Conceptualiser La Culture Depuis Un Référence Théorique

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Conceptualiser la culture depuis un référence théorique, c’est trouver une limitation d'analyse; étant donné les changements de la culture et les cultures et ses études qui varie en fonction de la situation à partir de laquelle elle est abordée et pensée. Dans la première partie ; la culture est un processus social qui comprend diverses traits; la psychanalyses, la linguistique, la sémiotique et le naturalisme; ces-là et de nombreuses autres fonctionnalités donnent des caractéristiques à la fois universelles et particulières à la culture et à tout que peut se théoriser sur ce phénomène. Alors, la culture ressemble devenir non seulement la pierre angulaire de l'anthropologie sinon la pierre angulaire de la compréhension de l'homme vers l'univers, cette idée du concept culture joue et trouve dans une deuxième partie à la culture comme idée suprême, idée-force primaire; où les réalités pratiques et spirituels comme l’homme, la liberté et la nation y sont définis. Ainsi, nous nous trouvons dans le domaine de la culture, dans le règne de la culture. Cette agrégation a ce concept conduit à un chemin de confusion qui laisse sans base à la culture comme fondement principal de l'étude anthropologique et en devenant ce fait, un discours idéologique qu’occulterait d'autres réalités de l'homme comme créateur et sujet dynamique. Le flux des concepts entre nature et culture doit être abordé car il explique la corrélation théorique entre ces deux éléments; la capacité d'adaptation de l'homme est nécessaire pour comprendre l'homme en tant que teneur de culture «l’homme est essentiellement un être de culture. Le long processus d’hominisation, commencé il y a plus ou moins quinze

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ensayo sobre la cultura

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Conceptualiser la culture depuis un rfrence thorique, cest trouver une limitation d'analyse; tant donn les changements de la culture et les cultures et ses tudes qui varie en fonction de la situation partir de laquelle elle est aborde et pense. Dans la premire partie ; la culture est un processus social qui comprend diverses traits; la psychanalyses, la linguistique, la smiotique et le naturalisme; ces-l et de nombreuses autres fonctionnalits donnent des caractristiques la fois universelles et particulires la culture et tout que peut se thoriser sur ce phnomne. Alors, la culture ressemble devenir non seulement la pierre angulaire de l'anthropologie sinon la pierre angulaire de la comprhension de l'homme vers l'univers, cette ide du concept culture joue et trouve dans une deuxime partie la culture comme ide suprme, ide-force primaire; o les ralits pratiques et spirituels comme lhomme, la libert et la nation y sont dfinis. Ainsi, nous nous trouvons dans le domaine de la culture, dans le rgne de la culture. Cette agrgation a ce concept conduit un chemin de confusion qui laisse sans base la culture comme fondement principal de l'tude anthropologique et en devenant ce fait, un discours idologique quocculterait d'autres ralits de l'homme comme crateur et sujet dynamique. Le flux des concepts entre nature et culture doit tre abord car il explique la corrlation thorique entre ces deux lments; la capacit d'adaptation de l'homme est ncessaire pour comprendre l'homme en tant que teneur de culture lhomme est essentiellement un tre de culture. Le long processus dhominisation, commenc il y a plus ou moins quinze millions dannes, a consist fondamentalement passer dune adaptation gntique lenvironnement naturel une adaptation culturelle (Dennys Cuche: 2004). Taylor dfinit la culture comme lEnsemble complexe qui englobe des notions, des connaissances, les croyances, les arts, la morale, les lois, les coutumes, et tout autre capacits et habitudes acquises par lHomme en tant que membre dune socit (Edward Tylor: 1917); Cette gamme d'lments qui dfinissent la socit et aussi lindividu trouvent son sens dans une autre caractristique de la culture, cest l'lment dynamique; le changement constant de cet ensemble complexe de valeurs dvelopps dans l'espace culturel et l'extrieur delle, ils mergent y une force qui relie et renforce ces valeurs en lui donnant une nouvelle dynamique La culture que des individus depuis leur naissance apprhendent de lintrieur par lapprentissage et lducation, quils absorbent et dont ils se nourrissent, sest elle-mme fortifie en gardant le contact avec lextrieur (Marc Aug: 2001). En ce qui concerne l'externalisation et lintriorisation des cultures et leur rencontre avec d'autres cultures, il est important de montrer l'action communicative, le partage des sentiments , des opinions, ou d'autres informations