ET LE SÉNAT? - Evènements... Potrie annénée que M. le çenéral Bei> thaut, ministre de la...

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.. Dinaaiiçhe 28 K?‘ it 'J^.riâ&k: *'^ r;: ■-'■ SÉ^iî^ e-ji.,' 4 ParàissaEt les i} èh i'-A ÜiT , J-MÙ ■ -Voslq .«(i.'u.'id.) , S v;-îi •A ‘J i: laiscn Dugwé. | ,L0 : Vlmmaeulée irécUal Soolt, Lii h’* jamais été êtres de haut sur [ÜIT COMBINAI- jüM que j’adresse . Adresser les de- eoK-y'rier. USINIÈRE fOMESÎIQlE iT FAIRE -Ste-Maxeace, au bureau is. PRIX DES abonnements . ta'tii. 8^ mois. Trois i" .tîe p o t ® T o d r CaBQDI ( ------ ^ T»tiU lettre non a ifr ^ l^ t^ o : ---■' ■’ ''..i : l i î i & ^ h f c e ^ T O B L ï É à i Ë '; j; .‘>1- ■ ' t^èntt 'iie MtU foe rénâM. îVSt^Si-ï'i.r' BË0LAUE8.' %(ra^À^^o<i tif àéménèd rip^ee ■---, h".-ian une idée assez confusément émise dans d’autres feuilles’, celle de la présidence du duo d’Aumale, succédant, en cas de démission, au Maréchal. Le mouyem^t serait conduitpar les parlementaires du Sénat et appuyé peut-être par les répur blicains', dont la plupart, nous le savons, n’ont pas de répugnance pour une présir denoe princière. H-serait évidemment dirigé avant tout contre les bonapartistes. Nousne savons si les nouvellistes n ont Ipaspris, unpeuà lalégère, le nom du F r>^ CT IV y i N / noble général qui commande lc T caros. t" |V | 1 Dans tous les cas, pour cette hypothèse » ■“ 1 comme pour bien d'autres, il convient; d’att -.ndre ce que feront le Maréchal et le Sénat dont l’alliance soliderendrainutile toute attaque contre le pouvoir. On annonce la mort a’un jeune prince russe, neveu et aidè-de-camp de 1 empe reur, le prince Serge de Leuchtenberg, tué glorieusement à l’ennemi d une balle dans le front, dans une reconnaissance. .... ^ - .1 ___ T1 /lana CONSEIL GÉNÉRAL ÉLECTIONS Dü 4 NOVEMBRE 18T7 Canton de Senlls. CANDinAT : , ancien AVOüi, Canton de Pont. H A R L . É Conseiller sortant. Conseil d’ Arrondissement. Canton do Bet* COHSTWT MOQUET Conseiller sortant. canton de SantenU HECTOR LEFÈVRE Conseiller sortant bulletin Sentis, le 2T septembre 187T Toujours la “ ^me i n d ^ S ^ u r s k ^ jours les mêmes raco ’-^vig des con- ïnêmes hypothèses sur le sable des s’est l i a U n g u é j ^ t t ^ P ^ ^ MaréoUal contre Suleyman-Papha. Il avait dans les veines du sang français, puisqu il était le petit-ôls du prince Eugène de Beauhamais. . , On n’a pas bublié lors des premiers succès des Eusses en Bulgarie, la peinte audacieuse faite par le général OoMko enEoumélie. Débouchant des Battans par la passe de Shipka, il battit les Turcs à Kezanlik et jeta l’épouvante dans tout le vilayet d’Andrinople. Malheureuse ment, ü n’avait avec lui qu’une p oi^ ée d’hommes qui dut se retirer devant des forcés trop supérieures. La retrmte se ht touiovirs en bon ordre et le défilé conquis est encore aux mains des Eusses, malgré les assauts terribles tentés parSuleyman- Pacha. Le général Gourko avait donné là des preuves d’une énergie et d un sang-froid hors ligne. Tacticien habile, il sait inspirer une confiance illimitée a ses troupes, c’est certainement un des meilleurs divisionnaires de larmée-de l’empereur. Le grand éta^major comprit tout le parti qu’on pouvait tirer d un pa^ reil soldat, et le Czar lui confia une divi sion de cavalerie de la garde, armée de carabines de précision, avec la mission de se lancer sur le flanc gauche de Plewna, et de couper les communications d’Osman-Pacha avec la viUe de faoha, qui lui sert de magasin d’approvisionne ment, et sur laquellé le général turc evar eue ses blessés *t ses bouches mutiles, chose importante pour une place de guerre aux trois quarts investie et dont ffes soldats peuvent manquer de vivres d’un iour à l’autre. Le général Gourko, qui a commencé son mouvement offensif, vient de débuter par une victoire importante. Il s est em paré d’une po^ohtdrqaeffdftémeht’fe- tranchée, entre iGofny-I^hniak _et Tileseh',- après .tin comtat acharné qur a ! duré dix ^heures et idtùs; léqu^ il a fait prisonnier Adunet-Efi^'.Pacna, (ay*bpuu îhef d'état-awor. ibesuçpupd'dfficiers,- '3,060 fàhtassins e^ ù n M ^ e n t de cayçr leHel liés troupés'ross^ put pM q,u»wé danohs, una grande q^htité d’arinM et -démunitiohs. Le g^éral GmAo , s’est iretranché sur ia ohaùsséé d é '^ la . _ y Les dépêches tux^éS parlent A penne decBiCombat; eileï disent;simplement quelea troupésjottomanes oifr dû * tb- piiiêr devant des frwces- supérieures ét ■qü’eiies attendent des renférts. Si le général russe sait manier avec l’habiletéét i’àüdace dont il a fait preuve - usqu’ici la .masse: de cayalétié qu ila sous ses ordres, la position d’Osman- Pacha, enfermé: dans Plewna, ayant ses communications coupées, pourra devenir dé plus én plus critique, et le général turc peut êtri-fproé de se rendre da déiai peu éloi^é. de la colonie,»méricainsv dans lebotiierg^- nieerea l’hoanaur de i ’ancien piétidentaee BtateTÜnisBa grand banqbst par laonaonpi- tion publique. . ' ; . Lundi prochain, à la légation améncaint un:grand dhteri-adqael lont invités le maré| cbM de .MaerMahon et tous les msmteées dtt cabinet, aeis offert an généré •ènéral. ans un La Potrie annénée que M. le çenéral Bei> thaut, ministre de la ugerre, est-deoiae a quitter le ministèré avant la rentree des Chambres. Les ioumaux républicains continuent à dresser la liste des élections qu’ils se propo sent debasser.. La mpMii'Ue fra^<^e an nonce que I les élections de MM. dsFourtou à Eibérac, Decàzès àPuget-Théniers, et Kellsr à Belfort. contre, lesquelles sent roleves de nombreux faits de pression ou de corruptien, seront très-probablement annulées par la Chambre des députés.» La formation d’une réunion plénière des gauches, dont M. Ciambetta poursuit le pro jet, rencontre toujours la plus yiTè résistance dans les groupes républicains. Tous les ambassadeurs des puissances étrangères auprès du sont à leurs postes, sauf celui d AUemag^. L’absence du ptsaoe do MoheMohe, les circonstances dCtueUes, doMeUeu à b e i^ coup de commentaires dans le monde diplo matique. ________ _ Le général Grand arrivera de Londres à j Paris mercredi soir. _ Hier s’est tenue une reunion de membres La reine Pomaré est morte le 11 septembrej son filSjArsiené a été proelamé roi des: Des dé la Société. Le président de la BépubUque vient de re-i eévoir la lettre par lequèlle le roi dé Bavière lui hotifié là naissance d’une brincesse, m e du prince Louis de Bavière èt de.M" la l ^ -‘ cesse Itarie-Thérèsè de Bavière, née arcludu-; ckessé d*Autfiché-l*BBte» / Le Mémorial d’Amiena annenee que l’ami ral DOmpierre d’Hormoy, par suite du corn--, mandement dent E vient d’étre pourvu,, re nonce a la candidature pour le Conseil gené- ral de la Somme. C!est k tour* qno'len jrpitns.«m <«*- dit^ le«sa*«6ÉI<iitiîee-iiiarwtele dreitioe mare ; I' connattre à l’aide d’effidies blancheslsé noms des candi.iats coneervateurs aaix élections des conseils généraux. , . . Les afachés -bénches sont exclusivement réservéœ eux élections législatixes. Le gouvernement vient de, s’opposer è la réunion du congrès ouvrier qui devait se tenir à Lyon. ET LE SÉNAT? M. Gambetta vient de pjpnonpOTpn- coreun discours. C’est à Chateau-ChinoD et aon plus.au: cirqae Myersq.u’« coulé cette éloquence.^Ce 4"® Grumbette a pu dire, iltfest pas Un de nos lecteurs qui ne le saqhe 'd’avance, qui ne 1 ait en tendu ouTu au moins vingt foie. : Il aMit que lé suffrage universel avait été torturé, et'quéUéanmoins,ilayaitaf-^ firm^ d’ùné façon éclatante, m volonte et sa solidarité avee la majorité de l an- cienne Chambre des députés. Il a .explir. qué par la pression administrative, mais d’une assez-piteuse façon, le s u ^ s de sa prophétie qui consistait h ■ affirmer u queles 363reviendraient400alors'qu’ils I sent revenus 313 seulement. . M. Gambetta, dans ce discours, et itôus ses coréligioimaires dans leurs I ! professions, de foi sont les plus inttres- 1 santps victimes d’une erreur grossière .qü’iï in^jte^ère^Pïi^bankqu’elk ïansje publie. - .. . . -, ..-ii rreupe^gisteji mjspélqRe, eila majorité “dans la Chambré .deft'ÿl^îi^s était délibérément hostile au Prési^nt et dspidéa k le fprcfir à la retraite, il faudrait qu’il s’en allîit. ; Cen’estpas là. la vémté ,,e:^ pour la très-siM ^é f üàisoiiiqtw'^ voiéë La maje- I rité de la Chambre a une action dans là machine gouvernementale, c’est cer- i tàin. Mmcettè.sfition n’est pae.améimn- ; déifànie.;!me p>ntpàuue,pqur,,unL,tigrs dànSla æ rèction:.&8'a|^ ' 1Les deux autésH..Mera sontl e P r | s | ^ t I delà'Rèpublîqnêétle Séimt. Or lesgehs qm imisonprat ç«pn^ M* Gambei^ sepiÛéht admettre: que Iftipa- et que, lorsqu eue a|>artô,ies ppuveirs tfpnt^ plim qu’à'. B’mâûhiera^i cela'était, poufquoi la- Osnstitpapsiati-' rait-elle créé, un prémdént mnnoT^ie, ei,unâéûat,? ^durquài: àuraat-^e ,ina-. tailè deux roiii^ite inütiies! Borugppi surtout aùraiir^e décidf quë'l'aqqeid 'du Eréndrat ét du,: ^nàt|;simitéàpQBT ,dissoudre. rAasjîmblë||''i«Mp. ■ . r ’-iïnyqùez jnaJ.e shàmenià tdutes^çndelai^ as la vnai^re, et qùjàu çnm^ipea ^t® Chambré èst.'^njoun sous l/s^er des dent autres p0uvoirs_. Oryle 16 Mai et jours, sniywta, que s’estr-il passé én .féalitéi.. ^ Sénat et;la Chambre des députéshés’èntsn&nt pas, le:ï*résidèht s’est éfibrcé.dé .té^lir. rac cord, et cela était nëcéssafré,' çapse,Bpsi!- hiStrés ne’pouvaient obtenir lq .psa|^ lité dans une assemblée qui,'à la oondi» tidn de la perdreLdaBS l’autre. - Il a donc pris le seul moyen que là Constitution. l!ii.lsissâÿ.lla. d’accord avec le . Sénat,' âlSs^'t lh”‘ChanMe. Cette Chambre revient, elle revient hostile au Maréchal. C’est"tres-bien. Mais celui-ci se trouve placé exactement dans le. situa tion qu’il Occupait avantle, Ï6" Mài, jll„8 nn'uunistëre qui déplaità ÛA'é.Çhàinbre etquiplaît à l’autre. Il peut le cohsd^ér. La Chambre ne veut pas màrchef ayi^^ Maréchal, le Maréchal peut m a^éfaTeé le Sénat. Oui doit se soumettre. Est-ce l e chalî Pas le moiïw du'mbnde. P o u ^ o i seioumettraît-il à l’Uife plutôt 4ù!à.ràu- tré-ctes ; deux 'Chanibrés ? Pon^ttbiÿ |qür gagn^latéajonté parmi 1^ depntite,^ rait4l forëé de la pérdrepifrmi Tes sdha- teurs? Voyons; cela h'è^_-p‘as: sérièüx.,’,, ; Mais qui'Monc alors doit se squhieftré, car il faut absolument quë ÿiël^n’un mette les pouces? ■Qui? La Chambre des députés. feuilleton do mn^LLISTE. ^ 28 OCTOBBÏ ioU. L’ŒIL DU DllBLE. :aiie de la ville disationdela,«^f.^ mprimenr, deuxième partie c’était avèc une ’PP , guivied’un dans une qu’il serrait bonheuraussilong 4";® \ousine et les deux petites ^®,®®iercouvrait les portant a ses ^\“es“dtS*tlrgents,"2 ' ra+fit ATitâiidiB une série de , bouteille à Poil dont il voulait détourner l’attention. Ce n’est pas du même. Ceci est du nectar. Et la tienne? Exquise, exquise, répondit Fqli en mesurant le vide qu’avait causé dans les flacons cette première lampée. Et les deux bons compagnons se re mirent de plus belle à leur JoyeUse be sogne que la sentinelle placée derrière eux surveillait d’un air d envie. — Tiens, camarade, dit avec con descendance Philips, qui fâché d’occuper le factionnaire, liens, bois un coup, laisse-moi faire. ^ Et il mit à la bouche du soldat ce bibe ron nouveau. . Tu le gâtes, Philips disait Poil. C’est contre .'a consigne. Mais, va,^ je permets tout de même par ce que cest téi.-’^ . . A Des trois hommes ainsi ^ u p é s, un seul, Philips, entendit un frôlement lé ger dans le corridor, et une minuteaprès In pas qui se perdit bientôt dans 1 esca- ' Il continua son manège de dix minutes. Puis au bout de ce temps ^ T L f r r d a n s la cellule et y trouva BlSe' à genoux. Tes j ^ ^ laHués du joié ét oÉfraat h; Mten plications pour la réussite complète de l’entreprise si bien commencée. Allons,- mes enfants, dit tout^ haut le sergent, ü est temps de vous séparer, ij fautêtreraisonnables.Venez.madame, venez. . . Il sortit chargé du panier, désoraiaM inutile, et tenant par .le bras Elise dont le visage était caché par son mom- choir. ' . j • — Poil, dit-il, je te remercie de .ta complaisance. Eemetslà, s’il te pWt, les deux bouteilles vides. Bien. Maintenant madame me charge de de t offrir ces dix guinées en témoignage de sa recon-r,, -naissance. •' , 'i —C’est trop de bonté, dit. le sergent un peu ému et par. ce ricto prèMut et par la liqueur qu’il yenait d absorberi n reprit sa lanteïne et, par acquit de consciencè,_eh:'flingea la, lueur dàns- l’intérieur de-l* céHule-’n» 14. Mais- Philips, qui guettait, interpow sa large pefsonnff entre la'lantcrne et la porte, de façon à laisser dans une pro- dente obscurité la céUule inhabitée. Puis tout èn poussant la porte, il dit d’un ton profondément pénétré ; Pauvre jeune homme! respectons sa douleur. Poil n’insista pas, imprima à la Mr- rure'un double tour bien inutile et des cendit, précédaimii Elisent Philips. Les clefs furetit temise*;:»! ^ e h e û e r . et;deüx ittintttdà plûè tard, Phffips ef EUse'retrouvaient; à l’enhpit où ils 1 ar- valent laissé, Joseph-Marie. , ; . — Monsieur le vicomte est paru ei déjà loin, dit l’enfant. „ ■ . — Monsieur Philips, dit Elise en .ten- idant au savent un portefeuille gonflé de bank-notes, TOUS avez tenu votre pro- 'messe, je tiens là mienne ; mais je ne me iconsidère pas quitte envers vous. Avez- vous encore quelque chose à me ue- imahder? ' — Oui, madame. — Parlez, alors. -.-C’est le, sort de ce pauvre PoU,notre complice involontaire, qui m’inquiète. _ Je vous promets qu'il ne vous am - vera rien de désagréable ni à 1 un ni l’aùtre. .. ^ . Pendant qu’ils regagnaient, en qew- sant ainsi, 1» villa, le -vicomte Gaston fie qiE avait suivi de pomt en pomt exavec , buo *bslo. “T'“ »T a du sergent, courait à toute bnde da côté de Baren-Hill. a a Il était enveloppé des piete à la téte dans sonmanteau, et la cocarde à son chapeau suffisait pour lui ouvmu éhemin au miUeu des Mùvoisde 1 wmé® anglaisé en marebe sur les positions ''"êe^^qui le voyaient, ou.pluteU ’en- du qiM^ergénéral.et se rangeaisaàde-i vaathiL'; , il'ito'erfyàït ■A ,g vra n faut maintenant revenir en arrière et rejoindre le camp dè t a Fayette, d’oil' nous nous sommes élMguésteùnWItBléht' où Aubryot venait fia quitter le j e i ^ ^générab-après avoir cherChéÙ.fairîB néiî- itre dans son âme dès' sonpÿons snr:la l^anté de Gaston. On a vu en quels termes La Fayette avait défendu son compatéiote ét éompa^ gnon d’armes. Pourtant, avec les res ponsabilités doiventcroître Ired^sitéës, ' etiLne goùtait pas toute la sécurité que. réponse semblait indiquer. S’il eût été dans l’obligation dé dres ser là liste des hommes sûrs qui 1’^ touraient, il n’en aurait pas exclu Gais» ' tonde Bsquetel; mais surpris deue jus- certaines actions dé ce dentiérdfihiient fie mysterreux, peut-être auraitill'm3à à la suite.de son nom iih point cfifftefroi- gatièn. Néanmoins, Aubryot avait subi un échec et n’en était que plus éxàspêfé. conto son rival et plus décidé à pouià» suivre jusqu’au bout Pœuvre crirSnilelle /qu’ilp’était, d’ailleurs, plus maître d’ar rêter. L’ordre de lever le camp venait .d’être donné- Dans deux heures, on.,alMt ;io - mettre en marche, et devant lés'teniès^ s’aiÿreteitile repas à la suite devait partir» . T V

