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www.saint-benoit.fr au profit de la Banque Alimentaire Mardi 15 février 20h30 La Hune Concert Classique Orchestre de l’Université de Poitiers Contact presse / Agnès Bozec Tel : 05.49.37.77.91 ou 06.63.05.59.52, [email protected] DOSSIER DE PRESSE Sommaire : Présentation de l’événement et du programme musical page 2 Présentation de l’orchestre page 3 Présentation des œuvres page 4 Présentation des solistes page 5 Les chefs et l’orchestre page 6 Présentation de la Banque Alimentaire page 7

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au profit de la Banque Alimentaire

Mardi 15 février 20h30

La Hune

Concert Classique

Orchestre de l’Université de Poitiers

Contact presse / Agnès BozecTel : 05.49.37.77.91 ou 06.63.05.59.52, [email protected]

DOSSIER DE PRESSE

Sommaire :Présentation de l’événement et du programme musical page 2Présentation de l’orchestre page 3Présentation des œuvres page 4Présentation des solistes page 5Les chefs et l’orchestre page 6Présentation de la Banque Alimentaire page 7

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Concert de l’Université de Poitiers

Depuis 2005, la municipalité de Saint-Benoît a décidé d'offrir, une fois par an, la gratuité de la location de la salle de spectacles La Hune à une association pour soutenir une action humanitaire ou une grande cause… La Hune a ainsi accueilli, dans ce cadre, les associations suivantes : Enfants sans frontières, Fanatenane, Association française des diabétiques, Un hôpital pour les enfants, Home Afrique et Asepia.Cette année, la ville de Saint-Benoît a choisi de répondre positivement à la sollicitation de l'Orchestre de l'Université de Poitiers afin d'organiser un grand concert classique joué au profit de la Banque Alimentaire. Ensemble, ils souhaitent faire de cette soirée un succès et remettre à la Banque Alimentaire la recette du concert pour le maintien de leur action chaque jour plus nécessaire. Le programme a été particulièrement conçu pour rester accessible au plus grand nombre et chaque œuvre sera présentée de manière pédagogique au public. Cette soirée se veut avant tout chaleureuse, ouverte à tous et bien entendu de grande qualité.

Le soutien de la ville de Saint-Benoît

Première partie :

Deuxième partie :

L.V. Beethoven- Ouverture d'Egmont

er ème- 1 mouvement du 5 concerto pour piano, soliste : Tao Xie

erA. Dvorak : 1 mouvement du concerto pour violoncelle, soliste Jacques LoiseauèmeS. Rachmaninoff : premier mouvement du 2 concerto pour piano, soliste Magali Ellul

C. Saint-Saëns : Danse macabre, soliste Jean-François Bersot

Le programme musical

L'Orchestre de l'Université remercie l'Orchestre Poitou-Charentes pour le prêt de

matériels (pupitres, instruments de percussion…) ainsi que de la présence de son technicien,

Max Bertrand. L'Orchestre remercie également le Conservatoire de Poitiers pour le prêt de

la harpe.

La ville de Saint-Benoît remercie Grand Poitiers pour le prêt du piano et l’ADECT pour la

gestion de la billetterie de la soirée.

Remerciements

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L'Orchestre de l'Université de Poitiers voit le jour en 1986. C'est une formation symphonique qui réunit une quarantaine de musiciens souhaitant pratiquer une activité de qualité dans une ambiance conviviale.

Le fil conducteur du projet est

l'orchestre est ouvert aux étudiants et personnels de l'Université mais également aux instrumentistes amateurs, aux grands élèves des conservatoires ou à des adultes souhaitant reprendre une pratique instrumentale. Rencontre pour ce programme avec de jeunes musiciens professionnels, étudiants au Centre Supérieur d'Etudes de Musique et de Danse de Poitou-Charentes au sein de l'orchestre ou comme solistes.

l'orchestre souhaite rencontrer d'autres musiciens amateurs lors de ses concerts, c'est ainsi qu'il a partagé des moments musicaux avec :