par le langage , l'criture ou d'autres signaux qui permettent consacrer aussi la culture comme un systme de communication Elle sert de lien la communaut qui la partage et permet ses membres de communiquer entre eux (Todorov: 2008), cela fait rfrence lintriorisation de la culture, mais respect lexternalisation cest pertinent nous diriger au texte dAug lindividu dun ct, la plante de lautre: et, de lun; lautre, une multiplicit de relations qui ne sauraient se rduire lchange dinformations permis ou impos par les technologies de la communication (Marc Aug: 2001).La culture joue un rle aussi dans lindividualit. Il existe un lment dans la conscience individuelle de soi, qui surgit de la reconnaissance et de lappartenance leur communaut ou un groupe social, il gnre un processus dans tous les tres humains; lidentit fait partie du je- de la conscience dappartenance une collectivit mais aussi de la diffrence particulier avec les autres La reconnaissance sociale peut venir sous la forme dune distinction, ou comme simple appartenance une identit collective, celle du groupe dont on partage la culture, Si la regard des autres ne gratifie pas mon excellence individuelle, je recherche la confirmation de mon tre dans la communaut dont je fais partie. Cest ce quon appelle le besoin dappartenance (Todorov: 2008). Ehbien, dans ce sens, nous pouvons parler d'une thorie de la culture non pas comme un concept obscure, en fait, il est thoris partir de l'tude de l'homme dans sa diversit et depuis leur comportement; au-del on peut affirmer que la culture fournisse ltre humain sa personnalit; cest dire, les modles d'attitudes, de penss, les sentiments et les rpertoires de comportement qui caractrise une personne et qui a une certaine persistance et stabilit dans sa vie de tel faon que les manifestations de ce modle dans diffrentes situations a un certain degr de prvisibilit.Tel totalisation nexiste pas; a quexiste cest une nouvelle espace o l'homme trouve la possibilit de se dfinir partir de sa propre humanit, cest--dire, partir de sa pense, ses sentiment et son faire.On peut dire que les tensions et les relations nexistent pas seulement dans les sens de lextrieur et lintrieur du pass et le prsent et le collectif et lindividuel sinon quil existe une tension et une relation plus profond, cest la tension et relation entre lhomme et la culture. De cette relation entre lhomme et la socit avec la culture, il nait la ncessit humaine de cultiver progressivement sa connaissance des lments matriels et immatriels que chaque socit et chaque individu dispose pour interagir avec lenvironnement et tablir formes de communications entre les individus ou groupes dindividus; respect cette affirmation on trouve deux faons de les tudier depuis lanthropologie, deux perspectives qui ont jou un rle dans la construction de l'anthropologie comme l'tude de l'homme, son environnement et son/la culture; d'une ct le particularisme qui voit l universalisme culturel seul comme un problme philosophique, comme un phnomne que peut se trouver mais dans le mme espace de le particulier et pas dehors le contexte particulariste. En ce sens, toutes les socits et les cultures du monde ont d faire face de nombreux problmes identiques pour lesquels des solutions ont t imagines. Une solution nest pas ncessairement meilleure ou pire que l'autre, cest juste diffrent; les anthropologues particularistes sont intresss par les cultures dans sa pluralit de mouvement et ses propres singularit. Ainsi le particularisme produit un dplacement d'intrt de la culture vers les cultures.Le particularisme stipule que chaque culture est une unit compacte avec sa propre essence, exprime en styles de vies extensifs; le particulariste prsume que la culture est un tout indivisible et prsente une analyse holistique avec ses propres mthodes, proche aux comprhensions intentionnelles et la recherche de sens dans la culture comme un ensemble. Avec la thorie particulariste surgit la culture subjective qui trouve sa dfinition l'intrieur de la culture traditionnel, a veut dire, la culture qui se nourrit des perceptions, d'arguments et du langage bas sur le point de vue du sujet et influencs par les intrts et les dsirs particuliers du mme sujet en ayant comme particularit sa dfinition en relation avec la nature et qui trouve son expression maximal quand est n la culture objective. La culture objective est produite de la thorie universaliste des sciences humaines et elle apparat avec la naissance de la modernit. diffrence du concept de culture traditionnelle, la culture objective est spare de tout lien avec la nature, la culture objective trouve le sens dans la thorie universaliste, elle voit la culture traditionnelle comme trangre la pense cultive, la qualifie de sauvage, primitive et sous-dveloppe.

