DOSSIER DE PRESSE SOMMAIRE - Bureau 2C+ · 2017. 1. 25. · Château Sanctus - dossier de presse 1...

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DOSSIER DE PRESSE SOMMAIRE 2. Faire éclore de grands terroirs 3. 15 hectares en appellation Saint-Émilion Grand Cru 4. S’en tenir au strict nécessaire 5. La quête du subtil équilibre entre puissance et élégance 6. Deux Saint-Émilion Grand Cru tout en finesse et douceur 7. Des investissements permanents 8. Caroline Gaulier, des livres à la vigne 9. Cogepa, propriétaire du Château Sanctus 10. Quelques chiffres et informations pratiques 11. Une visite s’impose, un séjour s’imposera Château SANCTUS 33330 SAINT-CHRISTOPHE DES BARDES Tél. : 05 57 24 65 83 - Fax : 05 57 24 78 26 www.chateau-sanctus.fr • [email protected] Contact Presse : bureau 2c+ Christine Jaussan Greco : 06 63 11 30 76 • [email protected] Charlotte Gaignault : 06 25 51 16 04 • [email protected]

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  • DOSSIER DE PRESSESOMMAIRE

    2. Faire éclore de grands terroirs

    3. 15 hectares en appellation Saint-Émilion Grand Cru

    4. S’en tenir au strict nécessaire

    5. La quête du subtil équilibre entre puissance et élégance

    6. DeuxSaint-ÉmilionGrandCrutoutenfinesseetdouceur

    7. Des investissements permanents

    8. Caroline Gaulier, des livres à la vigne

    9. Cogepa, propriétaire du Château Sanctus

    10. Quelques chiffres et informations pratiques

    11. Une visite s’impose, un séjour s’imposera

    Château SANCTUS33330 SAINT-CHRISTOPHE DES BARDES

    Tél. : 05 57 24 65 83 - Fax : 05 57 24 78 26www.chateau-sanctus.fr•[email protected]

    Contact Presse : bureau 2c+ChristineJaussanGreco:0663113076•[email protected]:0625511604•[email protected]

  • Château Sanctus - dossier de presse 1

    Classée au Patrimoine Mondial de l’Humanité,

    Saint-Christophe-des-Bardes,

    commune de la Juridiction de Saint-Emilion,

    se situe à l’est de cette ville au cru mythique,

    sur les hauteurs des coteaux de la vallée de la Dordogne.

    De vieilles demeures composent un village paisible

    encadré de vignes.

    En son centre, une église romane du XIIème siècle

    inscrite à l’Inventaire des Monuments Historiques.

    C’est à proximité de cet écrin

    de joyaux de l’architecture moyenâgeuse

    que le Château Sanctus

    étire ses 15 hectares de merlot et cabernet franc

    classés en appellation Saint-Émilion Grand Cru.

  • Château Sanctus - dossier de presse 2

    FAIRE ÉCLORE DE GRANDS TERROIRS

    Le Château Sanctus anciennement dénommé Château La Bienfaisance naît en 1990 de la fusion de sélections de parcelles acquises par le groupe Cogepa et sa banque partenaire, Eurofin.

    En 1997, le groupe Cogepa, appartenant aux familles fondatrices de la Populaire en 1910 devient l’unique propriétaire de la Bienfaisance qui compte, à l’époque, un peu moins de 14 ha.

    Dès 1998, Cogepa lance des investissements significatifs et s’entoure de professionnels du vin comme Stéphane Derenoncourt (en 2001). Ce dernier conseille notamment de procéder à une étude plus approfondie du terroir pour identifier les différentes parcelles et déterminer celles vouées à chacun des deux vins, Sanctus, « la crème du vignoble de la propriété » et Château La Bienfaisance. La tâche est confiée à Bruno Weiller, ingénieur agronome lequel réalise des centaines de ponctions dans différents lieux.

    Depuis, le domaine s’est développé par des arbitrages successifs sur l’achat et la vente de parcelles de vignes, lui donnant, d’une part une haute qualité de sols, d’autre part une large diversité de terroirs permettant des assemblages complémentaires.

