Collection « SAVOIR POUR RÉUSSIR · Paul-Clément JAGOT : — Le pouvoir de la volonté sur...

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  • Collection « SAVOIR POUR RÉUSSIR »

    Titres disponibles (chez le même éditeur) Paul-Clément JAGOT : — Le pouvoir de la volonté sur soi-même, sur les autres, sur le destin. — L'effort réalisateur et l'énergie de la réussite. — Méthode pratique d'autosuggestion. — Méthode pratique pour développer la mémoire. — Méthode rationnelle pour acquérir la maîtrise de soi. — La timidité vaincue. — La psychologie de l'amour. — L'éducation de la parole. — Les lois du succès. — Le livre rénovateur des nerveux et des surmenés. — Les marques révélatrices du caractère et du destin. P.-C. JAGOT et Dr P. OUDINOT : — L'insomnie vaincue. — Comment développer votre charme personnel. Jean CHARTIER : — Comment acquérir une personnalité supérieure. — La timidité guérie en 3 semaines. Antoine LUZY : — La puissance du regard. PAPUS (Dr Gérard Encausse) : — Comment on lit dans la main. THYLBUS : — Les cartes et les tarots. — Le mystérieux domaine des songes. André LECERF : — Cours pratique de graphologie. Louis WAN DER HEYOTEN : — Santé et harmonie par les techniques corporelles et spirituelles. Richard INGALESE : — Le pouvoir de l'esprit.

  • Les marques révélatrices du

    CARACTÈRE et du

    DESTIN

    collection " SAVOIR POUR RÉUSSIR"

  • OUVRAGES DU MÊME A UTEUR (chez le même éditeur)

    — Le pouvoir de la volonté, sur soi-même, les autres, le destin. — Méthode rationnelle pour acquérir la maîtrise de soi. — L'éducation de la parole. — Méthode pratique d'autosuggestion. — Méthode pratique pour développer la mémoire. — La timidité vaincue. — Les lois du succès. — L'effort réalisateur et l'énergie de la réussite. — Psychologie de l'amour. — Les marques révélatrices du caractère et du destin. — Le livre rénovateur des nerveux, surmenés. — L'influence à distance, la transmission de pensée. — Comment développer votre magnétisme personnel. — Théorie et pratique de l'hypnotisme. — Méthode pratique de magnétisme, hypnotisme et suggestion. — Comment guérir par le magnétisme. — Mémento pratique de culture physique. En collaboration avec le Dr P. OUDINOT : — Comment développer votre charme personnel. — L'insomnie vaincue.

  • Paul-C. JAGOT

    Les marques révélatrices du

    CARACTÈRE et du

    DESTIN L'art de lire sur le visage

    les prédispositions et prédestinations

    50 mille

    Dessins de Jean RETAILLEAU

    Editions DANGLES 18, rue Lavoisier

    45800 ST JEAN DE BRAYE

  • ISSN : 0337-8268 ISBN : 2-7033-0110-3

    © Éditions Dangles, Paris - 1976 Tous droits de reproduction, de traduction et d'adaptation réservés pour tous pays.

  • Introduction

    1. — Les sciences d'observation

    Il suffit d'un instant de loisir pour donner à la plupart d'entre nous le désir immédiat de conjecturer, d'après les apparences, quelles sont les individualités que l'imprévu des circonstances of- fre à nos yeux.

    Cette tendance contribue à répandre les sciences dites « d'ob- servation ». Dans tous les milieux on rencontre aujourd'hui des amateurs de graphologie, empressés à déduire des autographes

    qu'on leur présente d'ingénieuses indications sur le caractère des scripteurs. La réplique leur est donnée par les chirologues, qu'on écoute même plus volontiers, puisqu'en sus d'une analyse psychologique, ils tirent de l'inspection des mains toutes sortes de présages. Moins fréquents — moins diserts aussi — mais plus nombreux qu'on ne le supposerait, les adeptes de la physiognomonie scrutent, sans avoir à le révéler, le mystère de l'âme reflétée par chaque visage.

    Ce sont là d'aimables passe-temps dont le lecteur trouvera plus loin les premiers principes et qui procurent, pour peu qu'on s'y veuille livrer avec quelque diligence, non seulement d'agréa- bles distractions, mais aussi de profitables enseignements.

  • 2. — Leur principe général

    Qu'ils se réclament de la méthode scientifique ou qu'ils déclarent s'inspirer des données traditionnelles d'où sont issus les « arts divinatoires », physiognomonistes et chiromanciens admet- tent, soit comme résultante de leurs observations, soit comme pos- tulats connexes aux théories générales de l'occultisme, divers prin- cipes qu'on pourrait tous déduire du suivant :

    Les particularités de la structure intérieure du corps ; RESULTENT Celles de sa structure interne ; des Les caractéristiques physiques ou morales ; mêmes Le déterminisme prédestinateur : CAUSES

    Cette loi, de tout temps formulée et vérifiée par les disciples de la tradition hermétique, se dégage implicitement de l'ensemble des travaux d'où sont issus les divers systèmes usités aujourd'hui pour évaluer (d'après des indices morphologiques), les tendances, facultés, aptitudes de l'individu et pronostiquer les fortuités heureuses ou néfastes de sa destinée.