En ce qui concerne l'universalisme scientifique, son expression et l'extension de certains valeurs est limit l'Europe, en dtail, cette thorie affirme que l'existence de certains principes sont universellement indiscutable pour tre vrais et en plus doivent tre acceptes par tous les individus et les groupes culturels comme une guide pour leur conduits et pour distinguer les bonnes actions des mauvais, une des coles qui appartient cette thorie cest lcole volutionniste qui est critiqu pour leur ethnocentrisme dans la formulation des phases ou tapes de l'volution o la civilisation europenne tait dans la cuspide de l'volution et apparaissant comme l'avenir du reste de l'humanit qui a t class comme barbares ou sauvages.La dispute entre les deux courants, luniversel et le particulier, donne lieu l'affrontement de deux visions sur la conception humaine et le conflit -la nature et la culture-, alors, tandis les cultures traditionnelles s'ont dfinies et organis partir de leur vision en relation avec la nature, selon Sahlins, la tradition occidentale a aussi opt d'en faire mais avec ses propres logiques Au-del des controverses habituelles sur la nature humaine et leurs consquences sur la notion de culture, la tradition occidentale a depuis toujours abrit une autre conception de lordre et de ltre, celle que les anthropologues ont souvent tudie: la communaut fonde sur la parent (Marshall Sahlins: 2009) Dans le texte -nous n'avons jamais t modernes, Latour rejette les expressions radicales de luniversel et le particulier et ses consquences dans l'ordre de -nature - culture - et dissout cette radicalit en donnant une nouvelle formule qui lui l'appelle natures cultures et o nie toute conception moderne de lhumanit et ainsi en homognisant le systme dordre humaine toutes les natures-cultures sont semblables en ceci quelles construisent la fois les tres humains, divins et non humains. Aucune ne vit dans un monde de signes ou de symboles arbitrairement imposs une nature extrieure connue de nous seules. Aucune, et surtout pas la ntre, ne vit dans un monde de choses. Toutes distribuent ce qui portera des signes et ce qui nen portera pas (Claverie, 1990). Sil y a une chose que nous faisons tous galement cest bien de construire la fois nous collectifs humains et les non-humains qui les entourent (Bruno Latour: 1997) Une des caractristiques fortes du relativisme est de croire en la diversit de la culture et de l'universalit de la nature, cependant, pour Descola telle radicalisation n'existe pas et affirme que l'homme en tant un tre social sapproprie des lments de la nature et limprgne leur culture en les donnant une fonctionnalit au sein de la communaut Comment admettre, en effet que des hommes puissent affirmer quils ont pour anctre un ours, un perroquet, voire un pou, si ce nest au titre dune croyance bien peu raisonnable? De l sont ns les interminables dbats sur le totmisme primitif o sillustrrent les grands fondateurs de la discipline, dEdward B. Tylor James Frazer, en passant par Emile Durkheim et Arnold Van Gennep. Mais les peuples longtemps qualifis de naturels ne sont en aucune faon englus dans la nature. Les objets et les tres qui peuplent leur environnement se conforment au contraire bien des rgles de la socit (Philippe Descola: 2002).