Comment motiver la production d’écrit chez les élèves · Cet apprentissage est suivi au...

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IUFM de Bourgogne Concours de recrutement : Professeur des écoles Comment motiver la production d’écrit chez les élèves ? Stagiaire : QUILES Audrey Directeur de mémoire : M. CORNU P. Année 2004 N° de dossier 0261067U

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IUFM de Bourgogne

Concours de recrutement : Professeur des écoles

Comment motiver la production d’écritchez les élèves ?

Stagiaire : QUILES Audrey

Directeur de mémoire : M. CORNU P.

Année 2004 N° de dossier 0261067U

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SommaireIntroduction p4

I. Généralités p5

1. Historique p52. Le B2I et les TICE dans les cycles p6

a. Le Brevet informatique et Internet (B2I) p6b. Les technologies d’information et de communication (TIC) p7

3. La production d’écrit p84. Quelles raisons pour l’utilisation de l’ordinateur p9

II. Réalisation d’un conte en classe de CE1/CE2 p11

1. Pratique p112. Les productions des élèves p14

a. Séance 1 et 2 p14b. Séance 3 et 4 p14c. Séance 5 et 6 p14d. Séance 5 et 6 bis p14e. Séance 7 p15f. Séance 8 p15g. Séance 9 p15h. Séance 10 p15

3. Analyse des séances p16a. Séance 1 et 2 p16b. Séance 3 et 4 p16c. Séance 5 et 6 p16d. Séance 5 et 6 bis p17e. Séance 7 p17f. Séance 8 p17g. Séance 9 p18h. Séance 10 p19

4. Remédiation p19

III. Les perspectives pour mon prochain stage p20

1. Le traitement de texte p20

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a. Le traitement de texte comme outil de motivation p20b. Les limites du traitement de texte p21

2. L’aide pour utiliser le traitement de texte p213. Le tutorat p224. Le travail de groupe p23

IV. Réalisation d’un journal et écriture de poésies sur Internet en CM2 p24

1. Pratique p242. Les productions des élèves p28

a. Séance 1 p28b. Séance 2 p28c. Séance 3 p28d. Séance 4 p28e. Séance 5 p29f. Séance 6 p29g. Séance 7 p29h. Séance 8 p30

3. Analyse p30a. Séance 1 p30b. Séance 2 p31c. Séance 3 p31d. Séance 4 p31e. Séance 5 p32f. Séance 6 p33g. Séance 7 p33h. Séance 8 p34

4. Apports du deuxième stage p35

Conclusion p36

Bibliographie p37

Annexes p38

Annexe I : Brevet informatique et Internet niveau I pIAnnexe II : Les différents éléments des contes pIIAnnexe III : Comment transformer un conte ? pIIIAnnexe IV : Production d’un élève sur le conte pIVAnnexe V : Evaluation informatique pXAnnexe VI : Poèmes et sujets d’écriture pXIIAnnexe VII : La mise en page du journal sous forme de tableaux pXVIIAnnexe VIII : Les créations poétiques pXVIIIAnnexe IX : Le journal pXXI

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Introduction

L’informatique est de plus en plus présente à l’école. Son intégration s’est faite petit àpetit sans réel statut. Mais les nouveaux programmes remettent à sa place cettematière en instaurant le B2I qui est un ensemble de compétences à acquérir en primaireet complétées au collège. Cette matière transversale peut s’utiliser dans diversesmatières tel que le français, ce qui me fait arriver au choix de mon sujet.

Mon mémoire parle de la relation que l’on peut faire entre le français et l’informatique.Ayant des compétences dans ce domaine de par ma licence informatique, j’ai voulu voirl’exploitation que je pouvais en faire avec les élèves. En effet des questions comme« comment mêler ce savoir à la pédagogie enseignée à l’IUFM » se sont posées à moi. Deplus je voulais mettre à profit ce que j’avais pu apprendre durant ces trois annéesd’études.

Ensuite est venue la question de la matière à laquelle je pouvais appliquer l’informatique.Le choix était vaste étant donné que l’informatique peut se prêter à différentesmatières. J’ai choisi le français car il m’a semblé qu’une grande partie des compétencesdu B2I pouvaient s’acquérir dans ce domaine.

Mais ce n’est pas la seule raison de mon choix. Le français étant une disciplineimportante et par conséquent riche en projet, j’ai pensé qu’un travail intéressant pouvaitêtre mis en place et que ce sujet de mémoire pouvait être une occasion supplémentairepour acquérir des compétences dans la mise en place de projets en français.

Ainsi lors de mes deux stages en responsabilités, qui se dérouleront dans deux cyclesdifférents, j’essayerai de voir l’impact que l’ordinateur peut avoir sur la motivation desélèves à écrire des textes.

Dans mon premier stage qui se déroulera en cycle II, j’essayerai de créer un conte.L’objectif de mon deuxième stage sera de créer un journal en cycle III.

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I. Généralités

1. Historique

L’introduction de l’ordinateur à l’école ne s’est pas fait sans mal. Elle commence dans leslycées en 1970 pour se terminer en 1976 avec l’expérience des « 58 lycées ». Cetteexpérience consistait à équiper les établissements d’ordinateurs, mais ceux-ci necontenaient aucun logiciel et devaient être créés par les instituteurs eux-mêmes, ce quientraînait des contraintes techniques.

Cette volonté d’introduire l’ordinateur dans les pratiques pédagogiques est renforcée en1985, après une mise en veille de ce projet, par « le plan informatique pour tous ». Ceplan avait pour objectif :

Ø Initier les élèves à l’informatiqueØ Former 110 000 enseignants en 1 an à l’utilisation de l’ordinateur dans son

enseignement.

Cependant ce projet rencontre des difficultés car les enseignants n’ont aucuneformation à l’arrivé des ordinateurs dans leur classe et ne savent pas comment intégrercet outil dans leur pratique. De plus les textes officiels ne font pas mention del’enseignement de l’informatique.

Ce n’est qu’en 1995 que l’on voit les programmes mentionner l’utilisation de l’ordinateurdans la classe.

Enfin, dans les nouveaux programmes de 2002, des compétences à la sortie de l’écoleprimaire sont attendues par l’acquisition du Brevet Informatique et Internet (B2I)niveau 1. Cet apprentissage est suivi au collège avec le B2I niveau 2.

Avec l’arrivée des nouvelles technologies, la question de la connexion des écoles se pose.C’est en 1997 qu’un plan triennal, lancé par Claude ALLEGRE et Ségolène ROYAL, prévoitla connexion de toutes les écoles au réseau pour l’an 2000.Le tableau ci-dessous donne les statistiques sur l’équipement des écoles ainsi que leurconnexion.

Nombre d’élèves par ordinateur Taux d’accès à l’Internet2000 2003 2000 2003

Maternelles 110 100 14% 30%Elémentaires 25 20 40% 60%

L’objectif est maintenant d’atteindre un pourcentage d’un ordinateur pour 10 élèves etde 100% de taux de connexion dans les écoles aussi bien en maternelle qu’en primaire.

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2. Le B2I et les TICE dans les cycles

a./ Le Brevet informatique et Internet (B2I)

Le B2I est un ensemble de compétences comportant 5 points essentiels détaillés dansl’annexe I :Ø Maîtriser les premières bases de la technologie informatiqueØ Adopter une attitude citoyenne face aux informations véhiculées par les outils

informatiquesØ Produire, créer, modifier et exploiter un document à l’aide d’un logiciel de traitement

de texteØ Chercher, se documenter au moyen d’un produit multimédia (cédérom, DVD-rom, site

Internet, base de données de la BCD ou du CDI)Ø Communiquer au moyen d’une messagerie électronique

Le B2I permet aux élèves d’avoir une formation sur les nouvelles technologies afin qu’ilsprennent conscience de l’utilisation qu’ils peuvent en faire.Ce brevet ne fait qu’attester la maîtrise des compétences citées ci-dessus par lesélèves.

Le B2I comporte deux niveaux de maîtrise :

Ø Le niveau 1Ce niveau concerne essentiellement l’école élémentaire. Il a pour but d’attester descompétences sur une certaine maîtrise des technologies pour lire et créer desdocuments sur l’ordinateur ou encore rechercher des informations et entretenir unecorrespondance par le biais d’Internet.Ce brevet est généralement donné en fin d’école primaire, cependant ce brevetniveau 1 peut être donné au collège dans le cas où l’élève n’aurait pas validé toutes lescompétences.

Ø Le niveau 2Ce niveau reprend les acquisitions du premier niveau en les améliorant. Par exemplel’élève va apprendre à se servir de tableaux afin de mieux organiser son travail.Le respect de la propriété intellectuelle, qui a déjà été vu en élémentaire, estégalement acquis.

Dans quelles circonstances s’acquiert ce brevet ?

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b./ Les technologies d’information et de communication (TIC)

Dans les programmes de 2002, on peut voir que les TIC sont utilisés dans tous leschamps disciplinaires ainsi que pour les compétences du B2I.Les TIC sont un moyen mis au service des élèves pour un meilleur apprentissage.Mais les TIC sont là aussi pour les enseignants, pour les aider dans leurs préparations.A quoi servent les TIC ?

Les TIC servent à :

Ø Coopérer et à mutualiserCette coopération et cette mutualisation se font aussi bien pour les élèves que pourles enseignants.

• Pour les élèvesLes élèves peuvent entretenir une correspondance scolaire avec des élèvesd’une autre école ou même d’un pays différent. Ceci peut ainsi motiver lesélèves à la production d’écrits.

• Pour l’enseignantCette mutualisation peut se faire par différents modes de communication :o La correspondance

L’échange avec des collègues par le biais de mail se faito Internet

De nombreux sites d’échanges existent afin d’aider les enseignants àmonter leurs progressions ou leurs séquences

Ø Produire et créer• Pour les élèves

Les élèves peuvent créer des sites Internet sur leur école ou bien créerdes diaporamas sur des activités faites avec l’école ou encore créer unjournal. Toutes ces activités permettent aux enfants de s’investir plusfacilement dans la prise en mains de logiciels servant à réaliser cesprojets. Les enfants ont ici une finalité à l’apprentissage de ces logiciels.