Dans le monde universitaire : tout d'abord avec la Chorale de l'Université de Poitiers (direction : Dorothée Maillard) pour des concerts partagés et la réalisation commune de la Missa Di Gloria de Puccini en avril – mai prochain. Echange l'année dernière avec l'Orchestre de l'Université d'Angers (direction : Olivier Villeret), projet d'échange avec les formations universitaires de Limoges et de La Rochelle [dans le cadre du Plan Régional d'Enseignement Supérieur (PRES)],

Rencontre avec des organismes de formation : dernièrement avec des membres de l'Orchestre Junior de La Lyre Mélusine (école de musique de Lusignan, direction : Grégory Juin) et avec l'Ecole de Cordes du Loudunais (direction : Nicolas Verdon)

Rencontre avec des chorales : outre la Chorale de l'Université, rencontre avec la Chorale de la Puye (direction : Michèle Debain), le Chœur d'Hommes du haut-Poitou (direction : Maryse Sonnet). D'autre part, l'orchestre participera à « Dogora », suite symphonique d'Etienne Perruchon, pour une série de concerts rassemblant 800 choristes adultes et 150 enfants en mai-juin 2012, concerts conduits par l'association Concerts en Vienne.

depuis septembre 2008 direction conjointe par Eric Valdenaire (Directeur du Conservatoire de Poitiers) et Augustin Maillard (professeur au Conservatoire de Châtellerault) en alternance selon leurs disponibilités.

enfin , le concert à La Hune est donné au profit de la Banque Alimentaire.

la rencontre :

Rencontre entre instrumentistes :

Rencontre avec d'autres formations :

Rencontre entre chefs :

Rencontre avec une œuvre humanitaire

L’Orchestre de l’Université de Poitiers

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Concert de l’Université de Poitiers

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Egmont, opus 84

concerto pour piano en mi bémol majeur op 73

Concerto pour violoncelle n° 2 en si mineur, op. 104 (B. 191)

second concerto pour piano de S.Rachmaninoff

Danse macabre, opus 40

, est une musique de scène constituée d'une et de neuf parties pour soprano, récitant et grand

orchestre composée par Ludwig van Beethoven entre octobre 1809 et juin 1810, destinée à la pièce éponyme de

Goethe. L'histoire et l'héroïsme du comte d'Egmont fournirent à Beethoven l'occasion d'exprimer au passage ses

propres préoccupations politiques, et d'exalter le sacrifice de l'homme condamné à mort pour s'être dressé

contre l'oppresseur.

Le est le dernier des cinq concertos pour piano de Ludwig van

Beethoven. Sa composition commence vers 1808-1809 et est à peu près contemporaine de celle de sa cinquième et

de sa sixième symphonie. Il a été créé par l'orchestre du Gewandhaus de Leipzig le 28 novembre 1811, le soliste

étant Friedrich Schneider, la surdité du compositeur étant trop avancée. La première viennoise est donnée le 11

février 1812 avec Carl Czerny au piano. Il est dédié à l'archiduc Rodolphe d'Autriche, son élève, dédicataire

également de son quatrième concerto. Il nécessite un orchestre comportant, outre les cordes, deux flûtes, deux

hautbois, deux clarinettes, deux bassons, deux cors, deux trompettes et des timbales.

Le titre « concerto Empereur » n'a pas été choisi par le musicien mais probablement par l'un de ses amis. Beethoven

n'avait d'ailleurs guère de sympathie pour Napoléon Bonaparte à cette époque.

Le , a été composé alors que Dvorak séjournait aux

États-Unis. Il prit forme et fut achevé durant l'hiver 1895. Ce fut le dernier concerto qu’écrivit le compositeur et

probablement le plus abouti, ses premières tentatives (Concerto pour piano, op. 33 et Concerto pour violon, op. 53)

ayant été critiquées pour la prédominance imposante de l'orchestre au détriment du soliste ainsi que le regrettait

le violoniste Joseph Joachim. L'œuvre se situe chronologiquement entre sa neuvième et dernière symphonie et ses

Poèmes symphoniques. Il eut l'idée de la partition après avoir écouté le concerto pour violoncelle n° 2 de Victor

