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CONTACTS PRESSE
Sonia Razafindranaly 04 72 07 32 90 [email protected]
Pascal Zelcer 06 60 41 24 55 [email protected]
Maud Binet 04 78 37 02 52 [email protected]
CRÉATION (LYON)
THÉÂTRE DE LA CROIX-ROUSSE 18 au 29 novembre 2013
TOURNÉE NATIONALE Décembre 2013 à mars 2014
LE THÉÂTREQUI AIME
LA MUSIQUE
n ° 1 f r a n ç a i s
COMÉDIE MUSICALE
Une comédie musicale de Jule Styne, Betty Comden et Adolph Green
Mise en scène Jean Lacornerie
Direction musicale et transcription Gérard Lecointe
BELLS ARE RINGING
CROIX-ROUSSE.COMTéléchargez dossiers et photos HD identifiant & mot de passe : pressetxr
18 > 29 novembre 13
COMÉDIE MUSICALE
Jule Styne / Betty Comden / Adolph Green Jean Lacornerie / Gérard Lecointe
CRÉATION
Novembre 2013Lu 18, Ma 19, Je 21, Ve 22, Ma 26, Me 27, Je 28, Ve 29 > 20hSa 23 > 19h30Di 24 > 15h
TARIFS LOCATION
De 5 à 26 €
RENDEZ-VOUS
Portraits d’acteurs Rencontre avec Jacques Verzier le 13 nov. à 12h30, au Studio. Restauration rapide possible sur place. Entrée libre, réservation conseillée au 04 72 07 49 49.
France Musique au Théâtre de la Croix-Rousse l’émission 42e Rue présentée par Laurent Valière sera réalisée en direct et en public dimanche 24 novembre à 11h depuis le plateau de la Grande Salle. Entrée libre sur réservation au 04 72 07 49 49.
Le Théâtre de la Croix-Rousse, association loi 1901, est conventionné par la Ville de Lyon, la Direction Régionale des Affaires Culturelles Rhône-Alpes, la Région Rhône-Alpes et est subventionné par le Département du Rhône. Licences d’entrepreneur de spectacles 1-1054499, 2-1054500, 3-1054505. Siret n° 313 915 019 00050. APE 9001Z
Théâtre de la Croix-Rousse - Place Joannes-Ambre - 69004 Lyon - [email protected] - tél : 04 72 07 49 50 - fax : 04 72 07 49 51
Une rencontre improbable et pourtant évidente Ils sont liés par un amour commun pour le téléphone... et pour la musique bien entendu ! ATS Studios est mécène du Théâtre de la Croix-Rousse pour la création de Bells Are Ringing.
Plus d’informations sur cette rencontre à la page 14.
n ° 1 f r a n ç a i s
BELLS ARE RINGING
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GÉNÉRIQUE
Livret et lyrics Betty Comden et Adolph Green
Musique Jule Styne
Mise en scène Jean Lacornerie
Direction musicale et transcription Gérard Lecointe
Chorégraphie Raphaël Cottin
Décors Bruno de Lavenère
Lumières David Debrinay
Costumes Robin Chemin
Images Etienne Guiol
Son Emmanuel Sauldubois
Avec Les Percussions Claviers de Lyon : Raphaël Aggery, Sylvie Aubelle, Jérémy Daillet,
Gilles Dumoulin, Gérard Lecointe
Sébastien Jaudon (piano)
et Gilles Bugeaud (Sandor)
Claudine Charreyre (Hastings)
Estelle Danière (Gwen)
Quentin Gibelin (Docteur Kitchell)
Sophie Lenoir (Ella Peterson)
Colin Melquiond (Blake Barton)
Julie Morel (Sue)
Maud Vandenbergue (Olga)
Jacques Verzier (Jeffrey Moss)
Franck Vincent (Inspecteur Barnes)
Production Théâtre de la Croix-Rousse
Coproduction
Les Percussions Claviers de
Lyon, La Clef des Chants,
association régionale de
décentralisation lyrique Région
Nord-Pas-de-Calais, l’Opéra
Théâtre de Saint-Etienne
Avec le soutien d’ATS Studios.
Avec l’aide à la production
d’Arcadi.
Créé par Jerome Robbins
pour The Theater Guild,
avec une chorégraphie de
Jerome Robbins et Bob Fosse.
Présenté en accord avec
TAMS-WITMARK MUSIC
LIBRARY, INC.
Spectacle en français Chansons en anglais surtitrées en français
Durée : 2h30 environ (avec entracte)
BORD DE SCÈNE
Rencontre avec l’équipe artistique mardi 19 novembre 2013 à l’issue de la représentation.
BELLS ARE RINGINGJule Styne / Betty Comden / Adolph Green Jean Lacornerie / Gérard Lecointe
TOURNÉE 2013 - 2014
OPÉRA DE ROUEN
18 au 20 décembre 2013 à 20h
NOUVEAU THÉÂTRE DE MONTREUIL 24 & 26 décembre 2013 à 19h30 25 décembre 2013 à 17h
OPÉRA THÉÂTRE DE SAINT-ÉTIENNE 11 janvier 2014 à 18h
SCÈNE NATIONALE DE BESANÇON
16 janvier 2014 à 20h
SCÈNE NATIONALE DE MÂCON
19 janvier 2014 à 17h
LA PISCINE - CHÂTENAY MALABRY
22 janvier 2014 à 20h30
LE GRANIT - SCÈNE NATIONALE DE BELFORT
25 janvier 2014 à 20h
SCÈNE NATIONALE D’ORLÉANS 04 février 2014 à 20h30
THÉÂTRE MONSIGNY - BOULOGNE SUR MER
08 février 2014 à 20h30
MAISON DE LA CULTURE DE BOURGES
13 et 14 février 2014 à 20h
OPÉRA DE REIMS
18 février 2014 à 20h
ESPACE CULTUREL BORIS VIAN - LES ULIS
14 mars 2014 à 20h30
CONTACTS Sonia Razafindranaly 04 72 07 32 90 / [email protected] - Maud Binet 04 78 37 02 52 / [email protected]
En quelques mots ...