    2015 incarne un renouveau. Le château est rebaptisé Château Sanctus, en référence au premier vin de la propriété : « Sanctus de la Bienfaisance ». Il confirme ainsi son retour au plus haut niveau et s’impose comme un Saint-Emilion Grand Cru à l’élégance unique

  • Château Sanctus - dossier de presse 3

    15 hectares en appellationSaint-Émilion Grand Cru

    Le domaine couvre une superficie de près de 15 hectares, en appellation Saint-Emilion Grand Cru depuis 1998, répartis sur trois terroirs :

    le coteau : sol argileux pour des vins de caractère charpentés et corsés, le plateau : sol calcaire pour des vins bien structurés, droits, puissants et racés, « Faurie » : sol sableux avec sous-sol aliotique (crasse de fer), pour des vins fins et élégants.

    Le merlot occupe 83 % de la surface ; le cabernet franc 17 %. Les densités de plantation sont de l’ordre de 5.500 pieds à l’hectare avec un âge moyen des vignes supérieur à 30 ans.Les replantations sont réalisées à plus haute densité (7.400 pieds/ha).

    Les vignes du Château Sanctus côtoient celles des grands noms de l’appellation : aux 2/3 sur le plateau argilo-calcaire (Château Trottevieille, Troplong Mondot…) et sur le prolongement argilo-sableux de ce terroir (Château Chauvin…). Rien d’étonnant donc à ce que de grands critiques jugent Sanctus digne d’un Grand Cru Classé.

  • Château Sanctus - dossier de presse 4

    S’en tenir au strict nécessaire

    L’utilisation des matières actives (engrais et produits phyto-sanitaires) se fait seulement au

    bon moment, et en quantités calculées, pour respecter la terre et l’environnement.

    Selon les parcelles, elles sont labourées, enherbées (céréales), désherbées mécaniquement sous le rang… afin de donner aux plants

    toute la vigueur de la terre ou au contraire ralentir leur développement.

    Les ouvriers agricoles procèdent à un double effeuillage - fin juin, côté Levant, pour la qualité des tanins ; en août, côté Couchant, pour l’ensoleillement et la maturation des raisins -, et à des vendanges vertes quand il s’agit de ne pas dépasser la concentration souhaitée, soit 6 grappes/pied en cabernet franc et 8 à 10 grappes/pied en merlot.

    Les rendements sont volontairement limités à 32 hl/ha pour le Saint-Emilion Grand Cru Château Sanctus et à 40 hl/ha pour le Saint-Emilion Grand Cru La Bienfaisance du Château Sanctus. Bien entendu, ils

    sont adaptés en fonction des millésimes. Par exemple, en 2003, ils ont été réduits à 21 hl/ha pour Château Sanctus et à

    30 hl/ha pour La Bienfaisance du Château Sanctus.

  • Château Sanctus - dossier de presse 5

    Lorsque les raisins arrivent à pleine maturité, ils sont vendangés à la main, transportés dans des petites cagettes et soumis à un double tri - un sur grappe et un sur baies - après un éraflage en douceur pour garantir l’absence de matière végétale.

    La saignée de cuves favorise une concentration encore plus intense. Liées, ces deux interventions, à la vigne et en cave, contribuent à la création d’un vin plus fin et plus élégant, à l’opposé de la seule recherche de puissance.

    Lorsque les raisins arrivent à pleine maturité, ils sont vendangés à la main, transportés dans des petites cagettes et soumis à un double tri - un sur grappe et un sur baies - après un éraflage en douceur pour garantir l’absence de matière végétale.La saignée de cuves favorise une concentration encore plus intense. Liées, ces deux interventions, à la vigne et au chai, contribuent à la création d’un vin plus fin et plus élégant, à l’opposé de la seule recherche de puissance.

    Les baies entières sont transférées dans les cuves par gravité. L’extraction des tanins et des matières colorantes est douce, grâce, notamment, aux nouvelles cuves en bois tronconiques ouvertes, dotées d’un système de pigeage. Elles offrent une excellente inertie thermique. L’aération limitée des jus régule leur vitesse de fermentation. Les levures indigènes sont privilégiées.

    La fermentation malolactique se fait en cuves thermorégulées pour les vins La Bienfaisance du Château Sanctus et en barriques 50 à 70 % neuves pour celles de Château Sanctus.

    L’ensemble du processus est réalisé sans aucune utilisation de pompe.

    Les vins finis sont écoulés en barriques et élevés sur lies avec bâtonnage, ce qui leur confère une attaque en bouche plus soyeuse, plus onctueuse avec davantage de gras, de volume et de douceur.

