Ces mondes qui nous gouvernent (French Edition)
Transcript of Ces mondes qui nous gouvernent (French Edition)
Laura Knight-Jadczyck
CES MONDESCES MONDES QUI QUI
NOUSNOUS GOUVERNENTGOUVERNENT
Traduit de lâamĂ©ricain par Micheline Deschreider
Les Editions Pilule Rouge, 2013
© Les Editions Pilule Rouge.Tous droits réservés.
http://www.pilulerouge.com
ISBN : 978-2-916721-35-4
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Titre original: The High Strangeness of Dimensions, Densities and the
Process of Alien Abduction.
Table des matiĂšres
Avant-propos
Message de lâauteure au lecteur
PremiĂšre partie
Chapitre I Chapitre II Chapitre III Chapitre IV Chapitre V Chapitre VI Chapitre VII Chapitre VIII
DeuxiĂšme partie
Chapitre IX Chapitre X Chapitre XI
TroisiĂšme partie
Chapitre XII Chapitre XIII Chapitre XIV Chapitre XV Chapitre XVI Chapitre XVII Chapitre XVIII Chapitre XIX Chapitre XX Chapitre XXI Chapitre XXII Chapitre XXIII Chapitre XXIV
QuatriĂšme partie
Chapitre XXV Chapitre XXVI Chapitre XXVII
Ăpilogue
AVANT-PROPOS
Le terme de « CassiopĂ©ens » apparaĂźt Ă de nombreuses reprises dans le prĂ©sent ouvrage. Le nom de CassiopĂ©e a Ă©tĂ© donnĂ© par une source qui sâest elle-mĂȘme identifiĂ©e dans les termes suivants : « Nous sommes vous dans le futur ». Cette source a Ă©tĂ© contactĂ©e par Laura Knight-Jadczyck au cours dâune expĂ©rience de communication supraliminale qui a dĂ©butĂ© en 1994. « Nous sommes vous dans le futur. » VoilĂ ce quâ« ils » dĂ©clarent. « Eux », - les « CassiopĂ©ens » - des Ătres de Forme-PensĂ©e UnifiĂ©e de 6e
DensitĂ©, sont « Nous-mĂȘmes » dans le futur. Un concept bizarre. Mais est-il si bizarre que cela ? Est-ce que cela est possible ? Est-ce quâune telle affirmation trouve sa place dans les thĂ©ories acceptĂ©es ? Ou bien est-elle en flagrante contradiction avec tout ce que nous, physiciens, savons de la Nature et de ses lois ? Mettons de cĂŽtĂ© pour un moment la question dâune existence possible dans un pur Ă©tat de conscience; est-ce que le voyage dans le temps est possible ne serait-ce quâen thĂ©orie ? Est-ce que lâĂ©mission et la rĂ©ception dâinformations depuis le futur ou lâĂ©mission dâinformations vers le passĂ© sont compatibles avec nos actuelles thĂ©ories de la relativitĂ© et de la mĂ©canique quantique ? Si de lâinformation peut ĂȘtre envoyĂ©e
de cette façon, est-ce que cela implique Ă©galement que la matiĂšre physique peut ĂȘtre « envoyĂ©e » par quelque remolĂ©cularisation transdimensionnelle ? Et dans lâaffirmative, quelles en sont les lois ? Les restrictions ? Les moyens ? Pour parler franchement, nous ne le savons pas, mais nous disposons peut-ĂȘtre dâun indice. Kurt Gödel, devenu cĂ©lĂšbre pour ses travaux sur les fondements des mathĂ©matiques, a Ă©tudiĂ© la thĂ©orie gĂ©nĂ©rale dâEinstein sur la relativitĂ© et apportĂ© une importante contribution Ă la physique: il a dĂ©couvert aux Ă©quations dâEinstein une catĂ©gorie de solutions cosmologiques, toutes raisonnables, sauf sur un point: elles contenaient des boucles causales! Au dĂ©but, ces Boucles Causales ont Ă©tĂ© rejetĂ©es par les relativistes comme Ă©tant «par trop folles». Les arguments Ă lâencontre de ces univers modĂšles sont mĂȘme devenus assez personnels, et en sont venus Ă Ă©mettre des doutes sur « lâĂ©tat mental de lâinventeur » ! (phĂ©nomĂšne qui est loin dâĂȘtre exceptionnel lors des dĂ©bats Ă©chauffĂ©s dans les « tours dâivoire» acadĂ©miques.) Une « Boucle Causale » a la mĂȘme signification quâune « Boucle Temporelle ». On pourrait la dĂ©crire en disant que câest comme de se rendre dans le futur et de revenir au point dĂ©part Ă lâheure et Ă lâendroit dâoĂč on est « parti ». Elle est appelĂ©e « causale » parce que, dans la thĂ©orie dâEinstein sur la relativitĂ©, le temps est un concept relatif et que diffĂ©rents observateurs peuvent faire une expĂ©rience diffĂ©rente du Temps. DâoĂč lâutilisation du terme « causal » pour Ă©viter dâavoir Ă utiliser le terme de « temps ». Mais on en est venu Ă rĂ©aliser peu Ă peu, que des boucles causales - ou temporelles - peuvent aussi apparaĂźtre dans dâautres solutions aux Ă©quations dâEinstein : habituellement, elles correspondent Ă une sorte de « rotation »
de lâunivers. Les boucles causales rendent le voyage dans le temps non seulement possible, mais encore probable. Mais dans ce cas, les boucles causales conduisent Ă dâinacceptables paradoxes de logique, et la physique nâapprĂ©cie pas du tout ce genre de paradoxes: ils prĂ©sentent de sĂ©rieux problĂšmes! Quoi quâil en soit, le sujet de la communication avec le passĂ© ou de la rĂ©ception dâinformations en provenance du futur EST discutĂ© en physique, et mĂȘme en ce qui concerne lâespace-temps plat, et absolument pas courbe, de Lorentz et Minkowski. Les hypothĂ©tiques tachyons, particules plus rapides que la lumiĂšre, pourraient servir de moyen de communication. Ces tachyons rendraient possible un « anti-tĂ©lĂ©phone »: un tĂ©lĂ©phone communiquant avec le passĂ©. Mais les tachyons existent-ils ? OĂč peuvent-ils exister ? Eh bien voilĂ une question qui, pour certains, nâa pas encore trouvĂ© de rĂ©ponse dĂ©finitive. Et la vĂ©ritĂ© est que les paradoxes ne doivent jamais ĂȘtre ignorĂ©s. Ils indiquent toujours quâune importante leçon doit ĂȘtre apprise, quâun progrĂšs ou un changement essentiel est nĂ©cessaire. Ceci est vrai Ă©galement pour les paradoxes impliquĂ©s dans lâidĂ©e de la rĂ©ception dâinformations en provenance du futur. Nous ne pouvons pas tout simplement revenir au samedi pour nous donner les numĂ©ros gagnants du Lotto du dimanche. Si cela Ă©tait possible, alors il serait aussi possible Ă un soi « futurement » futur dâinterdire Ă un soi futur de les donner! VoilĂ donc un paradoxe: nous, dans le futur, sommes intervenus dans le passĂ© pour rendre impossible notre communication avec le futur! Paradoxe: si nous avons communiquĂ©, nous nâavons pas communiquĂ©, et si nous ne communiquons pas, alors nous avons communiquĂ©! Impossible dans un univers linĂ©aire, sans
ramifications! Existe-t-il une Ă©chappatoire Ă ce paradoxe, Ă©chappatoire qui laisserait une porte ouverte, ou mĂȘme seulement entrouverte sur notre anti-tĂ©lĂ©phone ? Mais bien sĂ»r quâil y en a, et mĂȘme plusieurs. Tout dâabord, lâĂ©vident paradoxe disparaĂźt si nous admettons la possibilitĂ© que les canaux de communication sont de maniĂšre inhĂ©rente bruyants; que cela est une situation normale quand on se trouve devant des phĂ©nomĂšnes quantiques. DĂšs lors, si la communication avec le passĂ© est un effet quantique, alors nous sommes dĂ©gagĂ©s des Ă©vidents paradoxes. La ThĂ©orie Quantique peut se rĂ©vĂ©ler bien utile! Lorsquâun signal est envoyĂ© du passĂ©, on ne peut jamais ĂȘtre certain Ă 100 % que le message arrivera Ă destination sans dĂ©formation aucune. Et inversement, lorsque des informations sont reçues du futur, on ne peut jamais ĂȘtre certain Ă 100 % quâelles proviennent dâun Ă©metteur authentique sĂ»r ou sâil sâagit une crĂ©ation spontanĂ©e et accidentelle du rĂ©cepteur. Si câest le cas, et si certaines informations quantitatives - câest-Ă -dire que des relations thĂ©oriques entre terminaux rĂ©cepteurs et Ă©metteurs- sont assurĂ©es, alors il nây a plus de paradoxe, mĂȘme avec des canaux dâinformation raisonnablement efficients. Autrement dit: il peut exister des Ă©missions depuis le futur vers le passĂ©, mais il y a peu de « rĂ©cepteurs », et parmi ceux-ci, encore bien moins sont « accordĂ©s » de maniĂšre adĂ©quate. Et encore, ceux qui sont accordĂ©s de maniĂšre appropriĂ©e peuvent ĂȘtre affectĂ©s par la « statique ». Et mĂȘme sâil nây a pas de « statique », les rĂ©cepteurs capables de recevoir lâinformation pure feront lâobjet de la « statique » de lâincrĂ©dulitĂ© et de la dĂ©formation aprĂšs-coup par la sociĂ©tĂ©. Il existe encore un autre aspect Ă un transfert dâinformations de cette espĂšce: câest que les probabilitĂ©s
impliquĂ©es dĂ©pendent dâun choix de lâĂ©vĂ©nement parmi les nombreux futurs possibles. Il se peut que la ramification de lâunivers corresponde Ă un tel Ă©vĂ©nement. La ramification de lâunivers en un arbre infini de dĂ©cisions a Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©e dans le cadre de la thĂ©orie de la mĂ©trique quantique; elle a mĂȘme Ă©tĂ© baptisĂ©e « InterprĂ©tation multi-mondes de la thĂ©orie quantique » [1]». Parmi les physiciens renommĂ©s qui considĂšrent que lâinterprĂ©tation « multi-mondes » est davantage quâun exercice thĂ©orique nous trouvons John Archibald WHEELER et David DEUTSCH. LâinterprĂ©tation multi-mondes prĂ©sente un dĂ©faut certain: elle ne possĂšde pas dâalgorithme intĂ©grĂ© permettant de prĂ©ciser les ramifications dans le temps. Il faut donc la considĂ©rer plutĂŽt comme un cadre que comme une thĂ©orie complexe. Il existe cependant une thĂ©orie qui comble ce vide dans lâinterprĂ©tation multi-mondes - et cette thĂ©orie je la connais trĂšs bien, en fait mieux que la plupart, pour la simple raison que câest moi qui lâai mise au point en collaboration avec Philippe BLANCHARD (UniversitĂ© de Bielefeld ) en 1988 en tant que partie intĂ©grante du Projet Futur Quantique. Elle se nomme ThĂ©orie Quantique AmĂ©liorĂ©e par les EvĂ©nements [2] (EEQT ou TQAE en abrĂ©gĂ©). Ă ce propos, lâon trouvera une liste complĂšte de rĂ©fĂ©rences et des informations dĂ©taillĂ©es Ă ce sujet dans ma « page » « Quantum Future Project » [3] sur Internet. Le fait que nos thĂ©ories gĂ©nĂ©ralement acceptĂ©es du prĂ©sent ne nous empĂȘchent pas de penser que le voyage dans le temps est, peut-ĂȘtre, possible nâimplique pas nĂ©cessairement que nous savons comment construire une machine Ă voyager dans le temps! Dâautre part, il est sans doute possible que la machine Ă
voyager dans le temps existe dĂ©jĂ et soit utilisĂ©e, mĂȘme si nous ne comprenons pas son principe de fonctionnement parce quâil est bien au-delĂ de notre cadre actuel thĂ©orique et conceptuel. Il est aussi possible que certaines machines que nous pensons destinĂ©es Ă certains usages sont en fait des machines Ă voyager dans le temps. Beaucoup de choses sont possibles⊠Pour en revenir Ă la communication supraliminale ou « channeling » en gĂ©nĂ©ral et aux CassiopĂ©ens en particulier, le fait que lâenvoi dâinformations vers le passĂ© soit possible nâimplique pas nĂ©cessairement que toute information prĂ©tendue envoyĂ©e depuis le futur lâest en rĂ©alitĂ©! Mais si nous admettons dâune maniĂšre gĂ©nĂ©rale que la vie extraterrestre est du domaine du possible et mobilisons toutes nos connaissances et ressources Ă la recherche de vie en-dehors de notre Terre, alors il nous faut Ă©galement admettre que la rĂ©ception dâinformations en provenance du futur est aussi possible. Dans cette perspective, la Science devrait se mettre Ă la recherche de traces dâinformations de ce genre. Quelles sont les sortes de canaux dâinformation qui doivent ĂȘtre surveillĂ©s dans le cadre dâune telle recherche ? Quelle portĂ©e dâantenne est-elle nĂ©cessaire, Comment doit-elle ĂȘtre dirigĂ©e vers un « temps futur » particulier ? Disons lâannĂ©e 3 000 ? ou 30 000, ou 300 001 ? Ma rĂ©ponse est: rien de tout cela nâest nĂ©cessaire. Nous avons dĂ©jĂ tout ce quâil nous faut : notre mental. Et Ă la vĂ©ritĂ©, en supposant que les connaissances et technologies du futur sont (ou seraient) bien plus en avance que les nĂŽtres, alors il est naturel que toute Ă©mission en provenance du futur parvienne directement au mental. DĂ©jĂ de nos jours il existe des techniques pour agir directement sur notre mental. Elles ne sont pas toujours utilisĂ©es Ă notre avantage, nĂ©anmoins elles existent bel et bien.
Mais si les communications depuis le futur sont possibles, pourquoi ne le sont-elles pas dans notre vie de tous les jours ? Si notre mental peut servir de rĂ©cepteur, pourquoi ne sommes-nous pas tous conscients des transmissions ? Je pense que la rĂ©ponse se trouve dans les rĂ©alitĂ©s multiples et les univers ramifiĂ©s, et il se peut quâune civilisation recevant quotidiennement des messages du futur ait cessĂ© dâexister parce que la communication inter-temporelle est un jeu trĂšs dangereux. On produit des paradoxes et ces paradoxes font disparaĂźtre les univers paradoxaux de lâ« endroit » oĂč reposent les univers possibles; si lâon crĂ©e un univers Ă paradoxes, il se dĂ©truit en tout ou en partie. Il se peut que seule lâintelligence soit enlevĂ©e de cet univers, parce que câest lâintelligence qui crĂ©e le paradoxe. Nous sommes peut-ĂȘtre trĂšs chanceux de continuer Ă exister malgrĂ© la rĂ©ception de certains de ces messages en provenance du futur. Supposons que notre civilisation progresse au point oĂč nous devenions tous capables de communiquer avec nous-mĂȘmes dans le passĂ©: nous possĂ©dons tous un ordinateur Ă©quipĂ© dâun programme spĂ©cial et de pĂ©riphĂ©riques qui le permettent. Cela devient la folie du moment : tout le monde veut communiquer avec soi-mĂȘme dans le passĂ© pour se prĂ©venir des dangers de calamitĂ©s prĂȘtes Ă survenir ou de mauvais choix, ou pour se donner les numĂ©ros gagnants du Lotto ou les chevaux gagnants des courses hippiques. Mais, ce qui est perçu comme un « bon Ă©vĂ©nement » par lâun peut ĂȘtre vu comme un « mauvais choix » ou mĂȘme une « calamitĂ© » par un autre ! LâĂ©tape suivante serait donc que des «pirates» se mettent Ă envahir les systĂšmes et envoient de fausses communications vers le passĂ© pour dĂ©libĂ©rĂ©ment susciter des mauvais choix et des calamitĂ©s pour certains afin de produire
des bienfaits pour eux-mĂȘmes ou pour dâautres. Alors, les premiers individus constateraient que de fausses informations ont Ă©tĂ© envoyĂ©es et sâintroduiraient dans le systĂšme pour remonter plus loin dans le passĂ© afin de sâavertir eux-mĂȘmes que de fausses informations vont ĂȘtre envoyĂ©es par des « imposteurs » et expliquer comment reconnaĂźtre quâelles sont fausses. Alors le pirate verrait tout cela et, remontant plus loin encore dans le temps, il rĂ©pandrait lâinformation fausse selon laquelle quelquâun se prĂ©pare Ă envoyer des informations fausses (qui en fait sont vraies) selon lesquelles de fausses informations (qui sont vraiment fausses) vont ĂȘtre envoyĂ©es, rendant le tout complĂštement confus. Ce processus se poursuivrait Ă©ternellement avec de constantes communications, les unes contredisant les autres, un signal contredisant lâautre, et le rĂ©sultat serait absolument le mĂȘme que sâil nâexistait pas du tout de communication avec le passĂ©! Il y a aussi la trĂšs intĂ©ressante possibilitĂ© que le scĂ©nario ci-dessus se dĂ©roule exactement tel quel dans notre monde actuel. Il est Ă©galement possible que, lorsquâune civilisation en arrive au point de pouvoir manipuler le passĂ© et de ce fait changer le prĂ©sent, elle se dĂ©truise elle-mĂȘme; ainsi, sans doute, que sa « branche » de lâunivers, Ă moins que ne survienne avant cela un Ă©vĂ©nement cataclysmique, sorte de « systĂšme de contrĂŽle » ou maniĂšre de rĂ©duire Ă nouveau Ă zĂ©ro les possibilitĂ©s technologiques, Ă©vitant ainsi les potentialitĂ©s dâun chaos universel. De la sorte, les Ă©vĂ©nement cataclysmiques pourraient ĂȘtre une sorte de rĂ©action prĂ©ventive ou prĂ©-prĂ©ventive contre de telles manipulations, et pourraient ĂȘtre en fait les rĂ©sultats dâactions arrangĂ©es par nos
bienveillants nous-mĂȘmes dans le futur, au vu des dangers dâune communication avec nous-mĂȘmes dans le passĂ©! La probabilitĂ© est donc la suivante: sâil y a communication en provenance du futur, il se peut quâelle soit en fait reçue constamment par tout un chacun dâentre nous comme un torrent perpĂ©tuel de mensonges entremĂȘlĂ©s de vĂ©ritĂ©s. Le problĂšme devient alors plus quâun simple « ajustement » sur une bande Ă©troite de signaux, parce quâil est clair que les pirates sont capables dâimiter ce signal et sont devenus trĂšs malins pour transmettre leurs mensonges dĂ©guisĂ©s en vĂ©ritĂ©s « bien chaudes et croustillantes »; le problĂšme devient une proposition bien diffĂ©rente : ne rien croire et agir comme si tout Ă©tait faux, rassembler des donnĂ©es de tous les cĂŽtĂ©s et ensuite faire les choix les mieux informĂ©s possibles, tout en rĂ©alisant pleinement quâils peuvent ĂȘtre erronĂ©s! Utilisons lâanalogie avec un ordinateur: nous ne pouvons pas empĂȘcher les pirates de pirater, mais nous pouvons faire lâeffort de les empĂȘcher de pirater notre systĂšme en Ă©rigeant des barriĂšres de savoir et de prise de conscience. Les pirates sont toujours Ă lâaffĂ»t de « proies faciles » (sauf ceux qui aiment les dĂ©fis), et renoncent quand ils constatent quâun systĂšme est de mieux en mieux sĂ©curisĂ©. Comment sâimmunise-t-on soi-mĂȘme ou son ordinateur contre les pirates ? Ce nâest jamais sĂ»r Ă 100 %, mas si toutes les mesures de prĂ©vention sont prises et si nous sommes constamment Ă lâaffĂ»t des signes de piratage â perturbations dans le systĂšme, pertes de « mĂ©moire » ou dâĂ©nergie, fichiers endommagĂ©s, Ă©lĂ©ments qui « ne vont pas », qui sont « hors contexte », alors nous pouvons rĂ©duire les possibilitĂ©s de piratage. Mais nous ne pouvons le faire que si nous sommes conscients quâil existe des pirates; si nous savons quâils tentent dâentrer dans notre
systĂšme en prenant lâapparence de fichiers normaux, ou mĂȘme dâun systĂšme qui fonctionne bien ou dâun programme promettant dâ« organiser » nos donnĂ©es de maniĂšre plus efficace et aisĂ©e, ou plus « conviviale », alors que dans le mĂȘme temps ils drainent notre Ă©nergie et nos ressources - RAM et disque durâŠ. Avec une pointe dâhumour: nous pourrions considĂ©rer le « Windows Operating System » comme « le pirate ultime venant du futur » et qui, dĂ©guisĂ© en mouton, est en fait un loup dĂ©vorant notre disque dur et notre RAM, et qui envoie nos fichiers Dieu sait oĂč Ă chaque fois que nous nous connectons Ă lâInternet! Et puis il y a naturellement les virus. DĂšs que nous insĂ©rons une disquette ou un CD dans notre ordinateur nous risquons la contagion par des virus qui altĂšrent ou dĂ©truisent, rapidement ou lentement toutes les informations contenues dans notre ordinateur, qui empĂȘchent toutes les fonctions pĂ©riphĂ©riques, et qui vont jusquâà « effacer » tous les fichiers du disque dur pour les remplacer par des rĂ©pliques sans fin des billevesĂ©es virales. Une analogie humaine pourrait ĂȘtre que les nombreuses religions et systĂšmes de croyance qui ont Ă©tĂ© programmĂ©s dans nos cultures et mĂȘme dans nos vie privĂ©es via des programmes « prophĂ©tiques/divins » remplacent petit Ă petit nos propres systĂšmes de pensĂ©e par des « dogmes et doctrines de la foi ». Assez dâanalogies informatiques. Je pense que le lecteur peut imaginer un nombre infini de variations sur ce thĂšme et comprendre combien vulnĂ©rables nous sommes Ă la « dĂ©sinformation » dĂ©guisĂ©e en vĂ©ritĂ© en provenance du futur, du passĂ© et mĂȘme du prĂ©sent. Parmi les nombreux critiques du « channeling » en gĂ©nĂ©ral et du travail de mon Ă©pouse en particulier, qui est trĂšs
diffĂ©rent tant en approche thĂ©orique quâen contenu, il y a ceux qui affirment que «le channeling câest de la foutaise». « Câest de la dĂ©sinformation Ă 100 % ». Je suis incapable de prendre ces affirmations au sĂ©rieux. Pourquoi ? Je suis un scientifique. Je regarde les choses diffĂ©remment des autres personnes. Je suis plus critique. Je suis mĂȘme plus critique que la plupart de mes collĂšgues. Alors, quand je lis de telles affirmations ou bien mĂȘme que « le channeling est une transmission par satellite » je deviens trĂšs soupçonneux. Pourquoi ? Je constate immĂ©diatement que ceux qui disent des choses de ce genre disent des sottises - dans ces phrases-lĂ . Et quand je rencontre quelquâun qui dit des idioties dans quelques phrases tout en restant trĂšs affirmatif, alors, il mâest impossible de prendre cette personne au sĂ©rieux dans tout le reste. Quels sont les faits ? Quelles sont les possibilitĂ©s ? Il y a certes la possibilitĂ© quâune partie (la plupart ?) du channeling dâaujourdâhui soit transmis par satellite ou dâautres moyens de programmation; Ce nâest pas seulement possible, câest probable. La question suivante Ă se poser est: Pourquoi ? LâĂ©vidente rĂ©ponse est: pour dĂ©former, dĂ©sinformer, par lâintermĂ©diaire de naĂŻves personnes du genre New Age. Sur la base de lâĂ©valuation des technologies et de la moralitĂ© (ou du manque de moralitĂ©) des Ă©lites gouvernantes de notre monde, il est hautement probable que sâil existait des informations permettant de dĂ©livrer lâhumanitĂ© de sa mise sous contrĂŽle, ils la corrompraient dans lâinstant, exactement comme je lâai dĂ©crit ci-dessus dans mes analogies avec lâinformatique. Est-ce que ce que les CassiopĂ©ens transmettent pourrait
ĂȘtre de la dĂ©sinformation ou bien le rĂ©sultat de telles technologies ou programmations ? Cela ne serait pas facile. Nous ne sommes pas naĂŻfs, nous sommes critiques dans notre travail. Nous pensons, nous analysons, nous vĂ©rifions et nous approfondissons nos recherches. Est-ce que certaines de nos « communications » pourraient avoir Ă©tĂ© influencĂ©es de cette maniĂšre ? Oui. Cette possibilitĂ© existe. Est-ce que tout, ou mĂȘme jusquâĂ 95 % pourrait ĂȘtre reçu de cette façon ? Non. Parce quâil y a trop de circonstances dans lesquelles les CassiopĂ©ens ont rĂ©pondu Ă des questions auxquelles une intelligence normale de type « satellitaire », qui ne serait pas capable de lire instantanĂ©ment dans lâesprit de chaque individu sur cette planĂšte, ne pourrait avoir accĂšs. DĂšs lors, je pense que lâaffirmation selon laquelle tout channeling nâest que billevesĂ©es et dĂ©sinformation et que 95 % de celui-ci se fait par satellite montre que les individus qui affirment de telles choses: a) sont incapables de penser avec logique, b) ne sont pas intĂ©ressĂ©s Ă dĂ©couvrir la vĂ©ritĂ©. VoilĂ la grande diffĂ©rence entre leur approche et la nĂŽtre. Tandis que nous sommes prĂȘts Ă toujours tout remettre en question et toujours trouver de nouveaux faits, ces individus dĂ©clarent « Nous connaissons la VĂ©ritĂ© ». La voici! Et puis nous trouvons sans aucune difficultĂ© çà et lĂ des dĂ©clarations facilement identifiables comme non-fondĂ©es, qui sont affirmĂ©es comme Ă©tant absolues, et cela jette le discrĂ©dit sur tout ce quâils ont Ă dire. Le Diable est toujours dans le dĂ©tail. Quand quelquâun affirme: « Tout ce qui est blanc est
noir », je deviens suspicieux. Et je me dĂ©tourne de tout ce quâils peuvent encore avoir Ă dire. Non pas parce que le blanc ne peut ĂȘtre noir, nous savons que les paradoxes existent, mais parce que la personne a utilisĂ© le mot « tout ». Quant aux rĂ©alitĂ©s parallĂšles, oui, probablement quâelles font partie des indices. Quant aux satellites qui jouent de temps en temps des mauvais tours, oui, cela aussi est possible. Et nous tenons cela en compte. Mais nous nous efforçons toujours dâappliquer notre pensĂ©e logique, dâutiliser notre facultĂ© de jugement. Mais nous savons que cette vĂ©rification dans la rĂ©alitĂ© de la 3e densitĂ© nâest jamais suffisante alors que nous avons sans doute Ă faire Ă des rĂ©alitĂ©s hyperdimensionnelles. Câest cependant toujours nĂ©cessaire. Ce qui signifie pratiquement : 1) Ayez-y toujours recours au maximum. 2) Ne pensez jamais que vous pouvez vous y fier complĂštement et uniquement! Ce que je veux clairement dire est ceci: ce channeling, le channeling avec les CassiopĂ©ens est diffĂ©rent de tout autre channeling. Il a Ă©tĂ© diffĂ©rent depuis le dĂ©but, il continue Ă lâĂȘtre et il continuera Ă lâĂȘtre. Nous pouvons lui donner un nom : le channeling critique. Il est tel par lâintention et non par hasard. Il sâagit dâun channeling dans lequel, intentionnellement, le messager est aussi important que le message lui-mĂȘme. Ils sont insĂ©parablement liĂ©s de maniĂšre quantique, une amplitude quantique qui interagit. Ils forment une unicitĂ©, un tout. SĂ©parer le message du messager serait, dans cette expĂ©rience cassiopĂ©enne quantique comme de fermer un opercule dans une expĂ©rience Ă deux ouvertures. On ferme un opercule et tout le modĂšle change, et pas seulement une partie de celui-ci. Comme je lâai Ă©crit prĂ©cĂ©demment: Autrement dit: il peut exister des Ă©missions depuis le
futur vers le passĂ©, mais il y a peu de « rĂ©cepteurs », et parmi ceux-ci, encore bien moins sont « accordĂ©s » de maniĂšre adĂ©quate. Et encore, ceux qui sont accordĂ©s de maniĂšre appropriĂ©e peuvent ĂȘtre affectĂ©s par la « statique ». Et mĂȘme sâil nây a pas de « statique », les rĂ©cepteurs capables de recevoir lâinformation pure feront lâobjet de la « statique » de lâincrĂ©dulitĂ© et de la dĂ©formation aprĂšs-coup par la sociĂ©tĂ©. Câest dans ce contexte que mon Ă©pouse doit ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme lâun des rares rĂ©cepteurs ayant travaillĂ© trĂšs dur pour parvenir à « sâaccorder » avec les transmissions en provenance du futur, que jâappelle « Channeling Critique de Communications CassiopĂ©ennes ». Quâest donc ce « Channeling Critique » ? En quoi diffĂšre-t-il des autres sortes de channeling ? Une description dĂ©taillĂ©e exigerait beaucoup de place et de temps. Je le ferai un jour. Mais pour lâinstant, je voudrais seulement faire lâobservation suivante: le channeling cassiopĂ©en possĂšde les caractĂ©ristiques dâune expĂ©rience scientifique. Pensez aux scientifiques dans leur laboratoire, travaillant sur les grandes lois de lâunivers. Ils font de nombreuses expĂ©rimentations. Ce sont des professionnels accomplis, ils connaissent leur partie, ils connaissent leur matĂ©riel de laboratoire et ses caprices. Mais ce sont des ĂȘtres humains. De temps en temps lâun lance une plaisanterie grivoise, de temps en temps une sĂ©rie de donnĂ©es doit ĂȘtre sacrifiĂ©e parce que des souris ont abĂźmĂ© du matĂ©riel pendant la nuit. RĂ©flĂ©chissez Ă prĂ©sent : quel avantage auraient-ils Ă inclure dans leurs articles les plaisanteries grivoises, les dommages provoquĂ©s par les souris, les taches dâencre, etc. ? Ce nâest pas comme cela que fonctionne la science. Et lâexpĂ©rience cassiopĂ©enne se dĂ©roule sur un modĂšle scientifique. Avec des normes scientifiques dans lâesprit. Le
channeling cassiopĂ©en est du Channeling Critique. Câest Ă cet Ă©gard quâil est diffĂ©rent des autres sortes de channeling. Et il le restera. La diffĂ©rence est dans lâapproche. Nous sommes Ă la recherche de la vĂ©ritĂ©. Ceux qui dĂ©clarent unilatĂ©ralement que tout channeling nâest que bobards sont certains quâils savent et veulent lâimposer aux autres, ou bien manipuler les autres de maniĂšre Ă leur faire croire ce quâils disent. Et naturellement, quand de tels individus disent ce genre de choses, ils affirment quâelles leur viennent de Dieu ou de quelquâautre source infaillible, mais quand quelquâun dâautre ose emprunter un chemin diffĂ©rent pour trouver la vĂ©ritĂ©, alors il sâagit nĂ©cessairement de « dĂ©sinformation Ă 100 % » et de « bobards». Nous essayons de partager nos pensĂ©es et, si nĂ©cessaire, nous sommes prĂȘts Ă apprendre et changer. Et câest cela qui est important. Cette attitude de rester ouverts. Et quâadviendrait-il si ces assertions sont correctes; que tout channeling est foutaise et dĂ©sinformation ? MĂȘme si je pense cela hautement improbable, cela peut-il ĂȘtre vrai ? Bien sĂ»r, Ă©tant moi-mĂȘme un scientifique et utilisant mon cerveau pour juger, jâai Ă©tĂ© obligĂ© de prendre cette possibilitĂ© aussi en considĂ©ration, quelquâimprobable quâelle puisse me paraĂźtre. Et jâen ai conclu que cette assertion ne peut ĂȘtre vraie. Voici quel est mon raisonnement : il est fait par reductio ad absurdum â façon de raisonner souvent utilisĂ©e pour obtenir des preuves en logique et en mathĂ©matiques. On suppose quâune chose est vraie puis, par un enchaĂźnement de dĂ©ductions logiques, on arrive Ă la conclusion que lâhypothĂšse ne peut ĂȘtre vraie. Quelque peu tordu, mais utile. En appliquant cette mĂ©thode Ă lâaffirmation que « tout channeling est Ă 100 % de la dĂ©sinformation parce quâil est
transmis par satellite », supposons que cela est vrai. Pour ĂȘtre vraie, cette supposition doit inclure la facultĂ© de lire et contrĂŽler le mental de tout le monde Ă tout moment. Mais si câest bien le cas, alors pourquoi les personnes qui font ces dĂ©clarations Ă©chapperaient-elles Ă ce contrĂŽle ? DĂšs lors, grĂące Ă la logique, toute personne faisant une telle dĂ©claration est Ă©galement soumise Ă lâinfluence de la programmation et des satellites (si tout le monde lâest, ils le sont aussi). Et si câest bien le cas, alors ce que ces personnes Ă©crivent est faux. Et puisque ces grands « dĂ©fenseurs de la vĂ©ritĂ© » clament si haut leurs certitudes sans raisons valables, il est logique de conclure que ce quâils disent nâest pas la vĂ©ritĂ© et que leurs affirmations selon lesquelles tout channeling est de la foutaise est, en soi, de la dĂ©sinformation. Nous voyons donc quâen partant de lâhypothĂšse que cette affirmation est vraie (les satellites affectent tout le monde), nous arrivons Ă la conclusion que lâaffirmation est fausse (parce quâelle reproduit tout simplement la dĂ©sinformation satellitaire). Et nous sommes ainsi arrivĂ©s Ă la reductio ad absurdum. Mais nous pouvons aller encore plus loin. Pourrions-nous trouver la raison pour laquelle les soi-disant dĂ©fenseurs de la vĂ©ritĂ© affirment un non-sens aussi Ă©vident avec un tel aplomb ? Eh bien, nous avons ici aussi une hypothĂšse. Si, comme nous le voyons de lâanalyse qui prĂ©cĂšde, tout channeling ne provient pas toujours de satellites, et que certaines sortes de channeling peuvent nous faire part dâinformations fiables provenant « dâĂȘtres supĂ©rieurs bienveillants », de « nous-mĂȘmes dans le futur », ou dâun Esprit Divin et Ame SupĂ©rieure, appelez cela comme vous voudrez, alors il est bien naturel que des forces tentent de jeter le discrĂ©dit sur cette
sorte-ci de channeling. VoilĂ donc que nous avons rĂ©solu un problĂšme. Si un critique accuse tous les « channelers » dâĂȘtre des agents de la dĂ©sinformation, et sâil est dans le vrai complĂštement ou en partie, alors nous avons des raisons de supposer que cet individu est un agent de ces forces. Il y a encore un autre exercice de raisonnement logique et de pensĂ©e critique qui me vient Ă lâesprit. La plupart des critiques nâexpliquent pas clairement ce quâest le channeling. Alors je prendrai lâexemple de la planchette « oui-ja », telle que mon Ă©pouse, Laura, lâutilise. Pourquoi a-t-elle recours Ă une planchette « oui-ja » ? Laura a Ă©tĂ© trĂšs loin dans sa recherche sur le channeling, bien avant quâelle ait dĂ©butĂ© cette expĂ©rience. Sur la base des faits et des donnĂ©es, il est devenu clair que lâutilisation dâun «instrument pĂ©riphĂ©rique» en plein Ă©tat de conscience Ă©tait la mĂ©thode optimale pour supprimer les bruits. En particulier, une telle mĂ©thode rend bien plus difficile aux satellites ou autres signaux de programmation provenant de technologies humaines et hybrides, si et quand ils se produisent, de brouiller les messages. Au moins deux personnes sont nĂ©cessaires, il faut aussi une pleine conscience, un esprit critique, beaucoup de cafĂ©, lâesprit clair, une discussion hardie des donnĂ©es Ă mesure quâelles arrivent, et la planchette. Pensant Ă la possibilitĂ© dâune implication de la physique quantique dans les interactions esprit-matiĂšre, il est Ă©vident pour moi que les mĂ©thodes quâelle suit sont plus susceptibles de rĂ©sister Ă et de se protĂ©ger contre un bombardement dĂ©libĂ©rĂ© de lâextĂ©rieur par des signaux destinĂ©s au contrĂŽle du mental, quâils soient technologiques ou « psychiques ». Dâautre part, parler directement à « lâEsprit Divin » comme le font tant de channelers est bien plus susceptible dâinterfĂ©rences. Par exemple, un faible signal
Ă©lectromagnĂ©tique extĂ©rieur pourrait sâadresser directement Ă un minuscule implant insĂ©rĂ© dans une dent et nous pourrions le prendre pour notre Ame SupĂ©rieureâŠ. Câest ainsi que par la pensĂ©e logique et lâanalyse critique nous parvenons Ă une hypothĂšse de travail. Mais de grĂące, nâen concluez pas que nous avons rĂ©solu tous nos problĂšmes. Il y a encore dâimportants problĂšmes Ă rĂ©soudre. Lâanalyse ci-dessus ne confirme rien Ă 100 %. Elle donne des indications. Pour rĂ©pondre Ă la question de savoir si oui ou non les communications cassiopĂ©ennes sont vraiment ce quâelles affirment ĂȘtre, câest-Ă -dire des transmissions en provenance de « nous dans le futur », une analyse complĂšte tenant compte, non pas dâun mais de nombreux aspects, est nĂ©cessaire. Des mĂ©thodes entiĂšrement diffĂ©rentes doivent ĂȘtre utilisĂ©es. Si A est un adversaire de B, et si nous trouvons que A a tort, cela ne signifie pas nĂ©cessairement que B a raison! Savoir si B a raison ou non est un problĂšme diffĂ©rent. Je termine en disant que nous avons discutĂ© de ces questions Ă de nombreuses reprises sur notre site internet, avec dâautres groupes ou des personnes isolĂ©es et, trĂšs souvent, ceux qui commencent par ĂȘtre sceptiques admettent ouvertement par la suite que ces CassiopĂ©ens « ont beaucoup pour eux » !
Arkadiusz Jadczyk, PhD
NOTES
[1]: DĂ©finition originale: Many Worlds interpretation of quantum theory (NdT) [2]: Termes originaux: Event-Enhanced Quantum Theory (EEQT) (NdT) [3]: http://quantumfuture.net/quantum_future/
MESSAGE DE LâAUTEURE AU LECTEUR
Il y a prĂšs de 30 ans jâai reçu ma premiĂšre formation acadĂ©mique en hypnose. Au fil des ans, je nâai pas seulement toujours Ă©tĂ© Ă lâaffĂ»t de nouvelles formations, mais jâai aussi utilisĂ© ces connaissances pour venir en aide Ă de nombreuses personnes. Jusquâen 1994, je nâavais jamais rencontrĂ© ce que lâon appelle communĂ©ment une « victime dâenlĂšvement », câest-Ă -dire une personne affirmant avoir Ă©tĂ© enlevĂ©e par de supposĂ©s extraterrestres. Je dois admettre que mes premiĂšres rencontres avec ce genre de personnes a posĂ© des problĂšmes tant du point de vue de la technique Ă adopter que du point de vue de mes propres catĂ©gories du « possible » et de lâ« impossible ». Je dis souvent, en plaisantant Ă moitiĂ©, que parmi ceux qui nâont jamais voulu entendre parler dâextraterrestres ou dâOVNIs, je mĂ©ritais une place de choix. Peu de gens perçoivent le sĂ©rieux de cette remarque. Quand jâai entrouvert la porte Ă la possibilitĂ© - bien Ă©loignĂ©e pensais-je - de lâexistence de visiteurs venant «dâautres mondes», la vie telle que je la connaissais a pris fin. CâĂ©tait il y a onze ans. Mais ensuite, une toute nouvelle vie est nĂ©e de ses cendres. Et me voilĂ Ă prĂ©sent en train de produire un livre sur les OVNIs et
les extraterrestres. La route de lĂ -bas Ă ici a Ă©tĂ© ardue, câest le moins que je puisse dire, et compliquĂ©e par la Grande ĂtrangetĂ© qui semble entourer le sujet. Les termes « Grande EtrangetĂ© [1] » sont attribuĂ©s au Dr. J. Allen HYNEK qui, le 27 novembre 1978, a adressĂ© aux Nations-Unies le message suivant: Monsieur le PrĂ©sident, il existe, de nos jours un phĂ©nomĂšne mondialâŠ. en fait, sâil nâĂ©tait pas mondial je ne mâadresserais pas Ă vous et aux reprĂ©sentants de si nombreuses parties du monde. Il existe un phĂ©nomĂšne global dont la portĂ©e et lâĂ©tendue ne sont pas reconnues. Câest un phĂ©nomĂšne si insolite et Ă©tranger Ă notre mode de pensĂ©e terrestre quotidien quâil est frĂ©quemment ridiculisĂ© et tournĂ© en dĂ©rision par les personnes et organisations qui ignorent les faits. [âŠ] Je veux parler, bien sĂ»r, du phĂ©nomĂšne des OVNIs, Objets Volants Non IdentifiĂ©sâŠ. que je dĂ©finirais simplement comme « toute vision aĂ©rienne ou terrestre, ou tout enregistrement par des instruments (par ex. radar, photographie, etc.), et demeurant inexplicable par les mĂ©thodes conventionnelles mĂȘme aprĂšs examen compĂ©tent par des personnes qualifiĂ©es ». Vous noterez, Monsieur le PrĂ©sident, que cette dĂ©finition ne fait mention, ni de petits hommes verts venus de lâespace, ni de manifestations diverses en provenance de mondes spirituels, ni de manifestations psychiques. Elle est simplement fonctionnelle. Une erreur fondamentale, et source de grande confusion, a Ă©tĂ© la substitution quasiment universelle dâune interprĂ©tation du phĂ©nomĂšne OVNI par le phĂ©nomĂšne lui-mĂȘme. Câest comme dâattribuer une aurore borĂ©ale Ă une communication avec les anges avant de comprendre la
physique des vents solaires. NĂ©anmoins, dans lâesprit populaire le phĂ©nomĂšne OVNI est associĂ© au concept dâune intelligence extraterrestre, et cela pourrait bien ĂȘtre avĂ©rĂ© dans un certain contexte. [âŠ] Dans nos archives, nous possĂ©dons des dizaines de milliers de rapports OVNIsâŠ. ils contiennent des rĂ©cits extrĂȘmement troublants et perturbants dâĂ©vĂ©nements Ă©tranges dont ont fait lâexpĂ©rience des personnes dâune rĂ©putation irrĂ©prochable⊠des Ă©vĂ©nements qui mettent au dĂ©fi notre conception actuelle du monde qui nous entoure et qui pourraient ĂȘtre le signal dâune nĂ©cessitĂ© de changement de certains de nos concepts. [âŠ] Monsieur le PrĂ©sident, tout phĂ©nomĂšne qui touche Ă la vie de si nombreuses personnes et qui engendre parmi elles la perplexitĂ© et mĂȘme la crainte, est dĂšs lors non seulement dâun intĂ©rĂȘt et dâune signification scientifiques potentiels, mais aussi dâune signification sociologique et politique, tout spĂ©cialement par ce quâil prĂ©sente de nombreuses implications de lâ existence dâintelligences autres que la nĂŽtre. [âŠ] En parlant en mon nom propre en tant quâastronome et aussi, je crois au nom de nombreux collĂšgues, il nây a plus dans mon esprit aucun doute quant Ă lâimportance de ce sujet. [âŠ] Monsieur le PrĂ©sident, je nâai pas toujours Ă©tĂ© de lâavis que les OVNIs mĂ©ritaient une Ă©tude scientifique sĂ©rieuse. Jâai commencĂ© ma carriĂšre comme consultant scientifique auprĂšs de la U.S. Air Force en Ă©tant ouvertement sceptique, croyant fermement que nous nous trouvions en face dâune aberration mentale et une nuisance publique. Câest seulement aprĂšs avoir Ă©tĂ© confrontĂ© aux faits obstinĂ©s et Ă des donnĂ©es similaires Ă celles Ă©tudiĂ©es par la Commission française⊠que jâai Ă©tĂ© forcĂ© de changer dâavis.[âŠ] Le phĂ©nomĂšne OVNI tel quâĂ©tudiĂ© par mes collĂšgues et
moi-mĂȘme, tĂ©moigne de lâaction dâune certaine forme dâintelligence⊠mais dâoĂč elle provient, si elle est vraiment extraterrestre, ou si elle tĂ©moigne dâune rĂ©alitĂ© supĂ©rieure non encore reconnue par la science, ou encore si elle est dâune maniĂšre ou dâune autre une Ă©trange manifestation psychique de notre propre intelligence, voilĂ la question. Monsieur le PrĂ©sident, nous avons besoin de votre aide pour soutenir les scientifiques et en particulier ceux qui sont dĂ©jĂ associĂ©s aux nombreuses organisations dâinvestigation informelle de par le monde, en Ă©tablissant une procĂ©dure de « chambre de compensation » grĂące Ă laquelle le travail dĂ©jĂ accompli globalement pourrait ĂȘtre rassemblĂ© de maniĂšre Ă mettre au point une approche sĂ©rieuse et concentrĂ©e de cet immense dĂ©fi Ă la science actuelle. Je voudrais attirer votre attention sur certaines des remarques faites par le Dr. HYNEK dans le passage ci-dessus: ⊠phĂ©nomĂšne si insolite et Ă©tranger Ă notre mode de pensĂ©e terrestre quotidien⊠il contient de nombreuses implications de lâexistence dâintelligences autres que la nĂŽtre⊠[Il] tĂ©moigne de lâaction dâune certaine forme dâintelligence⊠mais dâoĂč elle provient, si elle est vraiment extraterrestre, ou si elle tĂ©moigne dâune rĂ©alitĂ© supĂ©rieure non encore reconnue par la science, ou encore si elle est dâune maniĂšre ou dâune autre une Ă©trange manifestation psychique de notre propre intelligence, voilĂ la question.. Ces remarques font Ă©tat du facteur de « Grande ĂtrangetĂ© ». Cette « Grande ĂtrangetĂ© » dĂ©crit les cas dâOVNIs qui ne sont pas seulement particuliers, mais qui paraissent mĂȘme souvent absurdes. Dans certains cas, il est question dâĂ©vĂ©nements avant, pendant et aprĂšs « lâobservation proprement dite », pleins dâĂ©lĂ©ments de dĂ©formation du temps et de lâespace, de bizarres synchronicitĂ©s, dâĂ©tranges Ă©tats de
conscience, dâĂȘtres agissant de maniĂšre absurde, de bizarres « crĂ©atures » associĂ©es Ă la vision mais pas nĂ©cessairement faisant partie de celle-ci, de coups de tĂ©lĂ©phone anormaux, de bizarreries Ă©lectroniques, dâĂ©vĂ©nements paranormaux y compris des activitĂ©s de type poltergeist, et ce que lâon connaĂźt gĂ©nĂ©ralement comme « les Hommes en Noir ». Le scientifique français Jacques VALLĂE a Ă©crit dans un article sur la Grande ĂtrangetĂ©: Une premiĂšre objection Ă la rĂ©alitĂ© des PhĂ©nomĂšnes AĂ©riens Non-IdentifiĂ©s, parmi les hommes de science, est que les tĂ©moins font constamment rapport sur des objets dont le comportement apparemment absurde « ne peut vraisemblablement » ĂȘtre reliĂ© Ă des phĂ©nomĂšnes rĂ©els, mĂȘme dans des conditions extrĂȘmes. [âŠ] Les sceptiques insistent sur le fait que des ĂȘtres supĂ©rieurs, des ambassadeurs cĂ©lestes ou des visiteurs extraterrestres intelligents ne se livreraient pas aux polissonneries rapportĂ©es dans cette littĂ©rature [2]. Dans un cas, un agriculteur du Minnesota, Mr. SIMONTON, a affirmĂ© quâun vaisseau a survolĂ© sa basse-cour et que des hommes basanĂ©s Ă lâapparence orientale lui ont prĂ©sentĂ© une cruche quâil a remplie dâeau, et ils lui ont donnĂ© des crĂȘpes. Le Dr. HYNEK a fait analyser les petits gĂąteaux et il est apparu quâils ne contenaient pas du tout de sel. Jacques VALLĂE, homme de science français, a notĂ© que les pĂątisseries sans sel sont souvent une caractĂ©ristique dans les mythes se rapportant aux fĂ©es. Un autre cas est celui dâun agriculteur belge qui a vu atterrir un OVNI dans son champ. Il sâest approchĂ© de lâengin et un petit « extraterrestre » sâest approchĂ© de lui pour lui demander lâheure ! Lâagriculteur lui a donnĂ© lâinformation demandĂ©e. Lâextraterrestre lui a rĂ©pondu quâil Ă©tait dans lâerreur, et a pointĂ© vers lui une baguette qui lâa tenu paralysĂ©
jusquâau dĂ©part du vaisseau. Lorsque les autoritĂ©s ont analysĂ© le cas, elles ont trouvĂ© un cercle de vĂ©gĂ©tation dĂ©truite sur le site dâatterrissage, et mĂȘme la terre aurait Ă©tĂ© abĂźmĂ©e Ă la suite dâune exposition Ă ce qui a paru ĂȘtre une chaleur extrĂȘme. Lorsquâon examine un nombre suffisant de donnĂ©es parmi les milliers de cas, on a lâimpression profonde que les tĂ©moins disent la vĂ©ritĂ© sur leurs expĂ©riences. Pourquoi deux agriculteurs auraient-ils fabriquĂ© des histoires aussi ridicules et abracadabrantes ? Des tĂ©moignages de leur entourage ont Ă©tĂ© recueillis pour faire le point sur leur stabilitĂ© et leurs facultĂ©s mentales. Ils nâont jamais fait dâargent avec leurs histoires, et ils ne couraient certes pas aprĂšs la renommĂ©e. En fait, ils ont bien pĂąti dâavoir fait ces rĂ©cits, et auraient mieux fait de rester tranquilles dans leur coin. De tels cas ne sont pas rares. Il y en a beaucoup qui font Ă©tat dâĂ©lĂ©ments tout aussi bizarres. Quelque chose arrive manifestement Ă ces gens, et câest quelque chose qui est Ă la fois physique et psychologique. Quoi quâil en soit, ce facteur de Grande ĂtrangetĂ© est un problĂšme parce quâil est trĂšs facile de rejeter ou dâignorer ces rapports Ă cause de ces dĂ©clarations ridicules. On peut se demander si cette Grande ĂtrangetĂ© nâest pas dĂ©libĂ©rĂ©e, et alors pourquoi ? Ceci nous amĂšne Ă considĂ©rer le facteur de « signal ou bruit ». Le Dr. HYNEK a Ă©crit dans un article prĂ©sentĂ© aux treiziĂšmes Rencontres des Sciences AĂ©rospatiales de lâAIAA Ă Pasadena en Californie, tenues du 20 au 22 janvier 1975, intitulĂ© « LâImage Ămergente du ProblĂšme OVNI [3]»: Mais un Ă©lĂ©ment qui est commun Ă toutes les entreprises scientifiques est celui du rapport « signal-bruit ». Dans le phĂ©nomĂšne OVNI cela est un problĂšme majeur. Le problĂšme OVNI est au dĂ©part un problĂšme « signal-bruit . Le bruit est et a Ă©tĂ© tellement important que lâexistence dâun
signal a Ă©tĂ© sĂ©rieusement mise en question. Isaac ASIMOV, que personne ne peut accuser de manquer dâimagination, a Ă©crit: « Les rapports de tĂ©moins oculaires faisant Ă©tat de vrais vaisseaux spatiaux et de vrais extraterrestres sont, en eux-mĂȘmes, totalement douteux. Il y a eu de nombreux rapports de tĂ©moins oculaires sur pratiquement tout ce que les personnes rationnelles ne se soucient guĂšre dâaccepter : fantĂŽmes, anges, phĂ©nomĂšnes de lĂ©vitation, zombies, loups-garous, etc⊠Le hic câest que, quel que soit le phĂ©nomĂšne OVNI, il vient et sâen va sans crier gare. Il nây a aucun moyen de lâexaminer systĂ©matiquement. Il fait son apparition soudainement et accidentellement; est vu en partie, et ensuite fait lâobjet dâun rapport plus ou moins imprĂ©cis. Nous restons dĂ©pendants de rĂ©cits anecdotiques occasionnels. » (N° du 14 dĂ©cembre 1974 de TV Guide, un magazine Ă grand tirage et donc dâune grande puissance de formation dâopinion publique) Nous voyons ici une trĂšs grande partie du problĂšme OVNI, celle de la prĂ©sentation de donnĂ©es Ă des scientifiques et Ă des gens comme ASIMOV et dâautres, qui excellent Ă Ă©crire sur des sujets scientifiques. Les efforts de la Science peuvent ĂȘtre sĂ©rieusement mis Ă mal lorsque lâimage dâun sujet est prĂ©sentĂ©e de maniĂšre grossiĂšrement trompeuse. Des fonds peuvent ĂȘtre diminuĂ©s et des hommes de science valables et dĂ©sireux de passer du temps sur le sujet peuvent voir dĂ©naturer leurs travaux lors de leur prĂ©sentation au public. La foudre en boule est tout aussi mĂ©connue que le phĂ©nomĂšne OVNI et cependant les hommes de science discutent ouvertement de ces « boules de lumiĂšre ». Mais ils risquent la censure quand ils parlent de lumiĂšres semblables mais non identifiĂ©es, qui restent plus longtemps, sont plus brillantes, parcourent de grandes distances, mais sont
Ă©tiquetĂ©es « OVNIs ». La bonne prĂ©sentation du phĂ©nomĂšne OVNI aux mĂ©dias ne semble pas ĂȘtre partie intĂ©grante du problĂšme per se, mais les effets en sont lourds de consĂ©quences. Lâaspect « signal-bruit » du problĂšme OVNI est encore aggravĂ© par le fait que ce signal est un signal totalement inattendu et qui reprĂ©sente un ensemble entiĂšrement neuf dâobservations empiriques ne sâadaptant pas au cadre existant dans aucune des disciplines scientifiques reconnues. On pourrait mĂȘme penser que le signal lui-mĂȘme donne le signal de lâĂ©mergence dâune nouvelle discipline scientifique. Je reviens au rejet dâemblĂ©e du phĂ©nomĂšne OVNI par des personnes comme Isaac ASIMOV, en partie Ă cause de la mauvaise prĂ©sentation des donnĂ©es Ă ces personnes. Ceci est un aspect important du problĂšme OVNI en soi et doit ĂȘtre pris en considĂ©ration si nous voulons faire quelque progrĂšs dans lâĂ©tude du signal. Une analogie peut ĂȘtre utile ici. Lors de lâisolation du radium, Mme CURIE a Ă©tĂ© obligĂ©e de manipuler des tonnes de pechblende pour obtenir une minuscule quantitĂ© de radium. Il nâĂ©tait cependant pas question dâun signal dans le « bruit de la pechblende ». La radioactivitĂ© de la pechblende nâĂ©tait pas mise en question. Supposons quâau lieu de cela il y aurait eu Ă lâorigine un conte de bonne femme ou un rĂ©cit dâalchimie, selon lequel un Ă©lĂ©ment miraculeux et inconnu pourrait intervenir dans la transmutation des Ă©lĂ©ments, et qui possĂ©derait de miraculeux pouvoirs de guĂ©rison et dâautres propriĂ©tĂ©s exotiques. Est-ce quâaucun homme de science, sur base de ce conte dâalchimiste, aurait fait ce que Mme Curie a fait pour extraire le signal du bruit de tonnes de pechblende ? Jâen doute. Mme Curie savait quâil y avait un signal - ce nâĂ©tait pas une rumeur. Et bien que le travail fĂ»t immense, il y avait
une mĂ©thodologie dĂ©finie, scientifiquement reconnue, pour sĂ©parer le signal du bruit. Maintenant, en ce qui concerne le problĂšme OVNI), nous ne savions pas au dĂ©part quâil y avait un signal; il nây avait que des rĂ©cits inacceptables pour le corps scientifique. Seuls ceux dâentre nous qui, par une longue Ă©tude du sujet, ou motivĂ©s par une envoĂ»tante curiositĂ© ont Ă©tĂ© poussĂ©s Ă travailler sur le terrain et Ă se salir les mains dans les donnĂ©es de fond, sont parvenus Ă dĂ©couvrir quâil y avait un signal. Nous savons que nous ne pourrons pas trouver une solution triviale au problĂšme, câest-Ă -dire une solution de bon sens qui dise que le phĂ©nomĂšne est soit entiĂšrement une question dâerreur dâidentification, dâhallucinations, de canulars, soit un phĂ©nomĂšne naturel connu, par exemple un phĂ©nomĂšne mĂ©tĂ©orologique. Nous savons quâil existe un sous-ensemble de rapports OVNIs de Grande ĂtrangetĂ© et de grande crĂ©dibilitĂ© de tĂ©moignage au sujet desquels personne, et je rĂ©pĂšte: personne, nâa Ă©tĂ© capable de fournir une explication viable. Mais les Isaac ASIMOV et autres scientifiques de formation, ainsi que de larges segments du public, ignorent cela; et nous ne pouvons pas attendre dâeux quâils le sachent, Ă moins que nous leurs prĂ©sentions des donnĂ©es de maniĂšre adĂ©quate, et fournissions de ce fait une motivation pour Ă©tudier le sujet. Nous qui avons travaillĂ© dans le domaine OVNI, nous sommes en quelque sorte dans la situation dâEINSTEIN, qui avait Ă©crit Ă Arnold SOMMERFELD en rĂ©ponse au scepticisme manifestĂ© par celui-ci au sujet de la ThĂ©orie GĂ©nĂ©rale de la RelativitĂ©: « Vous accepterez la ThĂ©orie GĂ©nĂ©rale de la RelativitĂ© quand vous lâaurez Ă©tudiĂ©e. Câest pourquoi, je ne dirai pas un seul mot pour la dĂ©fendre. » Une dĂ©fense empreinte dâĂ©motion du phĂ©nomĂšne OVNI ne sert Ă rien; les faits prĂ©sentĂ©s de maniĂšre appropriĂ©e doivent
parler dâeux-mĂȘmes. Avec un niveau de bruit aussi Ă©levĂ© et lâinterprĂ©tation populaire des OVNIs comme Ă©tant des visiteurs venus dâailleurs plutĂŽt que de garder simplement celle de leurs initiales - Objets Volants Non IdentifiĂ©s -, un phĂ©nomĂšne dont lâorigine nous est inconnue - il est trĂšs difficile dâĂȘtre motivĂ© Ă Ă©tudier le sujet. Le bruit, dans le problĂšme OVNI, est double. Il y a dâabord le bruit Ă©vident, puis un bruit plus « sophistiquĂ© », qui pourrait mĂȘme faire partie du signal. Le bruit Ă©vident est semblable Ă celui qui est bien connu de tous les hommes de science. Un astronome reconnaĂźt le bruit des erreurs dâobservation, des erreurs dues aux instruments, ou bien encore ceux qui sont dus Ă des altĂ©rations atmosphĂ©riques, Ă des statistiques concernant les photons, etc. Dans le problĂšme qui nous occupe, le bruit est Ă©galement dĂ» Ă des erreurs dâobservation (encore que dans une mesure beaucoup plus importante) , mais aussi Ă des « voeux pieux » et Ă la substitution dĂ©libĂ©rĂ©e de lâinterprĂ©tation dâun Ă©vĂ©nement Ă lâĂ©vĂ©nement lui-mĂȘme, dans le genre: « jâai vu un vaisseau spatial dans le ciel la nuit derniĂšre » au lieu de « jâai vu une lumiĂšre dans le ciel, la nuit derniĂšre », et le bruit totalement Ă©tranger de lâimagination dĂ©sĂ©quilibrĂ©e de fanatiques pseudo-religieux qui propagent des histoires sans fondement et qui acceptent sans exercer aucunement leur esprit critique, tout ce qui sĂ©duit leur imagination dĂ©bordante. [âŠ] La question de savoir si le phĂ©nomĂšne OVNI est oui ou non la manifestation dâune intelligence, extraterrestre, « mĂ©ta-terrestre », ou mĂȘme de la nĂŽtre, est extrĂȘmement dĂ©licate. Câest vrai que dans les cas de rencontre rapprochĂ©e avec des crĂ©atures ou occupants qui sont ostensiblement les pilotes de ces vaisseaux, un comportement intelligent est
manifeste. MĂȘme si les occupants sont des robots, une intelligence plus Ă©loignĂ©e est impliquĂ©e. La rĂ©ponse Ă la dĂ©tection de ces occupants, pratiquement universellement rapportĂ©e, compte pour une grande part dans le tableau. DĂšs quâelles sont dĂ©tectĂ©es, les rapports affirment que ces crĂ©atures dĂ©collent et disparaissent rapidement. Sauf dans certains cas, il semble nây avoir aucun dĂ©sir dâun rapprochement avec la race humaine. [âŠ] Au vu des Ă©lĂ©ments du tableau actuel du phĂ©nomĂšne OVNI, il est clair que toute hypothĂšse viable qui tienne compte de maniĂšre satisfaisante de tous les Ă©lĂ©ments de ce tableau ira « trĂšs loin », selon les prĂ©visions actuelles. Il y a eu dâautres Ă©poques dans lâhistoire des sciences, oĂč il a Ă©tĂ© nĂ©cessaire de sâĂ©carter des concepts classiques. Puisque de nouvelles hypothĂšses doivent, dâune certaine façon, utiliser les connaissances du moment comme un tremplin, il est assez effrayant de constater que le fossĂ© entre le tremplin du connu et une hypothĂšse Ovni viable est sans doute tellement large et profond quâil empĂȘche toute formulation dâune hypothĂšse acceptable pour le moment. Câest ainsi que, par exemple, il y a un siĂšcle, une pĂ©riode sans beaucoup dâimportance dans le cadre de lâHistoire prise dans son entier, les meilleurs esprits scientifiques ont Ă©tĂ© incapables de visualiser les processus nuclĂ©aires dont nous sommes Ă prĂ©sent certains quâils se dĂ©roulent Ă lâintĂ©rieur des Ă©toiles. La question de la production dâĂ©nergie dans le Soleil, capable de maintenir le prodigieux dĂ©gagement dâĂ©nergie du Soleil pendant des centaines de millions dâannĂ©es - la pĂ©riode exigĂ©e pour la formation de fossiles Ă©tant de millions dâannĂ©es - ne pouvait recevoir de rĂ©ponse dâaucune hypothĂšse concevable par aucun homme de science il y a un siĂšcle ou deux.
Il est en effet effrayant, bien que le dĂ©fi soit excitant, dâenvisager que tout le phĂ©nomĂšne OVNI pourrait nâĂȘtre que le proverbial sommet de lâiceberg, signalant lâexistence dâun tout nouveau domaine de connaissances de la nature, encore complĂštement inexplorĂ©, aussi inexplorĂ© et inconcevable que les processus nuclĂ©aires lâĂ©taient il y a une bonne centaine dâannĂ©es. Le Dr. HYNEK est souvent considĂ©rĂ© comme le pĂšre de lâinvestigation scientifique rigoureuse en matiĂšre dâOVNIs. Il a Ă©tĂ© consultant scientifique auprĂšs de la US Air Force pour les investigations concernant les OVNIs, dans le cadre du projet « Bluebook », dont des recherches ultĂ©rieures ont dĂ©montrĂ© quâil sâagissait de dĂ©mystifier le sujet. Mais aprĂšs avoir Ă©tudiĂ© tant de cas crĂ©dibles, le Dr. HYNEK allait fonder le Center For UFO Studies (CUFOS). Câest lui Ă©galement qui a mis au point la classification des observations dâOVNIs, et qui a le premier utilisĂ© lâexpression « Rencontre rapprochĂ©e [4] ». Il est lâauteur de lâincontournable livre The UFO Experience: A Scientific Study [5]. Le Dr. HYNEK a Ă©tĂ© directeur du CUFOS jusquâĂ sa mort en 1986. Sur lâidĂ©e Ă©mise par Hynek, selon laquelle il se pourrait que nous soyons en face dâun « tout nouveau domaine de connaissances de la Nature », son ami et associĂ© Jacques VALLĂE a fait un commentaire intĂ©ressant: [âŠ] les hypothĂšses actuelles ne sont pas assez audacieuses pour expliquer les faits accompagnant le phĂ©nomĂšne, et le dĂ©bat souffre dâune absence dâinformations scientifiques. En fait, du point de vue de la physique moderne, notre Voisinage Cosmique pourrait englober dâautres univers (parallĂšles), dimensions extra-spatiales et autres dimensions comparables Ă celles du temps, comme des dimensions au-delĂ de lâespace-temps quadridimensionnel que nous reconnaissons;
de tels aspects pourraient conduire Ă des explications rationnelles des comportements Ă premiĂšre vue « incomprĂ©hensibles » de la part dâentitĂ©s faisant irruption dans le continuum que nous percevons. Comme elle tente de rĂ©concilier la thĂ©orie avec les propriĂ©tĂ©s observĂ©es des particules Ă©lĂ©mentaires et avec les dĂ©couvertes aux frontiĂšres de la cosmologie, la physique moderne suppose que lâhumanitĂ© nâa pas encore dĂ©couvert toutes les facettes de lâunivers, et quâil nous faut proposer de nouvelles thĂ©ories et expĂ©rimentations pour les explorer. Câest pourquoi lâĂ©tude permanente des phĂ©nomĂšnes anormaux est importante: elle peut dĂ©boucher sur un thĂ©orĂšme concernant de nouveaux modĂšles de la rĂ©alitĂ© physique. Une grande partie des progrĂšs rĂ©cents en matiĂšre de concepts cosmologiques sont directement applicables au problĂšme: les galeries de vers traversables (galeries « en hypersurface » Ă trois dimensions) ont Ă prĂ©sent Ă©tĂ© dĂ©duits de la ThĂ©orie GĂ©nĂ©rale dâEinstein sur la RelativitĂ© (MORRIS et THORNE, 1988; VISSER, 1995). En particulier, il a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© que la ThĂ©orie GĂ©nĂ©rale sur la RelativitĂ©, Ă©mise par Einstein, ne restreint en aucun cas la topologie espace-temps, ce qui permet de penser que les galeries de vers possĂšdent des connections traversables de rĂ©gion Ă rĂ©gion, entre deux univers sĂ©parĂ©s ou entre des rĂ©gions Ă©loignĂ©es et/ou des temps au sein dâun mĂȘme univers. Il peut Ă©galement ĂȘtre dĂ©montrĂ© mathĂ©matiquement, que des galeries de vers de plus grande supĂ©rioritĂ© dimensionnelle peuvent fournir des connexions en hypersurface entre espaces multidimensionnels (RUCKER, 1984; KAKU, 1995). RĂ©cemment, des programmes traitant de gravitĂ© quantique ont explorĂ© cette propriĂ©tĂ© dans le cadre de la thĂ©orie
des supercordes, et des propositions ont Ă©tĂ© faites dâanalyser thĂ©oriquement et expĂ©rimentalement des espaces macroscopiques extra-dimensionnels (SCHWARZSCHILD, 2000). Il est donc maintenant largement reconnu que la nature de notre univers est de loin bien plus complexe que ne le laissent supposer les observations basĂ©es sur une auto-sĂ©lection anthropocentrique. [âŠ] Aucune expĂ©rience ne permet de faire la diffĂ©rence entre des phĂ©nomĂšnes manifestĂ©s par des visites «dâIntelligences» interstellaires (avancĂ©es arbitrairement) et ceux qui seraient Ă attribuer Ă des entitĂ©s intelligentes existant peut-ĂȘtre prĂšs de la Terre, dans un univers parallĂšle ou dans dâautres dimensions, ou bien qui seraient des voyageurs (terrestres) dans le temps. [âŠ] Si nous devions formuler en une seule phrase notre point de vue sur le problĂšme, nous dirions: Tout fonctionne comme si les PhĂ©nomĂšnes AĂ©riens Non-IdentifiĂ©s (UAPs [6]) Ă©taient les produits de technologies intĂ©grant des phĂ©nomĂšnes physiques et psychiques, et affectaient essentiellement les variables culturelles de notre sociĂ©tĂ© par la manipulation de paramĂštres physiologiques et psychologiques chez les tĂ©moins. [7] Ainsi que je lâai Ă©crit dans mes livres et publications sur notre site Internet www.cassiopaea.org, et ailleurs encore, que je sache je nâai personnellement jamais vu dâextraterrestre. Je nâai aucun souvenir conscient ni conscience tout court dâaucun « enlĂšvement typique » ni dâune rencontre avec un ĂȘtre venu dâailleurs dans aucun Ă©tat dâesprit conscient. Câest vrai que je vais parler de certaines « rencontres » « hautement suggestives », mais il y a en elles une certaine ambiguĂŻtĂ© qui a directement trait Ă cet Ă©tat dâesprit, et cette ambiguĂŻtĂ© fait que cette sorte
dâĂ©vĂ©nements demeure « en question » en ce qui me concerne. Il est certain que mon niveau dâimagination est certes aussi bon que celui de nâimporte quel « individu moyen » si je dois y avoir recours pour rĂ©soudre un problĂšme, mais aprĂšs avoir Ă©levĂ© cinq enfants, il y a dans ma tĂȘte peu de place pour des « vols imaginaires », mais beaucoup de place pour rester pratique et dĂ©couvrir ce qui se passe rĂ©ellement. Dans mon livre, Amazing Grace [8], jâai fait la chronique dâun certain nombre de mes propres trĂšs Ă©tranges expĂ©riences, mais je nâai jamais pensĂ© quâil pouvait sâagir dâ « extraterrestres ». JusquâĂ mes 41 ans je nâai jamais vu quoi que ce fut qui ressemblĂąt de prĂšs ou de loin Ă un OVNI et quand, Ă cette date tardive jâai vu quelque chose dâune extraordinaire configuration se comporter de maniĂšre bizarre, jâai immĂ©diatement tentĂ© dây trouver une excuse plausible pour pouvoir encore « dormir en paix ». Mais comme lâa dit HYNEK, il y a des choses pour lesquelles il nâexiste pas de solution de bon sens. Alors, quand toutes les voies dâidentification et dâexplications ont Ă©tĂ© passĂ©es en revue, lâindividu qui est « hantĂ© par la curiositĂ© » sâen va travailler sur le terrain, nâhĂ©site pas Ă se salir les mains dans les donnĂ©es « saignantes » et rĂ©alise quâil y a trĂšs certainement un signal, mĂȘme si câest un signal qui suggĂšre la prĂ©sence dâune intelligence si bizarre et Ă©trangĂšre Ă notre mode de pensĂ©e terrestre ordinaire, que nous sommes abasourdis par ce que cela implique. Ces implications peuvent dĂ©vaster notre sens de la sĂ©curitĂ©: il se pourrait que le phĂ©nomĂšne OVNI donne le signal dâun « domaine entiĂšrement inĂ©dit et complĂštement inexplorĂ© jusquâĂ ce jour, de connaissances de la Nature », aussi inexplorĂ© et aussi loin de notre imagination quâont pu lâĂȘtre les processus nuclĂ©aires il y a plus dâun siĂšcle. Câest en partie Ă cause de cet Ă©vĂ©nement que
jâai entrepris lâexpĂ©rience qui a eu pour rĂ©sultat les « Transmissions CassiopĂ©ennes ». Câest aprĂšs des recherches intenses, aprĂšs avoir Ă©tĂ© confrontĂ©e de maniĂšre rĂ©pĂ©tĂ©e au facteur de Grande ĂtrangetĂ©, que jâai clairement compris quelque chose dont parle Jacques VALLĂE dans lâarticle citĂ© ci-dessus: La disparitĂ© cognitive ou ProblĂšme dâIncommen-surabilitĂ© entre la culture humaine et la culture ET [9] garantit que cette derniĂšre mettra au point des techniques de communication autres que la radio. Il se peut que des cultures ET soient en train dâenvoyer vers la Terre des signaux « radio » et optiques, mais il se peut aussi quâelles soient en train dâenvoyer des signaux sous de nombreuse autres formes, comme des images holographiques, signaux psychiques ou autres reliĂ©s Ă la conscience, neutrinos modulĂ©s, « exploseurs » de rayons gamma, caustiques de lumiĂšre dâĂ©toiles en galeries de vers modulĂ©es, signaux gĂ©nĂ©rĂ©s par des techniques de lentilles gravitationnelles, rays X modulĂ©s, signaux quantiques tĂ©lĂ©portĂ©s, ou quelquâeffet de la thĂ©orie des champs quantiques, etc. [10] VALLĂE a parlĂ© de ces mĂȘmes questions dont mon mari, Arkadiusz JADCZYK, a parlĂ© dans son avant-propos au prĂ©sent livre. La majeure partie des matĂ©riaux inclus dans lâavant-propos ont Ă©tĂ© publiĂ©s longtemps avant que VALLĂE nâĂ©crive cet article, bien quâil semble probable que VALLĂE avait pris cette orientation depuis un certain temps dĂ©jĂ , ainsi que le dĂ©montre son livre Forbidden Science [11]. Dans lâĂpilogue, VALLĂE effleure la physique, les rĂ©alitĂ©s parallĂšles, lâhyperespace, etc.: La cosmologie reconnaĂźt Ă prĂ©sent la possibilitĂ©, et mĂȘme en fait lâinĂ©luctabilitĂ©, de la multiplicitĂ© des univers Ă plus de quatre dimensions. La communication et le voyage Ă
travers notre univers ne sont plus considĂ©rĂ©s comme absolument freinĂ©s par la vitesse de la lumiĂšre et une constante temporelle linĂ©aire. MĂȘme des voyages dans le passĂ© peuvent ĂȘtre envisagĂ©s sans nĂ©cessairement crĂ©er dâinsurmontables paradoxes. VoilĂ un progrĂšs terriblement excitant. Il ouvre une infinitĂ© de nouveaux mondes Ă lâentreprise thĂ©orique et expĂ©rimentale. Il poursuit: Si nous regardons le monde dâun point de vue informationnel, et si nous considĂ©rons les nombreuses maniĂšres complexes dont le temps et lâespace peuvent ĂȘtre configurĂ©s, lâancienne idĂ©e des voyages spatiaux et des vaisseaux interplanĂ©taires Ă laquelle se cramponnent encore la plupart des technologues apparaĂźt non seulement comme obsolĂšte, mais encore absurde. En fait, la physique moderne lâa dĂ©jĂ dĂ©passĂ©e en proposant une interprĂ©tation trĂšs diffĂ©rente de ce quâun systĂšme « extraterrestre » pourrait offrir comme apparence. Enfin, il ajoute: Pendant un certain temps, des amis Ă©clairĂ©s ont insistĂ© pour que je remise mes recherches dans les coulisses. Jâai lâintention de suivre leur avis. Il ne mâest pas possible de justifier une association prolongĂ©e avec le monde des Ă©tudes OVNIs tel quâil est prĂ©sentĂ© au public de nos jours. En outre, je suis quasiment convaincu que ce phĂ©nomĂšne prĂ©sente une structure bien diffĂ©rente quand il nâest pas tenu compte des querelles de clocher qui dĂ©figurent le dĂ©bat. rendant confuses les questions dignes de recherche qui mâintĂ©ressent. Les questions scientifiques vraiment importantes sont ailleurs. [12] Il est vrai, sans doute, que le Dr. HYNEK, le Dr. VALLĂE, et mon Ă©poux, le Dr. JADCZYK, travaillent depuis des annĂ©es dans la ligne de ces idĂ©es; cependant, ce qui est fabuleux, câest que les Communications CassiopĂ©ennes â avec
moi-mĂȘme dans le futur â ont discutĂ© des mĂȘmes choses et avec beaucoup de dĂ©tails avec moi, une profane dont lâintĂ©rĂȘt premier Ă©tait de dĂ©couvrir pourquoi le monde est comme il est, et quel y est le rĂŽle de lâhumanitĂ©. Certes, câest souvent le mĂȘme moteur qui pousse les scientifiques (ceux qui font de la « bonne science » avec un esprit ouvert) mais les rĂ©sultats sont nĂ©cessairement diffĂ©rents sâils proviennent la plupart du temps des efforts de profanes. Cependant, dans mon propre cas les rĂ©sultats ont Ă©tĂ© trĂšs similaires : des thĂ©ories scientifiques et des concepts dâĂ©largissement du mental concernant un « domaine entiĂšrement neuf de connaissances de la Nature ». VoilĂ le cadeau fait par les CassiopĂ©ens. En mĂȘme temps, les transmissions cassiopĂ©ennes sont trĂšs proches des concepts philosophiques sur lesquels sont basĂ©s certains enseignements Ă©sotĂ©riques, en particulier ceux des Soufis et les idĂ©es proposĂ©es par Georges GURDJIEFF et Boris MOURAVIEFF. Ces deux derniers affirment quâils prĂ©sentent ce quâils nomment « le christianisme Ă©sotĂ©rique ». Ce que jâai dĂ©couvert au fil de mes propres recherches câest que ce christianisme Ă©sotĂ©rique ressemble beaucoup Ă lâarchaĂŻque chamanisme sibĂ©rien, des restes dĂ©gradĂ©s de ce qui doit avoir Ă©tĂ© la religion des peuples du nord (les constructeurs de mĂ©galithes) aux temps prĂ©historiques. Jâai suivi les traces de ces dĂ©veloppements et signalĂ© tous les indices dans mon livre LâHistoire SecrĂšte du Monde. La maniĂšre dont nous voyons notre monde et notre place dans celui-ci dĂ©pend entiĂšrement de ce que nous savons Ă propos de ce qui a eu lieu dans le passĂ©. Ce qui est devenu de plus en plus apparent Ă mesure que je poursuivais mes recherches, câest que lâauthentique histoire de lâHomme a Ă©tĂ© si dĂ©formĂ©e par la culture officielle quâil est devenu pratiquement impossible pour lâhomme moyen de comprendre pourquoi le
monde est comme il est, et quel rĂŽle lâhumanitĂ© pourrait jouer dans le Grand Dessein. En suivant Ă la trace les processus de lâHistoire jâai eu lâinconfortable impression quâil y avait lĂ une sorte de « stencil » qui ne pouvait ĂȘtre le fait dâune conspiration humaine. Jusquâau moment oĂč mon esprit sâest ouvert Ă la possibilitĂ© dâune interaction possible dâĂȘtres venus « dâailleurs » avec lâhumanitĂ©, et oĂč jâai pu apercevoir les nombreuses implications de ces idĂ©es (en particulier les boucles temporelles et les univers alternatifs) rien dans lâHistoire de la race humaine ne me paraissait avoir de sens. Sans aucun doute, les historiens spĂ©cialistes de lâantiquitĂ© se trouvent en permanence devant deux problĂšmes: la raretĂ© des tĂ©moignages archĂ©ologiques, et comment adapter les tĂ©moignages archĂ©ologiques dont on dispose dans le contexte plus large dâautres tĂ©moignages, sans compter le contexte des pĂ©riodes auxquelles ils appartiennent. TrĂšs souvent, les historiens sont obligĂ©s de recourir Ă ce quâon pourrait qualifier de « mĂ©thode autorisĂ©e » pour dĂ©cider quel tĂ©moignage est plus valable quâun autre. Par exemple, la majoritĂ© de ce que nous savons des temps anciens nous vient des polĂ©miques mises par Ă©crit par des adversaires dâun groupe ou dâune idĂ©e en particulier. Ces polĂ©miques ont survĂ©cu parce quâelles ont Ă©tĂ© mises en exergue par des gouvernants ou des conquĂ©rants dâĂ©lite, alors que les « connaissances intĂ©rieures » du groupe en question ont Ă©tĂ© perdues dĂ©truites peut-ĂȘtre en mĂȘme temps que leurs documents. A cet Ă©gard, il est beaucoup plus facile de rĂ©futer que de confirmer. Des diffĂ©rences dans la prĂ©sentation dâun Ă©vĂ©nement peuvent ĂȘtre aussi rĂ©vĂ©latrices quâune nouvelle dĂ©couverte. Heureusement, lâHistoire ancienne nâest pas statique dans le sens oĂč nous saurions tout ce quâil y a Ă savoir
simplement parce que le sujet se rapporte au passĂ©. Par exemple, la comprĂ©hension du passĂ© par nos propres parents et grands-parents est nĂ©cessairement plus limitĂ©e que la nĂŽtre, Ă©tant donnĂ© que beaucoup plus de matĂ©riaux ont Ă©tĂ© dĂ©couverts en lâespace de deux ou trois gĂ©nĂ©rations grĂące aux progrĂšs de lâarchĂ©ologie et des autres sciences Ă©tudiant lâHistoire. Mais le plus important dans ce processus câest la possibilitĂ© de manipulation des faits. Si lâon juge lâHistoire sur base dâune sorte de « mĂ©thode autorisĂ©e » il devient crucial de savoir qui est susceptible de dire la vĂ©ritĂ©, qui est susceptible de la cacher. Souvent, la seule maniĂšre de le dĂ©terminer est de se rĂ©fĂ©rer Ă ce que Georges DUMĂZIL a appelĂ© la « ligne de force ». Lorsque nous avons dĂ©cortiquĂ© un texte et que nous nous sommes assurĂ©s autant que possible de la pertinence approximative de chacun de ses Ă©lĂ©ments, il reste encore une question essentielle: vers quoi tend le tout ? Quelles sont les lignes de force qui traversent le champ idĂ©ologique dans lequel les dĂ©tails sont placĂ©s ? Câest lĂ que, souvent, entre en scĂšne la religion, qui agit comme la lorgnette avec laquelle nous regardons le passĂ© et comme lâĂ©chelle dâaprĂšs laquelle nous estimons les mĂ©rites du tĂ©moignage. En ce qui concerne les religions, et plus particuliĂšrement celles qui sont dominantes dans le monde dâaujourdâhui, comme le christianisme nĂ© du judaĂŻsme, on ne dira jamais assez lâimportance dâune Ă©tude sĂ©rieuse et approfondie. Nous ne pouvons ignorer la question de savoir si oui ou non le christianisme, lâislam et le judaĂŻsme et sont authentiques; et sâils ne le sont pas, alors pourquoi se sont-ils rĂ©pandus et ont-ils persistĂ© ? Et sâils ne sont pas authentiques alors il nous faut leur trouver une rĂ©ponse adĂ©quate. Ainsi que le savent de nombreux lecteurs rĂ©guliers de notre site Web, depuis quasiment le premier jour de la publication du matĂ©riel
cassiopĂ©en, nous avons Ă©tĂ© accusĂ©s dâĂȘtre un « culte ». Jâai eu bien du mal Ă lutter parce que toutes ces accusations Ă©taient des mensonges et chacune dâentre elles avait Ă©tĂ© lancĂ©e par des individus qui Ă©taient eux rĂ©ellement membres de cultes, et de cultes parfois trĂšs effrayants. Le « Petit Robert » donne les dĂ©finitions suivantes du « culte »: 1. hommage religieux rendu Ă la divinitĂ© ou Ă un saint. 2. pratiques rĂ©glĂ©es par une religion pour rendre hommage Ă la divinitĂ© 3. service religieux protestant 4. adoration mĂȘlĂ©e de vĂ©nĂ©ration pour quelquâun ou quelque chose. Il est clair que les descriptions ci-dessus peuvent aisĂ©ment sâappliquer Ă nâimporte laquelle des religions organisĂ©es qui existent de nos jours. Le bouddhisme, le christianisme, lâislam et le judaĂŻsme (et dâautres encore) sont fondĂ©s essentiellement sur le rituel et « lâadoration mĂȘlĂ©e de vĂ©nĂ©ration pour quelquâun ou quelque chose ». MalgrĂ© quoi, ils ne sont ordinairement pas qualifiĂ©s de « cultes ». Dans son acception moderne et large, le terme de culte est rĂ©servĂ© Ă tout groupe fondĂ© sur une structure hiĂ©rarchisĂ©e, oĂč existe une certaine forme de coercition ou de manipulation des membres. En gĂ©nĂ©ral, il y a aussi un pĂŽle de focalisation de vĂ©nĂ©ration, parfois le ou les leader(s) du groupement en question, ou bien une figure extĂ©rieure comme JĂ©sus, JĂ©hovah/YahvĂ©, Allah ou bien encore la Reine des FĂ©esâŠ.. Le problĂšme de la justification dâune vĂ©nĂ©ration ou dâune allĂ©geance (câest-Ă -dire la coercition et la manipulation) est ordinairement liĂ© aux bĂ©nĂ©fices perçus, annoncĂ©s ou potentiels dĂ©rivĂ©s de la croyance, de la vĂ©nĂ©ration ou de lâallĂ©geance. Autrement dit, des promesses sont faites, annonçant des rĂ©compenses cĂ©lestes impossibles Ă dĂ©montrer ou prouver (personne nâest encore revenu pour nous affirmer
que le ciel existe, et il nây en a aucune preuve), promesses de survivance aprĂšs la fin du monde (ĂȘtre parmi les « Ălus »), promesses de houris apportant du vin aux martyrs en paradis. Et toutes ces promesses se trouvent parmi celles faites par les « cultes » principaux qui dominent notre monde: le christianisme, lâislam et le judaĂŻsme. En ce qui nous concerne, nous adoptons lâapproche dâune sorte de mysticisme scientifique, oĂč les affirmations mystiques sont soumises Ă lâanalyse rationnelle et soumises Ă Ă©preuve, et les preuves scientifiques requises sont modifiĂ©es de maniĂšre Ă laisser de la place Ă la nature des preuves en provenance de mondes autres que le nĂŽtre, faisant lâobjet de thĂ©ories et oĂč ne sâappliquent peut-ĂȘtre pas les preuves scientifiques ordinaires. Et malgrĂ© cela, nous continuons Ă ĂȘtre qualifiĂ©s de « culte » et Ă ĂȘtre traĂźnĂ©s dans la boue parce que les accusations continuent Ă affluer. Au dĂ©but, il mâa Ă©tĂ© trĂšs difficile de comprendre pourquoi; aprĂšs tout, jâĂ©tais seulement une mĂšre de cinq enfants qui avait pour hobby de publier les rĂ©sultats de ses Ă©tudes sur lâInternet, et on pourrait croire que cela est permis en dĂ©mocratie, mais il est rapidement devenu Ă©vident quâil existe sur cette planĂšte certains groupes assez puissants qui doivent mourir de peur devant cette mĂ©nagĂšre ordinaire, comme le prouvent le nombre extraordinaire de tentatives de me faire taire ! Jusquâici, quand nous parvenons Ă remonter Ă lâorigine et aux connexions de nos accusateurs, nous nous trouvons gĂ©nĂ©ralement devant de puissants organismes chrĂ©tiens ou juifs ayant des liens avec des gouvernements ou des organisations militaires, qui ont tout intĂ©rĂȘt Ă conserver la mainmise, par le contrĂŽle des cultes, sur lâesprit des gens. Jusquâici, aucun
groupe islamique ne nous a placĂ©s dans son collimateur, mais câest seulement parce que nous avons soulignĂ© que les musulmans sont des « tĂȘtes de turcs » dans ce carrousel. Le fait est, en ce qui me concerne, que lâislam, religion monothĂ©iste qui se focalise sur un « objet de vĂ©nĂ©ration » ne vaut pas mieux que le christianisme ou le judaĂŻsme. Historiquement parlant, tous les trois ont toujours Ă©tĂ© des cultes abominablement violents et sanglants. Ce qui se passe actuellement au Moyen-Orient, ce conflit qui menace de faire sauter la planĂšte tout entiĂšre (et si vous ne pensez pas que câest bien le cas, alors câest que vous nâavez pas Ă©tĂ© attentifs !), nâest pas autre chose que le prolongement de cette absurditĂ© cultuelle commencĂ©e il y a plus de deux mille ans. La foi qui peut faire « dĂ©placer des montagnes » est encouragĂ©e par les cultes ou religions monothĂ©istes standard, comme Ă©tant la chose que le « fidĂšle » doit nĂ©cessairement cultiver sâil veut recevoir les bienfaits promis par sa hiĂ©rarchie. Lâexemple dâAbraham prĂȘt Ă sacrifier son fils Isaac a Ă©tĂ© citĂ© un nombre incalculable de fois depuis des Ăąges comme Ă©tant le modĂšle suprĂȘme du rapprochement avec la « divinitĂ© ». Il faut ĂȘtre prĂȘt Ă donner tout et nâimporte quoi Ă cette divinitĂ© ! La foi est un article essentiel du « pacte » conclu avec la divinitĂ©, une sorte de contrat commercial si lâon peut dire. Le rĂ©cit du presque sacrifice dâAbraham dans la Bible est en fait pratiquement identique au rĂ©cit vĂ©dique de Manou. Ces actes de sacrifice sont basĂ©s sur le sraddha, terme qui se rapporte aux mots fides, credo, faith, foi, etc. DâaprĂšs les historiens des religions DUMĂZIL et LĂVI, le mot sraddha a Ă©tĂ© trop vite traduit par « foi » dans le sens chrĂ©tien du terme. En fait, il qualifie quelque chose comme la confiance que met lâartisan dans ses outils pour former ou crĂ©er de la rĂ©alitĂ©; et en fait dâoutils, les techniques de sacrifice sont
semblables Ă des actes de magie ! DĂšs lors, une « foi » de cette sorte fait partie dâun « pacte » dans lequel le sacrificateur sait comment accomplir correctement un sacrifice; il sait aussi que si le sacrifice est accompli correctement il doit produire des effets. Bref, câest un acte destinĂ© Ă obtenir le contrĂŽle des forces de la vie qui rĂ©sident dans la divinitĂ© avec laquelle le pacte a Ă©tĂ© conclu. Ces divinitĂ©s qui font des pactes ne sont pas des « ornements littĂ©raires » ou des abstractions. Ce sont des partenaires actifs dotĂ©s dâintelligence, de force, de passion, et dâune tendance Ă devenir incontrĂŽlables si les sacrifices ne sont pas accomplis correctement. En ce sens, le sacrifice - la « foi » â est tout simplement de la magie noire. Dans un autre sens, lâascĂšte ou auto-sacrificateur, est une personne qui sâefforce de se libĂ©rer des lois et liens de la Nature par des actes de mortification de soi, de la chair; il met Ă lâĂ©preuve et renforce sa volontĂ© de conquĂ©rir des puissances tyranniques tout en Ă©tant encore de ce monde. Mais ici aussi nous voyons que par le sacrifice de soi, il ou elle cherche Ă obtenir la maĂźtrise de divinitĂ©s. Cela est en fait de la manipulation et de la coercition extrĂȘmement subtiles destinĂ©es Ă faire considĂ©rer la « foi » comme un moyen dâobtenir le salut. Ce qui fait penser quâil en va bien ainsi, câest que ce sont en gĂ©nĂ©ral des individus «privĂ©s de droits» ou qui se sentent dĂ©semparĂ©s devant les forces de la vie â que celles-ci se manifestent au travers dâautres personnes ou dâĂ©vĂ©nements au hasard â qui sont le plus susceptible de rechercher cette foi, ce pacte avec une divinitĂ©. Ils ressentent leur propre incapacitĂ© Ă avoir un effet sur le monde, et tournent leur crĂ©ativitĂ© vers lâintĂ©rieur pour crĂ©er et conserver leur «foi» subjective en opposition avec la rĂ©alitĂ© objective.
Ce quâil est crucial de comprendre ici câest que les fondamentalistes de tout poil abandonnent en fait leur volontĂ© en Ă©change de bienfaits promis. Ce libre-arbitre est leur propre puissance de crĂ©ativitĂ©, leur propre possibilitĂ© de croissance et de dĂ©veloppement, qui ne peut ĂȘtre commuĂ©e et sâĂ©tendre dans un processus dâincertitude, en prenant des risques, et en faisant des Ă©changes libres et de plein grĂ© avec dâautres qui nâincluent ni domination ni manipulation. « Lâabsolue certitude » des fondamentalistes les enferme dans lâentropie, et leur Ă©nergie crĂ©atrice sâen va nourrir un vaste systĂšme dâillusions. Ces systĂšmes sont la crĂ©ation et la conservation des idoles quâils vĂ©nĂšrent. Tel le schizophrĂšne paranoĂŻaque, ils inventent des systĂšmes baroques et ingĂ©nieux de perception et affirment quâils sont « donnĂ©s par dieu ». Ils dĂ©pensent ensuite des quantitĂ©s Ă©normes dâĂ©nergie, « ajustant » toutes les impressions qui vont Ă lâencontre de leur systĂšme dâillusion. Une autre facette de « lâHomme qui doit avoir Raison » et qui se manifeste dans les croyances religieuses est que les fondamentalistes mĂ©prisent ceux qui ne partagent pas leur foi. Il sâagit, Ă la racine, dâun systĂšme « Nous vs. Eux » qui concentre de maniĂšre si rigide des prĂ©jugĂ©s inĂ©branlables sur des « bĂ©nĂ©fices futurs » que leurs adhĂ©rents perdent tout simplement la conscience de lâici et maintenant. Les fondamentalistes sâintĂ©ressent plus aux dogmes quâaux actions du moment. Il est pour eux extrĂȘmement important de faire en sorte que leurs prochains croient Ă leurs illusions afin que leur lĂ©gitimitĂ© soit confirmĂ©e, mĂȘme si en surface ils affirment que « tout le monde a le droit dâavoir sa propre opinion ». Le fait est quâils sont incapables de tolĂ©rer aucune opinion diffĂ©rente de la leur, parce quâelle menacerait leur « vĂ©ritĂ© ». Cette lĂ©gitimitĂ© doit ĂȘtre maintenue Ă tout prix parce
que, tout au fond de lui-mĂȘme « lâhomme (ou la femme) qui a raison» combat en gĂ©nĂ©ral lâhorreur de sa propre impuissance. Leur droiture est une digue qui retient leurs pires craintes: quâils sont en fait perdus et seuls, quâil nây a en rĂ©alitĂ© pas de divinitĂ©, car comment pourrait-il y avoir un dieu qui les aime alors quâils passent par tant de souffrances ? Leur impossibilitĂ© de se sentir vraiment aimĂ©s et acceptĂ©s est comme un cauchemar dont ils ne parviennent pas Ă sâĂ©veiller. La Foi. VoilĂ sur quoi sâappuie un « leader charismatique » pour engager ses adeptes Ă la violence contre dâautres ĂȘtres humains. Cette foi peut ĂȘtre induite par des manipulations et promesses de rĂ©compenses paradisiaques ou autres, cette « lĂ©gitimitĂ© » des vues, de son dieu et de ce que ce dieu est supposĂ© rĂ©vĂ©ler au leader; et cela peut ensuite ĂȘtre utilisĂ© pour manipuler dâautres personnes. Il semble donc que lâobligation dâune foi et dâune vĂ©nĂ©ration pour des sujets cultuels tels Allah, JĂ©hovah, JĂ©sus, ou YahvĂ© soit le moyen par lequel les ĂȘtres humains peuvent ĂȘtre amenĂ©s Ă commettre des atrocitĂ©s sur dâautres ĂȘtres humains. Nous voyons que lâimage dâAbraham prĂȘt Ă sacrifier son propre fils nâest pas si extraordinaire aprĂšs tout. Elle ne fait que symboliser une sorte dâobĂ©issance aveugle aux ordres de quelquâun ou quelque chose qui se trouve « quelque part », et qui nâa manifestement pas Ă coeur le meilleur intĂ©rĂȘt de lâhumanitĂ©. Nous percevons dans lâacceptation dâAbraham de sacrifier son fils, la terreur dâhomme juste de CaĂŻn qui a tuĂ© son frĂšre parce que son sacrifice nâa pas Ă©tĂ© acceptĂ©. Un dieu qui choisit et prend un sacrifice qui est « suffisamment bon » (en semant la zizanie entre frĂšres) est sans conteste un « dieu
jaloux » et un tel dieu est un psychopathe. La base fondamentale du christianisme â transmise directement par le judaĂŻsme â est celle du pĂ©chĂ©. Lâhistoire du pĂ©chĂ©, de ce point de vue, est lâhistoire de son triomphe. La prise de conscience de la nature du pĂ©chĂ© a abouti Ă une industrie de dĂ©veloppement dâagences et techniques destinĂ©es Ă sâen occuper. Ces agences sont devenues des centres de puissance Ă©conomique et militaire tels que nous les connaissons actuellement. La promotion des idĂ©aux du judaĂŻsme sous une mince couche de couleur « nouvelle Alliance » a changĂ© la maniĂšre dont les hommes et les femmes interagissent mutuellement. Elle a changĂ© lâattitude envers lâunique certitude de la vie: la mort. Elle a changĂ© le degrĂ© de libertĂ© quâavaient les gens de choisir ce quâils voulaient penser et croire. Les paĂŻens sâĂ©taient montrĂ©s intolĂ©rants envers juifs et chrĂ©tiens, dont les religions ne tolĂ©raient dâautres dieux que les leurs. La montĂ©e de la domination du christianisme a fait naĂźtre un conflit encore plus aigu entre les religions, et lâintolĂ©rance religieuse est devenue la norme et non plus lâexception. Le christianisme a Ă©galement suscitĂ© la coercition ouverte de la croyance religieuse. On pourrait mĂȘme dire que, selon la dĂ©finition moderne du culte, câest-Ă -dire un groupe qui a recours Ă la manipulation et le contrĂŽle de lâesprit pour induire la vĂ©nĂ©ration, le christianisme est le pĂšre de tous les Cultes, au service des idĂ©aux fascistes et misogynes du judaĂŻsme ! La montĂ©e de la hiĂ©rarchie chrĂ©tienne des Ages Sombres a promptement permis de mobiliser des forces militaires contre ceux qui croyaient en dâautres dieux et tout autant contre dâautres chrĂ©tiens qui pratiquaient des systĂšmes
de croyances religieuses moins fascistes Ceci a probablement Ă©tĂ© vrai pour les chrĂ©tiens dâorigine et les enseignements dâorigine. Le passage par le monde occidental du PaĂŻen au ChrĂ©tien a en fait changĂ© la maniĂšre dont les gens se voyaient eux-mĂȘmes, et leurs interactions avec leur rĂ©alitĂ©. Et aujourdâhui nous vivons les fruits de ces changements: une guerre sans fin. Ce qui nous ramĂšne au SystĂšme de contrĂŽle de notre rĂ©alitĂ©: âŠun phĂ©nomĂšne global⊠. Câest un phĂ©nomĂšne si insolite et Ă©tranger Ă notre mode de pensĂ©e terrestre quotidien. [âŠ]⊠il porte en lui de nombreuses implications de lâexistence dâintelligences autres que la nĂŽtre ⊠[Il] tĂ©moigne dâactes dâune certaine forme dâintelligence⊠mais dâoĂč provient cette intelligence, si elle vraiment extraterrestre ou si elle tĂ©moigne dâune rĂ©alitĂ© supĂ©rieure non encore reconnue par la science, ou si elle est dâune certaine maniĂšre une Ă©trange manifestation psychique Ă©manant de notre propre intelligence, voilĂ la question ⊠[âŠ] Il est en effet inquiĂ©tant et malgrĂ© tout passionnant de penser que le phĂ©nomĂšne OVNI tout entier peut ne reprĂ©senter que le proverbial sommet de lâiceberg et recouvrir un domaine entiĂšrement nouveau, complĂštement inexplorĂ© jusquâici, de connaissances de la nature, domaine aussi peu explorĂ© et imaginĂ© que lâa Ă©tĂ© le processus nuclĂ©aire il y a plus dâun siĂšcle. Câest ce « domaine entiĂšrement nouveau de connaissances de la nature » qui a enclenchĂ© les transmissions cassiopĂ©ennes. Câest la nature de ce domaine qui fait lâobjet de leurs communications sur les « aliens », les enlĂšvements par des extraterrestres, les rĂ©alitĂ©s hyperdimensionnelles et autres
sujets apparentĂ©s. VoilĂ la substance du livre que vous avez entre les mains en ce moment. Ce livre est divisĂ© en quatre parties. Certaines sections sont extraites de deux de mes livres prĂ©cĂ©dents afin de donner un aperçu aussi complet que possible de la question. La premiĂšre partie est destinĂ©e Ă eux qui nâont pas eu lâoccasion de lire ma biographie, Amazing Grace [13]. Elle comprend une version condensĂ©e des Ă©vĂ©nements qui ont abouti aux communications cassiopĂ©ennes, de ceux qui se sont produits pendant les premiers jours de celles-ci, et qui sont les rĂ©sultats de nos expĂ©riences en Communication Supraluminique [14]. Ces Ă©vĂ©nements ont Ă©tĂ© en rapport direct avec le sujet des OVNIs et extraterrestres, et nous allions dĂ©couvrir que, dans notre monde, il y a bien peu de choses qui ne mĂšnent pas, en fin de compte Ă ce nouveau domaine de connaissances des processus de la Nature. La deuxiĂšme partie prĂ©sente une sĂ©rie dâarticles publiĂ©s Ă lâorigine sur notre site Web, www.cassiopaea.org, mais qui, par la suite, en ont Ă©tĂ© enlevĂ©s lorsque nous avons compris que toute tentative de discussion de ces sujets de maniĂšre rationnelle et scientifique est condamnĂ©e dâavance Ă cause des sujets traitĂ©s dans la troisiĂšme partie de cet ouvrage, câest-Ă -dire le: COINTELPRO et la dĂ©sinformation. Quant Ă la quatriĂšme partie, â des matĂ©riaux extraits de mon livre LâHistoire SecrĂšte du Monde â elle contient ce que jâai appris grĂące Ă un travail acharnĂ©, bien que, certainement, je doive avoir reçu une initiation directe Ă des Connaissances SupĂ©rieures grĂące Ă un trĂšs ancien systĂšme de communication par Indices Cabalistiques transmis pas « Nous dans le Futur »: « le prĂ©sent du PrĂ©sent ». Laura Knight Jadczyk,
Août 2004
NOTES
[1]: High Strangeness (NdT) [2]: Retranscription libre en lâabsence du texte original (NdT) [3]: The Emerging Picture of the UFO Problem (NdT) [4]: Close Encounters (NdT) [5]: LâexpĂ©rience OVNI: une Ă©tude scientifique (NdT) [6]: Unidentified Aerial Phenomena [7]: Incommensurability, Orthodoxy and the Physics of High Strangeness: A 6-layer Model for Anomalous Phenomena: Jacques F. VALLĂE and Eric W. DAVIS , National Institute for Discovery Science , Las Vegas, Nevada [8]: GrĂące Fabuleuse (NdT) [9]: Extraterrestre [10]: Ibid. [11]: Science interdite (NdT) [12]: Jacques VALLĂE, Forbidden Science, ISBN: 1556431252, Publisher: North Atlantic Books (August, 1992) [13]: GrĂące Fabuleuse [14]: Plus rapide que la lumiĂšre (NdT)
PREMIĂRE PARTIE
CHAPITRE I
Il est indubitable que jâai fait dans ma vie un certain nombre dâexpĂ©riences de « Grande ĂtrangetĂ© » qui ont pu sembler extraites de scĂ©narios devenus populaires « dâinteractions avec des extraterrestres ». Bien que je sache que certains se glorifient dâavoir des rapports avec des « intelligences venues dâailleurs », je ne suis pas de ceux-lĂ et je nâai jamais Ă©tĂ© prĂ©parĂ©e Ă accepter des explications de ce genre quand je pouvais en trouver dâautres qui sâadaptaient mieux aux donnĂ©es factuelles. AprĂšs toutes ces annĂ©es dâĂ©tudes et de recherches, je ne suis toujours pas convaincue que les interprĂ©tations populaires soient le moins du monde correctes. Cependant, je traiterai sĂ©parĂ©ment de ces questions Ă la fin de ce recueil dâarticles. Ce qui sâest passĂ© en fait, câest quâau dĂ©but de lâannĂ©e 1985 le « Facteur de Grande ĂtrangetĂ© » est montĂ© de quelques crans dans ma vie. Ma grand-mĂšre est morte en 1984 et il mâa fallu des annĂ©es avant de pouvoir articuler ce qui sâest passĂ© en moi Ă cette Ă©poque. RĂ©trospectivement, je dois admettre que la mort de ma grand-mĂšre a Ă©tĂ© un cadeau car elle mâa donnĂ© le coup de pouce qui mâa permis de me poser des questions profondes et brĂ»lantes. Jâavais alors 32 ans, et ma grand-mĂšre avait toujours Ă©tĂ© omniprĂ©sente dans ma vie. Ce que jâai pu observer en moi pendant ces annĂ©es de chagrin mâa fait tirer un certain nombre
de conclusions. Il semble quâaprĂšs un certain temps, mĂȘme si une perte est ressentie trĂšs intensĂ©ment et profondĂ©ment, lâon sâhabitue peu Ă peu Ă ne plus entendre une certaine voix, Ă ne plus voir un visage aimĂ© qui Ă©tait vu quotidiennement, et une nouvelle « histoire » devient une nouvelle maniĂšre dâĂȘtre; la perte nâest plus ressentie de maniĂšre aussi aigue. Cette nouvelle « habitude » devient la rĂ©alitĂ©, comme si lâunivers dâĂ prĂ©sent nâĂ©tait plus le mĂȘme quâavant, du temps oĂč lâĂȘtre aimĂ© Ă©tait lĂ . Mais alors on peut se demander ce qui arrive Ă lâamour entre des personnes quand lâune dâentre elles meurt ? OĂč sâen va-t-il ? MĂȘme si la rĂ©alitĂ© est nouvelle, est-ce que cela signifie que lâancienne rĂ©alitĂ© a complĂštement cessĂ© dâexister ? Comment se peut-il quâun tel lien, un lien supposĂ© exister en termes de noumĂšnes platoniques et cependant manifestĂ© dans la rĂ©alitĂ© physique, semble soudainement disparaĂźtre quand le corps physique est mis au tombeau ? Pourquoi ce terrible voile qui barre lâaccĂšs Ă la certitude dâautres rĂ©alitĂ©s ? Le concept dâune chaise ou dâune pomme ou de nâimporte quel objet concret semble ĂȘtre la seule chose durable Ă ce sujet car la chose vient Ă exister, existe pendant une certaine pĂ©riode, puis quitte lâexistence. Quâen est il dâabstractions telles que lâAmour ? Est-ce que lâamour nâest plus « rĂ©el », comme un objet physique nâest plus « rĂ©el » parce que lâĂ©change dynamique - la pĂ©riode de son existence dans la rĂ©alitĂ© - est terminĂ© ? Une partie de moi Ă©prouvait de la rage Ă cette idĂ©e. Non ! Lâamour et la gentillesse, qui nâexistent quâen idĂ©e doivent ĂȘtre plus rĂ©els dans quelque monde abstrait Mais nous nây avons pas accĂšs. Quand la dynamique dans laquelle ces abstractions existent « matĂ©riellement» cesse dâĂȘtre active, que devient-elle ? Dans quel univers ce monde dâidĂ©es engendrĂ©es - matĂ©rielles ou abstraites - existe-t-il ?
Mes idĂ©es Ă©taient trĂšs simples: ma grand-mĂšre est morte, comment puis-je ĂȘtre sĂ»re quâelle mâaime encore ? Que dois-je faire de lâamour que jâai Ă lui donner ? Quel est le vĂ©hicule des Ă©changes ? Tout est-il terminĂ© ? Nây a-t-il plus rien ? Si câest ainsi, Ă quoi tout cela sert-il que diable ? Les rĂ©ponses donnĂ©es par le christianisme dans lequel jâai grandi mâont alors soudain paru, non seulement insatisfaisantes mais encore des insultes Ă la mĂ©moire de ma grand-mĂšre et aux liens qui nous attachaient lâune Ă lâautre. Les idĂ©es de spiritualitĂ© et de rĂ©incarnation mâaidaient bien peu. Pour moi, il nây avait aucune preuve. Il existait des tas dâĂ©vidences circonstancielles ou anecdotiques, ainsi que des conjectures. Mais il y avait aussi un autre aspect Ă ces Ă©vidences : elles Ă©taient considĂ©rĂ©es soit comme psychologiquement malsaines, soit comme des illusions sataniques destinĂ©es Ă nous Ă©garer, selon quâon sâadressait Ă un scientifique ou Ă un homme dâĂglise. Mais la question demeurait. Dans quel but lâamour est-il engendrĂ© et oĂč sâen va-t-il quand lâinteraction dynamique qui a lieu dans cette rĂ©alitĂ©-ci cesse dâexister ? Il est facile dâaffirmer que lâamour ne meurt jamais et quâil continue Ă exister entre nous et nos chers disparus qui se trouvent sur quelque plan astral ou endroit oĂč vont les morts; ou bien que nous serons rĂ©unis avec eux lors dâune rĂ©surrection de la fin des temps. Je ne me satisfaisais pas de « Le Seigneur donne, le Seigneur reprend, bĂ©ni soit le seigneur ». Ou pire encore : « Les voies du Seigneur sont impĂ©nĂ©trables ». Et il ne pouvait pas ĂȘtre question pour moi dâassister Ă une sĂ©ance de spiritisme pour pouvoir parler avec ma grand-mĂšre. Tenter de la faire revenir par ce moyen me semblait blasphĂ©matoire par rapport Ă lâamour que jâavais eu pour elle et câĂ©tait bien pire
que lâidĂ©e quâelle Ă©tait perdue pour moi jusquâau temps final de la rĂ©surrection. JâĂ©tais enceinte quand ma grand-mĂšre est morte et le bĂ©bĂ© est nĂ© au printemps 1985. Ătant donnĂ© les dommages que jâai subis pendant lâaccouchement, jâai dĂ» garder le lit durant de nombreux mois. Puisque jâĂ©tais devenue incapable de participer activement Ă rien physiquement, je fus forcĂ©e de trouver dâautres moyens dâĂ©vacuer mon Ă©nergie. Je dĂ©cidai que cette pĂ©riode serait idĂ©ale non seulement pour rattraper mon retard de lecture, mais aussi pour arriver Ă maĂźtriser lâart de la mĂ©ditation, ce qui pourrait mâaider dans mon enquĂȘte sur la Vie Ăternelle. Plusieurs annĂ©es auparavant jâavais trouvĂ© sur la table des « occasions » dâune librairie, un livre intitulĂ© In Search of the Miraculous Ă©crit par P. D. OUSPENSKY. Le texte de couverture disait ceci: « Lâauteur bien connu de Tertium Organum combine la logique du mathĂ©maticien Ă la vision dâun mystique dans sa quĂȘte de solutions aux problĂšmes de lâHomme face Ă lâUnivers ». Puisque câĂ©tait une occasion et que ce livre promettait de rĂ©vĂ©ler des secrets sur notre monde, jâen fis bien sĂ»r lâacquisition sur-le-champ. De retour Ă la maison jâessayai de le lire, mais comme il Ă©tait plutĂŽt « aride », jâen abandonnai la lecture. Il Ă©tait restĂ© sur son Ă©tagĂšre depuis lors. Mais Ă prĂ©sent que jâĂ©tais forcĂ©e de rester au lit, la porte Ă©tait grande ouverte Ă la lecture Ă volontĂ©. En ce sens, ce fut une bĂ©nĂ©diction. Je me suis donc souvenue de ce livre que jâavais mis de cĂŽtĂ©. Et jâai pensĂ© que le temps passĂ© Ă lire un livre qui promettait dâanalyser prĂ©cisĂ©ment les questions avec lesquelles je me battais, mĂȘme sâil Ă©tait dur Ă lire serait du temps bien utilisĂ©, surtout Ă dĂ©faut de pouvoir faire autre chose ! Je demandai quâon me lâapporte, il fut trouvĂ© et
apportĂ©. Jâai trĂšs vite rĂ©alisĂ© que ce livre devait ĂȘtre placĂ© en tĂȘte des livres mis « Ă lâindex » par les aĂźnĂ©s de lâĂglise, mais je nâen avais cure. Au vu de mes expĂ©riences avec lâĂglise depuis quelques annĂ©es, ses enseignements baissaient rapidement par rapport aux normes qui auraient dĂ» ĂȘtre suivies pour mesurer la rĂ©alitĂ©. JâĂ©tais toujours sur mes gardes en ce qui concernait les «idĂ©es mauvaises», mais jâĂ©tais certaine de pouvoir filtrer tout ce qui serait trop « dangereux » dans un travail qui promettait une analyse approfondie des questions auxquelles je cherchais des rĂ©ponses. Tout alla bien pendant environ 17 pages: je mâhabituais au style de lâĂ©criture et trouvais lâouvrage extrĂȘmement intĂ©ressant, quand un mystĂ©rieux « G » (dont je ne savais absolument rien) est venu faire un remarque qui a complĂštement fait tomber le vent gonflant mes voiles encore trĂšs protestantes. En rĂ©ponse Ă la spĂ©culation dâOUSPENSKY selon laquelle Ă lâĂšre industrielle les humains devenaient de plus en plus « mĂ©canisĂ©s » et arrĂȘtaient de penser, GURDJIEFF avait rĂ©pondu: « Il existe une autre sorte de mĂ©canisation qui est bien plus dangereuse: devenir soi-mĂȘme une machine. Avez-vous jamais pensĂ© au fait que tous les gens sont eux-mĂȘmes des machines ? ⊠Tous ces gens que vous voyez sont simplement des machines; rien dâautreâŠ. Vous pensez quâil y a quelque chose qui choisit son propre chemin, quelque chose qui peut rĂ©sister Ă la mĂ©canisation; vous pensez que tout nâest pas mĂ©canique au mĂȘme niveau ». Alors OUSPENSKY a Ă©levĂ© lâargument mĂȘme qui se formait dans mon propre esprit: « Mais bien sĂ»r que non ! âŠLâart, la poĂ©sie, la pensĂ©e, sont des phĂ©nomĂšnes dâun ordre complĂštement diffĂ©rent, »
RĂ©ponse de GURDJIEFF : « Exactement du mĂȘme ordre. Ces activitĂ©s sont tout aussi mĂ©caniques que tout le reste. Les hommes sont des machines et ont ne peut attendre de machines que des actions mĂ©caniques ». Jâen devins tellement enragĂ©e que je refermai le livre dâun coup sec et le lançai contre le mur ! Comment osait-il dire une chose aussi terrible Ă propos des ĂȘtres humains ! Comment osait-il nier la rĂ©alitĂ© de lâesprit, la sublimitĂ© de la musique et du mysticisme, le salut par le Christ ! Je reste encore Ă©tonnĂ©e que les Ă©tincelles jaillies de mes yeux et la vapeur de mes oreilles nâaient pas boutĂ© le feu au lit. Je bouillais de rage ! Mais cela avait Ă©tĂ© dit. Les semences de la pensĂ©e avaient Ă©tĂ© plantĂ©es dans mon esprit. AprĂšs un moment, ma curiositĂ© au sujet dâun concept aussi bizarre commença Ă augmenter. Je me mis Ă examiner la question sous toutes ses coutures afin de trouver comment le rĂ©futer. Je rĂ©flĂ©chis Ă ma propre vie, Ă toutes mes interactions avec dâautres personnes et, graduellement, je commençai Ă rĂ©aliser quâil y avait en effet quelque chose de mystĂ©rieusement « mĂ©canique » dans les Ă©changes entre ĂȘtres humains. Je repensai aux nombreuses personnes sur lesquelles jâavais pratiquĂ© lâhypnothĂ©rapie, me demandai quel degrĂ© de « mĂ©canicitĂ© » impliquait cette thĂ©rapie, et rĂ©flĂ©chis au fait que les racines de la plupart des problĂšmes correspondaient Ă des rĂ©actions mĂ©caniques et conditionnĂ©es selon leurs perceptions et observations. Il me sembla que, dâune maniĂšre gĂ©nĂ©rale, ces perceptions Ă©taient erronĂ©es et que câĂ©tait lâerreur de ce « jugement mĂ©canique » qui Ă©tait Ă la base des problĂšmes. Je pus voir et revoir que ces problĂšmes, la maniĂšre dont ils se formaient et les solutions thĂ©rapeutiques elles-mĂȘmes, Ă©taient essentiellement mĂ©caniques. CâĂ©tait comme une
formule mathĂ©matique. Avec quelques indices donnĂ©s par une personne, je pouvais reconstituer presque instantanĂ©ment toute la dynamique de son passĂ© et la formation de ses problĂšmes, ainsi que le moyen « mĂ©canique » de les rĂ©soudre. Jâappliquais la technique, et comme si je changeais les fils Ă©lectriques et les bougies dâune automobile, ces personnes repartaient « faisant feu des quatre fers ». Dâaccord, ce type marquait donc un point. Mais Ă©videmment, les gens qui Ă©taient « sauvĂ©s » lâĂ©taient de la « mĂ©canicitĂ© ». Non ? Je voulais savoir sâil avait quelque chose Ă dire Ă ce propos. Jâappelai un de mes enfants pour quâil aille ramasser le livre et poursuivis ma lecture. La question Ă©tait posĂ©e : « Peut-on affirmer que lâhomme possĂšde lâimmortalitĂ© ? » La rĂ©ponse de GURDJIEFF Ă©tait fascinante: LâimmortalitĂ© est une des qualitĂ©s que nous attribuons au gens sans avoir une comprĂ©hension suffisante de sa signification. Dâautres qualitĂ©s de ce genre sont « lâindividualitĂ© » dans le sens de lâunitĂ© intĂ©rieure, un « âJeâ permanent et immuable », la « conscience » et la « volontĂ© ». Toutes ces qualitĂ©s peuvent appartenir Ă lâhomme, mais cela ne signifie certainement pas quâelles lui appartiennent de fait ni quâelles appartiennent Ă tous. Pour comprendre ce quâest lâhomme de nos jours, câest-Ă -dire Ă lâactuel niveau de dĂ©veloppement, il est nĂ©cessaire dâimaginer dans une certaine mesure ce quâil peut ĂȘtre, jusquâoĂč il peut aller. Câest seulement en comprenant la sĂ©quence correcte dâun possible dĂ©veloppement que les gens cesseront de sâattribuer ce quâils ne possĂšdent pas en ce moment et ce quâils ne pourront, peut-ĂȘtre, acquĂ©rir quâau prix de grands efforts et dâun grand travail. DâaprĂšs des enseignements anciens dont on peut
retrouver la trace dans de nombreux systĂšmes anciens et nouveaux, lâhomme qui a atteint le plein dĂ©veloppement accessible Ă lâhomme, un homme dans le plein sens du mot, est constituĂ© de quatre corps. Ces quatre corps sont composĂ©s de substances qui deviennent de plus en plus subtiles, sâinterpĂ©nĂštrent mutuellement, forment quatre organismes indĂ©pendants en relation dĂ©finie les uns par rapport aux autres, mais capables dâactions indĂ©pendantes. LâidĂ©e de GURDJIEFF Ă©tait que lâexistence de ces quatre corps Ă©tait rendue possible parce que le corps humain possĂ©dait une organisation tellement complexe que, dans certaines conditions favorables, un organisme nouveau et indĂ©pendant pouvait en fait sây dĂ©velopper. Ce nouveau systĂšme dâorganes de perception reprĂ©sentait un instrument mieux adaptĂ© et plus souple pour Ă©veiller la conscience. La conscience manifestĂ©e dans ce nouveau corps est capable de le gouverner, et elle a plein pouvoir et plein contrĂŽle sur le corps physique. Dans ce deuxiĂšme corps, dans certaines conditions, un troisiĂšme corps peut se dĂ©velopper, une fois encore avec des caractĂ©ristiques qui lui sont particuliĂšres. La conscience manifestĂ©e dans ce troisiĂšme corps a plein pouvoir et plein contrĂŽle sur les deux premiers corps; et le troisiĂšme corps a la possibilitĂ© dâacquĂ©rir des connaissances inaccessibles au premier ou au deuxiĂšme corps. Dans le troisiĂšme corps, sous certaines conditions, un quatriĂšme peut se dĂ©velopper, qui diffĂšre autant du troisiĂšme que le deuxiĂšme diffĂšre du premier. La conscience manifestĂ©e dans le quatriĂšme corps contrĂŽle entiĂšrement les trois premiers corps ainsi que celui-ci. Ces quatre corps sont dĂ©finis dans diffĂ©rents enseignements et de diverses maniĂšres. Le premier est le corps physique (dans la terminologie chrĂ©tienne: le corps charnel); le
deuxiĂšme en terminologie chrĂ©tienne est le corps « naturel », le troisiĂšme est le corps spirituel, et le quatriĂšme, dans la terminologie du christianisme Ă©sotĂ©rique, est le corps divin. Dans la terminologie thĂ©osophique, le premier est le corps physique, le deuxiĂšme est le corps astral, le troisiĂšme est le mental, et le quatriĂšme est le corps causal. Dans la terminologie de certains enseignements orientaux le premier corps est le « vĂ©hicule » (le corps physique), le deuxiĂšme est le « cheval » (les sentiments, les dĂ©sirs), le troisiĂšme est le « cocher » (le mental) et le quatriĂšme est le « maĂźtre » (le « Moi », la conscience, la volontĂ©). On trouve de telles comparaisons et pareilles idĂ©es dans la plupart des systĂšmes et enseignements qui reconnaissent quelque chose de plus dans lâhomme que le corps physique. Mais pratiquement tous ces enseignements, sâils rĂ©pĂštent dans une forme plus ou moins familiĂšre les dĂ©finitions et divisions des enseignements anciens, ont cependant oubliĂ© ou omis le trait le plus important, qui est celui-ci : lâhomme ne naĂźt pas avec les corps plus subtils. Ceux-ci ne peuvent quâĂȘtre cultivĂ©s de maniĂšre artificielle en lui, et ceci seulement dans des conditions favorables tant intĂ©rieurement quâextĂ©rieurement. Le corps astral nâest pas un outil indispensable Ă lâhomme. Câest un grand luxe qui est lâapanage de quelques uns seulement. Lâhomme peut trĂšs bien vivre sans corps astral. Son corps physique possĂšde toutes les fonctions nĂ©cessaires Ă la vie. Lâhomme sans corps astral peut mĂȘme donner lâimpression dâĂȘtre trĂšs intellectuel ou mĂȘme spirituel, et peut tromper non seulement les autres mais aussi lui-mĂȘme. Lorsque le troisiĂšme corps sâest formĂ© et a conquis toutes les propriĂ©tĂ©s, pouvoirs et connaissances Ă sa portĂ©e, il reste le problĂšme de la fixation de ces connaissances et de ces pouvoirs. Parce quâayant Ă©tĂ© impartis par des influences dâune
certaine sorte, ils peuvent ĂȘtre repris par ces mĂȘmes influences ou par dâautres. Par un travail trĂšs particulier sur ces trois corps, les propriĂ©tĂ©s acquises peuvent devenir les propriĂ©tĂ©s permanentes et inaliĂ©nables du troisiĂšme corps. Le processus de fixation de ces propriĂ©tĂ©s acquises correspond au processus de formation du quatriĂšme corps. Et seul lâhomme qui possĂšde quatre corps pleinement dĂ©veloppĂ©s peut ĂȘtre appelĂ© « homme » dans le plein sens du terme. Cet homme possĂšde de nombreuses propriĂ©tĂ©s que lâhomme ordinaire ne possĂšde pas. Une de ces propriĂ©tĂ©s est lâimmortalitĂ©. Toutes les religions et enseignements anciens contiennent lâidĂ©e quâen acquĂ©rant le quatriĂšme corps lâhomme acquiert lâimmortalitĂ©. Et ils donnent tous des indications sur la maniĂšre dâacquĂ©rir le quatriĂšme corps, autrement dit lâimmortalitĂ©. Le livre reprit son vol planĂ©. JâĂ©tais outrĂ©e. Mais cette fois mon indignation fut de trĂšs courte durĂ©e. En repensant aux nombreux indices concernant la nature humaine, que jâavais rassemblĂ©s au cours de ma vie, y compris des indices rĂ©sultant de lâobservation de ma propre personne, je me rendis compte quâil y avait quelque chose de trĂšs vrai dans ce texte. Je pouvais bien le dĂ©tester, mais je ne pouvais nier le fait quâil sâagissait dâune hypothĂšse Ă©tayĂ©e par lâobservation. Des allusions Ă ces choses Ă©taient faites dans la Bible, mais elles se trouvaient parmi les rĂ©fĂ©rences les plus obscures. PrĂ©dicateurs et thĂ©ologiens avaient tendance Ă les ignorer strictement. Au moins 17 fois dans le Nouveau Testament on peut lire que JĂ©sus a enseignĂ© « en secret » Ă ses disciples, et cependant les enseignements de JĂ©sus dans la Bible se rĂ©sument Ă ses supposĂ©s discours publics. Beaucoup
dâĂ©lĂ©ments Ă©taient manquants et GURDJIEFF parlait comme quelquâun investi dâune autoritĂ©. En outre, il donnait une impression de vĂ©ritĂ©. Le livre fut ramassĂ© une nouvelle fois. JâĂ©tais curieuse de voir quelles autres remarques pouvaient avoir Ă©tĂ© faites au sujet du christianisme. OUSPENSKY avait posĂ© la question que jâaurais pu poser moi-mĂȘme : « Pour un homme de culture occidentale il est naturellement difficile de croire et accepter lâidĂ©e quâun fakir ignorant, un moine naĂŻf ou un yogi retirĂ© de la vie puisse ĂȘtre sur le chemin de lâĂ©volution alors quâun EuropĂ©en Ă©duquĂ©, armĂ© de « connaissances exactes » et de toutes les derniĂšres mĂ©thodes dâinvestigation nâa aucune chance et tourne en rond dans un cercle vicieux dont il nâa aucune chance de sortir ». GURDJIEFF a rĂ©pondu: Oui, câest parce que les gens croient au progrĂšs et Ă la culture. Le progrĂšs nâexiste pas. Tout est exactement comme il y a des milliers, des dizaines de milliers dâannĂ©es. Les formes extĂ©rieures changent. Lâessence ne change pas. Lâhomme reste tel quel. Les gens « civilisĂ©s » et « cultivĂ©s » vivent avec exactement les mĂȘmes intĂ©rĂȘts que les plus ignorants des sauvages. La civilisation moderne est fondĂ©e sur la violence, lâesclavage, et les belles paroles. âŠQuâattendez-vous ? Les gens sont des machines. Les machines doivent ĂȘtre aveugles et sans conscience ; elles ne peuvent ĂȘtre autrement et tous leurs actes doivent correspondre Ă leur nature. Tout arrive. Personne ne fait quelque chose. Le « progrĂšs », la « civilisation » dans le vrai sens de ces termes, apparaissent seulement comme le rĂ©sultat dâefforts conscients. Ils ne peuvent apparaĂźtre comme les rĂ©sultats dâactions mĂ©caniques inconscientes. Et quel effort conscient peut-il y avoir dans une machine ? Et si une machine est inconsciente,
alors cent machines sont inconscientes et il en va de mĂȘme pour mille, cent mille ou un million de machines. Et lâactivitĂ© sans conscience dâun million de machines doit nĂ©cessairement avoir pour rĂ©sultat la destruction et lâextermination. Câest prĂ©cisĂ©ment dans les manifestations involontaires sans conscience que rĂ©side le mal. Vous ne comprenez pas encore et vous ne pouvez imaginer tous les rĂ©sultats de ce mal. Mais un temps viendra oĂč vous comprendrez. GURDJIEFF avait raison. Il sâest exprimĂ© au dĂ©but de la premiĂšre guerre mondiale, au dĂ©but dâun siĂšcle de guerres sans prĂ©cĂ©dent. Mon exemplaire de Fragments dâun enseignement inconnu fit encore au moins une douzaine de vols planĂ©s. Je fulminais et enrageais chaque fois que jâĂ©tais confrontĂ©e Ă une idĂ©e qui, aprĂšs rĂ©flexion et comparaison avec mes observations et expĂ©riences, semblait constituer une bien meilleure explication de la dynamique de lâexistence humaine que tout ce que jâavais lu jusquâalors dans ma vie. Et quant Ă ce « mal inconscient » dont GURDJIEFF faisait mention, il lâa expliquĂ© dans le Conte du MĂ©chant Mage: Un trĂšs riche mage possĂ©dait de trĂšs nombreux moutons. Mais ce mage Ă©tait trĂšs avare. Il ne voulait pas louer les services de bergers; ni entourer de clĂŽtures les prĂ©s dans lesquels paissaient ses troupeaux. Par consĂ©quent, les moutons se perdaient rĂ©guliĂšrement dans la forĂȘt ou tombaient dans des ravins etc., et surtout, ils sâĂ©chappaient car ils savaient bien que le mage voulait leur peau et leur toison, et cette idĂ©e ne leur plaisait vraiment pas. Finalement, le mage trouva une solution. Il hypnotisa ses moutons et leur fit la suggestion que tout dâabord ils Ă©taient tous immortels et quâaucun mal ne leur Ă©tait fait quand ils
Ă©taient tuĂ©s et Ă©corchĂ©s. Au contraire, cela leur Ă©tait trĂšs profitable et mĂȘme agrĂ©able. DeuxiĂšmement, il suggĂ©ra que lui, le mage, Ă©tait un bon maĂźtre qui aimait son troupeau tellement quâil Ă©tait prĂȘt Ă faire nâimporte quoi au monde pour lui. TroisiĂšmement il leur suggĂ©ra que si quelque chose devait leur arriver, ce ne serait pas pour tout de suite, certainement pas aujourdâhui, et quâils ne devaient dĂšs lors pas y penser. Puis le mage suggĂ©ra Ă ses moutons quâils nâĂ©taient pas du tout des moutons. A certains il suggĂ©ra quâils Ă©taient des lions, Ă dâautres il suggĂ©ra quâils Ă©taient des aigles, Ă dâautres quâils Ă©taient des hommes, et Ă dâautres encore quâils Ă©taient des mages. Câest ainsi que tous ses soucis concernant ses moutons disparurent. Ils ne sâenfuirent plus jamais mais attendirent tranquillement le moment oĂč le mage rĂ©clamerait leur chair et leur toison. OUSPENSKY Ă©crit que, thĂ©oriquement, lâhomme peut sâĂ©veiller. Mais en pratique cela est presque impossible. DĂšs quâun homme sâĂ©veille pour un moment et ouvre les yeux, toutes les forces qui lâavaient endormi agissent sur lui avec une vigueur dĂ©cuplĂ©e et il retombe immĂ©diatement endormi, rĂȘvant souvent quâil est « Ă©veillĂ© ». Je pensai aussi Ă mon Ă©tude de lâhistoire de lâhomme, dans ma recherche de rĂ©ponses, et me redemandai pourquoi les choses sont comme elles sont, et comment jâĂ©tais arrivĂ©e Ă voir tout cela comme une biographie de Satan. Je commençais Ă rĂ©aliser que quelque chose nâallait pas du tout dans lâimage du monde tel quâil nous est montrĂ© depuis le moment de notre naissance et qui est imprimĂ©e dans nos cultures, nos sociĂ©tĂ©s, et spĂ©cialement nos religions. Je repensai Ă ma vie et rĂ©alisai que tous les Ă©vĂ©nements
qui mâavaient graduellement mise dans ma position actuelle pouvaient sans aucun doute ĂȘtre perçus comme des « forces qui tiennent les gens endormis ». Il Ă©tait certain quâune Ă©norme pression avait Ă©tĂ© appliquĂ©e pour mâempĂȘcher dâobserver, analyser, et surtout penser et apprendre. La question Ă©tait donc: quelle Ă©tait la vraie nature du « MĂ©chant Mage » ?
CHAPITRE II
La lecture de Fragments dâun enseignement inconnu rĂ©veilla brusquement mes processus de rĂ©flexion qui Ă©taient restĂ©s en veilleuse pendant les premiĂšres annĂ©es de mes trois premiers enfants. Sans rien planifier rĂ©ellement pendant cette pĂ©riode dâinactivitĂ© forcĂ©e jâavais Ă©tabli un rĂ©gime de profonde et intense rĂ©flexion alternant avec la contemplation et la suppression des pensĂ©es inutiles grĂące Ă la mĂ©ditation. Mes mĂ©ditations semblaient progresser plutĂŽt rapidement. Jâai lu par la suite quâatteindre une contemplation profonde en quelques minutes seulement Ă©tait difficile et requĂ©rait souvent plusieurs annĂ©es de pratique avant dây arriver, mais il semble que pour moi cela ait Ă©tĂ© rapide, et je fus bientĂŽt capable de me mettre en Ă©tat « dâintemporalitĂ© » pendant de longues pĂ©riodes. AprĂšs mes exercices ordinaires de mĂ©ditation je mâasseyais dans mon lit, entourĂ©e de piles de livres et de cahiers, et je lisais et prenais des notes. Pendant que je faisais cela, je mâarrĂȘtais souvent pour penser Ă des questions qui me venaient Ă lâesprit au cours de mes lectures. A lâinstant oĂč ces questions se formaient dans mon esprit, les idĂ©es se mettaient a affluer si vite que jâĂ©tais obligĂ©e de mentalement courir et sauter aprĂšs elles pour les suivre. Ces idĂ©es venaient toujours et prĂ©cisĂ©ment en rĂ©ponse Ă des questions que je posais mentalement sur les sujets que jâĂ©tudiais Ă ce moment. La
pulsion de mettre ces pensĂ©es par Ă©crit Ă©tait si forte que je passais littĂ©ralement des heures chaque jour Ă remplir des pages et des pages dâĂ©criture non abrĂ©gĂ©e. Je possĂšde encore des boĂźtes pleines de ces cahiers. Il ne mâest pas venu Ă lâidĂ©e alors que je pouvais ĂȘtre en train de faire une sorte de channeling. En fait une telle idĂ©e mâaurait horrifiĂ©e. Je ne faisais que «poser des questions intĂ©ressantes» dâune maniĂšre ouverte, sans essayer dâimposer aucune rĂ©ponse prĂ©conçue. Ce qui me venait Ă lâesprit en rĂ©ponse Ă ces questions me semblait ĂȘtre des pensĂ©es. Mais il y avait quelque chose de curieux dans ces pensĂ©es particuliĂšres. Si je ne mettais pas par Ă©crit ces pensĂ©es, elles restaient lĂ , sâaccumulant comme de lâeau retenue par un barrage. DĂšs que je recommençais Ă les mettre par Ă©crit câĂ©tait comme sâil nây avait eu aucune interruption dans lâafflux de pensĂ©es. Elles reprenaient exactement au point oĂč je les avais laissĂ©es. Ă un certain moment je dĂ©cidai quâil me fallait savoir si les idĂ©es qui me venaient avaient quelque fondement. Ce nâĂ©tait pas parce quâune idĂ©e me « venait comme cela » quâelle devait ĂȘtre acceptĂ©e comme une rĂ©ponse valable Ă mes questions. Il me fallait assurĂ©ment davantage de donnĂ©es. Alors les rĂ©ponses qui mâĂ©taient « venues comme cela » me servirent de point de dĂ©part pour entreprendre une Ă©tude qui sans cela nâaurait pas fait partie de mon expĂ©rience. Ma nature rationnelle et pensive me poussa Ă faire des recherches sur chaque idĂ©e qui mâĂ©tait venue afin de savoir si elle avait quelque fondement scientifique et objectif. Obtenir de nouvelles donnĂ©es fut un problĂšme. Je mâinscrivis Ă un service de bibliothĂšque par courrier, et sans tarder je commandai et me mis Ă lire livre sur livre sur des sujets qui allaient de la gĂ©ologie Ă la physique en passant par la thĂ©ologie, la mĂ©taphysique et lâastronomie. A mesure que je
lisais, les piĂšces ne se mettaient pas seulement en place, mais elles me permettaient aussi de dĂ©velopper bon nombre de concepts de maniĂšre spectaculaire, ce qui amenait de nouvelles questions, de nouvelles rĂ©ponses, et de nouvelles collectes de donnĂ©es. JâĂ©tais Ă la fois surprise et remplie dâĂ©nergie quand je dĂ©couvrais que les idĂ©es qui naissaient dans ma tĂȘte nâĂ©taient pas si folles aprĂšs tout ! Je commençai a assembler systĂ©matiquement mes notes et mes idĂ©es, y compris les notes provenant de sources « officielles » qui appuyaient ce que jâavais Ă©crit, ou qui Ă©largissaient une idĂ©e, ou du moins lui donnaient de la plausibilitĂ©. Si lâidĂ©e qui mâĂ©tait venue nâĂ©tait pas Ă©tayĂ©e par lâobservation ou une opinion « autorisĂ©e », je lâĂ©cartais. Ces notes et commentaires sont devenus le manuscrit que jâai intitulĂ© The Noah Syndrome [1]. Ă mesure que je tirais sur le fil dâAriane il me semblait que tout le tricot de la religion telle quâelle mâavait Ă©tĂ© enseignĂ©e se dĂ©faisait et que, dissimulĂ© sous les mĂ©taphores de la Bible, Ă©tayĂ© par les faits et idĂ©es scientifiques, il y avait un concept tellement fabuleux que jâen eus le souffle coupĂ©. LâidĂ©e Ă©tait une MĂ©tamorphose Macro-Cosmique en termes quantiques. Comment pouvais-je ĂȘtre arrivĂ©e Ă cela alors que jâavais commencĂ© en essayant de dĂ©couvrir lâexistence noumĂ©nale de lâAmour, du Bien et du Mal ? En fait, câest trĂšs simple. Ă mesure que je suivais le fil dans le labyrinthe, allant du plus grand au plus petit, il devint clair pour moi que la recherche de la vraie signification de lâAmour Ă©tait la mĂȘme chose que la recherche du Salut et de la Foi, et ultimement de la signification de la Vie Ăternelle. Dans lâĂvangile selon Mathieu (24), JĂ©sus fait un discours sur la « Fin des Temps », moment oĂč la derniĂšre
trompette sonnera et oĂč le mystĂšre divin sera rĂ©vĂ©lĂ© : 37 Mais comme ont Ă©tĂ© les jours de NoĂ©, ainsi sera aussi la venue du fils de lâhomme. 38 Car, comme dans les jours avant le dĂ©luge on mangeait et on buvait, on se mariait et on donnait en mariage, jusquâau jour oĂč NoĂ© entra dans lâarche, 39 et ils ne connurent rien, jusquâĂ ce que le dĂ©luge vint et les emporta tous, ainsi sera aussi la venue du fils de lâhomme⊠Cet Ă©vĂ©nement, la Fin, Ă©tat comparĂ© aux Jours de NoĂ© â le DĂ©luge. Quâest-ce quâil y a de si mystĂ©rieux dans un dĂ©luge ? Quâest-ce quâil y a de joyeux dans lâidĂ©e que la majeure partie de la population de la planĂšte doit disparaĂźtre purement et simplement ? Comment peut-on appeler cela « des bonnes nouvelles » ? La clĂ© paraissait se trouver dans le concept de lâArche. Ma recherche de la vraie signification de lâAmour, du Salut, de la Foi et de la Vie Ăternelle Ă©tait essentiellement une recherche de la signification de lâArche. MĂ©taphoriquement parlant aucune expression de cette recherche nâest meilleure que celle de lâhistoire de NoĂ© et de lâArche. Toutes les quĂȘtes sur la vie, lâamour et lâexistence en gĂ©nĂ©ral sont exprimĂ©es dans ce rĂ©cit dâun homme qui, mis en face de la destruction de son monde (et dans ce cas-ci câĂ©tait littĂ©ralement la destruction du monde entier, du moins dâaprĂšs lâhistoire), entreprend de construire une arche. Les questions subsĂ©quentes Ă©taient naturellement quâest exactement ce processus de MĂ©tamorphose ? Quâest-ce qui constitue exactement une arche vue comme un refuge sĂ»r ? Vers cette pĂ©riode, un de nos amis dĂ©cĂ©da, et nous hĂ©ritĂąmes dâune malle pleine de livres. Parmi ceux-ci se trouvait un petit livre de poche. Je nâoublierai jamais le sentiment qui mâa envahie quand jâai lu le titre: None Dare
Call it Conspiracy [2], de Gary ALLEN. Tout, dans ce livre Ă©tait exactement en ligne avec les enseignements de GURDJIEFF et OUSPENSKY : lâhomme est endormi et sous le contrĂŽle dâun « mĂ©chant mage ». Jâai rĂ©alisĂ© que le MĂ©chant Mage Ă©tait une mĂ©taphore, du moins en partie, pour les systĂšmes politiques et historiques de contrĂŽle. Le fait de rĂ©aliser cela dĂ©vasta une fois de plus mes illusions. Gary ALLEN suggĂ©rait que, en lâabsence dâun contrĂŽle intelligent, 50 % des Ă©vĂ©nements qui se passent dans les sphĂšres culturelle, sociale et politique seraient dâun grand profit pour tous. Si les dĂ©cisions intelligentes de faire le bien Ă©taient dĂ©composĂ©es en facteurs premiers, cette moyenne serait encore plus Ă©levĂ©e. Je pus constater dĂšs lâabord que ce nâĂ©tait pas comme cela dans notre rĂ©alitĂ©. Lâhomme tue toujours son frĂšre; il a seulement mis au point des moyens plus efficaces et techniques de le faire. Pourquoi ? Qui donc influence nĂ©gativement les Ă©vĂ©nements ? En mettant ensemble les idĂ©es de ALLEN et de GURDJIEFF, cela semblait ĂȘtre purement le rĂ©sultat de quelques Lois Universelles que les humains qualifient de « bonnes » et « mauvaises ». Ces lois Ă©taient cycliques et sâexprimaient le mieux en termes de physique. Câest lâun des fils que jâai suivis jusquâĂ lâidĂ©e dâune MĂ©tamorphose cosmique quantique. Je terminai les recherches et la prise de notes pour The Noah Syndrome le 16 dĂ©cembre 1986. Je sortis pour acheter une vieille machine Ă Ă©crire mĂ©canique et commençai Ă dactylographier le texte de mon livre Ă partir de mes notes. Ce livre terminĂ©, jâĂ©tais devenue un as de la dactylographie grĂące Ă cette vieille machine ! Ă mesure que je tapais, je commençais Ă Ă©prouver des
impressions Ă©tranges. Je pouvais « sentir » ou « voir avec les yeux de mon esprit » deux vieillards trĂšs bizarres qui regardaient par-dessus mon Ă©paule pendant que jâĂ©crivais; ils se consultaient lâun lâautre, me disaient quand je devais apporter des corrections ou des additions, et gloussaient mĂȘme de joie Ă la vue de certains de mes commentaires. Ils Ă©taient hystĂ©riquement drĂŽles dans les remarques quâils se faisaient mutuellement tandis quâils surveillaient mon projet, et se tapaient jovialement lâun lâautre sur lâĂ©paule quand jâavais « fini par saisir » un point particulier. Je savais que lâun dâeux ressemblait Ă Albert EINSTEIN, mais ce nâest que bien des annĂ©es plus tard, quand jâai vu une photo dâImmanuel VELIKOVSKY, que jâai reconnu lâautre homme. JusquâĂ ce jour, je considĂšre cette expĂ©rience comme une sorte de fruit de mon imagination. Mais dâautre part, comme je comprends les choses maintenant, cela pourrait avoir Ă©tĂ© une autre rĂ©alitĂ© ou un autre univers qui aurait en quelque sorte « dĂ©bordĂ© » dans le mien. Quand jâeus terminĂ© Noah et que le manuscrit eut Ă©tĂ© dĂ»ment rejetĂ© par un agent littĂ©raire, je le mis de cĂŽtĂ© pendant de nombreuses annĂ©es. Quand lâInternet fut mis Ă la disposition du monde entier et que jây appris moi-mĂȘme tant de choses, je donnai une nouvelle forme Ă The Noah Syndrome. Ce document a maintenant subi une troisiĂšme mĂ©tamorphose. Il est devenu le point de dĂ©part dâun vaste travail qui mâa emmenĂ©e trĂšs loin de ma quĂȘte dâorigine. RĂ©trospectivement, je trouve vraiment Ă©trange que mes efforts pour «trouver mon arche» aient eu pour rĂ©sultat dâĂȘtre trouvĂ©e par mon Ark [3]»⊠mon Ă©poux: Arkadiusz.
