiste
GHARBI Mohamed CHU Annaba Professeur en EpidémiologieChef de Service SEMEP
GUERGUIT Mohamed Médecin - Chef de Service DSP de la wilaya deTamanrasset
DSP de la wilaya de Constantine
HAMCHAOUI Farida CHU Bab El OuedEpidémiologiste
Direction des Services de Santé - MSPRH MAGUEMOUN Salima Chef Programme
MECHOUMA Yacine EPSP BatnaMédecin Santé Publique
MERBOUT Ghania Direction de la Prévention - MSPRHSous Directrice
OUALI Amar Direction de la Population - MSPRH Sous Directeur
STITI Amel Analyste principale en Economie
TEBBAL Mohamed Rédha DSP de la wilaya de MédéaMédecin Santé Publique
TOUAMI Samira INSPEpidémiologiste
Conseil National Economique et Social
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire98
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gérie Atelier d’Evaluation du Système National d’Information Sanitaire
INSP, les 10 et 11 mai 2011
Groupe D
Nom - Prénom(s) InstitutionATOUI Naziha SEMEP CHU Constantine Epidémiologiste / Unité de contrôle
et de surveillance - SIG
INSPBRAHIMI Hakim Epidémiologiste
BELAMRI Belkacem EPH Metlili GhardaiaEpidémiologiste
BENAHMOUD Mohamed DSP de la wilaya de MostaganemEpidémiologiste
BENCHEIBLI Abdelghani SEMEP EPSP El Hadjar AnnabaEpidémiologiste
CHIBOUT Leila OMSChargée de la Promotion de la Santé
Centre National de Toxicologie DJOUDAD Malika Responsable Qualité
GRANGAUD Jean-Paul Faculté de Médecine d’AlgerProfesseur en Pédiatrie-Expert
GUEMAZ Nacera Direction de la Planification et du Développement-MSPRH
Chef de bureau
HALIL Kouider DSP de la wilaya de TiaretChargé de la Population (I.D.E)
HAMMOUDA Nacer Eddine Directeur de Recherche
HANNOUN Djohar INSP
Fonction
Epidémiologiste
KHELIFI Houria Direction de la Prévention - MSPRHChargée de Programme
NACHET Farouk DSP de la wilaya de TiaretMédecin de Santé Publique
OKBA Leila Chef de bureau Ministère de l’Intérieur et des CollectivitésLocales
CREAD
OUBRAHAM Lylia UNICEFSpécialiste en Santé et Nutrition
EPSP Larbaâ Nath Irathen Tizi OuzouRAHEM Hocine Médecin de Santé Publique Sous Directeur des Services Santé
SALMI Younès DSP de la wilaya de TipazaChef de Service
YAHIA OUAHMED Lamia EPH Djillali RahmouniEpidémiologiste
ZEBBOUDJ Kenza Direction de la Prévention - MSPRH Epidémiologiste
ZEDDAM Adel Coordonnateur National ONUSIDA
BOUNECER Hocine CHU BatnaProfesseur en EpidémiologieMédecin Chef
Rapport Final - Algérie 2011
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ANNEXE 5
Outil d’évaluation des systèmes d’information sanitaire nationaux Health Metrics
Version 4.00
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire100
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Rubriques Signification
Rapport Final - Algérie 2011
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Rapport Final - Algérie 2011
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Rapport Final - Algérie 2011
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Rapport Final - Algérie 2011
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ANNEXE 6
GUIDE POUR L’ADMINISTRATION DES QUESTIONNAIRES
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIREMINISTERE DE LA SANTE, DE LA POPULATION ET DE LA REFORME HOSPITALIERE
INSTITUT NATIONAL DE SANTE PUBLIQUE
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Projet de coopération Algérie/ OMS
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gérie INTRODUCTION
Le Réseau de métrologie sanitaire (RMS) a été lancé en 2005 en vue d’aider les pays et les autres partenaires à améliorer la santé mondiale à travers le renforcement des systèmes qui génèrent des informations sanitaires pour un processus de prise de décisions fondé sur des bases factuelles. Le RMS est la première expérience de partenariat sur la santé mondiale, qui met l’accent sur deux conditions essentielles de renforcement des systèmes de santé dans les pays à faible revenu et à revenu intermédiaire.
