ECLAIRAGE, BRUIT et AMBIANCE THERMIQUE...ambiance chaude extrême la perméabilité à la vapeur...
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ECLAIRAGE, BRUIT et AMBIANCE THERMIQUE
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Les enjeux
pour l'homme
►sa sécuritéperception des risques de chutes, heurts, des zones de danger
►sa santéabsence de fatigue visuellesuppression des troubles visuels
pour le travail
►la qualitéles défauts,les rebuts
►la quantitérapidité,productivité
L’éclairage au travail
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Les « données d’entrée » pour concevoir une installation
OPERATEUR
aptitudes visuelles défauts visuels
âge
TACHE
caractéristiques
� Il faut amener une lumière « de qualité » en quantité suffisante par des systèmes adaptés au travail
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Des valeurs « repères » pour l’éclairement► Niveaux d’éclairement issus de la norme NF EN 12464- 1 :
750 à 2000Peinture, impression, travaux minitieux
500Bureau, travaux avec précision
300Atelier, zones de manut.., travail sur écran
200Vestiaires, cantine, toilette, archives…
150Circulation véhicule, quai de chargement, escalier
100Couloir et circulation piéton
75Parking voitures
Eclairement moyen à maintenir en lux
Espaces activités locaux
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Les « données d’entrée » pour concevoir une installation
OPERATEUR
aptitudes visuelles défauts visuels
âge
TACHE
caractéristiques
� Il faut amener une lumière « de qualité » en quantité suffisante par des systèmes adaptés au travail
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Eviter les problèmes de luminance
1. Eviter la présence de sources de lumières dans le c hamp visuel de l’opérateur (30° ED 85 Eclairage artificiel au poste de travail )
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Une lumière de qualité
►Des températures de couleur bien choisies…
Éclairement de 300 lux
couleur chaudeÉclairement de 300 lux
couleur froide
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LE TRAITEMENT ANTIREVERBERANT DES LOCAUX DE TRAVAIL
Art R 233-84
les obligations des maîtres d’oeuvre
� à la construction ou au réaménagement des locaux de travail
� lorsque LEX,d > 85 dBA
� réduire la réverbération du bruit sur ses parois lorsque cette dernière doit occasionner une augmentation notable du niveau d'exposition des travailleurs
�limiter la propagation du bruit vers les autres locaux
����Arrêté du 30/08/1990 – respect d’une pente DL
quand
comment
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L'arrêté du 30 Août 1990
introduit
une grandeur caractéristique de
l'acoustique des locaux :
la pente DL
explications
LE TRAITEMENT ANTIREVERBERANT DES LOCAUX DE TRAVAIL
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distance à la source (m) échelle logarithmique
nive
au s
onor
e (d
B) source
S
S
0 2 4 8distance (m)
78 dB
9084
CHAMP LIBRE
extérieur
(pente DL=6dB)
� la pente DL
définition : = décroissance par doublement de distance
� la pente DL du champ libre vaut 6 dB.
� en extérieur : le champ libre. Le niveau sonore décroît de 6 dB
chaque fois que la distance à la sourcedouble
� à l’intérieur des locaux :
le champ libre +
le champ réverbéré
Le niveau sonore décroît plus lentement avec la distance : il y amplification.
���� la pente DL est toujours inférieure à 6 dB
LOCAL
intérieur
(pente DL=3 dB)
la propagation du bruit – notion de pente DL
critère
réglementaire
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Lexd,8h Lpc
Mesures des niveaux de bruit auxquels sont exposés les travailleurs
niveau d’exposition
quotidien
niveau de pression
crête
Décret n° 2006-892 du 19 juillet 2006
VLE140 dB (C)87 dB(A )
VAS
VAI
85 dB(A )
80 dB(A )
137 dB (C)
135 dB (C)
Valeurs Limites d’ Expositionà respecter obligatoirement (PICB compris)
Valeurs d’exposition Supérieures
déclenchant l’ Action
Valeurs d’exposition Inférieures
déclenchant l’ Action
SEUILS REGLEMENTAIRES
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rappel réglementaire n° 1 Art R 233-84LA REDUCTION DU BRUIT EMIS PAR LES MACHINES
les obligations des constructeurs
� un principe : concevoir le plus silencieux possible« La machine doit être conçue et construite pour que les risques résultant de l ’émission du bruit aérien produit soient réduits au niveau le plus bas possiblecompte tenu de la disponibilité de moyens de réduction du bruit, notamment à la source »
� faire du bruit un critère de choix
� prévoir une clause bruit au cahier des charges
une occasion privilégiée :le renouvellement de machines
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L’AMBIANCE THERMIQUE►LES RISQUES :
1) L’inconfort thermique
2) L’hygrométrie insatisfaisante
3) Le renouvellement de l’air insuffisamment assuré
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L’AMBIANCE THERMIQUE
►Le confort thermique dépend :
– de l'environnement : en premier lieu la température ambiante et la température radiative mais également l'humidité et la vitesse de l'air (vent en extérieur, courant d'air en intérieur),
– de l'activité : toute activité physique produit un métabolisme qui tend à faire augmenter l'accumulation de chaleur dans le corps,
– des vêtements : les paramètres important sont l'isolation thermique du vêtement et de manière prépondérante en ambiance chaude extrême la perméabilité à la vapeur d'eau .
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L’AMBIANCE THERMIQUE► Assurer le confort thermique :
1) un chauffage assurant une bonne répartition de la chaleur et comportant un moyen de réglage dans le local
2) en période chaude : volets extérieurs, film solaire
3) En été activité légère : température de l’air de 23 à 26 °C
4) En hiver activité légère : température de l’air de 18 à 20 °C
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L’AMBIANCE THERMIQUE
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L’AMBIANCE THERMIQUE
► Assurer une hygrométrie satisfaisante :
1) humidification de la pièce (humidité relative de 30 à 70%)
2) En été : air rafraîchi, pas d’écart de plus de 6dégrés avec l’extérieure
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L’AMBIANCE THERMIQUE►Assurer le renouvellement d’air :
1) par une introduction non bruyante < 40 dB(A)
2) par des ouvrants donnant sur l’extérieur en veillan t à ne pas dégrader l’environnement sonore
3) 25 m3/h par occupant
4) vitesse de l ’air au poste de travail < 0,20 m/s
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L’AMBIANCE THERMIQUESystème de climatisation
Vitesse de l’ordre de 2 m/s
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Merci de votre attention