NOTES
[1]: Le Syndrome de NoĂ© (NdT) [2]: Que personne nâose appeler cela conspiration [3]: Jeu de mots: Ark = arche et diminutif de Arkadiusz
CHAPITRE III
Plusieurs annĂ©es sâĂ©coulĂšrent et de trĂšs Ă©tranges Ă©vĂ©nements se produisirent. En 1991 je fis la connaissance dâun jeune homme nommĂ© Frank, avec qui jâeus de nombreuses conversations sur la mĂ©taphysique et la philosophie. TrĂšs vite, je lui fis lire le manuscrit de Noah. « Câest fascinant », dit-il. « Brillant. Je nâai pas pu le poser avant de lâavoir terminĂ©. » « Super ! » « Mais il y a un problĂšme ». « Quoi donc ? » demandai-je. « Tu nây parles pas du phĂ©nomĂšne des OVNIs et des extraterrestres. » « Mais si », dis-je. « Câest dans le chapitre sur le Ravissement ! » Dans Noah, jâavais fait allusion Ă la croyance New Age, partagĂ©e en partie par certains chrĂ©tiens fondamentalistes, en le sauvetage miraculeux de certains Ă la Fin des Temps. « Sur cette planĂšte, il nâest rien de plus important et digne dâĂ©tude que le problĂšme des extraterrestres. Crois-moi, je lâai Ă©tudiĂ© pendant des annĂ©es ! » affirma Frank avec emphase. « BillevesĂ©es ! RĂ©pliquai-je. Frank rĂ©pondit par un long monologue sur ceux « venus dâailleurs », qui me fit sĂ©rieusement douter de sa santĂ© mentale. Cette croyance infantile en lâexistence de « petits hommes verts » Ă©tait tellement peu compatible avec ses brillants
exposĂ©s sur de si nombreux sujets ! Jâadmis que jâĂ©tais une sceptique enragĂ©e par rapport aux extraterrestres. Jâavais passĂ© tant de temps Ă fourrager dans le mental de tant de gens Ă des fins thĂ©rapeutiques, que lâexamen superficiel de la question mâavait dĂ©cidĂ©e Ă considĂ©rer que les observations et affirmations de rapts ressemblaient trĂšs fort Ă des scĂšnes de vies passĂ©es. AprĂšs avoir lu le livre « gothique » de Whitley STRIEBER Communion, celui pathĂ©tiquement ridicule de Ruth MONTGOMERY Aliens Among Us, jâavais refusĂ© de pĂ©nĂ©trer plus avant dans le sujet. Ces histoires Ă©taient si folles quâil mâĂ©tait tout simplement impossible de les considĂ©rer comme rĂ©elles dans nâimporte quel contexte autre que celui de mĂ©taphores utiles et de luttes psychologiques. Je mâefforçais cependant de garder lâesprit ouvert dâun point de vue clinique et scientifique. Je nâĂ©tais pas sĂ»re que toute notre existence telle que nous la percevons ne fĂ»t pas simplement une sĂ©rie de rĂ©actions chimiques dans le cerveau du RĂȘveur Cosmique. Bref, les histoires dâextraterrestres et dâenlĂšvements paraissaient ĂȘtre un drame archĂ©typal vĂ©cu dans le subconscient. Je le nommai Maladie du MillĂ©naire et le vis comme une sorte dâhystĂ©rie collective. Jâattribuais les cicatrices corporelles et les traces de rapts Ă des effets comparables Ă ceux des stigmates ou Ă des Ă©vĂ©nements du type poltergeist. Il y avait apparemment bien peu, au sujet des OVNIs et extraterrestres, qui ne pouvait pas ĂȘtre expliquĂ© par ces thĂ©ories. DĂšs lors, quand Frank voulut parler de « lâaffaire des aliens » comme dâune rĂ©alitĂ©, nous tombĂąmes en dĂ©saccord. Nous Ă©tions dans une impasse. Je devins mĂȘme mĂ©prisante et sarcastique vis-Ă -vis du phĂ©nomĂšne que je baptisai « ThĂ©orie du Ravissement Extraterrestre ». Je la considĂ©rais comme aussi
peu crĂ©dible que les prĂ©-tribulations, moyennes-tribulations et post-tribulations des chrĂ©tiens fondamentalistes. Frank ne fut pas dĂ©couragĂ© par mon rejet de ce sujet. Il me demandait souvent dâavoir recours Ă lâhypnose pour lâaider à « faire du channeling ». Il disait : « la seule chose que je sois capable de faire câest du channeling. Et je le fais tout le temps ». Je nâavais pas une trĂšs haute opinion du « channeling », aprĂšs en avoir lu des rames et des rames sur le sujet pendant que jâĂ©crivais Noah, mais je dĂ©cidai que cela ne serait pas scientifique de rejeter dâemblĂ©e les dires de Frank quand il affirmait ĂȘtre une exception ; il fallait au moins faire un essai. Je lui suggĂ©rai de simplement se mettre dans un Ă©tat de dĂ©tente et dâessayer lâĂ©criture automatique. Mon opinion du channeling nâen fut pas modifiĂ©e. Frank produisit la mĂȘme « salade cosmique » quâon nous servait depuis des annĂ©es. NĂ©anmoins, Ă force de discuter la question avec Frank, je repensai Ă mes propres expĂ©riences quand je « recevais des rĂ©ponses » et au fait historique que les donnĂ©es reçues par channeling sont souvent tellement fidĂšles quâil est clair que quelque chose dâautre que la pure chance doit ĂȘtre Ă lâoeuvre. Les petits aperçus de vĂ©ritĂ© mâintriguaient. Frank et moi poursuivĂźmes donc nos discussions et une thĂ©orie commença Ă prendre forme dans mon esprit en rĂ©ponse Ă la question. Une partie de la thĂ©orie que je forgeai Ă©tait que la raison pour laquelle les autres sources se rĂ©vĂ©laient, cas aprĂšs cas, si humaines et faillibles, Ă©tait quâune erreur se produisait initialement dans la pensĂ©e des divers individus qui agissaient en tant que canaux ou mĂ©diums. Ils supposaient quâune source supĂ©rieure pouvait ĂȘtre contactĂ©e par une sorte de tĂ©lĂ©phone, et voilĂ . En concoctant ma thĂ©orie, je pouvais discerner parmi les quelques brefs rayons lumineux Ă©clairant la vaste quantitĂ© de
donnĂ©es, une source vraiment supĂ©rieure qui Ă lâoccasion parvenait Ă se connecter momentanĂ©ment, ou trĂšs mal, mais dans la plupart des cas ou bien il sâagissait de dĂ©sincarnĂ©s qui en savaient Ă peine plus que les humains, ou bien le phĂ©nomĂšne Ă©tait le rĂ©sultat dâune pathologie psychologique. JâĂ©tudiai la chose sous divers angles afin de dĂ©couvrir Ă©ventuellement un indice qui me montrerait oĂč se trouvait lâobstruction, si des sources rĂ©ellement supĂ©rieures existaient bien. Lâobstruction principale paraissait ĂȘtre ce nuage dâĂȘtres thĂ©oriques et/ ou pensĂ©es de bas niveau qui entouraient apparemment notre monde comme dâun rideau. Mes recherches dans ce domaine me menĂšrent aux travaux des Dr. William BALDWIN, Dr. Edith FIORE, Dr. Carl WICKLAND, et dâautres qui avaient travaillĂ© en direct sur la possession, lâexorcisme et les techniques thĂ©rapeutiques sây rapportant. Puisque depuis longtemps lâĂ©tude de ces matiĂšres Ă©tait inscrite dans mon agenda à « choses Ă faire », il me sembla que les choses se manifestaient dans ma vie exactement au bon moment. Il y a plĂ©thore de « semi-hypnothĂ©rapeutes » qui ont pondu de gros bouquins dĂ©crivant lâaprĂšs-vie comme un lieu de grande beautĂ© et de dĂ©lices spirituelles. Les « voyages » et « destinĂ©es » des Ăąmes y sont expliquĂ©es dans les comptes rendus les plus Ă©videmment manipulateurs de sĂ©ances dâhypnotisme que jâaie jamais lus. Je serais honteuse de prĂ©senter des documents qui me montreraient aux mains de tels manipulateurs de pensĂ©es ! MalgrĂ© tout, ces livres deviennent immensĂ©ment populaires parce quâils rĂ©pondent au besoin humain de confort existentiel. Ă part les questions dirigĂ©es et les manipulations de pensĂ©e par lâhypnotiseur, il semble bien quâil existe des tas de « disparus » â ou fragments de personnalitĂ©s - qui surgissent de diverses maniĂšres, notamment en utilisant les cordes vocales
dâun mĂ©dium, qui disent ce genre de choses, et qui dĂ©crivent les choses en termes Ă©logieux. Ă y regarder de plus prĂšs, on constate quâil y a bien plus que cela. Le nombre de textes Ă©crits au sujet des problĂšmes rencontrĂ©s avec les messages positivistes reçus en channeling est considĂ©rable et la plupart sont les rĂ©sultats de recherches et non dâinformations reçues en channeling ou par la conjecture philosophique. Nombre de chercheurs dans ces domaines sont des psychologues, psychiatres, mĂ©decins ou prĂȘtres ayant reçu une formation mĂ©dicale et/ou psychologique. Jâai entrepris mon propre travail expĂ©rimental dans ce domaine en adoptant une attitude ouvertement sceptique. Câest bien, parce que, Ă©tant donnĂ© que jâai commencĂ© par ĂȘtre sceptique, jâai Ă©tĂ© totalement dĂ©concertĂ©e en dĂ©couvrant que la rĂ©alitĂ© dans les plans appelĂ©s « astraux » est une vĂ©ritable jungle. MĂȘme si jâai dirigĂ© mes sĂ©ances avec un soin extrĂȘme pour Ă©viter toute possibilitĂ© de contamination de mes sujets, jâai dĂ©couvert que tout nâest pas pour le mieux dans les mondes « supĂ©rieurs ». il semblerait que dans ces mondes, il y ait des « puissances » qui nâont manifestement pas Ă coeur le bien-ĂȘtre ni les intĂ©rĂȘts de lâhumanitĂ©. Naturellement cela a dĂ©bouchĂ© sur la question de savoir pourquoi tant de non-sens est propagĂ© en channeling par de soi-disant sources qui mentent souvent ? Dans certains cas elles sont pour le moins coupables dâun sĂ©rieux manque dâattention Ă des dĂ©tails cruciaux. Selon moi, de nos jours le manque de connaissances sur cette seule question est lâune des raisons majeures pour lesquelles cette situation se dĂ©veloppe et perdure, augmentant et amplifiant dĂšs lors les souffrances de lâhumanitĂ©. Dans quelle mesure sont-elles « bonnes » les sources de channeling qui ne nous informent pas de la rĂ©alitĂ© de « mondes supĂ©rieurs » ? Il se peut que le mouvement dit «
New Age » ait tellement Ă©tĂ© imprĂ©gnĂ© de lâidĂ©e quâil ne faut jamais penser Ă des choses nĂ©gatives, quâeux-mĂȘmes, de prĂ©fĂ©rence Ă tous les autres, constituent des proies de choix. Si on ignore tout de quelque chose il est impossible de se dĂ©fendre contre cette chose. La constante dĂ©formation de la vĂ©ritĂ© quant Ă la situation desdits mondes supĂ©rieurs par des masses de documents pendant de nombreuses annĂ©es suggĂšre presque un programme de dĂ©sinformation. Câest comme si quelque chose ou quelquâun lĂ -haut ne voulait pas que nous sachions quelque chose. Oui, je sais, cela va Ă lâencontre de la plupart des doctrines religieuses, et cela contredit sans conteste les philosophies « New Age » standard. Mais laissez-moi seulement vous dire que cela a Ă©tĂ© prouvĂ© dâinnombrables fois par lâexpĂ©rience clinique dâun nombre suffisamment Ă©levĂ© de chercheurs qualifiĂ©s pour quâavant de plonger sur le dĂ©ni, on donne Ă cette idĂ©e la possibilitĂ© de devenir une hypothĂšse de travail Ă mettre Ă lâĂ©preuve. Si elle se rĂ©vĂšle fausse, il nây aura pas eu de mal Ă la prendre en considĂ©ration. Si elle sâavĂšre, alors elle pourrait nous sauver la vie. Sans connaissance du tout ou une connaissance limitĂ©e, et des perceptions dĂ©formĂ©es de la nature du monde spirituel, de la rĂ©alitĂ© non physique, de nombreuses personnes restent sans dĂ©fense et crĂ©ent leur propre vulnĂ©rabilitĂ© quand elles crĂ©ent leur propre rĂ©alitĂ© ! [1] Cette remarque contient la description du piĂšge dans lequel des millions et des millions dâĂȘtres humains ont Ă©tĂ© emprisonnĂ©s pendant des millĂ©naires. Je voudrais souligner que le manque dâauthentiques connaissances des mondes des esprits est, en essence, le fondement philosophique de la « foi » telle quâenseignĂ©e par les trois principales religions monothĂ©istes et celle du New Age. Autrement dit : la foi telle
que pratiquĂ©e par la plupart des humains nâest quâun autre mot pour « dĂ©ni » et le dĂ©ni Ă©quivaut Ă vivre dans le mensonge, et le mensonge, dâaprĂšs les dĂ©finitions donnĂ©es par ces mĂȘmes religions, est « satanique ». De nos jours, il est devenu Ă la mode de faire du channeling avec son « Soi supĂ©rieur » ou des « guides spirituels » pour envoyer de lâamour et de la lumiĂšre sans quâil y ait eu aucune demande spĂ©cifique pour ce faire (et comme cela on laisse ouvert un portail bi-directionnel par lequel les Ă©nergies nĂ©gatives que lâon cherche Ă transformer rebondissent sur lâenvoyeur), etc. Sans connaissances ni facultĂ© de discernement on est donc sujet, non seulement aux errements de toute entitĂ© de passage qui entend lâappel, mais Ă©galement de lois cosmiques dont les humains ont une ignorance abyssale. Certains sâentourent de lumiĂšre ou prient et spĂ©cifient « pour mon plus grand bien » dans leurs invocations. Ce quâils ne rĂ©alisent pas câest que cela constitue une permission et une invitation pour tout esprit dĂ©sincarnĂ© qui est convaincu quâil agit pour « votre plus grand bien » dans son monde de voeux pieux et de fixation sur lâego. Gardez Ă lâesprit que nous ne parlons pas ici de possession dĂ©moniaque. Câest quelque chose de totalement diffĂ©rent encore que les rĂšgles soient similaires. Nous parlons de la variĂ©tĂ© potagĂšre des « disparus » bienveillants qui errent dans le bas astral Ă cause de leur ignorance dâune affinitĂ© avec le plan terrestre. Comme lâa fait remarquer Edgar CAYCE : un presbytĂ©rien mort sera toujours un presbytĂ©rien mort ! Quand je me suis trouvĂ©e en face de toutes ces donnĂ©es et ces expĂ©riences, je dois admettre que jâai Ă©tĂ© tentĂ©e de formuler une thĂ©orie rationaliste pour tout expliquer. Je voyais bien que la nature, semblable Ă une jungle, des mondes astraux nâĂ©tait peut-ĂȘtre rien dâautre quâun drame psychologique sorti
dâun esprit dâune crĂ©ativitĂ© sans limites, comme un moyen de se dĂ©gager dâun problĂšme de la vie courante. Mais de la mĂȘme façon que je ne me suis jamais souciĂ©e de savoir si la rĂ©incarnation Ă©tait rĂ©elle ou pas, je ne me suis pas non plus prĂ©occupĂ©e de savoir sâil y avait ou non dans le monde astral des ĂȘtres supĂ©rieurs nĂ©gatifs. Je me souciais seulement de lâefficacitĂ© des applications thĂ©rapeutiques. Efficaces, elles lâĂ©taient sans aucun doute; constamment et remarquablement. Une des choses les plus ahurissantes Ă ce sujet Ă©tait la constance du subconscient dans le langage symbolique ou archĂ©typal. Sujet aprĂšs sujet, de tous niveaux de profession, dâĂ©ducation, et de dĂ©veloppement intellectuel, de toutes religions ou systĂšmes de croyances, quand on leur posait la mĂȘme sĂ©rie de questions, toutes les personnes rĂ©pondaient par les mĂȘmes types de symboles se rapportant Ă des problĂšmes et relations similaires. Sâil y avait vraiment des ĂȘtres dĂ©sincarnĂ©s ou certains aspects divisĂ©s de la personnalitĂ© humaine, ou encore des constructions Ă©nergĂ©tiques de type Ă©thĂ©rique qui pourraient ĂȘtre dĂ©tectĂ©s et symboliquement recevoir en attribut une personnalitĂ© et une histoire, tout cela ne mâimportait pas du tout; je savais que lâesprit est infiniment crĂ©atif et je nâĂ©tais pas disposĂ©e Ă prendre une position tranchĂ©e Ă ce sujet. Je continuai Ă travailler avec les concepts, en restant Ă lâaffĂ»t de tout nouvel Ă©lĂ©ment qui pourrait contribuer Ă affiner, confirmer ou infirmer ma thĂ©orie. Pour rester aussi ouverte que possible Ă toute nouvelle information, mon hypothĂšse de travail Ă©tait quâil Ă©tait trĂšs probable que tout ce qui existe est une crĂ©ation de la conscience; la seule chose qui me paraissait hautement probable Ă©tait que la conscience pouvait exister et en fait existait indĂ©pendamment de la matiĂšre. La conscience pouvait ĂȘtre positive ou nĂ©gative. Si elle Ă©tait vraiment consciemment
consciente, cela je ne le savais pas. Une partie des difficultĂ©s de ce travail apparentĂ© Ă lâexorcisme (encore que ce terme ne soit pas adaptĂ© Ă la procĂ©dure qui revient Ă du « conseil en dĂ©sincarnĂ©s »), provenait du fait que la majoritĂ© des activitĂ©s passant pour du channeling pouvaient immĂ©diatement ĂȘtre attribuĂ©es Ă ce que lâon nomme « mondes astraux » (tout en laissant de cĂŽtĂ© la question de savoir si les mondes astraux sont ou non les fruits dâune conscience). Je me suis mise Ă me demander sâil y avait vraiment quelque chose de « supĂ©rieur » et dans lâaffirmative, quâest-ce que câĂ©tait, et combien « haut » on pouvait rĂ©ellement aller. Ceci mâamena Ă la formulation de lâidĂ©e du deuxiĂšme obstacle Ă un possible contact de haut niveau. Je lâappelai « facteur de transduction ». Cette hypothĂšse suggĂ©rait quâil relevait de lâĂ©vidence quâune source vraiment supĂ©rieure ne pourrait parvenir Ă opĂ©rer une connexion complĂšte et sĂ»re avec une conscience incarnĂ©e dans un corps physique, parce que cela Ă©quivaudrait Ă tenter de faire fonctionner un appareil Ă©lectrique en 110V sur un courant de 220V. Si la source Ă©tait vraiment supĂ©rieure, alors, par dĂ©finition, son Ă©nergie devait ĂȘtre tellement puissante pour tout rĂ©cepteur humain, quâelle ne pouvait pas ĂȘtre supportĂ©e. En fait, mon idĂ©e reposait sur des lectures de cas vĂ©cus. De nombreuses personnes appuyaient cette hypothĂšse, et il y avait mĂȘme des exemples de gens qui avaient manifestement perdu la tĂȘte aprĂšs avoir eu des contacts avec des « sources supĂ©rieures ». Comme des mĂ©tĂ©orites, elles traversaient en filant le ciel de notre collectif psychologique et spirituel, illuminant briĂšvement le paysage, pour sâĂ©craser aussitĂŽt en flammes en une descente peu glorieuse. Pour la plupart il Ă©tait manifeste que des efforts de ce genre Ă©taient trĂšs dangereux,
comme expliquĂ© longuement dans des textes anciens, Ă©crits occultes et enseignements mystiques orientaux divers. Une autre raison Ă la formulation de cette idĂ©e Ă©tait basĂ©e sur lâobservation de la Nature. Une chose quâon peut observer constamment dans le monde qui nous entoure est la croissance. Et nous pouvons observer en outre que la croissance se fait en cycles. La conscience humaine commence Ă croĂźtre dĂšs le moment de sa conception. Quâelle soit ou non le rĂ©sultat dâune fusion entre une conscience extĂ©rieure avec un systĂšme nerveux/physique en dĂ©veloppement, ou purement le rĂ©sultat dâun effet deus ex machina, de toute maniĂšre la conscience croĂźt. Prenons cela comme un principe donnĂ© observable. Au dĂ©but de la vie, quand il y a encore peu de conscience apparente, lâĂȘtre dort beaucoup. Dans la fleur de lâĂąge, quand la conscience est la plus apparente et active, le temps accordĂ© au sommeil est moindre (bien que les variations soient trĂšs importantes et puissent dĂ©pendre de la richesse de conscience). Enfin, la conscience commence Ă se retirer du corps dans la vieillesse (Ă nouveau avec dâimportantes variations en fonction de facteurs inconnus, peut-ĂȘtre de la richesse de la conscience), et le corps se remet Ă accorder de plus longues pĂ©riodes au sommeil. Lâimportant est que nous pensons que peut-ĂȘtre ce rapport sommeil - conscience est la preuve de stades dâĂ©mergence et de retrait de conscience. Autrement dit, une « graine » de conscience serait plantĂ©e dans lâĂȘtre humain nouvellement conçu/nĂ©. Elle grandirait en fonction de la richesse de lâenvironnement et des potentiels des paramĂštres de lâADN prĂ©sent dans le corps. Quand elle a atteint sa taille optimale elle commencerait Ă se rĂ©duire. Ce quâil est important de comprendre câest que la conscience recule apparemment
parce quâelle a atteint sa « taille » maximale et ne « va » plus au corps. Elle a atteint son maximum dâexpression dans ce corps en utilisant le systĂšme nerveux/physique disponible. Nous pourrions conjecturer que lorsque cette limite supĂ©rieure a Ă©tĂ© atteinte, sâenclenche un mouvement vers le « hors du corps » par paliers. Ces mouvements par paliers vers lâintĂ©rieur et vers lâextĂ©rieur du corps mâont suggĂ©rĂ© que le processus de mort Ă©tait une sorte de « naissance » Ă un Ă©tat supĂ©rieur ou plus riche et dense que la structure physique nâest pas capable de supporter ! Sâil Ă©tait supportable Ă un niveau plus Ă©levĂ© et Ă une richesse et densitĂ© supĂ©rieures, le processus de mort pourrait ne pas ĂȘtre stimulĂ© Ă ce moment. Il mâest venu Ă lâidĂ©e que cela pourrait avoir un certain rapport avec la gĂ©nĂ©tique. Tout comme les diffĂ©rentes plantes et crĂ©atures ont des paramĂštres gĂ©nĂ©tiques dĂ©finis qui dĂ©terminent leur configuration, leurs fonctions, les potentiels dâapprentissage et lâespĂ©rance de vie, il en va de mĂȘme pour les humains qui, dans certaines limites, possĂšdent une configuration, des fonctions, des potentiels dâapprentissage et une espĂ©rance de vie semblables. Et jâai pensĂ© quâil y avait de fortes chances pour que ces potentiels soient reliĂ©s de maniĂšre symbiotique Ă la conscience. Autrement dit, la conscience ne peut grandir que dans certaines limites dĂ©finies par les contraintes gĂ©nĂ©tiques du corps quâelle occupe. Il semblait donc logique de suivre cette ligne jusquâĂ la conclusion quâun ĂȘtre vraiment supĂ©rieur ou quelquâun qui aurait atteint une grande densitĂ© et richesse de conscience, eu Ă©gard aux contraintes de la configuration gĂ©nĂ©tique des fonctions et potentiels du corps humain, ne pourrait rĂ©ellement entrer dans le champ Ă©nergĂ©tique de conscience humaine et
enfiler comme un gant le corps de quelquâun avec pour objectif une interaction directe, Ă moins dâavoir une configuration et un potentiel similaires Ă ceux de lâĂ©ventuel corps-« hĂŽte ». Elle serait donc devenue « trop grande ». La dĂ©duction logique serait donc que si une conscience extĂ©rieure est en fait capable dâentrer dans ou fusionner avec un ĂȘtre humain, ou se connecter avec lui dâune maniĂšre directe, ce ne peut ĂȘtre quâune conscience pas plus avancĂ©e que le potentiel normal de conscience de lâhumain en question, bien que sans contraintes dâespace ni de temps. Cette derniĂšre considĂ©ration pourrait offrir une perspective diffĂ©rente Ă une telle conscience, mais cela nâattesterait aucunement de son avancement spirituel ou philosophique. Autrement dit : oui un presbytĂ©rien mort restera toujours un presbytĂ©rien mort, rien de plus. Si la conscience peut utiliser un corps, elle ne peut ĂȘtre trĂšs diffĂ©rente de ce corps. Jâai notĂ© en passant en revue la littĂ©rature existant sur le channeling et la mĂ©diumnitĂ© que certains cas trĂšs intĂ©ressants auraient pu donner Ă penser que « lâentitĂ© ayant pris possession » (parce quâen dĂ©pit de toutes les affirmations le channeling en Ă©tat de transe est bien de la possession) Ă©tait pour le moins, une conscience dâune magnitude plus dense et riche que le mĂ©dium lui/elle-mĂȘme qui pouvait ou non avoir atteint son potentiel « conscientiel » / gĂ©nĂ©tique. Ce qui est curieux dans ces cas-lĂ câest quâil paraissait y avoir une relation directe entre ces potentiels et la masse corporelle. En dâautres mots, les mĂ©diums qui paraissaient ĂȘtre capables dâopĂ©rer une connexion limitĂ©e avec des ĂȘtres apparemment supĂ©rieurs (ne serait-ce que lĂ©gĂšrement) Ă©taient plutĂŽt « corpulents ». De plus, quand ils ont Ă©tĂ© soumis Ă des contrĂŽles et mesures scientifiques comme certains le furent aux XIXe et dĂ©but du XXe siĂšcles, il a Ă©tĂ©
constatĂ© que ces mĂ©diums pouvaient perdre jusquâĂ 15 livres [2] de masse corporelle en une heure ou deux de « contact ». Eusapia PALLADINO [3] est un cas typique. Toutes ces choses mâont naturellement fait penser aux images trĂšs antiques de la dĂ©esse que lâon trouve partout dans le monde et qui la reprĂ©sentent comme une femme trĂšs corpulente ! Eh bien, alors je devais ĂȘtre une candidate trĂšs qualifiĂ©e pour ce job ! Le problĂšme Ă©tait que je nâĂ©tais pas du tout satisfaite des niveaux de contact atteints, mĂȘme dans les cas dĂ©crits ci-dessus. Il y avait aussi des histoires de yogis et de chamanes affirmant que dans des Ă©tats de mĂ©ditation ou dâextase chamanique, ils avaient eu des contacts « cosmiques »; et ils avaient perdu Ă©normĂ©ment de poids pendant ces expĂ©riences, Ă cause de « lâĂ©chauffement dĂ» Ă lâĂ©tat ». Il est clair que cette chaleur ne sâĂ©tait pas inscrite sur un thermomĂštre, mais il y avait clairement eu un certain Ă©chauffement accompagnĂ© dâune considĂ©rable perte de masse corporelle. Cela me fit soupçonner que le fait dâĂȘtre un canal pour des entitĂ©s rĂ©ellement supĂ©rieure devait prĂ©senter des problĂšmes importants. Par rapport au « haut voltage » supposĂ© de ces sources supĂ©rieures, jâai conclu que la seule maniĂšre dâarriver Ă un contact de ce type Ă©tait de combiner les Ă©nergies de deux ou plusieurs personnes qui seraient le « rĂ©cepteur », et ensuite dâ« accorder » ce rĂ©cepteur par des actes dâintention rĂ©pĂ©tĂ©s. Alors que je me penchais sur le problĂšme je rĂ©alisai que la seule maniĂšre valable de combiner des Ă©nergies pour former un rĂ©cepteur biocosmique humain Ă©tait de recourir Ă une forme de communication qui nĂ©cessiterait plus dâune personne et qui serait pourvue dâun mĂ©canisme de rĂ©tro-information immĂ©diate. La rĂ©ponse Ă©vidente Ă©tait : un instrument de type «
planchette ouija ». Il se faisait que dans ma tendre jeunesse jâavais en effet obtenu quelque succĂšs quand jâavais « jouĂ© » avec cette sorte dâinstrument, mais jâavais rapidement abandonnĂ© de peur dâun danger ou bien parce que câĂ©tait trop enfantin. CâĂ©tait lent, fastidieux, et je nâĂ©tais pas vraiment sĂ»re des sources des rĂ©ponses, mĂȘme si elles Ă©taient prĂ©cises. NĂ©anmoins, je me mis alors Ă voir la chose dâun oeil diffĂ©rent, et conclus quâil pourrait peut-ĂȘtre reprĂ©senter un moyen potentiel de coordonner la focalisation et lâintention, ainsi que la proximitĂ© des champs dâĂ©nergie biopsychique, et aussi la boucle de rĂ©tro-information pour lâ« accordage ». Je savais quâil me fallait faire des rechercher pour savoir si, thĂ©oriquement, ce moyen pourrait faire lâaffaire. Il existe deux thĂ©ories principales sur la maniĂšre dont la planchette « Ouija » est supposĂ©e fonctionner. La premiĂšre se base sur lâautomatisme, qui est aussi supposĂ© ĂȘtre Ă la base du fonctionnement des baguettes de sourcier, pendules, tables tournantes, Ă©criture automatique et autres objets physiques mus par des forces dites spirituelles. Cela signifie que les participants ne rĂ©alisent sans doute pas quâils sont responsables des mouvements du pointeur, et cependant câest ainsi. Des attentes conscientes ou inconscientes peuvent transmettre aux nerfs un signal dâactivation, ce qui provoque dâimperceptibles mouvements des doigts, qui produisent les « rĂ©ponses ». DâaprĂšs cette thĂ©orie, lâutilisation dâune « planchette parlante » suit les thĂ©ories concernant lâĂ©criture automatique, qui affirment que ce genre de messages prennent leur origine dans le mental conscient ou inconscient du medium. DĂ©finie dans le prĂ©sent contexte, la planchette parlante nâest quâun moyen de ne pas tenir compte de lâesprit conscient et un raccourci entre lâinconscient et le systĂšme de contrĂŽle neuromusculaire. Il y a
« automatisme collectif » quand plus dâune personne font fonctionner la planchette. Nous voyons donc que, psychologiquement parlant, lâautomatisme donne temporairement au subconscient le contrĂŽle dâune partie du corps sans aucune interfĂ©rence de la part de lâesprit conscient. En mĂȘme temps, lâesprit conscient garde sa conscience pour vĂ©rifier la rĂ©tro-information, surveiller lâactivitĂ© et Ă©quilibrer les efforts dans le cadre des protocoles expĂ©rimentaux. Certains « experts » affirment quâavoir un inconscient en bonne santĂ© est la clĂ© de la protection car, ouvrir une telle porte sans prendre toutes les prĂ©cautions possibles peut sans conteste gĂ©nĂ©rer une psychose chez certains individus. Mon point de vue est lĂ©gĂšrement diffĂ©rent. Je ne pense pas que contourner lâesprit conscient de cette maniĂšre puisse gĂ©nĂ©rer une psychose. Ce que je pense câest quâen fait cela peut ouvrir une porte qui rĂ©vĂšle une psychose dĂ©jĂ existante et qui, si une analyse minutieuse est entreprise, se rĂ©vĂšlera avoir Ă©tĂ© prĂ©sente depuis longtemps, en se manifestant par de nombreux symptĂŽmes dans le corps et la vie de lâindividu en question. La question de savoir si lâutilisation dâune planche ou tableau, ou nâimporte quel autre outil donnant accĂšs Ă lâinconscient peut « inviter » Ă la possession est un peu comme de se demander ce qui est venu en premier : lâoeuf ou la poule ? Le Dr. BALDWIN pose cette question dâune maniĂšre intĂ©ressante. Il dit que bien quâil ait raisonnablement correctement Ă©valuĂ© un certain nombre de choses Ă ce sujet, il a lui aussi a cĂ©dĂ© au sortilĂšge du film « Lâexorciste « , et il tire des conclusions illogiques. DâĂ©vidence, selon lui, lâĂ©tat de possession existe probablement dĂ©jĂ dans nâimporte quel individu et le fait de « contourner » le conscient lui permet de « parler » et de se rĂ©vĂ©ler. Mais cela donne lieu Ă des problĂšmes
spĂ©cifiques. Il est Ă©vident que toute personne nâayant pas Ă©tĂ© formĂ©e aux techniques de dĂ©livrance dâesprits ne devrait jamais ouvrir ces portes. De mĂȘme, la raison veut quâun individu nâayant aucune connaissance de ces techniques, qui nâa pas passĂ© un temps considĂ©rable Ă les apprendre et les travailler, ne devrait jamais tenter de faire du channeling, dans aucune circonstance, sous peine de rencontrer le dĂ©sastre ! Et cela amĂšne inĂ©vitablement la question : pourquoi le channeling est-il devenu un sport aussi populaire ? La thĂ©orie spirite dĂ©clare bien sĂ»r que les messages Ă©ventuels proviennent nĂ©cessairement de lâextĂ©rieur. Des esprits ou des forces sont contactĂ©s et canalisĂ©s par lâintermĂ©diaire de la planchette. La thĂ©orie spirite pose que ceux qui communiquent sont des esprits dĂ©sincarnĂ©s ou des ĂȘtres Ă©thĂ©riques qui contactent des vivants dans un but bien prĂ©cis. MalgrĂ© tout, mĂȘme la thĂ©orie spirite se base sur lâautomatisme pour en expliquer le fonctionnement. Lâesprit dĂ©sincarnĂ© est capable dâentrer en contact avec lâopĂ©rateur par lâintermĂ©diaire du subconscient ou de lâinconscient, et de prendre le contrĂŽle des rĂ©ponses idĂ©omotrices, dâĂ©viter lâesprit conscient, et de faire se mouvoir la planchette grĂące Ă une stimulation des impulsions nerveuses. Naturellement, cette thĂ©orie pose que dĂšs que la communication est terminĂ©e lâesprit sâen va, et tout est bien qui finit bien. Cependant, lâĂ©vidence indique que sâil nây a pas un certain niveau de connaissance, si certains actes ne sont pas posĂ©s, lâesprit ne part pas du tout ! Il se retire seulement dans les « interstices » du champ Ă©nergĂ©tique de lâhĂŽte oĂč il reste tranquillement Ă pomper la force vitale pour sa propre subsistance. Une des thĂ©ories les plus intĂ©ressantes qui me soient tombĂ©es sous les yeux a Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©e par Barbara
HONEGGER, dont il est dit quâelle a Ă©tĂ© la premiĂšre personne aux Ătats-Unis Ă obtenir un diplĂŽme dâĂ©tudes avancĂ©es en parapsychologie expĂ©rimentale. HONEGGER suggĂšre que lâautomatisme est le rĂ©sultat dâune stimulation de lâhĂ©misphĂšre droit du cerveau de maniĂšre Ă ce quâil puisse vaincre la « mise hors circuit » de lâhĂ©misphĂšre gauche. On ne sait cependant pas trop ce qui provoque la stimulation et je nâai jamais pu obtenir de plus amples informations sur ses recherches. Il semble que ce soient les Chinois qui ont Ă©tĂ© les premiers Ă recourir Ă lâautomatisme spirite sous la forme dâune « planchette parlante ». Lâinstrument chinois Ă©tait appelĂ© chi et Ă©tait une sorte de baguette divinatoire ou radiesthĂ©sique, utilisĂ©e pour Ă©crire. Les esprits Ă©taient supposĂ©s sây introduire, la mouvoir, et Ă©crire les messages des dieux sur le papier ou le sable. Il semble que toutes les cultures « primitives » ou prĂ©-littĂ©rales ont disposĂ© dâune forme codifiĂ©e de communication entre esprits et vivants. Ce phĂ©nomĂšne paraĂźt ĂȘtre universel dans le monde de lâantiquitĂ©, et nâa commencĂ© Ă ĂȘtre condamnĂ© que lors de lâavĂšnement du monothĂ©isme, aux environs de lâan 1 000 av. J.C. Quand YahvĂ© sâest exprimĂ© par lâintermĂ©diaire de ses canaux, ceux-ci ont Ă©tĂ© appelĂ©s « prophĂštes » et cette activitĂ© est devenue « inspiration divine ». Quand toute autre personne sây est livrĂ©e, il sâagissait de nĂ©cromancie ou de possession dĂ©moniaque, ou simplement de duperie. Puisque JĂ©hovah/YahvĂ© Ă©tait le seul dieu, aucun autre dieu ne pouvait donc exister, et quiconque affirmait ĂȘtre un de leurs canaux Ă©tait un menteur. Naturellement, cela met sur le tapis la question de savoir pourquoi des gens ont Ă©tĂ© mis Ă mort pour affirmations mensongĂšres et communications avec des dieux qui nâexistaient pas ? Et sâils existaient et communiquaient vraiment, comme le faisait YahvĂ©, alors quel Ă©tait le statut de ce
YahvĂ© qui prĂ©tendait ĂȘtre le seul dieu, affirmation censĂ©e ĂȘtre vraie simplement parce que transmise par channeling ? Bizarre autant quâĂ©trange. Au VIe siĂšcle av. J.C. les cultes dionysiaques thraces Ă©taient connus pour avoir recours Ă des chamanes comme canaux en transe pour communiquer avec les esprits ou ce que lâon appelait alors ΞΔοÎč (theoi) ou dieux : des ĂȘtres immortels dĂ©sincarnĂ©s dotĂ©s de pouvoirs surhumains. Certains spĂ©cialistes pensent que la philosophie rationaliste est nĂ©e des mystĂšres dionysiaques, orphiques et Ă©leusiniens consacrĂ©s au channeling avec ces dieux. Il ne fait aucun doute que la majeure partie des philosophies grecques anciennes, et particuliĂšrement celles de Pythagore, dâHĂ©raclite et de Platon, Ă©taient saturĂ©es de ces mystĂšres. Ceci soulĂšve bien sĂ»r la question de savoir comment les informations reçues en channeling peuvent avoir Ă©tĂ© Ă la base de la philosophie rationaliste qui postule quâil nây a rien à « channeler » Pourrait- il sâagir simplement dâun progrĂšs de lâidĂ©e que YahvĂ©/JĂ©hovah Ă©tait le seul, lâunique dieu et point final ? Une nouvelle Ă©tape dans la suppression de tout soutien spirituel dans la vie des ĂȘtres humains ? Dans le Theagetes de PLATON, SOCRATE confesse : « par la faveur des dieux, depuis mon enfance jâai Ă©tĂ© aidĂ© par un ĂȘtre semi-divin dont la voix me dissuade de temps en temps dâentreprendre une chose ou lâautre, mais qui ne me dicte jamais ce que je dois faire ». Les oracles grecs Ă Dodone, Delphes, et autres sites, vaticinaient en se mettant dans une transe pendant laquelle ils Ă©taient possĂ©dĂ©s par des esprits dĂ©sincarnĂ©s : certains des plus cĂ©lĂšbres par un seul esprit, ou par ce que nous appellerions de nos jours un « esprit-guide ». Les oracles vivaient souvent dans des grottes et ils pensaient que les esprits avec qui ils
communiquaient venaient Ă eux depuis les mondes souterrains par des fissures dans la roche. Le plus intĂ©ressant de tout, câest le fait que PYTHAGORE a lui-mĂȘme parfois eu recours Ă une sorte de planchette Ouija dĂ©jĂ en 540 Av. J.C. : une « tablette mystique » sur roulettes se mouvait et pointait vers des signes qui Ă©taient alors interprĂ©tĂ©s par le philosophe lui-mĂȘme ou bien par son Ă©lĂšve PHILOLAOS. JusquâĂ ce jour les mystĂšres pythagoriciens sont des sujets dâintĂ©rĂȘt intense tant pour les scientifiques que pour les mystiques. Et il se pourrait bien que les connaissances avancĂ©es de Pythagore aient Ă©tĂ© obtenues par lâintermĂ©diaire dâune planchette Ouija ! Quand les Romains eurent achevĂ© la conquĂȘte de la GrĂšce, le mouvement rationaliste prit position contre la communication spirite. CICĂRON, rationaliste romain hautement rĂ©vĂ©rĂ© par les premiers PĂšres de lâĂglise, raillait le spiritisme et la nĂ©cromancie sous prĂ©texte que dâhorribles rites paĂŻens y Ă©taient impliquĂ©s. Mais comme cela a Ă©tĂ© dit prĂ©cĂ©demment, le rationalisme en est venu Ă mordre la main qui le nourrissait et il a fini par dĂ©vorer son pĂšre - le monothĂ©isme- en Ă©tendant ses arguments Ă lâidĂ©e quâil nây avait pas de dieu du tout, pas dâesprits, rien qui survive Ă la mort du corps, et donc rien « de lâautre cĂŽtĂ© » Ă qui parler, alors pourquoi sâinquiĂ©ter ? La science adopta le point de vue que tout cela Ă©tait des jeux de charlatans, et cette opinion prĂ©vaut toujours dans les milieux scientifiques conventionnels. AprĂšs avoir travaillĂ© sur les questions de possession par des esprits, jâavais un tas de questions. Comme je lâai dĂ©jĂ dit, jâavais dans lâidĂ©e que ces « esprits » nâĂ©taient peut-ĂȘtre que des fragments de la personnalitĂ© dâun individu, une sorte de petite partie sĂ©parĂ©e des circuits du cerveau et fonctionnant en boucles rĂ©pĂ©titives crĂ©Ă©es par un traumatisme ou un stress.
Peut-ĂȘtre quâun individu devant faire face Ă une difficultĂ© entrait dans un Ă©tat de fantasmes narcissiques et crĂ©ait un « rĂȘve » qui sâimprimait dans la mĂ©moire du cerveau. Si ces individus Ă©mergeaient ensuite de cet Ă©tat dans leur rĂ©alitĂ© sans avoir rĂ©solu le problĂšme lui-mĂȘme, ce problĂšme pouvait ĂȘtre enfermĂ© dans une sorte de classeur cĂ©rĂ©bral et rester lĂ en attendant dâĂȘtre rĂ©activĂ© par un signal Ă©lectrique ou des Ă©lĂ©ments neurochimiques du cerveau qui auraient « scannĂ© » inconsciemment. La mĂȘme chose pouvait ĂȘtre dite des prĂ©tendus souvenirs de vies passĂ©es : ils nâĂ©taient peut-ĂȘtre que des « fichiers » de souvenirs auto-crĂ©Ă©s gĂ©nĂ©rĂ©s dans un Ă©tat de retrait narcissique dĂ» au stress. Ces fichiers neurologiques pouvaient donc ĂȘtre « tĂ©lĂ©chargĂ©s » et lus en utilisant la mĂ©thode de contournement du conscient soit par lâautomatisme, soit par une simple autorisation donnĂ©e Ă lâesprit conscient de se « mettre sur le cĂŽtĂ© » comme dans le channeling en Ă©tat de transe. Dans ce cas, la simple psychothĂ©rapie pourrait ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme du channeling. Le channeling conscient est plus problĂ©matique, parce quâil implique une condition pathologique dĂ©finie dans laquelle la prise de possession de lâesprit ou bien une personnalitĂ© multiple peut jouer un rĂŽle. Dans des cas de ce genre, lâ « alter ego » sous la forme dâune personnalitĂ© alternative ou dâune entitĂ© rĂ©ellement attachĂ©e est assez fort et bien accrochĂ© pour assurer une prise bien plus solide sur le corps de lâhĂŽte que celles qui se manifestent par lâautomatisme ou la transe. Le Professeur Douglas ROBINSON de Ole Miss pense quâune analogie peut ĂȘtre faite entre la fonction du traducteur et le « canal » ou medium. La fonction de ceux-lĂ est de « sâeffacer » « devant lâauteur originel qui parle par leur canal dans une autre langue. Leur mĂ©tier est de transmettre le plus fidĂšlement possible les intentions de lâauteur originel Ă un
nouveau public qui, faute de connaĂźtre la langue dâorigine, nâaurait pas accĂšs aux documents. Dans le sens ordinaire, les traductions se font exclusivement pour abolir des barriĂšres linguistiques ou culturelles. Dans le cas du channeling, les traductions se font pour abolir les barriĂšres du temps ou mĂȘme de lâhyper-espace. Ce qui est crucial tant en traduction quâen mĂ©diumnitĂ© câest la nĂ©cessitĂ© de la part du mĂ©diateur, de ne pas transmettre aux lecteurs ou au public ses propres idĂ©es, interprĂ©tations, arguments ou images. Le traducteur doit ĂȘtre un conduit neutre des idĂ©es et interprĂ©tations de lâauteur originel. Lâanalogie suggĂšre que (a) lâauteur-source a le pouvoir de communiquer avec le public-cible par lâintermĂ©diaire du traducteur (lâauteur est actif, le traducteur est passif, ou du moins seulement actif dans lâaction de soumettre son activitĂ© Ă celle de lâauteur (b) le traducteur possĂšde certains moyens dâaccĂšs Ă la voix et Ă lâinterprĂ©tation de lâauteur, de sâouvrir de maniĂšre fiable Ă la parole intentionnelle dâune personne qui est quasi invariablement quelquâun dâautre. Parfois, des traducteurs traduisent des textes-sources Ă©crits par eux-mĂȘmes, mais habituellement lâauteur-source est quelquâun dâautre, qui est souvent Ă©loignĂ© dans le temps et dans lâespace, et mĂȘme relativement souvent dĂ©cĂ©dĂ©. [4] De nos jours, sous lâinfluence des technologies occidentales rationalistes, lâidĂ©e que tout un chacun peut sâinstaller dans un fauteuil et se mettre à « channeler » est trĂšs semblable Ă celle que la traduction peut ĂȘtre faite par des machines, sans aucune interface humaine. Ceci est un point trĂšs subtil. Lorsquâun programme informatique traduit dâun langage Ă lâautre, et pour la plupart des canaux, nous constatons que le programme sâefforce dâexĂ©cuter un algorithme ou une sĂ©rie dâalgorithmes consistant en la collecte dâintelligence, la mise
en diagrammes dâune sĂ©rie dâactions, et Ă faire exĂ©cuter une sĂ©rie dâordres. Les rĂ©sultats ne valent que ce que valent les algorithmes. Et nous voyons, grĂące Ă la littĂ©rature, que le « phĂ©nomĂšne de channeling » tel quâil est largement pratiquĂ©, omet de lâalgorithme le raisonnement. Il nây a aucun mĂ©canisme de rĂ©tro-information, et donc aucune possibilitĂ© de rĂ©glage prĂ©cis. Cela signifie que rien nâest prĂ©vu pour un algorithme capable de gĂ©rer la posibilitĂ© de lâexistence de forces contradictoires Ă lâoeuvre dans la tĂȘte du « canal ». Exclure la raison et la probabilitĂ© de forces contradictoires a pour rĂ©sultat un algorithme selon lequel « je suis le Seigneur votre Dieu et il nây en a pas dâautre parce que je le dis » Et si vous ne Me croyez pas, cela ira trĂšs mal pour vous ! » Pas trĂšs productif tout ça, câest le moins que lâon puisse dire. Le fait est que les chercheurs en matiĂšre de machines Ă traduire dĂ©sespĂšrent de jamais pouvoir programmer une machine capable de produire une traduction de qualitĂ© professionnelle sans aucune assistance humaine. De mĂȘme quâil paraĂźt impossible de produire des donnĂ©es de qualitĂ© en channeling, pleine considĂ©ration nâest pas accordĂ©e aux forces contradictoires ni Ă lâapplication de la Raison vis-Ă -vis de celles-ci. Sans une mise en pratique des connaissances et une rĂ©tro-information rapide et directe, il y a peu de chances dâen sortir autre chose que du psycho-blabla inutilisable. Et cela semble bien ĂȘtre le cas. Mais naturellement, cela exclut les fantasmes narcissiques, les fraudes dĂ©libĂ©rĂ©es et les cas pathologiques de personnalitĂ©s multiples. Tout cela fleurit au pays du New Age, et câest une jungle ! En fin de compte, les systĂšmes de machines Ă traduire qui fonctionnent sont en fait des systĂšmes de traduction « cyborg » : ils nĂ©cessitent tous une interface homme-machine.
Dans certains films de science fiction il y a souvent un « traducteur-machine » qui permet au voyageur de lâespace de se brancher Ă un gadget par lâintermĂ©diaire de quelque Ă©lectrode placĂ©e dans son cerveau; il nâa alors quâĂ ouvrir la bouche pour automatiquement parler dans la langue du pays quâil est en train de visiter. Les mots sortent de son cerveau dans sa propre langue, mais Ă lâinstant oĂč ils sortent de sa bouche la machine a altĂ©rĂ© les impulsions nerveuses dans les organes de la parole, de sorte quâils produisent des mots corrects dans la langue inconnue. Apparemment, la machine fonctionne aussi bien dans lâautre sens, et le voyageur de lâespace peut entendre des mots prononcĂ©s dans la langue inconnue et les « ressentir » dans la sienne. Ce que je trouve intĂ©ressant est le fait que ce soit une sorte de prothĂšse qui transforme le voyageur de lâespace en une espĂšce de traducteur « cyborg » qui est alors Ă mĂȘme de « channeler » un discours Ă©tranger. Ce que je veux dire en utilisant cette drĂŽle dâanalogie Ă lâenvers, câest que grĂące Ă lâutilisation de prothĂšses, nous sommes en mesure dâutiliser un algorithme incluant raison et rĂ©tro-information ! Lorsquâon y a recours de maniĂšre adĂ©quate, la Raison dispose de toute une armĂ©e de ce quâAdam SMITH a appelĂ© « des ouvriers invisibles », qui mettent en forme, dirigent, rĂšglent et contrĂŽlent la traduction. Ceci nous mĂšne Ă la trĂšs intĂ©ressante conclusion que la raison elle-mĂȘme pourrait ĂȘtre une « ouvriĂšre invisible ». « La Raison est un forme intĂ©rieure de maĂźtrise idĂ©ologique ». Tout comme lâesprit saisit ou possĂšde le « canal » et parle ou agit par lâintermĂ©diaire du corps consentant de celui-ci, un texte dans une langue Ă©trangĂšre, donnĂ© Ă traduire Ă un ordinateur (souvent de maniĂšre complĂštement inepte), ainsi lâidĂ©ologie et ses agents â y compris la raison â saisissent ou
possĂšdent le sujet idĂ©ologique et manipulent le corps de ce sujet comme sâil Ă©tait virtuellement le leur. Et dans ce sens nous dĂ©couvrons que le canal en tant que « machine Ă traduire » peut devenir quelque chose de bien plus intĂ©ressant. Un individu qui, grĂące Ă une Ă©tude longue et intense conclut quâil existe une possibilitĂ© de communiquer avec des consciences supĂ©rieures, formule une hypothĂšse sur la maniĂšre dây parvenir puis se livre Ă des expĂ©riences sur cette hypothĂšse, lâajuste et lâadapte tout au long du processus est, en un sens, guidĂ© par des « aides invisibles » ou forces provenant du cosmos. Mais câest manifestement une source dâune plus grande complexitĂ© et câest un besoin profond de communiquer des concepts nouveaux et complexes qui prĂ©pare un traducteur de ce genre. En ce qui concerne le channeling ordinaire, de bas-Ă©tage, nous observons que les esprits qui se livrent Ă ces activitĂ©s « font signe » au canal par lequel ils souhaitent sâexprimer en apparaissant au/Ă la voyant(e) ou en sâintroduisant comme une pression verbale dans la tĂȘte, demandant Ă ĂȘtre libĂ©rĂ©s au bĂ©nĂ©fice du « clairaudiant ». Parfois le canal tombe dans lâinconscience et se rĂ©veille pour constater que quelque chose ou quelquâun dâautre a utilisĂ© ses organes de la parole. De la mĂȘme maniĂšre le Cosmos au sens large, par lâintermĂ©diaire de la Raison, du Savoir, et dâun esprit en recherche implantĂ© dans un corps humain, « fait signe » Ă un canal/traducteur potentiel issue de rĂ©alitĂ©s authentiquement supĂ©rieures. Les mots « traduire », « transfĂ©rer » et « transduire » ont tous la mĂȘme racine latine. Et câest dans le rĂŽle du traducteur que nous dĂ©couvrons quâil ne suffit pas de « brancher et allumer la machine ». Les traducteurs doivent ĂȘtre formĂ©s; ils ne doivent pas seulement connaĂźtre lâautre langue, mais ils doivent aussi
savoir comment rĂ©gler le degrĂ© de fidĂ©litĂ© au texte-source, comment savoir quel degrĂ© et type de fidĂ©litĂ© sont appropriĂ©s dans des contextes spĂ©cifiques, comment recevoir et livrer les traductions, comment trouver de lâaide en ce qui concerne la terminologie, etc. Tout cela suppose une longue pĂ©riode de formation et de prĂ©paration. . Un canal de Traduction est quelquâun qui a Ă©tudiĂ© ces choses, qui connaĂźt ces choses et qui, plus important encore, maĂźtrise le comportement « traduction-channeling » en fonction de ces aptitudes. Cette compĂ©tence est idĂ©ologique. Savoir, au travers de la raison, ce que ces normes cosmiques prescrivent et agir en fonction de celles-ci câest se soumettre Ă leur contrĂŽle. Devenir un canal-traducteur dâune Conscience Cosmique authentiquement supĂ©rieure câest ĂȘtre reconnu pour traducteur par des « agents invisibles » de lâUnivers. Lorsquâon veut devenir un canal-traducteur, il faut se soumettre au rĂŽle du traducteur qui apprend une langue jusquâĂ devenir expert; il faut accepter dâĂȘtre dirigĂ© par ce que les normes cosmiques idĂ©ologiques dĂ©clarent ĂȘtre lâauthentique esprit de lâauteur-source, et devenir le canal de cet esprit sans rien en changer dans la langue-cible. Câest donc avec toutes ces considĂ©rations Ă lâesprit que jâai finalement dĂ©cidĂ© quâun outil de type « tableau » rĂ©pondrait le mieux Ă ces exigences. Câest un dispositif artificiel qui permet une rĂ©tro-information constante entre lâalgorithme de la « traduction-machine » du subconscient/inconscient et lâinterface humaine du conscient qui doit sans cesse utiliser la raison pour « sâajuster ». Cela nâest possible quâavec un tableau par le fait que le canal a, pour la rĂ©ception, recours tant Ă lâĂ©vitement de la conscience quâau maintien permanent de lâintĂ©gritĂ© de celle-ci. En Ă©tant Ă tout moment en pleine possession de son propre mental tout en
ayant la facultĂ© dâobserver, contrĂŽler et diriger lâacceptation ou le refus de toute donnĂ©e ou sensation, la raison est vue comme faisant partie de lâalgorithme. Autrement dit, utilisĂ© correctement par un individu bien au fait des sujets traitĂ©s ainsi que des rĂ©alitĂ©s cliniquement dĂ©montrĂ©es dâautres « mondes », câest lĂ un des meilleurs outils disponibles pour lâĂ©tablissement dâun contact avec le subconscient, le soi supĂ©rieur, et/ou des entitĂ©s bienveillantes dĂ©sireuses dâentrer en contact tĂ©lĂ©pathique. VoilĂ le mot clĂ© : tĂ©lĂ©pathie. Ce type de dispositif permet dâĂ©tablir une sorte de « ligne sĂ©parĂ©e », une centrale tĂ©lĂ©phonique dans laquelle un nouveau circuit est introduit par un trĂšs fin fil de conscience sans quâil y ait dâaucune maniĂšre perte de contrĂŽle. Ă cause de lâinfluence du film LâExorciste, ce dispositif a acquis une mauvaise rĂ©putation. Et cependant, cela nâa pas toujours Ă©tĂ© le cas. Ătrange comme toute une « doctrine » peut ĂȘtre crĂ©Ă©e par Hollywood et ĂȘtre reçue comme Ă©vangile par les gens⊠Certaine prĂ©tendus « experts » affirment quâĂȘtre un mĂ©dium câest bien, mais quâutiliser une planchette ou lâĂ©criture automatique comme moyen ou mĂȘme le « channeling par transe » ne peut amener que des entitĂ©s de « niveau infĂ©rieur ». Ils basent cette dĂ©claration illogique sur lâaffirmation quâaucun esprit de spiritualitĂ© avancĂ©e, aucun maĂźtre ascendĂ© ni esprit gardien ne sâabaisserait jamais Ă abuser des talents dâĂ©criture ou de parole dâune autre personne, quâelle soit vivante ou morte. Je veux que ceci soit bien clair : il nây a aucun problĂšme Ă faire ce qui prĂ©cĂšde si lâon se considĂšre soi-mĂȘme comme un mĂ©dium. Mais quand on se considĂšre comme un « canal » ou quâon Ă©tablit des protocoles devant permettre de garder en permanence un contrĂŽle conscient, alors on serait, par dĂ©finition, en contact uniquement avec des entitĂ©s de bas
Ă©tage ? Bizarre autant quâĂ©trange ; et aussi dâune ignorance abyssale. Contrairement Ă cette « opinion dâexpert », une partie de mes hypothĂšses basĂ©es sur de nombreuses annĂ©es de recherche Ă©tait quâun contact soutenu avec des sources authentiquement supĂ©rieures ne sâĂ©tait jamais ou trĂšs rarement produit dans toute lâhistoire du channeling ! Du moins pas avec le type de sources dont jâĂ©tais convaincue quâelles existaient Ă des niveaux rĂ©ellement supĂ©rieurs. Par consĂ©quent, personne ne « connaissait vraiment la langue ». Il Ă©tait absurde de croire que nâimporte qui, de condition humaine, pouvait tout simplement sâasseoir, recevoir et traduire quelque chose qui, de toute Ă©vidence, nâavait jamais Ă©tĂ© rencontrĂ© auparavant. Alors jâai Ă©mis lâhypothĂšse que lâunivers au sens large ou la source avec laquelle je souhaitais entrer en contact avait en effet le pouvoir dâentrer en communication avec le « public-cible » - lâhumanitĂ© - parce quâil Ă©tait Ă©vident, au vu de toutes mes expĂ©riences vĂ©cues jusque lĂ , que lâunivers nous parle au travers des Ă©vĂ©nements de notre vie. Les nombreuses et remarquables synchronicitĂ©s Ă©videntes, ainsi que lâobservation attentive de la dynamique de ma vie et de celle dâautres personnes ne pouvaient ĂȘtre interprĂ©tĂ©es que comme des actes dĂ©libĂ©rĂ©s de la part de quelque rĂ©alitĂ© ultra-cosmique essayant de mâenseigner le langage des symboles. Je sentais que jâavais indubitablement reçu un « signe » de lâUnivers, qui me demandait dâentreprendre lâapprentissage du langage et dâagir comme un « canal-traducteur ». Est-ce quâun moyen de communication plus direct pourrait ou non ĂȘtre Ă©tabli par mon propre intermĂ©diaire en tant que Traducteur, je ne le savais pas avec certitude. Mais jâavais certes un trĂšs fort dĂ©sir de tenter dâaccĂ©der Ă la Voix de lâUnivers en faisant
un signe en retour par lâintermĂ©diaire dâun long processus de construction de circuit vers, et si possible au travers, de lâinconscient profond. Puisquâil Ă©tait manifeste que ces interactions impliquaient certains niveaux dâĂȘtre dont la plupart dâentre nous nâont pas conscience et auxquels peu ont accĂšs, jâai rĂ©alisĂ© que cela correspondait Ă une obligation pour moi « dâapprendre la langue » Ă un niveau totalement inconnu de mon ĂȘtre. Non seulement je me proposais dâapprendre ce langage qui nâavait jamais Ă©tĂ© Ă©tudiĂ© systĂ©matiquement, mais je savais que je devais aussi apprendre « comment rĂ©gler le degrĂ© de fidĂ©litĂ© par rapport au texte-source, comment savoir quel degrĂ© et quel type de fidĂ©litĂ© Ă©tait appropriĂ© dans des contextes spĂ©cifiques, comment recevoir et livrer les traductions, comment trouver de lâaide en ce qui concerne la terminologie,etc. ». VoilĂ le raisonnement ou « appareil idĂ©ologique » que jâallais suivre comme protocole pour le « signal de retour ». En parcourant ce qui avait Ă©tĂ© Ă©crit sur le channeling jâai pu constater que le matĂ©riel le plus respectĂ© et fiable dans lâhistoire du channeling soit avait Ă©tĂ© reçu grĂące Ă un outil de type « planchette », soit avait Ă©tĂ© entrepris grĂące Ă un outil du type « planchette ». Que cet outil fĂ»t un moyen dâapprendre une nouvelle langue dans quelque endroit Ă lâintĂ©rieur du mental, comme on brancherait une machine Ă traduire, cela Ă©tait Ă©vident. Avec les informations dont je disposais dĂ©jĂ en matiĂšre dâattachement dâesprits, troubles de la personnalitĂ©, et autres Ă©tats pathologiques, ainsi que les moyens de les traiter de maniĂšre appropriĂ©e, je rĂ©alisai que si mon hypothĂšse sâavĂ©rait, je parviendrais probablement Ă Ă©lever le channeling Ă des niveaux jamais ou trĂšs rarement atteints jusquâalors : peut-ĂȘtre
tous les mille ans⊠Bien sĂ»r, tout dĂ©pendrait dâune longue pĂ©riode de « formation », et de lâapplication de lâalgorithme. Et cela signifiait sans doute une trĂšs longue pĂ©riode dâutilisation dâun outil de type « planchette » pour « canaliser » non seulement des fragments de subconscient personnel et leurs sĂ©ries de drames, mais aussi peut-ĂȘtre dâinnombrables dĂ©sincarnĂ©s branchĂ©s sur les mĂȘmes frĂ©quences, avant que toutes les « boucles » soient localisĂ©es et traitĂ©es, et que la synchronisation des cerveaux soit obtenue. Enfin, je dĂ©cidai que mĂȘme si câĂ©tait lĂ tout ce que nous accomplirions au cours du processus, ce serait tout de mĂȘme une activitĂ© valable. Une purification du mental par la guĂ©rison de ses fragments, quelle que fĂ»t la maniĂšre dont ils se manifesteraient, ne pouvait ĂȘtre que bĂ©nĂ©fique ! Lâimportant Ă©tait de ne pas abandonner trop tĂŽt lâusage de la planchette. Cela Ă©quivaudrait en effet Ă penser que lâon a une bonne maĂźtrise dâune langue simplement parce quâon est capable de lâutiliser dans la vie quotidienne. Pour ĂȘtre un vrai traducteur il faut pouvoir maĂźtriser une nouvelle langue aux niveaux les plus subtils et raffinĂ©s imaginables. Jâai pensĂ© alors que jâavais une assez bonne thĂ©orie et quâil Ă©tait temps de la mettre Ă lâessai. Nous avons donc commencĂ©. Frank et moi avions dĂ©cidĂ© de nous rencontrer chaque semaine pour « faire signe Ă lâunivers » assis devant une table. Je possĂšde encore des cahiers qui font mention de chaque mouvement de la planchette sur une pĂ©riode de plus de deux annĂ©es. En fin de compte, tout cela appuie en fait ma thĂ©orie. Nous sommes passĂ©s par des boucles sans fin dâinconscient, dâinnombrables scĂ©narios supposĂ©s provenir dâentitĂ©s dĂ©sincarnĂ©es ou de vies passĂ©es; dâinnombrables contacts avec des Ăąmes errant dans les mondes astraux et
cherchant une libĂ©ration dans la lumiĂšre. Je me suis dit que si certains de ces contacts avaient quelque fondement, alors la planchette Ă©tait un outil excellent pour libĂ©rer les esprits, contrairement Ă ce quâen pensait le Dr. BALDWIN. Ă mesure que progressait notre expĂ©rience en channeling, nous discutions des nombreux moyens par lesquels « une authentique source supĂ©rieure » pourrait ĂȘtre identifiĂ©e. Nous Ă©tions tous deux convaincus quâune source supĂ©rieure, en vertu dâune plus ample et complĂšte perspective cosmique, serait capable de faire des prĂ©dictions absolument Ă©tourdissantes qui « tomberaient juste » Ă chaque fois. Le problĂšme Ă©tait, comment valider une telle hypothĂšse dans un test de rĂ©tro-information Ă si court terme. Frank vint avec une solution : la loterie. Cela paraissait assez raisonnable. Nous pourrions demander une prĂ©diction de Lotto Ă chaque entitĂ©, et ensuite lui donner une « cote » basĂ©e sur lâexactitude de ses prĂ©dictions. Puisquâil y avait des tirages quotidiens, nous allions nous concentrer sur ceux-lĂ . CâĂ©tait vrai quâon avait pu me voir acheter un ou deux tickets Ă la suite dâun rĂȘve ou simplement sur une impulsion, et gagner; mais je nâavais jamais Ă©tĂ© une vraie joueuse. Si jâavais de lâargent pour acheter une limonade, et que je dĂ©cidais quâĂ la place dâune boisson je mâachĂšterais un billet de loterie, je me disais que ce nâĂ©tait pas plus que ce que jâaurais consacrĂ© Ă des friandises ou Ă une sĂ©ance de cinĂ©ma, et pour moi ce nâĂ©tait pas davantage que cela : une distraction. Si je gagnais, câĂ©tait amusant; si je ne gagnais pas, je nâavais pas perdu davantage que ce que jâaurais gaspillĂ© dâune autre maniĂšre. Je nâai jamais considĂ©rĂ© lâachat dâun billet de loterie comme un moyen de me sortir dâune quelconque difficultĂ© financiĂšre. Si je me trouvais dans une situation oĂč je ne pourrais justifier pas mĂȘme lâachat dâune barre chocolatĂ©e parce que lâargent manquait, je
nâachetais pas Ă la place un billet de loterie. Pour moi, le test du Lotto Ă©tait thĂ©orique. Je nâallais pas aller acheter des billets. Mais je dĂ©couvris que Frank le faisait. De plus, il semblait particuliĂšrement attentif Ă cet aspect de lâexpĂ©rience. La faire en tant quâessai Ă©tait une chose, mais la faire dans le but dâobtenir du profit, cela me dĂ©rangeait. Il est un fait que nous avons parfois eu la main heureuse. Les succĂšs se sont produits parfois Ă des dates diffĂ©rentes de celles prĂ©dites, parfois mĂȘme le dĂ©lai Ă©tait de plusieurs semaines. Frank a affirmĂ© sâĂȘtre fait de lâargent de cette façon, mais je lui ai rappelĂ© que les sommes dĂ©pensĂ©es en billets de loterie devaient ĂȘtre dĂ©duites de ses gains sâil voulait un tableau fidĂšle de la rĂ©alitĂ©. Mais les essais par les numĂ©ros de loterie ne reprĂ©sentaient quâune partie de ce que nous faisions. Nous « bavardions » aussi avec diverses entitĂ©s qui allaient et venaient, demandant des informations sur leurs vies et expĂ©riences supposĂ©es, et nous tentions dâobtenir des Ă©lĂ©ments vĂ©rifiables. Enfin, Frank et moi, ainsi que dâautres personnes qui sâĂ©taient jointes Ă lâexpĂ©rience Ă©tions absolument fascinĂ©s par la parade qui dĂ©filait devant nous et nous disions en plaisanterie que câĂ©tait mieux que dâaller au cinĂ©ma, regarder la tĂ©lĂ©vision ou aller Ă des « soirĂ©es ». En pleine conscience, il nous Ă©tait possible dâobserver dâinnombrables mondes dâactivitĂ©s de lâau-delĂ : spectacles de tragĂ©die et dâespoir, de dĂ©sespoir et de joie. Et nous contemplions tout cela en buvant du cafĂ©, en mangeant des biscuits et en prenant le temps de bavarder. Mais ce qui se passait vraiment Ă dâautres niveaux dâexistence allait ĂȘtre encore bien plus fascinant et mystĂ©rieux que tout ce que jâavais bien pu supposer.
NOTES
[1]: BALDWIN, William, Ph.D., Spirit Releasement Therapy: A Technique Manual ; Human Potential Foundation. [2]: Environ 7,5 kilos [3]: Eusapia PALLADINO (1854-1918) une Italienne bien connue pour ses sĂ©ances. [4]: Page Web du Professeur Robinson sur lâ internet. http://home.olemiss.edu/~djr/index.html
CHAPITRE IV
En fĂ©vrier 1993 je tombai malade et fus une nouvelle fois clouĂ©e au lit. Au dĂ©but de ma convalescence jâappelai Frank au tĂ©lĂ©phone et lui demandai sâil voulait bien mâapporter quelque chose dâintĂ©ressant Ă lire. Il arriva avec un grand sac dâĂ©picerie plein de livres sur les OVNIs et les rapts par des extraterrestres ! JâĂ©tais furieuse ! « Frank, je ne les lirai pas et tu peux les remballer ! » Il dĂ©posa le sac. « Au cas oĂč tu changerais dâavis, je te les laisse ». Et il mâadressa un sourire espiĂšgle. « Je tâassure que je ne suis pas en manque Ă ce point ! » « Fais comme tu voudras », dit Frank, et il me laissa avec le sac de sinistres livres de poche. AprĂšs un moment, lâennui Ă©tait devenu insupportable. Je mis la main dans le sac et en extirpai un livre. Hmm. Missing Time [1], Ă©crit par Budd HOPKINS. Ma fascination grandit Ă mesure que progressait ma lecture. Le style de lâĂ©criture laissait beaucoup Ă dĂ©sirer et lâaccent mis sur les faits concrets Ă©tait quelque peu imprĂ©cis; ce nâĂ©tait pas la littĂ©rature Ă©thĂ©rĂ©e de Ruth MONTGOMERY ni lâangoisse existentielle gothique de Whitley STRIEBER. CâĂ©tait en fait une tentative de « recherche sĂ©rieuse ! ». Jâallais de surprise en surprise. Mais plus dĂ©rangeant pour moi Ă©tait le fait que je reconnaissais un certain nombre dâĂ©vĂ©nements que jâavais balayĂ©s sous le tapais de ma propre existence et qui Ă©taient trĂšs Ă©vidents dans la vie des personnes interviewĂ©es dans le cadre
de cet ouvrage. Elles Ă©taient manifestement parvenues Ă explorer ces anomalies, Ă en parler, et Ă retrouver des souvenirs en Ă©tat dâhypnose. Cependant, aprĂšs avoir considĂ©rĂ© ces choses pendant un certain temps, je balayai leurs explications faisant Ă©tat de rapts extraterrestres. Je pouvais personnellement penser Ă une douzaine dâautres solutions. En outre, il Ă©tait trop tĂŽt pour pouvoir tirer des conclusions: il me fallait plus de donnĂ©es. Je poursuivis ma lecture. Livre aprĂšs livre. The Interrupted Journey. The Andreasson Affair. The Alien Agenda [2]. Avec un certain amusement, je dĂ©couvris que certaines personnes affirmaient que la Terre Ă©tait visitĂ©e depuis la nuit des temps par des visiteurs « venus dâailleurs ». Dâautres dĂ©claraient que nous avions de temps en temps reçu des visites mais qu « ils » Ă©taient tous partis Ă prĂ©sent et quâil ne fallait plus sâen faire. Un autre groupe disait que nous les avions « laissĂ© entrer » en dĂ©clenchant la bombe atomique : « ils » Ă©taient ici pour sâassurer que nous ne nous ferions pas exploser nous-mĂȘmes et le reste de lâunivers par la mĂȘme occasion ! Certains affirmaient que câĂ©taient des « bons », juste un peu bizarres parce quâils avaient suivi un chemin dâĂ©volution diffĂ©rent ou bien parce quâils Ă©taient plus avancĂ©s que nous. Pour dâautres câĂ©taient des dĂ©mons venus de lâenfer et il nous Ă©tait fortement recommandĂ© de regagner en vitesse le giron de lâĂglise si vous voulions survivre Ă lâinvasion. Phouuuuh ! La seule chose certaine Ă©tait que tous ces gens voyaient et faisaient lâexpĂ©rience de quelque chose de singuliĂšrement Ă©trange. Des projets secrets du gouvernement ? Des extraterrestres secrĂštement de mĂšche avec le gouvernement ? Quand jâeus fini ma lecture jâavais acquis une certitude: il y avait beaucoup de fumĂ©e ! Se pouvait-il quâil y
ait un feu ? Difficile Ă dire si tous ces rapts rĂ©sultaient dâune manipulation par le gouvernement pour faire en sorte que les gens croient quâils existent ou bien si les extraterrestres existaient et Ă©taient en train dâessayer de faire en sorte que le gouvernement passe pour responsable et stupide. Quelle confusion inextricable ! Pour ne pas me laisser intimider par aucun phĂ©nomĂšne inexpliquĂ© je me mis Ă travailler sur une nouvelle thĂ©orie pour expliquer le phĂ©nomĂšne OVNI/rapts par des extraterrestres. Dans ces rĂ©cits Il y avait bien peu dâĂ©lĂ©ments qui ne pourraient pas ĂȘtre expliquĂ©s par des hallucinations collectives, de lâhystĂ©rie, de la psychokinĂšse, des stigmates, des souvenirs rĂ©primĂ©s dâabus physiques et entre autres sexuels, des psychoses, de la schizophrĂ©nie, bref tout un arsenal de tours jouĂ©s par le mental. Je travaillai sur le problĂšme, en discutai avec Frank, et lui dĂ©montrai comment tous les Ă©vĂ©nements quâil Ă©nonçait pouvaient ĂȘtre expliquĂ©s par quelque aspect de ma nouvelle thĂ©orie rationnelle sur les OVNIs. Il Ă©cumait pratiquement de frustration devant mon obstination Ă refuser de voir autre chose que ce qui pouvait ĂȘtre classĂ©, catĂ©gorisĂ© et expliquĂ© par la science officielle actuelle, mĂȘme si certains cas sâĂ©cartaient pas mal de ce « normal ». Et jâĂ©tais assez fiĂšre de ma solution diablement intelligente. Mais comme on le sait, celui qui est orgueilleux doit se casser la figure. CâĂ©tait en mars 1993. Peu de temps aprĂšs avoir pu quitter mon lit de souffrance et aprĂšs lâafflux de livres sur les OVNIs, je mâen allai un beau matin au supermarchĂ© et aperçus Ă lâentrĂ©e un paquet de feuillets roses couverts dâannonces de type « brocantes ». JâĂ©tais Ă la recherche de matĂ©riel informatique, de sorte que jâen pris un et le mis dans ma poche. De retour Ă la
maison je le lus et vis une annonce qui correspondait exactement Ă ce que je cherchais. Jâappelai le numĂ©ro et parlai Ă une dame nommĂ©e Patricia. Nous nous mĂźmes Ă parler ordinateurs et elle me demanda quels programmes jâutilisais. Je mentionnai mes programmes dâastrologie, ce qui Ă©veilla son intĂ©rĂȘt. De question en question, jâen vins Ă parler dâhypnothĂ©rapie. Comme cela arrive souvent, de fil en aiguille et aprĂšs une heure passĂ©e au tĂ©lĂ©phone, Pat demanda Ă me rencontrer parce quâil se pouvait quâelle me demande un rendez-vous pour une sĂ©ance dâhypnothĂ©rapie. Il semblait que quelque chose de trĂšs Ă©trange lui Ă©tait arrivĂ© en 1987, et la tracassait toujours; elle voulait savoir pourquoi ou au moins pouvoir se libĂ©rer de lâangoisse quâelle Ă©prouvait encore. Lâhistoire Ă©tait que, accompagnĂ©e de son fils ĂągĂ© de 16 ans, elle avait Ă©tĂ© assister aux funĂ©railles dâune tante, et ils Ă©taient tous deux sur le chemin du retour dans le Maryland, roulant sur la route Ă pĂ©age de Pennsylvanie. Il sâĂ©tait mis Ă neiger et elle vit une lumiĂšre trĂšs vive devant elle et sur le cĂŽtĂ©: une lumiĂšre bleuĂątre, quâelle pensa destinĂ©e Ă Ă©clairer un panneau publicitaire, parce que la chute de neige avait affaibli la luminositĂ©. Ce qui se produisit ensuite avait Ă©tĂ© si Ă©trange que ce seul souvenir la perturba et la mit mal Ă lâaise Elle me dit quâune paralysie avait commencĂ© Ă gagner ses mains et ses bras, comme si quelquâun dâautre avait pris le contrĂŽle de la voiture. Comme je venais de lire un plein sac de livres sur les OVNIs, le « temps manquant » et tout et tout, je reconnus immĂ©diatement les signes avant-coureurs dâune expĂ©rience de « temps manquant » telle que dĂ©crite par Budd HOPKINS. CâĂ©tait assez effrayant dâavoir cette conversation juste aprĂšs avoir lu ces livres. Je parvins cependant Ă rester calme et Ă lui
demander dâune maniĂšre naturelle : « et ensuite ? ». Pat me dit que câĂ©tait lĂ le passage le plus fou, car elle Ă©tait incapable de sâen souvenir ! AprĂšs avoir vu la lumiĂšre et Ă©prouvĂ© cette paralysie, ce qui suivait dans son souvenir Ă©tait quâelle se trouvait Ă un feu de signalisation 75 ou 90 km plus loin sur la route. Elle ne se souvenait pas avoir quittĂ© la grand-route, et son fils venait de se couper le doigt en essayant dâouvrir une boĂźte de biscuits. Il saignait et elle « Ă©tait revenue Ă elle » en disant : « il y a une serviette sur le siĂšge arriĂšre ». Pour ajouter Ă sa dĂ©tresse, elle Ă©tait arrivĂ©e chez elle beaucoup plus tard quâelle nâaurait dĂ», mais le rĂ©servoir dâessence de la voiture Ă©tait encore presque plein. Elle Ă©tait sĂ»re que câĂ©tait sa tante qui avait essayĂ© de la contacter psychiquement, et elle voulait vraiment obtenir une rĂ©ponse. Quâest-ce que sa tante avait voulu lui communiquer ? Le fait quâelle nâait pas parlĂ© ni effleurĂ© le sujet dâextraterrestres rendait la chose trĂšs intĂ©ressante pour moi, parce que si elle avait affirmĂ© avoir Ă©tĂ© enlevĂ©e par des petits hommes verts jâaurais mis fin Ă la conversation. Bien sĂ»r, je ne voulais pas faire la moindre allusion Ă des extraterrestres, parce que je voulais tenter de dĂ©montrer la justesse de ma thĂ©orie : les « rapts extraterrestres » Ă©taient des psychodrames, de la mĂȘme maniĂšre que lâĂ©taient les vies antĂ©rieures. Je me contentai de dire Ă Pat que nous pourrions certainement nous dĂ©barrasser promptement du problĂšme grĂące Ă lâhypnose. Elle prit rendez-vous. CâĂ©tait dans la nuit du jeudi 15 avril 1993. Ă lâheure du rendez-vous, (Pat sâoccupait de son mari malade et devait venir pendant que ses enfants seraient Ă la maison pour le veiller) il se mit Ă tomber des cordes. JâĂ©tais certaine quâelle ne viendrait pas dans une pluie pareille et mâattendais Ă une annulation. Mais Ă ma surprise, elle vint.
Nous commençùmes par lâentretien normal qui avait lieu avant toute sĂ©ance, et puis nous parlĂąmes encore un peu de lâĂ©vĂ©nement. Je voulais avoir des dates et des Ă©lĂ©ments concernant sa situation dans la vie en gĂ©nĂ©ral, de maniĂšre Ă obtenir des indices sur dâĂ©ventuels conflits familiaux qui pourraient ĂȘtre Ă lâorigine de ce drame. Pat Ă©tait agent immobilier et sâoccupait aussi, par contrat avec le gouvernement, de transcrire des rapports mĂ©dicaux concernant des dossiers de sĂ©curitĂ© sociale. Elle parla un peu de ses enfants et de son mari malade qui Ă©tait en train de mourir. La tension engendrĂ©e par cette situation exacerbait naturellement ses problĂšmes. Rien ne fut dit Ă aucun moment Ă propos dâ« aliens ». Je pris soin de lui demander quels Ă©taient ses intĂ©rĂȘts. Elle ne sâĂ©tait jamais intĂ©ressĂ©e Ă la mĂ©taphysique et encore moins aux extraterrestres. Elle avait Ă©tĂ© une catholique fervente mais Ă prĂ©sent elle Ă©prouvait des doutes vis-Ă -vis de sa religion. Elle Ă©tait sĂ»re que je ne parviendrais pas Ă lâhypnotiser. Je dĂ©cidai dâenregistrer la sĂ©ance sur cassette vidĂ©o et non audio comme jâen avais lâhabitude. Je voulais enregistrer ma propre preuve que le « phĂ©nomĂšne des enlĂšvements par des extraterrestres » avait une autre explication ! Elle Ă©tait un bon sujet et glissa rapidement en Ă©tat dâhypnose. Je lui demandai de remonter le temps jusquâau moment oĂč elle Ă©tait en train de conduire sur la route du retour aprĂšs les funĂ©railles. La neige tombait tellement dru quâils avaient dĂ» tourner vers une autre grand-route, en espĂ©rant que les conditions de conduite y seraient meilleures. Elle dĂ©crivit la lumiĂšre devant ce quâelle pensait ĂȘtre un panneau. Elle la dĂ©crivit comme Ă©tant dâun bleu iridescent, un ovale pĂąle de bleu layette, et cet ovale Ă©tait en suspension devant le panneau.
Pour elle cela nâavait pas de sens et dans son souvenir elle sâĂ©tait fermement frottĂ© les yeux, se disant quâelle devait ĂȘtre en train dâimaginer des choses. Mais la lumiĂšre ne voulait pas sâen aller. Et toujours dans son souvenir, elle demanda Ă son fils sâil pouvait la voir. Il dit que non et cela la perturba encore davantage. De plus, la lumiĂšre quâelle dĂ©crivait devenait de plus en plus grande. Alors Pat fut alarmĂ©e parce quâelle sentait que quelque chose prenait le contrĂŽle de sa voiture. Elle affirma que ce nâĂ©tait plus elle qui conduisait ; quelque chose conduisait la voiture et la lumiĂšre grandissait. Puis lâomission. Toute la montĂ©e dramatique sâarrĂȘte brusquement et elle dit: « je voudrais que cette satanĂ©e lumiĂšre change ». « Quoi ? » demandai-je. « Je suis en train dâattendre que la lumiĂšre devienne verte », dit-elle. Ă ce moment sa voix exprima la panique: « Oh mon Dieu, Patrick ! Quâest-ce que tu as fait ? » Il Ă©tait Ă©vident que quelque chose se passait dans son souvenir. Quelque chose nâallait pas. « Oh mon Dieu, Patrick ! » disait cette femme. « Quâest-ce que tu as fait ? Il y a une serviette sur le siĂšge arriĂšre. Prends-la. » Je rassurai Pat, lui dis que tout allait bien, et lui demandai de mâexpliquer ce qui Ă©tait en train de se passer. Elle me dit quâelle se trouvait devant un feu de signalisation dans une petite ville, quâelle attendait que la lumiĂšre se mette au vert, et que son fils avait essayĂ© dâouvrir une boĂźte de biscuits que quelquâun leur avait donnĂ© aprĂšs les funĂ©railles. Il ne parvenait pas Ă lâouvrir et elle lui avait dit de prendre le canif dans la boĂźte Ă gants. Il sâĂ©tait coupĂ© et elle avait paniquĂ© Ă la vue de la quantitĂ© de sang qui coulait. Donc ils Ă©taient lĂ , tout
dâun coup devant un feu de croisement, et la main de Patrick saignait â beaucoup. Pat Ă©tait agitĂ©e et bouleversĂ©e hors de proportion par rapport Ă lâĂ©vĂ©nement. Quelque chose la perturbait, et ce nâĂ©tait pas seulement la coupure Ă la main de son fils. Elle respirait trĂšs rapidement, avait Ă©levĂ© ses bras devant sa poitrine et elle les croisa, comme si elle voulait se protĂ©ger. Je la rassurai en disant quâelle-mĂȘme et son fils Ă©taient en sĂ©curitĂ©. Je compris quâil nous fallait apprendre comment elle avait sautĂ© de lâapproche de la lumiĂšre bleue Ă une petite ville 75 km plus loin sur la route. Je lâinterrogeai Ă ce sujet et elle se sentit perdue Ă lâidĂ©e de ne pas savoir comment elle Ă©tait arrivĂ©e devant ce feu de signalisation. Comment avait-elle parcouru 75 km sans en avoir conscience ? QuâĂ©tait-il arrivĂ© Ă la lumiĂšre bleue ? Je lâarrĂȘtai et suggĂ©rai de recommencer depuis le dĂ©but. Je la dirigeai jusquâau commencement, au dĂ©part du pĂ©age et lui dis de recommencer. « Refaisons le trajet, un peu plus lentement cette fois », dis-je. Mais cela ne servit Ă rien. Ă chaque fois que nous refaisions le chemin elle sautait de lâapproche vers la lumiĂšre bleue au feu de signalisation Ă 75 km de lĂ , et son fils ouvrait la boĂźte de biscuits avec le canif et se faisait une coupure Ă la main. JâĂ©tais dĂ©terminĂ©e Ă trouver ce qui sâĂ©tait passĂ© pendant ces 75 km. Frank Ă©tait tout excitĂ© et ne cessait de me murmurer que cela Ă©tait un « vrai enlĂšvement par des extraterrestres ». Et je lui rĂ©pondais Ă chaque fois que ces « vrais rapts » pourraient ĂȘtre autre chose que des extraterrestres. En fait, jâĂ©tais ouverte Ă des tas dâidĂ©es mais pour une raison qui mâĂ©chappe, les
extraterrestres en Ă©taient exclus. Puisque je considĂ©rais comme une rĂ©elle possibilitĂ© que ces scĂ©narios soient les symboles de quelque drame psychologique, je dĂ©cidai de plonger mon sujet encore plus profondĂ©ment dans lâhypnose et de rejouer les scĂšnes. Jâavais lâintention dâutiliser mon « arme secrĂšte » pour lâamener Ă la porte de derriĂšre du subconscient. Cela marcha, en partie. Cette fois, Pat parvint Ă se souvenir dâun emplacement de parking. Elle pouvait voir la lumiĂšre grossir et elle pouvait sentir la voiture quitter la grand-route. Elle dĂ©crivit comment elle et son fils sâĂ©taient arrĂȘtĂ©s sur le parking dâun « restoroute » juste le long de lâautoroute, non loin du « panneau dâaffichage » dont la lumiĂšre Ă©manait. « Que sâest-il passĂ© ensuite ? » demandai-je. « Je voudrais que cette satanĂ©e lumiĂšre change », dit-elle. Autre saut, retour devant le feu de signalisation Ă 75 km de lĂ . Câest peu dire que je fus surprise. Il y avait forcĂ©ment un Ă©vĂ©nement entre le parking et le feu de croisement: dâune lumiĂšre bleue Ă une lumiĂšre rouge. Je fis une nouvelle tentative. Je passai quelques minutes Ă approfondir la transe. Je dĂ©cidai Ă©galement de retirer Pat de cet Ă©vĂ©nement-lĂ et de le lui faire voir de loin, sur un Ă©cran. Dans le cas dâĂ©vĂ©nements trĂšs traumatisants ceci permet dâobtenir une description de ce qui sâest produit, et par aprĂšs on peut traiter le traumatisme Ă©motionnel. Je lui demandai de se voir dans un lieu sĂ»r, dans une piĂšce, dans un fauteuil inclinable, se reposant paisiblement, et devant elle il y avait une tĂ©lĂ©vision sur lâĂ©cran de laquelle elle pouvait voir les Ă©vĂ©nements de cette nuit sans aucune implication Ă©motionnelle. Je lui dis ensuite de visualiser dans sa main une tĂ©lĂ©commande avec laquelle elle pouvait contrĂŽler le « film ». Elle pouvait
accĂ©lĂ©rer vers lâavant, rembobiner, Ă©teindre, tout ce qui lui permettrait de se sentir en sĂ©curitĂ© et ayant les choses en main. Je lui demandai de retourner au dĂ©but du rĂ©cit, de presser le bouton « marche » et de dĂ©crire ce quâelle voyait. Elle Ă©tait Ă nouveau sur lâautoroute, conduisant dans la neige. Puis vinrent le panneau et la lumiĂšre. Je lui donnai pour instruction dâutiliser la tĂ©lĂ©commande et de faire ralentir lâaction, dâutiliser le bouton qui permettait de faire avancer lâaction image par image. Elle vit la lumiĂšre bleue devant le panneau. Elle la vit grossir. Elle sentit une force qui prenait le contrĂŽle de la voiture. Elle sentit la voiture quitter la route et tourner vers lâemplacement de parking alors quâelle luttait contre le volant. La voiture se parqua dâelle-mĂȘme, et ils se retrouvĂšrent assis dans la voiture, sur le parking, prĂšs du « restoroute » fermĂ©. Ils ne savaient pas pourquoi; ils attendaient quelque chose; quelquâun approchait de la voiture. Je lui demandai de dĂ©crire son apparence. « Je ne peux pas », dit-elle. Elle Ă©tait Ă nouveau en train de se tordre les mains et de les agiter, dans un Ă©tat dâextrĂȘme agitation. Elle commença Ă hyperventiler. Ses bras se tordaient et se secouaient. Elle les frottait frĂ©nĂ©tiquement avec ses mains, comme si elle avait mal. « Comment cela « vous ne pouvez pas » demandai-je. « Parce quâILS ne me laisseront pas faire ». Le mot « ils » fut prononcĂ© avec tant de terreur quâun frisson me parcourut la colonne vertĂ©brale. « Que voulez-vous dire ? Qui vous empĂȘche de voir, de vous souvenir ? Câest qui, EUX ? » demandai-je dans lâespoir quâelle parviendrait Ă le sortir avant le « saut ». Elle se contenta de secouer la tĂȘte avec dĂ©sespoir. « Je ne peux pas le dire », dit-elle. « Je ne peux pas. »
Sâil y a jamais eu preuve quâun hypnothĂ©rapeute ayant des idĂ©es prĂ©conçues ne peut influencer les souvenirs dâun sujet, ce cas-ci devrait devenir un classique Ă cet Ă©gard ! Jâai honte de devoir admettre mes prĂ©jugĂ©s Ă prĂ©sent, et je reconnais volontiers que lâapproche du problĂšme nâĂ©tait sans doute pas ce quâelle aurait dĂ» ĂȘtre, mais comme je lâai dĂ©jĂ dit, le sujet ne prĂ©tendait pas avoir Ă©tĂ© enlevĂ© par des extraterrestres â du moins pas consciemment. De plus, jâavais Ă coeur de ne « diriger » en aucune façon, de sorte que lâexpĂ©rience ne pouvait fondamentalement pas ĂȘtre contaminĂ©e. Dire que jâĂ©tais intriguĂ©e et frustrĂ©e est en-dessous de la vĂ©ritĂ©. Je nâavais jamais rencontrĂ© un blocage de souvenirs impossible Ă forcer. CâĂ©tait une de mes spĂ©cialitĂ©s. JâĂ©tais capable de trouver les « petites portes de derriĂšre » du mental et les racines des problĂšmes. Avec Pat, rien ne marchait en dĂ©pit de tous mes efforts. Elle rĂ©pĂ©tait: « Je ne peux pas ! Je ne peux pas ! » ExaspĂ©rĂ©e de frustration je demandai: « Pourquoi ? » Sa rĂ©ponse me fit dresser les cheveux sur le tĂȘte et me fit froid jusquâaux os: « Parce QuâILS ne me le permettent pas ! » Pendant un moment je restai complĂštement abasourdie. Je nâavais jamais rencontrĂ© de « Eux » capables de bloquer la mĂ©moire de maniĂšre aussi efficace et de provoquer de la souffrance et des douleurs quand des tentatives Ă©taient faites pour y accĂ©der. Je supposai immĂ©diatement que jâavais Ă faire Ă un traumatisme rĂ©primĂ©. Je voulais croire quâil y avait lĂ quelque chose de reliĂ© Ă lâenfance ou peut-ĂȘtre Ă une vie antĂ©rieure, mais je ne parvenais pas Ă secouer lâĂ©trange sensation qui mâavait envahie quand elle sâĂ©tait Ă©criĂ©e « ILS ne me le permettent pas ! » Je savais que je ne perdrais pas le contrĂŽle
professionnel et je conclus quâil ne serait pas sage dâaller plus loin pour le moment. Un sujet met parfois du temps Ă ĂȘtre « mis en condition ». Jâentamai donc les suggestions qui devaient la mettre Ă lâaise, qui devaient lui faire apprĂ©cier lâhypnose, la faire vouloir recommencer, et lâaider Ă entrer en transe plus facilement dorĂ©navant afin de pouvoir la mettre dans Ă©tat plus profond et de pouvoir « traiter » la chose. Puis je la rĂ©veillai. Nous discutĂąmes du rendez-vous suivant et elle me dit quâelle aimerait renouveler lâexpĂ©rience. Mais elle mâappela et annula le rendez-vous le jour mĂȘme du nouveau rendez-vous. Quand je repensai aux implications de cette sĂ©ance, je me dis quâil y avait trop dâinconnues, trop de choses qui nâavaient pas de sens. Quâest-ce qui pouvait bien se produire sur le bas-cĂŽtĂ© dâune autoroute enneigĂ©e, capable de causer un tel traumatisme et induire une telle souffrance dĂšs que le sujet Ă©tait effleurĂ© ? Je ne voyais aucun scĂ©nario tellement dramatique que son seul souvenir ne pouvait ĂȘtre Ă©voquĂ© mĂȘme avec les techniques de mise Ă distance Ă©motionnelle utilisĂ©es. MĂȘme si le sujet sâĂ©tait contentĂ© de sortir de lâautoroute pour se reposer et quâune bande de psychopathes Ă©tait venue les saisir et forcer Ă participer Ă quelque bizarre rituel satanique, cela nâexpliquait en aucun cas pourquoi, Ă lâencontre de toutes les lois de la probabilitĂ©, ils les auraient laissĂ©s poursuivre leur voyage avec seulement une coupure Ă une main. Est-ce que Frank serait dans le vrai ? Est-ce que cette femme et son fils auraient Ă©tĂ© enlevĂ©s par des extraterrestres ? Est-ce que ceux-ci disposaient dâune technologie permettant dâimplanter un « blocage douloureux » dans la mĂ©moire des Ă©vĂ©nements ? CâĂ©tait chercher trop loin. Je ne pouvais pas lâaccepter. Il devait y avoir quelque chose dâautre, mais quoi ? Il mâĂ©tait impossible de lâimaginer. Au cours des semaines suivantes, une sĂ©rie
dâĂ©vĂ©nements se produisirent qui bousculĂšrent complĂštement ma certitude quâil sâagissait seulement de la suppression psychologique dâun traumatisme humain ordinaire. Les journaux et les nouvelles tĂ©lĂ©visĂ©es parlĂšrent de multiples observations dâOVNIs dans la rĂ©gion. De la mi avril Ă la fin de ce mĂȘme mois, plus dâune douzaine de personnes dans les cantons de Pasco, Hernando et Pinellas en Floride, dĂ©clarĂšrent avoir vu un grand vaisseau en forme de boomerang se mouvoir dans le ciel. Parmi les tĂ©moins se trouvait un assistant du shĂ©rif du canton de Hernando, qui dit que le vaisseau en question ne portait aucune marque, quâil prĂ©sentait une rangĂ©e de lumiĂšres bleues et que lâenvergure devait ĂȘtre de prĂšs de soixante mĂštres. Il lâavait observĂ© pendant plusieurs minutes avant de le voir accĂ©lĂ©rer Ă une vitesse impossible Ă atteindre pour nâimporte quel aĂ©ronef fabriquĂ© par lâhomme. Quelque chose dans ces histoires me tracassait. Quand le « soufflĂ© fut retombĂ© » je classai les rapports dans lâordre chronologique, parce que certaines personnes nâavaient fait rapport quâaprĂšs avoir constatĂ© que dâautres lâavaient fait avant elles et que lâordre des rapports donnĂ©s aux nouvelles nâĂ©tait pas celui des observations. Je rĂ©alisai que la toute premiĂšre observation des objets en forme de boomerang avait Ă©tĂ© faite par une personne qui habitait seulement Ă quelques pĂątĂ©s de maison de chez moi, dans la soirĂ©e du jeudi 15 avril exactement au moment oĂč je dirigeais la sĂ©ance dâhypnose avec cette femme qui avait perdu la trace de 75 kilomĂštres entre la lumiĂšre bleue et la lumiĂšre rouge. Ce qui Ă©tait encore plus renversant câĂ©tait que la description faite par le tĂ©moin semblait localiser le passage du boomerang dans mon voisinage direct, peut-ĂȘtre mĂȘme au-dessus de ma maison. Les rapports sur les boomerangs noirs arrivĂ©s conjointement Ă cette sĂ©ance ne me firent pas plaisir. En fait, ils
me donnĂšrent la chair de poule ! Cela me donna aussi Ă rĂ©flĂ©chir. Si nous conjecturons que ce « phĂ©nomĂšne alien » fait partie dâune conspiration gouvernementale « souterraine » destinĂ©e Ă faire des expĂ©riences sur les gens â peut-ĂȘtre de leur faire croire quâils sont enlevĂ©s par des extraterrestres afin quâils recherchent une plus grande protection et des contrĂŽles accrus de la part de « Big Brother » â alors nous avons un fameux problĂšme. Et ce problĂšme devient: Comment un tel groupe supposĂ© serait-il Ă mĂȘme de fabriquer et de faire se manifester la rĂ©ponse donnĂ©e au cours de cette sĂ©ance ? Jâavais pris bien soin de ne pas mentionner Ă cette femme au tĂ©lĂ©phone avant la sĂ©ance, les mots « extraterrestres » ou « enlĂšvement ». Si les conversations tĂ©lĂ©phoniques Ă©taient sur Ă©coute, comment celle-ci avait-elle pu attirer lâattention ? Une telle surveillance, mĂȘme par « mots clĂ©s » devant attirer une attention personnelle, implique une conspiration dâune telle envergure et dâune telle complexitĂ© que sa logistique dĂ©fie toute imagination. Alors, supposons quâil sâagisse dâune conspiration gouvernementale. Supposons quâils possĂšdent de telles capacitĂ©s de surveillance quâils soient Ă mĂȘme de surveiller mon tĂ©lĂ©phone, celui de Pat, ou ceux de nâimporte qui par ordinateur. Supposons alors quâils savaient que jâallais lâhypnotiser et quâils ont envoyĂ© une flottille dâavions de type « furtif » pour lui faire parvenir une sorte de rayon (ou quelque chose du genre) qui pourrait lâempĂȘcher de me parler. Pourquoi prendraient-ils toute cette peine ? Il me semblait quâil aurait Ă©tĂ© bien plus facile dâenvoyer une ce ces jolies camionnettes quâon voit dans les films, et de la parquer Ă un bloc de chez moi pour « envoyer des rayons ». Dâaccord, ils avaient peut-ĂȘtre pensĂ© que câĂ©tait un
moment propice pour « mettre la pression » sur les OVNIs: pour exciter tout le monde et renforcer le scĂ©nario de « phĂ©nomĂšne alien » quâils Ă©taient en train de crĂ©er. Nous Ă©tions toujours dans une logique qui dĂ©fiait lâesprit. La question suivante quâil fallait se poser Ă©tait: puisque cette femme avait surgi dans ma vie prĂ©cisĂ©ment au moment oĂč je me familiarisais avec le phĂ©nomĂšne suffisamment que pour reconnaĂźtre les symptĂŽmes, que faire de cette synchronicitĂ© ? Sâil sâagissait dâune conspiration Ă lâĂ©chelon du gouvernement qui voulait me « mettre dedans » graduellement, en suscitant dans ma vie une sĂ©rie dâĂ©vĂ©nements qui mâamĂšneraient Ă renoncer Ă toute explication rationnelle du phĂ©nomĂšne, de quelle sorte de surveillance sâagissait-il alors ? Et de quelle « Direction des Ressources humaines » ? Une fois encore, cela me perturbait lâesprit. Ma conclusion fut quâil ne pouvait sâagir dâune intervention humaine, mais je nâĂ©tais pas prĂȘte Ă prendre sĂ©rieusement en considĂ©ration le fait quâil pourrait sâagir dâune intervention dâun « autre monde ». Autrement dit, il y avait Grande ĂtrangetĂ© de tous les cĂŽtĂ©s. Ces pensĂ©es suscitĂšrent en moi un sentiment Ă©trange dâĂȘtre surveillĂ©e, difficile Ă dĂ©crire. La synchronicitĂ© Ă©tait si bizarre que je ne pouvais mâempĂȘcher de penser que lâapparition de ce vaisseau pouvait ĂȘtre en relation avec nos activitĂ©s de communications supraluminiques. Je mâefforçai de balayer ces pensĂ©es sous le tapis, mais elles revenaient sans cesse Ă la surface. Il y eut dans le St. Peter Times un dernier article au sujet de cette sĂ©rie dâobservations et ce dernier article Ă©tait censĂ© calmer tous les esprits; il suggĂ©rait que ce qui avait Ă©tĂ© vu Ă©tait en fait un « bombardier furtif ». Ce nâĂ©tait quâune Ă©trange coĂŻncidence. Ma zone de confort revint Ă la normale et
je pus redormir la nuit. Pendant quelque temps. Frank, Ă©tait naturellement en extase. Cet Ă©vĂ©nement Ă©tait la preuve que Pat savait des choses quâil Ă©tait dangereux de savoir â quelque chose que les extraterrestres â ou quelquâun dâautre â ne voulaient pas quâelle rĂ©vĂšle. Il pensait que la prĂ©sence des OVNIs reprĂ©sentait un effort destinĂ© Ă renforcer un blocage douloureux ou mĂȘme de le dĂ©clencher Ă distance et que câĂ©tait Ă cela quâelle faisait allusion quand elle disait: « ils ne veulent pas que je dise ce qui sâest passĂ© ». MĂȘme si cela Ă©tait une dĂ©duction raisonnable basĂ©e sur lâĂ©vidence observable, je nâĂ©tais pas prĂȘte Ă admettre les thĂ©ories de Frank. JâĂ©tais tellement dĂ©terminĂ©e Ă nier lâĂ©vidence de prĂ©tendus extraterrestres et de prouver que le phĂ©nomĂšne « alien » nâĂ©tait pas autre chose quâune aberration psychologique, que je dĂ©cidai que lâĂ©pidĂ©mie dâobservations Ă©tait seulement un nouveau symptĂŽme dans la maladie du millĂ©naire. DĂšs que quelquâun avait dĂ©clarĂ© avoir vu un boomerang gĂ©ant, le public avait Ă©tĂ© contaminĂ© et tout le monde se figurait voir la mĂȘme chose. Mais sâil y avait tant dâextraterrestres qui avaient la manie dâenlever des gens, oĂč Ă©taient les preuves ? « OĂč sont les preuves ? » demandai-je Ă Frank. « Montre-moi un de ces satanĂ©s extraterrestres pour lâamour de Dieu. Habeas Corpus ! »
NOTES
[1]: Temps manquant (NdT) [2]: Le voyage interrompu; LâAffaire Andreasson; Les
Intentions des Aliens (NdT)
CHAPITRE V
Alors, une nouvelle fois, les problĂšmes de santĂ© refirent surface. Il semblait que toute ma vie, dĂšs que je me remettais dâun assaut par la seule force de ma volontĂ©, un autre me tombait dessus sans crier gare. Ma facultĂ© dâaller de lâavant faiblissait rapidement devant les dĂ©fis qui se prĂ©sentaient. JâĂ©tais incapable de marcher plus de cinq minutes. Me tenir debout Ă©tait intolĂ©rablement douloureux. Et pendant ce temps, lâinsensibilitĂ©, les picotements et la douleur jusquâaux os que je ressentais dans mon bras gauche me rendaient pratiquement folle. Le mĂ©decin diagnostiqua une angine de poitrine due aux problĂšmes cardiaques qui avaient fait leur apparition au cours dâune maladie que jâavais eue en 1981. Il suggĂ©ra que je perde du poids et fasse de lâexercice. Mais comment fait-on de lâexercice quand on est incapable de se tenir debout ou de marcher pendant plus de cinq minutes ? Le remĂšde pour la thyroĂŻde que jâavais pris pendant cinq ans paraissait nâavoir aucun effet sur mon poids et ne faisait quâexacerber le problĂšme cardiaque. MĂȘme quand je mangeais trĂšs peu je prenais du poids; je disais par plaisanterie que je prenais du poids mĂȘme en regardant un verre dâeau. Mais ceci nâĂ©tait pas une plaisanterie. Il me fallait ĂȘtre capable de travailler pour les enfants.
Ă cette Ă©poque je recevais par semaine trois ou quatre clients en hypnothĂ©rapie. Cela Ă©tait si fatigant quâaprĂšs une sĂ©ance il me fallait une journĂ©e entiĂšre pour rĂ©cupĂ©rer. Chaque jour je devais faire un choix parmi les quelques facultĂ©s de fonctionner qui me restaient. Chaque choix signifiait que toute une liste dâautres choses ne pourraient ĂȘtre faites. La solution manifeste Ă©tait la natation. Le seul endroit oĂč pouvait se pratiquer une natation thĂ©rapeutique se trouvait Ă trente minutes de conduite douloureuse en voiture, et mes jambes enflaient terriblement aprĂšs seulement dix ou quinze minutes en voiture. Je commençai Ă imaginer combien agrĂ©able ce serait dâavoir une piscine dans la cour arriĂšre. Je visualisai une piscine et moi-mĂȘme, en bonne santĂ©, barbotant dans lâeau. Je rĂ©alisais cependant quâil nây avait aucune chance pour que ce projet se rĂ©alise. CâĂ©tait un pur fantasme dans notre situation actuelle. Il me faudrait penser Ă un autre moyen; peut-ĂȘtre la piscine publique. Mais juste « au cas oĂč » je dis Ă haute voix dans la piĂšce vide: « Dieu, comme une piscine viendrait Ă point ! » Un soir, ma deuxiĂšme fille demanda Ă son pĂšre si elle pouvait choisir les chiffres alors quâil Ă©tait sur le point de sortir pour aller acheter des billets de loterie. Il rit et dit « bien sĂ»r ! » Elle les choisit et nous gagnĂąmes. Quinze mille. La piscine Ă©tait Ă nous. Elle ne fut pas prĂȘte avant le mois dâaoĂ»t. Je pensai alors quâil serait appropriĂ© que les enfants et moi-mĂȘme « inaugurions » la piscine en flottant sur nos radeaux de caoutchouc tout en contemplant la pluie de mĂ©tĂ©orites persĂ©ides. 16 aoĂ»t 1993 : dans les rĂ©gions subtropicales il ne
commence Ă faire nuit que vers 21h, de sorte que ce ne serait que deux heures plus tard que les conditions dâobservation mĂ©tĂ©orologique seraient optimales. Les enfants Ă©taient tout excitĂ©s Ă lâidĂ©e de rester tard levĂ©s et dâobserver une pluie dâĂ©toiles filantes depuis la piscine. Ils sâĂ©taient prĂ©cipitĂ©s dehors vers 22h tandis que je restais Ă lâintĂ©rieur, mâefforçant de nettoyer la cuisine avant de sortir les rejoindre Ă 23h. Trois de mes cinq enfants Ă©taient dehors avec moi. Ma fille aĂźnĂ©e Ă©tait Ă un rendez-vous et le bĂ©bĂ© Ă©tait au lit. Je me glissai pour la premiĂšre fois dans la piscine. Comme jâĂ©tais heureuse et reconnaissante de lâavoir ! Je me dĂ©plaçai vers lâextrĂ©mitĂ© pour appuyer ma tĂȘte sur le bord et flotter, tout en regardant dans la direction vers laquelle les Ă©toiles filantes Ă©taient supposĂ©es filer. Les conditions dâobservation Ă©taient favorables: pas de lune, un ciel dĂ©gagĂ© avec seulement une lĂ©gĂšre brume dâhumiditĂ© dans les hauteurs, et la lumiĂšre ambiante Ă©tait minimale. Soudain, ma fille de douze ans sâĂ©cria : « regardez ! LĂ -haut ! » Ce nâĂ©tait pas une mĂ©tĂ©orite. CâĂ©tait un grand boomerang noir de 90 mĂštres dâenvergure dont Ă©manait une faible lueur rougeĂątre, et qui se dĂ©plaçait si lentement et si bas que je savais que si je mâĂ©tais tenue debout sur le toit de ma maison Ă un Ă©tage, jâaurais pu le toucher. Nous eĂ»mes tout le temps de lâobserver et de noter lâapparence de « mĂ©tal noir mat brossĂ© » de son ventre. Nous lâobservĂąmes tandis quâil se mouvait trĂšs lentement au-dessus de nos tĂȘtes, trĂšs silencieux, et paraissant flotter. Il faisait route vers le sud au ras des cimes des arbres. Nous nous regardĂąmes tous et dĂźmes dâune seule voix: « Quâest-ce que câĂ©tait ? ! » Quand mon fils sâĂ©cria: « Un autre ! » Et en effet, juste Ă lâouest de la route du premier, il y
en avait un autre. Tous les dĂ©tails Ă©taient identiques: altitude, vitesse, lueur rougeĂątre, et grand silence ! JâĂ©tais Ă ce moment en possession suffisante de mes sens pour tenter dâentendre quelque chose ! Silence de mort. Et cela me frappa par son Ă©trangetĂ©; parce quâil y a normalement toutes sortes bruits la nuit : criquets, oiseaux nocturnes, grenouilles, etc. Mais il nây avait aucun bruit, aucune vibration, aucun bourdonnement. Rien. Nous restĂąmes lĂ abasourdis pendant quelques minutes « gelĂ©es » puis les enfants se mirent Ă appeler leur pĂšre. Il vint jusquâĂ la porte. « Câest quoi toute cette excitation ? » Les enfants rĂ©pondirent tous en choeur: « on a vu un OVNI ! » « Quel non-sens », dit-il. Je ne saurai jamais pourquoi jâai rĂ©pondu cela, mais les mots qui sortirent de ma bouche furent: « Oh, ce nâĂ©tait quâun vol dâoies ! Je pense que nous allons avoir du mauvais temps, parce que les oies volent vers le sud cette annĂ©e ! » dis-je en riant pendant que je balayais tout cela sous le tapis. Mon mari me regarda comme sâil avait une idiote en face de lui. « Les oies ne volent pas vers le sud au mois dâaoĂ»t, et de toute maniĂšre, nous sommes au sud ! », dit-il sarcastiquement. Entendre une rĂ©futation logique eut sur moi un effet Ă©trange: je me sentis trĂšs bouleversĂ©e et dĂ©sorientĂ©e hors de proportion par rapport Ă lâĂ©vĂ©nement. La seule chose qui me vint Ă lâesprit fut de rentrer et de tĂ©lĂ©phoner Ă Frank. Frank Ă©tait aux anges et croassait dâenthousiasme. « Enfin tu me crois ! Tu as vu un vrai OVNI ! » « Ăcoute, Frank ! Ce nâest pas parce que câest un OVNI que câest un OVNI extraterrestre ! »
Lâenthousiasme de Frank Ă©tait irrĂ©pressible. Il avait un as Ă jouer. Il Ă©tait arrivĂ© chez lui peu de temps avant mon appel et il y avait sur son rĂ©pondeur un message quâil voulait me faire entendre. Il rembobina la bande et la fit passer. Un autre ami lui avait tĂ©lĂ©phonĂ©, lui dĂ©crivant exactement la mĂȘme chose, vue une heure plus tĂŽt ! Il Ă©tait sorti de chez lui Ă 22h pour observer quelques Ă©toiles filantes et avait aussi Ă©tĂ© survolĂ© par le grand boomerang noir, avec son voisin pour tĂ©moin. Frank demanda: si câĂ©tait un vaisseau secret du gouvernement, pourquoi survolait-il notre voisinage de maniĂšre aussi discrĂšte et comment se faisait-il que lui connaissait personnellement deux des personnes auxquelles il sâĂ©tait montrĂ© ? Pour moi, ce nâĂ©tait pas un mystĂšre. Sans aucun doute, un tas de gens lâavaient vu. NĂ©anmoins, il y avait sans nul doute un certain nombre de questions auxquelles il mâĂ©tait impossible de rĂ©pondre par la logique, quelles que fussent mes explications. Ă ce moment, je me sentis tellement bouleversĂ©e que je dus aller dans ma chambre et mây asseoir pour examiner les choses. Il Ă©tait clair pour moi que si je ne parvenais pas Ă trouver une explication rationnelle, il nây avait quâune conclusion possible : ou bien elles Ă©taient rĂ©elles, ou bien jâavais contractĂ© la « maladie du millĂ©naire » et jâĂ©tais en train de perdre la boule. Il ne sâagissait certainement pas dâun bombardier furtif. Lâarticle dans le journal les avait dĂ©crits assez prĂ©cisĂ©ment quand la premiĂšre « crise » sâĂ©tait produite quelques mois auparavant. Lâauteur y supposait que quand les gens disent quâils ont vu un « objet en forme de boomerang » ils veulent dire en fait quâils ont vu un objet triangulaire. La description des bombardiers furtifs mentionnait un fuselage que lâobjet que nous avions vu ne possĂ©dait tout simplement pas. CâĂ©tait une
forme de boomerang. Pas un triangle, pas un losange, un boomerang sans aucune sorte de « corps » derriĂšre la forme en arc. Mais comment pouvais-je ĂȘtre sĂ»re de cela ? Peut-ĂȘtre y avait-il des bombardiers furtifs dâun modĂšle plus rĂ©cent, ou bien il y avait diffĂ©rents modĂšles. Est-ce que quelquâun dâautre lâavait vu, Ă part lâami de Frank, son voisin, les enfants et moi-mĂȘme ? Il me fallait un consensus de descriptions. Je voulais savoir que je nâĂ©tais pas folle. Je voulais une explication. Cela signifiait, bien sĂ»r, que grĂące au poids des tĂ©moignages dâautres personnes je serais en mesure de parler aux autoritĂ©s et quâelles me confirmeraient quâil sâagissait en rĂ©alitĂ© dâun vaisseau spatial expĂ©rimental, mais dâorigine terrestre. ProblĂšme rĂ©solu. Affaire classĂ©e. Alors, le jour suivant, tout en essayant de paraĂźtre trĂšs dĂ©contractĂ©e en dĂ©pit de mon embarras Ă lâidĂ©e de poser une telle question, jâappelai au tĂ©lĂ©phone quelques stations locales de tĂ©lĂ©vision pour leur demander sâil y avait eu des rapports dâobservation dâobjets Ă©tranges dans le ciel. Une femme fut trĂšs dĂ©sagrĂ©able et mâinforma que naturellement il y avait eu des objets Ă©tranges dans le ciel. On les appelait des « Ă©toiles filantes ». Je ne parlais naturellement pas de lumiĂšres traversant le ciel, et jâĂ©tais certaine de pouvoir reconnaĂźtre une mĂ©tĂ©orite dâun boomerang noir de 90 mĂštres dâenvergure, mais du diable si jâallais prononcer de telles paroles! Tout ce que je voulais savoir câĂ©tait sâil y avait eu dans les rapports faits par les observateurs de mĂ©tĂ©orites, quelque chose qui ne pouvait pas ĂȘtre expliquĂ©. Les rĂ©sultats furent rien moins quâencourageants. JâĂ©tais traitĂ©e comme une folle dĂšs que je posais la question. Cela ne fit quâaugmenter mon dĂ©sarroi. Mais je nâĂ©tais pas encore prĂȘte Ă abandonner la partie. Je reçus un traitement semblable des diverses autres
sources mĂ©diatiques que je contactai dans mes efforts pour obtenir des renseignements. Je ne me sentais pas assez Ă lâaise pour faire moi-mĂȘme rapport, de sorte que je tentais dâaborder le sujet en Ă©vitant de dâemployer le terme « OVNIs ». RĂ©trospectivement, ma rĂ©pugnance Ă le prononcer me semble comique. Il paraissait impossible dâobtenir la moindre information, jusquâĂ ce que Frank mâappelle et me dise que le prĂ©sentateur de la mĂ©tĂ©o dâune des stations de tĂ©lĂ©vision avait mentionnĂ© que « un membre de la communautĂ© des observateurs de mĂ©tĂ©o » avait rapportĂ© plusieurs « vols dâoies » la nuit prĂ©cĂ©dente. Puisque je mâĂ©tais moi-mĂȘme efforcĂ©e de lâexpliquer dans ces mĂȘmes termes, je pensai quâil sâagissait bien de « ça ». Mais câĂ©tait tout ce que jâallais obtenir des sources « standard ». JâĂ©tais frustrĂ©e dâĂȘtre rembarrĂ©e et traitĂ©e comme une idiote. Cette frustration ne fit quâalimenter le feu qui brĂ»lait en moi, rendant irrĂ©pressible le besoin de savoir ce que jâavais rĂ©ellement vu. Alors que je pensais aux options, je me souvins dâun organisme qui rassemblait les rapports concernant ce genre de choses: le MUFON. Eux sauraient peut-ĂȘtre. MĂȘme sâils Ă©taient quelque peu marginaux et Ă©taient convaincus que certains des vaisseaux observĂ©s Ă©taient « extraterrestres » ils Ă©taient rĂ©putĂ©s pour ĂȘtre Ă mĂȘme de reconnaĂźtre les rapports vrais des faux. Peut-ĂȘtre seraient-ils Ă mĂȘme de me confirmer que jâavais vu un avion dâun type connu ou bien supposĂ© faire partie de projets secrets du gouvernement. Je trouvai au dos dâun des livres de Frank le numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone du siĂšge national du MUFON. La personne qui me rĂ©pondit me donna le numĂ©ro du comitĂ© local. Un rĂ©pondeur mâannonça que le directeur serait absent pendant les deux semaines suivantes. JâhĂ©sitai, mais finalement je laissai mon
nom et mon numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone, et annonçai que je souhaitais obtenir des renseignements sur dâĂ©ventuelles observations dâOVNIs. Jâutilisais le mot « OVNI » dans le sens le plus littĂ©ral: lâobjet Ă©tait non identifiĂ© et jâĂ©tais Ă la recherche dâune identification dans le sens rationnel, et non pas de la confirmation de visites dâextraterrestres et autres sornettes. Septembre Ă©tait bien avancĂ© quand quelquâun du MUFON me rappela en demandant de lâexcuser dâavoir tant tardĂ©. Comme la rĂ©union mensuelle devait avoir lieu le lendemain, peut-ĂȘtre voudrais-je venir y assister et faire rapport en personne ? CâĂ©tait me pousser un peu vite et un peu loin. Je nâĂ©tais pas prĂȘte Ă me mĂȘler Ă des hurluberlus qui croyaient aux petits hommes verts et transportaient probablement dans leurs poches des Ă©tuis Ă stylos en plastique, des verres en forme de bouteille de coca-cola, et un « Mad Magazine » roulĂ© dans la poche arriĂšre de leur pantalon ! Je veux dire, il faut rester dans la rĂ©alitĂ© ! Le jour de la rĂ©union du MUFON, je dĂ©cidai de ne pas y aller. Jâallais laisser tomber le sujet. Mais Ă mesure que les heures passaient, les enfants disparurent pour se rendre Ă diverses activitĂ©s, la petite sâen alla avec son pĂšre, et je me retrouvai seule Ă la maison. Le besoin de savoir nâavait pas baissĂ© dâun cran, et je tentai de me trouver une bonne excuse pour ne pas y aller. Ă ma surprise, mon habituel Ă©tat dâĂ©puisement Ă©tait Ă son minimum, et comme il nây avait aucune autre raison apparente pour mâen empĂȘcher, je pensai quâaprĂšs tout jâallais tout de mĂȘme aller voir ce MUFON de plus prĂšs. Si jâen avais la chair de poule ou si je devenais trop fatiguĂ©e, je pourrais toujours revenir directement Ă la maison. Je fus surprise. Il nây avait aucun hurluberlu. Aucun Ă©tui en plastique dĂ©passant des poches, et ces gens Ă©taient manifestement tous trop vieux pour le « Mad Magazine » !
Jâentrai tranquillement, pris un siĂšge dans le fond de la salle et prĂȘtai lâoreille Ă la discussion en cours. Je fus Ă©merveillĂ©e de voir combien intelligents et rationnels Ă©taient tous ces gens; au-dessus de la moyenne selon moi; et certainement plus intelligents que les moutonniers « groupies » New Age. Personne ne monologuait en postillonnant Ă propos de visites de VĂ©nusiens ou de vaisseaux dâiceux, ou encore dâatterrissages au pays des fous. Personne ne parlait des extraterrestres comme de dieux venus ici pour « servir lâhumanitĂ© » (dans une assiette). En fait il sâagissait dâune discussion plutĂŽt technique sur les possibles systĂšmes de propulsion des OVNIs, sur base des observations de leurs comportements par des tĂ©moins crĂ©dibles dont les rĂ©cits Ă©taient citĂ©s et illustrĂ©s dans des documents impressionnants et certifiĂ©s authentiques. Ă la pause, je fus priĂ©e de signer le registre des visiteurs. Le directeur reconnut mon nom et me demanda de parler de mes observations. AprĂšs la pause, je vins devant le groupe et, avec un embarras extrĂȘme, commençai Ă raconter ma petite histoire Ă propos du boomerang noir. Comme je commençais Ă mâĂ©chauffer, la porte sâouvrit (nous nous tenions dans la salle publique dâune bibliothĂšque locale), et un imposant et robuste barbu fit son entrĂ©e. Je mâarrĂȘtai de parler pendant quâil prenait place et le directeur me le prĂ©senta. Je fus surprise dâentendre son nom, un nom gallois peu commun qui Ă©tait un des prĂ©noms de mon grand-pĂšre et le nom de jeune fille de sa mĂšre. Quand jâeus terminĂ©, les questions fusĂšrent. Je fis un dessin au tableau noir, et voilĂ . Jâavais terminĂ© et je repris place sur mon siĂšge. Une discussion suivit. La premiĂšre observation dâun objet de type grand boomerang noir comme je lâavais dessinĂ© au tableau avait Ă©tĂ© faite Ă Albuquerque en 1951. On en avait
vu aussi Ă Lubbock au Texas, et ils Ă©taient devenus cĂ©lĂšbres sous le nom de « LumiĂšres de Lubbock ». Il fut notĂ© comme point intĂ©ressant que ces premiĂšres observations avaient aussi Ă©tĂ© faites au mois dâaoĂ»t, ce que je trouvai singulier. Ce que je trouvai le plus intĂ©ressant fut que le mĂȘme modĂšle avait Ă©tĂ© vu plus de 40 annĂ©es auparavant. Cela mâenleva de la tĂȘte toute idĂ©e de « nouveau modĂšle ». Aucun changement de modĂšle en 40 ans ? Ces gars des OpĂ©rations TĂ©nĂ©breuses baissaient terriblement ! Aucune imagination ! Il y eut aussi de longs rapports sur ces types dâavion vus Ă plusieurs reprises dans la VallĂ©e de lâHudson dans lâĂ©tat de New York en une cĂ©lĂšbre sĂ©rie dâĂ©vĂ©nements impliquant toutes sortes de phĂ©nomĂšnes anormaux constatĂ©s par des centaines de tĂ©moins. Un scientifique avait Ă©tĂ© impliquĂ© dans cette affaire : un certain Dr. HYNEK. Je nâavais jamais entendu ce nom auparavant, mais jâallais bientĂŽt lâentendre trĂšs souvent. Jâallais aussi respecter son oeuvre et ses opinions. Longtemps aprĂšs ces Ă©vĂ©nements et discussions, jâai approfondi mes recherches sur les « boomerangs noirs » et jâai dĂ©couvert des connexions trĂšs perturbantes dans un article paru dans la sĂ©rie de livres « Mysteries of Mind, Space and Time », Ă©crits par Hamish HOWARD et Toyne NEWTON, publiĂ©s par Peter BROOKESMITH, UK: Clapham Wood est une petite zone trĂšs arborĂ©e nichĂ©e Ă lâabri des South Downs dans le West Sussex, en Angleterre. âŠcâest un endroit mystĂ©rieux et intriguant oĂč lâon aperçoit des OVNIs âŠ.. [on peut y voir] des arbres chĂ©tifs, un grand cratĂšre oĂč rien ne pousse, et de mystĂ©rieuses petites clairiĂšres oĂč se trouvent de vieux cottages en ruine. Il y a plusieurs centaines dâannĂ©es, une vieille habitante de Clapham rapporta quâelle avait vu « une forme ronde et
brillante comme une peine lune » flotter dans la direction des bois et disparaĂźtre dans les taillis. Les bois Ă©taient « remplis de fumĂ©e qui puait comme quelque chose qui brĂ»le » et les gens de la ville nâosĂšrent plus sây rendre par la suite. Depuis ce temps il y a eu de nombreuses autres observations dâOVNIs Ă cet endroit. En octobre 1972 un ingĂ©nieur en tĂ©lĂ©phonie vit dans le ciel un grand objet en forme de soucoupe au-dessus des bois. Ledit objet plana pendant quelque temps avant dâentreprendre un vol circulaire au-dessus de la zone, avant de virer et disparaĂźtre. Ă ce moment, un couple se promenait prĂšs de la grand-route et ils pensĂšrent quâils voyaient Jupiter ou VĂ©nus bas dans le ciel Ă lâoccident, jusquâĂ ce quâil se mette Ă se diriger trĂšs rapidement vers le nord et vers eux, en suivant la ligne dâune crĂȘte. Soudain, alors que lâobjet survolait Clapham Wood, un rayon de lumiĂšre en descendit Ă la verticale puis se retira promptement et lâobjet fila Ă grande vitesse vers le nord-est. Par une belle soirĂ©e Ă©toilĂ©e de lâĂ©tĂ© 1967, Paul GLOVER et un autre membre du British Phenomenon Research Group se promenaient sur les Downs en direction de Clapham Wood. Vers 22h, les deux hommes aperçurent soudain trĂšs bas dans le ciel une Ă©norme masse noire qui dissimulait les Ă©toiles et se dirigeait trĂšs rapidement vers eux. Lâobjet avait la forme dâun boomerang et ne faisait aucun bruit. Quand il passa au-dessus de leurs tĂȘtes, le dĂ©placement dâair fut si puissant quâils plongĂšrent dans des buissons pour se mettre Ă lâabri. Ils ont niĂ© avec vĂ©hĂ©mence quâil aurait pu sâagir dâun nuage, parce que sa forme ne sâest jamais modifiĂ©e, il suivait une direction bien dĂ©finie et il nây avait pas de vent pour le pousser. Un moment plus tard ils virent, haut dans le ciel, deux objets brillants quâils observĂšrent pendant plusieurs minutes. Lâun des
OVNIs lĂącha un objet de petite taille qui se dirigea vers le deuxiĂšme objet, sembla y entrer, puis Ă©mergea Ă nouveau, opĂ©ra un virage et disparut. Une heure plus tard, alors quâils avaient fait demi-tour, deux lumiĂšres jaunes descendirent dans la zone boisĂ©e, suivies quelques secondes plus tard par deux lumiĂšres supplĂ©mentaires, puis encore une paire, donc au total trois groupes de deux. Puis, Ă lâendroit oĂč ceux-ci semblaient avoir plongĂ© dans les bois, deux rayons de lumiĂšre blanche, jaillirent horizontalement â sans ĂȘtre interrompus par les contours des collines â suivis par les deux rayons suivants, puis par les deux derniers, tous voyageant trĂšs vite avant de disparaĂźtre dans le ciel sombre. Aucun vaisseau ne fut aperçu aprĂšs les lumiĂšres. Cette mĂȘme annĂ©e, dans le village de Rustington quelques miles vers lâouest le long de la cĂŽte, deux collĂ©giens, Toyne NEWTON et John ARNOLD, qui nâavaient jamais entendu parler de Clapham Wood, reçurent sur UNE PLANCHETTE OUIJA un Ă©trange message: Clapham Wood Ă©tait une base pour vaisseaux spatiaux et lâun dâeux avait atterri rĂ©cemment pour sâapprovisionner en soufre et autres substances chimiques. Naturellement, personne ne crut les garçons; mais quelque dix annĂ©es plus tard, une enquĂȘte eut lieu en mĂȘme temps que des Ă©chantillons Ă©taient prĂ©levĂ©s dans les bois. La conclusion du rapport fut remise ensuite Ă la chaĂźne de tĂ©lĂ©vision nationale - la BBC -, et il semblerait quâil y avait plus dâun Ă©lĂ©ment de vĂ©ritĂ© dans lâhistoire du soufre. LâenquĂȘte avait Ă©tĂ© menĂ©e Ă la suite de rapports de disparition de plusieurs chiens dans les bois en 1975. DâaprĂšs un journal local, le Worthing Herald, Wallace, un Chow Chow de trois ans appartenant Ă Mr. et Mrs. Peter LOVE de Clapham, avait disparu, de mĂȘme quâun Collie de
deux ans appartenant Ă Mr. John CORNFORD. Apparemment, le Collie, normalement une bĂȘte obĂ©issante, sâĂ©tait soudain prĂ©cipitĂ© dans des taillis entre deux arbres, dans une zone connue des autochtones sous le nom de « the Chestnuts », et il ne rĂ©apparut plus jamais. Le propriĂ©taire, mystifiĂ© fit cependant de longues recherches ! Mrs. H.T. WELLS, qui habite prĂšs de lĂ , Ă Durrington, a dĂ©clarĂ© que quand son Collie arrive prĂšs des bois il devient « dĂ©sespĂ©rĂ© », et un Golden Retriever appartenant Ă Mr. E.F. RAWLINS de Worthing galopa un jour vers les bois et revint « trĂšs perturbĂ© ». Peu de temps aprĂšs, il devint paralysĂ© et il fallut mettre fin Ă ses jours. Une autre propriĂ©taire de chien, qui a souhaitĂ© garder lâanonymat, a dĂ©clarĂ© que quand elle a amenĂ© son chien dans cet endroit il a commencĂ© Ă courir en cercles, de lâĂ©cume aux babines et les yeux exorbitĂ©s comme sâil Ă©prouvait une douleur violente. Le rapport poursuivait en racontant quâun cavalier (qui lui aussi a souhaiter rester anonyme, mais son rapport a Ă©tĂ© vĂ©rifiĂ©) avait mis pied Ă terre, attachĂ© son cheval Ă un arbre et fait quelques pas pour se dĂ©rouiller les jambes. Ă son retour, il fut abasourdi de ne plus retrouver sa monture. Il fouilla la zone dans tous les sens et mena une enquĂȘte approfondie, mais le cheval ne fut jamais retrouvĂ© ! Plusieurs personnes ont rapportĂ© que dans cette zone elles sâĂ©taient senties comme « poussĂ©es par des forces invisibles » et dâautres avaient mĂȘme perdu connaissance. Deux hommes sâĂ©tant promenĂ©s dans ce bois ont rapportĂ© quâau mĂȘme moment lâun dâeux sâest pliĂ© en deux en Ă©prouvant une violente douleur interne, tandis que lâautre se mettait Ă crier en se tenant la tĂȘte dans les mains que « ses tympans Ă©taient arrachĂ©s de sa tĂȘte ». Ils titubĂšrent tous deux
sur environ 50 mĂštres avant que les effets ne cessent. Le corps dâun homme portĂ© disparu fut retrouvĂ© deux semaines plus tard, dans un Ă©tat de dĂ©composition extrĂȘme. Lâautopsie montra que le processus de dĂ©composition avait Ă©tĂ© trĂšs accĂ©lĂ©rĂ© par « des facteurs inconnus ». Un enquĂȘteur sceptique, Dave STRINGER du Southern Paranormal Investigation Group, sâest rendu sur les lieux avec un compteur Geiger en aoĂ»t [encore ce mĂȘme mois] 1977. Les bois Ă©taient silencieux et lâair immobile. Tout paraissait normal. Mais alors quâil se frayait un chemin Ă travers des sous-bois Ă©pais, il dut soulever lâappareil au-dessus de sa tĂȘte. Quand il le fit, lâappareil en question se mit Ă enregistrer des niveaux trĂšs Ă©levĂ©s. Mr. STRINGER sâarrĂȘta et regarda derriĂšre lui, en direction de lâendroit quâil venait de traverser. Il vit une forme sombre dâenviron 3,5 mĂštres de haut ; bien que le contour ne fĂ»t pas trĂšs nettement dĂ©fini, il ne sâagissait pas de fumĂ©e et il ne put la dĂ©crire que comme «une masse sombre». Quelques secondes plus tard un grand disque blanc jaillit Ă un angle de 45 degrĂ©s de derriĂšre des arbres voisins, et disparut dans le ciel. La masse sombre disparut en mĂȘme temps. STINGER revint sur ses pas [plus brave que moi !] et vit Ă lâendroit oĂč la forme Ă©tait apparue, une empreinte de pied Ă quatre orteils, semblable Ă celle trouvĂ©e au lieu-dit « Devilâsâ Dyke [1] » prĂšs de Brighton, endroit reconnu pour abriter des rassemblements de « magiciens noirs » . STRINGER fit une rapide esquisse de lâempreinte. Il ignorait Ă cette Ă©poque quâelle ressemblait trĂšs fort Ă une empreinte reproduite dans le « Dictionnaire infernal [2] » de Collin de Plancy publiĂ© en 1863, et que cette empreinte Ă©tait supposĂ©e ĂȘtre celle du « DĂ©mon Amduscias ». Les observations dâOVNIs se poursuivirent Ă Clapham jusquâen 1978-1979. Le torrent de rapports Ă©tranges se tarit Ă
lâĂ©poque avec la disparition du RĂ©vĂ©rend Neil SNELLING, vicaire de la paroisse de Clapham. Un matin, aprĂšs avoir fait ses courses Ă Worthing, il dĂ©cida de rentrer chez lui, Ă Steyning en traversant le Bois de Clapham. Il nâa plus jamais Ă©tĂ© revu depuis lors et des recherches intensives de la rĂ©gion nâont rien rĂ©vĂ©lĂ©. Paul GLOVER, Dave STRINGER et un autre homme se rendirent Ă Clapham dans lâespoir dâapercevoir des OVNIs. Il nây eut aucune activitĂ©. Ils dĂ©cidĂšrent de rentrer chez eux, mais alors quâils Ă©taient en train de sortir du bois, tous trois simultanĂ©ment ressentirent un froid trĂšs intense. Ils pressĂšrent le pas et cette impression disparut bientĂŽt. Ils dĂ©cidĂšrent de retourner sur leurs pas pour vĂ©rifier. Ils firent cela par trois fois et Ă chaque fois ils ressentirent une chute soudaine et anormale de tempĂ©rature. GLOVER pointa son appareil-photo vers la zone de froid, bien quâil nây eĂ»t rien de visible. Quand le film fut dĂ©veloppĂ© il montra une bizarre masse blanche formant indubitablement lâimage dâune tĂȘte de chĂšvre. [3] Avec tout cela, jâen vins Ă prendre conscience que ce phĂ©nomĂšne nâĂ©tait pas seulement Ă©trange, mais il Ă©tait aussi sans doute dangereux. Ă quel degrĂ©, câest ce que jâallais dĂ©couvrir bientĂŽt. Pour en revenir au rĂ©cit de la rĂ©union du MUFON, il semblait que « SynchronicitĂ© » devait rapidement devenir mon deuxiĂšme prĂ©nom. Le visiteur qui Ă©tait arrivĂ© en retard Ă©tait apparemment bien connu du groupe comme un « expert », ce qui mâintĂ©ressa tout autant que son nom. Il parla longuement des thĂ©ories de Zecharia SITCHIN. Je fus intriguĂ©e par les connexions historiques des observations dâOVNIs, mais totalement en dĂ©saccord avec les interprĂ©tations prĂ©cises des textes sumĂ©riens du Dr. SITCHIN.
Ă la fin de la rĂ©union je demandai Ă ce monsieur dâoĂč il venait et lui dis que son nom peu commun Ă©tait le mĂȘme que celui de mon arriĂšre-grand-mĂšre. Il reconnut son nom et me dit que son pĂšre Ă lui avait Ă©tĂ© le plus jeune frĂšre de celle-ci. DâaprĂšs lui, la raison pour laquelle je nâavais jamais entendu parler de lui et pour laquelle je ne lâavais jamais rencontrĂ© Ă©tait un schisme « religieux » qui sâĂ©tait produit dans la famille. Mon arriĂšre grand-mĂšre avait abandonnĂ© lâĂglise Baptiste pour devenir une MĂ©thodiste. Quoi quâil en soit, il Ă©tait lĂ , en train de parler avec une « cousine perdue depuis longtemps » parce que jâavais observĂ© un supposĂ© OVNI ! Nous dĂ©cidĂąmes de dĂ©jeuner ensemble. CâĂ©tait trĂšs bizarre dâavoir rencontrĂ© cet homme qui prĂ©sentait bon nombre de ressemblances familiales et qui Ă©tait intelligent, clair, bien informĂ©, et manifestement grand Ă©rudit. Je lâappellerai Sam. Je parlai Ă Sam de notre expĂ©rience de channeling et plaisantai sur le « test des chiffres de Lotto » qui ne « marchait » manifestement pas, bien que nous ayions gagnĂ© un lot de quelque importance sans prĂ©diction de la planchette. Cela parut grandement intĂ©resser Sam, et je finis par lâinviter Ă nous rejoindre Frank et moi pour notre prochaine sĂ©ance. Entre-temps se produisaient deux choses trĂšs perturbantes en miroir avec les rapports sur le boomerang noir de Clapham Wood et ses effets sur les animaux. Mon Collie, Danny-boy, se mit Ă dĂ©cliner et rien ne put le rĂ©tablir. Le vĂ©tĂ©rinaire Ă©tait complĂštement dĂ©routĂ©, et rien de ce qui fut tentĂ© nâapporta dâamĂ©lioration. En fin de compte il suggĂ©ra une malformation congĂ©nitale du coeur menant Ă une insuffisance cardiaque. Trois mois aprĂšs le Boomerang Noir il mourut sur le sol de la cuisine, sa tĂȘte sur mes genoux. Danny nâavait que trois ans. CâĂ©tait un gentil et merveilleux chien. Jâen eus le
coeur brisĂ©. (Oui, je fus extrĂȘmement surprise quand je dĂ©couvris lâarticle citĂ© plus haut plusieurs annĂ©es aprĂšs cet Ă©vĂ©nement et notai les effets dĂ©crits sur les animaux. Mais Ă lâĂ©poque je ne faisais absolument aucun lien entre le Boomerang Noir et la mort de Danny-Boy.) Ă la mĂȘme pĂ©riode, mon Ă©tat physique, au lieu de sâamĂ©liorer, avait empirĂ© depuis les premiĂšres soirĂ©es dans la piscine. JâĂ©tais constamment malade. Jâavais de terribles Ă©ruptions, de lâurticaire et vergetures. Toutes les muqueuses de mon corps enflaient tellement que ma gorge et mon nez Ă©taient presque entiĂšrement obstruĂ©s. LâintĂ©rieur de mes paupiĂšres Ă©tait si irritĂ© quâelles secrĂ©taient en permanence un liquide jaunĂątre et collant. LâintĂ©rieur de mes oreilles dĂ©mangeait tant que jâen devenais presque folle. Ces symptĂŽmes annonçaient toujours une sorte de crise. Cela commençait par de fortes nausĂ©es. Il me semblait quâun Ă©pieu Ă©tait enfoncĂ© dans ma poitrine. Ma respiration devenait difficile et pĂ©nible; jâavais des sueurs froides. Le mĂ©decin, Ă bout dâarguments, suggĂ©ra que je souffrais dâallergies qui exacerbaient mon systĂšme cardio-pulmonaire dĂ©jĂ en mauvais Ă©tat. Je devais avoir rĂ©cemment atteint une sorte de « seuil critique » dâexposition Ă des allergĂšnes. Du BĂ©nadryl et autres anti-histaminiques me soulagĂšrent un peu, mais ce nâĂ©tait pas une solution Ă long terme. Mon corps semblait devenu incapable de rĂ©agir aux toxines. Le mĂ©decin aurait voulu me faire passer des tests dâallergie approfondis et entamer un traitement de dĂ©sensibilisation en fonction de ce qui Ă©tait en train dâaffecter mon systĂšme. Les symptĂŽmes empiraient la nuit, Ă partir de 23h. Je pensai que ce devait ĂȘtre lâheure du « seuil critique » de lâexposition journaliĂšre Ă lâallergĂšne actif Ă ce moment. Une nuit, vers cette heure-lĂ , alors que Sandra, une
amie proche Ă©tait venue me rendre visite, mes yeux commencĂšrent Ă brĂ»ler alors que nous Ă©tions en train de bavarder, et je ressentis la lĂ©gĂšre sensation de chatouillement-picotement dans ma lĂšvre infĂ©rieure, qui annonçait le syndrome tout entier. Jâavais dĂ©crit le problĂšme Ă Sandra, tentant de me figurer Ă quoi je pouvais bien ĂȘtre allergique, mais je ne pense pas quâelle ait rĂ©ellement compris comment cela fonctionnait. Alors quâelle Ă©tait assise en face de moi, devant ses yeux mes lĂšvres se mirent Ă gonfler jusquâĂ se retourner presque complĂštement; mes yeux devinrent dâĂ©troites fentes et se mirent Ă secrĂ©ter un fluide que je devais Ă©ponger en permanence avec des mouchoirs en papier, et des vergetures apparurent sur les bras et mes jambes. Sandra Ă©tait complĂštement suffoquĂ©e : « nous devons aller tout de suite aux urgences ! » Je ris et allai chercher du BĂ©nadryl dans la cuisine, et lui dis que les mĂ©decins ne pourraient pas en faire beaucoup plus. Ils observeraient le gonflement, lâurticaire et lâinflammation de mes yeux. Le « pieu » dans la poitrine nâavait aucune intention de coopĂ©rer si on voulait lâexaminer au microscope. Si les mĂ©decins ne parvenaient pas Ă lâattraper en train de se manifester, ils ne pourraient pas savoir de quoi il sâagissait. Des tests faits quand il nây avait pas de symptĂŽmes de servaient Ă rien. Jâexpliquai Ă Sandra quâen deux occasions quand les symptĂŽmes avaient fait leur apparition mon mari mâavait conduite Ă lâhĂŽpital mais dĂšs notre arrivĂ©e les symptĂŽmes cardiaques avaient disparu et seules les manifestations dermiques avaient subsistĂ©. Cela Ă©tait Ă©trange Ă lâextrĂȘme et fut considĂ©rĂ© comme preuve de ce que jâallais tout-Ă -fait bien, sauf dans ma tĂȘte. Mais moi jâĂ©tais trĂšs effrayĂ©e de ce qui mâarrivait.
Cependant, aussi longtemps que je me tenais tranquille et ne circulais pas trop, je ne me sentais pas trop mal. En outre, mon cerveau nâĂ©tait pas mort, de sorte que je poursuivis mes lectures et mes Ă©tudes pour me changer les idĂ©es. Je poursuivis Ă©galement quelques activitĂ©s dâhypnothĂ©rapie. Sans lecture ni travail je me serais sentie totalement inutile et je nâaurais plus eu de vie du tout.
NOTES
[1]: « Digue » ou « levée » du diable (NdT) [2]: en français dans le texte (NdT) [3]: HOWARD, HAMISH, NEWTON, TOYNE, Mysteries of Mind, Space & Time, Volume 4, Stuttman, Westport, 1992.
CHAPITRE VI
Lectures et Ă©tudes : je commençai Ă rassembler tous les dĂ©tails qui me tombaient sous la main sur le sujet. Ă toutes les Ă©poques des gens ont Ă©tĂ© visitĂ©s par toutes sortes de crĂ©atures Ă©tranges. Certaines dâentre elles Ă©taient fantastiques tant en description quâen activitĂ©s. Mais le type de loin le plus commun a toujours Ă©tĂ© lâhumanoĂŻde â ayant quelque ressemblance avec la configuration physique humaine â bien que leurs pouvoirs aient Ă©tĂ© distinctement supra-humains. Je lus des rĂ©cits qui remontaient Ă des centaines dâannĂ©es et qui parlaient de ces humanoĂŻdes, mais le fait est
quâil y a dâeux des reprĂ©sentations qui sont bien plus anciennes que cela. Sur lâimage ci-dessus, nous voyons une figure de 6 mĂštres de haut avec une grande tĂȘte ronde dĂ©corĂ©e. Le corps massif, lâĂ©trange vĂȘture, les plis autour du cou et sur la poitrine, font penser Ă quelque astronaute. Cette reprĂ©sentation se trouve Ă Jabbaren, dans les montagnes du Tassili en AlgĂ©rie, au sud du Hoggar. Une figure semblable est reprĂ©sentĂ©e en peinture Ă Sfar dans le Tassili, dans les grottes de Cabro en France, et en plusieurs autres endroits. Celle-ci date dâenviron 6 000 avant lâĂšre chrĂ©tienne. Lisons aussi le rapport qui suit, paru dans la Gazette de Nuremberg, en Allemagne. Il a Ă©tĂ© Ă©crit en 1561 : Ă lâaube du 4 avril, dans le ciel de Nuremberg, un grand nombre dâhommes et de femmes ont contemplĂ© un spectacle trĂšs alarmant, oĂč divers objets Ă©taient impliquĂ©s, y compris des ballons « environ 3 en longueur de temps en temps, quatre en carrĂ©, beaucoup trĂšs isolĂ©s, et entre ces ballons on a vu un certain nombre de croix couleur de sang. Puis on a vu deux grands tuyaux dans lesquels, petits et grands, il y avait trois ballons, et aussi quatre et davantage. Tous ces Ă©lĂ©ments se mirent Ă combattre les uns contre les autres ».
Ces Ă©vĂ©nements durĂšrent une heure et un artiste, Hans GLASER, les a immortalisĂ©s dans une gravure sur bois reproduite ci-dessus et qui paraĂźt dĂ©crire certains de ces objets Ă©crasĂ©s au sol en dehors de la ville. Le Dr. Karla TURNER, professeur de littĂ©rature Ă la North Texas University, et chercheur acharnĂ© dans le domaine des rapts extraterrestres, a longuement Ă©crit Ă propos de prĂ©tendus « enlevĂ©s » qui ne sâadaptaient pas au scĂ©nario « aliens gris » des enlĂšvements dĂ©crits par Budd HOPKINS et Whitley STRIEBER. Le Dr. TURNER a considĂ©rĂ© ces Ă©vĂ©nements comme des rapts militaires, des extraterrestres reptiliens, des manipulations de relations et des tactiques en gĂ©nĂ©ral fourbes par lesdits extraterrestres. Karla est lâauteur de plusieurs livres dont Into the Fringe, Masquerade of Angels, et Taken. En 1995, Karla a contractĂ© une forme trĂšs grave de cancer du sein immĂ©diatement aprĂšs ce quâelle a affirmĂ© ĂȘtre
lâexpĂ©rience dâun enlĂšvement. Elle est morte Ă lâĂąge de 48 ans. Jâai beaucoup apprĂ©ciĂ© notre amitiĂ© par Internet, et quand elle mâa Ă©crit pour la derniĂšre fois, me disant quâelle Ă©tait trop faible pour poursuivre notre correspondance, jâai pleurĂ©. RĂ©trospectivement, il est aisĂ© de spĂ©culer que la mort de Karla le 9 janvier 1996, pourrait ĂȘtre un exemple de la maniĂšre dont des « forces » peuvent agir envers toute personne qui approche la vĂ©ritĂ© de trop prĂšs. Elle nâa pas Ă©tĂ© « martyrisĂ©e » de maniĂšre Ă©vidente. Je donnerai plus loin davantage de dĂ©tails Ă propos de son travail, mais pour le moment je me contenterai de souligner quelques points importants. Ce quâelle a dit peut se rĂ©sumer comme suit : Câest un mythe de dire que les rapts par des extraterrestres suivent un plan bien Ă©tabli. Le dĂ©fenseur sans doute le plus connu de cette thĂ©orie est Budd HOPKINS qui, par ses livres, a rendu familiers auprĂšs du public les scĂ©narios de reproduction croisĂ©e et impliquant la gĂ©nĂ©tique. Cependant, si on lit attentivement ses livres on remarque que plusieurs de ces rencontres avec des extraterrestres paraissent avoir bien peu de liens apparents avec un intĂ©rĂȘt pour des reproductions dâADN. Et mĂȘme, au cours des deux derniĂšres annĂ©es, HOPKINS a dĂ» Ă©largir sa thĂ©orie pour y inclure des intĂ©rĂȘts extraterrestres marquĂ©s pour dâautres choses, telles que le plaisir et la douleur chez les humains. Dâautres chercheurs bien connus dans le domaine des OVNIs entretiennent eux aussi des thĂ©ories restrictives sur le phĂ©nomĂšne des enlĂšvements: Jacques nbame(VallĂ©e), David JACOBS, Whitley STRIEBER, Brad STEIGER, John LEAR, Raymond FOWLER, Jenny RANDLES, Kevin RANDLE, John KEEL et dâautres Ă©crivains encore ont tous des thĂ©ories intelligentes et souvent ingĂ©nieuses, et cependant, tous font la mĂȘme erreur. Ils laissent de cĂŽtĂ© une partie de ce qui est
Ă©vident dans ce type dâenlĂšvements : tout ce qui nâĂ©taye pas leurs idĂ©es. Cependant, il doit ĂȘtre clair que toute thĂ©orie actuelle qui ne tienne pas compte de toutes les Ă©vidences connues ne serait pas acceptable. Au mieux, ce genre de thĂ©orie peut Ă©garer, particuliĂšrement les victimes dâenlĂšvements qui se tournent vers ces Ă©minents chercheurs pour trouver des rĂ©ponses. [âŠ] Quant aux chercheurs qui affirment que les E.T.s sont ici pour nous aider Ă Ă©voluer vers un degrĂ© supĂ©rieur de conscience ou dans le but positif de sauver notre planĂšte, de faire avancer la paix, etc. je mets au dĂ©fi ces chercheurs dâincorporer les dĂ©tails anormaux dans cette façon de voir les choses. Quâen est-il des gens qui souffrent de sĂ©vĂšres dĂ©pressions nerveuses aprĂšs leurs expĂ©riences ? Quâen est-il de ceux qui subissent dâincontrĂŽlables changements de personnalitĂ© et qui se retrouvent obsĂ©dĂ©s par des dĂ©viances, inexistantes auparavant, dans leurs comportements sexuels, dĂ©viances qui aboutissent frĂ©quemment Ă la rupture de leur mariage et de leurs amitiĂ©s ? Ces choses se sont produites Ă de nombreuses reprises mais aucun chercheur nâa encore expliquĂ© quel est le but « Ă©levĂ© » derriĂšre ces rĂ©sultats. ParticuliĂšrement perturbants sont les cas oĂč des individus jusque lĂ en bonne santĂ© ont fait une rencontre E.T. et ont ensuite contractĂ© des maladies dĂ©bilitantes ou fatales. Il est bien connu que de nombreuses femmes souffrent de problĂšmes gynĂ©cologiques aprĂšs ce type dâexpĂ©rience et doivent souvent alors subir une hystĂ©rectomie. Mais dâautres cas ont eu pour rĂ©sultat une fatigue sĂ©vĂšre, dâhorribles gonflements et dĂ©mangeaisons, ou parfois mĂȘme un cancer. OĂč sont les effets positifs dans ces cas-lĂ ?
Les thĂ©ories sont les points de dĂ©part de la recherche et non des conclusions prouvĂ©es. Les chercheurs en OVNIs doivent ĂȘtre prĂ©parĂ©s Ă Ă©largir et modifier leurs thĂ©ories les plus chĂšres en fonction des Ă©lĂ©ments quâils rĂ©coltent. Ce serait merveilleux si nous pouvions faire quelque chose de positif des expĂ©riences E.T. Ă moins que les dĂ©tails, tous les dĂ©tails, des rencontres E.T. soient sĂ©rieusement pris en considĂ©ration, je pense quâil est dangereux de sâaccrocher Ă des thĂ©ories qui prennent le parti dâignorer les Ă©lĂ©ments qui ne leur conviennent pas. Nous nous devons de chercher toute la vĂ©ritĂ© [1]. Le mari de Karla, Elton, a publiĂ© depuis les remarques suivantes, qui sont plus que jamais dâactualitĂ© : « 186 000 M/Seconde â ce nâest pas seulement une bonne idĂ©e, câest la loi », dit lâautocollant sur le pare-chocs. Quelque chose dans cette dĂ©claration mâa irritĂ©. Nous nous trouvions en pleine confĂ©rence sur les OVNIs et quelquâun voulait vendre une vieille rĂ©alitĂ© ! Le mĂ©lange de nos notions de rĂ©alitĂ© physique et de conceptions des lois nous maintient dans les Ăąges sombres de la pensĂ©e humaine. La science moderne nous a apportĂ© de nombreuses idĂ©es nouvelles sur la nature de lâunivers, mais ces idĂ©es sont sans cesse remises en question et modifiĂ©es Ă mesure que sâaiguisent nos facultĂ©s dâobservation et que sâamĂ©liorent nos Ă©quipements. Je remercie nos scientifiques pour leurs contributions; jâaime la climatisation, les avions et les ondes de tĂ©lĂ©vision qui parcourent notre atmosphĂšre. Ce qui me tracasse câest que nous nâavons pas cessĂ© de tenir compte de « la Loi ». Ă quelles lois obĂ©issent les envahisseurs (et jâutilise ce terme Ă dessein) ? Mettons que nous nâavons aucune idĂ©e des rĂšgles de lâunivers navigable qui gouvernent les actes de ces entitĂ©s venues dâailleurs. Nous continuons Ă Ă©mettre des idĂ©es Ă propos de leurs intentions, en nous basant sur nos propres
rĂšgles sociales et lois Ă©crites. Jâai demandĂ© Ă un Ă©minent auteur et chercheur dans le domaine des OVNIs pourquoi il pensait que lâon pouvait faire confiance aux E.T.s, pourquoi nous devrions croire ce quâils nous disent. Sa rĂ©ponse Ă©tait sincĂšre, je pense. Il a dit quâils ont dĂ©montrĂ© leur fiabilitĂ© en prĂ©disant certains Ă©vĂ©nements futurs et ĂŽ merveille, ce quâils avait dit sâest avĂ©rĂ©. Il dit quâils nous avaient avertis que notre planĂšte est en crise Ă©cologique, et nous savons que câest la vĂ©ritĂ©. Et bien quâils semblent avoir Ă©tĂ© parmi nous depuis des milliers dâannĂ©es, ils ne nous ont pas envahis. Quelles merveilleuse crĂ©atures ils doivent ĂȘtre ! Depuis les quelques annĂ©es oĂč jâai Ă©tudiĂ© ma propre invasion personnelle par ces crĂ©atures, jâen suis arrivĂ© Ă comprendre que les envahisseurs ne disent pas la vĂ©ritĂ© Ă moins quâelle ne serve LEURS propres intĂ©rĂȘts. Ils jouent sur nos craintes, mettant Ă profit la pollution, la guerre, lâholocauste nuclĂ©aire et lâaviditĂ© comme toiles de fond Ă leurs avertissements. Mais depuis ma petite enfance je peux constater chaque jour que ces choses font partie de notre monde. Nous sommes tous au courant de ces choses. Il ne faut pas avoir un quotient intellectuel de plus dâun « zillion » et venir de la planĂšte Orlon pour sâapercevoir que dans notre monde il y a des problĂšmes auxquels nous devons faire face. Nous avons des problĂšmes trĂšs humains Ă rĂ©soudre - des problĂšmes que nous sommes Ă mĂȘme de traiter. Le problĂšme que nous ne sommes pas encore Ă mĂȘme de rĂ©soudre câest lâinterfĂ©rence venue dâailleurs dans nos affaires. Certains peuvent bien lâappeler « intervention bienveillante » et attirer lâattention sur les rĂ©sultats positifs. Je respecte les scientifiques et les profanes de toutes disciplines qui ont Ă©tudiĂ© le phĂ©nomĂšne et les objets fabriquĂ©s dâorigine
E.T. pendant les cinquante ou soixante derniĂšres annĂ©es. Il semble quâils aient accompli quelques progrĂšs au vu des rapides dĂ©veloppements dans lâindustrie aĂ©ronautique, la mĂ©decine, les communications, etc., qui semblent ĂȘtre en grande partie le rĂ©sultat de telles recherches. Ce qui manque, câest une Ă©tude publique approfondie de la mission et des rĂšgles dâengagement dans la guerre en ce qui concerne notre monde. Je crois que nos pensĂ©es et par consĂ©quent nos comportements en tant que race dâĂȘtres douĂ©s de sens, sont SAPĂS par le pouvoir dâinsinuation et lâimplantation dâinstruments de contrĂŽle dans nos corps par des entitĂ©s non-humaines (la plupart du temps). Ceci est en fait le moyen le plus efficace pour envahir et conquĂ©rir. Je ne fais pas confiance Ă de telles crĂ©atures, quoi que lâon puisse me dire de leurs motifs altruistes. Les travaux de Karla TURNER nous emmĂšnent directement et Ă grande vitesse dans la Grande ĂtrangetĂ©. An Encyclopedia of Fairies donne de nombreux exemples de rapts par des fĂ©es. Les similitudes entre rapts par des fĂ©es et enlĂšvements par des OVNIs sont aussi intĂ©ressantes. Les personnes qui affirment avoir rencontrĂ© des fĂ©es en reviennent souvent avec des marques sur le corps, semblables Ă celles que dĂ©crivent les rapports de rapts E.T. Les enlĂšvements par des fĂ©es ou des OVNIs ont Ă©galement des similitudes avec les activitĂ©s de succubes et dâincubes. Presque toujours, une boisson Ă©paisse est donnĂ©e Ă boire aux enlevĂ©s. La victime est paralysĂ©e et mise en lĂ©vitation. Les fĂ©es Ă©taient supposĂ©es voyager dans des globes de lumiĂšre, ce qui est frĂ©quemment rapportĂ© dans les rapts par OVNIs. Autre ressemblance avec un scĂ©nario de rapt par OVNI : les crĂ©atures de type « Bigfoot », appelĂ©es « bogies » dans les
contes de fĂ©e. Nombreux sont les E.T. et fĂ©es qui ressemblent Ă , et agissent comme, ce qui a Ă©tĂ© nommĂ© « dĂ©mons » au fil de notre Histoire. Dans son Ă©tude devenue un classique du genre, Passport to Magonia, le scientifique français Jacques VALLĂE prĂ©sente de nombreuses similitudes entre observations de fĂ©es et dâOVNIs. Jean BASTIDE, dans La mĂ©moire des OVNI (1978) est allĂ© plus loin en disant que « les contacts modernes Ă©tablis avec des extra-terrestres observent prĂ©cisĂ©ment les mĂȘmes rĂšgles que les contacts passĂ©s avec des ĂȘtres ayant une forme plus ou moins humaine ». Un exemple assez classique dâinteraction supposĂ©e avec un succube est prĂ©sentĂ© dans lâouvrage intitulĂ© The Haunted. Ce qui suit est une transcription de lâinterview enregistrĂ©e de la victime : Q. Comment vous ĂȘtes-vous rendu compte que quelque chose nâallait pas ? R. La maniĂšre dont je me suis rĂ©veillĂ©, je crois. Q. Quelque chose Ă©tait diffĂ©rent ? R. Oui, je me sentais comme si jâavais Ă©tĂ© â oh, jetĂ© dâune falaise ou quelque chose de ce genre. Vous savez, comme si un acte violent mâavait rĂ©veillĂ©. Q. Pouvez-vous dĂ©crire ce que vous avez vu ? R. Dâabord je nâai rien vu du tout. Jâai juste ressenti cette terrible espĂšce de panique â je ne savais pas si je faisais un cauchemar ou non. Q. Qâest-ce qui vous a convaincu que ce nâĂ©tait pas un cauchemar ? R. Ces Ă©cailles sur elle. Q. Ses Ă©cailles. Vous voulez dire des Ă©cailles comme les serpents en ont ? R. Oui.
Q. Vous avez dit « elle ». Ces Ă©cailles Ă©taient sur une femme ? R. Oui. Q. Pourriez-vous la dĂ©crire ? R. Pour ĂȘtre honnĂȘte je dĂ©teste lâidĂ©e dây penser. Sa peau Ă©tait blanche comme le papier, mais en certains endroits elle Ă©tait recouverte dâune surface Ă©cailleuse comme je lâai mentionnĂ©, et en dâautres endroits il y avait des plaies ouvertes, la sorte quâon penserait voir sur un lĂ©preux et du pus sâĂ©coulait de ces blessures. Q. Quel Ăąge avait-elle ? R. Jâestimerais quâelle avait soixante ou soixante-dix ans. Je ne peux pas dire avec certitude. Q. Quâest-ce que vous avez remarquĂ© dâautre Ă son propos ? R. Elle avait de longs cheveux emmĂȘlĂ©s et ses yeux Ă©taient rouges, et lâintĂ©rieur de sa bouche et ses gencives Ă©taient verts. Certaines de ses dents manquaient mais celles quâelle avait Ă©taient trĂšs longues, de type vampire. Q. Et son corps ? R. Câest ça qui Ă©tait Ă©trange. Son corps Ă©tait ferme, vous savez, comme celui dâune femme plus jeune. Q. Quâa-t-elle fait ? R. Elle mâa paralysĂ© dâune certaine façon. Je lâai vue sortir de lâombre de notre lit et jâai ressenti ce quâelle allait faire, mais je nâai pas pu lâempĂȘcher. Q. Et puis ? R. Alors elle est montĂ©e sur moi en position dominante. Et puis elle mâa chevauchĂ©. Câest la seule façon de dĂ©crire cela. Q. Est-ce que câĂ©tait agrĂ©able ? R. Non, non. En fait je ne me souviens pas dâavoir ressenti quoi que ce soit, Ă part la panique et une terreur
complĂšte. Q. Que faisait Janet pendant tout cela ? R. Ce nâest que bien aprĂšs mâĂȘtre rĂ©veillĂ© que jâai rĂ©alisĂ© que Janet Ă©tait descendue dormir sur le divan, ce quâelle fait parfois pendant les mois chauds. Q. Quâest-ce que la crĂ©ature a fait ensuite ? R. Elle a joui. Elle mâa regardĂ© et souri en montrant ces dents incroyables. Jâai essayĂ© de regarder ailleurs mais quelque chose me faisait garder le regard sur elle. Jâai su le moment oĂč elle a eu un orgasme parce quâelle a eu quelques secousses et son sourire sâest Ă©largi. Q. Elle a eu des orgasmes ? R. Oh oui, on pouvait le voir Ă ses expressions et ses mouvements. Q. Et puis que sâest-il passĂ© ? R. Elle a disparu. Q. Juste comme ça ? R. Juste comme ça. Disparue. Et câest alors que jâai remarquĂ© la substance poisseuse partout sur moi. Q. Une substance poisseuse ? R. Oui. Je suppose quâil faudrait la comparer Ă du sperme Ă cette texture de toute façon. Elle est sortie du vagin de cette crĂ©ature. Et jâai eu mal aussi. Q. Mal ? R. Oui, comme si jâavais eu un acte sexuel prolongĂ©, mĂȘme si cela nâavait durĂ© que quelques minutes. Mais alors jâai commencĂ© Ă me demander si je ne mâĂ©tais pas Ă©vanoui pendant cela parce que, comme je lâai dit, mes organes sexuels Ă©taient trĂšs douloureux. Q. Quâest-ce qui est arrivĂ© ensuite ? R. Je suis allĂ© Ă la salle de bain et je me suis regardĂ©. Le liquide sur mon corps avait une odeur trĂšs forte. Jâai pris une
douche et lâai Ă©liminĂ© en me lavant aussi vite que je pouvais. Jâai dĂ» frotter trĂšs fort. La croyance est que ces ĂȘtres surnaturels se trouvent dans toutes les sociĂ©tĂ©s du monde. Câest lĂ un thĂšme commun Ă toutes les religions et Ă tous les folklores. Il semble que sous la forme du phĂ©nomĂšne OVNI/rapts par E.T. les rapports sont aussi frĂ©quents de nos jours quâils lâĂ©taient autrefois. Un incident qui a dâĂ©tonnants points communs avec ce qui prĂ©cĂšde a Ă©tĂ© rapportĂ© dans un des livres de Karla TURNER : Cette fois, alors quâil Ă©tait couchĂ© sur la table, aprĂšs avoir Ă©tĂ© forcĂ© de boire un liquide sentant la cannelle, il vit une femme aux cheveux blancs venir vers lui. Il dit quâelle semblait douce et peut-ĂȘtre attentionnĂ©e. Elle se mit sur lui, commença un acte sexuel, et quand ce fut terminĂ© elle partit. Il se souvint quâun jour, quand il avait treize ans il sâĂ©tait Ă©veillĂ© en voyant une femme Ă©trange avec des yeux sombres et des cheveux blancs flous sâapprocher de lui dans un environnement Ă©tranger. Elle se mit sur lui et entreprit un acte sexuel, et cependant cela nâavait pas Ă©tĂ© Ă©rotique du tout pour Casey. [2] Le fait est quâil existe une tradition remontant Ă des milliers dâannĂ©es et parlant de rapts dâhumains et de la progĂ©niture de ceux-ci. Ces ĂȘtres volent dans des globes lumineux, sont capables de paralyser leurs victimes, dâinduire une amnĂ©sie Ă propos des Ă©vĂ©nements, de forcer leurs victimes Ă boire dâĂ©trange boissons, dâavoir avec elles des relations sexuelles et, dans de nombreux cas, de les mener Ă la folie, la ruine physique, ou mĂȘme de sâemparer de leur corps pour leur propre usage. Les lĂ©gendes sur les vampires se perpĂ©tuent depuis les dĂ©buts de lâHistoire. Le problĂšme est de reconnaĂźtre la rĂ©alitĂ© de la fiction. Le fait est que des rapports publiĂ©s en Europe de
lâEst disent que quelque chose appelĂ© vampirisme a pris des proportions quasiment Ă©pidĂ©miques au XVIIIe siĂšcle [3]. Les rĂ©cits sont trĂšs sanglants et de nombreux dĂ©tails doivent ĂȘtre attribuĂ©s aux imaginations terrifiĂ©es de paysans superstitieux, cependant beaucoup des documents sont si dĂ©taillĂ©s et les tĂ©moins si honorables quâil semble impossible quâil nây ait lĂ rien de vrai. La question est de savoir quoi. LâidĂ©e dâun corps sortant de son cercueil Ă minuit pour aller sucer le sang des vivants paraĂźt assez irrationnelle, et je pense quâon peut laisser de cĂŽtĂ© ces rapports confus dâun phĂ©nomĂšne dâune nature entiĂšrement diffĂ©rente. Peut-ĂȘtre une interaction avec ce que nous appelons de nos jours des extraterrestres ? DâaprĂšs lâhistoire officielle le fait de rituellement boire et rĂ©pandre du sang a toujours Ă©tĂ© lâĂ©lĂ©ment vital dans les sacrifices, pour obtenir des pouvoirs et apaiser les dieux. Pour quâil y ait de la vie, il faut du sang. Câest lâidĂ©e centrale du judaĂŻsme et du christianisme. Nous avons le droit de nous demander dâoĂč vient cette idĂ©e. Pendant de nombreuses annĂ©es les occultistes ont parlĂ© et Ă©crit Ă propos de matĂ©rialisations dĂ©moniaques suceuses de sang. Dion FORTUNĂ croyait que le corps astral peut sâĂ©chapper du corps dâune personne vivante et prendre une autre forme; celle dâun oiseau, dâun animal ou dâun vampire. Le vampirisme est considĂ©rĂ© comme contagieux; la personne vampirisĂ©e, vidĂ©e de sa vitalitĂ©, est considĂ©rĂ©e comme un vacuum psychique qui pompe ensuite lâĂ©nergie des gens quâelle rencontre dans la vie quotidienne. Cette Ă©nergie est ensuite disponible pour lâentitĂ© vampirisatrice lors de sa collecte suivante. Le culte du vampire, crĂ©Ă© en grande partie par Bram STOKER en 1897, a des nuances de sexualitĂ© qui pourraient bien ne pas ĂȘtre accidentelles. La combinaison de la violence,
de la sĂ©duction psychique, du sexe et de lâabandon de la force vitale a rendu le vampirisme trĂšs populaire. Dâinnombrables individus ont Ă©tĂ© appelĂ©s ou se sont appelĂ©s eux-mĂȘmes des vampires. Aucun de ces pervertis nâa surgi dâentre les morts, encore quâils aient commis force meurtres et/ou bu du sang. Ce nâĂ©taient pas des vampires au sens surnaturel du terme. NĂ©anmoins, le rapport entre vampirisme surnaturel et relations sexuelles est profond. Nous devrions nous demander quelle est cette fascination extraordinaire du vampirisme dans le subconscient de tant de gens. Il semble ĂȘtre un mĂ©lange dâexcitation sexuelle, dâabandon Ă la possession avec promesse dâimmortalitĂ©, et de Mal excitant. Sexe et surnaturel : une combinaison imbattable. Lâacteur britannique Christopher LEE a expliquĂ© comme suit lâattirance pour le vampire : Il offre lâillusion de lâimmortalité⊠le subconscient veut que tous nous possĂ©dions des pouvoirs sans limites⊠un ĂȘtre dotĂ© dâune intelligence et dâune force physique peu communes⊠Lâillusion dâimmortalitĂ© ! VoilĂ qui ressemble beaucoup Ă ce qui a Ă©tĂ© offert Ă de nombreux enlevĂ©s par des OVNIs : âŠFrank et JamesâŠon leur avait dit Ă tous deux que de nouveaux corps Ă©taient dâune maniĂšre ou dâune autre en train dâĂȘtre fabriquĂ©s ou prĂ©parĂ©s pour nous. (TURNER, 1992) Lâun des effets les plus rĂ©pandus de lâactivitĂ© vampirique est lâĂ©puisement physique sans aucune cause apparente. Ce phĂ©nomĂšne se produit frĂ©quemment dans les scĂ©narios de rapts par OVNIs comme nous pouvons le lire ci-dessous : Tout au long de lâautomne et de lâhiver nous nous sommes sentis littĂ©ralement assiĂ©gĂ©s par des forces et entitĂ©s impossibles Ă cerner⊠le matin suivant il mâa Ă©tĂ© impossible
de me rĂ©veiller. Jâai eu beau faire de gros efforts et boire beaucoup de thĂ©, je suis restĂ©e dans un brouillard pendant toute la journĂ©e et cependant je nâavais aucune raison dâĂȘtre aussi fatiguĂ©e⊠[âŠ] âŠmais tout aussi soudainement quâelle sâĂ©tait sentie euphorique elle fut vidĂ©e de toute son Ă©nergie et manqua de tomber sur le sol, proche de lâĂ©vanouissement⊠âŠMegan sâeffondra sur le divan, incapable de parler ou mĂȘme dâouvrir les yeux, pendant prĂšs dâune heure. (TURNER, 1992) Un autre phĂ©nomĂšne psychique trĂšs commun est celui des poltergeists. Un phĂ©nomĂšne apparentĂ© est celui de lâagresseur invisible. Des marques de griffures en relief apparaissent sur le corps de victimes de poltergeists, et en une occasion un officier de police qui enquĂȘtait a vu des coupures apparaĂźtre spontanĂ©ment sur les jambes et la poitrine dâune victime de poltergeist. Un exemple contenant des Ă©lĂ©ments de sexe, stigmates provoquĂ©s par des poltergeists et probable vampirisme est Ă©galement citĂ© dans des comptes rendus faits par Karla TURNER sur des rapts par OVNIs : âŠIl sâĂ©veilla dans son lit pour voir une Ă©trange femelle « alien » Ă ses cĂŽtĂ©s. « Elle Ă©tait en train de me tripoter », dit-il. « Elle se mit sur moi et tenta de susciter en moi une rĂ©ponse, vous savez, sexuelle. Mais moi je ne voulais pas. Je la repoussai et lui demandai de me laisser tranquille⊠elle Ă©tait nue, cependant, et je sentais quâelle Ă©tait trĂšs froide quand elle me touchait »⊠Jâai trouvĂ© ces marques ce matin dit-il en montrant du doigt⊠trois grandes marques de piqĂ»res sur la peau de son mollet, disposĂ©es en forme de triangle Ă©quilatĂ©ral. [âŠ] âŠIl Ă©tait seul dans lâappartement dâun ami , il sâeffondra sur le lit aprĂšs plusieurs heures de marche solitaire
dans les rues, et quand il sâĂ©veilla il Ă©tait couvert de bleus et dâĂ©gratignures sur tout le dos. [âŠ] « âŠJâĂ©tais assise sur le sofa et il Ă©tait tard dans la nuit. Soudain, le divan se mit Ă tressauter, puis ce tabouret se mit Ă sauter, je veux dire, vraiment sauter. Cela me secouait ! » [âŠ] « Tout le lit se mit Ă ĂȘtre secouĂ© et quand jâessayai de bouger je me sentis paralysĂ©e. Je ne pouvais mĂȘme pas parler, mais je parvins cependant Ă murmurer une priĂšre, demandant au dieu de vĂ©ritĂ© et dâamour de faire partir cette force effrayante. Je rĂ©pĂ©tai cette priĂšre plusieurs fois, jusquâĂ ce que la paralysie cesse mais le lit fut secouĂ© de plus en plus fort Ă mesure que je retrouvais mes forces⊠Jâessayai de rĂ©veiller Casey pour lui dire ce qui se passait, mais il se retourna, endormi, sans rĂ©pondre⊠à ce moment, trois femmes entrĂšrent et sâapprochĂšrent de moi. Elles me tinrent en me rĂ©confortant et me dirent: tu as fait ce quâil fallait, tu as rĂ©ussi lâĂ©preuve. » (TURNER, 1992) Il y a certains parallĂšles troublants entre les Ă©vĂ©nements ci-dessus dâun supposĂ© rapt par OVNI et des phĂ©nomĂšnes de poltergeist. Cette Grande ĂtrangetĂ© est partie intĂ©grante non seulement de scĂ©narios OVNIs et rencontres avec des E.T., mais aussi de rencontres mythiques avec des vampires et cas supposĂ©s de possession. Quand des entitĂ©s « possĂ©dantes » sont questionnĂ©es, au cours dâexorcismes, sur la maniĂšre dont elles choisissent une cible Ă possĂ©der, elles rĂ©pondent souvent que le sujet a Ă©tĂ© choisi avant sa naissance. Dans la plupart des cas la ligne de contact et la gradation de lâassaut peuvent ĂȘtre remontĂ©es jusquâĂ lâenfance. On pourrait dire, de maniĂšre gĂ©nĂ©rale, que le processus de possession a dĂ©jĂ commencĂ© avant que la cible ou ceux de son entourage ne prennent conscience des signes. La mĂȘme chose vaut pour les rencontres
dites avec des E.T. Dans la plupart des cas il y a la sensation dâune prĂ©sence avant quâune rencontre rĂ©elle nâait lieu. Le cas du rapt de Betty ANDREASSON est devenu un classique. Le scĂ©nario dĂ©crit sâest reproduit dans de nombreux cas de rapts. Pour rendre la comparaison plus facile, nous adopterons une version condensĂ©e. Une lumiĂšre apparut Ă lâextĂ©rieur de la fenĂȘtre. Le reste de la famille parut entrer dans un Ă©tat dâanimation suspendue. Quatre petites crĂ©atures sont entrĂ©es dans la piĂšce en passant par une porte. Lâune dâelles a communiquĂ© tĂ©lĂ©pathiquement avec elle et lâa menĂ©e dehors oĂč un vaisseau ovale attendait. Une fois Ă bord elle fut soumise Ă un douloureux examen mĂ©dical. Une sonde fut poussĂ©e dans son nez. Une autre sonde fut introduite dans son nombril et on lui dit quâon prenait ses « mesures de procrĂ©ation ». Ensuite, elle dut sâasseoir sur une chaise de verre oĂč elle fut enveloppĂ©e dans une couverture transparente et immergĂ©e dans un liquide; elle respirait par des tubes attachĂ©s Ă son nez et Ă sa bouche. Un liquide sucrĂ© pĂ©nĂ©tra dans sa bouche. Quand elle put quitter la chaise, elle vit quâelle avait fait le voyage jusquâĂ la planĂšte des extraterrestres. Deux des crĂ©atures la firent passer par un tunnel et une sĂ©rie de piĂšces. La premiĂšre Ă©tait pleine de petites crĂ©atures ressemblant Ă des reptiles; la deuxiĂšme Ă©tait un vaste espace colorĂ© en vert oĂč ils flottĂšrent au-dessus de pyramides vers une citĂ© constituĂ©e de mystĂ©rieuses formes cristallines. On la fit entrer dans une des formes de cristal oĂč elle se trouva en face dâun oiseau gĂ©ant qui Ă©clata en une gerbe de lumiĂšre puis sâeffondra en un tas de cendres. Une voix lui dit quâelle avait Ă©tĂ© choisie pour une mission spĂ©ciale qui allait lui ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ©e.