Une information sanitaire fiable et communiquée en temps opportun constitue le fondement de toute action de santé publique et du renforcement des systèmes de santé, tant au niveau national qu’international. L’information sanitaire est produite et utilisée par bon nombre d’institutions différentes (notamment les ministères de la santé, les offices des statistiques nationales, le secteur privé, les organisations de la société civile, les donateurs et les agences de développement).
II. COMPOSANTES ET NORMES D’UN SYSTÈME D’INFORMATION SANITAIRE Les six composantes du système d’information sanitaire peuvent être décomposées selon ses apports, ses procédés et ses extrants. Les apports renvoient aux ressources, tandis que les procédés touchent la manière dont les indicateurs et les sources de données sont sélectionnés et gérés. Les extrants renvoient plutôt à la production, à la diffusion et à l’utilisation de l’information. En conséquence, les six composantes d’un système de santé sont :
2.1- LES APPORTS
- Les ressources du système d’information sanitaire : il s’agit notamment des cadres législatif, réglementaire et de planification - qui sont des éléments nécessaires au bon fonctionnement d’un système d’information sanitaire - et des ressources, qui constituent le préalable à la mise en fonction du système. Ces ressources comprennent le personnel, les finances, l’appui logistique, les technologies de l’information et de la communication (TIC), ainsi que les mécanismes de coordination entre les six composantes et au sein de chacune.
2.2- LES PROCÉDÉS
- Les indicateurs : Les indicateurs de base d’un système de santé doivent ressortir les changements intervenus au fil du temps. Ils doivent être valides, fiables, spécifiques, sensibles et mesurables. Ils doivent également être pertinents et utiles au processus de prise de décisions sur la collecte des données, ou là où il existe un réel besoin de données à des niveaux plus élevés. Des indicateurs minutieusement sélectionnés et régulièrement révisés sont essentiels au renforcement d’un système d’information sanitaire et peuvent être considérés comme l’épine dorsale du système, en fournissant le paquet minimum d’informations nécessaires à l’appui des fonctions du système de santé. Ces indicateurs de base sont nécessaires pour évaluer les changements dans trois domaines principaux :
* Les déterminants de la santé : Ce sont des déterminants ou des facteurs de risque socioéconomiques, environnementaux, comportementaux, démographiques et génétiques. Ces indicateurs définissent les environnements contextuels dans lesquels fonctionne le système. La plupart des informations sont générées à partir d’autres secteurs tels que l’agriculture, l’environnement et l’emploi.
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* Le système de santé : Les indicateurs ici sont notamment, les apports à un système de santé et les procédés y afférents, tels que la politique, l’organisation, les ressources humaines, les ressources financières, les infrastructures sanitaires, l’équipement et les fournitures. Il y a également les indicateurs de résultats, tels que la disponibilité et la qualité du service. Enfin, il y a des indicateurs immédiats de rendement du système de santé, tels que la couverture et l’utilisation du service.
* L’état de santé : Les indicateurs sont, entre autres, les niveaux de mortalité, de morbidité, de déficience et de bonne santé.
- Les sources de données : Peuvent être divisées en deux catégories principales : (1) Les approches démographiques (les recensements, les données de l’état civil et les enquêtes démographiques), et (2) les données institutionnelles (les dossiers individuels, les dossiers administratifs, et les dossiers sur les ressources).
- La gestion des données : Il s’agit ici de toutes les opérations qui rentrent dans la manipulation des données : la collecte, le stockage, l’assurance de la qualité, le flux, ainsi que le traitement, la compilation et l’analyse.
2.3- LES EXTRANTS
- Produits de l’information : Les données doivent être traduites en une information qui deviendra le fondement des faits observés et de la connaissance qui sous-tendent l’action de santé.
- Diffusion et utilisation : La valeur de l’information sanitaire peut être rehaussée en la rendant facilement accessible aux décideurs (en accordant l’attention nécessaire aux contraintes liées au comportement et à l’organisation) et en offrant des incitations à l’utilisation de l’information.
III. ÉVALUATION DES SYSTÈMES NATIONAUX D’INFORMATION SANITAIRE
3.1- QUELS SONT LES OBJECTIFS DE L’ÉVALUATION ?
• Evaluer les composantes du SNIS existant
• Utiliser un outil d’évaluation standard de l’OMS
• Identifier les forces et faiblesses du SIS
• Proposer des stratégies de renforcement du SIS.
