DOSSIER DE DIFFUSION DU SPECTACLE · 2015-06-24 · THEATRO-FRANCE Et le Théâtre Darius Milhaud...

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THEATRO-FRANCE Théâtre Darius Milhaud - Paris Licence 2-102291 N° Siret 438 068 553 00017 APE 9001Z 02.38.33.82.08 Port 06.73.41.96.35 Mail : [email protected] Présentent

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THEATRO-FRANCE

Théâtre Darius Milhaud - Paris Licence 2-102291 N° Siret 438 068 553 00017 APE 9001Z

02.38.33.82.08 Port 06.73.41.96.35

Mail : [email protected]

Présentent

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THEATRO-FRANCE

Et le Théâtre Darius Milhaud

vous présentent sa création en hommage à Albert CAMUS,

pour le 50ème anniversaire de sa disparition,

LA CHUTE

d’après l’œuvre d’Albert CAMUS, une adaptation de Catherine CAMUS et François CHAUMETTE, dans une mise en scène de Vincent AUVET, avec Jean LESPERT dans le rôle de Jean-Baptiste CLAMENCE.

Une mise en scène, une incarnation tout en finesse d'un des textes majeurs d'Albert CAMUS.

Il s'appelle Jean-Baptiste Clamence et c'est un expert. Ex-avocat, installé à Amsterdam, il y fait, à l'en

croire, profession de « juge-pénitent » !

Tour à tour séducteur, pitoyable, agaçant, parfois odieux... souvent drôle et sarcastique mais toujours

intelligent et lucide... il nous entraîne par paliers, par touches successives, par révélations savamment

distillées... dans les profondeurs de sa conscience hantée par un souvenir lointain : le suicide d'une

inconnue qu'il n'a pas secourue...

Ce monologue, ou plus exactement ce dialogue implicite, sans sécheresse, rapide sans excès de tension,

éclairé de formules percutantes et d'anecdotes piquantes, écrit en 1956 est la dernière grande œuvre de

fiction de Camus. Le ton est tout à la fois enjoué et désenchanté. L'autodérision du personnage, son

humour grinçant, confère à cette "sombre histoire" une lumineuse ironie... Aussi Clamence atteint-il la

racine même de nos vices, de nos petites et grandes lâchetés, le germe même de la difficulté, voire de la

culpabilité de vivre... et personne n'est épargné!... Un texte incontournable de la littérature et de la

pensée contemporaine.

Durée : 1h20

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Les Critiques

LLAA CCHHUUTTEE

d’après l’œuvre d’Albert CAMUS, dans une mise en scène de Vincent AUVET

avec Jean LESPERT dans le rôle de Jean-Baptiste CLAMENCE.

De la « ... La réussite du spectacle - éclatante à mes yeux - vient surtout de la justesse et de l’intelli- gence de la mise en scène et de l’admirable jeu de Jean Lespert : tour à tour cynique, ironique, émouvant, il nous propose une incarnation étonnante de Clamence.... Je crois que Clamence a trouvé là l’un de ses meilleurs interprètes. »

Jacqueline LEVI-VALENSI Présidente de la Société d’Etudes Camusiennes

La presse en parle : « Le résultat est là dans son évidence : Jean Lespert ne se contente pas d’interpréter un personnage de plus de son répertoire, il est Jean Baptiste Clamence jusqu’au fond de son être, proche de la folie sur laquelle débouche la confession sans concession de ce beau parleur… Une incarnation tout en finesse et en nuance qui fait ressortir la richesse extrême d’un des textes majeurs d’Albert Camus. »

Christina Marino - « La mise en scène sert admirablement le texte et Jean Lespert, dans le rôle de Jean Baptiste Clamence, mène son interlocuteur dans les méandres de sa mémoires… »

« Un véritable exercice de voltige… Dans le rôle de l’acrobate, Jean Lespert, donne au personnage de Clamence toute la richesse et son mystère. »

« Jean Lespert est un de nos plus grands comédiens... Son interprétation du personnage de Cla- mence éclipse toutes celles que j’ai déjà vues, pourtant de haute tenue... Jean Lespert, dans cette confession à la fois cynique et lucide, complaisante et impitoyable, donne à Clamence la profon- deur de Raskolnikov dans “Crimes et châtiments” et celle de l’Abbé Cénabre dans “L’Imposture”... Même si vous ne croyez pas au miracle, allez assister à celui-ci. »

Pascal Costa - « Jean Lespert donne toute sa mesure au personnage, cynique, ambigu, orgueilleux, émouvant, sans rien céder à la facilité. La mise en scène est juste et intelligente. »

Coulisses

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La Chute, d' Albert Camus Adaptation: Catherine Camus et François Chaumette

Mise en scène: Vincent Auvet

Avec Jean Lespert

Une pièce de choix

Un homme moderne en quête de lui-même, seul, face à son

auditoire, son public, confesse ses fautes, il clame son innocence,

ses parts de responsabilité jusqu’à tenter de définir une idée personnelle et éprouvée de la

liberté. Juge–pénitent, Jean-Baptiste Clamence, protagoniste de La Chute d’Albert Camus,

homme de loi, ancien avocat, est incarné par Jean Lespert, au théâtre Darius Milhaud.