2
Cette comédie musicale américaine, créée à Broadway en 1956 et rendue célèbre par son adaptation au cinéma par Vincente Minnelli, est montée
pour la première fois en France par Jean Lacornerie avec les Percussions Claviers de Lyon.
Betty Comden et Adolph Green (les scénaristes de
Chantons sous la pluie) sont les auteurs du livret et
l’on doit la partition à l’un des grands compositeurs
de Broadway : Jule Styne (Les Hommes préfèrent
les blondes, Gypsy).
A sa création, le spectacle est un triomphe
(924 représentations) grâce à la performance
de Judy Holliday (dans le seul rôle musical de sa
trop courte carrière), à la mise en scène et à la
chorégraphie de Jerome Robbins et Bob Fosse.
Fidèle au répertoire de la comédie musicale
qu’il connaît bien, Jean Lacornerie propose une
adaptation de l’œuvre avec la complicité de
Gérard Lecointe, directeur musical des Percussions
Claviers de Lyon qui assure la transcription
musicale de l’œuvre.
Il s’entoure naturellement de la troupe des
chanteurs-comédiens qui poursuivent avec lui
depuis plusieurs années cette aventure dans le
répertoire des comédies musicales américaines
(Lady In The Dark, Broadway Melody, etc.).
Ella Peterson est opératrice
téléphonique à New York, dans
l’entreprise de sa cousine Sue.
En relation avec de multiples
personnes, elle se prend d’amitié
pour la plupart d’entre elles. Ainsi,
loin de se contenter de réceptionner
et de transmettre les messages, elle
s’immisce dans la vie privée de ses
interlocuteurs pour les aider.
C’est ainsi qu’elle va se faire “l’ange
gardien” du dentiste Joe Kitchell qui
a toujours souhaité être musicien
(et qui compose ses airs sur ses
instruments de médecine), du jeune
acteur Blake Barton qui n’arrive pas
à trouver un job, et surtout de Jeffrey
Moss, un auteur dramatique déprimé
qui a du mal à se mettre à écrire.
Mais l’inspecteur Barnes soupçonne
l’entreprise “Susanswerphone” d’être
mêlée à un réseau de prostitution
et décide de mettre le standard sur
écoute.
Malgré cette surveillance accrue,
la jeune Ella usera de tout son talent
et adoptera différentes identités
pour parvenir à aider le dramaturge
dont elle est tombée amoureuse.
Elle deviendra ainsi l’inspiratrice
de ce dernier pour une pièce dont
Joe composera la musique et Blake
tiendra le rôle principal.
Jule Styne / Betty Comden / Adolph Green Jean Lacornerie / Gérard Lecointe
It’s a perfect relationship. I can’t see him, He can’t see me.”
“C’est une liaison parfaite. Je ne le vois pas. Il ne me voit pas”
BELLS ARE RINGING
Synopsis
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CONTACTS Sonia Razafindranaly 04 72 07 32 90 / [email protected] - Maud Binet 04 78 37 02 52 / [email protected]
Note d’intentions
BELLS ARE RINGINGJule Styne / Betty Comden / Adolph Green Jean Lacornerie / Gérard Lecointe
Bells Are Ringing est une fable sur la grande
ville, sur le téléphone et sur la solitude. Une fable
des années cinquante (déjà) imaginée par des
jeunes gens, Betty Comden et Adolph Green,
qui étaient en train, avec Bernstein et Stanley
Donen, de bouleverser la comédie musicale.
Ils s’emparaient de sujets ultra-contemporains
pour réenchanter le quotidien.
C’est une fable sur les relations virtuelles entre les
habitants de New York qui sonne délicieusement
“vintage” aujourd’hui, où nous utilisons tous
les réseaux possibles (Internet, téléphone et
applications Smartphones) pour nous rencontrer.
Il est amusant de voir que la problématique est
toujours la même : pour séduire, il faut construire
un personnage imaginaire et ce personnage a
peu de chance de passer l’épreuve de la réalité.
Les rencontres réelles sont rares.
Bells Are Ringing est une œuvre optimiste qui
confronte implacablement l’imaginaire à la réalité.
Son prologue en donne le ton qui commence par
la juxtaposition d’une publicité pour un service
de secrétariat par téléphone (l’ancêtre de nos
répondeurs) avec sa rangée de standardistes
impeccables. L’instant d’après, on découvre le
bureau crasseux où travaillent les trois seules
employées dudit service de répondeur. L’écrivain
de pièces à succès dont va tomber amoureuse
(par téléphone) notre héroïne se révélera un
artiste en pleine dépression. ... /...
JEAN LACORNERIE
Formé auprès de Jacques Lassalle au Théâtre
National de Strasbourg, il est secrétaire général de la
Comédie-Française de 1990 à 1992. Il fonde à Lyon
la compagnie Ecuador en 1992 et s’intéresse tout
particulièrement aux écritures contemporaines.