• Pour les enseignantsLes enseignants peuvent mettre sur Internet des séances qu’ils ontréalisées.Ils ont aussi pour rôle d’aider les élèves dans leurs créations en les aidantà se servir des logiciels.

Ø Rechercher et se documenter• Pour l’élève

Cette documentation peut se faire au moyen de différents supports :o Les documents sur CD ROMo InternetLes élèves doivent bien comprendre comment se servir des informationstrouvées, à faire un tri, à critiquer l’information trouvée.

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• Pour l’enseignantL’enseignant peut également aller se documenter sur ces différentssupports aux même titre que les élèves.Il a également pour rôle d’expliquer aux enfants que les informationstrouvées sur Internet ne sont pas toujours vraies et d'aborder avec euxle code de déontologie d’Internet.

Ø Se former et s’auto-former• Pour l’élève

Cela permet à l’élève de se former individuellement. Le savoir ne passeplus seulement par le maître.L’élève devient également autonome et peut aller à la vitesse qui luiconvient.L’interactivité et la rapidité d’accès à la réponse sont autant d’aspectsmotivant l’apprentissage pour l’élève.

Ø Animer, organiser et conduire• Pour le maître

L’enseignant peut comparer ses méthodes de travail avec celles de sescollégues. Il peut également apprendre de nouvelles méthodes de travailet avoir accès à des données.

Ainsi la validation des différentes compétences du B2I se fait au travers des TIC quis’inscrivent eux-même dans les autres matières.

Mais la question qui nous intéresse ici est comment utiliser plus précisément letraitement de texte dans la production d’écrit ?

3. La production d’écrit

Dans les programmes, l’accent est mis sur la maîtrise de la langue française.Plus particulièrement différentes compétences sont à acquérir dans la productiond’écrit :

Ø Ecrire de manière autonomeLes élèves doivent produire des textes d’un certain nombre de lignes (5 lignes en débutde cycle III à 20 lignes en fin de cycle III) en respectant des contraintesorthographiques, syntaxiques, lexicales et de présentation. Les élèves doiventégalement produire des textes obéissant à une ou plusieurs règles.Le traitement de texte permet, pour ce premier point, d’autoriser toutes les variationsde texte avec une économie de temps et d’effort.

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Le traitement de texte permet dans ce cas précis :• D’orienter son écrit en fonction de la situation de communication• De raconter une histoire selon des points de vue différents• De modifier un texte donné pour l’adapter à tel ou tel destinataire

Ø Réécrire des textesLa réécriture consiste en l’ajout, suppression, déplacement ou remplacement demorceaux plus ou moins important de textes.Il est clair que les différentes étapes sont plus faciles, rapides et agréables à réaliserpar le traitement de texte.

Ø Mettre en pageOn peut retrouver l’organisation d’un document écrit dans un projet d’écriture tel que laréalisation d’un journal d’école, d’une affiche, d’une page Internet…Ces différents projets ont chacun une mise en page conventionnelle et celle-ci est plusfacilement réalisable grâce au traitement de texte où l’on peut insérer des images, destableaux ou des graphiques plus aisément.De plus le traitement de texte permet d’avoir un texte propre et lisible par les autres.Le traitement de texte permet également de faire plusieurs essais pour mieux maîtriserl’espace de la page.

Ainsi on en vient à se demander la motivation que peut apporter cet outil de travail pourl’élève dans la classe.

4./ Quelles raisons pour l’utilisation de l’ordinateur ?

Pourquoi intégrer l’ordinateur dans nos pratiques pédagogiques ? Voilà la question que seposent bon nombre d’enseignants.

L’ordinateur a plusieurs fonctionnalités pour l’enseignant.Dés la maternelle, celui-ci peut aider à la motricité fine avec le maniement de la souris.Des jeux éducatifs gratuits peuvent être disponibles sur Internet.L’ordinateur peut également servir aux enfants ayant des difficultés dans certainesmatières. Les élèves pourront utiliser des logiciels leur permettant de faire desexercices ludiques et de s’auto-corriger grâce aux corrections automatiques proposéspar ces logiciels.L’outil Internet est également un atout pour la classe, ainsi la recherche documentairepeut se faire autrement que dans des livres. Cette recherche sur Internet permetégalement de développer un esprit critique sur l’information trouvée.Enfin, un outil assez souvent utilisé est le traitement de texte que je développerai dansune autre partie.

Tout ceci nous amène à nous poser la question « qu’apporte l’ordinateur aux élèves ? »

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La première raison est la motivation que cet objet entraîne chez les élèves.Freinet insistait déjà à l’époque sur l’importance à accorder à la motivation des élèvesdans les apprentissages. Selon lui, l’enfant apprécie de voir son texte imprimé etdéclenche souvent l’envie d’écrire.L’enfant est d’ailleurs souvent fasciné par cet outil de travail qu'il assimile à un jeu.

La deuxième raison est que l’élève est souvent plus concentré quand il effectue untravail sur ordinateur que sur papier.

Une autre raison est le fait que l’ordinateur dédramatise l’erreur. En effet, l’élève secorrige tout seul grâce au logiciel et le maître n’est plus le seul détenteur du savoir.Il en est de même pour le traitement de texte. L’élève peut revenir sur ces erreurs sansforcément réécrire son texte en entier.

L’ordinateur peut également valoriser le travail de l’enfant car l’élève peut, par exemple,imprimer son texte et ainsi avoir un travail propre.

Pour conclure l’ordinateur est un outil motivant pour l’élève et lui permet de travaillersur un autre support que les supports traditionnels.

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II. Réalisation d’un conte en classe de CE1/CE2

1./ Pratique

Mon premier stage s’est effectué à Taisey avec 14 élèves de CE1 et 11 élèves de CE2, ettous ces élèves disposaient d’un ordinateur chez eux.Le matériel informatique dans la classe est assez pauvre. IL n’y a qu’un seul ordinateurdont la souris ne fonctionne plus. J’ai donc emprunté le matériel de la classe de CM1 quiest équipé de Windows 95.

La réalisation du livre inventé par les élèves s’est effectué sur Wordpad.

Les élèves ont travaillé sur un conte « La soupe au caillou ». Ils ont étudié la compositiondu texte et ont créé un autre conte sur la même trame.

Séances 1 et 2 : Lecture du conte et relevé des différents élémentsObjectifs :Ø Dégager le thème d’un texte littéraire (de qui ou de quoi parle t-il ?)Ø Repérer les différents éléments d’une histoire

Matériel :Ø Conte « La soupe au caillou »Ø Grande afficheØ Marqueurs

Déroulement :Ø Lecture du conteØ Repérer les différents éléments du texte et les mettre dans un tableau

Séances 3 et 4 : Elaboration des éléments servant à écrire l’histoireObjectifs :Ø Définir les éléments constituant l’histoire

Matériel :Ø Grande afficheØ MarqueursØ Affiche élaborée en séance 1 et 2

Déroulement :Les enfants remplissent à nouveau le même tableau en changeant les éléments del‘histoire servant à écrire la nouvelle histoire

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Séances 5 et 6 : Ecriture d’une recette de cuisineObjectifs :Ø Découvrir un type d’écrit : la recetteØ Prendre conscience des signes distinctifs de cet écrit

Matériel :Ø Photocopies avec les recettes

Déroulement :Ø Découverte des recettes et des éléments constituant une recetteØ Ecriture d’une recette à partir d’images montrant la réalisation de celle-ciØ Ecriture de la recette de la soupe au caillou

Séances 5 et 6 bis : Ecriture d’une histoireObjectifs :Ø Ecrire une histoire qui ressemble à un conte lu

Matériel :Ø Feuille « le conte » où se trouve le résumé de ce qui a été fait (annexe II)Ø Feuille aide « comment transformer un conte » (annexe III)

Déroulement :Ø Comment écrire une histoire ?

Un récapitulatif de ce qu’il faut mettre dans une histoire est fait avec le groupe. On voitensemble ce qui est marqué sur la feuille « comment transformer un conte ? »Ø Ecriture individuelle de l’histoire

Séance 7 : Ecriture du nouveau conteObjectifs :Ø Ecrire une histoire qui ressemble à un conte lu

Matériel :Ø Grande afficheØ Marqueurs

Déroulement :Toute la classe dicte l’histoire à la maîtresse qui la note sur l’affiche

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Séance 8 : Taper à l’ordinateur les fiches récapitulatives de l’étude duconteObjectifs :Ø Repérer les différentes lettres sur le clavier pour taper quelques lignes

Matériel :Ø Fiche récapitulative des événements du conte

Déroulement :Séance faite en atelier.Les élèves sont par deux et tapent chacun quelques lignes de ce qui a été noté sur lesaffiches.

Séance 9 : Taper un titre de différentes manièresObjectifs :Ø Se servir des touches « gras », « italique », « souligné »

Matériel :Ø Exemple papier du titre à taper à l’ordinateur

Déroulement :Les élèves tapent leur titre à l’ordinateur en jouant sur le « gras », « italique » ou« souligné »

Séance 10 : Décoration de la couverture du livreObjectifs :Ø Utiliser le papier calque

Matériel :Ø Papier calqueØ Livres contenant des animauxØ Images d’animauxØ Feuille A4 pliée en 2 verticalement

Déroulement :Les élèves calquent les animaux puis les décalquent sur la feuille A4 servant decouverture au livre.