Les ambiguïtés du personnage, tiraillé entre la sincérité, plus active, plus valable à ses yeux

qu’un discours répété, argumenté et le jeu ou la triche, refuge de ses craintes et de sa

culpabilité prennent vie dans une ambiance intimiste où finalement le public devient un

tribunal en éveil, les destinataires qui retiennent le comédien sur scène, l’empêchant de

sombrer dans la folie ou le mensonge. Grande et belle responsabilité pour nous, heureux de

voir l’homme de théâtre, le clameur, le martyr, Clamence s’afficher et prendre la parole

pour raconter sa « pénitence » ! La mise en scène valorise le dénuement… La manière, la

mimique sont absentes du jeu, celui-ci semblant recourir à des règles plus strictes, celles du

sport et de la discipline ! Composé, le comédien nous laisse voir avec une touche d’humour

notre anti-héroïsme flagrant … Nous sommes pris la main dans le sac ! Vision subtile de la

contemporaine écriture d’Albert Camus, Vincent Auvet et Jean Lespert n’ont pas fait le

choix de la délicatesse, ni même des caresses et encore moins des angoisses faciles, le cri

venant de quelqu’un d’autre, de cette femme en noir qu’il ne sauve pas de la mort. Lui,

indemne mais « in-tranquille » marche lentement mais sûrement vers la connaissance de lui-

même.

Comment évoquer l’intelligence au plateau ? Le comédien est grand et bon joueur, ayant la

maturité du jeu. La mise en scène est délivrée de tous ces partis pris ornementés qui

auraient détourné l’œuvre comme l’appel à compassion, ou la panique et toutes ces sortes de

parasitages. Quelle justesse, quel brillant… ! Très belle pièce pour ceux qui désirent

(re)découvrir l’œuvre d’Albert Camus et qui pensaient trop l’avoir compris. Il y a des

vérités qui nécessitent d’être intériorisées. Le jeu de Jean Lespert est auxiliaire du texte…

Pas de fausses notes ! L’illustration est magique… Paradoxe du comédien qui, une fois le

rideau refermé, nous salue, quittant son talent d’illusionniste. Le cœur mis à nu, il semble

avec beaucoup de tendresse et d’humilité nous murmurer encore la superbe phrase: « Pour

que la statue soit nue, les beaux discours doivent s’envoler ».

Charlotte Saliou

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Le théâtre Darius Milhaud convient bien à l’ambiance particulière du livre de Camus, La Chute, dans lequel Jean-

Baptiste Clamence dialogue avec un homme dont on devine les répliques plus qu’on ne les entend.

Seul sur scène, Jean Lespert devient Jean-Baptiste Clamence, cette «Vox clamans in deserto», ou voix criant dans le

désert. Il reprend mot à mot les phrases écrites par Camus, dans ce livre à la narration si originale. Pas de mise en situation,

de description ou de didascalies. Le décor, les personnages et la temporalité se mettent en place par la parole seule, au

cœur de la réflexion de cet ouvrage.

On se retrouve donc plusieurs soirs de suite dans la ville d’Amsterdam, où notre Juge pénitent entame une

discussion au bar du Mexico City, autour d’un genièvre. D’autres fois, il est sur le bord du canal, toujours avec le même

inconnu, et on le voit pour la dernière fois, malade, dans sa chambre. De quoi est-il question ? De Justice et de jugements

des hommes, essentiellement.

Pour autant, on n’a pas affaire ici à un plaidoyer. Le ton est cynique, parfois drôle et chargé de métaphores. De la

Bible à la mythologie, de nombreux outils sont mobilisés. Dans ce discours fragmentés par les jours, Clamence dévoile sa

dialectique du Juge pénitent : ne peut juger autrui que celui qui s’est d’abord auto-condamné, celui qui a avoué. Cela fait, il

peut à son tour estimer son semblable et prononcer un châtiment.