    En effet, les physiognomonistes — qu'ils se basent d'après LAVATER sur l'analogie crânio-faciale de l'homme et des animaux ou, selon LEDOS, sur la typologie planétaire — affirment avoir ob- servé qu'à la conformation de la face correspondent telles prédis- positions et telles fatalités : les chirologues interprètent les con- tours, reliefs et lignes de la main comme autant de signes d'idiosyn- crasies ou d'éventualités. Quant aux graphologues, dont l'art est de création récente alors que la physiognomonie et la chiromancie sont fort anciennes, ils admettent que l'aspect d'un graphisme correspond à celui de l'individu qui l'a tracé et en tirent des conclu- sions analogues à celles que permettraient l'analyse du visage ou celle des paumes.

  • Le véritable scepticisme consiste à ne rien admettre qu'on n'ait vérifié ; à ne rien nier, non plus, qu'on n'ait pratiquement examiné. Telle doit être la position de celui qui aborde une science expérimentale, en l'espèce l'un ou l'autre des trois sys- tèmes de psychologie d'observation. Je puis donc engager le lec- teur à retenir la loi énoncée plus haut, ne fut-ce qu'à titre d'hypothèse. J'ai la certitude qu'il ne découvrira jamais aucun fait susceptible d'infirmer ce principe commun aux trois méthodes en question et qu'il en saisira l'utilité dès ses premiers essais. Il con- vient d'ajouter à ce sujet que nulle acquisition définitive du savoir moderne ne s'est, jusqu'ici, montrée en désaccord avec quelqu'une des assertions de l'antique corps de doctrine des anciens initiés. Bien au contraire, à mesure que les sciences évoluent on les voit, en plus d'un point, retrouver et confirmer les conceptions séculaires de la magie.

    3. — L'apport de l'occultisme

    Une partie seulement de l'antique synthèse doctrinale en- seignée en secret dans le silence des sanctuaires de l'Inde, de la Chaldée, de la Perse, de l'Egypte, nous a été transmise à travers les âges. Tel qu'il est, cet étrange enseignement mérite l'at- tention En ce qui concerne l'étude des sciences d'observation, l'occultisme suggère la recherche, singulièrement féconde, d'analogies communes permettant au praticien de conserver une même technique opératoire, qu'il s'agisse d'analyser les traits du visage, les linéaments de l'écriture ou le réseau incisé dans la main. L'originalité de ce livre sera de tenter la vulgarisation de cet esprit unitaire des arts divinatoires déductifs, alors que les meilleurs ouvrages sur ces questions révèlent, de la part de leurs auteurs, un exclusivisme surprenant, et que les physionomistes ou

    1. Voir, du même auteur : « Science occulte et magie pratique » (Editions Dangles). Epuisé.

  • les graphologues dénient fréquemment toute exactitude aux con- clusions du chiromancien tandis que ce dernier considère comme très inférieures à sa science celles des deux premiers.

    4. — Conception occultiste du destin

    Essentiellement spiritualiste, l'Antiquité philosophique con- cevait le problème de l'Etre comme une succession indéfinie d'existences aboutissant à la connaissance intégrale. Avant de parvenir à cette ultime finalité, l'âme, évoluant depuis son état primitif de monade à travers toutes les phases nécessaires à son parfait développement, parcourait une série de cycles composés chacun d'une période d'action et d'une période d'assimilation.

    Durant une période d'action, l'entité spirituelle, unie aux véhicules convenables, devait s'adapter à des conditions d'exis- tence déterminées (la vie terrestre par exemple). Puis, une fois réalisé tout le progrès rendu possible par ces conditions, l'âme quittait ses véhicules et inaugurait une période d'assimilation au cours de laquelle s'épanouissaient les résultats de ses précédentes initiatives et s'effectuait sa préparation à une nouvelle période d'action, étroitement dépendante, en ses modalités, de la précédente.

    D'après cette théorie, nous venons au monde conditionnés selon nos activités psychiques et physiques antérieures et nous nous y trouvons situés dans un tel rapport du moi au non-moi qu'il nous faudra nécessairement passer par les états de cons- cience — parfois douloureux — indispensables à l'accomplisse- ment d'un progrès spirituel nous rapprochant du but suprême.