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2./ Les productions des élèves

a./ Séance 1 et 2

Les élèves ont assez vite compris, grâce à un questionnement, la finalité de l’histoire quiest « le loup mange gratuitement au détriment des autres animaux sans que ceux-ci s’enrendent compte ».Ils ont réussi à repérer tous les éléments des différentes catégories demandées.

b./ Séance 3 et 4

Cette séance a duré plus longtemps que prévu. En effet, les enfants ont été motivés parle sujet et ont eu beaucoup d’idées pour la réalisation de l’histoire. Il a donc falluprocéder à des votes pour choisir les différents éléments de l'histoire.

c./ Séance 5 et 6

Ces deux séances concernent les CE1. L’histoire comprenait une recette donnée par leloup qui était celle de la soupe au caillou.Dans un premier temps j’ai étudié avec les élèves la structure de la recette avec lesdifférents éléments la constituant :Ø Un titreØ Les ingrédientsØ Les actions à réaliser (phrases commençant par un verbe)

Ensuite les élèves ont produit la recette « la soupe aux fruits » qui a été intégré àl’histoire. Celle-ci s’est fait sous la forme d’une dictée à l’adulte. Les élèves ont réinvestiici les différents éléments constituant la recette.

d./ Séance 5 et 6 bis

Ces deux séances ont concerné les CE2. Ils avaient une fiche récapitulant les différentséléments de l’histoire (annexe II) ainsi qu’une fiche d’aide à l’écriture (annexe III). Unmoment a été consacré à l’étude de cette fiche aide et les enfants ont produitindividuellement une histoire.

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e./ Séance 7

Cette séance concerne l’écriture finale du conte et s’est fait avec le groupe classe sousla forme, également, d’une dictée à l’adulte. Les élèves ont dû prendre en compte lesdifférents éléments de l’histoire élaborés dans la séance 2 et 3 et créer une histoire àpartir de ceux-ci.

f./ Séance 8

Cette séance s’est faite en même temps que celle d’arts visuels où les enfantsdécoraient la couverture de leur livre. Les élèves passaient deux par deux à l’ordinateurpour taper ce qui était noté sur l’affiche.Les élèves n’ont malheureusement pas eu le temps de taper la deuxième affiche (leséléments de l’histoire élaborés par eux) et c’est moi qui ai dû le faire pour laisser unetrace dans leur classeur.

g./ Séance 9

Les élèves sont passés tour à tour à l’ordinateur pour taper le titre de l’histoire « Lasoupe aux fruits » de différentes manières. Les élèves ont utilisé les fonctionnalitéssuivantes :Ø GrasØ ItaliqueØ Souligné

Certains ont cumulé les fonctions entre elles. Par exemple gras + souligné.

h./ Séance 10

Les élèves ont choisi dans les livres ou les images que j’avais apportées, les animaux quidevaient être dans l’histoire. Les élèves ont calqué les animaux puis décalqués ceux-cisur la couverture de leur livre.

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3./ Analyse

Pour commencer, je souhaite expliquer mon choix pour le logiciel Wordpad et non pasWord. En effet, suite à une discussion avec M. Cornu, il m’a semblé plus judicieuxd’utiliser Wordpad qui est plus facile d’utilisation. Il y a, en effet, moins d’outils dans labarre des tâches de Wordpad ce qui permet d’une part d’éviter les clics malheureux etd’autre part que les élèves se posent trop de questions par rapport à la barre d’outilscar apparemment ils n'avaient jamais utilisé le traitement de texte.

a./ Séances 1 et 2

Ø Les points fortsLors de cette première séance, j’ai présenté le projet à la classe en expliquant auxélèves qu’ils produiraient chacun un livre avec une histoire écrite par eux et que cettehistoire serait tapée à l’ordinateur. Comme ils n’avaient pas encore utilisé l’ordinateur dela classe et ils ont tout de suite été très enthousiasmés à l’idée de s’en servir.

Les élèves ont tout de suite trouvé des motivations à taper leur texte sur l’ordinateur :« On le tapera à l’ordinateur pour que ce soit plus joli »« ça sera mieux car j’écris mal »

Les élèves ont aimé l’histoire et ont montré tout de suite un intérêt pour ce projet. Ilsont su retrouver tous les éléments conducteurs de l’histoire et cette première partieleurs a permis de bien comprendre la trame du conte.

b./ Séances 3 et 4

Ø Les points fortsLes élèves ont eu beaucoup d’idées et ont été motivés.

Ø Les points faiblesCette séance a duré trop longtemps et à la fin les élèves n’étaient plus très attentifs.De plus, comme je l'ai dit ci-dessus, ils avaient beaucoup d'idées ce qui entraînait destensions entre les élèves car tout le monde voulait que son idée apparaisse dansl’histoire. Les choix ont donc dû se faire dans un premier temps par logique (les idées quin’avaient rien à voir avec l’histoire étaient éliminées) puis par vote.

c./ Séances 5 et 6

Les élèves de CE1 avaient au programme l’étude des recettes, c’est pourquoi j’ai décidéde la leur faire créer. Une séance sur ce sujet a dû être faite au préalable car les élèvesn’avaient jamais étudié ce type de texte.

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Ø Points fortsLes élèves ont bien compris le fonctionnement de la recette et ils ont su me redonnertous les éléments essentiels à la recette. Ils ont également très bien réussi à trouver letitre, les ingrédients et les actions à effectuer en relation avec le thème de l’histoire.

Ø Points faiblesMême si, comme je l’ai dit plus haut, la plupart des élèves ont su recréer une recette,certains n’ont pas intégré toutes les parties constituant une recette. Un autre travailsur ce type de texte est nécessaire.

d./ Séances 5 et 6 bis

Ø Points faiblesPris par le temps, les élèves n’ont pu faire qu’un seul jet d’écriture et j’ai donc corrigé etannoté la première version. Les élèves devaient la reprendre avec la maîtresse ens’aidant des annotations ainsi que de la fiche aide que je leur avais donnée.

Les élèves n’ont d’ailleurs pas toujours vu l’utilité de cette fiche aide et ne l’ontpratiquement jamais utilisée. J’aurais dû insister plus longuement sur celle-ci et prendreun peu plus de temps pour l’expliquer.

e./ Séance 7

Ø Points fortsCette partie s’est fait avec les classes de CE1 et de CE2 et a été assez rapide car larecette avait déjà été créée par les élèves de CE1 et ceux du CE2 ont repris des idéesdans les histoires qu’ils avaient créées. Ce texte a donc été très riche et les élèves onteu énormément d’idées. J’ai d’ailleurs dû les freiner car l’histoire devenait trop longue etil aurait fallu trop de temps pour la taper.

f./ Séance 8

Ø Points fortsLes élèves passaient par 2 pour s’entraider. Comme ils n’avaient pas une bonneconnaissance du clavier, les élèves cherchaient à deux les lettres. Seuls deux ou troisélèves connaissaient assez bien le clavier, cependant tous les élèves connaissaient lesbases. Par exemple ils savaient que pour espacer les mots ils devaient appuyer une seulefois sur la touche espace. Cette chose est évidente pour nous, mais j’ai pu observer lorsd’une séance informatique que j’ai réalisée en stage de PE1, que des élèves de CM1 enfaisait plusieurs. En effet, sur l’écran l'espacement paraissait très petit.Donc je peux dire que les élèves avaient une certaine connaissance du clavier.

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Un autre point positif a été l’interaction entre les élèves. Les enfants qui connaissaientmieux le clavier allaient aider les élèves en difficultés.Dans cette séance l’entraide a été spontanée. Il aurait été judicieux de prendre cesélèves et de leur donner un rôle de responsable. Ils auraient été là pour aider les élèvesen difficultés.

Ø Points faiblesQuelques axes d'amélioration sont à noter.Dans un premier temps je n’avais pas prévu que les élèves mettraient autant de temps àtaper à l’ordinateur. Cela a eu pour conséquence de faire tenir cette séance en plusieurs.

Lors de cette séance, les enfants recopiaient ce qui était écrit sur l’affiche.Et la difficulté de cette séance résidait dans le passage de la transcription des motsécrits en lettres cursives de l’affiche, en lettres majuscules sur le clavier.

L’objectif de cette séance n’était également pas très clair pour les élèves. En effet, ilsprenaient un certain plaisir à taper, et ils étaient tous pressés de passer à l’ordinateur,mais je n’ai pas assez insisté sur le fait que cette fiche allait être imprimée et mise dansleur classeur pour garder une trace. De plus, comme je n’avais pas d’imprimante dans laclasse, je n’ai pas pu imprimer devant eux. Ils n’ont donc pas pu voir sortir directementleur travail.

g./ Séance 9

Le but de la séance était qu’ils découvrent certaines fonctions de Wordpad.

Ø Points fortsLes élèves ont pu choisir individuellement la mise en forme du titre de l’histoire qu’ilsont découpé et collé sur la couverture du livre.

Ø Points faibles

Les élèvent tapaient le titre sur l’ordinateur et devaient le mettre en forme en utilisantles trois fonctionsØ GrasØ SoulignéØ Italique

Ils n’ont pas pensé à cumuler les différentes fonctions et c’est moi qui ai du leurproposer.

Un autre point à améliorer dans cette séance, mais qui peut également être mis dans laséance 8, est le fait que je n’ai pas mis une aide papier. Cela aurait permis de rendre lesélèves plus autonomes et qu'ils découvrent par eux-même les différentesfonctionnalités plutôt que ce soit moi qui leur montre.

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h./ Séance 10

Cette séance d’art visuel se faisait en même temps que les séances d’informatique.Cette séance était en autonomie après que j’ai eu expliqué le fonctionnement du papiercalque.

Ø Points fortsCette séance s’est plutôt bien passée. Les élèves ont tout de suite compris lefonctionnement du papier calque et le calquage.

Ø Points faiblesLe seul problème rencontré lors de cette séance est que les élèves ne prenaient pas lebon côté du papier calque pour décalquer et que j’étais toujours dérangée avec lesélèves qui étaient en informatique. Il aurait fallu que j’insiste plus sur cet aspect là.