Herbert, compositeur américain, connu essentiellement pour ses opérettes. Il existe une partition d'un premier

concerto pour violoncelle de 1865 mais il ne fut jamais orchestré par son auteur. La belle-sœur et ancienne élève du

compositeur (et amour transi de jeunesse), mourut peu avant la fin de sa rédaction. Il est possible que cela lui fit

modifier la fin de ce Concerto, mais Dvorak n'a pas laissé de témoignage à ce sujet. Son fils a cependant écrit plus

tard que le final était un hommage au « dernier amour du musicien ». L'œuvre a été dédicacée à son ami Hanus

Wihan, violoncelliste. Mais un différend artistique oppose les deux hommes sur certaines révisions de la partition

et Dvoøák récuse en particulier la cadence du dernier mouvement. La création eut lieu le 19 mars 1896 à Londres

avec Leo Stern au violoncelle accompagné par l'orchestre de la société philharmonique sous la direction du

compositeur.

Le est créé le 27 octobre 1901 à Moscou par le compositeur au

piano sous la baguette d'Alexander Siloti et obtient un succès considérable non démenti depuis. La composition de

ce concerto intervient juste après les trois ans de dépression nerveuse dans laquelle Rachmaninov a plongé suite à

l'échec de sa première symphonie, démontée par des critiques impitoyables. C'est grâce au traitement du docteur

Nicolas Dahl, un neurologue pratiquant l'hypnose selon l'enseignement de Charcot et qui lui conseille d'écrire ce

concerto, que Rachmaninov arrive à sortir de cette crise et retrouver sa créativité. Ce concerto sera dédié au

docteur Dahl en guise de remerciement.

La , est un poème symphonique composé en 1874 par Camille Saint-Saëns d'après un

poème éponyme d'Henri Cazalis. Jouée pour la première fois le 24 janvier 1875, sous la direction d'Édouard

Colonne, cette œuvre a été dénigrée par le public. C'est aujourd'hui un morceau célèbre. Cette danse macabre est

une version pour orchestre d'une mélodie écrite par Saint-Saëns en 1872. Minuit sonne. Satan va conduire le bal. La

Mort paraît, accorde son violon, et la ronde commence, presque furtivement au début, s'anime, semble s'apaiser et

repart avec une rage accrue qui ne cessera qu'au chant du coq. Le sabbat se dissout avec le lever du jour. La

première audition en 1875 surprit par l'emploi du xylophone, inutilisé à l'époque dans un orchestre symphonique.

Franz Liszt, ami du compositeur, en a effectué un arrangement pour piano seul, qui a été ensuite réarrangé par

Vladimir Horowitz.

Les Œuvres

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Concert de l’Université de Poitiers

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Tao Xie (piano)

Magali Ellul (piano)

Jacques Loiseau (violoncelle)

Jean-François Bersot (violon)

Tao Xie est née en mai 1990 à Chongqing en Chine. Elle commence ses études de piano à 7 ans

et de danse traditionnelle chinoise à 5 ans. à 14 ans, elle obtient en Chine son Certificate

National Music Examinations for Instrumental Performance (option piano). En 2007, ella

part pour Pékin en ayant pour but d’approfondir l’étude du piano en suivant les enseignements

de M. Chang-Xin Guan (professeur au China Conservatory). Pendant ses études musicales en

Chine, elle assistera au master-classes de M. Zhao-Xiao Sheng (professeur du Shanghai

Conservatory of Music). En 2008, elle obtient son baccalauréat littéraire en Chine et est

sélectionnée par le directeur du Conservatoire de Besançon afin de poursuivre ses études

musicales en France. Ainsi, elle a participé au 3ème festival de musique de chambre

Tetraktys au Château de Bournel ainsi qu’au festival des nuits au Grand Théâtre de

Besançon. En septembre 2009, Tao Xie entre au Centre d’Etude Supérieur de Musique et de

Danse (CESMD) du Poitou-Charentes et prépare son Diplôme National Supérieur

Professionnel de Musicien (DNSPM) dans la classe de M. Alan Kenneth. En parallèle, elle

prépare sa licence de musicologie à l’Université de Poitiers.