    Cette esquisse de la loi rectrice du destin indique suf- fisamment que celui-ci, loin de s'identifier dans l'esprit des oc- cultistes avec l'ananke des fatalistes, absurde et arbitraire, se

  • conçoit comme l'enchaînement logique résultant d'une sorte d'impulsion imprimée à l'homme dès la naissance, selon ses assentiments passés à la vérité ou à l'erreur, aux bons sentiments ou aux mauvais, à l'initiative vers la Connaissance ou à l'indo- lence jouisseuse des instincts.

    Facteur primitif de la trame de la vie, le destin, nous dit l'oc- cultisme, reste modifiable par la volonté ; non pas que celle-ci puisse éluder purement et simplement la moindre conséquence d'une faute, mais substituer à la peine ou au dam impliqués par cette faute un effort délibéré équivalent et susceptible d'opérer dans la conscience une modification correspondante ou supérieure à celle prévue par la Loi (1).

    Toute entité plus avancée que la grande moyenne sur le chemin de l'évolution peut d'ailleurs influer sur une autre ; éveiller par exemple, dans une âme engagée vers une mauvaise voie, des perceptions élevées sous l'inspiration desquelles elle s'arrachera à l'emprise de ses mauvaises prédispositions et fera un effort pour ne pas déclencher les funestes causalités dont elle allait alourdir son futur.

    Je ne songe nullement à convaincre qui que ce soit de ces théories. Si, comme je le pense, elles expriment ce que l'état ac- tuel de notre entendement nous permet de percevoir de la Vérité, l'expérience, — notre initiatrice à tous — en instruira, quand l'heure sera venue, chacun de ceux auxquels son exposé semble aujourd'hui inacceptable.

    Il me fallait les rappeler pour envisager l'origine de la notion du destin et, subsidiairement, de l'art d'en découvrir les signes.

    1. Voir du même auteur : « Le pouvoir de la volonté, sur soi-même, sur les autres, sur le destin » (Editions Dangles).

  • 5. — Les influences planétaires

    Suivant les potentialités prédisposantes ou prédestinatrices impliquées par l'état évolutif d'une entité prête à l'incarnation humaine, la période de vie fœtale s'inaugure à un moment tel que l'enfant reçoive l'empreinte des influx planétaires aux incidences et intensités voulues pour l'affecter, sa vie durant, selon que son passé l'exige.

    C'est pourquoi l'examen des positions respectives occupées par les principaux corps célestes au moment de la naissance et de l'angle sous lequel le point de la terre où elle a lieu se présente à leur action, constitue la base d'une des plus sûres méthodes de prédiction : l'astrologie.

    Les astres exercent-ils sur nous une influence ?

    L'harmonie cosmique comporte-t-elle une étroite corrélation entre tous les phénomènes ayant lieu au même instant ?

    Je ne saurais préciser laquelle de ces deux hypothèses ex- plique la relation de l'aspect du ciel de nativité et du destin mais, ce qu'il importe de noter, c'est que cette relation est expé- rimentalement vérifiée.

    Les règles de l'astrologie chaldéenne, du moins celles qui nous sont connues, ont été certifiées parfaitement exactes par tous les chercheurs sérieux qui, sans s'arrêter aux objections théoriques, ont appliqué ces règles purement et simplement pour voir quels résultats elles donnent.

    Or, à la présence dans le ciel horoscopique de tel ou tel élé- ment spécial — disons une quadrature de Saturne et de Mars — correspondent à la fois :

  • — Une certaine modalité de l'action du non-moi sur le moi en raison de laquelle l'intéressé occupera, au cours de sa vie, périodiquement ou une seule fois, telle position circonstancielle.

    — Certaines qualifications psychiques. — Certaines dispositions organiques. — Certaines formes extérieures.

    La physiognomonie et la chiromancie procèdent de l'as- trologie. Au lieu de chercher à établir par les calculs nécessaires cette représentation graphique du ciel de naissance qu'on nomme horoscope, le physionomiste ou le chiromancien s'efforcent de discerner les signatures corporelles des planètes, sachant bien qu'en présence des formes engendrées par chacune, ils connaîtront ses correspondances organiques, psychologiques, ainsi que les prédestinations en rapport.

    6. — La loi de causalité

    Le destin ou déterminisme individuel, pronosticable suivant le ciel de nativité, s'explique, d'après ce qui précède, par la Loi de causalité en vertu de laquelle l'état présent résulte de la totalité du passé et prépare l'avenir. Cette hypothèse paraît indispensable pour concilier celle d'une Justice infinie avec les inégalités mul- tiples de la naissance, ces inégalités nommées « hasards » par ceux auxquels un mot tient lieu d'explication.

    Les lois de la nature physique manifestent un ordre, une pré- cision, une rectitude, un enchaînement causal impeccables. Com- ment hésiter à admettre l'universalité, dans tous les domaines, de cet ordre, de cette précision, de cette rectitude, de cet en- chaînement causal ?