Dès 1994, il explore également les formes du théâtre
musical, avec entre autres des œuvres de Michael
Nyman, Leonard Bernstein, Kurt Weill et Bertolt Brecht.
En 2002, il prend la direction du Théâtre de la
Renaissance où il assure la première française d’ouvrages
du répertoire américain du XXe siècle : Of Thee I Sing de
George Gershwin et, en coproduction avec l’Opéra de
Lyon, One Touch of Venus et Lady in the Dark de Kurt
Weill ainsi que The Tender Land d’Aaron Copland.
Nommé à la tête du Théâtre de la Croix-Rousse en
décembre 2010 pour y mener un projet original dédié
au croisement du théâtre et de la musique, il y présente
une version concert de West Side Story de Leonard
Bernstein en décembre 2011.
En mai 2012, il met en scène Mesdames de la Halle,
opérette en un acte de Jacques Offenbach, avec Jean-
Paul Fouchécourt et le Studio de l’Opéra de Lyon.
Récemment, il adapte avec la Maîtrise de l’Opéra de
Lyon, un des grands classiques de la comédie musicale :
Le Roi et moi. Dans le même répertoire, il créera en
novembre 2013, Bells Are Ringing, une œuvre de Betty
Comden et Adolph Green composée par Jule Styne.
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GÉRARD LECOINTE
Après avoir entrepris des études pianistiques orientées
vers le jazz, Gérard Lecointe suit l’enseignement de
François Dupin au CNSM de Lyon. Il explore également
les techniques d’écriture et d’orchestration auprès de
Gérard Gastinel.
Au terme de leur cursus, cinq étudiants se regroupent
pour créer les Percussions Claviers de Lyon. Gérard
Lecointe réalise ses premiers arrangements pour
l’ensemble : des transcriptions d’œuvres de Claude
Debussy et de Maurice Ravel. Il réalise ensuite un travail
important sur West Side Story présenté à Leonard
Bernstein qui donne son assentiment.
Bien que mobilisé par les activités naissantes des
Percussions Claviers de Lyon, Gérard Lecointe devient
l’un des principaux percussionnistes de l’orchestre de
l’Opéra national de Lyon dès sa création en 1983 et
le reste jusqu’en 1998. Il travaille alors avec John Eliot
Gardiner et Kent Nagano.
A partir de 1998, les Percussions Claviers de Lyon
trouvent une place grandissante dans le paysage
musical français et international grâce à un répertoire
en expansion toujours plus ouvert à la diversité de la
création contemporaine qu’elle soit savante ou populaire.
Il transcrit et arrange pour la percussion de nombreuses
œuvres du répertoire pianistique et orchestral (Debussy
et Ravel donc, mais aussi Bartok, Chostakovitch, Listz,
Milhaud, Mozart, Offenbach, Prokofiev, Stravinski,
Gershwin, Tomasi, Reich ou encore Zappa) et écrit des
pièces originales nourries de ses fécondes traversées.
Pourquoi diable alors dire que c’est une œuvre
optimiste ? Parce que l’imaginaire l’emporte
grâce à une série de personnages marginaux :
un dentiste compositeur, une diva enrhumée, un
acteur au chômage, un flic au grand cœur, un
escroc mélomane et au centre de tous, notre
standardiste amoureuse. Grâce à sa générosité et
à son enthousiasme, elle va réussir l’impossible,
mettre les uns et les autres en relation et tisser un
réseau de solidarité.
Nos jeunes librettistes l’affirment dans leur
préface : dans les grandes villes anonymes, les
gens qui déploient cette force existent vraiment.
Jule Styne, qui est un des grands stylistes de
Broadway, sous cette ligne d’énergie positive,
réussit à construire dans sa partition un savant
contrepoint de mélancolie profonde. Il n’y a pas
dans Bells Are Ringing d’optimisme béat. ”
Jean Lacornerie, avril 2012
BELLS ARE RINGINGJule Styne / Betty Comden / Adolph Green Jean Lacornerie / Gérard Lecointe
Note d’intentions (suite)
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BELLS ARE RINGINGJule Styne / Betty Comden / Adolph Green Jean Lacornerie / Gérard Lecointe
Betty Comden & Adolph Green
Wonderful Town, Peter Pan, Singin’
In The Rain, figurent parmi les plus
belles réussites de la librettiste et
lyriciste Betty Comden et de son
inséparable ami Adolph Green. Ils
ont œuvré pendant près de 60 ans.
C’est avec On The Town (1944)
qu’ils se lancent pour la première
fois dans l’écriture grâce à leur ami
Leonard Bernstein. La fine équipe
n’a pas 30 ans de moyenne d’âge,
mais ce coup d’essai leur vaudra une
immense reconnaissance du public
et du milieu. C’est le point de départ
pour Comden et Green d’une belle
carrière à Broadway mais aussi à
Hollywood.
Betty Comden naÎt à Brooklyn en
1917 et Adoph Green en 1914 dans le
Bronx. Tous deux se rencontrent lors
de leurs études d’art dramatique à
New York, ils vivront ensemble une
grande histoire d’amitié.
Ils se marieront chacun de leur côté.
Adolph Green décède en 2002,
Betty ne s’en remettra pas jusqu’à sa
mort en 2006.