3.2- QUI DOIT PROCÉDER À L’ÉVALUATION ?
L’identification des personnes qui doivent être impliquées est une première étape du plan d’évaluation du SIS national. L’un des principes de base de l’approche du RMS est de faire intervenir tous les principaux acteurs dans l’évaluation et la planification des initiatives de renforcement du SIS. Les principaux représentants intervenants dans cette évaluation sont :
- Bureau central de la statistique (personnes chargées du recensement national de la population, des enquêtes auprès des ménages (DHS), de l’étude sur la mesure du niveau de
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démographes et des statisticiens.
- Ministère de la santé (cabinet, planification, surveillance des maladies, vaccination, protection maternelle et infantile, planning familial, programmes de lutte contre les maladies non transmissibles, gestion des ressources humaines, finances).
- Ministère de l’Intérieur (état civil).
- Chercheurs et les universitaires.
- Agences du Système des Nations Unies (UNICEF, PNUD, FNUAP, OMS, ONUSIDA).
- Autres.
IV. OUTIL D’ÉVALUATION HEALTH METRICS
L’outil Health Metrics est la feuille de route proposée pour une évaluation qualitative efficace du système national d’information sanitaire. Il est composé de 197 questions réparties sur les six composantes du SNIS. Au total six (06) questionnaires sont à renseigner.
CatégoriesI. Ressources
ii. ressources humaines
A. Politique et planificationB. Institutions, ressources humaines et financement du SISC. Infrastructures du SIS
II. IndicateursIII. Sources de données
A. RecensementB. Statistiques démographiquesC. Enquêtes auprès des populationsD. Archives médicales (y compris la surveillance)E. Archives des services de santé F. Enregistrement des ressources
i- infrastructures et services de santé
iii. financement et dépenses pour services de santéiv. équipement, consommables, biens et services
IV. Gestion des donnéesV. Produits de l’informationVI. Diffusion et utilisation
TOTAL
Nombre de questions25
4
71355
831013111311256
8255
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Pour chaque rubrique de l’outil d’évaluation, il est proposé une gamme de scénarios (réponses) pour permettre une notation chiffrée objective.
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4.1- QUESTIONNAIRE N°1 : RESSOURCES DU SIS
Les questions posées dans cette rubrique ont trait à la :
◘ Législation du pays
◘ Principes statistiques fondamentaux
◘ Plan stratégique du SIS
◘ Comité national du SIS
◘ Compétences (statistiques, épidémiologie, TIC)
◘ Budget alloué pour le SIS
◘ Moyens matériels (ordinateurs, TIC)
Pour chacune des questions, chaque répondant notera sa réponse dans la colonne des réponses selon les propositions faites sur le questionnaire. Les réponses sont notées de 0 à 3 points soit :
◘ Trois (03) points est donnée pour une information existante et « très satisfaisante »
◘ Deux (02) points est donnée pour une information « satisfaisante »
◘ Un (01) point est donné pour une information « existante mais pas satisfaisante »
◘ Zéro (0) point est donné pour une information « pas du tout satisfaisante »
4.2- QUESTIONNAIRE N°2 : INDICATEURS DU SIS
Les questions posées dans cette rubrique ont trait au(x) : ◘ Indicateurs minimum de base du pays ;◘ Stratégie de mesure des OMD ;◘ Critères de sélection des indicateurs.