4./ Remédiation

Les séances d’informatique ont été insuffisantes car la réalisation de l’histoire a prisbeaucoup de temps. Une meilleure organisation et gestion du temps auraient éténécessaire.Pour les problèmes de temps j’aurais pu mettre en place une rotation des élèves ayantfini leur travail sur l’ordinateur en autonomie. Ceci aurait permis aux élèves d’être plus àl’ordinateur.

Cette mise en place de l’autonomie des élèves aurait également nécessité un documentd’aide afin qu’ils soient entièrement autonomes et qu’ils n’aient pas à me demander desrenseignements.

Pour conclure, c’est moi-même qui ai dû taper l’histoire par faute de temps. Je voulaisavant de partir que les élèves aient un livre fini pour qu’ils puissent le ramener chez euxet montrer le travail qu’ils avaient effectué (annexe IV).

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III. Les perspectives pour mon prochain stage

1./ Le traitement de texte

Lors de mon premier stage, j’ai pu observer une grande motivation des élèves pour saisirleur production avec un traitement de texte. Ainsi ma première réflexion portera surles motivations que peut apporter le traitement de texte et les limites de celui-ci.

a./ Le traitement de texte comme outil de motivation

Les élèves en cycle II sont encore dans l’apprentissage de la calligraphie, et peuventêtre gênés par des problèmes d’écriture.Sur l’ordinateur l’élève peut prendre plaisir à écrire car son texte est toujours propreet lisible ce qui est valorisant pour lui. Cela permet également à l’auteur et aucorrecteur de revenir plus facilement sur la correction du texte.

Lors de l’élaboration de l’histoire écrite par les CE2, des réécritures ont éténécessaires. Ce travail est laborieux et aurait été plus stimulant et plus rapide parordinateur. Le traitement de texte permet, en effet, l’effacement, la correction,l’insertion, le remplacement et le déplacement de mots, de phrases ou de paragraphesplus aisément.Ainsi la réécriture ne devient plus un travail ennuyeux mais au contraire enrichissantétant donné que l’élève n’a plus à recopier entièrement son texte, mais seulement à leremanier.

J’ai utilisé le traitement de texte dans mon premier stage pour que les enfantsimpriment un texte propre et lisible de tous, mais il est vrai qu’il peut être intéressantde récupérer les textes écrits en vue de les utiliser dans des productions multimédiastelles que des pages Web.

Le traitement de texte a un aspect valorisant du travail de l’élève en permettant d’avoirnon seulement un travail lisible, mais également bien mis en page. Le traitement de texteoffre des possibilités de mise en page et de mise en forme des caractères diversifiéeset intéressantes. Ainsi il est possible à l’élève d’écrire un texte de couleurs différentes,avec des caractères plus ou moins gros…

Cette réflexion sur le traitement de texte me permet d’élaborer des objectifs pour monprochain stage qui se déroulera en cycle III.Etant donné que je souhaiterais réaliser un journal avec les enfants, il est évident que laréalisation des divers articles nécessiteront des réécritures. Il sera donc intéressantque cette réécriture se fasse sur ordinateur et non par écrit comme cela s’est passélors de mon précédent stage.De plus ce projet permettra aux élèves de prendre conscience de l’importance de la miseen page étant donné qu’un journal a une présentation bien spécifique.

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b./ Les limites du traitement de texte

La première limite du traitement de texte, et qui n’est pas la moindre, est qu’il nécessiteune initiation suffisante afin que les élèves ne passent pas plus de temps à cherchercomment s’en servir que d’écrire leur texte. J’ai pu observer ce comportement quandj’étais avec mes élèves de CE1 et de CE2. Ceux-ci ne maniaient pas correctement letraitement de texte, et même s’ils savaient plus ou moins taper à l’ordinateur, il étaitclair qu’ils ne connaissaient pas les fonctions leur permettant de gagner du temps telsque déplacer, insérer du texte …

La deuxième limite est que le traitement de texte ne doit pas être le seul supportd’écriture. En effet, dans les documents d’application il est bien spécifié que les élèvesdoivent savoir copier un texte sans erreur avec une écriture cursive et régulière. Ainsil’écriture manuscrite doit être conservée.Il pourra donc être intéressant d’écrire le premier jet sur papier puis de réaliser lesréécritures sur l’ordinateur.

Des difficultés peuvent donc être rencontrées pour les élèves pour l’écriture surordinateur dues à une mauvaise connaissance du traitement de texte. La question qui sepose ici est l’aide qui peut être mise en place pour assister ces élèves afin qu’ilseffectuent un travail rapide.

2./ L’aide pour utiliser le traitement de texte

Comme je l’ai dit dans la deuxième partie du mémoire, aucun document n’a été fait pouraider les élèves à se servir du traitement de texte dans mon deuxième stage et la seuleassistance venait de la maîtresse.

Il serait donc intéressant de mettre en pratique une telle aide lors de mon stage afin devoir le comportement des enfants face à ce type de document.Une évaluation diagnostique pourra être mise en place pour appréhender les lacunes desenfants sur la mise en page, la mise en forme des caractères ainsi que la connaissance duclavier.

Plusieurs aides peuvent être mises en place :Ø Une aide sur des fonctions du traitement de texte déjà étudiées mais qui

pourraient encore poser des problèmes pour certains élèvesØ Une aide sur les fonctions qui vont être étudiées afin que les élèves puissent s’y

reporter

Cette aide peut donc servir aux élèves ayant des lacunes, mais elle peut égalementservir dans la fonction de tutorat. Ainsi les élèves tuteurs auraient accès à ladocumentation sur les différentes fonctions de la barre des tâches qu’ils apprendraientà leur tutoré.

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3./ Le tutorat

Un élément que je n’ai pas testé dans mon premier stage et qui pourrait être intéressantà mettre en place lors du deuxième est le tutorat entre les élèves. Cette formed’enseignement à pour objectif l’enseignement des savoirs et savoir-faire parinteractions entre jeunes. Normalement le tutorat est composé de deux personnes : untutoré et un tuteur où le tuteur est plus expérimenté que le tutoré.Néanmoins lors de mon prochain stage, je pense mettre en place un système d’entraideoù le tuteur serait plutôt un élève ayant de bonnes connaissances en informatique avecun élève ayant une maîtrise de l’outil informatique moindre.

Lors de cette entraide plusieurs critères d’observations dans différents domainespourraient être étudiés :

Ø Domaines du comportement :Dans ce domaine les critères d’observations sont communs au monitoré et aumoniteur. Les deux élèves doivent être patients, respecter l’autre et avoir confiance.

Ø Domaine de l’entraide• Pour le tuteurIl est évident que la difficulté dans ce domaine réside dans la difficulté de nepas faire "à la place" du monitoré. Il doit savoir trouver les mots appropriéspour faire comprendre les actions à réaliser pour arriver à l’objectif final.La place de l’écoute à également une grande importance. IL doit aussi bien sefaire écouter afin de ne pas devoir répéter mais également écouter lesquestions que peuvent se poser les monitorés. Une aide peut d’ailleurs être àla disposition des tuteurs afin de les aider à répondre aux diverses questionsposées.

• Pour le monitoréL’écoute est également un point essentiel pour le monitoré. Il doit savoirécouter, mais également comprendre les consignes du tuteur. Le but ici n’estpas que le moniteur lui donne les réponses mais qu’il sache lui-même trouver lasolution.

Ø Domaine de la motivation• Pour le tuteurDes responsabilités lui sont attribuées et c’est lui qui doit expliquercorrectement les tâches à effectuer. On permet aux élèves de prendre desinitiatives et de contrôler le déroulement de l’activité. Les compétences del’élève sont mises en valeurs.

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• Pour le monitoréLa motivation pour le tutoré est surtout dans l’action car c’est lui qui varéaliser le produit final grâce aux indications de son tuteur. Les savoirs, qu’ilva pouvoir réinvestir dans des projets futurs, vont être acquis de cetterelation d’apprentissage.

4./ Le travail de groupe

Le travail de groupe ne peut se faire sans coopération. Les élèves doivent développerlors de ce travail des compétences telles que savoir écouter les idées des autres,exposer les siennes, savoir coopérer, et faire des concessions. Les élèves cherchentensemble et confrontent leurs points de vue, leurs hypothèses…

Dans le projet que je compte mettre en place dans mon deuxième stage, des groupesseront constitués. Chaque groupe aura à écrire un article de journal, à le taper et à lemettre en forme ce qui suppose des échanges. Ainsi chaque élève pourra apporter sessavoirs et savoir-faire dans le groupe afin de réaliser une production la plus élaboréepossible.

Etant donné que la production finale sera numérique, l’ordinateur aura une placeimportante dans le travail du groupe.Par exemple l’écran de l’ordinateur est un support qui facilite le travail en groupe. Letexte est visible de tous ce qui permet à tous les élèves du groupe de voir ce qui estinscrit à l’écran mais également d’intervenir directement.Les élèves en groupe pourront avoir des rôles différents devant l’écran. L’élève auclavier sera producteur – compositeur tandis que l’autre sera le lecteur – éditeur dontles commentaires et suggestions serviront de point d’appui à l’avancement de la pensée,de l’idée ou d’une meilleure formulation.

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IV. Réalisation d’un journal et écriture de poésies sur Interneten CM2

1./ Pratique

Mon deuxième stage en responsabilité s’est déroulé à MERCUREY en classe de CM2 avec23 élèves.Lors de ce stage, j’ai mis en place deux projets :Ø La réalisation d’un journalØ La réalisation de poèmes qui ont été mis sur Internet

L’école était munie de 5 ordinateurs répartis comme suit :Ø Un dans la classe de CM2 qui avait une connexion à InternetØ Un dans la classe de CPØ Un dans la classe de CE1Ø Un dans la BCD qui avait une connexion à InternetØ Un dans le bureau du directeur qui avait une connexion à Internet

Les élèves avaient acquis certaines compétences en informatique et étaient habitués àutiliser WORD, c’est pourquoi j’ai continué à utiliser ce logiciel.