Le succès que remporte leur premier
spectacle au Village Vanguard en
1938 / 39 prouve d’emblée leur
talent : ne pouvant se permettre de
payer des royalties sur des chansons
ou des sketches empruntés à
d’autres, ils rédigent tout eux-
mêmes. Le propriétaire leur fait
entièrement confiance. Sur scène un
pianiste vient souvent les rejoindre,
sans être payé, lorsqu’il n’a pas cours
à Harvard : Leonard Bernstein.
Bernstein proposera au duo, juste
avant l’été 1944, de travailler sur une
nouvelle comédie musicale :
On The Town. George Abbott, grand
metteur en scène, les soutient dans
cette aventure. C’est le véritable
début de la fortune pour eux. En
1949, ils adaptent ce musical à l’écran
avec Gene Kelly et Franck Sinatra
pour les personnages principaux.
En 1953 ils écrivent les lyrics d’une
autre comédie musicale de Leonard
Bernstein : Wonderful Town.
1952 est marqué par la réussite
cinématographique de Singin’ In
The Rain, trois ans plus tard, le duo
s’attelle au scénario de It’s Always
Fair Weather de Gene Kelly et
Stanley Donen et enchaînent sur le
musical Bells Are Ringing qui leur
offre l’occasion de retravailler avec
Judy Holliday. Celle-ci était leur
partenaire au Village Vanguard et
ils souhaitent depuis longtemps lui
« mitonner » un musical. Sur une
musique de Jule Styne et avec une
mise en scène de Jerome Robbins,
la comédie musicale triomphe à
Broadway.
C’est en 1991 que s’arrête leur
carrière avec le livret de la comédie
musicale The Will Rogers Follies, qui
leur vaudra leur 7e Tony Awards pour
les lyrics.
Comden et Green savaient
communiquer sur leur métier et n’ont
jamais hésité à faire des émissions de
télévision ou des interviews. En 1954,
un journaliste du New York Times
les avait mariés dans son papier, ce
qui les fit beaucoup rire… ils avaient
le don d’inventer des situations
cocasses pour leurs personnages.
Leurs comédies musicales ont
marqué leur époque.
Patrick Niedo, extrait de Histoire de comédies musicales
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BELLS ARE RINGINGJule Styne / Betty Comden / Adolph Green Jean Lacornerie / Gérard Lecointe
Jule Styne
D’origine anglaise, Jule Styne
est connu surtout pour avoir
composé deux comédies musicales
essentielles du répertoire américain :
Gypsy (1959) et Funny Girl (1964).
Mais sa longue carrière, aussi bien à
Hollywood qu’à Broadway, contient
bien d’autres trésors.
Jule Stein né à Londres en 1905,
ses parents l’inscrivent très tôt
au conservatoire où il se révèle
être un petit prodige du piano.
Alors qu’il a sept ans, ses parents
émigrent aux Etats Unis. Il étudie au
Chicago College of Music et joue
avec les orchestres symphoniques
prestigieux de Chicago, Saint Louis
et de Detroit.
Ayant de trop petites mains pour
devenir concertiste, à 13 ans, il se
produit à l’insu de ses parents dans
un club de strip-tease ; c’est là sa
première expérience avec le thème
de l’un de ses futurs spectacles :
Gypsy.
Sa première composition pour
piano, qui obtiendra un franc succès,
est Sunday (1926). La partition de
cette œuvre s’écoule à 500 000
exemplaires ; c’est un beau pactole
pour Stein. En 1932, il créé son
propre orchestre et deux plus tard il
est engagé comme répétiteur pour
la Twentieth Century Fox. Il s’occupe
ainsi de Shirley Temple, de Tony
Martin. Il entame ensuite une longue
collaboration avec le parolier et
musicien Sammy Cahn. On leur doit
notamment Let It Snow ! Let It Snow !
Let It Snow !
C’est finalement en 1947 que Styne
et Cahn débarquent à Broadway
avec High Button Shoes.
La comédie dirigée par George
Abbott, fait un carton et enregistre
727 représentations avec le précieux
concours du jeune chorégraphe de
On The Town, Jerome Robbins.
La balade I Still Get Jealous hissent
la comédie musicale au niveau d’un
excerllent premier essai pour Styne.
De plus, Robbins Chorégraphie
On A Sunday By The Sea, l’un de ses
meilleur numéros comiques
— une sorte de course-poursuite
avec les portes de neuf cabines de
bains qui claquent, des policiers, des
maitres-nageurs, des femmes en
maillot de bains, un gorille — ce qui
lui vaut des critiques dithyrambiques.
C’est aussi le première des cinq
collaborations entre Styne et
Robbins : Peter Pan, Bells Are
Ringing, Gypsy et Funny Girl.
Patrick Niedo, extrait de Histoire de comédies musicales
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BELLS ARE RINGINGJule Styne / Betty Comden / Adolph Green Jean Lacornerie / Gérard Lecointe
Les Percussions Claviers de Lyon
Cinq musiciens passionnés et exigeants relèvent
depuis 1983 le défi de faire exister un ensemble
toujours innovant dédié aux claviers de la
percussion, un quintette unique qui développe un
répertoire sans cesse en évolution.
Associant marimbas, vibraphones et xylophones,
et toujours dans une volonté d’excellence et
d’échange avec le public, les musiciens, audacieux
et virtuoses, explorent et dépassent les genres, les
formes et les techniques, s’approprient et recréent
avec talent les musiques de notre patrimoine,
suscitent l’intérêt des compositeurs actuels
et proposent au final un répertoire éclectique
constitué de transcriptions reconnues et de
créations.