    D'ailleurs ceux qui veulent savoir n'ont qu'à ouvrir les yeux et à observer les faits, patiemment et surtout objectivement : Le désir de connaître engendre un apport de Lumière.

  • 7. — Le parfait enchaînement causal des phénomènes physiques

    Voici un jeune enfant encore incapable de s'analyser. Son organisme, robuste ou débile, se trouve déjà constitué de manière à évoluer, plus ou moins vite, vers telle ou telle affection, vers telle ou telle réaction pathologique, proche ou éloignée, en par- ticulier vers celle qui arrêtera sa vie. Les éléments de sa cons- cience : attention, jugement, comparaison, lesquels décideront de la lucidité avec laquelle il se conduira dans la vie, sont en cours de développement. Ses facultés subliminales, c'est-à-dire ses apti- tudes plus ou moins brillantes, leur genre, leur subtilité, leur puis- sance, il les porte en lui à l'état virtuel. Ce sont ses futurs moyens d'action et de réalisation. Peut-être a-t-il reçu le germe d'un talent dont il tirera, sans grand effort, le lucre, la notoriété, la gloire ? Peut-être restera-t-il, faute d'une aptitude suffisante, rivé à la médiocrité ? Ses tendances émotionnelles, intellectuelles, ins- tinctives, normales ou morbides, passives ou véhémentes, qui plus tard stimuleront ses facultés ou les paralyseront, commencent à s'accuser. Cet enfant semble donc bien incliné, dès maintenant, vers un plan d'existence déterminé. Plusieurs facteurs — les plus importants de son destin — lui sont dès aujourd'hui imposés sous forme de conditionnements personnels dont les corrélatifs mor- phologiques apparaissent aux traits de sa physionomie, aux reliefs de sa main — et même à la déformation qu'imprime celle-ci au modèle calligraphique de l'alphabet qu'elle s'essaie à copier.

    Notre petit sujet subit aussi la résultante des éléments de sa race, de sa nationalité, de sa localité, de sa classe sociale, de sa famille, de la situation de ses parents, des qualifications bonnes ou mauvaises de ceux-ci, notamment de celles dont s'ensuivra leur prospérité ou leur ruine. Il dépend de l'éducation et du niveau d'instruction qu'on lui fera donner. Eh bien, l'expérience atteste que tout cela est écrit.

  • Allons plus loin. La première chance ou malchance de l'homme, c'est sans aucun doute sa robustesse ou sa débilité. Mais un accident occasionnant cécité ou amputation, nous menace en mainte circonstance. Or, on voit des individus sortir indemnes de dangers réitérés et prolongés alors que d'autres deviennent infirmes dans la situation la plus abritée. Je ne crois pas, je l'ai dit, à la fatalité absolue des prédestinations. Le destin résulte, j'ai essayé de le montrer, d'inclinaisons primitives modifiables par la volonté et les influences providentielles. La marque physionomique ou chiromorphique d'une probabilité d'infirmité accidentelle n'im- plique pas qu'on ne puisse, par un effort délibéré de réaction, éviter l'événement malheureux, mais elle existe, invariablement chez tous ceux qui l'ont subi.

    Et vis-à-vis de la fortune, du succès, des honneurs, vis-à-vis de l'amour, la chance et la malchance ne sont-elles pas des faits avérés ? En d'autres termes, ne constatons-nous pas jour- nellement dans les existences que nous observons d'étranges for- tuités, insuffisamment explicables par le jeu des potentialités per- sonnelles apparentes chez les individus observés ?

    A un moment et dans des circonstances telles que, ration- nellement, rien ne permettait de le prévoir, un des éléments du destin, jusque-là demeuré statique dans le subliminal, se résoud en un dynamisme qui inspire et gouverne le sujet de manière à ce qu'il se présente au non-moi dans le rapport voulu pour déter- miner un fait modifiant plus ou moins sa vie. Les astrologues savent qu'en un pareil moment, la grande horloge planétaire marque l'heure où l'élément en question passe de la statique à la dynamique : l'un des corps célestes prédominant dans le ciel de nativité du sujet repasse, par exemple, à la place qu'il occupait dans l'écliptique lors de la naissance ou encore se trouve situé de manière à annuler certains aspects horoscopiques fâcheux ou favorables.

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    COMMENT ON LIT DANS LA MAIN

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    M. CREPIEUX-JAMIN

    CouvertureCollection « SAVOIR POUR RÉUSSIR »Du même auteurPage de titreCopyright d'origineIntroduction1. — Les sciences d’observation2. — Leur principe général3. — L’apport de l’occultisme4. — Conception occultiste du destin5. — Les influences planétaires6. — La loi de causalité7. — Le parfait enchaînement causal des phénomènes physiques