Quand Betty dĂ©clara quâelle croyait en Dieu, la voix lui dit que câĂ©tait la raison pour laquelle elle avait Ă©tĂ© choisie⊠le chef, Quazgaa, lui dit que des secrets avaient Ă©tĂ© enfermĂ©s dans son esprit. Elle fut ensuite escortĂ©e jusquâĂ sa maison oĂč elle retrouva le reste de sa famille toujours en Ă©tat dâanimation suspendue. Les extraterrestres mirent toute la famille au lit. Ă prĂ©sent, lisez le condensĂ© qui suit, dâun cas allĂ©guĂ© dâinvasion, obsession et probable possession dĂ©moniaque qui a Ă©tĂ© abondamment commentĂ© et dĂ©crit dans The Demon Syndrome par Nancy OSBORN : La piĂšce baignait dans une lueur floue. Une forte odeur dâozone⊠une rafale de vent froid est entrĂ©e par la fenĂȘtre ouverte⊠Il a semblĂ© Ă©trange Ă Ann que la lune luise si intensĂ©ment alors que la nuit Ă©tait nuageuse. Elle sâest levĂ©e. Trois sombres silhouettes se sont matĂ©rialisĂ©es comme si elles entraient par la fenĂȘtre ouverte. ⊠son mari continuait Ă dormir, inconscient⊠Deux des personnages sont restĂ©s Ă lâarriĂšre-plan mais le troisiĂšme sâest approché⊠il Ă©tait plus grand que les deux autres ⊠Pendant que le chef avançait, les crĂ©atures plus petites semblaient flotter Ă lâarriĂšre, babillant de maniĂšre inintelligible⊠le mystĂ©rieux intrus nâavait pas un corps complet⊠Il Ă©tait revĂȘtu dâun ample linceul noir avec deux bras et deux mains sortant des bords⊠mais ce nâĂ©taient pas des appendices humains. Pas des bras et des mains normaux, mais fendus comme ceux dâun cochon. Les dents et la bouche paraissaient inhumaines. Quatre crocs sâavançaient lĂ oĂč des incisives auraient dĂ» se trouver, et des Ă©lĂ©ments faisant saillie et ressemblant Ă des Ă©pines rugueuses faisaient office de dents. Sa face avait quasiment la forme dâune amande et la peau Ă©tait de couleur rose. Mais ce sont les yeux qui ont le plus effrayĂ© Ann car ils brĂ»laient dâune lumiĂšre Ă©carlate⊠La crĂ©ature avait peu de cheveux ; ils Ă©taient crĂ©pus
et rares et Ă©taient dressĂ©s tout droit, et les oreilles Ă©taient pointues⊠elle nâ avait pas de pieds⊠la chose se mouvait en glissant et flottant⊠[LâentitĂ© parle] « Je suis venu te prendre avec moi, Ann nbame(Haywood). Tu as Ă©tĂ© choisie pour ĂȘtre lâune des nĂŽtres. Tourne-toi vers moi et je te donnerai paix et rĂ©confort. » âŠune impression dâeuphorie lâa envahie. CâĂ©tait une sensation de chaleur et de calme. Elle a fait un effort et sâest remise Ă prier⊠« Toi et ton damnĂ© Dieu ! Il ne te sert plus Ă rien. Tu ne comprends pas ? Je suis venu te chercher. DĂ©tends-toi et laisse-toi aller. Tu ne seras plus jamais malade ou tracassĂ©e. Câest un lieu de paix et de chaleur tel que en as fait lâexpĂ©rience il y a quelques minutes. Alors laisse-toi aller, laisse-toi aller ! » Pendant que le monstre la tentait, il sâapprochait de plus en plus prĂšs de Ann. Enfin, il a ouvert grand sa bouche et sâest mis Ă parcourir son visage avec sa gueule gluante. La chaleur de son haleine et lâintolĂ©rable puanteur qui sâen dĂ©gageait sembla affaiblir Ann. La salive de la crĂ©ature Ă©tait hideusement froide et gluante pendant que le monstre suçait ses forces et sa vie⊠Ann luttait de toutes ses forces⊠la crĂ©ature a alors dit dans un sifflement dĂ©sappointĂ©: « Je suis ta paix et je suis ta force. DĂšs ce moment je vais prendre soin de toi. Il nây a pas de dieu. » Les trois entitĂ©s ont alors quittĂ© la chambre Ă travers le mur et ont disparu dans la nuit ⊠(OSBORN, 1982) Avec des similitudes qui font froid dans le dos nous retrouvons certaines images apparues dans dâautres cas de rapt E.T. et dâinvasion dĂ©moniaque. Un voyage astral vers quelque lieu exotique inconnu Ă©tait frĂ©quent. Elle a vu les pyramides dâĂgypte⊠câest alors que Ann a senti quâelle faisait partie de lâĂ©ternité⊠immortelle⊠en sĂ©curitĂ©, heureuse et libre de toute souffrance. Dans une interview avec un journaliste, Ann
HAYWOOD a tentĂ© dâexpliquer comment la Dame la transportait dans le temps vers des endroits lointains. « Elle place le vĂȘtement autour de moi et alors mon mental se sĂ©pare de mon corps. Je peux regarder et le voir couchĂ© lĂ . Puis nous montons Ă travers le plafond, Ă©mergeons du toit, et volons dans lâespace. Une nuit, la Dame mâa fait remonter le temps. Nous Ă©tions dans un pays Ă©tranger et les gens portaient des vĂȘtements dĂ©modĂ©s. La Dame avait pris lâapparence dâune belle femme en robe bleue. Elle a accompli des miracles pour eux⊠». Soudain, le visage de Ann devient gris comme la cendre et elle demande Ă ĂȘtre excusĂ©e. Un cri de douleur sort de la salle de bain oĂč elle sâest rĂ©fugiĂ©e. Quand Ann est sortie elle reniflait en se tenant lâabdomen. La Dame lâavait sauvagement attaquĂ©e pour avoir rĂ©vĂ©lĂ© que tout au long de lâHistoire des crĂ©atures comme la Dame ont pris lâapparence de saints. Elles utilisent alors la crĂ©dulitĂ© des humains pour les Ă©garer et les dĂ©sinformer, de maniĂšre Ă leur faire croire quâils voient des miracles. Ann a demandĂ© au journaliste de supprimer cette portion de lâinterview. (OSBORN, 1982) Et si lâon se rĂ©fĂšre au cas de vampirisme citĂ© par Karla TURNER, Ann HAYWOOD a Ă©galement souffert : les contacts avec la Dame Ă©taient toujours physiquement Ă©puisants. Ann se sentait utilisĂ©e Ă chaque fois que la crĂ©ature lâemmenait; et sa santĂ© se dĂ©tĂ©riorait Ă chaque agression. Le dĂ©mon la tuait lentement physiquement et mentalement. Si elle voulait faire lâamour avec son mari la Dame lui disait « Ann ne gaspille pas ton temps en copulations qui nâont pas de sens. Jâai besoin de ta force. Tu es mienne..». Le dĂ©mon de Ann Ă©tait aussi trĂšs bavard, et il serait intĂ©ressant de nous arrĂȘter un moment pour dĂ©cider si ce quâelle dit est factuel ou bien mensonges et tromperies. Dans
les cas de rapt par extraterrestres le scĂ©nario suit le syndrome de lâinvasion dĂ©moniaque jusquâĂ un certain point. Les E.T. sont rarement ou jamais forcĂ©s dâadmettre leurs intentions nĂ©fastes. Les dĂ©mons, quand on les questionne dans certaines circonstances, deviennent trĂšs bavards. La Dame sâest transformĂ©e en lĂ©opard puis en une sorte de loup. « Nous pouvons prendre toutes les formes que nous voulons. Ma race gouverne ce monde. Le destin change Ă jamais quand lâun de nous fait son apparition⊠BientĂŽt, le monde entier nous connaĂźtra et pas seulement toi, Ann. Avant lâan 2 000 personne ne niera plus notre existence. Mais avant que votre Ăąme retourne Ă lâesprit, une autre doit vous remplacer. Il y en a une en ce moment qui est sous influence ». Des pannes mĂ©caniques se sont produites en la prĂ©sence de Ann. Eugene WYATT a menĂ© lâinterview originale avant de dĂ©signer un reporter dans le Tennessean [numĂ©ro du 4 juin 1978]. Lâenregistrement a Ă©tĂ© fait sur une machine professionnelle. Et cependant, la bande a Ă©tĂ© dĂ©chirĂ©e sur la machine en question. Mr. WYATT dit sur lâenregistrement : « Lâordinateur est tombĂ© en panne immĂ©diatement et a dĂ» ĂȘtre rechargĂ© par deux fois. Quand nous avons voulu monter lâhistoire sur un terminal vidĂ©o, il y a eu panne aussi. Toute la section dâalimentation Ă©lectrique a dĂ» ĂȘtre remplacĂ©e. Elle avait tout simplement brĂ»lĂ©. » Quand une chaĂźne locale de tĂ©lĂ©vision a voulu tourner un film montrant Ann chez elle et ensuite passer les films sur un appareil dans les studios de la chaĂźne, le film nâa montrĂ© quâun rouge Ă©blouissant. Le technicien a dit que jamais il nâavait vu une anomalie de ce genre. (OSBORN, 1982) Voici un condensĂ© des remarques faites par Ann au fil de plusieurs interviews : Je dis quâil y a des mondes invisibles et des ĂȘtres qui les
peuplent. Ce nâest pas parce que nous ne pouvons pas les voir quâils nâexistent pas âŠ. Tout animal a un ennemi naturel. Les humains aussi. Ce nâest pas la maladie ou la mort mais de terribles crĂ©atures qui nous Ă©pient tous jusquâĂ ce que nous devenions faibles. Alors ils planent autour de nous comme des vautours qui sâacharnent sur des proies. Quand cela se produit, notre esprit est cassĂ©. Câest alors que les gens font des choses terribles, indicibles. Ils se suicident ou tuent, et rendent tout le monde misĂ©rable. Souvent, les victimes finissent dans des asiles dâaliĂ©nĂ©s. âŠ. Un de ces monstres vit Ă lâintĂ©rieur de moi⊠Elle ne me fait de mal que quand je la mets au dĂ©fi. Jâessaie de rester en bons termes avec elle. Elle est trĂšs colĂ©rique et a un caractĂšre terrible. La Dame nâaime pas non plus la religion. Elle ne croit pas en Dieu comme je le fais⊠La Dame ne communique directement avec personne dâautre que moi. Certains lâont vue et elle a laissĂ© sa voix sur des cassettes audio, mais elle ne sâest jamais adressĂ©e directement quâĂ moi. Je peux lui parler Ă voix haute ou dans ma pensĂ©e. Elle sait tout ce que vous et moi disons et pensons. Quand elle parle elle a la voix dâune femme. Quand elle est en colĂšre le ton est plus profond. La Dame paraĂźt tout savoirâŠ. parfois nous parlons de lâendroit oĂč elle veut mâemmener. Elle dit que je vais y trouver paix et repos, aucun souci, aucune maladie, et que je ne subirai pas une mort physique douloureuse comme le commun des mortels⊠Je nâai jamais fait tout le chemin jusquâaux lieux oĂč elle veut mâemmener parce que jâai peur de ne pas pouvoir revenir⊠Quand je suis avec elle jâai en gĂ©nĂ©ral une sensation trĂšs agrĂ©able - quand elle est de bonne humeur - câest chaleureux et paisible⊠tous mes problĂšmes sont effacĂ©s⊠il y
a silence complet et nous sommes ensemble ⊠Une chose que la Dame nâaime pas câest que je prie beaucoup. Elle pense que je ne devrais jamais faire cela. Si je nâarrĂȘte pas quand elle me lâordonne elle se met en colĂšre⊠mes priĂšres interfĂšrent dans mes rapports avec elle⊠Je ne pense pas quâelle ait peur de Dieu. Quand je vais Ă lâĂ©glise elle ne me laisse pas me concentrer sur ce que dit le prĂ©dicateur. âŠelle sâarrange pour me distraire et attend que je sorte, juste Ă la limite de la propriĂ©tĂ© de lâĂ©glise⊠Jâai dâabord pensĂ© quâelle appartenait au diable⊠Je pleure beaucoup Ă cause de cela⊠Quand je suis dĂ©primĂ©e Ă cause de cela la Dame me tire de la mauvaise humeur dâun claquement de doigts. âŠelle me parle de son cĂŽtĂ© du monde â oĂč je pourrais aller et ce que je pourrais faire pour changer mon apparence et cela me remonte le moral. âŠpas de souffrance, pas de tracas, pas de mort, un pays plein de promesses, oĂč lâidĂ©e quâon peut faire quelque chose de soi-mĂȘme nâexiste pas â on est dĂ©jĂ quelque chose⊠câest comme une souque Ă la corde, et moi je suis au milieu. Si je nâaimais pas ma famille, je serais peut-ĂȘtre dĂ©jĂ partie avec elle. TrĂšs souvent je suis tentĂ©e de cĂ©der ⊠Elle essaie aussi de me convaincre quâil ne mâest pas possible dâaider ceux qui ont un problĂšme comme le mien. Elle dit que mon problĂšme nâest pas une maladie mentale⊠Câest un conflit de rĂ©alitĂ©s⊠Au dĂ©but jâai Ă©tĂ© vraiment terrifiĂ©e. Je me tournais et elle Ă©tait lĂ . Jâavais peur dâaller dormir parce quâelle venait le plus souvent pendant la nuit, quand tout Ă©tait calme, ou pendant la journĂ©e quand jâĂ©tais seule Ă la maison. Mais habituellement elle apparaĂźt la nuit, quand je me couche. Elle vient et nous partons ensemble. Elle met la cape autour de moi et câest comme si je partais pour un monde de
rĂȘve. La Dame mâemmĂšne dans des endroits trĂšs beaux sur cette planĂšte-ci ou sur dâautres, et parfois dans le lointain, trĂšs lointain passĂ©. Ă lâoccasion nous visitons mĂȘme le futur, mais je nây comprends rien. Je ne peux toujours pas mâhabituer Ă son apparence⊠elle nâest pas comme nous. Pas du tout. Elle ne semble mĂȘme pas avoir la mĂȘme composition physique que les humains. Quand elle me touche avec ses mains câest comme de toucher de la glace sĂšche⊠ses mains collent Ă ma peau et elles laissent des marques rouges partout oĂč elles me touchent⊠Le contact physique pique de froid et brĂ»le aussi un peu⊠Quand elle le veut elle peut contrĂŽler mes pensĂ©es. Si elle veut que je dise quelque chose Ă son sujet pendant quâelle Ă©coute la conversation, elle me laisse me souvenir des choses. Mais quand elle nâaime pas quelquâun, toute information Ă son sujet est effacĂ©e de ma mĂ©moire, comme si elle nâavait pas existĂ©. Elle dit quâil est temps que je parle dâelle. Elle dit aussi que bientĂŽt le monde entier saura lâexistence de sa raceâŠ. Elle mâa dit que jâavais Ă©tĂ© Ă©lue⊠elle a besoin des gens⊠elle a besoin de mon souffle. La Dame en a besoin pour survivre dans le monde des humains. Elle doit en avoir quotidiennement pour pouvoir exister sur notre plan. Je lui donne chaque jour le souffle de la vie parfois mĂȘme trois ou quatre fois par jour. Une plus grande dĂ©pense dâĂ©nergie de sa part et de la mienne nĂ©cessite une alimentation plus frĂ©quente en souffle⊠câest la mĂȘme sensation que quand on fait de lâhyperventilation⊠La Dame doit recevoir du souffle pour pouvoir rester ici bas⊠Je sais que je vais devoir abandonner les membres de ma famille parce quâils sont tous chrĂ©tiens. Jâai Ă©tĂ© sauvĂ©e jadis, jusquâĂ ce que la Dame entre dans ma vie. Elle dit « je ne sais pas pourquoi tu crois Ă de vieux livres qui parlent dâun
dieu quâil faut rĂ©vĂ©rer. Ce dieu appartient Ă dâautres gens, pas Ă toi. As-tu jamais vu Dieu ? Tu me vois et tu sais que je suis rĂ©elle, que jâexiste»⊠il me semble que câest comme une sorte dâarmĂ©e.ââŠUne chose trĂšs puissante des deux cĂŽtĂ©s⊠elle a dit quâelle me convaincrait tĂŽt ou tard quâil nây a pas de Dieu⊠âŠelle sâĂ©panouit dans la mĂ©chancetĂ©. (OSBORN, 1982) Ătudiant le sujet en profondeur, jâai observĂ© une tradition qui a cours depuis des milliers dâannĂ©es : celle dâĂȘtres venus dâautres mondes pour enlever des humains et leurs enfants. Comme la plupart des rationalistes, jâai toujours considĂ©rĂ© ces rĂ©cits comme des « psychodrames » ou des « Ă©laborations de la conscience ». LâĂ©tude dâexpĂ©riences anormales, du paranormal et dâautres domaines psycho-spirituels apparentĂ©s a occupĂ© beaucoup des plus grands esprits de notre race pendant des millĂ©naires, et depuis environ deux cents ans les explications ont tendance Ă souligner quâune rĂ©alitĂ© particuliĂšre est lâarbitre de tout ce qui est, et tout ce qui ne sâadapte pas Ă cette rĂ©alitĂ© matĂ©rialiste et anthropocentrique est rejetĂ©, soit comme hors de propos, soit comme pathologique. Il est manifeste que des choses Ă©tranges continuent Ă se produire en dĂ©pit du fait quâelles ne sont pas conformes Ă la notion de rĂ©alitĂ© scientifique rationaliste. Cependant, ce qui est dĂ©rangeant dans tout cela câest le fait que, en grande partie, ce genre dâĂ©vĂ©nements est sans doute derriĂšre la plupart des religions du monde. Ceci est prĂ©occupant Ă cause du fait que dans les cas oĂč les piĂšges religieux sont dĂ©voilĂ©s, les phĂ©nomĂšnes ne semblent pas ĂȘtre favorables Ă lâhumanitĂ©. LâhypothĂšse dâun systĂšme de contrĂŽle telle quâimaginĂ© par Jacques VALLĂE est intĂ©ressante Ă cet Ă©gard. Il Ă©crit : Je crois quâil y a autour de nous un systĂšme qui
transcende le temps comme il transcende lâespace. Ce systĂšme est sans doute capable de se situer dans lâespace extĂ©rieur, mais ses manifestations ne sont pas des vaisseaux dans le sens mĂ©canique. Les OVNIs sont des manifestations physiques qui ne peuvent pas ĂȘtre comprises hors de leur rĂ©alitĂ© psychique et symbolique. Ce que nous voyons ici, en effet, nâest pas une invasion extraterrestre. Câest un systĂšme de contrĂŽle qui agit sur les humains et utilise les humains. Autrement dit, ce que VALLĂE suggĂšre ressemble for Ă La Matrice (The Matrix), telle que reprĂ©sentĂ©e dans le film du mĂȘme nom. Cependant, jâai envisagĂ© cela longtemps avant que le film soit tournĂ© et lâidĂ©e popularisĂ©e. LâidĂ©e mĂȘme que cela puisse ĂȘtre une rĂ©alitĂ© qui contrĂŽle et domine la nĂŽtre Ă©tait affolante. Ce qui a rendu le problĂšme si terrifiant est le fait que mes Ă©tudes et expĂ©riences en « annexion par des esprits » et « possession dĂ©moniaque » ont trouvĂ© des correspondances dans les phĂ©nomĂšnes dits OVNIs et extraterrestres. Le fait que les modernes rapts E.T. sont des reflets de lâinvasion dĂ©moniaque et le vampirisme fait partie du schĂ©ma historique. Un schĂ©ma implique un crĂ©ateur de schĂ©mas. Ce qui nous prĂ©occupe ici câest qui ou quoi est ce crĂ©ateur de schĂ©mas et pourquoi il dĂ©clenche le systĂšme de contrĂŽle. La premiĂšre chose que jâai constatĂ©e en Ă©tudiant ce phĂ©nomĂšne Ă fond est que certaines rencontres avec des entitĂ©s semblent accidentelles, mais dâautres sont clairement orientĂ©es vers une personne spĂ©cifique. Ceci mâa fait poser la question de savoir si les rencontres paraissant accidentelles Ă©taient aussi accidentelles quâelles le semblaient. Jâai alors dĂ» me demander si la manifestation se produisait en rĂ©ponse Ă quelque besoin cachĂ©, Ă un Ă©tat psychologique nĂ©cessitant quelque intervention extĂ©rieure. Dans son livre Fantastiques rencontres au bout du
monde (1982), lâufologue français Jean-Francois BOEDED, suggĂšre que lâobservation dâOVNIs commence bien avant lâexpĂ©rience en soi. Il a notĂ© beaucoup de cas dans lesquels les tĂ©moins ont eu le pressentiment que quelque chose Ă©tait sur le point de se produire : ou bien pour une raison ou une autre ils sont retournĂ©s chez eux par un chemin diffĂ©rent, ou bien ils ont fait un parcours inhabituel. Dâune maniĂšre ou dâune autre, on dirait que les tĂ©moins sont prĂ©parĂ©s Ă lâexpĂ©rience quâils sont sur le point de faire. Dans de nombreux cas la personne enlevĂ©e affirme quâil y a sensation dâune prĂ©sence avant que la rencontre rĂ©elle se produise. Je ne peux pas dire que jâaie eu une prĂ©monition de ce genre dans les cas que jâai vĂ©cus. Je me suis dirigĂ©e vers cette piscine en ne pensant Ă rien dâautre que flotter, me dĂ©tendre, et peut-ĂȘtre apercevoir lâune ou lâautre Ă©toile filante dans le ciel. Mais cela peut ĂȘtre dĂ» Ă un manque de sensibilitĂ© ou de prise de conscience de certains indices subtils. Peut-ĂȘtre que mon approche rationnelle a agi comme un barrage⊠Cependant, BOEDED a raison sur un point. Dans mon travail de thĂ©rapie de dĂ©livrance des esprits, dont je veux souligner que je lâai employĂ©e parce quâelle fonctionnait et non parce que jây « croyais » de nombreuses entitĂ©s « attachĂ©es », avec lesquelles jâai conversĂ© pendant les sĂ©ances dâhypnose de libĂ©ration dâesprit, ont affirmĂ© que leur hĂŽte avait Ă©tĂ© choisi « avant quâil soit nĂ© ». Comme je lâai fait remarquer ci-dessus, dans la plupart des cas une ligne de contact et une agression Ă©laborĂ©e graduellement peut ĂȘtre suivie Ă la trace en remontant jusquâĂ lâenfance. Dâune maniĂšre gĂ©nĂ©rale on pourrait dire que le processus de possession a dĂ©jĂ commencĂ© avant que la cible ou son entourage nâaperçoivent les signes. Mais ceci va Ă lâencontre de nombreux enseignements religieux et philosophiques qui disent que nous avons un « libre arbitre ».
Dans tous les cas de vampirisme psychique et possession vĂ©ritable il y a gĂ©nĂ©ralement un moment oĂč lâentitĂ© entre en relation avec lâindividu. Une dĂ©cision de permettre ce contact est alors prise par la victime. Cela se produit souvent simplement parce que la victime nâest pas consciente de la signification de lâĂ©vĂ©nement. Cela semble ĂȘtre un Ă©vĂ©nement mineur pouvant surgir Ă la suite dâune fatigue, dâune excitation mentale, dâune frustration, ou dâune douleur.
Un autre facteur dĂ©rangeant surgi de ma recherche est que ces ĂȘtres â dĂ©mons, vampires ou extraterrestres â paraissent avoir la facultĂ© de contrĂŽler nos pensĂ©es dans une
certaine mesure, notre corps physique, le temps, et mĂȘme les Ă©vĂ©nements de notre vie, au point que nous pouvons ĂȘtre affaiblis par ces attaques et nous abandonner pour ainsi dire par dĂ©faut. Dans le cas des rapts par extraterrestres ces mĂȘmes Ă©vĂ©nements mis en scĂšne comme des rapts extraterrestres pourraient avoir pour but dâaffaiblir la victime et induire lâacquiescement. Un autre Ă©lĂ©ment historiquement Ă©vident est « lâexamen physique ». Le cas bien connu de Betty et Barney HILL dĂ©crit une simulation dâexamens mĂ©dicaux au moyen dâune longue aiguille introduite dans le nombril. Un calendrier français du XVe siĂšcle , le Kalendrier des bergiers, illustre les tortures infligĂ©es par des « dĂ©mons » aux gens quâils ont capturĂ©s. Les dĂ©mons son dĂ©peints en train de percer lâabdomen de leurs victimes avec de longues aiguilles. Jacques VALLĂE a exprimĂ© des doutes au sujet dâune civilisation matĂ©rielle capable de voyager dans lâespace et dans le temps et qui ferait des choses aussi idiotes quâenlever des gens et se livrer sur eux Ă des expĂ©riences et examens primitifs. De nombreuses personnes ont dĂ©clarĂ© que leurs ravisseurs Ă©taient des ĂȘtres bienveillants, mais quand nous considĂ©rons tous les facteurs du grand phĂ©nomĂšne dans son ensemble, il semble que ces histoires de bienveillance soient trompeuses. Kenneth RING a dĂ©couvert que bon nombre de personnes ayant fait part dâune expĂ©rience proche de la mort (Near-Death Experience - ou NDE) ont elles aussi eu, au prĂ©alable, dâautres « expĂ©riences inhabituelles » incluant des observations dâOVNIs et/ou des rapts qui ont Ă©tĂ© interprĂ©tĂ©s par elles de maniĂšre positive. AprĂšs leur NDE, elles on en gĂ©nĂ©ral fait part dâun changement remarquable trĂšs similaire Ă une conversion religieuse. Elles ont souvent aussi rapportĂ© la
soudaine prĂ©sence en elles dâun nouveau talent ou intĂ©rĂȘt. RING a fait diffĂ©rents tests sur ses sujets, et la plupart dâentre eux ont atteint des cotes Ă©levĂ©es sur lâĂ©chelle de personnalitĂ© dissociative (dissociative personality scale). Ces personnes sont faciles Ă hypnotiser et rĂȘvassent en gĂ©nĂ©ral beaucoup pendant la journĂ©e. Il paraĂźt donc y avoir un lien direct entre le fait de penser que les E.T. sont bons et une dissociation de personnalitĂ©. Les sceptiques ont fait des bonds de joie Ă cette nouvelle. Ils ont sautĂ© sur lâidĂ©e que les sujets de RING Ă©taient tout simplement des fantasmeurs invĂ©tĂ©rĂ©s, ou bien, sâils avaient subi des abus, ce traumatisme les avait menĂ©s à « un besoin dâattention et dâestime de soi » qui leur faisaient imaginer ces expĂ©riences. Puisquâil y avait une claire corrĂ©lation entre ceux qui avait « fait lâexpĂ©rience dâune interaction E.T. positive » et des Ă©tats indubitablement pathologiques, cette Ă©tiquette fut collĂ©e sur tous ceux qui reconnaissaient que la possibilitĂ© dâune rĂ©alitĂ© E.T. Ă©tait plus quâune simple contamination. RING a suggĂ©rĂ© que la dissociation de lâenfance pourrait ĂȘtre une technique dĂ©veloppĂ©e par une personne abusĂ©e pour sâadapter Ă une situation difficile. Puisque ces individus opĂšrent une dissociation dĂšs un trĂšs jeune Ăąge, ils trouvent plus facile de se mettre dans des Ă©tats de conscience altĂ©rĂ©e. RING a ensuite Ă©mis lâidĂ©e que, puisque ces individus dans des Ă©tats de conscience altĂ©rĂ©e pouvaient avoir accĂšs Ă un Ă©ventail plus large de perceptions que les gens ordinaires, ils pourraient ĂȘtre plus enclins Ă faire lâexpĂ©rience dâĂ©vĂ©nements paranormaux quâun groupe-tĂ©moin Ă©galement exposĂ© mais moins disposĂ© Ă les percevoir. Il y a une autre façon de voir les conclusions de RING : il se pourrait que les gens qui ne sont pas Ă mĂȘme de percevoir
des rĂ©alitĂ©s plus subtiles soient ceux qui voient la rĂ©alitĂ© de façon dĂ©formĂ©e : dissociĂ©e de ce quâest le monde objectif. Quâils fassent ou non une expĂ©rience positive, de la « rĂ©alitĂ© E.T. » ou bien de la rĂ©alitĂ© SETI, ou encore dâune autre rĂ©alitĂ© qui ne tienne pas compte du plus grand Ă©ventail possible de faits observables, de tels individus agissent peut-ĂȘtre dans des Ă©tats pathologiques de dissociation. Dans cette optique, lâidĂ©e que « Dieu est dans les cieux et tout va bien dans le monde » est tout autant un fantasme que lâidĂ©e que lâhumanitĂ© est le rĂ©sultat dâune Ă©volution au hasard. Une trĂšs simple façon de voir cela est ce qui a Ă©tĂ© appelĂ© le Syndrome de Stockholm. Une personne qui nâest pas consciente du jeu souterrain des forces Ă lâoeuvre dans notre monde, une personne qui, comme je lâai fait moi-mĂȘme, compartimente les choses de maniĂšre Ă ne pas devoir regarder les connexions impliquĂ©es peut sâĂȘtre dissociĂ©e et identifiĂ©e Ă une interprĂ©tation rationaliste et matĂ©rialiste de la rĂ©alitĂ©. Autrement dit, si comme le suggĂšre VallĂ©e, il y a un systĂšme de contrĂŽle â un « mĂ©chant mage » comme le nomme GURDJIEFF â il encourage trĂšs probablement cette façon de voir les choses pour se dissimuler. Lâexpression Syndrome de Stockholm est apparue au dĂ©but des annĂ©es 1970 pour dĂ©crire les Ă©tonnantes rĂ©actions de quatre employĂ©s de banque envers leurs ravisseurs. Le 23 aoĂ»t 1973, trois femmes et un homme ont Ă©tĂ© pris en otage dans une des plus grandes banques de Stockholm. Ils ont Ă©tĂ© gardĂ©s pendant six jours par trois anciens dĂ©tenus qui les menaçaient de mort mais leur tĂ©moignaient aussi de lâamabilitĂ©. Ă la surprise universelle, tous les otages se sont fortement opposĂ©s aux efforts du gouvernement pour venir Ă leur secours et ont Ă©nergiquement pris la dĂ©fense de leurs ravisseurs. En fait, plusieurs mois aprĂšs que les otages aient Ă©tĂ© libĂ©rĂ©s par la
police, ils Ă©prouvaient encore des sentiments chaleureux vis-Ă -vis des hommes qui avaient mis leur vie en danger. Deux des femmes se sont par la suite fiancĂ©es Ă leurs ravisseurs. La psychologue Dee GRAHAM a Ă©mis la thĂ©orie que le Syndrome de Stockholm se produit Ă un niveau sociĂ©tal. Notre culture Ă©tant patriarcale, elle croit que toutes les femmes en souffrent â Ă des degrĂ©s trĂšs divers, bien sĂ»r. Elle a expliquĂ© ses thĂ©ories dans Loving to Survive : Sexual Terror, Menâs Violence, and Womenâs Lives [4], qui mĂ©rite certes dâĂȘtre lu. La dynamique du Syndrome de Stockholm aborde directement le problĂšme de ceux qui voient leur propre rapt comme dĂ©sirable. Les victimes doivent se concentrer sur leur survie, ayant besoin dâĂ©viter une rĂ©action honnĂȘte Ă un traitement destructeur. Lorsquâexiste un mandat, imposĂ© socialement, dâavoir de « bonnes pensĂ©es » et de voir le monde sous un Ă©clairage positif, mĂȘme quand lâĂ©vidence tĂ©moigne du contraire, les gens en viennent Ă trouver nĂ©cessaire de se rĂ©gler au plus prĂšs sur lâapprobation ou la dĂ©sapprobation des normes sociales. Il en rĂ©sulte quâils sont motivĂ©s de maniĂšre Ă apprendre comment penser en normes sociales et font fi de leurs propres, honnĂȘtes expĂ©riences. En tant que victimes du Syndrome de Stockholm nous sommes encouragĂ©s Ă dĂ©velopper des caractĂ©ristiques qui plaisent au systĂšme. Celles-ci incluent la dĂ©pendance, le manque dâinitiative, lâimpossibilitĂ© dâagir, de dĂ©cider, de penser; des stratĂ©gies pour rester vivant, y compris le dĂ©ni, lâempressement aux exigences du systĂšme, Ă ses souhaits et Ă ses expressions dâapprobation. On nous apprend Ă dĂ©velopper un amour du systĂšme, accompagnĂ© de la crainte dâinterfĂ©rence par quiconque mettrait en question lâoptique de ce systĂšme. Et surtout, nous sommes conditionnĂ©s Ă ĂȘtre immensĂ©ment
reconnaissants au systĂšme pour nous avoir donnĂ© la vie. Nous nous focalisons sur les gentillesses du systĂšme et non sur ses actes de brutalitĂ©. Le refus de la terreur et de la colĂšre, et la perception du systĂšme comme Ă©tant omnipotent nous gardent psychologiquement attachĂ©s au SystĂšme de ContrĂŽle « Matrix ». Les fonctions de profonde anxiĂ©tĂ© nous empĂȘchent de voir les options disponibles. Des rĂ©ponses psycho-physiques au stress se mettent en place. Certains peuvent mĂȘme penser que E.T. va atterrir sur la pelouse de la Maison Blanche et venir « servir lâhumanitĂ© ». Ce raisonnement matĂ©rialiste appliquĂ© Ă notre rĂ©alitĂ© rĂ©duit toute idĂ©e dâautres rĂ©alitĂ©s Ă quelque chose qui est en train de devenir populaire : les « mĂšmes ». Un mĂšme est une idĂ©e qui se propage par elle-mĂȘme, une unitĂ© dâimitation culturelle qui, comme un virus biologique ou informatique, programme en fait sa propre retransmission. Ils se rĂ©pandent en encourageant leur « hĂŽtes » Ă crĂ©er des nouvelles prĂ©sentations pour de vieilles idĂ©es et Ă faire du prosĂ©lytisme. De cette façon il est suggĂ©rĂ© quâidĂ©es et croyances sont crĂ©Ă©es par une combinaison spĂ©cifique de facteurs physiques et psychologiques et se rĂ©pandent par contagion â des virus cognitifs. Les « Experts » diront que les concepts dâinvasion par des extraterrestres sont de purs mĂšmes, ou mĂ©taphores, pour une pĂ©nĂ©tration par des forces que nous percevons comme Ă©tant en dehors de nous-mĂȘmes. Ils suggĂšrent que ce type dâidĂ©es sont le rĂ©sultat de contagions pathologiques qui contaminent notre vie consciente et subconsciente de la mĂȘme maniĂšre quâun virus informatique envahit un systĂšme dâopĂ©ration; ce genre de virus est ensuite supposĂ© pouvoir dĂ©truire tout ce qui est bien ordonnĂ© pour ne laisser derriĂšre lui
que fragments et dĂ©sintĂ©gration. Certains suggĂšrent mĂȘme que lâidĂ©e dâextraterrestres est comme dans le film Alien, oĂč la crĂ©ature grandit Ă lâintĂ©rieur dâun corps humain et, en un terrible instant surgit dans le sang et les matiĂšres gluantes. On nous convainc ainsi que cette idĂ©e « nous mange de lâintĂ©rieur ». VoilĂ une image qui reste sur lâestomac ! Une personne sur dix assure quâelle a dĂ©jĂ vu un OVNI. DâaprĂšs une Ă©tude, environ 90 % dâentre nous croient que la Terre a Ă©tĂ© visitĂ©e par des extraterrestres. Mais ce que jâai pu observer de plus Ă©trange est que ces statistiques amĂšnent des gens ordinairement intelligents Ă suggĂ©rer quâil y a « un phĂ©nomĂšne psychosocial de grande ampleur » plutĂŽt que dâaccepter la plus large rĂ©alitĂ© des phĂ©nomĂšnes « OVNI-E.T. ». Parlons seulement du Syndrome de Stockholm ! Je sais de quoi je parle, parce que jâai adoptĂ© cette approche moi-mĂȘme. AprĂšs avoir passĂ© des annĂ©es Ă Ă©tudier des phĂ©nomĂšnes psychiques et psychologiques, et ĂȘtre arrivĂ©e Ă la ferme conclusion que câĂ©tait, si ce nâest en tout, du moins en grande partie, une simple question de comprĂ©hension de la nature de la conscience, de la perception, des croyances, mĂ©moire, rĂȘves, souvenirs de rĂȘves, formation dâimages, ainsi que leur contrepartie philosophique â tout Ă©tait mental, rien dâautre. JâĂ©tais convaincue que nos croyances crĂ©ent notre rĂ©alitĂ©, et que « ce quâon veut, on lâa ». Si on ne croyait pas que câĂ©tait possible on ne le verrait pas. DĂ©but 1994, alors que jâĂ©tais en pleine recherche et aprĂšs une sĂ©rie dâĂ©vĂ©nements bizarres dĂ©crits en dĂ©tails dans mon autobiographie, Amazing Grace [5], jâai eu avec Frank une discussion extrĂȘmement perturbante. Frank sâĂ©tait mis Ă faire la liste des Ă©vĂ©nements synchrones et parfois Ă la limite
du miraculeux qui avaient prĂ©cĂ©dĂ© ce moment. Il avait citĂ© point aprĂšs point lâhistoire de ma vie, jusquâaux annĂ©es rĂ©centes oĂč lâĂ©trangetĂ© des Ă©vĂ©nements et de certaines synchronicitĂ©s sâĂ©taient multipliĂ©e au point que jâavais lâimpression de vivre dans un asile dâaliĂ©nĂ©s oĂč la rĂ©alitĂ© normale nâavait plus sa place. Lâeffet de voir toutes ces choses rassemblĂ©es en une vue globale de lâhistoire de ma vie fut accablant. Câest une chose de voir les choses se produire les unes aprĂšs les autres, dans un certain laps de temps, plus ou moins isolĂ©es et donc plus ou moins faciles Ă balayer sous le tapis et oublier jusquâĂ lâincident suivant; câest une chose entiĂšrement diffĂ©rente de devoir regarder le tout dans son contexte. Je dus bien admettre quâil semblait en effet y avoir des forces Ă lâoeuvre dans la vie, dans ma propre vie en particulier, qui ne sont pas, dâune maniĂšre gĂ©nĂ©rale tenues en considĂ©ration dans les systĂšmes ordinaires expliquant lâordre de lâunivers. Devant lâĂ©vidence prĂ©sentĂ©e plus ou moins comme un tĂ©moignage lors dâun procĂšs, je sentis se dĂ©rober lentement sous mes pieds la croĂ»te naguĂšre solide de mon systĂšme de rĂ©fĂ©rence. Ă chacun des points quâil soulignait je sentais une nouvelle vague submerger mes soubassements de sable. Il me sembla sombrer dans le bourbier de la folie totale. Comment peut-on se dĂ©brouiller avec une vie qui a complĂštement basculĂ© dans une Ă©trangetĂ© dont on ne veut ni faire lâexpĂ©rience ni quâelle dure ? Comme Frank le soulignait, bien que je fusse indubitablement une « non-croyante », dĂšs que jâavais Ă©tĂ© confrontĂ©e Ă la prise de conscience du phĂ©nomĂšne extraterrestre jâavais rencontrĂ© mon premier cas de « rapt extraterrestre ». Est-ce que je ne pensais pas que cela Ă©tait inhabituel ? Et est-ce que ce nâĂ©tait pas un fait que des OVNIs avaient accompagnĂ© cette premiĂšre sĂ©ance « rapt » que jâavais
organisĂ©e ? Est-ce que je ne pensais pas que cela Ă©tait un phĂ©nomĂšne peu ordinaire ? Ce nâĂ©tait pas Ă la portĂ©e de nâimporte quel quidam « enlevĂ© » et mis sous hypnose dâattirer tout un escadron dâOVNIs. La vraie question Ă©tait bien sĂ»r de savoir si câĂ©tait la personne « enlevĂ©e » ou la thĂ©rapeute qui intĂ©ressait les citoyens dâOVNIlande. Je nâaimais pas le tour que prenait la conversation. Frank attira ensuite mon attention sur lâĂ©vidente (selon lui) connexion entre mon Ă©tat physique qui se dĂ©gradait et ma premiĂšre rencontre OVNI. Quand je protestai quâil nây avait sans doute aucun lien du tout, il me rappela comment mon chien avait souffert et Ă©tait mort peu de temps aprĂšs son « exposition » et comment mes propres symptĂŽmes semblaient ĂȘtre Ă leur point culminant exactement Ă lâheure oĂč, dans la soirĂ©e, lâOVNI Ă©tait apparu. Et quelle Ă©tait mon explication de ce petit dĂ©tail ? Je nâen avais aucune. Ă seulement lâentendre mettre cela en mots je me sentais perturbĂ©e. Tant que rien nâĂ©tait dit Ă ce sujet je pouvais continuer Ă lâignorer. Il poursuivit sa liste de points : et la Face Ă la fenĂȘtre [6] ? Et mon kidnapping, dans mon enfance, par un individu qui avait eu des liens mystĂ©rieux avec la Navy ? Et la lumiĂšre dehors au pensionnat ? Et lâincident quand je mâĂ©tais rĂ©veillĂ©e la tĂȘte Ă la place des pieds dans le lit ? Et tous les problĂšmes gynĂ©cologiques que jâavais eus ? Il ne se lassait pas de poursuivre et Ă chaque nouveau point je me sentais plus malade. La thĂ©orie de Frank Ă©tait que tout les drames rĂ©cents â une sĂ©rie dâĂ©vĂ©nements rĂ©partis sur plusieurs provinces, et ayant eu des dizaines de tĂ©moins, dont je nâavais mĂȘme pas connaissance â avaient Ă©tĂ© « mis en scĂšne pour attirer
lâattention ; pour que je mâĂ©veille. Au surplus, mĂȘme notre rencontre Ă©tait un Ă©vĂ©nement « prĂ©destinĂ© ». [7] Ce que Frank Ă©tait en train de dire ne me plaisait pas. Comme les incidents de la chemise de nuit mouillĂ©e et des lumiĂšres Ă©tranges. Je voulais faire sortir ces anomalies de ma vie. Je nâaimais pas les connotations que Frank donnait Ă ces expĂ©riences. Tout dâabord, jâavais trop Ă©tudiĂ©, vu et travaillĂ© avec des gens perturbĂ©s que pour sous-estimer les dangers de lâego et des tendances subconscientes Ă dĂ©former. Quand quelquâun se met Ă penser quâil est « spĂ©cial », que Dieu lui « parle », câest signe certain dâhallucination et de « pensĂ©e magique ». Cependant jâavais, au cours de mes lectures, dĂ©couvert des cas dâĂ©vĂ©nements Ă©tranges, comparables Ă ceux que jâavais vĂ©cus, et qui Ă©taient attribuĂ©s Ă des extraterrestres ; et câĂ©tait ça le problĂšme. Si ce nâĂ©taient pas des extraterrestres, alors qui ou quoi ? Si câĂ©tait ce quâon appelle des extraterrestres, est-ce que cela signifiait quâil sâagissait littĂ©ralement de visiteurs venus du fond de lâespace ? Ou bien est-ce que ces extraterrestres Ă©taient les produits de quelque fabrication â des perceptions induites â par des victimes de quelque gigantesque expĂ©rience de contrĂŽle du mental mise en place par le gouvernement ? Plus terrifiant encore : est-ce que les extraterrestres Ă©taient ce qui avait reçu le nom de « dĂ©mons » au fil de lâHistoire ? Naturellement, dans ma tĂȘte il y avait encore une autre faute de logique dans ce raisonnement : pourquoi quelquâun ou quelque chose prendrait tant de peine pour mettre en place des choses si bizarres juste pour attirer mon attention si ne nâĂ©tais pas supposĂ©e faire quelque chose Ă ce sujet ? Et si jâĂ©tais supposĂ©e faire quelque chose, ils avaient manifestement choisi la mauvaise personne car il devenait Ă©vident que je nâallais
probablement pas me faire de vieux os. Et cette affaire dâOVNIs avait encore un autre effet sur moi : jâavais du chagrin. Je dĂ©plorais le nombre dâannĂ©es que jâavais passĂ©es Ă Ă©tudier pour trouver des rĂ©ponses et voir tout cela rĂ©duit Ă nĂ©ant par un stupide boomerang noir. « Pourquoi moi ? » « Câest ce que tu dois dĂ©couvrir », me dit Frank. Ce que je pouvais discerner nâĂ©tait pas agrĂ©able. Je pouvais dĂ©tecter la « signature » dâintelligences malveillantes Ă lâoeuvre dans ma vie et mes expĂ©riences, dans une tentative soit de dĂ©truire, soit de dĂ©tourner mon attention de quelque chose. Si ces crĂ©atures malveillantes avaient le pouvoir dâinterfĂ©rer dans ma vie avec des intentions malveillantes, alors mĂȘme que jâĂ©tais immergĂ©e dans la pensĂ©e positive et la mĂ©ditation â ce qui, on pourrait le penser, devrait agir comme un moyen de dĂ©fense â quelle protection avait-on ? Est-ce que nous, les ĂȘtres humains, Ă©tions sans dĂ©fense en face de ces crĂ©atures ? Les mots de GURDJIEFF revinrent me hanter. Est-ce que les systĂšmes de croyance de la mĂ©taphysique et de la religion nâĂ©taient que des radotages rĂ©pandus par un mĂ©chant mage pour convaincre les gens quâil Ă©taient des lions, des hommes, des aigles ou des mages et non des moutons endormis ? Quelle maison de fous avais-je permis Ă mes yeux de contempler ? Est-ce que le fait que je lâaie vue Ă©tait la source de son existence ? Est-ce que le fait dâapercevoir le mal me rendait plus vulnĂ©rable Ă celui-ci ? Certainement pas. LâĂ©vidence de la prĂ©sence du mal se montrait aussi dans la vie de tous ceux qui avaient niĂ© tous les indices. Jâaperçus clairement la nature « mĂ©canique » ou « accidentelle » de lâUnivers dont parlait GURDJIEFF. Je rĂ©alisai que notre propre
refus programmĂ© de voir la rĂ©alitĂ©, notre ignorance, Ă©tait la grande porte par laquelle le Mal entrait. Ătait-il possible, comme le suggĂ©rait GURDJIEFF, de sâen libĂ©rer ? De sâĂ©veiller ? De voir le projecteur derriĂšre le spectacle dâombres chinoises de notre vie ? Et plus important encore : de voir qui maniait ce projecteur et pourquoi ? Pendant des jours de luttai contre mes pensĂ©es et mes Ă©motions. Je suis passĂ©e littĂ©ralement par la vallĂ©e de lâombre de la mort. Je mâĂ©tais convaincue Ă fond que les OVNIs et les extraterrestres ça ne pouvait pas exister. En fait, mĂȘme aprĂšs le survol aux alentours de la sĂ©ance dâhypnose avec Pat, jâavais dĂ©clarĂ© avec mĂ©pris que la « maladie du millĂ©naire » Ă©tait en train de se rĂ©pandre. Quand jâavais vu la chose de mes propres yeux jâavais dĂ©clarĂ© quâil sâagissait dâun vol dâoies, de la mĂȘme maniĂšre que jâavais rationalisĂ© lâĂ©pisode de la chemise de nuit trempĂ©e et des brins dâherbe la nuit oĂč je mâĂ©tais Ă©veillĂ©e la tĂȘte Ă la place des pieds dans mon lit. Ă chaque fois, et aussi la nuit oĂč jâavais vu lâĂ©trange lumiĂšre dans la neige au pensionnat, les Ă©vĂ©nements avaient Ă©tĂ© suivis dâune longue maladie. Sâil y avait eu dâautres incidents prĂ©cĂ©dant lâun ou lâautre de mes malaises physiques je ne mâen souvenais vraiment pas. Mais Ă prĂ©sent, de lâĂ©tude de la littĂ©rature sur le sujet, jâavais pris conscience que de nombreuses personnes pouvaient ne se souvenir de rien du tout. AprĂšs avoir lu pratiquement quinze heures par jour pendant des mois tout ce qui me tombait sous la main Ă ce sujet, je commençai Ă rĂ©aliser quâil y a bien sur notre planĂšte une certaine sorte de « prĂ©sence extraterrestre », et que tout le monde disait des mensonges Ă cet Ă©gard. JâĂ©tais terrifiĂ©e. Sâil y avait bien une « invasion » psycho-spirituelle ou littĂ©ralement physique qui se produit sous nos propres yeux, sous notre propre nez, reprĂ©sentĂ©e dans le systĂšme de symboles
de notre vie et de nos expĂ©riences, et qui interagit avec ce « systĂšme de contrĂŽle » Ă quelque niveau profond, sur quelle protection pouvions-nous compter ? En y pensant bien, il semble que ces ĂȘtres â quels quâils puissent ĂȘtre â peuvent piller notre monde, notre vie, notre mental, Ă volontĂ©. Mais jâai aussi remarquĂ© quâils se donnent un mal fou pour dissimuler leurs activitĂ©s et dĂ©sorienter les observateurs par des centaines dâhistoires abracadabrantes Ă propos de diffĂ©rentes « races » et groupes de « bons et mauvais » semi-mythologiques. AprĂšs avoir essayĂ© sans succĂšs de prouver que lâhypothĂšse E.T. Ă©tait en somme une contagion psychique, un mĂšme, un effet de la « maladie du millĂ©naire », je dus bien admettre que, bien que la rĂ©alitĂ© du phĂ©nomĂšne de contagion psychique fĂ»t une partie importante du processus, elle lâĂ©tait dans un sens totalement opposĂ© Ă ce qui a Ă©tĂ© suggĂ©rĂ© par les « experts ». Jâai remarquĂ© que les mĂšmes semblaient ĂȘtre significativement Ă lâoeuvre dans le contexte de lâobscurcissement du problĂšme. Ce qui paraĂźt se produire en fait câest que des idĂ©es fausses sont rĂ©pandues par des « autoritĂ©s » centrales telles que les auteurs de livres populaires sur les OVNIs, les rapts extraterrestres, etc., et ce pour sciemment crĂ©er des « attitudes », contrĂŽles de perception, rĂ©interprĂ©tations dâexpĂ©riences personnelles par lâaction de lâimplantation dâidĂ©es Ă propos de soi-mĂȘme et de la nature des expĂ©riences qui, de par leur nature hyperdimensionnelle, sont ambiguĂ«s. Bref, les mĂšmes sont lâessence du Syndrome SociĂ©tal de Stockholm ! Il se fait quâen dĂ©pit des nombreuses allĂ©gations selon lesquelles seuls ceux qui croient au phĂ©nomĂšne en font lâexpĂ©rience, la rĂ©alitĂ© est que ceux qui rapportent les implications les plus intenses nâavaient jamais cru du tout au phĂ©nomĂšne et, confrontĂ©s Ă la nature traumatisante de leurs
expĂ©riences, ne veulent mĂȘme pas envisager quâelles pourraient ĂȘtre rĂ©elles. GrĂące Ă des personnes, comme HYNEK qui « par une longue exposition au sujet ou motivĂ©es par une incoercible curiositĂ© de travailler sur les lieux et de se salir les mains dans les donnĂ©es brutes, en sont venues Ă se rendre compte quâil y avait un signal », de tels individus commencent Ă voir le monde tel quâil est et dĂ©fient les mĂšmes qui sont gĂ©nĂ©rĂ©s et lĂąchĂ©s dans notre sociĂ©tĂ© pour une sorte de guerre bio-sĂ©miotique Bien sĂ»r, il existe un type spĂ©cial de mĂšmes destinĂ©s Ă rĂ©duire ou faire macĂ©rer ceux qui suggĂšrent quâil y a du vrai dans le phĂ©nomĂšne OVNI tels quâils ont Ă©tĂ© utilisĂ©s historiquement contre tous ceux qui percevaient une rĂ©alitĂ© supĂ©rieure, y compris les grands saints et mystiques en tous genres. Dans de tels cas, un lien est fait entre sexualitĂ© et Ă©motion religieuse; la conversion est une « crise de pubertĂ© »; la dĂ©votion nâest que lâinstinct parental du sacrifice de soi qui tourne fou; la recherche de la signification de tout cela nâest quâun sentiment de besoin hystĂ©rique dâun objet dâaffection plus terre-Ă -terre, etc. Ce sont lĂ des tactiques de discrĂ©dit envers des Ă©tats mentaux qui produisent des basculements non linĂ©aires dans le paysage psychique. St. Paul a eu une crise dâĂ©pilepsie sur le chemin de Damas; Sainte ThĂ©rĂšse dâAvila Ă©tait hystĂ©rique; George Fox souffrait du cĂŽlon; Carlyle avait un ulcĂšre. Ceux qui cherchent une explication matĂ©rialiste Ă tout trouveront toujours des dysfonctionnements glandulaires quelque part. Et voilĂ ! Toutes les vĂ©ritĂ©s spirituelles pourront ĂȘtre Ă©cartĂ©es et le scepticisme et lâHorloger Aveugle rĂšgneront sans partage ! Le problĂšme avec ces explications rĂ©ductionnistes est le suivant : mĂȘme sâil est vrai que Saint Paul souffrait dâĂ©pilepsie et que cela peut avoir Ă©tĂ© la raison de sa vision sur le chemin de
Damas, est-ce que cela enlĂšve toute valeur spirituelle Ă cet Ă©vĂ©nement ? Parce quâen fait, toute « condition spirituelle » â positive ou nĂ©gative â a probablement des effets physiologiques. Nous voudrions aussi faire remarquer que le sceptique « pur et dur » est sans doute tel Ă cause dâun problĂšme au foie, tout comme le chrĂ©tien « rĂ©gĂ©nĂ©rĂ© et enthousiaste » est susceptible de se convertir parce que son ulcĂšre le pousse Ă chercher du soulagement. Le mĂ©chant mage a peut-ĂȘtre le cĂŽlon encombrĂ© et le vampire clairvoyant des fausses dents. Bref, extases et divagations en tous genres peuvent Ă©galement correspondre Ă des Ă©tats organiques. Et si câest cela qui est pris pour modĂšle de la vĂ©ritĂ©, alors aucune de nos idĂ©es, pensĂ©es, sentiments, doctrines scientifiques, croyances ou mĂ©fiances nâa de valeur. Si câest sur une idĂ©e de ce genre quâil nous faut bĂątir une thĂ©orie qui permettra dâĂ©valuer notre rĂ©alitĂ©, alors nous devrons Ă©mettre lâhypothĂšse que TOUTE idĂ©e dĂ©pend de lâĂ©tat du corps de celui qui lâĂ©met. Ce qui est vrai pour lâun doit ĂȘtre vrai pour lâautre aussi. En poursuivant mon analyse des religions standard et des divers enseignements New Age, jâai constatĂ© que ces systĂšmes servaient en fait de vĂ©hicules Ă des mĂšmes. Jâai pu constater que des individus ayant des connaissances mĂ©diocres en mĂ©taphysique historique sâabusaient en se laissant convaincre des « bienfaits » des rapts extraterrestres. Nous ne cessons de lire des descriptions de « lumiĂšres » ou phĂ©nomĂšnes apparentĂ©s. Cela incline ceux qui les perçoivent Ă considĂ©rer ces phĂ©nomĂšnes comme « bons ». GURDJIEFF avait raison : lâhumanitĂ© est endormie et une des raisons de ce sommeil est lâabsence dâun bon « dĂ©tecteur de foutaises ». Quand on gratte la surface de leur mĂ©moire ou quâon va au-delĂ de leur « mĂ©moire-Ă©cran » en opĂ©rant des sondages
avec compĂ©tence, de nombreuses personnes rĂ©vĂšlent des souvenirs dâĂ©vĂ©nements si terrifiants dans leurs implications que la premiĂšre interprĂ©tation doit ĂȘtre examinĂ©e avec soin. La peur Ă©voquĂ©e dans ces expĂ©riences est tangible. Et malgrĂ© cela, ces autres crĂ©atures parviennent Ă convaincre leurs victimes que tout ce quâelles font est pour le « bien de la planĂšte » ou « lâamĂ©lioration de notre race ». MĂȘme lâestimĂ© John E. MACK, M.D., professeur de psychiatrie Ă Harvard, semble partager ce point de vue. Il Ă©crit dans Abduction : LâidĂ©e que des hommes, des femmes et des enfants puissent, contre leur volontĂ©, ĂȘtre enlevĂ©s de leur maison, de leur voiture, ou de la cour de leur Ă©cole par dâĂ©tranges humanoĂŻdes, emportĂ©s dans des vaisseaux spatiaux et soumis Ă des procĂ©dures invasives et menaçantes est tellement terrifiante et si renversante par rapport Ă ce que nous considĂ©rons comme possible dans notre univers, que la rĂ©alitĂ© du phĂ©nomĂšne a Ă©tĂ© largement mise en question ou bizarrement dĂ©formĂ©e dans la plupart des rĂ©cits publiĂ©s par les mĂ©dias. âŠMon propre travail avec des victimes de rapts mâa impressionnĂ© par la puissante dimension de dĂ©veloppement personnel qui accompagne ces expĂ©riences traumatisantes⊠spĂ©cialement quand ces personnes reçoivent une aide appropriĂ©e dans lâexploration de leurs rĂ©cits dâenlĂšvements. âŠSupposons que [lâIntelligence cosmique] ⊠nâest pas indiffĂ©rente au sort de la Terre et quâelle regarde ses formes de vie et sa beautĂ© transcendante comme une de ses meilleures crĂ©ations les plus avancĂ©es. Et imaginons que le dĂ©sĂ©quilibre crĂ©Ă© par le surdĂ©veloppement de certaines facultĂ©s humaines ⊠soit diagnostiqué⊠comme le premier problĂšme. Quâest-ce qui pourrait ĂȘtre utilisĂ© comme correctif ? Les deux approches naturelles que nous pouvons concevoir seraient la gĂ©nĂ©tique et lâenvironnement. Serait-il possible que par un vaste programme
dâhybridation affectant dâinnombrables personnes, et simultanĂ©ment une invasion de notre conscience par des images changeantes de notre auto-destruction, des mesures seraient en train dâĂȘtre appliquĂ©es pour placer la planĂšte sous une sorte de tutelle ? [8] Ce point de vue est enracinĂ© dans les croyances Ă©motionnelles qui se cramponnent dĂ©sespĂ©rĂ©ment Ă tout fĂ©tu de paille sur lequel est Ă©crit que ceux qui sont plus puissants que nous sont « bons ». Et sâils ne le sont pas, que nous faut-il faire ? Pendant que je parcourais les documents, jâai trouvĂ© de nombreux rĂ©cits contradictoires prĂ©tendument faits par des officiers du renseignement militaire, des physiciens engagĂ©s sur des projets secrets, et dâautres assurant que, de source sĂ»re, il sâagissait dâune vaste couverture gouvernementale. Certaines de ces rĂ©vĂ©lations allaient dans le mĂȘme sens que certains rapports faits par des individus affirmant sâĂȘtre souvenus, soit consciemment, soit dans un Ă©tat dâhypnose, de scĂšnes dâhorreurs sans pareilles et dâabus aux mains de certains prĂ©tendus visiteurs extraterrestres. Ceci est en gĂ©nĂ©ral pris pour corroboration des uns par les autres. Mais demandons-nous quelles raisons les participants Ă une action de « couverture » auraient de se dĂ©voiler ? Est-ce que ces personnes, aprĂšs avoir pĂ©nĂ©trĂ© plus profond dans le secret, sont devenues des tĂ©moins horrifiĂ©s dont la conscience les a poussĂ©es Ă parler ? Il se peut que ceux au pouvoir aient commencĂ© par garder secrĂštes leurs dispositions mais ont fini par dĂ©couvrir quâils tenaient la queue dâun tigre entre les mains et quâils ne pouvaient pas la lĂącher ? Est-ce quâils ont alors envoyĂ© des agents chargĂ©s de « rĂ©vĂ©ler » des fragments de vĂ©ritĂ© alors que la possibilitĂ© dâun « dĂ©voilement forcĂ© » commence Ă peser ? Ou bien encore ces individus font-ils parties dâune gigantesque expĂ©rience de
contrĂŽle de mental mise en scĂšne comme un drame monstrueux oĂč le gouvernement encourage secrĂštement une croyance aux extraterrestres tout en les niant publiquement ? Le livre Clear Intent Ă©crit par Lawrence FAWCETT et Barry J. GREENWOOD prĂ©sente des preuves basĂ©es sur des documents officiels du gouvernement et selon lesquelles les fonctionnaires les plus haut gradĂ©s et lâĂ©lite de la sĂ©curitĂ© des USA et des organismes de renseignement ont dĂ©libĂ©rĂ©ment et continuellement menti Ă propos des extraterrestres et des OVNIs pendant les cinquante derniĂšres annĂ©es. VoilĂ les donnĂ©es toutes crues. Les interprĂ©tations devraient ĂȘtres faites avec la plus grande prudence. Et jâai pris conscience, Ă mesure que je poursuivais mes recherches, quâun grand nombre de ceux qui affirment ĂȘtre clairvoyants,qui ont des rĂȘves ou visions « prophĂ©tiques », ou qui agissent comme des canaux pour des « frĂšres de lâespace », disent quâils sont contactĂ©s par des ĂȘtres qui sont ici « pour nous aider » ou nous « sauver » si on les laisse faire, ou ceux qui font encore dâautres expĂ©riences psychiques, pourraient en fait ĂȘtre des victimes de processus totalement diffĂ©rents. De telles histoires sont mises en circulation et augmentent le niveau de confusion. La conclusion est que lâidĂ©e quâil nâexiste pas de forces nĂ©gatives et que si mĂȘme elles existaient il nây aurait aucune crainte Ă avoir, est la plus grande duperie de toutes. On nous dit et rĂ©pĂšte que si nous avons de belles et bonnes pensĂ©es, si nous mĂ©ditons rĂ©guliĂšrement, ou veillons Ă ĂȘtre sauvĂ©s, ou rĂ©pĂ©tons nos affirmations, rien de repoussant ne pourra jamais entrer dans notre rĂ©alitĂ©. Comme le dit Jacques VALLĂE : Je crois quâil y a autour de nous un systĂšme qui transcende le temps comme il transcende lâespace.[âŠ] Ce nous voyons en fait ici nâest pas une invasion par des extraterrestres.
Câest un systĂšme de contrĂŽle qui agit sur les humains et utilise les humains. Nous ne parlons pas ici de technologies matĂ©rielles, terriennes ! Ces types passent Ă travers les murs, font flotter les gens hors de leur corps, et contrĂŽlent le mental â facultĂ©s que nous avons historiquement attribuĂ©es Ă des anges, des dĂ©mons, ou des vampires. Dans le passĂ©, nous avons eu Ă faire Ă des fantĂŽmes, des « dieux » et des dĂ©mons. Il sâagit toujours des mĂȘmes entitĂ©s, mais nous les appelons Ă prĂ©sent « extraterrestres ». Il sâest probablement toujours agi dâextraterrestres ! Et sans doute veulent-ils redevenir des « dieux ». Une chose dont je suis devenue certaine en faisant mon travail de dĂ©livrance dâesprits, câest que le mal sâinsinue dans notre vie sous des apparences de bontĂ© et de vĂ©ritĂ©. Ce problĂšme est encore compliquĂ© par le fait que le New Age a enseignĂ© que le mal nâexiste pas Ă moins que nous ne le crĂ©ions. Le mal suit la ligne dâĂ©rosion de notre spiritualitĂ© par lâĂ©rosion de nos connaissances. Quel meilleur moyen de se protĂ©ger des activitĂ©s malignes que de nier quâelles existent ? Les gens du New Age disent que focaliser notre attention sur ces idĂ©es leur « donner de lâĂ©nergie ». Cela nâest vrai que si lâon se focalise dessus avec lâintention dây participer. NĂ©anmoins, une comprĂ©hension complĂšte de ces forces est absolument nĂ©cessaire si nous voulons savoir comment leur donner moins dâĂ©nergie. Jâai Ă©tĂ© stupĂ©faite de faire la constatation grotesque que lâhumanitĂ© dans son ensemble est utilisĂ©e et habilement trompĂ©e depuis des millĂ©naires. Jâai rĂ©alisĂ© que OVNIs et extraterrestres ne sont en fait rien de nouveau. Nous possĂ©dons des archives historiques de ces phĂ©nomĂšnes dont certains remontent Ă des milliers dâannĂ©es. Si ces ĂȘtres Ă©taient capables
dâobtenir ce quâils veulent simplement en arrivant ici et en le prenant, pensez-vous quâils passeraient tant de temps Ă semer la terreur et la confusion ? Alternativement, peut ĂȘtre que câest exactement ce quâils veulent provoquer : terreur et confusion, parce quâils sâen nourrissent. Cela me fait aussi me demander pourquoi ils prennent tant de peine pour nous persuader dâaccepter leur contrĂŽle total sâils peuvent le prendre Ă volontĂ© ? Ces types ne passeraient pas tant de temps Ă nous terroriser et Ă essayer de sâinfiltrer chez nous par la porte de derriĂšre sâil leur Ă©tait possible dâentrer par la grande porte. Il y a quelque chose que nous avons et dont ils veulent sâemparer. Il y a quelque pouvoir que nous avons et dont ils ne veulent pas que nous prenions conscience. Le fait dâapercevoir le « schĂ©ma des activitĂ©s » en filigrane des Ă©vĂ©nements de ma propre vie, qui tĂ©moignaient dâune rĂ©alitĂ© cachĂ©e, me brĂ»lait lâĂąme et me paralysait lâesprit. JâĂ©tais dĂ©chirĂ©e entre mon intĂ©gritĂ© intĂ©rieure, mon acuitĂ© intellectuelle, et toutes mes convictions Ă©motionnelles en un dieu bon et aimant. JâĂ©tais indubitablement en train dâapprendre, mais je nâaimais pas ce que jâapprenais. Comme je lâai dit, de toutes les personnes qui nâont jamais voulu rien savoir sur les OVNIs et extraterrestres, je mĂ©ritais une des premiĂšres places. Et cependant, je devais bien me faire une raison. Avoir Ă envisager lâidĂ©e que des ĂȘtres malveillants dĂ©tenaient le contrĂŽle de notre monde et pouvaient nous Ă©pier Ă volontĂ©, derriĂšre notre rĂ©alitĂ© ordinaire, Ă©tait Ă©crasant. Je commençais Ă entrevoir la possibilitĂ© de lâinterpĂ©nĂ©tration dâune rĂ©alitĂ© Ă la soliditĂ© plus ou moins physique qui interagissait avec les humains comme nous interagissons avec la faune dans nos forĂȘts : les chasseurs dâun cĂŽtĂ©, le gibier de lâautre.
En regardant ma vie globalement, il y avait des indices permettant de soupçonner quâun « modĂ©liste » Ă©tait Ă lâoeuvre, et ce modĂ©liste nâĂ©tait en aucune façon le Dieu dont je mâĂ©tais fait une idĂ©e. Oui, je voyais des actes positifs et nĂ©gatifs; un jeu interactif de forces, sans doute directement apparentĂ©es Ă ma propre façon de penser, chercher et croĂźtre. Mais de quoi il sâagissait exactement, comment cela agissait, il mâĂ©tait impossible de le dire. JâĂ©tais comme devant un spectacle dâombres chinoises produites par un certain angle dâĂ©clairage derriĂšre des objets qui, une fois rĂ©vĂ©lĂ©s, nâont aucune ressemblance avec les formes dessinĂ©es par les ombres. Un poing fermĂ© peut ĂȘtre un oiseau ou un lapin et, sâil est ouvert, des ailes ou une main. Que voyais-je donc ? Et pourquoi semblait-il que je dusse relever le dĂ©fi de regarder ? Pourquoi moi ? Je luttai jusquâĂ ĂȘtre Ă©puisĂ©e dans mon Ăąme.
NOTES
[1]: UFO magazine, Vol. No. 1 January/February 1993 [2]: Into The Fringe, by Karla TURNER, Ph.D., 1992 [3]: Notons que câest le siĂšcle des rĂ©volutions amĂ©ricaine et française. [4]: Aimer pour survivre : la terreur sexuelle, la violence des hommes, et la vie des femmes (NdT) [5]: GrĂące fabuleuse (NdT) [6]: Tous ces Ă©vĂ©nements sont dĂ©crits dans mon autobiographie Amazing Grace. [7]: Il y a eu autour de cela une sĂ©rie de synchronicitĂ©s bizarres que jâai aussi racontĂ©es dans Amazing Grace. [8]: MACK, Abduction
CHAPITRE VII
Pendant les premiers mois de lâannĂ©e 1994 nous avons poursuivi nos sĂ©ances hebdomadaires. Il y avait un certain nombre, variable, de participants qui venaient dans lâespoir de pouvoir mettre Ă profit lâexpĂ©rience pour gagner Ă la loterie. La plupart dâentre eux ne comprenaient pas que demander des numĂ©ros de loterie nâĂ©tait quâune partie insignifiante de lâexpĂ©rience. Nous mettions aussi rĂ©guliĂšrement « Ă lâĂ©preuve » les diverses entitĂ©s en leur posant des questions sur la mĂ©tĂ©o, la politique, des nouvelles de diffĂ©rentes sortes, des prĂ©dictions concernant une personne dĂ©signĂ©e et, je dois bien lâadmettre, toutes sortes de questions insidieuses juste pour voir ce qui nous reviendrait. Le but Ă©tait dâĂ©tablir une boucle de rĂ©tro-information destinĂ©e Ă atteindre au moins des niveaux profonds de conscience, et au mieux « dâentrer en rĂ©sonance » avec le rĂ©cepteur biocosmique. La plupart des participants occasionnels nâĂ©taient pas motivĂ©s et nâavaient pas la patience de poursuivre quelque chose qui ne procurait pas une satisfaction instantanĂ©e. Ils voulaient pouvoir « allumer, chercher la frĂ©quence, et obtenir la communication ». Y travailler avec persĂ©vĂ©rance câĂ©tait trop comme âŠ. eh bien, comme du travail ! Candy a Ă©tĂ© une participante rĂ©guliĂšre pendant prĂšs de six mois. Jâavais fait la connaissance de Candy Ă la suite dâune autre sĂ©rie dâĂ©vĂ©nements vraiment bizarres, et quand elle avait
appris que je travaillais sur base dâhypnose elle voulut immĂ©diatement ĂȘtre hypnotisĂ©e parce quâelle Ă©tait convaincue quâelle avait Ă©tĂ© enlevĂ©e par des extraterrestres. AprĂšs avoir traitĂ© Pat dans la soirĂ©e de la visite des Boomerangs Noirs je nâĂ©tais pas trĂšs pressĂ©e de replonger dans les mĂȘmes eaux. Ce nâĂ©tait pas parce que jâĂ©tais une bonne hypnothĂ©rapeute et que jâavais une bonne technique et de bonnes idĂ©es que je me sentais capable de reconnaĂźtre un chien dâun loup dans des affaires de rapts extraterrestres. Toutes mes lectures ne me mettraient pas en possession des connaissances techniques nĂ©cessaires non plus. Eh bien, simplette naĂŻve comme je le suis parfois, jâai pensĂ© quâil me suffirait de donner quelques coups de fil pour savoir Ă qui demander conseils ou informations. Je commençai par ce qui me semblait un dĂ©but logique: les psychologues et les psychiatres du coin. Ce ne fut pas une trĂšs bonne idĂ©e. Personne dans notre bled Ă moitiĂ© perdu nâavait mĂȘme songĂ© Ă ce genre de choses et personne nâĂ©tait prĂȘt dây toucher, pas mĂȘme du bout dâun bĂąton de 3 mĂštres de long ! Bon. Jâappelai alors quelques personnes au MUFON. Quelques noms de psychologues Ă©tablis dans de lointaines citĂ©s ne pouvaient mâĂȘtre dâaucune utilitĂ©. Il y avait aussi des travailleurs sociaux spĂ©cialisĂ©s en « conseil dâexpĂ©riences » et dâautres plus nombreux encore, bardĂ©s de diplĂŽmes en thĂ©ologie ou en philosophie et prĂȘts Ă offrir leurs services en Ă©change dâun bon paquet de dollars. Nây avait-il donc vraiment personne dans le domaine scientifique reconnu pour penser que ce phĂ©nomĂšne mĂ©ritait une enquĂȘte approfondie ? MĂȘme si le phĂ©nomĂšne Ă©tait du bidon, que fallait-il faire des gens qui affirmaient avoir fait de telles expĂ©riences ? Est-ce que nâĂ©taient pas des ĂȘtre humains
qui mĂ©ritaient dâĂȘtre conseillĂ©s ? Pendant que je poursuivais mes appels tĂ©lĂ©phoniques pour Candy, lâĂ©normitĂ© du problĂšme commença Ă mâaccabler. De ce que je pouvais dĂ©terminer, des milliers et des milliers de gens â une bonne partie de lâhumanitĂ© â Ă©taient sortis de lâombre pour affirmer quâils avaient eu des contacts avec des ĂȘtres venus dâautres mondes. Dans aucune de mes lectures sur lâHistoire ou les phĂ©nomĂšnes sociaux je nâavais rien rencontrĂ© de pareil. En gĂ©nĂ©ral, lâunique rĂ©ponse que ces gens reçoivent, et ce mĂȘme de la part de professionnels censĂ©s leur apporter aide et soutien, câest le ridicule. En parcourant les cas sur lesquels jâavais pu mettre la main jâavais notĂ© que la victime est en gĂ©nĂ©ral perturbĂ©e jusquâĂ frĂ©nĂ©sie par une « perte de temps » et quelques vagues souvenirs dâavoir Ă©tĂ© rĂ©duite Ă lâimpuissance ou immobilisĂ©e. La victime devient extrĂȘmement irritable, souffre de perte de concentration et de mĂ©moire Ă court-terme. Un « enlevĂ© » est en gĂ©nĂ©ral hypersensible aux bruits violents, et affirme entendre des choses que personne dâautre ne peut entendre, voir des choses que personne dâautre ne peut voir, ainsi que « ressentir » par rapport aux autres des impressions impossibles Ă expliquer ou quantifier dâaucune maniĂšre. Un des aspects les plus dĂ©rangeants du phĂ©nomĂšne est quâil y a souvent des traces physiques : griffes, blessures en piqĂ»res, hĂ©matomes, et mĂȘme segments de peau manquants, dĂ©coupĂ©s en cercles parfaits, comme sâils avaient Ă©tĂ© ĂŽtĂ©s avec une forme Ă biscuit. Candy souffrait manifestement. Elle Ă©tait devenue quasiment hystĂ©rique dans sa volontĂ© dĂ©sespĂ©rĂ©e de trouver une rĂ©ponse aux Ă©vĂ©nements survenus dans sa vie. Elle se voyait quasiment abandonnĂ©e par son mari et ses amis dans cette Ă©preuve, parce quâelle Ă©tait devenue si Ă©trange et si peu en
rapport avec tous les autres aspects de sa vie si normale. Elle souffrait dâune anxiĂ©tĂ© sĂ©vĂšre et dâune terreur de rester seule ne fut-ce quâun court moment. Quelle que fĂ»t lâexplication de ces expĂ©riences, ces gens avaient besoin dâĂȘtre pris au sĂ©rieux; ils avaient besoin de recevoir des confirmations; et par dessus tout, il leur fallait un systĂšme de soutien. Par rapport Ă Candy, jâavais le choix entre trois possibilitĂ©s : 1) Elle avait mis au point un canular, il nây avait pas eu de rapt, et elle savait que rien ne sâĂ©tait passĂ©. 2) Il y avait bien eu rapt, par des personnes ou des crĂ©atures inconnues. 3) Il nây avait pas eu de rapt mais Candy Ă©tait convaincue du contraire. JâĂ©tais en train dâarriver Ă la conclusion que les rĂ©cits de rapts ne correspondaient pas Ă une recherche de gloire et de notoriĂ©tĂ©. Pour la plupart des gens, lâĂ©vĂ©nement Ă©tait une grande honte et au dĂ©part ils ne voulaient absolument pas que personne lâapprenne. La recherche dĂ©sespĂ©rĂ©e dâaide qui leur avait fait surmonter leur grande rĂ©pugnance indiquait combien sĂ©vĂšre Ă©tait leur traumatisme. La mise en question de la santĂ© mentale des gens affirmant avoir Ă©tĂ© enlevĂ©s disparaissait aussi rapidement. Si des millions de gens croyaient quâil y a 2 000 ans un type Ă©tait mort sur une croix et Ă©tait ensuite ressuscitĂ© trois jours plus tard, et que ces gens Ă©taient considĂ©rĂ©s comme sains dâesprit, alors des gens proclamant leur rapt, avec une expĂ©rience et des Ă©vidences de loin plus directes devaient ĂȘtre sains dâesprit Ă©galement. Je rĂ©alisai cependant que chaque individu devait ĂȘtre
considĂ©rĂ© sĂ©parĂ©ment. Faire des suppositions depuis le dĂ©but nâĂ©tait pas Ă©thique. Entreprendre une enquĂȘte sur un Ă©vĂ©nement de ce genre signifiait que la seule chose que jâavais sous la main Ă©tait la mĂ©moire consciente ou inconsciente de Candy. Sa vie entiĂšre devait donc ĂȘtre prise en compte. Je devais aller beaucoup plus profond avec Candy que je ne lâavais fait avec Pat. Candy avait environ 35 ans, Ă©tait lâĂ©pouse dâun mĂ©decin, possĂ©dait une boutique de mode et Ă©tait la mĂšre de deux filles. Elle Ă©tait nĂ©e et avait Ă©tĂ© Ă©levĂ©e dans une famille religieuse et trĂšs stricte. Mais irritĂ©e par les contraintes, elle avait, trĂšs jeune, quittĂ© la maison pour aller habiter auprĂšs dâun frĂšre qui travaillait dans la boutique dâun dessinateur de mode. Elle y avait travaillĂ© et avait fini par Ă©pouser le propriĂ©taire de la boutique en question. Cet homme Ă©tait mort et lui avait laissĂ© un enfant et un gros hĂ©ritage. Une jeune et belle veuve avec un enfant et des tas dâargent ne reste pas longtemps sur le marchĂ© du mariage. Avec son nouvel Ă©poux, mĂ©decin (portait crachĂ© de Dudley Do-Right [1]), elle sâĂ©tait installĂ©e en Floride oĂč elle avait eu un deuxiĂšme enfant avec lui. LâidĂ©e avait Ă©tĂ© de laisser loin derriĂšre elle les tristes souvenirs de la perte de son premier mari et de commencer une nouvelle vie. Elle avait laissĂ© la boutique aux bons soins de son frĂšre, qui la gĂ©rait donc pour elle. Quand son plus jeune enfant avait commencĂ© Ă frĂ©quenter lâĂ©cole, Candy qui sâennuyait avait dĂ©cidĂ© de travailler pour un autre mĂ©decin dans le grand complexe mĂ©dical oĂč son mari avait aussi son cabinet et ses bureaux. Elle avait acceptĂ© un job administratif et sâĂ©tait glissĂ©e dans son nouveau rĂŽle avec aisance. Elle Ă©tait trĂšs intelligente, charmante et sĂ©duisante.
SimultanĂ©ment, Candy sâĂ©tait mise Ă frĂ©quenter une Ăglise MĂ©taphysique/Spirite, probablement plus par curiositĂ© quâautre chose, mais elle en Ă©tait bientĂŽt venue Ă adopter les convictions et pratiques de ces spirites. Câest alors que des choses Ă©tranges avaient commencĂ© Ă survenir. Elle affirmait que des choses Ă©tranges sâĂ©taient produites tout au long de son existence mais quâelle Ă©tait parvenue Ă les enfouir profondĂ©ment dans sa mĂ©moire. Je pouvais certainement comprendre son approche ! Dâabord elle ne cessait de rencontrer un homme qui travaillait dans le mĂȘme bĂątiment quâelle. Il Ă©tait employĂ© par un cabinet Ă un Ă©tage diffĂ©rent, de sorte quâelle le voyait seulement dans les ascenseurs, sur le parking ou dans les cafĂ©s du voisinage. Ă chaque fois quelle le rencontrait elle avait conscience dâune Ă©lectricitĂ© Ă©trange entre eux. BientĂŽt ils en Ă©taient venus Ă Ă©changer de brĂšves plaisanteries. Un soir, Candy et une de ses collĂšgues de travail et amie Edith, Ă©taient sorties ensemble pour prendre un verre alors que le mari de Candy assistait Ă un congrĂšs mĂ©dical. Lâhomme sur lequel elle ne cessait de tomber apparut dans le bar et sâarrĂȘta Ă leur table. Elles lâinvitĂšrent Ă sâasseoir, et ils furent bientĂŽt plongĂ©s dans une discussion sur la mĂ©taphysique. Candy mâa dit quâelle Ă©tait incapable de se rappeler comment les sujets sâĂ©taient enchaĂźnĂ©s, mais ils sâĂ©taient bientĂŽt mis Ă discuter de croyances profondes, de rapports intenses, et cela lui sembla « magique ». Lâhomme dĂ©clara quâil connaissait un endroit oĂč se trouvait un ancien tertre indien, apparemment un lieu trĂšs puissant. Il offrit de montrer aux deux dames oĂč ce tertre se trouvait. Se sentant en sĂ©curitĂ© avec une personne de son sexe, Candy voulut aller voir ce tertre et tous trois montĂšrent dans la voiture de leur cicerone. Gardons Ă lâesprit quâil faisait noir quand ils avaient commencĂ© Ă mettre ce plan Ă
exĂ©cution. Quand ils arrivĂšrent sur les lieux, une rĂ©gion marĂ©cageuse et boisĂ©e au bord du Golfe du Mexique, ils sortirent tous de la voiture et se mirent en route Ă travers les sous-bois vers ledit tertre indien. Maintenant, mise Ă part lâabsurditĂ© de trois adultes en vĂȘtements de bureau marchant Ă travers des marĂ©cages boueux bien aprĂšs la tombĂ©e de la nuit, il y a aussi la question de bon sens : qui aurait envoyĂ© quiconque dans une telle Ă©quipĂ©e ? Quoi quâil en soit, câest paraĂźt-il ce quâils firent. Trois employĂ©s adultes Ă lâimpeccable bon sens avaient dĂ©cidĂ© dâaller patauger la nuit dans les marais soumis au flux et au reflux de lâocĂ©an, sur la cĂŽte de Floride. Ă un moment, Edith fut laissĂ©e en arriĂšre et perdue, et quelque chose se produisit, qui effraya Candy, mais par la suite elle fut incapable de dire ce que câĂ©tait, sauf quâelle avait Ă©tĂ© trĂšs dĂ©sorientĂ©e. Elle demanda Ă ĂȘtre ramenĂ©e Ă la maison. Lâhomme obtempĂ©ra avec bonne humeur, ils retrouvĂšrent Edith errant dans les buissons, il les ramena Ă leurs voitures et ils rentrĂšrent tous chez eux. Le problĂšme, câest que lorsque Candy arriva chez elle il Ă©tait prĂšs de minuit. Elle avait « perdu » plus de deux heures. Je repassai trĂšs mĂ©ticuleusement ce point en revue avec elle, dans la chronologie exacte de cette soirĂ©e. Elle aurait dĂ» ĂȘtre rentrĂ©e chez elle vers 21h30 au plus tard; malgrĂ© quoi câest seulement quelques minutes avant minuit quâelle Ă©tait arrivĂ©e. Elle fut surprise, parce que les enfants Ă©taient dĂ©jĂ au lit en train de dormir, et la maison Ă©tait calme et silencieuse. Quand elle vit lâheure elle devint quasiment hystĂ©rique Ă lâidĂ©e quâelle Ă©tait restĂ©e partie si longtemps. Quâest-ce que ses enfants avaient dĂ» penser ? Ă partir de ce moment la vie de Candy avait commencĂ© Ă basculer. Elle Ă©tait soudainement devenue si Ă©motive quâelle
changeait dâhumeur dâune minute Ă lâautre. Elle Ă©tait devenue obsĂ©dĂ©e de maniĂšre quasiment incontrĂŽlable par lâhomme qui travaillait dans ce bĂątiment : Ă un moment il Ă©tait son « Ăąme-soeur », lâinstant dâaprĂšs il Ă©tait un espion Ă la solde du gouvernement. Ceci Ă©tait en rapport avec sa conviction quâelle Ă©tait dâune maniĂšre ou dâune autre Ă©piĂ©e par le gouvernement. Elle ressentait le besoin de se trouver auprĂšs de cet homme parce que le gouvernement lâutilisait contre elle, et ils devaient rester ensemble. Puis elle avait lâimpression quâil la surveillait et quâelle faisait mieux de lâĂ©viter. ImmĂ©diatement aprĂšs cet incident, son mari eut un accident de voiture alors quâil Ă©tait accompagnĂ© dâune autre femme. Toutes les rĂ©serves quâelle avait pu avoir au sujet de la rupture de son mariage disparurent, et la relation se dĂ©sintĂ©gra rapidement. Câest Ă ce moment que jâavais fait sa connaissance. Elle devait donc avoir fait son excursion Ă travers les marĂ©cages pratiquement en mĂȘme temps que se dĂ©roulaient dans ma propre vie la sĂ©rie dâĂ©vĂ©nements synchrones qui devaient mâamener Ă faire la connaissance de Candy ! Candy Ă©tait apparemment au courant des scĂ©narios dâenlĂšvement. Elle pensait quâelle avait fait lâexpĂ©rience dâune sorte de rencontre avec des « FrĂšres de lâEspace » Elle Ă©tait convaincue quâelle avait reçu un message pendant cette rencontre et quâil Ă©tait important pour elle de se le rappeler afin de le partager avec lâhumanitĂ©. Essayer de lui faire sortir lâhistoire de façon linĂ©aire câĂ©tait comme de lui enlever des dents. Le sujet Ă©tait tellement chargĂ© dâĂ©motion quâil Ă©tait difficile dâen tirer quelque chose sans lâinterrompre frĂ©quemment, la soutenir et lui faire dĂ©crire les choses de maniĂšre sĂ©quentielle. Je ne voulais pas sauter Ă des conclusions parce que je pensais quâil y pouvait y avoir
dâautres explications possibles. Sur base de la sĂ©rie dâĂ©vĂ©nements, je pensais aussi quâil y avait une probabilitĂ© de viol Ă la suite de lâingestion dâune drogue qui aurait Ă©tĂ© administrĂ©e par lâhomme qui lâavait emmenĂ©e voir le tertre indien et qui aurait pu avoir des intentions plus terre-Ă -terre bien que rĂ©prĂ©hensibles. Mais Candy restait fermement accrochĂ©e Ă lâidĂ©e que cet homme lâavait hypnotisĂ©e, quâil Ă©tait un agent du gouvernement, et que le gouvernement la gardait sous surveillance parce quâelle avait Ă©tĂ© « choisie » par les extraterrestres pour dĂ©livrer un message. Pourquoi ou comment il devait ĂȘtre impliquĂ© dans son rapt, cela nâĂ©tait pas trĂšs clair ni trĂšs sensĂ©. Candy le savait. Elle avait dit avec un petit rire dĂ©sabusĂ© quâelle savait que ce quâelle disait paraissait fou, et elle semblait au bout du rouleau. Elle avait indubitablement besoin dâaide, et si je ne parvenais pas Ă trouver quelquâun de compĂ©tent chez qui lâenvoyer ou pour me donner des instructions, alors nous devrions nous dĂ©brouiller seules. Il me paraissait aussi important de savoir ce que Candy avait lu sur les rapts extraterrestres. Elle prĂ©tendait quâelle nâavait jamais rien lu Ă ce sujet, que tout ce quâelle en savait câĂ©tait par des bavardages et du bouche Ă oreille, mais moi je nâen Ă©tais pas entiĂšrement convaincue. Si elle avait passĂ© beaucoup de temps Ă lire sur ce sujet, Ă mon avis elle Ă©tait « contaminĂ©e » et Ă©tait devenue un vrai cobaye. Je pouvais lâaider Ă surmonter le traumatisme, mais je ne pouvais pas considĂ©rer ses dĂ©clarations faites sous hypnose comme preuve de quoi que ce soit. AprĂšs avoir cherchĂ© en vain, pendant des semaines, de lâaide compĂ©tente, je finis par accepter de procĂ©der Ă une sĂ©ance exploratoire. Comme on pouvait sây attendre, dans le subconscient de Candy il y avait des enlĂšvements Ă la pelle. Candy Ă©tait une
vĂ©ritable « enfant Ă©lue » des aimables extraterrestres gris. Cependant, certains Ă©lĂ©ments surgis pendant les sĂ©ances lâeffrayaient. Le processus du rapt nâĂ©tait dĂ©cidĂ©ment pas aussi amical quâelle lâavait pensĂ©. Je donne ci-dessous des extraits dâune sĂ©rie de sĂ©ances tenues sur une pĂ©riode de plusieurs mois : Q: Bon. Quâest-ce qui tâarrive ensuite ? R: Je vois cette forte lumiĂšre et je suis alarmĂ©e⊠je vois des doigts comme avec des ventouses Ă leurs extrĂ©mitĂ©s⊠Q: Que font-ils ? R: Comme sâils me touchaient le visage ⊠Q: Combien dâindividus y a-t-il auprĂšs de toi ? R: Oh mon Dieu, ça câest Ă©trange . (soupir) Câest presque comme si je voyais un dinosaure ou quoi. Avec des petits bras courts⊠et il, umm⊠a une drĂŽle de peau⊠elle est comme, elle est comme⊠brunĂątre, brillante⊠il a vraiment un drĂŽle de visage⊠câest comme un crĂąne, mais le devant de la tĂȘte ressort, vraiment trĂšs fort⊠Q: Comme un groin ? R: Oui. Q: Il est grand comment ? R: Umm⊠Q: Plus grand que toi ? R: Oh oui, il paraĂźt plus grand que moi. Câest juste drĂŽle. Q: Quâest-ce qui est drĂŽle ? R: Rien, il est parti. Q: OĂč et-il allĂ© ? R: Je ne sais pas, il a disparu. Q: Quâest ce que tu veux dire par «disparu» ? R: Je ne sais pas; câest presque comme une image. Et puis il sâest juste Ă©vanoui.
Q: Combien dâautres crĂ©atures sont auprĂšs de toi ? R: Umm⊠elles sont occupĂ©es un peu partout. Q: Et combien y en a-t-il ? R: Umm⊠cinq ou six Q: Ă quoi ressemblent-elles ? Est-ce quâelles ressemblent toutes à ⊠? R: Oh, ils sont bizarres⊠ils sont presque comme umm⊠ils me font penser Ă des bĂ©bĂ©s dinosaures⊠comme son visage paraissait gonflĂ© avec les yeux qui Ă©taient ⊠plus petits⊠pas de grands yeux comme les siens⊠comme des yeux qui louchent⊠Q: De quelle couleur sont leurs yeux ? R: Umm⊠je ne sais pas⊠quand je regarde leurs yeux je vois un cercle vert qui tourne en tourbillonnant⊠[âŠ] Q: Quâest-ce qui tâarrive Ă toi ? R: Umm. (soupir) jâai difficile Ă respirer. Q: Est-ce que tu sens une odeur ? R: Non. Je vois un petit⊠câest presque comme un petit scorpion dorĂ©. Câest tout prĂšs de mon nez, âŠ.. de mon visageâŠâŠ Q: Que fait-il ? R: Je ne sais pas. Ils lâont mis Ă lâextrĂ©mitĂ© dâune sorte de pince Ă Ă©piler. Q: OĂč va le scorpion ? R: (Signes de dĂ©tresse) Ouh, ceci est bizarre⊠câest presque comme si cela allait dans ma bouche âŠ. lâarriĂšre de ma⊠ma, umm, gorge⊠Q: Comment arrive-t-il lĂ ? R: Ils lây mettent. Q: Comment lây mettent-ils ? R: Umm⊠câest presque comme si je voyais une
machine avec un bras. Presque comme un bras de dentiste⊠Je ne sais pas⊠Q: Ă quoi ça sert ? R: Je ne sais pasâŠ. tĂ©lĂ©vision, câest ce qui me vient Ă lâesprit⊠Q: Est-ce quâils tâont dit Ă quoi ça sert ? R: Non ils ne me le disent pas. Q: Est-ce en place Ă prĂ©sent ? R: Umm.. Ils y travaillent. Ils bougent ma tĂȘteâŠ. Jâentends des tintements dans mes oreilles. Q: Quâest-ce qui se passe ensuite ? R: Umm⊠Ma nuque me fait mal ! Q: Pourquoi ta nuque te fait-elle mal ? R: Je ne sais pas. Câest comme⊠jâai de ces maux de tĂȘtes⊠Q: OĂč es-tu maintenant ? R: Je suis sur la table. Q: Quâest-ce quâils te font ? R: Ils me frottent les bras. Q: Est-ce que le scorpion a Ă©tĂ© placĂ© ? R: Umm hmm. Q: Est-ce que ça a fait mal ? R: Um hmm. Q: Oui ? R: Je ne sais pas⊠câest seulement⊠jâai mal Ă la tĂȘte Ă prĂ©sent⊠Q: OĂč est-ce quâils lâont mis ? R: Eh bien, tu sais,câest comme⊠dans ma nuque⊠câest par ma bouche dans ma nuque⊠et mes oreilles⊠jâentends mes oreilles tinter⊠elles sont comme bouchĂ©es ⊠et je sens⊠je ne sais pas⊠comme des chch⊠chocs ou⊠je ne sais pasâŠ
Q: Des chocs ? R: Des douleurs qui me traversent la tĂȘte. Q: De la douleur ? DâoĂč vient la douleur ? R: Câest comme un nerf ou quoiâŠ. je ne sais pas⊠Q: Bon. Tu as une petite marque au-dessus de lâoreille⊠DâoĂč provient cette marque ? R: Je ne sais pas câest comme, umm⊠Je ne sais pas⊠je vois cette petite⊠je vois une petite, umm⊠boĂźte mĂ©tallique⊠je vais dire ce que je vois⊠je ne sais pas⊠Q: Câest en rapport avec la marque au-dessus de ton oreille ? R: Oui. Câest presque comme si jâavais Ă©tĂ© piquĂ©e par une fourmi ou quelque chose comme çaâŠ. Q: Et as-tu Ă©tĂ© piquĂ©e par une fourmi ? R: Hmm. Quand jâai pensé⊠Quand tu as dit que je voyais euh, umm, câest presque comme une fourmi faite en mĂ©tal⊠Q: Dâaccord. R: Avec des dards. Q: Quâest-ce quâelle fait ? R: Quoi, la fourmi ? Q: Um hmm. R: Elle a⊠Je vois une aiguille sur elle⊠Q: Aiguille longue ? Aiguille courte ? ⊠R: Euh, je vois une aiguille⊠elle est comme reliĂ©e Ă quelque chose⊠Q: Quâest-ce quâelle fait ? R: Elle entre et se relie Ă quelque choseâŠJe ne sais pas⊠Q: Est-ce que ceci sâest produit en mĂȘme temps que le scorpion Ă©tait mis dans ta nuque par ta gorge ? R: NonâŠ(dĂ©tresse)
Q: Revenons au moment oĂč tu es sur la table et quâils viennent de mettre le petit scorpion dans ta nuque par ta gorge⊠Maintenant tu as dit que cela faisait mal⊠Est-ce que cela a fait mal quand ils lâont mis ? Ou bien est-ce que ça a commencĂ© Ă faire mal aprĂšs quâils lâaient mis ? R: AprĂšs quâils lâaient mis. Jâai eu un mal de tĂȘte⊠Jâai mal Ă la tĂȘte⊠[âŠ] Q: Bien. Depuis combien de temps frĂ©quentes-tu ce groupe ? R: Umm⊠Je vois maintenant un visage devant moi ⊠Q: Ă quoi ressemble ce visage ? R: Umm⊠Q: Câest lâun dâeux ? R: Umm hmm⊠il a des yeux vraiment tristes⊠il ne veut pas que je dise quoi que ce soit⊠[âŠ] Q: Est-ce quâils ont des plans ? R: Jâentends quelque chose dire oui. Q: Sais-tu pour quand ? R: Non. Q: Est-ce que tu sais ce qui se prĂ©pare⊠ce qui va arriver ? CoopĂšres-tu avec eux ? R: Umm⊠Je ne sais pas⊠Je ne me sens pas bien. Q: Quâest-ce que tu ressens, juste en ce moment ? R: Je ne sais pas⊠Je me sens comme malade dans lâestomac. Q: Prends une trĂšs profonde respiration et la nausĂ©e va passer. R: Oh, Dieu ! (soupirs) Q: Alors, Candy je suis ici et je vais prendre soin de toi. Tu sais que nous avons discutĂ© Ă lâavance de ce que nous
voulions savoir, au niveau le plus profond possible. Est-ce que ces ĂȘtres travaillent sur toi sans ta permission ? R: Umm⊠Non. Q: Est-ce que tu peux faire quelque chose, ou percevoir quelque chose dâune maniĂšre gĂ©nĂ©rale, pour te prĂ©munir contre de tels actes ou activitĂ©s ? R: Umm. Je ne sais pas ce que câest⊠je vois un⊠tunnel⊠Q: Tu vois quoi, un tunnel ? R: un tunnel avec comme des toiles dâaraignĂ©e partout dessus⊠câest âŠâŠ (longue pause, signes de dĂ©tresse) Q: Un tunnel avec des toiles dâaraignĂ©e dedans ? R: Oui⊠ce nâest pas un endroit agrĂ©able ⊠(signes de fortes nausĂ©es et dâextrĂȘme dĂ©tresse) Mmmm⊠Q: Si le tunnel pouvait parler, que dirait-il ? R: Tu ne voudrais pas ĂȘtre ici. Q: Câest oĂč « ici » ? R: Câest presque comme « oĂč nous pouvons te mettre si nous te voulons ». Q: Quâest-ce quâil y a lĂ ? R: De mauvaise choses. Q: Quelle sorte de mauvaises choses ? R: Ah⊠ceci est bizarre⊠câest presque comme de voir une langouste manger un globule rouge⊠mais la langouste a une bouche⊠Q: Si cette langouste pouvait parler, que dirait-elle ? R: Elles ne parlent pas. (signes de nausĂ©e et de dĂ©tresse) Q: Câest quoi le globule rouge ? R: Je ne sais pas⊠(Ă©touffant) Q: TrĂšs bien; prends une grande respiration maintenant⊠R: Je nâaime pas çaâŠ
Q: TrĂšs bien. Je vais compter de cinq Ă un, à «un» tu vas de rendre Ă ton niveau le plus Ă©levĂ© de conscience, ⊠un endroit de pure lumiĂšre et connaissance. (dĂ©compte) Comment te sens-tu Ă prĂ©sent ? R: Bien. Q: Tu vois la lumiĂšre maintenant ? R: Umm hmm. Q: TrĂšs bien. Je veux que tu fusionnes avec la lumiĂšre et la connaissance qui se trouve dans la lumiĂšre. Est-ce quâil existe un moyen par lequel tu peux mettre fin Ă ces Ă©vĂ©nements ou te protĂ©ger ? La connaissance sera lĂ , tu peux y accĂ©der facilement. R: (Longue pause) Câest presque comme si jâentendais une voix qui dit que nous avons quelque chose de beau quâils nâauront jamais. Q: Nous les humains ? R: Umm hmm. Q: Est-ce que câest cela quâils veulent acquĂ©rir ? R: Umm⊠Je ne sais pas⊠ils sont juste comme, je pourrais dire, des parasites ou quelque chose de ce genre. [âŠ] Q: Quâest-ce qui se passe autour de toi ? R: Je vais te dire ce que je vois⊠câest assez bizarre. Umm⊠Je vois tous ces petits mecs blancs, comme des enfants ⊠ils courent dans tous les sens⊠un groupe dâentre eux⊠umm⊠je vois une femme avec des âŠ. gris⊠umm⊠Je ne sais pas si je peux la voir⊠(dĂ©tresse) Tu sais câest comme si jâessayais de voir et que cela sâĂ©chappe. Elle est lĂ mais je ne peux pas la voir. Q: Respire profondĂ©ment. Je vais compter jusquâĂ trois et à « trois » tout ce qui bloque ta mĂ©moire, tout ce qui est dans le chemin, toute dĂ©formation, va se dissoudre et tu verras
clairement et complĂštement tout ce qui tâarrive dans cet espace-temps et ensuite (dĂ©compte). Quâest-ce que tu vois ? Regarde cette femme. Ă quoi ressemble-t-elle ? R: Umm⊠Je suis dans une piĂšce diffĂ©rente. Cette piĂšce est circulaire et elle a presque comme un dĂŽme au-dessus⊠ummm⊠je suis, euh⊠câest comme une ville que je vois. Ceci est Ă©trange⊠Q: ArrĂȘte-toi une minute. ArrĂȘte et prends une profonde respiration. Reviens en arriĂšre. Reviens Ă cette femme que tu ne pouvais pas voir. à «trois» elle va apparaĂźtre sur un Ă©cran et tu seras capable de la dĂ©crire clairement. (dĂ©compte) R: Umm⊠oooh⊠Je vois cette femme⊠Elle a de longs cheveux blancs crĂ©pus⊠Q: Et ses yeux ? R: Je vais te dire ce que je vois. Quand je regarde dans ses yeux câest comme des cercles vertsâŠ. du vert qui fait des cercles ⊠en spirale⊠sur une image je lâai vue vilaine, mais aprĂšs je vois le visage dâune belle femme⊠Je la vois dâune maniĂšre et quand je regarde par lĂ câest comme une ombre sur son visage⊠cela ressemble Ă une belle femme mais quand je lâai regardĂ©e dâabord elle ne lâĂ©tait pas⊠quand je la regarde Ă nouveau elle ressemble Ă une belle femme⊠Q: Quelle sensation reçois-tu de cette femme ? R: Je dirais seulement quâelle est pleine de haine. Q: Est-ce quâelle te dit quelque chose ? R: Non. Câest comme si elle mâobservait vraiment mĂ©ticuleusement. Q: Ă quoi ressemble son corps ? R: Umm.. vraiment mince et grande⊠des bras vraiment minces, minces, minces et de longs doigts. Q: Combien de doigts ? R: Je dirais quatre. Elle est rĂ©ellement, rĂ©ellement
grande. RĂ©ellement maigre. Mais cette grosse tĂȘte avec ces cheveux crĂ©pus⊠Q: DĂ©cris la tĂȘte. R: Câest un triangle mais les bords sont arrondis. Q: Est-ce quâelle a de grandes oreilles ? De petites oreilles ? R: Non, je vois des petites courbes sur le cĂŽtĂ© de sa tĂȘte. Q: Et sa bouche ? R: Des rangĂ©es de dents. Q: Un nez ? ? R: Je vois deux petites courbes, rĂ©ellement petitesâŠ. deux trous, juste des trous. Q: Est-ce quâelle te dit quelque chose ? R: Non. Mais elle me surveille. Elle me surveille alors que je passe prĂšs de ces, cesâŠ. elle ne mâaime pas pour une certaine raison. Q: Bon. Tu passes prĂšs dâeux. Quâest ce qui se passe ensuite ? R: Nous nous asseyons. Q: Qui ça, « nous » ? R: Je suis assise et il y a une petite femme prĂšs de moi, et il y a un homme prĂšs de moi. Et cette femme est comme, juste derriĂšre moi, debout. Q: Quelle femme est derriĂšre toi ? R: Celle avec les, euh, la femme que je nâaime pas. Elle est autoritaire. Q: Elle est la responsable ? R: Unnh euh. Mais elle a, je ne sais pas⊠elle a une certaine fonction ou quelque chose du genre⊠mais, umm⊠je ne sais pas, elle nâest simplement pas agrĂ©able. Q: Tu es assise sur un banc et il y a une femme auprĂšs de toi.
R: Oui. Câest une personne. Un ĂȘtre humain. Q: Est-ce que tu le reconnais ? R: Unnh euh. Q: Est-ce que tu reconnais lâhomme ? R: Je ne peux pas le voir clairement. Q: Pendant que tu es assise sur le banc, quâest-ce qui se passe ? Pourquoi es-tu assise sur ce banc ? R: Ils nous montrent un grand Ă©cran. Q: Dis-moi ce que tu vois sur lâĂ©cran. R: (Soupir) Umm⊠Ce que nous regardons câest la Terre et ils nous montrent divers endroits sur la Terre. Q: Que sont ces endroits ? R: Des bases; câest ce que je crois. Q: Des bases ? R: Um hmm. Q: Quelque chose que tu pourrais reconnaĂźtre ? R: Unnh euh. Juste des endroits montrant diverses rĂ©gions pour quelque raison. Q: Quelle est la raison pour laquelle on te montre cela ? R: (Soupir) Ils sont en train de nous prĂ©parer. Q: PrĂ©parer Ă quoi ? R: DĂ©parts pour ces diffĂ©rentes bases. Q: DĂ©parts vers ces diffĂ©rentes bases ? R: Umm hmm. Q: Est-ce que quelquâun a dit quelque chose ? Des dĂ©tails, pourquoi ? R: Ils nous montrent. Q: Que vois-tu dâautre sur lâĂ©cran ? R: Umm⊠Eh bien câest, câest⊠câest comme si ils nous montraient cela⊠oh, ça câest bizarre⊠[longue pause] Q: DĂ©cris. R: Ils nous montrent divers endroits⊠ils nous les
montrent et puis toutes ces informations entrent dans notre tĂȘte, tout Ă leur sujet et oĂč ils se trouvent⊠tous les renseignements qui les concernent et ce qui est en train de se passer et⊠Q: Eh bien, quelles sont ces informations ? R: Umm⊠(soupir) Q: Dis-moi ce qui entre dans ta tĂȘte pendant que tu regardes ces images sur lâĂ©cran. R: Ils nous donnent une formation pour un job ou quelque chose de ce genre. Ils veulent que nous sachions comment faire les choses. Q: Quelle sorte de choses ? R: Eh bien comment faire marcher les choses. Q: Faire marcher quel genre de choses ? R: Des choses qui, umm⊠comment les choses marchent. Q: Quelles choses. Comment quelles choses marchent ? R: Comment ces bases fonctionnent. OĂč elles sont situĂ©es. Et ils nous nous entraĂźnent Ă y vivre. Q: Est-ce que ces bases sont sur la Terre ? R: Umm hmm. Q: Tu peux en citer prĂ©cisĂ©ment ? R: Umm⊠La jungle amazonienne, umm⊠le pĂŽle nord⊠il y en a partout. Q: Ces connaissances, ces informations entrent dans ta tĂȘte pendant que tu regardes ces images visuelles sur lâĂ©cran; peux-tu dĂ©terminer comment on y a accĂšs ? R: (Soupir)⊠Je dirais, umm⊠hypnose permanente et enlever les couches en les pelant⊠Q: Dâaccord. Continue Ă dĂ©crire ce que tu vois sur lâĂ©cran. Autre chose ? R: Umm⊠La seule chose que je vois câest que nous sommes assis et câest comme, umm⊠du transfert de pensĂ©e,
tu sais ce que je veux dire ? Câest comme des symboles et des notes de musique⊠Q: Tu vois des symboles ? R: Um hmm. Q: Et tu entends de la musique ? Ou des sons ? R: Eh bien je vois la musique. Q: Tu vois la musique ? R: Um hmm. Q: Peux-tu tâimmobiliser sur lâun ou lâautre de ces symboles et tâen souvenir, et quand tu seras rĂ©veillĂ©e pourras-tu dessiner certains de ces symboles ? R: Je ne sais pas. Ils vont vraiment trĂšs vite. Q: Est-ce quâils te rappellent certaines sortes de symboles que tu as dĂ©jĂ vu quelque part ou Ă un certain moment ? R: Umm hmm. Q: Quâest-ce quâils te rappellent ? R: Eh bien les « crop circles » [2]. Q: Dâaccord. Et que se passe-t-il ensuite ? R: Nous apprenons. Q: Peux-tu en dire un peu plus sur ce que vous apprenez ? R: Tout sur ces bases. Et ce que nous devons faire. Q: Est-ce que tu sais quand vous allez faire cela ? R: Umm⊠1998 vient pour une quelconque raison. Câest une pĂ©riode importante pour quelque chose⊠le compte Ă rebours commence alors⊠Q: Bon. Est-ce que tu apprends pourquoi il va ĂȘtre nĂ©cessaire de savoir comment faire ces choses dans ces bases ? R: Oooh⊠nous avons des ennuis⊠Q: Nous avons des ennuis ? R: Umm hmm.
Q: Que vois-tu, quâentends-tu, que sais-tu ? R: Je ne vois pas. Je ressens⊠Je me sens juste trĂšs triste. Q: Pourquoi te sens-tu trĂšs triste ? R: Je ne sais pas, je me sens juste trĂšs triste. [le sujet se met Ă pleurer] Q: Pourquoi te sens-tu triste ? Parle de ce que tu sais. R: Câest juste⊠je ne sais pas⊠tant de destruction⊠Q: Il y a des destructions, quelle sorte de destruction ? R: Je ne sais pas. Câest presque comme des guerres ou quelque chose de ce genre. Q: Ce sont des guerres ? Ou autre chose ? R: (soupir, dĂ©tresse) Câest comme si quelquâun arrivait. Q: Quelquâun qui arrive ? Qui arrive ? R: Je ne sais pas. Câest comme une armĂ©e de vaisseaux ou quelque chose que je vois. Q: Une armĂ©e de vaisseaux arrive ? R: Umm hmm. Q: Quelle sorte de vaisseaux ? R: Des vaisseaux spatiaux. Tout ce que je vois est un groupe de petits disques volant en grands escadrons ou quelque chose du genre. Q: Est-ce que câest⊠R: Pas gentils. Q: Pas gentils ? Peux-tu me dire dâoĂč ils viennent ? Est-ce que tu vois cette information sur lâĂ©cran ? R: Unnnh euh. Q: Quelquâun arrive et tu vois quâil va y avoir une guerre. Entre qui et qui ? R: Cela nâa pas de sens. Câest presque⊠il y a⊠ces extraterrestres qui travaillent avec le gouvernement pour prĂ©parer, un plan pour ces prochains⊠quels que soient ces
autres gens, ces autres ĂȘtres qui arrivent. Je sais que cela nâa pas de sens mais câest ce que je vois ou ressens ou entends. Q: Dâaccord. Est-ce que ces ĂȘtres avec qui tu es, est-ce que tu les jugerais de polaritĂ© positive ou nĂ©gative ?. R: Umm⊠Ils sont gentils⊠Je pense⊠Sauf cette femme⊠Je nâaime pas cette femme⊠Q: Ces ĂȘtres qui sont en train dâarriver, penses-tu quâils sont de nature positive ou nĂ©gative par rapport aux humains ? Ou bien est-ce juste comme ils te disent: quâils sont « gentils » et que ceux qui vont arriver ne le sont pas ? R: Câest juste comme ils me disent. Q: Se pourrait-il que les ĂȘtres avec lesquels tu es sont les nĂ©gatifs et que ceux qui vont venir sont des ĂȘtres positifs ? R: (Soupir) Je ne sais pas. Je ne me sens pas mal avec eux, ces petits ĂȘtres blancsâŠ. je nâaime pas cette femme, cependant. Q: Je voudrais que tu tentes une petite expĂ©rience. Je vais compter jusquâĂ trois et Ă trois je voudrais que tu essaies de lire ses pensĂ©es et voies ce quâelle pense. (dĂ©compte). Connecte-toi et dĂ©cris ce quâelle ressent et pense. Comment perçoit-elle ce qui se passe ? R: (DĂ©tresse) Ce que je ressens pour le moment câest que jâai trĂšs faim. Q: Est-ce cela quâelle ressent ? R: Umm hmm. Q: Faim de quoi ? De quoi a-t-elle faim ? R: (Soupir) Elle se nourrit de nous. Q: Comment se nourrit-elle de nous ? Que fait-elle quand elle se nourrit ? Quâest-ce quâelle a envie de faire ? R: Elle se nourrit de nous⊠Je ne sais pas. Q: Quâest-ce quâelle fait physiquement pour se nourrir ? R: Câest comme si ⊠elle met la bouche sur quelquâun
et suce quelque chose⊠comme ton air ou quoi⊠et ses yeux, tu sais ce que je veux dire ? Câest, tu saisâŠ. elle nous pompe. Q: Et elle fait partie du groupe avec lequel tu es ? R: Elle rĂŽde Ă lâarriĂšre. Elle nâest pas responsable mais elle est, umm, Ă lâarriĂšre. Q: Avançons. Ils continuent la projection de vidĂ©os ou dâimages. Quâest-ce qui se passe quand ils ont fini de projeter ces images ? R: Jâai lâestomac retournĂ©. Q: Pourquoi as-tu lâestomac retournĂ© ? R: Je ne sais pas. Câest juste que je me sens trĂšs mal. Q: Dis-moi pourquoi tu te sens trĂšs mal. R: Ils ont dit des choses qui nous ont heurtĂ©s. Je ne sais pas, je me sens juste trĂšs mal Jâai mal. Q: Retournons en arriĂšre. ArrĂȘte lĂ oĂč tu te trouves et remontons en arriĂšre. [âŠ] Ils te disent des choses qui te heurtent. Quelles sont ces choses quâils te disent ? R: Ils nous montrent toutes sortes de destructions. Des citĂ©s pleines de ferraillesâŠ. les choses ne seront pas sĂ»res⊠Q: Quâest ce qui ne sera pas sĂ»r ? R: La planĂšte ne sera pas sĂ»re. Q: Ă cause de quoi ? R: Cette destruction. Q: Qui provoque cette destruction ? R: Je ne sais pas. Je vois simplement une onde qui est gĂ©nĂ©rĂ©e. Q: Une onde qui est gĂ©nĂ©rĂ©e ? R: Umm hmm. Q: Quâest-ce qui gĂ©nĂšre cette onde ? R: Je ne peux rien voir. Q: Quâest-ce que cette onde fait quand elle a Ă©tĂ© gĂ©nĂ©rĂ©e ?
R: Axe dĂ©sĂ©quilibrĂ©. Lâaxe magnĂ©tique. Câest magnĂ©tique et nous avons un axe magnĂ©tique. Dâune certaine façon elle rompt complĂštement son harmonie. Elle y fait quelque chose et lâharmonie est rompue. Q: Et quel est le rĂ©sultat de ce dĂ©sĂ©quilibre de lâaxe ? R: Je vois la Terre tournoyer. Pas normalement mais en dĂ©sĂ©quilibre. Q: Dâaccord. Et quel est le rĂ©sultat de ce tournoiement en dĂ©sĂ©quilibre ? R: Destruction. Q: Dâaccord. Et tu ne peux pas dĂ©tecter dâoĂč cette onde tire son origine. R: Je ne peux rien voir. Q: Est-ce une onde naturelle ? Ou bien nâest-elle pas naturelle ? R: Je ne sais pas ce que cela veut dire. Quelquâun est en train de provoquer⊠Ils sont en train de dĂ©sorganiser quelque chose. Tous ces vaisseaux que jâai vus⊠Q: Est-ce que ce sont les vaisseaux qui provoquent cette onde ? R: Ils sont en train de dĂ©sorganiser quelque chose. Il y a une dĂ©sorganisation. Q: Est-ce que les escadres de vaisseaux que tu vois venir arrivent avant la destruction ou aprĂšs ? R: La seule chose que je peux dire câest quâils voyagent dessus. Q: Ils voyagent dessus ? Et tu ne peux pas voir dâoĂč provient cette onde ? R: Tout ce que je peux voir câest que nous devons nous prĂ©parer. Q: Comment pouvons-nous nous prĂ©parer ? R: Ils nous prĂ©parent.
Q: Devons-nous faire quelque chose de notre cĂŽtĂ© ? R: Nous sommes programmĂ©s. Q: Comment peut-on savoir si on est programmĂ© ? R: Des choses seront dĂ©clenchĂ©es. Nous sommes programmĂ©s pour faire certaines choses⊠des films, des livres, diffĂ©rentes choses dĂ©clenchent des choses qui sont dans notre subconscient⊠je vois une clĂ©, ou une roue⊠comment une roue est assemblĂ©e⊠deux roues vont ensemble et font un dĂ©clic quand elles tombent en place⊠Q: Dâaccord. Cette onde dont tu parles, est-ce que tu sens que câest une onde qui vient de lâespace profond ou bien est-ce une onde qui vient de notre systĂšme solaire ? R: Elle est en route ! Nous ne savons rien Ă son sujet mais quelquâun sait ! Q: Qui sait ? Est-ce que le gouvernement sait ? R: Oui. Q: Ont-ils lâintention dâinformer quelquâun ? R: Ils mettent les choses en marche. Câest pour cela que de plus en plus dâinformations sont publiĂ©es. Naturellement, aprĂšs avoir passĂ© en revue ces expĂ©riences, Candy a eu un point de vue entiĂšrement diffĂ©rent sur le phĂ©nomĂšne des enlĂšvements. Elle est devenue obsĂ©dĂ©e par la lecture de tout ce qui lui tombait sous a main Ă ce sujet. Ă cet Ă©gard, nous Ă©tions indubitablement sur le mĂȘme « chemin ». Quand nous parlions au tĂ©lĂ©phone il y avait des bourdonnements et des dĂ©clics bizarres sur la ligne. Je riais Ă lâidĂ©e que quelquâun ait voulu mettre ma ligne sur Ă©coute pour ĂȘtre au courant de ce que nous savions sur les extraterrestres, parce quâil Ă©tait certain que nous en savions trĂšs peu. Mais Candy Ă©tait convaincue quâelle possĂ©dait « quelque chose » sur quoi ils voulaient mettre la main, que le but de toute la
surveillance câĂ©tait elle-mĂȘme. Sa conviction que lâhomme qui lâavait emmenĂ©e voir le tertre Ă©tait un agent du gouvernement, mĂȘlĂ©e Ă la bizarre conviction quâil Ă©tait son Ăąme-soeur lui faisait penser quâil Ă©tait utilisĂ© pour lâentraĂźner dans quelque conspiration au niveau gouvernemental, et que câĂ©tait son devoir Ă elle de le sauver. Je savais quâil allait falloir encore Ă©normĂ©ment de travail pour faire tomber les Ă©crans et faux souvenirs, sans compter les programmes Ă©motionnels qui la rĂ©gissaient encore. Quoi quâil en soit, câest pendant des sĂ©ances dâhypnose avec Candy que le sujet de lâOnde est venu pour la premiĂšre fois sur le tapis. Ce point me resta dans la tĂȘte, mais jusquâĂ plus ample information, il ne fit que rester lĂ . Nous poursuivions nos sĂ©ances hebdomadaires qui Ă©taient devenues des soirĂ©es « entre amis ». Certains vont jouer au bingo, dâautres vont Ă leur club; nous aimions nous asseoir autour du tableau de lâalphabet avec nos doigts sur la planchette, pendant que nous discutions de la nature de notre rĂ©alitĂ©. Il y avait les « disparus » avec lesquels nous bavardions pendant les sĂ©ances expĂ©rimentales, il y avait aussi les « frĂšres de lâespace ». Lâun dâeux sâidentifia comme Ă©tant « Jordan », et affirma se trouver dans un vaisseau prĂšs de Mars, Ă©tant arrivĂ© lĂ aprĂšs une orbite autour de Neptune. Puis il rĂ©pondit Ă une sĂ©rie de questions qui confirmĂšrent bon nombre des thĂ©ories de Zecharia SITCHIN, affirma quâil faisait partie dâune race-soeur de lâhumanitĂ©, et se comporta de maniĂšre gĂ©nĂ©rale comme un « frĂšre de lâespace » modĂšle standard. Je nâen fus pas impressionnĂ©e. Jordan semblait vouloir devenir un visiteur rĂ©gulier, mais aprĂšs lui avoir appliquĂ© quelques tests en lui posant des questions qui pouvaient ĂȘtre vĂ©rifiĂ©es, je dĂ©cidai quâil ne faisait que gaspiller notre temps et je le renvoyai dâoĂč il venait. Le
cahier qui correspond Ă cette pĂ©riode est plein de pronostics de « changements terrestres et dĂ©sastres; les sortes de questions que tout le monde avait envie de poser. En repassant les notes jâai retrouvĂ© pas mal de non-sens, comme par exemple : Tremblement de terre aux Bahamas. Tsunami cĂŽte Est â 60 mĂštres de haut. Ămergence de lâAtlantide 23 avril 1994. (ça câĂ©tait un perdant certain !) Ouragan 21/8/94 pression baromĂ©trique 21.00, rafales de vent de 900 km/heure, lieu : Boston (un autre perdant). SĂ©isme Californie, 23/10/94, le grand, 8,9 sur lâĂ©chelle de Richter (encore un perdant). Effondrement Ă©conomique, marchĂ© boursier tombe de 500 points en une journĂ©e, le 4/12/94. Basculement des pĂŽles 9/9/99. Contacts extraterrestres. Le SIDA va muter et deviendra un virus transmis par lâair quâon respire, sera aussi transmis par les puces; etc., etc. Manifestement, comme pour de nombreux pronostics Ă propos de la ceinture de photons et de la comĂšte Hale Bopp issus de sources trĂšs populaires câĂ©tait non-sens sur non-sens. Je ne crois pas que ces entitĂ©s nous mentaient dĂ©libĂ©rĂ©ment, je ne crois pas non plus quâelles Ă©taient « mauvaises ». Je crois simplement que Cayce avait raison : un presbytĂ©rien mort nâest quâun presbytĂ©rien mort. Si on meurt avec de fermes convictions formĂ©es au creuset de notre vie sur Terre, on emporte ces convictions avec soi. Il semble que les Ăąmes sâassemblent avec dâautres Ăąmes de « frĂ©quences » ou convictions similaires. De cette maniĂšre, elles se soutiennent mutuellement dans leurs illusions et deviennent convaincues que ce dont elles font lâexpĂ©rience est « la vĂ©ritĂ© vraie ». Câest ainsi quâelles communiquent alors avec des vivants,
absolument certaines que ce quâelles affirment est vrai, et ce avec les meilleures intentions; et cela peut se rĂ©vĂ©ler entiĂšrement mensonger. Je ne voulais pas de mensonges, mĂȘme provenant de sources animĂ©es des meilleures intentions. Je ne voulais pas entendre les vieilles histoires qui avaient bercĂ© lâhumanitĂ© pendant des millĂ©naires et qui nâavaient jamais rien apportĂ© comme aide pour changer notre position sur la Terre comme dans le Cosmos. Je voulais une chose. Une seule chose : la vĂ©ritĂ© objective, si elle existait. Je voulais savoir comment « rentrer Ă la maison ». Comme quelquâun qui joue Ă colin-maillard, je voulais mettre la main sur des rĂ©ponses. Ă mesure que jâĂ©tudiais, cette question grandissait de plus en plus Ă lâintĂ©rieur de moi. Ă cette Ă©poque jâavais dĂ©jĂ lu quelques douzaines de livres sur les OVNIs et les extraterrestres, mais leurs arguments Ă©taient si contradictoires et confus que je dĂ©sespĂ©rais de pouvoir jamais y trouver un sens. Frank et moi avions visionnĂ© plusieurs vidĂ©o-cassettes ayant pour vedettes Al BELIEK et Bob LAZAR, et toutes leurs prĂ©tendues « rĂ©ponses » soulevaient dâautres questions. CâĂ©tait bel et bien dâentendre Bob LAZAR affirmer quâil avait travaillĂ© sur des vaisseaux extraterrestres dans la Zone 51 et que des rapports dâobservation du phĂ©nomĂšne existaient depuis des milliers dâannĂ©es. Mais est-ce que les « lumiĂšres dans le ciel » et les rĂ©cits de rapts par des fĂ©es Ă©taient les mĂȘmes phĂ©nomĂšnes qui se produisaient actuellement dans notre monde ? Les affirmations de dissimulation et de conspiration avaient un certain attrait. Jâavais la chair de poule en pensant Ă des crĂ©atures extraterrestres avec des yeux dâinsecte et sentant mauvais.
Un auteur anonyme proclamait que jusquâĂ ce quâon lui prouve par A plus B que ce nâĂ©tait pas la CIA ou quelque gouvernement secret tordu qui se livrait Ă des expĂ©riences sur le genre humain, il continuerait Ă nier quâil puisse y avoir des extraterrestres. Cette personne Ă©crivait : JusquâĂ ce que quelquâun tue un vrai extraterrestre et vienne dĂ©poser son cadavre sur le seuil de ma porte, je continuerai Ă croire que les « Aliens Gris » sont des membres des Forces armĂ©es des USA ou de la CIA portant des dĂ©guisements. Je continuerai Ă croire que nos camarades sont enlevĂ©s et tuĂ©s par des agences du gouvernement [et] que des expĂ©riences de contact tĂ©lĂ©pathique sont menĂ©es par ces mĂȘmes agences. Si les extraterrestres ne sont pas des humains dĂ©guisĂ©s, ce sont au moins de sombres crĂ©atures Ă©laborĂ©es par dâhumains bricoleurs dâADN au fond de laboratoires secrets souterrains. Jâai de la difficultĂ© Ă admettre que des extraterrestres font des expĂ©riences gĂ©nĂ©tiques sur les humains depuis 10 000 ans. Cela voudrait dire que nous sommes Ă peine plus que leur bĂ©tail, quâils nous « possĂšdent » tout comme nous pensons que nous « possĂ©dons » les bĂȘtes dans les champs, les poissons dans les mers et les oiseaux dans les airs. Cela voudrait dire aussi quâils ont une trĂšs longue durĂ©e dâattention, Ă moins quâils ne se dĂ©placent dans le temps sans « aller » nulle part ! Nous attachons des Ă©metteurs aux tortues de lâAtlantique Nord et suivons leurs parcours par satellite. Nous marquons et baguons les oiseaux, les poissons et les Ă©lĂ©phants pour suivre leurs migrations. Sommes-nous supposĂ©s croire que des crĂ©atures de ZĂȘta Reticuli font les mĂȘmes choses avec les humains ? Amis ! Pourquoi des ĂȘtres capables de parcourir soixante-six zillions dâannĂ©es-lumiĂšre dans lâespace et le
temps, nâimporte oĂč et nâimporte quand, se livreraient-ils Ă une occupation aussi « sciante » et stupide que marquer et suivre les migrations et comportements sexuels des humains (qui seraient donc pour eux des Ă©quivalents de limaces primitives ) ? Ă quoi cela servirait-il ? Ă capturer, examiner, fĂ©conder et marquer des femelles humaines pour porter leurs enfants hybrides ? Sâils sont si merveilleux et avancĂ©s que certains lâaffirment, ils devraient ĂȘtre Ă mĂȘme de cultiver leurs propres rejetons dans des bocaux sur leur propre planĂšte ! Pour nous cultiver comme de la nourriture ? Sâils ont vingt milliards dâannĂ©es dâavance sur nous, pourquoi nâont-ils pas trouvĂ© le moyen de cultiver des protĂ©ines synthĂ©tiques sur des plateaux de germination dans leurs propres laboratoires, sur leur propre planĂšte,dans leur propre systĂšme stellaire ? Si nous ne sommes rien dâautre que des sujets dâexpĂ©rience pour une race avancĂ©e dâĂȘtres, rien de plus que des bactĂ©ries sur quelque plaquette de verre cosmique, cela signifie quâil nây a pas de Dieu, pas de lois, pas de rĂšgles, pas de chefs, pas de fidĂšlesâŠ. Il ne devrait pas y avoir de procĂšs ni de chĂątiments pour des « crimes » parce que les concepts du crime et du chĂątiment sont nuls et non avenus si nous appartenons aux drĂŽles de Gris de ZĂȘta Reticuli. Si nous nâavons pas plus de droits que la simple mouche domestique, alors nous devons abandonner aussi tout concept de propriĂ©tĂ©. Si nous croyons cela, nous devrons nous passer des gouvernements et des favoris publics, dĂ©manteler les armĂ©es et laisser lâanarchie rĂ©gner en maĂźtre, jusquâĂ ce que lâun de nos possesseurs vienne nous couper un bras ou une jambe pour son dĂźner, ou nous passe Ă la moulinette Ă saucisse et nous jette dans un grand chaudron quelque part au Nevada, USA.
Mais attendez ! Pourquoi des crĂ©atures capables de sauter de la Terre Ă ZĂȘta Reticuli en un clin dâoeil voudraient-elles laisser leur nourriture au Nevada ? Pourquoi ne lâemporteraient-elle pas avec elles ? Quand on est capable de sauter dâune ville Ă une autre ou dâun Ă©tat Ă un autre juste en y pensant et quâon voudrait peindre une maison, disons au Texas, est-ce quâon laisserait le seau de peinture Ă New York Ă chaque fois quâil faudrait retremper le pinceau, simplement parce quâon est capable de sauter en avant et en arriĂšre ? Si vous Ă©tiez capable dâaller Ă lâĂ©picerie en un bond, est-ce que vous feriez quarante bonds pour acheter quarante articles, ou bien prendriez-vous le tout en un seul bond pour ne plus avoir Ă vous en prĂ©occuper ? Vous tous ! VoilĂ pourquoi nous avons rĂ©frigĂ©rateurs et garde-manger ! Pour que nous ne devions par prendre notre voiture (soucoupe volante) pour nous rendre au magasin (Nevada) tous les jours ! Je ne peux pas croire que nous sommes plus intelligents que nos maĂźtres les Gris ! Comme ils doivent ĂȘtre humiliĂ©s. Mais si tout ce non-sens est orchestrĂ© par une agence de Terriens qui veulent nous faire croire aux OVNIs et aux drĂŽles dâextraterrestres gris, alors tout cela prend un sens nâest-ce pas ? Des humains sont enlevĂ©s pour des expĂ©riences mĂ©dicales. Des humains sont contactĂ©s tĂ©lĂ©pathiquement pour dĂ©tecter les tĂ©lĂ©pathes. Des femelles humaines portent les semences de la future race de cosmonautes. Elles peuvent produire des embryons qui sont envoyĂ©s Ă bord de la Navette pour voir sâils vivent ou meurent dans un environnement dâapesanteur, et les rĂ©sultats de ces expĂ©riences seront appliquĂ©s aux technologies du futur des vols habitĂ©s envoyĂ©s vers les planĂštes du de ce systĂšme solaire-ci ou bien dâun autre. Ce qui prĂ©cĂšde est, fortement rĂ©sumĂ©, le point de vue de
sceptiques purs et durs. Mis Ă part les hyperboles et le style Ă©vangĂ©lique de lâĂ©criture, lâhomme marque un point. Cet argument paraĂźt raisonnable Ă premiĂšre vue. Câest seulement aprĂšs y avoir pensĂ© pendant un certain temps que jâai rĂ©alisĂ© le problĂšme qui se fait jour avec une telle idĂ©e. Si câest le gouvernement qui se cache derriĂšre tous les rapts, alors il en a loupĂ© au moins un en 45 ans et nous saurions que ce sont des humains faillibles qui sont derriĂšre ! Le fait est quâil nây a eu aucun incident, aucun rapt, aucun kidnapping ratĂ© qui aurait pu laisser voir le « machiniste derriĂšre le rideau ». Pas un. Cela devrait nous faire rĂ©flĂ©chir. Ce garçon voudrait me faire croire que le gouvernement des Ătats-Unis dâAmĂ©rique est capable de mettre en place une entreprise de cette envergure, tĂ©moignant dâactivitĂ©s Ă lâĂ©chelle mondiale, et ce depuis plus de 50 annĂ©es, et impliquant probablement des millions dâindividus, et dont la logistique ferait des machinations de la DeuxiĂšme Guerre Mondiale une partie de pique-nique. DĂ©solĂ©e, je ne peux pas gober ça. DĂšs lors, mĂȘme sâil y a autour de ce phĂ©nomĂšne beaucoup de points qui demandent Ă ĂȘtre Ă©claircis, Je pense quâil faut chercher une hypothĂšse qui explique et prĂ©voit le phĂ©nomĂšne mieux que ce quâil suggĂšre. Et cette hypothĂšse pourrait ĂȘtre, du moins en partie, que les idĂ©es quâil propose sont dĂ©libĂ©rĂ©ment implantĂ©es dans la tĂȘte du public, justement dans le but de dissimuler un hideux et terrible secret. Nous pouvons Ă©galement constater que, si le gouvernement nâest pas impliquĂ©, alors les fonctionnaires publics ont tout intĂ©rĂȘt à « laisser le couvercle en place ». Comme lâa dit cet homme, admettre certaines possibilitĂ©s pourrait mener au chaos et Ă lâanarchie mondiaux. Si, comme le disait Charles Fort, nous sommes la « propriĂ©tĂ© », si nous « appartenons » Ă une race dâĂȘtres avancĂ©s qui nous utilisent pour
notre sang et nos ressources, alors rien de ce que nous croyons nâa dâimportance. Tout est mensonge, tout est faux; une grande illusion; une Ă©norme fraude Ă lâĂ©chelle cosmique. Qui peut vivre avec une telle pensĂ©e ? Il nây avait donc pas de rĂ©ponse. Seulement des pistes Ă suivre. Mais en suivant les pistes, sur la base de mes travaux de dĂ©livrance dâesprits et dâexorcisme, jâavais une idĂ©e de la raison pour laquelle lesdits extraterrestres avaient dĂ©sespĂ©rĂ©ment besoin des ĂȘtres humains. Cela nâavait en fait rien Ă voir avec la rĂ©gĂ©nĂ©ration de leur race en volant des embryons ou en transformant des humains en hamburgers. De la lecture des cas, des informations obtenues sur les prĂ©sumĂ©s ravisseurs de Candy, jâavais dans lâidĂ©e que leur nourriture Ă©tait un certain type dâĂ©nergie : lâĂ©nergie de lâĂ©motion. Les rĂ©cits parlaient dâĂ©pisodes de « scrutation », oĂč les enlevĂ©s Ă©taient soumis Ă un contact intense par le regard qui dĂ©clenchait un « passage en revue de la vie », qui suscitait une rĂ©ponse intensĂ©ment Ă©motionnelle, et câĂ©tait lĂ le trait le plus significatif de lâexpĂ©rience; par la suite, la victime tombait souvent malade, se sentant vidĂ©e ou Ă©puisĂ©e. Mais cela nâexpliquait pas certains autres rapports filtrant ici et lĂ , oĂč Ă©taient mentionnĂ©s des extraterrestres se nourrissant de sang humain ou se baignant dans dâhorribles rĂ©cipients remplis de fluides et parties corporels pour en absorber les Ă©lĂ©ments nutritifs. Si ces crĂ©atures se nourrissaient dâĂ©nergie, que faisaient-elles quand elles prenaient des aliments matĂ©riels quelle que fĂ»t la maniĂšre dont le processus Ă©tait accompli ? Une nouvelle fois, les questions Ă©taient plus nombreuses que les rĂ©ponses dans ma tĂȘte.
NOTES
[1]: Personnage de bande dessinĂ©e puis de film pour enfants, Dudley-do-right est un agent de la police montĂ©e canadienne pas mal de sa personne mais plutĂŽt empotĂ© et bĂȘta (NdT) [2]: Dessins et signes dans des champs de cĂ©rĂ©ales
CHAPITRE VIII
Le 16 juillet 1994, lors de notre sĂ©ance hebdomadaire du samedi soir, nous Ă©tions tous assez excitĂ©s par les derniĂšres nouvelles de lâEspace. Des fragments de la comĂšte de Shoemaker-LĂ©vy devaient bientĂŽt entamer une sĂ©rie de collisions avec la planĂšte Jupiter, un Ă©vĂ©nement cosmique des plus rares. Les impacts Ă©taient censĂ©s se poursuivre pendant les sept jours suivants, et jâĂ©tais trĂšs intĂ©ressĂ©e de savoir si cela aurait un effet observable sur la Terre. Nous Ă©tions simplement assis, nos doigts lĂ©gĂšrement posĂ©s sur la planchette, la question Ă lâintĂ©rieur de moi prenant de plus en plus dâampleur, comme cela se produisait depuis des mois, quand soudain la planchette se mit Ă bouger en cercles lents et dĂ©libĂ©rĂ©s, dâune maniĂšre encore jamais vue jusque lĂ . Nous retirĂąmes nos doigts en toute hĂąte ! Je demandai Ă Frank : « Est-ce que câest toi qui as fait cela ? » « Non », rĂ©pondit-il avec indignation. « Remettez vos doigts. Voyons ce qui arrivera ! » Un Ă©trangement pincement et un picotement commença Ă lâarriĂšre de ma tĂȘte et parcourut mon bras. La planchette se mit de nouveau Ă se mouvoir en spirale. Spirale vers lâintĂ©rieur et spirale vers lâextĂ©rieur. Nous fĂźmes comme dâhabitude et dĂźmes « hello ! » Lentement, prĂ©cisĂ©ment et avec soin, la planchette
Ă©pela « Hello. » Cela nâĂ©tait pas vraiment comme dâhabitude. La rĂ©ponse habituelle de la planchette à « hello » Ă©tait de pointer vers « oui ». Il fallait toujours un peu de temps « dâĂ©chauffement » aux entitĂ©s avant de bouger confortablement sur le tableau. Cette entrĂ©e en matiĂšre nâĂ©tait pas habituelle, mais nous nâĂ©tions pas prĂ©parĂ©s Ă ce qui allait suivre. Nous nâenregistrions pas non plus. Dans la transcription qui suit, les questions ont Ă©tĂ© reconstruites de mĂ©moire. Cependant, les rĂ©ponses ont Ă©tĂ© mises par Ă©crit Ă mesure quâelles Ă©taient reçues. Q: Avez-vous des messages pour nous ? R: Continuez Ă faire ce qui vient naturellement. Q. (L) Ă quel Ă©gard ? R: Ătude. Q: (L) Quel est votre nom ? R: Mucpeor. Cela Ă©tait un nom Ă©trange. Jusque lĂ , les noms qui nous avaient Ă©tĂ© donnĂ©s Ă©taient plus ou moins « familiers ». Des noms comme « Dave » ou « John » ou « Mary » nâĂ©taient pas rares parmi la foule des « disparus ». Certains noms Ă©taient archaĂŻques mais nĂ©anmoins familiers, comme « Agamemnon » ou « Aquila ». DĂšs lors, un nom complĂštement inconnu sans aucune connexion connue Ă©tait une autre « premiĂšre ». Puisque nous avons dĂ©jĂ reçu des visites de « frĂšres de lâespace », la question suivante Ă©tait logique : Q: (L) Ătes-vous un « alien » dâune autre planĂšte ? R: Alien de votre point de vue, oui. CâĂ©tait une drĂŽle de rĂ©ponse. Ils nâĂ©taient pas des « aliens », mais « aliens de notre point de vue » ? Mais Jordan et les autres frĂšres de lâespace appartenaient tous Ă lâun ou lâautre
groupe « alien ». La ConfĂ©dĂ©ration Cosmique, ou la FraternitĂ© Galactique, ou quelque chose du genre. DâoĂč la nouvelle question logique : Q: (L) Comment se nomme votre groupe ? R: Corsas. Q: (L) DâoĂč venez-vous ? R: CassiopĂ©e. Q: (L) Câest oĂč ça ? R: PrĂšs dâOrion. Q: (L) Jâai entendu dire que ceux dâOrion sont des Mauvais. Est-ce que le groupe dâOrion est mauvais ? R: Certains mauvais. Jâavais tellement lu sur les diffĂ©rents groupes prĂ©sumĂ©s venus dâailleurs, la plupart des livres « pointant le doigt » vers de nombreux dâentre eux quelque part dans Orion, qui Ă©taient ici pour se livrer Ă toutes sortes dâactes rĂ©prĂ©hensiblesâŠ. . Donc ceci Ă©tait vraiment une question « test ». Le fait que les CassiopĂ©ens ne sautent pas dans le train en marche des agitĂ©s dâOrion Ă©tait significatif. Candy avait rĂ©cemment lu un livre sur le Ra Material reçu en channeling, qui expliquait un concept permettant de dĂ©terminer les « bons » et les « mĂ©chants ». Cela consistait Ă demander aux entitĂ©s si elles Ă©taient Ă leur propre service ou au service dâautrui. DâoĂč encore une autre question logique : Q: (L) Ătes-vous Ă votre propre service ou au service dâautrui ? R: Je sers les deux. Q: Ătes-vous bon ou mauvais selon nos critĂšres ? R: Bon. Q: (L) Quelle est votre philosophie ? R: Un. Q: (L) Pourquoi ĂȘtes-vous ici ce soir ?
R: ProphĂ©tie. Q: (L) Quelles prophĂ©ties ? R: Tornades en Floride. Plusieurs. Q: OĂč encore ? R: Aussi Texas et Alabama. Q: (L) Quand ? R: Soleil en Balance. Q: (L) De quelle planĂšte venez-vous ? R: Carcosa. [Mal orthographiĂ© dans les notes, barrĂ© et rĂ©Ă©crit] Le terme « Carcosa » Ă©tait un des premiers signes indiquant que nous avions Ă faire Ă quelque chose de diffĂ©rent ici. Jusquâalors aucune des entitĂ©s dĂ©sincarnĂ©es avec lesquelles nous Ă©tions entrĂ©s en contact nâavait Ă©tĂ© capable de lire dans nos pensĂ©es. Mais ici il y avait une Ă©trange allusion Ă un mot qui avait tournĂ© dans ma tĂȘte pendant toute la journĂ©e. Je fus un peu effrayĂ©e par cette remarque. Ce terme se trouvait dans le livre de Jacques VALLĂE, RĂ©vĂ©lations. Au dĂ©but de chaque chapitre il y a des citations du Chant de Cassilda dans The King in Yellow [1], Acte 1, ScĂšne 2, de Robert W. CHAMBERS. AprĂšs la sĂ©ance, jâouvris le livre pour relire les citations. Le chant dit : Ătrange est la nuit quand se lĂšvent les noires Ă©toiles, Et que dâĂ©tranges lunes vont en cercles dans les cieux, Mais plus Ă©trange encore est⊠Carcosa la perdue. Chants que chanteront les PlĂ©iades, VĂȘtements royaux flottant en lambeaux, Mort silencieuse dans⊠Carcosa lâEffacĂ©e. Ăclatent le long du rivage les vagues en nuĂ©es, Sombrent derriĂšre le lac les soleils gĂ©mellĂ©s, Sâallongent les ombres⊠dans Carcosa. Plus intĂ©ressante encore, pour ceux qui sont familiarisĂ©s
avec les retranscriptions cassiopĂ©ennes, Ă©tait lâallusion aux soleils jumeaux. Me rĂ©fĂ©rant Ă Carcosa, je demandai : Q: OĂč est-ce ? R: 2 D I L O R. La planchette sâĂ©tait mise Ă bouger trĂšs vite et nous ne parvenions pas Ă la suivre. La derniĂšre remarque fut perdue, et seulement quelques lettres purent ĂȘtre notĂ©es. Q : Quâest-ce que câĂ©tait encore ? R: Vous faites attention. Q: (L) Quâest-ce qui se produira dâautre ? R: Seattle enseveli; Japon cĂšde; Missouri tremble; Californie sâĂ©croule; Arizona brĂ»le. Q: [question inconnue.] R: Allez dans aĂ©roports de Denver. Q: (L) Quand est-ce que tout cela arrivera ? R: Scandale - Scandale â aĂ©roport de Denver. Q: (L) Quâest-ce quâil y a Ă propos de lâaĂ©roport de Denver ? R: Scandale. Q: Je ne comprends pas. R: Nouvel aĂ©roport de Denver. Q: Je ne comprends pas. R: Faites attention. Q: Okay, nous faisons attention. Quâessayez-vous de nous dire ? R: Nouvel aĂ©roport de Denver trĂšs, trĂšs, trĂšs, trĂšs gros scandale. Q: (L) Quelle sorte de scandale ? R: Gouvernement. Q: (L) Quoi spĂ©cifiquement ? R: Vous verrez que aĂ©roport de Dallas est base secrĂšte Orlando aussi Miami aussi.
Q: (L) Quâen est-il de lâaĂ©roport de Denver et comment cela se relie-t-il aux prophĂ©ties ? R: Denver rĂ©vĂšle le gouvernement Cherchez. Faites attention. Q: (L) Quoi dâautre avez-vous Ă nous dire ? R: Montana: expĂ©rience sur reproduction humaine Tous les gens lĂ â rayons â gaz radon. Q: (L) Comment font-ils cela ? R: ObligĂ©s â Ne faites pas confiance. Nâignorez pas trop fortes pressions complots sinistres. Q: (L) Que voulez-vous dire ? Je ne comprends pas ? R: Forte pression est mise par complot sinistre. Q: Complot par qui ? R: Consortium. Q: (L) Qui sont les membres du consortium ? Des extraterrestres ? Le gouvernement ? R: Tous. Q: (L) Tous qui ? R: Gouvernement et autre Q: (L) Qui est lâautre ? R: Inconnu. Q: (L) Pourquoi ne pouvez-vous pas nous dire qui est lâautre ? R: Vous savez qui. Tout cela Ă©tait trĂšs intĂ©ressant. Enfin une entitĂ© qui savait lâorthographe et qui ne passait pas son temps Ă chercher chaque lettre. Ma chance Ă©tait lĂ et je dĂ©cidai de poser la question qui mâavait turlupinĂ©e toute la journĂ©e, comme une sorte de mise Ă lâĂ©preuve. Q: (L) Bob LAZAR a fait allusion au fait que les extraterrestres se rĂ©fĂšrent aux humains comme Ă des conteneurs. Quâest ce que cela signifie ?
R: Usage ultĂ©rieur. Q: (L) Usage par qui ? Combien ? R: 94 pourcent. Q: (L) 94 pourcent de quoi ? R: De toute la population. Q: (L) Que voulez-vous dire ? R: Tous des conteneurs Ă 94 pourcent dâutilisation. Q: Je ne comprends pas. R: Seront utilisĂ©s Ă 94 pourcent. Q: (L) UtilisĂ©s Ă quoi ? R: Consommation totale. Q: (L) Quâentendez-vous par consommation ? IngĂ©rĂ©s ? R: ConsommĂ©s comme ingrĂ©dients Q: (L) Pourquoi ? R: Nouvelle race Important Environ 13 ans quand se passe. Q: (L) Pourquoi les humains sont-ils consommĂ©s ? R: Ils sont utilisĂ©s pour certaines parties. Q: (L) Nous ne comprenons pas. Comment des humains peuvent-ils ĂȘtre utilisĂ©s par parties ? R: Cuves Reprototype existent Personnes portĂ©es disparues y vont souvent et spĂ©cialement enfants portĂ©s disparus. Cette rĂ©ponse me mit en Ă©tat de choc. Quelle sorte dâentitĂ© nous disait de telles choses ? De quelle horrible rĂ©alitĂ© cette sorte dâinformation provenait-elle ? JâĂ©tais dĂ©chirĂ©e entre mettre fin au contact Ă lâinstant et lâenvie de le poursuivre pour trouver quelque solution. Q: (L) Avons-nous quelque protection ? R: Quelque. Q: (L) Comment pouvons-nous nous protĂ©ger nous-mĂȘmes et nos enfants ?
R: Informez-les Ne cachez pas la vĂ©ritĂ© aux enfants. Q: (L) Comment la vĂ©ritĂ© nous protĂšge-t-elle ? R: Prise de conscience protĂšge Ignorance expose au pĂ©ril. Q: (L) Pourquoi dire aux enfants de si horribles choses ? R: Doivent savoir. Q: Je ne sais pas comment le fait de savoir cela peut aider. Ceci est affreux. Pourquoi dire de telles choses aux enfants ? R: Doivent savoir â allĂ©ger souffrance par mĂ©ditation. La seule suggestion dâeffrayer mes enfants avec des histoires aussi horribles me mit dans tous mes Ă©tats ! Mais encore une fois, je me sentais dĂ©chirĂ©e. Plus que tout jâĂ©tais curieuse de savoir quelle sorte de crĂ©ature pouvait dire des choses aussi terribles. Les entitĂ©s nĂ©gatives que jâavais rencontrĂ©es nâavaient certes jamais dit des choses de ce genre; en fait, elles se prĂ©sentaient comme vraiment bonnes mais incomprises et persĂ©cutĂ©es. Trouver des excuses Ă leur propre malignitĂ© Ă©tait la marque de crĂ©atures des tĂ©nĂšbres. Ătions nous maintenant en face dâune autre crĂ©ature des tĂ©nĂšbres, un ĂȘtre tellement noir que peu lui importait lâhorreur des choses quâil disait ? Ou bien me disait-on des choses destinĂ©es Ă me pousser â moi, la mĂšre de cinq enfants â Ă poser davantage de questions destinĂ©es Ă protĂ©ger nos enfants ? Q: Pourquoi nous dites-vous cela ? Câest affreux ! R: Nous vous aimons. Super. Mais quelle sorte dâamour pouvait nous dire des choses affreuses, je me le demandais. Puis jâai soudain rĂ©alisĂ© que jâavertissais toujours mes enfants quand il y avait danger. MĂȘme si je nâaimais pas devoir admettre que le monde Ă©tait en endroit dangereux, je savais que je devais leur dire de telles
choses afin quâils soient sur leurs gardes â pour les prĂ©server. Q: Sommes-nous supposĂ©s le dire Ă dâautres ? R: Ne rĂ©vĂ©lez pas au public. Vous seriez victimes de rapts. CâĂ©tait une rĂ©ponse raisonnable et ne suggĂ©rait certainement pas quâils voulaient que nous allions effrayer les gens. JâĂ©tais curieuse au sujet du « projet » mentionnĂ© comme devant ĂȘtre accompli dans environ 13 ans, (2007) et pour lequel tant de terribles sacrifices humains Ă©taient faits. MĂȘme si cet ĂȘtre Ă©tait mauvais, peut-ĂȘtre que si je parvenais Ă obtenir dâurgence assez dâinformations je pourrais les rĂ©pandre autour de moi et alors ceux qui Ă©taient familiarisĂ©s avec de tels dĂ©tails pourraient y trouver un sens. Q: (L) Quel est le but de ce projet ? R: Nouvelle vie ici. Puisque jâavais formulĂ© mon idĂ©e que les extraterrestres se nourrissaient de Ă©motions humaines, je dĂ©cidai de poser une question test. Selon toute probabilitĂ©, un extraterrestre qui se nourrit de nous nierait le fait Ă moins que, comme je lâavais pensĂ©, nous nous trouvions devant un ĂȘtre dâune noirceur insoucieuse telle que nous nâen nâavions jamais rencontrĂ© auparavant. Q: (L) Est-ce que les extraterrestres utilisent nos Ă©motions et nos Ă©nergies ? R: Correct ; et les corps aussi. Chaque annĂ©e terrestre 10 pourcent supplĂ©mentaires dâenfants sont pris. Ils ne lĂąchaient pas ce problĂšme des enfants disparus. CâĂ©tait trop horrible Ă contempler. Pourquoi sâobstinaient-ils Ă me dire des choses qui me bouleversaient tellement ? Ma dĂ©tresse de mĂšre me fit demander dâune voix tremblante : Q: (L) Est-ce quâils souffrent ? R: Certains.
Q: (L) Est-ce quâils souffrent tous ? R: Certains. Q: Quâest-ce qui arrive aux Ăąmes ? Est-ce que câest seulement physique ? R: Physique â Ămes recyclĂ©es. Q: OĂč vont les Ăąmes ? R: Reviennent ici â la plupart. Q: Est-ce que dâautres vont ailleurs ? R: Et sorte de planĂšte humaine. Ă nouveau, au cas oĂč cette monstrueuse histoire serait vraie, je voulais des dĂ©tails â quelque chose que je pourrais vĂ©rifier. Q: Qui est responsable de cela ? R: Consortium. Q: (C) Mais câest totalement nausĂ©abond ! Je ne veux plus faire ça ! R: NausĂ©abond est subjectif. Q: (L) Mais ce que vous nous dites est si affreux ! R: On comprend, mais tout nâest pas conforme Ă vos perspectives. Avec cette rĂ©ponse je rĂ©alisai que ce quâon nous disait, aussi fou que cela puisse paraĂźtre, pourrait bien ĂȘtre la vĂ©ritĂ©. Mais Ă nouveau, quelle sorte dâĂȘtres disent des vĂ©ritĂ©s pareilles ? Q: Pourquoi ceci nous arrive-t-il Ă nous ? R: Karma. Q: (L) Quelle sorte de Karma peut amener cela ? R: Atlantide. Q: (L) Quâest ce qui peut nous protĂ©ger ? R: Connaissance. Q: (L) Comment obtenir cette connaissance ? R: Elle vous est donnĂ©e en ce moment.
Q: (L) De quelle connaissance parlez-vous ? R: Vous lâavez. Q: (L) Comment la connaissance de ce que vous nous avez dit peut nous protĂ©ger ? R: Donne grande dĂ©fense. Q: (L) Quelle connaissance donne la dĂ©fense ? R: On vient de la donner. Q: (L) Quoi spĂ©cifiquement ? R: Ne demandez pas ce qui nâest pas important. Q: Nous ne comprenons pas. R: Le savoir donne une dĂ©fense psychique. Q: Comment allons-nous le dire aux autres ? Et Ă qui nous devrions le dire ? R: Informer seulement indirectement. Q: (L) Comment ? R: Ăcrivez. Q: Devrions-nous utiliser lâhypnose pour mettre de tels souvenirs Ă dĂ©couvert ? R: Ouvert. Q: (L) Est-ce que certains dâentre nous ont fait lâobjet de rapts ? R: Oui. Q: Qui parmi ceux qui sont ici ? R: Tous. Q: (L) Combien de fois ? R: Frank-57; Candy-56; Laura-12. Q: (L) Pourquoi Laura nâa-t-elle pas Ă©tĂ© enlevĂ©e autant de fois ? (Laura rit) R: Pas fini. Q: (Candy rit.) R: Candy a Ă©tĂ© enlevĂ©e le mois dernier. Laura - 33 - [Ă lâĂąge de 33 ans ou il y a 33 ans ?]
Q: (L) Qui nous enlĂšve ? R: Des autres. Q: (L) Quel est le nom du groupe ? R: DiffĂ©rents noms. Q: (L) Sommes-nous tous enlevĂ©s par le mĂȘme groupe ? R: La plupart du temps. Q: (L) Quâest-ce quâils nous ont fait ? R: DonnĂ© de faux souvenirs. Ont fait de vous enfant inhibĂ© â maux de tĂȘte â malade Ă lâĂ©cole. Q: (C) OĂč se trouve mon implant ? R: TĂȘte. Q: Frank ? R: MĂȘme. Q: Laura ? R: MĂȘme. Q: (L) Ă quoi servent les implants ? R: Instrument dâĂ©tude. Q: (L) Pour Ă©tudier quoi ? R: Composition de lâĂąme. Q: (L) Est-ce que lâun ou lâautre des rituels que nous accomplissons nous protĂšge de nouveaux rapts ? R: Pas besoin de protection si vous avez connaissance. Q: (L) Comment acquĂ©rons-nous cette connaissance ? R: Subconscient profond. Q: (L) Quand lâavons-nous reçu ? R: Avant la naissance. Q: (L) Est-ce quâil y a autre chose que nous pouvons faire pour nous protĂ©ger ? R: Apprendre, mĂ©diter, lire. Q: (L) Faisons-nous ce quâil faut que nous fassions en ce moment ?
R: Jusquâici. Devez vous Ă©veiller. Dois partir maintenant. Ănergie Ă plat. Je dois partir. Je ne savais que penser. En fait, il y avait Ă nouveau cette injonction dâapprendre. JâĂ©tais traumatisĂ©e par les informations donnĂ©es; ça câĂ©tait une certitude. Comment Ă©tais-je supposĂ©e traiter tout cela ? Au fil des ans jâĂ©tais devenue tellement sensible aux souffrances des autres quâil me fallait dĂ©tourner la tĂȘte si jâĂ©tais obligĂ©e de passer devant un accident dâauto. Je devais quitter la piĂšce si aux nouvelles on faisait part de choses tristes. JâĂ©tais incapable de continuer Ă regarder un film triste. Quand je lisais une histoire parlant dâun enfant malade ou abusĂ© jâen Ă©tais dĂ©primĂ©e pendant des jours et des jours. Jâavais moi-mĂȘme cinq enfants trĂšs aimĂ©s, et je me sentais une sorte de mĂšre de substitution pour tous les enfants de la planĂšte. Je ne voyais pas les petits garçons crasseux comme des sales moutards; je les voyais comme les enfants aimĂ©s de leurs mĂšres; et je mâidentifiais avec toutes les mĂšres. Je prenais autant de soin dâun enfant Ă©tranger que des miens et aurais Ă©prouvĂ© de la gratitude envers toute mĂšre qui aurait fait la mĂȘme chose vis-Ă -vis des miens. Mes enfants Ă©taient ma vie ; Alors pourquoi insistaient-ils sur cette affaire dâenfants enlevĂ©s et sur lesquels Ă©taient faites des expĂ©riences ? Est-ce que câĂ©tait pour me blesser de maniĂšre Ă ce que je me sente mal et que lâentitĂ©, quelle quâelle fĂ»t, puisse se nourrir de ma souffrance ? Ou bien Ă©tais-je orientĂ©e vers lâapprentissage de quelque chose dâimportant ? Quelque chose de crucial pour lâhumanitĂ© ? Il nây avait quâune chose Ă faire : obtenir des faits. Je pensai quâil serait relativement facile dâacheter un almanach mondial et dây dĂ©couvrir les statistiques sur les enfants portĂ©s disparus : combien Ă©taient disparus, combien,
sains et saufs, avaient-ils retrouvĂ©, leur famille ? Rien. TrĂšs bien. Plan B. Je tĂ©lĂ©phonai aux organismes juridiques locaux. Quel Ă©tait le ministĂšre qui tenait Ă jour ce genre de statistiques ? Je fus passĂ©e de lâun Ă lâautre et de lâautre Ă lâun. Le plan C alors ? Je tĂ©lĂ©phonai Ă des organismes en me faisant passer pour une journaliste indĂ©pendante qui Ă©crivait un article. Dans ce pays, câest un moyen assez commun dâobtenir de lâinformation publique. Aucune lettre dâintroduction nâest nĂ©cessaire. De toute façon elle nâaurait servi Ă rien. Personne ne savait grand-chose Ă propos des enfants portĂ©s disparus. Maintenant il y a des dizaines dâorganismes et dâagences qui sâoccupent « dâenfants portĂ©s disparus et exploitĂ©s ». Le seul problĂšme câest quâil est toujours impossible dâobtenir une rĂ©ponse simple et directe Ă la simple question : combien dâenfants sont-ils portĂ©s disparus chaque annĂ©e et combien sont rendus sains et saufs Ă leur famille, et oĂč sont les preuves ? Partout oĂč on regarde on obtient des chiffres diffĂ©rents, bien quâau fil du temps une sorte de « chiffre » moyen ait Ă©tĂ© Ă©tabli. Mais, autant que je sache, il est toujours impossible dâobtenir des documents sur papier et des statistiques Ă©tayĂ©es par des donnĂ©es fiables. Personne veut en parler en ces termes. Et je me mis Ă me demander : « pourquoi » ? Et qui plus est, pendant la semaine oĂč je mâĂ©tais efforcĂ©e dâobtenir des rĂ©ponses Ă cette question particuliĂšre, je commençai Ă avoir le sentiment que quelque chose ne tournait vraiment pas rond dans notre monde. Quelque chose allait horriblement de travers, mais personne ne voulait lâadmettre et encore moins en parler. Je nâavais aucune preuve de ce que la
communication reçue par lâintermĂ©diaire de la planchette Ă©tait vraie. Et cependant, jâavais manifestement Ă©tĂ© empĂȘchĂ©e dans ma tentative de prouver quâelle Ă©tait fausse. Peut-ĂȘtre que lui ou elle avait simplement dit la vĂ©ritĂ©. Et nâĂ©tait-ce pas ce que je recherchais ? JâĂ©tais Ă la recherche de la vĂ©ritĂ© comme tout un chacun, mais jâavais dans lâidĂ©e que la vĂ©ritĂ© devait ĂȘtre « belle ». Le fait que la VĂ©ritĂ© nâĂ©tait peut-ĂȘtre pas toute de lys, de rose et de lumiĂšre ne fut pas perdu pour moi, mĂȘme si jâavais encore le prĂ©jugĂ© que des « ĂȘtres supĂ©rieurs » ne diraient que des « choses Ă©levĂ©es ». Ă la sĂ©ance suivante, le dernier jour des impacts de la ComĂšte Shoemaker-Levy avec Jupiter, la barriĂšre entre les mondes sâeffondra, littĂ©ralement dans un grand coup de tonnerre. CâĂ©tait le 22 juillet. Nous Ă©tions assez curieux de savoir si les Ă©tranges interlocuteurs de la semaine prĂ©cĂ©dente reviendraient. Jâavais rĂ©cemment suivi un cours de Reiki, et Candy et moi procĂ©dions Ă des expĂ©riences en utilisant les mots et symboles enseignĂ©s par le Reiki pour stimuler la circulation de lâĂ©nergie. Un mot et un symbole particuliers sont censĂ©s renforcer un circuit dans la frĂ©quence corporelle, permettant dâouvrir une « connexion Ă©thĂ©rique ». Jâavais dessinĂ© le symbole sur une feuille de papier que jâavais glissĂ©e sous le tableau de lâalphabet, et Candy et moi rĂ©pĂ©tĂąmes les mots un trĂšs grand nombre de fois. Soudain, la planchette Ă©pela : « Frank dis-le aussi ». Alors, Frank se joignit Ă nous dans la rĂ©pĂ©tition calme de ces « mots dâĂ©nergie ». Soudain, nous entendĂźmes trois coups de tonnerre trĂšs forts et trĂšs proches, directement au-dessus de la maison. Ces bruits dâexplosion Ă©taient tellement forts quâils firent littĂ©ralement trembler le bĂątiment. CâĂ©tait comme si un avion avait explosĂ© juste au-dessus de nous. Craignant une
destruction imminente, nous sautĂąmes sur nos pieds, abandonnĂąmes nos chaises renversĂ©es et nous prĂ©cipitĂąmes vers la porte pour voir ce qui se passait dans les cieux au-dessus de nous. Le ciel Ă©tait parfaitement clair, la lune brillait, les Ă©toiles scintillaient [2]. AprĂšs avoir regardĂ© autour de nous et Ă©coutĂ© pendant un certain temps, nous dĂ©cidĂąmes quâil avait dĂ» sâagir dâun de ces coups de tonnerre « inopinĂ©s » dont nous avions entendu parler, mĂȘme sâil nâavait Ă©tĂ© accompagnĂ© ni dâĂ©clairs ni de coups de foudre. Nous aurions remarquĂ© la lueur avec les fenĂȘtres ouvertes. Nous revĂźnmes Ă la table dans un Ă©tat dâĂ©tonnement extrĂȘme, nous rassĂźmes et nous mĂźmes Ă parler de ces Ă©tranges coups de tonnerre, sans prĂȘter grande attention Ă la planchette. Une nouvelle fois, celle-ci se mit Ă bouger en spirales lentes et dĂ©libĂ©rĂ©es. Une nouvelle fois je dis « Hello ! » R: Hello. Q: Y a-t-il quelquâun avec nous ? R: Ăcoutez, regardez, arrĂȘtez- de manger. (Candy Ă©tait en train de grignoter quelque chose.) Q: Quel est le problĂšme si on mange ? R: Connexion pas bonne. Q: (L) Quel est votre nom ? R: Ellaga. Encore un nom peu commun; jâĂ©tais intriguĂ©e. Q: (L) Ătes-vous un ĂȘtre dĂ©sincarnĂ© en provenance de la Terre ? R: Non. Q: Ătes-vous du mĂȘme groupe qui a communiquĂ© avec nous lâautre soir ? R: Oui. Q: (L) Ătes-vous dâune autre galaxie ?
R: Non. Q: (L) DâoĂč ĂȘtes-vous ? R: CassiopĂ©e. Q: (L) Est-ce la constellation que nous connaissons sous le nom de CassiopĂ©e ? R: Oui. Q: (L) Que pouvons-nous faire pour une meilleure connexion ? R: Moins de bruit. Il y avait de lâactivitĂ© dans la piĂšce dâĂ cĂŽtĂ©. Nous fermĂąmes la porte. Q: (L) Avez-vous des informations pour nous ce soir ? Ă cette question la planchette sâenvola et je me mis Ă Ă©peler les lettres pour que Candy les Ă©crive, en essayant dĂ©sespĂ©rĂ©ment de suivre. Elles furent livrĂ©es dâun seul long trait sans sĂ©paration entre les mots, de sorte que nous dĂ»mes les Ă©tudier ensuite pour les diviser en mots. Il Ă©tait impossible dâessayer de suivre mot Ă mot en mettant les lettres en forme de mots dans ma tĂȘte; alors je renonçai et me contentai de prononcer chaque lettre Ă mesure que la planchette parcourait Ă toute vitesse le tableau dâalphabet. R: Invasion de lâespace bientĂŽt. Quatre Ă six ans. Bataille entre forces du bon et du mauvais Attendre prĂšs regarder loin Ăcouter Mexique tombe Ăthiopie tremble nouvel an et janvier Paris bombe Londres blizzard 109 meurent Avion sur Tahiti CholĂ©ra Montana Janvier 1995 gouvernement US derriĂšre sĂ©ismes Californie Trois bientĂŽt rapt politique Oklahoma FĂ©vrier 95 Grande nouvelle. Ce qui est curieux Ă propos de la derniĂšre remarque câest que le 25 fĂ©vrier 1995 nous avons reçu un avertissement dâattaque terroriste Ă la bombe dans un dĂ©lai dâun mois. Connectez cela à « rapt politique » Oklahoma le mot « fĂ©vrier »
suivi de « grande nouvelle » et nous trouvons un curieux rapport avec lâattaque Ă la bombe du 19 avril 1995 contre un immeuble fĂ©dĂ©ral dans lequel au moins 18 personnes ont perdu la vie. InculpĂ© pour cette attaque Ă la bombe Timothy MCVEIGH, un vĂ©tĂ©ran de la guerre du Golfe, a dit ensuite aux journalistes quâil Ă©tait sous le contrĂŽle dâun implant dans sa hanche et quâil croyait avoir Ă©tĂ© enlevĂ© et programmĂ© par le gouvernement. Il paraĂźt assez clair quâil nây a pas eu dâinvasion de lâespace de notre planĂšte dans les « 4 Ă 6 ans ». Du moins pas de la maniĂšre dont nous comprendrions une « attaque venue de lâespace ». NĂ©anmoins, je me suis souvenue de ce que Candy avait dit pendant une de ses sĂ©ances dâhypnose Ă propos de 1998 : « Câest une pĂ©riode importante pour quelque chose⊠le compte Ă rebours commence alors⊠». Par la suite je suis revenue sur ce point pour des Ă©claircissements, et voici lâĂ©change tel quâil a eu lieu : Q: (L) Est-ce quâil y aura une guerre dans le ciel avec les extraterrestres ? R: Oui. Q: (L) Est-ce que ce sera entre ceux dâOrion et la FĂ©dĂ©ration ? (Jâavais pris ces noms dans le « MatĂ©riel Ra »). R: Oui. Q: (L) Sera-t-elle visible de la Terre ? R: Oh, oui. Q: (L) Quand cela aura-t-il lieu ? R: Cela a dĂ©jĂ commencĂ©. Sâintensifiera de plus en plus. Q: (L) Pourquoi nâavons-nous pas conscience que cela a dĂ©jĂ commencĂ© ? R: En ce moment dĂ©guisĂ© en mĂ©tĂ©o. Batailles encore dans une autre dimension. Viendra dans celle-ci dans 18 ans au
plus. Nâimporte quand endĂ©ans cette pĂ©riode. Pas dĂ©terminable exactement quand. Pourrait ĂȘtre demain ou dans 18 ans. Q: (L) 18 ans Ă partir de maintenant câest en 2012. Y a-t-il une signification spĂ©ciale Ă cette date ? R: Pour alors. Je trouvais terriblement fascinant que la mĂ©tĂ©o soit dĂ©crite comme masquant des activitĂ©s qui se dĂ©roulaient dans dâautres mondes. Cette idĂ©e est en fait trĂšs ancienne. Pour poursuivre avec cette deuxiĂšme rencontre : Q: (L) Quâest-ce qui provoque les changements sur Terre ? R: Onde Ă©lectromagnĂ©tique change. Q: (L) Pouvez-vous ĂȘtre plus spĂ©cifique ? R: Interruption dans surtension champ hĂ©liographique. Q: (L) Je ne comprends pas. R: Mettez Frank au traitement de texte canal ouvert. Q: Vous voulez dire que Frank peut communiquer sur lâordinateur ? R: Oui. Faites-le maintenant. Je pensai alors â et ceci fut confirmĂ© par la suite â que câĂ©tait une tentative pour faire dĂ©vier le processus. Jâavais le sentiment que cette demande provenait de Frank, qui nâapprĂ©ciait pas beaucoup lâutilisation de la planchette, bien quâil mâaccompagnĂąt patiemment; ou bien dâune autre source qui aurait beaucoup voulu nous dĂ©tourner de notre mĂ©thode contrĂŽlĂ©e. Nous disposions dâune mĂ©thode dâajustement de la boucle de rĂ©tro-action. Quelle que fĂ»t la provenance de cette demande, jâĂ©tais dĂ©terminĂ©e Ă nâobĂ©ir Ă aucune, me contentai de dire « non » et poursuivis. Q: (L) Est-ce quâune mĂ©tĂ©orite ou une comĂšte va heurter la Terre ? R: Ouvert.
Q: (L) Quels sont les effets sur nous de la collision de la comĂšte avec Jupiter ? R: Davantage de dĂ©sĂ©quilibre de champ. Q: (L) Est-ce que cette comĂšte est destinĂ©e Ă la Terre comme le prĂ©tendent certains mĂ©diums ? R: Ouvert. Ă lâĂ©poque des collisions de la ComĂšte de Shoemaker-Levy avec Jupiter, des rumeurs sur Internet affirmaient que cette comĂšte aurait dĂ» heurter la Terre mais quâun certain groupe dâextraterrestres, je ne me souviens plus lequel, avait dĂ©cidĂ© de « sauver » la Terre en redirigeant cette comĂšte vers Jupiter. Naturellement, lâhumanitĂ© tout entiĂšre Ă©tait censĂ©e ĂȘtre reconnaissante envers ce groupe qui avait tirĂ© nos marrons du feu ! Q: [question inconnue, probablement Ă propos des enfants portĂ©s disparus. Je pense que jâavais remis le sujet sur le tapis Ă titre de test et pour voir si nous obtiendrions une rĂ©ponse plus plaisante. Enfin, si câest bien cela que jâattendais, jâen fus pour mes frais !] R: Morceaux dâorganes dâenfants enlevĂ©s pendant que complĂštement Ă©veillĂ©s â reins Ă©crasĂ©s â et ensuite pieds â ensuite mĂąchoire examinĂ©e sur table â langue coupĂ©e â tests Ă©tirement os â pression sur muscle du coeur jusquâĂ ce quâil Ă©clate. Q: Pourquoi dites-vous ces affreuses choses ? ! R: Devez savoir ce que consortium est en train de faire. Q: Ă quels enfants font-ils cela ? R: Surtout Ă enfants indiens. Q: Pourquoi ai-je ce sentiment dâhorreur pendant que vous nous dites cela ? R: Parce que sujet est bouleversant.