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Nousne savons si les nouvellistes n ontI paspris, unpeuà lalégère, le nom du

F r > ^ C T IV y i N / n o b le g é n é r a l qui commande lc T caros.t " | V | 1 Dans tous les cas, pour cette hypothèse

■ » ■“ 1 comme pour bien d'autres, il convient;d’att -.ndre ce que feront le Maréchal et le Sénat dont l’alliance soliderendrainutile toute attaque contre le pouvoir.

On annonce la mort a’un jeune prince russe, neveu et aidè-de-camp de 1 empe­reur, le prince Serge de Leuchtenberg, tué glorieusement à l’ennemi d une balle dans le front, dans une reconnaissance.

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CONSEIL GÉNÉRAL

ÉLECTIONS Dü 4 NOVEMBRE 18T7

Canton de Senlls.

CANDinAT : ,

a n c i e n A V O ü i ,

C an ton de P ont.

H A R L . É

Conseiller sortant.

Conseil d ’Arrondissement.

C an to n do Bet*

COHSTWT MOQUETConseiller sortant.

c an ton de SantenU

HECTOR LEFÈVREConseiller sortant

b u l l e t in

Sen tis , le 2T sep tem bre 187T

T oujours la “ ^me in d ^ S ^ u r sk ^ jou rs les m êm es raco ’-^vig des c o n - ïnêm es h y p o th èses s u r le sab le des

s’est l ia U n g u é j^ t t^ P ^ ^ MaréoUal

contre Suleyman-Papha. Il avait dans les veines du sang français, puisqu il était le petit-ôls du prince Eugène de Beauhamais. . ,

On n’a pas bublié lors des premiers succès des Eusses en Bulgarie, la peinte audacieuse faite par le général OoMko enEoumélie. Débouchant des Battans par la passe de Shipka, il battit les Turcs à Kezanlik et jeta l’épouvante dans tout le vilayet d’Andrinople. Malheureuse­ment, ü n’avait avec lui qu’une poi^ée d’hommes qui dut se retirer devant des forcés trop supérieures. La retrmte se ht touiovirs en bon ordre et le défilé conquis est encore aux mains des Eusses, malgré les assauts terribles tentés parSuleyman- Pacha. Le général Gourko avait donné là des preuves d’une énergie et d un sang-froid hors ligne. Tacticien habile, il sait inspirer une confiance illimitée a ses troupes, c’est certainement un des meilleurs divisionnaires de larmée-de l’empereur. Le grand éta^major comprit tout le parti qu’on pouvait tirer d un pa reil soldat, et le Czar lui confia une divi­sion de cavalerie de la garde, armée de carabines de précision, avec la mission de se lancer sur le flanc gauche de Plewna, et de couper les communications d’Osman-Pacha avec la viUe de faoha, qui lui sert de magasin d’approvisionne­ment, et sur laquellé le général turc evar eue ses blessés *t ses bouches mutiles, chose importante pour une place de guerre a u x trois quarts investie et dont ffes soldats peuvent manquer de vivres d’un iour à l’autre.

Le général Gourko, qui a commencé son mouvement offensif, vient de débuter par une victoire importante. Il s est em­

paré d’une po^ohtdrqaeffdftémeht’fe-tranchée, entre iGofny-I^hniak _ et Tileseh',- après .tin comtat acharné qur a ! duré dix ^heures et idtùs; léqu^ il a fait prisonnier Adunet-Efi^'.Pacna, (ay*bpuu îhef d'état-awor. ibesuçpupd'dfficiers,-

'3,060 fàhtassins e ù n M ^ e n t de cayçr leHel liés troupés'ross^ put pM q,u»wé danohs, una grande q^htité d’arinM et -démunitiohs. Le g^éral GmAo , s’est iretranché sur ia ohaùsséé d é '^ la . _ y

Les dépêches tux^éS parlent A penne decBiCombat; eileï disent;simplement quelea troupésjottomanes oifr dû * tb- piiiêr devant des frwces- supérieures ét ■qü’eiies attendent des renférts.

Si le général russe sait manier avec l’habiletéét i’àüdace dont i l a fait preuve

- usqu’ici la .masse: de cayalétié qu ila sous ses ordres, la position d’Osman- Pacha, enfermé: dans Plewna, ayant ses communications coupées, pourra devenir dé plus én plus critique, et le g é n é ra l turc peut êtri-fproé de se rendre da déiai peu éloi^é.

de la colonie,»méricainsv dans lebo tiie rg^- nieerea l’hoanaur de i ’ancien piétidentaee BtateTÜnisBa grand banqbst par laonaonpi- tion publique. . ' ; .