Pour chacune des questions, chaque répondant notera sa réponse dans la colonne des réponses selon les propositions faites sur le questionnaire. Les réponses sont notées de 0 à 3 points soit :
◘ Trois (03) points est donnée pour une information existante et « très satisfaisante »
◘ Deux (02) points est donnée pour une information « satisfaisante »
◘ Un (01) point est donné pour une information « existante mais pas satisfaisante »
◘ Zéro (0) point est donné pour une information « pas du tout satisfaisante »
4.3- QUESTIONNAIRE N°3 : SOURCES DES DONNÉES DU SIS
Les questions posées dans cette rubrique ont trait au(x) :
◘ Recensement de la population,◘ Statistiques de l’état civil,◘ CIM 10 (causes de décès),◘ Enquêtes auprès des ménages,◘ Maladies à déclaration obligatoire,◘ Dossiers médicaux,
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire150
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◘ Ressources humaines et structures?◘ Dépenses de santé,◘ Moyens
Pour chacune des questions, chaque répondant notera sa réponse dans la colonne des réponses selon les propositions faites sur le questionnaire. Les réponses sont notées de 0 à 3 points soit :
◘ Trois (03) points est donnée pour une information existante et « très satisfaisante »
◘ Deux (02) points est donnée pour une information « satisfaisante »
◘ Un (01) point est donné pour une information « existante mais pas satisfaisante »
◘ Zéro (0) point est donné pour une information « pas du tout satisfaisante »
4.4- QUESTIONNAIRE N°4 : GESTION DES DONNÉES DU SIS
Les questions posées dans cette rubrique ont trait à la :
◘ Collecte des données
◘ Stockage et l’analyse des données
Pour chacune des questions, chaque répondant notera sa réponse dans la colonne des réponses selon les propositions faites sur le questionnaire. Les réponses sont notées de 0 à 3 points soit :
◘ Trois (03) points est donnée pour une information existante et « très satisfaisante »
◘ Deux (02) points est donnée pour une information « satisfaisante »
◘ Un (01) point est donné pour une information « existante mais pas satisfaisante »
◘ Zéro (0) point est donné pour une information « pas du tout satisfaisante »
4.5- QUESTIONNAIRE N°5 : PRODUITS DE L’INFORMATION (QUALITÉ DES DONNÉES)
Les questions posées dans cette rubrique ont trait aux indicateurs suivants :
◘ Mortalité des moins de 5 ans;
◘ Mortalité maternelle;
◘ Vaccination rougeole,
◘ Accouchement en milieu assisté,
◘ Traitement DOTS;
◘ Dépenses de santé (public, privé);
◘ Tabagisme.
Ces questions d'évaluation de la qualité des données portent sur les critères suivants :
– La collecte des données : La pertinence de la méthode utilisée pour la collecte des données.
– L'opportunité : Le décalage entre le moment de la collecte des données et celui de leur communication à un échelon supérieur ou de leur publication.
– La périodicité : La fréquence avec laquelle un indicateur est mesuré.
– La cohérence : Elle concerne la cohérence interne des données dans le cadre d’un ensemble de données ainsi que la précision ou la possibilité de rapprocher les données, dans le temps, avec d’autres sources principales de données.
– La représentativité : Dans quelle mesure les données représentent-elles suffisamment la population et les sous populations correspondantes.
– La désagrégation : L'existence de statistiques stratifiées par caractéristiques démographiques (par exemple sexe, âge, ethnicité), du statut socioéconomique (par exemple niveau de revenus, profession, niveau d'instruction), de la localité (par exemple zone urbaine/rurale, principales régions géographiques ou administratives), le cas échéant.
– Les méthodes d'estimation : Dans quelle mesure les méthodes d'évaluation, suivent-elles des procédures statistiques saines et sont-elles transparentes.
Pour chacune des questions, chaque répondant notera sa réponse dans la colonne des réponses selon les propositions faites sur le questionnaire. Les réponses sont notées de 0 à 3 points soit :
◘ Trois (03) points est donnée pour une information existante et « très satisfaisante »
◘ Deux (02) points est donnée pour une information « satisfaisante »
◘ Un (01) point est donné pour une information « existante mais pas satisfaisante »
◘ Zéro (0) point est donné pour une information « pas du tout satisfaisante »
4.6- QUESTIONNAIRE N° 6 : DIFFUSION ET UTILISATION
Les questions posées dans cette rubrique ont trait à :
◘ Utilisation de l’information pour la prise de décision;
◘ Utilisation de l’information pour l’allocation des ressources.
Pour chacune des questions, chaque répondant notera sa réponse dans la colonne des réponses selon les propositions faites sur le questionnaire. Les réponses sont notées de 0 à 3 points soit :
◘ Trois (03) points est donnée pour une information existante et « très satisfaisante »
◘ Deux (02) points est donnée pour une information « satisfaisante »
◘ Un (01) point est donné pour une information « existante mais pas satisfaisante »
◘ Zéro (0) point est donné pour une information « pas du tout satisfaisante »
Rapport Final - Algérie 2011
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Evaluation du Système National d’Information Sanitaire152
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◘ Les questionnaires renseignés sont confidentiels.