Séance 1 : Evaluation diagnostiqueMatériel :Ø Feuille d’évaluation (annexe V)

Cette évaluation permet de voir le niveau de maîtrise du clavier des élèves ainsi quel’utilisation de l’ordinateur qu’ils font chez eux.

Séance 2 : Choix de l’atelier d’écritureObjectifs :Ø S’approprier un type de texte

Matériel :Ø Les différentes poésies (annexe VI)Ø Les sujets d’écritures correspondants aux poésies (annexe VI)

Déroulement :Ø Présentation des différents projets : le journal et la production de poésiesØ Choix du projet pour chaque élève et choix du sujet (quel article pour le journal

et quelle poésie)

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Séance 3 : Ecriture des articles du journal et des poésiesObjectifs :Ø Ecrire un article de journal en respectant les contraintes de cet écritØ Ecrire une poésie en respectant les contraintes de cet écrit

Matériel :Ø Les différentes poésies (annexe VI)Ø Les sujets d’écritures correspondants aux poésies (annexe VI)

Déroulement :Ø Ecriture des différents articles et des poésies sur papier (1er jet)

Séance 4 : Taper les différents types de texte sur un ordinateurObjectifs de littérature :Ø Réécrire un article de journal en tenant compte des remarquesØ Réécrire une poésie en tenant compte des remarques

Objectifs informatiques :Ø Savoir taper un texte avec un traitement de texteØ Savoir taper un texte sur une page Internet

Matériel :Ø Ordinateur avec le traitement de texte WORDØ Ordinateur connecté à InternetØ Textes avec les corrections

Déroulement :Ø Les élèves tapent leur texte sur un traitement de texte pour le journal et sur le

site « clicksouris » pour les poésies

Séance 5 : Choix de la mise en page du journalObjectifs Ø Mettre en forme des articles en respectant les contraintes de mise en page d’un

journal

Matériel :Ø Les différents articles imprimés

Déroulement :Ø Les élèves choisissent un titre à leur journalØ Les élèves définissent, en tenant compte de la grandeur des textes, la disposition

des articles sur les différentes pages (disposition horizontale ou verticale)

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Séance 6 : Formation sur les tableauxObjectifs Ø Savoir créer un tableauØ Savoir fusionner les cellules d’un tableau

Matériel :Ø OrdinateurØ Aide sur la création d’un tableau et sur la fusion des cellulesØ Mise en page des différentes pages du journal élaborées dans la séance 5

Déroulement :Ø Prendre un groupe d’élèves qui seront formés sur la création des tableauxØ Pour chaque page du journal les élèves doivent :

• Créer le tableau• Dénombrer le nombre de lignes et de colonnes• Fusionner si nécessaire les lignes ou les colonnes• Marquer dans la bonne ligne et la bonne colonne le sujet du journal qui doit

s’y trouver

Cette séance s’est faite en parallèle à une séance d’Arts Visuels sur latypographie. Cette séance était la deuxième et les élèves devaient terminer laréalisation et la décoration de leur prénom avec des lettres représentant desobjets de la vie courante.

Séance 7 : Réalisation de la mise en page du journal sous WORDObjectifs pour les élèves formésØ Savoir créer un tableauØ Savoir fusionner les cellules d’un tableau

Objectifs pour les élèves formateursØ Savoir utiliser un vocabulaire précis pour expliquer clairement les actions à

réaliserØ Savoir se servir de l’aide

Matériel :Ø OrdinateurØ Aide sur la création d’un tableau et sur la fusion des cellulesØ Feuille avec la mise en page des différentes pages du journal élaborées dans la

séance 6 (annexe VII)

Déroulement :Ø Les élèves formateurs ont chacun :

• Une feuille aide

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• Une page de journal à faire réaliser à un groupe d’élèvesLes élèves formateurs doivent apprendre aux autres élèves à créer des tableaux.

Ø Les élèves formés doivent créer le tableau et fusionner les cellules si besoin

Cette séance s’est faite en parallèle à une séance d’Arts Visuels sur le mouvement.Cette séance était la deuxième et les élèves devaient réaliser des productionsreprésentant le mouvement à l’aide de pochoirs faits par leurs soins ainsi que de lapeinture.

Séance 8 : Mise en forme du journalObjectifs Ø Savoir utiliser une aideØ Savoir utiliser les différentes fonctions de mise en forme des caractères de

WORD

Matériel :Ø OrdinateurØ Aide sur la mise en forme des caractèresØ Articles tapés sous WORDØ Tableaux faits sous WORD

Déroulement :Ø Chaque élève utilise la fonction copier/coller pour copier son article dans le

tableauØ Chaque élève met en forme son article en utilisant les couleurs, la grosseur des

lettres…

Cette séance s’est faite en parallèle à une séance d’Arts Visuels sur le mouvement.Cette séance était la troisième et les élèves devaient réaliser des productionsreprésentant le mouvement à l’aide de pochoirs faits par leurs soins ainsi que de lapeinture.

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2./ Les productions des élèves

a./ Séance 1

Les élèves ont répondu à l’évaluation en utilisant simplement leurs connaissances.

b./ Séance 2

Les élèves se sont appropriés les différents projets.La classe a été partagée en deux : un groupe de 19 élèves travaillant sur le journal et unautre groupe de cinq élèves travaillant sur les poésies (une élève a participé aux deuxateliers).

Ø Le journalLes élèves ont choisi leur sujet d’article

Ø Les poésiesUn choix de poésies a été proposé aux élèves provenant du site « clicksouris ».Chaque poésie avait un sujet d’écritureLes enfants se sont donc appropriés les poésies ainsi que les différents ateliersd’écritures lors de cette séance.

c./ Séance 3

Cette partie a tenu sur plusieurs séances. Le nombre de séance a varié en fonction desélèves.

Ø Pour le journalLes élèves ont fait des recherches pour leur article et ont écrit le premier jet.

Ø Pour la poésieLes élèves ont écrit sur papier le premier jet d’écriture de la poésie en tenant biencompte des consignes d’écriture pour la poésie choisie.

d./ Séance 4

Ø Le journalLes élèves ont tapé leur article en tenant compte de mes remarques. Cette parties’est également déroulée sur plusieurs séance du fait qu’il n’y avait que cinqordinateurs et que les articles étaient plus ou moins longs.Les élèves n’ont pas réalisé de mise en page dans cette séance. Celle-ci s’est faiteultérieurement.

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Ø Les poésiesLes élèves ont tapé leur poésie sur le site Internet « clicksouris » en tenantégalement compte des remarques (annexe VIII).

A la fin de ces séances, les élèves ayant fini de taper leur article de journal, l’ontimprimé afin de voir la longueur de chaque article afin de pouvoir faire la mise enpage des articles.

e./ Séance 5

Les élèves ont, dans un premier temps, définis les différents éléments qu’ils voulaientvoir apparaître sur la première page. Ainsi ils ont défini l’emplacement :Ø Du titre du journalØ De la période lors de laquelle la réalisation du journal s’est faiteØ De la photo

L’emplacement des articles s’est fait en fonction de deux critères :Ø L’envie des enfants de voir apparaître leur article sur la page désiréeØ La grandeur de l’article

La disposition verticale ou horizontale de l’article a également été faite par l’auteur del’article.

f./ Séance 6

Lors de cette séance, deux groupes ont été formés :Ø Un groupe arts visuelsCe groupe était en autonomie et devait terminer la réalisation de leur prénom enutilisant des lettres représentant des objets de la vie courante.

Ø Un groupe formé sur les tableauxCe groupe était formé des élèves ayant choisis le projet poésie. Les élèves ont apprisà faire des tableaux et à fusionner les cellules.

g./ Séance 7

Cette séance a également été partagée en deux ateliers :Ø Un atelier arts visuelsCe groupe a continué de travailler sur le mouvement. Les élèves ont essentiellementréalisé leur pochoir et ont fait des essais sur des feuilles A4 pour essayer deréaliser un effet de mouvement.

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Ø Un atelier formateurCet atelier était en autonomie. Lors de cette séance deux ordinateurs seulement étaientà disposition. Chaque élève formateur a eu un groupe d’élèves à former. Ceci a consistésimplement à faire le tableau de la page avec les fusions nécessaire et mettre le titrede l’article dans la case correspondante.

h./ Séance 8

Cette dernière séance a consisté en la mise en forme des caractères des articles, à lapagination du journal et à l’impression en couleur de celui-ci (annexe IX).Cette séance a dû également être prolongée et s’est déroulée sur deux séances.

3./ Analyse

a./ Séance 1

La première séance a été réservée pour l’évaluation. Celle-ci m’a permis de voir si lesenfants utilisaient un ordinateur en dehors de l’école, mais surtout s’ils savaient utilisercorrectement le clavier. Plusieurs points se sont dégagés de cette évaluation.

Premièrement les enfants semblaient avoir compris qu’il ne fallait appuyer qu’une seulefois sur la touche espace pour séparer deux mots, néanmoins j’ai pu observer à plusieursreprises que les enfants mettaient plusieurs espaces entre les mots.Il semble évident que le problème provient ici d’une difficulté de lecture sur écranpuisque les élèves ont bien su répondre lors de l’évaluation.

Deuxièmement les élèves savaient bien repérer l’emplacement des lettres sur le clavierainsi que les lettres accentuées. Cependant pour des caractères spéciaux, tels quel’accent circonflexe ou le trémat, les élèves ne savent pas comment faire.Cette lacune provient d’une part que les élèves ne rencontrent pas souvent cescaractères et d’autre part que l’on ne leur a pas forcément appris.