Lundi prochain, à la légation améncaint un:grand dhteri-adqael lont invités le maré| cbM de .MaerMahon et tous les msmteées dttcabinet, aeis offert an généré

•ènéral. ans un

La Potrie annénée que M. le çenéral Bei> thaut, m inistre de la ugerre, est-deoiae a quitter le ministèré avant la rentree des Chambres.

Les ioumaux républicains continuent à dresser la liste des élections qu’ils se propo­sent debasser.. La mpMii'Ue fra^< ^e an­nonce que I les élections de MM. dsFourtou à Eibérac, Decàzès àPuget-Théniers, et Kellsr à Belfort. contre, lesquelles sent roleves de nombreux faits de pression ou de corruptien, seront très-probablement annulées par la Chambre des députés.»

La formation d’une réunion plénière des gauches, dont M. Ciambetta poursuit le p ro ­jet, rencontre toujours la plus yiTè résistance dans les groupes républicains.

Tous les ambassadeurs des puissances étrangères auprès du sont à leurs postes, sauf celui d AUemag^.

L’absence du ptsaoe do MoheMohe, les circonstances dCtueUes, doM eUeu à b e i ^ coup de commentaires dans le monde diplo­matique. ________ _

Le général Grand arrivera de Londres à j Paris mercredi soir. _

Hier s’est tenue une reunion de membres

La reine Pomaré est morte le 11 septembrej son filSjArsiené a été proelamé roi des: Des dé la Société.

Le président de la BépubUque vient de re-i eévoir la lettre par lequèlle le roi dé Bavière lui hotifié là naissance d’une brincesse, m e du prince Louis de Bavière èt de.M " la l ^ - ‘ cesse Itarie-Thérèsè de Bavière, née arcludu-; ckessé d*Autfiché-l*BBte» /

Le Mémorial d’Amiena annenee que l’ami­ral DOmpierre d’Hormoy, par suite du corn--, mandement dent E vient d’étre pourvu,, re­nonce a la candidature pour le Conseil gené- ral de la Somme.

C!est k tour* qno'len jrpitns.«m <«*- dit^ ’ le«sa*«6ÉI<iitiîee-iiiarw tele dreitioe mare ;

I ' connattre à l’aide d’effidies blancheslsé noms des candi.iats coneervateurs aaix élections des conseils généraux. , . .

Les afachés -bénches sont exclusivement réservéœ eux élections législatixes.

Le gouvernement vient de, s’opposer è la réunion du congrès ouvrier qui devait se tenir à Lyon.

ET LE SÉNAT?M. Gambetta vient de pjpnonpOTpn-

coreun discours. C’est à Chateau-ChinoD et aon plus.au: cirqae Myersq.u’« coulé cette éloquence.^Ce 4"® Grumbette a pu dire, iltfest pas Un de nos lecteurs qui ne le saqhe 'd’avance, qui ne 1 ait en­tendu ouTu au moins vingt foie.: Il aMit que lé suffrage universel avaitété torturé, et'quéUéanmoins,ilayaitaf-^firm^ d’ùné façon éclatante, m volonte et sa solidarité avee la majorité de l an- cienne Chambre des députés. Il a .explir. qué par la pression administrative, mais d’une assez-piteuse façon, le s u ^ s de sa prophétie qui consistait h ■ affirmer

u queles 363reviendraient400alors'qu’ils I sent revenus 313 seulement.

. M. Gambetta, dans ce discours, et itôus ses coréligioimaires dans leurs I ! professions, de foi sont les plus inttres- 1 santps victimes d’une erreur grossière

. qü’iï in^jte^ère^Pïi^bankqu’elk ïansje publie. - .. . . -, ..-ii

rreupe^gisteji mjspélqRe, e ila majorité “dans la Chambré .deft'ÿl^îi^s était délibérément hostile au Prési^nt et dspidéa k le fprcfir à la retraite, il faudrait qu’il s’en allîit.; C e n ’e s tp a s là . la vémté ,,e: pour la

trè s -s iM ^ é f üàisoiiiqtw'^ voiéë L a m aje - I rité de la Cham bre a une action dans

là m achine gouvernem entale, c’est cer- i tà in . M m cettè .sfitio n n ’est pae.améimn- ; déifànie.;!m e p>ntpàuue,pqur,,unL ,tigrs

d à n S la æ r è c t i o n : . & 8 'a |^' 1 Les deux autésH..Mera sont le P r |s |^ t I delà'Rèpublîqnêétle Séimt.

Or lesgehs qm imisonprat ç«pn^ M* Gambei^ sepiÛéht admettre: que Iftipa-

et que, lorsqu eue a|>artô,ies ppuveirs tfpnt^ plim qu’à'. B’mâûhiera^i cela'était, poufquoi la- Osnstitpapsiati-' rait-elle créé, un prémdént mnnoT^ie, ei,unâéûat,? ^durquài: àuraat-^e ,ina-. tailè deux roiii^ite inütiies! Borugppi surtout aùraiir^e décidf quë'l'aqqeid ' du Eréndrat ét du,: nàt|;simitéàpQBT , dissoudre. rAasjîmblë||''i«Mp. ■ • . r

■ ’-iïnyqùez jnaJ.es h à m e n ià t d u t e s ^ ç n d e l a i ^

as la vnai^re, et qùjàu çnm^ipea ^ t® Chambré èst.'^njoun sous l/s^er des dent autres p0uvoirs_.

Oryle 16 Mai et jours, sniywta, que s’estr-il passé én .féalitéi.. Sénat et;la Chambre des députéshés’èntsn&nt pas, le:ï*résidèht s’est éfibrcé.dé .té^lir. rac­cord, et cela était nëcéssafré,' çapse,Bpsi!- hiStrés ne’pouvaient obtenir lq .psa|^ lité dans une assemblée qui,'à la oondi» tidn de la perdreLdaBS l’autre. -

Il a donc pris le seul moyen que là Constitution. l!ii.lsissâÿ.lla. d’accord avec le . Sénat,' âlSs^'t lh”‘ChanMe. Cette Chambre revient, elle revient hostile au Maréchal. C’est"tres-bien. Mais celui-ci se trouve placé exactement dans le. situa­tion qu’il Occupait avantle, Ï6" Mài, jll„8 nn'uunistëre qui déplaità ÛA'é .Çhàinbre etquiplaît à l’autre. Il peut le cohsd^ér. La Chambre ne veut pas màrchef ayi^^ Maréchal, le Maréchal peut ma^éfaTeé le Sénat.

Oui doit se soumettre. Est-ce l e ’ chalî Pas le moiïw du'mbnde. P o u ^ o i seioumettraît-il à l’Uife plutôt 4ù!à.ràu- tré-ctes ; deux ' Chanibrés ? Pon^ttbiÿ |qür gagn^latéajonté parmi 1 ^ depntite,^ rait4l forëé de la pérdrepifrmi Tes sdha- teurs? Voyons; cela h'è _-p‘as: sérièüx.,’,, ;

Mais qui'Monc alors doit se squhieftré, car il faut absolument quë ÿiël^n’un mette les pouces? ■Qui?

La Chambre des députés.

f e u i l l e t o n d o m n ^ L L IS T E . ^28 OCTOBBÏ ioU.

L’ŒIL DU DllBLE.

:aiie de la ville d i s a t i o n d e l a , « ^ f . ^ mprimenr,

deuxièm e partie

c’était avèc une ’PP , guivied’undans une qu’il serraitbonheuraussilong 4";® \ousine etles deux petites ^®,®®iercouvraitles portant a ses

^ \“es“d tS*tlrgents,"2

' ra+ fit ATitâiidiB une série de ,

bouteille à Poil dont il voulait détourner l’attention. Ce n’est pas du même. Ceci est du nectar. Et la tienne?

Exquise, exquise, répondit Fqli enmesurant le vide qu’avait causé dans les flacons cette première lampée.

Et les deux bons compagnons se re­mirent de plus belle à leur JoyeUse be­sogne que la sentinelle placée derrière eux surveillait d’un air d envie.

— Tiens, camarade, dit avec con­descendance Philips, qui fâché d’occuper le factionnaire, liens, bois un coup, laisse-moi faire. ^

Et il mit à la bouche du soldat ce bibe­ron nouveau. . „

Tu le gâtes, Philips disait Poil.C’est contre .'a consigne. Mais, va, je permets tout de même par ce que cesttéi.-’ . . A

D es tro is hom m es a in s i ^ u p é s , u n seu l, P h ilip s , e n te n d it u n frô lem en t lé ­g e r d an s le co rrido r, e t u n e m in u te a p rè s I n p as q u i se p e rd it b ie n tô t d an s 1 e sc a -

' Il continua son manège de dix minutes. Puis au bout de ce temps

^ T L fr r d a n s la cellule et y trouva BlSe'à genoux. Tes j e « ^ ^ laHués du joié ét oÉfraat h; Mten

plications pour la réussite complète de l’entreprise si bien commencée.

Allons,- mes enfants, dit tout hautle sergent, ü est temps de vous séparer,ij fautêtreraisonnables.Venez.madame,venez. . .

Il sortit chargé du panier, désoraiaM inutile, et tenant par .le bras Elise dont le visage était caché par son mom-choir. ' . • j• — Poil, dit-il, je te remercie de .ta

complaisance. Eemetslà, s’il te pWt, les deux bouteilles vides. Bien. Maintenant madame me charge de de t offrir ces dix guinées en témoignage de sa recon-r,,

-naissance. •' , 'i—C’est trop de bonté, dit. le sergent

un peu ému et par. ce ricto prèMut et par la liqueur qu’il yenait d absorberi

n reprit sa lanteïne et, par acquit de consciencè,_eh:'flingea la, lueur dàns- l’intérieur de-l* céHule-’n» 14.

Mais- Philips, qui guettait, interpow sa large pefsonnff entre la'lantcrne et la porte, de façon à laisser dans une pro- dente obscurité la céUule inhabitée. Puis tout èn poussant la porte, il dit d’un ton profondément pénétré ;

Pauvre jeune homme! respectonssa douleur.

Poil n’insista pas, imprima à la Mr- rure'un double tour bien inutile et des­cendit, précédaimii Elisent Philips.

Les clefs furetit temise*;:»! eheûer. et;deüx ittintttdà plûè tard, Phffips ef

EUse'retrouvaient; à l’enhpit où ils 1 ar- valent laissé, Joseph-Marie. , ; .

— Monsieur le vicomte est paru ei déjà loin, dit l’enfant. „ ■ .

— Monsieur Philips, dit Elise en .ten- idant au savent un portefeuille gonflé de bank-notes, TOUS avez tenu votre pro- 'messe, je tiens là mienne ; mais je ne me iconsidère pas quitte envers vous. Avez- vous encore quelque chose à me ue- imahder?' — Oui, madame.

— Parlez, alors.-.-C’est le, sort de ce pauvre PoU,notre

complice involontaire, qui m’inquiète. _ Je vous promets qu'il ne vous am -

vera rien de désagréable ni à 1 un nil’aùtre. .. .Pendant qu’ils regagnaient, en qew-sant ainsi, 1» villa, le -vicomte Gaston fie

qiE avait suivi de pomt enpomt exavec ,buo*bs lo. “T'“ »Tadu sergent, courait à toute bnde da côtéde Baren-Hill. • a a

Il était enveloppé des piete à la téte dans sonmanteau, et la cocardeà son chapeau s u f f i s a i t pour lui ouvmuéhemin au miUeu des Mùvoisde 1 wmé® anglaisé en marebe sur les positions

''"êe^^qui le voyaient, ou.pluteU ’en-

du qiM^ergénéral.et se rangeaisaàde-ivaathiL'; ,

il'ito'erfyàït

■A,g

vran faut maintenant revenir en arrière

et rejoindre le camp dè ta Fayette, d’oil' nous nous sommes élMguésteùnWItBléht' où Aubryot venait fia quitter le j e i ^ ^générab-après avoir cherChéÙ.fairîB néiî- itre dans son âme dès' sonpÿons snr:la l^anté de Gaston.