◘ Dans le groupe de travail, un coordinateur sera désigné et aura comme tâche de lire au fur et à mesure les différentes questions posées et de lister tous les commentaires émis par le groupe.
◘ Si vous êtes affecté dans un groupe de travail, il faut rester dans celui-ci durant les deux jours de l’atelier et ne pas essayer de changer de groupe.
◘ Un glossaire est disponible et peut être utilisé pour la compréhension de certains termes utilisés dans le questionnaire.
◘ Chaque répondant aura son code d’identification confidentiel.
◘ Chaque répondant doit renseigner son nom, son prénom, sa formation de base, sa fonction et son lieu d’exercice.
◘ Il ne faut pas influencer les autres personnes du groupe dans leur réponse.
◘ S’assurer d’avoir tous les questionnaires (1 à 6).
◘ L’utilisation d’un crayon et d’une gomme est impérative pour le renseignement des questionnaires.
◘ La réponse aux questions doit être lisible et dans la case correspondante.
◘ Ne répondre aux questions que par une seule réponse parmi les propositions offertes.
◘ La réponse aux différentes rubriques du questionnaire se fera selon le calendrier adopté par le groupe de travail.
◘ Une fois les questionnaires d’une rubrique sont remplis, remettez le aux animateurs du groupe de travail.
◘ Dans certains cas, une rubrique particulière des questionnaires peut ne pas être applicable. Dans ces cas-là, on n’en tient pas compte dans la notation et les raisons de cette omission sont consignées par écrit.
◘ Il est conseillé et préférable de s’abstenir d’évaluer les questions dont la réponse vous semble incertaine.
◘ Il y a une colonne à droite des questionnaires pour reporter certains commentaires et remarques sur les différentes rubriques, ainsi que les possibles solutions proposées.
ANNEXE 7
G L O S S A I R E
Rapport Final - Algérie 2011
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Evaluation du Système National d’Information Sanitaire154
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ANNEXE 8
PROGRAMME
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIREMINISTERE DE LA SANTE, DE LA POPULATION ET DE LA REFORME HOSPITALIERE
INSTITUT NATIONAL DE SANTE PUBLIQUE
ATELIER DE CONSOLIDATION DES RÉSULTATS
INSP, Alger 13- 14 Décembre 2011
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire (SNIS)
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire160
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Matinée
08h30 Accueil des participants
09h00 Séance inaugurale Dr. M.E.K KELLOU Directeur Général - INSP
09h30 - 09h45 Rappels des objectifs du projet Dr. S.TOUAMI – INSP
09h45 - 10h00 Ressources du SNIS Résultats de l’évaluation Dr. F. CHERF-BOUZIDA – INSP
10h00 - 10h45 Débat / Recommandations
10h45 - 11h00 Pause café
11h00 - 11h15 Gestion des donnees du SNIS Résultats de l’évaluation Dr.H.BRAHIMI – INSP
11h15 - 12h45 Débat / Recommandations
12h45 - 14h00 DéjeunerAprès-midi
14h00 - 14h30 Sources des données du SNIS Résultats de l’évaluation Dr.H.BRAHIMI – INSP
14h30 - 16h00 Débat / Recommandations
Mercredi 14 /12/ 2011Matinée
09h00 - 09h15 Diffusion et utilisation Résultats de l’évaluation Dr.S.TOUAMI – INSP
09h15 - 10h15 Débat / Recommandations
10h15 - 10h45 Indicateurs du SNIS Dr.F.CHERF-BOUZIDA – INSP
10h45 - 11h15 Débat / Recommandations
11h15 - 11h30 Pause café
11h30 - 12h00 Produits de l’information Dr.S.TOUAMI – INSP
12h00 - 13h00 Débat / Recommandations
13h00 - 14h00 Déjeuner
Après-midi14h00 - 16h00 Recommandations Générales
16h00 Clôture du séminaire
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ANNEXE 4Liste des participants