Cette évaluation m’a permis de centrer les difficultés des élèves et ainsi d’élaborer uneaide correspondant à leur besoin au niveau de l’apprentissage de la maîtrise du clavier.

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b./ Séance 2

Ø Points faiblesPlusieurs journaux ont été créés lors de l’année et les élèves ne participaient pastous à l’élaboration du journal au même moment. Quand je suis arrivée en stage, laliste des élèves travaillant sur le journal était déjà faite. C’est pourquoi j’ai créé leprojet poésie.

Ø Points fortsLes élèves produisaient déjà un journal avec le reste de l’école. Ils avaient doncl’habitude de choisir des articles et de faire des recherches pour argumenter cesderniers.En ce qui concerne les poésies, les élèves connaissaient très bien ce type d’écrit etils n’ont eu aucun mal à s’approprier les différentes poésies ni à comprendre lessujets d’écriture correspondants.

c./ Séance 3

Ø Points fortsLe premier jet d’écriture s’est fait sur papier. Les élèves étaient soit seuls soit pardeux, aussi bien pour la création des articles du journal que pour les poésies. Les élèvesayant l’habitude de ce genre d’exercices et ayant des outils pour, cette partie du projetn’a pas posé de problèmes. Quand les élèves avaient fini leur travail d’écriture ils me lerendaient afin que je corrige les éventuelles fautes de syntaxe et d’orthographe

d./ Séance 4

Le deuxième jet d’écriture s’est fait sur ordinateur pour que le travail de réécriture nesoit pas trop pesant.

Ø Points fortsLes élèves étant généralement par deux pour la création de leur article, ils se sontpartagé le travail pour taper leur article sur WORD. Le fait qu’ils soient deux étaittrès intéressant car il y avait un élève qui dictait le texte et l’autre qui tapait.Comme ce travail s’effectuait sur ordinateur, les deux élèves pouvaient voir en mêmetemps le travail réalisé. Cela permettait également à l’élève qui dictait de voir leséventuels fautes d’orthographes et de corriger directement sans avoir à toutréécrire.Les élèves avaient l’habitude de travailler sur ordinateur ce qui m’a permis de leslaisser en autonomie et de m’occuper des élèves qui n’avaient pas fini leur premierjet d’écriture.

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Points faiblesLe point faible de cette séance s’est surtout passé pour le projet des poésies. Eneffet, des problèmes techniques se sont posés car il ne m’était pas possible de meconnecter sur le site de « clicksouris » depuis l’école. J’ai donc dû prendre les pagesInternet du site et les mettre sur l’ordinateur en local. Les élèves pouvaient donctaper leur texte sur les pages Internet du site, mais celui-ci n’étant pas en ligne, lesélèves n’ont pas pu envoyer leur production sur Internet. C’est donc moi qui ai dû lefaire depuis chez moi. Les élèves n’ont donc pas pu voir leur travail fini sur Internetni le présenter au reste de la classe.Pour présenter le travail fait par le groupe poésie, j’aurais pu leur faire imprimerleur texte et les faire afficher dans la classe. Sur l’instant je n’y ai pas pensé carj’étais prise dans le projet journal.

e./ Séance 5

Ø Points faiblesMalgré le fait que les élèves aient fait plusieurs journaux, ils n’avaient jamais fait demise en page. Nous avons donc dans un premier temps répertorié tous les éléments qu'ilsvoulaient trouver dans leur journal.

Par contre pour la disposition des articles, les élèves n’avaient pas d’idées, et c’est moiqui leur ai proposé la disposition verticale ou horizontale. Avec le recul, je pense qu’ilaurait été plus judicieux de leur faire étudier de vrais journaux pour qu’ils voient lesdifférentes dispositions possibles.

Ensuite nous avons mis en page les différents articles. Pour ce faire, les articlesimprimés étaient affichés au tableau et les enfants ont décidé de l'emplacement de leurarticle dans le journal en tenant compte de la longueur de celui-ci. Cette partie s’estfaite au tableau, et à aucun moment une vérification de la longueur des articles parrapport à une feuille A4 n’a été faite.J’aurais pu proposer, après que les élèves aient décidé de l’emplacement de chaquearticle, de vérifier si cela était possible en découpant les articles et en les recollant surune feuille A4.

Ø Points fortsEtant donné que le journal était produit seulement par la classe de CM2 et non pascomme d’habitude par toutes les classes, les élèves ont choisi un nom au journal.Après plusieurs propositions de noms et un vote, il a été décidé que le journals’appellerait « Le petit journaliste ».

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f./ Séance 6

Ø Points fortsPour la mise en page, les élèves devaient avoir une certaine maîtrise des tableauxsous WORD. Comme l’apprentissage ne pouvait pas se faire avec toute la classedevant un seul ordinateur, j’ai décidé de prendre le groupe d’élèves ayant fait leprojet poésie pour les former sur les tableaux.Pour ce faire, chaque élève devait réaliser un tableau correspondant à une page dujournal.La première étape a donc été de définir, d’après la mise en page définie à la séance5, le nombre de lignes et de colonnes pour chaque tableau afin de les créer. Lesélèves ont su ici définir le bon nombre de lignes et de colonnes, mais j’ai dû leur fairepenser à faire des colonnes et des lignes en plus pour séparer les différents articles.Après la création des différents tableaux, les élèves ont dû s’approprier la notion defusion des cellules et comprendre à quoi cela servait.Les élèves ont très vite compris comment faire et n’avaient quasiment plus besoin demoi pour réaliser les tableaux des dernières pages. Les élèves ont toujours été enaction et à aucun moment je n’ai pris la souris pour leur montrer. J’ai fait le choixd’expliquer oralement plutôt que de faire à leur place afin qu’ils voient qu’uneexplication simple suffit pour apprendre.J’ai pu également observer une grande motivation d’apprendre des élèves car ilssavaient qu’ils allaient être responsables de l’apprentissage de la création destableaux auprès du reste de la classe.

Enfin les élèves ont mis dans la ligne et la colonne appropriée le titre de l’article quidevait s’y trouver.

Le travail effectué par ce groupe a été imprimé (annexe VII).

g./ Séance 7

Ø Points fortsLes élèves formateurs ont repris les tableaux imprimés qu’ils avaient réalisés dans laséance 6. Ce sont ces tableaux que le reste de la classe devait reproduire.Comme il y avait cinq pages, cinq groupes ont été formés. Etant donné que je n’avais àma disposition ce jour là que deux ordinateurs, j’ai fait en parallèle une séance d’artsvisuels. L’atelier informatique était en autonomie et j’étais avec le groupe sur lemouvement.Cependant l’atelier arts visuels ne demandant pas trop ma présence, j’ai pu aller voircomment l’apprentissage des tableaux se déroulait. A aucun moment les élèves nem’ont demandé de l’aide. Par contre j’ai pu observer des élèves se servir de l’aidepour se souvenir de certains éléments. Ainsi j’ai pu constater leur capacité à retenirce qui avait été appris et à utiliser l’aide fournie.

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Les élèves formateurs ont été tentés quelques fois de prendre la souris pourmontrer aux autres, mais dans l’ensemble ils ont bien suivi la consigne d’expliquersimplement par des mots.

Lors de cette séance j’ai pu également constater une grande motivation aussi bien ducôté du formateur que celui de l’apprenant. En effet, les formateurs étaientvalorisés par le savoir qu’ils donnaient au reste du groupe, et les apprenants par lefait qu’ils allaient être capables par la suite de réinvestir leur formation de mise enpage dans les prochains journaux.

h./ Séance 8

Ø Points fortsDans cette séance les élèves ont également dû se servir de l’aide concernant lesfonctionnalités de WORD pour copier leur article qui était dans un document WORDet le coller à l’emplacement réservé dans le tableau. Ils ne sont pas allés directementvers les documents d’aide et c’est moi qui ai dû le leur rappeler. Cependant ils ont sutrouver la page correspondant à ce qu’ils voulaient faire et comprendre lesindications pour réussir le « copier/coller ».

Cette aide à également servi de rappel pour la mise en forme des caractères.Néanmoins les élèves savaient assez bien manier les fonctionnalités de WORD,comme la mise en gras des caractères.

La valorisation de ce travail s’est fait lors de l’impression du journal en couleur dansla classe. Ainsi, contrairement à mon premier stage, les élèves ont pu voir leur travails’imprimer devant eux et j’ai pu voir leur satisfaction. En effet, les élèves étaientenchantés de voir leur article bien présenté.

Ce journal est resté dans la classe et un autre en couleur est passé dans les autresclasses, ce qui a encore plus valorisé leur travail étant donné que ce journal avait étéproduit seulement par la classe de CM2.

A leur demande, les élèves ont également eu chacun un journal (en noir et blanc) pourle montrer à leurs parents.

Ø Points faiblesLes élèves ont voulu insérer des images dans leur article, or je n’avais pas prévu cecas de figure et aucune aide n’était disponible sur cette fonctionnalité. Aussi j’ai dûexpliquer individuellement, pour les élèves en ayant besoin, comment on faisait.Je n’ai pas eu le temps non plus de former des élèves pour qu’ils expliquent au restede la classe comment insérer ces images. Enfin je n’ai pas pu vérifier non plus sil’insertion d’images était acquise par ces élèves car ils n’ont pas réinvesti cettenotion par la suite.

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4./ Apports du deuxième stage

Ce deuxième stage m’a été vraiment profitable car j’ai pu mettre en place des activitéssur les différents problèmes soulevés lors du premier stage. Ainsi j’ai pu voir lesdifficultés de mise en place de méthodes de travail comme l’aide que les élèves nepensent pas toujours à utiliser.

En ce qui concerne la réalisation d’un journal en classe, je pense que c’est un travail quidoit s’effectuer sur l’année comme c’était le cas dans l’école où j’étais et qu’il aurait étédifficile de terminer un travail aussi important avec une classe ne travaillant pasrégulièrement sur ce type d’écrit.Mais ce travail sur le journal était vraiment intéressant du fait de la diversité desécrits journalistiques produits et surtout du fait que les élèves ont appris à mettre enpage ce type d’écrit. De plus ils pourront réinvestir la mise en page apprise avec leurmaîtresse pour les prochains journaux de l’école.