Leur orchestre à cinq musiciens surprend et séduit
les publics de Lyon à Pékin avec ses rythmes
enlevés, ses mélodies tout en nuances et construit
l’histoire d’un spectacle où se rencontrent Debussy,
Ravel, Bernstein et les créateurs de notre temps.
Les Percussions Claviers de Lyon sont
subventionnés et conventionnés par le
Ministère de la Culture - DRAC Rhône-Alpes,
la Région Rhône-Alpes et la Ville de Lyon. Ils
reçoivent pour leurs projets le soutien de la
SPEDIDAM, de la SACEM.
Le spectacle Bells Are Ringing a reçu le
soutien de Delta Imprimerie, Rythmes et Sons
et du Crédit Mutuel Sud-Est.
Avec le soutien du Club d’Entreprises des
Percussions Claviers de Lyon.
Aussi à l’aise dans la création contemporaine que dans les transcriptions de Ravel ou la chanson française, cet ensemble révèle les « percus » sous toutes leurs facettes.”
La Terrasse (2009)
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ÉTIENNE GUIOL images
Etienne Guiol se forme à l’art et à
l’esthétique dans sa ville d’origine
Chartres, inspiré notamment par la
fameuse cathédrale datant du XIIe
siècle. Entre art ancien, religieux,
puis moderne, il construit son
parcours artistique avec le dessin
comme fil conducteur. Influencé
progressivement par l’art italien, il
décide de nourrir son apprentissage
du dessin “classique”, en amassant
des carnets entiers de notes et
croquis lors de longs séjours dans
les villes pionnières italiennes telles
que Rome et Venise.
Puis c’est à Lyon, à l’école Emile
Cohl, qu’il découvre l’art du dessin
animé ou de l’animation, l’art du
dessin en mouvement, celui qui a
une âme par définition. Là, il réalise
un court métrage de fin d’études
qui fait son chemin dans plusieurs
festivals internationaux.
Il se tourne ensuite vers le théâtre,
où plusieurs arts peuvent se
rencontrer et se mélanger, où il est
possible de travailler avec plusieurs
disciplines afin de créer une œuvre
complète.
Sa rencontre avec Jean Lacornerie
autour de West Side Story en 2011
et Le Coq d’or en 2012, dont il signe
les images, apparaît comme une
évidence puisque les deux artistes
ont à cœur d’introduire sur scène
différentes formes d’art.
RAPHAËL COTTIN chorégraphie
Raphaël Cottin étudie au
Conservatoire national supérieur
de musique et de danse de Paris.
Il obtient en 1999 son diplôme de
formation supérieure en danse
contemporaine.
En tant qu’interprète, il danse pour
Stéphanie Aubin, Christine Gérard,
Lola Keraly, Wilfride Piollet et Jean
Guizerix, Odile Duboc, et surtout
Daniel Dobbels (1999-2007).
Depuis 2008, il danse en France
et dans le monde entier au sein de
la compagnie de Thomas Lebrun,
installée depuis janvier 2012 au
Centre chorégraphique national
de Tours.
Pédagogue, chercheur et notateur
du mouvement Laban, il articule ses
différentes compétences à sa vie de
danseur, avec une prédilection pour
les collaborations de recherche
(Wilfride Piollet, Angela Loureiro)
ou avec des artistes musiciens
(la soprano Patricia Petibon,
le compositeur David François
Moreau, la violoniste Hélène
Schmitt, des productions d’opéras
ou de comédies musicales).
Il est notamment l’assistant de
Thomas Lebrun, en 2009, pour
Lady In The Dark de Kurt Weill mis
en scène par Jean Lacornerie.
Il collabore à nouveau avec Jean
Lacornerie pour les productions
2011 et 2012 du Studio de l’Opéra
de Lyon, sous la direction musicale
de Jean-Paul Fouchécourt : Vous
qui savez... ou ce qu’est l’amour,
pièce de Geneviève Brisac sur des
airs de Mozart, et Mesdames de la
Halle d’Offenbach.
Sa compagnie, créée en 1999,
déménage à Tours en 2012 sous le
nom de La Poétique des signes.
BELLS ARE RINGINGJule Styne / Betty Comden / Adolph Green Jean Lacornerie / Gérard Lecointe
L’équipe de création
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ROBIN CHEMIN costumes
Originaire des Etats-Unis, elle
étudie l’histoire de l’art et le
stylisme à la Woodbury University
et travaille comme styliste avant de
créer des costumes et des décors
pour le théâtre, à Los Angeles, pour
le cinéma et la télévision (dont
Immunization, prix Clio pour la
meilleure création de costumes).
Elle débute sa carrière en Europe
en 1993 aux côtés de Susanne
Raschig. Elle travaille avec Luc
Bondy et Robert Wilson à l’INA,
au Théâtre du Châtelet, à la
Schaubühne de Berlin, à l’Opéra de
Zürich, au Grand Théâtre de Genève
et à la MC93 de Bobigny.
Elle travaille également avec
Agathe Alexis, Bruno Meyssat,
Jean-Pierre Jourdain, Nino
D’Introna, Gérard Lorcy, les Nöjd...
Avec Philippe Chemin, elle crée la
compagnie du Dahut Synthétique
et signe les décors et costumes
d’une quinzaine de créations.
Depuis 1995, elle crée les costumes
des mises en scène de Jean
Lacornerie dont dernièrement
Mesdames de la Halle, Les Rêveries,
Kaléidoscope, Mozart et Salieri,
Lady In The Dark...