On a vu en quels termes La Fayette avait défendu son compatéiote ét éompa gnon d’armes. Pourtant, avec les res­ponsabilités doiventcroître Ired^sitéës, ' etiLne goùtait pas toute la sécurité que.

réponse semblait indiquer.S’il eût été dans l’obligation dé dres­

ser là liste des hommes sûrs qui 1’ touraient, il n’en aurait pas exclu Gais» ' tonde Bsquetel; mais surpris deue jus- certaines actions dé ce dentiérdfihiient fie mysterreux, peut-être auraitill'm3à à la suite.de son nom iih point cfifftefroi- gatièn.

Néanmoins, Aubryot avait subi un échec et n’en était que plus éxàspêfé. conto son rival et plus décidé à pouià» suivre jusqu’au bout Pœuvre crirSnilelle

/qu’ilp ’était, d’ailleurs, plus maître d’ar­rêter.

L’ordre de lever le camp venait .d’être donné- Dans deux heures, on.,alMt ;io - mettre en marche, et devant lés'teniès^ s’aiÿreteitile repas à la suite devait partir» . T V

fort» . ' . ; » ' . IÊ U e a im e l a C o n s titu tio n . EU e T eu t E U e a i m e i a i ^ o ^ ; a , ^ ; a p u s I m - lî

* ® ^ [ ^ ^ : ! D o n s t i t u # ï i eongmt^5=lS ° W S S ' A n r « " U u e m e n t

S é e d ^ l o B e n . de la majontédela

S S ü & ^ u e M Æ

” K " i Ï Ï S i i . Udoitreste^ jnsque^

M ^ le s iâ ^ d S é n a t et les idées de la Cbüâmbre. , .

te mettent, tout simplement le uoigtdMM l’œil.

taires, les. détenteurs du capital et lessine d« canstater

V o ^ f h is to ire teÙ ë q u e 1 é c r iv e n t s p^ j j^g gagg,g iu ch eB . Et i l se tre u v e des g e n s p o u r lap ro ire ! . .

N e-aotnm es-nous p a s te u jo u rs le p e u r p ie le p lu s sp ir itu e l de la terre^î - "■

c dù .Jiattre entre re- J y e n W # * ®*® impos- ^ f i r e des pertes es-

ns cette affare.

üne bonne Nouvelle. _ _

- i . E n d é p i t des d é n it a u s s i de l ’in flu e n ce in é v ita b le q u e

s ^ ^ “ î r r L ‘ï ï i * Æ S

. E é î r - ^ p œ r rdîreots une augmentation exception S A X de neuf millions sur les p S s io n ïd u budget et de plus de sep mlüons sûr les recettes de la meme

: r t S ^ S p u W . p . . u a »

inaiiceuTre électorale. ugOn peut l e u r rendre cette 3’ » '°*’

GauchMu’ontjamàis mis en usage dépa­reilles manœuvrès - deur passage au po - Tcdr s’ést constamment traduit, a toutes

f f lS Œ r » 7üïS«rtoiu..»envers nous, reconnaître q ue la vie du dégrèvement partià, UotM Gaillaüx, aurait quelque résultat ï û e , X n arrivait à la pratiquer une fois par an.

Le Monde penversé,

Q u e l curieux et instructif recueil on ferait en réunissant toutes les élucubra­t io n s sorties depuis cinq mois des écri- toires en àéUre des divers comités de la

® X ^ ssib le d’y discerner le vrai du

^ ^ u t y est confondu. Les idées se brouillent.;Les mots se dénaturent. Les rôles y sont intervertis comme a plaisir.

^Constitution! Par qui croyez-vous qu’elle est menacée? Par le ^M chal, qui en est le meüleur gardien et eu de­meure la clef de voûte ] usqu en 1880.

La paix? Qui est accusé de la compro­mettre» Ceux-là même qui la main- t i lX n t et en sont les plus sûrs gmants

Le résultat du scrutin du 14 octobre a été faussé. Par qui!

P a r le G o u v ern em en t ‘ ,C ’ e s t l u i q u i s’e s t p lu à r é p a n d re 1m

bruits de guerre. C’est lui P ,de soixante circonscriptions, a fomenté

» o « » .m êm e le s ém issa ire s de l ’to te rn a tio n a ^^ ^

Vénus de Suisse, deterre et de P o lo g n e , parcourent nos camnames et te r ro r is e n t les ruraux.

^ s hommes d’ordre sont traités de révolutionnaires et les démolisseurs se t^ fo rm e n t en défenseurs de la so.;;

t'maréchal de Mac-Mahon veut tout W e X e r tendis que M. Bonnet-Du- verdier dévient le type du conservateur,

•M Tnnilf le d.9 SWC6MS® prudeiice.“ Æ d f Æ n t a n’a jamais montréla moindre bravoure, jamais il n a rem- n o r t è de'victoires. M. Gambette au con-

m a ré c h a l d e M ac-M ahon s’e n fu y a it i ta v a n t le s c asq u es p ru ss ie n s p e n d a n t q^ueM .< îam b ette v e rs a it so n s a n g p o u r

qui s’est enrichi pendant la

bourse et la santé î

“ 'oŸ S b d é fe n se u rs d e ^ p r o p r i é t é

L a O u e r r e

Vienne, 25 oetob.' Des nonveile» dm théâtre de la guerre, pM-

ta n t la date d’hier, annoncentque le memejo u r le double bombardement de P "les Eusses et dm fort de Saiat-Nmolas par les Turcs a reeommencé avec une vigmeM ex­trême. _

dorâbia, 24 ootob.

Cette nuit, vers urne heure du m atin, on a entendu la canonnade do Plevna; h onse heuros elle continuftit.

Giurgero, 24 octobiu io u rd ’hui, à neuf heures, les Turcs de

Boustchonck ont oanonné les hatteiies russes deSlobosia, qui ont répendu.'L e feu conti­nue.

Oltenitza, 24 octob.Hier, une reconnaissance roumaine sur les

I bords du Dunube, composée de seiie doro- bantz, a aperçu des cavaliers turcs sur la nvedroite dm fleuve.

1 La fusillade a alors commence ; deux 1 uros ont été tués, les Boumains n’ont pas eu de

I blessés.Pesth, 24 octob., 1 h. 60 s.

L’amiral Hobart-Paeha a infûtiné un mem­bre de la commission européenne du Danube,

' oue, en vuàlde certaines éventualités, il éta­b lirait un second barrage à Sulina, destins a arrêter la flotille russe, très-nombreuse dans le bas du Danube. . .

On considère l’attaque des positions turques à Plevna comme prochaine. , , _

Par suite des pluies, les Eusses e t les Bou­m ains avaient abandonné une partie des tranchées. Ils ont repris activement les tra - vaux.

I Belgrade, 24 octab.Les troupes turques concentrées à la fron-:

tière serhe sous les ordres de Fazli-tM ha ont été dirigées l ’Hérzégovine pour être em­ployées contre le Monténégro.

Londraa, 25 oeV'b.S’il faut en croire une dépêche de Thérépia,

les canons turcs ont réduit au s ü e ^ e Je» batteries russes du fort de Saint-Nicolas

^ D’après une dépêche de Sistova, le b ru it court que la gauche russe près de K oi^^bouk a essuyé un échec. D’u n autre côte, Chefket- Pacha aura it été repoussé avec pertes sur la route d’Orchanie à Plevna. Eéouf-Pacha aurait été aussitôt envoyé pour le renforcer. -

Une dépêche de SuUna, 23 octobre adressée au Dailÿ Teieproph, , annonce que le consul italien de cette ville ,est accuse d avoir fait des sigpaux aux Eusses.

On télégraphie, le 23, de Pera à la Ga«e«fI de Cologne : . x j ®

c On n 'a pas encore de renseignements de-' taUlés concernant la dernière grande bataille

nui a en Ueu en Asie ; mais on sait d une ma­c è r e certains que les dernieres nopvelles éiuiunt très-eiagérées. De petits détache­m ents rejoindront chaque jour le gros

' l’armée. . ♦ j i« Le gouTemement continue a garder le

I silence. >Kars, 19 octob.

Une sérieuse attaque des Eusses su r Tah- maz a été repoussée.

Le général Tsrgoukassof poursuit Ismaii- Pacha; une assez grande distança les séparé.

Bucharest, 25 octobre, 8 h. 20, soir.Ce 24 octobre, le général Gourko avec une

partie d e là garde a enlevé, après une heure d ^ lu tte acharnée, une forte position turque, entre Gomy, Doubniak e t Telisch surAa route de Sofla. Il a fait prisonnier Afmet-Efzi-Pa- eha. son chef d’état-maj or, beaucoup d offi­ciers, 3,000 soldats et to u t un regiment de ca­valerie • quatre canons, beaucoup de fusils et de m o t io n » ont été pris. Nos pertes sont m- connnes. m ais sensibles. _

Deux fois les Turcs ont arbore le pavillon parlementaire e t ont tiré sur nos troupes.

Le général Gourko fortifie sa position.Signé .• Gobtchakosï.

Constantinople, 21 octobre.Les dépêches reçues aujourd’hui de nos

commandants miUtaires annoncent les com-

'T e s tX >a*8 impériales ont attaque des

tœ té ’macoup de main contre cette P '^® ’îeT nôttes o i t vigoureusement “ I■«mi en lui infligeant une perte de 150 hom mes tués et d’environ 300 blessés. Les Eusses

droit e t gauche des troupes ottomanes v a n - T e h i f l k , près du camp de Kadikeui, mais Us ont été éi^lem entrepousses aveeune perte

*^*Nos soldats ont fait trois prisonniers et pris une grande quantité de fusils .et de mu-

“ D ^cô té d’Orchamie, les Eusses ®nt attaqué énergiquement les fortifications de Pellisch.

U s ont été vaincus e t repousses avec une

^ t h a t l M S a T p a c h a noua télégraphie de nue le 12-23 octobre au matin, les

Eusses té ta n t avancés en grand nombre du de la plaine de Müly e t du village de

ê « a . O u r a ^ , nos troupes se sont pottMS à ^ rencontre, e t, après ,«n c o m b a t j j i è ^ ^

D É f A R M K N T

Conaeli-iénéral.

AuûO Electeurs du canton de Sentis.Mes chers Concitoyens,

Je sollicite l’h o ^ eu r de vous re­présenter au. Gonsi^ général.

. Ma profession f i^ o i'se r a courte,.p a r c e (rà fv y O u s â^uislongtem ps.

I m i detous les véntables progrès, je vous offre un concours actif et énergique pour la défense et le dé­veloppement de yosintérêtsagricoles, commerciaux et industriels.

Indépendant par caractère et par position, je n’ai pas d’autre ambition ^ e celle d’être utile à notre canton et au département;

Les habitants de Senlis savent quu depuis 25 ans,j’ai pris une large part à toutes les questions intéressant notre ville, et que toujours i ai servi activement les intérêts publics qui m’étaient confiés.

Les habitants des campagnes sa­vent aussi que je ne suis pas étranger à leurs travaux et que je connais bien leurs besoins.