Magali Ellul commence ses études musicales au Conservatoire du Raincy (93) à l'âge de 7ans. À 15 ans,

elle entre au Conservatoire de Brest et au Lycée Fénelon en section F11 en ayant pour but de se

concentrer sur le piano. En 2005, elle obtient son baccalauréat F11 et continue ses études musicales au

Conservatoire de Vannes dans la classe de Fabrice Bourlet ; en 2007, elle obtient son Diplôme d'Etudes

Musicales (prix de musique de chambre, d'analyse et prix de piano à l'unanimité). Elle continue ensuite

au Conservatoire à Rayonnement Régional de Rennes en cycle de perfectionnement durant les deux

année suivantes, dans la classe de piano d'Agnès Postec, mais aussi en musique de chambre avec Laurent

Le Flecher, et en Ensemble de deux pianos chez Jean-Marie Maes. En septembre 2009, Magali entre au

CESMD de Poitiers où elle prépare un Diplôme National Supérieur Professionnel de Musicien, en cursus

parallèle avec une Licence de Musicologie, à l'UFR des Sciences Humaines et Arts.

Jacques Loiseau, né en 1983, débute ses études musicales en 1989 à Bourges (18) dans la classe de Nadia Cauvin. Après avoir

obtenu son DEM de Formation Musicale Générale en 1997, il poursuit ses études en 2001 dans la classe de Marc Benyahia-

Kouider au CNR de Poitiers où il obtient ses diplômes de violoncelle et de musique de chambre. Il intègre dans le même temps la

faculté de musicologie où il obtient en 2004 une licence de musicologie. Après avoir intégré la classe de Marc Didier Thirault au

CNR de Reims en 2005 et avoir participé à diverses master-classes (Roland Pidoux, Valérie Aymard, Jean Marie Trotereau,

René Benedetti) il se prépare à intégrer en 2009 le C.E.S.M.D. de Poitiers, où il y termine actuellement un cursus l'amenant à

obtenir prochainement le Diplôme d'Etat de professeur de violoncelle. Ayant joué en tant que musicien d'orchestre (avec

notamment l'Ensemble Orchestral du Loir et Cher) et/ou en soliste (orchestre du Conservatoire de Bourges, orchestre de

l'université de Poitiers), Jacques Loiseau a mené et mène en parallèle une importante activité d'enseignant en

Poitou–Charentes, Centre, Auvergne. Il est nourri d'un goût profond pour la pédagogie, d’une expérience très diverse en

conservatoire, établissements spécialisés ou établissements scolaires. Il enseigne actuellement dans les écoles de musique de

Puilboreau (Périgny), Melle, et Angoulême (association Acamac).

Jean-François Bersot a commencé à 8 ans le violon au conservatoire de musique de Nouvelle

Calédonie. Son intégration dans un groupe de violons nommé "les petits violons" lui a permis de jouer

dans des répertoires variés allant du classique au tzigane. Ses études de violon se sont achevées par

l'obtention du Certificat d'Etudes Musicales mention très bien avec félicitation du jury. Les classes

préparatoires math sup / math spé ne l'ont pas empêché de continuer le violon, c'était même

indispensable pour lui, sa source d'évasion. Puis il a repris le violon en orchestre au sein de

l'Orchestre Universitaire de Poitiers, dont il est le violon solo en parallèle avec ses études

d'ingénierie dans l'aéronautique à l'Ecole Nationale Supérieure de Mécanique et d'Aérotechnique

(ENSMA).

Les solistes

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Concert de l’Université de Poitiers

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Eric Valdenaire

Augustin Maillard

Eric Valdenaire a étudié le cor, ce qui lui a permis d'obtenir un premier prix au concours de l'Union des

conservatoires d'Ile de France. Admissible au CNSM de Paris, il sera lauréat d'un premier prix de musique de

chambre au CNR de Versailles. Il continuera sa formation musicale par l'étude de l'harmonie, du contrepoint, de

l'analyse et de l'orchestration. Avant d'être admis au concours de directeur d'établissement d'enseignement

artistique il étudie à l'Université de Caen afin d'obtenir une maîtrise en sciences de l'éducation. Il a joué dans

différents orchestres comme corniste avant d'enseigner le cor et de prendre les responsabilités de directeur

d'école de musique ce qui l'amènera en mai 2008 à prendre la direction du Conservatoire de Poitiers.