    Pour La Bienfaisance du Château Sanctus, l’élevage dure, selon les années, de 12 à 16 mois, 30 % en barriques neuves et 70 % en barriques d’un, deux et trois vins (1/3 de chaque) avec, suivant les millésimes, 2 à 3 soutirages. Château Sanctus, le premier vin reste dans des barriques neuves et d’1 vin (les mêmes que celles dans lesquelles il fait sa fermentation malolactique pour assurer une continuité) de 18 à 22 mois selon les millésimes avec un seul soutirage. Après un assemblage des plus minutieux en fonction des barriques et des terroirs, les vins sont mis en bouteilles et ils se reposent au moins 6 mois dans la quiétude d’un chai à température constante.

    La quête du subtil équilibre entre puissance et élégance

  • Château Sanctus - dossier de presse 6

    Le Château Sanctus produit deux Saint-Émilion Grand Cru qui se distinguent par le choix des parcelles, la proportion de cabernet franc, cépage qui « allonge les vins », et leur élevage.

    Le Saint-Émilion Grand Cru La Bienfaisance du Château Sanctus 85 % merlot, 15 % cabernet franc sur le coteau argileuxElevage 12 à 16 mois, 70 % en barriques d’un, deux et trois vins, 30 % en barriques neuves.

    Nez complexe de fruits rouges (groseille, cassis) où se mêlent senteurs de menthe et de tabac frais, avec, suivant l’évolution du vin, des notes grillées. Bouche charnue, structurée, mais d’une grande souplesse grâce à ses tanins fondus et soyeux. Un vin de garde qui évolue remarquablement, mais qui peut s’apprécier assez jeune, en raison de la rondeur apportée par la dominance du merlot d’une typicité très « Rive Droite ».

    Le Saint-Émilion Grand Cru Château Sanctus70 % merlot, 30 % cabernet franc plantés sur le plateau à dominante calcaire.Elevage 18 mois en barriques 50 à 70 % neuves.

    Nez intense de fruits noirs (cassis, prunelle, mûre) évoluant vers des notes florales auxquelles s’ajoutent, suivant les millésimes, des parfums d’épices et de fruits secs.La bouche, onctueuse, volumineuse, révèle toute sa puissance dans une matière dense et veloutée, dotée d’une belle minéralité qui révèle le terroir calcaire. La finale est longue, racée, soutenue par des tanins élégants.Le premier vin, Sanctus représente environ 1/4 des volumes produits par la propriété.

    Les étiquettesÀ l’occasion du changement de nom du Château Sanctus, les étiquettes se parent d’un habillage à l’image de la nouvelle image du domaine. Un design emprunt de simplicité et de modernité conservant le caractère mystique de l’esprit du lieu. Le S de Sanctus, élément principal de l’étiquette s’orne de dessins représentant des feuilles de vignes. Le violet, couleur déjà anciennement prédominante du Château La Bienfaisance, s’impose comme « la signature » Château Sanctus !

    Deux Saint-Émilion Grand Cru tout en finesse et douceur

  • Château Sanctus - dossier de presse 7

    2009, dans une nouvelle cuverie…

    Les cuves du Château Sanctus, d’âge, de composition et de volumes très divers ont été réorganisées pour une nouvelle fonction à partir du millésime 2009.

    Des cuves en ciment, les plus anciennes, n’ont été conservées que les petites. Les grandes, inadaptées aux besoins actuels du Château Sanctus, ont fait place, durant l’été 2009, à 4 cuves en inox de 55 hl et à 10 cuves tronconiques en chêne neuf de 45 hl thermo régulées, équipées d’un système de pigeage, laissées ouvertes durant la phase fermentaire. Ces ensembles de cuves sont desservis par des passerelles permettant un acheminement de la vendange par des petits wagonnets. Ils favorisent un meilleur isolement des productions de chaque parcelle pour un assemblage encore plus pointu.

    Désormais, la cuverie du Château Sanctus comprend :

    • 5 cuves béton, d’une capacité de 95 hectolitres, dédiées à la récolte des parcelles qui produisent les vins La Bienfaisance du Château Sanctus,

    • 4 cuves inox de 55 hectolitres qui, elles aussi, accueillent la vendange des parcelles La Bienfaisance du Château Sanctus,

    • 10 cuves en bois tronconiques de 45 hectolitres chacune, réservées à la vinification de Château Sanctus et de quelques raisins provenant de parcelles La Bienfaisance du Château Sanctus.