Électeurs du canton.Je mets à votre service un dévoue­

ment soutenu, une ferme volonté de contribuer au bien-être de tous en aidant, par mes efforts, a la P™sp^ rité de la ville de Senhs et au déve­loppement de toutes les ncbesses denotre canton. . ,. ,

' Un mot encore : bien qu il ne s a- gisse que d’une élection adm inisto- tive, je tiens à vote faire connaître mes sentiments politiques : Je sou­tiendrai la République conservatrice et le Maréchal de Mac-Mahon-

Veuillez agréer. Messieurs et chers Concitoyens, l’assurance de mon en­tier dévouement.

FRÉMY,Conseiller municipal à Senlis

viens de nouveau et pour la 4° fois solli­citer vos suffrages. -

Le mandat que vous m’aviez conne, n’avait alors aucun caractère politique ; aujourd’hui la nouvelle constitution qui régit la France, ajoutant aux attribu­tions des conseillers d’arrondissemen , celle d’élire les sénateurs, je dois dire franchement et loyalement quelle sera ma ligne de,conduite.

Convaincu que la République est le seul gouvernement capable de donner a notre pays, l’ordre, la paix et la prospé­rité, je ne voterai que pour des candi­dats républicains et dont la conduite aura donné à la société des gages o®t- tains de modération, de fermete et de patriotisme. , ,

Agréez, messieurs les Electeurs, ‘. as­surance de mes sentiments dévoués.

BORDE . Exploitant de carrières

C o n se ille r d ’a rro n d is se m e n ts o rta n t St-Leu-d’Esserent, 24 octobre I87J.

s s a s i i x sLa Mairie nous adresse un nouveau

Communiqué. L’heure à laquelle nous le recevons nous empêche de l’insérer dans notre numéro d’aujourd’hui.

E ïA T -C IV IL DE SENLIS du 20 au 28 ocloire I8T7.

NAISiXaCESDescauchereux (Alexandre-Gervais).

DBCBS

Margry (Ckarles-ilessidor), 18 ans 4 mais Jordan-Mellle (François), 80 ans.G o b e r t ( C h a r l o t t e - 4 d r i e n n e ) , 1 1 a n s ,e p o u s e

Pillas.Maréchal (Jean-François), 88 ans 4_mois. Culsy (Jean-Françdîs), 18 ans 4 mois.

PVBLIOATION

. Leguillette (Louis-Constant), garçon boucher, demeurant à Nanteuil-le-Hamlouin, e t Llle Lefèvre (Brnestine-Louise-Félieite), sans profession, demeurant à hévignen

SoeUté M usicale «te SSenlis.La Société musicale de Senlis se fera enten­

dre, aujourd’hui Dimanche 28 octobre, à trois heures de relevée, sur la place do la Halle.

PR O 0BA M M E

I 1. Le Souvenir, par redoublé R o b e b t .3. Fantaisie sur Fra Diavolo Aubee.

' 3 . M a r i a » * , p o l k a ...................................... G u il b e e t .[ 4 . Une Alerte au, Bivouac, o u v e r t . C l o d o m ie .

5. Souvenir du temps passe, (juu- d r i l l e . . .................... ...........................

tendre dire par une voix autorisée, que riiom- me, que l’enfant n ’ont pas seulement des droits, qu’ils ont aussi des devoirs. Devoirs envers soi-même, devoirs envers la famille, la société et la patrie, devoirs evers Dieu, ont été successivement rappelés. Une société qui comprendra ce mot devoir, e t dont chaque membre sera bien persuadé qu’à côté de ses droits, il y a les droits de son semblable qu’il a pour devoir de respecter, ne saurait man- , uer d’être une société heureuse e t prospère.Ce petit discours fut écouté d’autan t plus at­tentivement, que M. le conseiller général, dans un langage noble et simple su t toujours se tenir à la portée de son auditoire, composé en partie d’enfants, e t que l’on sait par expé­rience que, dans sa bouche, le mot devoir n’est pas un m otv.de de sens. Nous regret­tons de ne pouvoir reproduire ce discours, qui. nous en sommes sûr, ferait plaisir à ceux qui le liraient comme nous avons eu du bon­heur à l’entendre.

Bientôt après, la proclamation des prix, dont plusieurs furent offerts par M. Harlé, du livret de caisse d’épargne de 50 f;-. qu’il donne à l’élève qui a eu le plus de succès au concours, des 26 beaux volumes qu il offre comme il le fit les années précédentes pour récompenser dans chaque école du canton, l’exactitude, la bonne con. uite et l’applica­tion, devait rappeler que, dévoué aux inté­rêts du canton, sachant sacrifier son temps, sa santé en faveur de ceux qui ont besoin de son appui, il est un des hommes qui ont com­pris qu’on ne saurait trop faire pour l’instruc­tion e t la benne éducation des enfants-

M. Payen, secrétaire de la délégation can­tonale, a ensuite donné lecture d’un compte­rendu détaillé des épreuves du concours et des certificats d’études. Nous avons retenu <lj ce compte-rendu très-intéressant, que le ré­su lta t du concours est satisfaisant pour la plupart des facultés dans la preniière divi­sion, et que, dans la deuxième division, il est bien supérieur encore, ce qui nous fait espe- rer pour les années suivantes les meilleurs résultats. Pour ce qui est des certificats d’é­tudes, M. le secrétaire a pu constater que garçons et filles, ont obtenu avec de mentions très-avangeuses.

La lecture de ce rapport a été suivie de la proclamation du résu ltat des compositions des doux concours, proclamation qui fut plus d’une fois interrompue par-les applaudisse- accordés aux vainqueurs.

PREMIÈRE DIVISION Prix d’excellence offert par M. Picard, con­

seiller général,ROUSSEAU (Edmond), de Vemeuil.

C o n a e l l d ’a r ro n d ls B e m e m * .

A u x électeurs du canton de Nanteuil- le-Haudouin.

Chers Concitoyens,Elu deux fois, par vous, menihre du

C o n se il d’arrondissement, je viens ue nouveau solliciter v o s suffrages.

Je dois, puis(3[ue le Conseil d arrondis­sement est devenu un corps, vous rendre compte de mon vote dans l’élection de nés sénateurs, et vous dire quelle ligne de conduite je sije prends part à une nouvelle élec-

* °J’ai voté pour les trois honorables sé­nateurs qui représentent le département de l’Oise, et mon suft'rage est acquis d a- vance aux candidats qui s engageront a défendre la République c’est-à-dire la Religion, la Famille, la

^''Agréez, Messieurs, mes sa,lutations.Hector LEFÈVRE,

Maire de la commune d’Ognes. 22 Octobre IBI?.

A u x électeurs du canton de Betz.Messieurs et chers Concitoyens,Les témoignages de confiance et de

sympathie que j ’ai toujours reçus de vous, m« font un davoir de solliciter de nouveau l’honneur de vous représenter au Conseil d’arrondissement.

Vous pouvez compter que, dans 1 exer­cice de ce mandat, comme par le passé, j i n’aurien rien de p l u s à cœur que les intérêts de vos communes efla prospé­rité de notre canton. . . ,,

D’accord avec la grande majorité d en­t r e vous, j e veux, vous le savez, la pra­tique franche et loyale des institutions

* ° M o n vote aux premières élections sé­natoriales vont est un sûr garant que je ne donnerai jam ais ma voix qu a des candidats dévoués a u x prmcipes de la République conservatrice qui, seule, donne sécurité au travail et garantit la paix, l ’ordre et la liberté.

Voire tout dévoué concitoyen.Constant MOQUEÏ.

A-^x électeurs du canton de Creil. Mon mandat est expiré, et comme j ’ai

conscience d’avoir rempli scrupuleuse­ment les devoirs qu’il m imposait, je

TI»éàti*e «le iSenlIs.Lundi, 29 octobre, aura lieu au théâtre de

Senlis, une soirée d’u i genre peu ordinaire.M. Fessier, directeur des matinées de

sciences amusantes aux Foiies-Dramatiques de Paris, nous donnera une seule représen­tation de son très-intéressant spectacle, com-

^ 1» La terre avant la création de l’homme^ ou le Berceau de l'univers, en 5 parties e t 35 ta­bleaux (système Ehodé). _ ,

2“ Les Merveilles du ciel étoile et le Système planétaire, tableaux mécaniques du plus hautintérêt. ...

3» Un Voyage autour du monde, ou une Vi­site aux curiosités naturelles du gl be.

4 0 Baptiste et son Chat, fantaisie artistique et comique, imitée de ürandville.

Pour les détails, voir les affiches e t pro- grammes.

C r é p y - e n - V a lo l s . — L’Institution St- Arnould vient d* remporter un succès qui lui fait honneur. _ , ■

L’élève Charles Daubigny a ete reçu la nre- m ierdes 102 jeunes gens admis au volonta- riat.

5 élèves présentés, 5 reçus : mm. Charles Daubigny, de Crépy ;

Louis Bataille, de Plessis-Belleville , Jules Mabut, de Senlis ; .Georges "Wallon, de Noue (Aisne);Jules Pinçon, de Crépy.

îtfc ry . — Un sinistre a éclaté dans la nuit du 21 au 22, vers m inuit uu quart, à la sucre­rie de MM. Crudenaire.

Le feu s’est déclaré au f^ur à chaux de 1 a- sine, pendant que les ouvriers qui y travail­lent prenaient leur repas. ^

Il aurait pris dans un tas de mannes et s est communiqué à la barrière en pitnches quientoure le foyer.

L’alarme donnée, tout le personnel de 1 u- siue conjura bientôt tout péril avec sa pompe. La population de Néry, accourue avec la pompe du pays, ne pu t donner un secours efficace. Tout était heureusement assure.

On estime la perte à I,00ô fr. Elle était cou­verte par un» assurance à la Société de secours m utuels des fabricants de sucre.

CETHOGE.IPHE

1«' Prix ; Rousseau (Edmond), de Yerneuil, offert par Mgr le duc d’-4umale.

2 ' Prix ex œquo : Legrand (Eugène), de Flea- tines,

Demézières (Acliilie), de St-V aast-do-Longinont..

CALCUL

Prix : Rousseau (Edmond), de Vemeuil, offert par M. Franck-Chauveau.

2« — Debout (Eiie), de Saint-Vaast-de-Longmont.

!

COHCOÜRS CÜNTOM&LCANTON DE P O N T -S A IN T E -M A X E N C E

La distribution des prix du concours can­tonal s’est faite .au chef-lieu de canton, le ieudi 11 octobre, sous la presidence_ de M. Harlé d’Ophove, conseiller général, désigné a cet effet par M. le préfet de l’Oise.^ d é l é " u é s cantonaux, sauf un qui s é tait fait excuser, les instituteurs du canton, les eleves qui avaient pris part aux compositions et un certain nombre de personnes de la ville et des environs avaient répondu a 1 invitation

’ ^M^ Harlé ouvre la séance par uu discours sur "le devoir. A une époque où on parle tan t h l’homme de ses droits, on est heureux d en-

HISTOIRE DB FRANCE

1 er Pfix : Demezières (Achillti), de St-Vaast, offert par Mgr le duc d’Aumaîe.

2» — Julien (Zéphir), de Villeneuve-sur-Verberie.

GÉOGR.^HIB

1 « Prix ; Antoine (René), de Rully, offcrtpar M. Harlé d'Ophove, conseiller gé­néral.

2 c — Roger (Georges), de Fleurines, offert par M. Harlé d’Ophove, con- hciller général.

ECRITURE

l^P rixc .» (xquo : Lesueur ( R a y m o n d ) ,de Poût- Sainte-Maxence, offert par M. Leclère, président de la délégation cantonale.

— Rousseau (Edmond), de Ver-neuil, offert par M. Harlé, conseiller général.