Atelier de consolidation des résultats de l’Evaluation du Système National d’Information Sanitaire
INSP, le 13 et 14 décembre 2011
Nom - Prénom(s) InstitutionALLIM Said MSPRHDirection des Finances et Moyens
Ministère de la Prospective et des StatistiquesAMOKRANE Faouzi Chef de Division
ATAMNA Nacera Ministère de la solidarité Nationale et de la Famille
Sous Directrice
ATEK Madjid INSPChef de Département Information Sanitaire
ATOUI Naziha SEMEP- CHU ConstantineMédecin épidémiologiste
BELAMRI Soraya INSPEpidémiologiste-Unité causes de décès
BENBELLA Omar Office National des StatistiquesChargé des Etudes
DSP Tizi OuzouBENLALA Dalila Médecin Chef de Service Prévention
BOUGHOUFALAH Amel INSPMédecin Santé Publique
CERBAH Hamid EPSP Bordj Menaiel - BoumerdesMédecin de SEMEP
CHAIB Said MSPRHChargé d’études
CHIBOUT Leila OMS - AlgérieChargée de l’information et de la promotion de la santé
DAÂS Mohamed Adil DSP Constantine
Fonction
Chef de Service
FRAIHAT Ahmed Said Direction de la Prévention - MSPRHMédecin Inspecteur
GHARBI Mohamed SEMEP - CHU AnnabaPr. épidémiologie Chef de Service
GRABA Mustapha Kamel Chargé des Etudes et de Synthèse
GUERRAOUAZ Kaci ONS-
Ministère du Travail et de la Sécurité Sociale
HAMMOUDA Nacer-Eddine CREADChercheur
HANNOUN Djohar INSPEpidémiologiste
HEMAIDI ZOURGHI Ahmed INSPSecrétaire Général
KHEDDACHI Rachid INSPEpidémiologiste
DP - MSPRHKHELIFI Houria Chargée de Programme
LAMRI Larbi UNFPAAssistant du Représentant
MAGUEMOUN Salima DSS - MSPRH Chef de programme
MAZZOUZ Hassane EPSP BejaiaMédecin Santé Publique
MERBOUT Ghania Sous Directrice
OUALI Amar Direction de la Population - MSPRHSous Directeur
DP - MSPRH
SALMI Younes DSP TipazaChargé de Communication
SILEM Rabah DSI - Ministère des Finances Sous-Directeur
SOUAMI Kahina Agence National du SangDirectrice de la Formation
STITI Amel CNES Analyste Principale en Economie
INSPTCHICHA Boualem Médecin Santé Publique
YAHIA OUAHMED Lamia EPH Djillali RahmouniEpidémiologiste
Références bibliographiques
◘ Les systèmes de santé en Algérie, Maroc et Tunisie. Défis nationaux et enjeux partagés. Les notes IPEMED N° 13, avril 2012
◘ Rapport national sur l’état économique et social, Ministère de la Prospective et des Statistiques, 2012
◘ Démographie algérienne; ONS série de 2000 à 2012
◘ Rapport sur le développement humain, programme des Nations unies pour le développement, 2010.
◘ 2éme Rapport National sur les Objectifs du Millénaire pour le Développement, Algérie 2010
◘ Cadre et normes des systèmes nationaux d’information sanitaire, deuxième édition, Organisation mondiale de la Santé, Genève 2008.
◘ Evaluation du Système National d’Information Sanitaire : Un outil d’évaluation. Draft version 4.00, 18 Décembre 2008-OMS-HMN.
◘ Enquête Nationale de Santé, Transition Epidémiologique et Système de Santé, projet TAHINA (contrat IC A3-CT-2002-10011), INSP Algérie 2007.
◘ Renforcement des systèmes d’information sanitaire, WHA60.27 Soixantième Assemblée Mondiale de la Santé, Résolutions et décisions. Génève, 14-23
Mai 2007, WHASS1/2006-WHA60/2007/REC/1.
◘ Interventions prioritaires pour renforcer les systèmes nationaux d’information sanitaire, AFR/CR54/R3 du 02 septembre 2004.
◘ Comptes Nationaux de la Santé de l’Algérie, années 2000-2001 ; MSPRH, Mai 2003.
◘ Relevé Epidémiologique Ménsuel “Reflet de la situation épidémiologique 10 ans déjà !”. INSP décembre 1999.
◘ Principes fondamentaux de la statistique officielle, Nations Unis, Conseil Economique et Social, Commission Statistique. New York, 14 avril 1994.