Q: Pourquoi avons-nous besoin de savoir ces choses ? R: TrĂšs gros effort de la part des Orions et leurs frĂšres humains de crĂ©er nouvelle race et contrĂŽler. Q: (L) DâoĂč ĂȘtes-vous ? R: CassiopĂ©e. Q: (L) OĂč habitez-vous en particulier ? R: Vie dans omniprĂ©sence. Q: (L) Quâest-ce que cela signifie ? R: Tous mondes. Q: (L) Pouvez-vous nous dire Ă quoi ressemble votre environnement ? R: Difficile. Q: (L) Eh bien faites un essai. R: Quel essai ? Q: (L) Ătes-vous au service de vous-mĂȘme ou dâautrui. R: Les deux. Nous-mĂȘmes Ă travers les autres. Q: (L) Candy veut connaĂźtre les dĂ©tails de ses rapts. R: Le voulez-vous ? Q: (C) Oui. R: Ătes-vous sĂ»re ? Q: (C) Oui. R: BientĂŽt. Vibrations pas comme il faut en ce moment. Q: (L) Est-ce que cela veut dire que les vibrations de Candy ne sont pas bonnes pour recevoir des informations ? R: Correct. Q: Pourquoi des informations sur nos enlĂšvements ont-elles Ă©tĂ© donnĂ©es la fois passĂ©e ? R: Ce nâĂ©tait pas moi. Q: Et qui ĂȘtes-vous ? R: Ellaga. Cette derniĂšre rĂ©ponse nâest devenue claire que par la suite. Nous allions bientĂŽt apprendre que chaque sĂ©ance
amenait une « entitĂ© » diffĂ©rente. Comme chaque « moment » dans lâespace-temps Ă©tait totalement unique, il en allait de mĂȘme pour les Ă©nergies qui nous entouraient nous et nos questions. Câest ainsi quâun nom diffĂ©rent de lâentitĂ© communicante dĂ©signait une frĂ©quence diffĂ©rente, bien que nous ayons appris que ce nâĂ©taient pas vraiment des entitĂ©s « sĂ©parĂ©es » qui communiquaient. Chaque sĂ©ance Ă©tait unique dans son Ă©nergie dâĂ©change de questions-rĂ©ponses. Puisque mon cousin, Sam, sâĂ©tait montrĂ© si enthousiaste pour les idĂ©es prĂ©sentĂ©es par Zecharia SITCHIN dans The 12th Planet [3], je dĂ©cidai que quelques questions allant dans ce sens pourraient ĂȘtre intĂ©ressantes. Dans ses livres, SITCHIN affirme quâune race supĂ©rieure dâextraterrestres a jadis habitĂ© notre monde. Il a dit que câĂ©taient des voyageurs interstellaires, venus il y a des Ă©ons, et qui ont manipulĂ© gĂ©nĂ©tiquement les humains de maniĂšre Ă en faire leurs esclaves. Il dit que les « Fils dâAnak » mentionnĂ©s dans la Bible sont les Announaki, et quâils sont aussi les NĂ©philim bibliques. CâĂ©tait une race de gĂ©ants Ă la recherche dâor, venue dâune planĂšte de notre propre systĂšme solaire, et connue des SumĂ©riens comme la « PlanĂšte du croisement ». Cette planĂšte « croise » tous les 3 600 ans le plan de lâĂ©cliptique, et quand elle assez proche, ses habitants font un « saut » sur la Terre pour voir oĂč en est leur crĂ©ation. Cela est censĂ© se reproduire dans un avenir assez proche. Le titre vient du fait que SITCHIN suggĂšre quâil y a 12 maisons du Zodiaque pour 12 « planĂštes ». Il inclut le Soleil et la Lune dans son compte parce quâils sont zodiacalement significatifs. Mais en rĂ©alitĂ© il sâagit dâune dixiĂšme planĂšte, et lâon exclut alors le Soleil et la Lune. Il oublie aussi de voir que la Terre est exclue de toute considĂ©ration zodiacale parce que lâastrologie est gĂ©ocentrique. Puisque Sam Ă©tait si fĂ©ru du scĂ©nario SITCHIN mettant en scĂšne dâanciens astronautes et
que moi jâĂ©tais tout aussi convaincue que cette thĂ©orie Ă©tait bourrĂ©e dâerreurs, je pensai que cela pourrait faire une autre bonne question test. Q: (L) Y a-t-il une dixiĂšme planĂšte telle que dĂ©crite par Zecharia SITCHIN ? R: Non.[Okay, pas besoin de poursuivre !] Q: (L) Est-ce que VĂ©nus a Ă©tĂ© Ă©jectĂ©e de Jupiter ? Cela Ă©tait une proposition dâImmanuel VELIKOVSKY pour expliquer pourquoi les astronomes et faiseurs de mythes de lâantiquitĂ© avaient affirmĂ© que VĂ©nus Ă©tait nĂ©e de Jupiter. Le lecteur voudra certainement lire Worlds in Collision parce que câest un des livres les plus rationnels jamais Ă©crits. MĂȘme si VELIKOVSKY avait tort dans certaines de ses conclusions Ă propos des mythes et lĂ©gendes, ses observations et propositions de regarder le cosmos dâun nouvel oeil doivent ĂȘtre apprĂ©ciĂ©es Ă leur juste valeur. Et dâaprĂšs les CassiopĂ©ens il avait raison, du moins en partie. Mais en rĂ©ponse Ă la question : est-ce que VĂ©nus a Ă©tĂ© Ă©jectĂ©e de Jupiter, la rĂ©ponse fut : R: Non. Q: (L) Est-ce que VĂ©nus a suivi une orbite comĂ©taire pendant un certain temps, comme suggĂ©rĂ© par VELIKOVSKY ? R: Oui. Q: (L) Est-ce que VĂ©nus est apparue dans notre systĂšme solaire, depuis la rĂ©gion de Jupiter, venant de lâespace profond comme lâa suggĂ©rĂ© VELIKOVSKY ? R: Cela est correct. Q: (L) Est-ce que VĂ©nus a Ă©tĂ© la colonne de fumĂ©e pendant le jour et de feu pendant la nuit, que les Juifs ont vue pendant lâExode ? R: Non. Q: (L) Quâest-ce qui a Ă©tĂ© vu par les Juifs ? R: Un vaisseau guide.
Q: (L) Est-ce que Sodome et Gomorrhe ont Ă©tĂ© dĂ©truites par des armes nuclĂ©aires ? R: Oui et non. Q: (L) Comment ont-elles Ă©tĂ© dĂ©truites ? R: PEM Q: (L) Quâest-ce que « PEM » ? R: Pulsation ĂlectroMagnĂ©tique. Cette derniĂšre remarque Ă propos dâune Ă©nergie de « Pulsation Ălectro-MagnĂ©tique » a Ă©tĂ© faite bien avant quâaucun de nous autour de la table ait pris conscience quâil existait quelque chose appelĂ© PEM (EMP) Plus tard, elle a Ă©tĂ© dĂ©crite de maniĂšre relativement dĂ©taillĂ©e par le Colonel CORSO dans son livre The Day After Roswell [4]. Mais quelques annĂ©es nous sĂ©paraient alors de ce moment. Malheureusement, aprĂšs nos deux annĂ©es passĂ©es en contacts spirites pour la plupart dĂ©pourvus de sens, nous nâavions pas encore pris lâhabitude dâenregistrer, et nous ne savions pas si cette communication Ă©tait un coup de chance ou non. Nous ne possĂ©dons donc que des notes pour la premiĂšre demi-douzaine de sĂ©ances. AprĂšs quelques semaines de contacts rĂ©pĂ©tĂ©s et un apparent renforcement de la communication, je fis lâacquisition dâun enregistreur spĂ©cial pour enregistrer les sĂ©ances. DĂšs lors nous entreprĂźmes ce que je voulais ĂȘtre une « phase de test » et dâalignement de la communication. Cela consistait en une sĂ©rie de questions rapides sautant dâun sujet Ă un autre, dans des catĂ©gories totalement diffĂ©rentes. Je voulais vĂ©rifier la cohĂ©rence, tenter de dĂ©sorienter la source, et aussi essayer de dĂ©terminer la portĂ©e et les limites. JâĂ©tais surtout intĂ©ressĂ©e par des questions relatives Ă des « mystĂšres non rĂ©solus » et passai des journĂ©es entiĂšres Ă parcourir des livres pour trouver des « mystĂšres » sur lesquels je pourrais poser des
questions. En un sens câĂ©tait une bonne chose, et dans un autre ce ne nâen nâĂ©tait pas une. Quelque chose qui Ă©tait devenu trĂšs Ă©vident pendant ce processus câĂ©tait quâil nây avait aucune possibilitĂ© quâaucune des informations « diffusĂ©es » dans nos tĂȘtes lâait Ă©tĂ© par une source humaine. Les questions Ă©taient posĂ©es tellement au hasard et les rĂ©ponses tellement rapides, de nombreuses dâentre elles confirmĂ©es par des recherches ultĂ©rieures, que cela excluait la possibilitĂ© de « recevoir une diffusion par satellite » en provenance dâagents humains. Si les informations avaient Ă©tĂ© diffusĂ©es par satellite, quiconque parvenait Ă lire dans notre esprit en temps zĂ©ro, ou de sâaligner sur nos questions par lâintermĂ©diaire de quelque systĂšme dâĂ©coute, aurait dĂ» ĂȘtre Ă©paulĂ© par lâĂ©quipe de « trouvons la rĂ©ponse en un clin dâoeil » la plus rapide de la planĂšte. Nous avions Ă©galement dĂ» aller profond pour trouver les rĂ©ponses qui avaient invariablement confirmĂ© que les CassiopĂ©ens Ă©taient Ă mĂȘme de nous dire des choses qui ne faisaient absolument pas partie de notre propre subconscient. Les CassiopĂ©ens Ă©taient des « tireurs » rapides. Et ils commencĂšrent bientĂŽt Ă utiliser leur propre ponctuation, avec prĂ©cision pourrais-je ajouter, de sorte que si quelquâun Ă©tait en train de « diffuser de lâinfo » dans nos tĂȘtes, ils devaient ĂȘtre des maniaques de la grammaire et les plus rapides de la planĂšte Ă trouver les rĂ©ponses dans la plus grande bibliothĂšque du monde ! Ce qui est vraiment moche Ă propos de ma phase de mise Ă lâĂ©preuve, câest le fait quâil nây a pratiquement aucun endroit dans le matĂ©riel oĂč les sujets ne sautent pas de lâun Ă lâautre. Câest vrai que nous sommes revenus en arriĂšre et avons posĂ© des questions suivies plus tard, mais pendant une sĂ©ance nous pouvions sauter des mondes du cosmos aux perceptions
des chats domestiques. Quoi quâil en soit, mĂȘme si je commençais Ă prendre cette expĂ©rience un peu plus au sĂ©rieux, je nâavais encore aucune idĂ©e de ce que jâavais fait. MĂȘme maintenant, douze ans plus tard, jâessaie de garder lâesprit ouvert, de rester consciente du fait que notre mental peut nous Ă©garer de myriades de maniĂšres. Nous procĂ©dons toujours quotidiennement Ă des recherches â faisant souvent des dĂ©couvertes Ă©tonnantes parce que nous avons reçu un « indice » par les transmissions cassiopĂ©ennes. Câest dans ce contexte de recherche intensive que le sujet de la Grande ĂtrangetĂ© des Dimensions, DensitĂ©s, et le Processus des rapts extraterrestres commence Ă prendre un sens.
NOTES
[1]: Le roi en jaune (NdT) [2]: La Lune Ă©tait en Capricorne, et Jupiter se trouvait entre les pinces du Scorpion, maintenant connues comme la Balance et la Vierge. Le Verseau venait de se lever Ă lâEst, et CassiopĂ©e Ă©tait levĂ©e depuis environ une demi heure. [3]: La douziĂšme planĂšte (NdT) [4]: Le Jour aprĂšs Roswell (NdT)
DEUXIĂME PARTIE
CHAPITRE IX
Ainsi que je lâai dĂ©jĂ dit, jâai passĂ© une bonne partie de ma vie Ă tenter de trouver des explications rationnelles Ă des Ă©vĂ©nements complexes et mystĂ©rieux, et Ă mâefforcer de faire entrer mes propres expĂ©riences hors du commun ainsi que celles dâautres personnes dans des catĂ©gories acceptables, tout en essayant de les trouver prosaĂŻques. Lâironie de tout cela est que souvent jâai Ă©tĂ© obligĂ©e de balayer mes observations logiques sous le tapis du terre-Ă -terre, et de ce point de vue, on peut indubitablement affirmer que mon imagination a Ă©tĂ© mise Ă contribution ! Du fait que ces expĂ©riences « ne sâadaptaient » pas au modĂšle de rĂ©alitĂ© de notre sociĂ©tĂ© jâai rĂ©alisĂ© que notre monde est marginalisĂ© Ă lâextrĂȘme et cela mâa troublĂ©e. Je me suis efforcĂ©e de jeter une passerelle entre la Grande ĂtrangetĂ© et une rĂ©alitĂ© que notre sociĂ©tĂ© pourrait considĂ©rer comme valable et rĂ©elle, en Ă©tablissant des catĂ©gories raisonnables dans lesquelles caser les anomalies tout en ne niant pas lâĂ©vidence, et en tenant compte de la crĂ©dibilitĂ© Ă accorder aux normes sociales et culturelles Ă©tablissant ce qui est possible et ce qui ne lâest pas. Quand dâune part on est conscient « quâil se passe de drĂŽles de choses », mais que dâautre part ces choses Ă©tranges sont rĂ©guliĂšrement tournĂ©es en dĂ©rision et dĂ©formĂ©es, il devient urgent dâagir ! Il est vrai quâune une longue liste dâexpĂ©riences terrestres sont en gĂ©nĂ©ral effectivement « Ă©touffĂ©es » simplement parce quâelles sont considĂ©rĂ©es comme anormales
ou mĂȘme blĂąmables. Ce nâest pas une maniĂšre saine de voir les choses. Comme câest le cas de la plupart des gens, je nâai jamais demandĂ© que des choses Ă©tranges se produisent dans ma vie. Jâai manifestement perdu une bataille en voulant prĂ©tendre quâil ne se passait rien ou bien quâil devait y avoir une explication rationnelle Ă ces Ă©vĂ©nements. Je me suis souvent demandĂ© combien dâautres personnes dans le monde avaient souffert parce que leur rĂ©alitĂ© profonde avait Ă©tĂ© tournĂ©e en ridicule. Ă lâextrĂȘme, certaines personnes sont classĂ©es comme folles parce que leurs perceptions sont diffĂ©rentes. Mais il existe aussi dâinnombrables personnes qui ont vĂ©cu de nombreuses expĂ©riences Ă©tranges et qui ont peur dâen parler, qui les gardent Ă lâintĂ©rieur dâelles-mĂȘmes, et qui se demandent chaque jour si elles sont en train de perdre la tĂȘte ou bien si elles sont soumises Ă des tourments dâorigine dĂ©moniaque. Charles Fort dĂ©plorant la dĂ©considĂ©ration manifestĂ©e Ă lâĂ©gard des enquĂȘtes sur les anomalies, a Ă©crit dans son livre « LO [1] ! » : Nos donnĂ©es ont Ă©tĂ© mises Ă mal par deux tyrannies: dâun cĂŽtĂ© les spiritualistes se sont emparĂ©s arbitrairement des Ă©vĂ©nements Ă©tranges et en ont fait des manifestations de disparus, et dâautre part la science conventionnelle sâest prononcĂ©e contre tout ce qui ne sâaccorde pas avec ses systĂ©matisations. Le scientifique se livre Ă des investigations comme une femme fait des emplettes pour assortir des rubans. Le spiritualiste se gave dâĂ©motions, les unes trop dĂ©licates, les autres trop « lourdes ». Peut-ĂȘtre quâentre les deux nous serons vus un jour comme des modĂšles de comportement exemplaire. Il y a en hypnose, un fait peu connu, que je voudrais illustrer par la petite histoire suivante : Ă un sujet sous hypnose il avait Ă©tĂ© dit que lorsquâil sâĂ©veillerait, il serait incapable de voir dans la piĂšce, une
troisiĂšme personne qui serait, lui avait-on suggĂ©rĂ©, devenue invisible. Toutes les suggestions « appropriĂ©es » pour rendre effective cette affirmation furent donnĂ©es : « vous ne verrez pas untel », etc⊠Quand le sujet fut sorti de sa transe, ĂŽ surprise les suggestions se rĂ©vĂ©lĂšrent inopĂ©rantes. Pourquoi ? Parce quâelles allaient Ă lâencontre de son systĂšme de convictions. Il ne croyait pas quâune personne puisse devenir invisible. Un autre essai eut donc lieu. Le sujet fut hypnotisĂ© Ă nouveau, et on lui dit que le troisiĂšme homme Ă©tait en train de quitter la piĂšce⊠quâil Ă©tait appelĂ© au-dehors pour des affaires urgentes ; et on lui dĂ©crivit quâil mettait son manteau, son chapeau, on lui fit entendre la porte qui Ă©tait ouverte puis refermĂ©e, et ensuite le sujet fut sorti de sa transe. Devinez ce qui arriva. Il fut incapable de voir le troisiĂšme homme. Pourquoi ? Parce que ses perceptions avaient Ă©tĂ© modifiĂ©es tout en respectant ses convictions. Certains des « censeurs » localisĂ©s dans son cerveau avaient Ă©tĂ© activĂ©s dâune maniĂšre qui Ă©tait acceptable aux instincts de survie de son ego. Les moyens destinĂ©s Ă assurer la survie de lâego entrent en oeuvre assez tĂŽt dans la vie par lâintermĂ©diaire de notre programmation parentale et sociĂ©tale. Ce conditionnement dĂ©termine ce qui est possible et ce qui ne lâest pas. Ce quâil nous est « permis » de croire afin dâĂȘtre acceptĂ©s. Nous apprenons cela tout dâabord en apprenant ce qui plaĂźt et ce qui ne plaĂźt pas Ă nos parents, et plus tard nous modifions nos croyances sur la base de qui plaĂźt ou ne plait pas Ă la sociĂ©tĂ©, Ă nos pairs. Pour en revenir Ă notre petite histoire, le troisiĂšme homme arpenta la piĂšce en soulevant et dĂ©posant des objets, et en faisant toutes sortes de choses destinĂ©es Ă tester la conscience que le sujet avait de sa prĂ©sence; le sujet devint
proprement hystĂ©rique devant ces activitĂ©s « anormales » ! Il pouvait voir des objets se mouvoir, des portes sâouvrir et se fermer, mais il Ă©tait incapable de voir la source, parce quâil ne croyait pas quâil y avait une troisiĂšme personne dans la piĂšce. Quelles sont donc les implications de ce facteur de conscience humaine ? (Ă propos, câest la raison pour laquelle la plupart des thĂ©rapies destinĂ©es Ă mettre fin Ă des mauvaises habitudes Ă©chouent : elles tentent dâopĂ©rer Ă lâencontre dâun « systĂšme de convictions » qui est imprimĂ© dans le subconscient et qui dit que telle ou telle habitude est essentielle Ă la survie). Il est facile dâobserver que chacun possĂšde un systĂšme de convictions diffĂ©rent, basĂ© sur le conditionnement familial et social, et que ces convictions dĂ©terminent le degrĂ© de rĂ©alitĂ© objective auquel on est capable dâaccĂ©der. Dans lâhistoire ci-dessus, la rĂ©alitĂ© objective est ce quâelle est, une rĂ©alitĂ© vraiment objective ou bien seulement une rĂ©alitĂ© de consensus. Dans cette histoire, une grande partie de cette rĂ©alitĂ© est manifestement inaccessible au sujet Ă cause dâune censure de ses perceptions, activĂ©e par les suggestions de lâhypnotiseur. Câest-Ă -dire que le sujet a une forte conviction, basĂ©e sur son propre choix, concernant qui ou que croire. Dans ce cas-ci, il a choisi de croire lâhypnotiseur et non ce quâil serait Ă mĂȘme dâobserver si ne tenait pas compte du censeur de perceptions dĂ©clenchĂ© par lâhypnotiseur qui a altĂ©rĂ© son « centre de croyances » â mĂȘme si cette altĂ©ration Ă©tait frauduleuse. Et il en va de mĂȘme pour Ă peu prĂšs tous les humains : nous croyons lâhypnotiseur â la « culture officielle » â et nous parvenons, avec une habiletĂ© surnaturelle, Ă nier ce qui se trouve souvent devant nos yeux. Ce qui est trĂšs perturbant dans le cas du sujet hypnotisĂ© ci-dessus, câest quâil est entiĂšrement Ă la merci de « lâhomme invisible » parce quâil a choisi de ne pas
voir celui-ci. Il se peut que, de maniĂšre semblable, nous soyons aux mains dâun hypnotiseur qui nâa pas Ă coeur nos meilleurs intĂ©rĂȘts. Regardons les choses en face : nous apprenons tous Ă Ă©viter les rĂ©alitĂ©s inconfortables. Les humains mis en face de vĂ©ritĂ©s inconfortables sur eux-mĂȘmes ou leur propre rĂ©alitĂ©, rĂ©agissent comme des alcooliques qui refusent dâadmettre leur Ă©tat, ou comme le mari cocu qui est « le dernier Ă savoir », ou encore comme lâĂ©pouse qui ne voit pas que son mari abuse de sa fille. Dans States of Denial : Knowing about Atrocities and Suffering [2], Stanley COHEN parle du dĂ©ni, qui pourrait jeter une certaine clartĂ© sur le contexte dans lequel nous voyons se situer les « phĂ©nomĂšnes extraterrestres ». Le dĂ©ni est « un complexe mĂ©canisme de dĂ©fense inconsciente permettant de supporter la culpabilitĂ©, lâanxiĂ©tĂ© et autres Ă©motions perturbantes suscitĂ©es par la rĂ©alitĂ© ». Le dĂ©ni peut ĂȘtre dĂ©libĂ©rĂ© et intentionnel, ou bien complĂštement subconscient. Un individu qui, dĂ©libĂ©rĂ©ment et intentionnellement nie quelque chose, agit Ă un niveau individuel de mensonge, de dissimulation et de duperie. Je ne pense pas quâil sâagisse de cela dans le cas qui nous occupe. Il sâagit ici dâun dĂ©ni subconscient, et dĂšs lors organisĂ© et « institutionnel ». Cela implique de la propagande, de la dĂ©sinformation, du blanchiment, de la manipulation, de la pagaille, de la dĂ©sinformation, etc. Croire nâimporte quoi nâest pas lâopposĂ© du dĂ©ni. La « reconnaissance » dâun haut niveau de vĂ©ritĂ© probable sur un sujet donnĂ© est ce qui devrait se produire quand des gens sont activement stimulĂ©s par certaines informations. Ces informations peuvent ĂȘtre 1) des vĂ©ritĂ©s factuelles ou judiciaires, câest-Ă -dire des informations mĂ©dico-lĂ©gales ou
scientifiques circonstanciĂ©es, prĂ©cises et objectives, obtenues par des procĂ©dures impartiales; 2) des vĂ©ritĂ©s personnelles et narratives, y compris des « tĂ©moignages » ». Je devrais ajouter ici que les arguments Ă connotation sceptique ou solipsiste â y compris le relativisme Ă©pistĂ©mologique â Ă propos de lâexistence dâune vĂ©ritĂ© objective sont gĂ©nĂ©ralement des Ă©laborations sociales qui devraient ĂȘtre considĂ©rĂ©es sous lâangle de lâhypnotisĂ© qui a Ă©tĂ© programmĂ© de maniĂšre Ă penser quâil « nây a pas de vĂ©ritĂ© ». Le dĂ©ni se produit pour une foule de raisons. Il y a les vĂ©ritĂ©s qui sont « clairement connues » mais qui, pour des motifs personnels ou politiques, justifiĂ©s ou injustifiĂ©s, sont dissimulĂ©es ou gardĂ©es « discrĂštes ». Il y a les vĂ©ritĂ©s « dĂ©sagrĂ©ables » qui sont des vĂ©ritĂ©s qui nos fatiguent parce que si nous les reconnaissons (si nous faisons davantage que dây acquiescer dâun « discret signe de tĂȘte ») il nous faudrait changer notre vie. COHEN fait remarquer que « toutes les contrevĂ©ritĂ©s concernant la rĂ©alitĂ© niĂ©e ne sont pas autre chose que des manoeuvres dâun jeu de la vĂ©ritĂ© qui nâaurait pas de fin ». Et comme nous le savons, la vĂ©ritĂ© est insĂ©parable du pouvoir. Nier la vĂ©ritĂ© câest effectivement, renoncer Ă son pouvoir. Il existe diffĂ©rentes sortes de dĂ©ni. Il y a dâabord le dĂ©ni littĂ©ral, câest-Ă -dire celui qui correspond Ă la dĂ©finition du dictionnaire : lâassertion que quelque chose ne sâest pas produit ou nâexiste pas. Câest ce qui arrive le plus frĂ©quemment dans des situations trĂšs pĂ©nibles oĂč il y a des conflits dâamour : par exemple lâĂ©pouse qui dit que son mari aurait Ă©tĂ© incapable de molester sa fille et que dĂšs lors lâenfant ment. Cela paraĂźt sâappliquer Ă©galement au dĂ©ni de lâĂ©tat de notre rĂ©alitĂ© manipulĂ©e. Notre amour pour nos parents, notre besoin de leur approbation, est souvent transfĂ©rĂ© sur nos pairs, notre
employeur, et lâĂtat. LâidĂ©e de sortir du systĂšme de croyances qui nous donne un sentiment dâappartenance est tout simplement trop effrayante. Elle menace notre sens le plus profond de la sĂ©curitĂ©. La deuxiĂšme sorte de dĂ©ni est le dĂ©ni « interprĂ©tatif ». Ici, les faits bruts concernant quelque chose qui sâest vraiment produit ne sont pas vraiment niĂ©s. Ils sont seulement « interprĂ©tĂ©s ». Si quelquâun de raisonnablement intelligent est mis en face de lâĂ©vidence de certains phĂ©nomĂšnes incompatibles avec le systĂšme de croyances de sa famille, sa culture ou ses pairs, il nây a rien Ă faire dâautre quâinterprĂ©ter, rationaliser pour pouvoir sâen dĂ©barrasser. « Les gaz des marais » et la « PlanĂšte VĂ©nus » donnĂ©s Ă titre dâexplication de phĂ©nomĂšnes OVNI en sont de bons exemples. Un autre exemple est celui de Bill CLINTON : « mais je nâai pas inhalĂ© la fumĂ©e » aprĂšs la dĂ©couverte quâil avait consommĂ© de la marijuana. Puis il y a eu son interprĂ©tation fameuse : « je nâai pas fait lâamour avec Monica ». Je dois admettre que ce dernier type de dĂ©ni est celui qui mâa le plus « rĂ©confortĂ©e ». Je nâai pas pu nier de nombreuses choses Ă©tranges et jâai donc dĂ» travailler trĂšs dur pour crĂ©er des catĂ©gories acceptables oĂč les caser. Certes, mes catĂ©gories Ă©taient plus larges et plus libĂ©rales que celles des personnes ordinaires qui ne sont pas impliquĂ©es dans le genre de travail et de recherche dans lesquels ma façon de penser mâa entraĂźnĂ©e, nĂ©anmoins câĂ©taient des catĂ©gories restrictives. Jâavais tirĂ© une ligne sous « extraterrestres et OVNIs » et pendant de nombreuses annĂ©es, cette ligne est restĂ©e infranchissable. La troisiĂšme sorte de dĂ©ni est qualifiĂ©e par COHEN de dĂ©ni implicatif, oĂč aucune tentative nâest faite pour nier ni les faits ni leur interprĂ©tation conventionnelle; ce qui est
ultimement niĂ© ce sont les implications psychologiques, politiques et morales rĂ©sultant de lâacceptation profonde. Par exemple, lâidĂ©e que lâAmĂ©rique est gouvernĂ©e par un fou qui a des visĂ©es sur la planĂšte entiĂšre est reconnue comme un fait, mais nâest pas vue comme psychologiquement perturbante ou comme appelant impĂ©rativement Ă lâaction. COHEN parle de cinq contextes diffĂ©rents de dĂ©ni psychologique : 1) perception sans prise de conscience, 2) dĂ©fense perceptuelle 3) attention sĂ©lective, 4) erreurs cognitives et 5) erreurs de dĂ©duction. Sa conclusion est que « le discours scientifique passe Ă cĂŽtĂ© du fait que la facultĂ© de nier est un Ă©tonnant phĂ©nomĂšne humain [âŠ] un produit de pure complexitĂ© de notre vie Ă©motionnelle, linguistique, morale et intellectuelle ». Ainsi que lâa Ă©crit mon Ă©poux, Ark [3], la science semble ĂȘtre contrĂŽlĂ©e par lâargent. La plupart du temps, les scientifiques sont obligĂ©s de travailler sur des projets qui sont financĂ©s. Il nây a lĂ rien de terriblement inhabituel, puisque câest la rĂšgle pour tout le monde. Si on ne reçoit pas dâargent en contrepartie de son travail, on meurt de faim, et alors on ne travaille plus du tout. Oui, cela est assez simpliste, mais totalement appropriĂ© au prĂ©sent sujet. Il y a quelques annĂ©es, notre groupe a fait une liste chronologique [4] des projets scientifiques secrets et moins secrets, et de ceux qui y Ă©taient impliquĂ©s. Il en est clairement ressorti que les sciences ont indubitablement Ă©tĂ© utilisĂ©es de maniĂšre trĂšs prĂ©judiciable dans notre monde. Cependant, quand de telles idĂ©es (Ă©tayĂ©es par des donnĂ©es considĂ©rables comme dans notre cas) sont portĂ©es Ă lâattention du public elles sont gĂ©nĂ©ralement rejetĂ©es comme « thĂ©ories de conspiration » indignes dâattention. Alors sâil vous plaĂźt, restez avec moi et appliquons un
peu de logique au problĂšme. La premiĂšre chose Ă considĂ©rer est le fait que le mot « conspiration » provoque une rĂ©action forte en chacun dâentre nous : personne ne veut ĂȘtre Ă©tiquetĂ© « intello comploteur » : cela nâest pas « acceptable »; câest « non-scientifique » ou bien la preuve dâune instabilitĂ© mentale. Pas vrai ? Câest bien ce que vous pensez nâest-ce pas ? Je parie mĂȘme que la simple lecture de ce mot produit des rĂ©actions physiologiques : lĂ©gĂšre accĂ©lĂ©ration du pouls, et peut-ĂȘtre rapide regard jetĂ© autour de vous pour vous assurer que personne ne vous voit seulement lire en silence les mots « thĂ©ories de conspiration ». Vous ĂȘtes-vous jamais demandĂ© pourquoi ce mot provoque instantanĂ©ment des rĂ©actions Ă©motionnelles ? Vous ĂȘtes-vous jamais demandĂ© pourquoi il provoque un tel « recul » ? AprĂšs tout ce nâest quâun mot. Il fait seulement allusion Ă des gens en « haut lieu » pensant Ă des choses et manipulant des gens de maniĂšre Ă obtenir des profits pour eux-mĂȘmes. Tout le monde « sait » que cela se passe tout le temps. Personne ne lĂšverait mĂȘme le sourcil si vous affirmiez que : « tout le monde sait que les politiciens sont corrompus et ne jouent au jeu politique que pour devenir riches ». Mais si vous examinez sĂ©rieusement les implications dâune telle affirmation, alors il vous faudra admettre que câest un rĂ©el problĂšme qui exige de lâaction. Mais aprĂšs cela, que pourrez-vous faire ? Nous voyons ici ce que Cohen a appelĂ© « dĂ©ni implicatif » : il nây a aucune volontĂ© de nier les faits ni leur interprĂ©tation conventionnelle : ce qui est niĂ© en fin de compte ce sont les implications psychologiques, politiques et morales qui suivent la prise de connaissance profonde. Nous pouvons Ă©ventuellement admettre certaines choses en Ă©tat de dĂ©ni implicatif, mais alors nous dĂ©bouchons directement sur le «
dĂ©ni interprĂ©tatif » oĂč les faits bruts montrant que quelque chose est probablement (comme un complot) en train de se produire ne sont pas rĂ©ellement niĂ©s; ils sont seulement interprĂ©tĂ©s ou rationalisĂ©s pour sâen dĂ©barrasser. Il est alors facile de glisser vers le dĂ©ni littĂ©ral : il nây a pas de complot; alors la pĂ©nible vĂ©ritĂ© de notre condition rĂ©elle est allĂ©gĂ©e et nous pouvons retourner Ă nos sitcoms, jeux de ballon et grillades en plein air hebdomadaires. Lâhistorien Richard M. DOLAN a Ă©tudiĂ© aux universitĂ©s de Alfred et dâOxford avant de soumettre sa thĂšse de fin dâĂ©tudes en Histoire Ă lâUniversitĂ© de Rochester oĂč il a obtenu une bourse dâĂ©tudes Rhodes [5]. DOLAN a analysĂ© la stratĂ©gie U.S. de la guerre froide, lâHistoire et la culture soviĂ©tiques, ainsi que la diplomatie internationale. En tant quâexpert, son opinion sur la « thĂ©orie de conspiration » est que, dâun point de vue historique, la seule rĂ©alitĂ© est celle de la conspiration. [6] Le secret, la richesse et lâindĂ©pendance ajoutent au pouvoir. ⊠La duperie est lâĂ©lĂ©ment clĂ© de la guerre (lâinstrument des Ă©lites au pouvoir), et quand la victoire est tout ce qui importe, la morale conventionnelle des gens ordinaires devient un obstacle. Dans notre monde, le secret rĂ©sulte dâun Ă©lĂ©ment omniprĂ©sent et fondamental de la vie : ceux qui se trouvent au sommet de la pile feront toujours tout ce quâils pourront pour conserver le statu quo. Et maintenir le statu quo dans les sciences doit nĂ©cessairement ĂȘtre lâun des objectifs fondamentaux de lâĂlite au Pouvoir. Et comment font-ils ? Par la « culture officielle ». La culture officielle comprise de cette façon, du point de vue des Ă©lites dĂ©sireuses de maintenir le statu quo de leur pouvoir, cela signifie une seule chose : COINTELPRO [7]. Je
ne fais pas allusion ici au programme spĂ©cifique au FBI, mis au point pour contrer le mouvement anti-guerre des annĂ©es 1960-1979, mais bien au concept mĂȘme du programme, et Ă la probabilitĂ© quâil a Ă©tĂ© le moyen de garder les humains sous contrĂŽle depuis sans doute des millĂ©naires. Il y a longtemps que Machiavel a donnĂ© les grandes lignes de ces principes, mais peu de choses ont changĂ© depuis. Le fait est que jâaime bien le nommer « COINTELPRO cosmique » pour faire comprendre quâil sâagit dâun systĂšme quasiment mĂ©canique fonctionnant sur base de la nature psychologique des ĂȘtres humains, dont la majoritĂ© aiment vivre dans le dĂ©ni. AprĂšs tout, « si lâignorance fait le bonheur, alors câest folie que dâĂȘtre sage [8] ». Cela est particuliĂšrement vrai dans le cadre de lâinstinct de survie de lâego. Si la culture officielle affirme quâil nây a pas de troisiĂšme homme dans la piĂšce, et quâelle fonctionne en inculquant des systĂšmes de croyances, alors il est peu probable que le « sujet » sera capable de se rendre compte de la source des phĂ©nomĂšnes. Ce sera toujours un « invisible troisiĂšme homme ». En nous basant sur le modĂšle COINTELPRO des annĂ©es 1970 pour examiner ce qui est sans doute en train de se passer dans notre monde, considĂ©rons le fait quâil a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© que le FBI sâest appuyĂ© sur la crĂ©ation dâorganismes bidon et la diffusion dâidĂ©es bidon pour exercer son contrĂŽle. « Il existe dans notre monde dâaujourdâhui un puissant et dangereux culte secret ». Câest ce quâa Ă©crit Victor MARCHETTI, ex-fonctionnaire supĂ©rieur de la CIA, dans son livre The CIA and the Cult of Intelligence [9]. Câest le premier livre ayant jamais fait lâobjet dâune action en justice de la part du gouvernement des Ătats-Unis avant mĂȘme sa parution. Dans ce livre, MARCHETTI affirme quâune « Cabale » gouverne le monde et
que ses saints hommes sont des professionnels clandestins de la Central Intelligence Agency. Ă notre avis, la CIA nâest quâun des « bras » du culte, tout comme les BĂ©nĂ©dictins nâĂ©taient quâun ordre appartenant Ă lâĂglise catholique. Pour emprunter Ă et paraphraser MARCHETTI : Ce culte est parrainĂ© et protĂ©gĂ© par les plus hauts agents de lâĂ©tat dans le monde. Ses membres comprennent ceux qui sont aux commandes des centres de pouvoir du gouvernement, de lâindustrie, du commerce, de la finance, et de la main dâoeuvre. Ils manipulent les individus dans des domaines oĂč lâinfluence sur le public est importante â y compris le monde universitaire et celui des mass media. Ce culte secret est une fraternitĂ© rĂ©unissant lâaristocratie politique dont les objectifs sont de faire avancer les objectifs politiques de personnes ou dâorganismes inconnus. Ce culte agit Ă couvert et dans lâillĂ©galitĂ©. Lâarme la plus efficace du COINTELPRO et la DĂ©rision et la DĂ©sinformation. Remarquez que MARCHETTI souligne que cela est fait par la manipulation dâindividus dans des domaines oĂč lâinfluence sur le public est dâimportance, y compris le monde universitaire et les mass media. Conclusion : si vous ĂȘtes entrĂ© dans le jeu du consensus Ă©motionnellement manipulĂ© de la « culture officielle » qui affirme quâil nây a aucune conspiration, quâil nây a pas de « troisiĂšme homme dans la piĂšce », il est trĂšs probable que vous ĂȘtes tenu par la peur du ridicule. Vous ĂȘtes en dĂ©ni. Vous avez Ă©tĂ© hypnotisĂ© par les suggestions des saints hommes du culte secret. Et vous avez choisi de les croire eux, de prĂ©fĂ©rence Ă vos propres observations et sens. Pourquoi se fait-il que ceux qui devraient justement sâoccuper de maniĂšre diligente de lâĂ©tude des phĂ©nomĂšnes
OVNI/extraterrestres ne le font pas ? Pourquoi se fait-il que les scientifiques â et en particulier les physiciens et mathĂ©maticiens de bonne et honnĂȘte disposition â semblent ĂȘtre ceux qui rĂ©sistent le plus Ăąprement Ă lâidĂ©e que leur profession pourrait avoir Ă©tĂ© infiltrĂ©e et orientĂ©e par des conspirateurs qui nâont pas Ă coeur les meilleurs intĂ©rĂȘts de lâhumanitĂ© ? Comment se fait-il que les hommes de science â ceux-lĂ mĂȘme vers qui les Ă©lites du pouvoir sont obligĂ©es de se tourner pour obtenir des solutions Ă leur « problĂšmes de pouvoir » â pourraient penser un seul instant, que leur profession est exempte de toute manipulation et gestion conspiratives ? Cela nâest pas logique nâest-ce pas ? En physique, on a trĂšs souvent recours Ă des machines et instruments pour « mesurer ». Afin dâassurer la prĂ©cision des outils mĂȘme les plus dĂ©licats, certains tests permettent de dĂ©tecter toute « erreur de lecture » de lâappareil. Ce que nous voulons suggĂ©rer, câest que la « culture officielle » qui dĂ©cide de ce qui peut et ne peut pas ĂȘtre pris au sĂ©rieux constitue une « erreur de lecture » dĂ©libĂ©rĂ©ment programmĂ©e et introduite dans la « machine » des sciences â notre pensĂ©e elle-mĂȘme; les suggestions de lâhypnotiseur. En lâabsence dâun contexte scientifique historique, les chances sont minces quâun scientifique sincĂšre (qui, sur base de mon expĂ©rience personnelle a en gĂ©nĂ©ral trĂšs peu dâintĂ©rĂȘt pour lâHistoire) soit jamais susceptible de mettre le doigt sur « lâerreur de lecture » dans sa propre machine â son propre mode de pensĂ©e. Il nây a quâun nombre limitĂ© dâheures dans une journĂ©e, un nombre limitĂ© de jours dans une annĂ©e, et un nombre limitĂ© dâannĂ©es dans la vie dâun homme. Le volume dâĂ©tude
nĂ©cessaire Ă la dĂ©couverte des fils dâune « conspiration », oĂč ceux-ci conduisent et dâoĂč ils viennent, est tout bonnement accablant. Je le sais : jâai passĂ© environ trente ans Ă cela. Qui plus est, jâai commencĂ© mes recherches avec le regard du sceptique qui voit la « conspiration » comme le fruit dâune paranoĂŻa; et jâĂ©tais dĂ©terminĂ©e Ă trouver le moyen de dĂ©montrer quâil nây avait pas de conspiration. Je voulais seulement crĂ©er des catĂ©gories oĂč les anomalies pourraient ĂȘtre discutĂ©es de façon rationnelle, dans les limites acceptĂ©es de nos structures sociales et culturelles. Malheureusement, non seulement mon plan a ratĂ©, mais mon hypothĂšse a aussi Ă©tĂ© mise en piĂšces par les faits bruts. Une chose que jâai apprise, câest que trouver ces « faits bruts » est extrĂȘmement difficile et prend un temps fou Et cela est voulu. AprĂšs tout, quelle est la valeur dâune conspiration trop facile Ă dĂ©voiler ? Il est Ă©vident que dans un domaine oĂč les enjeux sont aussi Ă©levĂ©s que des visĂ©es de contrĂŽle global, buts ouvertement poursuivis par le Reich Bush â aprĂšs des annĂ©es et des annĂ©es de « sciences secrĂštes » â si conspirations il y a elles seront gĂ©rĂ©es avec toutes les ressources et tout le poids des Ă©lites qui veulent garder le contrĂŽle. VoilĂ un obstacle formidable. Je voudrais Ă©galement dire que câest moi qui me suis occupĂ©e de rassembler et trier ces donnĂ©es, mais mon mari, mathĂ©maticien et physicien thĂ©oricien, mâa aidĂ©e Ă les analyser. Dâabord il lâa fait pour me donner du coeur Ă lâouvrage. Puis, Ă mesure quâil appliquait ses connaissances en mathĂ©matiques aux divers problĂšmes que je lui soumettais, il sâest mis Ă rĂ©aliser que les sciences peuvent effectivement ĂȘtre appliquĂ©es Ă ces problĂšmes, et quâune fois cela fait, le mĂ©canisme de dĂ©ni est mis Ă nu, et lâon se retrouve devant la conclusion inĂ©vitable que rien nâest comme il semble et ne lâa jamais Ă©tĂ©. Nous
vivons dans un ocĂ©an de mensonges, de dĂ©sinformation, de manipulation, de propagande et dâĂ©crans de fumĂ©e. Dommage que les hommes de science les plus compĂ©tents ne consacrent pas leurs talents Ă la rĂ©solution de ces problĂšmes. Mais câest prĂ©cisĂ©ment ce que le « culte secret » veut Ă©viter Ă tout prix. Et câest prĂ©cisĂ©ment pour cette raison que les opĂ©rations COINTELPRO les plus subtiles et les plus sophistiquĂ©es ont eu pour objets *es hommes de science eux-mĂȘmes. La physique et les mathĂ©matiques sont les professions numero uno Ă avoir Ă©tĂ© utilisĂ©es (historiquement parlant) pour soutenir les Ă©lites au pouvoir. Ce sont elles qui mettent au service de ces Ă©lites leurs « outils de puissance », leurs bombes et leurs technologies de contrĂŽle du mental. Il est logique et Ă©vident que lâĂ©lite au pouvoir ait le plus grand intĂ©rĂȘt Ă ce que lâargent aille seulement aux projets qui : 1) augmenteront leur contrĂŽle (dans ce cas ces projets seront enterrĂ©s et personne ne sera mis au courant); ou bien 2) qui ne menacent pas leur contrĂŽle (dans ce cas nous pouvons supposer quâils subsidient dans le domaine public, des recherches qui mĂšnent loin des sujets importants. Bref, si câest bon pour la popularitĂ© câest subsidiĂ©, câest « Ă la vue de tous », et il est pratiquement garanti que câest malin mais inutile. Maigre consolation. Revenons-en Ă notre contexte. Si nous considĂ©rons comme une hypothĂšse de travail quâil existe bien une puissante Ă©lite dont les intĂ©rĂȘts sont servis par les sciences, et dont lâintĂ©rĂȘt certain est que les sciences du domaine public ne sâapprochent jamais des « sciences secrĂštes », alors nous aurons ajustĂ© les « marges de tolĂ©rance de notre machine » et nous pourrons regarder le problĂšme sous un angle diffĂ©rent.
Mais alors nous nous trouvons devant le problĂšme suivant : que sont alors les « bonnes sciences » ? Une dĂ©finition gĂ©nĂ©rale pourrait ĂȘtre que les bonnes sciences sont celles qui contribuent Ă dĂ©velopper les connaissances au sein de la communautĂ© scientifique dans son ensemble, en mettant Ă sa disposition de meilleures mĂ©thodes pour rĂ©soudre les problĂšmes. Selon cette dĂ©finition, bon nombre de « sciences respectables » ne sont pas de « bonnes sciences ». En fait, si nous nous basons sur notre courte Ă©tude de la « conspiration », nous pourrions mĂȘme penser que les « sciences les plus respectables » sont dĂ©libĂ©rĂ©ment orientĂ©es vers le « malin mais inutile ». Nous pourrions ensuite soupçonner que le meilleur des « bonnes sciences » est dĂ©libĂ©rĂ©ment tournĂ© en ridicule, attaquĂ© ou mĂȘme supprimĂ© dans lâoeuf. Alors nous nous demandons naturellement qui ou quoi est derriĂšre tout cela. En fait, la meilleure rĂ©ponse Ă cette question est donnĂ©e par lâanalyse scientifique. Dans des choses comme le COINTELPRO, les Ă©lĂ©ments dĂ©sorientants dâune psychologie doublement ou triplement inversĂ©e pourraient ĂȘtre triĂ©s par ceux qui sont entraĂźnĂ©s Ă utiliser des constructions mathĂ©matiquement logiques. NĂ©anmoins ce sont ceux-lĂ mĂȘme qui sont rebutĂ©s par cette idĂ©e. Nous pensons que cela est dĂ©libĂ©rĂ©. Pourquoi ? La rĂ©ponse se trouve peut-ĂȘtre dans quelque chose dont a parlĂ© le chercheur et Ă©crivain en OVNIs, Don ECKER : Au cours des quarante derniĂšres annĂ©es de recherches sur les OVNIs, une des questions les plus dĂ©routantes qui ont taraudĂ© les chercheurs est celle-ci: est-ce que le phĂ©nomĂšne OVNI est dangereux pour lâhumanitĂ© ?»
Au fil des ans, il y a eu de nombreux cas oĂč le phĂ©nomĂšne a impliquĂ© la mort dâĂȘtres humains mais, en gĂ©nĂ©ral, la plupart des cas ont Ă©tĂ© officiellement considĂ©rĂ©s comme accidentels. Quand je parle de cas mortels, on suppose gĂ©nĂ©ralement que ce sont des cas oĂč des pilotes militaires ont perdu la vie pendant quâils donnaient la chasse au phĂ©nomĂšne en question. Une des plus cĂ©lĂšbres de ces chasses, qui revient sur le tapis Ă chaque fois que le sujet de dĂ©cĂšs et des OVNIs est mis sur le tapis, est le cĂ©lĂšbre cas « Mantell ». Ce cas est si bien connu que je nâen parlerai pas ici, mais il y en a beaucoup dâautres. Dans un cas moins connu, au milieu des annĂ©es 1950, « lâabsorption » dâun jet militaire dâinterception par un OVNI au dessus de la rĂ©gion des Grands Lacs a Ă©tĂ© observĂ©e au radar. Aucune trace du pilote ni de lâavion nâa jamais Ă©tĂ© retrouvĂ©e. Un autre cas rapportĂ© dans lâexcellent ouvrage « Clear Intent » est celui de « LâIncident du MIG cubain » Dans ce cas, un MIG cubain Ă©tait en train dâĂȘtre suivi au radar quand lâappareil a explosĂ© en lâair. LâopĂ©rateur Ă©tait certain que lâOVNI avait tirĂ© avec une arme, mais Ă part lâexplosion du jet, aucune fumĂ©e, aucune flamme ni aucun autre tir nâavaient Ă©tĂ© observĂ©s. Le thĂšme dâune hostilitĂ© ouverte ou latente de la part des OVNIs a toujours fait lâobjet dâune grande attention de la part des chercheurs sĂ©rieux. Si dâune part il y a hostilitĂ©, alors plusieurs questions se posent. Et dâabord quâest-ce que les pouvoirs publics seraient supposĂ©s dire aux populations ? Le gouvernement est-il Ă mĂȘme de faire face Ă une menace de ce type ? Est-ce que la population est prĂȘte Ă affronter un danger aussi potentiellement terrifiant quâune « menace venue dâailleurs » ? Ă part les incidents ayant impliquĂ© lâarmĂ©e, y a-t-il eu dâautres cas oĂč des civils ont Ă©tĂ© blessĂ©s ou tuĂ©s lors de rencontres avec des OVNIs ? Se pourrait-il vraiment que, dans certains cas ayant fait lâobjet de rapports, des OVNIs et leurs
occupants aient procĂ©dĂ© Ă des rapts dâhumains dans le but de se livrer sur ceux-ci Ă des expĂ©riences de type mĂ©dical ou gĂ©nĂ©tique ? Et si lâun ou lâautre de ces faits est avĂ©rĂ©, alors devant quelles sortes de ramifications la race humaine se trouve-t-elle ? Selon Mr. Phil IMBROGNO, pendant les recherches qui ont abouti Ă lâĂ©criture de « NIGHT SIEGE The Hudson Valley UFO Sightings » par le Dr. J. Allen HYNEK, Philip IMBROGNO et Bob PRATT, en plusieurs occasions HYNEK aurait spĂ©cifiĂ© quâil ne voulait pas quâaucune mention soit faite dans le livre, des dizaines de rapts dâhumains quâils avaient dĂ©jĂ dĂ©couverts Ă lâĂ©poque. HYNEK craignait une contre-publicitĂ© si cet aspect des choses pouvait filtrer dans le public. AprĂšs le dĂ©cĂšs de HYNEK, IMBROGNO a dĂ©clarĂ© publiquement sur Compuserve et dâautres forums publics, que les faits dâenlĂšvements, de mutilations dâanimaux, et mĂȘme plusieurs cas de morts mystĂ©rieuses dâhumains dont il avait Ă©tĂ© fait mention, auraient PU ĂȘtre liĂ©s au phĂ©nomĂšne OVNI. Au cours de mes recherches pour divers rĂ©cits pour OVNI Magazine, jâai interrogĂ© un certain nombre dâĂ©minents ufologues pendant plusieurs mois, et dans chaque cas, la question des dĂ©cĂšs dâhumains, en connexion avec des mutilations dâanimaux, Ă©tait invariablement soulevĂ©e. La plupart des lecteurs qui lisent le prĂ©sent article ont entendu parler de Mr. John KEEL, regardĂ© en gĂ©nĂ©ral comme le plus grand ufologue. Depuis les dĂ©buts de lâufologie moderne, KEEL est une force avec laquelle il faut compter. Auteur de nombreux ouvrages sur les divers aspects de lâufologie, et dâarticles trop nombreux pour pouvoir les mentionner, KEEL a un point de vue trĂšs personnel sur le sujet. DâaprĂšs KEEL, ce phĂ©nomĂšne a toujours fait montre dâune hostilitĂ© inexpliquĂ©e envers les humains, qui a Ă©tĂ© Ă lâorigine de nombreux dĂ©cĂšs
inexpliquĂ©s. Dans ce que de nombreux ufologues considĂšrent comme son meilleur livre, The Mothman Prophecies [10], KEEL a donnĂ© rapport sur rapport de mutilations sur du bĂ©tail, des chiens, des chevaux et des moutons, et a aussi relatĂ© ce qui a Ă©tĂ© appelĂ© les « meurtres vampiriques » de quatre personnes en Yougoslavie, oĂč « les victimes avaient Ă©tĂ© mutilĂ©es et vidĂ©es de leur sang ». AprĂšs avoir parlĂ© avec John FORD, prĂ©sident du Long Island UFO Network, dans le cadre dâun rĂ©cit pour UFO Magazine, jâai Ă©tĂ© encore plus convaincu que lâaspect de lâhostilitĂ© potentielle des OVNIs devrait ĂȘtre investiguĂ©. FORD a parlĂ© dâun nombre incroyable de mutilations animales, de disparitions de personnes, de rapts dâhumains, dâune implication secrĂšte au niveau FĂ©dĂ©ral dans des rĂ©gions oĂč ont eu lieu de nombreuses mutilations dâanimaux et oĂč des hĂ©licoptĂšres de lâarmĂ©e auraient donnĂ© la chasse Ă des OVNIs au-dessus de communautĂ©s civiles. FORD, qui est un fonctionnaire des tribunaux fĂ©dĂ©raux a procĂ©dĂ© Ă des enquĂȘtes sur la disparition de jeunes adultes, pour la plupart, couvrant une pĂ©riode dâun an, dans des rĂ©gions oĂč de nombreux passages dâOVNIs avaient Ă©tĂ© observĂ©s, et aprĂšs avoir demandĂ© Ă plusieurs de ses amis personnels, membres de la police dans plusieurs de ces zones, dâĂ©valuer la situation, il est arrivĂ© Ă la conclusion que les faits ont Ă©tĂ© Ă©touffĂ©s. La raison donnĂ©e Ă©tait quâil « nâĂ©tait pas nĂ©cessaire dâinquiĂ©ter la population ». Bien quâil nâexiste pas de preuves « en bĂ©ton » dâinterventions directes dâOVNIs, les circonstances nâen demeurent pas moins extrĂȘmement suspectes. Ayant grandi Ă une Ă©poque oĂč la race humaine tout entiĂšre peut ĂȘtre dĂ©cimĂ©e par les armes nuclĂ©aires, biologiques ou chimiques, les humains parviennent malgrĂ© tout Ă survivre. Jâai vu plus de gens paniquĂ©s Ă lâidĂ©e dâune pĂ©nurie de
carburant quâĂ celle dâun holocauste nuclĂ©aire; et malgrĂ© cela, quand vient sur le tapis le sujet des OVNIs, le gouvernement a peur de semer la panique. DĂšs lors, je me demande vraiment ce quâils savent eux et que je devrais savoir moi. Je ne pense pas quâils se dĂ©cideront bientĂŽt Ă parler Ă qui que ce soit. [âŠ] Dans un rĂ©cent numĂ©ro de UFO Magazine, jâai donnĂ© une mise Ă jour de lâenquĂȘte sur ce qui paraĂźt ĂȘtre de nouvelles mutilations dâĂȘtres humains. Au cours de la confĂ©rence Omega prĂ©sidĂ©e en novembre 1989 par John WHITE, Whitley STRIEBER a sĂ©vĂšrement blĂąmĂ© UFO Magazine pour avoir publiĂ© mon histoire sur les mutilations dâhumains, dans le Vol. 4 NumĂ©ro 3. Dans cet article jâai relatĂ© les rĂ©sultats dâune enquĂȘte que jâavais menĂ©e sur ce qui paraissait ĂȘtre une sĂ©rie de dĂ©cĂšs dâhumains, qui ressemblaient trĂšs fort aux mutilations sur des animaux. Jây ai aussi ajoutĂ© un rapport fait par Wm. « Bill » KNELL de la Long Island Skywatch organization. KNELL avait fait des recherches sur un nombre dĂ©mesurĂ© de disparitions dâenfants dans la province de Westchester. DâaprĂšs STRIEBER, il avait reçu des «centaines» âappels tĂ©lĂ©phoniques de citoyens prĂ©occupĂ©s par cette histoire (cela est dĂ©jĂ suspect en soi, comme le saura toute personne ayant tentĂ© de joindre STRIEBER au tĂ©lĂ©phone. STRIEBER dispose dâun service de rĂ©pondeur ou dâun secrĂ©tariat qui filtre tous les appels et prend les messages, aprĂšs quoi WHITLEY dĂ©cide Ă qui il acceptera de parler). Mais je mâĂ©gare. KNELL dispose de nombreux contacts dans la police, et il a pu vĂ©rifier quâil nây avait pas eu de contacts de la part de WHITLEY (on peut supposer que ce qui a vraiment fait mousser WHITLEY câest la maniĂšre dont la presse Ă©crite a fustigĂ© son Communion, et ses rĂ©cents ouvrages comme par exemple Majestic. Il a affirmĂ© que tous les journalistes Ă©taient des « prostituĂ©s »).
Pour KNELL, les officiers de la police de lâĂtat de New York, et ceux de la police de lâĂtat du Connecticut, les chiffres rapportĂ©s nâĂ©taient absolument pas exacts, mais lâĂ©vĂ©nement le plus Ă©trange a Ă©tĂ© que KNELL a reçu une demande dâun assistant enquĂȘteur mĂ©dical de la province de Westchester. Cet assistant-enquĂȘteur mĂ©dical voulait savoir tout ce que KNELL savait sur les humains qui avaient Ă©tĂ© mutilĂ©s. Quand KNELL voulut donner suite, il apparut que 3 morgues (2 dans lâĂtat de New York, 1 au Connecticut) avaient Ă©tĂ© « visitĂ©es » au milieu de la nuit. Des cadavres humains rĂ©cemment apportĂ©s avaient Ă©tĂ© mutilĂ©s par ablation du visage, des organes gĂ©nitaux, des yeux, de parties dâestomac, du rectum, de la thyroĂŻde, etc. Les morgues reçurent immĂ©diatement la visite de la police, mais aucun employĂ© ne put ĂȘtre soupçonnĂ©. Les Ă©quipes Ă©taient rĂ©duites Ă ces heures de la nuit et les Ă©vĂ©nements sâĂ©taient produits dans des rĂ©gions Ă©loignĂ©es les unes des autres. Grande Ă©trangetĂ© en vĂ©ritĂ©. DâaprĂšs lâassistant-enquĂȘteur mĂ©dical, les incidents avaient immĂ©diatement Ă©tĂ© dissimulĂ©s aux mĂ©dias et au public. Plus que probablement parce quâil nây avait aucune explication, et que ces incidents ne pourraient sans doute jamais ĂȘtre Ă©lucidĂ©s. Conjointement, il y eut aussi des mutilations dâanimaux dans lâtat de New York et dans le Connecticut, et ici non plus aucune solution ne put ĂȘtre proposĂ©e. Lâexplication par le satanique fut examinĂ©e, mais dâaprĂšs le rapporteur elle ne tenait pas la route. Charles FORT, dĂ©jĂ mentionnĂ© plus haut, Ă©tait un collectionneur obsĂ©dĂ© par les Ă©vĂ©nements anormaux. FORT a visitĂ© les principales bibliothĂšques mĂ©tropolitaines de son temps, pour y lire tous les journaux scientifiques rĂ©cents, Ă la recherche « de donnĂ©es maudites ». « Les donnĂ©es maudites » comprenaient les
phĂ©nomĂšnes et expĂ©riences Ă©tranges comme des objets bizarres tombant du ciel, des choses Ă©tranges observĂ©es dans les cieux, et des disparitions mystĂ©rieuses. Fort nâĂ©tait pas seulement critique des efforts faits par les sciences pour expliquer notre rĂ©alitĂ©, mais il les tenait aussi en mĂ©pris. Il se moquait allĂšgrement et Ă©normĂ©ment des astronomes, mĂ©tĂ©orologues et autres scientifiques qui sâefforçaient de nier ou dâexpliquer nâimporte comment ce quâils ne pouvaient ni comprendre ni expliquer. Ses notes ont Ă©tĂ© publiĂ©es sous le titre The Book of the Damned [11]. FORT a fait remarquer que ce quâil pouvait conclure de toutes ses recherches Ă©tait que la Terre Ă©tait « possĂ©dĂ©e » par certains ĂȘtres que nous ne pouvions ni voir ni apprĂ©hender. Il a dit : Je crois que nous sommes la propriĂ©tĂ© [de quelquâun ou quelque chose].
NOTES
[1]: Voyez (NdT) [2]: Cambridge : Polity Press; Malden, MA : Blackwell Publishers, 2001 (Ătats de dĂ©ni, conscience des atrocitĂ©s et des souffrances) [3]: Arkadiusz JADCZYK, physicien thĂ©oricien et mathĂ©maticien, expert de renommĂ©e mondiale en physique hyperdimensionnelle. [4]: http://www.cassiopaea.org/cass/timeline.htm [5]: Bourse dâĂ©tudes permettant de poursuivre des Ă©tudes Ă lâUniversitĂ© dâOxford en Angleterre. FondĂ©e en 1902 Ă la mort de Cecil RHODES (NdT) [6]: Richard DOLAN, UFOs and the National Security State, Hampton Roads, second edition, 2002. [7]: Counter Intelligence Program [8]: Thomas GRAY : if ignorance is bliss, âtis folly to be wise (NdT) [9]: La CIA et le culte du renseignement (NdT) [10]: (Lâhomme-bombyx â NdT) E. P. DUTTON & Co., Inc. 1975 [11]: Le Livre des DamnĂ©s (NdT)
CHAPITRE X
Ă prĂ©sent, je voudrais aborder un des aspects les plus troublants du problĂšme OVNI/ extraterrestres, et que nous nâavons fait quâeffleurer : quâest-ce que cela signifie par rapport Ă la religion ? Ma rĂ©ponse est que ce ne sont pas seulement les sciences qui ont Ă©tĂ© affectĂ©es par le COINTELPRO, mais aussi notre expĂ©rience culturelle dans sa totalitĂ©, qui a Ă©tĂ© façonnĂ©e pendant des millĂ©naires par la religion. De nos jours, devant lâampleur de lâĂ©change dâinformations relatives aux apparitions anormales de ce qui est maintenant nommĂ© « OVNIs » et « extraterrestres », nous constatons quâune autre forme de dĂ©sinformation a conclu que JĂ©sus Ă©tait un « astronaute intersidĂ©ral ». Oui, JĂ©sus est un extraterrestre. Le Dr. Vyatcheslav SAITSEV de lâUniversitĂ© de Minsk a affirmĂ© que JĂ©sus venait de lâespace intersidĂ©ral. Son idĂ©e est que JĂ©sus est un reprĂ©sentant dâune civilisation supĂ©rieure et que câest ce qui explique ses pouvoirs surnaturels. Il Ă©crit : « Autrement dit, la descente de Dieu sur la Terre est rĂ©ellement un Ă©vĂ©nement cosmique ». Il nâest peut-ĂȘtre pas si fou que ça. Mais au vu des efforts faits par le COINTELPRO pour cacher, distraire, dĂ©sinformer, la question qui se pose est : de quel Dieu sâagit-il? De nos jours nous assistons Ă une vĂ©ritable frĂ©nĂ©sie de publication de livres supposĂ©s rĂ©vĂ©ler « les plus grands secrets » de tous les temps. Tous semblent suivre la mĂȘme tendance :
ils sâappuient sur une certaine « dĂ©rive » des mystĂšres prĂ©sentĂ©s par les secrets dâĂgypte, les technologies et les religions. Cette tendance est le thĂšme du livre de Lynn PICKNETT et Clive PRINCE, The Stargate Conspiracy [1], une synthĂšse bien utile au novice dĂ©sireux de comprendre, au moins de façon rudimentaire, le fait quâil se passe en vĂ©ritĂ© quelque chose de trĂšs mystĂ©rieux sur la planĂšte et que ce quelque chose a pour but de former les idĂ©es de lâhumanitĂ© par lâintermĂ©diaire de livres, de films, et autres moyens culturels. PICKNETT et PRINCE pensent que le thĂšme central de la conspiration est la « manipulation des croyances au sujet des origines et de lâHistoire de la civilisation de lâHomme, et en particulier les croyances concernant lâexistence dâune civilisation avancĂ©e dans un lointain passĂ© et son influence sur les premiĂšres civilisations historiquement connues, Ă commencer par celle de lâĂgypte ». Ce que PICKNETT et PRINCE manquent de noter câest que les croyances au sujet des origines et de lâhistoire des civilisations humaines ont Ă©tĂ© manipulĂ©es pendant des millĂ©naires afin de garder les humains dans le noir. Quiconque douterait que cela est fait tout Ă fait consciemment et dĂ©libĂ©rĂ©ment devrait lire les quelques remarques qui suivent, faites par Publius Cornelius TACITUS (TACITE) Ă propos de la domination de Rome en (Grande-) Bretagne : XXI. 1. Vint lâhiver, qui fut entiĂšrement consacrĂ© Ă la mise en oeuvre dâinitiatives trĂšs salutaires pour des gens dissĂ©minĂ©s et incultes et dâautant plus portĂ©s Ă faire la guerre. Agricola voulait les habituer Ă vivre paisiblement et Ă occuper agrĂ©ablement le temps libre. Il les y invita individuellement. Il aida les collectivitĂ©s Ă Ă©difier des temples, Ă amĂ©nager des places publiques, Ă construire de vraies maisons. Il fĂ©licita les plus entreprenants et sâen prit aux rĂ©calcitrants. Ainsi le dĂ©sir
de se faire mieux voir que les autres tint lieu de contrainte. 2. De plus, il fit initier les enfants des notables aux arts libĂ©raux et prĂ©fĂ©ra aux acquis culturels des Gaulois les dispositions naturelles des Bretons : eux qui naguĂšre mĂ©prisaient notre langue, ne dĂ©siraient-ils pas maintenant, Ă tout prix, la parler couramment ? 3. Par la suite, il fut bien vu de sâhabiller comme nous et beaucoup adoptĂšrent la toge. Peu Ă peu, les Bretons se laissĂšrent aller Ă lâattrait des vices Ă dĂ©couvrir sous les portiques, aux thermes, et dans le raffinement des festins. LâinexpĂ©rience leur fit appeler civilisation ce qui amputait leur libertĂ©. [2] Si quelquâun pense que cette sorte de manipulation ne sâest pas poursuivie jusquâĂ nos jours, je suggĂšre une analyse approfondie de certaines pĂ©riodes historiques oĂč de « grands progrĂšs » se sont manifestĂ©s, y compris les Ă©crits personnels des individus concernĂ©s. Il est trĂšs rĂ©vĂ©lateur de dĂ©couvrir quâune grande « idĂ©e » nous a Ă©tĂ© imposĂ©e simplement parce que le point de vue alternatif, qui Ă©tait soutenu cependant par davantage de preuves, nâĂ©tait pas utile aux visĂ©es de contrĂŽle des autoritĂ©s. Ce qui est en train de se produire Ă notre Ă©poque de lâHistoire, au travers de ce quâon doit bien appeler le « ravivement religieux » (en ce compris le mouvement New Age avec sa sous-spĂ©cialisation en OVNIs et extraterrestres), est ce que le jargon du renseignement nomme, « dommages contrĂŽlĂ©s », une vaste opĂ©ration COINTELPRO contre la rĂ©vĂ©lation de la VĂ©ritĂ© dans son juste contexte. Partout, dans tous les domaines dâĂ©tudes scientifiques, des dĂ©couvertes sont faites, qui contredisent ce quâon nous a appris Ă croire Ă propos de notre monde, de notre Histoire, des religions et des origines. La seule maniĂšre dont le Culte Secret qui contrĂŽle le monde peut empĂȘcher lâĂ©mergence de la vĂ©ritĂ© dans tant de domaines, est
de fournir un trĂšs puissant effort concertĂ© pour orienter ces dĂ©couvertes vers un contexte qui puisse continuer Ă servir les ambitions de la Matrice du SystĂšme de ContrĂŽle. PICKNETT et PRINCE ont judicieusement fait remarquer que « lâHistoire alternative » proposĂ©e par la floppĂ©e actuelle de livres, gourous, ateliers et symposia commerciaux New Age, fait usage dâidĂ©es et concepts tirant leur origine du « monde occulte ». Malheureusement, ils ne distinguent pas que ce qui est « occultĂ© » existe en deux « arĂŽmes » : « vĂ©ritable », et « de plus en plus astucieusement mensonger ». Depuis plusieurs annĂ©es, nous sommes littĂ©ralement noyĂ©s sous des raz-de-marĂ©e de livres traitant des anciens mystĂšres qui ont fascinĂ© le monde. Les plus largement diffusĂ©s de ces livres sont ceux dâauteurs comme Henry LINCOLN, Graham HANCOCK, Robert BAUVAL, John Anthony WEST, Robert TEMPLE, Laurence GARDINER, et des « figurants » trop nombreux pour les mentionner. PICKNETT et PRINCE notent astucieusement que ces Ă©crivains ne sont peut-ĂȘtre pas conscients de leur participation au systĂšme des « Dommages ContrĂŽlĂ©s », mais quâils sont indubitablement abondamment fournis en « grain Ă moudre » par une opĂ©ration massive de dissimulation â sorte de « jeu de gobelets » de la rĂ©alitĂ©, avec des mouvements si habiles quâĂ moins que le lecteur ne comprenne dĂšs le dĂ©part que la main est plus rapide que lâoeil, il sera bernĂ© au moyen de vĂ©ritĂ©s flagrantes et, quand le mensonge sera introduit, ce mĂȘme lecteur lâavalera sans broncher, nâayant pas remarquĂ© que câest un mensonge. Et ne vous y trompez pas : ces mensonges sont intentionnellement distillĂ©s comme le poison mortel : lents Ă agir mais Ă cent pourcent lĂ©taux. PICKNETT et PRINCE ont raison de dire que la majeure partie des matĂ©riaux New Age reçus en channeling,
prĂ©tendument occultes ou mĂ©diumniques, ne sont que malveillance pure, cette conspiration Ă©tant en partie destinĂ©e Ă dissimuler les Ă©checs dans les anciens systĂšmes de croyances. Mais ils ont tort de croire que le systĂšme en place et les croyances qui ont Ă©tĂ© diffusĂ©es parmi lâhumanitĂ© pendant des millĂ©naires sont les rĂ©sultats bienveillants dâune Ă©volution humaine naturelle, ou bien dâun bienveillant omniscient Dieu qui tient Ă coeur nos meilleurs intĂ©rĂȘts. En fait, PICKNETT et PRINCE ne semblent mĂȘme pas remarquer que lâactuelle Matrice de croyances est en train de tomber en morceaux et que câest cela mĂȘme qui a rendues nĂ©cessaires cette corruption et cette perversion de la vĂ©ritĂ©. Si lâancien systĂšme nâĂ©tait pas en train de sâĂ©crouler, il ne serait pas nĂ©cessaire de mettre en place un nouveau. PICKNETT et PRINCE reculent dâhorreur devant la Conspiration quâils ont dĂ©voilĂ©e, mais ils ne rĂ©alisent pas que le vieux systĂšme est exactement le mĂȘme et quâils ont succombĂ© Ă la plus vieille des tactiques machiavĂ©liques : crĂ©er un ennemi en faisant de lâadversaire un dĂ©mon, puis faire sa propre entrĂ©e en tant que sauveur et faire ensuite exactement tout ce que lâadversaire a Ă©tĂ© accusĂ© dâavoir lâintention de faire. P & P ne semblent pas avoir pleine conscience de la nature subtile de la tactique de dĂ©sinformation, ni du fait quâelle a Ă©tĂ© utilisĂ©e, ĂŽ combien intelligemment, tout au long des millĂ©naires, pour livrer des mensonges emballĂ©s dans de la vĂ©ritĂ©. Le nouveau patron est le portrait crachĂ© de lâancien. Si nous leur accordons le bĂ©nĂ©fice du doute, nous pouvons comprendre la position de P & P. Câest une chose que de poursuivre les thĂ©ories de conspiration, de les trouver, de penser quâil y a des gens bien mauvais sur la Belle PlanĂšte Bleue. Câen est une autre que de rĂ©aliser, aprĂšs avoir donnĂ© la chasse Ă ces thĂ©ories, quâelles ne sont en fait que diverses
parties dâun mĂȘme Ă©lĂ©phant et que la crĂ©ature est ĂągĂ©e de plusieurs milliers dâannĂ©es. Quand cette vĂ©ritĂ© vous saute Ă la figure, ou bien vous vous encourez en criant que ce nâest pas vrai, ou bien vous reculez pour voir le grand tableau dans son ensemble, le tableau global et millĂ©naire, et alors vous constatez quâil y a quelque part un oignon qui pue horriblement. ArrivĂ© lĂ , vous rĂ©alisez quâune telle conspiration nâa pas pu ĂȘtre mise au point ni soutenue par des ĂȘtre humains, du moins pas par eux tout seuls. Alors il faut passer au plus difficile de tout : se demander qui ou quoi est derriĂšre tout cela. Vous Ă©tant posĂ© cette question, vous rĂ©alisez quâil vous est tout simplement impossible de rĂ©pondre, Ă moins dâouvrir votre esprit Ă toute une constellation de possibilitĂ©s que jamais, au grand jamais, mĂȘme dans vos rĂȘves les plus fous, vous nâauriez pu prendre en considĂ©ration. Puis, si vous travaillez trĂšs, trĂšs dur, vous pourrez peut-ĂȘtre dĂ©couvrir la « vĂ©ritĂ© » quâeux veulent que vous croyiez. Mais si vous continuez Ă travailler trĂšs, trĂšs dur et que vous ĂȘtes trĂšs, trĂšs chanceux, vous rĂ©aliserez que vous avez besoin dâaide, et vous vous mettrez Ă la recherche de cette aide en ayant acquis la certitude quâune telle aide peut exister, quâelle existe en fait, mais quâelle nâest gĂ©nĂ©ralement pas accessible parce que nous sommes trop facilement dupĂ©s et manipulĂ©s. Alors vous pourrez peut-ĂȘtre commencer Ă apprendre les rĂšgles de la communication avec des esprits plus Ă©levĂ©s que le vĂŽtre. ArrivĂ© lĂ , en adoptant cette approche, il y a quelquâespoir de parvenir Ă mettre de lâordre dans le chaos. Mais cela nâest pas facile, et ne peut pas ĂȘtre facile. Si câĂ©tait facile, cela aurait Ă©tĂ© fait il y a des centaines ou mĂȘme des milliers dâannĂ©es, et le monde ne serait pas dans lâĂ©tat oĂč il est actuellement. Pour en revenir Ă la campagne de dĂ©sinformation
orchestrĂ©e par le Culte Secret, mĂȘme sâil est exact que ses objectifs sont nĂ©gatifs pour lâhumanitĂ©, il est vraisemblable que ces objectifs nĂ©gatifs sont emballĂ©s dans plusieurs couches de vĂ©ritĂ©s sur lâhumanitĂ© et son Histoire et ce pour une bonne raison. Et P & P sont passĂ©s Ă cĂŽtĂ©. Le fait est que, si bon nombre des idĂ©es et enseignements rĂ©pandus par ces groupes Ă propos de lâHistoire de lâhumanitĂ© sont avĂ©rĂ©s, alors il leur sera bien facile dâaffirmer que sâils ont raison sur ces choses alors ils ont Ă©galement raison dans leurs visĂ©es politiques, sociales et Ă©conomiques. Et voilĂ comment fonctionne une bonne dĂ©sinformation bien efficace. En suivant cette mĂȘme ligne, sâil est prouvĂ© que P & P ont tort dans leurs dĂ©clarations Ă lâencontre de lâhistoire alternative proposĂ©e par les conspirateurs, alors leurs affirmations selon lesquelles il y a bien conspiration seront ignorĂ©es. Et cela serait une terrible erreur. Des synarchies ont Ă©tĂ© impliquĂ©es dans des actions terroristes annonçant la deuxiĂšme guerre mondiale. Pendant les annĂ©es qui ont prĂ©cĂ©dĂ© la prise de pouvoir par Nazis en Allemagne, un Français du nom de Vivian POSTEL DU MAS a Ă©crit un document cĂ©lĂšbre : Le Pacte Synarchiste, devenu leur manifeste. En 1932 a Ă©tĂ© fondĂ©e en France une sociĂ©tĂ© appelĂ©e Mouvement de lâEmpire Synarchiste dĂ©crite comme une « sociĂ©tĂ© secrĂšte ayant un nombre trĂšs limitĂ© dâadhĂ©rents triĂ©s sur le volet dâaprĂšs un programme politico-Ă©conomique dĂ©fini ». P & P ont dĂ©couvert que ce groupe se cachait derriĂšre des bandes de terroristes de droite tel le CSAR (Secret Committee for Revolutionary Action), et que la plupart des membres du CSAR faisaient Ă©galement partie du Mouvement de lâEmpire Synarchiste. En 1941, un rapport de police concernant la France de VICHY mettait Ă jour un complot synarchiste visant Ă sâemparer du gouvernement et soulignait les liens Ă©troits entre le mouvement
synarchiste et les ordres martinistes. Il semble quâaprĂšs la deuxiĂšme guerre mondiale ces synarchistes soient devenus encore plus clandestins pour pouvoir travailler Ă leur Plan B, puisque le Plan A (les visĂ©es de Hitler) nâavait pas rĂ©ussi. Plus rĂ©cemment, des groupes synarchistes ont montrĂ© la tĂȘte en Europe et en Grande Bretagne ; et ceci dĂ©bouche sur une dĂ©couverte majeure de P & P : le lien entre RenĂ©. A. SCHWALLER DE LUBICZ et le mouvement synarchiste. Pour paraphraser PICKNETT et PRINCE : Ătant donnĂ© la nature de la synarchie, nous aurions pu ne jamais connaĂźtre le nom dâaucun dâentre eux, mĂȘme des plus puissants. Il se fait cependant que nous en savons beaucoup sur lâun dâentre eux : RenĂ© A. SCHWALLER DE LUBICZ. Il est curieux que SCHWALLER DE LUBICZ soit devenu le « parrain » de lâĂgyptologie alternative, encore que bien peu sans doute aient lu ses ouvrages in extenso. Ses idĂ©es nous sont parvenues principalement par le biais des ouvrages de Graham HANCOCK, Robert BAUVAL et, bien sĂ»r, de John Anthony WEST, dont tous ont exprimĂ© leur admiration pour ce savant personnage. Ils en parlent comme dâun philosophe ou dâun mathĂ©maticien. Mais pour nous, ce qui est intĂ©ressant câest que, si SCHWALLER DE LUBICZ Ă©tait bien tout cela, ils ne lâont cependant jamais qualifiĂ© dâoccultiste, ce quâil Ă©tait ; et ils ne lâont jamais qualifiĂ© de synarchiste, ce quâil Ă©tait aussi. Dâabord figure dominante au sein de la SociĂ©tĂ© ThĂ©osophique de Paris, il sâen est ensuite Ă©loignĂ© pour fonder sa propre sociĂ©tĂ© occulte, Les Veilleurs, spĂ©cifiquement destinĂ©e Ă vĂ©hiculer ses idĂ©es Ă©sotĂ©riques dans lâarĂšne politique. Il nâest sans doute pas surprenant de dĂ©couvrir quâil a Ă©tĂ© dĂ©crit comme un « protofasciste ». Il sâest mĂȘme flattĂ© dâavoir dessinĂ© lâuniforme des membres du Sturmabteilung (la
SA) : les « chemises brunes » des SA de HITLER. Bien que cela ne soit pas absolument certain, il nâen reste pas moins que SCHWALLER DE LUBICZ nâa rien fait pour le dĂ©mentir. Un des « Veilleurs » de SCHWALLER DE LUBICZ Ă©tait Vivien POSTEL DU MAS, lâhomme qui avait Ă©crit le Pacte Synarchiste dans les annĂ©es 1930. Par lâintermĂ©diaire de DU MAS, SCHWALLER DE LUBICZ a exercĂ© une influence particuliĂšre sur un des lieutenants de HITLER, le tourmentĂ© et complexĂ© Rudolf HESSE. SCHWALLER DE LUBICZ Ă©tait anti-sĂ©mite et raciste ; et tout comme les Nazis, il pensait que les femmes Ă©taient infĂ©rieures aux hommes. Il enseignait par exemple, que les femmes Ă©taient incapables de comprendre lâHermetica. Tout cela est important, parce quâil est impossible de sĂ©parer les idĂ©es politiques et synarchistes de SCHWALLER DE LUBICZ de ses ouvrages dâĂ©gyptologie admirĂ©s par certains auteurs. Dans lâunivers de la formation culturelle nous voyons Ă lâoeuvre dans « LâĂnigme SacrĂ©e » [3] des gens qui sâaffairent Ă mettre en place une « lignĂ©e divine ». Cette affaire a encore fait sensation en 2004 avec le roman de Dan BROWN The DaVinci Code, qui emmĂšne la programmation culturelle sur un autre plan encore. Cette idĂ©e est complĂ©tĂ©e par les travaux de Laurence GARDINER qui a reliĂ© la lignĂ©e du Saint-Graal Ă des extraterrestres reptiliens. En mĂȘme temps, nous voyons sur toute la planĂšte une armĂ©e de « vrais croyants » qui prĂȘchent lâĂ©vangile de ces charmants et aimables Gris, et du Seigneur reptilien qui nous aime tant et nâa jamais rien fait dâautre Ă lâhumanitĂ© que de lui enseigner comment devenir civilisĂ©e. Comme je lâai Ă©crit dans mon analyse de la Bible qui se trouve sur notre website et dans mon Histoire SecrĂšte du Monde â un fil dâAriane [4], il semble bien que ceux qui ont Ă©crit lâAncien Testament et le Nouveau Testament nâont pas pu
Ă©touffer les traditions orales des peuples. Mais ils les ont utilisĂ©es dâune maniĂšre trĂšs particuliĂšre. Lorsque nous avons conscience de la maniĂšre dont lâHistoire peut ĂȘtre mythifiĂ©e puis historicisĂ©e (et toutes les combinaisons possibles de ces deux choses), nous pouvons regarder les Ăcritures dâun oeil nouveau. Nous pouvons supposer quâil y a eu une personne rĂ©elle autour de laquelle la lĂ©gende de JĂ©sus (lâhistoire mythifiĂ©e) a Ă©tĂ© drapĂ©e. Nous pouvons supposer quâil a enseignĂ© quelque chose dâimportant et spectaculaire pour avoir eu un tel impact. Nous pouvons aussi supposer que cet « impact » a dâabord Ă©tĂ© considĂ©rĂ© comme trĂšs dangereux, mais que par la suite, aprĂšs que de nombreuses « prĂ©cisions » et « interprĂ©tations » eurent Ă©tĂ© introduites, il a Ă©tĂ© considĂ©rĂ© que la popularitĂ© croissante du mythe et de la personne de JĂ©sus pouvait ĂȘtre mise Ă profit (grĂące Ă la mise en place de critĂšres appropriĂ©s pour ce qui devait ĂȘtre considĂ©rĂ© comme « saintes Ă©critures ») pour en faire la piĂšce maĂźtresse dâun systĂšme de contrĂŽle. Il semble quâĂ moultes reprises ce qui Ă©tait positif a Ă©tĂ© dĂ©formĂ© et retournĂ©. Ce qui dĂ©coule dâune large Ă©tude historique, câest lâidĂ©e que tout ce que « JĂ©sus » a rĂ©ellement pu faire et dire a trĂšs certainement Ă©tĂ© dĂ©formĂ©, corrompu, et lâattention a Ă©tĂ© dĂ©tournĂ©e des points importants. Autrement dit, la Bible telle que nous la connaissons dans ses diverses parties, a Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©e « sainte et infaillible » afin de pouvoir justifier toutes les manoeuvres politiques. Si nous considĂ©rons la crĂ©ation de la Bible Ă lâorigine, nous ne trouvons rien au sujet de « Lâesprit Saint ». Câest un fait avĂ©rĂ©. Et un tas de gens qui sont dans le « business » religieux le savent. Quoi quâil en soit, de nos jours les choses sont dans un Ă©tat Ă©tonnant : nos institutions dâenseignement supĂ©rieur disposent en gĂ©nĂ©ral dâun subside spĂ©cial pour lâenseignement
de la thĂ©ologie, enseignement financĂ© par le contribuable, quâil soit chrĂ©tien ou juif ou autre ! On suppose que les Ă©tudiants qui Ă©tudient la thĂ©ologie ont aussi dâautres sujets Ă Ă©tudier : mathĂ©matiques, langues, sciences, etc. La question est dĂšs lors : quelle Ă©trange aberration, quelle incomprĂ©hensible corruption y a-t-il dans la tĂȘte des humains pour quâils en soient venus Ă sĂ©parer si complĂštement leurs connaissances acadĂ©miques de ce quâils entendent prĂȘchĂ© du haut de la « chaire de vĂ©ritĂ© » ? Quelle sorte de lavage de cerveau peut effacer si efficacement les faits les plus simples ? Comment cela se produit-il ? Il est littĂ©ralement ahurissant pour un humain logique et intelligent que le conte de fĂ©es de la Bible â considĂ©rĂ©e comme Parole de Dieu â ait pu durer si longtemps. Il nây a rien de comparable dans les quelque sept mille annĂ©es dâHistoire de lâhomme dont nous avons conscience. Appeler cela un « paquet de mensonges » est peut-ĂȘtre un peu dur, mais il est de plus en plus Ă©vident quâils on Ă©tĂ© mis en place intentionnellement pour nous Ă©garer. Et dans ce cas, comment allons-nous appeler cela ? Que pensez-vous de COINTELPRO ? Lorsquâon se livre Ă des recherches dans le domaine des religions, on tombe toujours sur des prophĂ©ties et des miracles. Il semble que ceux qui doivent ĂȘtre maintenus dans la crainte du Seigneur ont besoin dâun signe non Ă©quivoque de temps en temps. Miracles et visions peuvent faire marcher des armĂ©es entiĂšres. Pensons au cri de guerre « Allah est grand ! » Et au sang salvateur du Christ qui Ă©tait Ă©levĂ© comme un bouclier contre les Sarrasins. Pensons aussi Ă YahvĂ© qui avait lâintention « dâanĂ©antir » quiconque ne suivrait pas JosuĂ© et sa bande. On trouve de telles « visions » dans notre passĂ© le plus
lointain. Vers 5 000 avant lâĂšre chrĂ©tienne, il est dit que la divine Ishtar est apparue Ă Enme-Kar, le gouverneur de Ourouk, pour lui dire de renverser la citĂ© de Aratta. Mais pour le moment, nous nous occuperons surtout des visions dans le contexte de la Bible, puisque câest la Bible qui soutient les croyances dâun nombre Ă©crasant dâĂȘtres humains sur la planĂšte Terre de nos jours, mais aussi les formes « revisitĂ©es » du Mouvement New Age et Potentiel Humain, et tout particuliĂšrement George BUSH et sa Bande. Rien que cela devrait nous faire regarder en quelle compagnie nous sommes ! En outre, lorsque nous prenons du recul par rapport Ă la situation, nous constatons que les prophĂ©ties sont au centre de la tradition judĂ©o-christiano-islamique. Les prophĂštes de ces religions ont prĂ©tendu ĂȘtre en contact direct avec le CrĂ©ateur de lâUnivers, et ce crĂ©ateur paraĂźt avoir Ă©tĂ© bien « personnel », en ce sens quâil avait des caractĂ©ristiques personnelles, des caprices, des goĂ»ts et des dĂ©goĂ»ts. Ses prophĂštes sont, naturellement, des messagers privilĂ©giĂ©s, qui ont reçu ses rĂ©vĂ©lations divines, et ces rĂ©vĂ©lations divisent lâhumanitĂ© en ceux qui y croient et ceux qui nây croient pas. Il va de soi que ceux qui nây croient pas seront damnĂ©s ; cela dĂ©pend de qui a le dessus. La religion chrĂ©tienne et ses rejetons New Age, est celle qui a proposĂ© le plus grand nombre de scĂ©narios de Fin du Monde desquels nous sommes devenus familiers. Les scĂ©narios de Fin des Temps sont le plus souvent tirĂ©s dâĂ©crits apocalyptiques, eschatologiques, des Ancien et Nouveau Testaments. Câest dans le dernier livre, Les RĂ©vĂ©lations, que sont censĂ©es ĂȘtre dĂ©peintes les reprĂ©sentations les plus frappantes et symboliques de la fin du monde. Câest un ouvrage difficile Ă comprendre. Dans toute lâHistoire, aucun autre Ă©crit, nâa sans doute Ă©tĂ© analysĂ© plus
profondĂ©ment et interprĂ©tĂ© plus largement. Câest la lĂ©gende de la fin du monde, un rĂ©cit du jour du Jugement, tartinĂ© sur du pain moisi, et saupoudrĂ© dâune abondance dâeffets spĂ©ciaux en rĂ©alitĂ© virtuelle. Câest la source dâinspiration des prophĂštes fous, des prĂ©dicateurs qui postillonnent tout en tapant du poing sur le rebord de la chaire de vĂ©ritĂ©, des mages Ă©nochiens apocalyptiques, des « vrais croyants » fanatiques, des faiseurs de films de sĂ©rie B, et de charlatans de tout poil. Dans le livre de William Bramley, The Gods of Eden [5], lâauteur dit que lâanalyse de lâHistoire, nous montre clairement que le dĂ©sir des humains pour la paix est aussi fort, si pas plus fort, que le dĂ©sir de la guerre. Mais quand on analyse le problĂšme de la guerre, on rĂ©alise que le plus souvent, ce qui dĂ©clenche la guerre et « lâinhumanitĂ© » envers lâhomme, câest que le dĂ©sir de libertĂ© spirituelle est dĂ©formĂ© par la manipulation. Il est aisĂ© de regarder en arriĂšre dans lâHistoire, de voir oĂč tel ou tel groupe a Ă©tĂ© « Ă©garĂ© » dans ses croyances et a donc ensuite commis des erreurs de pensĂ©e qui ont abouti Ă la perpĂ©tration dâhorreurs sans nom. Nous pouvons pointer du doigt le gĂ©nocide soutenu par le Dieu des HĂ©breux, ou encore le zĂšle religieux poussĂ© jusquâĂ la folie de lâĂglise catholique, et qui a dĂ©bouchĂ© sur lâInquisition. Voyons aussi la version dĂ©formĂ©e de « lâapĂŽtre de la gĂ©nĂ©tique » qui a fini par lâholocauste de la deuxiĂšme guerre mondiale. Il est aisĂ© de dĂ©tecter ces erreurs du passĂ©, parce que « nous en savons davantage maintenant ». Eh bien, nâest-ce pas intĂ©ressant ? Nous en savons davantage Ă prĂ©sent. Combien davantage pourrons-nous encore apprendre ? Câest presque comme si le jeu Ă©tait devenu de plus en plus complexe mais que les mĂȘmes erreurs Ă©taient rĂ©pĂ©tĂ©es encore et encore. Quâest-ce quâil y a donc Ă la base (Ă part le
fait que nous remarquons que les exemples citĂ©s plus haut se rapportent tous Ă lâexclusivitĂ© monothĂ©iste) ? Les humains ont une sorte de besoin, inscrit Ă lâintĂ©rieur dâeux-mĂȘmes, dâĂȘtre « assurĂ©s » ou « rassurĂ©s » dans tous les choix quâils font. Cela est dĂ» Ă une circonstance fondamentale de notre rĂ©alitĂ©. Cette circonstance semble ĂȘtre une sorte de circonstance alĂ©atoire, une absence de contrĂŽle sur notre vie. Nos observations de la rĂ©alitĂ© nous disent quâil y a « quelque chose » quâil nous faut savoir, car la possession de cette clĂ© peut nous « faire » ou nous « briser ». Nous adoptons une religion parce que nous sommes inquiets. Nous sommes inquiets parce que nous rĂ©alisons, de par nos observations, quâĂ tout moment ce hasard qui se manifeste par la destruction peut nous tomber dessus physiquement ou psychiquement. Ah ! comme il nous serait utile de connaĂźtre le futur Ă lâavance, dâĂȘtre informĂ©s des consĂ©quences des choix que nous sommes obligĂ©s de faire Ă tout moment. Sans cesse, nous voyons que câest ce besoin dâĂȘtre « rassurĂ©s » qui est utilisĂ© pour manipuler les humains. Nous constatons que la vision scientifique de la spiritualitĂ© est dĂ©couragĂ©e, tandis quâen mĂȘme temps le dĂ©sir intĂ©rieur du « salut » est stimulĂ© sans discontinuer par les divers enseignements religieux. En consĂ©quence, un grand nombre de personnes peuvent ĂȘtre induites Ă faire des tas de choses stupides et cruelles. Le besoin de « sauver des Ăąmes » est un excellent exemple de la façon dont une polarisation qui semble positive au dĂ©part peut brusquement basculer et faire exactement lâopposĂ© de ce quâexpliquent les enseignements religieux. Câest un point trĂšs important Ă garder en mĂ©moire ! Zecharia SITCHIN et William BRAMLEY, aprĂšs VON DĂNIKEN, ont postulĂ© que des tĂ©moignages archĂ©ologiques dĂ©montrent la prĂ©sence rĂ©elle, physique, dâune race
dâextraterrestres venus jadis sur Terre pour mettre lâhumanitĂ© sous contrĂŽle, et ayant peut-ĂȘtre bien des plans pour revenir « rĂ©colter les fruits de leurs efforts ». Dans les deux cas, leurs Ă©tudes ont fortement dĂ©montrĂ© que cette « race extraterrestre » nâĂ©tait pas animĂ©e des meilleures intentions Ă lâĂ©gard de lâhumanitĂ© ! Tous deux on fait un travail Ă©norme, ont rassemblĂ© dâinnombrables faits, et ne se sont jamais trouvĂ©s en prĂ©sence dâun Gris aux yeux dâinsecte qui leur a dit : « ceci est pour vous ! nous sommes lĂ pour vous aider ». Et cependant, aucun des deux nâa pris en compte un Ă©lĂ©ment crucial du problĂšme. Le fait est que, de nos jours, nous voyons ces mĂȘmes « aliens » sâĂ©lancer ici et lĂ , se glisser au dedans et au dehors de notre rĂ©alitĂ© comme des anguilles visqueuses, regarder, sonder, et « communiquer » toutes sortes dâexcuses dans toutes sortes de scĂ©narios pour expliquer pourquoi ils font ce quâils font Ă leurs victimes crĂ©dules et ignares. Ce facteur devrait ĂȘtre tenu en compte. Ce que VON DĂNIKEN, SITCHIN et BRAMLEY laissent de cĂŽtĂ© dans leurs arguments, câest la pĂ©rennitĂ© de lâĂ©vidence dâune « interaction » avec, et dâune « domination » par un autre « univers ». Les Announaki, tels que dĂ©finis par SITCHIN, et les « Gardiens » tels que dĂ©finis par BRAMLEY, peuvent ĂȘtre autre chose que des ĂȘtres physiques, (selon notre conception de ces termes), qui occupent, dominent, et puis sâen vont pour quelque obscure raison. Les tĂ©moignages des personnes (qui Ă prĂ©sent se comptent par multiples de mille), affirmant quelles ont « Ă©tĂ© enlevĂ©es » par des extraterrestres, quâelles ont eu des « contacts avec des extraterrestres » ou encore des « visions de la Vierge » et autres miracles survenus au cours de lâHistoire, semblent contredire cette maniĂšre de voir les choses. Il semble bien plus probable que les rĂ©cits anciens tĂ©moignent dâune ouverture culturelle qui a permis la perception de ses ĂȘtres, qui a permis de reconnaĂźtre leur rĂ©alitĂ©,
et sâest contentĂ©e de faire une distinction entre eux et les humains ordinaires, en les appelant des « dieux ». William BRAMLEY lui aussi a fait part dâune quantitĂ© considĂ©rable de tĂ©moignages au fil de lâHistoire, montrant une relation entre les observations dâOVNIs et lâapparition soudaine de maladies mortelles ou de flĂ©aux. Nous avons de nos jours des prĂ©occupations similaires, ce qui indique quâil ne sâagit pas de « quelque chose de neuf » mais bien de pĂ©riodes dâun cycle. Les Announaki ne sont jamais partis, et la FraternitĂ© du Serpent est toujours parmi nous, active et plus forte de jour en jour. En considĂ©rant les religions sous lâangle du COINTELPRO, pendant mes lectures, je suis tombĂ©e sur une remarque faite par un commentateur mĂ©diĂ©val juif : RASHI, qui a affirmĂ© quâen fait la GenĂšse a Ă©tĂ© Ă©crite pour justifier ce que nous appelons actuellement un gĂ©nocide ! Le Dieu dâIsraĂ«l qui a donnĂ© Ă son peuple la « Terre promise » se devait dâĂȘtre suprĂȘme, sans Ă©quivoque, afin que personne, pas mĂȘme les dĂ©possĂ©dĂ©s, ne puisse faire appel de ses dĂ©crets. [6] Dans La recherche de la Langue parfaite dans la Culture europĂ©enne, Umberto ECO suggĂšre subtilement que la mise au point de la Bible des HĂ©breux, bien quâelle contienne certains textes anciens (mais pas aussi anciens que la plupart des croyants ne le supposent !), a cependant Ă©tĂ© en dâabord un outil de « promotion » validant le judaĂŻsme. Cette validation Ă©tait nĂ©cessaire pour pouvoir ensuite « valider » le christianisme considĂ©rĂ© comme « la vraie religion ». Autrement dit, les « droits » des Juifs, les dĂ©crets irrĂ©vocables de Jehova/YahvĂ©, pouvaient ĂȘtre « hĂ©ritĂ©s » par lâĂglise chrĂ©tienne telle quâinstituĂ©e par Constantin pour des raisons politiques ! Ce que nous voyons en fin de compte dans le christianisme peut ĂȘtre rĂ©sumĂ© en ces termes : il est clair
quâune sorte de COINTELPRO sâen est emparĂ© pour lâutiliser comme un systĂšme de contrĂŽle. La religion Ă©gyptienne est devenue le modĂšle du christianisme, et la « Conspiration Ă la porte des Ă©toiles » (ayant substituĂ© essentiellement des idĂ©es synarchiques au christianisme originel) est devenue un grand succĂšs. Le christianisme a Ă©tĂ© mis Ă profit pour tuer plus de gens quâaucune autre idĂ©ologie dans toute lâHistoire connue. Et il se fait quâil est le fondement des plans du Reich Bush â agents de lâApocalypse. Le christianisme â et dâautres religions monothĂ©istes â est fondamentalement Draconien. Dans notre sociĂ©tĂ© ces religions sont les puits dâoĂč sont tirĂ©es nos moeurs, notre Ă©thique, notre façon de juger, etc. Elles ont Ă©tĂ© la justification des plus grands bains de sang de lâHistoire connue. Se pourrait-il quâil y ait une raison Ă cela ? En mĂȘme temps, il y a ceux qui affirment quâil existe un plan de « rĂ©vĂ©lation graduelle » par lâintermĂ©diaire du programme spatial du gouvernement, juxtaposĂ© Ă un gros effort de la part de George BUSH et des fondamentalistes tant chrĂ©tiens que sionistes, pour instituer un gouvernement mondial unique. Nous avons dĂšs lors le droit de demander : que diable se passe-t-il vraiment ? Quâest-ce que cela signifie quand les fondamentalistes chrĂ©tiens parlent de la « Nouvelle JĂ©rusalem » ? Nâoublions pas que les preuves abondent que tout ce qui a tournĂ© autour de lâAncienne JĂ©rusalem nâa Ă©tĂ© que mensonge et dĂ©sinformation entourant lâhabile YahvĂ©/Jehova qui avait des problĂšmes de contrĂŽle. La rĂ©alitĂ© paraĂźt ĂȘtre que le judaĂŻsme, le christianisme et lâislam ont Ă©tĂ© mis au point et crĂ©Ă©s exactement pour provoquer une situation bien particuliĂšre qui devait ĂȘtre utile Ă quelquâun Ă une certaine Ă©poque, et nous revoyons la mĂȘme opĂ©ration en train de se produire Ă lâencontre de lâhumanitĂ©, sous la forme
du mouvement New Age et Potentiel Humain. Il est intĂ©ressant de noter que dâanciens textes font allusion Ă ce mĂȘme problĂšme. Dans le Livre dâĂnoch, il est Ă©crit que JĂ©sus aurait dit : Au temps oĂč le diable a perdu la gloire du PĂšre et sa propre gloire, il sâest assis sur les nuĂ©es et a envoyĂ© ses ministres, et mĂȘme des anges entourĂ©s de flammes brĂ»lantes et les a envoyĂ©s aux hommes depuis Adam et mĂȘme Ă Ănoch son serviteur. Et il [le diable] a Ă©levĂ© Ănoch au firmament et lui a montrĂ© sa divinitĂ© et a commandĂ© quâune plume et de lâencre lui soient apportĂ©es : et il sâest assis et a Ă©crit trois douzaines et sept livres. Et il [le diable] a ordonnĂ© quâils lâemmĂšnent sur la Terre et le remettent Ă ses fils. Et Ănoch les a emportĂ©s sur la Terre et il les a remis Ă ses fils et il sâest mis Ă leur enseigner comment accomplir la coutume du sacrifice, et aussi les mystĂšres impies, et câest ainsi quâil a cachĂ© le royaume des cieux aux hommes. Et [le diable] leur a dit : voyez, je suis votre dieu et il nây en a pas dâautre que moi. Et câest pourquoi mon PĂšre m[JĂ©sus]âa envoyĂ© dans le monde, pour que je puisse le faire savoir aux hommes, quâils puissent connaĂźtre lâinstrument mauvais du diable. Je rĂ©pĂšte cette partie : Et Ănoch les a emportĂ©s sur la Terre et il les a remis Ă ses fils et il sâest mis Ă leur enseigner comment accomplir la coutume du sacrifice, et aussi les mystĂšres impies, et câest ainsi quâil a cachĂ© le royaume des cieux aux hommes. Et [le diable] leur a dit : voyez, je suis votre dieu et il nây en a pas dâautre que moi. VoilĂ le Dieu du judaĂŻsme, du christianisme et de lâislamâŠ. le Diable.
NOTES
[1]: Conspiration Ă la porte des Ă©toiles (NdT) [2]: TACITE : Biographie dâAgricola, L. XXI (NdT) [3]: Holy Blood, Holy Grail [4]: The Secret History of The World and How To Get Out Alive [5]: Les dieux de lâEden (NdT) [6]: Voir ISSERLIN, B.S.J., The Israelites, Thames and Hudson, London, 1998
CHAPITRE XI
Dans un sens gĂ©nĂ©ral, pour pratiquement tout le monde, y compris votre humble servante, lâidĂ©e mĂȘme du voyage dans le temps, de la maraude mentale, dâĂȘtres hyperdimensionnels ayant le pouvoir de crĂ©er et maintenir la rĂ©alitĂ© dâillusion et de restriction dans laquelle nous sommes confinĂ©s comme des moutons attendant chaque jour de voir qui, parmi nous sera « pris » pour sa laine, sa peau ou sa chair, est un concept tellement horrible que lâaccepter comme une rĂ©elle possibilitĂ© Ă©quivaut Ă ĂȘtre dĂ©pouillĂ© de toute espĂ©rance, de tout rĂȘve et de tout rĂ©confort. Comme bon nombre dâentre vous, jâai entrepris ce travail remplie de frustration par rapport aux enseignements qui ne « marchent pas » ou qui nâont pas de sens quand on les met en parallĂšle avec lâhonnĂȘte observation de la rĂ©alitĂ© et de lâexpĂ©rience. Il y avait un tel labyrinthe de contradictions partout oĂč je me tournais, alors que je savais quâil Ă©tait nĂ©cessaire dâaller au-delĂ de tout ce qui Ă©tait connu ou avait Ă©tĂ© tentĂ© jusquâici. Jâavais dans lâidĂ©e que ces connaissances avaient Ă©tĂ© disponibles dans des temps anciens Ă en juger par lâĂ©vidence des mĂ©galithes et autres structures incomprĂ©hensibles, partout sur le globe, mais sâil serait possible de redĂ©couvrir ce chemin, rien nâĂ©tait moins sĂ»r. Il Ă©tait trĂšs clair quâil y avait un sĂ©rieux clivage entre la rĂ©alitĂ© observable et une « rĂ©alitĂ© plus profonde » dont, on pouvait le prĂ©sumer, la nĂŽtre tirait quelque chose de sa forme et
de sa structure, mais je savais que quelque chose « nous » sĂ©parait « dâeux ». Et sans cesse, quand je cherchais des rĂ©ponses, jâatterrissais toujours dans un dĂ©dale dâallĂ©gations insupportables et de faits irrĂ©conciliables. Oui, Ă tous ceux qui mâont Ă©crit pour me demander si jâavais vĂ©rifiĂ© telle ou telle source, il est plus que probable que je lâai fait, et bien davantage encore. Mais lorsque les CassiopĂ©ens ont commencĂ© Ă communiquer, Ă dire des choses qui expliquaient vĂ©ritablement les problĂšmes que je rencontrais dans les sciences, les religions et les philosophies, et que ces choses quâils nous disaient ne faisaient pas partie de mes attentes, cela mâa mise en fureur et en rage devant une image aussi noire de notre existence. JâĂ©tais dĂ©jĂ passĂ©e par lĂ quelques annĂ©es auparavant, en lisant GURDJIEFF et OUSPENSKY, mais je trouvais que ce que les CassiopĂ©ens disaient Ă©tait bien plus dĂ©primant que ce que jâĂ©tais prĂ©parĂ©e Ă recevoir. Jâai refusĂ© les idĂ©es qui suggĂ©raient que nos croyances de « contes de fĂ©es » pourraient nous ĂȘtre imposĂ©es afin de nous tenir endormis et inconscients, parce quâelles ne me plaisaient pas non plus ! Ă mesure que le temps a passĂ© et que sont venues sâajouter des preuves dâautres sources, je me suis mise en colĂšre contre les leçons qui me convainquaient de leur justesse dans ma vie personnelle ; et jâai versĂ© des ocĂ©ans de larmes sur la perte de mon innocence. Alors quand je dis que je comprends Ă ceux dâentre vous qui mâĂ©crivent en essayant de saisir tout cela, en essayant de raisonner et rationaliser pour pouvoir se cramponner aux anciens, faux, systĂšmes de croyance, je comprends vraiment ! Mais quand tout cela a Ă©tĂ© dit et fait, je pense que jâai pleurĂ© davantage encore sur toutes les annĂ©es gaspillĂ©es en stupiditĂ© et aveuglement. AprĂšs un certain temps jâai rĂ©alisĂ©
que nous ne sommes stupides et aveugles quâaussi longtemps exactement que nous avons besoin dâĂȘtre stupides et aveugles, et pas une seconde de plus. Je suis Ă©normĂ©ment reconnaissante pour toutes ces expĂ©riences parce quâelles mâont enseignĂ© des choses Ă un niveau trĂšs profond. Sâil est vrai que les humains sont Ă©levĂ©s comme du bĂ©tail dans une grande Ă©table et mangĂ©s psychiquement et mĂȘme parfois physiquement, nous nous trouvons en face dâune situation fameusement grave, câest le moins que lâon puisse dire. Comme je lâai dĂ©jĂ expliquĂ©, je nâai jamais vu aucun DrachomonoĂŻde sauf dans des Ă©tats hypnopompes proches du rĂȘve, ou du demi sommeil. DĂšs lors, quand les CassiopĂ©ens ont commencĂ© Ă en parler, pour moi câĂ©tait « de lâimagination dĂ©passant la rĂ©alitĂ© » ! Jâai dit aussi quâĂ chaque fois que les CassiopĂ©ens nous ont dit quelque chose jâai travaillĂ© dur pour dĂ©couvrir sâil y avait moyen de trouver une corroboration que jâappellerais soit verticale, soit latĂ©rale. Les donnĂ©es verticales sont celles qui sont localisĂ©es dans lâHistoire en tous les point diffĂ©rents de prĂ©sent. Les donnĂ©es latĂ©rales consistent Ă rechercher des rapports, des comptes rendus de tĂ©moins, et dâautres donnĂ©es qui peuvent ĂȘtre considĂ©rĂ©es comme des preuves circonstancielles Ă partir du temps prĂ©sent. Il vaut toujours mieux que les deux types de donnĂ©es se « croisent » et se recroisent. Mais ce nâest toujours pas la mĂȘme chose que de dĂ©couvrir un « pistolet qui fume encore ». Mais quand on a Ă faire Ă des rĂ©alitĂ©s hyperdimensionnelles, les « pistolets fumants » sont rares. Dans le cas de lâidĂ©e que lâhomme serait de la « nourriture » pour des ĂȘtres hyperdimensionnels, il y existe une Ă©norme quantitĂ© de corroborations tant verticales que latĂ©rales de toutes les sortes. Tellement, en fait, quâil est pratiquement
impossible de comprendre pourquoi cela nâest pas su plus gĂ©nĂ©ralement. Il y a clairement eu des efforts dĂ©libĂ©rĂ©s de « dissimuler ». Et le fait de cette dissimulation mĂȘme nous en dit long. Il se fait que si Don Juan, GURDJIEFF, les CassiopĂ©ens (et dâautres) parlent de nos religions, nos structures sociales, nos valeurs, nos croyances Ă propos de notre nature spirituelle et des conditions qui ont Ă©tĂ© crĂ©Ă©es dĂ©libĂ©rĂ©ment pour perpĂ©tuer lâillusion que nous sommes libres ; que nous sommes (ou pouvons devenir) « les enfants exceptionnels et adorĂ©s dâun Dieu aimant » ; que nous sommes ou pouvons devenir des « co-crĂ©ateurs » travaillant avec Dieu, que nous pouvons faire nâimporte quoi de nature positive et puissante, alors il nous faut examiner cette question avec le plus grand soin ! Mais cela demande du travail de lâexaminer objectivement. Câest un dur labeur parce quâil consiste en un auto-examen long et difficile devant aboutir Ă la maĂźtrise des Ă©motions qui nous empĂȘchent de voir Ă quelles illusions nous nous cramponnons, quelles illusions nous empĂȘchent de voir et agir de maniĂšre Ă devenir libres. Et cependant, nous pouvons voir que quelque chose est en train dâĂ©voluer ! Ă mesure que mĂ»rit « lâesprit-groupe », les enjeux sâĂ©lĂšvent et les duperies sont plus profondes ! Pendant de nombreux siĂšcles, et mĂȘme des millĂ©naires, des religions et dynamiques sociales simplistes ont prĂ©dominĂ© dans pratiquement le monde entier. Cela a Ă©tĂ© possible parce que mĂȘme quand il y a eu « intrusion » de la part de ces ĂȘtres hyperdimensionnels dans notre rĂ©alitĂ©, quand ils « se sont invitĂ©s Ă dĂźner », pourrait-on dire, lâabsence de communication entre tribus et peuples a fait que ces choses ont Ă©tĂ© faciles Ă dissimuler. Quand nous sommes assis dans notre habitation
confortable et que nous observons notre rĂ©alitĂ©, qui est aussi celle qui se dĂ©roule devant nos fenĂȘtres, nous voyons un front stable. Des voitures passent dans la rue, emmenant leurs occupants vers leurs activitĂ©s quotidiennes. Le soleil brille, des enfants passent an bavardant et en riant. Chacun est plongĂ© dans sa propre vie, dâune maniĂšre immĂ©diate et identifiable, croyant que cette vie dans laquelle il est impliquĂ© est ce qui est. Mais parfois, quelque chose de bizarre arrive Ă quelquâun, et ce quelquâun tente alors dĂ©sespĂ©rĂ©ment de faire entrer cette anomalie dans le continuum espace/temps. En gĂ©nĂ©ral, lâĂ©vĂ©nement est suffisamment « mineur » que pour pouvoir « passer lâĂ©ponge » et oublier, ce qui est obligatoire, car cet Ă©vĂ©nement est trop aberrant pour le faire entrer dans un cours normal. Il doit ĂȘtre balayĂ© sous le tapis et dissimulĂ©. De temps en temps, des choses plus importantes se produisent dans la rĂ©alitĂ© (des preuves du systĂšme de contrĂŽle hyperdimensionnel font irruption, ou bien « lâĂ©cran » est crevĂ© dâune maniĂšre ou dâune autre) et elles font les nouvelles du jour et lâobjet de reportages. Charles Fort a passĂ© de nombreuses annĂ©es Ă rassembler ce type de choses racontĂ©es dans les journaux et magazines du monde entier. Quand cela se produit, le « systĂšme acceptĂ© de croyances » sâempresse de noyer la chose pour que chacun puisse poursuivre ses illusions individuelles et collectives. Et puisque ces Ă©vĂ©nements sont localisĂ©s, il est aisĂ© de les garder Ă couvert. Mais dans le passĂ©, il Ă©tait infiniment plus facile de le faire quâactuellement. La lecture des informations rassemblĂ©es par Charles FORT, montre que la « rĂ©alitĂ© extraterrestre » si largement rapportĂ©e de nos jours a toujours Ă©tĂ© aussi active quâĂ prĂ©sent. En fait, on constate quâelle pourrait ĂȘtre cyclique. Nous avons des cycles pour la production, la plantation, la croissance et la
rĂ©colte ; il se peut dĂšs lors que des ĂȘtres hyperdimensionnels nous rĂ©coltent selon des rĂšgles « saisonniĂšres ». Quoi quâil en soit, dans le passĂ© il Ă©tait bien plus facile de « garder le couvercle sur la casserole ». Mais par la suite les gens sont devenus plus instruits. Des livres, des journaux et des magazines ont Ă©tĂ© publiĂ©s et diffusĂ©s. Il est devenu plus facile de voyager, et les informations en provenance du monde entier au sujet dâ « Ă©tranges intrusions » dans notre rĂ©alitĂ© ont pu ĂȘtre rassemblĂ©es de maniĂšre Ă produire un modĂšle gĂ©nĂ©ral qui montre que tout nâest pas pour le mieux dans le meilleur des mondes. Avant Charles FORT, quelques personnes avaient dĂ©jà « senti lâoignon ». Mais Mr. FORT lâa aimablement agitĂ© juste sous notre nez, et les rĂ©actions ont Ă©tĂ© trĂšs intĂ©ressantes. La machine Ă dissimuler a fonctionnĂ© Ă plein rĂ©gime au travers des trĂšs efficaces vecteurs des sciences et religions traditionnelles. Mais lâoignon avait Ă©tĂ© reniflĂ©, et un certain nombre de personnes ne sont pas parvenues Ă le cacher sous le tapis. Lâodeur a continuĂ© Ă se rĂ©pandre par la fenĂȘtre qui avait Ă©tĂ© ouverte. Câest ainsi que certains se sont mis Ă la recherche de lâorigine de cet oignon puant. Ils ont commencĂ© Ă rassembler des connaissances et des informations. Il nous est mĂȘme loisible dâobserver comment la machine Ă dissimuler a pu mettre au point ces « dommages contrĂŽlĂ©s ». LâĂ©tude de lâhistoire des mouvements et changements religieux et sociaux nous montre que le mĂ©canisme de contrĂŽle a pris forme Ă mesure des dĂ©couvertes ou prises de conscience des humains. Quand les anciennes religions et explications simplistes Ă©taient dĂ©passĂ©es, de nouvelles religions Ă©taient mises en place. Exactement au bon moment (la pĂ©riode de lâexpansion scientifique et connaissance
croissante de la nature de la rĂ©alitĂ©, qui ont sĂ©rieusement mis en question les points de vue) tout le mouvement spiritualiste a dĂ©marrĂ©, dĂ©bouchant sur des informations reçues en channeling, destinĂ©es Ă rĂ©parer les trous dans les filets du ContrĂŽle. Des explications plus modernes et Ă©laborĂ©es au sujet des « mondes supĂ©rieurs » se sont fait jour dans notre rĂ©alitĂ©. Et Ă chaque nouvelle question le systĂšme de contrĂŽle avait une nouvelle rĂ©ponse pour faire en sorte que chacun sente apaisĂ©, calmĂ©, dĂ©tendu et cesse de poser des questions ! Ă notre Ă©poque, cela est encore plus Ă©tonnamment Ă©vident. Il y a quelques annĂ©es, quand nous avons commencĂ© Ă partager les informations transmises par les CassiopĂ©ens, nombre des sujets dont nous traitions nâavaient pas encore Ă©tĂ© ne serait-ce quâeffleurĂ©s par ces autres « sources ». Mais Ă chaque fois que nous diffusions quelque chose, « lâautre cĂŽtĂ© » faisait surgir de nouveaux candidats munis de nouvelles explications, pour tenter de « rĂ©parer les trous » que nous faisions dans le tissu de la rĂ©alitĂ©. Lâhistoire de la rĂ©alitĂ© de lâesprit, du jeu des forces qui sous-tendent la vie de chaque ĂȘtre humain, peut ĂȘtre dĂ©crite comme un voyage vers la connaissance et la comprĂ©hension. Mes recherches sur lâexistence dâune vĂ©ritĂ© concernant notre rĂ©alitĂ© mâont forcĂ©e Ă reconnaĂźtre la validitĂ© de perceptions allant au-delĂ de celles du matĂ©rialisme. Jâai appris Ă mettre en doute mes propres croyances et Ă souffrir le supplice du renoncement Ă mes propres concepts de la rĂ©alitĂ© auxquels je tenais tant. Jâai commencĂ© Ă soupçonner que quelque chose clochait avec les « rĂ©alitĂ©s de la vie » telles quâelles mâĂ©taient prĂ©sentĂ©es, alors que jâĂ©tais encore une enfant. Câest vrai que pendant plus de trente ans jâai essayĂ© dâĂȘtre « normale » et de faire entrer une cheville carrĂ©e dans un trou rond, tout en
cherchant une raison de croire. Et puis, il y a eu un jour mĂ©morable oĂč je suis enfin devenue grande et oĂč jâai admis que peut-ĂȘtre â seulement peut-ĂȘtre â « lâempereur Ă©tait nu » [1]. Et voilĂ , plus de vingt ans ont passĂ© ; et maintenant, eh bien maintenant je sais que non seulement « il y a quelque chose de pourri au royaume de Danemark [2] », mais encore quâil y a un Ă©lĂ©phant crevĂ© au milieu du salon collectif, et quâil ne me sera jamais plus possible de ne pas le voir. Pendant ces vingt annĂ©es et plus que jâai mises Ă dĂ©voiler cette Ă©norme crĂ©ature crevĂ©e qui occupe une place centrale dans notre rĂ©alitĂ©, jâai Ă©tĂ© mue par lâidĂ©e que je voulais seulement savoir ce qui se passait rĂ©ellement dans le monde Ă©trange oĂč je vivais et oĂč, dâune part les sciences allaient si vite que nous serions bientĂŽt capables dĂ©truire notre planĂšte et oĂč, dâautre part, les diverses religions nous disaient de ne pas nous en faire, que Dieu allait probablement le dĂ©truire pour nous, et quâil valait mieux pour nous de croire en le vrai dieu, ou bien nous serions cuits. Comment peut-on vivre dans un monde dont la « Fin » est prĂ©dite Ă chaque instant ? Câest fou ça ! Mais du diable si ce nâest pas exactement ce que nous dit chacune des religions de la planĂšte (y compris les versions New Age). Nous allons Ă lâĂ©glise, nous sommes effrayĂ©s Ă mort en une heure et demie, avertis des feux de lâenfer et de la damnation Ă©ternelle, et puis le panier est passĂ© pour pouvoir payer les grands prĂȘtres qui doivent glisser un mot en notre faveur dans lâoreille de Dieu, pour que nous ne soyons pas obligĂ©s de souffrir autant que lâabruti du bas de la rue qui frĂ©quente une Ăglise diffĂ©rente ! Il nous faut sans doute souffrir ici-bas, mais si notre foi est assez grande et que nous le prouvons par lâargent que nous donnons, au moins nous
recevrons notre rĂ©compense en paradis. CâĂ©tait en 1982 et jâavais trois petits enfants. En tant que mĂšre, je voulais savoir ce quâil me fallait enseigner Ă mes enfants. Je savais que ce quâon mâavait appris Ă croire Ă©tait effrayant. Jâavais grandi Ă une Ă©poque oĂč les enfants apprenaient ce quâil fallait faire en cas dâattaque par bombe nuclĂ©aire (Cuba nâĂ©tait quâĂ 135 km des cĂŽtes de la Floride, oĂč je suis nĂ©e) et en mĂȘme temps, les enseignements religieux traditionnels de ma famille (des protestants purs et durs) prĂ©conisaient la souffrance sur Terre pour ĂȘtre rĂ©compensĂ©s en Paradis. Câest sĂ»r que jâavais souffert de lâĂ©tat du monde et des enseignements de ma foi. Je voulais, vraiment, vraiment savoir si câĂ©tait lĂ quelque chose que je devais transmettre Ă mes enfants. Pendant que je tenais mes bĂ©bĂ©s dans mes bras que je les berçais ou regardais leur doux et innocent visage, inconscients des prĂ©occupations du monde autour de nous, certains que Maman les garderait en sĂ©curitĂ© â je devais bien me demander « comment pourrais-je leur dire ces choses ? » Comment pouvais-je leur annoncer que le monde dans lequel ils Ă©taient nĂ©s est si effrayant, si dangereux et plein de piĂšges que non seulement leur vie Ă©tait en danger mais aussi leur Ăąme ? Comment pouvais-je dire cela Ă mes enfants ? ? ? Si câĂ©tait vrai, il fallait que je le leur dise. Mais, et si ce nâĂ©tait pas vrai ? Si ce nâĂ©tait pas vrai ? Je savais une chose et une seule : plus que tout au monde je voulais dire la vĂ©ritĂ© Ă mes enfants, les prĂ©parer Ă nâimporte quel mensonge qui se prĂ©senterait sur leur chemin. Et la question qui me brĂ»lait Ă©tait : Et si je disais un mensonge
Ă ces petits ĂȘtres que jâaime plus que ma vie ? Quelle mĂšre serais-je donc alors ? Quelle sorte « dâamour maternel » serait-ce donc ? Les communications cassiopĂ©ennes ont Ă©tĂ© seulement une partie de ce processus. En repensant Ă cette expĂ©rience dâun accĂšs Ă une « conscience supĂ©rieure » ce qui, Ă cette Ă©poque, nâĂ©tait pour moi que thĂ©orique, il y aurait beaucoup Ă dire de lâidĂ©e du fait que la majeure partie de ce qui a Ă©tĂ© transmis par les CassiopĂ©ens aurait pu provenir en fait de mon propre subconscient. AprĂšs tout, jâavais passĂ© pratiquement toute ma vie Ă lire tout ce quâil mâĂ©tait possible de trouver sur tous les sujets, de lâHistoire Ă la psychologie. Le phĂ©nomĂšne de lâhomme de science travaillant sur un problĂšme difficile et qui, quand il a analysĂ© tous les paramĂštres, rĂȘve Ă une maniĂšre nouvelle dâassembler les diffĂ©rents Ă©lĂ©ments et rĂ©sout ainsi le problĂšme, est bien connu dans lâHistoire des sciences. La dĂ©couverte de lâanneau de benzĂšne est un de ces cas. Ce nâest donc pas aller trop loin que de supposer que les Ă©lĂ©ments qui nous sont parvenus « par lâintermĂ©diaire des CassiopĂ©ens » qui ont clairement affirmĂ© « nous sommes vous dans le futur », serait simplement un processus semblable. Le lecteur attentif qui a lu les nombreux articles sur notre website exposant des Ă©lĂ©ments de lâExpĂ©rience cassiopĂ©enne, observera que la majeure partie de la documentation cassiopĂ©enne concerne lâHistoire et les raisons cachĂ©es des Ă©vĂ©nements qui se sont produits et se sont en train de se produire dans ce monde. Cela me concenait indubitablement : les Ă©vĂ©nements et choix dâactions et dâattitudes pouvant mener soit Ă un futur positif, soit Ă un futur nĂ©gatif. Il se peut que les Ă©normes quantitĂ©s dâinformations extraites de mes lectures aient Ă©tĂ© re-triĂ©es et assemblĂ©es de façons nouvelles par mon propre subconscient ou
supraconscient. Quoi quâil en soit, cela nâamoindrit en rien, Ă mon avis, lâutilitĂ© de ce matĂ©riel. La dĂ©couverte de lâanneau de benzĂšne a Ă©tĂ© faite grĂące Ă un songe et a permis des avancĂ©es scientifiques majeures. De cela il ressort donc que tout effort concertĂ© portant sur lâexamen de tous les paramĂštres dâune rĂ©alitĂ© pour leur permettre de sâassembler ensuite de maniĂšre inĂ©dite ou selon un processus nouveau, sâavĂšre fructueux Ă maints Ă©gards. Naturellement, certains des Ă©lĂ©ments transmis par les CassiopĂ©ens nâont manifestement pas pu provenir dâune « mise en ordre » des masses de matĂ©riaux mis Ă la disposition de mon subconscient Ă lâissue de toutes mes annĂ©es de lecture. Ă cet Ă©gard, Ă©tant donnĂ© la maniĂšre inĂ©dite dont les Ă©lĂ©ments ont Ă©tĂ© obtenus par un effort de groupe, il se peut quâune partie de ces Ă©lĂ©ments ait Ă©tĂ© extraite des banques de donnĂ©es se trouvant dans le subconscient des autres participants. Et peut-ĂȘtre quâune partie de ces donnĂ©es est du non-sens â de ma part et de la part des autres. Ce sont toutes des questions dont nous tenons compte lorsque nous analysons le matĂ©riel et le soumettons Ă vĂ©rification ou le mettons Ă lâĂ©preuve. Il y a encore une autre catĂ©gorie de matĂ©riau : celle qui par la suite se rĂ©vĂšle si pĂ©nĂ©trante et perspicace quâelle ne peut provenir du subconscient dâaucun des participants. Et encore. Il se peut que la conscience de ce qui se produit politiquement et socialement puisse ĂȘtre triĂ©e et assemblĂ©e dans le subconscient de la mĂȘme maniĂšre que lâont Ă©tĂ© les informations ayant menĂ© Ă la dĂ©couverte de lâanneau de benzĂšne. Il se peut que les probabilitĂ©s soient calculĂ©es dans le subconscient sur base des vastes ensembles de donnĂ©es dont nous ne rĂ©alisons mĂȘme pas que nous en disposons. Il se peut
les observations du monde, rĂ©coltĂ©es au cours de vies entiĂšres, observations composĂ©es de milliards de databits, soient stockĂ©es dans notre subconscient et aboutissent Ă de trĂšs complexes « tris de donnĂ©es » et « calculs de probabilitĂ©s ». Il se peut quâil y ait, aprĂšs tout, une explication entiĂšrement scientifique et matĂ©rielle aux matĂ©riaux transmis par les CassiopĂ©ens. Sauf pour quelques Ă©lĂ©ments dont je suis certaine quâils nâont pas pu se trouver dans les Ă©lĂ©ments conscients ou subconscients dâaucun des participants : Ă©lĂ©ments connus seulement de quelques uns sur la planĂšte, et qui nous ont obligĂ©s Ă creuser trĂšs profond pour les vĂ©rifier. Mais cela nâest quâune preuve de la facultĂ© dâaccĂ©der Ă des informations qui peuvent se trouver dans les banques de donnĂ©es dâinconnus lointains⊠Mais est-ce que ce nâest pas cela lâessentiel ? Que nous cherchions ce petit indice qui montre quâil existe bien une rĂ©alitĂ© au-delĂ de celle que les sciences matĂ©rialistes acceptent comme mesurable ? Tout comme certains instruments mĂ©caniques peuvent augmenter la perception de certaines portĂ©es lumineuses comme lâinfrarouge, lâultraviolet, les rayons X, ou les ondes radio, ainsi il se pourrait que nos perceptions dites psychiques peuvent ĂȘtre accrues. CâĂ©tait ma thĂ©orie au dĂ©but de lâExpĂ©rience cassiopĂ©enne, bien que je nâaie jamais pensĂ© quâelle pourrait se transformer en un dialogue avec « moi-mĂȘme dans le futur » ou que des « extraterrestres » feraient jamais partie des sujets de discussions sĂ©rieuses. Ce que vous allez lire se trouvait au dĂ©but sur notre site web, mais nous avons dĂ©cidĂ© par la suite de lâenlever. Pourquoi ? Une des raisons principales est que nous avons subi un nombre extraordinaire dâattaques tant personnelles que professionnelles en consĂ©quence de ce que vous allez lire dans
ce livre. Ces attaques ont Ă©manĂ© de plusieurs sources, y compris de cinglĂ©s, de tordus, et de sceptiques ironiques. Cependant, les attaques qui nous ont le plus affectĂ©s ont Ă©tĂ© celles Ă©manant de ce qui ne peut ĂȘtre appelĂ© quâune bande de cyber-terroristes. Je parlerai des implications de ces diffamations organisĂ©es et systĂ©matiques Ă la fin du texte qui Ă©tait Ă lâorigine publiĂ© sur le site web. Il y avait naturellement un troisiĂšme genre de lecteurs intĂ©ressĂ©s Ă cette sorte de document : des gens sincĂšres et ouverts Ă la recherche dâinformations sur les expĂ©riences Ă©tranges quâils avaient vĂ©cues et qui Ă©taient non seulement inexplicables, mais qui leur avaient laissĂ© « des bleus Ă lâĂąme ». Je suis indubitablement moi-mĂȘme une de ces personnes, [3] et je pourrais dire que ce qui se trouve dans ce livre existe grĂące Ă mes propres recherches de rĂ©ponses Ă ces trĂšs troublantes questions. Câest pour cette derniĂšre catĂ©gorie de lecteurs que la dĂ©cision a Ă©tĂ© prise de rendre ces matĂ©riaux Ă nouveau disponibles sous la forme du livre que vous tenez en main en ce moment.
NOTES
[1]: Allusion au conte de H.C. ANDERSEN : les habits de lâempereur (NdT) [2]: Hamlet (SHAKESPEARE) (NdT) [3]: Voir mon autobiographie, Amazing Grace, pour les dĂ©tails sur les nombreuses expĂ©riences Ă©tranges et perturbantes.
TROISIĂME PARTIE
CHAPITRE XII
Pour pouvoir comprendre les informations cassiopĂ©ennes Ă propos du processus des rapts par des extraterrestres, il est nĂ©cessaire de pouvoir faire la distinction entre dimensions et densitĂ©s. Ce sujet est Ă lâorigine de nombreuses confusions Ă lâheure actuelle, Ă cause de conflits entre des concepts qui se rĂ©sument en fait Ă de la sĂ©mantique. Le public a en gĂ©nĂ©ral une conception des « dimensions » qui nâest pas la mĂȘme que dans les modĂšles mathĂ©matiques Ă©laborĂ©s par les physiciens et mathĂ©maticiens, de sorte que, quand le sujet est abordĂ© dâune maniĂšre sĂ©rieuse, la communautĂ© scientifique, dĂ©sorientĂ©e, « jette le bĂ©bĂ© avec lâeau du bain ». La signification cassiopĂ©enne du mot « dimension » est plus proche de celle qui est comprise par le public en gĂ©nĂ©ral. CassiopĂ©ens : Tout dâabord, il y a abondance de confusion Ă cause dâinterprĂ©tations incorrectes. Les dimensions ne sont pas des densitĂ©s !!!! Les dimensions sont strictement le rĂ©sultat de la conscience universelle telle que manifestĂ©e dans le secteur « imagination » de la pensĂ©e. Une densitĂ© est un niveau de dĂ©veloppement mesurĂ© en termes de proximitĂ© Ă lâUnion avec le cycle de lâUnique. Maintenant, un choc pour vous : vous nâexisteriez pas si quelquâun ne vous avait pas « rĂȘvĂ©s ». Vous ĂȘtes littĂ©ralement les «fruits» de lâimagination de quelquâun et rien dâautre !!! Souvenez-vous, «Dieu» est rĂ©ellement toute existence dans la crĂ©ation ; autrement dit,
toute conscience. Câest parce que toute existence dans la crĂ©ation est conscience, et vice versa. Rappelez-vous : tout ce quâil y a est leçons ! Quâest-ce que les CassiopĂ©ens entendent par « niveau de dĂ©veloppement » ? Le dialogue qui suit aidera peut-ĂȘtre Ă rendre cette idĂ©e plus claire. Q : En 7e densitĂ© il y a union avec lâUnique. En 6e
densitĂ© il y aâŠ. quoi ? un parfait Ă©quilibre entre tĂ©nĂšbre et lumiĂšre, ou entre ĂȘtre et non-ĂȘtre. Cela est-il correct ? R : Pure conscience pas besoin de physicaliser. Q : Et je pense quâil y a les 3 densitĂ©s Ă©thĂ©riques, les 3 densitĂ©s matĂ©rielles, et celle du milieu, la 4e densitĂ©, la densitĂ© physico-Ă©thĂ©rique variable⊠R : Proche. Q : Et ces densitĂ©s ne peuvent ĂȘtre distinguĂ©es quâen vertu de la proximitĂ© de lâunion avec lâUnique, est-ce correct ? R : ProximitĂ© ? Q : Eh bien, vous savez, je ne lâentends pas dans ce sensâŠ. Aidez-moi vous autres ! R : Non, vous ĂȘtes sur la bonne voie. Q : Bon. Je vois cela comme une sorte dâimage de la rĂ©alitĂ© perpendiculaire. Il y a un cercle au centre, et tous les individus Ă©mettent en quelque sorte des rĂ©alitĂ©s perpendiculaires qui sâĂ©tendent vers lâextĂ©rieur, de plus en plus, et qui reviennent en fin de compte vers le centre parce que la gravitĂ© du centre les ramĂšne vers lâintĂ©rieur. Mais celles-ci sont perpendiculaires. Quelque chose se produit dans une sorte de cercle concentrique horizontal qui distingue les Ă©tats dâexistence par rapport Ă ce centre et Ă ces rĂ©alitĂ©s perpendiculaires. Quâest-ce qui dĂ©marque les niveaux des univers, quels sont les rapports entre la rĂ©alitĂ© perpendiculaire et sa progression vers lâextĂ©rieur qui la distingue Ă certains
points relationnels du centre lui-mĂȘme ? Je comprends que câest de la conscience, mais il y a aussi le non-ĂȘtre. Quelle est la relation de ces rĂ©alitĂ©s perpendiculaires avec les sept mondes dâexistence ? R : Pas essentiellement correct. RĂ©alitĂ© perpendiculaire est matrice connaissance/prise de conscience/ ĂȘtre. Mondes ne sont que des divisions empiriques basĂ©es sur des « dirigeurs » dâĂ©nergie de conscience. Q : Quâest-ce quâun « dirigeur » dâĂ©nergie de conscience ? R : Faites la comparaison entre vous-mĂȘme et votre voisin de derriĂšre. Comment voyez-vous chacun lâarithmĂ©tique ? Q : Eh bien, je ne sais pas exactement ce quâest lâarithmĂ©tique, mais je sais que câest important. Je suis non seulement certaine que le chien ne pense pas que câest utile, mais aussi quâil nâen a mĂȘme pas conscience. Comment est-ce que cela se relie aux « dirigeurs » dâĂ©nergie de conscience ? R : Dans la nature, tout recherche lâĂ©quilibre. Un jour, maniĂšre de parler, « Percy » aura une opinion sur lâarithmĂ©tique. Q : Okay, alors les dirigeurs dâĂ©nergie de conscience sont comme une rĂ©alitĂ© horizontale par rapport aux perpendiculaires ? R : Des « ouvertures », ma chĂšre, des ouvertures. Q : Vous venez de mentionner des « ouvertures ». Que sont ces ouvertures, et comment va-t-on dâune ouverture Ă lâautre ? R : Tableau est celui-ci : vous avez 7 tailles de billes. Vous avez 7 largeurs dâouverture oĂč les billes peuvent « entrer ». Q : Est-ce que les billes reprĂ©sentent des unitĂ©s de
conscience ? R : Proche. Ou encore, segments de profils de rĂ©sonance dâĂ©nergie de niveau de conscience. Q : Est-ce que ces segments de conscience croissent et changent ? R : Oui. Q : Et ils croissent et changent par lâacquisition de connaissances, est-ce correct ? R : Essentiellement. Q : Et acquĂ©rir des connaissances Ă©quivaut Ă acquĂ©rir de lâĂ©nergie ? Ou de la lumiĂšre ? De lâĂ©nergie lumineuse ? R : Pas exactement. Ce serait comme de dire que « faire le plein » Ă la station-service Ă©quivaut Ă acquĂ©rir de la vitesse. Q : Donc, les connaissances et la lumiĂšre sont comme lâessence pour la voiture, mais la vitesse provient de lâutilisation ? R : Oui. Q : Et utilisation signifie⊠R : Application des connaissances, ce qui gĂ©nĂšre de lâĂ©nergie, ce qui Ă son tour gĂ©nĂšre de la lumiĂšre. Q : Je voudrais revenir en arriĂšre. Nous avons des billes dans des ouvertures⊠Quâest ce qui fait entrer ces billes dans ces ouvertures ? Que sont les ouvertures ? R : Une analogie pour vous dĂ©crire les univers. Q : Est-ce que les billes vont dâune ouverture Ă une autre ? R : Quand, et seulement quand, elles ont atteint la taille adĂ©quate. . Q : Oh. Comment acquiĂšrent-elles la taille adĂ©quate ? R : Comment le fait-on ? Q : Je suppose quâon grandit ? R : Oui.
Pour en revenir Ă lâidĂ©e des trois mondes physiques et des trois mondes Ă©thĂ©riques qui sâĂ©quilibrent mutuellement, avec le monde intermĂ©diaire de 4e densitĂ© oĂč la physicalitĂ© est « variable et sĂ©lective », il nous faut analyser le concept des univers de pure conscience. De nombreux savants ont vu « lâĂ©ther » comme lâĂ©lĂ©ment qui assure le contact entre les choses matĂ©rielles pour pouvoir expliquer en termes pseudo-matĂ©riels lâĂ©vidence des Ă©vĂ©nements « non-localisĂ©s ». LâĂ©ther est vu comme « un peu plus quâun vacuum » ou bien encore un « vacuum capable de vibrer ». Einstein a rejetĂ© lâidĂ©e de lâĂ©ther, sur base du principe du rasoir dâOccam [1] considĂ©rĂ© comme une hypothĂšse « non nĂ©cessaire ». Par la suite, Dirac, a revisitĂ© le concept et a tentĂ© de le faire revivre sous la forme de « Mer de Dirac », ou « vacuum quantique animĂ© ». CassiopĂ©ens : « Aether » est tentative par sciences terriennes matĂ©rielles de dĂ©finir Ă©ther. Le problĂšme est quâil nây a tout simplement pas moyen de rendre physique un plan dâexistence composĂ© entiĂšrement de conscience. Câest lâunion dâun parfait Ă©quilibre entre les deux «états» ou plans, câest-Ă -dire le fondement et lâessence de toute crĂ©ation/rĂ©alitĂ©. Il est impossible dâavoir lâun sans lâautre ! Scientifiques terriens ont Ă©tĂ© programmĂ©s pour croire que rien ne peut exister si cela ne peut pas ĂȘtre mesurĂ©, Ă©valuĂ©, calculĂ© et reprĂ©sentĂ© dâune maniĂšre ou dâune autre dans le plan physique matĂ©riel. Pas vrai !!!!!!! Par exemple : Nous ne sommes EN AUCUNE MANIĂRE physiques. Les deux « Ă©tats » ou « plans » auxquels il est fait allusion ci-dessus sont la matiĂšre et la conscience. Les CassiopĂ©ens assurent que lâunivers matĂ©riel et la conscience sont si complĂštement reliĂ©s, entremĂȘlĂ©s, attachĂ©s et fusionnĂ©s que lâun ne pourrait absolument pas exister sans lâautre. Il y a sept niveaux de « densitĂ© » et cette idĂ©e apparaĂźt
aussi dans de nombreux enseignements du passĂ©. Elle Ă lâorigine des « Sept Jours de la CrĂ©ation ». Tous ces niveaux sont connectĂ©s â parfaitement « collĂ©s » et en Ă©quilibre. Les trois densitĂ©s supĂ©rieures : 7e, 6e et 5e sont des univers Ă©thĂ©riques ; les trois densitĂ©s infĂ©rieures, qui existent pour Ă©quilibrer les trois niveaux supĂ©rieurs, sont matĂ©rielles. La densitĂ© intermĂ©diaire, la 4e, est celle oĂč lâĂ©quilibre peut le mieux ĂȘtre « vu » ou « rĂ©alisĂ© ». Câest un niveau Ă la fois de « conscience dense » et de matĂ©rialitĂ©. Le temps tel que nous le comprenons nâexiste pas aux densitĂ©s supĂ©rieures. CassiopĂ©ens : sâil nây a ni fin ni commencement, alors quây a-t-il ? Lâici et maintenant qui est aussi le futur et le passĂ©. Tout ce qui a Ă©tĂ©, est et sera, tout Ă la fois. Câest pourquoi, bien peu des gens de votre troisiĂšme densitĂ© ont Ă©tĂ© capables de comprendre les voyages dans le temps ; parce que si voyager dans le temps dans votre troisiĂšme densitĂ© Ă©quivaut en tout point Ă rester allongĂ© dans son lit la nuit dans sa confortable maison en troisiĂšme densitĂ©, la diffĂ©rence est que la rĂ©fĂ©rence au temps est supprimĂ©e. Quelque chose que vous tenez serrĂ© contre vous aussi chĂšrement que si câĂ©tait votre mĂšre. Et câest votre plus grande illusion. Moultes fois nous vous avons dit quâil nây a pas de temps ; malgrĂ© quoi, naturellement, on vous a si bien lavĂ© le cerveau pour y faire entrer ce concept que vous ne parvenez pas Ă vous en dĂ©barrasser, quoi que vous fassiez ; pas vrai ? Imaginez que vous alliez dans lâespace. Ne seriez-vous pas perdus si vous Ă©tiez confrontĂ©s Ă la rĂ©alitĂ© que chaque chose est absolument tout simultanĂ©ment ? Ne le seriez-vous pas ? Voyez-vous vous-mĂȘmes flottant ici et lĂ dans lâespace ! Et quand on fait fusionner des densitĂ©s, ou quâon traverse des densitĂ©s, ce qui se passe câest la fusion de la rĂ©alitĂ© physique et de la rĂ©alitĂ© Ă©thĂ©rique, ce qui implique la pensĂ©e par rapport Ă la physicalitĂ©. Quand on parvient Ă les faire
fusionner parfaitement, on rĂ©alise alors que la raison pour laquelle il nây a ni dĂ©but ni fin est simplement quâil nâest pas nĂ©cessaire dâenvisager un dĂ©but ou une fin quand on a achevĂ© son propre dĂ©veloppement. Quand on est en union avec lâUnique en septiĂšme densitĂ©, câest que cela a Ă©tĂ© accompli il nâest plus besoin de faire une diffĂ©rence entre formes physiques et Ă©thĂ©rĂ©es. Q : (L) Quand on est en quatriĂšme densitĂ©, par exemple, est-ce tout se dĂ©place Ă la vitesse de la lumiĂšre et ce serait alors la raison pour laquelle il nây a lĂ ni temps ni gravitĂ© ? R : Non. Cela est un concept incorrect. Il nây a pas de vitesse de la lumiĂšre en quatriĂšme densitĂ©, parce quâil nây a aucun besoin de « vitesse » dâaucune sorte. La vitesse est, en soi, un concept de troisiĂšme densitĂ©. Rappelez-vous : tout ce quâil y a ce sont des leçons. Câest tout ! Il nây a rien dâautre. Tout cela est pour votre perception. Pour notre perception. Pour toute conscience. Câest tout ce quâil y a. Voyez-vous, nous parlons pour vous tous quand nous disons cela. Ă prĂ©sent il est temps pour vous en tant quâindividus, dâessayer de vous Ă©loigner, autant que possible ; sans vous forcer, bien sĂ»r, mais dâessayer de vous Ă©loigner Ă votre propre rythme autant que possible, des contraintes de la troisiĂšme densitĂ©. Vous avez tous appris des leçons jusquâau niveau oĂč vous ĂȘtes plus que prĂȘts Ă commencer Ă vous prĂ©parer Ă la quatriĂšme densitĂ©. La troisiĂšme densitĂ© implique un niveau de physicalitĂ©, de restrictions et de contraintes et toutes les choses qui les accompagnent, et dont vous nâavez plus besoin. Câest pourquoi, bien que nous comprenions quâil est parfois confortable de pouvoir sây cramponner, il est temps pour vous, et voilĂ Ă nouveau ce mot, il est temps pour vous dâenvisager dâaller de lâavant, de vous prĂ©parer Ă la quatriĂšme densitĂ©, et de ne plus vous prĂ©occuper de choses telles que le
temps ou comment vous libĂ©rer de lâillusion du temps. Cela nâest vraiment pas important. Câest comme si un Ă©tudiant de troisiĂšme annĂ©e en « maths » retournait en arriĂšre et sâarrĂȘtait Ă lâalphabet pour se demander : pourquoi donc ABC et pas CBA ou BAC ?âŠ.. Cela nâest vraiment pas important. Câest comme câest. Ils sont ce quâils sont. Le temps nâexiste pas, câest une crĂ©ation artificielle dâillusion pour faciliter lâapprentissage lĂ oĂč vous ĂȘtes ou Ă©tiez ; une fois dĂ©passĂ© ce niveau, il nâen est plus besoin. Imaginez une conversation entre deux personnes : Billy et Gini. Billy dit Ă Gini, « le temps ça nâexiste pas ». Gini dit, « Oh, vraiment ? Mais je veux savoir ce que câest ». Billy dit, « Mais je viens de te dire quâil nâexiste rien de semblable. Le temps nâexiste pas. Il nâest rĂ©el sous aucune forme, dans aucun cadre de rĂ©fĂ©rence, dans aucune forme de rĂ©alitĂ©, Ă aucun niveau de densitĂ©. Il nâexiste tout simplement pas ». Et, Gini dit : « Oh, ça câest intĂ©ressant. Et maintenant, câest quoi ce temps ? » Tant que vous ĂȘtes dans cette troisiĂšme densitĂ© il est nĂ©cessaire de se conformer, jusquâĂ un certain point, aux maniĂšres des autres qui sont plus confortables dans le monde de troisiĂšme densitĂ©. Mais comme nous lâavons dit prĂ©cĂ©demment, peut-ĂȘtre est-il « temps » pour vous de commencer Ă vous prĂ©parer Ă la quatriĂšme densitĂ© et de ne pas vous prĂ©occuper plus quâabsolument nĂ©cessaire de tous les « pourquoi », « comment » et « oĂč » de la rĂ©alitĂ© de troisiĂšme densitĂ©. Ceci est vraiment derriĂšre vous Ă prĂ©sent, et nous le savons parce que nous pouvons voir tout le cycle, du sixiĂšme niveau au premier et du premier au sixiĂšme. Voyez les choses comme ceci : nous allons accĂ©der Ă certaines de vos banques de mĂ©moire et allons vous donner une autre rĂ©fĂ©rence qui, de maniĂšre bien intĂ©ressante, sâajuste de
trĂšs prĂšs Ă la roue des rĂ©alitĂ©s perpendiculaires que nous avons dĂ©crite prĂ©cĂ©demment. Vous savez Ă quoi ressemble un projecteur de diapositives ? Pour vous donner une idĂ©e de la nature de la rĂ©alitĂ© telle quâelle est, visualisez une grande prĂ©sentation de diapos avec un grand carrousel Ă diapos dans le projecteur. Ă un moment prĂ©cis, vous regardez une dia prĂ©cise. Mais tous les autres diapos se trouvent dans le carrousel nâest-ce pas ? Ceci se rapporte bien sĂ»r Ă la rĂ©alitĂ© perpendiculaire, qui sâadapte aux cercles dans les cercles et aux cycles dans les cycles, et qui sâadapte aussi dans le Grand Cycle, qui sâadapte aussi Ă ce que nous vous avons dĂ©jĂ dit : que tout nâest que leçons. Câest tout ce quâil y a⊠et nous vous demandons de les apprĂ©cier pendant que vous regardez la prĂ©sentation des diapositives⊠Et si vous regardez au centre du projecteur, vous pouvez apercevoir lâorigine et lâessence de toute la crĂ©ation en soi, qui est du septiĂšme niveau, oĂč vous ĂȘtes en union avec lâUnique. Les densitĂ©s peuvent ĂȘtre vues comme Ă©tant « verticales », tandis que les dimensions seraient « horizontales » et infinies. Câest en comprenant la structure de lâunivers que nous pouvons commencer Ă apprĂ©hender la nature dĂ©sorientante et mĂ©tamorphique des rĂ©alitĂ©s « dâailleurs » et le processus des rapts. Câest Ă partir de la 4e densitĂ© que la plupart des enlĂšvements ont lieu. Mais avant que nous puissions aborder ce sujet, la comprĂ©hension des densitĂ©s doit ĂȘtre claire. En discuter dans lâabstrait est bel et bien, mais si nous ne saisissons pas rĂ©ellement ce que doit ĂȘtre une telle rĂ©alitĂ©, nous serons incapables de comprendre ce qui se passe sans doute dans les interactions trans-densitĂ©s. La connaissance est le processus par lequel nous reconnaissons le monde qui nous entoure. Certaines choses
tombent dans notre « univers de connaissances », et nous en sommes conscients. Dâautres choses ne le font pas et quand elles « percent » ou « Ă©mergent » dans notre perception de la rĂ©alitĂ© elles sont considĂ©rĂ©es comme anormales, et nous ne les comprenons pas. La plupart des gens rĂ©pondent aux anomalies par la crainte ou le dĂ©ni, ou par des thĂ©ories boiteuses qui ne sâappuient sur aucune donnĂ©e brute. Le monde tel que nous le connaissons paraĂźt reposer sur lâinterprĂ©tation des donnĂ©es que nous recevons de nos cinq sens. Nous considĂ©rons comme solides les choses solides, et cependant il est clair pour ceux qui Ă©tudient la physique que tout ce qui existe est sujet Ă des interprĂ©tations nombreuses et variĂ©es. Depuis le dĂ©but des contacts avec les CassiopĂ©ens, jâai Ă©tĂ© pressĂ©e par eux dâĂ©tudier autant de systĂšmes de connaissances quâil me serait raisonnablement possible de faire entrer dans une vie bien remplie. Jâai trouvĂ© de nombreuses correspondances avec les commentaires des CassiopĂ©ens sur les diffĂ©rents niveaux de rĂ©alitĂ© dans dâautres ouvrages, et particuliĂšrement dans ceux du Cheikh soufi Ibn ALââARABI, ainsi que dans divers enseignements chamaniques y compris ceux expliquĂ©s par Don Juan et notĂ©s par Carlos CASTANEDA. Jâai Ă©galement trouvĂ© des pistes dans dâautres sources, des mythes par exemple, et mĂȘme dans la Bible. Un rĂ©cent ouvrage de lâanthropologue Jeremy NARBY, intitulĂ© The Cosmic Serpent, [2] analyse certains aspects de la perception chamanique et ses remarques font Ă©cho Ă ce quâont dit les CassiopĂ©ens probablement vers lâĂ©poque oĂč le prĂ©sent livre Ă©tait Ă©crit en Europe. Cela souligne que personne ne dispose de la totalitĂ© du « fromage » et quâil nous appartient de chercher et apprendre, et de remettre en place « tous les morceaux dâOsiris » en fonction de ce que nous comprenons.
Le Dr. NARBY remarque, au sujet du travail de lâune des autoritĂ©s les plus Ă©minentes en matiĂšre dâhistoire des religions : MircĂ©a ELIADE, qui a Ă©crit Le chamanisme et les techniques archaĂŻques de lâextase : ELIADE, qui nâĂ©tait pas anthropologue de formation⊠a identifiĂ© dâĂ©tonnantes similitudes dans les pratiques et concepts des chamanes du monde entier. Partout oĂč opĂšrent ces « techniciens de lâextase », ils se spĂ©cialisent dans une transe au cours de laquelle « leur Ăąme est supposĂ©e quitter le corps et sâĂ©lever vers le ciel ou descendre dans les mondes souterrains ». Ils parlent tous un langage secret quâils apprennent directement des esprits, par imitation. Ils parlent dâune Ă©chelle â ou dâune vigne, dâune corde, dâun escalier en spirale, dâune Ă©chelle de corde tordue â qui relie le ciel et la terre, et quâils utilisent pour accĂ©der au monde des esprits. Ils considĂšrent que ces esprits sont venus du ciel et ont crĂ©Ă© la vie sur Terre. [3] NARBY fait le commentaire suivant : ELIADE a compris avant de nombreux anthropologues quâil est utile de prendre au sĂ©rieux les gens et leurs pratiques, et de faire attention au dĂ©tail de ce quâils disent et font. (p.17) La majeure partie de lâouvrage du Dr. NARBY se rapporte Ă la vision chamanique provoquĂ©e par des substances hallucinogĂšnes, et ceci se rapporte Ă une brĂšve sĂ©rie de trĂšs intĂ©ressantes remarques faites par les CassiopĂ©ens : Q : (L) Jan et moi sommes trĂšs curieux de lâexpression artistique en 4e densitĂ©. Pour la plupart dâentre nous, nous faisons lâexpĂ©rience des arts et de la musique dâune maniĂšre trĂšs positive dans ce monde, et parfois la musique peut ĂȘtre absolument sublime et transformatrice. Elle peut nous Ă©mouvoir dâun tas de façons trĂšs inhabituelles. Comment est-ce en 4e densitĂ© ? R : En 4e on peut « voir » les sons et « entendre les
couleurs », par exemple. Q : (L) Cela ressemble beaucoup aux hallucinations de nombreuses Ă©coles chamaniques. Est-ce que câest cela que vous voulez dire ? R : Bingo ! Q : (L) Alors, autrement dit⊠R : La rĂ©ponse Ă votre question suivante est oui, les chamanes font lâexpĂ©rience dâun « coulage » de la 4e densitĂ©. Q : (F) Autrement dit, un « trip » au LSD est comme un coup dâoeil jetĂ© en 4e densitĂ©. (L) Est-ce que vous recommandez cette mĂ©thode pour accĂ©der Ă ce type de rĂ©alitĂ© ? R : Ouvert. [Cette rĂ©ponse reflĂšte une rĂ©ticence de la part des CassiopĂ©ens Ă recommander quoi que ce soit afin de prĂ©server le libre arbitre.] Q : (T) Le problĂšme est que le plupart des ĂȘtres humains voudraient faire cela tout le temps, et ne pas y travailler de maniĂšre naturelle. R : Oui. Q : (J) Est-ce que câest comme le concept de lâaddition de dimensions aux 3 que nous percevons normalement ? R : Oui. La densitĂ© de 4e niveau implique une dimension supplĂ©mentaire dâexpĂ©rience nâest-ce pas ? Q : (T) La premiĂšre dimension est un seul point, la deuxiĂšme est le mouvement du point vers la ligne, la troisiĂšme est le mouvement de la ligne vers le plan et lâajout du temps donne la soliditĂ©. Quelle est la quatriĂšme ? R : DĂ©couvrez ! Q : (J) Jâai vu, nous avons tous vu, le spectre lumineux. Ce que nous sommes capables de percevoir avec nos yeux nâen est quâune section limitĂ©e. Est-ce que la rĂ©alitĂ© est comme cela ? Que ce que nous sommes capables de percevoir nâest quâune petite section du spectre des vibrations ?