2» — Gaston (Olivier), de Pontpoint, of­fert par M. Harié d’Opheve, con­seiller général.

AGEICBLTÜEE

Prix unique ; Debout (Eiie), de Saint-Vanst- de-Longmont, offert par U . Sagny, délègue cantonal.

DEUXIÈME DIVISION Prix d’excellence, offert par M. Picard, con­

seiller général.HIRAUX (Gustave), de Pont-Ste-Maxence.

ORTHOGRAPHE

1 er P r i i : H iraux (Gustave), de Pont-Sainte* Maxenie, offert par M. tagny» délégué cantonal.

2 c — Menessier (Charles), de Verneuil-CALCUL

1« Prix ; Seuraux (Paul), de Pont-Saint*- Maxence.

2e H iraux (Gustave), de P o n t- S a in te *

Maxence.HISTOIRE SAINTE

1 « Prix ex œquo : H iraux (Gustave), de Pont- Sainte-Maxenee.

__ M enessier (Charles),de V erneuil.

2" Prix : Havy (Adolphe), de Roberval.I BCRITURE

1« Prix : Berna (Adolphe), de Pont-Sainte-<1V PTt fvo

2« — Hïraux (Gustave), de Pont-Sainte-Mhxenee. i ea-1

jqe pouvant donner les noms de tdus lesfants qui ont obtenu des mentions honora ’nous dirons qu’en résumé les écoles gu obtenu le plus de nominations cette as o n t c e l le s d e P o n t -S a in te - M a x e n c e , _n e u i l , Rully, S a i n t - V a a s t , F le u r in e s e t

h®” ®- offrtLe livret de 50 francs, que M. ,jechaque année à l’enfant qui a eu le psuccès au concours cantonal, a été ooten

i ^/!^[s ÔUSSEAU (Edihond), ^6 yerneuih -

On a procla tudes obtenu suivent :

Blanchard dc-L< iig ii

Debout (EiiiDemeziéresUAntoine (B Thiénard (.Qi Legrand ( Roger (6ea

Kelly Latou Céleste Péti Léonie Mah Julia Cardol E t on a ra p l

m is au mois <T munale des f

Ângèle Ba, Jeanne Pott Marie Cons| Albertine .r Léontine T i M. Harlé a j

ses accordées teurs du captl Conseil génért

1 ' A g r ic u l t iL Rappel de i j

rable. fM. Patin,

à Mentlévèqu 2» Agriculti

prix ; ’berie.

Rappel de . à St-Vaast.

Rappel i e Roberval. i

Mention h | Brasseuse, l

Restaient à l désignés c e ttr e t inS titu trid des autorités! tude, de bo j donnés par école.

Les voici communes :

Brasseuse.) che).

B ra y .- P a l 4he)«

Fleurines. • c ile).

Pontpoint. f (Uranie).

Pont-Saint^ Constant (Mai

Raray. — ■ (Claire).

Rhnis. — ■ (Marie).

Roberval. (Clémence).

Rully. — ' rie).

StrVaast. • - froy (Jeanns).|

Verberie. —1 ren t (Apollinel

Verneuil. —r m otte (Adolph—

V illeneuve-^ mé) e t Macré {

A la fin de ^ qu’il donnerail nées précédenl tous les enfa i» de caisse d’é p ^

Aussitôt a p j enfants, se sonf gent, où M . HM duit depuis q J une collation des vainqueur a aiguisé l'app que le silence classe, tou t s’j M. Harlé fut j institu teurs da

F paneastdie qui peuvaM eût éclaté p e n ^ quatre heuresl Verte, dans inhabitée de j b itan ts excité! tions environni forte cloche d j l’œuvre avec le | six heures, la j cinquante mèfi leur eontenanc quet qu’à M. nus la proie dii appartenant à j partie.

Le maire de 1 remercîments i Maison, Le Cd ViefviUers, Cri Luchy, le •a l! venus s’adjoind ont payé de leu dévouement, ) parmi lesquels J la Grange, ma* d’arroadisseme! du canton de ! paix du can te] maire de Crèv^ merie du cantofl Francastel, C rn liers, qui tous e tris te circonst

La perte est^ seul é tait assun

La cause, q ! veillance, est ju

isée, que IIkx seulemént des' ?; svoirs. Devoir»?, ira la famillè, l»;*! evers Dieu, ont Une société qui e t dont chaque u’à côté de ses semblable q u ^

<e saurait man- ise e t prospère, l’au tan t plus at- iseiller général, iplé su t toujours ditoire, composé n sa it par expé- , le mot devoir ns. Nous rcgret- ire ce discours, lit plaisir à eeux ivons eu du bon-

lation des prix , s par M. Harlé,,e de 50 î : , qu’il plus de succès au Diurnes qu’il offre précédentes pour école du canton, uite et l’appiica- ‘ lévoué aux inté- irifier son temps, q ui ont besoin de ornes qui ont com- ire pour rinstruc- ies enfants- a délégation can- ture d’un compte- s du concours et as avons retenu d j •essant, que le ré- .tisfaisant pour la la première divi- 5me division, il est [ui nous fait espé- Dtes les meilleurs ■ des certificats d’é- pu constater que

1 avec de mentions

a été suivie de la des compositions

nation qui fut plus ar-les applsudisse-

VISIONpar i l . Picard, con-

), de Vemeuil.

ond), de Verneuil, r le duc d’Aumale. (Eugène), de Fleu­

res (Achille), de St- -do-Longmont*

lond), de Verneuil, . Franck-Chauveau. de Saint-V aast-de-

chiile), de St-Vaastj gr le duc d’Aumale, ), de Villeneuve-sur-

), de Euily, offertpM )phove, conseiller gé-

îs), de Fleurines, of^ Harlé d’Opbove, con- ral.

r (Raymond), de Pont- e-Maxence, offert par ►clère, président de la ation cantonale, au (Edmond), de Ver- . offert par âi. Harlé, tiller général, er), de Pontpoint, of- Harié d’Opheve, con-

iral..TUEE

(Elie), de Saint-Vaast- ir II . tiagny, délégué

DIVISIONert par M. Picard, con-

,e Pont-Ste-Maxence.

EAPHE

tave), de Pont-Saints* offert par M. SagnJ» ntonal.Charles), de Verneuil-ZVL

aul), de Pont-Saint#-

itave), de Pont-Sainte-

;ave), de Pont- :ence. ^ ia rles),dè Ver-

oberval.

e Pont-Saint®*

ie Pont-Sainte*

de tt t is les eB3# ons honorables t j écoles qui ^ as cette a i ^ •Maxence, urines e t Ver-

, M. Harlé ,a en le pin»®*;;

, été obtenu ,

i o -

On a proclamé en suite les eertifleats d’é­tudes obtenus par les éleves dont l«s noms suivent :

GABÇONS

Blanehord (Ernest), de l’école de St-Yaast-de-Ltuigmont.

Debout (Elie), de S t-V aist.Demezières (Acbflle), de St-Vaast.Antoine (Kené), de Stdly.Tbiénard (Octave), de fet-Yaast.Legrand (Eugène), dAHeurmes. lloger (•eorges), de Fleurines.

FILLES

NpIIv Latour, de Verberie. ^Céleste Péters, de l’école de Verberie.Léonie Mabon, de Verbene.inlift Cardon, de Verberie. ^

S d e T ff l le s d e P o n t-S a in te -M a x e u o e :

Ângèle Barré.Jeanne Pottier.Marie Constant.Albertine Berthe,Léontine Triboulet.M. HarU

teursTu can ton , sur les fon ds v o tés par 1. Conseil gén éra l :

le Agriculture e t horticulture. ^Rappel de 1 " prix avec mention tres-bono-

Patin, institu teur à Fleurines, ci-devant à lîentlévêque.

D r^ p r ix f M. Payeur, institu teur à Ver-

Rappel de prix : M. Poulain, instituteur

' Ra'JpeUe 2- prix : M. Méret, institu teur à

® M e n to bonorable,:M . J o b , institu teur à

^ S a U n t à proclamer les noms des .nfants

i “ ï ï î Æ r ? . r . ; ; r . r r =

donnés par M. Harlé d’Opbove a chaque

‘ ' lss voici dans l'ordre alphabétique des

“" e u s e . - Bozée (Henri) it Lane p a n -

“‘‘bW - -P a rm is e n (Marcel) et Prévost Mar-

' 1 \ ; u r i n e s . - H u o t (Léon) e t Nantier (Cé-

‘“p o n tp o in t.-D e la ru e (Alexandre) et Yon

^ “ ntsainte-M axence. - H i r a u x (Gaston) et

‘ Ka*r‘“ ! b l g e (Alfred). et Parmentier

-D e la c o u r (Eugène) etBecquereUe

‘ ^ b t r a b - B a s s e l e t (Eugène) et Leclère

' “ l 'B e m y (Albert) et Bertrand (Ma-

" St-Vaast. — Demezières (Achille) et Geof-

" " Πe . - S e n f l o u r e c b (Etienne) et Lau-

” v e K - E o u s s e a u (Edmond, et Dela-

-D e b ra isn e (Ai­

mé) et Maoré (Eugénie).A la fin de la séance, M. Harle. a “ nonce

ou’il donnerait cette annee comme les an­nées précédentes une prime proportionnelle a tous les S L t . des écoles qui ont des livret,

AuisUôf % “ r i a distribution, m aître , et enfants se sont rendu, à l’hôtel du Lion-d Ar gent, oîiM. Harlé selon l’usage qu il a inteo- duit depuis qu’il est une collation qui est toujours des vainqueurs et des vaincus, dont le voya.ge a aiguisé l’appétit. Nous n oserions pas dire q u 7 îè y fut aussi qu a aL s s e , tout s’y passa tres-bien M. Harlé fut heureux de feliciter MM. les instituteurs de la bonne tenue des enfants.

c o a n - i E c u v E

C IiE B E lO M 'll

Franeastel. - Samedi dernier un in.en- die qui pouvait devenir très-desastreui, s il e t t éclaté psndant la nuit, s’est delare vers quatre heures e t demie de l’apres-m i^, rue Verte, dans la maison depuis longtemps inhabitée de M. Autiquet, Stanislas. Les ha- bitants excités par le tocslu e t les popula­tions environnantes appelées par le son de la forte cloche du village se sont tcus mis a l’œuvre avec le plus grand empressement. A six heures, la part du feu était^faite. Environ cinquante mètres de vieux bâtiments avec leur contenance appartenant, tan t â M. Auti­quet qu’à M. Lefèvre, Eugène, étaient deve­nus la proie des flammes, une meule d avoine appartenant à ce dernier a pu être sauvée en partie. . ,

Le maire de Francastel adresse ses sincères remercîments à MM. les pompiers d Oursel- Maison, Le Crocq, Doraéliersj le Saulchoy, Viefvillers, Crèvecœur, ’ Auchy-la-Montagne, Luchy, le •a lie t e t Puy-la-VaUée qui sont venus s’adjoindre à ceux du pays, et qui tous ont payé de leur parsonne avec le plus grand dévouement, ainsi qu’à tous les travailleurs, parmi lesquels on rem arquait M. Vasselle, de la Grange, maire d’Oursel-Maison, conseiller d’arromdiesement, M. Chevallier, juge de paix du canton de Froissy, M. Judeune, juge de paix du canten de Crèvecœur, M. Dufour, maire de Crèvecœur, la brigade de gendar­merie du canton, ainsi que MM. les curés de Francastel, Crèvecœur, Le Crocq et Domé- liers, qui tous ont rivalisé de zélé dans cette triste circonstance.

La perte est d’environ 3,000 fr. M. Lefèvre seul était assuré en partie.