    …Chaque année dans les vignes ou en cave...

    • 2007 : acquisition d’un parcelle remarquable, dénommée « Champs de Rocheyron », 2 hectares 53 ares 10 centiares plantés pour 68 % de merlot et 32 % de cabernet franc

    • réfection de l’isolation thermique des toitures des chais à barriques.

    • 2008 : terrassement et plantation des parcelles « Causin » et « Rocheyron », rénovation du chai à bouteilles, création d’un chai à barriques supplémentaire.

    • tous les ans, achat de 60 barriques neuves.

    • 2012 : aménagement, dans une ancienne grange, d’un lieu d’accueil pour professionnels et grand public, d’une surface de 100 m².

    …dans les hommes

    Soucieux de donner une nouvelle dynamique à cette propriété qui recèle un très bon potentiel, Daniel Bendavid, Directeur Général de Cogepa Sa, s’est attaché les services de deux personnes d’expériences et de compétences dans le domaine du vin : Jean de Laitre, gestionnaire de domaines qui dirige désormais l’exploitation lequel a choisi Caroline Gaullier au poste de responsable technique.

    Des investissements permanents

  • Château Sanctus - dossier de presse 8

    2015 est une année de renouveau marquée par la mise en marché du premier millésime 2012 de la Maître de Chai, Caroline Gaullier.Cette renaissance est aussi l’histoire d’une belle rencontre, celle d’un terroir robuste du plateau de Saint-Emilion et d’une maître de chai, Caroline Gaullier, qui apporte aux vins une dose de féminité et de subtilité.

    Née à Blois un 24 novembre 1973, Caroline a d’abord suivi une formation littéraire à Paris, mais… selon ses propres termes « elle n’était pas assez sage » pour cette discipline bien policée. Elle s’engage donc dans une voie qui laissera davantage libre cours à ses initiatives : le vin. Ses années d’étude en BTS viti-oeno avec un contrat d’alternance la conduisent au Château La Tour Figeac. Elle ne cache pas qu’elle a eu beaucoup de mal à trouver un domaine qui accepte de la prendre : jeune, femme, parisienne… Elle avait presque toutes les « tares » pour un bordelais bon teint.

    Otto Rettenmaier propriétaire de ce grand cru classé de Saint-Emilion n’avait pas d’a priori. Il lui a donc ouvert les portes de ses chais. Pendant 16 ans, elle a assuré le suivi des vinifications, mais, comme bon nombre de quadragénaires, la quarantaine est une étape dans la vie qui bouscule beaucoup de choses. Elle commençait « à tourner en rond ». Elle rêvait d’un poste où elle aurait davantage de responsabilités, où elle pourrait prendre des initiatives. Ses amis, Christine et Stéphane Derenoncourt lui suggèrent de postuler au Château Sanctus. Après avoir vu trois candidats qui collaient parfaitement au poste, Jean de Laitre reçoit Caroline et…C’est le « coup de foudre ». Cette jeune femme, pétillante, audacieuse et dynamique est la personne de la situation. Jean de Laitre s’assure que son choix convient à Daniel Bendavid, directeur de Cogepa, lequel est également séduit par le charisme de Caroline. Elle se voit donc confier le poste de responsable technique de la propriété au mois de mars 2012.Elle sait que le terroir du Château Sanctus peut prétendre à un classement et, déjà, elle se fixe cet objectif.Elle a besoin de comprendre cette terre, de la sentir vibrer.Quand elle parle du chai de vinification, elle évoque une maternité. Quant aux chais d’élevage, elle les compare à l’école dans laquelle on grandit au fil des ans.Au Château Sanctus, « elle vit un rêve éveillé ».

    Jean De Laitre, gestionnaire de domaines, dirige l’exploitation depuis le début de l’année 2012.

    Caroline Gaullier, des livres à la vigne

  • Château Sanctus - dossier de presse 9

    Lors de son acquisition en 1990, le Château Sanctus (anciennement La Bienfaisance) appartenait pour 50 % à la Banque parisienne Eurofin et pour 50 % au groupe Cogepa. Depuis 1997, Cogepa a racheté les parts de la banque Eurofin et est l’unique propriétaire du Château Sanctus.