Récemment, on a pu voir des
costumes de Robin Chemin dans
l’exposition Les Insolites au Centre
national du costume de scène.
BRUNO DE LAVENÈRE scénographie
Après une formation en
architecture à Toulouse et à
Montréal, il obtient en 2000
un diplôme de scénographie
à l’ENSATT (Ecole nationale
supérieure des arts et techniques
du spectacle). Pendant neuf ans,
il est assistant et collaborateur de
Rudy Sabounghi sur une trentaine
de scénographies d’opéra, de
théâtre et de danse.
Il crée ses propres scénographies
et costumes. Il travaille ainsi avec
les metteurs en scène Jerzy
Klesyk, Jean Lacornerie, Richard
Brunel, Jean-Louis Grinda ou les
chorégraphes Laurent Pichaud,
Rémy Héritier, Isira Makuloluwe,
Michel Kelemenis, Lucinda
Childs, Eric Oberdorff... Il conçoit
régulièrement les scénographies
de la compagnie Chant de balles
(Vincent de Lavenère).
Ses dernières créations sont No
Place Like Home pour le Ballet de
Genève dans une chorégraphie
d’Isira Makuloluwe, Lady In The
Dark avec les Opéras de Lyon et de
Rennes (nominée pour les Molières
2009 dans la catégorie théâtre
musical) et Le Tribun au Théâtre
de l’Athénée mis en scène par Jean
Lacornerie.
Il crée les costumes de La Colonie
pénitentiaire pour l’Opéra de Lyon
dans une mise en scène de Richard
Brunel.
En octobre 2009, il signe la
scénographie de Cendrillon
chorégraphié par Michel Kelemenis
à l’Opéra de Genève ainsi que
Songs From Before de Lucinda
Childs pour le Ballet du Rhin à
l’Opéra de Strasbourg puis au
Théâtre de la Ville de Paris (octobre
2009 et avril 2010).
En 2010, il signe la scénographie
de L’Homme de la Mancha, mis
en scène par Jean-Louis Grinda
pour les Opéras de Toulouse et de
Monte-Carlo (décembre 2010), ainsi
que la scénographie des Vertiges
de l’immobilité d’Eric Oberdorff
pour le Ballet de Marseille à l’Opéra
de Marseille.
En 2011 et 2012, il collabore avec
Jean Lacornerie pour les spectacles
West Side Story de Bernstein et
Mesdames de la Halle d’Offenbach.
BELLS ARE RINGINGJule Styne / Betty Comden / Adolph Green Jean Lacornerie / Gérard Lecointe
L’équipe de création
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CONTACTS Sonia Razafindranaly 04 72 07 32 90 / [email protected] - Maud Binet 04 78 37 02 52 / [email protected]
GILLES BUGEAUD Sandor
Après ses études au Conservatoire
national supérieur de musique de
Paris, Gilles Bugeaud crée un trio
comique “La Troisième Ligne” avec
lequel il se produit sur scène et à la
télévision.
Comme interprète, il chante un
répertoire varié qui va de Jacques
Offenbach à Leonard Bernstein
en passant par Rossini et Kurt
Weill. Il travaille notamment sous
la direction de Mireille Larroche,
Patrice Caurier et Moshe Leiser,
Philippe Hui, Dominique My, Erik
Krüger, Stéphan Druet, Bernard
Tétu ou Charlotte Nessi.
Engagé régulièrement par la
Compagnie des Brigands, on a
pu le voir interpréter le comte du
Pas de Vis dans Ta bouche, Pedro
Hernandez dans Toi c’est moi ou
Arsène Lupin.
Avec Jean Lacornerie, il participe à
plusieurs spectacles dont Sérénade
électorale de George Gershwin mais
aussi Happy End, Mahagonny,
Signé Vénus et Lady In The Dark
de Kurt Weill. En 2010, il est Phi-Phi
dans la pièce éponyme au Théâtre
de l’Athénée.
Avec le pianiste Christophe Manien,
il crée son one man show musical
intitulé : J’ai mangé ma fourchette.
Il vient d’écrire un nouveau
spectacle entièrement original
intitulé : Petit traité de rentrozologie
urbaine ou l’art de rentrer chez soi !
CLAUDINE CHARREYRE Hastings
Sortie de l’ENSATT en 2005, elle y
a travaillé notamment avec Philippe
Delaigue, Christian Schiaretti,
Emmanuel Daumas, Christian Von
Treskow… Elle est formée au chant
par Mme Molmerret et Mme Merle.
Depuis, elle a créé un récital de
poésies d’après Louis Aragon et
Léo Ferré : Je chante pour passer
le temps. Elle a aussi interprété
des poèmes d’André Velter sur les
compositions de Jean Schwartz,
et chanté pour la compagnie de
cirque Les Chérid’amours.
Puis retrouvant le théâtre, elle a
joué dans Le Mariage de Figaro de
Beaumarchais et Les Amoureux
de Goldoni mise en scène de
Jean-François Le Garrec et durant
quatre ans dans On ne badine pas
avec l’amour de Musset, mise en
scène de Philippe Faure.
En 2010, elle a créé un projet de
chansons originales dont elle est
l’auteur : Claudine Eyre.
Retrouvant un théâtre plus
contemporain en 2011, elle joue sous
la direction de Gilles Granouillet
dans Un endroit où aller.
En 2012, on a pu la voir dans
l’opéra bouffe René l’énervé de
Jean-Michel Ribes au Théâtre du
Rond-Point.