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ConclusionLors de ces deux stages en responsabilité, dans des cycles différents, j’ai pu monterdeux projets qui m’ont beaucoup apporté. Mon premier stage m’a permis de mettre enexergue les points faibles et le deuxième stage de remédier à ces problèmes suite à mesobservations. Ainsi j’ai pu retirer plusieurs points essentiels lors de la mise en place deprojets :

Ø Les difficultés techniquesCe premier point est essentiel car, lors de mon premier stage, le fait qu’il n’y aitqu’un ordinateur à ma disposition pour 25 élèves a été difficile à gérer. Aussi lesconditions matérielles concourent à la réussite du projet et ne sont pas à négliger.J’ai donc appris qu’une bonne gestion de la classe était nécessaire dans de tels cas etque plusieurs ateliers étaient nécessaires.

Ø Les difficultés d’écritureLà aussi cette difficulté est majeure car le temps d’écriture, et essentiellementpour des histoires, est long et nécessite des réécritures. Ainsi cette difficulté estliée à la gestion du temps étant donné que le projet devait tenir sur trois semaines.

Ø La mise en place de moyensC’est lors de l’analyse de mon premier stage que je me suis rendue compte quej’aurais pu réaliser un gain de temps si j’avais mis en place des moyens techniquestels que l’aide papier, le système de tutorat ou encore le travail de groupe. Cesremarques ont donc été mises en application lors de mon deuxième stage et m’apermis de constater une plus grande implication des enfants du fait qu’ils étaientresponsabilisés.

Ce travail m’a permis de voir que des éléments tels que la gestion du temps, la miseen place de réseaux d’aide ou la gestion du matériel sont autant de choses à gérerpour un bon déroulement du projet. De plus ce projet n’a pas seulement permis auxenfants d’acquérir des compétences en informatique mais aussi sur le travail degroupe, la transmission des connaissances ou encore l’utilisation à bon escient d’uneaide.

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37

BibliographieLes livres :

Ø Ecole, informatique et nouveaux comportements – Christian Laguerre – CollectionCommunication Sociale Série Communication jeunesse - 1998

Ø Ministère de l’éducation nationale - Les programmes 2002 « Qu’apprend-on àl’école élémentaire ? » - CNDP - 2002

Ø Ordinateur et pédagogie différenciée – Anny et Jean-marc VERSINI – Lespratiques de la pédagogie – Nathan, pédagogie - 1996

Ø Jean-claude VILLAUME - Une pratique du monitorat des élèves dans une écolemulhousienne - Cahiers pédagogiques - Cahiers pédagogiques - mars 1999

Ø Lire et écrire au cycle 3 - Ministère de l’éducation nationale – Collection école –CNDP – Octobre 2003

Les articles :

Ø Brevet informatique et Internet (B2I) école – collège : Bulletin officiel N°24 du23 novembre 2000

Les sites Internet :

Ø www.educnet.education.fr à primaire à orientations.htmØ www.educnet.education.fr à primaire à les TIC à l’écoleØ www.educnet.education.fr à primaire à orientationsØ www.educnet.education.fr à primaire à pratiques pédagogiques à typologieØ http://users.skynet.be/ameurant/francinfo/ttextes/

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I

Annexe I : Brevet Informatique et Internet niveau I

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II

Annexe II : Les différents éléments des contes

Le livre Le conte des CE1 – CE2Le titre Une soupe au caillou La soupe au boisLes personnages Le loup

La pouleLe chevalLe chienLe canardLe cochonLa chèvreLe mouton

Le loupLa dindeLe hérissonL’oursLe lapinL’âneLe lionL’hippopotame

Les événements - Le loup frappe à la portede la poule- La poule ouvre car elle estcurieuse- Le loup demande unemarmite- Le loup sort un caillou deson sac- Le loup donne la recettede la soupe au caillou- Les animaux sont inquiets- Les amis de la poule vontchercher des légumes- Les animaux mangent lasoupe- Le loup s’en va et va dansun autre village

- Le loup va chez la dinde- Le loup donne la recette àla dinde- Le loup sort un bout debois de sa poche- Le loup demande unemarmite à la dinde- Les animaux sonnent chezla dinde pour voir cde qui sepasse- Chaque animal apporte desfruits- Les animaux font unesoupe aux fruits- Le loup va dans un autrevillage

Les légumes / les fruits Des poireauxDu céleriDes navetsDes courgettesDu chou

Des bananesDes pruneauxDes fraisesDes noix de cocoDes abricots

Les lieux - Dans le village des animaux- La maison de la poule

- Le village des fruits- La maison de la dinde

Le débutLa fin

C’est la nuit, c’est l’hiverLe loup part

C’est le jour, c’est l’étéLe loup part

Les temps utilisés Présent de l’indicatifPassé composé

Présent de l’indicatif

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III

Annexe III : Comment transformer un conte ?

Ø J’ai écrit une histoire qui ressemble au conte traditionnel

Ø J’ai changé le lieu et l’époque de l’histoire

Ø J’ai changé quelques événements

Ø J’ai gardé le début : « présentation du lieu et du temps »Et la fin : « le loup va dans un autre village »

Ø J’ai repris le même type de personnages mais je peux en créer ou en supprimerd’autres

Ø J’ai décrit les personnages

Ø J’ai fait parler les personnages

Ø Lorsque j’écris un dialogue, je fais attention à la ponctuation

Ø J’ai fait attention à l’orthographe

Ø J’ai utilisé les temps appropriés

Ø J’ai fait attention au vocabulaire

Ø J’ai employé des mots ou expressions qui organisent le texte pour découper celui-ci en paragraphes

Ø J’ai sauté une ligne entre les paragraphes

Ø J’ai décalé le début de chaque paragraphe de 2 carreaux

Ø J’ai fait attention aux accords

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IV

Annexe IV : Production d’un élève sur le conte

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V

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VI

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VII

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VIII

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IX

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X

Annexe V : Evaluation informatique

Prénom Date

Informatique

1./ Colorie en rouge la touche pour séparer 2 mots.2./ Combien de fois dois-tu appuyer sur cette touche pour séparer 2 mots ?

3./ Colorie en bleu la touche permettant d’aller à la ligne.4./ Colorie en jaune la touche permettant d’effacer ce que tu viens d’écrire.5./ Colorie en vert la touche permettant de mettre une majuscule à un mot.6./ As-tu un ordinateur à la maison ?

7./ Si oui, peux-tu t-en servir ?

8./ Sais-tu te connecter à Internet ?

9./ Sais-tu chercher une information sur Internet ?

10./ Utilises-tu souvent des logiciels pour écrire (comme Word par exemple) ?

11./ Colorie en marron les touches pour écrire le mot « où »12./ Colorie en orange les touches pour écrire le mot « père »13./ Colorie en gris les touches pour écrire le mot « boîte »

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XI

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XII

Annexe VI : Poèmes et sujets d’écritures

Ø La fourmiØ L’araignéeØ Le tamanoirØ La linotte

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XIII

Le poème

L'atelier d'écriture

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XIV

Le poème

L'atelier d'écriture

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XV

Le poème

L'atelier d'écriture

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XVI

Le poème

L'atelier d'écriture

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XVII

Annexe VII : La mise en page du journal sous forme de tableaux

Page 1

Période ImageTitre

Sommaire Les infos de Mercurey

Les catastrophes naturelles

Adresse du site clicksouris

Page 2

Interview Les tritons

L’enlèvement de Fanny

Page 3

Le cheval et le poney

La visite du collège de Givry

Page 4

Visite du Creusot Visite de l’école

Page 5

L’étang de Mercurey

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XVIII

Annexe VIII : Les créations poétiques

Bambi

Bambi c'est mon amiIl sourit, il ritAttention il n'aime pas les sourisMais il aime jouer avec Julie, Marie et ElodieIl aime lire les Max et LiliQuand il rit il ressemble à un iQuand il sourit il ressemble à un canariIl adore les spaghettisMais il n'aime pas les raviolisIl tient beaucoup à la vieIl adore aussi son lit chériIl mange bien le midiEt tout ça c'est Bambi mon ami

Alice

La rose

Une petite rose de 18 centimètresAvec une casquette sur la tête sa la rend si bête.Quand on fait la fêteElle a mal à la tête.

Tous les étés elle va prendre le théAvec sont ami « Maïté »Et quand on lui rigole au nezOn dirait un chimpanzé

La petite rose parlant françaisLatin et javanaisCa n'existe pas, ça n' existe pas

Et pourquoi pas ?

Chloé

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XIX

La petite souris

J'allumais ma bougie et devinez ce que je visUne petite souris qui dormait sur mon lit.Et devinez ce que je lui ai dit :Vous n'êtes vraiment pas poli de dormir sur mon lit quand je suis partie

Je l'ai enlevé de mon lit et elle est partie.Les gens d'ici n'ont pas comprisCe que je leur ai dit

Gaétan et Julie

Le renard bizarre

Chaque soir dans le noirLe renard part voir les canardsQuand le renard s'approche de la mareLes canards lui lancent des regards noirs

Aux alentours de minuit moins le quartLe renard part de la mareOù il fait le canard coin ! coin !Sur sa route il rencontre une bande de chats noirs

Et il prend le car pour rentrer de la mareArrivé au village, il se demanda commentIl faisait le bruit du canardIl ne le saura jamais

Laura

Araignée du quatre heures

Araignée du quatre heures :L'heure est venue, se dit Twister,De penser au malheurCar il y a de la chaleur.

Araignée de l'après-midi :Venez-ici, dit Mélanie,Il y a des spaghettis avec des radisDans des assiettes cookies.