Compositeur, il a été lauréat du concours international de composition en 1999 organisé par la Fédération

musicale du Poitou-Charentes.

Tromboniste de formation, Augustin Maillard obtient au CNSM de Paris les prix d'écriture (analyse, harmonie,

contrepoint, fugue et orchestration). Il étudie la direction d'orchestre à l'Ecole Normale de Paris où il obtient la

licence à l'unanimité et la direction de chœur au CNSM de Lyon. Il dirigera les Chœurs du Grand Théâtre de

Tours pendant 3 ans. Il dirigera de nombreuses formations orchestrales de musiciens amateurs et/ou

professionnelles. Il a enseigné dans de nombreuses structures comme les universités de Tours et de Poitiers, le

CESMD Poitou-Charentes et le Conservatoire de Poitiers. Il demande sa mutation en 2008 pour Châtellerault où

il exercera un an l'intérim de la direction du conservatoire. Ravi de cette expérience mais voulant se recentrer

sur ses « fondamentaux » d'artiste-musicien, il y dirige maintenant des ensembles, enseigne l'harmonie et est

professeur référent sur l'action culturelle. Il a dirigé pendant 10 ans les productions lyriques de l'association «

Figaro Si Figaro La » de Montmorillon. Il dirige l'Ensemble Vocal Clément Janequin de Châtellerault, le Chœur de

chambre de la Vienne et, avec son épouse, des rassemblements de chorales dans la Vienne conduits par

l'association « Concerts en Vienne ».

Flûte : Pauline Binder, Camille Villain

Hautbois : Gérard Agius, Emmanuel Ginebre

Clarinette : Patrick Auriault, Hervé Doreau

Basson : Jean-Louis Dreveau, Marie-Josée Auriault

Cor : Muriel Charpentier-Leroy, Damien Roblin

Trompette : Charles Cartier, Benoit Perez

Euphonium : Samuel Chausse

Trombone : Elise Chollet

Percussion : Alexandre Lucas, Florent Moretti, Eric Rochereau

Harpe : Céline Benoisters1 Violons : Jean-François Bersot, Glaire Gastal, Dominique Marionneau, Benjamin Cloutourèmes2 Violon : Aurélien Adhumeau, Benjamin Madec, Hélène Lerignier, Hellenita Murs, Audrey Saintigny,

Nicolas Verdon

Alto : Agnès Garnier, Aurélie Grignard, Thomas Sahabi, Florian Texier

Violoncelle : Emilie Bordes, Christian Debouy, Anne Gastal, Jacques Loiseau,François De Stabenrath,

Guillemette Teffry

Contrebasse : Lucille Trougnou

Les chefs

Composition de l’Orchestre

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Concert de l’Université de Poitiers

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Concert de l’Université de Poitiers

La Banque Alimentaire

et la lutte contre la faim

La Banque Alimentaire de la Vienne est une association loi 1901, créée en 1988.

Elle collecte localement auprès des usines agro-alimentaires et des entreprises de la grande

distribution des denrées consommables, mais parfois non commercialisables (étiquetage

détérioré ou non conforme, par exemple). Par ailleurs, elle bénéficie des quotas de l'Union

Européenne, des fruits et légumes de retrait en raison d'une surproduction.

Le dernier week-end de novembre, la collecte nationale auprès du public permet d'obtenir des

denrées non périssables.

Aucun produit n'est acheté, rien n'est gaspillé.

Dans la Vienne, elle donne, après un tri rigoureux dans le respect des règles d'hygiène, la

totalité de ces denrées, tout au long de l'année, à près de 58 associations humanitaires, pour

10 278 bénéficiaires par mois (dernier chiffre de décembre 2010), leur permettant de

préparer des repas, de confectionner des colis pour les familles en situation difficile.

Le fonctionnement de la Banque Alimentaire est assuré essentiellement par des bénévoles qui

y consacrent tout ou partie de leur temps libre.

La Banque Alimentaire de la Vienne compte 3 salariés et plus de 100 bénévoles.