La distance au monde, le peu d’affectation qu’on a pu voir dans l’Étranger, le comédien les reproduit bien. Point

d’emphase ni de grandiloquence, dans des phrases merveilleuses de justesse pourtant ; mais plutôt le ton d’un homme

désabusé, lucide sur la vie et les hommes. Difficile de garder une telle distance dans des propos si engagés.

Le texte fait à lui seul la pièce par sa puissance et le décor est bien vite dérisoire. En cela, le metteur en scène,

Vincent Auvet, a fait le choix de déterminer les espaces en fonction des éclairages, et d’un faible mobilier. Pour ce qui est

de l’adaptation d’un texte romanesque à la scène, la question se pose peu car il est le discours d’un homme, et son oralité

ne fait pas un pli.

F. – La Parafe.fr

La Théâtrothèque

L’histoire d’une initiative de créations de spectacles

en direction des publics scolaires Depuis plusieurs années le Théâtre Darius Milhaud propose des spectacles théâtraux en

direction des publics scolaires. Ainsi, nous avons rassemblé ces dernières saisons

plusieurs milliers d’élèves et enseignants autour d’œuvres telles que « le Neveu de

Rameau » et « Jacques le Fataliste » de Denis Diderot, « Les Pensées » de Pascal,

« Le Double » de Dostoïevski ou encore « Bouvard et Pécuchet » de Gustave Flaubert.

Dans ce dossier : « La Chute » : d’Albert Camus, adaptée par Catherine Camus et François

Chaumette, interprétée par Jean Lespert, proposant ainsi une approche théâtrale de l’une des

œuvres phare d’un des auteurs les plus brillants du 20ème siècle qui atteint la racine même de

nos vices, de nos petites et grandes lâchetés

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Très tôt marqué par la vocation théâtrale, Vincent Auvet suit les cours de Jean–Laurent Cochet et les classes du

Conservatoire. Il entame une carrière de comédien qui lui permet entre autres de travailler avec des metteurs en

scène tels que Françoise Rose, Jacques Labarrière, Louis Verger, Georges Lavelli… pour des pièces aussi

diverses que « Dieu aboie t-il ? » de F. Boyer, « La Démarieuse » de G. Léautier, « La Célestine » de Rojas ou

encore « Le Vagabond de White Chapel » où il incarnait le rôle de Charlie Chaplin.

Quelques incursions au cinéma lui font partager l’affiche avec l’actrice Grazina Szapolowska pour un film

primé au festival de Bilbao « La fin de mon rêve » de Sacha Weibel, ou encore avec Geneviève Lagardère pour «

Tango de palier » réalisé par Anne Jacquier.

En 1988, il met en scène « L’Inaccessible étoile » de L.Verger au THEATRE DE PARIS avec le concours de Jean

Marais et Maurice Baquet. En 1989, il monte au THEATRE 14 « Le Loup-garou » de R. Vitrac, et en 1992, il

adapte et met en scène la pièce de G. Arout « Cet animal étrange » au Théâtre Mathis. En 1995 il met en scène «

Les précieuses ridicules » au Théâtre de Ménilmontant et toujours pour le même théâtre, en 1997, pour la

première fois en France, il crée la comédie contemporaine « Les petites manoeuvres » de D. Simon (prix SACD).

Au Théâtre de Neuilly-sur-Seine, il adapte et met en scène « La Belle au bois dormant » interprétée par des

enfants et pour des enfants. En 1999, il écrit pour la production « Caramiko » une mise en scène des «

Fourberies de Scapin » (Scénographie et costumes conçus par Donald Cardwell). En juin 2002 au GOETHE

INSTITUT à Paris de « Introspection » de Peter Handke interprèté par le comédien Jean – Noël Gayte .

De 2003 à nos jours, il met en scène successivement « Coups de théâtre » spectacle Feydeau, Courteline, Labiche,

« Le Petit Poucet » et « Cendrillon », contes lyriques mis en musique par Isabelle Aboulker, « Jacques le

Fataliste et son maître » d’après Denis Diderot adapté par Eric Herbette, « Faust en ménage et les surprises de

l’enfer » opéras bouffes de Claude Terrasse et Isabelle Aboulker.