R : Proche. Q : (T) Quand nous passerons en 4e densitĂ©, est-ce que nos serons capables de percevoir davantage de cette bande Ă©lectromagnĂ©tique ? R : Beaucoup. Q : (L) Il y a quelques annĂ©es, jâĂ©tais en train de mĂ©diter sur mon lit, et je faisais ce que jâappelle du « zoning ». Câest un Ă©tat indescriptible. Jâai dĂ» refaire surface pendant un moment parce que jâentendais dans ma tĂȘte un bourdonnement qui ressemblait Ă celui dâun transformateur Ă©lectrique. Des mots sont venus dans ma tĂȘte, comme : « la prĂ©sence est en train dâapprocher », et jâai immĂ©diatement pensĂ© Ă la Shekinah, ou au « prĂ©curseur » de « la prĂ©sence de Dieu ». JâĂ©tais quelque peu agitĂ©e parce que je nâĂ©tais pas dans la position que jâaurais voulu adopter pour accueillir une expĂ©rience ou une visitation. La derniĂšre chose dont je me souviens est que jâai ajustĂ© ma position, et puis plus rien, jusquâĂ ce que je revienne Ă moi avec une soif intense. Je ne sais pas combien de temps a passĂ©, mais il doit avoir Ă©tĂ© assez long pour que je me retrouve avec une soif pareille. Le lit Ă©tait adjacent Ă un mur entre la chambre et la salle de bain, avec juste un petit espace pour circuler. Quand je me levais, je devais faire bien attention de ne pas me cogner la tĂȘte contre le mur. Je me levai de mon lit et fus abasourdie de constater que ma tĂȘte et mes Ă©paules Ă©taient passĂ©es directement Ă travers le mur dans la salle de bain ! DĂšs que jâai remarquĂ© cela, jâai commencĂ© Ă bien faire attention Ă tout ce que je percevais dâautre. Jâai remarquĂ© que tous les objets physiques apparaissaient comme des diapositives transparentes vibrant de couleurs et de lumiĂšres intenses. Les murs de la maison nâĂ©taient que de simples rideaux de lumiĂšre vibrante. Je
pouvais voir les enfants dans leurs lits respectifs dans dâautres piĂšces de la maison ; leurs corps Ă©taient lumineux. Je pouvais voir Ă travers la maison vers lâextĂ©rieur, et il ne faisait pas sombre comme nous le percevons. JâĂ©tais consciente que câĂ©tait la nuit, mais les arbres, les plantes et autres objets Ă©taient comme des apparences de lumiĂšres et de couleurs. Jâai briĂšvement pensĂ© Ă quelque chose de lointain ; ce fut comme si ma vision Ă©tait tĂ©lescopique et elle a «zoomé» dessus instantanĂ©ment. JâĂ©tais aussi consciente que ma vision couvrait les 360°, câest-Ă -dire que je pouvais voir dans toutes les directions Ă la fois. Tout cela sâest passĂ© trĂšs rapidement, du moins il mâa semblĂ©, et jâai rĂ©alisĂ© que je nâĂ©tais pas dans le corps. Cette pensĂ©e mâa effrayĂ©e, et Ă lâinstant oĂč jâai Ă©tĂ© effrayĂ©e, câest-Ă -dire quâun soupçon de peur mâa atteinte, jâai Ă©tĂ© tirĂ©e en arriĂšre comme avec un Ă©lastique. Jâai dĂ©couvert que je me trouvais exactement comme jâĂ©tais juste avant dâentendre le bourdonnement, sans avoir procĂ©dĂ© aux ajustements de position ont je me souvenais. R : Vous avez fait lâexpĂ©rience dâune « percolation » en 4e densitĂ©. Q : (T) Quand tu as commencĂ© Ă expliquer lâĂ©tat de transe tu as dit : « Ce que jâappelle « faire du zoning », je ne peux pas lâexpliquer ». Câest ce que les CassiopĂ©ens disent quand nous leur demandons dâexpliquer Ă quoi ressemble la 4e
densitĂ© ! (J) Oui, nous nâavons aucun cadre de rĂ©fĂ©rence. (L) Oui, je ne peux pas dire que je nâĂ©tais pas consciente, parce que jâĂ©tais intensĂ©ment consciente de tout. Et cependant, je ne peux pas dire que jâĂ©tais concentrĂ©e sur une chose en particulier, parce que je ne lâĂ©tais pas. (F) Ă la derniĂšre sĂ©ance nous avons reçu des indices
indiquant pourquoi ils ne peuvent pas expliquer tout cela. Ils ont dit quelque chose quand nous avons parlĂ© des plantes et des roches en 1Ăšre densitĂ©. Essayez de penser Ă quelque chose en langage animal pour exprimer Ă quoi cela ressemble de percevoir lâunivers en tant quâhumains. Moi jâai pensĂ© que mĂȘme si nous partageons un mĂȘme espace avec des chiens, des chats, etc. leur perception de lâunivers est si radicalement diffĂ©rente quâen dĂ©pit de tout, câest comme sâils se trouvaient sur une autre planĂšte. Ce nâest pas seulement ce quâils peuvent physiquement voir et comment ils le voient, mais comment ils le perçoivent et le comprennent, et comment ils pensent. Câest tellement radicalement diffĂ©rent dâun ĂȘtre humain⊠Et certaines personnes sâattachent tellement et sont tellement Ă©motives et pensent que les animaux sont presque humains, et le chien ne pense mĂȘme pas «Oh, je suis un chien, je pense que je vais faire une sieste ». Donc, quand on pense aux Ă©tapes vers le haut en ce qui concerne les densitĂ©s, si elles sont simplement Ă©gales, pensez au saut de la 3e vers la 4e ! En 4e il se peut quâils nous comprennent totalement, mais leur point de vue est entiĂšrement diffĂ©rent ! R : PrĂ©cisĂ©ment ! AprĂšs ses expĂ©riences avec les chamanes dâAmĂ©rique du Sud, le Dr. NARBY a fait le commentaire qui suit : « La vraie rĂ©alitĂ© est plus complexe que nos yeux ne nous le font croire ». Il dĂ©crit ensuite une expĂ©rience qui lâa aidĂ© Ă conceptualiser la rĂ©alitĂ© du monde chamanique : Cinq mois aprĂšs le dĂ©but de mon enquĂȘte, ma femme et moi avons rendu visite Ă des amis qui, au cours de la soirĂ©e nous ont prĂ©sentĂ© un livre contenant des images colorĂ©es en « trois dimensions », composĂ©es de ce qui semblait ĂȘtre des points en dĂ©sordre. Pour voir Ă©merger une image cohĂ©rente de cet amas, il fallait dĂ©focaliser son regardâŠ.. AprĂšs plusieurs
essais, et on aurait dit par magie, un stĂ©rĂ©ogramme remarquablement profond a surgi de la page que je tenais devant moi. Il montrait un dauphin sautant dans les vagues. DĂšs que jâai focalisĂ© normalement sur la page, le dauphin a disparu, ainsi que les vagues devant et derriĂšre lui, et tout ce que jâai pu voir câĂ©tait Ă nouveau un brouillard de points. (pp. 45-46) NARBY dit ensuite plusieurs choses intĂ©ressantes Ă propos de la connaissance. Nous ne savons pas comment fonctionne notre systĂšme visuel. Pendant que vous lisez ces mots, vous ne voyez pas vraiment lâencre, le papier, vos mains et lâenvironnement, mais une image interne en trois dimensions qui les reproduit presque exactement et qui est Ă©laborĂ©e par votre cerveau. Les photons rĂ©flĂ©chis par cette page frappent la rĂ©tine de vos yeux qui les transforme en informations Ă©lectrochimiques. Le nerf optique relaie ces informations vers le cortex visuel Ă lâarriĂšre de la tĂȘte, oĂč un rĂ©seau cascadant de cellules nerveuses sĂ©pare le informations entrĂ©es en catĂ©gories (selon les formes, les couleurs, les mouvements, la profondeur, etc.). Comment le cerveau parvient Ă rĂ©unir ces ensembles dâinformation catĂ©gorisĂ©e en images cohĂ©rentes, cela reste un mystĂšre. Cela signifie aussi que la base neurologique de la conscience nâest pas connue. [4] Cela met en lumiĂšre le fait que, si nous ne savons mĂȘme pas vraiment comment nous pouvons voir les choses que nous qualifions de « rĂ©alitĂ© tridimensionnelle », comment pourrions-nous concevoir la perception de quelque chose dâaussi Ă©trange que les idĂ©es de 4e densitĂ© ? Il semble que, quand une personne a des hallucinations, il nây ait pas de « source extĂ©rieure » de stimulation visuelle. Une preuve de cela pourrait ĂȘtre que les camĂ©ras ne peuvent pas enregistrer les hallucinations. LâĂ©nigme
des hallucinations peut ĂȘtre rĂ©duite Ă une question plus fondamentale : est-ce que les hallucinations se produisent Ă lâintĂ©rieur du cerveau humain de 3e densitĂ©, comme le suggĂšrent des Ă©tudes scientifiques de « 3e densitĂ© », ou bien Ă lâextĂ©rieur comme lâaffirment les chamanes ? Partout dans le monde, des chamanes dâĂ©coles diffĂ©rentes font les mĂȘmes rĂ©cits et ont en gĂ©nĂ©ral les mĂȘmes visions. Et ces visions comprennent presque toujours des serpents qui informent le visionnaire quâils sont les crĂ©ateurs de la race humaine. Le Dr. NARBY conclut son Ă©tude par lâhypothĂšse que les images de serpent sont des reprĂ©sentations de lâADN. Pour rĂ©sumer, lâADN est un maĂźtre de la transformation qui a la forme dâun serpent, qui vit dans lâeau, et qui est Ă la fois extrĂȘmement long et petit, simple et double. Exactement comme le serpent cosmique. (p 93). Et il dit encore : MircĂ©a ELIADE a montrĂ© que ces diffĂ©rentes images ont un thĂšme commun, appelĂ© « axis mundi », ou axe du monde, et quâil a trouvĂ© dans les traditions chamaniques du monde entier. Selon ELIADE, lâaxis mundi donne accĂšs Ă lâau-delĂ et aux connaissances chamaniques ; il y a un passage « paradoxal » normalement rĂ©servĂ© aux dĂ©funts, que les chamanes parviennent Ă emprunter alors quâils sont vivants, et ce passage est souvent gardĂ© par un serpent ou un dragon. Pour ELIADE, le chamanisme est lâensemble des techniques qui permettent de nĂ©gocier ce passage, atteindre lâaxe, acquĂ©rir les connaissances qui lui sont associĂ©es, et de les rapporter. [âŠ] Selon mon hypothĂšse, les chamanes abaissent leur conscience jusquâau niveau molĂ©culaire, et accĂšdent ainsi Ă lâinformation bimolĂ©culaire. (p. 93) Il se pourrait nĂ©anmoins, que les choses ne soient pas
aussi simples. Il faut faire une distinction entre le « Serpent » et la reprĂ©sentation serpentine de lâADN. Joseph CAMPBELL a parlĂ© des symboles universels du serpent : Dans tous les documents des volumes Primitifs, Orientaux et Occidentaux de cet ouvrage, les mythes et rites du serpent apparaissent frĂ©quemment et dans un sens symbolique remarquablement constant. Partout oĂč la nature est rĂ©vĂ©rĂ©e comme se mouvant par elle-mĂȘme et dĂšs lors Ă©tant divine en soi, le serpent est rĂ©vĂ©rĂ© comme un symbole de cette vie divine. [5] Mais comme le fait remarquer le Dr. NARBY : CAMPBELL sâappuie sur deux moments critiques en ce qui concerne le serpent cosmique dans la mythologie mondiale. Le premier est « dans le contexte du patriarcat des HĂ©breux de lâĂge de Fer, au premier millĂ©naire avant lâĂšre chrĂ©tienne, [oĂč] la mythologie adoptĂ©e par les premiĂšres civilisations du NĂ©olithique et de lâĂge de Bronze âŠ. a Ă©tĂ© inversĂ©e, pour faire dâun argument exactement lâopposĂ© de ce quâil Ă©tait Ă lâorigine ». Dans le rĂ©cit judĂ©o-chrĂ©tien de la CrĂ©ation rapportĂ© dans le premier livre de la Bible, nous trouvons des Ă©lĂ©ments communs Ă de trĂšs nombreux mythes de la crĂ©ation du monde : le serpent, lâarbre, et les jumeaux ; mais pour la premiĂšre fois le serpent, qui avait Ă©tĂ© vĂ©nĂ©rĂ© au Levant pendant au moins sept mille ans avant la composition du Livre de la GenĂšse, joue le rĂŽle du vilain. YahvĂ©, qui le remplace dans le rĂŽle du crĂ©ateur, finit par vaincre « le serpent de la mer cosmique, LĂ©viathan ». [âŠ] CAMPBELL dit au sujet des jumeaux dans le Jardin dâEden : « ils avaient dâabord Ă©tĂ© un, en tant quâAdam ; puis ils ont Ă©tĂ© sĂ©parĂ©s en Adam et Eve. Cependant, la lĂ©gende de la cĂŽte est clairement une inversion patriarcale, puisque le mĂąle
engendre la femelle, ce qui est Ă lâopposĂ© des mythes anciens et de la rĂ©alitĂ© biologique. De mĂȘme, la damnation du serpent est extrĂȘmement ambiguĂ« : YahvĂ© lâaccuse dâavoir montrĂ© Ă Eve lâarbre de la Connaissance du Bien et du Mal⊠Pour CAMPBELL, ces inversions patriarcales adressent au coeur un message imagĂ© qui inverse exactement le message verbal adressĂ© au cerveau ; et ce dĂ©saccord nerveux existe tant chez les ChrĂ©tiens que chez les Musulmans, et chez les Juifs, puisque eux aussi partagent lâhĂ©ritage de lâAncien Testament ». [6] Le deuxiĂšme moment critique pour lâimage du serpent se trouve dans la mythologie grecque, oĂč Zeus, Ă lâorigine reprĂ©sentĂ© comme un serpent, devient un tueur de serpent et vainc Typhon, lâenfant de la dĂ©esse Gaia. Quelque chose a dĂ» se produire Ă ces Ă©poques, qui pourrait devenir clair Ă mesure que nous progressons dans notre analyse. Mais tournons Ă prĂ©sent notre attention vers une « autre rĂ©alitĂ© », et voyons si nous trouvons des rapports entre cette rĂ©alitĂ© et ce qui est dit de « lâunivers extraterrestre ». Dans The Active Side of Infinity [7], Carlos CASTANEDA dĂ©crit une expĂ©rience dans le dĂ©sert du Mexique, sous lâĂ©gide de son mentor, Don Juan Matus. Il [Don Juan] mâa dĂ©crit un nombre incalculable de fois le corps Ă©nergĂ©tique, disant quâil sâagit dâun agglomĂ©rat de champs dâĂ©nergie, lâimage en miroir de lâagglomĂ©rat de champs dâĂ©nergie qui constituent le corps physique quand il est vu comme de lâĂ©nergie qui circule dans lâunivers. Il a dit quâil Ă©tait plus petit, plus compact, et dâune apparence plus pesante que la sphĂšre lumineuse du corps physique. Don Juan a expliquĂ© que le corps physique et le corps Ă©nergĂ©tique Ă©taient deux agglomĂ©rats de champs Ă©nergĂ©tiques compressĂ©s ensemble par une Ă©trange force dâagglomĂ©ration. Il
a soulignĂ© sans se lasser que la force qui lie ensemble ce groupe de champs Ă©nergĂ©tiques Ă©tait, dâaprĂšs les sorciers de lâancien Mexique, la force la plus mystĂ©rieuse de lâunivers. Son opinion personnelle Ă©tait que câĂ©tait la pure essence du cosmos entier, le tout, le total de tout ce quâil y a. Mais avant de poursuivre avec Carlos et Don Juan, je voudrais insĂ©rer quelques remarques faites par les CassiopĂ©ens Ă ce sujet. CassiopĂ©ens : et ceci, ma chĂšre, est un autre exemple de la gravitĂ© comme liant de toute crĂ©ation⊠« Le Grand Compensateur ! » Q : (L) Vous avez dit que la gravitĂ© est le liant de toute rĂ©alitĂ©. R : Oui. Q : Et Ă prĂ©sent vous parlez de lier les perceptions. R : Oui. Ă prĂ©sent essayez de vous imaginer comment la gravitĂ© est le liant de toute perception ! ! ! Q : (L) Si la gravitĂ© est le liant, est-ce que la gravitĂ© est la conscience ? R : Pas exactement. Est-ce que vous saviez quâil nây a ni gauche ni droite de la 4e Ă la 7e densitĂ© ? Si vous parvenez Ă vous figurer cela exactement, alors vous pourriez ĂȘtre Ă mĂȘme de comprendre les rĂ©ponses Ă toutes les questions que vous posez. Sinon, il vaut mieux «faire une pause». Parce cela ne deviendra de lâapprentissage productif que quand vous mĂ©diterez et rĂ©flĂ©chirez « plus tard ». Q : (L) Est-ce que la gravitĂ© est quelque chose qui provient du centre de fenĂȘtres dimensionnelles donnant sur une « structure » opposĂ©e Ă elle-mĂȘme dans le monde, plutĂŽt que lâattraction entre objets dans ce monde matĂ©riel-ci ? R : La gravitĂ© est le « liant » commun Ă toutes les existences imaginables. Câest en rĂ©alitĂ© tout ce que vous avez
besoin de savoir. Q : (L) Okay, liant. Est-ce que la gravitĂ© lie de la mĂȘme façon que les faibles liaisons dâhydrogĂšne lient les brins dâADN ? R : Non. Q : OK, alors est-ce que la gravitĂ© lie comme le phosphate se lie Ă lâatome de carbone ? R : Cela est matĂ©riel. Le chaĂźnon qui vous manque Ă tous, les amis, câest que la gravitĂ© est autant antimatiĂšre que matiĂšre ! ! Q : (A) Alors, en ce qui concerne cette gravitĂ© et lâantimatiĂšre, est-ce que câest une image correcte de dire quâil y a le positif et le nĂ©gatif, et que la gravitĂ© a Ă voir avec les Ă©changes entre positif et nĂ©gatif ? R : La gravitĂ© est le « carburant » ou le « sang vital » dâabsolument tout ce qui existe !!! MatiĂšre/antimatiĂšre. Lâun se figure la matiĂšre comme basĂ©e sur les particules atomiques, lâautre se figure de lâĂ©nergie pure sous forme consciente. La gravitĂ© est le liant Ă©quilibrant tout cela. En premier lieu il faut avoir une image correcte de la gravitĂ©. La gravitĂ© est le liant entre matiĂšre et antimatiĂšre. Q : (A) Vous utilisez le mot « gravitĂ© ». Les scientifiques utilisent aussi le mot « gravitĂ© ». Apparemment il y a deux significations diffĂ©rentes ? R : Comment cela ? Q : (A) Parce que, selon la science, la gravitĂ© est une force, comme les autres forces, câest un champ comme dâautres champs, et Ă©tant un champ⊠R : Mais câest le champ fondamental dont Ă©manent tous les autres champs. Revenons Ă Carlos et Don Juan. Nous les avons laissĂ©s en train de parler de la force qui relie les champs dâĂ©nergie et
qui jouerait un rĂŽle dans la liaison du corps Ă©nergĂ©tique au corps matĂ©riel. Carlos poursuit : Don Juan a dit que par la discipline chacun a la possibilitĂ© dâattirer le corps Ă©nergĂ©tique plus prĂšs du corps physique. Normalement, la distance entre les deux est Ă©norme. Lorsque le corps Ă©nergĂ©tique est Ă une certaine distance, qui varie pour chacun dâentre nous individuellement, tous nous pouvons, par une discipline, en faire lâexacte rĂ©plique de notre corps physique â câest-Ă -dire, un ĂȘtre solide Ă trois dimensionsâŠ. De mĂȘme, et en suivant les mĂȘmes processus de discipline, nâimporte qui peut faire de son corps solide en trois dimensions, une rĂ©plique parfaite de son corps Ă©nergĂ©tique ; câest-Ă -dire une charge se mouvant par elle-mĂȘme dâĂ©nergie invisible aux yeux humains, comme lâest toute Ă©nergie. [âŠ] Assis Ă lâarriĂšre de sa maison mexicaine ce jour â lĂ , Don Juan dĂ©clara que le corps Ă©nergĂ©tique Ă©tait dâune importance capitale pour tout ce qui se produit dans ma vie. Il voyait que câĂ©tait un fait Ă©nergĂ©tique que mon corps Ă©nergĂ©tique, au lieu de sâĂ©loigner de moi comme câest normalement le cas, sâapprochait de moi Ă grande vitesse. « Quâest-ce que cela signifie quâil sâapproche de moi, Don Juan ? » demandai-je. « Cela signifie que quelque chose va te faire exploser la lumiĂšre du jour, dit-il en souriant. Un Ă©norme volume de contrĂŽle va entrer dans ta vie ; mais pas le contrĂŽle de toi ; la contrĂŽle de ton corps Ă©nergĂ©tique. » « Voulez-vous dire, Don Juan, quâune force extĂ©rieure va prendre contrĂŽle de moi ? » ai-je demandĂ©. « Il y a des dizaines de forces extĂ©rieures qui te contrĂŽlent en ce moment », rĂ©pondit Don Juan. « Le contrĂŽle auquel je fais allusion est quelque chose qui est au-delĂ du langage. Câest ton contrĂŽle et en mĂȘme temps ce ne lâest pas.
Cela ne peut pas ĂȘtre mis dans une catĂ©gorie, mais il est certainement possible dâen faire lâexpĂ©rience. Et surtout, cela peut certainement ĂȘtre manipulĂ©. Souviens-toi de ceci : cela peut ĂȘtre manipulĂ© Ă ton entier profit naturellement, qui une fois encore nâest pas ton propre profit mais celui du corps Ă©nergĂ©tique. NĂ©anmoins, le corps Ă©nergĂ©tique câest toi, de sorte quâon pourrait continuer sans fin comme des chiens qui se mordent la queue, pour essayer de dĂ©crire cela. Toutes ces expĂ©riences sont au-delĂ de la syntaxe. » Le soir Ă©tait tombĂ© trĂšs rapidement, et le feuillage des arbres qui avait Ă©tĂ© dâun vert brillant un petit moment auparavant, Ă©tait Ă prĂ©sent trĂšs sombre et pesant. Don Juan dit que si je portais toute mon attention sur lâobscuritĂ© du feuillage, sans focaliser mon regard mais en le regardant du coin de lâoeil, je verrais une ombre furtive passer dans mon champ de vision. Je vis en effet une Ă©trange ombre noire se projeter fugitivement sur le feuillage des arbres. CâĂ©tait ou bien une ombre qui allait et venait, ou bien plusieurs ombres se mouvant de droite Ă gauche et de gauche Ă droite, ou tout droit dans les airs. Elles me paraissaient ĂȘtre de gros, dâĂ©normes poissons noirs. CâĂ©tait comme si de gigantesques espadons fendaient lâair. [âŠ] « Quâest-ce donc, Don Juan ? » demandai-je. « Je vois voler partout des ombres noires. » « Ah, ça câest lâunivers en libertĂ© », dit-il, « incommensurable, non-linĂ©aire, au-delĂ de lâunivers de la syntaxe. Les sorciers de lâancien Mexique ont Ă©tĂ© les premiers Ă voir ces ombres fugitives, et donc ils les ont suivies. Ils les ont vues comme tu les vois toi, et ils les ont vues comme de lâĂ©nergie circulant dans lâunivers. Et ils ont dĂ©couvert quelque chose de transcendant. [âŠ] Ils ont dĂ©couvert que nous avons
un compagnon de vieâŠ. Nous avons un prĂ©dateur venu des profondeurs du cosmos et qui a pris le contrĂŽle de notre vie. Les ĂȘtres humains sont ses prisonniers. Le prĂ©dateur est notre suzerain et maĂźtre. Il nous a rendus dociles, sans dĂ©fense. Quand nous voulons protester, il ignore notre protestation. Quand nous voulons agir de maniĂšre indĂ©pendante, il ne le veut pas. » [âŠ] « Par tes seuls efforts, tu es arrivĂ© Ă ce que les anciens chamanes du Mexique appelaient le sujet des sujets. Jusquâici jâai tournĂ© autour du pot, en te disant que quelque chose nous retient prisonniers. Nous sommes effectivement prisonniers ! Cela est un fait qui a Ă©tĂ© confirmĂ© pour les sorciers de lâancien Mexique. » « Pourquoi est-ce que ce prĂ©dateur a pris le contrĂŽle de la maniĂšre que vous avez dĂ©crite, Don Juan ? » Demandai-je. « Il doit y avoir une explication logique ». « Il y a une explication », rĂ©pondit Don Juan, « qui est la plus simple du monde. Ils ont pris le contrĂŽle parce que nous sommes de la nourriture pour eux, et ils nous pressent sans merci parce que nous sommes leur subsistance. Tout comme nous Ă©levons des poulets dans nos basses-cours, ainsi les prĂ©dateurs nous Ă©lĂšvent dans des cages Ă humains. Ainsi, leur nourriture leur est toujours disponible ». Je sentis que ma tĂȘte tremblait violemment. Je nâĂ©tais pas capable dâexprimer mon profond sentiment de malaise et de frustration, mais mon corps bougeait pour le faire remonter Ă la surface. Je tremblais des pieds Ă la tĂȘte, sans pouvoir mâarrĂȘter. « Non, non, non, non », mâentendis-je dire. « Ceci est absurde, Don Juan. Ce que vous ĂȘtes en train de dire est monstrueux. Cela ne peut pas ĂȘtre vrai, ni pour des sorciers, ni pour lâhomme de la rue, ni pour personne ».
« Pourquoi non ? » Demanda calmement Don Juan. « Pourquoi non ? Parce que cela te met en fureur ? » « Oui, cela me met en fureur », rĂ©torquai-je. « Ces affirmations sont monstrueuses ! » [âŠ] « Je veux faire appel Ă ton sens analytique » dit Don Juan. « RĂ©flĂ©chis un moment, et puis dis-moi comment tu expliquerais la contradiction entre lâintelligence de lâhomme ingĂ©nieux et la stupiditĂ© de ses comportements contradictoires. Les sorciers croient que les prĂ©dateurs nous ont donnĂ© leurs systĂšmes de croyance, nos idĂ©es du bien et du mal, nos coutumes sociales. Ce sont eux qui dĂ©cident de nos espĂ©rances, nos attentes, nos rĂȘves de succĂšs ou dâĂ©chec. Ils ont mis en nous la convoitise, lâaviditĂ© et la couardise. Ce sont les prĂ©dateurs qui nous rendent complaisants, routiniers et Ă©gocentriques ». « Mais comment peuvent-ils faire cela, Don Juan ? » demandai-je, rendu encore un peu plus furieux parce quâil disait. « Est-ce quâils nous murmurent ces choses Ă lâoreille pendant notre sommeil ? » « Non, ils ne font pas ainsi. Cela est idiot ! » Dit Don Juan en souriant. « Ils sont infiniment plus efficaces et organisĂ©s que cela. Pour nous garder obĂ©issants, dociles et faibles, les prĂ©dateurs se sont engagĂ©s dans une manoeuvre Ă©poustouflante - Ă©poustouflante du point de vue du stratĂšge combattant, cela va de soi. Une manoeuvre horrible du point de vue de celui qui en pĂątit. Ils nous ont donnĂ© leur mental ! Mâentends-tu ? Les prĂ©dateurs nous ont donnĂ© leur mental, qui est devenu notre mental. Le mental des prĂ©dateurs est baroque, contradictoire, morose, rempli de la crainte dâĂȘtre dĂ©couverts Ă tout instant Ă prĂ©sent. » Don Juan poursuivit : « Je sais que, mĂȘme si tu nâas jamais souffert de la faim⊠tu as peur dâavoir faim, ce qui
nâest pas autre chose que lâanxiĂ©tĂ© du prĂ©dateur qui craint quâĂ tout instant sa manoeuvre peut ĂȘtre dĂ©couverte et que la nourriture lui sera refusĂ©e. Par le mental, qui aprĂšs tout est leur mental, les prĂ©dateurs injectent dans la vie des humains, tout ce qui leur convient. Et ils assurent de cette maniĂšre un certain degrĂ© de sĂ©curitĂ© qui agit comme un tampon qui amortit cette peur. » [8] Revenons maintenant Ă quelque chose que le Dr. NARBY a trouvĂ© dans la littĂ©rature du chamanisme. Il cite la description subjective de lâexpĂ©rience de lâayahuasca dĂ©crite par lâanthropologue Michael HARNER. Au dĂ©but des annĂ©es 1960, HARNER Ă©tudiait la culture des indiens Conibos. Ces Indiens lui avaient dit que sâil voulait vraiment comprendre leur systĂšme religieux, il devrait boire de lâayahuasca. Il accepta avec crainte et apprĂ©hension, et voici le rapport de son expĂ©rience : AprĂšs plusieurs minutes il est tombĂ© dans un monde dâauthentiques hallucinations. AprĂšs ĂȘtre arrivĂ© dans une caverne cĂ©leste oĂč « un carnaval surnaturel de dĂ©mons » battait son plein, il aperçut deux Ă©tranges esquifs flottant dans les airs, qui se combinĂšrent pour former une Ă©norme figure de proue Ă tĂȘte de dragon assez semblable Ă un bateau viking. Sur le pont, il aperçut une foule de gens avec des tĂȘtes de geais bleus et des corps humains, assez semblables aux divinitĂ©s Ă tĂȘte dâoiseau peintes dans les tombes des anciens Ăgyptiens. [âŠ] Puis il vit que ses visions Ă©manaient de âcrĂ©atures reptiliennes gĂ©antesâ reposant au plus profond de son cerveau. Ces crĂ©atures se mirent Ă projeter des scĂšnes devant ses yeux, pendant quâelles dĂ©claraient que toutes ces informations Ă©taient rĂ©servĂ©es aux mourants et aux dĂ©funts : « Dâabord ils mâont montrĂ© la planĂšte Terre comme elle Ă©tait il y a des Ă©ons, avant quâil y ait aucune vie dessus. Jâai vu un ocĂ©an, des terres
stĂ©riles, et un clair ciel bleu. Puis, des taches noires se sont mises Ă tomber du ciel par centaines et ont atterri devant moi, dans le paysage stĂ©rile. Jâai pu voir que ces âtachesâ Ă©taient en fait de grandes crĂ©atures noires brillantes, avec de courtes ailes de ptĂ©rodactyles et de gros corps comme ceux de baleines⊠ils mâont expliquĂ©, dans une sorte de langage pensĂ© quâils fuyaient quelque chose dans lâespace. Ils Ă©taient venus sur la planĂšte Terre pour Ă©chapper Ă leurs ennemis. Les crĂ©atures mâont ensuite montrĂ© comment elles avaient crĂ©Ă© la vie sur la planĂšte, afin de pouvoir se cacher Ă lâintĂ©rieur des formes innombrables et dĂ©guiser ainsi leur prĂ©sence. Devant moi, la magnificence de la crĂ©ation et de la spĂ©ciation - des centaines de millions dâannĂ©es dâactivitĂ© - avait lieu sur une Ă©chelle et avec un Ă©clat impossibles Ă dĂ©crire. Jâappris que les crĂ©atures semblables Ă des dragons se trouvaient donc Ă lâintĂ©rieur de toutes les formes de vie, y compris dans lâhomme. RĂ©trospectivement, on aurait pu dire quâils Ă©taient presque comme lâADN, bien quâĂ cette Ă©poque, en 1961, je ne susse rien de lâADN ». [9] Revenons encore un moment auprĂšs de CASTANEDA, en gardant Ă lâidĂ©e les crĂ©atures dĂ©crites par Michael HARNER, nous retrouvons Don Juan et Carlos un beau jour dans le dĂ©sert : âŠJâaurais en fait voulu rentrer immĂ©diatement chez moi [âŠ] mais avant dâatteindre sa maison, Don Juan sâassit sur un haut rebord surplombant la vallĂ©e. Pendant un moment il ne dit rien. Il nâĂ©tait pas hors dâhaleine. Je nâavais aucune idĂ©e de la raison pour laquelle il sâĂ©tait arrĂȘtĂ© pour sâasseoir. « Pour toi », dit-il ex abrupto dâun ton prophĂ©tique, « la tĂąche du jour est lâune des choses les plus mystĂ©rieuses en sorcellerie ; quelque chose au-delĂ du langage, au-delĂ des explications. âŠAlors, soutiens-toi en tâappuyant contre ce mur de rocher, aussi loin que possible du bord. Je serai prĂšs de toi
au cas oĂč tu tâĂ©vanouirais ou si tu tombais. âŠCroise les jambes et entre dans le silence intĂ©rieur, mais ne tombe pas endormi ». Il me fut assez difficile dâentrer dans le silence intĂ©rieur sans tomber endormi. Je luttai contre une terrible envie de dormir. Jây rĂ©ussis, et me retrouvai en train de regarder le fond de la vallĂ©e alors que jâĂ©tais entourĂ© dâune obscuritĂ© Ă©paisse. Et puis, je vis quelque chose qui me glaça jusquâĂ la moelle des os. Je vis une ombre gigantesque, dâenviron 4m50 dâenvergure, sauter dans les airs et retomber avec un choc silencieux. Je ressentis le choc dans mes os, mais je ne lâentendis pas. « Ils sont vraiment trĂšs lourds », me glissa Don Juan Ă lâoreille. Il me tenait le bras gauche, aussi fort quâil le pouvait. Je vis quelque chose qui ressemblait Ă une ombre boueuse se tortiller sur le sol, puis faire encore un bond gigantesque en longueur, de peut-ĂȘtre 15m, et retomber avec ce mĂȘme choc silencieux. Je devais lutter pour ne pas perdre ma concentration. JâĂ©tais effrayĂ© de maniĂšre indescriptible. Je gardai mes yeux fixĂ©s sur lâombre bondissante au fond de la vallĂ©e. Puis jâentendis un bourdonnement trĂšs particulier, un mĂ©lange de bruit dâailes et de bourdonnement dâune radio dont on essaierait dâajuster la frĂ©quence pour atteindre une station Ă©mettrice ; et le choc sourd qui suivit fut inoubliable Il nous secoua jusquâaux os Don Juan et moi â une gigantesque ombre boueuse venait dâatterrir Ă nos pieds. « Nâaie pas peur », dit impĂ©rieusement Don Juan. « Garde ton silence intĂ©rieur et elle partira ». Je tremblais de la tĂȘte aux pieds. Je savais trĂšs clairement que si je ne gardais pas vif mon silence intĂ©rieur, alors lâombre boueuse sâĂ©tendrait sur moi comme une couverture et me suffoquerait. Sans perdre de vue lâobscuritĂ© qui mâentourait, je criai le plus fort que je pus. Jamais je ne mâĂ©tais senti autant en colĂšre, si totalement frustrĂ©. Lâombre
boueuse fit un autre saut, manifestement vers le fond de la vallĂ©e. Je continuai Ă crier en secouant mes jambes. Je voulais me dĂ©barrasser de ce qui pourrait venir me manger. [10] Cela est plutĂŽt effrayant, câest le moins que lâon puisse dire. Mais se pourrait-il que ce soit vrai ? Avant de considĂ©rer tout cela comme des phĂ©nomĂšnes ou des hallucinations chamaniques ou dâanthropologues, jetons un coup dâoeil Ă un autre Ă©vĂ©nement qui sâest produit dans un contexte lĂ©gĂšrement diffĂ©rent. Câest un court fragment dâun rĂ©cit fait au cours dâune rĂ©gression sous hypnose. Lâhypnotiseur est Barbara BARTHOLIC, et le sujet est « David », le fils du Dr. Karla TURNER. Quelque chose manquait manifestement dans le souvenir de David au sujet des Ă©vĂ©nements, de sorte que Barbara le questionna davantage sur ce quâil avait vu auprĂšs du sapin. « Je suis en train de regarder une ombre », rĂ©pondit-il. « Peut-ĂȘtre que câest le chat ; il aime cet arbre. Un grenadier bruissant. Au bas ? Mais comment ? Il y a quelque chose qui bouge, mais je ne parviens pas Ă voir. Câest une tache sombre, une tache noire qui bouge autour de lâarbre. Et elle est partie ». Barbara lui demanda dâĂ©toffer sa description, et David poursuivit. « Jâai vu ; cela paraĂźt irrĂ©gulier. Est-ce que câest une ombre ? Câest noir. Câest sur le sol. Ăa bouge ici et lĂ , rapidement, en bruissant. Comme quand on marche sur des feuilles. Et câest trĂšs faible, comme un murmure⊠un bruit de serpent, vraiment faible. [âŠ] Mon cerveau ne fonctionne pas », dit-il. « Je la suis Ă grands pas vers la voiture. Ah, ah. Mais je veux aller voir ça. Jâai entendu un bruit. » « Ă quoi ressemble ce bruit ? » [question de Barbara]
« Une corde, tirĂ©e vraiment trĂšs vite », rĂ©pondit-il. « Whoooo, on dirait une toupie. Mais doucement, car le son est trĂšs bas. Et câest alors que je vois la chose. Le noir. Ce nâest que du noir, sur le sol. TrĂšs rapide. Quelque chose mâa heurtĂ© auparavant ». « OĂč ? » a demandĂ© Barbara. « Mâa donnĂ© un choc », rĂ©pondit-il. « Dans le dos. Dans la hanche, au bas de ma colonne⊠Je rebondis mĂ©caniquement vers lâantenne-parabole, je penseâŠ. Câest grand⊠Cela me fait mal partout, le choc. Ăa pique vraiment fort. Partout dans mes os ça pique et la secoue. [âŠ] Je marche autour de lâarbre, et jâentends un bruit. Comme une toupie, une toupie qui ronronne. Cela commence dans lâaigu et puis cela descend, et cela sâen va assez vite. Alors je regarde dans sa direction. Je ne vois pas trĂšs bien. âŠCâest comme une tache sur le sol, ⊠un torchon noir ? Ou un sac-poubelle ? DrĂŽle de forme. Câest plat, plat, plat. Câest sur le sol, ce nâest pas diffĂ©rent du sol, mais câest juste noir et ça va trĂšs vite⊠et ça fait un petit bruit. Je regarde en direction de la chose. âŠUne noirceur. Un « pas ». Comme un « pas là ». Comme une flaque de pĂ©trole qui bougerait sur le sol⊠et ça bouge mais ça change aussi. Pas beaucoup, juste les bords, pas trĂšs stable. Et câest vite parti. Je me sens bizarre⊠Je ne suis tout simplement pas moiâŠ. âŠJe me sens vide âŠcomme quelque chose de lointain⊠». (TURNER, 1992, pp. 132-139ff) Il est assez Ă©trange que cette victime dâun « rapt » ait dĂ©crit quelque chose qui ressemble Ă ce quâa dĂ©crit Don Juan en parlant du « prĂ©dateur ». Il est aussi intĂ©ressant de noter que David a fait lâexpĂ©rience dâĂ©tranges effets sonores, comme ceux dĂ©crits par CASTANEDA pendant lâinteraction avec la « chose noire ombreuse » qui ressemblait Ă une flaque de pĂ©trole sur le sol. En fait, CASTANEDA, a intitulĂ© ce chapitre : «
Ombres boueuses ». Mais comment pouvons-nous comprendre ces « constructions Ă©nergĂ©tiques » qui apparaissent tant dans les visions chamaniques que dans des supposĂ©s « rapts extraterrestres ». Quâest-ce que ces choses ont en commun ?
NOTES
[1]: Le rasoir dâOccam (ou Ockham) est un principe attribuĂ© au moine franciscain et penseur du XIVe siĂšcle William DâOCCAM, et dont le premier terme est : « Pluralitas non est ponenda sine neccesitate », câest-Ă -dire : « Ne pas avoir recours Ă la pluralitĂ© sans nĂ©cessitĂ© » ou, plus simplement : dans une thĂ©orie, il faut en Ă©liminer tous les effets non observables. (NdT) [2]: New York : Jeremy P. TARCHER/ Putnam ; 1998 [3]: See NARBY (1998) p. 17 ; also ELIADE (1964), p. 5 {specializes in trance}, pp. 96-97 {secret language}, pp ff and 487ff {vines, ropes, ladders) and p. 9 {spirits from the sky). [4]: NARBY, (1989) ; p. 48. Voir aussi : CRICK (1994, pp. 24, 159) pour le systĂšme visuel, et plus largement PENROSE (1994) et HORGAN (1994) pour les limites actuelles des connaissances sur la conscience. [5]: CAMPBELL, 1968, p. 154 [6]: NARBY, 1998, pp. 65, 66 ; CAMPBELL, 1964, pp. 17, 9, 22, 29, 30 [7]: Le cĂŽtĂ© actif de lâInfini (NdT) [8]: CASTANEDA,, pp. 213-220. [9]: HARNER, citĂ© par NARBY, 1998, pp. 54-55ff. [10]: CASTANEDA, 1998, pp. -233.
CHAPITRE XIII
Avant de vous prĂ©senter les informations cassiopĂ©ennes sur le processus des rapts, je voudrais vous parler dâune technologie particuliĂšre Ă la 4e densitĂ©, dont ils nous ont fait part en 1994 Ă la suite de nos questions sur la crĂ©ation de lâhumanitĂ©. Les passages qui suivent, extraits de nombreuses sĂ©ances et simplement disposĂ©s par ordre chronologique, parlent dâeux-mĂȘmes. Q : (L) Lâautre soir, vous avez dit quelque chose Ă propos de lâexpansion dâune Ă©toile qui conduirait Ă la crĂ©ation. Pourriez-vous nous en donner un peu plus sur cet aspect ? R : RemolĂ©cularisation atomique transdimensionnelle. Q : (L) Quâest-ce que la remolĂ©cularisation ? R : Ătre rassemblĂ©. Q : (L) RassemblĂ© de quoi en quoi ? R : Mode dâassemblage 4e densitĂ© en 3e densitĂ©. Câest une forme de « collision de densitĂ©s ». Q : (L) Est-ce que cela signifie que cela a Ă©tĂ© un point dans lâespace-temps oĂč de lâĂ©nergie pure a pu prendre forme sur un modĂšle une structure de pensĂ©e et devenir ainsi de la matiĂšre solide ? R : Proche. Q : (L) Est-ce que cette transition dâĂ©nergie Ă partir de densitĂ©s supĂ©rieures vers la troisiĂšme densitĂ© ou matiĂšre solide reprĂ©sente une sorte dâĂ©vĂ©nement traumatique pour lâĂ©nergie universelle ?
R : Subjectif. Q : (L) Est-ce une forme de mort ? R : Mort et naissance sont une mĂȘme chose. Q : (L) Est-ce que câĂ©tait une condition obligatoire que dâĂȘtre sur une planĂšte accompagnĂ©e dâune Ă©toile mourante pour que cette remolĂ©cularisation ait lieu ? R : Si remolĂ©cularisation en 3e densitĂ© est lâobjectif, oui. Q : (L) Est-ce que lâĂ©nergie descend quand elle arrive au 3e niveau ? R : Non. Câest un mouvement vers le haut de molĂ©cules, de matiĂšre atomique. La lumiĂšre est de premiĂšre densitĂ© et unifie toutes les densitĂ©s. Q : (L) Est-ce que cela signifie que par notre passage de 3e vers la 4e densitĂ© nous nous Ă©loignons de lâunification avec la source ? R : Non. LumiĂšre et obscuritĂ© unifient toutes les densitĂ©s. Q : (L) Est-ce que la lumiĂšre devient Ă©lectricitĂ© par lâintermĂ©diaire dâun changement de densitĂ© ? R : Oui. Q : (L) Est-ce de 1Ăšre en 3e quâelle devient de lâĂ©lectricitĂ© ? R : Oui. Q : (D) Est-ce que la remolĂ©cularisation atomique transdimensionnelle est la mĂȘme chose que la tĂ©lĂ©portation ? R : Proche. Q : (D) Okay, est-ce que câest ainsi que nous serons transfĂ©rĂ©s de 3e en 4e densitĂ© ? R : Câest une technologie qui sert Ă cela. Q : (L) Ă quels procĂ©dĂ©s ou technologies les Gris ont-ils recours pour passer Ă travers la matiĂšre solide ?
R : RĂ©arrangement atomique transdimensionnel. Q : (L) Comment est-ce que les extraterrestres se transportent eux-mĂȘmes ou dâautres sur des rayons lumineux ? R : Par concentration dâĂ©lectrons et rĂ©ponse prĂ©cĂ©dente. Q : (L) Qui ou que sont les individus appelĂ©s « hommes en noir » ? R : Projections de lĂ©zards. Q : (T) Est-ce que cela signifie quâils ne font que projeter lâimage dâun ĂȘtre ? R : Oui. Q : (T) Alors, les hommes en noir ne sont pas rĂ©els, selon notre physique Ă nous ? R : En partie correct. Vous ne comprenez pas la technologie mais nous pouvons la dĂ©crire si vous voulez. Q : (L) Nous voulons. DĂ©crivez cela sâil vous plaĂźt. R : Dâabord, il nous faut expliquer plus Ă fond le voyage temporel, qui est un transfert transdimensionnel utilisant lâajustement Ă©lectromagnĂ©tique de la structure atomique pour modifier la vitesse de la convergence du cycle temporel. Parce que les deux concepts sont Ă©troitement liĂ©s. La premiĂšre Ă©tape consiste Ă induire artificiellement un champ Ă©lectromagnĂ©tique. Cela ouvre la porte entre les dimensions de la rĂ©alitĂ©. Ensuite, des pensĂ©es doivent ĂȘtre transmises en channeling par le participant afin dâaccĂ©der au canal de liaison des rĂ©alitĂ©s. Elles doivent ensuite focaliser lâĂ©nergie vers le pont dimensionnel appropriĂ©. Les Ă©lectrons doivent ĂȘtre disposĂ©s en onde de frĂ©quence adĂ©quate. Ensuite, le rĂ©sultat du triage doit ĂȘtre envoyĂ© au travers du « rideau » de lâunivers afin dâĂ©quilibrer les perceptions Ă tous les niveaux de densitĂ©. Q : (L) Quelle est lâinterprĂ©tation de « triage » tel que vous lâavez utilisĂ© ? R : Triage est comme suit : 1. MatiĂšre, 2. Ănergie, 3.
Perception de rĂ©alitĂ©. Q : (L) Pourquoi vous rĂ©fĂ©rez-vous Ă un outil technologique censĂ© transporter les gens dâune densitĂ© vers une autre comme Ă un « remolĂ©cularisateur transdimensionnel » ? R : Pour pouvoir reconstruire 3e densitĂ© en 4e densitĂ© physique, dâautres dimensions doivent ĂȘtre utilisĂ©es dans le processus. Souvenez-vous, nous sommes en train de parler dâexactes rĂ©pliques qui doivent fusionner. Q : (T) Câest comme le chargement dâun programme sur un ordinateur. Certains programmes se chargent directement. Dâautres doivent crĂ©er un espace sur le disque dur pour y placer les fichiers nĂ©cessaires au chargement du programme mais qui ne font pas partie du programme ; et quand le tĂ©lĂ©chargement est terminĂ©, il efface toutes les « instructions de tĂ©lĂ©chargement ». Le disque dur est toujours le disque dur, mais pendant un temps le programme a utilisĂ© un secteur du disque dur et crĂ©Ă© une dimension temporaire, disons. Est-ce que câest cela que nous voyons ici ? Q : (L) Et, est-ce quâil peut exister des nombres infinis de « dimensions » Ă lâintĂ©rieur de chaque niveau de densitĂ©, mĂȘme temporairement ? R : Proche. Q : (L) Donc câest comme sâil y avait un disque dur, de nombreux programmes, des instructions de tĂ©lĂ©chargement pour de nouveaux programmes qui sont ensuite effacĂ©s, etc. Sâil y a une « dimension authentique » et une infinitĂ© dâunivers Ă lâintĂ©rieur de celle-ci, est-ce quâun univers particulier existe, de lui-mĂȘme et par lui-mĂȘme, Ă tout moment donnĂ©, jusquâĂ ce quâil fusionne en un nouvel univers, ou bien y a-t-il dans cette seule authentique dimension une multitude dâunivers aussi rĂ©els que le nĂŽtre, dans lesquels nous pourrions nous rendre et qui existeraient le long du nĂŽtre pour ainsi dire ?
R : Oui Ă ce dernier. Q : (L) Et est-ce que des nombres infinis de « dimensions » peuvent exister dans chaque niveau de densitĂ©, mĂȘme temporairement ? R : Oui. Si vous voulez retourner en arriĂšre et changer lâHistoire, soit pour des individus soit pour une perception universelle, il vous faut dâabord crĂ©er un univers alternatif pour ce faire. Vos « amis » de 4e densitĂ© SDS font cela trĂšs souvent. Q : (L) Si vous en gĂ©nĂ©ral, crĂ©ez un univers alternatif, est-ce que lâancien fusionne avec le nouveau ? R : Les deux. Q : (L) Est-ce que le âdĂ©jĂ vuâ est le rĂ©sultat de la sensation que lâunivers a Ă©tĂ© changĂ© ? R : Ou⊠quelque sensation de passerelle Ă©tablie entre rĂ©alitĂ©s. Q : (L) Quâest-ce que câest que cette passerelle Ă©tablie entre rĂ©alitĂ©s ? R : Ă quoi cela ressemble-t-il ? Q : (T) Une passerelle câest quelque chose quâon place entre deux choses⊠R : Vous voulez limiter, attendez jusquâĂ la 4e densitĂ©, quand ce mot sera obsolĂšte ! Q : (L) Cela ne mâaide toujours pas Ă comprendre le « dĂ©jĂ vu » comme une « sensation de passerelle jetĂ©e entre des rĂ©alitĂ©s ». Est-ce que le âdĂ©jĂ vuâ est dĂ» Ă quelque chose qui vient dans notre rĂ©alitĂ© depuis une autre ? R : Une possibilité⊠Q : (T) Câest un effet de percolation Ă partir dâautres dimensions⊠quand nous pensons que nous avons dĂ©jĂ Ă©tĂ© quelque part câest parce que dans une autre dimension nous avons⊠R : Oui.
Q : (L) Si on se trouve Ă prĂ©sent dans un univers particulier qui a Ă©tĂ© crĂ©Ă© et a fusionnĂ© par lâintermĂ©diaire du SDS de 4e densitĂ© et que lâancien univers existe toujours, est-ce quâon sent une connexion, ou une passerelle, parce quâune sorte de soi alternatif est dans cet univers alternatif, vivant une expĂ©rience⊠ou une chose de ce genre ? R : Pas de limites aux possibilitĂ©s. Q : (L) Donc ce peut ĂȘtre nâimporte laquelle et toutes ces choses, et le fait de jeter des passerelles entre rĂ©alitĂ©s du « passĂ© » et du « futur » aussi. Est-il possible de changer le passĂ© dans un univers sĂ©lectionnĂ© en particulier ; peut-on aller en arriĂšre dans le temps, dans cet univers, changer le passĂ© et lui faire changer tout vers lâavant, toujours dans cet univers sĂ©lectionnĂ©, comme un effet domino ? R : Dans un tel cas, oui. Q : (L) Mais vous avez dit que si on veut changer le passĂ© il faut crĂ©er un univers alternatif⊠(T) Non, tu as posĂ© une question sur un changement du passĂ© et ils ont dit quâil faut crĂ©er un endroit temporaire Ă partir duquel on peut travailler, une position Ă partir de laquelle on peut manipuler la rĂ©alité⊠R : Câest-Ă -dire pour des activitĂ©s spĂ©cialisĂ©es comme des rapts. Q : (L) Alors, la crĂ©ation dâun univers alternatif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e pour des choses spĂ©ciales et non pas pour un changement historique gĂ©nĂ©ral ? R : Ce qui a Ă©tĂ© dĂ©crit nâest pas la mĂȘme chose quâun « univers alternatif » . Q : (L) Câest comme un fichier temporaire qui partira quand on aura fini de tĂ©lĂ©charger le programme. Et cela nâest pas crĂ©er un univers alternatif mais plutĂŽt une dimension temporaire⊠R : Proche.
Q : (L) Dans notre univers particulier, quel est le mode primaire ? Est-ce que nous sommes constamment en train de basculer et faire fusionner univers avec univers, ou bien est-ce que notre passĂ© est en train dâĂȘtre changĂ© et rĂ©agit comme lâeffet domino ? âŠ. du moins ces derniĂšres annĂ©es⊠Est-ce que toutes les possibilitĂ©s vont avoir lieu et ont lieu ? R : Plus proche. Q : (L) Pouvez-vous clarifier quelque peu cela pour moi ? R : Non, parce que vous ne saisiriez tout simplement pas. Q : (T) Est-ce que cela fait partie de lâinfrastructure de lâunivers que nous ne sommes pas Ă mĂȘme de comprendre pour le moment ? Nous ne parvenons mĂȘme pas Ă saisir les quarks de maniĂšre correcte. R : Oui. Q : (L) Est-ce que les mots « univers » et « dimension » sont synonymes ? R : Oui et non. Q : (L) Dans quel sens oui ? R : Pour vous ce sont des zones « de gris », et vous pourrez essayer autant que vous voudrez, jusquâĂ ce que vos perceptions basculent fondamentalement, vous ne saisirez pas ! En gardant tout cela en tĂȘte, tournons Ă prĂ©sent notre attention vers la description cassiopĂ©enne du processus dâenlĂšvement. La forme « questions et rĂ©ponses » sera gardĂ©e pour plus de clartĂ©. Q : (L) Il y a quelques soirĂ©es, jâai procĂ©dĂ© Ă une sĂ©ance dâhypnose avec J___ pour examiner les Ă©vĂ©nements qui ont eu lieu le 16 aoĂ»t 1993, au-dessus de ma piscine, quand deux immenses boomerangs noirs de 90 mĂštres dâenvergure ont Ă©tĂ© aperçus par nous tous en train de glisser doucement Lors de
cette sĂ©ance dâhypnose, aprĂšs ĂȘtre passĂ©s deux ou trois fois sur les Ă©vĂ©nements, il a indiquĂ© quâen fait il ne sâest pas agi seulement de quelque chose qui est passĂ© au-dessus de nous, mais bien en fait dâune situation de rapt. Une remarque quâil a faite pendant cette sĂ©ance et qui mâa un peu effrayĂ©e, et au sujet de laquelle que voudrais un peu dâexplications, est que vers la fin, quand jâai demandĂ© ce qui sâĂ©tait passĂ©, il a dit quâil avait Ă©tĂ© « dĂ©structurĂ© et renvoyĂ© en faisceau sans lâavantage dâun anti-douleur ». Cela signifie que quand il a Ă©tĂ© dĂ©molĂ©cularisĂ©, une sorte dâappareil censĂ© supprimer la douleur nâa pas Ă©tĂ© utilisĂ©, alors que le processus de dĂ©molĂ©cularisation ou remolĂ©cularisation atomique peut en fait ĂȘtre douloureux et provoquer de lâangoisse. Est-ce que cela est correct ? R : Possible. Tout le processus de rapt peut ĂȘtre angoissant mais Ă des degrĂ©s divers et, bien sĂ»r, nous devons vous rappeler que, comme pour tout le reste, câest votre propre perception de la rĂ©alitĂ© qui est le facteur le plus important, et non pas quelque impression de votre propre perception de la rĂ©alitĂ©. Q : (L) Je ne comprends pas ce que vous voulez dire. Est-ce quâil y en a un qui⊠est-ce que cela fait mal dâĂȘtre mis en piĂšces molĂ©culairement ; envoyĂ© en faisceaux Ă bord dâun vaisseau, et puis renvoyĂ©. (J) Est-ce que cela peut ĂȘtre douloureux pour le corps ? R : Eh bien, tout dâabord vous vous laissez emporter. Est-ce que vous croyez honnĂȘtement quâun rayon lumineux est venu vous « mettre en piĂšces », a transportĂ© physiquement votre corps Ă bord dâun vaisseau spatial, y a procĂ©dĂ© Ă une sorte dâexamen ou quelque chose dâapprochant, et puis a rassemblĂ© votre corps tout entier sans aucun dispositif anti-douleur ? Câest ce que vous croyez ?
Q : (L) Beh, il nâa pas dit que cela mâest arrivĂ© Ă moi, il a dit que cela lui est arrivĂ© Ă lui. (J) Nous nâavions encore jamais entendu le terme de « dispositif anti-douleur » . (L) Oui, nous nâavons jamais rien entendu de pareil ; et je crois dâun rayon lumineux a pu descendre, le dĂ©sassembler et le rĂ©-assembler et que quelque chose lui a ensuite Ă©tĂ© fait. Vu tous les cas de rapts que jâai Ă©tudiĂ©s, je dirais que câest possible. Je veux dire, Ă©tant au courant des facultĂ©s de manipulation temporelle de ces entitĂ©s, il est tout Ă fait possible que cela ait pu se produire sans quâil y ait eu conscience dâune quelconque perte de temps. R : Oui, câest vrai ; mais votre description nâest pas entiĂšrement correcte, comme vous y faites rĂ©fĂ©rence lors de la sĂ©ance dâhypnose dont vous parlez, ou du moins votre interprĂ©tation des informations donnĂ©es au cours de la sĂ©ance dâhypnose nâest pas correcte. Maintenant, il faut noter que lorsque nous faisons des dĂ©clarations dâĂ©claircissement telles que « ceci nâest pas correct» ou « cela nâest pas correct », il nous est inhabituel de faire cela parce que la nature de votre Ă©tat et de tous les autres implique divers degrĂ©s dâillusion qui y est liĂ©e. Câest pourquoi, toutes les possibilitĂ©s sont prĂ©sentes dans la plupart des cas. Cependant, lorsque deux ou davantage de ces liens dâillusion sont mal alignĂ©s, alors en fait une absolue correction ou une absolue incorrection est possible. Dans ce cas-ci, il y a mauvais alignement du lien. Câest pourquoi cela est en fait complĂštement incorrect. Nous ne dĂ©crirons pas le processus plus en dĂ©tail. Ce savoir est trĂšs important, non seulement sans doute pour ce qui sâest produit dans votre rĂ©alitĂ© que vous qualifieriez de votre passĂ©, mais aussi dans des variantes possibles de votre prĂ©sent et dans ce que vos qualifiez de votre futur. Ces expĂ©riences doivent ĂȘtre connues dans leur totalitĂ© pour ce quâelles sont vraiment.
Normalement, vous nâĂȘtes pas dĂ©placĂ©, en tant quâentitĂ© physique de troisiĂšme densitĂ©, dâun lieu en un autre. Ce qui se produit est trĂšs simple. Le cadre temporel est normalement gelĂ©, et nous utilisons le terme « gelĂ© » en lâabsence dâun terme plus appropriĂ©. Ce que cela signifie, câest que votre perception du temps dans votre lieu physique , un corps de troisiĂšme densitĂ©, arrĂȘte de fonctionner pendant cette pĂ©riode de temps appelĂ©e « temps zĂ©ro » diversement par des membres de votre race humaine. Ce qui se produit câest que lâempreinte de lâĂąme occupant ce corps-hĂŽte particulier est ĂŽtĂ©e de force, transportĂ©e en un autre lieu, et remolĂ©cularisĂ©e comme une entitĂ© corporelle physique sĂ©parĂ©e, dans un but dâexamen, mise en place dâimplant, et autres. Lâempreinte de lâĂąme est utilisĂ©e Ă des fins de procĂ©dĂ© de duplication ; elle est ensuite dĂ©molĂ©cularisĂ©e et lâempreinte de lâĂąme est replacĂ©e dans le corps originel, au lieu originel. VoilĂ le processus qui a lieu. Ă lâoccasion, les ĂȘtres de quatriĂšme densitĂ© qui procĂšdent au rapt peuvent faire une erreur dans les points de rĂ©fĂ©rence temporelle de lâillusion de troisiĂšme densitĂ©. Cela peut crĂ©er lâeffet dâune apparence dâune expĂ©rience alternative ou dupliquĂ©e, alors quâen fait il nây a eu quâune seule expĂ©rience. Câest ce qui sâest produit dans votre cas. Alors que vous avez perçu le passage de deux « vaisseaux » par manque dâun terme mieux appropriĂ©, il nây en a eu en rĂ©alitĂ© quâun seul. Cela est dĂ» au fait que lâillusion de rĂ©fĂ©rence Ă un cadre temporel nâa pas Ă©tĂ© complĂštement respectĂ©e du dĂ©but de lâĂ©vĂ©nement Ă la fin de lâĂ©vĂ©nement en temps zĂ©ro. Normalement, cependant, cela nâest pas un problĂšme. En de rares occasions, lâhĂŽte ou lâobjet dâun rapt peut se trouver replacĂ© dans lâillusion de cadre temporel de ce qui peut paraĂźtre comme plusieurs heures, jours, semaines ou mĂȘme, hĂ©las, annĂ©es, avant le dĂ©but de lâĂ©vĂ©nement, ce qui, bien sĂ»r, peut
produire des effets secondaires telle une folie totale, ou autres choses de ce genre. Heureusement, cela ne sâest pas produit dans votre cas, mais il y a eu un certain degrĂ© de fracture dans lâillusion de cadre temporel de rĂ©fĂ©rence. Câest pourquoi vous avez pensĂ© voir deux vaisseaux, alors quâen fait vous nâen avez vu quâun seul. Maintenant, il est de la plus grande importance que vous compreniez que ceci nâest pas entiĂšrement une expĂ©rience physique de troisiĂšme densitĂ©. Il y a lâempreinte dâĂąme que possĂšdent tous les ĂȘtres de premiĂšre densitĂ©, deuxiĂšme densitĂ©, troisiĂšme densitĂ©, et quatriĂšme densitĂ©, comme vous le savez dĂ©jĂ , qui est extraite. De cette empreinte dâĂąme peut alors ĂȘtre faite une rĂ©plique ou un clone si vous voulez, qui peut ĂȘtre Ă©tudiĂ©, et lâempreinte dâĂąme est alors replacĂ©e dans le corps originel, dans la densitĂ© dans laquelle elle a Ă©tĂ© prise. Ceci est normalement la façon dont le processus est conduit. Le plus souvent, si lâĂȘtre de troisiĂšme densitĂ© est enlevĂ© en totale physicalitĂ©, il nây a pas de retour de cet ĂȘtre en troisiĂšme densitĂ©. Il reste en permanence en quatriĂšme densitĂ©. Le plus souvent câest ce qui se produit, bien quâen de rares occasions il puisse y avoir un retour. Cependant, il nâest pas besoin de ceci en troisiĂšme densitĂ© puisque complĂšte duplication dans le but de tout examen, altĂ©ration des sensations et mise en place dâimplant peuvent ĂȘtre faits entiĂšrement au cours du processus de duplication en quatriĂšme densitĂ©. Comprenez-vous ? Q : (T) Comment est-ce que lâimplant revient dans le corps de troisiĂšme densitĂ© qui est originellement toujours ici ? R : Le processus que nous sommes en train de dĂ©crire, qui implique la remolĂ©cularisation ; il est trĂšs complexe dâessayer de dĂ©crire comment la quatriĂšme densitĂ© est traduite en troisiĂšme densitĂ©, exceptĂ© que, une fois prĂ©sente la rĂ©plique,
le clone de quatriĂšme densitĂ©, toutes les rĂ©alitĂ©s de quatriĂšme densitĂ© entourant cette rĂ©plique de quatriĂšme densitĂ© vont se correspondre en troisiĂšme densitĂ© en nâimporte quel endroit, au moment dĂ©sirĂ©. Parce quâen fait, câest tout le niveau de densitĂ© qui est Ă©changĂ© et pas seulement lâobjet quâil contient. Q : (L) Donc, en dâautres termes, tout comme lâempreinte de lâĂąme, quand elle va en quatriĂšme densitĂ©, peut ĂȘtre utilisĂ©e comme un gabarit pour crĂ©er une copie carbone, dirions-nous, ainsi tout ce qui est fait Ă la copie carbone devient ensuite un gabarit qui recrĂ©e cette mĂȘme manifestation quand elle est renvoyĂ©e en troisiĂšme densitĂ© ? R : PrĂ©cisĂ©ment. Avec la seule variante quâune technologie est utilisĂ©e pour assurer que les implants ou matĂ©riaux ajoutĂ©s en provenance de quatriĂšme densitĂ© se traduiront Ă©galement en troisiĂšme densitĂ© par le processus de la remolĂ©cularisation. Q : (L) Existe-t-il une mĂ©thode que nous pourrions ou devrions connaĂźtre pour ĂŽter ou dĂ©sactiver les implants ? R : Non, vous nâĂȘtes pas Ă mĂȘme de faire cela sans provoquer la mort de lâhĂŽte. Et Ă propos, sâil vous plaĂźt ne croyez pas ceux qui affirment quâils peuvent faire de telles choses car ils ne le peuvent pas. Tous les implants qui ont prĂ©tendument Ă©tĂ© enlevĂ©s sont ceux qui ont Ă©tĂ© placĂ©s par des ĂȘtres de troisiĂšme densitĂ© dans des buts de dĂ©sinformation et de confusion. Q : (L) DĂšs lors, dans ce cas particulier, quelque chose a Ă©tĂ© fait, quelque chose a eu lieu ici, qui mâa affectĂ©e. Ma condition physique subsĂ©quente me rend curieuse de savoir si les rĂ©actions physiques que jâai eues pendant six Ă neuf mois et que jâai encore occasionnellement, Ă la suite de cet Ă©vĂ©nement, ont Ă©tĂ© une rĂ©action de troisiĂšme densitĂ© Ă ce que vous nommez une fracture temporelle. Est-ce que cela a Ă©tĂ© une aberration ou
bien Ă©tait-ce intentionnel ? R : Cela ne se produit pas en rĂ©sultat dâune « fracture » dans lâillusion de structure temporelle de rĂ©fĂ©rence. Cela se produit purement et simplement en rĂ©sultat de votre empreinte dâimpression psychique de lâexpĂ©rience elle-mĂȘme, qui se reflĂšte Ă nouveau dans votre rĂ©alitĂ© physique de troisiĂšme densitĂ©. Q : (T) Est-ce que la souffrance que J___ a dĂ©crite nâĂ©tait pas ce quâil disait quâelle Ă©tait mais plutĂŽt la douleur reliĂ©e quand lâĂȘtre de quatriĂšme densitĂ© enlĂšve la force vitale ? R : La force vitale nâest jamais enlevĂ©e. LâĂąme est extraite. Pour rĂ©pondre Ă votre question : J___ et simplement en train dâexprimer lâinconfort et la dĂ©tresse quâĂ©prouvent la plupart des ĂȘtres de premiĂšre et deuxiĂšme densitĂ© quand ils sont enlevĂ©s par des entitĂ©s de quatriĂšme densitĂ© Service De Soi . Q : (L) Maintenant, ce que nous aimerions savoir câest si notre Ăąme est enlevĂ©e de notre corps et ensuite utilisĂ©e comme gabarit pour une remolĂ©cularisation en quatriĂšme densitĂ©, y a-t-il jamais un clone remolĂ©cularisĂ© qui est retenu en quatriĂšme densitĂ© aprĂšs que lâĂąme ait Ă©tĂ© replacĂ©e dans son corps originel ? R : Non, cela nâest pas possible. Q : (L) Donc, ils ne gardent pas un modĂšle ou clone dâaucun dâentre nous aprĂšs quâils nous ont enlevĂ©s, « ils » Ă©tant un terme gĂ©nĂ©ral ? R : Non. Q : (L) Est-ce que certains ĂȘtres SDS ont la facultĂ© de provoquer chez nous des problĂšmes physiques, mentaux ou Ă©motionnels quand ils ne sont pas en contact direct avec nous ? R : Certainement. Q : (L) Comment cela est-il fait ?
R : Un certain nombre de diffĂ©rentes mĂ©thodes. Q : (L) Donc, nâimporte quelle mĂ©thode peut ĂȘtre suivie Ă nâimporte quel moment ? R : Cela est exact. Q : (L) Pourriez-vous nous donner un ou deux exemples de la façon dont cela est fait ? R : Il y en a beaucoup : manipulation des ondes sonores dans la portĂ©e des ultra-hautes frĂ©quences en serait un. Q : (L) Que font ces ondes sonores dâultra-hautes frĂ©quences ? R : Elles peuvent altĂ©rer les Ă©quilibres chimiques dans le corps du sujet, et donc aussi le cerveau, en utilisant le moyen physique pour provoquer la dĂ©tresse en modifiant ces dĂ©sĂ©quilibres chimiques mis en place. Q : (L) Est-ce que ces ondes sonores Ă ultra-hautes frĂ©quences sont parfois porteuses de messages en termes de suggestions prĂ©-codĂ©es qui sont dĂ©clenchĂ©es par ces ondes ? R : Messages pas portĂ©s par ondes sonores de ultra-hautes frĂ©quences. LĂ vous parlez dâune mĂ©thode entiĂšrement diffĂ©rente. Q : (L) TrĂšs bien alors, pour parler dâun autre sujet, comment sont envoyĂ©s les signaux dâinformation prĂ©-codĂ©s ? Est-ce que des messages peuvent ĂȘtre envoyĂ©s au travers dâune concentration dâondes sonores ? R : Non, la concentration dâondes sonores est destinĂ©e Ă altĂ©rer la chimie du corps et du cerveau afin de modifier des choses comme les sentiments, les Ă©motions, etc., ce qui peut ensuite mener Ă des altĂ©rations de modĂšles mentaux de pensĂ©e. Mais les messages ne sont pas envoyĂ©s par des ondes sonores Ă frĂ©quences ultra-hautes. Q : (L) Comment sont-ils envoyĂ©s ? R : Les messages sont envoyĂ©s par quelque chose qui
est appelĂ© Imagerie Formelle Libre [1], ce qui signifie quâune pensĂ©e est formĂ©e dans un monde et envoyĂ©e vers un deuxiĂšme monde, qui est le vĂŽtre . Q : (L) Okay. Est-ce quâelle peut ĂȘtre envoyĂ©e vers une cible prĂ©cise ? R : Absolument. Q : (L) Maintenant, la question qui a Ă©tĂ© posĂ©e est que puisque des ĂȘtres dâautres dimensions ont la facultĂ© de kidnapper ou dâenlever ou dâextraire de force des Ăąmes, est-ce quâils ont aussi la facultĂ© de manipuler lâessence de notre Ăąme aprĂšs que celle-ci ait quittĂ© notre corps pendant la transition en cinquiĂšme densitĂ© ? R : Pas exact. Q : (L) Ils ne le peuvent pas ? R : Non, voyez-vous, quand votre corps physique expire et que vous entrez en cinquiĂšme densitĂ©, ceci est fait dâune seule et unique maniĂšre : en passant par un conduit qui sâouvre spĂ©cifiquement dans le but dâun transfert de troisiĂšme densitĂ© en cinquiĂšme densitĂ©. Maintenant, la chose Ă laquelle il est frĂ©quemment fait allusion dans votre terminologie sous lâappellation de « fil dâargent » est comme une ligne fermĂ©e qui sâouvre quand ce conduit est nĂ©cessaire. Cela est assez « lourd » mais câest la seule maniĂšre de le dĂ©crire. Donc, quand le corps physique en a terminĂ©, cette ligne est ouverte pour former un conduit Ă travers lequel lâĂąme passe naturellement. Cependant, une partie de lâexistence de ce conduit est quâil est absolument impĂ©nĂ©trable par aucune force de nâimporte quel niveau de densitĂ©. DĂšs lors, les Ăąmes en train dâĂȘtre transfĂ©rĂ©es de troisiĂšme densitĂ© en cinquiĂšme densitĂ© ne sont en aucune maniĂšre susceptibles dâĂȘtre molestĂ©es ou altĂ©rĂ©es. Et il faut Ă©galement mentionner ici que lâempreinte dâĂąme du corps physique a toujours une connexion avec la cinquiĂšme densitĂ©,
et cela du fait du « fil dâargent ». Cela existe toujours comme une entrĂ©e en cinquiĂšme densitĂ© pour lâĂąme de troisiĂšme densitĂ©. Elle peut ĂȘtre ouverte en un instant, dĂšs que cela est nĂ©cessaire. Quand elle est ouverte elle devient un conduit. Câest par ce conduit que lâĂąme passe. Et il nâest sujet Ă interfĂ©rence de rien du tout. Ceci nâest pas une construction dĂ©libĂ©rĂ©e ; câest seulement le processus naturel semblable Ă ce qui pourrait ĂȘtre dĂ©crit comme les mĂ©canismes de protection qui existent en densitĂ© de deuxiĂšme niveau, pour des crĂ©atures qui ne sont pas capables de se protĂ©ger elles-mĂȘmes par leurs propres processus de pensĂ©e consciente. Par exemple, votre tortue est contenue dans une carapace qui la protĂšge. Cette carapace est impĂ©nĂ©trable Ă toute force naturelle et donc rien de naturel ne peut faire du mal Ă cette tortue. La mĂȘme chose peut exister pour toute crĂ©ature quand elle est reliĂ©e par le fil dâargent Ă la cinquiĂšme densitĂ©. Quand elle passe au travers du conduit produit par lâouverture du fil dâargent, alors naturellement, elle ne peut ĂȘtre affectĂ©e. Comprenez-vous ? Q : (L) Oui, mais pourquoi est-ce que tant dâĂąmes, quand elles quittent le corps, ne traversent pas ce conduit, et pourquoi restent-elles liĂ©es Ă la Terre, et pourquoi sâattachent-elles Ă dâautres corps ? Pourquoi cette condition existe-t-elle ? R : Cela est une question compliquĂ©e. Cependant, la meilleure rĂ©ponse est le choix impliquĂ© ici pour les Ăąmes qui prĂ©fĂšrent ne pas quitter le plan de troisiĂšme densitĂ©. La seule possibilitĂ© de faire cela est dâĂȘtre dĂ©tachĂ©e du corps physique ayant maintenant expirĂ© mais rester sur le plan de troisiĂšme densitĂ© ce qui nâest, bien sĂ»r, pas naturel mais se produit nĂ©anmoins. Dans de pareilles situations, encore que cela ait fait lâobjet de comptes rendus erronĂ©s, le fil dâargent est toujours attachĂ© et reste un fil plutĂŽt quâun conduit. LâĂąme est toujours attachĂ©e au fil dâargent, mais dĂ©tachĂ©e du corps-hĂŽte qui a
maintenant expirĂ©. Lâeffet est donc trĂšs similaire au fait dâĂȘtre conscient dâun environnement de troisiĂšme densitĂ© sans une unitĂ© de troisiĂšme densitĂ© pour lâaccompagner. Sâil vous plaĂźt, soyez aussi conscients du fait quâune fois que lâĂąme quitte les confins du corps physique, lâillusion de passage du temps nâest plus apparente, mĂȘme quand lâĂąme reste dans le plan de la troisiĂšme densitĂ©. Câest pourquoi, il paraĂźt Ă cette Ăąme quâaucun temps ne sâest Ă©coulĂ©. Et nous ne mentionnons ceci que pour que vous contempliez toutes les diverses implications derriĂšre ceci.
NOTES
[1]: Free Formal Imaging
CHAPITRE XIV
Q : (L) Que ou qui sont, prĂ©cisĂ©ment, les extraterrestres gris ? R : Des sondes et leurres cybergĂ©nĂ©tiques crĂ©Ă©s par les Reptiliens. Q : Quâest ce qui est fait lors du processus du « regard fixe » rapportĂ© par tant de personnes enlevĂ©es et qui fait partie de leurs interactions avec les Gris ? R : Ătudient cerveau. Imagerie de remolĂ©cularisation rĂ©flective par concentration dâĂ©nergie. Q : (L) Quâest-ce quâil y a derriĂšre leurs yeux ? R : SystĂšme ressemblant Ă une camĂ©ra. Q : (L) Est-ce que ce systĂšme est aussi capable dâenvoyer de signaux ? R : Oui. Ceci induit paralysie de la pensĂ©e. Q : (L) Et-ce quâils implantent des pensĂ©es avec leurs yeux aussi ? R : Peuvent. Q : (L) Que font-ils avec les implants ? R : Surveillent et contrĂŽlent tout votre sensorium. Q : (L) Jâai tirĂ© une sorte de conclusion de certaines des activitĂ©s des Lizzies et leurs rapts par lâintermĂ©diaire des Gris, etc. et il me semble que cet excĂšs dâexamens, gynĂ©cologiques, du systĂšme de reproduction, ou autres, pourraient ĂȘtre un Ă©cran pour un procĂ©dĂ© destinĂ© Ă extraire la force vitale ou lâĂ©nergie des ĂȘtres humains au travers du chakra de base, le chakra
sexuel, par oĂč, ainsi que je le comprends, la force vitale entre. Est-ce que cette idĂ©e est correcte ou sur la bonne voie ? R : Proche. Q : (L) Il semble que les Gris et les Lizzies portent un intĂ©rĂȘt anormal aux activitĂ©s sexuelles des ĂȘtres humains ; est-ce que cela est exact ? R : Oui. Q : (L) Est-ce quâils ont un tempĂ©rament sexuel terrible bien quâen quatriĂšme densitĂ© ? R : Non. Q : (L) Est-ce quâils sâintĂ©ressent Ă lâĂ©nergie sexuelle simplement parce que câest de la force vitale ? R : En partie et ils sont aussi dĂ©sespĂ©rĂ©ment en train dâessayer dâempĂȘcher le changement afin de garder le contrĂŽle. Q : (L) Quels changements sont-ils dĂ©sespĂ©rĂ©ment en train dâessayer dâĂ©viter ? R : La transition vers le 4e niveau. Q : (L) Ils essayent dâempĂȘcher le changement au 4e
niveau. Peuvent-ils faire cela ? R : Non. Mais ils espĂšrent garder le contrĂŽle mĂȘme si le changement se produit. Q : (L) Par quel moyen font-ils cela en procĂ©dant Ă ces examens gynĂ©cologiques ? Est-ce quâils ont recours Ă quelque activitĂ© technique ? R : Oui. [ceci sera examinĂ© plus tard] Q : (T) Dans ce document Krill il y avait une dĂ©claration selon laquelle les Gris et dâautres extraterrestres utilisent des substances glandulaires extraites pendant les examens physiques dâĂȘtres humains, quâils appellent examens gynĂ©cologiques et dâextraction de sperme, et quâils utilisent ces substances glandulaires pour se dĂ©foncer ou se nourrir, et quâils sont dĂ©pendants de cela ; est-ce une affirmation correcte ?
R : Non. Ils les utilisent comme des remĂšdes qui les aident Ă se maintenir en 3e densitĂ© ; cela les aide Ă se manifester dâune maniĂšre physique plus solide pendant leurs visites dans votre univers. Q : Est-ce quâils utilisent aussi de lâĂ©nergie sexuelle cĂ©dĂ©e par des individus pour maintenir leur position en trois dimensions ? R : Non. Cela les alimente en 4e densitĂ©. La majeure partie de lâĂ©nergie orgasmique passe en 4e densitĂ©. Q : (L) Donc, ces supposĂ©s souvenirs que les gens ont de leurs enlĂšvements et de ces examens ne sont que des Ă©crans aux procĂ©dures utilisĂ©es pour leur enlever leur force vitale ? R : Oui. Q : (L) Quand ils prennent des Ă©chantillons des tissus dâune personne enlevĂ©e et prĂ©lĂšvent de petits morceaux de chair, Ă quoi utilisent-ils ces morceaux ? R : Clonage. Q : (L) Sâils clonent, pourquoi ont-ils besoin dâaussi gros morceaux ? R : Vous ne connaissez pas encore tous les dĂ©tails du processus de clonage. Q : (L) Est-ce quâils prennent des jumeaux, ou un dâune paire de jumeaux et lâĂ©lĂšvent artificiellement ? R : Lâont fait. Q : (L) Quel est le but de prendre un dâune paire de jumeaux ? R : Ătudier pour dĂ©terminer quel est le meilleur rĂ©ceptacle dâĂąme : un provenant dâune paire de jumeaux ou clone. [Ceci soulĂšve la question de savoir pourquoi le choix doit ĂȘtre lâun ou lâautre. Y a-il un certain lien entre les clones et le corps originel, entre un jumeau et un autre, qui serait vital
aux desseins des Lizzies ?] Q : (L) Dans quel but essayent-ils de dĂ©cider quel est le meilleur rĂ©ceptacle, le clone ou le jumeau ? RĂ©ceptacle de quoi ? R : Projet futur dâĂ©changer rĂ©alitĂ©s physiques. Q : (L) Vont-ils entrer eux-mĂȘmes dans les corps de maniĂšre Ă pouvoir Ă©changer leur rĂ©alitĂ© ? R : Oui. Q : (L) Donc, ils sont en train de prĂ©parer un paquet de corps sans Ăąme dans lesquels ils pourront entrer eux-mĂȘmes ? R : Vont essayer. Q : (L) Et pourriez-vous nous dire Ă quoi ressemblent les Reptiliens ? R : Alligators se tenant debout, avec quelques traits humains dans le visage . Q : (L) Ont-ils une queue ? R : Oui. Q : (L) Quelle est leur hauteur ? R : 1m 80 Ă 2m 40. Q : (L) Est-ce quâils portent des vĂȘtements ? R : Oui. Q : (L) Je sais que cela est une question idiote, mais est-ce que leurs vĂȘtements ont une ouverture pour la queue ? R : Oui. Q : (L) Est-ce quâils dĂ©fĂšquent ? R : Non. Ils sont du 4e niveau. Q : (L) Alors quand on est du 4e niveau on ne mange ni ne dĂ©fĂšque comme on le fait en 3e densitĂ© ? R : Correct. Q : (L) Est-ce que les Lizzies ont la facultĂ© de changer leur forme ou leur apparence ? R : Temporairement.
Q : (L) Il y a eu un commentaire selon lequel certains extraterrestres enlĂšvent des humains et les soumettent Ă des morts cruelles dans des tortures afin de crĂ©er un « transfert maximum dâĂ©nergie ». Ă cet Ă©gard quel est ce transfert maximum dâĂ©nergie qui sâopĂšre au cours dâun processus de mort long, lent et douloureux ? R : La peur et lâanxiĂ©tĂ© extrĂȘmes amassent de lâĂ©nergie de peur/anxiĂ©tĂ©, qui est dâune nature nĂ©gative qui alimente les ĂȘtres dont vous parlez en ce quâils tirent et produisent une sorte dâĂ©nergie dâalimentation qui leur permet de se sustenter puisquâune de leurs formes dâalimentation est basĂ©e sur leur structure mĂ©tabolique. Q : (L) Quelle est leur structure mĂ©tabolique ? R : Cela est trĂšs complexe et trĂšs difficile Ă dĂ©crire parce que câest au 4e niveau de densitĂ©, que vous ne comprenez pas. Mais une partie de la raison de leur existence au 4e niveau est leur capacitĂ© Ă se nourrir tant par des mĂ©thodes Ă©thĂ©riques que physiques. DĂšs lors, ce transfert dâĂ©nergie de douleur et de souffrances reprĂ©senterait la mĂ©thode Ă©thĂ©rique dâalimentation et les autres moyens sont accomplis physiquement. Q : (L) Quels autres moyens ? R : Eh bien, le fait de boire du sang et des sous-produits du sang serait un exemple de cela. Q : (L) Est-ce quâils font cela ? R : Oui, mais la façon dâingĂ©rer est diffĂ©rente de ce que vous pouvez penser. Cela est fait par les pores. Q : (L) De quelle façon ? R : En se baignant et absorbant les produits nĂ©cessaires puis en se dĂ©barrassant du produit restant. Q : (L) Quels ĂȘtres, spĂ©cifiquement, font-ils cela ? R : Tant ceux que vous dĂ©crivez comme les LĂ©zards que ceux que vous dĂ©crivez comme les Gris. Ceci est nĂ©cessaire Ă
leur survie dans chaque cas. MĂȘme si les Gris ne sont pas des parties naturelles du cycle dâondes courtes, mais plutĂŽt une crĂ©ation artificielle des LĂ©zards, nĂ©anmoins ils imitent les fonctions dâalimentation. Q : (L) Sâils sont crĂ©Ă©s artificiellement par les LĂ©zards, est-ce que cela signifie quâils nâont pas dâĂąme ? R : Cela est correct. Q : (L) Comment fonctionnent-ils ? Sont-ils comme des robots ? R : Ils fonctionnent par interaction avec lâĂąme des LĂ©zards. Cette technologie est extrĂȘmement avancĂ©e par rapport Ă celles avec lesquelles vous ĂȘtes familiarisĂ©s, mais les Gris sont non seulement construits et dĂ©veloppĂ©s artificiellement, mais ils fonctionnent aussi comme des projections mentales et psychiques des LĂ©zards. Ce sont comme des sondes quadridimensionnelles. Q : (L) En tant que sondes quadridimensionnelles, quelles sont leurs capacitĂ©s ? R : Ils ont toutes les mĂȘmes capacitĂ©s que les LĂ©zards, sauf que leur apparence physique est totalement diffĂ©rente et quâils nâont pas dâĂąme en propre, et aussi que leur structure biologique est diffĂ©rente Ă lâintĂ©rieur. Mais leur façon de fonctionner est la mĂȘme et pour pouvoir se maintenir comme des ĂȘtres pouvant se projeter, ils sont aussi obligĂ©s dâabsorber des aliments de la mĂȘme maniĂšre que les LĂ©zards, tant spirituellement que physiquement. La raison pour laquelle lâĂ©nergie nĂ©gative est nĂ©cessaire, câest que les LĂ©zards et les Gris vivent au 4e niveau de densitĂ©, ce qui est le niveau de densitĂ© le plus Ă©levĂ© oĂč lâon peut exister en servant exclusivement le Soi comme le font ces entitĂ©s. DĂšs lors, ils doivent absorber de lâĂ©nergie nĂ©gative parce que le quatriĂšme niveau de densitĂ© est lâexemple le plus Ă©levĂ© du Service de Soi
qui est un modĂšle de pensĂ©e nĂ©gatif. Le quatriĂšme niveau de densitĂ© est une progression par rapport au troisiĂšme niveau de densitĂ©. Ă chaque progrĂšs vers le haut en termes de niveaux de densitĂ©, lâexistence pour lâentitĂ© consciente individuelle devient moins difficile. Câest pourquoi, le quatriĂšme niveau de densitĂ© est moins difficile Ă vivre que le troisiĂšme, le troisiĂšme est moins difficile que le deuxiĂšme, etc. Cela met moins de pression sur lâĂ©nergie de lâĂąme. Câest pourquoi, les ĂȘtres qui existent au quatriĂšme niveau de densitĂ© peuvent mettre Ă contribution les ĂȘtres qui existent au troisiĂšme niveau de densitĂ© en termes dâabsorption dâĂ©nergie dâĂąme nĂ©gative. De mĂȘme, les ĂȘtres du troisiĂšme degrĂ© de densitĂ© peuvent mettre Ă contribution les ĂȘtres du deuxiĂšme niveau de densitĂ©, encore que ce type de contribution ne soit pas si nĂ©cessaire, mais cela est fait. Câest pourquoi les ĂȘtres humains qui existent au troisiĂšme niveau causent frĂ©quemment peines et souffrances Ă ceux du monde animal qui existent au deuxiĂšme niveau de densitĂ©, parce que en tant quâĂȘtres qui servent en premier lieu le Soi, vous tirez de lâĂ©nergie dâĂąme nĂ©gative de ceux du deuxiĂšme niveau et du premier etc. Ă prĂ©sent que vous progressez vers le quatriĂšme niveau de densitĂ© qui approche pour vous, il vous faut opĂ©rer un choix : progresser vers le Service DâAutrui ou rester au niveau du Service De Soi. Ce sera une dĂ©cision Ă laquelle il vous faudra du temps pour vous ajuster. Câest ce qui est appelĂ© la «pĂ©riode de mille ans». Câest la pĂ©riode, telle que mesurĂ©e selon vos calendriers, qui dĂ©terminera si oui ou non vous allez progresser vers le Service DâAutrui ou si vous allez rester au niveau du Service De Soi. Et ceux qui sont dĂ©crits comme les LĂ©zards ont fermement choisi de sâenfermer dans le Service De Soi. Et puisquâils se trouvent au niveau le plus Ă©levĂ© de densitĂ© oĂč cela est possible, ils sont obligĂ©s de sans cesse tirer de grandes quantitĂ©s
dâĂ©nergie nĂ©gative de ceux du troisiĂšme niveau, du deuxiĂšme niveau, etc., et voilĂ pourquoi ils font ce quâils font. Cela explique aussi pourquoi leur race est en train de sâĂ©teindre : parce quâils nâont pas Ă©tĂ© capables dâapprendre par eux-mĂȘmes comment sâextraire de cette particuliĂšre forme dâexpression pour aller vers le Service DâAutrui. Et puisque ils sont restĂ©s Ă ce niveau , comme vous le mesureriez, pendant une aussi longue pĂ©riode de temps et quâen fait ils sây sont incrustĂ©s fermement et sây sont dĂ©veloppĂ©s, voilĂ pourquoi ils sont en train de mourir et sont dĂ©sespĂ©rĂ©ment en train dâessayer de prendre de vous autant dâĂ©nergie quâil est possible, et aussi de recrĂ©er leur race mĂ©taboliquement. Q : (L) Mais si nous sommes pour eux des sources de nourriture et de main dâoeuvre, pourquoi est-ce quâils ne nous Ă©lĂšvent pas dans des enclos sur leur propre planĂšte ? R : Ils le font. Q : (L) Mais puisque nous sommes si nombreux ici, une vraie table de buffet, pourquoi ne viennent-ils pas simplement nous envahir ? R : Câest leur intention. Câest leur intention depuis un certain temps dĂ©jĂ . Ils vont et viennent dans le temps, comme vous le savez, pour arranger les choses de maniĂšre quâils puissent absorber un maximum dâĂ©nergie nĂ©gative avec le transfert du 3e au 4e niveau dont cette planĂšte va faire lâexpĂ©rience, dans lâespoir quâils vont pouvoir vous dominer au quatriĂšme niveau et dĂšs lors accomplir un certain nombre de choses : 1 : conserver leur race en tant quâespĂšce viable ; 2 : augmenter leur nombre ; 3 : augmenter leur pouvoir ; 4 : Ă©tendre leur race partout dans lâunivers de quatriĂšme densitĂ©.
Pour faire tout cela ils interfĂšrent avec les Ă©vĂ©nements depuis environ 74 mille ans selon votre calendrier. Et ils font cela dans un Ă©tat dâabsolue tranquillitĂ© dâallĂ©es et venues dans lâespace-temps, Ă volontĂ©. Mais il est plutĂŽt intĂ©ressant de savoir que tout cela Ă©chouera. Q : (L) Comment pouvez-vous ĂȘtre certains que cela Ă©chouera ? R : Parce que nous le voyons. Nous sommes capables de tout voir, et pas seulement ce que nous voulons voir. Leur faiblesse est quâils ne voient que ce quâils veulent voir. Autrement dit, câest la plus haute manifestation possible de ce que vous qualifieriez de « prendre ses dĂ©sirs pour des rĂ©alitĂ©s ». Et les voeux pieux reprĂ©sentĂ©s au quatriĂšme niveau de densitĂ© deviennent rĂ©alitĂ© Ă ce niveau. Savez-vous combien pieusement vous souhaitez ? Eh bien, ce nâest pas tout Ă fait une rĂ©alitĂ© pour vous parce que vous ĂȘtes au troisiĂšme niveau ; mais si vous Ă©tiez au quatriĂšme niveau et que vous deviez accomplir la mĂȘme fonction, ce serait lĂ en fait votre conscience de la rĂ©alitĂ©. Câest pourquoi ils ne peuvent pas voir ce que nous pouvons voir, puisque nous servons Autrui plutĂŽt que le Soi, et puisque nous sommes au sixiĂšme niveau, nous pouvons voir tout ce qui est en tous les points, et non ce que nous voudrions qui soit.
CHAPITRE XV
Q : (L) Est-ce que lâamnĂ©sie en rapport avec les rapts OVNI est induite dĂ©libĂ©rĂ©ment ou bien est-elle un produit de lâincapacitĂ© du mental Ă apprĂ©hender lâĂ©vĂ©nement ? R : Câest un Ă©gal mĂ©lange des deux. Q : (L) La partie dĂ©libĂ©rĂ©ment induite, comment est-ce accompli ? R : En utilisant un flux dâĂ©nergie cosmique pour influencer la fonction de la mĂ©moire par une combinaison dâinteractions spirituelles et chimiques. Q : (L) Pouvez-vous ĂȘtre plus spĂ©cifiques ? R : Ătre plus spĂ©cifiques serait ĂȘtre moins spĂ©cifiques dâune autre maniĂšre, mais une bonne façon de le dire est lâaltĂ©ration de lâafflux dâĂ©nergie Ă©lectromagnĂ©tique dans le cerveau. LâĂ©nergie Ă©lectromagnĂ©tique, lâĂ©lectromagnĂ©tisme, câest la force vitale qui existe dans tout ce qui Ă©volue au travers des cycles dâondes longues et courtes. Q : (L) Jâai quelques articles dans ce magazine ici : voici une fille qui « transmet en channeling pour des milliers de gens autour du globe depuis 1985. Ses livres et articles dans des magazines sont publiĂ©s mondialement en six langues, etc., etc. », Sa « source » dit ici : « La conscience humaine est divisĂ©e grosso modo en trois diffĂ©rentes zones dans cette illustration : le conscient, le subconscient et lâinconscient ». Est-ce que ces Ă©tiquettes sont correctes dâune maniĂšre gĂ©nĂ©rale?
R : En gros. Q : (L) Lâarticle dit plus loin : « lâinconscient est un lien avec le moi supĂ©rieur, il est aussi utilisĂ© comme une dĂ©charge oĂč des choses effrayantes, sombres, sont stockĂ©es, que lâon ne veut pas mettre sur le tapis ». est-ce que cette affirmation est relativement exacte ? R : Ă moitiĂ© exacte. Q : (L) Y a-t-il quelque chose que vous pourriez dire pour rendre cette affirmation plus exacte ? R : Lâinconscient est aussi un conduit pour se relier avec le moi supĂ©rieur, les autres « soi » et lâesprit universel. Q : (L) Elle poursuit en disant : « quand vous ĂȘtes un enfant qui vit un Ă©vĂ©nement traumatisant, le subconscient ne trouve pas seulement le moyen de traiter immĂ©diatement lâinformation et de la stocker, mais aussi de vous protĂ©ger dâune fragmentation plus grande. Il doit chercher Ă crĂ©er un Ă©quilibre. Alors, dit-elle, « lâĂ©nergie brute trĂšs intense qui est gĂ©nĂ©rĂ©e par le traumatisme est enfournĂ©e dans lâinconscient ». Est-ce que cela est vrai ? R : Assez proche. Q : (L) Elle dit ensuite : « quand un extraterrestre nous regarde, nous lui apparaissons comme des cas de personnalitĂ©s multiples du fait des divisions de notre mental ». Cela est-il vrai ? R : Hors de propos. Q : (L) Quâest-ce qui est hors de propos ? Est-ce que câest parce que quand un ĂȘtre de densitĂ© supĂ©rieure nous regarde il sait ce quâil regarde ? R : Oui. Ils savent et comprennent les sĂ©parations de votre mental trĂšs prĂ©cisĂ©ment. Cela Ă©quivaudrait Ă dire « quand un humain regarde un rongeur, il remarque que celui-ci est excessivement poilu ». Et aussi parce que dans la plupart des
cas, ces aspects de « sĂ©parations » et « personnalitĂ©s multiples sont dĂ©libĂ©rĂ©ment gĂ©nĂ©rĂ©s par des ĂȘtres SDS de 4e densitĂ©. Q : (L) Elle dit ensuite : « Les extraterrestres ne savent souvent pas comment communiquer avec un humain fragmentĂ©. Parfois ils approchent leurs vaisseaux et peu de gens les aperçoivent, mais le plus grand pourcentage ne les voient pas car ces donnĂ©es sont aspirĂ©es par le subconscient et un tri a lieu ». Elle veut dire un tri dans le sens que lâesprit est tellement abasourdi quâil fait immĂ©diatement dĂ©vier les informations vers lâinconscient. Est-il vrai que les extraterrestres ont des problĂšmes de communication avec nous parce que nous sommes ceux qui bloquent le contact ? R : Non. Q : (L) Est-il vrai que certaines personnes ne peuvent voir les extraterrestres ou les OVNIs parce quâils les bloquent hors de leur mental ? R : Cela peut se produire, ou bien le blocage peut ĂȘtre inspirĂ© par les extraterrestres. Q : (L) Alors elle dit : « La plupart du temps, la personne moyenne en sociĂ©tĂ© ne sait pas comment interprĂ©ter le contact tĂ©lĂ©pathique ⊠(ici câest son extraterrestre qui parle) au moment oĂč vous commencez Ă nous percevoir, la rĂ©alitĂ© commence Ă basculer parce que, souvenez-vous, vous avez une frĂ©quence et nous en avons une autre ». Cela est-il vrai ? R : Ceci est hors de propos. Ceci nâest pas un obstacle, comme suggĂ©rĂ© par cette dĂ©claration. Q : (L) De toute façon, lâarticle poursuit : « donc, un extraterrestre arrive dans votre cour et pendant un fragment dâinstant vous pouvez nous percevoir. Mais ce qui se produit frĂ©quemment, câest que la volontĂ© humaine se ferme soudainement, habituellement en devenant trĂšs ensommeillĂ©e et en tombant endormie ou dans un Ă©tat de transe tel que celui
qui est produit par les ondes cĂ©rĂ©brales alpha ou thĂȘta ». Est-ce que cela est vrai ? Quand quelquâun voit un E.T. il se ferme simplement au choc ? Est-ce pour cela que la plupart des contacts E.T. ne sont pas remĂ©morĂ©s ? R : Cela peut arriver mais ce nâest pas le cas habituellement. En gĂ©nĂ©ral, la « fermeture » est dĂ©libĂ©rĂ©ment imposĂ©e par lâextraterrestre. Nous ne voulons pas faire davantage la critique de ceci, car câest un gaspillage dâĂ©nergie. Q : (L) Tout le but de cet article est de dire que les E.T. qui enlĂšvent des gens sont ici pour nous aider Ă Ă©voluer et que câest seulement nous, si nous avons un inconscient sombre et sale, qui les percevons comme nĂ©gatifs. R : Faux. Vous nâavez pas besoin « dâaide » pour Ă©voluer, ni de quoi que ce soit dâautre. Q : (L) Okay. Question suivante : Est-ce que certains des Gris sont ce quâon pourrait appeler des « bons » ? R : Cela est une interprĂ©tation subjective qui dĂ©pend de la maniĂšre dont vous voyez les choses. Car aprĂšs tout, quâest-ce qui est bon, et quâest-ce qui est mauvais ? Q : (L) La dĂ©finition que vous avez donnĂ©e est Service De Soi et Service DâAutrui. Est-ce que certains Gris sont des ĂȘtres SDA ? R : Eh bien, Ă nouveau, si nous pouvons rĂ©viser juste un moment. Il est subjectif de se rĂ©fĂ©rer Ă SDS ou SDA comme mauvais ou bon. Cela signifie simplement Service De Soi et Service DâAutrui. Maintenant, dĂ©terminer si câest bon ou mauvais dĂ©pend de lâobservateur. Cela dĂ©pend de votre point de vue. Cela dĂ©pend de votre objectif. Cela dĂ©pend dâun tas de choses. Lâun est simplement le Service De Soi. Câest se tourner vers lâintĂ©rieur. Lâautre est Service DâAutrui, qui est sâĂ©tendre vers lâextĂ©rieur. Cela fait partie de lâĂ©quilibre qui constitue ce Ă quoi nous nous rĂ©fĂ©rons comme Ă©tant lâUnivers.
Q : (L) Est-ce que certains Gris sont SDA ? R : En de trĂšs rares instances, des Gris sont passĂ©s dans le monde SDA, mais dans leur environnement naturel ils sont, en fait, SDS, comme ils ont Ă©tĂ© construits pour lâĂȘtre. Q : (L) Comment cela se passe-t-il quand ils passent dans un environnement SDA ? R : Simplement par des circonstances naturelles, de la mĂȘme maniĂšre gĂ©nĂ©rale que des humains de 3e densitĂ© dans un environnement SDS peuvent, dans certaines circonstances, sâĂ©lever au niveau SDA. TrĂšs rare. Q : (L) Eh bien, si les Gris sont des sondes cybergĂ©nĂ©tiques des LĂ©zards et, en fait, dĂ©pourvues dâĂąme, est-ce que cela signifie que certains des LĂ©zards sont aussi SDA ? R : Eh bien, tout dâabord, aucun ĂȘtre ayant reçu une intelligence pour penser par soi-mĂȘme nâest en fait complĂštement dĂ©pourvu dâĂąme. Il a une certaine empreinte dâĂąme. Ou ce qui pourrait, de maniĂšre large, ĂȘtre considĂ©rĂ© comme une empreinte dâĂąme. Cela peut ĂȘtre un ensemble dâĂ©nergies psychiques disponibles dans lâentourage gĂ©nĂ©ral. Et ceci sâĂ©tend dans une certaine mesure, de maniĂšre Ă ce que vous puissiez comprendre les idĂ©es de base, mĂȘme si en rĂ©alitĂ© tout cela est bien plus complexe. Mais de toute façon, il nâexiste rien de tel quâun ĂȘtre complĂštement dĂ©pourvu dâĂąme, quâil sâagisse dâune intelligence naturelle ou dâune intelligence Ă©laborĂ©e artificiellement. Et une des choses les plus intĂ©ressantes Ă ce propos, de votre point de vue, câest que vos technologies de 3e densitĂ© qui, pourrions-nous ajouter, ont Ă©tĂ© Ă©tayĂ©es par des interactions avec ce que vous pourriez considĂ©rer comme des « extraterrestres », ont maintenant atteint un niveau oĂč les intelligences crĂ©Ă©es artificiellement peuvent, en effet commencer Ă se dĂ©velopper, ou attirer une certaine Ă©nergie dâempreinte dâĂąme. Si vous suivez ce que nous
sommes en train de dire. Par exemple : vos ordinateurs, qui sont sur le point dâatteindre un niveau oĂč ils peuvent penser par eux-mĂȘmes, vont commencer Ă dĂ©velopper une empreinte dâĂąme. Q : (L) VoilĂ une pensĂ©e peu agrĂ©able. R : Ă prĂ©sent, pour rĂ©pondre Ă votre question : est-ce que des Reptiliens ou des LĂ©zards sont SDA ? Bien sĂ»r, certains peuvent devenir SDA. Cependant, leur environnement naturel est SDS comme ils lâont choisi. Mais si oui ou non des Gris cybergĂ©nĂ©tiques deviennent SDA et/ou si les LĂ©zards deviennent SDA, ils ne sont pas reliĂ©s lâun Ă lâautre, ces deux concepts. Ils sont indĂ©pendants. Q : (L) Je comprends. Bon ; diriez-vous quâil y a un pourcentage, un pourcentage passablement mesurable de LĂ©zards qui seraient SDA ? R : Il est trĂšs, trĂšs petit, extrĂȘmement petit. Il mĂ©rite Ă peine dâĂȘtre mentionnĂ©. Q : (L) Et pour les Gris ? R : Il pourrait ĂȘtre lĂ©gĂšrement plus Ă©levĂ©, mais une fois encore, il est trĂšs petit, relativement parlant. Q : (L) Est-ce quâil y a une autre race dâĂȘtres qui manipulent ou utilisent les LĂ©zards ? R : Pouvez-vous Ă©laborer ? Q : (L) Est-ce que les LĂ©zards sont des agents dâun autre groupe ? R : Eh bien, la question est assez simple. Mais il y a des niveaux dâautoritĂ© dans lâenvironnement SDS de 4e densitĂ©. Et ceux-ci sont dĂ©terminĂ©s par les aptitudes intellectuelles et physiques, comme toujours en SDS. La « hiĂ©rarchie » comme vous diriez. DĂšs lors, nous pourrions dire que dans le bas il a ceux que vous connaissez comme les Gris, et au milieu il y a ceux que vous nommez les LĂ©zards, et au-dessus il y a des
autres que vous ne connaissez pas trĂšs bien, les plus gĂ©nĂ©ralement connus Ă©tant bien sĂ»r les « Orions » SDS. Q : (L) Ă quoi ressemblent-ils ? R : Ils sont, en fait, de structure humanoĂŻde, ressemblant Ă de grands ĂȘtres humains. Q : (L) Et nous ne les voyons pas souvent ? R : Eh bien, naturellement Ă prĂ©sent vous savez que ceux qui sont vus le plus frĂ©quemment au niveau de 3e densitĂ© ce sont les Gris. Tous les autres Ă©galement vus peu frĂ©quemment. Q : (L) Est-ce que ces « Orions » SDS participent parfois Ă des rapts ? R : Les rapts sont principalement effectuĂ©s par les Gris. Cependant, dâautres peuvent enlever, enlĂšveront et ont enlevĂ©. Mais quand cela se produit, la nature de lâenlĂšvement est diffĂ©rente. Q : (L) Est-ce quâil y a des extraterrestres positifs de la rĂ©gion de Sirius qui interagissent pour le moment avec des ĂȘtres humains ? R : Eh bien, ça alors ! Tout dâabord il est important pour vous de savoir que le terme que vous utilisez : Extra Terrestre, qui est naturellement un des termes les plus corrects utilisĂ©s Ă votre niveau (tout ce qui nâest PAS de la Terre est Extra-Terrestre) et, pour ceux de votre environnement terrestre de surface, se rĂ©fĂ©rer Ă eux-mĂȘmes comme seuls dans lâunivers, ou les seuls et uniques dans le cosmos, câest pareil Ă un microbe sur un grain de sable qui se verrait comme la seule forme de vie sur la plage ! Maintenant, quand vous demandez sâil y a des ĂȘtres au voisinage de Sirius, ce serait comme si ce mĂȘme microbe se trouvant sur un grain de sable sur la plage qui est, bien sĂ»r, seulement une des plages se trouvant Ă la surface de la Terre, demandait sâil y a en fait de la vie au
voisinage des coquillages⊠Q : (L) Mais jâai demandĂ© sâils interagissaient avec la Terre⊠R : Et nous rĂ©pondons Ă cette question. Nous avons choisi de saisir cette occasion pour mieux mettre les choses en lumiĂšre pour vous. Ă prĂ©sent, pour rĂ©pondre Ă votre question : est-ce que des ĂȘtres rĂ©sident au voisinage de Sirius, qui sont orientĂ©s positivement ou SDA ? Une fois encore il est difficile de rĂ©pondre Ă cela parce que nous ne savons pas comment dĂ©finir le « voisinage de Sirius » . Mais si vous voulez dire Ă environ une annĂ©e-lumiĂšre de Sirius, de la maniĂšre dont vous mesurez la distance, alors nous pouvons dire quâil nây a pas de tels ĂȘtres dans cette zone en 3e densitĂ©. Mais cela laisse ouvertes les densitĂ©s 4 Ă 6. Donc vous voyez, comme vous le savez dĂ©jĂ , mais nous voulons renforcer ceci, il y a tellement Ă contempler ici que cela est absurde quand ceux qui vous entourent font allusion Ă certaines zones ou systĂšmes stellaires et affirment quâil y a des ĂȘtres dâici ou de lĂ ou de nâimporte oĂč, et que leur objectif et ceci, ou cela ou autre. Parce que si vous connaissiez la svraies nature de lâunivers, de Tout lâUnivers, de tous les mondes possibles, vous sauriez aussi que tout et nâimporte quoi est possible et existe sen faits ! Vous ne devez spass oublier cela. Q : (L) Alors, autrement dit, ces gens ont raison ? R : Tous ces gens ont raison et tous ces gens ont tort. Parce quâil est stupide de pointer du doigt une section du ciel, et dâassigner une zone comme Ă©tant la « Patrie » de telle ou telle race dâextraterrestres. » Q : (L) Mais et si câĂ©tait bien le cas ? Les Orions habitent bien un systĂšme stellaire dâOrion nâest-ce pas ? R : Et vous aussi. Q : (L) Mais nous ne vivons pas lĂ -bas pour le
moment ! R : Ce nâest pas cela qui importe. Si vous deviez sĂ©journer en 3e densitĂ© et voir lâ Ă©toile, que vous connaissez comme votre Soleil, dâun autre point de votre galaxie, il apparaĂźtrait comme faisant partie du systĂšme dâOrion. Non ? Q : (L) Probablement. R : Eh bien, peut-ĂȘtre quâĂ prĂ©sent vous commencez Ă comprendre de quoi nous parlons ??? Ă un niveau et dans un sens. Q : (L) Et comment ces ĂȘtres arrivent-ils ici en traversant dâaussi vastes Ă©tendues dâespace ? R : Comme nous vous lâavons dit, il y a sept niveaux de densitĂ©, ce qui implique, entre autres, non seulement lâĂ©tat physique, spirituel et Ă©thĂ©rique, mais aussi, plus important encore, lâĂ©tat de prise de conscience. Voyez-vous, lâĂ©tat de conscience est lâĂ©lĂ©ment clĂ© de toute existence dans la crĂ©ation. Vous vous ĂȘtes souvenus sans aucun doute que nous vous avons dit que ceci est, aprĂšs tout, une grande illusion ; oui ? DĂšs lors, si câest une grande illusion, quâest-ce qui est plus important, la structure physique ou lâĂ©tat de conscience ??? Q : (L) Ătat de conscience ? R : Exactement. Maintenant, quand nous parlons du systĂšme de mesure, qui a naturellement Ă©tĂ© bien formulĂ© afin que vous puissiez le comprendre, des niveaux de densitĂ© de un Ă sept, le concept clĂ© est, bien sĂ»r, lâĂ©tat de conscience. Tout au long du chemin. Donc, une fois que vous vous Ă©levez vers un Ă©tat de conscience supĂ©rieur, des choses comme les limites physique sâĂ©vaporent. Et quand elles sâĂ©vaporent, les immenses distances, telles que vous les percevez, deviennent inexistantes. DĂšs lors, juste parce que vous ĂȘtes incapables de voir et comprendre nâa absolument aucune consĂ©quence sur ce qui est possible ou non. ExceptĂ© Ă lâintĂ©rieur de votre propre niveau de
densitĂ©. Et cela est ce que pratiquement personne Ă votre actuel niveau de densitĂ© nâest capable de comprendre. Si vous pouvez le comprendre et le leur transmettre, vous rendrez le plus grand service que votre espĂšce aura jamais vu. Pensez-y pendant un moment. Laissez cela sâimprĂ©gner dans votre conscience. Analysez-le. DissĂ©quez-le. Regardez-le avec soin, et puis rassemblez-le Ă nouveau. Q : (L) Quâest-ce qui limite notre prise de conscience ? R : Votre environnement. Et câest lâenvironnement que vous avez choisi. Par votre niveau de progrĂšs. Et câest ce qui limite tout. Ă mesure que lâon sâĂ©lĂšve de niveau de densitĂ© les limites sont enlevĂ©es. Q : (L) Quâest-ce qui crĂ©e cet environnement de limitations ? R : Câest la grande illusion qui est lĂ dans un but dâapprentissage. Q : (L) Et qui a mis cette illusion en place ? R : Le CrĂ©ateur qui est aussi le CrĂ©Ă©. Qui est aussi vous et nous et tous. Comme nous vous lâavons dit, nous sommes vous et vice versa. Et câest comme cela pour tout le reste. Q : (L) Est-ce que la clĂ© est que tout est illusion ? R : Fondamentalement, oui. Comme nous vous lâavons dit prĂ©cĂ©demment, si vous voulez bien ĂȘtre patients pendant un moment, lâunivers est simplement une Ă©cole. Et une Ă©cole oĂč tous apprennent. Câest pour cela que tout existe. Il nây a aucune autre raison. Maintenant, si vous compreniez lâexacte profondeur de cette affirmation, vous commenceriez Ă voir et faire pour vous-mĂȘmes lâexpĂ©rience de tous les niveaux de densitĂ© quâil est possible dâexpĂ©rimenter, de toutes les dimensions quâil est possible dâexpĂ©rimenter, de toute la conscience. Quand un individu comprend cette affirmation dans sa plus grande profondeur, cet individu obtient
lâillumination. Et pendant un moment, qui dure toute lâĂ©ternitĂ©, cet individu connaĂźt absolument tout ce quâil y a Ă connaĂźtre. Q : (L) Vous ĂȘtes donc en train de dire que le chemin de lâillumination câest la connaissance et non lâamour ? R : Cela est correct. Q : (L) Est-il aussi correct de dire que lâĂ©motion peut ĂȘtre utilisĂ©e pour Ă©garer, que ce sont les Ă©motions qui sont dĂ©formĂ©es et issues strictement de la chair ou dâune programmation erronĂ©e ? R : LâĂ©motion qui limite est un empĂȘchement au progrĂšs. LâĂ©motion est aussi nĂ©cessaire pour faire des progrĂšs en 3e densitĂ©. Elle est naturelle. Quand on commence Ă sĂ©parer les Ă©motions qui limitent et sont basĂ©es sur des allĂ©gations, des Ă©motions qui ouvrent sur des possibilitĂ©s illimitĂ©es, cela signifie quâon se prĂ©pare Ă la densitĂ© suivante. Q : (L) Quâen est-il de lâamour ? R : Quoi donc Ă ce sujet ? Q : (L) Il y a de nombreux enseignements qui disent que lâAmour est la clĂ©, la rĂ©ponse. Il est dit que lâillumination et la connaissance et que sais-je encore, tout cela peut sâatteindre par lâamour. R : Le problĂšme nâest pas le mot « amour », le problĂšme est lâinterprĂ©tation du terme. Ceux de troisiĂšme densitĂ© ont tendance Ă confondre horriblement cette question. En fait, ils prennent bien des choses pour de lâamour. Et lâactuelle dĂ©finition de lâamour telle que vous la connaissez nâest pas correcte non plus. Ce nâest pas nĂ©cessairement un sentiment que lâon a et qui peut aussi ĂȘtre interprĂ©tĂ© comme une Ă©motion, mais plutĂŽt, comme nous vous lâavons dit prĂ©cĂ©demment, lâessence de la lumiĂšre qui est connaissance, qui est amour. Et cela a Ă©tĂ© corrompu quand on dit que lâamour mĂšne Ă lâillumination. LâAmour est LumiĂšre est Connaissance.
Lâamour nâa pas de sens quand des dĂ©finitions triviales sont utilisĂ©es comme elles le sont dans votre environnement. Pour aimer il faut connaĂźtre. Et connaĂźtre câest avoir la lumiĂšre. Et avoir la lumiĂšre câest aimer. Et avoir la connaissance câest aimer. Ceci, vous devez le dĂ©couvrir ; avant que vous ne deveniez frustrĂ©s, si en fait vous devez commencer Ă voir Ă un autre niveau de densitĂ©, ce doit ĂȘtre un processus de dĂ©couverte pour le plus grand potentiel dâapprentissage. Si nous vous donnons des « prĂ©-vues », ce ne sera pas nĂ©cessairement dans votre intĂ©rĂȘt.
CHAPITRE XVI
Q : (L) Jâai lu un livre qui parlait dâun monstre appelĂ© « la bĂȘte du GĂ©vaudan », qui est apparue pour la premiĂšre fois en 1764 et qui est supposĂ©e avoir Ă©tĂ© supprimĂ©e en 1767. Qui ou quoi Ă©tait cette bĂȘte ? R : TombĂ©e dâune autre « fenĂȘtre dimensionnelle » . Q : (L) Vous voulez dire quâelle est tombĂ©e dans notre dimension depuis une autre, par une fenĂȘtre dimensionnelle ? R : Oui. Q : (L) Eh bien cela expliquerait bien des choses Ă cet Ă©gard. Et quâen est-il de la crĂ©ature connue sous le nom de « Spring Heel Jack [1] » qui a terrorisĂ© lâAngleterre il y a quelque temps ? R : MĂȘme chose. Q : (L) Et pour Mothman [2] en Virginie occidentale ? R : MĂȘme chose. Q : (L) Alors, des fenĂȘtres ouvrant sur dâautres dimensions sont lâexplication de tout un tas de choses Ă©tranges? R : Oui. Q : (L) Bon. Et pour El Chupacabras ? R : Câest ce que câest. Q : (L) Câest un « suceur de chĂšvres ». DâoĂč vient-il ? R : Revoyez : « tombĂ© de fenĂȘtres ». Q : (L) Si câest quelque chose tombĂ© dâune fenĂȘtre, est-ce que cela vient dâune autre densitĂ© ou dâune dimension
latĂ©rale ? R : Plus proche de cette derniĂšre. Q : (L) Donc câest comme une dimension horizontale. Comment se fait-il que des ĂȘtres dâautres densitĂ©s ou dimensions entrent dans notre densitĂ© ? R : Ceci est complexe mais le mieux dĂ©crit comme « explosions dâondes Ă©lectromagnĂ©tiques le long dâune limite de frĂ©quence variable ». Q : (L) Existe-t-il un moyen pour mettre fin Ă cela ? R : Vous ne comprenez pas encore toute la « mĂ©canique » du phĂ©nomĂšne de la fenĂȘtre. La physicalitĂ© est entiĂšrement transitoire et dĂ©pend partiellement des variabilitĂ©s de conscience ainsi que des attentes des tĂ©moins. Q : (L) Est-ce que lâĂ©nergie de la peur chez les tĂ©moins permet Ă la crĂ©ature de poursuivre ses opĂ©rations en 3e densitĂ© ? Est-ce quâelle se nourrit de lâexcitation et de la peur, et est-ce que câest cela qui la rend manifeste ? R : Proche mais un peu Ă cĂŽtĂ©. Câest lâinverse, et rĂ©tro-factorisĂ© par moitiĂ©. Q : (L) Que voulez-vous dire par lĂ ? R : Câest mutuel plutĂŽt quâunilatĂ©ral. Et aussi, souvenez-vous quâune fenĂȘtre reprĂ©sente une trans-Ă©nergisation de rĂ©alitĂ©s, Ă©galement reprĂ©sentĂ©es Ă partir de chacune des « dimensions » en question. Autrement dit, parce que le rideau dimensionnel a Ă©tĂ© « dĂ©chirĂ© », la moitiĂ© de lâun et la moitiĂ© de lâautre contribue Ă la rĂ©alitĂ© entiĂšre. Q : (L) Bon ; quâest-ce qui se passe quand des vaisseaux sont dĂ©crits comme appartenant Ă des extraterrestres et se mettent Ă Ă©mettre des lumiĂšres stroboscopiques au lieu de pulsations, ou des scintillements ou dâautres activitĂ©s lumineuses ? Autrement dit, quelles sont les diverses configurations dâĂ©manations lumineuses, et quâest-ce quâelles
indiquent ? R : Eh bien, vous devez savoir, comme nous vous lâavons dit prĂ©cĂ©demment, et comme vous en avez acquis les connaissances Ă partir dâautres sources que vos communications avec nous, que tout le sujet dĂ©signĂ© sous lâappellation « OVNI » est extrĂȘmement variĂ© ; sa nature a de multiples facettes, et ne reprĂ©sente pas une condition unique, ni entitĂ©, source dâentitĂ©s, mode de transport, niveau de densitĂ©, ni rien dâautre ayant trait Ă tout cela. Q : (L) Donc, autrement dit, il nous faudrait spĂ©cifier une observation prĂ©cise et les conditions pour pouvoir obtenir une rĂ©ponse Ă cette question ou type de question en particulier ? R : Eh bien, laissez-nous vous demander si ce ne serait pas la meilleure ligne de conduite ? Q : (J) Je pense que jâai une possibilitĂ© dâen sortir. Nous faisons probablement allusion au type dâobservations typiques Ă la rĂ©gion de Gulf Breeze oĂč⊠R : Soyez conscients du fait, sâil vous plaĂźt, que toute la situation de Gulf Breeze est assez intĂ©ressante Ă plus dâun Ă©gard. Et quand nous disons « assez intĂ©ressante », nous sommes subjectifs, voyant le subjectif de votre point de vue. Il y a lĂ -bas bien plus quâil nây paraĂźt⊠une fois encore, de votre point de vue. âŠLes lumiĂšres stroboscopiques sont utilisĂ©es pour mettre les esprits de 3e densitĂ© sous contrĂŽle. Q : (L) Bon. Vous avez mentionnĂ© les lumiĂšres stroboscopiques. Est-ce que ce sont des lumiĂšres stroboscopiques qui sont utilisĂ©es pour contrĂŽler les esprits, est-ce que câest quelque chose que nous rencontrerions quotidiennement ? R : Est-ce que vous ne le savez pas dĂ©jĂ ? Nous nâavons pas dit : des lumiĂšres stroboscopiques ; nous avons dit : les
lumiĂšres stroboscopiques, câest-Ă -dire toutes ! Q : (T) Il y a de nombreux types et formes de lumiĂšres stroboscopiques. La TV est de la lumiĂšre stroboscopique. Les Ă©crans dâordinateur sont de la lumiĂšre stroboscopique Les ampoules lumineuses sont de la lumiĂšre stroboscopique. Les tubes fluorescents sont de la lumiĂšre stroboscopique. Les lumiĂšres des rues sont de la lumiĂšre stroboscopique. R : Les voitures de police, les ambulances, les camions des pompiers⊠Depuis combien de temps cela est-il ainsi ? Avez-vous observĂ© des changements derniĂšrement ??!!?? Q : (F) Il y a vingt ans, il nây avait de lumiĂšre stroboscopique sur aucun des vĂ©hicules mentionnĂ©s. Ils avaient lâancien type de gyrophares. Ă prĂ©sent il y a de plus en plus de ces lumiĂšres stroboscopiques qui font leur apparition dans toutes sortes dâendroits. (L) Et maintenant ils en ont mĂȘme sur les bus scolaires ! (T) Et les bus rĂ©guliers de la ville en ont aussi Ă prĂ©sent. (L) Est-ce que les Ă©missions de lumiĂšre stroboscopique se font Ă une frĂ©quence particuliĂšre afin de faire certaines choses ? R : DĂ©clencheurs hypnotiques. Q : (L) Quel est le but dâun dĂ©clencheur dâhypnose utilisĂ© de cette façon ? R : Vous ne remarquez pas le vĂ©hicule. Q : (T) Et quel vĂ©hicule ne voyons-nous pas ? R : DĂ©clencheur. Est prĂ©curseur de suggestion, qui est de nature auditive. Q : (L) Vous avez dit que la « suggestion est de nature auditive ». Si câest le cas, dâoĂč vient, auditivement, ma suggestion ? R : DâoĂč recevez-vous normalement des suggestions auditives ? Q : (L) Radio, tĂ©lĂ©vision⊠(T) TĂ©lĂ©phone⊠(L) Est-ce
que câest de cela que nous parlons ? R : Oui. Q : (L) Si on rencontre un stroboscope pendant quâon est en train de conduire ou quand on est assis devant la tĂ©lĂ©vision, alors les suggestions sont plus faciles Ă faire entrer dans la personne Ă cause ce cet Ă©tat ouvert Ă lâhypnose ? Câest ça ? R : Oui. Q : (L) Et ces suggestions sont que nous ne verrons pas le vaisseau ? R : Oui. Q : (T) Est-ce que nous recevons ces signaux de la radio de la voiture, mĂȘme quand elle est Ă©teinte ? R : Cela dĂ©pend si ou non il y a une autre source. Q : (T) Une autre source telle que ? R : ELP, par exemple. Q : (L) Câest quoi « ELP ? » R : Extremely Low Pulse [3] Q : (T) ELF, Extremely Low Frequency [4], et ELP, Extremely Low Pulse â est-ce la mĂȘme chose ? R : Parfois. Q : (T) Câest une pulsation ou une frĂ©quence extĂ©rieure ? R : Oui. Q : (T) Est-ce quâelle provient de la source du stroboscope ? R : Non. Elles agissent Ă lâunisson. Q : (L) Et ce processus nous empĂȘche de voir quelque chose, comme un vaisseau volant dans nos cieux Ă un moment donnĂ© ? R : Ou bien le voir comme quelque chose dâautre. Q : (L) Maintenant, nous devons nous arrĂȘter pendant
une minute parce que je veux vous raconter quelque chose. Pendant ces derniers mois, jâai observĂ© le ciel vraiment soigneusement Ă chaque fois que jâen ai lâoccasion. Ă 3 ou 4 reprises jâai vu ce que jâai pensĂ© ĂȘtre un avion ordinaire. Et je lâai regardĂ© minutieusement, et examinĂ© Ă gauche et Ă droite, et quand jâai regardĂ© Ă lâendroit oĂč cet avion aurait dĂ» se trouver, sur base de la vitesse et de la direction observables, il nây avait RIEN. Je suis restĂ©e lĂ , jâai cherchĂ© et cherchĂ©, et je nâai rien trouvĂ©. Ces choses se sont complĂštement Ă©vanouies. Je savais que je lâavais vu, je savais que je nâĂ©tais pas folle. Je savais quâil ne pouvait pas avoir disparu aussi complĂštement - et que cela se soit produit plusieurs fois mâa rĂ©ellement dĂ©stabilisĂ©e. Quelles sont les implications de cela, Ă part le fait que nous pourrions ĂȘtre complĂštement submergĂ©s nâimporte quand et pour nâimporte quoi, et ĂȘtre, nous la masse des gens, complĂštement inconscients de ce fait ? R : Oui, or monoatomique ! Q : (L) Et que signifie donc la rĂ©fĂ©rence Ă lâor monoatomique ? R : PiĂšge total pour lâĂȘtre, mental, corps et Ăąme. Les stroboscopes utilisent un filament dâor trĂšs tĂ©nu. Quâest-ce qui compose ces filaments dâor trĂšs tĂ©nus, supposez-vous ? Indice : ce nâest pas Fort Knox ! Q : (T) Or monoatomique. R : Bingo. Vous voyez, ceci a des propriĂ©tĂ©s extraordinaires. Q : (T) Jâen suis certain ! Le fait est que, sâil fait ce que Hudson dit quâil fait, la structure du pouvoir lâaurait fait taire â il nâaurait pas Ă©tĂ© aussi loin avec cela . Donc, sâils le laissent faire câest parce que cela ne fait pas ce quâil dit que cela fait : cela fait lâopposĂ©. Et câest ce quâil a dit. Quand on absorbe la substance pendant un certain nombre de jours, on complĂšte le
programme ; elle restructure les gĂšnes et la gĂ©nĂ©tique personnelle est impliquĂ©e dans les perceptions et la cognition des niveaux de densitĂ©. (L) Okay, comment bloque-t-on cette sorte de contrĂŽle ? R : on ne le fait pas. Q : (L) Est-ce que cela est une des choses qui nous empĂȘchent de nous Ă©tendre dans la densitĂ© suivante, en termes de prise de conscience ? R : Sans rapport avec cela. Voyez-vous, les Ăąmes qui sont affectĂ©es par toutes ces techniques de «couverture» vibrent Ă un niveau bas de toute façon. Le but est de bloquer ceux qui peuvent ĂȘtre bloquĂ©s. Q : (L) Y a-t-il quelque chose Ă faire pour Ă©viter ce blocage ? R : Vous nâĂȘtes pas blocables. Si vous lâĂ©tiez, est-ce que vous seriez en train de faire ceci ? Q : (T) Okay, il y a une technique de blocage qui est utilisĂ©e sur les gens pour abaisser la frĂ©quence vibratoire afin de les empĂȘcher de les voir ; vrai ? R : La technique de blocage sert Ă beaucoup de choses. Q : (T) Pour que les gens ne comprennent pas se qui se passe autour dâeux. R : Oui. Câest ainsi en rĂ©sumĂ©. Voyez, et sachez et pensez ou⊠Voyez, sachez et pensez ce qui est dĂ©sirĂ©.
NOTES
[1]: Jack le bondissant (NdT) [2]: lâhomme-phalĂšne (NdT) [3]: Pulsation ExtrĂȘmement Basse (NdT) [4]: FrĂ©quence ExtrĂȘmement Basse NdT)
CHAPITRE XVII
Q : (L) Jâai lu le nouveau livre du Dr. David JACOBS, professeur dâHistoire Ă la Temple University, concernant ses recherches approfondies sur le phĂ©nomĂšne des rapts extraterrestres. [Le Dr. JACOBS a pris lâHistoire des OVNIs pour sujet de sa thĂšse de doctorat en philosophie ] Le Dr. JACOBS dit quâĂ prĂ©sent, aprĂšs toutes ces annĂ©es de recherche rigoureuse, il SAIT pourquoi les extraterrestres sont ici, et quâil a peur. David JACOBS dit que produire une descendance est lâobjectif premier qui se cache derriĂšre le phĂ©nomĂšne des enlĂšvements. Est-ce bien le cas ? R : En partie, mais « pas toute lâhistoire ». Q : (L) Y a-t-il une autre raison dominante ? R : Remplacement. Q : (L) Remplacement de quoi ? R : Vous. Q : (L) Que voulez-vous dire ? CrĂ©er une race pour remplacer les ĂȘtres humains, ou enlever des humains spĂ©cifiques pour les remplacer par des clones, ou quoi dâautre ? R : Principalement en premier. Voyez-vous, quand on veut crĂ©er une nouvelle race, quel meilleur moyen que lâhybridation en masse, et ensuite rĂ©incarnation en masse. SpĂ©cialement quand lâespĂšce-hĂŽte est si profondĂ©ment ignorante, sous contrĂŽle et anthropocentrique. Quel merveilleux environnement pour une destruction totale, une conquĂȘte et un remplacement⊠vous voyez ?
Q : (L) Eh bien cela rĂ©pond Ă mon autre question Ă propos de lâobjectif. Ici dans son livre, le Dr. JACOBS dit quâil y a des enlĂšvements qui se font dans des familles particuliĂšres. Je cite : « Outre la protection du foetus, il y a dâautres raisons au secret. Si les enlĂšvements sont, comme lâĂ©vidence lâindique clairement, un phĂ©nomĂšne intergĂ©nĂ©rationnel dans lequel les enfants des personnes enlevĂ©es sont eux-mĂȘmes enlevĂ©s, alors un des objectifs des extraterrestres est la production de davantage dâenlevĂ©s. Est-ce que tous les enfants de personnes enlevĂ©es sont incorporĂ©s dans le phĂ©nomĂšne ? LâĂ©vidence suggĂšre que la rĂ©ponse est oui. Si une personne enlevĂ©e a des enfants avec une personne qui nâa jamais Ă©tĂ© enlevĂ©e, les chances sont que tous leurs descendants deviendront des personnes enlevĂ©es. Cela signifie que par un accroissement normal de population, divorce, remariage etc., la population des enlevĂ©s augmentera rapidement au fil des gĂ©nĂ©rations. Quand ces enfants auront grandi, se seront mariĂ©s et auront eux-mĂȘmes eu des enfants, tous leurs enfants, quâils Ă©pousent des personnes ayant subi ou non un enlĂšvement seront des personnes enlevĂ©es. Pour protĂ©ger la nature intergĂ©nĂ©rationnelle du programme « dâĂ©levage », ce programme doit ĂȘtre gardĂ© secret par rapport aux personnes enlevĂ©es afin que celles-ci continuent Ă avoir des enfants. Si les personnes enlevĂ©es savaient que le programme est intergĂ©nĂ©rationnel, elles pourraient choisir de ne pas avoir dâenfants. Et cela mettrait fin Ă une phase critique du programme, ce que les extraterrestres ne veulent pas risquer. La raison finale du secret est que le programme de reproduction doit ĂȘtre Ă©tendu ; pour lâintĂ©grer latĂ©ralement dans la sociĂ©tĂ©, les extraterrestres doivent sâassurer que les personnes enlevĂ©es Ă©pousent des non-enlevĂ©s et produisent ainsi des enfants
enlevĂ©s ». âŠCeci paraĂźt suggĂ©rer quâil y a une lignĂ©e particuliĂšre qui est susceptible de⊠R : Nous vous lâavons dit prĂ©cĂ©demment : lâexpĂ©rience nazie a Ă©tĂ© un « coup dâessai », et maintenant vous voyez les similitudes, non ? Q : (L) Oui, je vois⊠R : Et nous vous avons dit que lâexpĂ©rience des « natifs AmĂ©ricains » par rapport aux EuropĂ©ens pourrait ĂȘtre un coup dâessai sur petite Ă©chelle. Et aussi, dans ce que les Terriens de 3e densitĂ© font aux Terriens de 2e densitĂ© il y a « Ă boire et Ă manger ». Autrement dit, vous nâĂȘtes pas si exceptionnels malgrĂ© vos perspectives, eh ? Et nous vous avons aussi avertis quâaprĂšs la conversion des humains terriens en 4e densitĂ©, Les Orions de 4e densitĂ© et leurs alliĂ©s espĂšrent bien vous contrĂŽler « lĂ -bas/haut ». Ă prĂ©sent, mettez tout cela ensemble et quâavez-vous ? Vous devriez au moins savoir Ă prĂ©sent que câest lâĂąme qui compte, et non le corps. Dâautres vous ont manipulĂ©s/organisĂ©s gĂ©nĂ©tiquement, spirituellement et psychologiquement pour que vous soyez centrĂ©s sur le corps. IntĂ©ressant comme en dĂ©pit de tous les efforts des SDA de 4e Ă la 6e densitĂ©, « ce voile reste intact ». Q : (L) Maintenant, la grande question est : que sommes-nous supposĂ©s faire de ces informations ? R : Comme pour tout le reste, lâimportant nâest pas ce que vous devriez en faire, câest que vous les ayez. Q : (L) Est-ce quâil existe une possibilitĂ© de dĂ©jouer les plans de la 4e densitĂ© SDS dans ce projet ? R : Existe-t-il une possibilitĂ© de mettre en Ă©chec les conquistadores espagnols et les « colonisateurs anglais, français, hollandais et allemands ? » Q : (F) Est-ce quâils ont bien dit ce que je pense quâils
ont dit ? (L) Oui. Cela est incommensurablement dĂ©primant. R : Et vous espĂ©riez un jardin de roses ? Q : (L) Si câest comme ça, pourquoi ne rejoignons-nous pas tous le culte du « Heavenâs Gate [1] » pour nous suicider en masse et ne pas devoir nous occuper de tout ça ? ! R : Vous avez choisi de « vous en occuper », non ? Q : (L) Mais avais-je bien toute ma tĂȘte quand jâai fait ce choix, ou bien avais-je bu ? R : Pas de boissons en 5e densitĂ© ! Q : (L) Jâai eu des Ă©changes avec Carla MCCARTY qui Ă©tait le canal Ra. Elle dit que nous ne sommes pas censĂ©s faire quelque chose ; nous sommes simplement censĂ©s ĂȘtre pour laisser couler Ă travers nous le flux dâamour, aimer les extraterrestres et tout le monde, nous dĂ©tendre dans les champs de tulipes, et sâils nous enlĂšvent nous devons aimer ça aussi. Quelque part je ne trouve pas cela⊠R : Tout ce quâil y a ce sont des leçons !! Q : (L) Est-ce que la leçon est dâapprendre comment renoncer aux ombres avec panache ? Quel est le but ? R : Vos expĂ©riences ne finissent jamais. Se transforment seulement. Pas besoin de « corps-centrisme ». Q : (L) Un jour vous avez dit quelque chose Ă propos de la transition vers la 4e densitĂ©, qui crĂ©erait un « champ de bataille » Ă ce niveau. Alors les gens vont sâĂ©veiller et il y aura une bataille entre humains et extraterrestres⊠R : Oui. Q : (L) Et sâil sâagit dâun champ de bataille dâun mĂȘme niveau, alors la situation ne sera pas tout Ă fait la mĂȘme que pour les Conquistadores contre les AztĂšques et les AmĂ©ricains autochtones contre les EuropĂ©ens, et⊠R : Faux, tous, dans ce drame, Ă©taient de 3e densitĂ©. Les lapins, rats, chiens, etc. ne sont pas sur un champ de bataille au
mĂȘme niveau que vous ! Q : (L) Est-ce que les extraterrestres savent que des comĂštes vont arriver, et tout ce genre de choses ? R : Oui. Q : (L) Et ils ont dans lâidĂ©e que ce quâils sont en train de faire, cette race quâils sont en train de crĂ©er, survivra Ă ces activitĂ©s cataclysmiques ? R : Bien sĂ»r. Q : (L) Est ce que câest « bien sĂ»r » ils vont survivre, ou bien est-ce « bien sĂ»r » ils croient quâils vont survivre ? R : Les deux. Q : (L) Okay, vous nous avez dit un jour que cela serait comme une « bataille cosmique ». Que le cycle allait crĂ©er un Ă©quilibre, etc. Jâessaie de comprendre cela. Si câest bien le cas, ils semble quâil y ait davantage lĂ que les Conquistadores contre les AztĂšques et les EuropĂ©ens contre les Natifs AmĂ©ricains ; quâĂ un certain point lâhistoire change : les opprimĂ©s rĂ©torquent. Jâessaie de placer lâallĂ©gorie dans un cadre plus comprĂ©hensible. Voyez-vous ce que je veux dire ? R : Non. Q : (L) Câest parce que je suis dĂ©sorientĂ©e. Ce que jâessaie de demander sans le demander directement câest ceci : quelles chances avons-nous de faire quoi que ce soit ? R : Vous ne voyez toujours pas « tout le tableau ». Q : (L) Câest quoi, tout le tableau ? R : Votre Ăąme, votre conscience. Q : (L) Donc, autrement dit, nous avons choisi de venir Ă ce moment-ci, pour faire lâexpĂ©rience de cet envahissement gĂ©nĂ©ral de notre planĂšte, et de la conquĂȘte et de la destruction de la race humaine, juste pour pouvoir faire lâexpĂ©rience, nous en aller et nous rĂ©incarner ? R : Non.
Q : (L) Eh bien, câest ce quâon dirait cependant ! Vous dites que la seule chose qui compte câest notre Ăąme, notre conscience, dĂšs lors si nous nous occupons du dĂ©part de notre Ăąme et de notre corps, la rĂ©ponse est manifestement a) se rĂ©incarner, ou b) aller vers la densitĂ© suivante et se rĂ©incarner. Quelle autre option y a-t-il ? R : Combien de temps pensez-vous que vous « vivrez ? » Q : (L) Eh bien, dans des circonstances normales, jusquâĂ 70 ou 80 ans, pour ĂȘtre optimiste. R : Et est-ce que câest long ? Q : (L) Non, ce ne lâest pas. Selon les normes cosmiques, câest une bouffĂ©e de vapeur. OĂč voulez-vous en venir ? R : Pensez-y. Avez-vous eu des contemporains qui ont transitĂ© en 5e densitĂ© ? Q : (L) Oui. R : Comment cela ? Comment cela est-il possible ? Q : (L) Parce quâils sont morts. Le corps est mort. R : Pourquoi ? Q : (L) Parce que câest ce que font les corps. R : Mais est-ce « juste ? » Q : (L) Est-ce que câest juste ? ! Je le suppose, si câest ce quâils ont choisi. R : Et⊠Q : (L) Je ne sais pas oĂč vous voulez en venir avec cela ! R : Vous semblez avoir lâimpression que seules les « bonnes expĂ©riences » sont acceptables. Q : (L) Non, je nâai pas lâimpression que seules les bonnes expĂ©riences sont acceptables, mais jâai une sorte de dilemme ici parce que nous sommes en train de vous parler Ă
vous, qui ĂȘtes supposĂ©s ĂȘtre « nous dans le futur ». Nous sommes ici, Ă cette Ă©poque-ci, sur cette planĂšte-ci, oĂč les choses sont dans un Ă©tat trĂšs Ă©trange. Il y a une espĂšce dâĂ©norme transition qui est en train de se produire, et je me demande seulement pourquoi tout ça. Pourquoi sommes-nous en train de vous parler ? Quel est le but ? R : Câest ça la leçon. Vous ne comprenez toujours pas ? La leçon, les leçons, câest tout ce quâil y a. Elles sont toutes immensĂ©ment prĂ©cieuses. Q : (L) Okay, nous sommes en train dâavoir ces leçons. Vous nous avez dit ce qui se passe. Nous le voyons autour de nous. Je suis convaincue que ce que vous avez dit est ainsi grĂące Ă un tas dâautres preuves circonstanciĂ©es ainsi que grĂące aux recherches dâautres personnes qui sont arrivĂ©es Ă la mĂȘme conclusion et, que diable, câest horrible ! Me comprenez-vous ? ! Câest horrible ! R : Ăa câest votre point de vue. Q : (L) Comme lâa dit Eva lâautre jour au tĂ©lĂ©phone, Ă quoi sommes-nous censĂ©s nous Ă©veiller ? Est-ce que nous sommes simplement supposĂ©s nous Ă©veiller au fait que nous voyions tout ce qui se passe ? R : Oui. Q : (L) Et simplement nous Ă©veiller et voir, câest tout ce quâil y a ? Bon, une fois que nous sommes Ă©veillĂ©s et que nous voyons, pourquoi ne pouvons-nous pas simplement partir Ă ce moment ? Quand on connaĂźt le script on ne doit pas ĂȘtre obligĂ© de regarder le film ! R : Mais alors vous ratez lâoccasion de lâexpĂ©rience. Q : (L) Donc, nous sommes tous ici pour faire lâexpĂ©rience dâĂȘtre mĂąchĂ©s et broyĂ©s⊠R : Non. Q : (L) EmprisonnĂ©s, contrĂŽlĂ©s, traitĂ©s comme des rats
dans des cages de laboratoire⊠R : Extase, vous souvenez-vous ? Q : (L) Extase ? ! Eh bien câest la meilleure ! Nous pouvons tous aller brĂ»ler sur le bĂ»cher ! DâaprĂšs ce que je comprends, câest une expĂ©rience extatique ! Je suis certaine que William WALLACE est parfaitement tombĂ© en extase quand il a Ă©tĂ© chĂątrĂ© et quâon lui a retirĂ© ses boyaux et quâon les a brĂ»lĂ©s sur un bĂ»cher juste sous son nez ! R : Il nây a pas si longtemps, votre nez Ă vous sâest Ă©crasĂ© sur le pavé⊠Q : (L) Et câĂ©tait une expĂ©rience extatique ? R : Oui. Q : (L) Mais alors, quand vous dites « extatique » vous voulez juste dire sauter dâune fenĂȘtre et casser sa pipe ?! Il faut comprendre ici ! La perspective ici en 3e densitĂ© ! Vous nâavez pas un nez Ă Ă©craser sur le pavĂ© ! R : Et nous ne le faisons/ferons pas. Q : (A) Vous dites que les connaissances protĂšgent. Elles protĂšgent contre quoi ? R : Beaucoup de choses. Un exemple : traumatisme et confusion post-transformationnels. Q : (L) Donc, la connaissance va nous protĂ©ger contre le traumatisme et la confusion post-transformationnels. Vous ĂȘtes en train de dire que cette transition en 4e densitĂ© sera traumatisante et dĂ©sorientante. Est-ce que vous voulez dire la transformation de 3e en 4e densitĂ©, ou de 3e en 5e densitĂ©, câest-Ă -dire la mort ? R : Les deux. Q : (L) Donc, si on nâa pas de choc, traumatisme, confusion, etc., on peut mieux fonctionner ? R : Oui. Q : (L) Eh bien, quand une personne transite
directement de 3e en 4e densitĂ© sans passer par la 5e densitĂ©, par la mort, cela implique que des personnes peuvent transiter directement de 3e en 4e densitĂ©, sans mourir. Est-ce correct ? R : Oui. Q : (L) Quâest-ce que cela donne comme sensation ? Comment est cette expĂ©rience⊠R : Alice de lâautre cĂŽtĂ© du miroir. Q : (A) Bon. Ils disent que la connaissance est supposĂ©e protĂ©ger du traumatisme et de la confusion. Dâautre part, tout est leçons. Pourquoi sommes-nous supposĂ©s travailler Ă Ă©viter une leçon ? R : Vous avez raison, câest une leçon, mais si vous avez une prĂ©-connaissance vous apprenez cette leçon plus vite et dâune maniĂšre diffĂ©rente. Q : (L) Donc, si on append la leçon dâune maniĂšre diffĂ©rente, est-ce que cela adoucit le besoin, ou le processus de la maniĂšre dâapprendre au moment de la transition ? R : Oui, plus doux. Q : (L) Je dois dire que de penser Ă tout cela, de ne rien pouvoir y faire, de nâĂȘtre pas capable dâen parler autour de moi parce que les gens ne le croient pas, câest certainement plus douloureux que dâen recevoir le choc⊠R : Non. Q : (L) Eh bien, vous ĂȘtes en train de suggĂ©rer que je suis capable de dire ces choses Ă dâautres ? R : Vous pouvez transmettre, mais suggĂ©rons de le faire de façon subtile. Q : (L) Et combien subtil cela peut-il ĂȘtre ? Dois-je dire : « salut les gars, vous connaissez les mots mĂącher, broyer, miam miam ??? » R : Tout nâest pas comme cela et vous le savez ! La plupart ne sont pas mangĂ©s, seulement manipulĂ©s. La
connaissance protĂšge de la maniĂšre la plus Ă©tonnante. Q : (L) Je ne veux certainement pas rester sur cette planĂšte quand elle aura Ă©tĂ© envahie les des extraterrestres et que tout le monde sera en train dâĂȘtre mĂąchĂ© ! R : MĂąchĂ© ? Sâil vous plaĂźt ! ! Voici quelque chose Ă digĂ©rer pour vous : pourquoi est-ce que vos hommes de science ignorent lâĂ©vidence quand ils insistent sur le fait que les extraterrestres ne peuvent accomplir de voyage vers la Terre depuis un systĂšme trĂšs Ă©loignĂ© ? ? ? Q : Et quelle est cette chose Ă©vidente ? R : MĂȘme si le voyage Ă la vitesse de la lumiĂšre et « plus rapide » nâĂ©tait pas possible, et il lâest bien sĂ»r, il nây a pas de raison pour quâune race extraterrestre ne soit pas capable de construire une « arche » spatiale et dây faire vivre de nombreuses gĂ©nĂ©rations. Ils pourraient parcourir de grandes distances Ă travers temps et espace, en cherchant un monde convenable Ă conquĂ©rir. Quand ils lâauraient trouvĂ©, ils pourraient alors mettre cette arche sur une orbite lointaine, construire des bases sur divers plans solides dans ce systĂšme solaire, et entreprendre une manipulation patiente des civilisations choisies pour quâelles dĂ©veloppent une infrastructure technologique convenable. Et ensuite, aprĂšs avoir instituĂ© un projet de programmation du mental, ils pourraient simplement intervenir et prendre le contrĂŽle dĂšs que la situation serait devenue favorable. Q : Est-ce que câest ce qui sâest produit ou est en train de se produire ? R : Cela se pourrait bien, et peut-ĂȘtre que maintenant câest le moment pour vous dâapprendre les dĂ©tails. Q : Une telle race serait-elle dâorientation 3e ou bien 4e
densité ? R : Pourquoi pas des éléments des deux ?
Q : Quel est le lieu le plus probable oĂč une telle race serait apparue ? R : Oh, peut-ĂȘtre Orion, par exemple ? Q : Okay. Si une telle race a en effet fait le voyage vers ce lieu dans lâespace-temps, combien de gĂ©nĂ©rations y a-t-il eu sur leur arche spatiale pendant la pĂ©riode de ce voyage, en supposant, bien sĂ»r quâune telle chose sâest produite ? R : Peut-ĂȘtre 12. Q : Cela implique quâils ont des pĂ©riodes de vie plutĂŽt longues⊠R : Oui⊠Q : En supposant que câest le cas, quelle est leur durĂ©e de vie ? R : 2 000 de vos annĂ©es. Câest-Ă -dire quand dans lâespace,⊠Q : Et quelle est la durĂ©e sur la terre ferme ? R : 800 ans. Q : Est-ce quâil ne leur est pas venu Ă lâidĂ©e quâil vaudrait mieux pour eux rester dans lâespace ? R : Non. Les planĂštes sont beaucoup plus « confortables ». Q : Imaginons quâun tel groupe a fait le voyage jusquâici⊠R : Nous vous avons parlĂ© des conflits imminents⊠Peut-ĂȘtre que nous avons voulu dire la mĂȘme chose que votre Bible, et dâautres rĂ©fĂ©rences. Parlons de⊠La bataille « finale » entre « le bien et le mal⊠». Cela semble assez cosmique quand on y pense, nâest-ce pas ? Q : Est-ce que cela signifie quâil y a eu plus dâun groupe qui a fait le voyage jusquâici dans leur arche spatiale ? R : Il pourrait bien y en avoir un autre qui est en train de sâapprocher, ainsi que des « renforts » pour lâun ou lâautre,
ainsi que des observateurs « non-impliquĂ©s » mais intĂ©ressĂ©s de divers types, qui suivent lâhistoire depuis les coulisses. Q : Eh bien SUPER ! Adieu ma vie paisible ! R : Elle ne lâa jamais Ă©tĂ© ! Q : Mais je faisais des plans dans ce sens ! R : Vous avez choisi dâĂȘtre incarnĂ©e maintenant, avec quelque prĂ©-connaissance de ce qui va arriver. RĂ©fĂ©rez-vous Ă vos rĂȘves dâattaques venues de lâespace. Q : Okay, de quels types raciaux parlons-nous par rapport Ă ces hypothĂ©tiques extraterrestres ? R : Trois structures fondamentales. Nordiques, Reptiliens, et Gris. Nombreuses variantes du type 3, et 3 variantes des types 1 et 2. Q : Eh bien de quels types raciaux sont les « bons » ? R : Nordiques, en affiliation avec « guides » de 6e
densitĂ©. Q : Et ce sont les seuls qui soient bons ? R : Vous nâavez pas besoin de plus. Q : Merveilleux ! Alors si câest un Gris ou un Lizzie, on sait que ce ne sont pas les bons gars. Mais si câest un grand blond, alors on peut se poser des questions ! R : Tout est subjectif quand on parle de bon et pas bon. Certains de la 2e densitĂ© pensent Ă vous comme « pas bons », et câest le moins quâon puisse dire !!! Q : Ăa câest certain ! SpĂ©cialement les cancrelats ! Peut-ĂȘtre que nous devrions entrer en contact avec certains de ces bons gars⊠R : Quand le « temps » sera venu. Sâil vous plaĂźt, soyez attentifs aux signes ! Cela ne vous aidera pas de vous placer dans un vacuum de conscience. Q : On parle beaucoup des observations faites dans la rĂ©gion du Sud-Ouest. On dit quâil sâagit de la nouvelle invasion
ou atterrissage en masse. Pouvez-vous faire un commentaire sur ces activitĂ©s ? R : PrĂ©lude au plus grand des « coups » quâil y ait jamais eu. Q : Et oĂč ce « coup » aura-t-il lieu ? R : Terre. Q : Quand est-ce que cela commencera ? R : DĂ©jĂ commencĂ©. Q : Est-ce que ce plus grand des coups sera juste un coup ou bien est-ce que ce sera une invasion ? R : Pas encore. Invasion se produit quand programmation est complĂšte Q : Quelle programmation ? R : Voyez Bible, Livre Lucide, MatĂ©riaux Matrix, « Faiseurs dâAube », et bien dâautres sources, puis faites rĂ©fĂ©rences croisĂ©es⊠extrayez la vĂ©ritĂ© de la dĂ©sinformation. Q : Mais si quelque chose est imminent nous nâaurons pas le temps de faire toutes les choses que vous nous avez suggĂ©rĂ© de faire ! R : Si, vous lâaurez, trĂšs probablement. Q : Cela mâenlĂšve tout courage ! R : Mais non ! Q : Eh bien, allons-nous avoir le temps de faire toutes ces choses ? R : Toutes ces choses ont Ă©tĂ© suggĂ©rĂ©es pour cette raison, entre autres. Q : Alors, toutes ces choses que vous avez suggĂ©rĂ©es sont pour faire en sorte que nous soyons prĂȘts pour lâĂ©vĂ©nement ? R : Oui. Q : Eh bien alors nous ferions bien de nous bouger ! Nous nâavons pas de temps Ă perdre !
R : Vous ferez comme il faudra, vous ne pourrez pas forcer ces Ă©vĂ©nements ni modifier la Grande DestinĂ©e. Q : Je nâaime PAS entendre ça ! Je veux rentrer chez moi ! R : Lâalternative est moins appĂ©tissante. Q : SĂ»r ! Je ne veux pas ĂȘtre un dĂ©jeuner ! R : RĂ©incarnation sur une Terre de 3e densitĂ©, en tant que « cavernicole » parmi les gravats et sur fond de ciel rougeoyant, pendant que souffle la froide bise perpĂ©tuelle ⊠Q : Pourquoi le ciel est-il rougeoyant ? R : Contemplez. Q : Bien sĂ»r ! PoussiĂšre de comĂšte ! Bien sĂ»r, tout le monde sait ça ! Magnifique ! ! ! Quelque chose dâautre ? R : Restez branchĂ©s pour toutes autres informations importantes.
NOTES
[1]: La porte du Ciel (NdT)
CHAPITRE XVIII
Voici un assortiment dâextraits relatifs Ă des questions spĂ©cifiques Ă propos des diffĂ©rents extraterrestres et processus de rapt, posĂ©es par des participants Ă diverses sĂ©ances. La plupart ne demandent pas de commentaires. Q : (L) Un tas de gens mâĂ©crivent Ă propos de rĂȘves ces derniers temps. Ils semblent faire de nombreux rĂȘves ayant pour thĂšme des ĂȘtres dans le ciel, et qui entrent dans notre rĂ©alitĂ©. Toutes sortes de choses Ă©tranges. R : Des ĂȘtres vont et viennent toujours Ă leur grĂ©, câest la prise de conscience qui devient plus grande. Q : (L) Une autre tendance dans les rĂȘves : les gens sont poursuivis, attaquĂ©s, sĂ©parĂ©s de leur famille, mis dans des camps de concentration â toutes sortes de choses. R : Tous sont des futurs possibles. Wait and see. Il y a une race dâextraterrestres dont les plans sont de remplacer vos vĂ©hicules physiques par un « modĂšle » nouveau. Q : (L) Que vont-ils faire avec les anciens modĂšles ? R : « Les retirer ». Q : (T) De quelle race sâagit-il ? R : Orion SDS. Q : (L) Est-ce que câest essentiellement cela qui est arrivĂ© Ă lâhomme de NĂ©anderthal ? R : Ouaip ! Q : (L) Eh bien il semble que pendant une certaine pĂ©riode il a continuĂ© Ă vivre sur la planĂšte, Cro-Magnon ou un
autre. R : Certains lâont fait. Q : (L) Pendant combien de temps lâhomme de NĂ©anderthal a-t-il existĂ© en mĂȘme temps que le « nouveau modĂšle » ? R : 233 ans. Q : (L) Je pensais que lâhomme de NĂ©anderthal avait vĂ©cu ici pendant une trĂšs, trĂšs, trĂšs longue pĂ©riode ; et si, comme vous lâavez dit, lâhomme moderne est arrivĂ© sur la planĂšte il y a 70 ou 80 000 ans, est-ce que lâhomme de NĂ©anderthal nâĂ©tait pas dĂ©jĂ ici ? R : Les rĂ©fĂ©rences temporelles ont Ă©tĂ© mal calculĂ©es. Q : (L) Qui a mal calculĂ© les rĂ©fĂ©rences temporelles ? R : Sciences. Q : (L) Quel est le plus ancien homme de NĂ©anderthal jamais dĂ©couvert ? Quelquâun le sait ? Non ? bon ; alors quand lâhomme de NĂ©anderthal a-t-il fait son apparition sur la planĂšte ? R : Il y a 5,3 millions dâannĂ©es. Q : (L) Vous dites que quand les sciences affirment que lâhomme moderne est apparu il y a 35 Ă 40 000 ans et que lâhomme de NĂ©anderthal a disparu Ă la mĂȘme Ă©poque, le cadre temporel rĂ©el est en fait il y a 70 Ă 80 000 ans ? Autrement dit, une erreur de facteur 2. R : Proche. Q : (L) Et bien sĂ»r, nous ne pouvons nous fier Ă aucune des mĂ©thodes de datation Ă cause de la mĂ©tamorphose. R : Et manipulations gĂ©nĂ©tiques. Q : (L) Donc, en fait NOUS SOMMES les nouveaux hommes de NĂ©anderthal sur le point de nous Ă©teindre. Vous avez dit que ceux qui transiteront en 4e densitĂ© dans leur corps passeront par une sorte de processus de rajeunissement ou
rĂ©gĂ©nĂ©ration corporelle ou quelque chose du genre. Est-ce que cela signifie que les corps de type « NĂ©anderthal » que nous occupons pour le moment prendront une forme plus proche du nouveau modĂšle ? Est-ce quâil est gĂ©nĂ©tiquement encodĂ© en eux que cela se passe ainsi ? R : Quelque chose comme cela. Q : (L) Alors câest pour cela quâils ont suivi certaines lignĂ©es, gĂ©nĂ©ration aprĂšs gĂ©nĂ©ration ; ils manipulent lâADN et sont en train dâarmer des bombes gĂ©nĂ©tiques qui sauteront en temps voulu. (A) ce qui est intĂ©ressant câest de voir comment ceux qui sont en train dâessayer dâattraper ces gens, de les enlever, comment les localisent-ils ? Comment obtiennent-ils les informations ? En suivant la lignĂ©e Ă la trace, ou bien par lâintermĂ©diaire de quelque moniteur quâon peut dĂ©tecter de loin et alors ils peuvent observer quâil y a ici « quelquâun dâintĂ©ressant » ou « quelquâun de dangereux » ou bien « enlevons celui-ci ou celui-là ». Comment opĂšrent-ils leurs sĂ©lections ? Est-ce quâils recherchent les gĂ©nĂ©alogies ou bien est-ce par une sorte de « senseur Ă distance » ? R : Ah, ceci est intĂ©ressant, Arkadiusz, car cela implique la « signature » atomique de la structure cellulaire de lâindividu. De concert avec ceci il y a la lecture du corps Ă©thĂ©rique et la vibration de rĂ©sonance de la frĂ©quence tout cela est interconnectĂ© et peut ĂȘtre lu Ă distance grĂące Ă des technologies/mĂ©thodologies dâobservation Ă distance. Q : (L) Est-ce que cela peut ĂȘtre fait de maniĂšre purement mĂ©canique sans faire intervenir des moyens psychiques ? R : Ă un autre niveau de comprĂ©hension, les deux sont mĂ©langĂ©s en un . Q : (T) Observation psychique Ă distance informatisĂ©e, peut-ĂȘtre. Comme de lâintelligence artificielle. Peut-ĂȘtre un
mental reliĂ© Ă un ordinateur ? R : Cela est proche, oui. [âŠ] Q : (L) Qui sont les ĂȘtres qui ont procĂ©dĂ© au rapt de Karla TURNER et sa famille ? R : LĂ©zards. Q : (L) Pourquoi ont-ils enlevĂ© ce groupe de gens ? R : MĂȘmes raisons pour lesquelles ils vous ont enlevĂ©e vous et Frank. Q : (L) Ils ont enlevĂ© Karla TURNER et sa famille parce quâils les perçoivent comme une menace et veulent les pousser Ă lâauto-destruction ? R : Oui. Q : (L) Dans un enlĂšvement quâelle dĂ©crit dans son livre, câĂ©tait quoi lâombre noire qui paraissait ĂȘtre du « rien » bougeant sur le sol ? R : Des Gris bloquĂ©s. Karla doit ĂȘtre prudente quand elle se rend seule en voiture Ă des confĂ©rences et rĂ©unions. Q : (L) Est-ce quâelle devrait toujours avoir quelquâun auprĂšs dâelle dans la voiture ? R : le soir et sur les routes dĂ©sertes. Neveu doit faire attention. Aussi amie du fils. Elle ne rĂ©alise pas lâextrĂȘme importance. Communiquez-lui ceci, sâil vous plaĂźt, Laura. Jâai Ă©crit Ă Karla pour lui dire que les CassiopĂ©ens avertissaient plus ou moins quâelle Ă©tait en danger. Elle a choisi de ne pas croire quâil y avait une intention bienveillante dans lâavertissement et nâest montrĂ©e extrĂȘmement nĂ©gative Ă propos de tout « channeling ». Peu de temps aprĂšs, une forme particuliĂšrement virulente de cancer du sein a Ă©tĂ© diagnostiquĂ©e chez elle et elle est morte. Je me suis souvent demandĂ© si elle serait encore ici Ă prĂ©sent si elle avait accordĂ© de lâattention Ă lâavertissement de ne pas voyager seule le soir ou sur des
routes dĂ©sertes. Q : (L) Il y avait une personne dans le livre de Karla TURNER, Taken, qui avait eu une expĂ©rience similaire Ă celle que vous avez dĂ©crite comme un rapt virtuel, et elle avait Ă©tĂ© aperçue Ă lâintĂ©rieur dâune bulle bleue ; qui avait fait cela ? R : Gris. Q : (L) Comment les extraterrestres crĂ©ent-ils ces scĂ©narios de rĂ©alitĂ© virtuelle ? R : Restructuration dâimage mentale. Q : (L) Pourquoi est-ce que ce phĂ©nomĂšne implique le recours Ă une « bulle bleue » ou lumiĂšre ? R : DĂ©clencheur de suggestion hypnotique. [âŠ] Q : (L) Est-il vrai que quand on interroge un individu sous hypnose Ă propos dâun scĂ©nario dâenlĂšvement et quâon lui demande dâessayer de se brancher sur les extraterrestres, cette personne peut accĂ©der Ă ce qui est dans le mental de lâextraterrestre⊠est-ce quâon peut faire cela ? R : Oui. Lâindividu est conscient Ă tous les niveaux et les informations que vous cherchez Ă©taient connues Ă lâĂ©poque. Les questions que vous posez sont seulement un accĂšs Ă de lâinformation qui se trouve dĂ©jĂ Ă un certain niveau de conscience. Budd HOPKINS et David JACOBS sont enrĂ©gimentĂ©s eux aussi. [âŠ] Q : (T) Ai-je dĂ©jĂ fait lâobjet dâun rapt ? R : Dans lâenfance. Q : (L) Est-ce quâil a Ă©tĂ© enlevĂ© depuis quâil est adulte ? R : Peut-ĂȘtre au niveau 3. Q : (L) Quâest-ce que le niveau 3 ? R : Type dâenlĂšvement. Q : (L) Combien y a-t-il de niveaux et de types
dâenlĂšvement ? R : Six. Q : (L) Quâest-ce que le niveau 3 ? R : Conscience altĂ©rĂ©e Ă lâ Ă©tat « alpha ». Q : (T) Autrement dit, je vais voir quelque chose dâautre que ce qui est rĂ©ellement en train de se produire ? Ou me rappeler quelque chose dâautre que ce qui sâest rĂ©ellement produit ? R : Oui, mais pas physique comme dans lâenfance. Q : (L) Quâest-ce qui est arrivĂ© Ă Marcia MOORE qui travaillait sous lâeffet dâune drogue sur un contact avec lâespace extĂ©rieur via une conscience altĂ©rĂ©e ? R : Victime dâenlĂšvement permanent par LĂ©zards. Q : (L) Pourquoi ? R : Trop proche de la vĂ©ritĂ©. Q : (L) Eh bien, sommes-nous proches de la vĂ©ritĂ© aussi ? R : Oui. Q : (L) Est-ce que nous serons enlevĂ©s de façon permanente par les LĂ©zards ? R : Les connaissances protĂšgent. Q : (L) Mais est-ce quâelle aussi nâavait pas un tas de connaissances ? R : MĂ©langĂ©es avec des drogues. [âŠ] Q : (L) Quoi ou qui sont les extraterrestres dâAmĂ©rique du Sud Ă propos desquels jâai lu quelque chose, et qui sont dĂ©crits comme Ă©tant gris avec des lĂšvres Ă©paisses, des traits rudimentaires, des uniformes gris, et qui sont appelĂ©s « Malos » par les Sud-AmĂ©ricains ? R : Projections par LĂ©zards. Q : (L) Est-ce que ce sont aussi les ĂȘtres ressemblant Ă
de lâargile vus par Betty ANDREASSON, sauf quâelle les a vus portant des costumes bleus ? R : Oui. Q : (L) OĂč Betty ANDREASSON a-t-elle Ă©tĂ© emmenĂ©e quand elle a vu le « Phoenix » lors de son enlĂšvement ? R : Une autre dimension de rĂ©alitĂ©. Q : (L) Est-ce que Betty ANDREASSONa raison de croire que ses expĂ©riences sont positives et la rapprochent de Dieu ? R : Non. Q : (L) Est-ce que Betty ANDREASSONest leurrĂ©e ? R : Non. Elle est une victime. Q : (L) Quâest-ce qui est arrivĂ© au pilote australien Fredrick VALENTICH ? R : Il a Ă©tĂ© pris par les LĂ©zards et a Ă©tĂ© dissĂ©quĂ©. [âŠ] Q : (L) Quelquâun mâa fait parvenir un article sur des expĂ©riences faites par un nommĂ© PERSINGER qui a tentĂ© de copier lâexpĂ©rience de « lâenlĂšvement » en soumettant des gens Ă des champs Ă©lectromagnĂ©tiques dans un caisson dâisolation sensorielle. Je voudrais des commentaires Ă ce sujet, et deuxiĂšmement⊠R : Non-sens, certains on un mental fermĂ© inspirĂ© par peur. Q : (L) Ma prĂ©occupation est que sâil fait ce genre de choses Ă des gens, et nous avons parlĂ© de lâĂ©nergie Ă©lectromagnĂ©tique qui fait des trous dans les frontiĂšres dimensionnelles, mon souci est que cette expĂ©rience pourrait ĂȘtre dommageable aux personnes sur lesquelles lâexpĂ©rience est faite ; est-ce que cela est une possibilitĂ© ? R : Oui. Q : (L) Quels pourraient ĂȘtre les rĂ©sultats dâune
immersion de quelquâun dans ces champs Ă©lectromagnĂ©tiques ? R : Cessation du corps. Q : (L) Autrement dit, cela pourrait les tuer ? R : Oui. Q : (L) Est-ce que cela pourrait aussi ouvrir des portes entre dimensions et permettre Ă dâautres choses dâentrer ? R : Oui. Q : (L) Est-ce quâils pourraient ĂȘtre soumis Ă des possessions par des esprits ou des dĂ©mons par cette mĂ©thode ? R : Oui. Q : (L) Est-ce quâils pourraient aussi ĂȘtre soumis Ă davantage de programmation par les extraterrestres par cette mĂ©thode ? R : Oui. [âŠ] Q : (L) Il y a de nombreux rĂ©cits concernant le procĂ©dĂ© de « regard fixe » oĂč les extraterrestres contrĂŽlent la personne enlevĂ©e en la fixant dans les yeux, et alors la personne enlevĂ©e Ă©prouve de lâamour et de lâharmonie, et pense donc que lâexpĂ©rience est bĂ©nĂ©fique. Cela me fait me demander quel est exactement le but de cette « fixation » ? R : Hypnotique. Q : (L) Est-ce que cela permet de former un lien ? R : Oui. Q : (L) Dans lâĂ©tablissement dâune connexion permanente entre une personne enlevĂ©e et un « kidnappeur », quelles sont les mĂ©thodes ou techniques utilisĂ©es ? Est-ce que câest un lien psychique ? R : Proche. Q : (L) Est-ce que cela est formĂ© technologiquement ? R : Partiellement. [âŠ]
Q : (L) Quel Ă©tait le but de lâenlĂšvement de M ? R : Ătudier son esprit. Il a un mental et une rĂ©solution trĂšs forts. Q : (L) Est-ce quâils lui ont mis un implant ? R : Oui. Q : (L) Et que font-ils avec cet implant ? R : Câest un moniteur. FrĂ©quents tintements dans oreilles signifient activitĂ© de surveillance. [âŠ] Q : (L) Nous voulons savoir si Budd HOPKINS est sur la bonne voie dans ses recherches ? R : Ă moitiĂ©. Q : (T) Dans le cas de Linda CORTILE, est-ce que tout ce quâelle a dit qui lui est arrivĂ© sâest rĂ©ellement produit ? R : En 4e densitĂ©. Q : (T) Et dâavoir Ă©tĂ© tirĂ©e de lâappartement au 17e Ă©tage je crois, et dâavoir Ă©tĂ© aspirĂ©e dans le rayon lumineux ? Est-ce que cela lui est vraiment arrivĂ© ? R : En 4e densitĂ©. Q : (T) Comment des gens de 3e densitĂ© ont-ils vu cela ? R : Seulement ceux qui Ă©taient « branchĂ©s » lâont vu . Q : (L) Est-ce quâil y a des gens qui ne lâont pas vu ? R : Oui. Q : (L) TrĂšs bien ; maintenant Ă propos du cas de Linda Cortile, la rumeur dit que cela a eu lieu sous les yeux de Javier PĂ©rez de Cuellar, de ses gardes du corps et de son chauffeur. Est-ce que Javier a vraiment Ă©tĂ© tĂ©moin de cela ? R : Oui, mais pas le seul. Q : (L) Alors il y en a eu dâautres ? Des deux personnes supposĂ©es ĂȘtre les gardes du corps du « VIP », lâun dâeux a eu un comportement extrĂȘmement bizarre aprĂšs lâĂ©vĂ©nement.
Quelle a Ă©tĂ© la cause de ce comportement bizarre ? Est-ce quâil a voulu effrayer Linda CORTILE, ou bien a-t-il Ă©tĂ© effrayĂ© lui-mĂȘme ? R : Simple choc. Q : (L) Donc il a eu dur lui-mĂȘme Ă sâen remettre. Pendant quâon discute de ce cas, il semble que cet incident particulier a en fait impliquĂ© un enlĂšvement collectif, parce quâun certain nombre de femmes dans le voisinage ont par la suite affirmĂ© que non seulement elles avaient Ă©tĂ© enlevĂ©es au cours de la mĂȘme soirĂ©e, mais aussi que pendant quâelles Ă©taient emmenĂ©e dans le vaisseau elles voyaient dâautres femmes se promener ensemble dans la rue. Est-ce que cela a Ă©tĂ© un enlĂšvement collectif ? R : Partie de cela Ă©tait de lâhystĂ©rie. [âŠ] Q : (L) Quelle est lâĂ©nergie qui alimente Whitley STRIEBER et son travail ? R : Gris. Q : (L) Est-il un agent des Gris ? R : Non. Instrument des Gris. Q : (T) Donc, tous ses Ă©crits sont compromis par les Gris ? R : InfluencĂ©s par eux. Wolfen reflĂšte rĂ©alitĂ© Lizzie. [âŠ] Q : (TM) Ma question suivante est : oĂč se trouve mon implant ? R : Vous en avez deux. Un dans le cerveau derriĂšre sinus et un dans os de la jambe. Q : (TM) Je pense bien savoir quand je lâai eu, lâan dernier⊠Jâai eu des saignements de nez. OĂč Ă©tais-je quand jâai eu celui qui est dans le cerveau ? R : En voyage en transit. Nous voyons clairement
transit mais ce nâest pas clair pourquoi si rapide Ă travers 3e
niveau. Cycle temporel a Ă©tĂ© interrompu et nous ne pouvons pas voir Ă cause de blocage du cycle. Q : (L) Est-ce tu as eu du temps manquant ? (TM) en fait je suis arrivĂ© quelque part plus tĂŽt que je ne lâaurais dĂ». (L) Eh bien, cela explique pourquoi ils ont dit « pas clair pourquoi si rapide Ă travers 3e niveau ». (J) Est-ce que TM a fait lâexpĂ©rience dâune accĂ©lĂ©ration de temps ? R : Et comment ! Q : (L) Quâest-ce quâun blocage de cycle ? R : Trop complexe, mais cela implique un dĂŽme de frĂ©quence sur le sujet. Q : (GB) Dans une bulle ? R : Proche. Q : (BP) Donc, ce quâils font câest chipoter avec notre perception du temps, ils vous arrachent, font ce quâils ont Ă faire, vous rejettent dedans, et si câest plus rapide, câest plus rapide, et si câest plus lent câest plus lent. Qui sâen soucie ? (L) Travail salopĂ©. R : proche. Q : (J) Comme de remettre les gens dans une autre voiture que la leur, ou bien la tĂȘte Ă la mauvaise extrĂ©mitĂ© du lit, ou avec le pyjama Ă lâenvers, etc. (BP) des gens se sont Ă©veillĂ©s dans dâautres lits, dans dâautres maisons, dans des bois, etc. R : Oui. Q : (GB) Quand ma femme a-t-elle Ă©tĂ© enlevĂ©e la derniĂšre fois ? R : La semaine derniĂšre. Q : (J) Est-ce quâils ont Ă©tĂ© enlevĂ©s tous les deux en mĂȘme temps ? R : Oui.
Q : (GB) Quand nous avons Ă©tĂ© enlevĂ©s ensemble, est-ce que câĂ©tait un enlĂšvement physique ou bien autre ? R : EnlĂšvement de lâĂąme. Q : (L) Est-ce que cela sâest produit la nuit pendant quâils dormaient ? R : Oui. Q : (GB) Quâont-ils fait pendant lâenlĂšvement de lâĂąme, quel Ă©tait le but ? R : Examen des connaissances. Q : (GB) Dans quel but ? (J) Qui a passĂ© les connaissances en revue ? R : LĂ©zards, bien sĂ»r. Q : (J) Est-ce quâil y a des connaissances quâils peuvent trouver pendant un examen, qui peuvent faire en sorte quâils arrĂȘtent lâenlĂšvement ? R : Ouvert. Q : (L) Est-ce quâil y a des gens qui, en vertu de leurs connaissances, ne sont pas enlevĂ©s ? R : Peut-ĂȘtre. Q : (GB) Est-ce que ceci est pour Ă©lever nos connaissances, ou bien pour surveiller nos connaissances ? R : Les deux, mais principalement surveiller. Q : (L) Comment le fait dâĂȘtre enlevĂ© par des ĂȘtres SDS pourrait-il accroĂźtre nos connaissances ? R : Accidentellement. Q : (L) Comment cela est-il fait accidentellement ? R : Se passe de commentaire. Q : (L) Donc, autrement dit, ils peuvent enlever quelquâun pour surveiller ses connaissances, mais si lâindividu a atteint un certain niveau de connaissance, lâenlĂšvement ne sert quâĂ accroĂźtre ses connaissances ? R : Oui.