La cause, qui paraît provenir de la mal­veillance, est jusqu’alors inconnue.

E e i iv l i i^ . — Dans la matinée de vendredi deraier,. M. Désiré Aubert, cultivateur, tra­vaillait dans sa pièce de terre au lieudit les Terres-des-Pauvres, terroir de Beaalieu-les- Fentaines, lorsque le sieur Jéau S,.., cultiva­teur au même lieu, qui labourait un champ voisin, lu i fit des reproches parce qu’il empié­ta it sur le sentier; puis, environ deux heures après, il vint le trouver et le frappa brutale­ment. Procès-verbal a été dressé contre S,..

K o ^ o n . — Un vol de trois lapins a été commis à Faide d’escalade, dans la nu it du samedi à dimanche, au domicile e t au préju­dice de M. Carpentier, Frédéric, charpentier à Noyon, faubourg Saint-Biaise. Auteur in­connu.

O u i* » e a iii |is . — Mardi, vers onze heures du soir, quelques habitants de l ’usine d ’Ourt- eamps fnreat réveillés en sursaut par les hen­nissements particuliers de chevaux renfermés dens urne écurie voisine. Ils se levèrent à la hâte et aperçurent une vive lueur qui se fai­sait jour à travers les tuiles de cette écurie. Un domestique couchait auprès des chevaux ; suffoqué par la fumée, il put néanmoins Tes délier et réussit à les sauver tous.

Peudant ce temps-là l’alarme était donnée, les deux pompes de l’usine de MM. Mercier, Meyer et G®, arrivaient sur le lieu du sinistre et se m ettaient en batterie pour attaquer,l’in­cendie.

Les pompiers s’attachaient surtout à pré­server les bâtiments .voisins. Au bout d ’une heure, ils étaient maîtres du feu.

L’écurie et les fourrages que contenait le grenier qui la surmontp ont été la proi^ des flammes.

Si le fléau n ’avait pas été combattu avec tan t d’intelligence et d’ènergie, il est certain que le feu aurait pu se communiquer d’un côté à une grange appartenant à M. Moral, e t de l’autre à l’usine d’Ourscamps.

P i e r r e f o u d s . — Le 23-courant, des gen­darmes se rendant à Saint-Etienne remar­quèrent sur la route un individu étranger à la localité; l'ayant questionné, i\$ reeonnn- reat que cet homme était en é ta t de vaga« bondage e t qu’il se li^ 'ra ità la mendicité. C’était un nommé Nicolas Legendre, âgé de 75 ans, m anourritr, né à Bisseuil (Marne), qui a été conduit à la malson d’arrêt de Com- piègne.

POLICE GORBEGIimiLLE DE GOIPIEESEPRÉSIDENCE DE M. DE BOCTCT»

Le siège du ministère public est occupé par M. deMxiNTXNANT, procureur do la

République.Audience du 20 octobre 1877.

Bauduin Mathilde- Théodorine- Estelle), 88 ans, veuveGaillard,manouvrièreà Thiescourt, est inculpée d’outrages envers le garde-cham- pétre de la commune. Ce dernier é tait allé prévenir la veuve Gaillard que ses deux enfants s’étaient rendus ceupables de marau­dage, et ce simple avertissement avait suffi pour irriter l’inculpée. Le tribunal condamne la veuve Gaillard à 24 heures d’emprisonne­ment.

— Leroux (Cyprien-Charlemagne-Fortuné), 54 ans, cultivateur à Avricourt, est aussi inculpé d’outrages envers le garde-champêtre de sa commune. Ltroux avait été froissé d’une observation que le garde-champêtre avait faite à un homme à son service, et il s’était cru autorisé à l’injurier. Le tribunal con­damne Leroux à 100 fr. d’amende.

— Encore un outrage à un garde-champêtre : Berloque (Louis-Auguste), 43 ans, manouvrier à Saint-Etienne, avait eu, dans un champ, trois betteraves endommagées. Sur le refus du garde-champêtre de verbaliser à raison dû peu d’importance du dommage, Berloque lui a prodigué les plus violentes injures. Le tr i­bunal condamne Berloque à 25 fr. d’amende,

— Un cultivateur de Vandelicourt était in­culpé d’outrages publics à la pudeur. Les en­fants qui se prétendaient les victimes du délit ayant renié à l’audience ce qu’elles avaient déclaré dans l’information, letribunal a acquitté le prévenu et l’a renvoyé des Ans de la poursuite,

— M. Andrieux avait fait opposition au ju ­gement du 6 octobre qui l'avait condamné per défaut pour diffamation e t injures publiques envers M. Dutilleul, à 1 mois de prison, 1,000 fr. d’amende, 1,000 fr, de dommages- intérêts et à l’insertion tn-ea;;ân5oda jugement, aux frais de M. Andrieux, dans plusieurs journaux du département.

L!affaire est revenu à l’audience de ce jour,M. Andrieux était assisté de M® Doumerc,

avocat du barreau de Paris, e t de M® Dap- sence, avoué à Compiègne.

Après la plaidoirie de M® Doumerc pour M. Andrieux, et M® Battelier pour M. Dutilleul, le tribunal a rendu son jugem ent qui maintient la condamnation prononcée par le précédent jugement, et condamne on outre M, Andrieux aux dépens faits sur l’opposition.

{Progrès] ,

Nous recevons la lettre suivante ;

Ognon, le 26 oçtohiè 18T7.Monsieur,

Je vois ïTSC le plus grand étonnement dans votre numéro de ce m atin que je viens de commettre « une petite monstruosité sin- tax ique»,etje lis en même temps cq « monu­m ent cacographique » comiuenté par une plume pédante, heureuse de trouver mon nom au bas d’une phrase incorrecte et d’en profiter pour tancer d’importance la Société d’instruc. tien et son président. Je regrette d’avoir à vous dire que je ne suis pour rien dans cette lettre de convocation qui a ai fort amusé votre collaborateur, et quejen’enaiquconnaissance que par le Nouvelliste,

Je vous entends ici voua récrier su r ce sans- gêüB de faire parler e t même écrire un homme sans l’en prévenir e t sur cette fagon d’im pri-

, , .M ...

mer tou t vif le nSûi'irün président de société sur desB tires 4ejcouroqstion<de. eette;6ociété, sans lui soumettre cealettres. J e ,p ^ à ia nulle

laitrs, m onsièürf que c’estj difficulté de,ÿe( ,: là un tort^ tr^ -véaie l assurément, e t fort I commun en tqute espèce d’association, mais

que, par le fdmjs.q'ui'cdurt; èt avec 'd s ad­versaires compte ceux qui' . sécrètent leur galimatiâs • ' o th s le Noweeliisie,, cela peut devenir une fisute gravef

Cependant,' Hpnsièur, ce n ’est pas unique­m ent pour ré lib lir une qnèètion de fa it que je vous écris cette lettre dont je vous demande l’insertion. Aiissi bien, le Jfoûeeliisfe. a m ^ t autant de peiné'à faire c r o i r e aux ,hébitents de notre cantétt que je ne. s |U pas écrire en firanpais, q a e ié /é a m o id è jSeni»» à fai.r<|| ad­mettre i ses l e ^ ù r apas rédiger uneTréquête^pu.des. eonclusiQns; e t c’est parce q ^ .d e pareilles attaques, im­pertinentes e t ridicules, sont absolument inur tiles e t sans pipitéé dans de» élest&ns can­tonales oh les candidats so n t par&Uetnent connus, qu'elles sont doublement, odieuses, et que Je m’étoime de les voir se produire dans votre journal. AssCz de graves divergences politiques nous séparent, sans que nous en soÿiom (si'c) réduits à aller cherchernos moyens d’attaque dans de puériles personnalités.

Permettez-moi encore d’ajouter un mot. Monsieur. Certains de vos amis ont affirmé tout haut qu’ils allaient me pourfendre, et qu’ils en finiraient cette fois avec ma gênants personne. Veuillez être assez bon pour leur dire de ma part que je ne crains pas plus leurs

' yiolences déclarées que leurs basses calom­nies, e t que je tiendrai.tête aux unes et aux autres, en temps e t lieu. Si l’escarmouche grammaticale de ce matin est ie premier acte de l’écrasement formidable qui m’est promis de la part de ces onctueux personnages le début n ’est pas des plus heureux et le senti­m ent public que vous essayez de soulever par de pareils moyens en fera de nouveau justice le é novembre procbain,

A&réez, ÿonaieuf, l’expression de mes sen­tim ents distingués,

Am. de C .u de Saint-Aïmook.

M. de Caix est mécontent ; il s’exhale longuement et aboutit à des pauvre­tés.

ïtépqnse ;1" M. de Caix nie la patènuiê liiÆér-

raire de 'son billet. Éh! biéh, nous avons où lé tort < véniel » assurément, d’appliquer le principe ; P a ter is ,est quem uTiEskÈdem om trant. Dont acte.

Les gens eux-mêmes qui ne < sécrè­tent pas de galimatias, » ont l’habitude de rendre responsables des écrits lés gens qui les signent. Si nous exagérons, nous prenons p*ur juge M. le Prési­dent de l’Instruction générale lui-même, qui, le 28 juin dernier écrivait à un de ses adversaires :« Jen’aipas l’habitude de me mettre à l’abri derrière les autres, et lorsque je fais bu dis une chose, j’en revendique complètement et personnel­lement la responsabilité. >

2* Nous demandons ce que M. Frémy, rédacteur de requête, vient faire dans cette galère.

3° M. de Caix s’imagine que notre iè- çon de syntaxe est une machine électo-, raie : que lui importe ? N’avons-nous pas le droit, nous aussi,de veiller à l'instruc­tion générale, sans que nous SCYIONS accusé de ceci ou de cela?

4° Quant au communiqué intime que nous so i.mes invité... delà part de no-, tre contradicteur à, signifier à d’onc­tueux personnages-, M. le vicomte Am. de Caix de Saint-Aymour n’a-t-il, plus de laquais pour le transmettre directe­ment ?

l eProbalillItéH du Semps pour m ots de novembire.

Voici, d’après M. Neyret. gendre et eonti- nuateur de Mathieu (de la Brème), quei sera le temps probable pendant le u o is de no­vembre :

Froid assez vif dans la région nard de la France du 1°'' au 5. Glace. Temps see dans la zona méridionale, vent,— Pluies & la nouvell» lune, qui commencera le 5 e t finira le 12, plus particulièrement dans la région du sud-ouest de la France. Neiga en France, de l’est à l’ouest notamment. Vent impétueux vers le 7 et la 11 sur toutes les côtes du continent européen. — Vent et pluies torrentielles au premier quartier de la lune, qui aommencera le 12 e t finira le 20. Pluies générales en Eu- ropé. Période d’une gravité exceptionnelle pour la mairie. — Crue de la plupart des flesves e t des cours d’eau. — Vent violent sur les monts alpestres, pyrénées. V ent fort dans les montagnes du Chftrolais, de la Cote- d’O re t des Vosges.— Ifeige: dans.les. con­trées montagneuses et dans tentés -les con­trées du nord de l’Europe. — Froid âpre. — Autre période gravé, à la pleine lune.-qui commencera le 20 e t finira le 27. Pluies inter­m ittentes, également fortes. Acealmies de courte durée. Vent violent vernie milieu de cette période,

FAITS DIVERS

Un terrible accident s jeté la consternation jeudi dans le quartier des Termes.

On exécute en ce moment d’im portants tra­vaux à l’église Saint-Ferdinand. A trois heures, un formidable craquement se faisait entendre derrière l’église j en même temps un nuage immense de poussière s’élevait de l’en- .' olos du chantier; un mur de trois ^ à g é s dé haut venait de s’écrouler, entraînant un écha­faudage sur lequeTonzeonvriers travaillaient.