En octobre 2007, il met en scène « Un fil à la patte » de Georges Feydeau pour l’inauguration du Théâtre de

Provins puis « Etoile rouge » de Pierre Bourgeade. En 2007 et 2008, il signe la mise en scène de deux comédies

musicales à grand spectacle pour l’OLYMPIA , le BATACLAN , le THEATRE DE LA PORTE SAINT

MARTIN: « Le royaume des bonbons » et « Un amour de princesse » . S’en suit la mise en scène du spectacle

jeune public écrit par Robert Ballesta et soutenu par la Fondation Beaumarchais « La Légende de la tour fendue

» pour le THEATRE DE LA PLAINE ainsi qu’un conte pédagogique destiné aux plus jeunes, intitulé «

Adélaïde, ici L’Europe ». Dans un autre registre il monte en 2009/2010 le « seul en scène » du comédien Roger

Miremont « Je voudrais remercier tous ceux sans qui… » , la dernière adaptation du dramaturge Eric Herbette

« Les Géométries de l’âme » d’après les Pensées de Blaise Pascal puis « Textes en souffrance », pièce du même

auteur également soutenue par la Fondation Beaumarchais ainsi que « La chute » d’Albert Camus adaptée par

Catherine Camus et François Chaumette .

En 2010/2011, il met en scène le tour de chant du chanteur Georges Chelon (Georges Chelon chante Charles

Baudelaire), un spectacle sur la vie de Molière écrit par Frédéric Duff Barbé intitulé : « La véritable histoire de Jean

Baptiste Poquelin dit Molière ». EN 2012 ,il monte une pièce de Jean- Claude Chauve « Une vie de LA FONTAINE »

ainsi que « Mais ne te promène dont pas toute nue » de Georges Feydeau, « L’affaire de la rue de Lourcine »

d’Eugène Labiche et le spectacle de l’imitatrice révélée par EUPOE 1 et France 2 (Vivement Dimanche) : Anaïs Petit

dans « AnaïsPetit croque les grands » et enfin « Le coeur sur la main » de Lolé Bélon . En 2013 , il met en scène « Les

pas perdus » de Denise Bonal puis « L’extraterrestre » (Le premier one man show pour enfants) au PETIT GYMNASE

ainsi que « le cimetière des pirates », autre spectacle jeune public créé pour le THEATRE DU MUSEE DU QUAI

BRANLY . En 2014, Il monte une adaptation de « 20 000 lieux sous les mers » pour laquelle il met en scène le

comédien Guillaume Darnault au THEATRE DE DIX HEURES , puis un spectacle jeune public « La petite Charlotte »

de Claire Dumez . Il travaille actuellement sur une mise en espace du roman de Samuel Beckett « Premier Amour » ,

dit par le comédien Jean Lespert et met en scène « Même pas cabé » , la dernière comédie d ’Eric Herbette .

Vincent AUVET Metteur en scène

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Acteur de formation classique (Conservatoire d’Alger, École François Florent, Cours

Jacquemont) a interprété plus d’une cinquantaine de pièces du répertoire classique et

moderne. De MOLIERE à PINTER il a donc rencontré toutes les écritures jusqu’aux plus

contemporaines telles celles de PEREC, de HERBETTE ou de Frédéric DUFF BARBE. Mais son auteur

de prédilection semble être Albert CAMUS dont il traque avec délice la théâtralité dans la

plupart de ses écrits... C’est ainsi que figure à son répertoire La Chute mais aussi la conférence-

spectacle intitulée Florilège de Camus. Jean LESPERT est aussi présent au cinéma, aux côtés de

son fils Jalil LESPERT et de Nathalie BAYE dans Le Petit Lieutenant de Xavier BEAUVOIS ou dans Jeux

de Plage de Laurent CANTET ou encore avec Fabrice LUCHINI et Isabelle HUPERT dans Pas de

Scandale de Benoît JACQUOT. Actuellement Co-directeur du THEATRE DARIUS MILHAUD à Paris il

joue dans de nombreuses pièces telles : La Chute, La Véritable Histoire de Jean-Baptiste

Poquelin dit Molière, Le Neveu de Rameau, Vous n’aurez pas Bouvard et Pécuchet, Les Pensées

de Pascal...

Jean LESPERT – Comédien

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FICHE TECHNIQUE

Dimensions minimum de la scène :

Ouverture 6 mètres - Profondeur 4 mètres

Lumière :

Plein feu avec ambiances diverses Son :

Lecteur CD ou MD avec auto pause

Le plan du feu précis ainsi que la conduite du spectacle sont fournis

plusieurs jours avant la représentation.

DOSSIER, TARIF, DATES…

THEATRO-FRANCE

Licence 2-102291 N° Siret 438 068 553 00017 APE 9001Z

02.38.33.82.08 Port 06.73.41.96.35

Mail : [email protected]

Reprise Saison 2015/2016

Théâtre Darius Milhaud

80 Allée Darius Milhaud

75019 Paris