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire162
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Séminaire national d’information du lancement du projet d’évaluation du SNIS
INSP, salle Guessabi, le 18 avril 2011
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163
Ateliers d’évaluation du SNIS
INSP, les 03 et 04 mai 2011
Evaluation du Système National d’Information Sanitaire164
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Tab. 1 Evolution du Produit Intérieur Brut (PIB), en dollars US, par habitant, de 1990 à 2008, en Algérie 14
Tab. 2 Evolution de l’Indice de Développement Humain (IDH) de 1990 à 2011, en Algérie 14
Tab. 3 Taux de corrections issues d'enquêtes 1970-1981 et 2002 17
Tab. 4 Evolution de la population résidente (en milliers d’habitants) de 1966 à 2010, en Algérie 17
Tab. 5 Répartition de la population algérienne par tranche d’âge (%) à travers les RGPH de 1966 à 2008 18
Tab. 6 Evolution de l’accroissement naturel (en milliers) et du TAN (en pourcentage) 18
Tab. 7 Evolution des naissances vivantes et du taux brut de natalité en Algérie 18
Tab. 8 Evolution des décès et du taux brut de mortalité en Algérie 19
Tab. 9 Evolution du Taux de Mortalité Infantile par sexe (pour mille naissances vivantes) 19
Tab. 10 Evolution de l’espérance de vie à la naissance (en années) 19
Tab. 11 Evolution du Taux de Mortalité Maternelle (pour 100 000 naissances vivantes) 20
Tab. 12 Répartition des structures publiques selon le type d’infrastructure 24
Tab. 13 Composition du secteur privé par type d’infrastructures 24
Tab. 14 Evolution des dépenses de santé (en pourcentage du PIB) 25
Tab. 15 Sources de financement du système de santé, 2001 (Dépenses en milliards de dinars) 26
Tab. 16 Evolution des Maladies à Déclaration Obligatoire (MDO) contrôlables par la vaccination, en Algérie 27
Tab. 17 Evolution des incidences de la tuberculose de 2003 à 2011 28
Tab. 18 Evolution du nombre de cas de paludisme de 2003 à 2011 28
Tab. 19 Evolution du nombre de nouveaux cas de sida et du nombre de nouveaux cas de séropositifs au VIH de 2004 à 2012 28
Tab. 20 Evolution des taux de couverture vaccinale chez les enfants âgés de 12 à 23 mois en % 29
Tab. 21 Densité des personnels médicaux et paramédicaux par habitants 29
Tab. 22 Nombre de questions par composante de l’outil d’évaluation « Health Metrics » 37
Tab. 23 Interprétation des scores observés 37
Tab. 24 Nombre de questionnaires renseignés par groupe et par atelier 40
Tab. 25 Résultats de l’évaluation de la sous composante “Coordination, planification et politiques”, Algérie 2011 43
Tab. 26 Résultats de l’évaluation de la sous composante “Ressources humaines et financement du SIS”, Algérie 2011 44
Tab. 27 Résultats de l’évaluation de la sous composante “Infrastructures du SIS”, Algérie 2011 45
Tab. 28 Résultats de l’évaluation de la composante “Indicateurs du SIS ”, Algérie 2011 46
Tab. 29 Scores des différentes sources des données selon les composantes essentielles (%), Algérie 2011 47
Tab. 30 Résultats de l’évaluation de la sous composante “Recensement”, Algérie 2011 49
Tab. 31 Résultats de l’évaluation de la sous composante “Statistiques de l’état civil”, Algérie 2011 51
Tab. 32 Résultats de l’évaluation de la sous composante “Enquêtes auprès de la population”, Algérie 2011 53
Tab. 33 Résultats de l’évaluation de la sous composante “Dossiers des maladies-surveillance”, Algérie 2011 55
Tab. 34 Résultats de l’évaluation de la sous composante “Banque des services de santé “, Algérie 2011 57
Tab. 35 Résultats de l’évaluation de la sous composante “Infrastructures et services de santé”, Algérie 2011 60
Tab. 36 Résultats de l’évaluation de la sous composante « Ressources Humaines », Algérie 2011 61
Tab. 37 Résultats de l’évaluation de la composante “Financement et dépenses de santé”, Algérie 2011 63
Tab. 38 Résultats de l’évaluation de la sous composante “Equipements, fournitures et produits”, Algérie 2011 64
Liste des tableaux
Tab. 39 Résultats de l’évaluation de la composante “Gestion des données ”, Algérie 2011 66