ESTELLE DANIÈRE Gwen
Artiste complète, elle se
perfectionne en danse classique et
moderne et s’initie au chant, à la
comédie et aux arts du cirque.
A 17 ans, elle intègre la troupe des
Folies Bergères. Elle en deviendra
la « Meneuse de revue » durant
plusieurs années, tout comme à
l’Alcazar de Paris, au Casino de
Deauville, en tournée pour le Lido
en Amérique du Sud, etc.
C’est dans l’univers de la comédie
musicale qu’elle exprime toutes
les facettes de son expérience
pluridiciplinaire. Elle participe à de
nombreuses productions comme
Cabaret au Maine State Theatre
(USA), Chantons sous la pluie
(Molière du Meilleur spectacle
musical 2001) ou Sugar d’après
le célèbre film Certains l’aiment
chaud de Billy Wilder où Jean
Louis Grinda lui confie le rôle titre
immortalisé à l’écran par Marilyn
Monroe. En 2009, elle aborde le
répertoire de Kurt Weill dans Lady
In The Dark mis en scène par Jean
Lacornerie.
Choisie par Luc Besson, elle réalise
la chorégraphie du Cancan dans
Les Aventures extraordinaires
d’Adèle Blanc-Sec sorti en 2010.
En 2011 et 2012, elle est Maria /
Fermina, dans L’Homme de la
Mancha mis en scène par Jean-Louis
Grinda au Capitole de Toulouse, puis
à l’Opéra de Monte Carlo.
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Les interprètes
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QUENTIN GIBELIN Docteur Kitchell
Quentin Gibelin intègre en 2006
le Conservatoire Régional de Lyon
sous la direction de Philippe Sire
jusqu’à obtention de son diplôme
d’études théâtrales avec mention
du jury en mai 2010. Il y fait la
rencontre et suit l’enseignement de
Magalie Bonnat, Laurent Brethome,
Simon Delétang, Philippe Minyana,
Stéphane Auvray-Nauroy…
En septembre 2010 il suit la
formation supérieure de danse
mise en place par Maguy Marin au
Centre Chorégraphique National
de Rillieux-la-Pape. Il travaille alors
avec les danseurs de la compagnie
ainsi que Jersy Klesyk, Norio
Yoshida, Alexandre Del Perugia,
Myriam Azencot, Bruno Meyssat…
Parallèlement à sa formation,
il se passionne pour le chant en
suivant les cours de chant de Paul
Perrez, puis ceux de Claire Marbot
au Conservatoire de Lyon, ainsi
que divers stages avec Sébastien
Jaudon.
Depuis la fin de ses études il joue et
chante sous la direction d’Antoine
Herniotte dans Tes doigts sur mes
yeux, Aurélien Villard dans Les
cendres sous les toiles, Cédric
Cherdel Aphrodisia, Diane Broman
dans Les vagues, Luca Giacomoni
dans Les Babouches d’Abou
Kassem et travaille régulièrement
avec le collectif d’acteur lyonnais La
Meute.
COLIN MELQUIONDBlake Barton
Après sa formation au
conservatoire national de région de
Grenoble, Colin Melquiond obtient
son diplôme d’études théâtrales dès
l’age de 20 ans, en juin 2012.
Il suit une formation d’art
dramatique sous l’enseignement de
Patrick Zimmermann, Muriel Vernet,
Jean-François Matignon et Jean-
Cyril Vadi. Il y travaille notamment
avec Catherine Germain, Johan
Leysen, Thierry Bosc, Flore
Lefebvre des noëttes…
En 2013, il crée avec sa promotion
sortante du conservatoire la
compagnie « Le Festin des Idiots »
dans laquelle il travaille sur Un
peu d’optimisme bordel de Tom
Porcher, Ravage de Caroline
Blanpied, Oreste, débris d’orestie
de Florent Barret-Boisbertrand et
met en scène Dessous, un spectacle
musical, inspiré par l’univers de Bob
Fosse.
En parallèle, il pratique, dans
diverses chorales et ateliers, le
chant. Et par ailleurs, il travaille en
doublage pour des dessins animés
éducatifs.
Colin Melquiond joue également
sous la direction d’Emilie Leroux
pour la compagnie des Veilleurs
entre autre dans Un Repas. Et celle
d’Aurélien Villard avec la compagnie
des Gentils dans La Carriole
Fantasque de M. Vivaldi.
SOPHIE LENOIR Ella Peterson
Sophie Lenoir mélange les
expériences théâtrales, dansées,
chantées, les arts contemporains et
le music-hall.
Elle participe à la plupart des
créations de Sophie Perez et Xavier
Boussiron : Enjambe Charles, Le
Coup du cric andalou, Laisse les
gondoles à Venise, Détail sur la
marche arrière, et plus récemment
dans Oncle Gourdin joué au Théâtre
du Rond-Point et à Avignon.
Elle danse régulièrement sur
les créations de Nasser Martin-
Gousset : Neverland, Bleeding
Stone, Solarium.
Au cinéma, elle a joué avec Roger
Planchon dans le rôle de la Môme
Fromage dans Toulouse Lautrec.
Sophie Lenoir est aussi
chorégraphe pour le cabaret de la
Villa d’Este et plusieurs groupes de
music-hall.
Avec Jean Lacornerie, elle a chanté
dans Lady In The Dark de Kurt
Weill et Mesdames de la Halle
d’Offenbach avec l’Opéra de Lyon.