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XX

Araignée de la soirée :Il y a du papier se dit SaloméDans le canapé doréAvec des coussins troués.

Mais si toutes les araignées avaient du malheurOu mangeaient des spaghettisOu étaient dans un canapé où il y a du papierNous n'aurions plus d' araignées.

Margaux

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XXI

Annexe IX : Le journal

Du 15/03/04 au 03/04/04

Le petitjournaliste

Sommaire :P.1 :Ø Les

catastrophesnaturelles

P.2 :Ø Interview d’un policierØ Les Tritons Ø L’enlèvement de Fanny.

P.3 :Ø Le chevalØ Visite du Collège de

GivryP.4 :Ø Visite au Creusot,Ø Visite à Montceau

P.5 :Ø L’étang de Mercurey

Les infos de Mercurey

La salle des fêtes estfinie.Il y a de belles carpesà l’étang deMERCUREYEt dans ceux deM.DUVERNAY etM.TREMEAUX.Samedi 12 mars2004 : les CM2 sontpartis au collège àGivry ,ils se sont bienamusés.Jéremy Enzo

LES CATASTROPHES NATURELLES

Il existe plusieurs types de catastrophes naturelles : - les incendies - les tempêtes

- les inondations - les tornades

- les séismes

Les incendies et les tempêtes sont les plus grosses catastrophes naturelles.

L’été dernier il y a eu plusieurs incendies en France.La tempête de 1999 a été violente.

Il y a presque tous les ans des catastrophes naturelles.

Site : Pour aller voir nos poésies surfez sur www.cliksouris.com

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XXII

Interview d’un policier sur la préventionroutière

1 Depuis combien de temps êtes-vous dans lapolice ?Depuis Janvier 1997

2 Est-ce qu’il faut beaucoup d’études et deconcours pour entrer dans la police ?Il faut avoir le niveau baccalauréat, passerun concours et suivre ensuite une scolaritéde 12 unités en école pour être acceptédans notre premier poste (souvent dans larégion parisienne)

3 Actuellement quel est votre poste ?Je suis motocycliste dans la CRS 43 de par laprévention routière

4 Quelles sont vos missions dans votre travailquotidien ?Surveillance de l’automobiliste et contrôlesradars poids lourds et travail de préventionessentiellement mais quelques fois fréquentspour les automobilistes non respectueux duCode de la route.

5 Pensez-vous que votre présence sur lesecteur routier est importante ? ?Naturellement notre présence est essentielle.Les usagers sont conscients de l’importancede notre présence sur le terrain

Arthur et Nicolas

Les tritons

Il y a plusieurs sortesde tritons.ex : le tritonAlpestre, le tritonponctué…Le triton Alpestrepeut aller jusqu’à 11cm. Le mâle est pluspetit que la femelle.Il vit la plupart dutemps dans l’eau. Lecorps est brun avecdes points foncés surle corps.Le ventre et la gorgesont orange.Le tritonponctué peut allerde 8 à 11 cm. C’est untriton brun clair. Leventre et la gorgesont jaunes avec destaches noires.

ALEXANDRE DMAXIME

L’enlèvement de Fanny

Le ravisseur présumé de la petite Fanny, Denis Besson, a été mis en garde à vue vendredidernier. Il a fait subir à la petite Fanny : séquestration, agression lors de son enlèvement.Le jeune homme de 20 ans, qui encourt la réclusion criminelle à perpétuité, a été placé sousmandat de dépôt et ne sera pas, en principe, incarcéré à Angoulême.

La petite fille, très affaiblie, a été placée sous surveillance médicale au centre hospitalierd’Angoulême .Elle a été séquestrée pendant 24 heures. Heureusement elle a été retrouvée.

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XXIII

Le cheval et le poney

Le cheval est un animal qui a besoin d’un grand espace, il faut payer la nourriture, avoir uneécurie et le faire courir. Bien sûr il y a plusieurs sortes de chevaux et plusieurs sortes de poneyscomme : le cheval Arabe, le Pur-sang, le Norique, le cheval de trait Belge, l’Ardennais, leTrotteur Français, le Breton, le Boulonnais, l’Oldenbourg, le Bai de Cleveland, le Cheval desMurgies, le cheval de Trait Italien, le Frison, le Cheval du Don,le Cheval de trait Vladimir, leCheval suédois à sang chaud, le Morgan, le Standardbred (trotteur Américain , le Missouri FoxTrotter, le Mustang. Se sont toutes des races de chevaux.Quelques races de poneys : le Welsh Mountain, le New Forest, le Cob gallois (Welsh Cob), leHighland, le Dales et le Shetland.

Il y a plusieurs règles à respecter comme : mettre sa bombe avant de monter sur un cheval ou unponey parce-que si on tombe on peut se faire très mal , ne jamais faire l’imbécile avec un chevalou un poney car ça peut lui faire peur et ça peut l’énerver et ne jamais montrer notre peur à uncheval ou à un poney si on a peur bien sûr .

Types de nourriture :On peut donner aux chevaux et aux poneys plusieurs sortes de nourriture : Maïs , orge, son,floconné, paille hachée, graines de lin cuites, avoines, rutabaga, fruits et légumes, herbe et pourterminer un bloc de sel.Il est indispensable de peser la nourriture avant de la donner à un cheval ou à un poney .C’est vrai que c’est difficile de s’occuper d’un cheval ou d’un poney , ça coûte très cher maisça vaut le coût enfin pour ceux qui aiment les chevaux ou les poneys .

Alexandra

La visite du collège de Givry.(Le petit pretan)

La visite du collège a commencé à 8h25, le samedi 13 mars et a fini a 11h30.Nous sommes allés en premier à la salle d’exposition.M. Delorme nous a montré l’emploi du temps des 6éme6 de cette année.Après cela ,nous sommes allés dans la salle d’allemand où nous attendait un

cours avec Mlle Ray (chant). Après ce cours, nous avons fait comme lescollégiens, c’est à dire nous sommes allés dans la cour (la récré ne dure que

10 minutes ) .Ensuite nous avons visité les salles de technologie puis le self.

Puis nous sommes allés au C.D.I et dans la salle des profs, dans la salle deréunion, et enfin, dans l’infirmerie. On peut appeler d’une cabine : l’appelcoûte 20 centimes.. Puis nous avons été dans le bureau où les repas sont

programmés avec le chef du self et la journée s’achève.JUSTINE ET ALICIA.

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XXIV

VISITE DU CREUSOTC.M.2.

Les c.m.2 sont allés auCreusot pour visiter lemusée de l’industrie.

On a commencé par le petitThéâtre puis on est allé dansles loges et dans la salle desmachines.Après on est allé dans lemusée de l’industrie où il yavait : la locomotive, lebateau à vapeur, la ville duCreusot en maquette et lemarteau pilon .

Ils ont aménagé un château

sauf une pièce qu’ils n’ontpas touchée. Dans une pièce,il y a une maquetteélectronique. Dans uneautre pièce, il y a plusieursmaquettes où il y a plusieursmaisons identiques et aussiles uniformes des ouvriers.

On a mangé dans une salleet après, on a pris le car pouraller à MONTCEAU LESMINES.

Marine et Crislène

Visite de l’école

On est parti le jeudi 12 février à13h00. On a visité une ancienneécole

qui a été construite en 1802. Lapremière année, ils ont accueillide 60 à 90 élèves. Les maîtresavaient des bâtons pour taperles élèves quand ils n’étaientpas sages.

Bonnet d’âne : quand les élèvesfaisaient des bêtises, ils lemettaient sur la tête.

Le cahier dans le dos : quand ilsavaient beaucoup de fautes lemaître posait le cahier dans ledos de l’élève pour que tous lesélèves voient toutes les fautes.

Ils étaient habillés avec desblouses, portaient des sabots,un chapeau et aussi des paniers.Ils n’avaient pas de cantine etdevaient apporter leur repas. Ilsle faisaient chauffer eux-mêmessur le poêle.Ils étaient habillés tous pareils.Ils avaient des tables en bois etils écrivaient à la plume avecun encrier à droite de la table.La cours était petite et la duréede la récréation était de 5minutes .Puis on a pris le car pour rentrerà mercurey .

Alexandre Rubet etDavid Bonin

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XXV

L’étang de mercurey

L’étang se trouve à la rue du pont latin.L’association s’appelle pêche et loisir de mercurey qui à été crée le 11 avril 1997.L’étang à été creusé en : nous avons demandé à la mairie mais ils n’ont pas trouvé la datede création.

L’étang appartient à la mairie .Président : Didier Vion

Vice-président : Jean Dardelin Secrétaire : Catherine DutroncySecrétaire adjoint :Nicolas Benoît Trésorier :Jean GilletTrésorier adjoint : Thierry Mathias Membre actifs (ceux qui aident ) Georges Bon ,Denis Vervoitte, Fabrice Gillet,Henri Bossu, George Michelot.Commissaire aux comptes(banquier) :Jean Boullin.

Le lâcher de poissons

Truites :150 kg Tanches : 100 kgGoujons : 5 à 10 kgCarpes : 75 kg

Informations

Ouverture de la pêche depuis le 13 mars 2004 .Concours de pêche le 19/06/2004.

Pour prendre votre carte de pêche appelerSecrétaire : tel 03-85-45-21-92Président :tel 03-85-45-23-97Pour savoir plus de chose sur Mercurey le site est : www.mairie-mercurey.com

CchkjfLoïc Chassy Ccharles cottez

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Ce mémoire a pour objectif de voir la motivation que l’ordinateur peut apporterdans la production d’écrit. Pour ce faire, deux projets ont été menés :

Ø Un en cycle II avec une classe de CE1 – CE2 où un conte a été réaliséØ Un en cycle III avec une classe de CM2 où un journal a été fait

Mots clés :Ø OrdinateurØ JournalØ ConteØ MotivationØ Aide