Q : (BP) Quelle est le Talon dâAchille des LĂ©zards ? R : SDS. Comme dans « voeu pieux » qui bloque connaissance. Q : (J) Leur prĂ©occupation unique du service de soi les empĂȘche de pouvoir quitter le 4e niveau . R : Oui. Q : (TM) Est-ce quâils veulent⊠(J) Non, ils sont heureux lĂ -bas ⊠ils veulent y rester toujours, contrĂŽler, consommer, et prendre du bon temps. (BP) Câest comme de trouver un endroit oĂč il y a de la trĂšs bonne nourriture, un bel endroit pour vivre, du « bon » sexe, tout ce quâon veut ; on veut y rester. (TM) Est-ce que beaucoup dâentre nous nâaiment pas lâidĂ©e de rester pour toujours au 3e niveau ? R : Oui. [âŠ] Q : (L) Nous voudrions savoir sâil y a une corrĂ©lation entre les mouvements dâOVNIs et la mĂ©tĂ©o⊠(J) SpĂ©cifiquement, des orages. R : CorrĂ©lation ? Q : (L) Est-ce que les OVNIs sont incapables de voler pendant une tempĂȘte ou un orage ? R : Incorrect. Q : (L) Okay, Ils peuvent voler pendant des orages ? R : Oui. Mais « voler » est un terme impropre. Q : (L) Bon ? Alors que font-ils pendant les orages sâils ne volent pas ? R : Fonctionnent. Q : (T) Bien, la bonne question est : est-ce que les orages interfĂšrent avec le flux Ă©lectromagnĂ©tique entre densitĂ©s ? R : Se peut. Q : (L) Est-ce que les orages interfĂšrent avec leur
capacitĂ© de projection ? R : Oui. Q : (L) Est-ce que les orages ou activitĂ©s Ă©lectriques les inhibent ? R : Ionisation. Q : (T) Est-ce que le fait quâil y a trĂšs peu de cas dâenlĂšvements, du moins lâai-je lu, et je lâai lu Ă de nombreuses reprises, pendant les orages a quelque chose Ă voir avec le fait que les orages interfĂšrent avec lâĂ©lectromagnĂ©tisme, de sorte que lâenlĂšvement serait beaucoup plus difficile, et donc ils ne le font pas ? R : Non. Q : (T) Des enlĂšvements peuvent avoir lieu pendant des orages ? R : Oui. Q : (L) Est-ce quâil y a une possibilitĂ© que les orages facilitent ces activitĂ©s ? R : Non. Q : (T) Donc, les perturbations Ă©lectromagnĂ©tiques de 3e densitĂ© ne perturbent pas la 4e densitĂ© ? R : Peuvent. Q : (J) Est-ce quâils peuvent les contrĂŽler ? (T) Eh bien jâai lu beaucoup de choses sur des enlĂšvements qui ont eu lieu pendant des orages. (L) Jâai lu un peu Ă ce sujet, assez pour voir que ce nâest pas une rĂšgle. (T) Est-ce quâil y a une raison pour que cela ne se produise pas souvent pendant des orages ? (J) Ils ne veulent pas se mouiller. R : Pouvez-vous conduire une voiture pendant quâil pleut ? Q : (J) Oui, mais sâil pleut vraiment fort, on Ă©vite. (L) Est-ce quâil y a une raison particuliĂšre pour quâil y a ait davantage dâenlĂšvements pendant la nuit ?
R : Pas correct. Q : (L) Vous voulez dire quâil y a autant dâactivitĂ©s pendant le jour que pendant la nuit ? R : Oui. Q : (L) Eh bien voilĂ ma thĂ©orie pulvĂ©risĂ©e. [âŠ] Q : (L) Est-ce quâil y a eu une convergence harmonique comme cela avait Ă©tĂ© annoncĂ© par la communautĂ© mĂ©taphysique ? R : Pour ceux qui ont cru quâil y a eu une convergence harmonique, il y a eu en effet une convergence harmonique. Q : (L) Est-ce quelque chose de nature matĂ©rielle est arrivĂ© sur ou Ă la planĂšte pour renforcer ou changer lâĂ©nergie ? R : Avez-vous remarquĂ© des changements ? Q : (L) Non. Sauf que sâil y en a eu câest plutĂŽt pour le pire. R : Est-ce que vous avez remarquĂ© des changements clairs, manifestes, matĂ©riels ? Q : (L) Non. Mais ce pourrait ĂȘtre seulement moi. Je pourrais juste ĂȘtre une personne bornĂ©e et sceptique. R : Est-ce que quelquâun dâautre dans cette piĂšce a remarquĂ© des changements clairs ou manifestes ? Q : (S) Quelle date Ă©tait-ce ? (L) 8/8/88, je crois. (S) Jâai pensĂ© que cela avait quelque chose Ă voir avec quelque chose comme 11/11 quatre-vingt dix⊠R : Eh bien, manifestement si le souvenir de la date sur le calendrier a Ă©tĂ© aussi difficile, on peut supposer que des changements matĂ©riels nâont pas eu lieu. Parce que sâil y en avait eu, est-ce que vous ne vous seriez pas souvenus de la date ? Q : (L) Oui. Il a Ă©tĂ© dit en outre que pendant un mois Ă dater de la convergence harmonique il nây a pas eu
dâenlĂšvements. Est-ce vrai ? R : Non. Il nây a pas eu dâinterruption dans ce que vous nommez des enlĂšvements, pendant un certain temps comme vous le mesurez. Q : (L) Eh bien, Ă propos dâenlĂšvements, nous avons regardĂ© un film Ă la tĂ©lĂ©, lundi le 28, qui Ă©tait censĂ© ĂȘtre la vidĂ©o de lâautopsie dâun extraterrestre, ou plus correctement lâautopsie dâun corps Ă©tranger. Est-ce que câĂ©tait bien un extraterrestre ? R : Comment dĂ©finissez-vous « extraterrestre » ? Q : (L) Est-ce que câĂ©tait un ĂȘtre autre quâun humain nĂ© naturellement sur cette planĂšte comme nous connaissons les humains ? R : Cela est correct. Q : (L) CâĂ©tait autre chose quâun humain nĂ© naturellement ? R : Correct. Q : (L) Bon. Et quelle sorte dâĂȘtre Ă©tait-ce ? R : Hybride. Q : (L) De quoi Ă©tait-ce un hybride â combinaison de quels Ă©lĂ©ments ? R : De crĂ©atures cybergĂ©nĂ©tiques que vous considĂ©rez comme des « Gris », et dâhumains terrestres tels que vous, 3e
densitĂ©. DĂšs lors, en essence, câĂ©tait une hybridation dâun ĂȘtre de 3e densitĂ© et 4e densitĂ©. Q : (L) Ătait-ce un ĂȘtre de 4e densitĂ© ? R : Non. Si vous Ă©coutez la rĂ©ponse â câĂ©tait un ĂȘtre de 3e et 4e densitĂ©. Q : (L) Comment un ĂȘtre peut-il ĂȘtre Ă la fois de 3e et de 4e densitĂ© ? R : Câest le milieu environnemental qui compte, pas la structure de lâindividu. La mĂȘme chose est vraie pour vous.
AprĂšs tout, vous avez lu la littĂ©rature qui affirme que votre monde ou planĂšte est en train de faire lâascension de 3e vers la 4e densitĂ©, non ? [Voir Les documents Ra] Q : (L) Oui. R : Et cette littĂ©rature a aussi dit que câest un processus qui est en cours, nâest-ce pas ? Q : (L) Oui. R : Alors on peut se demander, si câest un processus en cours, comment il pourrait ĂȘtre possible, si ce nâest pas possible, quâun ĂȘtre soit simultanĂ©ment dans la 3e et la 4e
densité⊠Et aussi, si vous vous souvenez des documents examinĂ©s, vous vivez actuellement dans le mĂȘme environnement que les ĂȘtres de 2e et de 1Ăšre densitĂ©. Pas vrai ? Q : (L) Oui. R : Du moins câest ce quâon vous a dit. DĂšs lors, il est donc possible quâun ĂȘtre soit en 3e et 4e densitĂ©. Et comme nous vous lâavons Ă©galement dit, des ĂȘtres de 4e densitĂ© se rendent dans un environnement de 3e densitĂ© et vice versa. Un enlĂšvement a lieu, spĂ©cialement si câest un enlĂšvement physique, et le sujet devient temporairement de 4e densitĂ©, parce que câest lâenvironnement qui compte. Et le facteur clĂ© lĂ -bas est la prise de conscience, non pas la structure physique ou matĂ©rielle. [âŠ] Q : (L) Jâai ici un article qui parle des Gris et qui dit quâils ont deux cerveaux : un cerveau antĂ©rieur et un cerveau postĂ©rieur ; et que si on tire [avec une arme Ă feu] sur un des deux â câest ce qui est dit, je ne suggĂšre pas moi quâon tire sur qui que ce soit- si on tire sur un, et quâon atteint seulement une partie du cerveau, il ne meurt pas ; quâil faut tirer dessus dâune maniĂšre spĂ©ciale et atteindre les deux cerveaux pour pouvoir en tuer un. Est-ce que ce concept est correct ?
R : Eh bien, cela est plutĂŽt dĂ©concertant. AmĂšne un tas de questions. Une question qui vient Ă lâesprit est : pourquoi voudrait-on tirer sur quoi que ce soit. Q : (L) Je nâai pas suggĂ©rĂ© que je le voulais ; câest juste ce que cet article dit ici. R : La description physique est exacte en ce qui concerne une variĂ©tĂ© de ce qui est qualifiĂ© de Gris. Elle a un cerveau antĂ©rieur. Cependant, cela est secondaire Ă toutes les autres questions. Et aussi, nous suggĂ©rerions quâil nâest pas recommandĂ© de chercher Ă provoquer du mal physiquement Ă nâimporte quelle espĂšce. DĂšs lors, il vaut sans doute mieux rejeter les informations contenues dans lâouvrage que vous dĂ©crivez. Q : (L) Il est dit aussi que les Gris doivent ĂȘtre trĂšs prĂšs dâune personne pour Ă©tablir un lien tĂ©lĂ©pathique avec elle. Est-ce correct ? R : PrĂšs ? Non, comme nous vous lâavons dĂ©crit auparavant, il y a des processus technologiques qui sont impliquĂ©s, qui ne requiĂšrent pas une proximitĂ© physique ainsi que vous la mesurez. Mais ceci est trĂšs compliquĂ©. Cela vient des fenĂȘtres dimensionnelles et ces sortes de choses que vous ne comprenez pas complĂštement ; dĂšs lors, il ne serait pas recommandĂ© dâentrer dans les dĂ©tails. Mais la rĂ©ponse gĂ©nĂ©rale Ă cette question est non. Q : (L) Il est dit aussi quâils implantent une sorte de cristal sur le nerf optique des humains, qui a entre 2 et 4 microns de diamĂštre, et que ce cristal est ajustĂ© sur la frĂ©quence des individus sur qui ils lâimplantent, ce qui leur permet dâĂ©tablir une frĂ©quence mentale pour la communication. Est-ce que cela est en ligne avec ce dont vous parlez ? R : Des implantations physiques ont lieu. Les endroits prĂ©cis varient selon les effets dĂ©sirĂ©s. Et quand il sâagit des
interactions entre lâespĂšce humaine de 3e densitĂ©, et dâautres questions SDS de 4e densitĂ©, il y a de nombreux mĂ©canismes en jeu ainsi que diffĂ©rents objectifs et directives. Par exemple, certains implants sont utilisĂ©s pour la localisation seulement. Dâautres servent Ă altĂ©rer la conscience, et dâautres encore sont destinĂ©s Ă altĂ©rer le mental ou sont des mĂ©canismes dâaltĂ©rations motrices. Chacun dâeux a une structure diffĂ©rente et un contenu matĂ©riel diffĂ©rent, selon ce qui est employĂ© et dans quel dessein. La fonction particuliĂšre que vous dĂ©crivez ici a Ă©tĂ© utilisĂ©e, ou plutĂŽt, quelque chose de similaire, bien que nous ne soyons pas trĂšs familiarisĂ©s avec ce que vous avez dĂ©crit. Nous suggĂ©rons donc quâil peut sâagir dans une certaine mesure dâune fabrication ou de lâexpansion dâinformations prĂ©cises. Mais en tout cas, il est vrai que des implants sont placĂ©s pour diverses raisons. [âŠ] Q : (L) Quelle est la catĂ©gorie dans laquelle une personne doit tomber pour ĂȘtre enlevĂ©e et Ă©tudiĂ©e ? R : Quâest-ce qui vous fait penser que des « catĂ©gories » correspondent Ă des enlĂšvements ? Q : (TK) Ce nâest pas la catĂ©gorie, câest⊠ce doit ĂȘtre le type de personne⊠R : Oui. Q : (TK) Et le degrĂ© de facilitĂ© pour influencer⊠R : Bien sĂ»r. Et de nombreux autres facteurs. Q : (TK) Cela aurait quelque chose Ă voir avec ce quâils peuvent faire pour les « kidnappeurs ». Je veux dire, ils doivent ĂȘtre Ă mĂȘme de les aider⊠Est-ce que cette supposition est correcte ? R : Oui. SDS. Q : (T) : SDS ; Service de Soi.. R : FrĂ©quence vibratoire.
Q : (L) Bon. Donc, quand quelquâun a une frĂ©quence vibratoire SDS, cela la prĂ©dispose dĂ©jĂ Ă ĂȘtre enlevĂ©e. Câest correct ? R : Certains. Q : (T) OK, cela est un facteur. Il y a plus dâune intention derriĂšre les enlĂšvements. Est-ce que pour ces militaires qui ont Ă©tĂ© enlevĂ©s il y a des intentions spĂ©cifiques qui sont suivies ? R : Classifications artificielles, telles que dĂ©signations militaires, ne sont importantes que pour des groupes humains. [âŠ] Q : (L) Nous avons Pat avec nous ce soir⊠R : Hello Pat. Q : (L) Pat et moi voudrions demander pourquoi les boomerangs noirs se sont montrĂ©s partout au-dessus de la rĂ©gion la nuit oĂč Pat Ă©tait ici pour sa premiĂšre sĂ©ance dâhypnose ? R : Examinez soigneusement le problĂšme. Q : (L) La premiĂšre chose Ă laquelle nous avons pensĂ© câest que câĂ©tait un type de vaisseau si pas nĂ©cessairement rare, du moins rarement observĂ©, et lâĂ©vĂ©nement en lui-mĂȘme Ă©tait rare⊠est-ce correct ? R : Câest rare. Q : (L) Si câest rare que cela se produise en rĂ©ponse Ă une sĂ©ance dâhypnose, Ă quelle personne sâintĂ©ressaient en particulier ces OVNIs ? R : Ce nâĂ©tait pas une personne, mais les informations cachĂ©es dans le subconscient de Pat. Q : (L) Voulaient-ils obtenir ces informations ? R : Non. Surveiller ce qui serait rĂ©vĂ©lĂ©. Q : (L) Est-ce que cela signifie que Pat a eu des informations programmĂ©es en elle avant sa naissance, et
auxquelles elle doit avoir accĂšs [comme vous lâavez suggĂ©rĂ© pour dâautres personnes] ? R : Non. Rapts. Q : (L) Ils ont voulu voir si quelque chose serait rĂ©vĂ©lĂ© Ă propos des enlĂšvements quâelle a subis ? R : Oui. Q : (L) Puisquâelle est ici, pouvons-nous demander qui lâa enlevĂ©e ? R : Des Gris. Q : (L) Combien de fois a-t-elle Ă©tĂ© enlevĂ©e ? R : 4. La scĂšne dans la neige Ă©tait seulement en 3e
densitĂ©. Ceci Ă©tait une allusion Ă un incident de temps manquant dont Pat avait fait lâexpĂ©rience quand elle avait dĂ» quitter la route principale pendant une tempĂȘte de neige alors quâelle conduisait sur lâautoroute Ă pĂ©age de Pennsylvanie en 1987. Elle Ă©tait lâĂ©pouse dâun scientifique fonctionnaire du gouvernement. Cet incident lâavait troublĂ©e et câest cela quâelle voulait explorer quand elle est venue me voir pour une sĂ©ance dâhypnose. Elle ne pensait pas quâil sâĂ©tait agi dâun rapt, mais plutĂŽt de quelque chose qui avait dĂ©clenchĂ© un traumatisme en rapport avec le dĂ©cĂšs rĂ©cent de sa tante. Q : (P) Est-ce que cela signifie que la sĂ©ance dans la neige Ă©tait seulement dans ce monde-ci ? R : Non. Rapt qui sâest produit lĂ -bas Ă©tait strictement physique. Q : (L) Bon. LâenlĂšvement qui sâest produit dans la neige Ă©tait un enlĂšvement physique. Peut-ĂȘtre que les autres ne lâĂ©taient pas. Ătaient-ils physiques aussi ? R : Les autres Ă©taient 4e densitĂ©. Des enlĂšvements en 3e
densitĂ© se produisent rarement et ont un fort impact . Q : (L) Est-ce que câest Ă cause du travail de son mari
quâelle a eu cet enlĂšvement physique ? R : Peut-ĂȘtre. Q : (L) Peut-ĂȘtre que câest pour cela quâil y a un pourcentage plus Ă©levĂ© de rapts dans des familles oĂč il y a des fonctionnaires de lâĂtat, pour quâils puissent ĂȘtre activĂ©s ou contrĂŽlĂ©s ? (P) Mais mon mari ne travaillait pas vraiment sur quelque chose de secret. R : Il avait accĂšs Ă des installations sensibles. Q : (L) Avait-il un certificat de sĂ©curitĂ© ou bien frĂ©quentait-il dâautres personnes qui en avaient ? (P) Jâavais moi aussi un certificat de sĂ©curitĂ© ! (L) Donc, Pat a reçu un implant. Un rĂ©el implant physique. OĂč se trouve-t-il ? R : DerriĂšre cavitĂ© sinusale. Q : (L) Quâest-ce que cet implant est supposĂ© faire ? R : Activer rĂ©flexe de contrĂŽle comportemental ainsi que gĂ©nĂ©ration et altĂ©ration dâune certaine façon de penser. TrĂšs complexe en fait, sujet parallĂšle. Pat est « sonde â repĂšre » dans le but de contrĂŽler ceux qui lâentourent. Dire nâest pas important, lire lâest. En outre, la majoritĂ© du travail fait nâa pas impliquĂ© de prise de conscience. Q : Est-ce que cela continue toujours ? R : Partiellement, mais Pat pourrait aussi ĂȘtre utilisĂ©e comme sonde pour surveiller tous les Ă©vĂ©nements qui ont lieu au JPL et dans dâautres laboratoires en analysant les empreintes auriques de son mari et dâautres personnes quâelle connaissait. Tous les Ă©vĂ©nements laissent des empreintes permanentes sur les champs dâĂ©nergie auriques. Ceci explique, par exemple, certaines observations et apparitions. Les « fantĂŽmes » sont parfois de simples dĂ©clenchements spontanĂ©s dâenregistrements auriques de lâenvironnement naturel. Q : [Question perdue dans une explosion dâĂ©lectricitĂ© statique, en rapport avec la bulle bleue que Pat a vue sur le cĂŽtĂ©
de la route juste avant quâelle la quitte pendant la tempĂȘte de neige. Elle demandait apparemment si ce pouvait ĂȘtre sa tante dĂ©cĂ©dĂ©e qui tentait de communiquer.] R : Non, Pat, la « chose bleue » que vous avez vue nâĂ©tait pas une lecture dâempreinte aurique, câĂ©tait un vaisseau de 4e densitĂ© partiellement transfĂ©rĂ© en 3e densitĂ©. Votre mĂ©moire subconsciente se rappelle beaucoup, beaucoup plus. [âŠ] Q : Ă prĂ©sent nous avons le correspondant suivant qui Ă©crit : « Jâai dĂ©cidĂ© dâĂ©couter une des suggestions des CassiopĂ©ens Ă propos de la mĂ©latonine. Diable, alors je pouvais rencontrer le pĂšre NoĂ«l, aprĂšs tout ! Curieusement, jâai eu du mal Ă en trouver dans nos magasins. Il semble que seule une version herbale/naturelle de cette substance soit autorisĂ©e Ă la vente, mais je ne pense pas que cela fasse une grande diffĂ©rence. Eh bien, je dois dire que câest tout ce que jâai pu penser que ce serait. Je suis passĂ© par les Ă©tapes dĂ©crites dans vos transcriptions, et Ă prĂ©sent jâen suis Ă une Ă©tape assez Ă©trange, oĂč tout semble ĂȘtre un programme de tĂ©lĂ©vision. La nuit derniĂšre, jâai fait un rĂȘve trĂšs inhabituel oĂč un astĂ©roĂŻde heurtait la Terre. Je dois dire que je ne souscris pas nĂ©cessairement Ă cette thĂ©orie. Jâai lu Ă©normĂ©ment de choses sur le sujet, de sorte que ce pouvait ĂȘtre mon subconscient qui me jouait un tour. Lâimpact a eu lieu dans le voisinage du pĂŽle nord, le chemin dâapproche Ă©tant Ă partir du sud. Mais il y avait une curieuse ligne rouge qui sâĂ©tendait au-dessus et sur le pĂŽle aprĂšs que cela ait eu lieu. Je ne sais pas ce que cela signifie. Avant, jâai aussi rĂȘvĂ© quâil nây avait plus quâun pape, que les Japonais Ă©taient impliquĂ©s avec les Gris, et jâai fait quelques rĂȘves Ă connotation religieuse. Mais ce qui mâa vraiment soufflĂ© câest un rĂȘve que jâai fait il y a quelques nuits. Jâai rĂȘvĂ© que je mâĂ©levais de mon lit, par la cheminĂ©e (que je nâai pas),
vers un vaisseau spatial ! Je pouvais vraiment me voir mâĂ©levant de mon lit. Et puis je me suis trouvĂ© sur une surface surĂ©levĂ©e avec Ă cĂŽtĂ© de moi un petit ĂTRE avec de longs bras et un MĂDECIN HUMAIN. Le petit ĂȘtre semblait plutĂŽt bouleversĂ© et essayait de me calmer, bien que je fusse en paix, et il agitait ses bras pour arrĂȘter quelque chose qui Ă©tait en train dâĂȘtre fait. Et puis le mĂ©decin a essayĂ© de faire quelque chose au bas de mon dos, mais je me suis Ă©veillĂ©. Maintenant faites bien attention : je me suis Ă©veillĂ© retournĂ©, avec les pieds sur lâoreiller, et sur mon dos, ce qui mâarrive rarement. Quand je me suis levĂ©, jâai remarquĂ© que les draps nâĂ©taient pas dĂ©rangĂ©s du tout alors que quand je me retourne dans mon sommeil les draps sont toujours Ă moitiĂ© hors du lit. Je ne sais pas ce qui sâest produit, je sais que cela paraĂźt suspect, mais je suis trĂšs sceptique. Dans mon cas, il sâagit sans doute davantage dâavoir pris mes dĂ©sirs pour des rĂ©alitĂ©s que dâautre chose. Quâimporte ce qui sâest passĂ©, cette hormone particuliĂšre a eu pour rĂ©sultat une grande quantitĂ© de matĂ©riau de recherche». Je voudrais en savoir plus sur ce rĂȘve que notre ami a fait sous lâinfluence de la mĂ©latonine. RĂ©cemment, il y a eu une controverse Ă ce propos : un groupe affirmait que la mĂ©latonine est stimulĂ©e dans le cerveau par des extraterrestres afin de provoquer la paralysie qui envahit la victime et de leur permettre de vaquer Ă leurs infĂąmes activitĂ©s dâenlĂšvement. Est-ce vraiment le cas ? Est-ce que la mĂ©latonine intervient dans le facteur paralysie lors de rapts extraterrestres ? R : Non. Q : Quelles sont les substances chimiques qui sont stimulĂ©es dans le corps pour provoquer cette paralysie ? R : Ce nâest pas la mĂ©thode utilisĂ©e. Q : Quelle EST la mĂ©thode utilisĂ©e ? R : Diversion dâonde Ă©lectronique.
Q : Ils dĂ©vient les ondes Ă©lectroniques de notre cerveau ou de notre physiologie ? R : Plus proche. Q : Et en ce qui concerne le rĂȘve de notre ami, est-ce que câĂ©tait un souvenir, un rĂȘve, ou un rapt ? R : Rapt de corps Ă©thĂ©rique. Q : Quel Ă©tait le but de lâenlĂšvement de son corps Ă©thĂ©rique ? R : Ătude. Q : Qui a procĂ©dĂ© Ă lâenlĂšvement de son corps Ă©thĂ©rique ? R : SDS Orion. La mĂ©latonine ne sert quâĂ rendre quelquâun plus conscient des procĂ©dĂ©s dans ce contexte. Q : Donc, des tas de gens sont enlevĂ©s physiquement, Ă©thĂ©riquement ou dâautres maniĂšres, et ils nâen sont tout simplement pas conscients ? R : Le plus souvent Ă©thĂ©riquement. Q : La plupart des rapts sont Ă©thĂ©riques, mais les gens nâen sont pas conscients. La mĂ©latonine est ce qui leur permet de prendre conscience de ce qui se passe en ĂŽtant les blocages mis en place par les extraterrestres ? R : PrĂ©cisĂ©ment. Q : Et par une prise conscience, est-ce quâils ont une chance dâarrĂȘter le processus du rapt par leur prise de conscience ? R : Ou plus important, limiter les dĂ©gĂąts. La connaissance protĂšge. [âŠ] Q : Ce soir nous avons eu des visiteurs. CâĂ©tait un mĂ©decin et sa femme, et ils voulaient dĂ©sespĂ©rĂ©ment nous parler de certaines expĂ©riences quâils ont eues. La premiĂšre chose dont il a parlĂ© câĂ©tait une histoire Ă propos dâune «
expĂ©rience de mort imminente ». AprĂšs avoir commencĂ© Ă parler avec lui, jâai rĂ©alisĂ© que nous ne parviendrions pas Ă obtenir de lui une rĂ©ponse directe. Il a parlĂ© pendant trente minutes de cinquante choses diffĂ©rentes : de menaces de mort, dâun Ă©vĂ©nement quâil a appelĂ© expĂ©rience de mort imminente mais qui ne lâĂ©tait clairement pas ; nous avons dĂ» lâarrĂȘter et le faire revenir en arriĂšre, encore et encore, jusquâĂ obtenir un rĂ©cit sĂ©quentiel des Ă©vĂ©nements. Il a parlĂ© dâhallucinations, de devenir psychotique, de schizophrĂ©nie, etc. etc. Et puis, finalement, comme sâil sâen rappelait brusquement, il a dit « Oh, jâai vu un OVNI ». Nous avons eu une impression bizarre Ă ce sujet : est-ce que ce type Ă©tait agent envoyĂ© pour semer la pagaille dans ce que nous faisons ici ? R : Non. Q : Est-ce quâil a fait lâexpĂ©rience dâun rapt ? R : Pas un rapt, mais une rencontre rapprochĂ©e. Q : Est-ce que les effets quâil a ressentis Ă©taient dus en partie Ă ce que de la 4e densitĂ© a eu un effet de percolation dans cette zone ? A : Dans une certaine mesure. Q : Il a Ă©tĂ© assez perturbĂ© par tout cela, au point de fermer son cabinet mĂ©dical et de sâĂ©loigner de sa vie. Pouvez-vous nous dire ce quâil attendait de nous ? R : Il est dĂ©sorientĂ© parce quâil a Ă©tĂ© Ă moitiĂ© Ă©veillĂ© aprĂšs des annĂ©es et des annĂ©es de programmation. Lâeffet a Ă©tĂ© comparable Ă une « dĂ©pression nerveuse», mais câest plus profond que cela. Il est difficile pour vous de donner une apprĂ©ciation parce que vous avez Ă©tĂ© « sur la piste » pendant toute votre vie. Lui Ă©tait un joueur standard. Des expĂ©riences difficiles lâont amenĂ© au bord, et maintenant il essaie Ă la fois de rassembler les piĂšces Ă©parpillĂ©es de ce qui vaut la peine dâĂȘtre gardĂ©, et dâexplorer toutes ces nouvelles pistes qui
apparaissent. [âŠ] R : Nous voudrions dâabord revoir certaines choses. Le concept dâune « race supĂ©rieure » mis en avant par les Nazis Ă©tait seulement un effort de la 4e densitĂ© SDS pour crĂ©er un vĂ©hicule physique avec la vibration correcte de rĂ©sonance de frĂ©quence pour que des Ăąmes SDS de 4e densitĂ© puissent occuper la 3e densitĂ©. CâĂ©tait aussi un « coup dâessai » pour des Ă©vĂ©nements planifiĂ©s dans ce que vous percevez comme votre avenir. Q : (L) Vous voulez dire avec une forte frĂ©quence SDS pour avoir un « vĂ©hicule » en 3e densitĂ©, pour ainsi dire ? R : Correct. Vibration de rĂ©sonance de frĂ©quence ! TrĂšs important. Q : (L) Donc, câest pour cela quâils programment et expĂ©rimentent ? Et tous ces gens qui courent partout et dont certains pensent quâils sont programmĂ©s, est-ce que ce pourraient ĂȘtre des individus qui Ă©lĂšvent leur niveau de mĂ©chancetĂ© assez haut que pour accueillir les SDS rĂ©ellement nĂ©gatifs de 4e densitĂ© â comme des « occupants» ou quelque chose du genre, mais pas des gentils ? R : Il nây en a pas encore beaucoup qui sont prĂ©sents, mais cela a Ă©tĂ© et est toujours le plan de certains types SDS de 4e densitĂ©. Q : Donc nous pouvons oublier cela pour le moment. Bon. Au cours de la derniĂšre sĂ©ance, vous avez amenĂ© le sujet de la Vibration de RĂ©sonance des FrĂ©quences. Vous avez suggĂ©rĂ© que certaines forces SDS sont en train de mettre au point ou de crĂ©er, ou de gĂ©rer des corps physiques dont ils sâefforcent dâĂ©lever la frĂ©quence de façon Ă disposer de corps cĂąblĂ©s de maniĂšre quâils puissent se manifester directement en 3e densitĂ©, puisque cela semble ĂȘtre le seul obstacle rĂ©el qui
empĂȘche une invasion gĂ©nĂ©rale, le fait que nous soyons en 3e
densitĂ© et eux en 4e. Maintenant, je suppose que la mĂȘme fonction pourrait ĂȘtre valable pour des individus SDA. Il semble que de nombreux individus venus dans cette pĂ©riode temporelle-ci depuis le futur, revenant dans le passĂ© via le cycle dâincarnation de façon Ă ne pas violer le libre arbitre, ont soigneusement sĂ©lectionnĂ© des corps avec un ADN particulier, quâils sont en train dâactiver petit Ă petit afin que leur soi de 4e
densitĂ©, ou de plus haut, puisse se manifester dans cette rĂ©alitĂ©-ci. Est-il possible pour ces Ă©nergies de se manifester dans de tels corps qui ont Ă©tĂ© Ă©veillĂ©s ou ajustĂ©s sur la 3e densitĂ© ? R : Le SDA a tendance Ă mettre en route le processus dans le cadre du cours naturel des choses. Le SDS cherche Ă altĂ©rer les processus de crĂ©ation pour atteindre son but. Q : Ce document Top Secret et les documents dâAnna HAYES dans une certaine mesure, parlent de nombreux enlĂšvements par « nous dans le futur » qui sont revenus dans le passĂ©, ou ce qui est pour nous le prĂ©sent, pour enlever leur propre corps afin de pouvoir procĂ©der Ă des ajustements gĂ©nĂ©tiques qui leur permettent de progresser et ne plus faire les erreurs quâils ont faites dans dâautres chronologies. Est-ce que cela fait partie du scĂ©nario ? R : TrĂšs proche de la vĂ©ritĂ© ! Q : Est-ce quâil est possible de sâenlever soi-mĂȘme de façon SDA et de sâaider de cette maniĂšre ? Est-ce que cela peut ĂȘtre SDA ? R : Ce ne lâest pas, parce que cela nâest pas SDA. Q : Donc, si et quand cela se produit, cela suit le paramĂštre SDS ? R : Oui. Q : Comment font les SDA ? R : Ils ne se prĂ©occupent pas de telles choses.
Q : Eh bien, si les SDS se tordent la gĂ©nĂ©tique pour avoir un avenir diffĂ©rent pour des raisons qui nous Ă©chappent, est-ce que vous ne pensez pas quâil devrait y avoir un quelconque rĂ©Ă©quilibrage par le cĂŽtĂ© SDA ? R : Vous pensez en termes SDS. Mais cela est naturel, puisque la 3e densitĂ© humaine est SDS. Q : Vous dites quâils ne se prĂ©occupent pas de cela. De quoi se prĂ©occupent des SDA revenus du futur dans le passĂ© ? R : De rĂ©pondre par des connaissances Ă des appels Ă lâaide. Q : Quâest-ce que ces individus SDS qui reviennent dans le passĂ© espĂšrent accomplir en manipulant la gĂ©nĂ©tique de leurs ancĂȘtres ? Quâest ce qui sâest passĂ© quâils voudraient voir se produire diffĂ©remment ? R : Nombre infini de rĂ©ponses possibles Ă cette question. Q : Donc ils proviennent de toutes sortes de chronologies diffĂ©rentes avec toutes sortes dâintentions diffĂ©rentes - toutes destinĂ©es Ă les servir eux-mĂȘmes.
CHAPITRE XIX
Cette sĂ©ance sâest concentrĂ©e sur une expĂ©rience particuliĂšre de « L ». Ă la base, elle avait pris un rendez-vous pour une sĂ©rie de tests en IRM pour remplacer la sĂ©rie qui avait Ă©tĂ© faite plusieurs mois auparavant, mais avaient Ă©tĂ© « Ă©garĂ©s » par lâĂ©quipe mĂ©dicale. Elle craignait de ne pas pouvoir dormir Ă cause des Ă©tranges Ă©vĂ©nements qui avaient entourĂ© la perte de ces films. Les tests en IRM avaient Ă©tĂ© exigĂ©s dans le cadre dâune thĂ©rapie que L suivait en rĂ©sultat dâun accident dâautomobile qui lâavait laissĂ©e quasiment incapable dâutiliser son bras gauche, et qui lui provoquait des douleurs constantes. AprĂšs sâĂȘtre couchĂ©e, L avait pensĂ© aux tests en IRM, et puis il y a eu une sorte de « blanc », et elle est revenue soudainement Ă elle pour voir trois crĂ©atures ressemblant Ă des araignĂ©es, qui luttaient pour la faire flotter hors de son lit. Elle luttait pour rĂ©sister, agrippant le chevet de cuivre avec sa main gauche mal en point. Une des crĂ©atures la tirait par la cheville, et elle pouvait distinctement sentir une sorte de « flou » dans la prise. Tout son corps, Ă lâexception de ses Ă©paules et de sa tĂȘte qui Ă©taient maintenues sur le lit par sa prise, Ă©tait suspendu dans lâair et en train dâĂȘtre « aspirĂ© » dans une sorte de rayon lumineux Ă©manant du mur extĂ©rieur de la maison. Le lit Ă©tait secouĂ© et tressautait du fait de la lutte de « traction Ă la corde ». Quand elle sâest rĂ©veillĂ©e et a pris conscience du fait quâelle Ă©tait en train de lutter avec violence, elle sâest mise en colĂšre et sa rĂ©sistance a augmentĂ©. Alors, une des crĂ©atures a
placĂ© sa main sur la tĂȘte de L et une irrĂ©sistible paralysie a commencĂ© Ă lâenvahir de la tĂȘte aux pieds. Cela lâobligeait Ă fermer les yeux. Quand elle a rĂ©alisĂ© son Ă©tat dâimpuissance, elle sâest mise en colĂšre et a « parlĂ© » mentalement aux crĂ©atures, disant : « vous pouvez peut-ĂȘtre me paralyser et maĂźtriser mon corps physique, mais je vous combattrai de toutes mes forces, et autant quâil me sera possible, alors ne me montrez pas votre dos car vous le regretteriez ! » Et avec toute la volontĂ© quâelle a pu rassembler, elle sâest efforcĂ©e de les insulter Ă voix haute. La seule chose quâelle est parvenue Ă faire a Ă©tĂ© dâĂ©mettre un grognement Ă©tranglĂ©, parce que la paralysie avait envahi ses cordes vocales aussi. Mais une chose Ă©trange sâest produite quand ce son a Ă©tĂ© Ă©mis. Les crĂ©atures ont paru perturbĂ©es et dĂ©sorientĂ©es et se sont mises Ă bavarder en Ă©mettant dâĂ©tranges sons cliquetants, tout en laissant brusquement retomber L sur son lit. Puis elles se rassemblĂ©es comme des oiseaux apeurĂ©s et se sont « fondues » tout simplement en un « rideau » chatoyant Ă cĂŽtĂ© du lit. Q : (L) La premiĂšre chose qui me vient Ă lâesprit est une expĂ©rience que jâai faite il y a plusieurs nuits. CâĂ©tait comme sâil y avait une sorte dâinteraction entre moi-mĂȘme et quelque chose « dâautre ». Pourriez-vous me dire ce quâĂ©tait cette expĂ©rience ? R : Ăclipse de rĂ©alitĂ©s. Q : (L) Quâest-ce quâune Ă©clipse de rĂ©alitĂ©s ? R : Câest quand les centres dâĂ©nergie entrent en conflit. Q : (L) Quels centres dâĂ©nergie entrent-ils en conflit ? R : Centres dâĂ©nergie de la pensĂ©e. Q : (L) Les pensĂ©es de qui ? R : Les pensĂ©es sont la base de toute crĂ©ation. AprĂšs tout, sans pensĂ©es, rien nâexisterait. Mais est-ce bien vrai ? Donc, des centres dâĂ©nergie en conflit impliquent des trains de
pensĂ©e. Vous pourriez voir cela comme une intersection dâĂ©nergies de trains de pensĂ©e. Le vĂ©ritable effort pour obtenir des connaissances devrait toujours ĂȘtre ouvert Ă toute rĂ©ponse, toute question. Q : (L) Eh bien, il me semble que quelque chose mâest arrivĂ©, qui a effacĂ© une pĂ©riode de mon expĂ©rience, et vous dites que câĂ©tait une Ă©clipse dâĂ©nergies provoquĂ©e par une intersection de centres de pensĂ©e. Mais est-ce que cette intersection de centres de pensĂ©e sâest produite dans mon corps, ou bien dans mon environnement ? R : Câest une seule et mĂȘme chose. Q : (L) Puis-je vous interroger Ă propos de mes perceptions spĂ©cifiques de lâĂ©vĂ©nement ? R : Câest que vous ĂȘtes dĂ©jĂ en train de faire. Nous sentons que vous dĂ©sirez la rĂ©ponse la plus vraie possible, et quand on dĂ©sire la plus vraie des rĂ©ponses possibles il faut Ă©viter dâexprimer ses propres perceptions dans la mesure du possible et simplement permettre aux rĂ©ponses dâaffluer. Le meilleur conseil est que pour accomplir cela vous suiviez une approche pas-Ă -pas : poser les questions les plus simples en y attachant le moins possible de prĂ©jugĂ©s. Q : (L) TrĂšs bien. JâĂ©tais couchĂ©e sur mon lit en Ă©tant prĂ©occupĂ©e par le fait que je ne pourrais peut-ĂȘtre pas dormir. La chose suivante dont jâai Ă©tĂ© consciente est que je suis revenue Ă moi en sentant quâon me faisait flotter hors de mon lit. Ătait-ce le cas ? R : Non. Quand vous dites « Je » vous faites allusion Ă votre personne tout entiĂšre. Il y a plus dâun facteur impliquĂ© dans une dĂ©finition particuliĂšre de son ĂȘtre. Q : (L) Est-ce quâune partie de mon ĂȘtre [en train dâĂȘtre] Ă©tait en train dâĂȘtre sĂ©parĂ©e dâune autre partie de mon ĂȘtre ?
R : Oui. Q : (L) Est-ce que câĂ©tait une tentative dâenlĂšvement de mon Ăąme ou de mon corps astral ? R : Tentative nâest probablement pas le terme appropriĂ©. Q : (L) Autrement dit⊠R : Câest davantage quâune simple activitĂ© en cours. Tentative implique un effort plutĂŽt que la nature prĂ©sente dans un conflit entre Ă©nergies et centres de pensĂ©e. Q : (L) Il me semble avoir pris conscience Ă©galement de plusieurs figures sombres, ressemblant Ă des araignĂ©es, alignĂ©es sur le cĂŽtĂ© de mon lit ; est-ce que ceci Ă©tait une impression exacte ? R : Elles pourraient ĂȘtre dĂ©crites comme des projections spĂ©cifiques du centre de pensĂ©e. Q : (L) Il me semblait combattre et rĂ©sister Ă cette activitĂ©. R : CâĂ©tait votre choix. Q : (L) TrĂšs bien ; Ă©tait-ce la fin dâun enlĂšvement qui avait dĂ©jĂ eu lieu ? R : Pas la terminologie appropriĂ©e. CâĂ©tait la conclusion dâun Ă©vĂ©nement, quâon ne qualifierait pas nĂ©cessairement dâenlĂšvement, mais plutĂŽt dâinteraction. Q : (L) Quelle Ă©tait la nature de cette interaction ? R : Le conflit dâĂ©nergies en rapport avec des impulsions du centre de pensĂ©e. Q : (L) OĂč sont situĂ©s ces centres de pensĂ©e ? R : Il est difficile de rĂ©pondre, car cela suppose que les centres de pensĂ©e sont Ă©tablis. Et bien sĂ»r ceci est un concept avec lequel vous nâĂȘtes pas encore complĂštement familiarisĂ©e. DĂšs lors, une tentative de rĂ©ponse qui aurait du sens pour vous ne serait probablement pas fructueuse. Nous suggĂ©rons dâaller plus lentement et de formuler les questions avec soin.
Q : (L) Ă quel niveau de densitĂ© ces centres de pensĂ©e ont-ils leur concentration fondamentale ? R : Les centres de pensĂ©e nâont de concentration fondamentale Ă aucun niveau de densitĂ©. Câest prĂ©cisĂ©ment cela lâimportant. Vous nâĂȘtes pas complĂštement familiarisĂ©e avec la rĂ©alitĂ© de ce que sont les pensĂ©es. Nous vous avons parlĂ© Ă de nombreux niveaux et avons dĂ©taillĂ© de nombreuses zones impliquant un niveau de densitĂ©, mais les pensĂ©es sont quelque chose de tout Ă fait diffĂ©rent parce quâelles passent dâun coup Ă travers tous les niveaux de densitĂ©. Maintenant, laissez-nous vous demander ceci : est-ce que vous ne voyez pas comment cela est possible ? Q : (L) Si. Mais ce que jâessaie de faire câest dâidentifier ces centres de pensĂ©e en conflit. Si deux centres de pensĂ©e ou davantage entrent en conflit, alors mon idĂ©e est quâils sont en opposition. R : Correct. Q : (L) Et ce que je veux savoir, est-ce que cela Ă©tait en opposition Ă moi, ou bien Ă©tait-ce une opposition dans laquelle jâĂ©tais simplement prise au milieu, pour ainsi dire. R : Eh bien, vous ĂȘtes en train de dĂ©river de la vraie nature de votre expĂ©rience, parce que vous faites des suppositions. Et nous ne voulons pas vous gronder, nous sommes simplement en train dâessayer de vous guider, et ce nâest pas toujours facile. Mais sachez Ă nouveau que la façon la plus simple pour que vous rassembliez des connaissances sur ce sujet particulier, câest de poser les questions les plus simples, sans prĂ©jugĂ©s. Q : (L) Okay, vous avez dit que je nâavais pas Ă©tĂ© enlevĂ©e, quâun certain Ă©vĂ©nement sâĂ©tait produit. Quel Ă©tait cet Ă©vĂ©nement ? R : Nous avons dĂ©jĂ dĂ©crit cela, mais le problĂšme que
vous avez est que vous supposez que la description que nous vous donnons est plus compliquĂ©e quâelle nâest en fait. Elle ne lâest pas. Q : (L) Bon. Lors de lâexpĂ©rience jâai ressenti une paralysie de mon corps ; quâest-ce qui a causĂ© cette paralysie. R : Oui. SĂ©paration de conscience. Ce qui est dĂ©fini comme nâimporte quel point du chemin ou sa propre conscience devient tellement totalement focalisĂ© sur un secteur de pensĂ©e que tous les autres niveaux de conscience sont temporairement en recul, ce qui rend impossible de devenir conscient de sa propre rĂ©alitĂ© physique en mĂȘme temps que de sa rĂ©alitĂ© mentale. Cela donne lâimpression de ce qui est qualifiĂ© de paralysie. Comprenez-vous ? Q : (L) Oui. Et quâest-ce qui stimule cette focalisation totale de conscience ? R : Un Ă©vĂ©nement qui dĂ©tourne temporairement les processus mentaux. Q : (L) Et quel Ă©vĂ©nement peut dĂ©tourner les processus mentaux Ă ce degrĂ© ? R : Nâimporte quel nombre. Dans ce cas particulier, câĂ©tait une Ă©clipse dâĂ©nergies provoquĂ©e par des centres de pensĂ©e en conflit. Q : (L) Quelles Ă©nergies Ă©taient-elles Ă©clipsĂ©es ? R : Quand deux unitĂ©s de rĂ©alitĂ©s opposĂ©es viennent Ă intersection, cela provoque quelque chose quâon peut qualifier de friction, et qui, pendant une pĂ©riode non mesurable de ce que vous qualifiez de temps, et qui bien sĂ»r nâexiste pas, crĂ©e une non-existence, ou un arrĂȘt des mouvements de toutes les fonctions. Câest cela que nous qualifierions de conflit. Entre, ou par nâimporte quelle intersection dâentitĂ©s en opposition nous trouvons toujours zĂ©ro temps, zĂ©ro mouvement, zĂ©ro transfert, zĂ©ro Ă©change. Maintenant pensez Ă cela. Pensez-y
soigneusement. Q : (L) Est-ce que cela signifie que jâĂ©tais, essentiellement, dans un Ă©tat de non-existence ? R : Non-existence nâest peut-ĂȘtre pas rĂ©ellement le terme appropriĂ©, mais existence non fluide serait plus exact. Comprenez-vous ? Q : (L) Oui. FigĂ©e, pourrait-on dire ? R : FigĂ©e, en effet. Q : (L) Est-ce jâai retirĂ© un certain bĂ©nĂ©fice de cette expĂ©rience ? R : Toutes les expĂ©riences ont un potentiel de bĂ©nĂ©fice. Q : (L) Est-ce quâil y a eu des dĂ©savantages Ă cette expĂ©rience ? R : Toutes les expĂ©riences ont un potentiel de dĂ©savantage. Maintenant, voyez-vous les parallĂšles ? Nous parlons de nâimporte quelles forces opposĂ©es dans la nature ; quand elles se rencontrent le rĂ©sultat peut ĂȘtre Ă lâextrĂȘme dâun cĂŽtĂ©, ou bien Ă lâextrĂȘme de lâautre cĂŽtĂ©. Ou bien il peut rester parfaitement, symĂ©triquement en Ă©quilibre au milieu, ou partiellement en Ă©quilibre dâun cĂŽtĂ© ou de lâautre. Câest pourquoi, tous les potentiels sont rĂ©alisĂ©s aux points dâintersection dans la rĂ©alitĂ©. Q : (L) Est-ce que lâun des centres de pensĂ©e Ă©tait moi ? R : Cela prĂ©suppose que vous, ce qui est dĂ©fini comme vous, ou la façon dont vous vous dĂ©finissez comme « moi » est en soi-mĂȘme un centre de pensĂ©e. Une partie de vous est un centre de pensĂ©e, mais pas tout ce qui est vous. Donc, il est incorrect de dire : « Est-ce quâune de ces Ă©nergies ou centres de pensĂ©e en conflit, Ă©tait moi ? » Q : (L) Est-ce quâun de ces centres de pensĂ©e ou Ă©nergies en conflit Ă©tait une partie de moi ? R : Oui.
Q : (L) Et a-t-il Ă©tĂ© Ă©clipsĂ© par une interaction avec une Ă©nergie de centre de pensĂ©e qui Ă©tait une partie ou le tout de quelque chose ou de quelquâun dâautre ? R : Ou bien, est-ce que ce qui sâest produit Ă©tait un conflit dâun centre de pensĂ©e Ă©nergĂ©tique qui faisait partie de votre processus de pensĂ©e et un autre centre de pensĂ©e Ă©nergĂ©tique qui Ă©tait une autre partie de votre processus de pensĂ©e ? Nous allons vous poser cette question et vous permettre de contempler. Q : (L) Est-ce quâil arrive parfois que des individus qui perçoivent ou pensent quâils se perçoivent eux-mĂȘmes comme ayant fait lâexpĂ©rience dâun « enlĂšvement » sont en fait en train dâinteragir avec une partie dâeux-mĂȘmes ? R : Cela serait une trĂšs bonne possibilitĂ©. Maintenant, avant que vous ne posiez une autre question, arrĂȘtez-vous et contemplez pendant un moment : quelles possibilitĂ©s cela ouvre-t-il ? Est-ce quâil y a une limite ? Et sâil en a une quelle est-elle ? Est-ce que ce nâest pas un domaine digne dâexploration ? Par exemple, simplement un exemple Ă digĂ©rer pour vous. Et que se passe-t-il si le scĂ©nario dâenlĂšvement pouvait se produire lĂ oĂč la projection de votre Ăąme dans ce que vous percevez comme lâavenir, pouvait revenir en arriĂšre et enlever votre projection dâĂąme dans ce que vous percevez comme le prĂ©sent ? Q : (L) Oh, mon Dieu ! Est-ce que cela arrive ? R : Câest une question Ă vous poser et Ă contempler. Q : (L) Pourquoi me ferais-je cela Ă moi-mĂȘme ? (J) Pour obtenir la connaissance de lâavenir ? R : Est-ce quâil nây a pas un grand nombre de rĂ©ponses possibles ? Q : (L) Eh bien, cela mâa paru une expĂ©rience trĂšs effrayante et nĂ©gative. Si câest le cas, A : peut-ĂȘtre que câest
juste ma perception, ou bien B : alors, dans lâavenir je ne suis pas une personne trĂšs bien ! (J) Ou peut-ĂȘtre que lâavenir nâest pas trĂšs agrĂ©able. Et la connaissance que tu en as obtenue est dĂ©sagrĂ©able. R : Ou bien câest un des futurs possibles, mais non tous les futurs possibles ? Et est-ce que le chemin du libre arbitre nâest pas connectĂ© Ă tout ceci ? Q : (L) Dieu ! JâespĂšre que non ! R : Maintenant voyez-vous lâavantage de ralentir et de ne pas avoir de prĂ©jugĂ©s quand on pose des questions de grande importance ? Voyez-vous, quand vous allez trop vite dans le processus dâapprentissage et de collecte de connaissances, câest comme de sautiller le long dâun route sans sâarrĂȘter pour rĂ©flĂ©chir au sol qui est sous les pieds. On rate les piĂšces dâor et les pierres prĂ©cieuses qui se trouvent dans les fissures du chemin. Q : (L) Bien. Quand cette expĂ©rience sâest produite, dois-je supposer quâune partie de moi-mĂȘme, un moi futur peut-ĂȘtre, naturellement ils sont tous simultanĂ©s, mais juste pour la rĂ©fĂ©rence, est revenu en arriĂšre et a interagi avec mon moi prĂ©sent dans le but dâun certain Ă©change ? Que dâune certaine maniĂšre jâai fait un choix et que ce choix a changĂ© lâavenir ? R : Ceci est une question Ă laisser Ă votre exploration, car vous en tirerez davantage de connaissances en le contemplant vous-mĂȘme quâen cherchant les rĂ©ponses ici. Mais une suggestion doit ĂȘtre faite que vous le fassiez, car vous y gagnerez beaucoup, vraiment beaucoup, de connaissances en contemplant ces questions-lĂ par vous-mĂȘme et aussi en rĂ©seau avec dâautres comme vous le faites. Ne soyez pas frustrĂ©e car les rĂ©ponses Ă acquĂ©rir par votre propre contemplation seront vĂ©ritablement illuminantes pour vous, et lâexpĂ©rience qui
suivra vaudra un millier de vies de plaisir et de joie. Et en effet, il me semble que cela a Ă©tĂ© une prĂ©diction qui sâest avĂ©rĂ©e.
CHAPITRE XX
Ă lâĂ©poque des tout premiers contacts avec les CassiopĂ©ens, certaines remarques ont Ă©tĂ© faites, qui nous ont tous profondĂ©ment troublĂ©s. La premiĂšre chose a Ă©tĂ© une sĂ©rie de prophĂ©ties : R : Tornades/Floride - plusieurs. Aussi Texas et Alabama. Q : (L) Quand ? R : Quand le Soleil est dans Balance. [Mais lâannĂ©e ne fut pas donnĂ©e. Cependant, le Soleil est dans la Balance de la fin septembre Ă la majeure partie dâoctobre.] Q : (L) Quâest-ce qui arrivera dâautre ? R : Seattle enseveli ; Japon croule ; Missouri tremble ; Californie se dĂ©sagrĂšge ; Arizona brĂ»le. Q : (L) Quand est-ce que tout cela se produira ? R : Scandale aĂ©roport de Denver. Cette rĂ©ponse est Ă©trange en rĂ©ponse Ă une question sur lâĂ©poque. Il semble que les prophĂ©ties sus-mentionnĂ©es soient liĂ©es Ă quelque chose qui implique lâaĂ©roport de Denver. Lorsque cette information a Ă©tĂ© donnĂ©e, en 1994, lâaĂ©roport de Denver Ă©tait en construction. Depuis lors, certaines informations ont circulĂ© sur lâInternet Ă propos de certaines fresques murales dans lâaĂ©roport et aussi son utilisation possible comme « scĂšne » dâune sorte de « mainmise » sur la population humaine. Mais, comme cela a Ă©tĂ© dit, quand ces informations ont Ă©tĂ© donnĂ©es, rien de tel ne sâĂ©tait passĂ©, de
sorte que tout cela Ă©tait extrĂȘmement dĂ©concertant. Q : (L) Quâen est-il dâun probable scandale Ă lâaĂ©roport de Denver ? R : Nouvel aĂ©roport. Gros, gros, gros, gros scandale. Q : (L) Quelle sorte de scandale ? R : Gouvernement. Q : (L) Quoi spĂ©cifiquement ? R : Vous verrez. AĂ©roport de Dallas est base secrĂšte ; Orlando aussi. Miami aussi. Q : (L) Quâen est-il Ă propos de lâaĂ©roport de Denver et quâa-t-il Ă voir avec les prophĂ©ties ? R : Denver rĂ©vĂšle le gouvernement. Cherchez. Faites attention. Q : (L) Quâavez-vous dâautre Ă nous dire ? R : Montana : expĂ©rience sur reproduction humaine. Tous les gens sont en train dâĂȘtre exposĂ©s Ă du gaz radon nocif. Q : (L) Comment font-ils cela ? R : ObligĂ©s. Ne faites pas confiance. Nâignorez pas. U.S. impliquĂ©s dans sinistre complot. Consortium. Q : (L) Qui sont les membres de ce consortium ? R : Gouvernement et dâautres. Extraterrestres. Ici jâai posĂ© la question qui me brĂ»lait les lĂšvres aprĂšs avoir visionnĂ© la vidĂ©o du maintenant cĂ©lĂšbre « Bob LAZAR » relatant les activitĂ©s dans la Zone 51. Q : (L) Bob LAZAR a fait allusion au fait que les extraterrestres considĂ©reraient les humains comme des conteneurs. Quâest-ce que cela signifie ? R : Stockage pour usage ultĂ©rieur. 94 pourcent de toute la population. Q : (L) Que voulez-vous dire ? R : Tous sont des conteneurs ; 94 pourcent seront utilisĂ©s.
Q : (L) UtilisĂ©s Ă quoi ? R : Consommation. Q : (L) Que voulez-vous dire par « consommation » ? Vous voulez dire mangĂ©s ? R : Consommation totale. ConsommĂ©s pour ingrĂ©dients. Q : (L) IngrĂ©dients de quoi ? R : Nouvelle race. Important. 13 annĂ©es approximativement avant que projet soit terminĂ©. Q : (L) Pourquoi les humains sont-ils consommĂ©s ? R : Ils sont utilisĂ©s comme pour leurs « piĂšces ». Q : (L) Nous ne comprenons pas. Comment les humains peuvent-ils ĂȘtre utilisĂ©s pour leurs piĂšces ? R : Reprototype. Des cuves existent. Personnes disparues y vont souvent, et spĂ©cialement enfants disparus. Q : (L) Comment pouvons-nous nous protĂ©ger ainsi que nos enfants ? R : Informez-les. Ne cachez pas la vĂ©ritĂ© aux enfants. Q : (L) Comment la vĂ©ritĂ© nous protĂšge-t-elle ? R : Prise de conscience protĂšge. Ignorance expose au danger. Q : (L) Pourquoi dire des choses aussi horribles aux enfants ? R : Ils ont besoin de savoir. Q : (L) Quel est le but de ce projet ? R : Nouvelle vie ici. Ă chaque annĂ©e terrestre, 10% supplĂ©mentaires dâenfants sont pris et utilisĂ©s pour des expĂ©riences et comme nourriture. Des morceaux dâorganes sont retirĂ©s de ces enfants pendant quâils sont tout Ă fait Ă©veillĂ©s. Reins dâabord ; puis pieds ; ensuite mĂąchoire examinĂ©e sur table ; langue coupĂ©e ; tests dâĂ©tirement des os ; muscle cardiaque compressĂ© jusquâĂ ce quâil Ă©clate. Vous devez savoir ce que le consortium est en train de faire. Ceci est fait
principalement Ă des enfants indiens. Q : (L) Pourquoi est-ce que telles choses sont faites ? R : Il y a de grands efforts de la part des Orions Service de Soi et de leurs semblables humains pour crĂ©er une nouvelle race et le contrĂŽler ainsi que le reste de lâhumanitĂ©. Q : (L) Quâest-ce qui arrive aux Ăąmes ? Est-ce que ce projet est physique uniquement ? R : Physique et Ăąmes recyclĂ©es. Q : (L) OĂč vont les Ăąmes ? R : Reviennent ici pour la plupart. Certaines vont sur dâautres planĂštes. Q : (L) Pourquoi cela arrive-t-il Ă la Terre ? R : Karma. Atlantide. Q : (L) Quâest-ce que les Atlantes ont donc fait pour nous amener cela ? R : Ont vĂ©nĂ©rĂ© et servi le Soi Ă lâextrĂȘme. Q : (L) Quâest-ce qui peut nous protĂ©ger ? R : Connaissances. Q : (L) Comment obtenons-nous ces connaissances ? R : Elles vous sont donnĂ©es par lâintermĂ©diaire de la prĂ©sente source maintenant. Q : (L) De quelles connaissances parlez-vous ? R : Elles sont enfermĂ©es Ă lâintĂ©rieur de vous-mĂȘmes. Nous pouvons aider Ă prĂ©parer la voie pour dĂ©verrouiller. Q : (L) Comment est-ce que la connaissance de ce que vous nous avez dit peut nous protĂ©ger ? R : Juste de le savoir donne dĂ©fense psychique. Q : (L) Comment allons-nous dire cela aux gens ? Et Ă qui allons-nous le dire ? R : Informez les autres seulement indirectement. Q : Comment ? R : Ăcrivez. Conscience protĂšge. Ignorance expose au
danger. Cette idĂ©e dâextraterrestres mangeant des humains, que ce soit leur Ă©nergie ou leur chair, est trĂšs perturbante et provoque des rĂ©actions violentes chez la plupart des gens, comme cela a Ă©tĂ© le cas pour Carlos CASTANEDA quand Don Juan lâa informĂ© quâil en allait ainsi. Je suis revenue sur ces questions dans la partie finale du prĂ©sent ouvrage afin que seuls ceux dâentre vous qui sont rĂ©ellement dĂ©terminĂ©s Ă lâapprendre seront arrivĂ©s jusque lĂ . Ceux qui arrivent jusquâici et qui lisent ceci veulent trĂšs probablement vraiment savoir. Q : Vous avez parlĂ© un jour dâun rĂ©gime alimentaire en rapport avec le « dĂ©pistage des lignĂ©es ». La question Ă©tait dans le contexte des restrictions alimentaires des Juifs. Est-ce que ces restrictions alimentaires rendent plus facile le dĂ©pistage des Juifs ? Est-ce que ceux de 4e densitĂ© sont Ă mĂȘme de suivre leur gĂ©nĂ©tique Ă la trace grĂące Ă leurs restrictions alimentaires ? R : Sottises ! ! Ătres de 4e densitĂ© nâont aucune difficultĂ© Ă identifier quiconque en 3e densitĂ©. Les restrictions alimentaires dont vous parlez ont Ă voir avec le fait de rendre la chimie du corps moins attirante Ă la consommation. Q : Vous voulez dire « consommation » comme dans « ĂȘtre mangĂ©s » ? R : Oui. Q : Alors, peut-ĂȘtre que nous devrions tous manger comme les Juifs ? R : Peut-ĂȘtre. Q : Est-ce que vous voulez dire que les SDS de 4e
densitĂ© aiment particuliĂšrement manger des Aryens ? R : Seulement les types reptiliens. Q : Mais ils nâaiment pas manger des Juifs. Est-ce bien ainsi ? R : Ils prĂ©fĂšrent surtout les enfants avec un important
volume de graisse corporelle. Q : Que mangent les humanoĂŻdes dâOrion ? R : ComprimĂ©s cristallins, qui sont aspirĂ©s par dĂ©molĂ©cularisation orale. Q : Est-ce que ces comprimĂ©s cristallins ressemblent Ă des roches, comme dans notre idĂ©e des cristaux ? R : Figurez-vous une perle ovale, polie et pĂ©tillante. Q : Quelle est la composition chimique ? R : Quartz Ă la troisiĂšme puissance par comparaison aux Ă©chantillons terriens. En de nombreuses occasions, diverses personnes sont venues assister Ă des sĂ©ances dans lâintention dâobtenir des CassiopĂ©ens que ceux-ci « confirment » telle ou telle rumeur qui circule. R : MĂ©fiez-vous de la dĂ©sinformation. Elle dĂ©tourne votre attention de la rĂ©alitĂ© et vous laisse donc ouverts Ă la capture, la conquĂȘte, et mĂȘme peut-ĂȘtre Ă la destruction. La dĂ©sinformation provient de sources qui paraissent fiables. Il est trĂšs important pour vous de ne pas rĂ©colter de fausses connaissances, car cela est bien plus nuisible que pas de connaissances du tout. Souvenez-vous que la connaissance protĂšge, lâignorance expose au pĂ©ril. Les informations dont vous parlez, Terry, vous ont Ă©tĂ© donnĂ©es dĂ©libĂ©rĂ©ment parce que vous, Jan et dâautres ont Ă©tĂ© pris pour cibles Ă cause de votre intĂ©rĂȘt intense pour tout ce qui concerne les niveaux de densitĂ© 4 Ă 7. Vous avez dĂ©jĂ Ă©tĂ© repĂ©rĂ©s comme des « menaces ». De nombreuses personnes voudraient que les CassiopĂ©ens leur enseignent des rituels quâelles pourraient accomplir pour se protĂ©ger des extraterrestres, dĂ©mons, ou simplement Ă©nergies nĂ©gatives. : Q : (L) Est-ce quâaucun des rituels que nous
accomplissons donne une protection contre de nouveaux rapts ? R : Peut-ĂȘtre certains cristaux ayant des champs dâĂ©nergie. Nâavez pas besoin de protection si vous avez la connaissance. Q : Okay, question suivante : est-il possible de crĂ©er une rĂ©sistance aux enlĂšvements en produisant des sons ? Comme un son interne ? Cet article que jâai lu disait que des gens avaient recours Ă diffĂ©rentes techniques dont ils pensaient quâelles les avaient aidĂ©s Ă mettre fin ou Ă Ă©viter un rapt par des extraterrestres. Lâune dâelles est de produire un son « interne », un « hmmmm aigu pensĂ© », et une autre est dâinvoquer des esprits angĂ©liques comme lâarchange Michel, une autre est de simplement dire « non », et ces gens pensent quâils ont Ă©vitĂ© dâĂȘtre enlevĂ©s grĂące Ă cela. Est-ce que lâune ou lâautre de ces techniques est utilisable ? R : Pot-pourri. Q : (T) Les fleurs sĂ©chĂ©es qui sentent bon sont des pots-pourris. R : Sauge, sel, Ăoohm, il y a dâautres rituels qui vous plaisent ? Q : (L) Autrement dit, rien ne fonctionne ? (T) Cela ne va pas les arrĂȘter ! Jâai mis un lourd bouclier autour de la maison et toutes ces choses, et il parvient malgrĂ© tout Ă entrer ! R : Avez-vous essayĂ© la danse du houla houp avec des piments verts dans les narines ! [Ă©clats de rire] Peut-ĂȘtre pourrait-on rĂ©soudre les crises en se concentrant sur dâautres questions ? Voyez-vous, quand vous diminuez le dĂ©bit, vous rĂ©trĂ©cissez le canal. Et quand vous rĂ©trĂ©cissez le canal vous fermez des possibilitĂ©s. Et vous rendez difficile, sinon impossible pour vous de voir ce quâil y a lĂ . Autrement dit, ce qui est Ă©vident devient Ă©vidĂ© Ă cause de la constriction du flux. Câest pourquoi nous vous avons recommandĂ© dâĂ©viter tous les
rituels, parce que le rituel ralentit le courant, et restreint dĂšs lors les possibilitĂ©s. Et ce que vous ĂȘtes en train de dĂ©crire câest une situation « dĂ©sespĂ©rĂ©e », comme vous lâappelez, et de fortes pressions qui vous restreignent. Mais en rĂ©alitĂ© câest votre concentration sur cela qui est restreignante, et non pas la situation elle-mĂȘme. Nous rĂ©alisons quâil vous est difficile de focaliser votre attention ou, plus important encore, dâaugmenter le dĂ©bit du canal. Mais cela nâest certes pas impossible. SpĂ©cialement pour un individu aussi fort que vous lâĂȘtes. Ce qui compte, câest ce que vous choisissez de faire, non pas de que vous devez faire. Câest ce que vous choisissez de faire qui compte. Si quelquâun croit sincĂšrement en ses activitĂ©s, le plus largement, il produira certainement certains bĂ©nĂ©fices, Ă un certain degrĂ©. Mais le fait de suivre un modĂšle juste pour suivre un modĂšle ne produit pas la sincĂ©ritĂ© et la foi nĂ©cessaires Ă lâobtention dâavantages en fin de compte. DĂšs lors, comme toujours, il faut chercher de lâintĂ©rieur plutĂŽt que de lâextĂ©rieur, pour pouvoir rĂ©pondre Ă cette question. Comprenez-vous ? Pour vous donner un exemple, pour ĂȘtre certains, vous voyez cela tout le temps. Quand vous lisez dans un livre que telle forme ou telle forme de rituel est recommandĂ©e, et que vous suivez cette forme de rituel parce que vous avez lu les mots qui sont imprimĂ©s sur les pages, est-ce que cela vous donne rĂ©ellement, Ă lâintĂ©rieur de vous, un sentiment de satisfaction et dâaccomplissement le plus grand possible ? Tandis que si vous, vous dĂ©veloppez par vous-mĂȘmes des activitĂ©s que lâun ou lâautre pourrait interprĂ©ter ou dĂ©finir comme un rituel mais que cela vient de lâintĂ©rieur de vous, que cela vous paraĂźt JUSTE, que vous avez en cela une foi sincĂšre et entiĂšre, quoi que cela puisse ĂȘtre, est-ce que cela vous paraĂźt adĂ©quat ? Q : (L) Oui.
[âŠ] Q : (L) DâaprĂšs les enseignements chamaniques, on peut avoir des esprits ou guides animaux. Cela est-il exact ? R : En partie. Vous les avez si vous croyez que vous les avez. Q : (L) Si de croire en eux fait cela, est-ce que cette croyance est bĂ©nĂ©fique ? R : Toute croyance est bĂ©nĂ©fique Ă un certain degrĂ©. Q : (L) Est-ce que JĂ©sus de Nazareth croyait aux esprits animaux ou totems ? R : Non. Q : (L) Est-ce simplement de la superstition New Age ranimĂ©e ? R : Le chamanisme est subjectif et limitĂ©. InspirĂ© par les LĂ©zards. Q : (L) Est-ce que certains rituels peuvent ĂȘtre accomplis pour obtenir une protection contre lâintrusion des Lizzies. R : Les rituels sont trompeurs. Q : (L) Est-ce quâil existe des moyens technologiques que nous pourrions utiliser ? R : La seule dĂ©fense nĂ©cessaire est la connaissance. Les connaissances vous protĂšgent de toute forme de mal qui existe. Plus vous obtenez de connaissances, moins de peur, moins de souffrances, moins de stress, moins dâangoisse vous Ă©prouvez, et moins de dangers vous rencontrez. Pensez Ă ceci trĂšs sĂ©rieusement car câest trĂšs important : oĂč sont les limites du concept du mot « connaissance » ? Comme il nây a pas de limites, quelle est la valeur de ce terme ? Infinie. Pouvez-vous concevoir comment ce concept, cette signification, vous libĂšre de toutes les limites ? Utilisez votre sixiĂšme sens pour concevoir comment le mot, le terme, la signification de la
connaissance peut vous apporter tout ce dont vous aurez jamais besoin. Si vous pensez soigneusement vous commencerez Ă entrevoir comment cela est possible de la maniĂšre la plus large possible. Q : (L) Est-ce que cela inclut les connaissances acquises dans les livres ? R : Ceci inclut toutes les significations possibles du concept de ce mot. Parvenez-vous Ă vous imaginer comment il peut se faire quâun simple terme, un seul mot comporte autant de significations ? Nous sentons que vous nâen ĂȘtes pas totalement conscients. Vous pouvez avoir des aperçus de lâillumination et lâillumination vient de la connaissance. Si vous vous efforcez perpĂ©tuellement dâobtenir et de rassembler des connaissances, vous vous donnez Ă vous-mĂȘmes une protection contre toute occurrence nĂ©gative, quelle quâelle soit. Savez-vous pourquoi ? Plus vous avez de connaissances, plus vous avez de conscience de la maniĂšre dont vous pouvez vous protĂ©ger. Par la suite, cette conscience devient si puissante et si Ă©tendue quâil ne vous est mĂȘme plus nĂ©cessaire dâaccomplir des tĂąches ou des rituels, si vous prĂ©fĂ©rez, pour vous protĂ©ger. La protection vient tout naturellement avec la prise de conscience. Q : (L) Est-ce que la connaissance possĂšde une substance ou une existence outre sa possession ou son acceptation ? R : La connaissance possĂšde toute substance. Elle va au coeur de toute existence. Q : (L) Donc, acquĂ©rir des connaissances signifie ajouter de la substance Ă son propre ĂȘtre ? R : En effet. Cela comprend le fait dâajouter Ă son propre ĂȘtre tout ce qui est dĂ©sirable. Et aussi, quand vous invoquez la lumiĂšre, comme vous le faites, vous comprenez
que la lumiĂšre est connaissance. Câest la connaissance qui se trouve au coeur de toute existence. Et se trouvant au coeur de toute existence elle donne une protection contre toute forme de nĂ©gativitĂ© qui puisse exister. La lumiĂšre est tout, et tout est connaissance, et la connaissance est tout. Vous faites extrĂȘmement bien en acquĂ©rant des connaissances. Ă prĂ©sent, tout ce dont vous avez besoin câest la foi et la rĂ©alisation du fait que acquĂ©rir des connaissances câest tout ce quâil vous faut. Q : (L) Je voudrais seulement ĂȘtre certaine que la source Ă laquelle je mâabreuve en connaissances nâest pas une source trompeuse. R : Si vous avez simplement la foi, aucune des connaissances que vous pourrez acquĂ©rir ne pourra ĂȘtre fausse, parce quâil nâexiste rien de tel. Quiconque, ou quelle que source qui tentera de vous transmettre de fausses connaissances ou informations sera vouĂ© Ă lâĂ©chec. La substance matĂ©rielle mĂȘme que prend la connaissance, puisquâelle est Ă la base de toute existence, vous protĂšgera de lâabsorption de fausses informations qui ne sont pas des connaissances. Il nâest pas besoin de craindre lâabsorption de fausses informations quand on cherche simplement ouvertement Ă acquĂ©rir des connaissances. Et la connaissance forme la protection â toute la protection dont vous pourrez jamais avoir besoin. Q : (L) Il y a malheureusement un trĂšs grand nombre de gens qui sont ouverts, confiants, et qui ont la foi, et qui sont Ă©liminĂ©s et reçoivent des coups de pied au cul. R : Non. Cela est simplement votre perception. Ce que vous ne percevez pas, câest que ces gens ne rĂ©coltent pas vraiment des connaissances. Ces gens sont coincĂ©s quelque part sur leur chemin vers le progrĂšs, et ils subissent une manifestation cachĂ©e de ce quâen vos termes vous nommez obsession. Lâobsession nâest pas la connaissance ; lâobsession
est la stagnation. DĂšs lors, lorsquâon devient obsĂ©dĂ©, on se ferme Ă lâabsorption, Ă la croissance et au progrĂšs du dĂ©veloppement de lâĂąme qui accompagne lâobtention de la vraie connaissance. Car, quand on devient obsĂ©dĂ©, on dĂ©tĂ©riore la protection câest pourquoi on est ouvert aux problĂšmes, aux tragĂ©dies, Ă toutes sortes de difficultĂ©s. Câest pourquoi câest cela quâon Ă©prouve. [âŠ] Q : (L) En 1981 et 1982, ma fille A__ a frĂ©quemment vu Ă lâextĂ©rieur de sa fenĂȘtre, quelque chose quâelle a dĂ©crit comme un alligator, et elle se rĂ©veillait en criant et se levait, et en une occasion nous avons vu ce qui semblait ĂȘtre une silhouette se tenant debout dans un coin prĂšs du placard. Cette sĂ©rie dâĂ©vĂ©nements a eu pour conclusion un rĂȘve que jâai fait, dans lequel jâĂ©tais confrontĂ©e Ă un dragon⊠R : LĂ©zard. Q : (L) Que faisaient-ils Ă cette Ă©poque ? R : RepĂ©rages. Q : (L) Quâont-ils dĂ©couvert Ă la suite de leurs repĂ©rages ? R : Des « enlevĂ©s » potentiels. Q : (L) Et ont-ils enlevĂ© quelquâun Ă ce moment-lĂ ? R : Non. Q : (L) Pourquoi ? R : Vous les en avez empĂȘchĂ©s. Q : (L) Comment est-ce que je les ai empĂȘchĂ©s ? R : La connaissance a ses racines dans la prise de conscience. Q : (L) Donc, ma prise de conscience est ce qui a empĂȘchĂ© ? R : Proche. Q : (L) Quand jâai fait ce rĂȘve de combat avec le
dragon, est-ce que câĂ©tait juste un rĂȘve, ou bien une rĂ©elle interaction avec les Lizzies ? R : Les trois. [âŠ] Q : (L) Vous nous avez dit que plus nous accumulons de connaissances, plus nous changeons notre frĂ©quence, ajoutons du volume, du corps, de la puissance et de la force Ă ce que et qui nous sommes, Ă un niveau fondamental. Non pas physiquement,mais psychiquement. Je veux dire, quâest-ce qui est dit dans la Bible ? « Mon peuple pĂ©rit dâun manque de savoir ». et il est dit, « tu connaĂźtras la vĂ©ritĂ©, et la vĂ©ritĂ© te rendra libre » . Et plus on a de connaissances, plus grand on est, dans un sens cosmique et psychique, plus puissant on devient, et ⊠R : SuggĂ©rons dâautres questions sur ce qui se passe dans des installations souterraines. J__et T__ ont Ă©tĂ© des visiteurs involontaires quand ils se sont rendus Ă Albuquerque et Las Vegas ! Q : (L) Vous avez Ă©tĂ© dans une base souterraine ? (T) Nous avons Ă©tĂ© Ă la porte de devant dâune base souterraine. Nous Ă©tions aux Grottes de Carlsbad, et je sais quâil y a des installations gouvernementales Ă lâautre extrĂ©mitĂ©, et personne nâen parle. (J) Est-ce cela quâils veulent dire ? (T) Vous parlez de Carlsbad ? R : EnlevĂ©s. Q : (T) : Quand nous Ă©tions Ă Albuquerque ? R : Oui. Q : (T) Quand nous Ă©tions Ă Las Vegas, aussi ? R : Avez rencontrĂ© un extraterrestre lĂ -bas. Pilier de bar. Q : (T) : Ohhhhh⊠Je vois exactement de quoi vous parlez. R : DĂ©guisĂ© en humanoĂŻde espĂšce grise quatre.
RigĂ©lien. Orion union SDS. Q : (T) Pourquoi nous a-t-il parlĂ© ? Pourquoi nous a-t-il approchĂ©s ? Je sais exactement⊠R : Pour vous espionner et lire la frĂ©quence de votre aura ; si vous nâaviez pas Ă©tĂ© aussi forts, vous auriez subi un enlĂšvement permanent Ă cause de vos Ă©tudes. Q : (L) Quây a-t-il dans la force, qui rend impossible un rapt permanent ? R : Force est de caractĂšre câest-Ă -dire si candidat SDA, peu probable quâon soit victime. Q : (L) OK, mais quelle est la chose Ă lâintĂ©rieur de soi qui les arrĂȘte⊠je veux dire, est-ce que câest un ingrĂ©dient fondamental dans certains ĂȘtres humains ? Est-ce que câest quelque chose Ă lâintĂ©rieur dâeux-mĂȘmes qui empĂȘche cette manipulation et victimisation ? R : ModĂšle dâĂąme. Q : (L) Donc, autrement dit, il y a quelque chose qui nous concerne, ou bien en nous, quâils sont littĂ©ralement incapables dâatteindre ou dâendommager, cela est-il correct ? R : Ă la base, mais difficile Ă faire. Q : (L) Autrement dit, câest quelque chose qui est en nous, qui crĂ©e un obstacle interne, mais pas nĂ©cessairement quelque chose quâĂ ce niveau-ci de densitĂ© nous soyons Ă mĂȘme dâatteindre, saisir comme une arme, et agiter en lâair ? R : Se peut, mais compliquĂ© Ă faire consciemment. Q : (L) Donc, autrement dit difficile Ă faire consciemment. Est-ce quâil sâagit dâune certaine qualitĂ© ou facultĂ© sur laquelle nous pouvons travailler ? Je ne pense pas que la mĂ©ditation soit la rĂ©ponse ; ceci est un Ă©tat de conscience focalisĂ©e, une conscience de tout le corps, interne et externe, fondamentalement, une conscience corporelle entiĂšre⊠R : Utile.
Q : (L) Câest utile. Est-ce quâil y a quelque chose que nous puissions faire pour dĂ©velopper ceci au plus haut degrĂ© possible tout en Ă©tant dans ces corps-ci, dans cette densitĂ©-ci ? R : Attendez dâĂȘtre en 4e densitĂ©. Q : (T) Câest quelque chose dâinvolontaire ; câest lĂ , ça marche quand ça a besoin de marcher. Câest ça lâidĂ©e ? R : Mettez-en rĂ©seau expĂ©riences occidentales Ă des fins dâapprentissage, sâil vous plaĂźt. Connaissance est protection. BriĂšvement, T__ a racontĂ© lâhistoire : lui et J__ avaient rencontrĂ© le pilier de bar Ă Vegas World, aprĂšs sâĂȘtre rendus en ville pour obtenir leur licence de mariage. Ils avaient pris un taxi jusquâĂ la mairie et, stupidement, ils avaient dĂ©cidĂ© de revenir Ă pied vers le Strip, par une tempĂ©rature de 46°C. Ils se sont dirigĂ©s vers le sud et ont fait halte dans un bar pour se rafraĂźchir. J__ Ă©tait proche du coup de chaleur, et la barmaid lui a donnĂ© des verres dâeau glacĂ©e et une serviette glacĂ©e pour mettre sur sa nuque. Ils sâapprĂȘtaient Ă repartir et Ă hĂ©ler un taxi pour aller jusquâau Ballyâs, quand ils ont Ă©tĂ© approchĂ©s par le « pilier de bar », qui sâest mis Ă poser toutes sortes de questions personnelles et qui paraissait faire comme sâil Ă©tait ivre alors quâil ne lâĂ©tait pas vraiment. Il est devenu agressif lorsque T__ a refusĂ© de lui montrer son permis de conduire floridien, mais a basculĂ© dans la confusion quand T__ lui a rĂ©torquĂ© « Il nây a pas un problĂšme ici, oui ou non ? ! » tout en fixant le type du regard et en mettant toute la force de sa personnalitĂ© dans la question/dĂ©claration. Q : (L) Dans cette histoire que T vient de nous rappeler, quel instant reprĂ©sente le tournant de la rĂ©sistance ? R : La dĂ©claration. Q : (T) Quand jâai dit « Il nây a pas un problĂšme ici, oui ou non ? ! Du calme, tout va bien ! Je vous offre une biĂšre ? » en regardant le type dans les yeux ?
R : Oui. Q : (T) : Parce que ça câest quand il est devenu confus⊠Il sâest montĂ© la tĂȘte jusquâĂ un certain point, et je ne sais pas, lâidĂ©e mâest venue que la meilleure maniĂšre de faire cela câĂ©tait de lâarrĂȘter Ă ce moment mĂȘme⊠R : Les Gris et leurs associĂ©s sont dĂ©sarçonnĂ©s par les dĂ©viations de flux Ă©nergĂ©tiques ou les interruptions du fil de la pensĂ©e. Q : (L) Jâai une idĂ©e Ă ce propos. Est-ce que câest Ă cela que Michael TOPPER faisait allusion dans son article « Channels and the Positive/Negative Nature of Reality [1] », oĂč il parle du « facteur dâobĂ©dience » du SDS ? Sâils peuvent faire en sorte que nous obĂ©issions Ă quelque chose, mĂȘme si câest insignifiant, nous leur avons donnĂ© notre permission et ils ont pouvoir sur nous ? R : Oui. [âŠ] Q : (L) Vers les annĂ©es 1970 dans le centre des USA il y a eu de nombreux cas de mutilation dâanimaux. Il y a eu beaucoup de publicitĂ© Ă ce sujet, et puis tout cela est tombĂ© dans lâoubli et a Ă©tĂ© Ă©touffĂ©, et de nombreuses idĂ©es et thĂ©ories ont circulĂ© Ă ce sujet. Ce que je voudrais savoir câest qui a procĂ©dĂ© aux mutilations des animaux ? R : Nombreux. Q : Est-ce que certaines mutilations dâanimaux ont Ă©tĂ© accomplies par le gouvernement des USA ou par des entitĂ©s au sein du gouvernement ? R : Ont Ă©tĂ© ? Q : (L) Autrement dit, elles ont toujours lieu. Quâelle lâait Ă©tĂ© ou quâelle le soient toujours, est-ce que cette activitĂ© est le fait dâindividus extraterrestres ? R : Oui.
Q : (T) Ont-ils tous agi pour les mĂȘmes raisons ? R : Non. Q : Pourquoi des membres du gouvernement procĂšdent-ils Ă des mutilations dâanimaux ? R : Copient, afin dâĂ©garer les enquĂȘteurs. Q : (L) Est-ce quâils ont fait cela pour protĂ©ger les extraterrestres qui procĂ©daient Ă des mutilations dâanimaux pour leur propre compte ? R : Non. Ils le font pour protĂ©ger le public qui, sâil le dĂ©couvrait, verrait la sociĂ©tĂ© exploser. Q : (L) Et quelle est cette chose quâils ont protĂ©gĂ©e pour que la sociĂ©tĂ© ou le public nâen sache rien ? De quelle activitĂ© sâagit-il ? R : Les humains mangent le bĂ©tail ; les extraterrestres vous mangent vous. Q : Quâest-ce que les extraterrestres font au bĂ©tail ? R : Sang. Q : (J) Ă quoi utilisent-ils ce sang ? R : Alimentation. Q : (L) Bon, mais vous venez de dire que les extraterrestres mangent les humains et que les humains mangent le bĂ©tail. Pourquoi les extraterrestres se nourrissent-ils de bĂ©tail si ce nâest pas leur menu ? (T) Le sang dâune vache ressemble beaucoup au sang humain. R : Est-ce que vous ne consommez jamais des substituts ? Le substitut soulĂšve manifestement moins de controverse ! Q : (L) Donc, autrement dit, ils ont mangĂ© du bĂ©tail juste pour ne pas avoir Ă manger tant dâhumains, ce qui aurait complĂštement bouleversĂ© les gens, câest cela ? R : Oui. Une partie de leur nourriture humaine consiste en Ă©motions uniquement ; ils considĂšrent que la chair est lâĂ©quivalent du « filet mignon ».
Q : (T) Une partie de leur nourriture est des Ă©motions uniquement. Bon. Quand nous parlons de ces extraterrestres, parlons-nous des Gris ? R : Non. Q : (T) Nous parlons des LĂ©zards. R : Oui. Q : (T) Bien. De quoi se nourrissent les Gris ? R : Plasma. Q : (T) Alors câest pour cela quâils ont besoin de sang ; alors les Gris se nourrissent dâĂ©motions ? R : Ils les envoient aux LĂ©zards. TransfĂšrent lâĂ©nergie par des technologies. Q : (T) Est-ce que le bĂ©tail projette assez dâĂ©motions pour que les Gris puissent les envoyer aux LĂ©zards aussi ? R : Non. Cela est seulement physique. Voyez-vous, les LĂ©zards et les Gris nâont besoin dâune nourriture physique que quand ils sont « en visite » en 3e niveau, et non pas quand ils se trouvent dans leur univers naturel de 4e densitĂ©, oĂč ils se nourrissent dâĂ©motions seulement. Q : (T) Les Gris ne sont pas strictement de 3e densitĂ© ? Parce quâils ont Ă©tĂ© crĂ©Ă©s par les LĂ©zards ? R : Oui. Correct, eux aussi sont du 4e niveau. Q : (L) Quelles technologies utilisent-ils pour exciser chirurgicalement certaines zones de lâanatomie du bĂ©tail, est-ce que cela est fait au laser ?⊠R : Ressemble au laser. Q : (L) Puisquâil a Ă©tĂ© notĂ© que trĂšs frĂ©quemment les mutilations faites Ă du bĂ©tail consistent Ă extraire des parties bien spĂ©cifiques du corps, comme les yeux, les parties gĂ©nitales, le sphincter anal jusquâau cĂŽlon ; pourquoi ces parties spĂ©cifiquement ? Je veux dire, est-ce quâils excisent le rectum placent une pompe Ă cet endroit et aspirent tout le
sang ? Je veux dire⊠R : Proche. Q : (L) Bon. Je pense que nous avons notre rĂ©ponse Ă ceci, mais il y a souvent eu, associĂ©s au phĂ©nomĂšne de mutilations dâanimaux, des observations dâhĂ©licoptĂšres noirs et sans marques qui ou que sont ces hĂ©licoptĂšres ? R : Variable. Q : (L) Est-ce que certains de ces hĂ©licoptĂšres sont des vaisseaux extraterrestres dĂ©guisĂ©s ? Est-ce que certains de ces hĂ©licoptĂšres appartiennent au gouvernement des Ătats-Unis ? R : Oui aux deux. Q : (T) Est-ce que certains de ces hĂ©licoptĂšres appartiennent Ă des entreprises privĂ©es ? R : Oui. Tout est interconnectĂ©. Certains aussi sont projections, ce phĂ©nomĂšne a de nombreuses facettes. Q : (L) Bon. Qui est ce personnel dâapparence orientale qui a Ă©tĂ© vu manoeuvrant les hĂ©licoptĂšres et les camionnettes blanches qui ont Ă©tĂ© vues dans tout le pays ? R : Hommes en noir. Et imitations du gouvernement. Q : (L) Combien de vaisseaux extraterrestres, de rĂ©els vaisseaux extraterrestres, sont-ils en possession du gouvernement ou de ce consortium ? R : 36. Q : (L) Et est-ce que ces vaisseaux ont Ă©tĂ© capturĂ©s ? Ou bien donnĂ©s ? R : Et rĂ©cupĂ©rĂ©s. Q : (T) Donc câest tous les trois. Est-ce que certains ont Ă©tĂ© achetĂ©s, ? R : Concept pas correct, les Gris ne sont pas des financiers. Q : (T) Je ne voulais pas dire par de lâargent. Je voulais dire acquis par une sorte dâopĂ©ration commerciale. Est-ce que
ceux qui ont Ă©tĂ© donnĂ©s ne sont pas vraiment ce que nous pourrions considĂ©rer comme de rĂ©els prĂ©sents, ou bien ont-ils Ă©tĂ© donnĂ©s en Ă©change de quelque chose dâautre, une autre sorte de paiement ? Du troc ? R : Non. Parce que toutes les faveurs en retour avaient dĂ©jĂ Ă©tĂ© obtenues. Q : (L) Donc tout cela nâa Ă©tĂ© quâune farce. Ce nâĂ©taient pas des paiements, ce nâĂ©tait pas des prĂ©sents, câĂ©taient des diversions ? R : Plus proche. Q : (T) Donc il y a un tas de catĂ©gories diffĂ©rentes pour lesquelles ces vaisseaux sont tombĂ©s dans les mains du gouvernement fĂ©dĂ©ral ? R : Oui. Multidimensionnel [âŠ] Q : (L) Qui est O. H. Krill ? R : Personne. Q : (L) Est-ce que O. H. Krill est un groupe ? R : Symbolisme. Q : (L) Symbolisme de quoi ? Comment peut-on traduire O. H. Krill ? R : Dans un but documentaire seulement ; votre gouvernement aime les noms de code. Q : (L) Donnez-nous un pourcentage des informations factuelles contenues dans ce document. R : 43 % Q : (L) Et cela a Ă©tĂ© implantĂ© par le gouvernement. Est-ce que cela a Ă©tĂ© fait dans lâintention de donner des informations factuelles ⊠R : Non. implantĂ© ? Non. Votre gouvernement agit sur de nombreux objectifs contradictoires, trĂšs compliquĂ© ! Q : (T) MĂȘme les choses les plus simples deviennent
trĂšs compliquĂ©es avec eux. bon, question : Le gouvernement des Ătats-Unis⊠R : ExprĂšs ! Q : (T) TrĂšs vrai. Question : Le gouvernement, notre gouvernement, le gouvernement des Ătats-Unis, dĂ©tient 36 vaisseaux dâune espĂšce ou dâune autre, quâils ont obtenus dâune maniĂšre ou dâune autre Combien dâautres gouvernements dĂ©tiennent-ils des vaisseaux ? R : Tout est un. Q : (L) Nous avons dĂ©jĂ un gouvernement unique mondial, câest ce quâils sont en train de dire. (T) Oui, ils attendent seulement une occasion de le rendre officiel. R : Cela est ainsi depuis trĂšs longtemps, selon votre maniĂšre de mesurer le temps. Q : (L) Quel est le « secret ultime » qui est protĂ©gĂ© par le Consortium ? R : Vous nâavez pas le contrĂŽle de vous-mĂȘmes, vous ĂȘtes une expĂ©rience. Q : (T) Quand vous dites que cela est le secret ultime, dont nous sommes « protĂ©gĂ©s » par le gouvernement, est-ce que nous parlons ici du secret ultime des humains seulement ? R : Fondamentalement. Q : (T) Le secret ultime de la race humaine est que nous sommes une expĂ©rience que dâautres humains font subir au reste dâentre nous ? R : En partie. Q : (T) Est-ce que lâautre partie a quelque chose Ă voir avec les LĂ©zards ? R : Oui. Q : (L) Dâautres « aliens » aussi ? R : Oui. Q : (T) Alors, les humains qui exĂ©cutent lâexpĂ©rience,
est-ce quâils savent quâeux aussi font partie de lâexpĂ©rience ? R : Oui. Q : (T) Et ils font cela de leur plein grĂ© ? R : Ils nâont pas le choix. Q : (L) Pourquoi nâont-ils pas le choix ? R : DĂ©jĂ en cours. Q : (L) Oui. Bien. Depuis combien de « temps », et je mets temps entre guillemets parce que nous savons, comme vous le dites, que le temps nâexiste pas, mais depuis combien de temps comme nous le mesurons est-ce que les Gris interagissent avec notre race ? Les Gris, pas les LĂ©zards, les Gris, les sondes cybergĂ©nĂ©tiques ? R : Voyageurs dans le temps, vu que le « temps est continu ». Comprenez-vous la gravitĂ© de cette rĂ©ponse ? Q : (L) Ce sont des voyageurs dans le temps, ils peuvent avancer ou reculer dans le temps, ils peuvent jouer avec notre tĂȘte⊠(T) Ils peuvent mettre en place le passĂ© pour crĂ©er le futur quâils veulent. (D) Ils peuvent organiser les choses de maniĂšre Ă crĂ©er lâĂ©nergie dont ils ont besoin⊠(L) Ils peuvent aussi faire en sorte que les choses aient bon air, quâelles donnent une impression de confort, elles peuvent nous faire avoir une idĂ©e une minute et ensuite crĂ©er une sorte de situation qui confirme cette idĂ©e⊠R : Quand vous avez demandĂ© depuis combien de temps, bien sĂ»r câest totalement illimitĂ© nâest-ce pas ? Q : (L) Cela nâest pas bien. Sâils devaient retourner en arriĂšre dans lâespace-temps et modifier un Ă©vĂ©nement de notre passĂ©, est-ce que cette modification du passĂ© modifierait instantanĂ©ment notre prĂ©sent aussi ? R : Ainsi encore, et encore et encore. Q : (D) Donc ils le font encore, et encore et encore, constamment ?
R : Vous nâen avez tout simplement pas encore conscience et nâavez aucune idĂ©e des rĂ©percussions ! ! ! Q : (L) Nous voyons une petite lueur ! Ouaip, jâen vois une petite ! (T) Les rĂ©percussions de la facultĂ© dâaller et venir dans le temps et de le manipuler comme on veut (J) Et les rĂ©percussions de ce quâils nous font ; de ce quâils nous font et vont nous faire, encore et encore. (L) Donc autrement dit, la seule priĂšre Ă faire dans cette situation infernale câest de pouvoir sortir de ce niveau de densitĂ©. Câest ce quâils disent ; câest ce quâils me semble Ă moi. R : Proche. Q : (L) Parce quâautrement, nous sommes juste littĂ©ralement, comme dans ce livre, coincĂ©s dans la reprise encore, encore et encore, et lâHolocauste pourrait se reproduire encore et encore, et nous pourrions, vous savez,⊠Genghis Khan, Attila le Hun⊠encore et encore. (T) Nous sommes coincĂ©s dans une boucle temporelle ; ils nous placent dans une boucle temporelle. R : Oui. Q : (D) Jâai une question Ă propos de⊠il y a eu un⊠(PAUSE) lâhumanitĂ© a trouvĂ© nĂ©cessaire, pour une raison ou une autre, de mettre en place le temps, pour une raison ou une autre. La seule raison que je puisse voir, câest dâavoir un moyen de raconter, comme dans les communications verbales ou Ă©crites⊠R : Le temps est un mĂ©canisme de contrĂŽle. Q : (T) Est-ce que nous avons un moyen de briser ce mĂ©canisme de contrĂŽle ? Ă part nous en aller en 4e densitĂ© ? R : Non. Q : (D) Quand des ĂȘtres de 4e densitĂ© communiquent, câest tĂ©lĂ©pathique nâest-ce pas ? R : Oui.
Q : (D) Alors si le temps nâexiste pas, comment communique-t-on les Ă©vĂ©nements ? Comment communique-t-on Ă propos dâĂ©vĂ©nements qui se produisent lâun maintenant, lâautre plus tard, et puis autre chose arrive, et puis encore autre chose⊠(J) Comment est-ce en sĂ©quence ? R : Traduisez. Câest comme cela que cela se fait. Vous traduisez lâexpĂ©rience ? De 4e densitĂ© Ă la 3e et vice versa. Q : (L) Autrement dit, câest un peu comme de faire des films. (J) Est-ce que les processus de pensĂ©e linĂ©aires font partie de cela ? R : Seulement partie de lâillusion en 3D. Q : (L) Autrement dit, si on est un ĂȘtre de 4e densitĂ©, tout arrive plus ou moins, excusez le terme « arrive » tous est simultanĂ©, et si on veut discuter ou communiquer ou si on veut que quelquâun se concentre sur un aspect particulier de cette dimension unifiĂ©e, alors ce quâon fait câest en quelque sorte lâextraire, le projeter en 3d⊠comme un film. R : Proche. Mais vous ne comprendrez pas complĂštement avant de vous trouver lĂ -bas. Q : (T) Donc câest un concept que nous ne sommes pas complĂštement Ă mĂȘme de saisir en 3d en ce moment. R : Est-ce quâun chien peut comprendre lâalgĂšbre ? Vous avez compris. Q : (L) Autrement dit, nous sommes mal barrĂ©s ! Et ces types qui jouent avec nos pieds, pour ainsi dire⊠R : Subjectif. Q : (L) Eh bien, la situation dans laquelle nous nous trouvons fait penser que notre seul espoir de mettre fin aux souffrances, de sortir de cette boucle temporelle, câest dâaller dans une autre densitĂ©. R : Des yogis peuvent le faire. La sĂ©rie de « LâOnde » comprend une analyse
historique des duperies Ă lâĂ©gard de lâhumanitĂ©, et propose des idĂ©es pour littĂ©ralement « changer notre univers » en une autre rĂ©alitĂ© probable. Ce nâest pas facile, mais nous croyons que câest lĂ le but de notre contact avec les CassiopĂ©ens â nous renforcer, informer, Ă©duquer et aider Ă acquĂ©rir les connaissances qui nous rendront libres !
NOTES
[1]: Les canaux et la nature positive/négative de la réalité (NdT)
CHAPITRE XXI
Maintenant je pense que le lecteur est plutĂŽt accablĂ© par toutes ces informations dĂ©primantes ! Mais ce nâest ni le but ni lâidĂ©e. Le but et lâidĂ©e sont dâapporter suffisamment de connaissances sur le vĂ©ritable Ă©tat de lâhomme, afin que des solutions puissent ĂȘtre trouvĂ©es pour y porter remĂšde. Ainsi que les CassiopĂ©ens lâont un jour fait remarquer alors que je protestais, que je disais que je nâaimais pas entendre de « vilaines » choses : R : Nous supposons que si nous vous disions « Laura, un gros rocher est sur le point de vous tomber sur la tĂȘte », vous diriez : « okay, maintenant nous passons aux Tables dâEmeraude⊠». Q : (Laura) Okay. Vous avez toute mon attention. R : De grands dangers potentiels rĂŽdent⊠Q : (Laura) Donc ceci est rĂ©ellement comme la queste du Graal. Il nous faut traverser une forĂȘt enchantĂ©e, trancher des tĂȘtes de dragons, garder lâoeil bien ouvert, et ne pas nous laisser abuser par des artifices et images trompeurs⊠tout le toutim ! R : OĂč puiser lâinfluence pour lâinspiration derriĂšre cette histoire ? Le danger attend le salut de chaque nouveau jour. Vigilance ! Vigilance !Vigilance!!!! ! Q : (Laura) Cela est absolument dĂ©primant. Ă lâaide, vous lĂ -bas ! R : Du calme !Pas besoin de dĂ©primer. PrĂ©fĂšreriez-vous
rester sans connaissances, et dans un Ă©tat sans cesse croissant de fausse sĂ©curitĂ© et dâoubli, pour ĂȘtre ensuite frappĂ©e dans un Ă©clair ?!? Bien sĂ»r que non !!!Alors souvenez-vous⊠la connaissance protĂšge, lâignorance expose au danger !! Pensez-y comme Ă une guerre. Attendez-vous Ă tous les coups, Ă tous les Ă©vĂ©nements. La victoire sâobtient en Ă©tant avertis, et donc armĂ©s en prĂ©vision. Q : (Laura) Est-ce que câest comme Frank lâa dit, la clĂ© ? Quâil faut tourner le volume de vigilance au maximum ? R : Toujours. Ne soyez pas comme la sentinelle tombĂ©e dans un sommeil paisible, plaisant et plein de rĂȘves alors quâelle Ă©tait de garde !Cet homme nâa mĂȘme pas senti la lame qui lui a traversĂ© le coeur ! Q : (Laura) Eh bien, cela nâest PAS gentil. Mais maintenant je suis vraiment dĂ©primĂ©e !Dites-moi : est-ce que ce que nous sommes en train de faire est tellement important, que cette sorte dâĂ©nergie sâest concentrĂ©e sur nous ? R : Oui. Voyez-le comme ceci : ayez pour but le succĂšs, alors vous nâaurez rien Ă craindre. Les gens doivent ĂȘtre avertis des dangers qui se trouvent potentiellement partout. Ceux qui ont une foi faussement implantĂ©e en ceci ou cela ; ceux qui ont passĂ© leur vie Ă construire un fort sentiment de sĂ©curitĂ© basĂ© sur quelque chose dâextĂ©rieur Ă eux, devraient comprendre que ces idĂ©es ont Ă©tĂ© propagĂ©es dans le seul but de les rendre vulnĂ©rables. Mais Ă prĂ©sent, le « temps » est venu dâapprendre que cela ne suffit pas. Rappelez-vous seulement : Il y a « lĂ -bas » des forces qui veulent voir capoter votre projet et vous-mĂȘmes. Vous deux avez dĂ©jĂ ressenti trĂšs fortement la piqĂ»re de ces forces. Nâimporte qui et quiconque peut constituer une ouverture dâattaque. Souvenez-vous, ils opĂšrent Ă travers les personnes, ce ne sont normalement pas les personnes elles-mĂȘmes. Les connaissances protĂšgent !
Nous avons donc Ă©tĂ© avertis plutĂŽt fortement. Mais avez-vous remarquĂ© ce qui se rapportait Ă la Queste du Graal ? VoilĂ un indice puissant ! Don Juan dit : « Nous avons un prĂ©dateur venu des profondeurs du cosmos, qui sâest emparĂ© du contrĂŽle de notre vie. Les humains sont ses prisonniers. Le prĂ©dateur est notre seigneur et maĂźtre. Il nous a rendus dociles, sans dĂ©fense. Si nous voulons protester, il supprime nos protestations. Si nous voulons agir de maniĂšre indĂ©pendante, il exige que nous ne le fassions pas. [âŠ] « Ils se sont emparĂ©s de nous parce que nous sommes de la nourriture pour eux, et ils nous pressent sans merci parce que nous sommes leur subsistance. [âŠ] « Pensez-y un moment et dites-moi comment vous pourriez expliquer la contradiction entre lâintelligence de lâhomme ingĂ©nieux et la stupiditĂ© de ses systĂšmes de croyance, ou la stupiditĂ© de ses comportements contradictoires. Les sorciers croient que les prĂ©dateurs nous ont donnĂ© nos systĂšmes de croyance, nos idĂ©es du bien et du mal, nos moeurs sociales. Ce sont eux qui ont crĂ©Ă© nos espoirs, nos attentes et nos rĂȘves de succĂšs ou dâĂ©chec. Ils nous mis en nous la convoitise, lâaviditĂ©, et la couardise. Ce sont les prĂ©dateurs qui nous ont rendus complaisants, routiniers et Ă©gocentriques.. [âŠ] « Afin de nous garder obĂ©issants, dociles et faibles, les prĂ©dateurs ont entrepris une manoeuvre Ă©tonnante - Ă©tonnante naturellement du point de vue du stratĂšge combattant. Une manoeuvre horrible du point de vue de ceux qui la subissent. Ils nous ont donnĂ© leur mental !Mâentendez-vous ? !Les prĂ©dateurs nous ont donnĂ© leur mental. Le mental du prĂ©dateur est baroque, contradictoire, morose, rempli de la crainte dâĂȘtre dĂ©couvert Ă tout instant [1] ». Que nous ont dit les CassiopĂ©ens Ă ce sujet ?
Q : (L) LâHistoire sumĂ©rienne de la crĂ©ation des ĂȘtres humains comprend un rĂ©cit oĂč il est dit quâun dieu a Ă©tĂ© tuĂ© et que son sang et des parties de son Ăąme ont Ă©tĂ© mĂȘlĂ©s Ă de la boue pour ĂȘtre placĂ©es ensuite dans des dĂ©esses de la « gestation », et voilĂ dâoĂč proviendrait la race humaine. Est-ce que quelquâun a en effet tuĂ© un « dieu » , a mis son Ăąme en piĂšces et que câest ainsi que la race humaine a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e ? R : Symbolisme et sĂ©quence incorrecte des Ă©vĂ©nements. Q : (L) De quoi parle cette histoire ? Quel a Ă©tĂ© lâĂ©vĂ©nement originel ? R : Des ĂȘtres lĂ©zards ont altĂ©rĂ© gĂ©nĂ©tiquement la race humaine aprĂšs bataille pour leurs propres intĂ©rĂȘts alimentaires. Q : (L) Ă quelle Ă©poque se sont produits les Ă©vĂ©nements dont parlent les rĂ©cits sumĂ©riens ? R : Il y a approximativement 309 000 ans. La rĂ©flexion a filtrĂ© au travers du canal de la mĂ©moire psychique. Jeremy NARBY Ă©crit dans « The Cosmic Serpent : » En passant en revue les Ă©crits de diverses autoritĂ©s en matiĂšre de mythologie, jâai Ă©tĂ© surpris de dĂ©couvrir que le thĂšme de crĂ©ateurs jumeaux dâorigine cĂ©leste Ă©tait trĂšs commun en AmĂ©rique du Sud, et en fait dans le monde entier. [âŠ] Je me suis demandĂ© ce que pourraient bien vouloir dire tous ces jumeaux dans les mythes des peuples indigĂšnes de la CrĂ©ation. [âŠ] Ruminant ce blocage mental, je me rappelai les mots de Carlos PĂ©rez SHUMA : « voyez la forme. » Ce matin-lĂ , Ă la bibliothĂšque, jâavais consultĂ© le mot ADN dans plusieurs encyclopĂ©dies et jâavais notĂ©, en passant, que la forme en double hĂ©lice Ă©tait le plus souvent dĂ©crite comme une Ă©chelle, ou une Ă©chelle de corde tordue, ou un escalier en spirale. Câest pendant le quart de seconde oĂč je me suis demandĂ© sâil y avait des Ă©chelles dans le chamanisme que la rĂ©vĂ©lation a eu lieu : « Les Ă©chelles !Les Ă©chelles des
chamanes, symboles de la profession selon MĂ©traux, prĂ©sentes dans les thĂšmes chamaniques du monde entier dâaprĂšs Eliade! » Dans le livre de MircĂ©a ELIADE Shamanism : Archaic Techniques of ecstasy, jâai dĂ©couvert quâil y avait « dâinnombrables exemples » dâĂ©chelles chamaniques sur les cinq continents, et que « le symbolisme de la corde, comme celui de lâĂ©chelle, implique nĂ©cessairement une communication entre le ciel et la terre. Câest au moyen dâune Ă©chelle de cordeâŠ. que les dieux descendent sur la Terre et que les hommes montent au ciel » [2]. [âŠ] Pour ELIADE, lâĂ©chelle chamanique est la premiĂšre version de lâidĂ©e dâun axe du monde, qui connecte les divers niveaux du cosmos, et se trouve dans de nombreux mythes de la CrĂ©ation sous la forme dâun arbre . [âŠ] CAMPBELL Ă©crit Ă propos de lâomniprĂ©sent symbolisme du serpent : « au fil des tomes Primitifs », « Orient » et « Occident » de cette oeuvre, des mythes et rites du serpent apparaissent trĂšs souvent , et dans un sens symbolique remarquablement cohĂ©rent. Partout oĂč la nature est rĂ©vĂ©rĂ©e comme bougeant spontanĂ©ment et donc divine de maniĂšre inhĂ©rente, le serpent est rĂ©vĂ©rĂ© comme le symbole de sa vie divine [3] ». [âŠ] « DĂšs lors, le serpent visible apparaĂźt seulement comme la brĂšve incarnation du principe vital et de toutes les forces de la nature. Câest un ancien dieu primitif qui a Ă©tĂ© trouvĂ© au dĂ©but de toutes les cosmogonies, avant que le monothĂ©isme et la raison ne le renversent ». Mais Joseph CAMPBELL continue en parlant dâune « inversion », une « torsion » dans la mythologie mondiale du serpent/arbre/Ă©chelle cosmique. La premiĂšre dĂ©formation est que le serpent, dâabord rejeton de la dĂ©esse de la Terre et symbole de celle-ci, est devenu le symbole du compagnon mĂąle
de la DĂ©esse. La deuxiĂšme dĂ©formation a Ă©tĂ© observĂ©e lorsque le dieu mĂąle a tuĂ© le serpent. Au dĂ©but nous avons donc le serpent, qui reprĂ©sente le potentiel crĂ©ateur femelle indiffĂ©renciĂ©, et ensuite nous avons un rĂ©cit qui nous dit que « quelque chose » est arrivĂ© Ă ce « serpent/arbre/Ă©chelle ». Est-ce que ce pourrait ĂȘtre « lâadultĂ©ration » de lâADN humain, telle que dĂ©crite par les CassiopĂ©ens ? Toutes les espĂšces vivant sur cette Terre sont constituĂ©es exactement des vingt mĂȘmes acides aminĂ©s. La protĂ©ine moyenne est une longue chaĂźne constituĂ©e dâune sĂ©quence dâenviron 200 acides aminĂ©s sĂ©lectionnĂ©s parmi ces 20, et attachĂ©s ensembles dans lâordre correct. DâaprĂšs les lois de la combinaison, il y a 1 chance sur 20 multipliĂ©es par elles-mĂȘmes 200 fois, quâune protĂ©ine surgisse fortuitement. Ce chiffre est plus Ă©levĂ© que le nombre des atomes observables dans lâunivers ! Francis CRICK a Ă©crit que la complexitĂ© organisĂ©e au niveau cellulaire « ne peut sâĂȘtre produite par pur hasard » . La vie se base sur « lâalphabet de lâADN » qui nâa pas modifiĂ© une seule de ses lettres en quatre milliards dâannĂ©es, tout en se multipliant en un nombre et des variĂ©tĂ©s extraordinaires dâespĂšces. Il serait impossible de donner ici tous les exemples de doubles serpents dâorigine cosmique associĂ©s Ă la crĂ©ation de la vie sur Terre. Pour en apprendre davantage Ă ce sujet, rĂ©fĂ©rez-vous aux livres mentionnĂ©s. Je me contenterai de dire ceci : toutes les cellules du monde contiennent de lâADN â quâil sâagisse dâanimaux, de vĂ©gĂ©taux ou de bactĂ©ries â et elles sont toutes remplies dâeau salĂ©e â lâocĂ©an cosmique dans lequel le « serpent » est lovĂ©. Il sâassocie en paires pour former les Ă©chelons dâune Ă©chelle
opĂ©rant une torsion en spirale. Un des deux brins est une rĂ©plique retournĂ©e de lâautre, et le texte gĂ©nĂ©tique est ainsi « doublĂ© ». Il contient un texte principal sur lâun des rubans, qui est lu dans une direction bien prĂ©cise par les enzymes de transcription, et un texte en copie inversĂ©e, qui nâest quasiment jamais lu. Mais le texte en copie permet aux enzymes de rĂ©paration de reconstruire le texte principal en cas de dommage et, surtout, fournit le mĂ©canisme de duplication du message gĂ©nĂ©tique. DĂšs lors, les jumeaux sont essentiels Ă la vie, exactement comme le disent les mythes, et ils sont associĂ©s Ă une forme serpentine. Dans les premiers mythes, les « Jumeaux » sont Adam et Eve, ou Vishnou et Lakshmi, et dâautres encore. Dans les mythes postĂ©rieurs, les jumeaux deviennent deux hommes qui se battent sans cesse Ă cause dâune femme adultĂšre. Ceci est un autre symbole de lâadultĂ©ration de lâADN humain par quelque « torsion » de lâordre des choses. Q : (L) Vous avez dit que le temps est une illusion apparue au « temps » de la « Chute » dans le jardin dâEden, et cela avait Ă©tĂ© dit de telle maniĂšre que jâen ai infĂ©rĂ© que dâautres illusions ont Ă©tĂ© mises en place Ă cette Ă©poque⊠R : Le temps est une illusion qui fonctionne pour vous Ă cause de lâĂ©tat altĂ©rĂ© de votre ADN. Q : (L) Quelles autres illusions ? R : MonothĂ©isme, la croyance en une entitĂ© sĂ©parĂ©e et toute puissante. Q : (L) Quây a-t-il dâautre comme illusions ? R : Le besoin de dĂ©veloppement physique. Q : (L) Quây- a-t-il encore dâautre comme illusions ? R : Concentration linĂ©aire. UnidimensionnalitĂ©. Il semble donc que nous soyons « programmĂ©s pour
croire », exactement comme lâa fait remarquer Don Juan. Et cela est curieux. Extrait de « La malĂ©diction de CaĂŻn : » LâidentitĂ© collective, qui est le rĂ©sultat dâun pacte du monothĂ©isme, est explicitement expliquĂ©e dans le Bible comme Ă©tant une invention, une rupture radicale dâavec la Nature. Un dieu transcendant fait irruption dans lâhistoire, en exigeant que le peuple quâil constitue obĂ©isse Ă la loi quâil institue, et la premiĂšre et plus importante de ces lois est, bien sĂ»r, que le peuple lui jure allĂ©geance, Ă lui et Ă lui seul, et câest ce qui fait de ces gens un peuple unifiĂ© par opposition aux « autres », comme dans tous les autres peuples, ce qui aboutit ensuite Ă la violence. Dans lâAncien Testament, dâinnombrables « autres » peuples sont effacĂ©s, tandis que dans le Nouveau Testament, dâinnombrables sont colonisĂ©s (ou anĂ©antis) et convertis dans le cadre de pactes de ce genre. (SCHWARTZ, 1997) Ceci nous met face Ă face avec lâidĂ©e de la nature « temporaire » dâun pacte. Cela signifie quâil est conditionnel. « Croyez en moi et obĂ©issez-moi, sinon je vous anĂ©antirai ». Ce « commerce de croyances » reprĂ©sente une sorte de « permission », si lâon veut, dâaccepter « lâacte de vengeance » si lâaccord est rompu. En hĂ©breu, lâexpression correspondant à « il fit un pacte », est « karat berit », câest-Ă -dire, littĂ©ralement, « il tailla un pacte ». Dans le pacte avec Abraham, dans la GenĂšse, des animaux sont coupĂ©s en deux parties et le feu passe entre elles dans un rituel mystĂ©rieux. Et puis il y a la coupure de la chair Ă la circoncision, et le pacte du SinaĂŻ oĂč les lois ont Ă©tĂ© taillĂ©es dans la pierre. Ces pactes sont donc apparemment ce qui a constituĂ© IsraĂ«l en tant que nation. Il semble que toute la base du monothĂ©isme repose sur des parties coupĂ©es dâanimaux. Est-ce que ces « coupures » pourraient ĂȘtre un symbole de la « sĂ©paration » de lâADN ? En particulier
quand elles sont associĂ©es aux parties gĂ©nitales ! Pour en revenir à « la malĂ©diction de CaĂŻn » : Nous sommes les hĂ©ritiers dâune longue tradition dans laquelle le monothĂ©isme est regardĂ© comme le grand accomplissement de la pensĂ©e judĂ©o-chrĂ©tienne. Le monothĂ©isme est empĂȘtrĂ© dans le particularisme, et dans lâassertion que ce dieu-lĂ et nul autre, doit ĂȘtre vĂ©nĂ©rĂ©. Ce particularisme est tellement virulent quâil rĂ©duit tous les autres dieux Ă lâĂ©tat de simples idoles, et tellement violent quâil rĂ©duit tous les autres croyants Ă des abominations. Le danger dâun monothĂ©isme universel est dâaffirmer que sa vĂ©ritĂ© est LA VĂ©ritĂ© ; que son systĂšme de connaissance est LE SystĂšme de Connaissances ; que son Ă©thique est LâĂthique. Non pas parce que toute autre option doit ĂȘtre rejetĂ©e, mais tout simplement parce quâil nây a pas dâautre option. Il prĂ©suppose une sorte de manque mĂ©taphysique, une sorte de mentalitĂ© thĂ©saurisatrice, une allĂ©geance thĂ©saurisatrice : parce quâil y a une provision limitĂ©e de quelque chose, cela doit ĂȘtre contenu dans le tout ou une partie. Cela suggĂšre des limites et des frontiĂšres [4]. CassiopĂ©ens : Q : (L) Pouvez-vous nous parler un peu de la maniĂšre dont ces illusions nous sont appliquĂ©es, dont elles sont perçues par nous ? R : Si quelquâun ouvre une porte et que derriĂšre celle-ci vous apercevez un pot plein dâor, allez-vous vous demander sâil y a un serpent venimeux cachĂ© derriĂšre la porte, avant que vous nâavanciez la main vers le pot plein dâor ? Q : (L) Que reprĂ©sente lâor ? R : Tentation de limitation. Quâest-ce que le serpent ? RĂ©sultat du fait de cĂ©der Ă la tentation sans aucune prudence, câest-Ă -dire sauter sans regarder dâabord. Q : (L) Donc, ce que vous nous dites câest que lâhistoire
de la tentation dans le jardin dâEden est lâhistoire de lâhumanitĂ© menĂ©e Ă cette croyance monothĂ©iste, ce concept de temps linĂ©aire, et lâunidimensionnalité⊠DĂšs lors, le fait de manger du fruit de lâarbre de la connaissance du Bien et du Mal Ă©tait⊠R : CĂ©der Ă la tentation du plaisir personnel. Ceci nous amĂšne Ă un thĂšme trĂšs difficile de notre sujet : le sexe. Ă la lecture dâun grand nombre de reprĂ©sentations mythologiques, il est frappant de constater que le sexe ou la sexualitĂ© est une question si cruciale. La « Chute au jardin dâEden» a eu une connotation sexuelle, ainsi que le DĂ©luge de NoĂ© et lâanĂ©antissement de Sodome et Gomorre. Dans les lĂ©gendes sumĂ©riennes, les dieux sont perturbĂ©s par toutes les activitĂ©s sexuelles de lâhumanitĂ© (qui les empĂȘchaient de dormir) et ils dĂ©cident de dĂ©truire celle-ci. La religion chrĂ©tienne a toujours combattu le sexe, allant de lâidĂ©e de la castration volontaire au cĂ©libat, en passant par le sexe Ă des fins de procrĂ©ation exclusivement. Partout oĂč lâon regarde, on constate que le sexe est un problĂšme. Et Ă lâĂ©poque actuelle, nous avons les comptes rendus innombrables de gens qui rapportent des expĂ©riences sexuelles avec des extraterrestres de tous types. Puisque câest un tel problĂšme, quelle est la donne ici ? Est-ce que le sexe a fait partie de la « tentation » de « se faire plaisir Ă soi-mĂȘme » ? Q : (L) Et ceci a Ă©tĂ© une attrape⊠R : Non !Les attrapes nâexistent pas ! Q : (T) Okay, pas une attrape ; un piĂšge ? R : Non !Les piĂšges nâexistent pas non plus. Le Libre Arbitre nâaurait pas pu ĂȘtre rĂ©duit si vous nâaviez pas obĂ©i. Souvenez-vous : « plaisir personnel ». Q : (T) Oui, mais nous Ă©tions SDA en ce temps-lĂ . Les
LĂ©zards ont ouvert la porte, nous utilisons cela comme une allĂ©gorie, je suppose que les LĂ©zards ont ouvert la porte et ont montrĂ© un pot plein dâor dans lâespoir que nous tendrions la main vers ce pot, ou que nous passions la porte, pendant quâils nous attendaient de lâautre cĂŽtĂ© pour nous mettre sous leur coupe dâune maniĂšre ou dâune autre. Est-ce que je suis sur la bonne voie ? R : Espoir est idĂ©e incorrecte. Q : (T) Bon quâest-ce quâils essayaient de faire alors en nous attirant ? R : Essayer est idĂ©e incorrecte, continuez Ă chercher opportunitĂ© dâapprentissage. Q : (T) Est-ce que câĂ©tait aprĂšs la bataille qui avait eu lieu ? R : Eu une bataille. Q : (L) La bataille a eu lieu en nous ? R : Au travers de vous. Q : (T) La bataille Ă©tait au travers de nous : allions-nous passer ce seuil⊠(L) La bataille a Ă©tĂ© menĂ©e au travers de nous, nous avons littĂ©ralement Ă©tĂ© le champ de bataille. (T) Okay, nous Ă©tions SDA Ă cette Ă©poque. Vous avez dit auparavant quâen cette densitĂ©-ci nous avons le choix entre ĂȘtre SDS ou SDA. R : Oh Terry, la bataille a toujours lieu, câest « quand » vous choisissez qui compte ! Q : (T) Alors nous sommes toujours en train de regarder ce pot plein dâor chaque jour ? Cela doit avoir un lien avec la raison pour laquelle les LĂ©zards et dâautres extraterrestres nâarrĂȘtent pas de dire aux gens que ceux-ci ont consenti Ă ĂȘtre enlevĂ©s, etc. Nous Ă©tions SDA et maintenant nous sommes SDS. R : Oui, continuez.
Q : (T) Nous travaillons par analogie. Lâor Ă©tait une illusion. Lâor nâĂ©tait pas ce que nous percevions quâil Ă©tait. Câest une tentation qui nous a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©e Ă nous ĂȘtres SDA de 3e densitĂ©. R : Pas tentation ; cela a toujours Ă©tĂ© lĂ . Vous souvenez-vous de Dorothy et des chaussons rouges ? Quâest-ce que Glenda a dit Ă Dorothy ? ? ? Q : (J) Tu peux toujours retourner chez toi. (L) Tu as toujours eu le pouvoir de rentrer chez toi⊠R : Oui. Q : (L) Alors, nous avons toujours le pouvoir de redevenir SDA ? MĂȘme en 3e densitĂ© ? R : Oui. « Quand » vous ĂȘtes allĂ©s chercher lâor, vous avez dit « Salut » aux LĂ©zards et Ă tout ce que cela impliquait. Q : (T) Mais en allant chercher lâor nous nous sommes alignĂ©s sur la 4e densitĂ© SDS. Et en faisant cela nous avons donnĂ© Ă la 4e densitĂ© SDS la permission de faire tout ce quâils voulaient de nous ? R : Proche. Q : (T) Donc, quand ils nous disent que nous leur avons donnĂ© la permission de nous enlever, câest Ă cela quâils font allusion ? R : Proche. Q : (J) Revenez Ă ce quâils ont dit avant : « Libre Arbitre nâaurait pas pu ĂȘtre rĂ©duit si vous nâaviez pas obĂ©i ». (T) Nous, en tant que race humaine, avons utilisĂ© notre libre arbitre pour basculer de SDA Ă SDS. (L) Donc, Ă un certain niveau nous avons choisi le pĂ©trin dans lequel nous nous trouvons, et câest la Super Ancienne LĂ©gende de lâAnge dĂ©chu : Lucifer. Câest nous. Nous avons chutĂ© en tombant sur cette porte, si je peux dire, en cherchant Ă mettre la main sur le pot plein dâor, et quand nous avons passĂ© le seuil, le serpent
nous a mordus ! R : Mais ceci est un syndrome Ă rĂ©pĂ©tition. Q : (L) Est-ce un syndrome Ă rĂ©pĂ©tition pour la race humains seulement, ou bien est-ce un syndrome Ă rĂ©pĂ©tition Ă travers toute la CrĂ©ation ? R : Ce dernier. Q : (L) Est-ce que câest un syndrome Ă rĂ©pĂ©tition Ă travers toute la CrĂ©ation simplement parce que câest la nature cyclique des choses ? Ou bien est-ce comme les Indiens lâappellent, la Maya ? R : Ou/ou. Il nous faut porter une attention toute spĂ©ciale aux mots « chaussons rouges » mentionnĂ©s plus haut. Ceci est un indice clĂ© au problĂšme auquel nous allons revenir plus tard. Q : (L) Quel a Ă©tĂ© lâĂ©vĂ©nement rĂ©el derriĂšre lâhistoire de la « Marque de CaĂŻn » ? R : AvĂšnement de la jalousie. Q : (L) Quâest-ce qui sâest produit pour permettre Ă la jalousie dâentrer en interaction avec les humains ? R : Mainmise par LĂ©zards, comme discutĂ© prĂ©cĂ©demment. La marque de CaĂŻn signifie le « facteur jalousie » dans le changement enclenchĂ© par la mainmise par les LĂ©zards sur la frĂ©quence vibratoire de la Terre. Noeud sur Ă©pine dorsale est rĂ©sidu physique de la restriction de lâADN dĂ©libĂ©rĂ©ment imposĂ©e par les LĂ©zards. Vous voyez ? Q : (L) Quelle Ă©tait la configuration de lâĂ©pine dorsale et du crĂąne avant cette restriction ? R : LâĂ©pine dorsale nâavait pas de crĂȘte lĂ . La jalousie Ă©mane de lĂ ; vous pouvez mĂȘme la sentir. Q : (L) Est-ce que certaines des Ă©motions dont nous avons parlĂ©, qui ont Ă©tĂ© gĂ©nĂ©rĂ©es par la rupture de lâADN, ont un quelconque rapport avec ce dont discute Carl Sagan quand il
parle du « cerveau reptilien » ? R : Dâune maniĂšre dĂ©tournĂ©e. Q : (L) Quand cette « marque de CaĂŻn » est apparue, est-ce quâil y avait sur la planĂšte dâautres humains qui nâavaient pas cette configuration ? R : Elle a Ă©tĂ© Ă©tablie dans tous simultanĂ©ment. Q : (L) Comment ont-ils physiquement accompli cet acte ? Quel a Ă©tĂ© le mĂ©canisme de cet Ă©vĂ©nement, les dĂ©tails techniques ? R : Ătes-vous prĂȘts ? Le coeur de lâADN est une enzyme non encore dĂ©couverte qui a un rapport avec le carbone. Des ondes lumineuses ont Ă©tĂ© utilisĂ©es pour supprimer les dix premiers facteurs de lâADN en les brĂ»lant. Ă ce moment, un certain nombre de changements physiques se sont produits, y compris une bosse au sommet de la colonne vertĂ©brale. Chacun de ces Ă©lĂ©ments est Ă©galement reflĂ©tĂ© dans lâĂ©thĂ©rique. Q : (L) Mais il y avait cependant beaucoup de gens sur la planĂšte ; comment ont-ils fait ce changement chez tous ? R : AltĂ©ration par onde lumineuse. Ils ont eu recours Ă une technologie sophistiquĂ©e pour interrompre les ondes de frĂ©quence lumineuse. Ă prĂ©sent comprenez bien ceci : tout fait partie dâun grand cycle naturel. Q : (L) Si tout fait partie dâun grand cycle naturel, corrigez-moi si je me trompe ici, mais il me semble presque que vous, les « bons » et les autres, les « mauvais », vous entreprenez tout cela juste pour le plaisir, est-ce que câest ainsi ? R : Non. Q : (L) Mais vous dites que câest une chose naturelle ou que cela fait partie dâun grand cycle naturel. Est-ce que ce grand cycle naturel fait seulement partie de lâinteraction entre
la lumiĂšre et les tĂ©nĂšbres, ce qui doit simplement ĂȘtre ? R : Oui. Nous sommes sur la « ligne de front » du systĂšme naturel dâĂ©quilibre de lâunivers. Câest lĂ que lâon sâĂ©lĂšve avant dâatteindre la totale union avec « lâUnique ». 6e
niveau. Q : (T) Et la bataille que vous avez eue avec lâautre cĂŽté⊠R : Avons. Q : (T) Cette bataille se poursuit⊠Est-ce que vous avez repris le pouvoir de la lumiĂšre ? R : Jamais perdu. Vous oui. Q : (T) Bon. Je crois que pour nous les Lizzies sont la force principale mĂȘme si dâautres sont Ă leurs cĂŽtĂ©s⊠R : Oui. Q : (T) Ils ont pris notre lumiĂšre et pas la vĂŽtre ? R : Pas contre vous. Actuellement en union avec vous. Q : (T) Donc nous sommes une bataille dans lâunivers dans une lutte gĂ©nĂ©rale permanente ? R : Oui. Ăquilibre est naturel. Rappelez-vous : tout cela ce sont juste des leçons dans le grand cycle. Q : (L) Je suis rĂ©ellement curieuse⊠quand vous et les Lizzies « y allez », que faites-vous ? Je veux dire, vous ne tirez pas au fusil les uns sur les autres, et vous nâavez pas de tanks⊠R : Trop compliquĂ© pour que vous ayez la possibilitĂ© de comprendre parce que vous nâĂȘtes pas encore au 4e niveau. Q : (J) Quand vous luttez, est-ce que nous avons un moyen quelconque de dĂ©tecter la bataille ? R : Dâabord : Vous ne « combattons » pas. Ensuite, oui ; câest la nature comme dans la mĂ©tĂ©orologie et les changements terrestres. Q : (T) Votre forme de confrontation prend la forme de changements physiques dans lâatmosphĂšre et lâenvironnement
de la planĂšte ? R : Et dans lâespace. Q : (T) Mais et câest comme cela que nous le dĂ©tectons ? Plus dâactivitĂ©s il y a, plus le conflit est actif ? R : Souvenez-vous : nous sommes la lumiĂšre. Ils sont les tĂ©nĂšbres. Nous sommes des deux cĂŽtĂ©s des formes pensĂ©es de haut niveau reflĂ©tĂ©es Ă tous les niveaux de rĂ©alitĂ©. Q : (T) Donc, ce que nous percevons alors, câest ce qui passe au travers de la 3e densitĂ©, et qui nâest pas ce que nous percevrions si nous le voyions de la 4e, 5e ou 6e. R : Oui. Q : (T) Vous avez fait allusion au film « Le magicien dâOz ». Vous dites que nous avons en nous une facultĂ© qui est quelque chose comme les chaussons rouges qui peuvent nous ramener au SDA quand nous le voulons. R : Oui. Q : (T) Donc, tout ce dont nous avons parlĂ©, les limites de lâunivers, lâOnde, lâĂ©lĂ©vation des frĂ©quences,⊠R : Lâonde universelle qui sâapproche est la « tornade ». Q : (L) Est-ce que se rendre au pays dâOz Ă©tait lâĂ©tat SDA ? R : SDS. Q : (L) Donc Oz Ă©tait SDS. Et le Kansas, pas nĂ©cessairement lâenvironnement physique, mais lâĂ©tat dâesprit de Dorothy avant lâexpĂ©rience dâOz, câĂ©tait lâĂ©tat SDA. R : Oui. Q : (L) Il nous faut donc voir lâĂ©tat dâesprit « Kansas ». Le voyage Ă Oz⊠R : Et Elvira Gulch. La sorciĂšre reprĂ©sente les LĂ©zards. Q : (T) Oui, bien. Tornade. Dorothy est tombĂ©e de SDA en SDS Ă cause de la tornade. Câest vrai. R : Oui. Analysez plus soigneusement, suggĂ©rons pause
pour ce faire. Discussion parmi les membres du groupe : (T) Ils comparent la tornade au basculement de SDA en SDS. (L) Peut-ĂȘtre aussi que câest un basculement de SDS Ă SDA. (J) Oui, un basculement de lâun vers lâautre serait spectaculaire. (T) Est-ce que cela a Ă©tĂ© aussi un basculement vers une autre densitĂ© ? Lâonde universelle est supposĂ©e ĂȘtre un basculement de densitĂ©. Une fenĂȘtre entre des densitĂ©s. Est-ce quâil y a aussi un basculement entre SDA et SDS ? Est-ce quâon franchit un passage ? Une porte ? (F) Oh Dieu !Il y a tellement de possibilitĂ©s ici. (L) Et si on bascule en SDA est-ce quâon se retrouve sur une Terre diffĂ©rente ? (J) Ils ont dit « chaussons rouges, chaussons rouges », et non « tornade, tornade ». (T) Mais maintenant câest le mĂȘme symbolisme. La tornade lâemporte dâun point vers lâautre et les chaussons la ramĂšnent au point A. Deux concepts diffĂ©rents. (F) Il y a tout un enchevĂȘtrement de petites choses ici, il doit y avoir un moyen de toutes les relier. Vous savez ce que câest ? rappelez-vous les chaussons ont-ils dit ; cela signifiait que le chemin Ă©tait toujours lĂ pour quâelle puisse rentrer chez elle. (J) Ouaip, mais elle a dĂ» tuer la sorciĂšre pour prendre les chaussons. (F) Non, elle a pensĂ© quâelle le devait. Ne vous souvenez-vous pas de ce que Glenda lui dit ? : « Ooh, non petite, tu peux toujours rentrer chez toi. Et tout ce que tu dois faire câest dire âil nây a rien de mieux que chez soi.â »
(J) Ouaip, mais il fallait chausser ces chaussons,⊠(S) Vous savez quoi, la tornade pourrait ĂȘtre la 5e
densitĂ©, puisque quand elle regarde par la fenĂȘtre elle voit passer toutes ces choses⊠(T) Oui, sa vie dĂ©file devant elle. (F) Oui, mais ils nous ont dit que le passage de la frontiĂšre de lâunivers aura pour rĂ©sultat toutes sortes de choses dangereuses. (J) Comme je lâai dit, le basculement de SDS Ă SDA ou vice-versa, ou de 3e vers la 4e densitĂ©, ce sera violent⊠Ce ne sera pas un passage facile, dans aucun sens. (F) Vrai. (J) Câest un changement radical de la rĂ©alitĂ©. (T) Oui, mais pour Dorothy, dans le film, câest violent en ce sens quâil sâagit dâune tornade, bien quâelle ne soit pas blessĂ©e physiquement. (J) Oui, et câest ce qui nous a Ă©tĂ© dit aussi. (F) Elle a eu peur⊠(T) Oui, mais câĂ©tait mental⊠câĂ©tait ici [il dĂ©signe sa tĂȘte] que la blessure Ă©tait. Elle nâa pas Ă©tĂ© blessĂ©e physiquement. (F) Et câest encore une chose Ă mĂ©diter : dans tout le film elle nâest jamais blessĂ©e physiquement ; aprĂšs toutes les menaces, elle nâa jamais Ă©tĂ© vraiment blessĂ©e. (T) CâĂ©tait aussi en 1939, si le film avait Ă©tĂ© tournĂ© en 1995 ils auraient eu des mitrailleuses, des missiles, des tronçonneuses, et il y aurait eu des corps partout. Et elle aurait tout de mĂȘme pu rentrer chez elle quand elle le voulait. Vous voyez le genre : « Dorothy face Ă Terminator ». (L) « Dorothy et le massacre Ă la tronçonneuse « . (S) « Dorothy Ă Elm Street ». [Rires] (T) Câest un croisement entre un conte de fĂ©e pour
enfants et un cauchemar Ă la Stephen King. (F) Vous savez que les fondamentalistes on violemment critiquĂ© le Magicien dâOz ? (L) Ils ont fait ça ? Pourquoi ? (T) Parce que câest satanique. (F) OuĂ©Ă©Ă©, ils ont dit que Hollywood avait essayĂ© de dĂ©tourner les gens du christianisme, et du fondamentalisme, et tout le saint frusquin. (T) Le Magicien dâOz est mauvais aux yeux des fondamentalistes. (F) Oui, parce quâil nâest pas nĂ©cessaire de crucifier le Christ pour pouvoir retourner dans le Kansas. (L) Eh bien, jâai entendu dire que maintenant Cendrillon est politiquement incorrecte aussi. (T) Parce quâelle ne dormait pas un pied sur le sol comme dans tous les sitcoms. (J) Pardon ? (T) Je ne sais pas. (S) Nous sommes allĂ©s de Oz aux sitcoms ? (J) Je pense que vous mĂ©langez les mĂ©taphores. (S) CâĂ©tait La Belle au Bois Dormant. (T) OuĂ©Ă©Ă©, câĂ©tait la Belle au Bois Dormant dans sa boĂźte. (J) Un pied sur le sol. (L) Non, Câest Blanche-Neige qui Ă©tait dans une boĂźte. (T) Blanche-Neige Ă©tait dans la boĂźte. Oui, Disney a repris toutes les choses dans lesquelles il y avait une BeautĂ© endormie⊠(L) Est-ce que vous avez jamais pensĂ© au symbolisme de la BeautĂ© endormie ? ĂveillĂ©e par un baiser ? (F) Qui transforme en grenouille. (L) Non !
(F) Oh, câest bon. Câest le crapaud qui devient un prince. (L) VoilĂ encore une analogie. Ătre Ă©veillĂ© de lâillusion dans laquelle on a Ă©tĂ© plongĂ© par la mĂ©chante sorciĂšre⊠(F) Et Cendrillon⊠(J) Rumplestiltskin⊠(S) Le Vilain petit Canard⊠(T) Ouais, tous les contes de Grimm sont en fait plutĂŽt cruels. Ils ont Ă©tĂ© trĂšs Ă©dulcorĂ©s, tous. (L) Oui, dans le « Cendrillon » original, la belle-soeur se coupe une partie du pied pour pouvoir lâentrer dans la pantoufle et le prince la dĂ©masque Ă cause du sang qui coule. (J et S) Ooooh !BĂȘrk ! (T) Ce doit avoir Ă©tĂ© une pantoufle de verre : jâai coupĂ© mon pied ! (L) Ouais, câest plutĂŽt cruel. Lâune se coupe le talon, lâautre les orteils. Et nous retrouvons les chaussons rouges. Je me demande ce que cela veut dire ? Il faudra beaucoup de travail pour trouver ! (T) Est-ce que nous arrivons quelque part ? Nous avons eu lâidĂ©e que quand nous avons basculĂ© de SDA Ă SDS nous avons accordĂ© aux Lizzies le droit de faire ce quâils sont en train de faire. Donc, quand ils affirment que nous avons dit quâils pouvaient, câest le cas. Mais maintenant nous sommes endormis et nous devons trouver comment nous rĂ©veiller ! R : Okay. Q : (L) Nous sommes assez intriguĂ©s ici, parce que nous nous demandons si la tornade qui reprĂ©sente lâOnde universelle est quelque chose qui fait passer de lâĂ©tat SDA Ă lâĂ©tat SDS pendant que nous restons encore en 3e densitĂ©. R : Okay, câest une maniĂšre. Okay⊠Q : (T) La frontiĂšre de lâunivers nâest pas seulement un
moyen de transfert dâune densitĂ© Ă lâautre, câest aussi un moyen de transiter de SDS vers SDA et vice versa ? R : Ce peut lâĂȘtre. Q : (T) Donc, ceux qui transitent par ce passage peuvent transiter de 3e en 4e densitĂ© et en Ă©merger comme un ĂȘtre SDA ? R : Ă certains des passages. Q : (L) Donc on peut soit aller de SDA Ă SDS en 3e ou 4e densitĂ©âŠ. Est-ce que certains de ces choix sont ouverts lors du passage de cette Onde universelle ? R : Nâimporte quoi de ce qui prĂ©cĂšde, selon orientation de lâonde. Q : (L) Et quelle est lâorientation de lâonde qui approche ? Est-ce quâelle doit strictement nous emmener de 3e
en 4e densitĂ© ? Est-ce que câest une fonction de cette onde ? R : Nous vous lâavons dĂ©jĂ dit. Q : (L) Et ils nous ont dit que câest une onde de la 3e
vers la 4e densitĂ©. Certaines ondes peuvent apparemment faire passer de SDA Ă SDS ⊠(T) Pas lâonde, les personnes traversant lâonde. Quand cette onde passe, est-ce que lâorientation de cette onde dĂ©pend des individus ? R : Comparez aux vagues dans la mer. Les vagues font partie des fibres de toute nature. Q : (T) Autrement dit, câest une onde qui va faire passer la Terre et tout notre secteur de lâespace de 3e en 4e densitĂ©, et elle le fera peu importe Ă quel endroit de lâonde on se trouve quand elle passera ? R : Oui. Ou bien vous pouvez « sombrer ». Q : (L) On pourrait ĂȘtre tirĂ©s vers le bas, on pourrait se noyer et ĂȘtre mĂ©langĂ©s au bouillon primordial !(T) Est-ce que câest du Minestrone ? R : Poulet aux vermicelles. [Rires.]
Q : (T) Ne continuons pas sur cette voie-lĂ . Jâessaie toujours dâimaginer ce mouvement de SDA Ă SDS. Vous vous rĂ©fĂ©rez tout le temps au film avec Dorothy. Dans le film on lui a dit quâelle peut retourner chez elle quand elle le veut, simplement en disant « je veux rentrer chez moi », ou autre chose du genre. Câest beaucoup plus facile que de passer par toutes les violences et circonvolutions qui attendent cette onde qui ne passe quâune fois de temps en temps. Est-ce quâil existe pour nous un moyen de retourner en SDA, qui soit plus facile et simple que dâattendre pendant 300 000 ans que cette onde arrive ? R : SĂ»r ! Q : (T) Bon, nous arrivons quelque part. OĂč allons-nous ? R : Attendez une minute. Ătes-vous prĂȘt Ă aller en 4e
densitĂ© tout de suite ? Q : (T) Ouaip, je suis prĂȘt. LĂ , maintenant. Allons-y !Jan, nourris les chats quand tu rentres !De toute façon, ce que vous ĂȘtes en train de dire câest que lâonde universelle nâest pas le seul moyen dâopĂ©rer la transition ; câest correct ? R : Une idĂ©e prĂ©sentĂ©e. Q : (T) Et nous sommes ici pour Ă©tablir une frĂ©quence pour tirer autant dâĂȘtres que possible au travers de cette onde, quand elle passera, et câest lĂ toute la raison pour laquelle nous sommes ici⊠Câest ça ? R : Cela implique une interfĂ©rence avec le libre arbitre. Q : (L) Que reprĂ©sentent les munchkins [5] ? R : Des ĂȘtres de 2e densitĂ©. Q : (L) Est-ce que les singes reprĂ©sentent les Gris ? R : Si vous voulez. Q : (L) Qui reprĂ©sentent les sorciĂšres-soldats ? R : Les Nephalim.
Q : (L) Que représentent le Magicien ? R : Réfléchissez, apprenez, découvrez.
NOTES
[1]: The Active Side of Infinity, Carlos CASTANEDA, 1998 ; pp. 218-220, extraits [2]: ELIADE, citĂ© par NARBY, 1999 [3]: CAMPBELL, citĂ© par NARBY, 1999 [4]: The Curse of Cain, Regina M. SCHWARTZ ; University of Chicago Press ; 1997 [5]: Race de chats Ă pattes extrĂȘmement courtes, apparue par une mutation gĂ©nĂ©tique naturelle. TrĂšs populaire aux Ătats-Unis, ces chats sont aussi appelĂ©s « chats-teckels » ou « chats-bassets » (NdT)
CHAPITRE XXII
Ce chapitre est extrĂȘmement important pour ceux qui ont Ă©tĂ© importunĂ©s par des « interfĂ©rences extraterrestres ». Je rĂ©alise que je rĂ©pĂšte certaines choses, mais câest seulement parce quâelles sont tellement importantes et quâelles valent la peine dâĂȘtre lues plus dâune fois. Revenons un moment Ă ce que Don Juan MATUS a dit Ă Carlos CASTANEDA au sujet du prĂ©dateur et aux premiĂšres observations de ce dernier par Carlos : « Ah, ça câest lâunivers en libertĂ© », dit-il, « incommensurable, non-linĂ©aire, au-delĂ de lâunivers de la syntaxe. Les sorciers de lâancien Mexique ont Ă©tĂ© les premiers Ă voir ces ombres fugitives, et ils les ont donc suivies. Ils les ont vues comme tu les vois toi, et ils les ont vues comme de lâĂ©nergie circulant dans lâunivers. Et ils ont dĂ©couvert quelque chose de transcendant. [âŠ] Ils ont dĂ©couvert que nous avons un compagnon de vieâŠ. Nous avons un prĂ©dateur venu des profondeurs du cosmos et qui a pris le contrĂŽle de notre vie. Les ĂȘtres humains sont ses prisonniers. Le prĂ©dateur est notre suzerain et maĂźtre. Il nous a rendus dociles, sans dĂ©fense. Quand nous voulons protester, il ignore notre protestation. Quand nous voulons agir de maniĂšre indĂ©pendante, il ne le veut pas. » [âŠ] « Par tes seuls efforts, tu es arrivĂ© Ă ce que les anciens chamanes du Mexique appelaient le sujet des sujets. Jusquâici jâai tournĂ© autour du pot, en te disant que quelque chose nous
retient prisonniers Nous sommes effectivement prisonniers ! Cela Ă©tait un fait confirmĂ© pour les sorciers de lâancien Mexique. » « Pourquoi est-ce que ce prĂ©dateur a pris le contrĂŽle de la maniĂšre que vous avez dĂ©crite, Don Juan ? » Demandai-je. « Il doit y avoir une explication logique ». « Il y a une explication », rĂ©pondit Don Juan, « qui est la plus simple du monde. Ils ont pris le contrĂŽle parce que nous sommes de la nourriture pour eux, et ils nous pressent sans merci parce que nous sommes leur subsistance. Tout comme nous Ă©levons des poulets dans nos basses-cours, ainsi les prĂ©dateurs nous Ă©lĂšvent dans des cages Ă humains. Ainsi, leur nourriture leur est toujours disponible ». Je sentis que ma tĂȘte tremblait violemment. Je nâĂ©tais pas capable dâexprimer mon profond sentiment de malaise et de frustration, mais mon corps bougeait pour le faire remonter Ă la surface. Je tremblais des pieds Ă la tĂȘte, sans pouvoir mâarrĂȘter. « Non, non, non, non », mâentendis-je dire. « Ceci est absurde, Don Juan. Ce que vous ĂȘtes en train de dire est monstrueux. Cela ne peut pas ĂȘtre vrai, ni pour des sorciers, ni pour lâhomme de la rue, ni pour personne ». « Pourquoi non ? » Demanda calmement Don Juan. « Pourquoi non ? Parce que cela te met en fureur ? » « Oui, cela me met en fureur », rĂ©torquai-je. « Ces affirmations sont monstrueuses ! » [âŠ] « Je veux faire appel Ă ton sens analytique dit Don Juan. « RĂ©flĂ©chis un moment, et puis dis-moi comment tu expliquerais la contradiction entre lâintelligence de lâhomme ingĂ©nieux et la stupiditĂ© de ses comportements contradictoires. Les sorciers croient que les prĂ©dateurs nous ont donnĂ© leurs systĂšmes de croyance, nos idĂ©es du bien et du mal, nos
coutumes sociales. Ce sont eux qui dĂ©cident de nos espĂ©rances, nos attentes, nos rĂȘves de succĂšs ou dâĂ©chec. Ils ont mis en nous la convoitise, lâaviditĂ© et la couardise. Ce sont les prĂ©dateurs qui nous rendent complaisants, routiniers et Ă©gocentriques » . « Mais comment peuvent-ils faire cela, Don Juan ? » demandai-je, rendu encore un peu plus furieux parce quâil disait. « Est-ce quâils nous murmurent ces choses Ă lâoreille pendant notre sommeil ? » « Non, ils ne font pas ainsi. Cela est idiot ! » Dit Don Juan en souriant. « Ils sont infiniment plus efficaces et organisĂ©s que cela. Pour nous garder obĂ©issants, dociles et faibles, les prĂ©dateurs se sont engagĂ©s dans une manoeuvre Ă©poustouflante - Ă©poustouflante du point de vue du stratĂšge combattant, cela va de soi. Une manoeuvre horrible du point de vue de celui qui en pĂątit. Ils nous ont donnĂ© leur mental ! Mâentends-tu ? Les prĂ©dateurs nous ont donnĂ© leur mental, qui est devenu notre mental. Le mental des prĂ©dateurs est baroque, contradictoire, morose, rempli de la crainte dâĂȘtre dĂ©couverts Ă tout instant Ă prĂ©sent. » Don Juan poursuivit : « Je sais que, mĂȘme si tu nâas jamais souffert de la faim⊠tu as peur dâavoir faim, ce qui nâest pas autre chose que lâanxiĂ©tĂ© du prĂ©dateur qui craint quâĂ tout instant sa manoeuvre puisse ĂȘtre dĂ©couverte et que la nourriture lui sera refusĂ©e. Par le mental, qui aprĂšs tout est leur mental, les prĂ©dateurs injectent dans la vie des humains, tout ce qui leur convient. Et ils assurent de cette maniĂšre un certain degrĂ© de sĂ©curitĂ© qui agit comme un tampon qui amortit cette peur. » [1] Ă prĂ©sent, comparons cela Ă ce que nous ont dit les CassiopĂ©ens : Q : (L) Comment lâhumanitĂ© est-elle arrivĂ©e ici ?
R : Combinaison de facteurs. De nombreuses Ăąmes dĂ©siraient une existence physique et ont ensuite Ă©tĂ© altĂ©rĂ©es par trois forces comprenant principalement des LĂ©zards par lâintermĂ©diaire des Gris, des Nephalim et lâUnion dâOrion. Q : (L). Vous avez dit que de nombreuses Ăąmes dĂ©siraient une existence physique. Quand ces nombreuses Ăąmes ont fait cela, comment lâexistence physique est elle survenue ? R : Dâabord a Ă©tĂ© semblable aux singes. Les Ăąmes les ont modifiĂ©es par un transfert dans des corps ensemencĂ©s. Q : (L) Des Ăąmes dâOrions sont entrĂ©es dans des corps dâhommes de NĂ©anderthal ? R : Non. Ont placĂ© des Ăąmes humaines pour processus dâincubation. Q : (L) Est-ce que des embryons de singes ont Ă©tĂ© re-placĂ©s dans des guenons pour la gestation ? R : Non. Ămes seulement. Q : (L) Est-ce que la prĂ©sence dâune Ăąme dans un corps de singe a provoquĂ© un changement de sa gĂ©nĂ©tique et de son ADN ? R : Oui. Q : (L) Elles sont entrĂ©es dans des crĂ©atures vivantes de cette planĂšte pour faire lâexpĂ©rience de la rĂ©alitĂ© 3 d et en entrant elles ont provoquĂ© une mutation ? R : Oui. Q : (L) Elles ont Ă©tĂ© modifiĂ©es par lâUnion Orion en premier lieu. Ils vous ressemblent. Q : (L) Qui nous ressemble ? R : Les Orions. Q : (L) DâoĂč venaient les Ăąmes qui sont entrĂ©es dans les corps de la planĂšte Terre ? Se trouvaient-elles dans des corps sur dâautres planĂštes avant de venir ici ? R : Pas ce groupe-ci.
Q : (L) Elles flottaient simplement quelque part dans lâunivers ? R : En union avec lâUnique. Avez-vous entendu parler de la super-ancienne lĂ©gende de Lucifer, lâAnge dĂ©chu ? Q : (L) Qui est Lucifer ? R : Vous. La race humaine. Q : (L) Est-ce que les Ăąmes des individus humains font partie dâune Ăąme plus grande ? R : Oui. Proche. LâUnique. Tous ceux qui ont chutĂ© doivent apprendre « Ă la dure » . Q : (L) Ătes-vous en train de dire que lâacte de volontĂ© de lâexpĂ©rience dâune rĂ©alitĂ© physique est lâacte de dĂ©choir ? R : Vous ĂȘtes des membres dâune unitĂ© dâĂąme fragmentĂ©e. Q : (L) Et quâest-ce quâil y a dans cette volontĂ© dâĂȘtre physiques qui reprĂ©sente une « chute » ? R : Plaisir pour le soi. Nous avons donc ici une sĂ©rie de remarques similaires Ă ce que Don Juan a dit par rapport aux « volants », comme il les appelle, qui ont donnĂ© leur « mental » aux ĂȘtres humains. Rappelez-vous les remarques Ă propos de la « marque de CaĂŻn » et lâaltĂ©ration de lâADN humain par les « forces des tĂ©nĂšbres » qui ont eu pour rĂ©sultats de nombreux changements, y compris lâinstauration du monothĂ©isme, la perception du temps linĂ©aire, et lâunidimensionnalitĂ©. Toutes ces remarques sont trĂšs importantes par rapport Ă notre sujet. Pour comprendre lâinstauration du monothĂ©isme, il peut ĂȘtre utile de lire LâHistoire SecrĂšte du Monde. Dans certains cercles, certains ont dit que lâinvocation du nom et de la puissance de JĂ©sus mettrait fin aux rapts extraterrestres. Je regrette de devoir dire cela, mais lâexpĂ©rience et la recherche nâĂ©tayent pas cette affirmation. Il y
a plusieurs raisons Ă cela, que je vais Ă©noncer briĂšvement. En premier lieu, un « ChrĂ©tien » dans le sens habituel du terme, qui est « ĂȘtre nĂ© une nouvelle fois », et est trĂšs vraisemblablement quelquâun qui se repose entiĂšrement sur sa foi pour rĂ©soudre ses problĂšmes, a dĂ©jĂ abandonnĂ© son pouvoir aux forces qui se trouvent derriĂšre lâinstauration du christianisme, câest-Ă -dire les forces des tĂ©nĂšbres dĂ©guisĂ©es en anges de lumiĂšre. Un facteur supplĂ©mentaire est le fait que pour « vivre sa foi » il a fermĂ© une large portion de son esprit, et est dĂšs lors plus susceptible dâĂȘtre trompĂ©. Par exemple : disons quâun individu de ce genre se trouvant en pleine expĂ©rience dâenlĂšvement par des extraterrestres, en appelle au nom de JĂ©sus, et observe que lâenlĂšvement est « stoppĂ© ». Nous ne pouvons pas nous fier Ă cette observation parce quâelle est basĂ©e sur une « croyance », sur ce qui dĂ©termine littĂ©ralement ce quâune personne perçoit ! Rappelez-vous les histoires du TroisiĂšme Homme dans la piĂšce et du MĂ©chant Mage. Chaque ĂȘtre humain perçoit le TroisiĂšme Homme selon sa propre programmation qui active ou est activĂ©e par son systĂšme de croyances. Câest cela son degrĂ© dâĂveil. Il ne peut prendre conscience que de ce dont il croit quâil est conscient et tout le reste est soit « invisible » et « anormal » et rejetĂ©, soit rĂ©primĂ© par le programme de survie du subconscient. Ă mesure que lâon continue Ă penser Ă ce problĂšme, on rĂ©alise quâil y a peut-ĂȘtre un Ă©norme fossĂ© entre ce que nous percevons comme rĂ©el et la vraie rĂ©alitĂ© objective⊠et peu importent nos efforts dâobjectivitĂ©, nous ne pourrons jamais ĂȘtre certains. La seule chose qui paraisse offrir une issue est la simple observation des phĂ©nomĂšnes et la comparaison des perceptions avec celles de trĂšs nombreuses autres personnes, et ensuite il faut essayer de cerner la « constante » prĂ©sente chez
tous. De cette maniĂšre, nous pouvons avoir une idĂ©e plus proche de la personnalitĂ© rĂ©elle du troisiĂšme homme, de ce quâil est vraiment en train de faire, et de ce qui serait alors la meilleure rĂ©ponse. Et bien sĂ»r, « observer les phĂ©nomĂšnes » signifie trĂšs littĂ©ralement acquĂ©rir et assembler des connaissance de toutes les formes et sortes, de maniĂšre Ă disposer dâune banque de donnĂ©es suffisante, de laquelle il est possible dâextraire des conclusions aux observations de notre environnement. Mais cela est difficile Ă faire, car nos croyances sont intimement liĂ©es aux Ă©motions ! Souvenez-vous : nos croyances sont formĂ©es dans des situations Ă©motionnelles dâinteraction avec nos parents et autres « autoritĂ©s » de notre petite enfance et enfance ! Il est trĂšs effrayant ne serait-ce que de contempler lâidĂ©e de nous libĂ©rer de cet environnement intĂ©rieur sĂ©curisant. Mais câest exactement ce quâil nous faut faire. Sinon, nous nous trouverons dans une rĂ©alitĂ© oĂč toutes sortes de choses anormales se passeront autour de nous ⊠observables tant de maniĂšre classique que quantique⊠mais lâobjective raison dâĂȘtre [2] ne pourra ĂȘtre contemplĂ©e. Nous serons incapables de voir le « troisiĂšme homme », et nous serons dĂšs lors exposĂ©s aux caprices et volontĂ©s de ce « personnage » qui ou quoi quâil soit rĂ©ellement ! Nous voyons donc que si une personne croit vraiment que JĂ©sus va la sauver ou mettre fin Ă un rapt extraterrestre, câest bien ce quâelle percevra, mais ce ne sera pas nĂ©cessairement ce qui se passera dans la rĂ©alitĂ© absolue. Un autre point sur lequel je veux insister est le suivant : les prĂ©tendues entitĂ©s « dĂ©moniaques » des densitĂ©s supĂ©rieures ne craignent ni ne croient en JĂ©sus. Elles tiennent en mĂ©pris ceux qui croient que cela les protĂšgera. Et elles nâont aucun
respect pour les personnes qui « sâentourent de lumiĂšre » ou « dâamour » etc. En fait, quand cela est fait cela fournit gĂ©nĂ©ralement et littĂ©ralement un « festin Ă©thĂ©rique » Ă des entitĂ©s des tĂ©nĂšbres. Je sais de quoi je parle, car jâai pratiquĂ© des exorcismes. Et il ne faut pas confondre non plus lâexorcisme avec la thĂ©rapie courante de libĂ©ration dâesprits telle quâenseignĂ©e par le Dr. William BALDWIN. Le Dr. BALDWIN a travaillĂ© sur des entitĂ©s de type dĂ©moniaque comme il le dit dans son livre Spirit Releasement Therapy, mais je suis sĂ»re quâil nâa pas rencontrĂ© tous les types et niveaux dâĂȘtres, car les variĂ©tĂ©s en sont infinies. De nombreuses sources parlent des exorcismes les plus dangereux et compliquĂ©s, et la plupart font partie dâenseignements anciens comme le soufisme et diverses formes de chamanisme. MircĂ©a ELIADE, dans son ouvrage trĂšs complet Shamanism, Archaic Techniques of Ecstasy [3], parle de maniĂšre dĂ©taillĂ©e des techniques chamaniques qui sâoccupent dâentitĂ©s dĂ©sincarnĂ©es, dâentitĂ©s dĂ©moniaques, et de ce qui ne peut ĂȘtre que des rapts extraterrestres. Ces pratiques et techniques existent depuis des millĂ©naires, depuis bien avant que JĂ©sus (en faisant abstraction de qui ou ce quâil a pu ĂȘtre) ait fait son apparition sur la Terre. En fait, ce que JĂ©sus peut avoir Ă©tĂ© câest un Tantrika, comme dĂ©montrĂ© par lâĂ©tude approfondie des mythes et lĂ©gendes Ă son sujet, et par leur comparaison avec des rĂ©cits et exemples similaires. En outre le Tantra Yoga est lâune des sources les plus anciennes et faisant autoritĂ©, en ce qui concerne les techniques permettant dâapprĂ©hender les diffĂ©rentes dimensions, densitĂ©s, et leurs citoyens. Pour en revenir Ă Don Juan : si vous lisez soigneusement la description de mon propre enlĂšvement au chapitre VIII, alors vous aurez une base pour comprendre ce
qui suit. Sinon, relisez-la Ă fond avant de poursuivre votre lecture : Don Juan avait expliquĂ© que le corps et lâĂ©nergie corporelle Ă©taient deux agrĂ©gats de champs Ă©nergĂ©tiques comprimĂ©s ensemble par quelque Ă©trange force dâagglutination. Il avait insistĂ© Ă moultes reprises sur lâidĂ©e que la force qui lie ensemble ce groupe de champs Ă©nergĂ©tiques est, dâaprĂšs les sorciers de lâancien Mexique, la force la plus mystĂ©rieuse de lâUnivers. Son opinion personnelle Ă©tait que câest la pure essence du cosmos tout entier, la totalitĂ© de tout ce qui est . (CASTANEDA, 1998) CassiopĂ©ens : Q : (L) Eh bien, est-ce quâils prennent simplement les gens et les tuent et leur font toutes sortes de choses ? R : Ils les coupent en tranches. Le transfert maximum de matiĂšre et dâĂ©nergie a lieu pendant ce type de transition. Q : (L) Autrement dit, vous ĂȘtes en train de dire quâune mort lente et pĂ©nible leur donne le plus de ce quâils veulent ? Cela est totalement Ă vomir. R : Vous avez demandĂ© la vĂ©ritĂ©. Vous dites que câest Ă vomir, mais câest seulement la forme ultime du service de soi. [âŠ] Q : (L) La gravitation semble ĂȘtre une propriĂ©tĂ© de la matiĂšre. Cela est-il correct ? R : Et de lâantimatiĂšre ! Liant. La gravitation lie tout ce qui est physique avec tout ce qui est Ă©thĂ©rique au travers des ondes instables de gravitĂ© !!! Q : (L) Elles sont donc une propriĂ©tĂ© ou un attribut de lâexistence de la matiĂšre, et le liant de la matiĂšre avec la conceptualisation Ă©thĂ©rique ? R : En quelque sorte, mais elles sont une propriĂ©tĂ© de lâanti-matiĂšre aussi !
Q : (L) Donc, par les ondes instables de gravitĂ© on peut accĂ©der Ă dâautres densitĂ©s ? R : Ă tout. Q : (L) Peut-on les gĂ©nĂ©rer mĂ©caniquement ? R : GĂ©nĂ©rer câest plutĂŽt rassembler et disperser. Q : (L) Je pensais que la gravitĂ© Ă©tait un indicateur de la consommation dâĂ©lectricitĂ©, que câĂ©tait un sous-produit du flux continu dâĂ©nergie Ă©lectrique⊠R : La gravitĂ© nâest pas un sous-produit ! Câest lâingrĂ©dient central de toute existence ! Vous lâavez aussi ! ! Q : (L) Alors, la gravitation est le principe dâunification,⊠R : La gravitĂ© est tout ce quâil y a. Q : (L) Est-ce que les pensĂ©es produisent de la gravitĂ© ? R : Oui. Q : (L) Vous avez dit que lâĂ©lectromagnĂ©tisme Ă©tait la mĂȘme chose que la gravitation. Est-ce quâune augmentation dâĂ©lectromagnĂ©tisme, la collecte dâĂ©lectromagnĂ©tisme, ou la production dâune onde Ă©lectromagnĂ©tique, est-ce que cela augmente la gravitĂ© sur les choses, objets, ou personnes qui y sont soumises ? R : La gravitĂ© nâaugmente ni ne diminue jamais ; elle est uniquement rassemblĂ©e et dispersĂ©e. Q : (L) Est-ce que le SDA Ă©quivaut Ă disperser de la gravitĂ© ? R : Non, le SDA est un REFLET de lâexistence de la dispersion de la gravitĂ©. Q : (L) Est-ce que le SDS est aussi de la dispersion de gravitĂ© ? R : Non. La collecte est rĂ©flĂ©chie. Le SDS est reflĂ©tĂ© ou rĂ©flĂ©chi par lâamassage de gravitĂ©. Alors, « donner » et ĂȘtre ouvert câest « disperser » de la
gravitĂ© et « prendre » ou ĂȘtre dans un systĂšme fermĂ© câest « assembler » de la gravitĂ©, ou un reflet de cela. Ceci est intĂ©ressant sous lâĂ©clairage des remarques faites par les CassiopĂ©ens sur la sexualitĂ© : Q : (L) Quâest-ce qui se passe psychiquement au moment de lâorgasme ? R : Pour qui ? Q : (L) La raison pour laquelle je pose la question est quâun nommĂ© Wayne COOK a fait des travaux de radiesthĂ©sie et a dĂ©couvert que le corps humain, aprĂšs lâorgasme, donne les mĂȘme rĂ©sultats quâune dĂ©pouille mortelle. Pourquoi est-ce ainsi ? R : Ăpuisement dâĂ©nergie. Q : (L) Ou sâen va lâĂ©nergie ? R : Dans lâĂ©ther. Q : (L) Est-ce que lâĂ©nergie sâen va dans lâun ou lâautre des partenaires ? R : Peut-ĂȘtre. Cela se peut. Q : (L) Est-il possible que pendant cette activitĂ© des Lizzies ou dâautres ĂȘtres qui rĂŽdent puissent attirer cette Ă©nergie ? R : Oui. Et câest ce qui, dans un sens gĂ©nĂ©ral, se produit gĂ©nĂ©ralement. Q : (L) Est-ce que câest une des raisons pour lesquelles le sexe a Ă©tĂ© tellement encouragĂ© et rĂ©pandu dans notre sociĂ©tĂ© ⊠R : Oui, oui, oui. Q : (L) Jâai lu que quand on est aux plus hauts niveaux spirituels on peut accomplir une fusion spirituelle, ce qui vaut mieux que lâorgasme. Cela est-il vrai ? R : Pourquoi avez-vous besoin dâun orgasme, quel quâil soit ?