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JACQUES VERZIERJeffrey Moss
Jacques Verzier a fait ses premières
armes au théâtre aux côtés de
Philippe Adrien avec Rêves de
Kafka (Prix de la critique), Ké voï
d’Enzo Cormann puis Drames de
la vie courante de Cami. Il travaille
également avec Robert Cantarella,
Jérôme Savary, Laurent Pelly, Alain
Marcel, Jean-Luc Lagarce, Jean
Lacornerie, Alain Françon, Jacques
Vincey, Jean-Louis Grinda, Agnès
Boury, etc.
La comédie musicale est son terrain
de jeu favori depuis quelques
années notamment dans Cabaret
(Molière du meilleur spectacle
musical), Kiss me Kate, Titanic, Of
Thee I Sing, One Touch of Venus,
Sugar (Certains l’aiment chaud)...
lui offrant l’occasion de chanter
des mélodies de Kander & Ebb,
Cole Porter, Maury Yeston, George
Gershwin, Jule Styne et Kurt Weill.
On a pu le voir également dans
Panique à bord de Stéphane
Laporte et Patrick Laviosa, Lady
In The Dark mis en scène par Jean
Lacornerie, et La Nuit des rois mis
en scène par Jacques Vincey.
En 2011-2012, il était sur la scène
du Théâtre du Rond-Point avec
Jean-Michel Ribes pour la comédie
musicale René l’énervé et avec
Jean Lacornerie pour Mesdames
de la Halle.
MAUD VANDENBERGUE Olga
Née en 1985, Maud Vandenbergue
est comédienne et musicienne.
Elle a obtenu en 2011 son Diplôme
National Supérieur Professionnel
de Comédien à l’École de la
Comédie de Saint-Étienne, dirigée
par Jean-Claude Berutti, François
Rancillac puis Arnaud Meunier.
Elle pratique le piano classique et
jazz, la contrebasse et le chant,
et compose régulièrement des
musiques pour le théâtre.
Elle a notamment travaillé sous
la direction de Yann-Joël Collin,
Richard Brunel, Redjep Mitrovitsa
ou Laurent Brethome.
Elle s’est formée à la danse
contemporaine avec des
chorégraphes tels que Yan
Raballand, Diane Broman ou
Anne-Marie Pascoli.
Elle créé en 2009 sa propre
compagnie : La Mer est ton Miroir,
théâtre-musique-danse, avec
René-Marie Meignan.
JULIE MOREL Sue
Formée en atelier avec Isabelle
Sadoyan, au TNP de Villeurbanne,
elle suit également des cours de
chant à l’ENM de Villeurbanne
et obtient une Licence d’Etudes
théâtrales et d’Histoire de l’art à
l’Université Lyon 2.
Elle rencontre Camille Germser en
2004 et crée avec lui La Sublime
Revanche, puis Cheek to Cheek au
Théâtre de la Renaissance, In Situ à
l’Elysée Théâtre et Les Précieuses
ridicules au Théâtre de la Croix-
Rousse en 2010.
Comme comédienne, elle collabore
notamment avec Jean Lacornerie
dans Lady in the Dark et Signé
Vénus de Kurt Weill, Grégoire
Ingold dans L’Extravagant monsieur
Jourdain de Boulgakov, Christian
Taponard dans L’Homme de
Barcelone, L. Desprin dans Cinélola,
Corinne Ginisti dans Les Règles du
savoir-vivre des temps modernes de
Jean-Luc Lagarce et dans L’Opéra
de quat’sous de Bertolt Brecht et
Kurt Weill.
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« C’est l’histoire d’une rencontre improbable. Celle d’un directeur de théâtre poussé par la faim hors du bois des
subventions publiques et d’un chef d’entreprise poussé par le succès à explorer des contrées nouvelles.
Le directeur de théâtre décide de monter une comédie musicale des années cinquante dont l’héroïne tient un
standard téléphonique. La responsable de communication a l’idée simple de solliciter l’entreprise qui se charge
de réaliser l’attente téléphonique du théâtre. Cette histoire de standard téléphonique fait écho (rings the bell)
chez le chef d’entreprise qui accorde le rendez-vous.
Au cours d’une première rencontre, le directeur de théâtre et le chef d’entreprise se découvrent d’autres points
communs que le téléphone. Un amour de la musique, un désir de créativité. Un autre rendez-vous est pris. On y
parle alors de "viboomer", de "voice-mailing" et d’autres moyens de communications inconnus du directeur de
théâtre. On commence à entrevoir que le chef d’entreprise pourrait être le mécène de la prochaine production du
directeur de théâtre, et que l’entreprise pourrait apporter beaucoup au théâtre en matière de communication.
Le directeur de théâtre qui a passé toute sa carrière dans le théâtre public doit un peu se bousculer pour
l’admettre : le mécène n’est pas seulement une entreprise qui cherche à défiscaliser, c’est un partenaire qui peut
porter un regard nouveau sur ses pratiques.
Le dialogue se fait plus confiant : le directeur qui est aussi metteur en scène sent que ce qui anime le chef
d’entreprise, c’est le plaisir d’inventer. "Il faut que ça m’amuse", dit-il, en tirant sur sa pipe. Le directeur pense que
s’il fait du théâtre, au fond, c’est bien pour s’amuser. La rencontre est scellée. »
Jean Lacornerie
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Une rencontre improbable
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Mécène du Théâtre de la Croix-Rousse pour Bells Are Ringing n ° 1 f r a n ç a i s
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