. . Deux de ces malheureux ont été tués. L’uxi,; Ghanmont,'msrié e t père 'de &mille, est mort TOr-le coup-; l’autre, Nicolas, âgé de soxante- trois ans, é g a l^ e n t marié e t père de famille, a suM s^bé pen4ant.son4ranBport,à l’hôpital BeaiqonT -Cinq autres sont plus ou moins grièvement blessés. Le maître comp.agnon

. Mareel paraissait gravement atte in t et vomis­sait des fiota de sang.

Lés no'mmés Rigaut et Sausin n’ont dû leur - sa lu t qu’à' leur présence d’esprit e t à une extraordinaire énergie. Cramponnés à un ifflux.Qittr resté flehoat, ils se sont traînés & la force du poignet: jusqu’au clocher, par lë^nel iW ont p i redescend^.

Un ch^pentier qui traraillait au sous-sol a 'été cbuTert par les débris sans r^ero ir une égratignare.

^ conduits par deux architectea-experts, consistaient en' une prolongation de- U ^nef .qui devait presque douWer Fé^ise; «dûs fié üpperterone pas les bruits divers qui circulaient sur la cause de l’acSedent. Un de ceux qui nous paraisseut.nérïtar le plus

.de créancéj ■b’eet que le temps humide de ces derniera jours, .en nnpêehant les mortiers de prendre, aurait pu contribuer à récren leaen t d iim ur. »

Quelques instants aprè» Vaecident. une* foule finmense était déjà sur le lieu du sinis­tré, e t l’on entendait de tous côtés les lamen- t a t |^ 8 -dea femmes et dés enfants d e s m ^ - heureux ouvriers, qui aupartieinent presque tous à la population des Termes.

- T"^U l des ouvriers de l’imprimerie <Suyot, rue Pachéco, à Paris, a eu la tête enlevée par un arbre de couche auprès duquel il s’était imprudemment approché pour- ramasser une flole d’huile qu’il avait laissé tomber -

Les cris des m argatses occupées à la même presse flrent découvrir le terrible acci­dent dont, lé malheureux conducteur venait d’être viétime. Celui-ci-est m jrié, père d’une nombreuse famille. Deux de ses éntànts sont ouvriers dans rimprim erie de MM. Guÿot.

— Le coBsail municipal de Paris doit bien­tô t s’occuper du budget 4e l’octroi pour Tan­nés prochaine.

D’après ce budgst, les recettes sont éva­luées à 1 21 ,203 ,^ fr. Cette évaluation n’a rien d’exagéré, car Tannée dernière ToRroi a donné 124,466,231 fr.

— y Avenir militaire annonce que, par dé- cisioh' d u -13 açtobre, le m inistre de là gaerre a prescrit que,' dans chaque régiment d’in&n- terie, des congés de trois mois au maximum pourraient être accordés spécialement aux vingt meilleurs. tireurs, sous-officiers, capo­raux ou soldats indistinctement, pourvu que d’ailleurs la conduite et la manière de s e ^ r kabittelle de ces militaires fussent satisfai­santes. ,

Les chefs de csrps sent appelés à donner des notes à cet égard.

UOVEM OBiqiNAL DU BO K -B S UH UABIXaF

Le mois dernier, Mickael O’Laughlin, qui vivait depuis longtemps en mauvaise intelli­gence avec sa femme, mourait subitement à Frère-Prairie, dans TOrégim. Le service funèbre eut lieu en grande pompe dans l’église dont le défunt é tait membre, mais. Contre l’usage, le cercueil ne fut pas ouvert. Michael avait expressément recommandé, avant de mourir, qu’on le vissât dans sa bjère afin que sa femme, d, n t il avait eu sou­vent à. sa plaindre, n’eût pas la satisfaction de le voir une dernière fbis. ,

Peu de tem ps après l’enterrement, le bruit se répandit dans le village qu’on avait 'vu le défunt à quelques lieues dé là, le jour même des obsèques. Cette rumeur prit tan t de con­sistance que l’exhumation fut décidée. Le cereueil fut retiré de la fosse e t ouvert en présence d’aisistan ts émus, dont il serait difficile de peindre la surprice lersqu’ils 'vi­rent, au lieu du corps d’O’Laughlin, le sque­lette d’un mouton. L’opinion générale est que ' ichaél a joué cette comédie pour rompre définitivement les liens qui l’attachaient à sa f. mme.. L’idée est neuve et ne peut germer que dans un cerveau américain.

LE TUNNEL S003-MABIN

Les travaux pour la oenstruction du grand tunnel sous-marin, sous la Manche, dont on a déjà tan t parlé, sont commencées.

Un pujts est déjà creusé à cent mètres au- dessous du niveau de la basse mer ; une gale­rie est en exécution sous la mer, dans le cal­caire; elle aura un kilomètre de longueur. Ces travaux ont lieu à Sangatte.

— Un gros procès est à là veille de s’enga­ger entre la ville de Paria e t l’E tat.

H s’a ^ t du règléinèht des comptes de den­rées distnbuées pendant le siège de Paris, 1870-71. On sait que le ministère du coin- meroe.avait aceumnlé à Paris des approvi- sioitn'sments considérables de comestibles, en prévision du siège) e t que ces' provisions furent mises en vente par Tinterms.Rairs de la ville de Paris, représentée par ses vingt maires,

L’É ta t prétendrait rentrer aujourd’hui dans le m ontant intégral de toutes ces fournitures, qui s’élèvent à 1,5%,580 fr.

La Ville prétend n’avoir encaissé que 875 mille francs environ, e t d it qu’une grande quantité dé-ces prorisions a été donnée gra-- tuitem ent aux habitants des communes envi- ronnautes qui s’étaient réfugiés à Paris-, et qu’une importante quantité de ces marchan­dises ont été pillées ou dilapidées par les fé­dérés du 18 Màrs.

Nous verrons ce que nous apprendra et procès 1

T O V IM K P J

Cours du 26 oo».- Cours du 27 oct.

70 15 . 70 4099. * * / • - / . . . 99 26

S "/. . Y . . 106-65 & *I7 . . . , . 106 92

VARiÊTÉ. -

Les Prisons de Paris-s e v s L A c o m k ' ù È E ,

I I ILES P B E IoàB X S EXÉCUTIONS

(SDITX)

’ Le 22m ^, (les détenus du d é ^ i entendirent une lointa^e canonnade, et ne. tardèrent pas à apprendre que la dernière bataillé é tâ t en­gagée ; ils eurent l’espoir d’être très-prompte­ment délivrés, car ils étaient, persuadés que lés troupes ftanjaises allaient préeipitet leur marche en avant; ils partageaient l’illusion de toutes les personnes résidant, alj^rs'I’Pacis et. l’opinion, assurément fort 'désintéressée, des insurgés historiographes.

'c H ila plus belle année que la France ait jamais eue, dit Lissagaray tBisMgg^ de la Commaneji poussait droit devant âle. par les quais et.les boulevards totaléménit tieiges de barricades, d’un seul bcàd, sans lùrer un coup de fusil, elle étiàngleraitla Commune.

— « H est probable, a_ écrit Kossel, que l’armée aurait'pu; en se dévsloppant immé­diatement, occuper, dans la matinée (du 22) la ville proprement dite. .

— .S i les Veisaillais avjdent .eu quelque audace, quelque courage, dit Arthur Ainould (Paris et la Commune), ils auraient pu pen­dant la nuit et la matinée, par une pointe hanlie,. occuper les trois q u a ^ dh Faris, prqsque sans conp férir, x- -.

D’autre part, un historien militaire sérieux et dévoué a la cauSe dû gouvernement fran- ;ais a dit : < Si l’armée avait pu*'dàiis la journée et la nuit du lundi conrinner,’ saBS tarder d’une heure, d’une m inui^ so i mauTe- m s ^ o f^ s i^ dans Baris,.il eàt à j^iltirè^cer- tain qù)e}le eût traversé sans efforts tons ces essais dé barricades encore infbtmes e t b i ­bles (1 ).. ■ ' .

Ceci était vrai le dimanche soir 21 et le lundi22: le lendemain toufsvaifbiénèlîangé, et Paria comptait cinq cents quatre^vingt- deux barricades qu’il fallut enlever tme à une, ce qui exigea assez de temps pour permettre les incendies et les massacres.

Afin d’avoir la certitude d’éviter un. échec qui aurait eu d’incalculables conséquences, on avanja avec une prudence extrême ebnfer- mément à un plan longuement médité ' et de l’exécution duquel il ne fut plus possible de s’écarter au bout de vingt-quatre henrés de combat.

Le nombre des détenus était tel au dépôt que Ton avait été obligé de les réunir non- seulement dans les cellules e t les salles.com- . mîmes que le règlement leur attribue, mais qu’on les avait enfermés dans les salles com­munes des femmes. Celles-ci étaisntparqnées au premier étage, dans ce que Ton appelle l'annexe, section réservée où Ton place de pré­férence las jeunes filles que Ton veut isoler.

Cette partie de la prison, composée de Cel­lules précédées d’un assez large couloir, pre­nait ÿ>ur alors sur une étroite cour où.s’al- longeait la galerie en bois qui joignait les services administrati£s de la préfecture de police au cabinet du préfet. 'Vne distance d’un mètre ns séparait pas ce fragile couloir' en planches des fenêtres de Tannèxe.

Les malheureuses prisoimiéres ne se dou­taient pas qu’à deux pas d’elles on prenait, do minutieuses précautious pour brûler la prison où elles étaient incarcéress et tous les bâti­ments qui l’entouraient.

Le 22 mai,' vers six heures du matin, an fédéré, faisant fenction.de capitaine de place à la préfestsre de police, avait visité les caves et les sous-sols de la préfecture ; ce 'citoyen peu scrupuleux, mais docile, exécutait les ordres qu’il avait reçus directement de Ferré. .

H rechercha les endroits propices a recevoir les amas de munitions et les tonneaux de pou­dre destinés à faire sauter les bâtiments d’ad­ministration. Les emplacements, choisis avec discernement, furent une partie des caves, le poste des officiers de paix situé a Tisngle de la plase Dauphine, près de la porte princi­pale, le posté des brigades centrales établi à côté de la permanence, rue de Harlay-du- Falais.

La capitaine s’était fait guider dans sette excursion par un employé subalterne de la préfecture qui. fut immédiatement arrêté "et- conduit au dépôt, car c'était là un témoin qu’il était bon de supprimer jusqu’à l’heure du dénoûment préparé.

Ferré, s’il eût dirigé l’opération lui-même,j^ n’auinit sans doute point eu tant de' mtui- suétude et se serait contenté de faire fusiller l’individu dont il était urgent de s’assurer le silence au moins pendant vinqt-qnatre heures. J- I I était homme à ns reculer devant rie% et neus allons nous en convaincre. ^

(A enivre)

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Notaire à Sentis,D em an d ée u n PBINCIPAIi CLE®C",v.r

e t u n PETITC LEEC. ' ‘ • * '

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y, notaire àCrépy.deM-

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itp a ^ '^ e lS o Iè tr e .d e ^ S ' ^ a ^ n dtY& e^Su^i'Ûers

(ligne du Nord)

en dépendant conliaS’adresser à M-BENOIST. notaire à Senlis.

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ï i p l È C E S D Ê f l « S I\ - : : ,a ^ A A ^ m é ia k a i fà s : ^

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e»i»mi» i cet ^ ., 8.*di«»er pour les renseignements.. j,il^,BmüeDBléBLIN.aveué,peuiv

avoué, présent a

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