Q : (L) Eh bien, cela semble ĂȘtre lâune des pĂ©nultiĂšmes expĂ©riences de physicalitĂ©. (T) Câest exactement cela⊠câest de la physicalité⊠(L) Si câest ainsi, est-ce que tout ce qui existe dans le monde physique de 3e densitĂ© nâest pas un reflet des expĂ©riences ou Ă©tats qui ont lieu dans des univers supĂ©rieurs ? R : La 3e densitĂ© telle que vous en faites lâexpĂ©rience est une illusion dont vous avez Ă©tĂ© nourris pour y poursuivre votre emprisonnement. Q : (L) Autrement dit, lâexpĂ©rience orgasmique est trĂšs littĂ©ralement un leurre pour nous garder⊠(D) sous contrĂŽle⊠(T) et au 3e niveau⊠(L) Cela est-il vrai ? R : Oui. ExceptĂ© en de rares instances, dans des conditions contrĂŽlĂ©es, dans des buts spĂ©cifiques. Q : (L) Revenons sur une question que jâai posĂ©e au cours dâune autre sĂ©ance Ă ce mĂȘme sujet : quâest-ce qui arrive Ă notre Ă©nergie lors de lâorgasme ? OĂč va cette Ă©nergie ? R : AbsorbĂ©e par le 4e niveau SDS. Q : (T) Est-ce que cela est une manifestation du fait que les LĂ©zards se nourrissent de nous ? R : Ceux du SDS lĂ -bas la rĂ©cupĂšrent. Q : (T) Donc, lâorgasme est une manifestation de 3e
densitĂ© pour la consommation par la 4e densitĂ© de lâĂ©nergie de 3e densitĂ© ? R : Une de leurs mĂ©thodes. Pour en revenir Ă lâexplication de Don Juan Ă ce sujet : Il avait affirmĂ© que le corps physique et le corps Ă©nergĂ©tique Ă©taient les seules configurations Ă©nergĂ©tiques compensĂ©es dans notre univers en tant quâĂȘtres humains. âŠle corps, le mental, lâesprit, et la chair, il considĂ©rait tout cela comme une simple liaison dâenchaĂźnements du mental, et qui en Ă©manait sans aucune base Ă©nergĂ©tique. [4]
CassiopĂ©ens : Q : Un tas de gens enseignent que lâĂȘtre est divisĂ© en esprit, Ăąme, conscience, etc. Quelle diffĂ©rence y a-t-il entre lâesprit et lâĂąme ? R : SĂ©mantique. CASTANEDA Ă©crit : Don Juan avait dit que par la discipline il Ă©tait possible Ă tout un chacun de rapprocher lâĂ©nergie corporelle du corps physique. Normalement la distance entre les deux est Ă©norme. Une fois lâĂ©nergie corporelle Ă une certaine portĂ©e, qui varie pour chacun de nous, nâimporte qui peut, par la discipline, en faire lâexacte rĂ©plique de son corps physique - câest-Ă -dire un ĂȘtre concret, en trois dimensions. De lĂ lâidĂ©e des sorciers dâun alter ego ou dâun double. De la mĂȘme maniĂšre, et par les mĂȘmes processus de discipline, nâimporte qui peut faire de son corps physique concret en trois dimensions, une rĂ©plique parfaite de son corps Ă©nergĂ©tique - câest-Ă -dire une charge Ă©thĂ©rique dâĂ©nergie, invisible Ă lâoeil humain, comme lâest toute Ă©nergie. [âŠ] Don Juan a expliquĂ© que les sorciers voient les petits enfants humains comme dâĂ©tranges bulles dâĂ©nergie lumineuse, couvertes de haut en bas dâune pellicule luisante, comme dâune couverture de plastique qui serait Ă©troitement ajustĂ©e Ă leur cocon dâĂ©nergie. Il a dit que cette pellicule luisante de conscience est ce consomment les prĂ©dateurs, et que quand lâĂȘtre humain atteint lâĂąge adulte, tout ce qui reste de cette pellicule de conscience est une Ă©troite bande qui va du sol au sommet des orteils. Cette bande permet aux humains de continuer Ă vivre, mais Ă peine. âŠĂ sa connaissance, lâhomme Ă©tait la seule espĂšce Ă possĂ©der cette pellicule luisante de conscience Ă lâextĂ©rieur du cocon lumineux. Câest pourquoi lâhomme devient une proie
facile pour une conscience dâun ordre diffĂ©rent, comme la pesante conscience du prĂ©dateur. Il a dit que cette Ă©troite bande de conscience Ă©tait lâĂ©picentre de lâauto-rĂ©flexion, oĂč lâhomme est irrĂ©mĂ©diablement piĂ©gĂ©. En jouant sur notre auto-rĂ©flexion, qui est le seul point de conscience qui nous soit laissĂ©, les prĂ©dateurs crĂ©ent des Ă©clairs de conscience quâils se mettent Ă consommer sans remords, comme le font les prĂ©dateurs. Ils nous donnent des problĂšmes ineptes qui forcent ces Ă©clairs de conscience Ă apparaĂźtre, et de cette maniĂšre ils nous gardent en vie afin de pouvoir se nourrir des Ă©clairs dâĂ©nergie de nos pseudo-soucis. Tout ce que nous pouvons faire câest de nous discipliner de façon Ă ce quâils ne nous touchent plus. Comment pouvez-vous demander Ă votre prochain de passer par les rigueurs de cette discipline ? Il rira de vous, se moquera de vous. Les plus agressifs vous battront Ă mort, non pas parce quâils ne le croient pas : au plus profond de chaque ĂȘtre humain il existe une connaissance ancestrale, viscĂ©rale, de lâexistence des prĂ©dateurs. Carlos dit : Mon esprit analytique a fait des allĂ©es et venues comme un yoyo. Ce que Don Juan suggĂ©rait Ă©tait absurde, incroyable. En mĂȘme temps, câĂ©tait une chose des plus raisonnables et si simple. Cela expliquait toutes les sortes de contradiction humaine auxquelles je pouvais penser. Mais comment pouvait-on prendre cela au sĂ©rieux ? Don Juan me poussait sur le chemin dâune avalanche qui allait mâemporter Ă jamais. Don Juan : « Quand le doute vous accable Ă un degrĂ© dangereux, il faut faire quelque chose de pragmatique. Ăteignez la lumiĂšre, percez lâobscuritĂ©, dĂ©couvrez ce que vous pouvez voir. [âŠ] Les
sorciers de lâancien Mexique voyaient le prĂ©dateur. Ils lâont appelĂ© le « volant» parce quâil sâĂ©lance dans les airs. Ce nâest pas beau Ă voir. Câest une grande ombre, impĂ©nĂ©trablement sombre, une ombre noire qui saute en lâair. Puis elle atterrit Ă plat sur le sol. Les sorciers de lâancien Mexique Ă©taient trĂšs mal Ă lâaise avec cette idĂ©e quand il a fait son apparition sur Terre. Ils ont fait le raisonnement que lâhomme doit avoir Ă©tĂ© jadis un ĂȘtre complet, avec une intuition extraordinaire, des actes de conscience qui sont devenus mythes et lĂ©gendes de nos jours. Et puis, tout a semblĂ© disparaĂźtre, et il reste Ă prĂ©sent un homme assoupi. « Ce que je veux dire câest que nous nâavons pas en face de nous un simple prĂ©dateur. Il est trĂšs intelligent et bien organisĂ©. Il adopte un systĂšme mĂ©thodique pour nous rendre inutiles. Lâhomme, lâĂȘtre magique quâil est destinĂ© Ă ĂȘtre, nâest plus magique. Il est devenu un vulgaire morceau de viande. Il nây a plus de rĂȘves pour lâhomme, seulement les rĂȘves dâun animal qui est Ă©levĂ© pour devenir un morceau de viande : banal, conventionnel, imbĂ©cile. » « La seule alternative laissĂ©e Ă lâhumanitĂ© est la discipline. La discipline est la seule arme de dissuasion. Mais par discipline, je nâentends pas de durs exercices routiniers. Je nâentends pas se lever chaque matin Ă 5h30 et sâasperger dâeau froide Ă en devenir bleu. Les sorciers entendent la discipline comme la facultĂ© de faire face dans la sĂ©rĂ©nitĂ© Ă lâadversitĂ© qui nâest pas incluse dans nos attentes. Pour eux, la discipline est un art : lâart de regarder lâinfini en face sans broncher ; non pas parce quâils sont forts et durs, mais parce quâils sont remplis dâune crainte respectueuse. » « Les sorciers disent que la discipline rend dĂ©sagrĂ©able au goĂ»t la pellicule luisante de la conscience, pour le « volant». Le rĂ©sultat est que le prĂ©dateur est dĂ©concertĂ©. Et une pellicule
de conscience qui luit mais est immangeable, ils ne connaissent pas ça, je suppose. AprĂšs avoir Ă©tĂ© surpris ils nâont dâautre recours que de mettre fin Ă leur dĂ©plaisante tĂąche. » « Si les prĂ©dateurs arrĂȘtent de consommer notre pellicule luisante de conscience pendant un moment, cette pellicule repousse. Pour simplifier ceci Ă lâextrĂȘme, je pourrais dire que les sorciers, grĂące Ă leur discipline, repoussent loin assez les prĂ©dateurs pour permettre Ă leur pellicule luisante de conscience de sâĂ©tendre au-delĂ du niveau des orteils. Une fois quâelle a dĂ©passĂ© le niveau des orteils elle repousse Ă sa taille naturelle. Les sorciers de lâancien Mexique avaient lâhabitude de dire que la pellicule luisante de conscience est comme un arbre. Si elle nâest pas Ă©laguĂ©e elle reprend sa taille et son volume naturels. Lorsque la conscience atteint un niveau plus levĂ© que celui des orteils, de prodigieuses manoeuvres de perception deviennent le lot ordinaire. » « Le grand truc de ces sorciers des temps anciens Ă©tait dâalimenter le mental des volants en discipline. Ils ont trouvĂ© que sâils chargeaient de silence intĂ©rieur le mental des volants, ce qui Ă©tait installĂ© par lâextĂ©rieur sâen allait, ce qui donnait Ă chacun des praticiens engagĂ©s dans cette manoeuvre la totale certitude de lâorigine Ă©trangĂšre du mental. Ce qui a Ă©tĂ© installĂ© par lâextĂ©rieur revient, je peux vous lâassurer, mais nâest plus aussi fort, et un processus se met en route, au cours duquel la fuite du mental des volants devient routine, jusquâĂ ce quâun beau jour il parte dĂ©finitivement. Un triste jour plutĂŽt ! Car câest le jour oĂč il vous faut compter sur vos propres dispositifs, qui sont pratiquement nuls. Il nây a personne pour vous dire ce quâil faut faire. Il nây a plus de mental dâune origine Ă©trangĂšre pour vous dicter les imbĂ©cillitĂ©s auxquelles vous ĂȘtes accoutumĂ©. Câest le jour le plus dur dans la vie dâun sorcier, car le mental rĂ©el qui nous appartient, la totalitĂ© de nos
expĂ©riences, aprĂšs une vie de domination, est rendu timide, inquiet et instable. Personnellement, je dirais que le vrai combat du sorcier commence Ă ce moment. Le reste nâest que prĂ©paration. » « La discipline pĂšse infiniment sur lâesprit Ă©tranger. Donc, par leur discipline, les sorciers vainquent ce qui a Ă©tĂ© installĂ© par des Ă©trangers. Le mental du volant sâen va Ă jamais quand un sorcier rĂ©ussit Ă capter la force vibrante qui nous tient ensemble comme un agglomĂ©rat de champs dâĂ©nergie. Si le sorcier maintient cette pression assez longtemps, le mental des volants disparaĂźt, vaincu. » « Quand nous sommes dĂ©chirĂ©s par des luttes internes, câest parce que, trĂšs profondĂ©ment, nous savons que nous sommes incapables de refuser le contrat qui est une partie indispensable du soi : la luisante pellicule de conscience va servir de source de nourriture Ă dâincomprĂ©hensibles entitĂ©s. Et une autre partie de nous-mĂȘmes se rebellera de toutes ses forces contre cette situation. » « La rĂ©volution des sorciers est quâils refusent dâhonorer des accords dans lesquels ils ne sont pas parties prenantes. Personne ne mâa jamais demandĂ© si je consentais Ă ĂȘtre mangĂ© par des ĂȘtres dâune espĂšce diffĂ©rente de conscience. Mes parents mâont mis au monde seulement pour ĂȘtre de la nourriture, tout comme eux, mais voilĂ comment lâhistoire se termine ». CASTANEDA Ă©crit : De retour chez moi, Ă mesure que le temps passait lâidĂ©e des volants est devenue une obsession. Jâen suis arrivĂ© au point oĂč jâai senti que Don Juan avait absolument raison en ce qui les concernait. Jâavais beau essayer, je ne parvenais pas Ă Ă©carter cette logique. Plus jây pensais, plus jâen parlais avec et observais mon entourage, plus intense devenait la conviction
que quelque chose nous rendait incapables dâaucune activitĂ©, dâaucune interaction, ou dâaucune pensĂ©e qui nâaurait pas le soi comme point dâattraction. [âŠ] Le rĂ©sultat de ma lutte intĂ©rieure fut un pressentiment, la sensation que quelque chose dâĂ©minemment dangereux sâapprochait de moi. Jâai fait des recherches anthropologiques approfondies auprĂšs dâautres cultures sur le sujet des volants, mais je nâai trouvĂ© nulle part aucune autre rĂ©fĂ©rence. Apparemment, Carlos nâa pas lu Shamanism de M. ELIADE, ni Passport to Magonia de J. VALLĂE. Ces ouvrages sont remplis de rĂ©fĂ©rences historiques et anciennes aux ĂȘtres que Don Juan appelle des « volants». Don Juan dit Ă Carlos : « Le mental des volants ne tâa pas quittĂ©. Il a Ă©tĂ© sĂ©rieusement blessĂ©. Il est en train de faire un maximum pour essayer de renouer sa relation avec toi. Mais quelque chose en toi a disparu Ă jamais. Le volant sait cela. Le vrai danger est que le mental du volant parvienne Ă gagner en te fatigant et en te forçant ainsi Ă abandonner, en faisant jouer les contradictions entre ce quâil dit et ce que je dis moi. » « Vois-tu, le mental des volants nâa pas de concurrents. Quand il propose quelque chose, il est dâaccord avec sa propre proposition, ce qui te fait croire que tu as accompli quelque chose de valable. Le mental du volant te dira que tout ce que je te dis est pur non-sens, et puis le mĂȘme mental acquiescera Ă sa propre proposition. VoilĂ la maniĂšre dont ils triomphent de nous. » « Les volants sont une partie essentielle de lâunivers et il faut les prendre comme ils sont vraiment : terribles, monstrueux. Ils sont les moyens mis en place par lâunivers pour nous mettre Ă lâĂ©preuve. » « Nous sommes des sondes Ă©nergĂ©tiques crĂ©Ă©es par
lâunivers et câest parce que nous possĂ©dons de lâĂ©nergie dotĂ©e dâune conscience que nous sommes les moyens par lesquels lâunivers devient conscient de lui-mĂȘme. Les volants sont des challengers implacables. Si nous rĂ©ussissons, lâunivers nous permet de continuer. » âŠJâaurais en fait voulu rentrer immĂ©diatement chez moi [âŠ] mais avant dâatteindre sa maison, Don Juan sâassit sur un haut rebord surplombant la vallĂ©e. Pendant un moment il ne dit rien. Il nâĂ©tait pas hors dâhaleine. Je nâavais aucune idĂ©e de la raison pour laquelle il sâĂ©tait arrĂȘtĂ© pour sâasseoir. « Pour toi » , dit-il ex abrupto dâun ton prophĂ©tique, « la tĂąche du jour est lâune des choses les plus mystĂ©rieuses en sorcellerie ; quelque chose au-delĂ du langage, au-delĂ des explications. âŠAlors, soutiens-toi en tâappuyant contre ce mur de rocher, aussi loin que possible du bord. Je serai prĂšs de toi au cas oĂč tu tâĂ©vanouirais ou si tu tombais. âŠCroise les jambes et entre dans le silence intĂ©rieur, mais ne tombe pas endormi ». Il me fut assez difficile dâentrer dans le silence intĂ©rieur sans tomber endormi. Je luttai contre une terrible envie de dormir. Jây rĂ©ussis, et me retrouvai en train de regarder le fond de la vallĂ©e alors que jâĂ©tais entourĂ© dâune obscuritĂ© Ă©paisse. Et puis, je vis quelque chose qui me glaça jusquâĂ la moelle des os. Je vis une ombre gigantesque, dâenviron 4m50 dâenvergure, sauter dans les airs et retomber avec un choc silencieux. Je ressentis le choc dans mes os, mais je ne lâentendis pas. « Ils sont vraiment trĂšs lourds » , me glissa Don Juan Ă lâoreille. Il me tenait le bras gauche, aussi fort quâil le pouvait. Je vis quelque chose qui ressemblait Ă une ombre boueuse se tortiller sur le sol, puis faire encore un bond gigantesque en longueur, de peut-ĂȘtre 15m, et retomber avec ce mĂȘme choc silencieux. Je devais lutter pour ne pas perdre ma concentration. JâĂ©tais effrayĂ© de maniĂšre indescriptible. Je
gardai mes yeux fixĂ©s sur lâombre bondissante au fond de la vallĂ©e. Puis jâentendis un bourdonnement trĂšs particulier, un mĂ©lange de bruit dâailes et de bourdonnement dâune radio dont on essaierait dâajuster la frĂ©quence pour atteindre une station Ă©mettrice ; et le choc sourd qui suivit fut inoubliable Il nous secoua jusquâaux os Don Juan et moi â une gigantesque ombre boueuse venait dâatterrir Ă nos pieds. « Nâaie pas peur », dit impĂ©rieusement Don Juan. « Garde ton silence intĂ©rieur et elle partira ». Je tremblais de la tĂȘte aux pieds. Je savais trĂšs clairement que si je ne gardais pas prĂ©sent mon silence intĂ©rieur, alors lâombre boueuse sâĂ©tendrait sur moi comme une couverture et me suffoquerait. Sans perdre de vue lâobscuritĂ© qui mâentourait, je criai le plus fort que je pus. Jamais je ne mâĂ©tais senti autant en colĂšre, si totalement frustrĂ©. Lâombre boueuse fit un autre saut, manifestement vers le fond de la vallĂ©e. Je continuai Ă crier en secouant mes jambes. Je voulais me dĂ©barrasser de ce qui pourrait venir pour me manger . [5] Revenons Ă prĂ©sent Ă lâextrait du livre de Karla TURNER : Quelque chose manquait manifestement dans la remĂ©moration des Ă©vĂ©nements par David, de sorte que Barbara lui demanda dâapprofondir ce quâil avait vu auprĂšs du pin. « Je regarde une ombre », rĂ©pondit-il. « Peut-ĂȘtre que câest le chat ; il aime cet arbre. Grenadier bruissant. Au bas ? Mais comment ? Il y a quelque chose qui bouge, mais je ne peux pas lâapercevoir. Câest une tache sombre, une tache noire, qui bouge autour de lâarbre. Et elle est partie. » Barbara lui demanda dâĂ©toffer sa description, et David poursuivit. « Jâai vu, cela a une apparence irrĂ©guliĂšre. Est-ce une ombre ? Câest noir. Câest sur le sol. Cela va ici et lĂ vite, en
bruissant. Comme quand on marche sur des feuilles. Et câest trĂšs faible, avec un murmureâŠ. un bruissement de serpent, rĂ©ellement faible. [âŠ] Mon cerveau ne fonctionne pas », dit-il. « Je ne fais que marcher derriĂšre elle jusquâĂ la voiture. Ah, ah. Mais je veux aller voir cela. Jâai entendu un bruit ». « Ă qui ressemble ce bruit ? » [question de Barbara] « Une corde tirĂ©e trĂšs vite », rĂ©pondit-il. « Whouuuuuu, comme une sorte de toupie. Mais trĂšs doux, comme si câĂ©tait Ă©touffĂ©. Et câest alors que je vois la chose. Le noir. Câest juste du noir sur le sol. TrĂšs rapide. Quelque chose mâa heurtĂ© auparavant ». « OĂč ? » demande Barbara. « Jâai eu un choc », rĂ©pondit-il. « Dans le dos. Dans la hanche, au bas de ma colonne⊠je rebondis mĂ©caniquement vers la parabole, je crois. âŠ. câest grandâŠ. Cela mâa fait mal partout, le choc. Cela picote trĂšs fort. Partout dans mes os, ça picote, ça tremble. [âŠ] Je marche autour de lâarbre et jâentends un bruit. Comme une toupie, une toupie qui tourne. Cela commence dans lâaigu et cela descend, et ça sâen va assez vite. Alors je regarde dans cette direction. Je ne vois pas trĂšs bien. âŠCâest comme une tache sur le solâŠ. une serviette noire ? Ou un sac-poubelle ? DrĂŽle de forme. Câest plat, plat, plat. Câest sur le sol, ça nâest pas diffĂ©rent du sol, câest juste noir et ça va trĂšs vite. Et ça fait un petit bruit. âŠJe regarde cette chose. âŠUne noirceur. Un « nâest pas ». Comme un « pas là » . Comme une tache dâhuile bougeant sur le sol. âŠEt ça bouge, mais ça change aussi. Pas beaucoup, juste les bords, pas trĂšs stable. Et câest parti trĂšs vite. .. Je me sens bizarre. âŠJe ne suis tout simplement pas moi. âŠJe me sens vide âŠcomme une unitĂ© distante.. ». (TURNER, 1992, pp. 132-139ff) Carlos Ă©crit : Le prĂ©dateur dĂ©crit par Don Juan nâĂ©tait pas quelque
chose de bienveillant. Il Ă©tait Ă©normĂ©ment pesant, rude, indiffĂ©rent. Jâai ressenti du mĂ©pris Ă notre Ă©gard. Il nous avait indubitablement Ă©crasĂ©s il y a trĂšs longtemps, en nous rendant, comme lâa dit Don Juan, faibles, vulnĂ©rables et dociles. Jâai Ă©prouvĂ© de la colĂšre, une intention trĂšs ferme de ne pas les laisser me manger. Jâai pleurĂ© pour mes semblables⊠(CASTANEDA, 1998) Voyons Ă nouveau ce que les CassiopĂ©ens ont dit Ă propos de ma propre expĂ©rience, « lâĂ©clipse de rĂ©alitĂ©s » . Q : (L) La premiĂšre chose Ă laquelle je pense est une expĂ©rience que jâai vĂ©cue il y a plusieurs nuits. Il mâa semblĂ© quâil y eu une sorte dâinteraction entre moi-mĂȘme et quelque chose « dâautre». Pourriez-vous me dire ce quâa reprĂ©sentĂ© cette expĂ©rience ? R : Ăclipse des rĂ©alitĂ©s. Q : (L) Quâest-ce quâune Ă©clipse de rĂ©alitĂ©s ? R : Câest quand les centres Ă©nergĂ©tiques entrent en conflit. Q : (L) Quels centres Ă©nergĂ©tiques sont-ils en conflit ? R : Centres dâĂ©nergie de pensĂ©e. Q : (L) Il mâa semblĂ© que quelque chose mâest arrivĂ©, qui a effacĂ© un moment de mon expĂ©rience, et vous dites que câĂ©tait une Ă©clipse dâĂ©nergies provoquĂ©e par lâintersection de centres de pensĂ©e. Est-ce que cette intersection de centres de pensĂ©e sâest produite Ă lâintĂ©rieur de mon corps, ou dans mon environnement ? R : Sont une seule et mĂȘme chose. Q : (L) Puis-je vous interroger Ă propos de mes perceptions spĂ©cifiques de lâĂ©vĂ©nement ? R : Câest ce que vous ĂȘtes dĂ©jĂ en train de faire. Nous sentons que vous dĂ©sirez la rĂ©ponse la plus vraie possible, et quand on dĂ©sire la plus vraie des rĂ©ponses possibles il faut
Ă©viter dâexprimer ses propres perceptions dans la mesure du possible et simplement permettre aux rĂ©ponses dâaffluer. Le meilleur conseil est que pour accomplir cela vous suiviez une approche pas Ă pas : poser les questions les plus simples en y attachant le moins possible de prĂ©jugĂ©s. Q : (L) TrĂšs bien. JâĂ©tais couchĂ©e sur mon lit en Ă©tant prĂ©occupĂ©e par le fait que je ne pourrais peut-ĂȘtre pas dormir. La chose suivante dont jâai Ă©tĂ© consciente est que je suis revenue Ă moi en sentant quâon me faisait flotter hors de mon lit. Ătait-ce le cas ? R : Non. Quand vous dites « Je » vous faites allusion Ă votre personne tout entiĂšre. Il y a plus dâun facteur impliquĂ© dans une dĂ©finition particuliĂšre de son ĂȘtre. Q : (L) Est-ce quâune partie de mon ĂȘtre [en train dâĂȘtre] Ă©tait en train dâĂȘtre sĂ©parĂ©e dâune autre partie de mon ĂȘtre ? R : Oui. Q : (L) Est-ce que câĂ©tait une tentative dâenlĂšvement de mon Ăąme ou de mon corps astral ? R : Tentative nâest probablement pas le terme appropriĂ©. Q : (L) Autrement dit⊠R : Câest davantage quâune simple activitĂ© en cours. Tentative implique un effort plutĂŽt que la nature prĂ©sente dans un conflit entre Ă©nergies et centres de pensĂ©e. Q : (L) Il me semble avoir pris conscience Ă©galement de plusieurs figures sombres, ressemblant Ă des araignĂ©es, alignĂ©es sur le cĂŽtĂ© de mon lit ; est-ce que ceci Ă©tait une impression exacte ? R : Elles pourraient ĂȘtre dĂ©crites comme des projections spĂ©cifiques du centre de pensĂ©e. Q : (L) Il me semblait combattre et rĂ©sister Ă cette activitĂ©.
R : CâĂ©tait votre choix. Q : (L) TrĂšs bien ; Ă©tait-ce la fin dâun enlĂšvement qui avait dĂ©jĂ eu lieu ? R : Pas la terminologie appropriĂ©e. CâĂ©tait la conclusion dâun Ă©vĂ©nement, quâon ne qualifierait pas nĂ©cessairement dâenlĂšvement, mais plutĂŽt dâinteraction. Q : (L) Quelle Ă©tait la nature de cette interaction ? R : Le conflit dâĂ©nergies en rapport avec des impulsions du centre de pensĂ©e. Q : (L) OĂč sont situĂ©s ces centres de pensĂ©e ? R : Il est difficile de rĂ©pondre, car cela suppose que les centres de pensĂ©e sont Ă©tablis. Et bien sĂ»r ceci est un concept avec lequel vous nâĂȘtes pas encore complĂštement familiarisĂ©e. DĂšs lors, une tentative de rĂ©ponse qui aurait du sens pour vous ne serait probablement pas fructueuse. Nous suggĂ©rons dâaller plus lentement et de formuler les questions avec soin. Q : (L) Ă quel niveau de densitĂ© ces centres de pensĂ©e ont-ils leur concentration fondamentale ? R : Les centres de pensĂ©e nâont de concentration fondamentale Ă aucun niveau de densitĂ©. Câest prĂ©cisĂ©ment cela lâimportant. Vous nâĂȘtes pas complĂštement familiarisĂ©e avec la rĂ©alitĂ© de ce que sont les pensĂ©es. Nous vous avons parlĂ© Ă de nombreux niveaux et avons dĂ©taillĂ© de nombreuses zones impliquant un niveau de densitĂ©, mais les pensĂ©es sont quelque chose de tout Ă fait diffĂ©rent parce quâelles passent dâun coup Ă travers tous les niveaux de densitĂ©. Maintenant, laissez-nous vous demander ceci : est-ce que vous ne voyez pas comment cela est possible ? Q : (L) Si. Mais ce que jâessaie de faire câest identifier ces centres de pensĂ©e en conflit. Si deux centres de pensĂ©e ou davantage entrent en conflit, alors mon idĂ©e est quâils sont en opposition.
R : Correct. Q : (L) Et ce que je veux savoir câest : est-ce que cela Ă©tait en opposition Ă moi, ou bien Ă©tait-ce une opposition dans laquelle jâĂ©tais simplement prise au milieu, pour ainsi dire. R : Eh bien, vous ĂȘtes en train de dĂ©river de la vraie nature de votre expĂ©rience, parce que vous faites des suppositions. Et nous ne voulons pas vous gronder, nous sommes simplement en train dâessayer de vous guider, et ce nâest pas toujours facile. Mais sachez Ă nouveau que la façon la plus simple pour que vous rassembliez des connaissances sur ce sujet particulier, câest de poser les questions les plus simples, sans prĂ©jugĂ©s. Q : (L) Okay, vous avez dit que je nâavais pas Ă©tĂ© enlevĂ©e, quâun certain Ă©vĂ©nement sâĂ©tait produit. Quel Ă©tait cet Ă©vĂ©nement ? R : Nous avons dĂ©jĂ dĂ©crit cela, mais le problĂšme que vous avez est que vous supposez que la description que nous vous donnons est plus compliquĂ©e quâelle nâest en fait. Elle ne lâest pas. Q : (L) Bon. Lors de lâexpĂ©rience jâai ressenti une paralysie de mon corps ; quâest-ce qui a causĂ© cette paralysie. R : Oui. SĂ©paration de conscience. Ce qui est dĂ©fini comme nâimporte quel point du chemin ou sa propre conscience devient tellement totalement focalisĂ©e sur un secteur de pensĂ©e que tous les autres niveaux de conscience sont temporairement en recul, ce qui rend impossible de devenir conscient de sa propre rĂ©alitĂ© physique en mĂȘme temps que de sa rĂ©alitĂ© mentale. Cela donne lâimpression de ce qui est qualifiĂ© de paralysie. Comprenez-vous ? Q : (L) Oui. Et quâest-ce qui stimule cette focalisation totale de conscience ? R : Un Ă©vĂ©nement qui dĂ©tourne temporairement les
processus mentaux. Q : (L) Et quel Ă©vĂ©nement peut dĂ©tourner les processus mentaux Ă ce degrĂ© ? R : Nâimporte quel nombre. Dans ce cas particulier, câĂ©tait une Ă©clipse dâĂ©nergies provoquĂ©e par des centres de pensĂ©e en conflit. Q : (L) Quelles Ă©nergies Ă©taient-elles Ă©clipsĂ©es ? R : Quand deux unitĂ©s de rĂ©alitĂ©s opposĂ©es viennent Ă intersection, cela provoque quelque chose quâon peut qualifier de friction, et qui, pendant une pĂ©riode non mesurable de ce que vous qualifiez de temps, et qui bien sĂ»r nâexiste pas, crĂ©e une non-existence, ou un arrĂȘt des mouvements de toutes les fonctions. Câest cela que nous qualifierions de conflit. Entre, ou par nâimporte quelle intersection dâentitĂ©s en opposition nous trouvons toujours zĂ©ro temps, zĂ©ro mouvement, zĂ©ro transfert, zĂ©ro Ă©change. Maintenant pensez Ă cela. Pensez-y soigneusement. Q : (L) Est-ce que cela signifie que jâĂ©tais, essentiellement, dans un Ă©tat de non-existence ? R : Non-existence nâest peut-ĂȘtre pas rĂ©ellement le terme appropriĂ©,mais existence non fluide serait plus exact. Comprenez-vous ? Q : (L) Oui. FigĂ©e, pourrait-on dire ? R : FigĂ©e, en effet. Q : (L) Est-ce jâai retirĂ© un certain bĂ©nĂ©fice de cette expĂ©rience ? R : Toutes les expĂ©riences ont un potentiel de bĂ©nĂ©fice. Q : (L) Est-ce quâil y a eu des dĂ©savantages Ă cette expĂ©rience ? R : Toutes les expĂ©riences ont un potentiel de dĂ©savantage. Maintenant, voyez-vous les parallĂšles ? Nous parlons de nâimporte quelles forces opposĂ©es dans la nature ;
quand elles se rencontrent le rĂ©sultat peut ĂȘtre Ă lâextrĂȘme dâun cĂŽtĂ©, ou bien Ă lâextrĂȘme de lâautre cĂŽtĂ©. Ou bien il peut rester parfaitement, symĂ©triquement en Ă©quilibre au milieu, ou partiellement en Ă©quilibre dâun cĂŽtĂ© ou de lâautre. Câest pourquoi, tous les potentiels sont rĂ©alisĂ©s aux points dâintersection dans la rĂ©alitĂ©. Q : (L) Est-ce que lâun des centres de pensĂ©e Ă©tait moi ? R : Cela prĂ©suppose que vous, ce qui est dĂ©fini comme vous, ou la façon dont vous vous dĂ©finissez comme « moi » est en soi-mĂȘme un centre de pensĂ©e. Une partie de vous est un centre de pensĂ©e, mais pas tout ce qui est vous. Donc, il est incorrect de dire : « Est-ce quâune de ces Ă©nergies ou centres de pensĂ©e en conflit, Ă©tait moi ? » Q : (L) Est-ce quâun de ces centres de pensĂ©e ou Ă©nergies en conflit Ă©tait une partie de moi ? R : Oui. Q : (L) Et a-t-elle Ă©tĂ© Ă©clipsĂ©e par une interaction avec une Ă©nergie de centre de pensĂ©e qui Ă©tait une partie ou le tout de quelque chose ou de quelquâun dâautre ? R : Ou bien, est-ce que ce qui sâest produit Ă©tait un conflit dâun centre de pensĂ©e Ă©nergĂ©tique qui faisait partie de votre processus de pensĂ©e et un autre centre de pensĂ©e Ă©nergĂ©tique qui Ă©tait une autre partie de votre processus de pensĂ©e ? Nous allons vous poser cette question et vous permettre de contempler. Q : (L) Est-ce quâil arrive parfois que des individus qui perçoivent ou pensent quâils se perçoivent eux-mĂȘmes comme ayant fait lâexpĂ©rience dâun « enlĂšvement » sont en fait en train dâinteragir avec une partie dâeux-mĂȘmes ? R : Cela serait une trĂšs bonne possibilitĂ©. Maintenant, avant que vous ne posiez une autre question, arrĂȘtez-vous et contemplez pendant un moment : quelles possibilitĂ©s cela
ouvre-t-il ? Est-ce quâil y a une limite ? Et sâil en a une quelle est-elle ? Est-ce que ce nâest pas un domaine digne dâexploration ? Par exemple, simplement un exemple Ă digĂ©rer pour vous. Et que se passe-t-il si le scĂ©nario dâenlĂšvement pouvait se produire lĂ oĂč la projection de votre Ăąme dans ce que vous percevez comme lâavenir, pouvait revenir en arriĂšre et enlever votre projection dâĂąme dans ce que vous percevez comme le prĂ©sent ? Q : (L) Oh, mon Dieu ! Est-ce que cela arrive ? R : Câest une question Ă vous poser et Ă contempler. Q : (L) Pourquoi me ferais-je cela Ă moi-mĂȘme ? (J) Pour obtenir la connaissance de lâavenir ? R : Est-ce quâil nây a pas un grand nombre de rĂ©ponses possibles ? Q : (L) Eh bien, cela mâa paru une expĂ©rience trĂšs effrayante et nĂ©gative. Si câest le cas, A : peut-ĂȘtre que câest juste ma perception, ou bien B : alors, dans lâavenir je ne suis pas une personne trĂšs bien ! (J) Ou peut-ĂȘtre que lâavenir nâest pas trĂšs agrĂ©able. Et la connaissance que tu en as obtenue est dĂ©sagrĂ©able. R : Ou bien câest un des futurs possibles, mais non tous les futurs possibles ? Et est-ce que le chemin du libre arbitre nâest pas connectĂ© Ă tout ceci ? Q : (L) Dieu ! JâespĂšre que non ! R : Maintenant voyez-vous lâavantage de ralentir et de ne pas avoir de prĂ©jugĂ©s quand on pose des questions de grande importance ? Vous voyez, quand vous allez trop vite dans le processus dâapprentissage et de collecte de connaissances, câest comme de sautiller le long dâune route sans sâarrĂȘter pour rĂ©flĂ©chir au sol qui est sous les pieds. On rate les piĂšces dâor et les pierres prĂ©cieuses qui se trouvent dans les fissures du chemin.
Q : (L) Bien. Quand cette expĂ©rience sâest produite, dois-je supposer quâune partie de moi-mĂȘme, un moi futur peut-ĂȘtre, naturellement ils sont tous simultanĂ©s, mais juste pour la rĂ©fĂ©rence, est revenu en arriĂšre et a interagi avec mon moi prĂ©sent dans le but dâun certain Ă©change ? Que dâune certaine maniĂšre jâai fait un choix et que ce choix a changĂ© lâavenir ? R : Ceci est une question Ă laisser Ă votre exploration, car vous en tirerez davantage de connaissances en la contemplant vous-mĂȘme quâen cherchant les rĂ©ponses ici. Mais une suggestion doit ĂȘtre faite que vous le fassiez, car vous y gagnerez beaucoup, vraiment beaucoup, de connaissances en contemplant ces questions-lĂ par vous-mĂȘme et aussi en rĂ©seau avec dâautres comme vous le faites. Ne soyez pas frustrĂ©e car les rĂ©ponses Ă acquĂ©rir par votre propre contemplation seront vĂ©ritablement illuminantes pour vous, et lâexpĂ©rience qui suivra vaudra un millier de vies de plaisir et de joie. La sĂ©ance dont proviennent les extraits ci-dessus a eu lieu en juillet 1995. ce nâest que plusieurs annĂ©es plus tard que jâai eu entre les mains le livre de Carlos CASTANEDA The Active Side of Infinity [6] (publiĂ© en 1998) dont les informations au sujet des « volants» sont extraites. Mais cela mâa rappelĂ© des souvenirs. Jâai compris que jâavais fait, naturellement, ces choses mĂȘmes dont Don Juan avait parlĂ© Ă Carlos : faire « repousser » sa conscience. Et jâai rĂ©alisĂ© que toutes les « interfĂ©rences Ă©trangĂšres » dans ma vie ont changĂ© Ă partir de ce moment. RĂ©trospectivement je comprends que câest lâĂ©tude constante et la prise de conscience dâautres rĂ©alitĂ©s que jâai vĂ©cues qui ont constituĂ© pour moi la « plateforme » Ă partir de laquelle jâai pu rĂ©sister à « lâ Ă©clipse de rĂ©alitĂ©s », que Don Juan nomme « discipline» permettant de garder ensemble les champs
dâĂ©nergie. Ă la suite de cet Ă©vĂ©nement, il y a eu plusieurs tentatives de la part de ces forces, pour « jouer avec ma tĂȘte »âŠ. Et jâai sans conteste Ă©tĂ© Ă©tonnamment consciente de ces tentatives. Quand je dormais, je ne le faisais plus comme avant ; câest comme si je ne dormais quâĂ moitiĂ©, pendant que lâautre moitiĂ© de moi restait Ă©veillĂ©e et sur ses gardes. Je pouvais entendre des voix, des murmures, des signes dâactivitĂ© ; je pouvais entendre dâĂ©tranges respirations et sentir des doigts spectraux me toucher parfois ; je rejetais tout cela mentalement. Quand ces activitĂ©s commençaient, ce qui Ă©tait le cas pratiquement chaque nuit, jâallumais la radio et la laissais en sourdine, jâallumais une lampe, ou bien je me contentais de mâasseoir et dâĂ©tendre mentalement ma conscience pour les garder Ă lâĂ©cart. Je sentais que jâĂ©tais en permanence entourĂ©e par des loups qui reniflaient, Ă lâaffĂ»t dâun signe de faiblesse ou dâune odeur de peur. Une des manoeuvres les plus pĂ©rilleuses a eu lieu quand « ils » ont mis dans ma tĂȘte lâidĂ©e que je mâĂ©tais levĂ©e de mon lit pour me rendre dans une autre piĂšce⊠quand je suis arrivĂ©e Ă la porte et que jâai Ă©tendu la main pour toucher le mur, jâai rĂ©alisĂ© que ma main passait au travers et que clairement, mon mental Ă©tait manipulĂ©. Je suis instantanĂ©ment retournĂ©e dans mon corps et jâai forcĂ© mon Ă©nergie Ă rester en place, tout mâefforçant de toute ma volontĂ© de bouger ma main. Quand mes doigts se sont soudainement remis Ă bouger, cela a Ă©tĂ© comme si « lâattaque » Ă©clatait comme un ballon, et le harcĂšlement a cessĂ©. Jâai recouru Ă maintes reprises Ă des manoeuvres de ce genre, de prise de conscience et de discipline â sans rien savoir des remarques faites par Don Juan Ă ce propos â sentant
simplement que câĂ©tait ce quâil fallait faire. La derniĂšre nuit oĂč « ils » sont venus jâĂ©tais Ă©tendue dans mon lit, prĂȘte Ă mâendormir, et lâassoupissement Ă©tait comme une drogue, ce qui Ă©tait un des signes avant-coureurs. Je pouvais voir « au travers » de mes paupiĂšres closes, ce qui Ă©tait un autre avertissement, et jâai entendu une respiration rauque derriĂšre moi. Puis jâai senti un contact sur mon dos, et toute la force Ă lâintĂ©rieur de moi a explosĂ© en colĂšre ; jâai ramenĂ© Ă moi mon corps Ă©nergĂ©tique et jâai forcĂ© mon bras Ă rejeter les couvertures. Jâai dĂ» essayer Ă plusieurs reprises avant de parvenir Ă faire bouger mon bras, et en mĂȘme temps je forçais mes yeux Ă rester ouverts pour pouvoir voir avec mon appareil physique si mes champs Ă©taient connectĂ©s. Quand mes yeux se sont ouverts jâai vu Ă la lumiĂšre dâun lampadaire dans la rue, devant la maison, la silhouette dâun grand lĂ©zard qui traversait la fenĂȘtre - un symbole de ma victoire. Et ils ne sont plus jamais revenus.
NOTES
[1]: CASTANEDA, , pp. 213-220. [2]: En français dans lâoriginal (NdT) [3]: Le chamanisme, techniques archaĂŻques de lâextase [4]: CASTANEDA, 1998 [5]: CASTANEDA, 1998, pp. 231-233. [6]: Le cĂŽtĂ© actif de lâinfini (NdT)
CHAPITRE XXIII
En 1931, Aldous HUXLEY a Ă©crit Brave New World [1] dans lequel il dit : Les anciens dictateurs sont tombĂ©s parce quâils ne sont jamais parvenus Ă donner Ă leurs sujets assez de pain, assez de cirques, assez de miracles ni assez de mystĂšres. Et ils ne possĂ©daient pas non plus un systĂšme rĂ©ellement efficace de manipulation du mental. Sous un dictateur scientifique, lâenseignement fonctionnerait vraiment - avec pour rĂ©sultat que la plupart des hommes et des femmes en viendraient Ă aimer leur servitude et ne rĂȘveraient jamais de rĂ©volution. Il semble quâil nây ait aucune raison valable pour quâune dictature scientifique soit jamais renversĂ©e. Aldous HUXLEY a aussi fait trĂšs tĂŽt le rapprochement entre les effets vĂ©cus par ceux qui prennent des drogues psychĂ©dĂ©liques et les expĂ©riences du mysticisme oriental, ce qui a fait exploser dans un grand bang la bombe de la prise de conscience ! Puis sont arrivĂ©s Timothy LEARY, Richard ALPERT alias Baba Ram Dass avec leur LSD et autres mĂ©thodes pour sâĂ©clater le mental, en tĂȘte de la parade des « allumĂ©s alignĂ©s ». Abraham MASLOW est devenu une figure patriarcale pour ceux de la « nouvelle vague » qui souhaitaient boucher les trous de leurs rĂ©alitĂ©s avec des « expĂ©riences au sommet ». MASLOW considĂ©rait les drogues psychĂ©dĂ©liques comme des moyens permettant mĂȘme aux gens ordinaires
dâobtenir un peu de ce que les mystiques orientaux mettaient des annĂ©es et des annĂ©es Ă dĂ©velopper. Ă prĂ©sent, on pouvait arriver Ă cela en un sĂ©minaire dâun week end Ă Big Sur, ou bien grĂące Ă un cours par correspondance pour la modique somme de 29,95 USD la leçon ! Quelle bonne affaire ! Dans les annĂ©es 1960, les expĂ©rimentateurs dâexpĂ©riences au sommet et les expĂ©riences au sommet sont devenus des pots pleins dâor Ă lâextrĂ©mitĂ© dâun arc-en-ciel. Plus personne nâaurait plus Ă vivre dans le dĂ©sespoir existentiel ! Tout le monde pouvait devenir un « voyageur spirituel » et faire des sĂ©jours prolongĂ©s dans des univers de conscience dont jusque lĂ ils nâavaient entendu parler quâen termes voilĂ©s et mystĂ©rieux. Les groupes de rencontres, les thĂ©rapies radicales, dâanciennes et de nouvelles combinaisons de thĂ©ories et pratiques dĂ©boulĂšrent sur le tapis roulant de la techno-spiritualitĂ©. Les intangibles de lâesprit Ă©taient maĂźtrisĂ©s ! Nâimporte qui pouvait vivre une expĂ©rience dĂ©sirable en manipulant sa conscience aux premiers niveaux du physique et du psychologique. Peu importait si tout cela faisait fi des processus vitaux de la raison et de la prise de dĂ©cision consciente. Par sa nature mĂȘme, toute la machine techno-spirituelle fonctionnait Ă plein, sans aucune pensĂ©e critique. Elle puisait au puits sans fond du sentiment-Ă©motion-ĂȘtre primordial. Peu importait si la majeure partie de cette Ă©motion Ă©tait nĂ©gative, dĂ©concertante, et engendrait anxiĂ©tĂ© et peur ! On pouvait tout faire ouvertement, on pouvait en faire une fĂȘte ! Chacune des nombreuses techniques mises au point Ă cette Ă©poque Ă©tait Ă mĂȘme de produire une « dĂ©fonce Ă©motionnelle » dâune sorte ou dâune autre. Il y avait dâinnombrables « expĂ©riences au sommet » et de spectaculaires « accomplissements personnels ». Le mĂ©lange du Zen, du Yoga, de la MĂ©ditation, avec des drogues et une technologie
strictement mĂ©canique, a Ă©tĂ© une vĂ©ritable aventure de la prise de conscience ! Le seul problĂšme a Ă©tĂ© quâau milieu de toute cette dĂ©fonce, ces explosions du mental, cet « allumage/alignement », cette extase et ces rencontres, beaucoup se sont trouvĂ©s en face de choses qui, sans doute, nâauraient pas dĂ» ĂȘtre Ă©veillĂ©es. Les frontiĂšres entre des univers de conscience « inregardables » et terrifiants ont Ă©tĂ© rompues. William CHITTICK, traducteur des oeuvres du grand Soufi le Cheikh Ibn AL-âARABI, Ă©crit : De nos jours, la plupart des gens qui sâintĂ©ressent Ă la spiritualitĂ© de lâorient dĂ©sirent « lâexpĂ©rience », encore quâils pourraient appeler ce quâils recherchent « la communion intime avec Dieu ». Ceux qui sont familiarisĂ©s avec les standards et les normes de lâexpĂ©rience spirituelle Ă©tablis par des voies de discipline comme le soufisme, sont gĂ©nĂ©ralement choquĂ©s par la maniĂšre donc les Occidentaux considĂšrent toute apparition hors du domaine de la conscience normale comme une manifestation du « spirituel ». En fait, il existe dans le monde de lâinvisible, dâinnombrables univers dont certains sont bien plus dangereux que les plus dangereuses des jungles du monde visible. DĂšs lors prĂ©servez-vous mes frĂšres, des calamitĂ©s de ce lieu, car il est extrĂȘmement difficile de les distinguer ! Les Ăąmes le trouvent charmant, et quand elles y sont, elles sont dupĂ©es, car elles sont complĂštement embobinĂ©es. [2] Pour la fin des annĂ©es 1960 le mouvement du « potentiel humain » Ă©tait devenu un vĂ©ritable pot-pourri de religions, de sciences, de mysticisme, de magie et occulte au rabais. Lâutilisation de drogues Ă©tait devenue incontrĂŽlable, les « techniques » ont commencĂ© Ă montrer leurs points faibles avec un grand nombre de tragĂ©dies criminelles ou de folie, et lâidĂ©e que les humains Ă©taient en train de devenir des «
surhommes psychiques » a complĂštement dĂ©rapĂ©. Les promesses des annĂ©es 1960 ont dĂ©gĂ©nĂ©rĂ© en communautĂ©s de vieux hippies lĂ©thargiques tressant leurs mĂšches grises, lâoeil allumĂ© par les joli(e)s jeunes rockers, et allumant mĂ©lancoliquement un joint pendant quâils Ă©voquaient les beaux jours dâEsalen. Mais attendez ! Il y a eu encore autre chose ! Rappelez-vous, nous sommes en AmĂ©rique ! Le pays du libre marchĂ©. Nombreux sont ceux qui ont dit que la subsĂ©quente prolifĂ©ration du mouvement « New Age » de prise de conscience avait Ă©tĂ© le fait des grosses sociĂ©tĂ©s qui avaient vu tout lâargent quâil y avait Ă faire avec le dĂ©veloppement dâune psychoanalyse et dâun psychodrame prĂ©sentĂ©s dans de nouveaux emballages attrayants. Il y a eu, en effet, de la distribution de masse et du marketing « Madison Avenue » de choses comme Mind Dynamics, Arica, MĂ©thode Silva de ContrĂŽle du Mental, MĂ©ditation transcendantale, etc. Les chefs dâentreprise savaient reconnaĂźtre une bonne affaire. Cependant, il y a davantage encore quâil nây paraĂźt Ă premiĂšre vue. Cela est important pour notre sujet, alors restez avec moi. Richard DOLAN a Ă©crit UFOs and the National Security State, la premiĂšre Ă©tude complĂšte couvrant les 50 derniĂšres annĂ©es de rĂ©actions du gouvernement des USA Ă lâintrusion du phĂ©nomĂšne OVNI en AmĂ©rique. Selon les preuves compilĂ©es â qui incluent des documents du gouvernement- ce serait un groupe de spĂ©cialistes travaillant dans lâombre, qui aurait mis au point et exĂ©cutĂ© la dissimulation la plus Ă©norme de lâhistoire du gouvernement, et le mouvement du Potentiel Humain ainsi que les subsĂ©quents mouvements New Age ont Ă©tĂ© des Ă©lĂ©ments clĂ©s dans le cadre de cette dissimulation. Autrement dit, le gouvernement ne sâest pas contentĂ© de se servir de la « communautĂ© colorĂ©e » des
idĂ©es alternatives comme dâun innocent outil de dĂ©sinformation : il est aussi hautement probable que cette dĂ©sinformation ait Ă©tĂ© mise au point en trĂšs grande partie par eux comme le COINTELPRO. DâaprĂšs les analystes, le COINTELPRO a Ă©tĂ© le programme secret du FBI, programme destinĂ© Ă battre en brĂšche le mouvement populaire qui a balayĂ© le pays au cours des annĂ©es 1960. Bien que le nom complet soit « Counterintelligence Program », les cibles nâĂ©taient pas des espions ennemis. Le FBI avait dĂ©cidĂ© dâĂ©liminer lâopposition politique « radicale » Ă lâintĂ©rieur mĂȘme des Ătats-Unis. Ce que beaucoup de gens nâont pas rĂ©alisĂ© câest quâil sâest agi dâune opĂ©ration psychologique de grande envergure, spĂ©cifiquement mise sur pied pour vĂ©hiculer des tendances idĂ©ologiques : croyances, etc. DOLAN Ă©crit : Le problĂšme OVNI implique des personnels militaires dans le monde entier depuis plus de cinquante ans, et il est entourĂ© de secret. [âŠ] Puisque ce sujet est si largement tournĂ© en ridicule, il est important de souligner pourquoi il mĂ©rite une attention sĂ©rieuse.[âŠ] Les histoires concernant dâĂ©tranges objets dans le ciel remontent loin dans le temps, mais le problĂšme nâa pas reçu beaucoup dâattention jusquâĂ la deuxiĂšme guerre mondiale. [âŠ] Pendant la vague dâOVNIs de 1947, Les forces armĂ©es et le Renseignement amĂ©ricains ont menĂ© de multiples enquĂȘtes simultanĂ©es sur ces observations. [âŠ] Pour la fin de lâannĂ©e 1947, un contingent dâanalystes du Air Technical Intelligence Center de la base aĂ©rienne de Wright-Patterson Ă©taient convaincus que les OVNIs Ă©taient extraterrestres. Pour lâĂ©tĂ© 1948, cette Ă©quipe prĂ©para une « Estimation de la Situation ». [âŠ] Il est dit que le Commandant de la lâArmĂ©e de lâAir Hoyt VANDENBERG rejeta cette conclusion.] [âŠ] Pendant lâĂ©tĂ© 1952⊠les observations dâOVNIs furent
si frĂ©quentes et souvent de si haute qualitĂ© que certains au sein de lâarmĂ©e de lâair se demandĂšrent si une invasion Ă©tait en cours. Avec lâaide du ComitĂ© Robertson secrĂštement soutenu par la CIA en janvier 1953, les forces aĂ©riennes accrurent la censure du problĂšme. Mais elles ne parvinrent pas Ă sâen dĂ©barrasser complĂštement. Des organismes civils se mirent Ă rĂ©colter et analyser dâintĂ©ressants rapports OVNIs. [âŠ] Puis arriva la grande vague dâOVNIs de 1965 et 1966, pendant laquelle lâarmĂ©e de lâair dut arrĂȘter de se cacher derriĂšre les ballons-sondes et les gaz des marais, et nâĂ©chappa plus Ă la curiositĂ© du public. [âŠ] ArrĂȘtons-nous un moment pour faire le point de la situation. Au cours des annĂ©es 1945-50, lâappareil du Renseignement amĂ©ricain a eu des raisons de croire quâil y avait dans le ciel des objets qui nâavaient pas Ă©tĂ© fabriquĂ©s en AmĂ©rique, ni en Russie, ni en Allemagne, ni dans aucun autre pays. Ces objets ont violĂ© certains espaces aĂ©riens militaires trĂšs « sensibles », et paraissaient ne pas ĂȘtre des phĂ©nomĂšnes naturels. On peut supposer que les autoritĂ©s nationales de la sĂ©curitĂ© ont eu pour obsession immĂ©diate de dĂ©terminer la nature et la destination de ces objets, et nous pouvons infĂ©rer que cette question est devenue un secret brĂ»lant dĂšs 1946, ou 1947 au plus tard. [3] Câest Ă ce moment prĂ©cis que le mouvement du Potentiel Humain a vu le jour. Devons-nous penser que câest une coĂŻncidence ? Ă partir des annĂ©es 1950 il est devenu Ă©vident que les choses Ă©chappaient Ă tout contrĂŽle, et en aoĂ»t 1956, le FBI a mis en place son opĂ©ration COINTELPRO. Quand il a fallu constater que les mĂ©thodes traditionnelles de rĂ©pression (dĂ©nonciations, harcĂšlement caractĂ©risĂ©, persĂ©cution pour crimes politiques) avaient Ă©chouĂ© Ă contrer lâinsurrection croissante et, au contraire, contribuaient Ă lâalimenter, le
Bureau sâest chargĂ© lui-mĂȘme de faire la loi. Ses mĂ©thodes sont allĂ©es bien au-delĂ de la surveillance et sont devenues une version domestique des actions en sous-main pour lesquelles la CIA a gagnĂ© sa rĂ©putation exĂ©crable dans le monde entier. En gĂ©nĂ©ral, lorsque nous pensons au COINTELPRO, nous pensons aux activitĂ©s les plus connues et typiques, qui comprennent lâenvoi de lettres anonymes ou fictives destinĂ©es Ă susciter et rĂ©pandre des rumeurs, la publication de fausses informations diffamatoires ou menaçantes, lâimitation de signatures sur de faux documents, lâinfiltration par des membres perturbateurs et subversifs au sein dâorganisations afin de dĂ©truire celles-ci de lâintĂ©rieur, etc. Il Ă©tait Ă©galement devenu commun de soumettre au chantage les membres de certains groupes afin de les forcer Ă rĂ©pandre de fausses rumeurs ou pour fomenter des factions. Ce que bien des gens ignorent câest que le COINTELPRO sâest Ă©galement livrĂ© Ă la crĂ©ation dâorganisations bidon. Ces groupes bidon pouvaient servir Ă beaucoup de choses, comme des attaques lancĂ©es contre des groupes de bonne foi ou la dĂ©sintĂ©gration de ceux-ci. Ou bien encore, ils pouvaient servir Ă simplement crĂ©er une diversion grĂące Ă une propagande savamment orchestrĂ©e afin de forcer les membres Ă gaspiller leur temps en activitĂ©s ineptes, ce qui les empĂȘchait de rien entreprendre dâutile. Le COINTELPRO a aussi Ă©tĂ© connu pour ses instigations Ă des actions hostiles par lâintermĂ©diaire de tierces parties. Selon les enquĂȘteurs, ces programmes du FBI avaient pour caractĂ©ristique remarquable quâils Ă©taient estampillĂ©s « ne pas classer ». Ce qui signifie quâils nâĂ©taient jamais archivĂ©s dans le systĂšme et nâavaient donc jamais existĂ© en aucune maniĂšre. Cette couverture a Ă©tĂ© « brĂ»lĂ©e » quand, en 1971, des activistes sont entrĂ©s par effraction dans un bureau du FBI Ă Media, en Pennsylvanie. La
possibilitĂ© de trouver aucune preuve de tout cela a Ă©tĂ© rĂ©duite Ă nĂ©ant aprĂšs cet Ă©vĂ©nement. Pour reprendre les mots de DOLAN : En ce qui concerne les matiĂšres ayant un rapport avec la « sĂ©curitĂ© nationale », il semble quâil y ait des trĂ©sors dâinformations qui nâont jamais eu dâexistence officielle. DĂšs lors, toute demande pour retrouver de tels documents dans le cadre de la Loi sur le Libre AccĂšs Ă lâInformation serait vaine. Il faut ajouter Ă cela la possibilitĂ© que les informations les plus sensibles Ă propos des OVNIs nâexistent sans doute pas sous forme de documents ( La premiĂšre rĂšgle pour garder le secret est : « rien sur papier », Richard HELMS), et on peut sâimaginer la difficultĂ© quâaura le chercheur honnĂȘte pour dĂ©nicher la vĂ©ritĂ© en matiĂšre dâOVNIs. [4] Ă prĂ©sent, procĂ©dons logiquement. Le problĂšme OVNI a fait son apparition dans la conscience nationale en 1947, ou vers ces annĂ©es-lĂ en tout cas. Peu de temps aprĂšs, des tas de gens ont commencĂ© Ă poser des tas de questions. Le gouvernement nây a pas rĂ©pondu, de sorte que les gens ont commencĂ© Ă se rĂ©unir pour chercher eux-mĂȘmes les rĂ©ponses. Ils ont commencĂ© Ă former des groupes. Et câest ici que les choses deviennent un peu curieuses. Ce qui semble avoir Ă©tĂ© le plus menacĂ© par les questions OVNIs/extraterrestres, ce sont les grandes religions monothĂ©istes. La religion paraĂźt ĂȘtre une composante nĂ©cessaire du contrĂŽle politique. Le contrĂŽle social - pilier de la religion â Ă©tait manifestement menacĂ©. En fait, il se peut mĂȘme que les religions telles que nous les connaissons nâauraient pas survĂ©cu Ă une rĂ©vĂ©lation complĂšte. La conclusion logique est donc quâune des raisons majeures du secret a Ă©tĂ© la protection du statu quo religieux. Dans la situation de lâĂ©poque, protĂ©ger le statu quo religieux â et principalement les contrĂŽles sociaux qui sont
parties intĂ©grantes des religions â Ă©tait, dans le meilleur des cas, alĂ©atoire. AprĂšs un siĂšcle de savant dĂ©cryptage de nombreux textes religieux et lâapparition de nombreuses questions au sujet des religions « des temps anciens », de nombreux membres de la sociĂ©tĂ© ont commencĂ© Ă se dĂ©tourner des dogmes religieux. Il est dĂšs lors assez facile de passer Ă lâĂ©tape logique suivante et de voir que la combinaison des questions des dĂ©senchantĂ©s de la religion et des questions de ceux qui voulaient seulement savoir ce qui diable pouvait bien se passer avec dâĂ©ventuels « extraterrestres » a Ă©tĂ© vue comme un mĂ©lange explosif. Il fallait faire quelque chose. Les actions du COINTELPRO dans ses tentatives de neutralisation de lâopposition politique ont Ă©tĂ© relativement bien mises en lumiĂšre. Mais nous devons Ă prĂ©sent considĂ©rer le fait quâen dehors des groupes actifs le COINTELPRO sâest particuliĂšrement occupĂ© de groupes recherchant la vĂ©ritĂ© sur les interactions entre le gouvernement des Ătats-Unis et les ultraterrestres, et autres « aliens ». Quâil y ait eu pendant longtemps une occultation de ces sujets, une longue dissimulation de ces sujets, cela ne fait aucun doute pour le chercheur attentif. Les dossiers COINTELPRO rĂ©vĂšlent que le gouvernement des USA a pris pour cible une trĂšs large gamme de groupes religieux, travaillistes et communautaires opposĂ©s Ă ses ambitions, et il est logique de supposer que le mĂȘme type dâopĂ©rations serait appliquĂ© pour Ă©touffer des « ambitions venues dâailleurs ». Une opĂ©ration thĂ©orique du COINTELPRO expliquerait aussi pourquoi, quand le chercheur honnĂȘte et sincĂšre veut sâinformer sur les phĂ©nomĂšnes OVNIs, il ne dĂ©couvre que mensonge sur mensonge, confusion et dĂ©sinformation. Câest lĂ sans doute aucun, la signature du COINTELPRO.
Au vu de tout ce qui prĂ©cĂšde, est-ce que quelquâun oserait suggĂ©rer quâil nâest pas venu Ă lâidĂ©e des Pouvoirs en Place que le meilleur moyen de dĂ©tourner lâattention et de dissimuler la vĂ©ritĂ© serait de financer et crĂ©er un « New Age » et un « Human Potential Movement » qui suivraient leur politique du secret ? Autrement dit, il est extrĂȘmement vraisemblable que les plus habiles et populaires champions de la mĂ©taphysique et impresarios New Age soient des agents du COINTELPRO â soit consciemment, soit dupĂ©s par ceux qui le sont vraiment. Lâobjectif semble ĂȘtre dâattaquer et « neutraliser » ceux qui cherchent des rĂ©ponses. Ceux qui sont sincĂšres, qui se lancent dans des recherches avec bonne foi et qui cherchent Ă expliquer la vĂ©ritĂ©, sont infiltrĂ©s, attaquĂ©s et marginalisĂ©s selon les procĂ©dures standard du COINTELPRO. Ce que tout cela paraĂźt suggĂ©rer, câest que les pouvoirs en place ont procĂ©dĂ© Ă de nouveaux dĂ©veloppements du COINTELPRO dans les domaines de la structure sociale et du lavage de cerveau culturel, et que les cibles principales de ces activitĂ©s sont virtuellement tous ceux qui recherchent la vĂ©ritĂ© sur les rĂ©alitĂ©s changeantes de notre monde. Les cas dâactions COINTELPRO Ă lâencontre de groupes politiques ne sont sans doute que le sommet de lâiceberg, Ă©tant donnĂ© que les opĂ©rations de type COINTELPRO restent secrĂštes longtemps aprĂšs que les dĂ©gĂąts ont Ă©tĂ© provoquĂ©s. Tout indique que des opĂ©rations domestiques Ă couvert sont devenues monnaie courante dans la politique et la programmation sociale des USA, et il est trĂšs improbable, au vu de lâĂ©vidence, que les domaines du New Age et du Potentiel Humain en soient exclus. Les implications de tout cela sont extrĂȘmement alarmantes. Ceux qui parviennent Ă rester proches de la vĂ©ritĂ©
en dĂ©pit des nombreux obstacles, doivent faire face Ă des campagnes de discrĂ©dit Ă lâĂ©chelle nationale, qui mettent Ă mal leurs recherches et leur rĂ©putation. Il est clair que le COINTELPRO et dâautres opĂ©rations similaires sous dâautres noms travaillent Ă©galement Ă dĂ©former les perceptions acadĂ©miques et populaires des problĂšmes qui se prĂ©sentent Ă notre monde. Ils ont causĂ© de terribles torts Ă la recherche de la VĂ©ritĂ©. « Le terrorisme est en train de changer. De nouveaux adversaires, de nouvelles motivations et de nouvelles justifications ont fait surface ces derniĂšres annĂ©es, pour mettre en question une grande partie de la sagesse conventionnelle ⊠» a Ă©crit le Dr. Bruce HOFFMAN, Directeur de RAND. Il a raison. Le problĂšme est que le lecteur nâa souvent pas conscience de la dĂ©finition des « nouveaux adversaires » impliquĂ©s dans ses remarques. La lecture attentive du livre de Richard DOLAN rĂ©vĂšle trĂšs vite ce quâa vraiment voulu dire le Dr. HOFFMAN dans ses remarques Ă propos du « terrorisme ». Sur la base des documents rassemblĂ©s par DOLAN, il est manifeste que les gouvernements du monde voient en effet le problĂšme OVNI comme un sujet trĂšs, trĂšs sĂ©rieux. Pendant quâil rĂ©coltait les documents et faisait rapport sur les Ă©vĂ©nements, DOLAN en est venu Ă lâinĂ©vitable conclusion quâil existe un groupe « au-dessus du Top Secret » qui a accĂšs Ă toutes les donnĂ©es OVNI disponibles, et que ce groupe « couvre » les domaines du gouvernement, des forces armĂ©es, et de lâindustrie. Il est prouvĂ© que les militaires ont mis au point une complĂšte fiction dont ils ont nourri le public, et selon laquelle les masses doivent ĂȘtre convaincues que le problĂšme OVNI nâexiste pas. Pour jeter de la poudre aux yeux du public ils ont Ă©tĂ© aidĂ©s par les « medias et la culture officiels qui ont la main lourde assez » et ils ont manifestement reçu des ordres
pour « dĂ©samorcer » sans trĂȘve ni repos lâidĂ©e que les extraterrestres sont installĂ©s dans notre monde. Ă la vĂ©ritĂ©, il semble que la plupart de nos Ă©lus soient autant que nâimporte qui victimes de cette dĂ©sinformation. Et cela est vrai aussi pour les sciences « orthodoxes ». DOLAN Ă©crit : Avec le Bureau, les services militaires du Renseignement sont devenus la composante la plus importante dans le tableau du Renseignement domestique. Le Renseignement militaire disposait de fonds pratiquement illimitĂ©s, dâeffectifs importants, de personnel spĂ©cialisĂ©, de ressources apprĂ©ciables en planification et en formation, et des moyens les plus sophistiquĂ©s en matiĂšre de communication et de traitement des donnĂ©es . [âŠ] La surveillance par les services de renseignement de lâarmĂ©e nâest pas focalisĂ©e sur les donnĂ©es tactiques et de reconnaissance, mais bien sur le politique et lâidĂ©ologique au sein des Ătats-unis dâAmĂ©rique. (Et ceci Ă©tait totalement illĂ©gal.) [âŠ] Puis vint la CIA. Vers la fin des annĂ©es 1960, il y avait au MinistĂšre des Affaires ĂtrangĂšres plus dâespions que de diplomates ou que dâemployĂ©s au MinistĂšre du Travail. [âŠ] Lorsque le Weather Underground [5], un groupe dissident radical du SDS [6], a eu recours au « test de la pierre de touche » pour dĂ©tecter les agents provocateurs, ils ignoraient totalement que la CIA avait « voyagĂ© » au LSD pendant toutes les annĂ©es 1950, crĂ©ant ainsi une caste spĂ©ciale dâagents « allumĂ©s » spĂ©cialement pour ce genre dâoccasions. [Ă ce sujet, nous pouvons nous poser des questions sur les « agents provocateurs spĂ©cialement formĂ©s » de la communautĂ© New Age et OVNI]. Lâagence a poursuivi son travail sur le contrĂŽle du mental. Dans le cadre des travaux du Dr. JosĂ© DELGADO [des
expĂ©riences dans le domaine de la] stimulation Ă©lectrique du cerveau [ont Ă©tĂ© menĂ©es.] Cela impliquait lâimplantation dâ Ă©lectrodes dans le cerveau et le corps ; le rĂ©sultat Ă©tait que la mĂ©moire, les impulsions et les sentiments du sujet pouvaient ĂȘtre mis sous contrĂŽle. En outre, la stimulation Ă©lectrique du cerveau pouvait provoquer des hallucinations, tout autant que la peur ou le plaisir. « Elle pouvait littĂ©ralement manipuler Ă volontĂ© la volontĂ© humaine « , [dixit le Dr. Robert KEEFE, neurochirurgien Ă la Tulane University.] En 1968, George ESTABROOKS, un autre scientifique allumĂ©, a commis une indiscrĂ©tion en parlant Ă un journaliste du Providence Evening Bulletin. « La clĂ©, pour crĂ©er un espion ou un assassin efficace, rĂ©side en la crĂ©ation dâune personnalitĂ© multiple Ă lâaide de lâhypnose » , procĂ©dure quâil a dĂ©crite comme « jeu dâenfant ». Au dĂ©but de lâannĂ©e 1969, des Ă©quipes appartenant Ă la CIA ont menĂ© un certain nombre dâexpĂ©riences bizarres sur le contrĂŽle du mental, sous lâappellation de Operation Often. En plus de lâassortiment habituel de chimistes, biologistes et scientifiques conventionnels, lâopĂ©ration a fait appel Ă des mĂ©diums et experts en dĂ©monologie. Quant Ă la NSA [7], tout ce quâon peut en dire avec certitude câest que son budget a Ă©crasĂ© tous ceux des autres organismes de la communautĂ© du renseignement. [8] Documents Ă lâappui, DOLAN a montrĂ© comment les organes du Renseignement aux Ătats-Unis â et trĂšs probablement ceux dâautres pays qui travaillent de concert avec eux, bien quâen public ils puissent prĂ©tendre ĂȘtre leurs opposants â ont menĂ© des expĂ©riences extrĂȘmes sur le contrĂŽle du mental, la vaporisation de produits biologiques sur des villes amĂ©ricaines, les injections de plutonium et de syphilis chez des humains, lâinterception illĂ©gale de communications, la
surveillance domestique Ă lâĂ©chelle nationale de citoyens privĂ©s, les assassinats et coups politiques, la manipulation des mĂ©dias, et le mensonge permanent au public, particuliĂšrement en ce qui concerne les OVNIs. Les organismes citĂ©s ci-dessus se sont assurĂ©s, par tous les moyens disponibles, que pour le public au sens large, les OVNIs et les extraterrestres restent une « voie sans issue ». Lâhomme de science et avocat de lâouverture en matiĂšre dâOVNIs, a dit en 1969 : « Je suis assez rĂ©aliste que pour sentir quâĂ moins que le prĂ©sent symposium AAAS [9] ne rĂ©ussisse Ă faire prendre conscience Ă la communautĂ© scientifique du sĂ©rieux du problĂšme OVNI, il est peu probable quâun appel Ă de nouvelles investigations soit entendu ». MCDONALD a prĂ©sentĂ© un brillant article intitulĂ© « Science in Default : Twenty-two Years of Inadequate UFO Investigations [10] ». DOLAN ajoute que cela a Ă©tĂ© « sans doute la dĂ©claration la plus accablante jamais faite Ă propos des recherches sur les OVNIs ». Sâadressant Ă la Convention tenue Ă lâhĂŽtel Sheraton Plaza de Boston, MCDONALD nâa Ă©pargnĂ© personne : CONDON, MENZEL, HYNEK, et pour finir, tout « lâestablishment » lui-mĂȘme. Voici ce quâil en a dit : Aucune enquĂȘte scientifique adĂ©quate nâa Ă©tĂ© entreprise sur le problĂšme OVNI pendant ces vingt-deux derniĂšres annĂ©es, depuis la grande vague dâobservations dâobjets non-identifiĂ©s volant dans le ciel au cours de lâĂ©tĂ© 1947. âŠĂ mon avis, le problĂšme OVNI, loin dâĂȘtre un problĂšme farfelu, comme le qualifient de nombreux hommes de science, est en fait une question dâun intĂ©rĂȘt scientifique extraordinaire. Le grand problĂšme câest que pratiquement toutes les Ă©tudes qui ont Ă©tĂ© faites sur les OVNIs ont soit Ă©tĂ© dĂ©pourvues dâun substantiel contenu scientifique, soit se sont Ă©garĂ©es dans le « bruit » qui tend Ă couvrir le signal authentique dans les rapports
sur des OVNIs [11]. Ce grand tintamarre qui Ă©touffe tout signal rĂ©el, est de toute Ă©vidence le produit direct des activitĂ©s frĂ©nĂ©tiques de la « National State Security » (SĂ»retĂ© Nationale dâĂtat) qui a mis en scĂšne le spectacle de prestidigitation du New Age/Potentiel Humain. Ce qui est tout aussi Ă©vident, câest que ce tintamarre est Ă lâorigine de la doctrine scientifique qui doit prĂ©valoir. Nous voyons que la CommunautĂ© scientifique, tout en clamant quâelle est Ă la recherche de vĂ©ritĂ©s scientifiques avancĂ©es, a Ă©tĂ© dupĂ©e aussi aisĂ©ment que Monsieur Tout-le-monde ou Madame Cherche-VĂ©ritĂ©. Le premier ne sâintĂ©resse quâĂ sa voiture, son chien et son match de football du week-end, et la seconde est gĂ©nĂ©ralement Ă la recherche dâun style de vie qui puisse lui procurer des expĂ©riences « Ă©levĂ©es ». Ce que je soupçonne aussi, câest que mĂȘme les Ă©chelons infĂ©rieurs des renseignements nationaux et de lâarmĂ©e sont inclus dans ce grand troupeau de dupes et de moutons mystifiĂ©s. Un exemple de duperie par ceux qui scrutent cette matiĂšre « de bas en haut » est Andrew TULLY auteur de The Super Spies [12], prĂ©tendument un des premiers rapports sur la NSA. Lui-mĂȘme - et de nombreux autres qui lâont suivi - suggĂšre que les OVNIs sont des appareils de « renseignement » dĂ©couverts parmi les secrets nazis apportĂ©s aux USA dans le cadre du Projet « Paperclip ». [13] [14] DOLAN Ă©tale les preuves et nous Ă©claire sur les allĂ©gations des naĂŻfs thĂ©oriciens dâune conspiration, selon lesquelles les activitĂ©s OVNIs seraient le fruit de dĂ©couvertes humaines. Comme il le dit, « toutes les flĂšches pointent vers un NON dĂ©finitif ». Il souligne ensuite que toute personne qui Ă©tudie rĂ©ellement le problĂšme OVNI [et parmi elles votre humble servante, qui a commencĂ© par ĂȘtre une sceptique pure et dure] â acquiert la conviction quâil sâagit bien dâun problĂšme
dâinvasion de notre planĂšte par des ĂȘtres venus dâailleurs. Toutes les Ă©tudes officielles sur les OVNIs ont persuadĂ© les chercheurs que les extraterrestres Ă©taient lâexplication contenue dans les donnĂ©es. Mais ces donnĂ©es ont Ă©tĂ© tenues en mĂ©pris, et quand le dĂ©ni nâa plus fonctionnĂ©, alors elles ont Ă©tĂ© masquĂ©es par le vacarme, la fumĂ©e et les miroirs aux alouettes qui sont les fonds de commerce des mouvements actuels du New Age et du Potentiel Humain. Pensons-nous quâil sâagisse dâune coĂŻncidence ? Un autre « producteur de vacarme » manifeste est le non-sens qui passe de nos jours pour « channeling » ou « contacts avec des extraterrestres ». Certes, notre travail inclut une certaine part de ce qui peut ĂȘtre appelĂ© de lâinspiration ; mais ainsi que nous lâavons fait remarquer moultes fois, ce nâest pas de lâinformation reçue en channeling comme on la comprend habituellement, et nous ne la traitons pas comme telle non plus. Pour nous, une expĂ©rience de channeling contrĂŽlĂ© comprend 10% dâinspiration Ă faire confirmer par les 90% du temps passĂ© Ă transpirer sur des recherches approfondies. Avec une large conscience historique des faits, les pieds fermement plantĂ©s dans la rĂ©alisation que la majeure partie de ce qui est disponible est de la dĂ©sinformation dĂ©libĂ©rĂ©e, lâindividu qui passe en revue la plĂ©thore « dâinformations alternatives » dans les livres ou sur lâInternet, reconnaĂźt facilement le facteur « bruit » produit par lâĂtat Secret. DOLAN raconte : DĂšs le dĂ©but des annĂ©es 1970, il a existĂ© des moyens dâaltĂ©rer lâhumeur de personnes non informĂ©es. Un transmetteur de poche gĂ©nĂ©rant une Ă©nergie Ă©lectromagnĂ©tique de moins de 100 milliWatts pouvait faire lâaffaire. Cela nâest pas un conte Ă dormir debout. En 1972, le Dr. Gordon J.F. MCDONALD a portĂ© tĂ©moignage devant le House
Subcommittee on Oceans and International Environment sur la question des armes Ă©lectromagnĂ©tiques utilisĂ©es dans le contrĂŽle du mental et la perturbation mentale. Il a dĂ©clarĂ© : LâidĂ©e premiĂšre Ă©tait de crĂ©er, entre lâionosphĂšre chargĂ©e Ă©lectriquement dans les couches supĂ©rieures de lâatmosphĂšre dâune part, et les couches conductrices de la surface de la Terre dâautre part, une cavitĂ© neutre pour crĂ©er des ondes, des ondes Ă©lectriques qui seraient accordĂ©es sur les ondes du cerveau. âŠEnviron dix cycles par seconde. âŠOn peut produire des changements dans les modĂšles comportementaux ou dans les rĂ©actions. LâannĂ©e suivante, le Dr. Joseph C. SHARP, du Walter Reed Hospital, alors quâil se trouvait dans une chambre dâisolation acoustique ; put entendre des mots diffuĂ©s par « audiogramme Ă micro-ondes pulsĂ©es ». Ces mots lui Ă©taient transmis sans lâintermĂ©diaire dâaucun appareil Ă©lectronique : ils lâatteignaient par transmission directe au cerveau. [15] Lisez ce qui prĂ©cĂšde en termes de « chemtrails [16] ». Et notez les commentaires Ă ce sujet, en provenance de nos propres sources, non pas dâextraterrestres, mais « nous dans le futur ». 04-12-99 Q : (L) Mais Ă mon avis, il reste le fait que depuis quelques annĂ©es il y a des tas, et des tas et des tas dâavions qui nous survolent ! Peut-ĂȘtre laissent-ils tomber quelque chose sur nos tĂȘtes, ou quoi, en tout cas il y a un trĂšs grand nombre dâavions qui nous survolent en laissant derriĂšre eux des motifs de lignes entrecroisĂ©es. Quâils soient en train de jouer Ă la guerre, ou quâil sâagisse dâavions espions, en tout cas ils font quelque chose ! Quelle est la raison de ces survols haut dans le ciel, et qui laissent derriĂšre eux des lignes entrecroisĂ©es que tout le monde peut voir ?
R : Une grande partie de cela est dâorientation « manoeuvre dâentraĂźnement » . Q : Pourquoi entraĂźnent-ils autant de pilotes ? Ă quoi se prĂ©parent-ils ? R : Les budgets militaires doivent ĂȘtre justifiĂ©s, vous savez. Voyez le « Complexe militaro-industriel 101 ». Q : Donc, ce sont juste des vols dâessai, des justifications de budget, et rien dâautre ? R : Eh bien, nous ne dirions pas « rien dâautre », mais quand on dit « M-IC [17] » on a beaucoup dit ! Q : Vous voulez dire quâil y a une accumulation de « Complexe Militaro-Industriel » pour une raison prĂ©cise ? R : Pour prĂ©server le statu quo en « temps de paix ». La paix nâest pas trĂšs profitable, savez-vous. Q : Est-ce que cela suggĂšre quâils en rajoutent pour provoquer une guerre afin de faire plus dâargent ? R : Peut-ĂȘtre, en effet ; et si le peuple peut ĂȘtre dupĂ©. Mais heureusement, le public est moins « trompable ». Lâennemi rĂ©el est peut-ĂȘtre « là », plutĂŽt que « de lâautre cĂŽtĂ© » . Est-ce que cela nâa pas toujours Ă©tĂ© ainsi ? Q : Est-ce que ces activitĂ©s aĂ©riennes accrues ont quelque chose Ă voir avec la conscience accrue et les activitĂ©s extraterrestres sur et autour de notre planĂšte ? R : Comme toujours. Mais cette conscience est divisĂ©e en factions et compartiments. Les commentaires des CassiopĂ©ens ont pris une toute nouvelle signification Ă la lumiĂšre de la situation actuelle â 11 septembre et le reste â ainsi que le goĂ»t de BUSH pour la « guerre ». Notons Ă©galement la trĂšs intĂ©ressante remarque que la « conscience accrue « est « divisĂ©e en factions et compartiments ». Câest ainsi que nous en arrivons Ă la fonction du COINTELPRO qui consiste Ă crĂ©er des organisations bidon
pour attaquer ou dĂ©stabiliser les groupes de bonne foi. Nous avons dĂ©jĂ notĂ© le fait que les recherches montrent que la stimulation Ă©lectrique du cerveau peut produire des hallucinations. Si lâon met ensemble les hallucinations et les mots, il est possible de produire tout ce quâon veut en matiĂšre de « bruit » pour faire taire la vĂ©ritĂ© â y compris les « reptiliens qui peuvent se changer en humains », ou « il y a un Gris dans la salle de bain », ou la « Guardian Alliance », ou un « Conseil de Nibirou », ou un « Ashtar Command », ou bien encore des baleines et dauphins qui parlent, etc. Tout ce que vous voulez â ils peuvent le produire au moyen de voix dans la tĂȘte, des hallucinations et des transmissions de frĂ©quences qui produisent des Ă©tats dâextase, des guĂ©risons, ou que sais-je encore. Câest ainsi que lâĂ©lĂ©ment humain des opĂ©rations cosmiques du COINTELPRO gĂšre les nombreux « agents » en dĂ©sinformation â joueurs de flĂ»te de Hamelin [18] menant les foules dâaspirants New Age - afin que, quelle que soit la vĂ©ritĂ©, elle demeure leur propre secret. Et câest exactement ce quâils veulent. Remarquez les dates dans la citation ci-dessus du livre de DOLAN qui nous dit quâau dĂ©but des annĂ©es 1970 certaines technologies ont Ă©tĂ© mises au point, capables de « diffuser » des signaux pour la nation tout entiĂšre. Nous soupçonnons fortement que cette technologie a Ă©tĂ© plus loin encore au cours des annĂ©es qui ont suivi. La question est : quâen ont-ils fait ? Ou plutĂŽt, quâen font-ils ? Ce qui me frappe essentiellement dans ces opĂ©rations COINTELPRO, câest le dĂ©but de la « dĂ©nonciation » de deux thĂšmes qui dominent dans certains cercles « de conspirateurs » encore aujourdâhui : rapts extraterrestres et abus lors de rituels sataniques. Câest Budd HOPKINS qui a « laissĂ© filtrer » le scĂ©nario
des extraterrestres gris. Les livres sur des enlĂšvements Ă©crits par Whitley STRIEBER, et parmi ceux-ci Communion, ont suivi quelques annĂ©es plus tard. Avant la publication de ces livres, les omniprĂ©sents « extraterrestres gris » nâavaient jamais Ă©tĂ© vus nulle part. En fait, lâĂ©tude de lâhistoire des cas de « contacts » montre que le type, la variĂ©tĂ© et le comportement des « aliens » sont trĂšs diffĂ©rents au-delĂ des frontiĂšres, dans le monde. Mais dâabord vint Budd, et puis Whitley avec son extraterrestre au regard fixe sur la couverture, et soudain, les Gris Ă©taient partout. En ce qui concerne Whitley et ses Gris, permettez-moi de souligner un des commentaires de DOLAN citĂ©s plus haut : « Au dĂ©but de lâannĂ©e 1969, des Ă©quipes appartenant Ă la CIA ont menĂ© un certain nombre dâexpĂ©riences bizarres en contrĂŽle du mental, sous lâappellation de Operation Often. En plus de lâassortiment habituel de chimistes, biologistes et scientifiques conventionnels, lâopĂ©ration a fait appel Ă des mĂ©diums et experts en dĂ©monologie. Cela nous ramĂšne Ă un Ă©vĂ©nement parallĂšle survenu Ă la mĂȘme Ă©poque : des abus lors de rituels sataniques (SRA). SRA est le nom donnĂ© Ă ce qui est supposĂ© ĂȘtre lâabus systĂ©matique dâenfants (et autres ĂȘtres) par les satanistes. Si nous gardons en mĂ©moire notre chronologie, câest du milieu Ă la fin des annĂ©es 1970 que les allĂ©gations Ă propos de lâexistence dâun « culte satanique intergĂ©nĂ©rationnel bien organisĂ© dont les membres molestent sexuellement, torturent et assassinent des enfants dans tous les Ătats-Unis » ont commencĂ© Ă faire leur apparition en AmĂ©rique. Un mouvement de panique a Ă©tĂ© dĂ©clenchĂ© Ă lâĂ©gard du SRA par un livre de fiction intitulĂ© Michelle Remembers [19]. Ce livre a dâabord Ă©tĂ© publiĂ© comme un fait rĂ©el, mais par la suite, au moins trois enquĂȘteurs indĂ©pendants ont dĂ©montrĂ© quâil sâagissait dâune
mystification. Aucune preuve matĂ©rielle prouvant lâexistence de SRA nâa jamais Ă©tĂ© dĂ©couverte en AmĂ©rique du Nord, tout comme aucune preuve matĂ©rielle nâa jamais Ă©tĂ© produite en ce qui concerne les extraterrestres gris. Quoi quâil en soit, ces allĂ©gations ont Ă©tĂ© largement diffusĂ©es Ă la radio et au cours de talk shows tĂ©lĂ©visĂ©s, comme celui de Geraldo RIVERA. Les fondamentalistes religieux ont encouragĂ© lâhystĂ©rie et, comme pendant lâInquisition, des « dĂ©fenseurs de la morale » ont largement alimentĂ© les feux de la persĂ©cution ainsi que leurs propres comptes en banque. La majeure partie des premiĂšres accusations dâabus lors de rituels sataniques ont concernĂ© des gens de la classe moyenne disposant de ressources limitĂ©es et, Ă lâexception de quelques uns trĂšs rares, les mĂ©dias et autres groupes qui se montrent dâordinaire sceptiques, sont restĂ©s silencieux ou bien ont rejoint les rangs de ceux qui alimentaient les accusations frĂ©nĂ©tiques. Les quelques professionnels qui ont parlĂ© contre lâhystĂ©rie ont Ă©tĂ© systĂ©matiquement attaquĂ©s et discrĂ©ditĂ©s par les agences gouvernementales et les organismes privĂ©s. Il fallait que la question soit posĂ©e : sâil y a des milliers dâaccusations de SRA sans fondement, et des milliers et des milliers de cas de rapts extraterrestres non vĂ©rifiables, dâoĂč viennent-ils ? La plupart des cas de SRA sont dits se produire sur des enfants. Puisquâil est universellement admis que les enfants ne racontent pas dâhistoires Ă propos dâenfants qui en mangent dâautres ou qui sont forcĂ©s de sâaccoupler avec des girafes aprĂšs avoir volĂ© dans un avion, tout cela pendant quâils sont supposĂ©s se trouver dans leurs garderies dâenfants, les rĂ©cits sont souvent admis au pied de la lettre par de naĂŻfs magistrats, thĂ©rapeutes, officiers de police et parents. Des chercheurs ont dĂ©couvert que les enfants ne sont pas susceptibles dâinventer
par eux-mĂȘmes des histoires dâabus lors de rituels sataniques. Alors, dâoĂč proviennent ces histoires ? Accuser les thĂ©rapeutes, les magistrats, les policiers et les parents dâencourager les enfants Ă produire de telles histoires ne constitue pas une rĂ©action trĂšs positive. Certes, cela peut se produire dans certains cas, mais cela ne semble pas probable pour la grande majoritĂ© dâentre eux. Ă prĂ©sent, remontons dans notre chronologie. Il se fait que Michelle Remembers a Ă©tĂ© publiĂ© en 1980, co-Ă©crit par Michelle SMITH et Lawrence PAZDER, et M.D. Budd HOPKINS a terminĂ© son Missing Time en dĂ©cembre 1980, avec une « suite » Ă©crite par Aphrodite CLAMAR, Ph.D. Cela semble assez « coĂŻncidant », de lâendroit oĂč je regarde. Ce quâil me semble â en mettant ensemble les piĂšces du puzzle â câest quâune sorte dâimagerie gĂ©nĂ©rale est largement diffusĂ©e dans la « cavitĂ© neutre » dĂ©crite plus haut, et quâelle « prend » selon les individus et leur programmation culturelle. Si nous considĂ©rons que lâOperation Often a fait appel à « lâassortiment normal de chimistes, biologistes et hommes de science conventionnels » ainsi quâĂ des « mĂ©diums et experts en dĂ©monologie », nous pouvons penser que le COINTELPRO Ă©lectronique inclut tout un supermarchĂ© de nouvelles « croyances » - des extraterrestres gris et des « contacts extraterrestres » pour la clientĂšle du New Age et tout un rayon de « scĂ©narios dâabus rituels-sexuels » pour ceux qui ne sont pas ouverts au « show » extraterrestre. Est-ce que le tout est diffusĂ© comme une sorte dâ « imagerie de libre forme » et que, selon lâacceptation consciente de lâune ou lâautre version, elle prend ses caractĂ©ristiques individuelles dans le mental des millions de destinataires ? Autrement dit, est-ce que cela est sĂ©lectionnĂ© par le
subconscient en Ă©tat alpha ou de sommeil, perçu comme traumatisant dans un scĂ©nario gĂ©nĂ©ral pouvant ĂȘtre interprĂ©tĂ© par les systĂšmes de croyance individuels comme des examens mĂ©dicaux et/ou une manipulation sexuelle par des extraterrestres sur une table, ou comme des « viols sur un autel » par des satanistes ? Est-ce que les productions publiques - livres de HOPKINS et de STRIEBER, et les scandales de SRA, ne seraient que des variantes de la fermeture du circuit par lâesprit conscient qui accepte ou crĂ©e lâun ou lâautre scĂ©nario comme lâexplication du constant bombardement par des signaux tels que dĂ©crits dans le livre de DOLAN ? Est-ce que câest le job du COINTELPRO de crĂ©er des organismes bidon qui produisent diverses « explications » pour fermer le circuit et le « rendre rĂ©el » dans lâesprit des gens ? On peut se poser des questions sur le nom du programme : « Operation Often » en se basant sur les affirmations de personnes enlevĂ©es - victimes de rapts rĂ©pĂ©tĂ©s et « souvent » â ainsi que sur les dĂ©clarations de ceux qui suggĂšrent lâexplication SRA. Dans les deux cas le croyant est « mĂȘlĂ© au troupeau » dans un « camp de rĂ©ponse » : soit la foi dans des extraterrestres sauveurs, soit la foi en JĂ©sus devenu le sauveur des illuminati dĂ©moniaques/sataniques, des Juifs, des PaĂŻens, choisissez ce qui vous plaĂźt le mieux. Laissez-moi dire clairement quâen aucune façon je ne veux suggĂ©rer que des « enlĂšvements » ou des satanĂ©s sataniques rituels nâont jamais lieu. Ce que je suggĂšre, câest que le phĂ©nomĂšne « Gris extraterrestres » et SRA nâa certainement pas Ă©tĂ© rĂ©primĂ© par le COINTELPRO, et quâil pourrait bien ĂȘtre de la fumĂ©e et des miroirs truquĂ©s qui dissimulent une situation bien plus insidieuse. En rĂ©sumĂ©, le livre de DOLAN raconte comment de nombreux Ă©chelons de la sociĂ©tĂ© ont Ă©tĂ© dupĂ©s et trompĂ©s â ou
directement mis sous contrĂŽle - : depuis le citoyen moyen jusquâau chercheur des plus hautes vĂ©ritĂ©s, jusquâĂ la progĂ©niture des sciences et de lâindustrie, jusquâaux saints des saints du gouvernement. Chaque « type » a Ă©tĂ© ciblĂ© de la maniĂšre la plus susceptible de les « gĂ©rer » de la maniĂšre appropriĂ©e. Ceux qui ne peuvent pas ĂȘtre « gĂ©rĂ©s » meurent en gĂ©nĂ©ral ;, comme lâhomme de science James MCDONALD â et dâautres. Mais pendant tout ce temps les OVNIs ont continuĂ© Ă affluer, et les gens ont continuĂ© Ă les observer et Ă poser des questions. En avril 1971, un magazine spĂ©cialisĂ© dans la recherche dâingĂ©nierie industrielle : Industrial Research, a publiĂ© les rĂ©sultats dâune enquĂȘte montrant que 80 % de ses membres rejetaient le Rapport Condon ; 76 % Ă©taient convaincus que le gouvernement dissimulait des faits relatifs Ă des OVNIs ; 32 % croyaient que les OVNIs Ă©taient dâorigine extraterrestre. EnquĂȘte ou pas enquĂȘte, la CIA a continuĂ© Ă mentir au sujet de son intĂ©rĂȘt pour les OVNIs. [âŠ] Lâhistoire la plus noire a Ă©tĂ© le dĂ©cĂšs de James MCDONALD en 1971. [physicien se consacrant Ă lâĂ©tude de lâatmosphĂšre Ă lâUniversitĂ© de lâArizona.] De lâavis gĂ©nĂ©ral, MCDONALD Ă©tait en bonne santĂ© pendant toute lâannĂ©e 1970 et au dĂ©but 1971. Le 2 mars 1971, il apporta son tĂ©moignage dâexpert en physique atmosphĂ©rique au ComitĂ© de la Chambre sur les Appropriations concernant le transport supersonique (SST) et ses effets potentiellement nĂ©fastes pour lâatmosphĂšre. Les adversaires de MCDONALD mirent en doute ses compĂ©tences et le tournĂšrent en ridicule, le prĂ©sentant comme quelquâun qui croyait que « des petits hommes verts parcouraient le ciel ». Il y eut des Ă©clats de rire dans la salle Ă plusieurs reprises. [âŠ]
Peu aprĂšs cet incident, MCDONALD se tira une balle dans la tĂȘte et devint aveugle. Il fut placĂ© dans le service psychiatrique du centre mĂ©dical VA de Tucson. En juin, il signa les documents de dĂ©charge et quitta lâhĂŽpital. Le dimanche matin 13 juin, une femme de Tucson Sud, se prĂ©tendant mĂ©decin, dĂ©clara quâun homme aveugle au cerveau dĂ©rangĂ© avait pris un taxi dans les environs. Elle voulait savoir si le chauffeur du taxi lâavait dĂ©posĂ© quelque part, et elle fit plusieurs visites. Pendant ce temps, un couple mariĂ© accompagnĂ© de ses enfants, qui se promenait le long dâune baie peu profonde, trouva Ă 11h40 du matin, le corps de MCDONALD sous un pont. Un revolver de calibre .38 se trouvait dans le sable, prĂšs de sa tĂȘte. Une brĂšve note attribuait son suicide Ă des problĂšmes de mariage et de famille. [âŠ] Nous savons que de nombreuses agences de renseignement sont habiles dans la crĂ©ation de « suicides ». Mais on pourrait faire la remarque que la condition mentale de MCDONALD Ă©tait dĂ©jĂ fortement dĂ©tĂ©riorĂ©e. Jerome CLARK a dĂ©clarĂ© que MCDONALD Ă©tait prĂȘt à « craquer » Ă la suite des Ă©vĂ©nements qui sâĂ©taient produits lors de lâaudience concernant le SST. Mais quâest-ce qui a provoquĂ© cela ? Lâembarras Ă lâaudience sur le SST ? Son mariage ? On peut le supposer, mais ces deux explications sont bien peu convaincantes. Sans exception, tous ceux qui connaissaient MCDONALD lâont dĂ©crit comme un homme dâune grande intĂ©gritĂ© et dâun grand courage. Ătait-il vraiment le type dâhomme Ă se suicider ? [20] MCDONALD a Ă©tĂ© dĂ©crit comme un homme qui nâavait peur de rien. Ce qui semble le confirmer, câest quâil a Ă©tĂ© tuĂ© pour cela. HYNEK a Ă©crit que MCDONALD Ă©tait considĂ©rĂ© par la Force AĂ©rienne, comme « un empĂȘcheur de tourner en rond, qui nâavait pas son pareil ». Avec lâarsenal de moyens de contrĂŽle du mental dont ils
disposent et que nous avons dĂ©crits, nous avons une assez bonne idĂ©e de ce quâ « ils » peuvent faire au mental. MĂȘme aux plus forts. Il semble que ni le courage, ni lâintĂ©gritĂ© ne constituent des protections. Nous voudrions mentionner une autre mort mystĂ©rieuse : celle dâEdward RUPPELT. AprĂšs avoir prĂŽnĂ© la divulgation pendant des annĂ©es il fit soudainement volte-face, rĂ©-Ă©crivit son livre, rejeta sa conviction que les OVNIs Ă©tait des vaisseaux extraterrestres, et il mourut dans lâannĂ©e mĂȘme, Ă un Ăąge trĂšs peu avancĂ©. Il me semble Ă moi que sâils ne peuvent corrompre une personne, ils la tuent. Et sâils peuvent la corrompre, ils la tuent tout de mĂȘme pour quâelle nâait aucune chance de changer dâavis et renier son abjuration comme le fit Jacques DE MOLAY lors de lâĂ©limination des Templiers. Il semble que ceux qui « sâapprochent du ventre de la BĂȘte » sont gĂ©nĂ©ralement soumis Ă une « nouvelle approche ». Et cette approche est la plus grande trahison de toutes. Bien des gens importants et influents ont attestĂ© de la vĂ©racitĂ© du phĂ©nomĂšne OVNI, le qualifiant de « rĂ©alitĂ© extraterrestre ». Au sein de tous les organismes militaires, ceux qui sont en faveur de lâhypothĂšse extraterrestre sont nombreux. Mais, comme nous le montre DOLAN, ils ne peuvent exprimer leurs points de vue sans risquer des peines dâemprisonnement ou de fortes amendes. De nos jours, il y a le « Disclosure Project » [21] de Steven GREER. DâaprĂšs le courrier que je reçois, il semble que de nombreux membres de la communautĂ© New Age/OVNI pensent quâil sâagit dâune idĂ©e fabuleuse et originale. Cependant, lâHistoire montre que cela a dĂ©jĂ Ă©tĂ© tentĂ©. Ce qui est gĂȘnant dans les efforts de GREER câest que ce quâil suggĂšre nâest que du COINTELPRO « amĂ©liorĂ© » : il dit que « les extraterrestres sont lĂ pour nous aider », ce qui est directement
dĂ©menti par les faits historiques, encore que souvent rĂ©pandu par la plupart des « contactĂ©s ». MĂȘme Linda HOWE, pendant longtemps la plus fiable des chercheurs sĂ©rieux (et pas Ă©trangĂšre aux machinations de lâĂtat Secret) semble ĂȘtre tombĂ©e dans le piĂšge COINTELPRO. Cela est Ă©galement le cas, voir le Fate Magazine, pour Rosemary GUILEY, qui est « en odeur de COINTELPRO » grĂące Ă ses bonnes connexions avec des « agents » militaires. Jerome CLARK, citĂ© plus haut, contribue Ă©galement rĂ©guliĂšrement Ă Fate. Je suis tout Ă fait convaincue que de nombreuses personnes sincĂšres, honnĂȘtes, et qui travaillent dur sont dupĂ©es et/ou contrĂŽlĂ©es sans en avoir conscience. DOLAN apporte la preuve de lâĂ©chec de groupes de civils rĂ©ellement dĂ©sireux de « mettre fin au secret dont on entoure le phĂ©nomĂšne OVNI » . Le NICAP avait des membres Ă©minents et trĂšs actifs ainsi que des connexions avec le CongrĂšs et lâArmĂ©e, et leurs efforts se sont poursuivis pendant plus de dix ans. Le NICAP sâest battu avec tĂ©nacitĂ© pour ĂȘtre entendu par le CongrĂšs, mais Ă chaque fois que ses reprĂ©sentants Ă©taient sur le point « dâapprocher de la table » pour procĂ©der Ă un examen public, leurs appuis au CongrĂšs ont fait volte-face et retirĂ© leur soutien. Quelle sorte de groupe est-ce donc pour quâil puisse ainsi contrĂŽler des membres de notre gouvernement ? Et posons une question encore plus large : quelle sorte de groupe est-ce donc pour quâil puisse contrĂŽler les mĂ©dias, lâarmĂ©e, la CIA, le FBI, le NSA, et mĂȘme le PrĂ©sident ? Que font-ils pour pouvoir intimider et dominer des personnes ayant une autoritĂ© morale et occupant des postes importants ? Nous voudrions vraiment le savoir, parce que tout cela implique quâon nous cache des choses tellement importantes que des allusions faites Ă ce sujet mĂȘme derriĂšre des portes capitonnĂ©es peuvent
renvoyer de puissants membres du CongrĂšs la queue entre les jambes. Cela nous ramĂšne au problĂšme et aux plans de lâĂtat Secret. Certains pensent que ce Secret est absolument capital. Ils disent que le public ne pourrait pas supporter la vĂ©ritĂ© au sujet des extraterrestres. Ils disent quâil nây a aucune raison pour gĂącher la vie des gens avec la vĂ©ritĂ© parce que le citoyen moyen ne pourrait rien y faire de toute façon. Est-ce que câest vraiment la vĂ©ritĂ© ? Est-ce que tant dâefforts seraient faits pour dissimuler les plans des extraterrestres si la rĂ©vĂ©lation de la vĂ©ritĂ© ne pouvait pas contrecarrer ces mĂȘmes plans ? Lâhistorique de DOLAN concernant les rĂ©elles interactions entre les OVNIs et le public, ainsi que le comportement des militaires, de la communautĂ© du renseignement, des mĂ©dias, le comportement de la communautĂ© scientifique vis-Ă -vis du public, rendent tout cela trĂšs clair. DOLAN Ă©crit : Certains pensent que tout va bien. Est-ce que le public serait rĂ©ellement capable dâaccepter la vĂ©ritĂ© Ă propos des extraterrestres ? Si la prĂ©sence dâĂȘtres venus dâailleurs constitue une menace pour lâhumanitĂ©, par exemple, quâest-ce que le citoyen moyen pourrait bien y faire ? Il y en a qui croient que garder le secret Ă propos des OVNIs est dans lâintĂ©rĂȘt du public. [22] [23] Ce qui est parfaitement clair, et tout spĂ©cialement depuis les annĂ©es 2000-2001, câest que « lâintĂ©rĂȘt public » nâest pas Ă lâordre du jour de ceux qui prennent ces dĂ©cisions. Comme le dit si bien DOLAN, le secret est gardĂ©, non pas pour protĂ©ger le public, mais pour protĂ©ger ceux qui gardent ces choses secrĂštes : le groupe de « ceux qui sont au-dessus du Top Secret », et vraisemblablement aussi les extraterrestres eux-
mĂȘmes. Lorsque nous examinons le modus operandi des cercles du renseignement, nous constatons quâĂ chaque niveau, du plus bas au plus haut, il y a contrĂŽle et manipulation. Cela me fait penser que mĂȘme ceux qui sont au sommet du Consortium humain sont dupĂ©s et trompĂ©s, et sont incapables et/ou refusent dâenvisager cette possibilitĂ©, tout autant que ceux qui se trouvent aux niveaux infĂ©rieurs. Il semble Ă©vident, dâaprĂšs les preuves documentĂ©es dont nous disposons et dâaprĂšs le comportement des militaires en ce qui concerne les OVNIs et les extraterrestres, que les extraterrestres ont un plan et que, quelque part dans les couches du secret, il y en a qui savent (tout au moins « ce quâil faut en savoir ») en quoi consiste ce plan. Il paraĂźt indubitable que le secret a Ă©tĂ© enjoint Ă ce groupe par les extraterrestres eux-mĂȘmes. Et qui plus est, lâanalyse des Ă©lĂ©ments dont nous disposons suggĂšre que ce plan nâest pas bienveillant. Ce qui rĂ©sulte des manipulations de ce « Consortium », câest que la majoritĂ© des AmĂ©ricains sont amenĂ©s Ă croire Ă la fiction dâun gouvernement reprĂ©sentatif â une dĂ©mocratie â et que nos scientifiques et reprĂ©sentants « prennent les choses en mains » pour nous, et que mĂȘme sâils sont parfois corrompus, ils ne sont pas aussi mauvais que le serait un rĂ©gime totalitaire. Depuis lâan 2000 environ, il est devenu de plus en plus Ă©vident que ce nâest pas le cas, et ce ne lâa probablement jamais Ă©tĂ©. Nous nâĂ©lisons mĂȘme pas rĂ©ellement nos reprĂ©sentants. Tout cela est de la frime. Mais la fiction rĂ©pandue par les mĂ©dias a voilĂ© le regard des AmĂ©ricains : ils ne sont plus capables de voir leur sociĂ©tĂ© et leur gouvernement comme ils sont vraiment : une oligarchie qui prĂ©tend ĂȘtre une dĂ©mocratie, pour endormir et tromper le public. Ă ceux qui trouvent que cela nâa pas vraiment
dâimportance car câest lĂ une maniĂšre efficace dâorganiser et de gĂ©rer des millions de gens, je rĂ©ponds quâil est suicidaire de penser quâune oligarchie nâest pas fondamentalement intĂ©ressĂ©e Ă protĂ©ger ses propres intĂ©rĂȘts Ă lâexclusion de toute autre considĂ©ration. Lorsque nous regardons en face lâĂ©vidence, nous voyons que les groupes en question nâont jamais agi dans lâintĂ©rĂȘt public. Si vous en doutez, passez donc un peu de temps Ă lire ce qui est Ă©crit Ă propos des expĂ©riences faites sur des humains sans le consentement de ceux-ci. Et il est logique de penser quâil nây a aucune raison pour que le secret entourant la « rĂ©alitĂ© des extraterrestres » soit diffĂ©rent. DOLAN note que le rĂ©sultat de la « dĂ©mystification » des OVNIs auprĂšs dâune population dont on a manipulĂ© le mental et dont lâenseignement officiel a pendant longtemps rĂ©duit les horizons, est que notre sociĂ©tĂ© est devenue extraordinairement schizophrĂšne au sujet des OVNIs. Tant au niveau « officiel » quâau niveau des universitĂ©s, mĂ©dias « orthodoxes », gouvernement, etc., les OVNIs sont soit ignorĂ©s, soit traitĂ©s comme une plaisanterie. Jamais il ne sera discutĂ© dâOVNIs ou dâAliens, ni de leurs invasions dâespaces aĂ©riens, aux nouvelles du soir. Jamais Ted KOPPEL ne les analysera comme menace Ă la SĂ©curitĂ© Nationale. Et cette situation est tout Ă fait bizarre, car il est dâune clartĂ© aveuglante que nos organismes militaires et du renseignement les considĂšrent comme tellement importants que les informations Ă leur sujet sont classĂ©es « Au-dessus du Top Secret ». Cependant, une classification « au-dessus du top secret » ne semble pas affecter le moins du monde les extraterrestres. Avec arrogance, ils font ce qui leur plaĂźt et laissent le « nettoyage » Ă leurs valets humains, tout comme on dit de certaines cĂ©lĂ©britĂ©s quâelles saccagent leurs chambres dâhĂŽtel et laissent ensuite Ă leur comptable la tĂąche de remettre un
chĂšque pour couvrir les dĂ©gĂąts occasionnĂ©s, pendant que leurs agents distribuent des communiquĂ©s de presse dĂ©mentant de pareils (mĂ©)faits. Ceci nous ramĂšne aux efforts du COINTELPRO. Depuis que les militaires sont capables de traiter avec des crĂ©atures dâune arrogance telle que leurs chĂšques ne couvrent pas les dommages quâelles occasionnent, les « communiquĂ©s de presse » sont publiĂ©s sous forme de diversion et division. Les OVNIs et les « rĂ©alitĂ©s dâailleurs » sont prĂ©sentĂ©s dâune façon qui ne correspond en rien aux Ă©vidences documentĂ©es ni Ă la description des faits. Les OVNIs et les ĂȘtres venus dâailleurs sont reconnus par les cercles New Age et mĂ©taphysiques, et les groupes qui les Ă©tudient ou en reçoivent du channeling sont « gĂ©rĂ©s » de maniĂšre Ă ce que la vĂ©ritĂ© qui pourrait transpirer soit rĂ©duite au minimum, perdue dans une masse de « croyances » conflictuelles. SimultanĂ©ment, des organismes de « dĂ©mystification professionnelle », artistes en dĂ©sinformation, sont crĂ©Ă©s. Ăcrans de fumĂ©e, miroirs aux alouettes, et confusion sans fin. Ce qui apparaĂźt clairement Ă lâexamen des documents et dĂ©clarations de ceux qui « sont dans le secret », câest que lâactuelle « popularitĂ© » des extraterrestres et des prĂ©sentations New Age de ce thĂšme rĂ©sultent en ligne directe de lâinfiltration dĂ©libĂ©rĂ©e par des agents du Renseignement qui « font tourner la roue » du mensonge et de la dĂ©sinformation. Je voudrais maintenant prĂ©senter une sĂ©lection de transcriptions cassiopĂ©ennes dont certaines nâont pas fait lâobjet de publication jusquâici, pour des raisons qui deviendront Ă©videntes au lecteur : Q : Whitley STRIEBER et Art BELL ont publiĂ© un livre sur la « super-tempĂȘte globale ». Est-ce que les informations contenues dans ce livre sont raisonnablement exactes ?
R : Reprises de sources non-humaines connues pour mĂ©ticuleuse prĂ©cision quand jugĂ© nĂ©cessaire. Q : En ce moment, quâest-ce qui exige quâelles soient « mĂ©ticuleusement prĂ©cises » ? R : Convient aux plans. Q : Plans de quoi ? R : Ne le savons-nous pas dĂ©jĂ ? Q : Autrement dit : conquĂȘte du monde et domination de lâhumanitĂ© ? R : Pas si simple. Q : Quâest ce qui pourrait rendre ma phrase plus prĂ©cise ? R : Appelez cela de lâamalgame. [âŠ] Q : Je voudrais soumettre quelques questions posĂ©es par un membre de notre groupe [de discussion]. Il est en train de lire des documents qui suggĂšrent que cette planĂšte est pour les extraterrestres un lieu dâĂ©levage, et que le cycle de vie des extraterrestres, comme celui des Reptiliens ou autres, imiterait quelque chose comme la mante religieuse. Il y est aussi fait allusion Ă la suggestion quâĂ lâintĂ©rieur de la Terre des femelles extraterrestres existent dans une espĂšce dâĂ©tat de sommeil, et que câest le mĂąle qui revient Ă la fin de chaque pĂ©riode, et que le foyer de ceci paraĂźt ĂȘtre la Grande Pyramide, et que si nous devenons SDA - il nâemploie pas ce terme mais cela revient au mĂȘme â beaucoup de terreur pourra ĂȘtre Ă©vitĂ©e, puisquâĂ son retour le dragon mĂąle mourra pour lâamour de sa nymphe. Okay. Est-ce que la Terre est un lieu dâĂ©levage pour certaines espĂšces dâextraterrestres comme le suggĂšre ce passage ? R : Non. Q : Hmm. Donc tout ce que ce type a racontĂ© Ă ce sujet aurait Ă©tĂ© puisĂ© au fin fond de ses plus noirs cauchemars ? Je veux dire, le plus mauvais effet quâil pourrait y avoir Ă ce
sujet ? Câest dĂ©jĂ assez moche comme ça. Il vaudrait donc mieux que nous oubliions tout ça et dormions sur nos deux oreilles la nuit, hein ? R : Oui. Q : Quelle est la source de ce type de document ? Je veux dire quelle sorte dâĂ©nergie y a-t-il en filigrane ? R : Signal SDS de contrĂŽle de mental. Q : Quel est le but ? R : Atteindre ceux qui sont programmĂ©s pour recevoir. Q : Laissez-moi vous demander ceci : Si certains de ces signaux de programmation SDS qui sont Ă©mis ⊠Je veux dire, je suppose que certains dâentre eux proviennent de la 3e
densitĂ©. Cela est-il correct ? R : Oui. Q : Est-ce quâils ont en fait quelque chose comme un endroit de la planĂšte oĂč ces types lisent des livres de science-fiction et Ă©mettent des thĂ©ories et des histoires vraiment dingues quâils assemblent avec une sorte de joie dĂ©moniaque, et puis les convertissent via un ordinateur en code de programmation qui est diffusĂ© dans la tĂȘte des gens, pendant quâeux-mĂȘmes tombent de leur chaise tellement ils rigolent de ce quâils ont fait ? Je veux dire, est-il possible que quelque chose de tel se passe ? R : Oui. Q : Câest Ă vomir ! Alors on prend juste tout un roman de HP LOVECRAFT, on le convertit en signal de programmation et puis on le diffuse â et les gens disent, « Mon Dieu, les extraterrestres me lâavaient dit ⊠câest exactement comme lâavait dit HP LOVECRAFT. Oh, mon Dieu ! » Imaginez-vous cela ? (A) Et ça marche. (L) Certainement que ça marche [âŠ] Q : (L) Qui Ă©taient les intelligences ophaniques du Dr.
John DEE ? R : 4D SDS. Voici les textes non encore publiĂ©s : 14 septembre 2001 Q : Nous avons une sĂ©rie de questions au sujet des rĂ©cents Ă©vĂ©nements. Est-ce que lâattaque contre le World Trade Center a Ă©tĂ© entreprise pas des terroristes musulmans ? R : Non. Q : Qui donc Ă©tait derriĂšre cette attaque ? R : IsraĂ«l. Q : Est-ce que ce sera rĂ©pandu que câĂ©tait IsraĂ«l ? Est-ce que cela va ĂȘtre dĂ©voilĂ© ? R : Oui. [âŠ] Q : Est-ce quâil y aura encore des attaques terroristes aux Ătats-Unis la semaine prochaine comme dâautres lâont prĂ©dit ? R : Non. Q : Est-ce quâil y aura dâautres attaques terroristes de cette sorte dans le futur proche aux Ătats-Unis ? R : Non. Q : Est-ce que câest le dĂ©but de la troisiĂšme guerre mondiale ? R : Non. Q : Est-ce que les Ătats-Unis vont bombarder lâAfghanistan ? R : Possible dans le futur. [âŠ] 13 octobre 2001 Q : (L) Question suivante : Est-ce que lâanthrax qui a Ă©tĂ© contractĂ© par plusieurs personnes dans notre pays est un acte terroriste contre notre pays par des terroristes Ă©trangers ? R : Non. Q : DâoĂč provenait cet anthrax ?
R : Gouvernement des USA. [âŠ] Q : (L) Est-ce quâils vont essayer de faire porter le blĂąme par un Ă©lĂ©ment Ă©tranger ? R : Oui. Q : (L) Alors sâils veulent essayer de faire porter le blĂąme par un autre groupe ; pouvons-nous avoir une idĂ©e de ce groupe ? R : Irak. Q : (L) Allons-nous en fin de compte vers un bombardement de lâIrak ? R : Oui. Q : (A) Remarquez cependant, une complication : des groupes Ă travers le monde entier, comme nous le remarquons, ont commencĂ© Ă protester contre lâAmĂ©rique. Des gens descendent dans les rues en Europe pour protester. DĂšs lors, pour Ă©viter ces protestations, lâAmĂ©rique devra probablement produire des preuves nouvelles. Peut-ĂȘtre une explosion dâanthrax, peut-ĂȘtre quelque chose dâentiĂšrement neuf. (L) Est-ce que cela va se produire ? R : Oui. Q : (L) Et que pourrait ĂȘtre le prochain acte majeur de terrorisme qui⊠(A) Ce pourrait ĂȘtre quelque part en Europe pour convaincre les pays dâEurope. (L) Donc, ceux qui protestent le plus fort sont les plus susceptibles dâĂȘtre frappĂ©s dâune maniĂšre ou dâune. (A) Mais dâautre part, il se peut que ce ne soit pas facile pour lâAmĂ©rique de produire quelque chose lĂ -bas, puisquâil est bien plus facile de produire des Ă©vĂ©nements « terroristes » en AmĂ©rique oĂč ils peuvent tout contrĂŽler. (L) Sâils tentent de le faire ailleurs, ils risquent dâĂȘtre pris. R : La France pourrait ĂȘtre la suivante Ă ĂȘtre frappĂ©e, avec du nuclĂ©aire.
Q : (L) Eh bien cela nâest pas gentil ! (A) Mais cela a du sens. Il y a un lien entre Afghans, AlgĂ©riens et Français. LâAlgĂ©rie a dĂ©jĂ utilisĂ© le terrorisme Ă lâĂ©gard de la France dans le passĂ©, ce pourrait donc ĂȘtre lâendroit. (L) Cela attirerait sans aucun doute leur attention. Est-ce quâil y aura une « explosion » de terrorisme le 31 de ce mois comme la rumeur en a circulĂ© sous le manteau ? R : Pas probable. Q : Ce type, Sollog, a fait des prĂ©dictions au sujet dâune sĂ©rie dâĂ©vĂ©nements il y a quelques annĂ©es. Il prĂ©tend quâil a prĂ©dit quâun avion heurterait un grand immeuble, ce qui serait suivi de la mort du pape, suivie par la mort dâun prĂ©sident amĂ©ricain en exercice. Si câest vrai, il est tombĂ© juste pour le « grand immeuble », et nous avons certes un pape assez ĂągĂ© pour quâil sâen aille nâimporte quand Ă prĂ©sent. Il reste la question dâun prĂ©sident amĂ©ricain mourant alors quâil est en exercice. Y a-t-il quelque probabilitĂ© pour que cela se produise dâici un an ou deux ? R : Oui. Q : (A) ProbabilitĂ© peut ĂȘtre 1 %. (L) Okay, est-ce quâil y a une grande probabilitĂ© pour cela ? R : Non. Q : (BT) La pensĂ©e qui mâa traversĂ©e en pensant Ă ce scĂ©nario a trait Ă CHENEY. Se peut-il quâil fasse partie du groupe dissident qui tire les ficelles ? R : Proche. Q : (L) Il se peut quâil nâen soit mĂȘme pas conscient. Jâai dans lâidĂ©e que la plupart dâentre eux ne le sont pas. Ils sont comme tout le monde : des marionnettes manipulĂ©es. (BT) Il faut bien que quelquâun en soit conscient pour que cette faction soit impliquĂ©e. Pendant que vous posiez la question Ă propos de BUSH, CHENEY est venu sur le tapis. (L) Est-ce que
certains de ceux au gouvernement, ceux qui sont vus du public, les dĂ©cideurs ; est-ce que certains dâentre eux sont conscients quâils favorisent les plans de mainmise SDS sur la planĂšte ? Les acteurs principaux. R : Non. Q : (L) BUSH nâest quâune marionnette. Il est comme Pinocchio. Chaque fois quâil ouvre la bouche son nez sâallonge un peu plus. BientĂŽt son nez sera tellement long quâil ne pourra plus traverser son bureau. (A) En Pologne, il y a eu ce JARUZELSKI qui a introduit la loi martiale. Il Ă©tait gĂ©nĂ©ral. Eh bien, ma mĂšre Ă©tait de son cĂŽtĂ©. Parce que câĂ©tait un militaire. Mais pour moi il Ă©tait transparent. (L) Il est facile dâen vouloir Ă BUSH jusquâĂ ce quâon rĂ©alise quâil est aussi dupe que tout le monde. Il paraĂźt errer dans le brouillard. Toutes les blagues qui circulent sur lui Ă propos de son esprit lent ont vraies ! Comment peut-on se mettre en colĂšre contre une complĂšte marionnette ? Je nâai jamais entendu cet homme dire une chose intelligente qui nâavait pas Ă©tĂ© Ă©crite Ă lâavance pour lui, et parfois il parvient Ă sâemmĂȘler les pinceaux mĂȘme dans ces cas-lĂ . (A) Oui, il paraĂźt. Parce que les chefs dâĂ©tat qui dans le passĂ© ont dĂ©montrĂ© quâils nâĂ©taient PAS stupides se sont retrouvĂ©s⊠(L) âŠmorts. (A) Ou bien ils ont montrĂ© quâils Ă©taient capables de tuer des millions de gens pour rester vivants eux-mĂȘmes. (L) Ouaip, on dirait que câest comme ça. (A) Oui, ils peuvent ĂȘtre stupides dâune maniĂšre trĂšs intelligente. (L) Est-ce que tous ces gens vont ĂȘtre dĂ©masquĂ©s, attrapĂ©s, montrĂ©s tels quâils sont ? R : En fin de compte. Q : (BT) Ouais, et cela peut faire partie du programme SDS de toute façon. Les dĂ©masquer et les remplacer par quelque chose de pire. Si tout le monde compte sur le gouvernement pour nous sauver et puis quâon dĂ©couvre que ce
gouvernement non seulement ne va pas nous sauver,mais encore quâil est responsable du mal qui nous est fait, en nous manipulant, câest alors de la manipulation Ă un degrĂ© plus Ă©levĂ©. (L) Ouais ! Et alors, auprĂšs de qui les gens vont-ils pleurer pour prendre les rĂȘnes en main ? Les extraterrestres ? (A) Câest un « libre » choix. [rires.] (L) Câest terrible de ressentir les choses comme cela Ă lâĂ©gard dâun prĂ©sident qui est supposĂ© reprĂ©senter le pays. (A) Je suis surpris que certains AmĂ©ricains⊠(L) âŠsont convaincus quâils ont fait du bon travail et quâil leur dit la vĂ©ritĂ©. (A) Oui. (L) Je voudrais savoir quel est le RĂEL pourcentage dâAmĂ©ricains qui pensent que BUSH fait du bon travail. Je sais que les rĂ©sultats du scrutin sont rendus publics, mais jâai souvent observĂ© que les rĂ©sultats dâun scrutin sont publiĂ©s de maniĂšre Ă influencer lâopinion publique, et quâils ne le reprĂ©sentent pas exactement. Quel est le pourcentage rĂ©el ? R : 53 %. Q : (L) Juste un peu plus de la moitiĂ©. MĂȘme ce chiffre est dĂ©primant. Sommes-nous exposĂ©s au danger de lâanthrax ? R : TrĂšs probablement pas, ni autre chose. [âŠ] Q : (L) Nous avons visionnĂ© un film oĂč apparaissait un objet sombre, Ă©trange, se prĂ©cipitant vers le sol [dâun des immeubles du World Trade Center]. Quâest-ce que câĂ©tait ? R : DĂ©ferlement dâĂ©nergie de 4e densitĂ©. Q : (L) DâoĂč et vers oĂč dĂ©ferlait-elle ? R : DĂŽme dâarrĂȘt temporel dâĂ©nergie de destruction vers le sol. Q : (L) Voulez-vous dire quâil y a eu sur cette zone un dĂŽme de temps bloquĂ© ? Voulez-vous dire quâils ont « bloquĂ© le temps » au-dessus de cette zone pour pouvoir « rĂ©colter » des corps ou de lâĂ©nergie ? R : Proche.
Q : (BT) Est-ce quâil y avait dâautres buts en dehors de cette rĂ©colte ? R : Il a dit obtenir des constats, de lâor, extraction dâĂąme. Q : (L) Que signifie « il a dit » ? R : LâappointĂ©. Q : (L) Qui ou quoi est « appointĂ© » ? R : Informateur. Q : (L) Il y a donc un « appointĂ© » qui est un informateur dont vous vous avez obtenu des informations concernant cette question ? R : Observateur SDA de 4e densitĂ©. Q : (L) Pourquoi voulaient-ils de lâor ? R : La 4e densitĂ© utilise de lâor Ă des fins technologiques. Q : (BT) Dans de nombreux mythes antiques il est fait allusion Ă des « dieux » qui extrayaient de lâor des mines. (L) Est-ce quâils ont fait des constats concernant des objets matĂ©riels ? R : En partie. Q : (L) Est-ce que ces constats pourraient avoir Ă©tĂ© une extraction dâ « archives » de gens en train de mourir ? R : Oui. Q : (L) Quâavaient-ils lâintention de faire avec les Ăąmes quâils extrayaient ? R : RemolĂ©cularisation. Q : Ă quoi ont-ils lâintention dâutiliser ces ĂȘtres remolĂ©cularisĂ©s ? R : Les rĂ©insĂ©rer dans lâimmeuble pour quâils sâĂ©chappent et soient sauvĂ©s. Q : (L) Voulez-vous dire que cette occasion a Ă©tĂ© mise Ă profit sous forme dâun Ă©vĂ©nement trĂšs traumatisant pour
procĂ©der Ă un rapt collectif ? ! R : Oui. Q : (L) Quâest-ce qui a Ă©tĂ© fait Ă des gens qui ont Ă©tĂ© enlevĂ©s ? Est-ce quâil y avait une raison spĂ©cifique Ă un rapt collectif ? R : DĂ©clenchement des programmes. Q : (TB) Alors, ceux qui en ont rĂ©chappĂ© sont trĂšs probablement des individus qui ont Ă©tĂ© programmĂ©s et lĂąchĂ©s dans notre sociĂ©tĂ©. Des gens avec des programmes Ă©tablis de maniĂšre Ă en faire un jour des fous furieux ? R : Proche. Q : (A) Eh bien, nous avons encore un problĂšme : lâimplication dâIsraĂ«l. Nous nous faisions du souci au sujet de ce qui va se produire en IsraĂ«l. Ă prĂ©sent, toute la colĂšre est dirigĂ©e vers les Etats-Unis. R : LâAmĂ©rique pourrait faire basculer le blĂąme. Q : (A) Eh bien⊠de petites choses sont en train dâĂ©merger. 24 aoĂ»t 2002 Q : (L) Jâai une question avant de nous lancer sur un autre sujet. Nous avons envisagĂ© de rassembler dans un livre ou un petit fascicule le matĂ©riel que nous avons rassemblĂ© sur lâattaque contre le WTC et la conspiration du gouvernement, plutĂŽt que de mettre tout cela sur Internet et nous exposer de ce fait au piratage et autres choses de ce genre. La question est : comment faire cela sans Ă©craser les orteils de quelquâun ? (A) En faisant cela, allons-nous notablement dĂ©passer les bornes ? R : Les bornes sont faites pour ĂȘtre dĂ©passĂ©es si cela est fait avec prudence. [âŠ] Ce serait aussi une bonne idĂ©e de prĂ©senter les deux cĂŽtĂ©s de lâhistoire. Avec une petite « histoire » des dĂ©clarants et participants pour que les lecteurs aient une base Ă partir de laquelle ils puissent juger qui est susceptible ou
non dâĂȘtre vĂ©ridique. Q : (L) Laissez-moi rĂ©flĂ©chir. Si jâinclus une petite histoire Ă propos de quelques points apparentĂ©s et puis que je dise : voici ce qui se passe en ce moment, ça suffira. (L) Bon. Maintenant une question Ă 64 000 dollars : quâest-ce qui a provoquĂ© lâincendie et lâexplosion au Pentagone ? Ătait-ce un 757 ? R : Non. CâĂ©tait trĂšs proche de ce que vous avez supposĂ© : un appareil dâessai spĂ©cialement modifiĂ© pour donner certaines « impressions » aux tĂ©moins. MĂȘme les fenĂȘtres nâĂ©taient pas « rĂ©elles. » Q : (S) Câest quoi un appareil dâessai ? (A) Câest une maquette guidĂ©e par ordinateur. Il nây a mĂȘme pas de siĂšge pour le pilote. (L) alors, la question Ă 64 001 dollars : quâest-il arrivĂ© au vol 77 ? R : Il a atterri et repose maintenant, en partie, en 4e
densitĂ©. Q : (L) Quâentendez-vous pas « en partie » ? R : Ainsi que nous lâavons mentionnĂ© auparavant, certaines bases ont cette propriĂ©tĂ© Ă cause dâune interaction directe avec les habitants de cet univers. Q : (L) Et ils ont parlĂ© de bases qui avaient des niveaux souterrains. (A) Eh bien, âen partieâ cela peut vouloir dire la partie mĂ©canique ou la partie humaine. (L) Et aussi, ils ont parlĂ© une fois dâĂȘtres bi-densitĂ© qui peuvent aller et venir de la 3e Ă la 4e densitĂ© et vice-versa. Alors, que voulez-vous dire exactement par « en partie » ?â R : Disons seulement que la partie « humaine » rĂ©side actuellement en 5e densitĂ©. Q : (L) LâĂąme, câest ce qui va en 5e densitĂ©. Donc cela signifie que les corps sont encore, eh bien, quelque part. Est-ce que par la suite ils ont utilisĂ© des parties de ces corps pour
mettre en scĂšne des preuves sur le site des « restes ?â R : Parties est le mot correct. Pensiez-vous quâaucun dâentre eux aurait Ă©tĂ© « autorisĂ© » Ă survivre ? Q : (A) Jâai une question technique, parce que sâil a atterri quelque part la question se pose de savoir si les satellites standard de surveillance militaire ou autres, connaissent lâendroit, ou bien a-t-il complĂštement disparu avant lâatterrissage grĂące Ă une observation normale par satellite, ou bien plutĂŽt militaire ? R : Il a atterri de la maniĂšre normale. Q : (A) Alors cela signifie que les militaires et peut-ĂȘtre aussi la Maison Blanche, savent quâil a atterri et savent que,⊠R : La Maison Blanche sait trĂšs peu de ce qui transpire dans tous les cas. Q : (A) Bien. Mais il y a dâautres satellites espions ; dâautres pays savent peut-ĂȘtre que cette histoire du vol 77 sâĂ©crasant au Pentagone est⊠R : Ă ces niveaux, il nây a quâun seul « MaĂźtre. » Q : (L) Ces niveaux ? Quels niveaux ? R : Les niveaux qui peuvent donner des ordres dâenterrer ou supprimer. Q : (L) Vous voulez dire que par exemple, des satellites français, russes, chinois, peuvent avoir remarquĂ© quelque chose, et quâil y a un niveau de contrĂŽle qui peut donner lâordre que des informations de ce genre soient enterrĂ©es ou supprimĂ©esâŠ(A) Et cet ordre sera respectĂ© ? Pourquoi ? R : Ceux qui se trouvent Ă ce niveau ont Ă©tĂ© achetĂ©s et payĂ©s parce quâils donnent des informations sur de futurs Ă©vĂ©nements cataclysmiques, et ils ont reçu la promesse quâils survivront et occuperont des positions de pouvoir aprĂšs les Ă©vĂ©nements. Il nâest pas difficile de rĂ©aliser quâil y a dĂ©jĂ un groupe dâindividus de ce genre dans des positions de pouvoir
de nos jours. Le Pouvoir nâest pas seulement attrayant pour des types de ce genre, mais ils sont aussi lâespĂšce la plus aisĂ©e Ă ĂȘtre corrompue par le pouvoir. Q : (SB) Donc ils ont Ă©tĂ© achetĂ©s et payĂ©s parâŠ(L) En leur disant ce qui allait se produire, en leur disant que câĂ©tait leur seul moyen de survivre et quâils seraient aidĂ©s Ă survivre. En puis en leur disant quâune fois que tout serait terminĂ© ils seraient aux commandes. Eh bien si de toute maniĂšre ils allaient tuer les gens qui se trouvaient sur le vol 77, pourquoi est-ce quâils ne se sont pas servis de ce vol 77 pour sâĂ©craser sur le Pentagone ? R : Parce quâalors les dĂ©gĂąts nâauraient pas Ă©tĂ© contrĂŽlables. Q : (A) Oui, ceci est assez clair. Si on avait laissĂ© entrer de vrais pirates de lâair et de vrais pilotes, qui auraient pu se mettre Ă se battre juste avant lâĂ©crasement au sol, Dieu sait ce quâil aurait pu heurter. (L) Donc il Ă©tait vraiment important que cela soit soigneusement contrĂŽlĂ©. Il fallait heurter une cible trĂšs spĂ©cifique pour une raison trĂšs spĂ©cifique. (A) Ouais. Tout ce carburant aurait pu se mettre Ă brĂ»ler, un incendie incontrĂŽlĂ©âŠ(L) On ne pouvait pas permettre ça. (S) Et aussi ; il y avait peut-ĂȘtre un endroit mieux indiquĂ© du Pentagone ; ils se focalisaient sur un endroit particulier de lâimmeuble. (L) Cela doit avoir quelque chose en commun avec ce que L* a dĂ©couvert, car elle a dĂ©couvert que la plupart des personnes tuĂ©es au Pentagone Ă©taient des employĂ©es subalternes. Tous les gros bonnets se trouvaient ailleurs dans lâimmeuble. (A) Et quelles seront les consĂ©quences de la publication de ce livre ? R : Qui donc pourrait raisonnablement assembler les piĂšces de façon cohĂ©rente si ce nâest vous ? Tout le monde cherche la vĂ©ritĂ©. Quâest-ce qui ne va pas avec ça ? Q : (L) Eh bien, parfois faire sortir la vĂ©ritĂ© peut vous
mettre dans les ennuis jusquâaux yeux. R : Et parfois, ne pas la faire sortir peut donner Ă dâautres lâespoir de vous empĂȘcher de le faire. Une fois dehors, vous serez plus en sĂ©curitĂ© puisque quâalors toute attaque ne fera que justifier et valider. 14 septembre 2002 Q : (L) Je veux poser quelques questions au sujet de cet « agroglyphe » qui a Ă©tĂ© crĂ©Ă© ici vers ou le 15 aoĂ»t 2002 et je pense que la premiĂšre chose que je voudrais demander câest « qui lâa fait » ? R : Il a Ă©tĂ© produit au moyen dâune technologie de la 4e
densitĂ© . Q : (V) Technologie de 4e densitĂ© SDS ou SDA ? R : SDS. Q : (L) Bon. Vous avez dit au moyen dâune technologie de 4e densitĂ©. Mais vous nâavez pas dit par des ĂȘtres de 4e
densitĂ©âŠ. R : Correct. Il y a eu un progrĂšs apprĂ©ciable dans les technologies de lâunivers de la 3e densitĂ© par lâinteraction avec la 4e densitĂ©. Q : (V) Entre qui et la 3e densitĂ© ? R : Consortium. Q : (L) Jâai remarquĂ© lâannĂ©e derniĂšre, Ă ou vers la mĂȘme date, que lâ « agroglyphe » avec le visage de femme et ce qui a Ă©tĂ© appelĂ© « signal » est apparu. Est-ce que cela aussi Ă©tait une production de 4e densitĂ© ? R : Non. Q : (L) Jâai aussi remarquĂ© que le 15 aoĂ»t est, en fait, un ancien jour fĂ©riĂ© datant de lâĂ©poque de la DĂ©esse-MĂšre, et donc lâapparition du visage lâan dernier Ă©tait assez appropriĂ©e. Celui-ci, produit quasiment ou exactement Ă la mĂȘme date, paraĂźt presque ĂȘtre un pendant au visage apparu lâan dernier. Le
message dĂ©chiffrĂ© Ă partir de ce nouveau « agroglyphe » est (et Ark a confirmĂ© le dĂ©chiffrage) - « MĂ©fiez-vous de ceux qui apportent de faux prĂ©sents et de leurs promesses rompues. Beaucoup de souffrances mais encore temps (puis un mot inconnu) il y a du bon lĂ -bas. Nous nous opposons Ă la duperie. Conduit en train de se fermer. (tintement de cloche). » Quelle est la signification de ce message ? R : La premiĂšre intention a Ă©tĂ© de diaboliser le phĂ©nomĂšne des « agroglyphes ». Ensuite, il fallait donner aux gens impressionnables lâimpression que leurs extraterrestres favoris, les Gris, pouvaient ĂȘtre des « braves types » . La troisiĂšme intention Ă©tait dâenvoyer un message de doute directement dans cette piĂšce. Q : (J) Le conduit est en train de se fermer. Puisque les CassiopĂ©ens ont parlĂ© dĂšs le dĂ©but de la crĂ©ation dâun conduit, ils essaient de nous convaincre que ce conduit est en train de se fermer. Quel Ă©tait le mot illisible ? Ătait-ce « croire » ou est-ce « croire » ? R : CâĂ©tait « croire ». Mais le problĂšme Ă©tait dĂ» Ă lâapplication de la technologie. Cela donne lâindice que la source est SDS. Q : (J) Donc leur tripatouillage dâamateurs a provoquĂ© le problĂšme. Câest ce type qui Ă©tait probablement le problĂšme dans le software. Il y avait un bruit⊠R : Les voeux pieux font mouche Ă tous les coups. Q : (L) Ils ont donc pris leurs dĂ©sirs pour des rĂ©alitĂ©s en pensant que tout Ă©tait parfait alors que ce ne lâĂ©tait pas. (A) Je voudrais tout de mĂȘme savoir si les caractĂ©ristiques physiques de ce cercle correspondaient aux caractĂ©ristiques physiques de ce qui pourrait ĂȘtre considĂ©rĂ© comme un agroglyphe authentique ? R : Ils peuvent en approcher. Mais une fois encore, il y
a des diffĂ©rences. Elles peuvent ĂȘtre dĂ©tectĂ©es si on est conscient et quâon regarde attentivement. Q : (J) Est-ce que vous pouvez nous donner des critĂšres sur lesquels nous baser, est-ce quâil y a quelque chose de particulier Ă rechercher ? Ou bien est-ce que cela surgit comme une bizarrerie qui nâa pas de sens dans un agroglyphe quand on lâexamine ? Ou bien y a-t-il rĂ©ellement⊠R : Une chose Ă rechercher câest sâil y a des interruptions de croissance dans la zone. Les vrais cercles ne provoquent pas dâinterruption dans le principe crĂ©ateur. Q : (J) Est-ce que ces agroglyphes auraient Ă©tĂ© crĂ©Ă©s par des SDS, des SDA, ou les deux ? R : SDA. Q : (J) Donc le SDA ne perturbe pas le cycle de vie, mais le SDS le ferait. Cela a du sens. Bon. Revenons aux effets : le froid, la nĂ©gativitĂ©, cela perturberait logiquement le cycle de vie. Quant Ă la façon dont ils procĂšdent, vous dites que cela a Ă©tĂ© ordonnĂ© Ă partir de la 4e densitĂ©. Est-ce quâils viennent rĂ©ellement et ont un appareillage physique dans le voisinage ? R : Cela nâa pas Ă©tĂ© fait depuis la 4e densitĂ©. Q : (J) Je ne parle pas de celui dont nous sommes en train de discuter. Je parle du fait que quand un SDA crĂ©e un agroglyphe est-ce quâil a physiquement⊠R : Les vrais agroglyphes reprĂ©sentent des pensĂ©es de 6e
densitĂ© en provenance de lâunivers de pensĂ©e unifiĂ©e de la 6e
densitĂ©.[âŠ] Q : (L) Jâai une question. Jâai eu une idĂ©e lâautre soir aprĂšs avoir lu le livre de DOLAN. Il parle des technologies utilisĂ©es par le gouvernement pour exercer un contrĂŽle sur le mental des gens, etc. et explique que le gouvernement ou les militaires ont voulu dissimuler la prĂ©sence dâextraterrestres et les interactions avec ceux-ci, quelles sont rĂ©ellement leurs
intentions et ce quâils font vraiment ; et jâai eu cette idĂ©e aprĂšs avoir lu tous ces cas. Ce qui est Ă©vident, câest quâil y a eu apparemment des rapts et des atterrissages ainsi que des rĂ©cits de contacts dĂšs les dĂ©buts du phĂ©nomĂšne OVNI. Jâai pensĂ© que Bud HOPKINS et Whitley STRIEBER ont prĂ©sentĂ© dans leurs livres, et en particulier Whitley, lâimage de lâextraterrestre gris comme le « kidnappeur » amĂ©ricain standard. AprĂšs la publication de ces livres, tous les rapts amĂ©ricains ont paru suivre le modĂšle de lâenlĂšvement par les Gris. Cependant, il sâagit principalement dâun phĂ©nomĂšne amĂ©ricain. La plupart des autres endroits dans le monde nâont pas de petits extraterrestres gris avec des yeux dâinsecte. Ce que je voudrais donc savoir est ce qui suit : est-ce que le scĂ©nario de rapt par des Gris est : a.) Un souvenir-Ă©cran b.) une crĂ©ation de lâarmĂ©e amĂ©ricaine dans le cadre du projet de contrĂŽle collectif du mental afin dâaccoutumer les gens Ă certaines conditions, circonstances et interactions, c.) quelque chose dâautre, ou bien encore d) est-ce quâil sâagit rĂ©ellement dâextraterrestres gris qui enlĂšvent tout le monde ? R : Vous ĂȘtes en effet tombĂ©e sur une question intĂ©ressante. Comme nous lâavons notĂ© prĂ©cĂ©demment, les rapts physiques sont rares. En outre, certains enlĂšvements ne se terminent pas par un retour de la victime. Et que supposez-vous que vous feriez vous pour dissimuler ce fait ? Vous pourriez « crĂ©er » un grand nombre dâenlĂšvements se terminant par un retour et « aucun mal de fait ». Q : (L) VoilĂ qui nâĂ©tait pas parmi mon choix de rĂ©ponses ! Est-ce que cela signifie que les enlĂšvements rapportĂ©s par les gens avec qui Budd Hopkins a collaborĂ©, suivi par Whitley Strieber Ă©taient des mises en scĂšne ? R : Proche assez pour de gros sabots. Q : (L) Okay, quâest-ce qui pourrait nous approcher
davantage ? R : Que pensez-vous de plusieurs variĂ©tĂ©s dâexpĂ©riences, y compris des expĂ©riences par le gouvernement ? Avez-vous dĂ©jĂ remarquĂ© comme certains cas donnent des signes de traumatisme extrĂȘme et certains non ? MĂȘmes histoires dans les grandes lignes, mais lâune a un rapport avec un sentiment plus profond de la rĂ©alitĂ©, et une autre non. Pourquoi pensez-vous que de nombreux « enlevĂ©s » parviennent Ă sâaccommoder de lâexpĂ©rience tandis que dâautres ont leur vie ruinĂ©e ? Q : (L) Vous voulez donc dire que certains nâont pas vraiment Ă©tĂ© enlevĂ©s. Il y a juste eu quelque chose qui a Ă©tĂ© projetĂ© dans leur esprit. Depuis combien de temps est-ce ainsi ? R : Plus de 30 ans. Q : (L) Cela remonterait donc aux annĂ©es 1970. Et oĂč donc se situe Whitley avec ses extraterrestres grisâŠet quel est le rapport avec les gris qui sont des sondes cybergĂ©nĂ©tiques ? R : Il y a rĂ©ellement des « Gris ». Mais pas autant que le gouvernement voudrait le faire croire. Q : (L) Donc grĂące Ă Whitley qui raconte Ă tout le monde comment ça se passe, Ă quoi ils ressemblent, comment ils contournent la couverture du champ de contrĂŽle du mental par Ă©lectromagnĂ©tisme avec lâĂ©mission dâune onde de programmation du mental â ou quelque chose du genre â ils parviennent Ă rendre infernale la vie dâun tas de gens â tous ceux qui en sont susceptibles â qui pensent quâils sont en contact avec des extraterrestres gris. Quâest-ce qui fait que certaines personnes y soient exposĂ©s et dâautres non ? R : Le plus gĂ©nĂ©ralement le fait quâelles ne sont pas portails organiques. [24] Q : (L) Cela nous mĂšne Ă notre autre question : est-ce que des portails organiques sont parfois enlevĂ©s ?
R : Pas besoin. Q : (L) Ils ont donc recours Ă cela comme Ă un mĂ©canisme de « dĂ©sherbage » ? R : Plus ou moins. Q : (L) Alors ces gens qui dĂ©clarent fermement quâil nây a absolument jamais eu, nây a pas, nây aura jamais, ne pourra jamais y avoir de preuves de rapts extraterrestres pourraient ĂȘtre des portails organiques ? R : Dans les grandes lignes, oui. Q : (V) Mais des personnes ayant une Ăąme, des facultĂ©s et des connaissances, ne sont pas enlevĂ©es non plus ? (L) Je ne pense pas que ce soit nĂ©cessairement une conclusion logique. (V) Pas nĂ©cessairement ? Eh bien, je pensais quâils nous avaient dit quâune fois que le niveau de nos connaissances sâĂ©lĂšve nous ne sommes plus enlevĂ©s. (L) Je ne pense pas que câĂ©tait vraiment la conclusion. Oui, câest vrai que si notre niveau de connaissance sâĂ©lĂšve alors nous avons une idĂ©e de ce qui se passe. Et plus spĂ©cialement si le mental est assez fort pour ne pas ĂȘtre susceptible dâĂȘtre soumis au contrĂŽle par ces ondes, alors on peut certainement mettre fin Ă tout ce non-sens. Mais cela ne signifie pas que lâon ne puisse pas ĂȘtre physiquement enlevĂ© si ces bonshommes de 4e densitĂ© ou le gouvernement dĂ©cident de le faire, parce que cela nâa rien Ă voir avec une lutte contre des ondes de contrĂŽle du mental. Je veux dire que sâils veulent vraiment vous avoir, ils vont envoyer quelquâun dans votre vie, qui sera un portail organique, et ils vous approcheront par le biais de cette personne. (J) Mais ils disent en gĂ©nĂ©ral quâils ne restent pas tout le temps. Donc un portail organique programmĂ© pour exister comme un « projeteur » âŠ
(C) Puis-je poser juste une question ? Lâautomne dernier jâai cru que jâavais Ă©tĂ© enlevĂ©e et jâai en fait un souvenir de cela, dâun Gris, vous savez, pendant que jâĂ©tais allongĂ©e sur une table. Jâai Ă©galement eu des signes physiques dâenlĂšvement, sur mon corps. Je suis donc curieuse quand jâentends cela : est-ce que jâai Ă©tĂ© enlevĂ©e par des Gris qui existent vraiment, ou bien est-ce que câĂ©tait, disons, comme si le programme de contrĂŽle mental du gouvernement mâavait fait croire que je lâai Ă©tĂ© ? (A) Physiquement, quelle sorte de⊠(C) Jâai eu des douleurs dans la rĂ©gion de lâutĂ©rus, jâai eu lâoeil rouge, du temps manquant, jâai ressenti comme si jâĂ©tais Ă©crasĂ©e par un train. Jâai eu de nombreux symptĂŽmes physiques dâun Ă©vĂ©nement rĂ©ellement sĂ©rieux, et puis un souvenir dâĂȘtre sur une table avec de Gris debout en face de moi. (L) Est-ce que vous souffrez de Stress Post-Traumatique ? (C) Pas que je sache. (V) Pas de crises de panique ? (C) Ni anxiĂ©tĂ© ni crises de panique. (V) Je pense que quand quelquâun est tiraillĂ© dans tous les sens pendant une grande partie de sa vie il devient plutĂŽt nerveux Ă tout propos. (L) Grands bruits. (C) Oh ouais, tout grand bruit, tout mâeffraye, me fait sursauter ; câest comme la rĂ©action anormale aux grands bruits et ⊠(V) Vous souvenez-vous de ce qui vous a Ă©tĂ© fait pendant que vous vous trouviez sur la table ? (C) Eh bien, je suis tombĂ©e sur ce souvenir alors que je ne mây attendais pas du tout. Vous savez, quand jâai rĂ©alisĂ© ce
qui Ă©tait en train de se passer, que jâĂ©tais en train de regarder un Gris, jâai piquĂ© une crise, jâai eu vraiment trĂšs peur, et je mâen suis extraite dâun coup. Je nâai donc aucune idĂ©e de ce qui se passait. Mais je sais que je me sentais totalement sous contrĂŽle, comme calme, comme si je nâĂ©tais pas effrayĂ©e sur cette table, comme sâil ne mâeffrayait pas ; comme sâil me maintenait sous contrĂŽle. Mais en voyant cela, anesthĂ©siĂ©e, jâai pris peur et je mâen suis extraite. Je me demande si ça sâest vraiment passĂ©, et si jâai rĂ©ellement Ă©tĂ© enlevĂ©e par de vrais Gris, ou bien est-ce que câĂ©tait du contrĂŽle mental. R : Et quâen est-il de vrais enlĂšvements mais pas nĂ©cessairement par des Gris ? Ce sont des Ă©crans trĂšs populaires. Q : (V) Si ce ne sont pas des Gris, alors qui ? R : Demandez Ă son frĂšre ! Q : (C) Oui, il dit quâil a Ă©tĂ© enlevĂ© par des agents du gouvernement. DĂšs lors, si ce sont ceux-lĂ qui lâont enlevĂ©, pense-t-il, est-ce que cela signifie que ce sont ceux-lĂ qui mâont enlevĂ©e moi ? (L) Cela, ou bien il dit que câest Ă lui que cela arrive alors que la personne rĂ©ellement enlevĂ©e câest toi, et il dirait cela parce quâil fait partie de « lâĂ©cran ». Projection. Reflet. Si on parle de diversion ! (A) Donc si je comprends bien, câest probablement dans une sorte dâactivitĂ© secrĂšte du gouvernement quâelle est impliquĂ©e, oui ? (L) On dirait. (J) Est-ce quâil y a un critĂšre pour ce quâils projettent ? Est-ce quâil y a une raison Ă leur choix de certains Ă©crans ? Certaines personnes ont des expĂ©riences impliquant des Reptilienes, dâautres ont des expĂ©riences avec des ĂȘtres ressemblant Ă des mantes religieuses et divers autres types dâextraterrestres. Est-ce quâil y a une raison particuliĂšre Ă leur
choix de tels Ă©crans ? Est-ce pour jouer sur les Ă©motions de ces gens, ou sur les points de vue de ces gens, ou bien simplement la maniĂšre dont ces gens gĂšrent ⊠R : Reptiliens et mantides ne sont pas des Ă©crans. Q : (J) Ce sont de vraies crĂ©atures qui font cela ? R : Oui. Q : (L) Mais Ă propos des Gris : je veux dire que jâai eu cette pensĂ©e et que jâai sautĂ© hors du lit au milieu de la nuit parce que jâavais commencĂ© Ă penser Ă cela, et a y penser et y repenser. Jâavais lu DOLAN et jâavais lu ce texte Ă propos des programmes et puis quâils Ă©taient capables dâenvoyer toute cette programmation du mental dans une « cavitĂ© neutre formĂ©e » entre la couche dâozone et la Terre, et jâai commencĂ© Ă me demander pourquoi est-ce que quasiment tout le monde aux Ătats-Unis est enlevĂ© par des Gris ? Et pourquoi se fait-il que tous les autres, tout le reste du monde, font lâexpĂ©rience de crĂ©atures diffĂ©rentes ? Quâest-ce qui se passe ici et pourquoi, par rapport Ă ce qui se passe dans le reste du monde ? Je me souviens avoir posĂ© la question un jour aux CassiopĂ©ens et ils ont dit : « parce que lâAmĂ©rique est la capitale du SDS », mais cela nâa confirmĂ© en aucune maniĂšre que tous ces rapts avaient bien lieu. Cependant, en rapprochant le fait quâil y a aux USA un nombre incroyable der rapts par des Gris, du fait que les USA sont la capitale du SDS, et aussi des petites « fuites » concernant leurs recherches sur le contrĂŽle du mental, je me suis demandĂ© : « quâest-ce qui se passe vraiment ici ? » Eh bien, quand nous regardons le phĂ©nomĂšne dont DOLAN fait la chronique, nous constatons que le gouvernement est, trĂšs certainement et crucialement intĂ©ressĂ© aux OVNIs et aux extraterrestres. Nous constatons aussi avec quel machiavĂ©lisme ils ont non seulement cherchĂ© Ă dissimuler
ces choses, mais encore Ă prĂ©tendre quâelles nâexistent pas ! Ils ont poussĂ© tellement Ă lâextrĂȘme lâidĂ©e quâil nây a « rien », que les gens ont peur dâen parler parce quâils craignent de passer pour des idiots. Et si câĂ©tait exprĂšs ? De cette maniĂšre, quiconque est rĂ©ellement enlevĂ© et veut prĂ©senter des preuves rĂ©elles, et si quelque chose de vraiment terrible se produit, ils peuvent facilement le mettre sur le compte de lâinsanitĂ©. Mais, et sâils Ă©taient rĂ©ellement prĂ©occupĂ©s par des choses terribles qui se passent vraiment ? Et sâils avaient vraiment besoin de cacher certaines choses ? Cela ne suffirait pas de simplement nier ou prĂ©tendre que tout cela est « dans la tĂȘte » parce que, manifestement, ce nâest pas vrai. Alors, que ferait Machiavel ? Eh bien, dâabord il crĂ©erait un homme de paille facile Ă abattre. Il crĂ©erait des extraterrestres complĂštement et totalement diffĂ©rents de ce quâils sont en rĂ©alitĂ©. Il se fait quâĂ peu prĂšs Ă lâĂ©poque dont nous savons que des recherches en contrĂŽle du mental Ă©taient Ă un stade oĂč cela serait possible, soudain, un beau jour, Whitley Strieber a fait un tabac en Ă©crivant Ă propos de choses dont nous savons Ă prĂ©sent que le gouvernement a manifestement tuĂ© des gens pour les dissimuler. DĂšs lors, la question logique qui se pose est : si â comme nous le savons Ă prĂ©sent â le gouvernement secret est vraiment en train de sâoccuper Ă dissimuler ce problĂšme Ă la sociĂ©tĂ©, est-ce que - pendant seulement une minute â nous pouvons penser que Whitley serait capable de publier un livre qui rĂ©vĂšle la vĂ©ritĂ© ? Et que ce serait un best seller ? Et pas seulement un livre, mais deux, avec lâimage sur la couverture. Jâai lu Ă propos de personnes qui ont vu cette image, que quand elles lâont aperçue elles se sont senties malades, ou bien quâelles ont eu lâune ou lâautre expĂ©rience. Et tout le monde a soudainement vu des Gris partout. Et dâun coup â
câest vrai quâil y a eu quelques cas de ce type exactement avant la parution du libre de Strieber â dĂšs que le livre de Strieber est devenu un best seller le phĂ©nomĂšne des rapts extraterrestres a crevĂ© le plafond. Tout cela sâest mis en place dans ma tĂȘte au milieu de la nuit. RĂ©sultat, il y a une autre chose bien intĂ©ressante. Quand on regarde la vidĂ©o de Roswell et quâon se demande si câĂ©tait une mystification, on peut se demander aussi : et si je voulais faire un canular, comment est-ce que je procĂ©derais ? AprĂšs tout, un canular, câest censĂ© ĂȘtre convaincant, non ? Si câĂ©tait un canular, les auteurs auraient fait en sorte que cet « alien » ressemble au Gris standard. Mais cet extraterrestre ne ressemble pas au Gris standard. Non seulement il a six doigts Ă chaque main et six orteils Ă chaque pied, Mais il a aussi quasiment le corps dâun enfant. Il ressemble Ă un foetus qui aurait grandi. DĂšs lors, si la vidĂ©o Ă©tait un canular ou bien si cette vidĂ©o Ă©tait destinĂ©e Ă confirmer quelque chose Ă propos de la « commune rĂ©alitĂ© extraterrestre » si cet extraterrestre Ă©tait un faux, on lâaurait fait ressembler Ă un Gris, parce que câest ce que tout le monde sâattendait Ă voir. Et en fait, une des raisons pour lesquelles de nombreux soi-disant chercheurs â y compris Mike Lindemann â ont rejetĂ© cette vidĂ©o comme Ă©tant un canular, câest quâelle ne montre pas un extraterrestre gris ! Les gens ne sont mĂȘme pas capables de penser ! Ils lâont rejetĂ©e parce quâil ne ressemblait par Ă un Gris extraterrestre. Mais câest une des raisons les plus probantes pour la considĂ©rer comme authentique ; le fait quâil ne ressemble pas Ă un Gris. Et bien sĂ»r, tout le monde est tellement convaincu quâils doivent ressembler Ă ces petites crĂ©atures Ă demi-insectes Ă quatre doigts dĂ©peintes par Whitley Strieber que quand lâobjet
authentique est mis sous leurs yeux ils le rejettent parce quâil ne ressemble pas aux Gris de Whitley. (J) Cela aurait aussi pu ĂȘtre comme un test pour voir comment Ă©tait accueilli le projet car, pourquoi diffuser la vidĂ©o de lâautopsie si ce nâest pour ĂȘtre certain que tout le monde est bien conditionnĂ© par rapport aux Gris contemporains, puisquâils semblent changer avec le temps. (L) Bon. OĂč en Ă©tions-nous ? Ah oui, les omniprĂ©sents Gris de Whitley. Il y a des Gris, mais ils ne ressemblent peut-ĂȘtre pas Ă ceux de STRIEBERâŠest-ce que les Gris qui ressemblent exactement aux Gris de Whitley STRIEBER sont des vrais ? R : Il est complĂštement Ă cĂŽtĂ© de la plaque. Q : (V) Ceux que jâai vus au cours de lâenlĂšvement dont je me souviens nâĂ©taient pas exactement comme les Gris de Whitley STRIEBER. CâĂ©tait quoi ces petits ĂȘtres ? R : La chose authentique. Q : (V) Sont-ils basĂ©s sur la Lune ? R : La plupart sont basĂ©s sur la Terre.[âŠ] Q : (L) Nous avons encore quelques questions Ă poser. Vous avez dit prĂ©cĂ©demment que les portails organiques Ă©taient Ă lâorigine destinĂ©s Ă servir de passerelles entre les 2e et 3e
densitĂ©s, et quâils Ă©taient utilisĂ©s. Est-ce que MOURAVIEFF a raison en ce qui concerne le potentiel de progrĂšs des portails organiques qui dĂ©pendrait du progrĂšs des ĂȘtres dotĂ©s dâune Ăąme vers lâĂ©tat SDA Ă la fin de ce cycle ? R : Pas exactement. La marque dâune Ăąme peut se dĂ©velopper indĂ©pendamment du cycle. Mais une Ăąme est plus susceptible de grandir quand elle interagit avec le SDA de 4e
densitĂ©. Le SDS tend Ă drainer lâĂ©nergie pour son propre usage. Q : (L) La question a Ă©tĂ© amenĂ©e Ă la suite de la remarque sur le nombre des portails organiques et vous avez dit
quâil se rencontre la moitiĂ© autant de portails organiques que dâhumains dotĂ©s dâune Ăąme. Il a Ă©tĂ© soulignĂ© que, mathĂ©matiquement, cela reviendrait Ă rencontrer ou interagir avec davantage dâhumains dotĂ©s dâune Ăąme que de portails organiques. Puis vous avez dit que la population est rĂ©partie Ă©galement. Quand vous dites que la population est rĂ©partie Ă©galement, est-ce que cela signifie quâil y a plus ou moins moitiĂ© de portails organiques et moitiĂ© dâhumains ayant une Ăąme ? R : Oui Q : (L) Alors, quand vous dites quâil se rencontre « moitiĂ© autant », quâest-ce que cela veut dire ? R : Cela veut dire que les « Ăąmes » vont par familles en majeure partie. Ainsi, un individu ayant une Ăąme, et nous voulons dire ici « potentiellement complĂštement dotĂ© dâune Ăąme » est susceptible de frĂ©quenter et interagir avec dâautres humains dotĂ©s dâĂąme. Cependant, quand ils sâĂ©veillent il se peut quâils rencontrent encore davantage de portails organiques. Q : (L) Donc, ils peuvent aller par familles et il peut y avoir des aberrations. Ou bien une famille principalement constituĂ©e de portails organiques peut occasionnellement avoir en son sein un humain dotĂ© dâĂąme, dont elle ne sait que faire. Et de la mĂȘme maniĂšre, une famille constituĂ©e principalement dâindividus dotĂ©s dâune Ăąme peut compter occasionnellement un portail organique ou une lignĂ©e de ceux-ci, qui surgissent de temps en temps dans la famille. Mais pour la plupart, les gens qui ont une Ăąme Ă©pousent dâautres gens qui ont une Ăąme, Ă moins quâil y ait un risque quâils sâĂ©veillent, auquel cas survient une situation spĂ©ciale oĂč des portails organiques entrent dans leur vie. Mais je pourrais dire dans un sens gĂ©nĂ©ral que ce quâils disent, et corrigez-moi si je me trompe, câest que
câest comme de lâeau qui cherche son propre niveau, si lâon peut dire. R : Plus ou moins. Q : (L) Autrement dit, les gens qui ont remarquĂ© cette observation avaient raison, et la maniĂšre dont je lâai interprĂ©tĂ©e Ă©tait erronĂ©e. Bon. Autre question : y a-t-il dâautres types dâĂȘtres dĂ©pourvus dâĂąme que les morts rĂ©animĂ©s ou remolĂ©cularisĂ©s et les portails organiques ? Existe-t-il des choses comme des ĂȘtres issus de projections holographiques sur la planĂšte, de nos jours ? R : En un sens, vous ĂȘtes tous des « projections holographiques ». Mais pour rĂ©pondre Ă la question, cela est rare. Q : (L) Il y a donc des ĂȘtres de type projection holographique, ou du moins cela est possible, mais il nây en a pas beaucoup. Bien. Question suivante. Est-ce quâil y a des indices particuliers qui nous permettraient dâidentifier les portails organiques ? R : Est-il nĂ©cessaire dâavoir plus dâindices ? Souvenez-vous que certaines choses doivent ĂȘtre apprises. Q : (C) Je pense quâils veulent dire quâil faut commencer Ă faire attention, prendre mentalement des notes et comprendre par soi-mĂȘme. (J) Est-ce quâils nâont pas dit quâen gĂ©nĂ©ral les portails organiques ne font pas lâobjet de rapts extraterrestres ? (L) Nous avons indubitablement reçu un tas dâindices au fil des annĂ©es ; nous nâĂ©tions tout simplement pas prĂȘts et nous ne savions pas de quoi ils parlaient. (C) Je crois que cela vaut probablement mieux, dâaprĂšs ce quâils disent, de comprendre tout cela par lâexpĂ©rience. On apprend mieux en observant que quand ont reçoit. (L) Une autre question que nous voulions poser : dans
les zones oĂč 3e et 4e densitĂ© fusionnent ou sont sur le point de fusionner, est-ce quâil est plus facile aux Hommes en Noir de se projeter dans une telle rĂ©alitĂ© ? R : Bien sĂ»r. Q : (J) Une fois, ils ont dit quelque chose Ă propos des ĂȘtres bi-densitĂ©. Ce serait comme des hybrides entre des ĂȘtres de 4e et de 3e densitĂ©s. Ou bien un tel individu pourrait-il ĂȘtre un humain gĂ©nĂ©tiquement « amĂ©liorĂ© » ? R : Jadis, les humains Ă©taient de « bi-densitĂ©. » Et certains peuvent le redevenir de maniĂšre naturelle. Ceux de la « manufacture » 4e densitĂ© SDS sont similaires. Figurez-les vous comme des sortes de portails organiques avec un moteur « gonflĂ© ». [âŠ] Q : (A) Je voudrais vraiment savoir quelle sorte de mĂ©canisme il y a derriĂšre ce nombre 911 qui intervient dans la loterie de NY. (V) Ouais, moi aussi, et ce nâĂ©tait pas seulement ça, il y avait quelque chose avec⊠R : Avertissement. Ce nâest pas fini ! ! ! Q : (A) Qui donc avertissait ? R : Signaux de conscience collective au soi Ă propos dâun danger clair et actuel. Q : (A) Cela a du sens. (L) Danger clair et actuel de quoi ? R : Wait and see. Q : Est-ce que cela pourrait ĂȘtre quelque chose qui a Ă voir avec lâIrak ? R : Pas de tricherie. Q : (V) Okay. La curiositĂ© me ronge un peu et je ne sais pas si la question a dĂ©jĂ Ă©tĂ© posĂ©e : quel est le rĂŽle de la Chine par rapport Ă lâIrak, est-ce quâil y a⊠R : Un grand point dâinterrogation, eh ? Q : (V) Eh bien câest ce qui tourne et tourne dans ma
tĂȘte, la Chine, la Chine, la Chine, la Chine. Ils sont si tranquilles pour le moment, je ne les entends pas dire quoi que ce soit⊠R : En effet⊠Q : (V) Est-ce quâils sont approvisionnĂ©s en armes chimiques et biologiques ? R : Et⊠Q : (V) Armes nuclĂ©aires ? R : ? Q : (V) Vous ne pouvez pas, vous ne pouvez pas dire cela ? R : Non. Q : (A) En fait, il y a une rĂ©ponse. Et cette rĂ©ponse est : oui. Je veux dire que si vous Ă©tiez la Chine, que vous possĂ©diez des armes nuclĂ©aires et que vous aviez besoin dâun TAS dâargent, que feriez-vous ? (L) Et si quelquâun dâautre veut ce que vous possĂ©dez, et quâil y a tout ce pĂ©trole et tout cet argent, vous plaisantez ? Saddam ne serait pas si insolent sâil nâavait pas un rĂ©ellement gros boum-boum en position et cachĂ© quelque part, et dirigĂ© sur NOUS ! (V) Est-ce que notre gouvernement et ce quâon appelle le Renseignement savent ce qui se passe ? (A) Bien sĂ»r ! (V) Est-ce quâils sont de mĂšche avec eux ? (L) Naturellement. (A) Ă un certain niveau, tout le monde vend tout. (L) Au niveaux du dessus ils le font, parce que leur objectif est de dĂ©cimer la population terrestre. (V) Est-ce que la Chine est seule Ă pourvoir lâIrak en armes ? (L) Pourquoi le faudrait-il ? Les Ătats-Unis dâAmĂ©rique
leur fournissent des armes. Je veux dire que câest tellement dĂ©goĂ»tant que câest inconcevable. Ils couchent tous ensemble. (V) Est-ce que Laura a raison, les chefs dâĂ©tat du monde entier, les 10 % dont ils veulent se dĂ©barrasser⊠R : Câest le plan. Q : (A) Mais vous devez vous rappeler que si un pays vend des armes Ă un autre pays cela ne signifie pas que ces armes vont fonctionner. Vendre est une chose, utiliser est une autre chose. De temps en temps elles ne fonctionneront pas. (V) Quel jeu dĂ©gueulasse, hein ? 18 janvier 2003 Q : (L) Quâest-ce qui pousse BUSH Ă entreprendre cette guerre avec lâIrak ? R : Les ordres. BUSH ne sait pas souvent ce quâil fait et pourquoi il le fait. Q : Est-ce que la guerre est un drame mis en scĂšne pour nous garder dans un Ă©tat de distraction ou de peur ? R : Plus ou moins. Q : Mais vous avez dit que les Etats-Unis seraient bombardĂ©s, et en une autre occasion vous avez dit quâil nây aurait pas de guerre nuclĂ©aire. R : Les « bombes » ne sont pas toutes « nuclĂ©aires. » Et il y a des « bombes naturelles ». Q : (A) Je voudrais poser une question au sujet de lâeffondrement du World Trade Center. Il y aurait des preuves de sismicitĂ© et de pulsations qui auraient tout simplement dĂ©sintĂ©grĂ© la matiĂšre. R : TrĂšs bonne observation, mais cela ne signifie pas non plus un sabotage dâorigine humaine. Il y a eu certaines « pulsations. » Elles provenaient dâune source « naturelle » qui a Ă©tĂ© « sculptĂ©e » ou « mise en forme » et dirigĂ©e. Q : Que voulez-vous dire par une source naturelleâ ?