    Cogepa est un des dix plus importants « Family Office » de la place de Paris. Il est entré en activité en 1989, au moment où les deux familles ont cédé la Compagnie d’Assurances Athena, fondée en 1910 par le grand-père de l’actuel président de Cogepa, pour investir en commun le patrimoine résultant de cette vente.

    Le fonds Cogepa investit dans trois domaines : les entreprises en développement, l’immobilier et les marchés financiers, avec une vision entrepreneuriale de long-terme. À ces trois axes principaux, s’ajoutent la gestion de 2 hôtels en région parisienne (Mercure à Meudon, Holiday Inn à Jouy en Josas) et la propriété viticole (Château Sanctus). »

    Forme juridique du Château SanctusSCEA au capital social de 1.597.442 € Propriétaires de Cogepa et du Château Sanctus : les familles Duval-Fleury et Corneau.

    Cogepa, propriétaire du Château Sanctus

  • Château Sanctus - dossier de presse 10

    Appellation : Saint-Émilion Grand Cru

    Encépagement :

    Merlot : 12,5 hectares (83 %). Cabernet franc : 2,5 hectares (17 %).

    Densités de plantation : 5.500 à 7 400 pieds à l’hectare

    Age moyen des vignes : 30 ans et plus

    Rendements : 32 à 40 hl/ha

    Volumes produits : 65 000 cols an dont : 80 % en Saint-Émilion Grand Cru La Bienfaisance du Château Sanctus, 20 % en Saint-Émilion Grand Cru Château Sanctus

    Les ventes (hors primeurs via le négoce Bordelais), se répartissent :

    78 % sur le territoire national dont :

    CHR : 14 % GMS : 32 % CLIENTÈLE PARTICULIÈRE : 20 % NEGOCE : 12%

    22 % à l’exportation essentiellement en Belgique, Grande Bretagne et USA , la Chine

    Le Château Sanctus adhère à :

    Conseil des Vins de Saint-Émilion (ancien Syndicat Viticole de Saint-Émilion). La Maison du Vin de Saint-Émilion située au cœur de la cité historique. La Grappe (association de vignerons dont l’équipe de Derenoncourt Consultants suit les vins). Le Grand Cercle (association de vignerons bordelais).

    Quelques chiffres et informations pratiques

  • Château Sanctus - dossier de presse 11

    Une visite s’impose !

    Saint-Christophe-Les-Bardes n’est qu’à 3 km de Saint-Émilion. Les Bardes étaient des religieux chrétiens, anciennement appelés « druides » qui s’étaient établis dans la contrée où ils organisaient et animaient la vie sociale. Au cœur du village, quelques maisons très anciennes attirent plus particulièrement l’attention ; l’une d’elles en particulier remonte au XVe siècle. Moulins à vent ou à eau, lavoirs, puits, calvaires servent de décor naturel à cette bourgade. L’église, datant du XIIe, n’était, à l’origine, qu’une chapelle rattachée au Chapitre de Saint-Emilion. Ses dimensions étaient de 11 m sur 6,95 m. Rallongée à deux reprises, en 1860, le gâble qui la surmontait fut remplacé par le clocher actuel.

    Saint-Émilion, ravissant village médiéval, est perché sur un promontoire rocheux, la fameuse pierre calcaire qui fait la spécificité de son vignoble et qui confère aux vins une finesse incomparable et cette salinité qui les distingue de tous les autres.Jusqu’au XIXème, siècle des hommes ont extrait cette roche pour édifier l’ensemble architectural de la cité et les châteaux viticoles. En témoignent la présence de 200 km de galeries souterraines et la plus vaste église monolithe d’Europe. La lumière ocre qui enveloppe cette cité classée au Patrimoine Mondial de l’Humanité accroche le regard, plongeant le visiteur dans un véritable musée à ciel ouvertDe tertres en escalettes, des remparts de la cité au coeur des anciens monastères, une découverte en profondeur de la ville s’impose.

    Un séjour s’imposera !Le Château Sanctus s’est engagé dans de nouveaux projets oenotouristiques qui verront bientôt le jour. En rachetant la route qui sépare les bâtiments pour créer un domaine de plain pied et, en restructurant le vignoble dans une démarche environnementale, la COGEPA souhaite créer un site d’exception dédié à la réception, à la dégustation et à l’hébergement haut de gamme.Ce haut-lieu oenotouristique permettra de profiter, dans les meilleures conditions, du site et de son environnement.