Tab. 40 Tableau récapitulatif des résultats (en %) de la composante“Produits de l’information ” du SNIS, Algérie 2011 68
Tab. 41 Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Mortalité chez les moins de cinq ans”, Algérie 2011 69
Tab. 42 Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Mortalité Maternelle”, Algérie 2011 70
Tab. 43 Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Prévalence du VIH”, Algérie 2011 71
Tab. 44 Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Taux de couverture de la rougeole par 12 mois d’âge ”, Algérie 2011 73
Tab. 45 Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Accouchements assistés par des personnels de santé qualifiés”, Algérie 2011 74
Tab. 46 Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Taux de réussite du traitement de la tuberculose dans le cadre du traitement de brève durée sous surveillance directe (DOTS)”, Algérie 2011 75
Tab. 47 Résultats de l’évaluation d’indicateur du système de santé “Dépenses générales de l’Etat en matière de santé par habitant”, Algérie 2011 76
Tab. 48 Résultats de l’évaluation de l’indicateur du système de santé “Dépenses privées de santé par habitant”, Algérie 2011 77
Tab. 49 Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Densité du personnel sanitaire pour 1000 habitants”, Algérie 2011 78
Tab. 50 Résultats de l’évaluation de l’indicateur “Tendance à fumer chez les sujets âgés de 15 ans et plus”, Algérie 2011 79
Tab. 51 Résultats de l’évaluation de la sous composante “Analyse et utilisation de l’information ”, Algérie 2011 81
Tab. 52 Résultats de l’évaluation de la sous composante “Utilisation de l’information pour l’action et le plaidoyer ”, Algérie 2011 81
Tab. 53 Résultat de l’évaluation de la sous composante “Utilisation de l’information pour la planification et la fixation des priorités”, Algérie 2011 82
Tab. 54 Résultats de l’évaluation de la sous composante“ Utilisation des informations pour l’allocation des ressources ”, Algérie 2011 82
Tab. 55 Résultats de l’évaluation de la sous composante“ Utilisation de l’information pour sa mise en application et pour l’action ”, Algérie 2011 83
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Fig. 1 Scores de l’évaluation des six composantes du SNIS, Algérie 2011 41
Fig. 2 Scores de l’évaluation de la composante “Ressources” du SNIS, Algérie 2011 42
Fig. 3 Scores de l’évaluation de la composante “Indicateurs” du SNIS, Algérie 2011 46
Fig. 4 Scores de l’évaluation de la composante “Sources des données” du SNIS, Algérie 2011 47
Fig. 5 Scores en % des composantes essentielles du “Recensement”, Algérie 2011 48
Fig. 6 Scores en % des composantes essentielles des “Statistiques de l’Etat civil”, Algérie 2011 50
Fig. 7 Scores en % des composantes essentielles des “Enquêtes de population”, Algérie 2011 52
Fig. 8 Scores en % des composantes essentielles de la “Surveillance des maladies”, Algérie 2011 54
Fig. 9 Scores en % des composantes essentielles de la “Banque des services de santé ”, Algérie 2011 56
Fig. 10 Scores de l’évaluation de la sous composante “ Banque des ressources” du SNIS, Algérie 2011 58
Fig. 11 Scores en % des composantes essentielles des “Infrastructures et services de santé”, Algérie 2011 59
Fig. 12 Scores en % des composantes essentielles des “Ressources humaines”, Algérie 2011 61
Fig. 13 Scores en % des composantes essentielles du “Financement et des dépenses de santé”, Algérie 2011 62
Fig. 14 Scores en % des composantes essentielles des “Equipements, fournitures et produits”, Algérie 2011 64
Fig. 15 Scores de l’évaluation de la composante “ Gestion des données ” du SNIS, Algérie 2011 65
Fig. 16 Scores de l’évaluation de la composante “ Produits de l’information ” du SNIS, Algérie 2011 67
Fig. 17 Scores de l’évaluation de la sous composante “Indicateurs de l’état de santé ” du SNIS, Algérie 2011 68
Fig. 18 Scores de l’évaluation de la sous-composante “Indicateurs du système de santé ” du SNIS, Algérie 2011 72
Fig. 19 Scores de l’évaluation de la composante “Diffusion et utilisation” du SNIS, Algérie 2011 80