R : Des Ă©nergies de la planĂšte, artificiellement rassemblĂ©es et relĂąchĂ©es. Une sorte de tremblement de terre artificiel. Q : Mais nous parlons encore de technologies. OĂč se trouve le centre dâopĂ©rations pour ce type de choses ? R : Technologies de 4e densitĂ©. Q : Nous savons ça. Mais il y a des cerveaux humains derriĂšre tout ça. Quels cerveaux sont derriĂšre cela ? R : Est-ce que vous vous ĂȘtes jamais demandĂ© pourquoi le Pentagone Ă©tait un pentagone ? Allusion ! Q : Est-ce que câest pour cela quâils ont spĂ©cifiquement inclus le Pentagone dans les Ă©difices Ă atteindre lors de lâattaque du 11.9 ; pour calmer les soupçons ? R : Ouaip ! Q : Y a-t-il des sections de 4e densitĂ© au Pentagone ? R : Absolument. Câest un endroit à « couverture Ă©paisse « . Q : (A) Il y a ce Pentagone, et puis il y a une autre superpuissance â la Russie â et encore une autre â la Chine⊠R : Il nây en a quâune. Il se fait simplement que les Ătats-Unis en sont le centre. Q : (A) Bien. (L) Peut-ĂȘtre que ceux qui sont Ă la tĂȘte de ces autres pays sont tous comme George BUSH. Ils ne savent pas pourquoi ils font ce quâils font. Tout a Ă©tĂ© Ă©crit quelque part ailleurs. (A) La question est : il y a lâEurope â comment est-ce que la France ou la Russie, ou nâimporte qui dâautre peut gagner contre cette sorte de technologie ? Apparemment, puisque il nây a quâun seul centre, et que ce centre technologique est lâAmĂ©rique du Nord, on dirait quâil nây a pas dâespoir. R : Souvenez-vous de PersĂ©e, et de David et Goliath.
En outre, de lâaide est en chemin. Q : (L) Parfois jâai le sentiment que quand ils disent que « de lâaide est en chemin » cela veut en fait dire que notre « futur » sâapproche et que câest nous qui allons nous occuper de lâaide ! [Rires.] R : Proche, mais pas tout. Q : (A) Cela veut dire que des surprises nous attendent. (L) Je crois que les gens qui se concentrent sur « lâanti-guerre » câest du temps perdu. Je pense quâils devraient se concentrer sur le problĂšme « câest BUSH quâil faut accuser ». La mĂȘme chose se serait produite avec GORE. JusquâĂ ce que les gens sâĂ©veillent Ă la rĂ©alitĂ© de la manipulation de 4e densitĂ©, nous sommes tous dans la gadoue jusquâaux yeux. R : Vrai. Q : (L) Jâai lâimpression quâils vont tous se rassembler sur le champ de bataille et quand ils seront tous lĂ , quelque chose se produira, qui les effrayera Ă mort⊠R : Peut-ĂȘtre⊠Q : (A) Lâennui, câest que les gens nâont pas le choix. Ils sont acculĂ©s dans un coin. La seule chose quâils peuvent faire pour le moment câest mettre BUSH en accusation. Sâils ne font pas ça, il nây a rien dâautre Ă faire de toute façon. Sâils ne font rien, ils seront blĂąmĂ©s pour nâavoir rien fait â comme lâAllemagne lâa fait aprĂšs HITLER. Tous les signes sont lĂ maintenant : câest exactement comme câĂ©tait en 1939 en Europe. (L) Quoi que nous fassions, nous ne pouvons pas anticiper le rĂ©sultat. Nous ne pouvons mĂȘme pas savoir si ce sera utile. Nous devons juste faire ce qui est juste dâun moment Ă lâautre, en nous fondant sur ce que nous savons et en nous efforçant au mieux. Pour ce que nous en savons, si nous continuons à « mettre BUSH en accusation » nous nous
retrouverons peut-ĂȘtre en prison au titre de « ennemis combattants ». (A) Quâavons-nous appris ? Quâil y a de lâaide en chemin. Nous savons que nous ne pouvons pas abandonner le travail. Nous aidons lâaide, en quelque sorte. (L) Jâai Ă©crit Ă certaines personnes en soulignant que la position « anti-guerre » nâapporte que davantage de division. Il y a des gens qui sont pour la guerre et pour le soutien Ă BUSH, et il y a des gens qui sont contre la guerre qui ne soutiennent pas BUSH. Câest une question de soutien Ă BUSH. Tout le monde est dâaccord pour dire que Saddam est un « blaireau », mais on ne parvient pas Ă se mettre dâaccord quand il sâagit de savoir si oui ou non BUSH traite le problĂšme de maniĂšre appropriĂ©e. Les gens oublient que ce qui se passe ici câest que les uns sont dressĂ©s contre les autres tandis que BUSH lui-mĂȘme sâen sort sans sâĂȘtre sali les mains. Si les gens se concentraient sur les vrais problĂšmes : que BUSH est un menteur, quâil nâest mĂȘme pas lĂ©galement notre prĂ©sident, quâil a volĂ© les Ă©lections pas des moyens malhonnĂȘtes, que câest un criminel issu dâune famille de criminels, sâils rendaient publique concrĂštement, grĂące Ă une couverture massive par les mĂ©dias, la vraie personnalitĂ© de BUSH, alors toute la question se concentrerait lĂ oĂč elle doit ĂȘtre concentrĂ©e : sur BUSH et le Consortium qui lâa installĂ© au pouvoir pour servir ses ambitions. Mais au lieu de se concentrer sur le problĂšme - dont BUSH nâest que le reprĂ©sentant, car le vrai problĂšme est le Consortium â les gens ne voient pas que toute la situation est manipulĂ©e au bĂ©nĂ©fice du Complexe Militaro-Industriel exactement comme lâavait prĂ©dit Eisenhower. BUSH est seulement la marionnette de ce Consortium. Si cela pouvait ĂȘtre vu comme le rĂ©el danger que cela est, BUSH devrait ĂȘtre vu pour ce quâil est â leur crĂ©ature
â il faudrait que soit installĂ© Ă la prĂ©sidence quelquâun dâincorruptible qui nâa pas peur de botter des fesses et dire ce quâil pense, comme Kennedy a essayĂ© de le faire. Eh bien, nous avons appris. KENNEDY nâa pas pris le danger assez au sĂ©rieux. Sâil lâavait fait, peut-ĂȘtre serait-il parvenu Ă accomplir ce quâil voulait faire : dĂ©manteler la CIA, lier les mains des militaires, rendre les choses plus Ă©quitables pour les gens du peuple, renforcer les droits civiques et les libertĂ©s civiques. Si nous pouvions avoir Ă la Maison Blanche quelquâun dâassez adroit pour ne pas se laisser assassiner, quelquâun de propre et sans liens avec le consortium, les choses pourraient vraiment changer. (A) Le problĂšme est seulement en AmĂ©rique. Si lâAmĂ©rique relĂąchait la pression, « on » sâoccuperait comme il faut de Saddam. Personne nâaime ce type. Il nâa rien pour lui. Il nâest un danger pour personne. Mais BUSH est un danger pour la planĂšte entiĂšre. Il a suscitĂ© cette crise et le monde entier vit un enfer, juste en quelques mois. (L) Et la raison pour laquelle il peut faire ce quâil est en train de faire â essentiellement quâil va dĂ©truire toute la sacrĂ©e planĂšte â câest les mĂ©dias. Les mĂ©dias sont contrĂŽlĂ©s par les Juifs qui ont une seule ambition : prendre possession de toute la Palestine et se venger. Alors, ils agitent des carottes devant le nez de BUSH pour quâil suive, sans mĂȘme rĂ©aliser quâils sont en train de signer leur propre arrĂȘt de mort. Ils suivent les plans du Consortium qui veut par-dessus tout voir tous les peuples sĂ©mitiques dĂ©truits, mais leur orgueil ne leur permet mĂȘme pas de voir cela. Pour cette raison, les Juifs ont aidĂ© George BUSH Ă plonger le monde entier dans le chaos. Et au dernier moment ils se demanderont pourquoi tout le monde les dĂ©teste, tout comme les AmĂ©ricains se demanderont pourquoi ils sont la nation la plus haĂŻe de la Terre. Orgueil aveugle.
(A) Il y a donc une ThĂ©orie du Jeu. Et ils lâemploient au maximum. Ils sont en train de jouer Ă un jeu. Ils savent quels boutons doivent ĂȘtre poussĂ©s pour dĂ©placer le dĂ©licat Ă©quilibre lĂ oĂč ils le veulent. (L) Dans le monde de la politique, personne nâest propre. Personne. Ils sont tous sales, et quand on sait tout de la saletĂ© alors on peut faire ce quâon veut. Autant il semble horrible de se coucher devant la porte des Juifs, câest cependant lĂ que les choses aboutissent tout naturellement. On ne peut pas lâempĂȘcher. Suivez les fils et voyez oĂč ils vous mĂšnent : aux Sionistes. (A) Alors, si quelque chose survient pour mettre Ă mal leur thĂ©orie du jeu ,âŠtoute lâopĂ©ration va sâeffondrer. La thĂ©orie du Jeu est fondĂ©e sur des donnĂ©es. Câest comme pour V___ B___. Tout son jeu Ă©tait basĂ© sur le fait de pousser sur nos boutons, en tentant de nous faire chanter, et en disant des choses comme « Je vais raconter toute cette histoire sordide. » Eh bien devinez quoi ? Câest moi qui vais la raconter en premier ! Je ne suis pas parfait et jâai certainement fait des erreurs. Mais personne ne pourra utiliser cela pour me mettre sous contrĂŽle. Si dâautres personnes pouvaient faire cela, si elles pouvaient surmonter leur crainte dâĂȘtre jugĂ©es pour leurs erreurs, plus personne ne pourrait brandir de menaces au-dessus de la tĂȘte de qui que ce soit. (A) Bon. Il y a BUSH et le « crĂąne et tibias croisĂ©s ». Et puis il y a les Illuminati. Et ils sont Ă la recherche de quelque chose. DĂšs lors, il y a probablement derriĂšre BUSH quelquâun qui est aussi Ă la recherche de quelque chose. Si ce quelquâun anĂ©antit le monde, il nâaura rien. (L) Et entre-temps il y a ce Nord-CorĂ©en â vrai reflet de George BUSH : tout ce quâil dit et fait est copiĂ© sur George
BUSH. Câest mĂȘme comique de les regarder. « Moi, je vais faire exploser le monde ! » « Non, vous nâen ferez rien, moi je vais le faire exploser dâabord ! Je vais faire de lâAmĂ©rique un ocĂ©an de feu. » Et BUSH de renchĂ©rir : « Moi je vais bombarder lâIrak et le faire retourner Ă lâĂąge de la pierre. » « Vous nâen ferez rien ! Nous, nous allons vous bombarder et vous faire retourner Ă lâĂąge de la pierre ! ». Ce sont deux personnages identiques ! Câest fou ! Nous sommes vraiment mal barrĂ©s. Des commentaires ? R : La situation paraĂźt sombre en effet. Mais pensez au talon dâAchille des SDS : ils prennent leurs dĂ©sirs pour des rĂ©alitĂ©s. Q : En ce cas, comment prendre ses dĂ©sirs pour des rĂ©alitĂ©s pourrait-il ĂȘtre utile ? R : Il va y avoir une grosse erreur de calcul. Elle dĂ©voilera « lâhomme dans les coulisses ». 2 fĂ©vrier 2003 Q : Une des premiĂšres questions que nous voulons poser ce soir concerne la perte de la navette spatiale. Dâabord il y a eu une explosion, ou bien Ă©tait-ce juste la dĂ©sintĂ©gration, ou bien une rupture ? R : CâĂ©tait un « choc direct. » Q : Un choc direct par quoi ? R : Pulsation Ă©lectromagnĂ©tique. Q : (S) Quelle Ă©tait la source de cette pulsation Ă©lectromagnĂ©tique ? R : Consortium 3-4e densitĂ©. Q : Eh bien, mais je pensais que BUSH Ă©tait une marionnette du Consortium ? (A) Nous savons que les militaires utilisent des avions pour aller Ă la « chasse aux OVNIs »âŠ. Il y a mĂȘme des rapports de tirs sur des OVNIs et de Jets militaires qui ont Ă©tĂ©
dĂ©sintĂ©grĂ©s par des OVNIs. Les OVNIs sont, dans une certaine mesure, de mĂšche avec le consortium. Il semblerait que ce nâest pas BUSH et toute la bande qui contrĂŽlent le Consortium et puis peut-ĂȘtre avaient-ils besoin dâun rappel Ă lâordre ? R : Ce nâest pas tant quâil a besoin dâun rappel Ă lâordre, que dâune stimulation Ă rĂ©agir. Q : (L) Vous avez dit prĂ©cĂ©demment que de toute maniĂšre, BUSH en sait trĂšs peu â ou bien quâau niveau de la Maison Blanche ils sont plutĂŽt dans le noir en ce qui concerne les plans du Consortium â mĂȘme si ce sont eux qui les exĂ©cutent. Vous suggĂ©rez donc quâils sont poussĂ©s par des forces dont ils nâont pas conscience et quâils ne comprennent pas ? R : Exactement. BUSH est une « machine Ă rĂ©actions. » Q : (L) Je voudrais en savoir plus sur ce prĂ©tendu « garde du corps » de Saddam qui a rĂ©cemment Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© par le MOSSAD ? Est-ce que câĂ©tait un des ex-gardes du corps de Saddam ? R : Dans une certaine mesure, oui. Mais certainement pas de la maniĂšre prĂ©sentĂ©e. Rappelez-vous simplement ceci : si des pilotes peuvent ĂȘtre conditionnĂ©s Ă commander Ă des Ă©quipages aĂ©riens qui vont voler Ă une mort certaine, est-il si difficile de « produire » un « garde du corps » ? Q : (L) Facile comme tout de produire un garde du corps, je prĂ©sume. (A) Il dit exactement ce que les IsraĂ©liens veulent quâil dise. Il ne rĂ©vĂšle aucun dĂ©tail particulier dâimportance. Il se contente de gĂ©nĂ©ralitĂ©s. Nâimporte qui pourrait dire des choses de ce genre et ĂȘtre appelĂ© un « garde du corps ». (L) Exactement. Bon. Vous dites que câest une pulsation Ă©lectromagnĂ©tique qui a dĂ©truit la navette. (A) DâoĂč provenait cette pulsation Ă©lectromagnĂ©tique ?
R : Dâun satellite basĂ© dans lâespace. Q : (A) Est-ce que la NASA connaĂźt la cause ? R : Il y en a qui ont des soupçons. Q : (L) Ce qui explique pourquoi ils sont si dĂ©sireux de convaincre tout le monde que ce nâĂ©tait PAS un sabotage. Comme pour la mort de Wellstone, il nâĂ©tait « pas question » que cela ait Ă©tĂ© une attaque terroriste. Il est probable que ce soit la Junte BUSH qui ait Ă©tĂ© derriĂšre la mort de Wellstone. Dans les deux cas ils « connaissent » la cause et veulent en dĂ©tourner lâattention. Mais dans le cas de la navette, ils nâont pas « les mains sales », mais ils ne veulent surtout pas non plus quâon puisse rĂ©aliser quâils ne sont pas des « responsables ». Cela me fait penser Ă la remarque que les CassiopĂ©ens ont faite il y a quelques annĂ©es sur les raisons de la mise en place et des manipulations du Complexe militaro-industriel. Les CassiopĂ©ens ont dit que lâennemi rĂ©el se trouve « quelque part lĂ -bas » et que la guerre nâĂ©tait quâune « couverture » pour empĂȘcher les masses de rĂ©aliser ce qui se passe vraiment. Peut-ĂȘtre que BUSH et le gang sont vraiment convaincus, au plus profond dâeux-mĂȘmes, que ce quâils font va protĂ©ger lâhumanitĂ© de cette menace. Mais pendant ce temps ils ne font que concrĂ©tiser les ambitions du Consortium. Et il est trĂšs intĂ©ressant que la navette ait explosĂ© au-dessus de Palestine, au Texas⊠comme si on voulait dire Ă BUSH : voilĂ ce qui va vous arriver : la Palestine sera votre destruction. Mais bien sĂ»r, BUSH serait incapable de percevoir cela dans un tel contexte. Est-ce que vraiment un message Ă©tait contenu dans cet Ă©vĂ©nement ? R : Comme toujours, la confusion est un masque. Q : (L) Autrement dit, les rĂ©actions Ă un Ă©vĂ©nement dĂ©pendent du contexte de chacun. Il y a le point de vue que
câĂ©tait un « message Ă BUSH ». BUSH et le gang le verront naturellement comme un stimulus pour engager des actions militaires plus rapides et plus « dĂ©cisives ». Cela fonctionne donc sur eux de la maniĂšre voulue. (A) Et bien sĂ»r nous nous demandons quelle usage ils vont faire de cet Ă©vĂ©nement. R : Lâeffet principal sur les masses sera un choix, ce qui les rendra moins rĂ©sistantes Ă la politique BUSH. Dâautres groupes verront dans leurs activitĂ©s une Ă©vidente menace contre les activitĂ©s de BUSH & ; Co. BUSH & ; Co. vont naturellement chercher Ă capitaliser sur lâĂ©vĂ©nement mĂȘme sâils restent dans le noir par rapport Ă sa signification. Mais il y a trĂšs certainement chez eux la conscience de lâexistence dâun « franc-tireur » en libertĂ©. BUSH a mĂȘme « Ă©prouvĂ© » une certaine peur primale par rapport Ă cet Ă©vĂ©nement Ă prĂ©sent, pour mettre les choses en perspective, je voudrais rĂ©pĂ©ter des extraits choisis de dialogues avec Nous dans le Futur, qui ont Ă©tĂ© citĂ©s au dĂ©but du prĂ©sent livre : Q : (L) Jâai lu le nouveau livre du Dr. David JACOBS, professeur dâHistoire Ă la Temple University, concernant ses recherches approfondies sur le phĂ©nomĂšne des rapts extraterrestres. [Le Dr. JACOBS a pris lâHistoire des OVNIs pour sujet de sa thĂšse de doctorat en philosophie ] Le Dr. JACOBS dit quâĂ prĂ©sent, aprĂšs toutes ces annĂ©es de recherche rigoureuse, il SAIT pourquoi les extraterrestres sont ici, et quâil a peur. David JACOBS dit que produire une descendance est lâobjectif premier qui se cache derriĂšre le phĂ©nomĂšne des enlĂšvements. Est-ce bien le cas ? R : En partie, mais « pas toute lâhistoire ». Q : (L) Y a-t-il une autre raison dominante ? R : Remplacement. Q : (L) Remplacement de quoi ?
R : Vous. Q : (L) Que voulez-vous dire ? CrĂ©er une race pour remplacer les ĂȘtres humains, ou enlever des humains spĂ©cifiques pour les remplacer par des clones, ou quoi dâautre ? R : Principalement en premier. Voyez-vous, quand on veut crĂ©er une nouvelle race, quel meilleur moyen que lâhybridation en masse, et ensuite rĂ©incarnation en masse. SpĂ©cialement quand lâespĂšce-hĂŽte est si profondĂ©ment ignorante, sous contrĂŽle et anthropocentrique. Quel merveilleux environnement pour une destruction totale, une conquĂȘte et un remplacement⊠vous voyez ? Q : (L) Eh bien cela rĂ©pond Ă mon autre question Ă propos de lâobjectif. Ici dans son livre, le Dr. Jacobs dit quâil y a des enlĂšvements qui se font dans des familles particuliĂšres. Je cite : « Outre la protection du foetus, il y a dâautres raisons au secret. Si les enlĂšvements sont, comme lâĂ©vidence lâindique clairement, un phĂ©nomĂšne intergĂ©nĂ©rationnel dans lequel les enfants des personnes enlevĂ©es sont eux-mĂȘmes enlevĂ©s, alors un des objectifs des extraterrestres est la production de davantage dâenlevĂ©s. Est-ce que tous les enfants de personnes enlevĂ©es sont incorporĂ©s dans le phĂ©nomĂšne ? LâĂ©vidence suggĂšre que la rĂ©ponse est oui. Si une personne enlevĂ©e a des enfants avec une personne qui nâa jamais Ă©tĂ© enlevĂ©e, les chances sont que tous leurs descendants deviendront des personnes enlevĂ©es. Cela signifie que par un accroissement normal de population, divorce, remariage etc., la population des enlevĂ©s augmentera rapidement au fil des gĂ©nĂ©rations. Quand ces enfants auront grandi, se marieront et auront eux-mĂȘmes eu des enfants, tous leurs enfants, quâils Ă©pousent des personnes ayant subi ou non un enlĂšvement seront des personnes enlevĂ©es. Pour protĂ©ger la nature
intergĂ©nĂ©rationnelle du programme « dâĂ©levage », ce programme doit ĂȘtre gardĂ© secret par rapport aux personnes enlevĂ©es afin que celles-ci continuent Ă avoir des enfants. Si les personnes enlevĂ©es savaient que le programme est intergĂ©nĂ©rationnel, elles pourraient choisir de ne pas avoir dâenfants. Et cela mettrait fin Ă une phase critique du programme, ce que les extraterrestres ne veulent pas risquer. La raison finale du secret est que le programme de reproduction doit ĂȘtre Ă©tendu ; pour lâintĂ©grer latĂ©ralement dans la sociĂ©tĂ©, les extraterrestres doivent sâassurer que les personnes enlevĂ©es Ă©pousent des non-enlevĂ©s et produisent ainsi des enfants enlevĂ©s ». âŠCeci paraĂźt suggĂ©rer quâil y a une lignĂ©e particuliĂšre qui est susceptible de⊠R : Nous vous lâavons dit prĂ©cĂ©demment : lâexpĂ©rience nazie a Ă©tĂ© un « coup dâessai », et maintenant vous voyez les similitudes, non ? Q : (L) Oui, je vois⊠R : Et nous vous avons dit que lâexpĂ©rience des « Natifs AmĂ©ricains « par rapport aux EuropĂ©ens pourrait ĂȘtre un coup dâessai sur petite Ă©chelle. Et aussi, dans ce que les Terriens de 3e densitĂ© font aux Terriens de 2e densitĂ© il y a « Ă boire et Ă manger ». Autrement dit, vous nâĂȘtes pas si exceptionnels malgrĂ© vos perspectives, eh ? Et nous vous avons aussi avertis quâaprĂšs la conversion des humains terriens en 4e densitĂ©, Les Orions de 4e densitĂ© et leurs alliĂ©s espĂšrent bien vous contrĂŽler « lĂ -bas ». Ă prĂ©sent, mettez tout cela ensemble et quâavez-vous ? Vous devriez au moins savoir Ă prĂ©sent que câest lâĂąme qui compte, et non le corps. Dâautres vous ont manipulĂ©s/organisĂ©s gĂ©nĂ©tiquement, spirituellement et psychologiquement pour que vous soyez centrĂ©s sur le corps. IntĂ©ressant comme en dĂ©pit de tous les efforts des SDA de 4e Ă
la 6e densitĂ©, « ce voile reste intact ». Q : (L) Maintenant, la grande question est : que sommes-nous supposĂ©s faire de ces informations ? R : Comme pour tout le reste, lâimportant nâest pas ce que vous devriez en faire, câest que vous les ayez. Q : (L) Est-ce quâil existe une possibilitĂ© de dĂ©jouer les plans de la 4e densitĂ© SDS dans ce projet ? R : Existe-t-il une possibilitĂ© de mettre en Ă©chec les conquistadores espagnols et les « colonisateurs » anglais, français, hollandais et allemands ? » Q : (F) Est-ce quâils ont bien dit ce que je pense quâils ont dit ? (L) Oui. Cela est indiciblement dĂ©primant. R : Et vous espĂ©riez un jardin de roses ? Q : (L) Si câest comme ça, pourquoi ne rejoignons-nous pas tous le culte du Heavenâs Gate [25] pour nous suicider en masse et ne pas devoir nous occuper de tout ça ? ! R : Vous avez choisi de « vous en occuper », non ? Q : (L) Mais avais-je bien toute ma tĂȘte quand jâai fait ce choix, ou bien avais-je bu ? R : Pas de boissons en 5e densitĂ© ! Q : (L) Jâai eu des Ă©changes avec Carla MCCARTY qui Ă©tait le canal Ra. Elle dit que nous ne sommes pas censĂ©s FAIRE quelque chose ; nous sommes simplement censĂ©s ĂȘtre pour laisser couler Ă travers nous le flux dâamour, aimer les extraterrestres et tout le monde, nous dĂ©tendre dans les champs de tulipes, et sâils nous enlĂšvent nous devons aimer ça aussi. Quelque part je ne trouve pas cela⊠R : Tout ce quâil y a ce sont des leçons ! ! Q : (L) Est-ce que la leçon est dâapprendre comment renoncer aux ombres avec panache ? Quel est le but ? R : Vos expĂ©riences ne finissent jamais. Se transforment seulement. Pas besoin de « corps-centrisme ».
Q : (L) Un jour vous avez dit quelque chose Ă propos de la transition vers la 4e densitĂ©, qui crĂ©erait un « champ de bataille » Ă ce niveau. Alors les gens vont sâĂ©veiller et il y aura une bataille entre humains et extraterrestres⊠R : Oui. Q : (L) Et sâil sâagit dâun champ de bataille du mĂȘme niveau, alors la situation ne sera pas tout Ă fait la mĂȘme que les Conquistadores contre les AztĂšques et les Natifs AmĂ©ricains contre les EuropĂ©ens, et ⊠R : Faux, tous, dans ce drame, Ă©taient de 3e densitĂ©. Les lapins, rats, chiens, etc. ne sont pas sur un champ de bataille au mĂȘme niveau que vous ! Q : (L) Est-ce que les extraterrestres savent que des comĂštes vont arriver, et tout ce genre de choses ? R : Oui. Q : (L) Et ils ont dans lâidĂ©e que ce quâils sont en train de faire, cette race quâils sont en train de crĂ©er, survivra Ă ces activitĂ©s cataclysmiques ? R : Bien sĂ»r. Q : (L) Est ce que câest « bien sĂ»r » ils vont survivre, ou bien est-ce « bien sĂ»r » ils croient quâils vont survivre ? R : Les deux. Q : (L) Okay, vous nous avez dit un jour que cela serait comme une « bataille cosmique ». Que le cycle allait crĂ©er un Ă©quilibre, etc. Jâessaie de comprendre cela. Si câest bien le cas, ils semble quâil y ait davantage lĂ que les Conquistadores contre les AztĂšques et les EuropĂ©ens contre les AmĂ©ricains autochtones ; quâĂ un certain point lâhistoire change : les opprimĂ©s rĂ©torquent. Jâessaie de placer lâallĂ©gorie dans un cadre plus comprĂ©hensible. Voyez-vous ce que je veux dire ? R : Non. Q : (L) Câest parce que je suis dĂ©sorientĂ©e. Ce que
jâessaie de demander sans le demander directement câest ceci : quelles chances avons-nous de faire quoi que ce soit ? R : Vous ne voyez toujours pas « tout le tableau ». Q : (L) Câest quoi, tout le tableau ? R : Votre Ăąme, votre conscience. Q : (L) Donc, autrement dit, nous avons choisi de venir Ă ce moment-ci, pour faire lâexpĂ©rience de cet envahissement gĂ©nĂ©ral de notre planĂšte, et de la conquĂȘte et de la destruction de la race humaine, juste pour pouvoir faire lâexpĂ©rience, nous en aller et nous rĂ©incarner ? R : Non. Q : (L) Eh bien, câest ce quâon dirait cependant ! Vous dites que la seule chose qui compte câest notre Ăąme, notre conscience, dĂšs lors si nous nous occupons du dĂ©part de notre Ăąme et de notre corps, la rĂ©ponse est manifestement a) se rĂ©incarner, ou b) aller vers la densitĂ© suivante et se rĂ©incarner. Quelle autre option y a-t-il ? R : Combien de temps pensez-vous que vous « vivrez ? » Q : (L) Eh bien, dans des circonstances normales, jusquâĂ 70 ou 80 ans, pour ĂȘtre optimiste. R : Et est-ce que câest long ? Q : (L) Non, ce ne lâest pas. Selon les normes cosmiques, câest une bouffĂ©e de vapeur. OĂč voulez-vous en venir ? R : Pensez-y. Avez-vous eu des contemporains qui ont transitĂ© en 5e densitĂ© ? Q : (L) Oui. R : Comment cela ? Comment cela est-il possible ? Q : (L) Parce quâils sont morts. Le corps est mort. R : Pourquoi ? Q : (L) Parce que câest ce que font les corps.
R : Mais est-ce « juste ? » Q : (L) Est-ce que câest juste ? ! Je le suppose, si câest ce quâils ont choisi. R : Et⊠Q : (L) Je ne sais pas oĂč vous voulez en venir avec cela ! R : Vous semblez avoir lâimpression que seules les « bonnes expĂ©riences » sont acceptables. Q : (L) Non, je nâai pas lâimpression que seules les bonnes expĂ©riences sont acceptables, mais jâai une sorte de dilemme ici parce que nous sommes en train de vous parler Ă vous, qui ĂȘtes supposĂ©s ĂȘtre « nous dans le futur ». Nous sommes ici, Ă cette Ă©poque-ci, sur cette planĂšte-ci, oĂč les choses sont dans un Ă©tat trĂšs Ă©trange. Il y a une sorte dâĂ©norme transition qui est en train de se produire, et je me demande seulement pourquoi tout ça. Pourquoi sommes-nous en train de vous parler ? Quel est le but ? R : Câest ça la leçon. Vous ne comprenez toujours pas ? La leçon, les leçons, câest tout ce quâil y a. Elles sont toutes immensĂ©ment prĂ©cieuses. Q : (L) Okay, nous sommes en train dâavoir ces leçons. Vous nous avez dit ce qui se passe. Nous le voyons autour de nous. Je suis convaincue que ce que vous avez dit est ainsi de par un tas dâautres preuves circonstanciĂ©es ainsi que par les recherches dâautres personnes qui sont arrivĂ©es Ă la mĂȘme conclusion et, que diable, câest horrible ! Me comprenez-vous ? ! Câest horrible ! R : Ăa câest votre point de vue. Q : (L) Comme lâa dit Eva lâautre jour au tĂ©lĂ©phone, Ă quoi sommes-nous censĂ©s nous Ă©veiller ? Est-ce que nous sommes simplement supposĂ©s nous Ă©veiller au fait que nous voyions tout ce qui se passe ?
R : Oui. Q : (L) Et simplement nous Ă©veiller et voir, câest tout ce quâil y a ? Bon, une fois que nous sommes Ă©veillĂ©s et que nous VOYONS, pourquoi ne pouvons-nous pas simplement partir Ă ce moment ? Quand on connaĂźt le script on ne doit pas ĂȘtre obligĂ© de regarder le film ! R : Mais alors vous ratez lâoccasion de lâexpĂ©rience. Q : (L) Donc, nous sommes tous ici pour faire lâexpĂ©rience dâĂȘtre mĂąchĂ©s et broyĂ©s⊠R : Non. Q : (L) EmprisonnĂ©s, contrĂŽlĂ©s, traitĂ©s comme des rats dans des cages de laboratoire⊠R : Extase, vous souvenez-vous ? Q : (L) Extase ? ! Eh bien câest la meilleure ! Nous pouvons tous aller brĂ»ler sur le bĂ»cher ! DâaprĂšs ce que je comprends, câest une expĂ©rience extatique ! Je suis certaine que William WALLACE est parfaitement tombĂ© en extase quand il a Ă©tĂ© chĂątrĂ© et quâon lui a retirĂ© ses boyaux et quâon les a brĂ»lĂ©s sur un bĂ»cher juste sous son nez ! R : Il nây a pas si longtemps, votre nez Ă vous sâest Ă©crasĂ© sur le pavé⊠Q : (L) Et câĂ©tait une expĂ©rience extatique ? R : Oui. Q : (L) Mais alors, quand vous dites « extatique » vous voulez juste dire sauter dâune fenĂȘtre et casser sa pipe ? ! Il faut comprendre ici ! La perspective ici en 3e densitĂ© ! Vous nâavez pas un nez Ă Ă©craser sur le pavĂ© ! R : Et nous ne le faisons/ferons pas. Q : (A) Vous dites que les connaissances protĂšgent. Elles protĂšgent contre QUOI ? R : Beaucoup de choses. Un exemple : traumatisme et confusion post-transformationnels.
Q : (L) Donc, la connaissance va nous protĂ©ger contre le traumatisme et la confusion post-transformationnels. Vous ĂȘtes en train de dire que cette transition en 4e densitĂ© sera traumatisante et dĂ©concertante. Est-ce que vous voulez dire la transformation de 3e en 4e densitĂ©, ou de 3e en 5e densitĂ©, câest-Ă -dire la mort ? R : Les deux. Q : (L) Donc, si on nâa pas de choc, traumatisme, confusion, etc., on peut mieux fonctionner ? R : Oui. Q : (L) Eh bien, quand une personne transite directement de 3e en 4e densitĂ© sans passer par la 5e densitĂ© par la mort, cela implique que des personnes peuvent transiter directement de 3e en 4e densitĂ©, sans mourir. Est-ce correct ? R : Oui. Q : (L) Quâest-ce que cela donne comme sensation ? Comment est cette expĂ©rience⊠R : Alice de lâautre cĂŽtĂ© du miroir. Q : (A) Bon. Ils disent que la connaissance est supposĂ©e protĂ©ger du traumatisme et de la confusion. Dâautre part, tout est leçons. Pourquoi sommes-nous supposĂ©s travailler Ă Ă©viter une leçon ? R : Vous avez raison, câest une leçon, mais si vous avez une prĂ©-connaissance vous apprenez cette leçon plus vite et dâune maniĂšre diffĂ©rente. Q : (L) Donc, si on append la leçon dâune maniĂšre diffĂ©rente, est-ce que cela adoucit le besoin, ou le processus de la maniĂšre dâapprendre au moment de la transition ? R : Oui, plus doux. Q : Je dois dire que de penser Ă tout cela, de ne rien pouvoir y faire, de nâĂȘtre pas capable dâen parler autour de moi parce que les gens ne le croient pas, câest certainement plus
douloureux que dâen recevoir le choc⊠R : Non. Q : (L) Eh bien, vous ĂȘtes en train de suggĂ©rer que je suis capable de dire ces choses Ă dâautres ? R : Vous pouvez transmettre, mais suggĂ©rons de le faire de façon subtile. Q : (L) Et combien subtil cela peut-il ĂȘtre ? Dois-je dire : « salut les gars, vous connaissez les mots mĂącher, broyer, miam miam ???â R : Tout nâest pas comme cela et vous le savez ! La plupart ne sont pas mangĂ©s, seulement manipulĂ©s. La connaissance protĂšge de la maniĂšre la plus Ă©tonnante. Q : (L) Je ne veux certainement pas rester sur cette planĂšte quand elle aura Ă©tĂ© envahie les des extraterrestres et que tout le monde sera en train dâĂȘtre mĂąchĂ© ! R : MĂąchĂ© ? Voyons ! ! Voici quelque chose Ă digĂ©rer pour vous : pourquoi est-ce que vos hommes de science omettent lâĂ©vidence quand ils insistent sur le fait que les extraterrestres ne peuvent accomplir de voyage vers la Terre depuis un systĂšme trĂšs Ă©loignĂ© ? ? ? Q : Et quelle est cette chose Ă©vidente ? R : MĂȘme si le voyage Ă la vitesse de la lumiĂšre et « plus rapide » nâĂ©tait pas possible, et il lâest, bien sĂ»r, il nây a pas de raison pour quâune race extraterrestre ne soit pas capable de construire une « arche » spatiale et dây faire vivre de nombreuses gĂ©nĂ©rations. Ils pourraient parcourir de grandes distances Ă travers temps et espace, en cherchant un monde convenable Ă conquĂ©rir. Quand ils lâauraient trouvĂ©, ils pourraient alors mettre cette arche sur une orbite lointaine, construire des bases sur divers plans solides dans ce systĂšme solaire, et entreprendre une manipulation patiente des civilisations choisies pour quâelles dĂ©veloppent une
infrastructure technologique convenable. Et ensuite, aprĂšs avoir instituĂ© un projet de programmation du mental, ils pourraient simplement intervenir et prendre le contrĂŽle dĂšs que la situation est devenue favorable. Q : Est-ce que câest ce qui sâest produit ou est en train de se produire ? R : Cela se pourrait bien, et peut-ĂȘtre que maintenant câest le moment pour vous dâapprendre les dĂ©tails. Q : Est-ce quâune telle race serait dâorientation 3e ou bien 4e densitĂ© ? R : Pourquoi pas des Ă©lĂ©ments des deux ? Q : Quel est le lieu le plus probable oĂč une telle race serait apparue ? R : Oh, peut-ĂȘtre Orion, par exemple ? Q : Okay. Si une telle race a en effet fait le voyage vers ce lieu dans lâespace-temps, combien de gĂ©nĂ©rations y a-t-il eu sur leur arche spatiale pendant la pĂ©riode de ce voyage, en supposant, bien sĂ»r quâune telle chose se soit produite ? R : Peut-ĂȘtre 12. Q : Cela implique quâils ont des pĂ©riodes de vie plutĂŽt longues⊠R : Oui⊠Q : En supposant que câest le cas, quelle est leur durĂ©e de vie ? R : 2 000 de vos annĂ©es. Câest-Ă -dire quand dans lâespace,⊠Q : Et quelle est la durĂ©e sur la terre ferme ? R : 800 ans. Q : Est-ce quâil ne leur est pas venu Ă lâidĂ©e quâil vaudrait mieux pour eux rester dans lâespace ? R : Non. Les planĂštes sont beaucoup plus « confortables ».
Q : Imaginons quâun tel groupe a fait le voyage jusquâici⊠R : Nous vous avons parlĂ© des conflits imminents⊠Peut-ĂȘtre que nous avons voulu dire la mĂȘme chose que votre Bible, et dâautres rĂ©fĂ©rences. Parlons de⊠La bataille « finale » entre « le bien et le mal.. ». Cela semble assez cosmique quand on y pense, nâest-ce pas ? Q : Est-ce que cela signifie quâil y a eu plus dâun groupe qui a fait le voyage jusquâici dans leur arche spatiale ? R : Il pourrait bien y en avoir un autre qui est en train de sâapprocher, ainsi que des « renforts » pour lâun ou lâautre, ainsi que des observateurs « non-impliquĂ©s » mais intĂ©ressĂ©s de divers types, qui apprĂ©cient lâhistoire depuis les coulisses. Q : Eh bien super ! Adieu ma vie paisible ! R : Elle ne lâa jamais Ă©tĂ© ! Q : Mais je faisais des plans dans ce sens ! R : Vous avez choisi dâĂȘtre incarnĂ©e maintenant, avec quelque prĂ©-connaissance de ce qui va arriver. RĂ©fĂ©rez-vous Ă vos rĂȘves dâattaques venues de lâespace. Q : Okay, de quels types raciaux parlons-nous par rapport Ă ces hypothĂ©tiques extraterrestres ? R : Trois structures fondamentales. Nordiques, Reptiliens, et Gris. Nombreuses variantes du type 3, et 3 variantes des types 1 et 2. Q : Eh bien de quels types raciaux sont les « bons » ? R : Nordiques, en affiliation avec « guides » de 6e
densitĂ©. Q : Et ce sont les seuls qui soient bons ? R : Vous nâavez pas besoin de plus. Q : Merveilleux ! Alors si câest un Gris ou un Lizzie, on sait que ce ne sont pas les bons gars. Mais si câest un grand blond, alors on peut se poser des questions !
R : Tout est subjectif quand on parle de bon et pas bon. Certains de la 2e densitĂ© pensent Ă vous comme « pas bons », et câest le moins quâon puisse dire !!! Q : ĂĂ câest certain ! SpĂ©cialement les cancrelats ! Peut-ĂȘtre que nous devrions entrer en contact avec certains de ces bons gars⊠R : Quand le « temps » sera venu. Sâil vous plaĂźt, soyez attentifs aux signes ! Cela ne vous aidera pas de vous placer dans un vacuum de conscience. Q : On parle beaucoup des observations faites dans la rĂ©gion du Sud-Ouest. On dit quâil sâagit de la « nouvelle » invasion ou atterrissage en masse. Pouvez-vous faire un commentaire sur ces activitĂ©s ? R : PrĂ©lude au plus grand des « coups » quâil y ait jamais eu. Q : Et oĂč ce « coup » aura-t-il lieu ? R : Terre. Q : Quand est-ce que cela commencera ? R : DĂ©jĂ commencĂ©. Q : Est-ce que ce plus grand des coups sera juste un coup ou bien est-ce que ce sera une invasion ? R : Pas encore. Invasion se produit quand programmation est complĂšte Q : Quelle programmation ? R : Voyez Bible, Livre Lucide, MatĂ©riaux Matrix, « Faiseurs dâAube », et bien dâautres sources, puis faites rĂ©fĂ©rences croisĂ©es⊠extrayez la vĂ©ritĂ© de la dĂ©sinformation. Q : Mais si quelque chose est assez imminent nous nâaurons pas le temps de faire toutes les choses que vous nous avez suggĂ©rĂ© de faire ! R : Si, vous lâaurez, trĂšs probablement. Q : Cela mâenlĂšve tout courage !
R : Mais non ! Q : Eh bien, allons-nous avoir le temps de faire toutes ces choses ? R : Toutes ces choses ont Ă©tĂ© suggĂ©rĂ©es pour cette raison, entre autres. Q : Alors, toutes ces choses que vous avez suggĂ©rĂ©es sont pour faire en sorte que nous soyons prĂȘts pour lâĂ©vĂ©nement ? R : Oui. Q : Et bien alors nous ferions bien de nous bouger ! Nous nâavons pas de temps Ă perdre ! R : Vous ferez comme il faudra, vous ne pourrez pas forcer ces Ă©vĂ©nements ni modifier la Grande DestinĂ©e. Q : Je nâaime pas entendre ça ! Je veux rentrer chez moi ! R : Lâalternative est moins appĂ©tissante. Q : SĂ»r ! Je ne veux pas ĂȘtre un dĂ©jeuner ! R : RĂ©incarnation sur une Terre de 3e densitĂ©, en tant que « cavernicole » parmi les gravats et sur fond de ciel rougeoyant, pendant que souffle la froide bise perpĂ©tuelle ⊠Q : Pourquoi le ciel est-il rougeoyant ? R : Contemplez. Q : Bien sĂ»r ! PoussiĂšre de comĂšte ! Bien sĂ»r, tout le monde sait ça ! Magnifique !!! Quelque chose dâautre ? R : Restez branchĂ©s pour toutes autres informations importantes Les OVNIs ont des relations avec la sĂ»retĂ© de lâĂ©tat pour des tas de raisons, la moindre nâĂ©tant pas que du personnel militaire et industriel de nombreux pays est impliquĂ©. Cette situation existe depuis plus de cinquante ans. En fait, une Ă©tude approfondie de lâhistoire montre une interaction entre OVNIs et militaires depuis des centaines, si
pas des milliers dâannĂ©es ! Les violations dâespaces aĂ©riens non autorisĂ©s continuent Ă se produire ; les tentatives dâinterceptions se poursuivent ; les ordres de garder les choses secrĂštes sont plus sĂ©vĂšres que jamais. Nous devrions nous demander pourquoi. Si, comme nous en avons des preuves, les organismes militaires sâintĂ©ressent de si prĂšs aux OVNIs et aux extraterrestres, et sâils restent dans le noir Ă leur sujet, comme nous en avons Ă©galement des preuves, est-ce quâils nâutiliseraient pas comme des ressources les nombreux prĂ©tendus « contacts extraterrestres » que la communautĂ© New Age affirme avoir sâil y avait une possibilitĂ© pour que ces sources soient rĂ©ellement en contact avec de «vrais extraterrestres » sur et autour de la planĂšte, ainsi quâils lâaffirment ? Il est certain que de nombreux contactĂ©s affirment quâil y a «un extrĂȘme intĂ©rĂȘt de la part de militaires » pour leur travail. Cependant, si lâon se base sur les faits des opĂ©rations de la SĂ©curitĂ© de lâEtat, nous pouvons assez objectivement penser que si cela Ă©tait vrai, ces contactĂ©s nâauraient pas besoin de clamer leurs informations Ă tous vents. Quâils opĂšrent souvent sans ĂȘtre molestĂ©s et mĂȘme en obtenant une grande popularitĂ© est une preuve Ă©vidente que leurs « informations » ne sont dâaucune utilitĂ© pour les militaires, si mĂȘme elles ne sont pas crĂ©es par eux ! Il semble bien que la majoritĂ© des contactĂ©s et channelers sont dupes de la dissimulation militaire â ils sont victimes du COINTELPRO â qui gĂ©nĂšre le bruit couvrant le signal de la vraie rĂ©alitĂ© extraterrestre. Bref, la plupart des prĂ©tentions des channelers, contactĂ©s, gourous New Age, chercheurs dâOVNIs, et leurs semblables, tant dans les livres que sur lâInternet, en ce qui concerne la «rĂ©alitĂ© alien », sont du COINTELPRO du meilleur crĂ». Gardez-ça bien prĂ©cieusement.
Une chose est claire : Les OVNIs eux-mĂȘmes ne sont pas sous le contrĂŽle des militaires - ni de qui que ce soit dâautre. Mais que le Consortium poursuive sa dĂ©sinformation et sa dissimulation â au vu de ses violations de leur propre espace aĂ©rien â suggĂšre encore une fois la prĂ©sence dâarrogants et puissants MaĂźtres de la RĂ©alitĂ©, assistĂ©s et secondĂ©s par leurs serviteurs des organismes militaires et du Renseignement qui, tout en obĂ©issant Ă leurs puissants suzerains, cherchent Ă garder les choses au calme pendant quâils tentent dĂ©sespĂ©rĂ©ment de dĂ©couvrir les secrets du pouvoir afin de se lâapproprier. Et il semble bien quâactuellement le jeu soit en cours dans les citadelles du Pouvoir et du Secret. Quelque chose est en train de se produire, et les serviteurs des maĂźtres extraterrestres paniquent dans tous les sens. Ils essayent de bĂ©tonner les commandes, et solidifier leur base de puissance, parce que «La Terrible Heure H est en train dâapprocher »
NOTES
[1]: Le meilleur des mondes (NdT) [2]: CHITTICK, William, The Sufi Path of Knowledge, (Albany : State University of New York 1989) p. 263. [3]: DOLAN, Richard, UFOs and the National Security State, (Charlottesville : Hampton Roads 2002) Introduction p. xix. [4]: Ibid., p. 184 [5]: Un mouvement radical de gauche ayant eu recours Ă des actions violentes (NdT) [6]: Students for a Democratic Society (NdT) [7]: National Security Agency (NdT) [8]: Ibid., p. 361. [9]: American Association for the Advancement of Science (NdT) [10]: La science en dĂ©faut : vingt-deux annĂ©es dâenquĂȘtes inadĂ©quates sur les OVNIs (NdT) [11]: Ibid., citĂ© par DOLAN, p. 368. [12]: Les Super-Espions [13]: Convaincu que les Scientifiques allemands pourraient aider les AmĂ©ricains dans leurs efforts dâaprĂšs-guerre, le PrĂ©sident Harry TRUMAN dĂ©cida en septembre dâautoriser le projet « Paperclip », un programme destinĂ© Ă faire travailler des scientifiques allemands triĂ©s sur le volet pour lâAmĂ©rique pendant la « Guerre Froide ». Cependant, TRUMAN avait expressĂ©ment dĂ©cidĂ© dâexclure quiconque « avait Ă©tĂ© membre du parti Nazi et participĂ© en son nom propre aux activitĂ©s de celui-ci, ou avait activement soutenu le nazisme ou le militarisme ». Le War Departmentâs Joint Intelligence Objectives Agency (JIOA) (Agence pour les
Objectifs Communs des Renseignements du MinistĂšre de la Guerre) mena des enquĂȘtes de fond sur les scientifiques. En fĂ©vrier 1947, le directeur de la JIOA, Bosquet WEV, soumit pour examen, le premier lot de dossiers de scientifiques aux MinistĂšres de lâIntĂ©rieur et de la Justice. Ces dossiers Ă©taient accablants. Samuel KLAUS, ReprĂ©sentant du MinistĂšre de lâIntĂ©rieur auprĂšs du Conseil de la JIOA, prĂ©tendit que tous les scientifiques dont le nom apparaissait dans ce premier lot Ă©taient « dâardents Nazis « . Leur demande de visa fut rejetĂ©e. WEV Ă©crivit un memorandum dĂ©clarant que « les intĂ©rĂȘts supĂ©rieurs des Ătats Unis avaient Ă©tĂ© bafouĂ©s par ceux qui « usaient leurs forces Ă fouetter le cheval crevĂ© du nazisme ». Il dĂ©clara Ă©galement que le retour de ces scientifiques en Allemagne oĂč ils pourraient ĂȘtre exploitĂ©s par les ennemis de lâAmĂ©rique, « prĂ©sentait un danger bien plus grave pour la sĂ©curitĂ© du pays que nâimporte quelle affiliation passĂ©e au parti nazi, ou nâimporte quelle sympathie passĂ©e ou prĂ©sente pour ce parti ». Lorsque la JIOA fut formĂ©e afin de fouiller le passĂ© des scientifiques et de monter les dossiers concernant les nazis, le chef des Renseignements Nazis, Reinhard GEHLEN, eut une entrevue avec Allen DULLES le Directeur de la CIA. DULLES et GEHLEN sympathisĂšrent immĂ©diatement : GEHLEN Ă©tait un maĂźtre-espion au service des Nazis et avait infiltrĂ© la Russie grĂące Ă son vaste rĂ©seau de renseignement nazi. DULLES promit Ă GEHLEN que son UnitĂ© de Renseignement Ă©tait en sĂ©curitĂ© Ă la CIA. DULLES fit rĂ©-Ă©crire les dossiers des scientifiques pour supprimer toutes les preuves susceptibles de les incriminer. Comme promis, Allen DULLES remit lâUnitĂ© de Renseignement Nazi Ă la CIA, ce qui ensuite permit dâentreprendre de nombreux projets-parapluie se basant sur la folle recherche nazie. (MK-ULTRA / ARTICHOKE, OPERATION MIDNIGHT CLIMAX). Pour 1955, plus de 760
scientifiques allemands avaient reçu la nationalitĂ© amĂ©ricaine et occupaient des postes Ă©minents au sein de la communautĂ© scientifique amĂ©ricaine. Nombreux dâentre eux avaient Ă©tĂ© pendant longtemps des membres du parti nazi et de la Gestapo, avaient procĂ©dĂ© Ă des expĂ©riences sur des ĂȘtres humains dans les camps de concentration, avaient utilisĂ© de la main dâĆuvre esclave, et commis encore dâautres crimes de guerre. Dans un exposĂ© paru en 1985 dans le « Bulletin of the Atomic Scientists » Linda Hunt Ă©crivait quâelle avait examinĂ© plus de 130 rapports sur des sujets se rapportant au Projet Paperclip â et que chacun de ces rapports avait Ă©tĂ© « changĂ© de maniĂšre Ă Ă©liminer toute classification « menace Ă la sĂ©curitĂ© ». Le PrĂ©sident TRUMAN qui, dans le cadre du Projet Paperclip, avait explicitement ordonnĂ© de nâadmettre aucun Nazi, ne fut naturellement jamais informĂ© que sa directive nâavait pas Ă©tĂ© respectĂ©e. [14]: Projet « attache-trombone » [15]: Ibid., p. 382. [16]: Vaporisation de produits supposĂ©s chimiques, depuis des avions dont certains affirment quâil sâagit de Jets appartenant aux forces armĂ©es des USA. Les traces laissĂ©es dans le ciel ne seraient pas les traces ordinaires laissĂ©es par les avions commerciaux, mais forment des motifs en forme de grille, de plumets, etc. (NdT) [17]: Military-Industrial Complex (NdT) [18]: Allusion au conte de GRIMM « Le joueur de flĂ»te de Hamelin » (NdT) [19]: Michelle se souvient (NdT) [20]: Ibid., p. 381. [21]: Projet RĂ©vĂ©lations (NdT) [22]: DOLAN, op. cit. [23]: Ibid., p. 392
[24]: Voir Histoire SecrÚte pour la description et les commentaires sur les « portails organiques » [25]: La porte du Ciel (NdT)
CHAPITRE XXIV
Nous en arrivons Ă prĂ©sent Ă ce qui est appelĂ© « Ascension », dont tant de « contactĂ©s » et « enlevĂ©s » affirment que câest le rĂ©sultat recherchĂ© des contacts avec ceux que lâon qualifie dâextraterrestres. Le sujet de lâAscension semble ĂȘtre le sujet numĂ©ro Un sur la liste du New Age et du mouvement du Potentiel Humain. Si, comme nous le soupçonnons, New Age et mouvement du Potentiel Humain sont des produits du COINTELPRO cela signifie que la comprĂ©hension juste de lâAscension et du processus dâAscension sont justement ce quâils souhaitent dĂ©stabiliser et anĂ©antir. Est-ce que cela signifie quâun tel potentiel nâexiste pas ? Non. Les concepts dâAscension nous sont proches depuis longtemps, ainsi que nous allons le voir bientĂŽt. Ce qui est diffĂ©rent dans la publicitĂ© rĂ©pandue de nos jours, câest le processus qui est ou bien complĂštement faux, ou bien assez dĂ©formĂ© que pour dĂ©tourner suffisamment lâaspirant du chemin. Si lâon se base sur lâĂ©valuation des potentiels de lâAscension, il devient manifeste que la raison pour laquelle le sujet est aussi populaire est que câest une des premiĂšres choses que le COINTELPRO a pour dessein dâempĂȘcher et de prĂ©venir. Je rĂ©pĂšte lâobservation que jâai faite plus haut : est-ce que autant dâefforts seraient faits pour dissimuler les ambitions extraterrestres si la vĂ©ritĂ© nâallait pas Ă lâencontre de ces ambitions ? Autrement dit : est-ce quâautant dâefforts seraient
faits pour dĂ©tourner du processus dâAscension, qui est prĂ©tendument liĂ© au « scĂ©nario de rencontres extraterrestres » sâil nâĂ©tait pas contraire Ă des intentions nĂ©gatives ? Comme lâa dit lâhomme du RAND, « Le terrorisme est en train de changer. De nouveaux adversaires, de nouvelles motivations et de nouvelles justifications ont fait surface ces derniĂšres annĂ©es, mettant en question une grande partie de la sagesse conventionnelle ». Nous pensons dĂ©jĂ que le Consortium, la SĂ©curitĂ© de lâĂtat, ne se soucie pas dâagir au mieux de nos propres intĂ©rĂȘts. Notre plus grand intĂ©rĂȘt. Et que quelque part, ils pourraient agir sur les ordres des envahisseurs extraterrestres. Eu Ă©gard Ă cela, nous pourrions peut-ĂȘtre regarder sous un nouvel Ă©clairage quelques unes des idĂ©es sur lâAscension qui ont cours de nos jours. Pour comprendre la prospĂ©ritĂ© de « lâIndustrie de lâAscension telle que prĂ©sentĂ©e par les Aliens », il nous faut prendre en compte une trĂšs proche parallĂšle : la culture gĂ©nĂ©rale. Parmi les observateurs de la scĂšne socio-culturelle amĂ©ricaine de nombreux experts affirment quâil y a, depuis plus dâune centaine dâannĂ©es, un effort dĂ©libĂ©rĂ© de « sous-Ă©duquer» la population amĂ©ricaine tant du point de vue intellectuel que du point de vue de lâĂ©thique. Ce sujet est trop vaste pour pouvoir ĂȘtre couvert en dĂ©tail ici, mais il en sera traitĂ© dans un prochain volume. Pour le moment, nous nous contenterons de faire observer que le mĂȘme processus a Ă©tĂ© utilisĂ© pour nous « abĂȘtir » dans les domaines philosophique, mĂ©taphysique, et de prise de conscience spirituelle. Nous pouvons Ă©galement faire observer quâil est trĂšs peu probable quâun tel effort ait portĂ© sur le contrĂŽle du mental des masses pour contrĂŽler celles-ci de lâextĂ©rieur, sans quâun programme parallĂšle ne permette de pervertir lâesprit et de le mettre sous domination, Ă©galement par lâintermĂ©diaire de « scĂ©narios
extraterrestres» dâAscension. Alors que chacun admettra probablement volontiers quâil y a trop de violence montrĂ©e Ă la tĂ©lĂ©vision et que les publicitĂ©s sont lamentablement infantiles, trĂšs peu de gens conçoivent vraiment la nature prĂ©cise et lâĂ©tendue de lâinfluence hypnotisante des mĂ©dias. Plus rares encore sont ceux qui ont la moindre idĂ©e de ce qui se trame derriĂšre ces mobiles. WALLACE et WALLECHINSKY Ă©crivent dans The Peopleâs Almanac : AprĂšs la deuxiĂšme guerre mondiale, la tĂ©lĂ©vision a prospĂ©ré⊠Elle a fait appel Ă des psychologues et sociologues pour Ă©tudier la nature humaine par rapport Ă la vente ; en dâautres termes, comment manipuler les gens sans quâils sâen aperçoivent. Le Dr. Ernest DICHTER, PrĂ©sident de lâInstitute for Motivational Research a dĂ©clarĂ© en 1941⊠« Lâagence en publicitĂ© qui rĂ©ussit manipule les motivations et dĂ©sirs humains, et dĂ©veloppe le besoin en biens jusque lĂ peu connus du public - et que celui-ci nâavait peut-ĂȘtre pas le dĂ©sir dâacheter ». Parlant de lâinfluence de la tĂ©lĂ©vision, Daniel BOORSTIN Ă©crit : « Voici enfin un supermarchĂ© dâexpĂ©riences subrogĂ©es. Une adroite programmation offre du divertissement ayant lâapparence dâinstruction ; de lâinstruction ayant lâapparence de divertissement ; de la persuasion politique ayant lâ attrait de la publicitĂ© ; et de la publicitĂ© ayant lâattrait du spectacle. » [âŠ] la tĂ©lĂ©vision programmĂ©e ne sert pas seulement Ă rĂ©pandre lâacquiescement et le conformisme, elle reprĂ©sente aussi une approche dĂ©libĂ©rĂ©ment industrielle « . [1] Ă Allen FUNT, prĂ©sentateur dâune Ă©mission de tĂ©lĂ©vision trĂšs populaire, Candid Camera, quelquâun a un jour demandĂ© quelle Ă©tait la chose la plus dĂ©rangeante quâil avait
apprise sur les gens au cours de ses annĂ©es de contact avec eux par lâintermĂ©diaire des mĂ©dias. Sa rĂ©ponse fait froid dans le dos par ses implications : « Le pire, et qui apparaĂźt de façon rĂ©currente, câest combien facilement les gens se laissent dominer par nâimporte quelle apparence dâautoritĂ©, ou mĂȘme les moindres signes dâautoritĂ©. Un homme bien habillĂ© remonte lâescalator destinĂ© Ă la descente, et la plupart des gens se retournent et essaient de remonter aussiâŠ. Nous avons placĂ© un panneau sur la route : « Delaware fermĂ© aujourdâhui ». Les automobilistes nâont mĂȘme pas demandĂ© pourquoi. Ils ont seulement demandĂ© : « Est-ce que Jersey est ouvert ? » [2] Soumission aux moindres signes dâautoritĂ© ; absence de connaissances et de conscience ; dĂ©sir de dĂ©pannage rapide et dâissue commode. Paraphrasons Daniel BOORSTIN : « pour les aspirants Ă lâAscension, voici enfin un supermarchĂ© dâexpĂ©riences subrogĂ©es. Dâadroites [philosophies dâAscension] offrent du divertissement ayant lâapparence dâinstruction ; de lâinstruction ayant lâapparence de divertissement ; de la persuasion [mĂ©taphysique] ayant lâattrait de la publicitĂ© ; de la publicitĂ© ayant lâattrait du spectacle [cosmique]. » Si nous prenons en compte les informations au sujet de la programmation du mental et ses potentialitĂ©s compilĂ©es dans le livre de DOLAN, UFOs and the National Security State, et la façon dont elle a sans doute Ă©tĂ© utilisĂ©e sur les masses humaines, il nous faut aussi, logiquement, prendre en compte que les composantes principales et les plus populaires de lâapproche alternative New Age de lâinterprĂ©tation de la rĂ©alitĂ© et de lâaspiration au progrĂšs spirituel, ont elles aussi Ă©tĂ© produites selon ce mĂȘme processus dans le contexte du COINTELPRO Ă©lectronique.
Ce qui semble le confirmer câest que la majeure partie du New Age et du mouvement du Potentiel Humain consiste en un nouveau sous-ensemble de programmeurs qui sâoccupent de « prĂ©parer le terrain » de façon à « chauffer » le public et Ă le prĂ©parer au feu dâartifice final. Ce sont les « vendeurs » qui vendent les idĂ©es dont dĂ©pend celui qui conclut le contrat. Ils sont ici, maintenant, dans notre monde, dirigeant des cirques New Age, des sĂ©minaires New Age, des ateliers New Age, vendant des « mĂ©thodes » et techniques « dâAscension », ou poursuivant des dizaines dâobjectifs occultes ou prĂ©tendus spirituels. Ils sont le COINTELPRO New Age dans sa fonction de crĂ©ation « dâorganismes bidon » et de rapts extraterrestres bidon. Cela nous ramĂšne Ă notre sujet : Extraterrestres et Ascension. Si nous ne pouvons pas nous fier Ă la « thĂ©ologie New Age » ni Ă la « philosophie New Age » pour nous guider, quelle est la clĂ© de lâauthentique Ascension ? Ce que les aspirants contemporains Ă lâAscension recherchentâquâils le rĂ©alisent ou nonâ câest lâantique Queste du Chevalier : la queste du Saint-Graal. Lorsque nous entreprenons cette recherche, nous dĂ©couvrons Ă©galement que le Grand Oeuvre alchimique est dĂ©crit comme une « grande bataille » avec des forces - dragons, illusions, difficile et long travail sur le soi â ce qui nous fait rĂ©aliser que les rĂ©cits sur la Queste du Graal doivent avoir Ă©tĂ©, Ă lâorigine, des histoires de « transformation alchimique». Ce ne sont pas des histoires concernant un objet concret : coupe ou autre, qui doit ĂȘtre trouvĂ©. Ou bien sâagit-il des deux ? Ce qui est trĂšs fascinant, câest la façon dont les rĂ©cits du Graal et les Ă©crits des alchimistes au sujet de leur « science sacrĂ©e» sont en rapport trĂšs Ă©troit avec les plus anciens mythes hĂ©roĂŻques. Cela signifie que la Queste du Saint-Graal et lâOeuvre
des alchimistes contiennent de nombreux indices qui nous rĂ©vĂšlent le rĂ©el travail dâAscension et ses piĂšges, y compris ce qui est appelĂ© « extraterrestres» et « rapts - manifestations de rĂ©alitĂ©s hyperdimensionnelles. Avec persistance, ils exposent des allĂ©gories de luttes, de duperies, de combats avec des dragons, des gens malhonnĂȘtes, et des forces mauvaises en tout genre. Lâhistoire du chevalier tuant un dragon et sauvant une princesse enfermĂ©e dans un donjon, aprĂšs des annĂ©es de recherches, de combats, de souffrances, et de victoires, est une allĂ©gorie toujours valable de nos jours. Câest le vrai chemin qui conduit Ă lâAscension. La science des anciens a pu inclure une connaissance trĂšs complĂšte de la rĂ©alitĂ© profonde que les sciences actuelles (physique, chimie, mathĂ©matiques, astrophysique), ne font que redĂ©couvrir. Nous ne parlons pas ici des anciens Ăgyptiens, Babyloniens ou SumĂ©riens, mais de peuples dâune bien plus grande antiquitĂ©, dont les Ăgyptiens, Babyloniens, SumĂ©riens, etc. nâont retenu que des versions dĂ©formĂ©es et corrompues de leurs idĂ©es sous la forme de mythes et lĂ©gendes quâils ont Ă©laborĂ©s et utilisĂ©s dans leurs « pratiques magiques». Et câest seulement Ă la lumiĂšre des connaissances scientifiques actuelles que les connaissances antiques dĂ©peintes dans ces mythes, lĂ©gendes, et rites religieux peuvent ĂȘtre comprises correctement. Cela ne veut pas dire que nous les avons tous compris ni correctement interprĂ©tĂ©s. Nous voulons seulement dire que nombre dâidĂ©es contenues dans ces anciens rĂ©cits suggĂšrent lâexistence passĂ©e dâune science trĂšs avancĂ©e qui a pu permettre une interface avec diffĂ©rentes couches ou dimensions de rĂ©alitĂ©, sur cette planĂšte, dans des temps archaĂŻques. Cette idĂ©e ne nous est pas originale, ainsi que le savent de nombreux lecteurs. Mais nous pensons cependant que nous
avons pu jeter quelque lumiĂšre dans certains coins sombres jusquâici mal connus. Arthur C. CLARKE lâa soulignĂ© : « toute technologie suffisamment Ă©voluĂ©e est impossible Ă distinguer de la magie » . Si nous dĂ©tournons notre esprit des idĂ©es prĂ©conçues Ă propos de ce que les anciens ont pu savoir ou ignorer, et que nous nous contentons de lire les mythes et lĂ©gendes, substrats des religions, nous constatons quâil y a partout des descriptions dâactions, Ă©vĂ©nements, termes et potentiels, qui expriment la connaissance de choses comme lâĂ©nergie libre, lâanti-gravitĂ©, les voyages dans le temps, les voyages interplanĂ©taires, lâĂ©nergie atomique, la molĂ©cularisation et la dĂ©molĂ©cularisation atomiques ; toutes sortes de choses longtemps comprises comme des fruits de lâimagination dĂ©bridĂ©e et superstitieuse de sauvages incultes, et qui de nos jours, grĂące aux connaissances scientifiques, sont en train de devenir des choses courantes. De nombreux experts expliquent que de telles histoires ont Ă©tĂ© des tentatives de comprĂ©hension de lâenvironnement par la personnification ou lâanthropomorphisation des forces de la nature. Dâautres exĂ©gĂštes commettent lâerreur de supposer que cette science Ă©tait « sacrĂ©e» dâune maniĂšre qui refuse absolument toute forme dâinterprĂ©tation matĂ©rielle. Ă une certaine Ă©poque, jâai beaucoup pensĂ© Ă cette idĂ©e pendant que jâobservais le dĂ©veloppement de mes cinq enfants ; jâai regardĂ© de trĂšs prĂšs comment et quand ils remarquaient des choses dans leur environnement ; comment ils sâexpliquaient les phĂ©nomĂšnes mutuellement et Ă eux-mĂȘmes. Jâai Ă©vitĂ© de mâen mĂȘler aussi longtemps que possible afin que lâoriginalitĂ© des enfants puisse se dĂ©velopper au maximum. Une des premiĂšres choses que jâai remarquĂ©es chez mes enfants (et chez dâautres quâils frĂ©quentaient) au sujet de leurs rĂ©actions Ă leur environnement, câest quâils lâacceptent
assez bien tel quâil se prĂ©sente. Ils ne paraissaient pas avoir besoin dâexplications. Il Ă©tait ce quâil Ă©tait jusquâĂ ce quâun adulte leur raconte Ă titre dâillustration, une histoire qui les divertisse ou les effraie. Avant que des « histoires » leur soient racontĂ©es, les enfants sâoccupent intensĂ©ment Ă imiter ce quâils voient faire par dâautres gens, le plus souvent des adultes, dans leur entourage. Avant quâaucun rĂ©cit fantastique ne leur soit fait, leurs jeux à « faire semblant» consistent en scĂšnes ordinaires et terre-Ă -terre. MĂȘme quand ils entendent des histoires magiques de chevaux qui volent ou de gens qui ont des pouvoirs extraordinaires, ils rĂ©sistent souvent Ă ces rĂ©cits et prĂ©fĂšrent ceux qui sâappliquent directement Ă leurs propres expĂ©riences et observations. Peut-ĂȘtre que câest aller un peu loin que de comparer le dĂ©veloppement de la pensĂ©e de lâenfant par rapport Ă son environnement au dĂ©veloppement de la pensĂ©e Ă©volutive de lâĂȘtre humain en gĂ©nĂ©ral. Mais je pense vraiment que cela devrait nous faire poser la question de savoir oĂč et comment la crĂ©ation de mythes et lĂ©gendes a rĂ©ellement servi aux humains, dans le contexte de leur Ă©volution. Pourquoi quelquâun irait-il raconter une histoire au sujet dâun homme qui possĂ©dait des sandales magiques lui permettant de voler, sâil sâagit seulement dâune anthropomorphisation de forces naturelles ? Sâil sâagit dâun « ĂȘtre magique »comme un « dieu », pourquoi a-t-il besoin de sandales pour pouvoir voler ? Il pourrait tout aussi bien ĂȘtre Ă©quipĂ© dâailes faisant partie de sa structure physique. AprĂšs tout, il est dĂ©jĂ un dieu. Il nâest pas un humain. Alors pourquoi les sandales ? Pourquoi un ustensile technologique permettant Ă un homme de voler devrait-il faire partie dâune ontologie archaĂŻque ? En fait, il pourrait y avoir un « rĂ©servoir archĂ©typal dâidĂ©es », dans lequel toute lâhumanitĂ© peut puiser rĂȘves et
visions, mais cela nous mĂšne dans des univers de pensĂ©e qui ne rĂ©pondent pas Ă la simple question de savoir quel bĂ©nĂ©fice il a pu y avoir pour des sauvages incultes, dâĂ©laborer des contes fantastiques sur les forces de la nature, contes incluant aussi certains Ă©lĂ©ments suggĂ©rant des technologies et pas seulement un « Ă©tat magique ». De nos jours il existe toutes sortes de groupes et organisations « mystiques » qui affirment ĂȘtre les dĂ©positaires de connaissances anciennes : occultisme, Ă©sotĂ©risme, ou pratiques magiques. Il y a dâinnombrables ouvrages se qualifiant de scientifiques mais qui rejettent totalement les sciences conventionnelles dans nâimporte quel contexte. Des sujets tels que la gĂ©omĂ©trie, lâarchĂ©o-astronomie, et la physique moderne, sont Ă©tudiĂ©s avec fiĂšvre pour pouvoir arriver Ă discerner la « signification occulte » des travaux des anciens. Et invariablement, cela est fait selon un rituel strict qui pose que toutes les facultĂ©s des anciens reposaient strictement sur des rites ou rituels de magie â mettant « ce qui est en haut» sous le contrĂŽle de « ce qui est en bas» par la pratique de rituels. Certains occultistes prĂ©tendent que ce que nous avons perdu ce sont les pouvoirs mentaux et spirituels des anciens. Ils affirment aussi que cette sagesse antique a Ă©tĂ© fragmentĂ©e et rendue obscure dans des doctrines magiques hors de portĂ©e du « non-initié». Ils affirment que certaines parties en ont Ă©tĂ© transmises par tradition continue, et retransmise au monde en des temps opportuns, tandis que dâautres parties ne sont retransmises quâĂ une petite Ă©lite, dont ils font naturellement partie. Devant de telles idĂ©es, nous arrivons Ă la conclusion quâil est trĂšs probable quâil existe des rites, des rĂ©cits ou des mythes derriĂšre les rituels, et quâils peuvent en effet avoir Ă©tĂ©
transmis Ă des groupes secrets sous une forme plus pure que les histoires qui courent le globe depuis des millĂ©naires. Mais cela ne veut pas dire que le « clergĂ© » de ces groupes comprend vraiment les histoires ou rites dont ils sont les gardiens âspĂ©cialement sâils nâenvisagent pas la possibilitĂ© que de telles informations puissent ĂȘtre des codes scientifiques et exiger une formation scientifique approfondie pour les dĂ©coder. La plupart des soi-disant « occultistes » et « gĂ©omĂštres du sacrĂ© » me font penser au livre de David MACAULAY Motel Of Mysteries, [3] un compte rendu humoristique de fouilles archĂ©ologiques dans un motel du XXe siĂšcle, dans lequel tout est mĂ©ticuleusement extrait, enregistrĂ©, et ensuite complĂštement mal interprĂ©tĂ©. Le « vaste complexe funĂ©raire » excavĂ© par Howard CARSON contient des merveilles comme le « Grand autel » (poste de tĂ©lĂ©vision), une statue de la dĂ©esse WATT (lampe de chevet) et le Internal Component Enclosure(RĂ©ceptacle Ă Composantes Internes) (ou ICE box - glaciĂšre). Dâautres fervents de lâocculte semblent eux-mĂȘmes faire partie du SystĂšme de ContrĂŽle que nous avons dĂ©crit plus haut, et semblent avoir de trĂšs dangereuses tendances, ainsi que nous le verrons bientĂŽt. En ce qui concerne lâarchĂ©ologie, certains processus sont suivis pour lâarchivage archĂ©ologique. Lâabsence de comprĂ©hension des processus de formation nâest pas toujours limitĂ©e aux non-professionnels. Câest relativement rĂ©cemment seulement quâil a Ă©tĂ© suggĂ©rĂ© que lâarchĂ©ologie dâun site nâest pas un enregistrement direct de ce qui sây est passĂ©, mais quâelle peut avoir Ă©tĂ© dĂ©formĂ©e par une sĂ©rie de processus. Nous pensons que cela peut ĂȘtre vrai Ă lâĂ©gard des mythes et lĂ©gendes, ainsi que des rites religieux. Ce sont des sortes de tĂ©moignages archĂ©ologiques de lâHistoire de
lâhumanitĂ© conservĂ©s sous forme dâarchĂ©types, enfouis dans des contes, et dĂ©formĂ©s par une longue sĂ©rie de processus. MĂȘme si certaines prĂ©tendues Ă©coles antiques et sentiers mystiques ont conservĂ© intactes, ou dans un Ă©tat plus pur, certaines de ces informations, il semble cependant que la majeure partie de la page a Ă©tĂ© « effacĂ©e » au cours de la longue pĂ©riode Ă©coulĂ©e depuis le temps oĂč ces choses faisaient partie de la rĂ©alitĂ© extĂ©rieure. Mais tout de mĂȘme, il y a ceux qui ont vu les contradictions dans notre rĂ©alitĂ© et nos croyances, et qui ont cherchĂ© Ă dĂ©couvrir, dans ces enseignements anciens, ce qui a pu ĂȘtre connu. Nombre dâentre eux ont fait des dĂ©couvertes qui, mises en parallĂšle avec les informations en provenance de nombreux autres domaines, nous aident dans la dĂ©couverte essentielle de nos vrais condition et destin.
NOTES
[1]: CitĂ© par WALLACE et WALLECHINSKY dans The Peopleâs Almanac, pp. 805, 807. [2]: Ibid. [3]: MACAULAY, David, Motel Of Mysteries (Boston : Houghton Mifflin 1979). Le Motel aux MystĂšres (NdT)
QUATRIĂME PARTIE
CHAPITRE XXV
Nous avons analysĂ© des tĂ©moignages historiques, des tĂ©moignages extraits de mythes, de comptes rendus de rapts contemporains, ainsi que des transcriptions. Nous avons constatĂ© que les rapports modernes de « rapts extraterrestres » correspondent assez bien aux archaĂŻques rĂ©cits de rencontres avec des dieux, des fĂ©es, et autres crĂ©atures « dĂ©tachĂ©es de ce monde ». Nous avons constatĂ© aussi quâĂ aucune des Ă©poques les ĂȘtres qui ont procĂ©dĂ© Ă des enlĂšvements ne se sont souciĂ©s dâaucune maniĂšre des intĂ©rĂȘts de lâhumanitĂ©. Cette Ă©tude et ces donnĂ©es nous ont permis de formuler une hypothĂšse de travail : lâidĂ©e que ces ĂȘtres sont capables de se mouvoir Ă travers lâespace-temps et interagissent avec les humains depuis des temps immĂ©moriaux et en tout cas depuis la partie de notre Histoire qui est conservĂ©e dans les mythes. Est-ce que lâidĂ©e de lâexistence de dimensions ou rĂ©alitĂ©s supĂ©rieures oĂč des possibilitĂ©s aussi incroyables font partie de lois physiques a quelque consistance dans le cadre de nos sciences modernes ? Ou bien faut-il renoncer Ă ces idĂ©es une fois ces donnĂ©es soumises Ă lâexamen critique ? Bien que ces idĂ©es puissent paraĂźtre mieux convenir Ă la science fiction quâaux sciences proprement dites, certains physiciens, et non des moindres, ont proposĂ© des modĂšles et des programmes de recherche qui ne contredisent en rien notre hypothĂšse. Il est possible quâun jour ils puissent donner la confirmation mathĂ©matique de cette façon de voir. Paul
DIRAC, par exemple, a Ă©crit : Il y a, de nos jours, des problĂšmes fondamentaux en physique thĂ©orique, dont la solution exigera probablement une rĂ©vision plus drastique quâaucune autre, de nos concepts fondamentaux. Ces changements seront probablement si profonds quâil ne sera pas Ă la portĂ©e de lâintelligence humaine dâobtenir par des essais directs les nĂ©cessaires idĂ©es nouvelles qui permettront de mettre en formules mathĂ©matiques les donnĂ©es expĂ©rimentales. Le thĂ©oricien du futur devra, dĂšs lors, procĂ©der dâune façon plus directe. La mĂ©thode la plus puissamment progressiste qui puisse ĂȘtre suggĂ©rĂ©e de nos jours lâemploi de toutes les ressources des mathĂ©matiques pures Ă tenter de perfectionner et gĂ©nĂ©raliser le formalisme mathĂ©matique qui forme la base actuelle de la physique thĂ©orique et, aprĂšs chaque succĂšs dans cette direction, dâessayer dâinterprĂ©ter les nouvelles caractĂ©ristiques mathĂ©matiques en termes dâentitĂ©s physiques. DIRAC nâa pas Ă©tĂ© le seul Ă suggĂ©rer que des caractĂ©ristiques mathĂ©matiques pourraient devoir ĂȘtre interprĂ©tĂ©es comme des entitĂ©s physiques. Dans le cadre de la thĂ©orie gĂ©nĂ©rale de la relativitĂ©, les sciences ont gĂ©nĂ©ralement recours Ă un continuum espace-temps Ă quatre dimensions. En relativitĂ© gĂ©nĂ©rale classique, les propriĂ©tĂ©s mĂ©triques du continuum sont intrinsĂšques Ă celui-ci, mais une cinquiĂšme dimension dans laquelle est « incrustĂ© » lâespace-temps normalement perçu par nos sens peut justifier la courbure et les propriĂ©tĂ©s de lâespace physique. On pourrait dire que dans le continuum espace-temps toutes les parties du monde quadri-dimensionnel existent simultanĂ©ment dans le sens dâun formalisme mathĂ©matique, ce qui est naturellement susceptible de provoquer le complet effondrement des idĂ©es philosophiques de la causalitĂ©.
Cependant, de nombreux hommes de science qui travaillent sur ces idĂ©es ne pensent pas que ce continuum soit « rĂ©el » dans un sens physique, qui permette Ă des ĂȘtre physiques dâaller et venir dans le temps aussi aisĂ©ment que de changer de direction dans un espace tridimensionnel. En ce qui nous concerne, nous pensons que cela est non seulement possible, mais extrĂȘmement probable, si nous nous basons sur les donnĂ©es que nous avons rĂ©coltĂ©es dans des domaines dâĂ©tude qui vont au-delĂ de la mĂ©canique quantique ou classique : mythes, Histoire, et religions, par exemple. La grande spĂ©cialisation et division de la connaissance en petites cases de conscience (ou plutĂŽt dâabsence de conscience) a pour but de nous empĂȘcher de voir le tableau entier, de nous empĂȘcher de rassembler des donnĂ©es en provenance de nombreux domaines dâĂ©tude susceptibles de nous Ă©clairer sur la nature de la rĂ©alitĂ©. Dans la thĂ©orie de la relativitĂ©, les intervalles de temps entre les Ă©vĂ©nements ne sont pas complĂštement fixes par rapport Ă des systĂšmes ou cadres de rĂ©fĂ©rence mouvants. Cela a abouti Ă la spĂ©culation quâil pourrait aussi y avoir des analogies entre prĂ©cognition et phĂ©nomĂšnes anormaux. NĂ©anmoins, la « dilatation temporelle » ou contraction des intervalles de temps entre des cadres de rĂ©fĂ©rence mouvants est trop insignifiante pour justifier la prĂ©cognition ; il faudrait aussi que le transfert dâinformations se passe plus vite que la lumiĂšre ; et la thĂ©orie particuliĂšre de la relativitĂ©, quand elle est interprĂ©tĂ©e de maniĂšre trop Ă©troite, ne permet pas de remonter dans le temps : elle relĂšgue ce concept Ă un formalisme mathĂ©matique imaginaire. MĂȘme sâil est quasiment interdit de mettre en question les restrictions Ă©mises par EINSTEIN sur un voyage plus rapide que la lumiĂšre, celui-ci a cependant proposĂ© par la suite de
prendre en considĂ©ration la « rĂ©alitĂ© » du monde hyperdimensionnel. En 1938 il a Ă©crit, en collaboration avec P. BERGMANN, un article intitulĂ© De la gĂ©nĂ©ralisation de la thĂ©orie de KALUZA sur lâĂ©lectricitĂ© : Jusquâici, deux tentatives assez simples et naturelles ont Ă©tĂ© faites pour relier la gravitation et lâĂ©lectricitĂ© par une thĂ©orie des champs unifiĂ©s : lâune par WEYL, lâautre par KALUZA. Il y a eu en outre des tentatives de reprĂ©senter formellement la thĂ©orie de Kaluza de maniĂšre Ă Ă©viter lâintroduction de la cinquiĂšme dimension du continuum physique. La thĂ©orie prĂ©sentĂ©e ici diffĂšre de celle de KALUZA sur un point essentiel : nous attribuons une rĂ©alitĂ© physique Ă la cinquiĂšme dimension tandis que dans la thĂ©orie de KALUZA cette cinquiĂšme dimension nâa Ă©tĂ© introduite que pour obtenir de nouvelles composantes du tenseur mĂ©trique reprĂ©sentant le champ Ă©lectromagnĂ©tique. [italiques, notre initiative.] Cette idĂ©e tracassait un peu EINSTEIN, mais il la suivit tout de mĂȘme, Ă©crivant dans son article : Si la tentative de KALUZA reprĂ©sente rĂ©ellement un pas en avant, alors câest Ă cause de lâintroduction de lâespace Ă cinq dimensions. Des efforts significatifs ont Ă©tĂ© faits pour retenir les essentiels rĂ©sultats formels obtenus par KALUZA sans sacrifier le caractĂšre quadridimensionnel de lâespace physique. Ceci montre clairement combien est forte la rĂ©sistance de notre intuition physique Ă lâintroduction de la cinquiĂšme dimension. Mais si nous considĂ©rons et comparons toutes ces tentatives, nous sommes obligĂ©s de conclure que tous ces efforts nâont pas amĂ©liorĂ© la situation. Il paraĂźt impossible de formuler dâune maniĂšre simple lâidĂ©e de KALUZA sans introduire la cinquiĂšme dimension. Câest pourquoi, il nous faut prendre au sĂ©rieux cette cinquiĂšme dimension, bien que nous nây soyons pas encouragĂ©
par lâexpĂ©rience ordinaire. Si, dĂšs lors, la structure de lâespace semble nous forcer Ă accepter la thĂ©orie de lâespace Ă cinq dimensions, il nous faut poser la question de savoir sâil est sensĂ© de prĂ©sumer la rigoureuse rĂ©ductibilitĂ© Ă un espace quadridimensionnel. Nous croyons que la rĂ©ponse pourrait ĂȘtre « non », pourvu quâil soit possible de comprendre dâune autre maniĂšre le caractĂšre quasi-quadridimensionnel de lâespace physique en prenant pour base le continuum Ă cinq dimensions et en simplifiant ainsi les hypothĂšses gĂ©omĂ©triques Ă©lĂ©mentaires.[âŠ] Le point le plus essentiel de notre thĂ©orie est le remplacement de âŠla rigoureuse cylindricitĂ© par lâhypothĂšse que lâespace est fermĂ© (ou pĂ©riodique).[âŠ] La thĂ©orie de KALUZA sur les cinq dimensions de lâespace physique permet une reprĂ©sentation unitaire de la gravitation et de lâĂ©lectromagnĂ©tisme. [âŠ] Il est beaucoup plus satisfaisant dâintroduire la cinquiĂšme dimension non seulement formellement, mais en lui assignant quelque signification physique [1]. [caractĂšres en italique : notre initiative]. Notez en particulier la remarque faite par Einstein Ă propos de lâhypothĂšse de la « pĂ©riodicitĂ© » de lâespace. Nous croyons quâEinstein suivait un chemin qui se serait rĂ©vĂ©lĂ© fructueux par la suite, mĂȘme si peu de temps aprĂšs la parution de lâarticle il a publiquement reniĂ© cette idĂ©e. Quand EINSTEIN qualifie lâespace de « pĂ©riodique », il veut dire quâil passe en boucle sur lui-mĂȘme. Nous pensons que nous devrions prendre au sĂ©rieux lâidĂ©e que ces formalismes mathĂ©matiques ont des implications physiques. La physique stagne depuis quâEINSTEIN a Ă©mis cette audacieuse proposition. Est-ce quâune des raisons de cette stagnation pourrait ĂȘtre notre refus dâaccepter pour hypothĂšses
sĂ©rieuses, dignes de recherche, ces idĂ©es « exotiques » ? Lâunivers sâest dĂ©jĂ montrĂ© beaucoup plus « incroyable » que ce que des savants dâavant EINSTEIN et DIRAC avaient pu imaginer. Si nous continuons Ă tirer un trait final dâa priori sous les rĂ©sultats que nous attendons et acceptons de nos recherches, nous exprimons par lĂ que nous prĂ©fĂ©rons Ă la vĂ©ritĂ© la comprĂ©hension que nous avons actuellement du monde et que nous nâirons pas plus loin. Nous nous fermons Ă des possibilitĂ©s que nous ne pouvons imaginer ou qui sont en contradiction avec nos croyances actuelles. Mais si ces dimensions mathĂ©matiques doivent ĂȘtre considĂ©rĂ©es comme ayant une existence physique â quelle que puisse ĂȘtre la signification du terme « physique » Ă©tant donnĂ© la nature des lois « physiques » qui sâappliqueraient â que faire de lâidĂ©e que ces autres dimensions pourraient ĂȘtre habitĂ©es, peuplĂ©es de crĂ©atures ayant une certaine forme de conscience ? Certains problĂšmes ontologiques ayant trait en particulier Ă la thĂ©orie des quanta suggĂšrent quâun « observateur » (lâ« oeil » de J. A. WHEELER â voir lâillustration), regardant lâunivers « en vue de le crĂ©er », doit peut-ĂȘtre ĂȘtre inclus dans nos considĂ©rations. Il faudrait sans doute dĂšs lors Ă©tendre la gamme de ce qui est considĂ©rĂ© de nos jours comme « entitĂ©s physiques ». La rĂ©ponse Ă lâ « observabilitĂ© dâunivers parallĂšles » implique peut-ĂȘtre la nĂ©cessitĂ© de tenir compte de cet Ă©largissement.
ConsidĂ©rons Ă prĂ©sent lâidĂ©e quâil y a plusieurs, - et, qui sait, une infinitĂ© de - « futurs vous », observateurs probables. Dans lâillustration de lâ« oeil » de J. A. WHEELERS cela serait reprĂ©sentĂ© comme autant dâ« yeux » convergeant tous en un point du jambage plein du « U » : le « maintenant » que nous percevons, et qui est le moment « choisi ». Câest Ă partir de ces futurs probables dâun potentiel infini â un univers « dâinformations » â que la rĂ©alitĂ© est projetĂ©e. Câest au travers des humains que ces Ă©nergies sont transduites et deviennent « rĂ©elles ». Vous, dans lâici et maintenant â Ă la conjonction de toutes les probabilitĂ©s rivalisant les unes avec les autres pour devenir « rĂ©elles » â nâavez aucune possibilitĂ© de « crĂ©er » qui que ce soit dans cette rĂ©alitĂ©-ci, « dâici-bas » pour ainsi dire. Les rĂ©alitĂ©s â les potentiels crĂ©ateurs â sont des projections Ă partir de niveaux de densitĂ© plus Ă©levĂ©s. Vous ĂȘtes des rĂ©cepteurs, des transducteurs, des miroirs reflĂ©tant lâoeil qui vous voit vous, et rien dâautre. Le phĂ©nomĂšne abordĂ© plus directement par ces idĂ©es est celui de rĂ©alitĂ©s hyperdimensionnelles oĂč les Ă©nergies mentales ou de conscience sont amplifiĂ©es et peuvent interagir avec
lâenvironnement : technologie suggĂ©rant non seulement de lâĂ©nergie de transport qui est en partie physique et en partie « Ă©thĂ©rique », de la communication Ă©galement partiellement physique et partiellement Ă©thĂ©rique, mais aussi des pouvoirs de « manifestation » qui paraissent impossibles dans lâĂ©tat actuel de nos technologies. Toutes ces propriĂ©tĂ©s participent en fait de lâexistence hyperdimensionnelle, et cette possibilitĂ© dâĂ©tat est affirmĂ©e depuis des millĂ©naires comme Ă©tant « le monde des dieux », y compris les dragons, serpents et crĂ©atures de tout acabit. Si nous sommes Ă mĂȘme de dĂ©crire ces mondes mathĂ©matiquement et de ce fait de leur accorder une rĂ©alitĂ© physique ainsi que le suggĂšrent DIRAC et EINSTEIN, alors nous pouvons Ă©mettre lâhypothĂšse que ces mondes sont habitĂ©s. Est-ce que nos « dieux » seraient des habitants de cet univers-lĂ ? Ainsi que pourront le confirmer de nombreux physiciens, tout ce qui existe est « ondes de formes » : nous sommes des ondes de formes de rĂ©alitĂ©, et notre conscience est quelque chose qui « lit les ondes ». Nous donnons forme et structure aux ondes que nous « lisons », en fonction dâune sorte de convention prĂ©-Ă©tablie. Câest ainsi que certains habitants de lâespace hyperdimensionnel sont « lus » comme Ă©tant plus ou moins « reptiliens » parce que cela est « lâessence » de leur ĂȘtre, la frĂ©quence de leur « onde de forme ». Nous les nommons Seigneurs de lâEntropie. Ils ne sont pas nĂ©cessairement physiques au sens oĂč nous lâentendons, et ils ne sont pas non plus nĂ©cessairement des « extraterrestres » au sens oĂč nous lâentendons. Nous soupçonnons que les perceptions de ces niveaux de rĂ©alitĂ© et de leurs « unitĂ©s de conscience » sont ce qui se cache derriĂšre de nombreux concepts religieux et
reprĂ©sentations mythologiques de « dieux et dĂ©esses » et de crĂ©atures de toutes sortes. Il existe mĂȘme des tĂ©moignages scientifiques confirmant que les habitants dâune dimension supĂ©rieure, la cinquiĂšme dimension de KALUZA et EINSTEIN, nous paraĂźtraient avoir des pouvoirs que nous attribuons Ă des « dieux ». Michio KAKU donne la description suivante dans son livre Hyperspace : A Scientific Odyssey Through Parallel Universes, Time Warps, and the 10th Dimension : Imaginez que vous pouvez traverser les murs. Vous nâĂȘtes pas obligĂ© dâouvrir des portes ; vous nâĂȘtes pas obligĂ© de passer par elles. Vous nâĂȘtes pas obligĂ© de contourner les immeubles : vous pouvez y entrer en passant au travers de leurs murs et de leur piliers et en sortir en traversant le mur de derriĂšre. Vous nâĂȘtes pas obligĂ© de contourner les montagnes : vous pouvez les traverser directement. Si vous avez faim, vous pouvez vous servir Ă travers la porte du rĂ©frigĂ©rateur sans avoir Ă lâouvrir. Vous nâĂȘtes jamais le bec dans lâeau devant la portiĂšre accidentellement verrouillĂ©e de votre voiture : vous pouvez tout simplement passer au travers de votre portiĂšre. Imaginez que vous soyez capable de disparaĂźtre et rĂ©apparaĂźtre Ă volontĂ©. Au lieu dâaller en voiture Ă lâĂ©cole ou au travail, vous pouvez simplement disparaĂźtre et vous rematĂ©rialiser dans votre classe ou votre bureau. Vous nâĂȘtes pas obligĂ© de prendre lâavion pour vous rendre en des lieux Ă©loignĂ©s : vous vous contentez de disparaĂźtre et de vous rematĂ©rialiser lĂ oĂč vous le souhaitez. Vous nâĂȘtes jamais bloquĂ© dans les embouteillages des grandes villes aux heures de pointe : vous et votre voiture disparaissez simplement et vous vous rematĂ©rialisez Ă destination.
Imaginez que vous ayez des yeux « radiographiques ». Vous ĂȘtes capable de voir les accidents se produire Ă distance. AprĂšs vous ĂȘtre « Ă©vaporĂ© » et rematĂ©rialisĂ© Ă lâendroit dâun accident vous pouvez voir oĂč exactement se trouvent les victimes, mĂȘme si elles sont enterrĂ©es sous des dĂ©bris. Imaginez que vous pouvez voir Ă lâintĂ©rieur dâun objet sans avoir Ă lâouvrir. Vous pouvez extraire les quartiers dâune orange sans avoir Ă la peler ni couper. Vous pourriez ĂȘtre saluĂ© comme un maĂźtre-chirurgien capable de rĂ©parer les organes internes de patients sans jamais devoir leur inciser la peau, rĂ©duisant ainsi grandement la douleur et le risque dâinfection. Vous pourriez atteindre lâintĂ©rieur dâun corps en passant directement Ă travers la peau pour pratiquer la dĂ©licate opĂ©ration. Imaginez ce quâun criminel pourrait faire avec de tels pouvoirs. Il pourrait entrer dans la banque la mieux gardĂ©e. Il pourrait voir Ă travers les portes massives des coffres-forts les valeurs et lâargent, passer la main Ă lâintĂ©rieur et les retirer. Il pourrait ensuite sâen aller tranquillement pendant que les balles tirĂ©es par les gardiens lui passent au travers du corps. Avec de tels pouvoirs, aucune prison ne pourrait retenir un seul criminel. Aucun secret ne pourrait ĂȘtre dissimulĂ©. Aucun trĂ©sor ne pourrait ĂȘtre cachĂ©. Aucun obstacle ne nous arrĂȘterait. Nous serions de vrais faiseurs de miracles, accomplissant des actes dĂ©passant la comprĂ©hension des mortels. Nous serions Ă©galement omnipotents. Quels ĂȘtres pourraient possĂ©der des pouvoirs divins comme ceux-lĂ ? RĂ©ponse : des ĂȘtres dâun monde dâune dimension supĂ©rieure. [pp. 45-6.] Si vous avez suivi les arguments de ce livre, vous comprenez maintenant que nommer (humainement parlant) «
conspiration » ce qui se passe actuellement sur notre planĂšte, câest grandement simplifier le problĂšme. Ce que nous voyons comme une « conspiration » est simplement la manifestation naturelle de la rĂ©alitĂ© sous-jacente. TrĂšs peu de gens font consciemment partie du plan ; la plupart dâentre nous se contentent de vivre leur vie dâune façon mĂ©canique, automatique, piĂšces dâune grande « machine » dont nous ne sommes nullement conscients. Pendant mes recherches dans des centaines de domaines dâĂ©tude, la chose essentielle qui mâest apparue est que lâhumanitĂ© se trouve dans les griffes dâacier dâun systĂšme de contrĂŽle indiffĂ©rent, qui lâĂ©duque et la garde « plus bas que terre » pour ses propres desseins. Aucun groupe, aucune nationalitĂ©, aucune sociĂ©tĂ© secrĂšte ni religion nây Ă©chappe. Il me fallait des rĂ©ponses. Je ne pouvais pas continuer Ă vivre dans la hantise journaliĂšre des tourments de lâhumanitĂ© et des nombreuses horreurs de lâHistoire. Câest ce qui a motivĂ© lâexpĂ©rience cassiopĂ©enne. Tout ce quâon nous enseigne dans notre sociĂ©tĂ©, notre Histoire, nos religions et les versions New Age dâicelles, tout cela est dĂ©pourvu de logique et caricature lâidĂ©e dâun CrĂ©ateur - Ribbono Shel Olom â MaĂźtre de lâUnivers. Il y avait quelque chose dâĂ©trange et de mystĂ©rieux ici sur la Terre, et je voulais avoir des rĂ©ponses. Câest ainsi que jâai entrepris lâexpĂ©rience de channeling qui a eu pour rĂ©sultat, aprĂšs deux annĂ©es de long travail prĂ©paratoire, ce que nous connaissons Ă prĂ©sent comme les Transmissions cassiopĂ©ennes. En dĂ©pit du fait que nous gardons une « opinion ouverte » vis-Ă -vis de la source de ces matĂ©riaux, les rĂ©ponses que nous avons reçues des CassiopĂ©ens â nous dans le futur â nous intriguaient, et câest peu dire. Lâanalogie la plus proche avec le point de vue de la rĂ©alitĂ© telle que prĂ©sentĂ©e par les CassiopĂ©ens est graphiquement expliquĂ©e dans le film The
Matrix (la Matrice), oĂč notre rĂ©alitĂ© est vue comme un programme/rĂȘve sur ordinateur qui « garde » les humains dans des « capsules » comme des piles produisant de lâĂ©nergie destinĂ©e Ă une vaste machine dominant le monde. Certains scĂ©narios de vie Ă haut contenu Ă©motionnel ont Ă©tĂ© programmĂ©s de maniĂšre Ă produire un maximum « dâĂ©nergie » pour cette machine. Et il semble que la douleur et les souffrances donnent le « jus » le plus riche. Un autre concept majeur prĂ©sentĂ© dans The Matrix est que le « rĂ©el maintenant » est la rĂ©alitĂ© du systĂšme de contrĂŽle qui produit le « rĂȘve de rĂ©alitĂ© programmĂ©e « tel quâexpĂ©rimentĂ© par ceux qui sont « piĂ©gĂ©s dans la Matrice ». La RĂ©alitĂ© RĂȘvĂ©e de la Matrice est basĂ©e sur la maniĂšre dont les choses Ă©taient jadis, avant quâune chose terrible ne vienne anĂ©antir ce monde, aprĂšs quoi il est passĂ© sous le contrĂŽle dâordinateurs devenus sensitifs et ayant besoin des humains en tant que « sources dâĂ©nergie » ou « nourriture ». La diffĂ©rence entre la mĂ©taphore de The Matrix et lâoptique des CassiopĂ©ens est que eux proposent un univers paraphysique constituant une des couches de la structure de lâespace-temps, univers Ă partir duquel notre rĂ©alitĂ© est projetĂ©e en une infinitĂ© de boucles et dâinnombrables variantes. On peut dire, en effet, que les univers hyperdimensionnels sont le « futur » dans un sens trĂšs rĂ©el. Câest dans ce contexte â semblable Ă celui des concepts dĂ©crits dans le film The Matrix â et en rĂ©alisant que la connaissance intĂ©rieure contenue dans de nombreux enseignements secrets Ă travers les Ăąges ont prĂ©sentĂ© ce mĂȘme concept ou un concept similaire, que jâai commencĂ© Ă voir les phĂ©nomĂšnes et interactions de notre monde. Cette optique â de « choisir la pilule rouge » â a indubitablement pour rĂ©sultat dâĂȘtre libĂ©rĂ© des contrĂŽles de cette Matrice, de sorte que je
peux dire quâen termes dâexpĂ©rimentation, elle produit des rĂ©sultats reproductibles. NĂ©anmoins, ainsi que lâexplique Morpheus Ă NĂ©o dans le film : La Matrice est un systĂšme, NĂ©o. Ce systĂšme est notre ennemi. Mais quand on est Ă lâintĂ©rieur et quâon regarde autour de soi, que voit-on ? Des hommes dâaffaires, des enseignants, des hommes de loi, des menuisiers. Tant de gens dont nous essayons de sauver le mental. Mais jusquâĂ ce que nous y parvenions ces gens font toujours partie du systĂšme, ce qui fait dâeux nos ennemis. Tu dois comprendre ; la plupart de ces gens ne sont pas prĂȘts Ă ĂȘtre dĂ©branchĂ©s. Et nombreux dâentre eux sont tellement ancrĂ©s, si dĂ©sespĂ©rĂ©ment dĂ©pendants du systĂšme, quâils se battent pour le protĂ©ger. Est-ce que tu mâĂ©coutes, NĂ©o, ou bien est-ce que tu mates la femme en robe rouge ? Ils se battront pour le protĂ©ger⊠Nous pourrions rĂ©crire ce passage et dire : quand on est Ă lâintĂ©rieur de la Matrice et quâon regarde autour de soi on voit des ChrĂ©tiens, des Juifs, des MahomĂ©tans, des Zoroastriens, des magiciens, des adeptes de la Wicca⊠la plupart de ces gens ne sont pas prĂȘts Ă ĂȘtre dĂ©branchĂ©s⊠ils sont tellement ancrĂ©s, si dĂ©sespĂ©rĂ©ment dĂ©pendants du systĂšme, quâils se battent pour le protĂ©ger. Est-ce que vous mâĂ©coutez, ou bien est-ce que vous Ă©couter ce sioniste baptiste Ă©vangĂ©liste qui dĂ©bite du charabia « magick » au rabais ? Morpheus a aussi soulignĂ© que tout ĂȘtre humain ayant Ă©tĂ© branchĂ© au systĂšme pouvait ĂȘtre utilisĂ© comme « agent » par quelque chose comme un programme tĂ©lĂ©chargĂ© destinĂ© Ă lâactiver dâune certaine façon. Une situation de ce genre semble bien rĂ©gner dans notre rĂ©alitĂ©, oĂč les ContrĂŽleurs agissent pour le compte de quelque espace hyperdimensionnel dont nous nâavons quâune conscience limitĂ©e, et auquel nous nâavons pas accĂšs.
Lâoption rĂ©aliste qui paraĂźt nous ĂȘtre ouverte est le choix de notre alignement et la possibilitĂ© de nous prĂ©parer aux Ă©manations qui sont en train de « descendre », afin de mieux recevoir celles-ci. Nous y reviendrons au chapitre final, mais dâabord regardons de plus prĂšs Ă quoi nous sommes confrontĂ©s.
NOTES
[1]: EINSTEIN, A, BERGMANN, P., Annals of Mathematics, Vol. 38, No. 3, July 1938.
CHAPITRE XXVI
Dans son avant-propos au prĂ©sent livre, mon Ă©poux, Ark, soulĂšve la question des boucles causales, câest-Ă -dire des boucles temporelles de la physique quantique. Il a analysĂ© la possibilitĂ© que les CassiopĂ©ens soient « nous dans le futur » ainsi quâils se sont dĂ©crits eux-mĂȘmes. Si les boucles temporelles sont possibles pour la source qui se nomme elle-mĂȘme « des CassiopĂ©ens » elles doivent lâĂȘtre Ă©galement pour les habitants des autres densitĂ©s supĂ©rieures. Si toutes les parties du monde quadridimensionnel existent simultanĂ©ment, ainsi que nous lâavons vu au chapitre prĂ©cĂ©dent, incrustĂ©es dans une « rĂ©alitĂ© » supĂ©rieure, câest-Ă -dire une dimension ou une densitĂ© plus Ă©levĂ©e, alors quiconque abaissant son regard sur notre monde depuis ce point privilĂ©giĂ© doit ĂȘtre capable de « voir » le passĂ©, le prĂ©sent et lâavenir. Non seulement il doit alors ĂȘtre possible de voir le « temps » dans son ensemble, pour ainsi dire, mais il doit aussi ĂȘtre possible de « travailler dessus », pendant que nous verrions cela comme la facultĂ© de voyager dans le « temps ». Si lâhypothĂšse hyperdimensionnelle est avĂ©rĂ©e, alors elle place ce qui est appelĂ© la âthĂ©orie des conspirations » sous un Ă©clairage entiĂšrement diffĂ©rent. LâhypothĂšse hyperdimensionnelle permet dâexpliquer en grande partie pourquoi lâHistoire de lâhumanitĂ© est une longue sĂ©rie de guerres, violences, famines, pestes, et dĂ©sastres naturels ; en un mot : de souffrances. Cette souffrance est le produit recherchĂ©
par nos gardiens dans leur « univers supĂ©rieur » et est destinĂ©e Ă les approvisionner en permanence en Ă©nergie nĂ©gative, base de leur alimentation. Les hyperdimensions et la comprĂ©hension quâelles peuvent avoir un sens physique, ouvre la porte Ă une comprĂ©hension scientifique de ce que Don Juan a appelĂ© « le sujet des sujets », et que les CassiopĂ©ens ont appelĂ© « le secret ultime » : que nous sommes des prisonniers, des rats de laboratoire. De plus, lâhypothĂšse hyperdimensionnelle explique pourquoi la vieille rengaine Ă propos de lâimpossibilitĂ© dâune conspiration multi-millĂ©naire ne tient plus la route. La « conspiration » ne dĂ©pend plus alors de la courte durĂ©e de la vie humaine. Toute lâHistoire humaine sâĂ©tend sous les yeux des « conspirateurs » comme un vaste tableau Ă la JĂ©rĂŽme Bosch, dont ils retouchent inlassablement les Ă©lĂ©ments, ajoutant ici un peu de rouge sang, ou accentuant lĂ la grimace dâune pauvre victime de lâInquisition. La physique hyperdimensionnelle place lâidĂ©e dâune conspiration dans un nouveau contexte, et câest pour cette raison que lâidĂ©e de dimensions supplĂ©mentaires ayant une signification physique est tournĂ©e en dĂ©rision. Certains tenants de la thĂ©orie des cordes sont prĂȘts Ă tirer de leur chapeau un nombre arbitraire de dimensions « supplĂ©mentaires » en fonction de leurs besoins, donnant ainsi lâimpression quâil ne sâagit que de bien pratiques bouche-trous, tellement minuscules, selon la thĂ©orie, quâils ne peuvent avoir aucun effet sur notre rĂ©alitĂ©. Si nous acceptons lâidĂ©e dâune forte probabilitĂ© de lâexistence dâune conspiration [1], il nous faut Ă©galement nous demander « pourquoi ? ». Nous avons partiellement rĂ©pondu Ă la question si nous admettons que nous sommes une sorte de bĂ©tail ou de volaille gardĂ©s Ă lâintĂ©rieur dâenclos hyperdimensionnels. Une conspiration existe pour nous garder
dans notre Ă©tat de nourriture. Mais si nous prenons en compte le caractĂšre pĂ©riodique de lâespace et reconnaissons grĂące Ă notre Ă©tude du passĂ© que lâhistoire se rĂ©pĂšte (autre sujet traitĂ© en profondeur dans notre ouvrage LâHistoire SecrĂšte du Monde), nous sommes alors poussĂ©s Ă nous demander sâil nây aurait pas une raison plus profonde Ă notre situation. Est-ce que notre « esclavage » ici-bas serait intimement liĂ© aux cycles du « temps » et aux moments de transition quand nous passons dâun cycle au suivant ? Nous pouvons tirer des Ă©lĂ©ments de rĂ©ponse de lâune des choses que nous ont dites les CassiopĂ©ens au fil des annĂ©es. Le dĂ©but de la rĂ©ponse se trouve dans la premiĂšre communication que jâai eue avec les CassiopĂ©ens, comme sâils avaient voulu souligner ce sujet dĂšs le dĂ©part : Q : (L) Bob LAZAR a fait allusion au fait que les extraterrestres considĂ©reraient les humains comme des conteneurs. Quâest ce que cela veut dire ? R : Utilisation diffĂ©rĂ©e. Q : (L) Utilisation par qui ? Combien ? R : 94 pourcent. Q : (L) 94 pourcent de quoi ? R : De toute la population. Q : (L) Que voulez-vous dire ? R : Tous sont des conteneurs utilisĂ©s Ă 94 pourcent. Q : Je ne comprends pas. R : Seront utilisĂ©s Ă 94 pourcent. Q : (L) UtilisĂ©s Ă quoi ? R : Consommation totale. Q : (L) Que voulez-vous dire par consommation totale ? IngĂ©rĂ©s ? R : ConsommĂ©s pour ingrĂ©dients. Q : (L) Pourquoi ?
R : Nouvelle race Importante arrivera dans 13 ans environ. Q : (L) Pourquoi les humains sont-ils consommĂ©s ? R : Ils sont utilisĂ©s pour piĂšces. Q : (L) Nous ne comprenons pas. Comment les humains peuvent-ils ĂȘtre utilisĂ©s pour des piĂšces ? R : Il existe des conteneurs de reprototype. Personnes disparues finissent souvent lĂ et spĂ©cialement enfants disparus. Les CassiopĂ©ens ont dit que lâobjectif Ă long terme des Seigneurs de lâEntropie est dâutiliser 94 % des humains comme des « conteneurs ». Je suis trĂšs souvent revenue sur ce sujet pour clarifier leur intention exacte. Q : (L) Quel est le but de ce projet ? R : Nouvelle vie ici. Q : (L) Est-ce quâils sâintĂ©ressent Ă lâĂ©nergie sexuelle simplement parce que câest de la force vitale ? R : Partiellement, et ils sâactivent dĂ©sespĂ©rĂ©ment Ă freiner le changement afin de garder le contrĂŽle. Q : (L) Quels changements veulent-ils dĂ©sespĂ©rĂ©ment freiner ? R : La transition au 4e niveau. Q : (L) Ils sont en train de freiner le changement en 4e
niveau ? Ils sont capables de faire cela ? R : Non. Mais ils espĂšrent ainsi garder le contrĂŽle mĂȘme si le changement se produit. R : [âŠ] Ă prĂ©sent, puisque vous progressez vers le quatriĂšme niveau de densitĂ© qui approche pour vous, il vous faut maintenant opĂ©rer un choix : progresser vers le service dâautrui ou rester au niveau du service de soi. Cela sera la dĂ©cision pour laquelle il vous faudra un certain temps dâajustement. Câest ce qui est nommĂ© « pĂ©riode de mille annĂ©es ». Câest la pĂ©riode telle que mesurĂ©e selon votre propre
calendrier, qui dĂ©terminera si oui ou non vous allez vous diriger vers le service dâautrui ou rester au niveau du service de soi. Et ceux qui sont dĂ©crits comme les LĂ©zards ont choisi de sâancrer fermement dans le service de soi. Et puisquâils sont au plus haut niveau de densitĂ© oĂč cela est possible, ils sont obligĂ©s de tirer constamment de grandes quantitĂ©s dâĂ©nergie nĂ©gative de ceux du troisiĂšme niveau, deuxiĂšme niveau, etc. et voilĂ pourquoi ils font ce quâils font. Cela explique aussi pourquoi leur race est en train de mourir, parce quâils nâont pas Ă©tĂ© capables dâapprendre par eux-mĂȘmes comment sâextraire de cette forme particuliĂšre dâexpression pour se diriger vers le service dâautrui. Et puisquâils sont restĂ©s Ă ce niveau pendant, ainsi que vous le mesureriez vous, une si longue pĂ©riode, quâils sây sont si fermement ancrĂ©s, et quâils y ont grandi, voilĂ pourquoi ils sont en train de pĂ©rir et quâils tentent dĂ©sespĂ©rĂ©ment de tirer de vous autant dâĂ©nergie que possible et aussi de recrĂ©er leur race mĂ©taboliquement. Q : (L) Eh bien, si nous sommes des sources de nourriture et de main dâoeuvre pour eux, pourquoi est-ce quâils ne nous Ă©lĂšvent pas dans des enclos sur leur propre planĂšte ? R : Ils le font. Q : (L) Mais puisque nous sommes si nombreux ici, un vĂ©ritable festin, pourquoi ne se hĂątent-ils pas dâemmĂ©nager ici et de nous dominer ? R : Câest leur intention. Câest leur intention depuis tout un temps. Ils vont et viennent dans le temps comme vous le connaissez pour mettre en place les choses de maniĂšre Ă ce quâils puissent absorber un maximum dâĂ©nergie nĂ©gative avec le transfert du 3e au 4e niveau dont cette planĂšte va faire lâexpĂ©rience, et ils espĂšrent quâils vont pouvoir vous rattraper au 4e niveau et donc accomplir plusieurs choses. 1 : prĂ©server leur race en tant quâespĂšce viable ;
2 : augmenter leur nombre ; 3 : augmenter leur puissance ; 4 : Ă©tendre leur race dans tout lâunivers de quatriĂšme densitĂ©. Pour faire tout cela ils interfĂšrent avec des Ă©vĂ©nements depuis ce que vous mesureriez sur votre calendrier comme approximativement 74 000 ans. Et ils font ce travail en allant et venant trĂšs tranquillement, Ă volontĂ©, dans lâespace-temps. NĂ©anmoins, il est trĂšs intĂ©ressant de noter que tout cela Ă©chouera. Q : (L) Comment pouvez-vous ĂȘtre certains que cela va Ă©chouer ? R : Parce que nous le voyons. Nous sommes Ă mĂȘme de tout voir, pas seulement ce que nous voulons voir. Leur faiblesse est que eux ne voient que ce quâils veulent voir. Autrement dit, câest la plus haute manifestation possible de ce que vous appelleriez « prendre ses dĂ©sirs pour des rĂ©alitĂ©s ». Les voeux pieux reprĂ©sentĂ©s au quatriĂšme niveau de densitĂ© deviennent rĂ©alitĂ© pour ce niveau. Vous savez comment on fait de ses dĂ©sirs une rĂ©alitĂ© ? Eh bien ce nâest pas vraiment de la rĂ©alitĂ© pour vous parce que vous ĂȘtes au troisiĂšme niveau, mais si vous ĂȘtes au quatriĂšme et que vous voulez accomplir la mĂȘme fonction, câest cela qui serait votre conscience de la rĂ©alitĂ©. Câest pourquoi ils sont incapables de voir ce que nous pouvons voir nous, puisque nous servons autrui par opposition au soi, et puisque nous sommes au sixiĂšme niveau nous pouvons voir tout ce qui est dans tous les points comme cela est, et non comme nous voudrions que cela soit. Q : (L) Jâai lu le nouveau livre du Dr. David JACOBS, professeur dâHistoire Ă la Temple University, sur ses recherches approfondies concernant le phĂ©nomĂšne des enlĂšvements par des extraterrestres. [la thĂšse de doctorat du Dr. JACOBS porte
sur lâHistoire des OVNIs. Le Dr. JACOBS dit quâĂ prĂ©sent quâil SAIT, aprĂšs des annĂ©es de recherches rigoureuses, pourquoi ces « aliens » sont ici, il a peur. David JACOBS affirme quâassurer une descendance est lâobjectif majeur qui se cache derriĂšre les enlĂšvements. Est-ce vraiment le cas ? R : En partie, mais ce nâest pas tout. Q : (L) Y a-t-il une autre raison dominante ? R : Remplacement. Q : (L) Replacement de quoi ? R : De vous. Q : (L) Quâest-ce que vous voulez dire ? CrĂ©er une race pour remplacer les humains, ou enlever certains humains pour les remplacer par un clone ? Ou autre chose ? R : Principalement ce qui vient en premier. Voyez-vous, quand on veut crĂ©er une race, quel meilleur moyen que dâhybrider massivement puis rĂ©incarner massivement. SpĂ©cialement quand lâespĂšce-hĂŽte est tellement ignorante, contrĂŽlĂ©e et anthropocentrique. Quel merveilleux environnement pour une destruction totale, une conquĂȘte totale et un remplacement total⊠voyez-vous ? Q : Oui, je voisâŠ. R : âŠ. Et nous vous avons Ă©galement dit que lâexpĂ©rience des « Natifs amĂ©ricains » par rapport aux EuropĂ©ens pourrait ĂȘtre un prĂ©curseur dans le microcosme. Et aussi dans ce que ce que les Terriens de 3e densitĂ© font aux crĂ©atures terriennes de 2e densitĂ© il y a « Ă boire et Ă manger ». Autrement dit, vous nâĂȘtes pas si merveilleux malgrĂ© vos perspectives, nâest-ce pas ? Et nous avons aussi avertis quâaprĂšs la translation des humains en 4e densitĂ©, les Orions de la 4e densitĂ© et leurs alliĂ©s espĂšrent bien vous mettre sous contrĂŽle « lĂ -bas ». Bon. Et si on met tout cela ensemble quâavons-nous ? Ă prĂ©sent, vous devriez au moins savoir que
câest lâĂąme qui compte, et non le corps. Dâautres vous ont manipulĂ©s et programmĂ©s de maniĂšre Ă faire de vous des ĂȘtres centrĂ©s sur le corps. IntĂ©ressant de voir quâen dĂ©pit de tous les efforts de 4e Ă la 6e densitĂ© SDA [2], le « voile », nâest toujours pas levĂ©. [âŠ] Q : On raconte beaucoup de choses Ă propos de ce qui a Ă©tĂ© vu dans la rĂ©gion du Sud Ouest. On dit que câest lâimminente « nouvelle » invasion qui se prĂ©pare, un atterrissage en masse. Pouvez-vous commenter ces activitĂ©s ? R : PrĂ©lude Ă la plus grande des paniques jamais vĂ©cues. Q : Et oĂč y aura-t-il cette panique ? R : Terre. Invasion se produira quand programmation sera complĂšte⊠Cette programmation de la population a Ă©tĂ© remontĂ©e de quelques crans avec les Ă©vĂ©nements du 11 septembre 2001. Le voyage devient de plus en plus difficile. La drĂŽle de « Guerre Ă la Terreur » est une excuse pour mettre en place une lĂ©gislation tyrannique qui dĂ©pouille la population de ses droits. Les nombreux mensonges profĂ©rĂ©s par Bush pour justifier ses invasions de lâAfghanistan et de lâIrak, ainsi que le jeu « en coulisses » de lâinvestigation « 11 septembre » oĂč le rĂŽle dâIsraĂ«l a Ă©tĂ© complĂštement ignorĂ©, font partie de cette programmation destinĂ©e Ă faire accepter par les gens le mensonge, Ă les faire sâaligner sur une vue subjective de la rĂ©alitĂ©. Souvenons-nous, lorsque nous interprĂ©tons les remarques faites par les CassiopĂ©ens, que cette « invasion » ne sera sans doute pas comparable aux super-productions hollywoodiennes oĂč des soucoupes volantes survolent la Maison Blanche ou dâautres capitales dans le monde. Si les
phĂ©nomĂšnes mĂ©tĂ©orologiques sur notre planĂšte peuvent ĂȘtre des manifestations de « batailles » entre entropie et crĂ©ation, alors, une « invasion » pourrait aussi ĂȘtre manifester dâune maniĂšre « naturelle » sous forme de bouleversements terrestres, catastrophes, ou chutes dâastĂ©roĂŻdes depuis lâespace. Les CassiopĂ©ens ont parlĂ© dâun certain nombre de diffĂ©rents « cycles » qui affectent la Terre. Il y a le cycle de 3 600 ans du nuage dâastĂ©roĂŻdes qui amĂšne la destruction de parties de la Terre depuis le ciel. Il y a un cycle de 309 000 ans qui fait partie de ce que les CassiopĂ©ens nomment LâOnde. LâOnde est un saut quantique macrocosmique oĂč notre secteur dâespace-temps se dĂ©primera temporairement avant de renaĂźtre. DâaprĂšs les CassiopĂ©ens, ceci sera une phase de transition oĂč notre Terre de 3e densitĂ© passera en 4e densitĂ©. Un troisiĂšme cycle qui nous affecte est un cycle orbital de 27 millions dâannĂ©es de la sombre Ă©toile-compagne de notre Soleil. Cette Ă©toile-compagne atteint son point le plus proche de son partenaire tous les 27 millions dâannĂ©es, en passant par le nuage de Oort, et passant Ă travers son contenu comme une boule de bowling renversant des quilles, crĂ©ant de la sorte un nouvel amas cyclique dâastĂ©roĂŻdes. Ce qui rend ce moment du cycle intĂ©ressant, câest que les trois cycles sont en train de se rapprocher au mĂȘme moment. Ce sont les CassiopĂ©ens qui ont mis sur le tapis la question de ces cycles, et jâai passĂ© de nombreuses annĂ©es Ă chercher des donnĂ©es permettant soit de confirmer soit de rejeter ce que les CassiopĂ©ens mâavaient dit. Une partie de cette recherche est exposĂ©e dans LâHistoire SecrĂšte du Monde, une partie est disponible sur notre site Web. Il nây a pas assez de place dans le prĂ©sent ouvrage pour parler de toutes les donnĂ©es que jâai trouvĂ©es. Il me suffira de dire quâil existe un
grand nombre de tĂ©moignages qui tous convergent vers un cycle comĂ©taire de 3 600 ans, comĂšte dont le dernier passage sâest produit vers 1628 av. J.C., quand le volcan ThĂ©ra a explosĂ© sur lâĂźle de Santorin dans la MĂ©diterranĂ©e, mettant ainsi brusquement fin Ă lâAge du Bronze. Il existe aussi des preuves que notre Soleil a en effet une Ă©toile compagne. Une explication possible au minimum solaire de 75 ans date du XVIIe siĂšcle et est connue sous le nom de Minimum de Maunder. Elle a, depuis, rendu perplexes de nombreux savants car il sâagit du moment du passage de la compagne sombre au travers du Nuage de Oort, câest-Ă -dire oĂč elle approche le Soleil de plus prĂšs. Lâeffet gravitationnel de ce proche passage est de rĂ©duire lâactivitĂ© solaire, ce qui crĂ©e le minimum solaire de 75 ans. Dâautres perturbations dans les orbites des planĂštes peuvent ĂȘtre expliquĂ©es par lâexistence dâun tel corps cĂ©leste. Le cycle le plus difficile Ă confirmer par des preuves est celui de lâOnde de 309 000 ans. La preuve pour ce cycle pourrait survenir sous une forme mathĂ©matique expliquant comment des Ă©vĂ©nements quantiques peuvent se produire Ă lâĂ©chelle macrocosmique. Les donnĂ©es suggĂšrent aussi quâil y a une forte probabilitĂ© dâexistence pour deux des cycles et laissent ouverte la possibilitĂ© pour le troisiĂšme. La convergence des trois cycles offre lâopportunitĂ© aux habitants de la 4e densitĂ© de maintenir leur contrĂŽle sur les humains au moment oĂč nous arrivons Ă leur niveau de rĂ©alitĂ©. Peut-ĂȘtre pourrons-nous en apprendre davantage sur leurs intentions et la maniĂšre dont ils conserveraient ce contrĂŽle, en analysant le problĂšme sous un angle Ă©sotĂ©rique. Mais avant cela, il y des questions capitales Ă aborder : pourquoi ce thĂšme fait-il lâobjet de prĂ©jugĂ©s extrĂ©mistes frisant
la dissimulation ? Pourquoi tant de livres sur le marchĂ©, abordant des thĂšmes comme la dixiĂšme planĂšte, les alignements prĂ©cessionnels par rapport aux Ăąges de lâunivers, les explosions au sein de galaxies, la Porte des Ătoiles, etc. ne sont-ils soumis quâĂ des critiques modĂ©rĂ©es, tandis que les idĂ©es relatives Ă des pluies dâastĂ©roĂŻdes ou de mĂ©tĂ©orites sont fĂ©rocement dĂ©nigrĂ©es ? Voici un passage bien intĂ©ressant extrait de Ether, God and Devil Ă©crit par Wilhelm REICH : Pourquoi lâhomme, depuis des milliers dâannĂ©es, erre-t-il avec une telle persistance qui aboutit Ă de si catastrophiques consĂ©quences, Ă chaque fois quâil Ă©labore des systĂšmes scientifiques, philosophiques ou religieux ? [âŠ] Lâerreur humaine est-elle nĂ©cessaire ? Est-elle rationnelle ? Est-ce que toute erreur est explicable et nĂ©cessaire ? Lorsque nous examinons les sources de lâerreur humaine nous constatons quâelles sont de plusieurs catĂ©gories : Les trous dans les connaissances de la nature forment un large secteur de lâerreur humaine. Les erreurs mĂ©dicales avant les connaissances en anatomie et maladies infectieuses ont Ă©tĂ© des erreurs nĂ©cessaires. Mais demandons-nous si les menaces de mort auxquelles ont Ă©tĂ© confrontĂ©s les premiers chercheurs en anatomie animale Ă©taient, elles aussi, une erreur nĂ©cessaire. La croyance que la Terre restait fixe dans lâespace a Ă©tĂ© une erreur nĂ©cessaire issue de lâignorance de lois naturelles. Mais Ă©tait-il Ă©galement nĂ©cessaire de brĂ»ler Giordano BRUNO sur le bĂ»cher et de jeter GALILĂE en prison ?[âŠ] Nous comprenons que la pensĂ©e humaine ne peut avancer que jusquâĂ une certaine limite en un temps donnĂ©. Ce que nous ne parvenons pas Ă comprendre, câest pourquoi lâintellect humain parvenu Ă ce point ne se dit pas : « voici la limite actuelle de ma comprĂ©hension. Je vais attendre que
sâouvrent de nouvelles perspectives ». Ce serait penser rationnellement, de maniĂšre comprĂ©hensible et pratique. [âŠ] Mais le problĂšme est que nous avons dĂ©couvert que les donnĂ©es sont en fait disponibles ! Dans notre monde, de nombreuses perspectives de comprĂ©hension sont ouvertes Ă ceux qui ont des yeux pour voir ! Nous avons dressĂ© les listes de nos sources, il y a des photographies et illustrations de la preuve que notre planĂšte a Ă©tĂ© bombardĂ©e dâinnombrables fois par des comĂštes/astĂ©roĂŻdes ; il existe des montagnes de preuves documentĂ©es dans des livres, journaux, monographies, thĂ©ories â selon lesquels des civilisations plus avancĂ©es que la nĂŽtre ont Ă©tĂ© anĂ©anties un nombre incalculable de fois. Des monceaux de preuves existent, qui attestent que lâĂąge de lâhumanitĂ© est infiniment plus ancien que ce que ne lâacceptent et enseignent les sciences « orthodoxes » actuelles. Et dans chacun des cas, cette Ă©vidence est ignorĂ©e, marginalisĂ©e, expliquĂ©e ou contrĂ©e de maniĂšre Ă la minoriser. Ceux qui souhaitent que ces informations atteignent un plus large public sont Ă©galement marginalisĂ©s et traitĂ©s de mĂȘme. Ce qui est encore plus intĂ©ressant Ă constater câest, ainsi que nous lâavons dĂ©jĂ vu, le fait que les « occultistes orthodoxes « ont sautĂ© dans le train des uniformitaires et rĂ©pandent des tonnes de dĂ©sinformation. Et notre propre expĂ©rience a Ă©tĂ© que nos efforts pour diffuser ces sortes de choses ont eu pour rĂ©sultat des attaques coordonnĂ©es de la part de soi-disant « occultistes » qui sont tombĂ©s tellement bas quâils nâont rien trouvĂ© de mieux que de gaspiller un nombre incroyable dâheures Ă rĂŽder sur lâInternet pour ensuite qualifier notre groupe de « culte », Ă©crire des libelles, envoyer dans le public des messages diffamatoires nous concernant personnellement et, plus grave encore : pour sâefforcer de dĂ©truire les donnĂ©es des CassiopĂ©ens touchant Ă la source des
pistes menant Ă notre rĂ©alitĂ©. REICH a notĂ© ce problĂšme : Ce qui nous Ă©tonne, câest le soudain virage aprĂšs des dĂ©buts rationnels vers une illusion irrationnelle. LâirrationalitĂ© et lâillusion sont mises en exergue par lâintolĂ©rance et la cruautĂ© avec lesquelles elles sont exprimĂ©es. Nous observons que les systĂšmes humains de pensĂ©e font lâobjet de tolĂ©rance tant quâils adhĂšrent Ă la rĂ©alitĂ©. Plus le processus de pensĂ©e sâĂ©loigne de la rĂ©alitĂ©, plus grande est la nĂ©cessitĂ© dâintolĂ©rance et de cruautĂ© pour garantir la poursuite de son existence. [Ibid.] Câest ici quâil nous faut commencer Ă rĂ©ellement penser dâune maniĂšre raisonnable et objective. Si les Ă©vidences sont tellement abondantes â et câest bien le cas â pourquoi est-elle si sauvagement attaquĂ©e et rejetĂ©e ? Pourquoi est-il nĂ©cessaire de diffamer, calomnier, Ă©craser et anĂ©antir ceux qui abordent ces sujets et qui produisent aussi les Ă©vidences ? Et pourquoi cela est-il, spĂ©cialement quand nous savons quâil y a des groupes (comme le gouvernement et certaines institutions) qui Ă©tudient ces choses, qui demandent des rapports sur ces choses, qui rĂ©coltent des donnĂ©es sur ces choses ? Mais Bon Sang que se passe-t-il ? Pourquoi permettent-ils, non, pourquoi encouragent-ils les idĂ©es saugrenues Ă propos dâune dixiĂšme planĂšte, dâexplosions galactiques ou dâhorloges prĂ©cessionnelles indiquant les Ăąges de lâunivers, quand la simple vĂ©ritĂ© est tellement Ă©vidente ? REICH a Ă©mis lâidĂ©e que « lâadhĂ©sion Ă la surface des phĂ©nomĂšnes » avait un certain rapport « avec la structure de lâanimal humain ». Il a pensĂ© que la fonction de recherche de la vĂ©ritĂ© doit ĂȘtre en quelque sorte « enfouie » puisque la tendance à « Ă©luder ce qui est manifeste » est tellement puissante. Dans cette perspective, nous nous rappelons, bien sĂ»r, le « prĂ©dateur » de CASTANEDA : Nous avons un prĂ©dateur venu du fond du cosmos et qui
a pris en main les rĂȘnes de notre vie. Les humains sont ses prisonniers. [âŠ] Tu es arrivĂ©, par tes seuls efforts, Ă ce que les chamanes de lâancien Mexique ont appelĂ© le sujet des sujets ». Jusquâici jâai tournĂ© autour du pot, en te disant que quelque chose nous retient prisonniers. Nous sommes effectivement prisonniers ! Cela est un fait qui a Ă©tĂ© confirmĂ© par les sorciers de lâancien Mexique. « « Pourquoi est-ce que ce prĂ©dateur a pris le contrĂŽle de la maniĂšre que vous avez dĂ©crite, Don Juan ? » Demandai-je. « Il doit y avoir une explication logique ». [âŠ] « Ils ont pris le contrĂŽle parce que nous sommes de la nourriture pour eux, et ils nous pressent sans merci parce que nous sommes leur subsistance. Tout comme nous Ă©levons des poulets dans nos basses-cours, ainsi les prĂ©dateurs nous Ă©lĂšvent dans des cages Ă humains. Et ainsi, leur nourriture leur est toujours disponible ». [âŠ] « Je veux faire appel Ă ton sens analytique » dit Don Juan. « RĂ©flĂ©chis un moment, et puis dis-moi comment tu expliquerais la contradiction entre lâintelligence de lâhomme ingĂ©nieux et la stupiditĂ© de ses comportements contradictoires. Les sorciers croient que les prĂ©dateurs nous ont donnĂ© leurs systĂšmes de croyance, nos idĂ©es du bien et du mal, nos coutumes sociales. Ce sont eux qui dĂ©cident de nos espĂ©rances, nos attentes, nos rĂȘves de succĂšs ou dâĂ©chec. Ils ont mis en nous la convoitise, lâaviditĂ© et la couardise. Ce sont les prĂ©dateurs qui nous rendent complaisants, routiniers et Ă©gocentriques ». [âŠ] « Pour nous garder obĂ©issants, dociles et faibles, les prĂ©dateurs se sont engagĂ©s dans une manoeuvre Ă©poustouflante - Ă©poustouflante du point de vue du stratĂšge combattant, cela va de soi. Une manoeuvre horrible du point de vue de celui qui en pĂątit. Ils nous ont donnĂ© leur mental !
Mâentends-tu ? Les prĂ©dateurs nous ont donnĂ© leur mental, qui est devenu notre mental. Le mental des prĂ©dateurs est baroque, contradictoire, morose, rempli de la crainte dâĂȘtre dĂ©couverts Ă tout instant Ă prĂ©sent. » [âŠ] [âŠ] Par le mental, qui aprĂšs tout est leur mental, les prĂ©dateurs injectent dans la vie des humains, tout ce qui leur convient [3][âŠ]. REICH, a donc dĂ©cidĂ© que la cause « de lâerreur humaine non nĂ©cessaire » Ă©tait la « qualitĂ© pathologique du caractĂšre humain ». En fait, cela correspond bien Ă ce quâa Ă©crit CASTANEDA : « les prĂ©dateurs nous ont donnĂ© leur mental ». REICH a aussi trĂšs judicieusement soulignĂ© que la religion, lâĂ©ducation, les moeurs sociales, la disparition de la vraie comprĂ©hension de lâamour, etc. nâĂ©taient que des SYMPTĂMES de ce fait. Câest ce qui le fait conclure que : La rĂ©ponse se trouve quelque part dans une zone de notre existence qui a Ă©tĂ© lourdement obscurcie par la religion organisĂ©e et mise hors de notre portĂ©e. Elle se trouve donc probablement dans la relation de lâĂȘtre humain avec lâĂ©nergie cosmique qui le gouverne. REICH sâapproche lĂ dangereusement dâune description de la rĂ©alitĂ© hyperdimensionnelle. Et le rĂ©sultat a Ă©tĂ© que lui aussi a eu Ă pĂątir dâintolĂ©rance et de cruautĂ©. Comme il lâa si bien dit : « LâirrationalitĂ© et lâillusion sont mises en exergue par lâintolĂ©rance et la cruautĂ© avec lesquelles elles sont exprimĂ©es. Nous observons que les systĂšmes humains de pensĂ©e font lâobjet de tolĂ©rance tant quâils adhĂšrent Ă la rĂ©alitĂ©. [âŠ] Plus le processus de pensĂ©e sâĂ©loigne de la rĂ©alitĂ©, plus grande est la nĂ©cessitĂ© dâintolĂ©rance et de cruautĂ© pour garantir la poursuite de son existence ». Câest dans cette derniĂšre remarque que nous trouvons un indice : lâintolĂ©rance et la cruautĂ© sont nĂ©cessaires pour
assurer cette dissimulation. Une certaine espĂšce dâĂȘtres humains agissent au nom de cette dissimulation. Une certaine sorte dâĂȘtres humains agissent comme des pions dans les Jeux secrets des dieux. MACHIAVEL a constatĂ© que la religion et ses enseignements de foi, espĂ©rance, charitĂ©, amour, humilitĂ© et patience dans la souffrance Ă©taient des facteurs de faiblesse chez les humains, et qui les Ă©cartent des prĂ©occupations terrestres et politiques, de sorte quâils remettent ce pouvoir politique dans les mains dâhommes mĂ©chants qui ne sont pas influencĂ©s par des idĂ©aux de ce genre. Bien sĂ»r, lâastuce est de convaincre les gens que « la vie aprĂšs la vie » est tout ce qui compte, et câest dans cette perspective que le christianisme a Ă©tĂ© formulĂ©. Câest Ă©galement Ă cette fin que bon nombre de croyances et « formulations » New Age ont Ă©tĂ© concoctĂ©es : il faut seulement avoir la foi, mĂ©diter ou acquĂ©rir des connaissances et une conscience qui aideront tout un chacun Ă aimer tout et tout le monde. Rien nâest dit de la lutte quotidienne ni de la nĂ©cessitĂ© dâagir. Cette rĂ©alitĂ© para-physique de lâespace hyperdimensionnel - lâunivers des programmeurs de La Matrice â est habitĂ©e, dâaprĂšs les CassiopĂ©ens, par des ĂȘtres qui possĂšdent simultanĂ©ment les deux polaritĂ©s : la positive et la nĂ©gative, qui ont « dĂ©passĂ© » notre rĂ©alitĂ©, pas nĂ©cessairement en « mourant », pour se trouver dans un monde strictement Ă©thĂ©rique. Ils ont Ă©voluĂ© soit dans la direction positive, soit dans la direction nĂ©gative, des pĂŽles de la CrĂ©ation. Il sâagit en fait dâun monde du futur qui crĂ©e notre prĂ©sent en se projetant dans le passĂ©. Il est important de rĂ©aliser que si nous pensons au futur en termes de futurs probables ou univers ramifiĂ©s, alors ce que nous faisons maintenant, que nous Ă©veillions ou non de la Matrice, dĂ©termine la sorte de futur que nous allons
expĂ©rimenter individuellement et collectivement. Lâoption qui nous semble ĂȘtre ouverte de maniĂšre assez rĂ©aliste, est le choix de notre alignement et notre prĂ©paration Ă mieux recevoir les Ă©manations qui sont en train de « descendre » vers nous. Câest le point essentiel soulignĂ© par le Don Juan de CASTANEDA quand il dit : Lâun des plus grands accomplissements des clairvoyants de la ConquĂȘte a Ă©tĂ© une structure appelĂ©e la progression en trois phases. En comprenant la nature de lâhomme, ils ont pu arriver Ă lâincontestable conclusion que sâil est possible de tenir tĂȘte aux mesquins tyrans [humains], il est certes possible alors de faire face impunĂ©ment Ă lâinconnu, et il est mĂȘme possible de soutenir la prĂ©sence de lâinconnaissable. « La rĂ©action de lâhomme moyen est de penser que lâordre de cette affirmation devrait ĂȘtre inversĂ© « , poursuivit-il. « Un clairvoyant qui parvient Ă tenir tĂȘte Ă lâinconnu est indubitablement capable de tenir tĂȘte Ă de mesquins tyrans. Mais ce nâest pas ainsi. Ce qui a anĂ©anti les superbes clairvoyants des temps anciens câest cette allĂ©gation. Mais Ă prĂ©sent nous sommes mieux au fait de ces choses. Nous savons que rien ne peut davantage perturber lâesprit du guerrier que lâaffrontement Ă des gens impossibles en position de pouvoir. Ce nâest quâĂ ces conditions que le guerrier acquiert la sobriĂ©tĂ© et la sĂ©rĂ©nitĂ© lui permettant de supporter la pression de lâinconnaissable. » [4] Tout autour de nous nous voyons les rĂ©sultats de cette erreur : lâidĂ©e que nous sommes capables dâexercer notre volontĂ© et de faire entendre notre voix « en haut » pour modifier « ce qui est lĂ haut », afin de changer notre propre rĂ©alitĂ©. Cette idĂ©e est Ă la base de rites et rituels, demandes, priĂšres, visualisations, channeling, « travaux » en tout genre, etc. Les gens qui pensent que « mĂ©diter sur la compassion », ou
« Ă©prouver les sensations de tous les ĂȘtres », aura pour rĂ©sultat « lâentraĂźnement sonique du rythme cardiaque en sĂ©quences plus complexes et cohĂ©rentes « devant permettre « la crĂ©ation dâun corps de diamant impĂ©rissable Ă utiliser comme un vĂ©hicule dâenseignement ici sur Terre « , sont complĂštement Ă cĂŽtĂ© de la plaque. Comparer des idĂ©es de ce genre Ă lâauthentique travail de la Queste du Graal est tout simplement faire preuve dâignorance. La vĂ©ritĂ© est que, avant que lâaspirant ne parvienne Ă penser ne serait-ce quâun court instant à « lâunicitĂ© de tous les ĂȘtres », ou ne soit en possession dâune « super-conscience », il ou elle devra passer de trĂšs, trĂšs nombreuses annĂ©es Ă lutter avant de pouvoir « tenir tĂȘte Ă de mesquins tyrans » ou de rĂ©aliser pleinement la rĂ©alitĂ© objective en un processus graduel qui inclut lâaction de concert avec la comprĂ©hension. Ils se sont inlassablement exposĂ©s Ă autant « dâexpĂ©riences dĂ©plaisantes » quâils ont pu en trouver, tout en ne cessant pas de sâefforcer de maĂźtriser leurs Ă©motions, leurs dĂ©sirs, et les leurres de la physicalitĂ©. Câest la tĂąche consistant Ă rendre le vĂ©hicule physique « dâici bas » rĂ©ceptif Ă lâalignement de « lĂ haut » choisi, par opposition Ă une volontĂ© de changer Ă toute force quelque chose qui se trouve « lĂ haut » pour lâavoir « ici bas ». Ce processus a beaucoup Ă voir avec ce qui est appelĂ© « discernement ». Le grand soufi Cheikh Ibn AL-âARABI a expliquĂ© que « lâimperfection » existe dans la CrĂ©ation parce que « sâil nây avait aucune imperfection, la perfection de lâexistence serait imparfaite « . Du point de vue de lâĂtre Absolu, il nây a que du bien. Mais lâInfini Potentiel dâĂtre inclut (de par la dĂ©finition mĂȘme du terme « infini ») la potentialitĂ© de ne pas ĂȘtre. Câest ainsi que le Potentiel Infini se « sĂ©pare » en centres de pensĂ©e de crĂ©ation et centres de pensĂ©e de non-ĂȘtre. On peut dire que
le Potentiel Infini est fondamentalement binaire (« en fonction » ou « Ă lâarrĂȘt ») : ĂȘtre ou ne pas ĂȘtre. VoilĂ la premiĂšre « division ». Puisque le non-ĂȘtre absolu est un paradoxe impossible vu sous lâangle de la source du Potentiel Infini dâĂtre, la moitiĂ© de la conscience du Potentiel Infini qui constitue les idĂ©es de non-ĂȘtre (Ă chaque idĂ©e de manifestation dâun objet, correspond une idĂ©e de non-manifestation de ce mĂȘme objet) « sâabsente », « sâendort » en quelque sorte. Son auto-observation est fondĂ©e sur une conscience qui peut seulement « imiter » la mort. La conscience qui « imite » la mort « chute » alors et devient matiĂšre primordiale. Cela signifie que « le soi qui sâobserve lui-mĂȘme » au niveau du MaĂźtre de lâUnivers, est constituĂ© de cette division initiale entre Ătre et Non-Ătre, qui nâest donc que la sĂ©paration initiale en : « marche/arrĂȘt », « oui/non » de la crĂ©ation. Il est possible de se faire une idĂ©e de cela en imaginant un oeil ouvert observant un oeil fermĂ©. Cette relation « ĂȘtre - non-ĂȘtre » a Ă©tĂ© reprĂ©sentĂ©e il y a des millĂ©naires dans le symbole yin-yang qui, dans la moitiĂ© noire reprĂ©sentant « la conscience endormie qui est matiĂšre » garde le petit cercle blanc de « lâĂȘtre » qui nous montre que la non-existence absolue nâest pas possible. Il y a seulement une non-existence « relative ». Ces pensĂ©es dâĂȘtre et non-ĂȘtre interagissent les unes avec les autres (lâobservant et lâobservĂ©) comme quelquâun qui regarde dans un miroir. La crĂ©ation se manifeste entre lâobservant et le miroir. Cela est Ă la fois rĂ©el puisque consistant en matiĂšre in-formĂ©e par la conscience, et non rĂ©el puisque ultimement consistant uniquement en conscience agissant sur de la conscience. Ă notre niveau de rĂ©alitĂ©, lâidĂ©e que « rien nâest rĂ©el » telle que rĂ©pandue par des gourous et instructeurs au fil de
lâHistoire est aussi nulle que de dire que la gravitation nâest pas rĂ©elle. De telles considĂ©rations ne sont utiles que pour lâexpansion de la perception. Elles ne servent pas dans des applications pratiques puisque les Ă©nergies de crĂ©ation sont apparemment transduites au travers de plusieurs « niveaux » avant de se rencontrer au milieu (une façon de dire) dans notre rĂ©alitĂ© de troisiĂšme densitĂ©. La vie organique existe au « croisement » des myriades dâidĂ©es ou centres de pensĂ©e dâĂȘtre et non-ĂȘtre. Telles quelles elles ont la facultĂ© de transduire les Ă©nergies « vers le haut » ou « vers le bas », selon les « dirigeurs dâĂ©nergie de conscience » de cette unitĂ©. Et il y a apparemment Ă nouveau deux grandes divisions : Ă©tant/observant, et non-Ă©tant/reflĂ©tant. Cette division se manifeste Ă travers tous les niveaux de vie organique, y compris les ĂȘtres humains. Les ĂȘtres humains existent pour transduire les Ă©nergies cosmiques de la CrĂ©ation par lâintermĂ©diaire de la vie organique. Ce sont nos « soi supĂ©rieurs » qui dirigent la transduction des Ă©nergies cosmiques, et la direction dans laquelle lâĂ©nergie « coule» est dĂ©terminĂ©e par les activitĂ©s de ces « soi» supĂ©rieurs. En opposition aux forces qui cherchent à « capturer » lâĂ©nergie de la conscience et Ă la faire « tomber dans le sommeil du non-ĂȘtre », ce qui est gravitationnel en un certain sens, les Ă©nergies de conscience cherchent à « informer » la matiĂšre par lâĂ©veil de la conscience de soi des unitĂ©s organiques sur Terre capables de rĂ©sister Ă la gravitĂ© du non-ĂȘtre. En tant quâunitĂ© de transduction consciente de soi, lâĂȘtre humain a la potentialitĂ© de choisir lâun ou lâautre chemin : soit vers une intensification de lâĂȘtre, soit vers une intensification du non-ĂȘtre. En ce sens, les humains fonctionnent en quelque sorte comme des lentilles pouvant ĂȘtre
ajustĂ©es comme des tĂ©lescopes : il faut tourner la molette pour sĂ©lectionner le champ Ă observer, qui peut ĂȘtre Ă©loignĂ© et comporter davantage « dâespace-temps » que lâobservation Ă lâoeil nu, ou bien rapprochĂ© pour ne voir que ce qui est proche et Ă©vident dans le monde matĂ©riel. Autrement dit, notre choix premier et fondamental est ce que nous voulons voir. Quand nous choisissons ce que nous voulons voir (et nous ne parlons pas ici des yeux physiques ni mĂȘme psychiques, mais bien de lâobjectivitĂ© et de la subjectivitĂ©) nous recevons des impressions. Les impressions peuvent devenir des connaissances si elles sont bien assimilĂ©es. Les connaissances mĂšnent Ă la conscience. Connaissances et conscience gĂšrent ensuite les Ă©motions, qui Ă leur tour dynamisent les actions du monde organique. VoilĂ comment se passe la transduction des Ă©nergies des centre de pensĂ©e cosmiques. Lâassimilation objective ou lâabsence de celle-ci dĂ©termine alors sur quels centres de pensĂ©e (dâĂȘtre ou de non-ĂȘtre) nous nous alignons. Ibn AL-âARABI dit que le Bien est lâĂtre, qui inclut tous les positifs et beaux attributs ou « noms » de Dieu. Le Mal est lâabsence de Bien, il est donc « non-existence ». Autrement dit, Ă la base lâĂtre sâappuie sur la « non-existence » qui est le mal. Et voilĂ la « colle », le point qui est en gĂ©nĂ©ral omis de tous les « systĂšmes dâAscension». Ă notre niveau de rĂ©alitĂ© les humains existent au croisement des pensĂ©e dâĂtre et de Non-Ătre - de Bien et de Mal. LâhumanitĂ© a la forme de tous les noms de Dieu, tant ceux de lâĂtre que ceux de Non-Ătre. Prendre les attributs de ces Noms Ă©quivaut Ă manifester leurs propriĂ©tĂ©s. La recherche du Graal correspond Ă obtenir une connaissance approfondie de tous les Noms et de leurs vĂ©ritables propriĂ©tĂ©s :
lâĂ©levĂ© et le vil, lâagrĂ©able et le dĂ©plaisant, le lumineux et le tĂ©nĂ©breux, en dĂ©tails diffĂ©renciĂ©s, de maniĂšre Ă ĂȘtre Ă mĂȘme de choisir quelles caractĂ©ristiques seront assumĂ©es. Câest seulement quand il dispose dâun champ complet de vision que lâhomme est Ă mĂȘme de dĂ©couvrir si ce quâil pense subjectivement ĂȘtre bien est rĂ©ellement bien et mĂšne vers lâĂȘtre, ou bien sâil sâagit dâun leurre menant en fait au Non-Ătre. Dieu est Ă la base de Tous les Noms, les nobles comme les vils. La tĂąche de lâaspirant est dâamener les attributs nobles de lâĂ©tat latent Ă lâactualitĂ© et de dĂ©couvrir les applications positives des attributs vils ; et ces applications peuvent impliquer une « maĂźtrise» ou une transmutation. Le Cheikh Ibn AL-âARABI affirme que « les traits de noble caractĂšre sont seulement ceux qui sont liĂ©s Ă lâinteraction avec les autres ». Autrement dit : il faut Agir. Si vous voyez lâ illusion de la sĂ©paration, câest un bon dĂ©part. Le mensonge est introduit tacitement par la suggestion que câest lĂ tout ce quâil y a Ă faire : il suffit de la « voir» cette illusion de sĂ©paration, et tout ira pour le mieux. Dieu crĂ©e le bien et le mal, le laid et le beau, le droit et le tordu, le moral et lâimmoral. Entre ces traits sont tapis les multiples dangers qui guettent le chercheur de VĂ©ritĂ©. De nombreux « instructeurs » et « gourous » actuels affirment que « puisquâil nâexiste quâun seul Ătre qui imprĂšgne toutes choses, tout ce que nous avons Ă faire câest de voir tout comme de la LumiĂšre », cela suffira Ă transmuer les tĂ©nĂšbres, et « nous pourrons crĂ©er notre propre rĂ©alitĂ© de lumiĂšre ». Cette affirmation ne tient pas compte du fait que la phrase « Dieu est Un » dĂ©crit une rĂ©alitĂ© se trouvant Ă un niveau supĂ©rieur, dont Ă©mane notre propre « ĂȘtre mixte». Lâhomme qui affirme quâil peut devenir comme Dieu Ă ce niveau-ci juste en le pensant
ignore les faits de lâĂtre par opposition au Non-Ătre qui Ă©mane de « Dieu est Un » a un niveau dâexistence clairement plusieurs niveaux au-dessus du nĂŽtre. Le Mal est rĂ©el Ă son propre niveau et la tĂąche de lâhomme est de parcourir le Labyrinthe cosmique sans se laisser affecter par le Mal qui sây trouve. VoilĂ le fondement du Libre Arbitre ; Lâhomme doit affronter une Ă©preuve aussi rĂ©elle que lui-mĂȘme : il est forcĂ© de choisir, dâutiliser ses connaissances en les appliquant, entre le chemin droit qui mĂšne Ă lâĂtre et les chemins sinueux qui mĂšnent au Non-Ătre. Les humains sont obligĂ©s de discerner le bien du mal (dirigeurs dâĂ©nergie de conscience) Ă chaque Ă©tape de leur existence dans cette rĂ©alitĂ©-ci. Parce quâen fait, ils doivent comprendre que Dieu est conscience et que Dieu est matiĂšre. Dieu est le bien, et Dieu est le mal. La CrĂ©ation prend toutes les diffĂ©rentes propriĂ©tĂ©s des nombreux « Noms de Dieu». Le Cosmos est rempli du Don de la Vie et de la Mise Ă Mort, du Pardon et de la Vengeance, de lâExaltation et de lâAbaissement, de lâAssistance et de la Tromperie. Vouloir adopter le point de vue de Dieu et tout mĂ©langer Ă ce niveau-ci a pour seul rĂ©sultat un sĂ©jour prolongĂ© Ă ce niveau. Câest pourquoi, les humains doivent toujours sĂ©parer le point de vue de Dieu du leur propre et tenir compte du fait que toute la CrĂ©ation porte les Noms et Attributs divins. Le premier Commandement divin est soit ! Et il inclut Ătre et Non-Ătre instantanĂ©ment. Câest pourquoi le deuxiĂšme commandement est « Suis lâĂtre ou le Non-Ătre selon ton choix et ta nature inhĂ©rente ». Toute crĂ©ation est le rĂ©sultat dâun commandement dâengendrement. DĂšs lors, Ă cet Ă©gard il nây a pas de Mal. Mais le deuxiĂšme commandement, prescriptif, dĂ©termine vers quelle « Face de Dieu » nous allons nous tourner : Celle de la Vie ou Celle de la Mort.
Si seul le commandement dâengendrement est pris en considĂ©ration, alors il nây a pas dâimperfection dans le cosmos, puisque toutes les crĂ©atures suivent ce que Dieu dĂ©sire pour elles. Ă cet Ă©gard, ce qui est normalement appelĂ© « imperfection » est en fait perfection, puisquâelle permet la concrĂ©tisation des divers niveaux dâexistence et de connaissance. Autrement dit, sâil nây avait pas dâimperfections (dans le sens de rĂ©duction, de rabaissement et de manque) il nây aurait pas de crĂ©ation. Sâil nây avait pas de crĂ©ation le TrĂ©sor cachĂ© resterait cachĂ©. DĂšs lors, lâĂtre resterait non-vu de toutes les maniĂšres. Il nây aurait pas de rĂ©vĂ©lation de soi Ă la Divine RĂ©alitĂ©. La LumiĂšre ne brillerait pas et Dieu serait le Non-ManifestĂ© mais pas le ManifestĂ©. Mais tout cela est absurde puisque cela exige lâimperfection de lâĂtre Lui-mĂȘme qui, par dĂ©finition, est perfection non limitĂ©e. La perfection de lâĂtre demande la manifestation de Ses propriĂ©tĂ©s. Les effets des Noms et Attributs doivent ĂȘtre exposĂ©s pour que Dieu soit Dieu. [âŠ] Autrement dit, lâImperfection est exigĂ©e par lâexistence en elle-mĂȘme. Ătre « autre que Dieu» câest ĂȘtre imparfait. âŠmais câest prĂ©cisĂ©ment cette « altritude » qui permet quâexistent le cosmos et toutes les crĂ©atures en son sein. Si les choses Ă©taient parfaites en tous points elles seraient identiques Ă Dieu Lui-mĂȘme et il nây aurait rien qui soit « autre que Dieu». Mais alors nous ne pourrions mĂȘme pas parler du cosmos puisquâil nây aurait ni cosmos ni locuteurs⊠Lâimperfection est donc une sorte de perfection [5]. [âŠ] Au stade particulier dâexistence oĂč se trouve lâhomme il est Ă©galement « rĂ©ceptif » par rapport aux deux Faces fondamentales de Dieu : Ătre et Non-Ătre. Le Cheikh Ibn AL-âARABI affirme que toute propriĂ©tĂ© ou attribut choisi en fin de compte par lâĂȘtre humain est ce quâil possĂ©dait Ă lâorigine
dans son Ă©tat dâimmuabilitĂ©. La tĂąche de lâaspirant est de dĂ©couvrir ce qui est immuable Ă lâintĂ©rieur de lui, de le purifier et de lâamplifier. Câest lĂ le dĂ©veloppement de la VolontĂ©. La VolontĂ© est une relation qui suit la connaissance, tandis que la connaissance suit le sujet de connaissance. Dans le processus « dâascension », le sujet de connaissance câest vous. La connaissance en soi et pour elle-mĂȘme nâa aucun effet. Mais Vous, le chercheur, lâaspirant, vous pouvez donner Ă la Connaissance ce que vous ĂȘtes vraiment, en vous-mĂȘme, vous montrant tel que vous ĂȘtes en connaissance de cause par vos actions de concert avec votre Connaissance. Comme il a Ă©tĂ© dit, il y a de nombreux Noms de Dieu qui nous interpellent dans notre prĂ©sent Ă©tat dâexistence. Mais personne nâest obligĂ© de rĂ©pondre Ă tous. Le fait quâen gĂ©nĂ©ral les humains ignorent leur propre vĂ©ritable « essence » leur donne lâillusion de la libertĂ©. Câest vrai que tous les chemins viennent de Dieu et que tous les chemins mĂšnent Ă Dieu, mais une fois encore, ce peut ĂȘtre par lâintermĂ©diaire de diffĂ©rentes faces. Comme dit le Cheikh Ibn AL-âARABI : « AuprĂšs dâAllah toutes choses reviennent Ă leur origine, et Il est la fin de tout chemin. Cependant, lâimportant est auprĂšs de quel nom divin vous arriverez et par lequel vous retournerez Ă lâorigine. » Ceci nous amĂšne Ă ce que le Cheikh appelle « la perspicacitĂ© ». Il sâagit du dĂ©veloppement particulier de « lâoeil du discernement », ou de « la vision du non-vu », crucial pour lâAspirant. Tout comme lâoeil physique peut discerner, grĂące Ă la rĂ©fraction de la lumiĂšre du soleil, le grand du petit, le beau du vilain, les diffĂ©rentes couleurs, le mouvement de lâimmobilitĂ©, et le haut du bas, la facultĂ© de voir le non-vu est une propriĂ©tĂ© de la « lumiĂšre intĂ©rieure». Cette lumiĂšre rĂ©vĂšle au chercheur des Ă©lĂ©ments dâobjets extĂ©rieurs qui ne peuvent ĂȘtre perçus par aucun des cinq sens. Elle montre Ă son
possesseur quand un choix que celui-ci pensait bĂ©nĂ©fique appartient en fait au chemin du Mal. Elle rĂ©vĂšle quand un choix qui dâun point de vue humain semblait nĂ©gatif, est en fait une Ă©tape difficile Ă franchir sur le chemin de la fĂ©licitĂ© pour tous ceux que cela concerne. Les Soufis disent que certains des individus qui ont atteint ce niveau de « vision » sont capables de voir, Ă lâempreinte laissĂ©e par le pied dâune personne sur le sol, mĂȘme en lâabsence de cette personne, si celle-ci mĂšne une vie de fĂ©licitĂ© ou de misĂšre La lumiĂšre de la perspicacitĂ© semble ĂȘtre un don que tout le monde nâa pas, et parmi ceux qui lâont, ils nâest pas dĂ©veloppĂ© au mĂȘme degrĂ©. Il est Ă©vident que ceux qui lâont possĂšdent une immuable nature dâĂtre, capable de « voir » le bien et le mal : ils ne voient pas « seulement le bien». Ils sont dĂšs lors Ă mĂȘme de faire la distinction entre les « appels » au Non-Ătre et Ă lâĂtre, et ils sont donc capables de renforcer leur VolontĂ© tout au long du chemin de lâĂtre intrinsĂšque. Il sâensuit alors que les individus qui ne sont pas capables de voir â ou qui choisissent de ne pas voir â tant le Bien que le Mal, sont formĂ©s au moule de la subjectivitĂ©, ce qui est lâexpression humaine de lâAppel au Non-Ătre. Un ĂȘtre humain dont la nature immuable est celle de lâĂtre peut renforcer la lumiĂšre de la perspicacitĂ© en « prenant les attributs » des Noms dâĂtre. Cela ne signifie pas que lâon en vient Ă possĂ©der des attributs qui nâĂ©taient pas dĂ©jĂ lĂ . Cela signifie que ces attributs sont amplifiĂ©s et « cultivĂ©s». La propriĂ©tĂ© dominante chez un individu est dĂ©terminĂ©e par la Face de Dieu qui lui est rĂ©vĂ©lĂ©e, et elle dĂ©terminĂ© par son degrĂ© de prĂ©paration. La FĂ©licitĂ© ne peut ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ©e que quand le Mal a Ă©tĂ© Ă©cartĂ©, rejetĂ© ; ce qui ne peut ĂȘtre accompli que par une longue pĂ©riode de mise Ă lâĂ©preuve ou au dĂ©fi de voir, et ensuite par le
choix de lâĂtre de prĂ©fĂ©rence au Non-Ătre afin de cultiver la VolontĂ© ou lâalignement sur lâĂtre en une boucle de rĂ©troaction. Pendant que lâaspirant parcourt ce chemin il ne doit pas voir ces attributs comme siens mais bien comme un locus de manifestation divine dâ attributs ontologiques. Les gens sâimaginent quâils croient en Dieu alors quâen fait ce en quoi ils croient prend toujours la forme du rĂ©ceptacle. Un vieux proverbe dit que lâeau prend toujours la couleur de la tasse dans laquelle elle est versĂ©e. Le sens profond de ceci est quâil y aura toujours dĂ©sĂ©quilibre chez une personne dont les croyances conscientes ne sont pas en conformitĂ© avec sa nature immuable. Autrement dit, une personne dont la nature intrinsĂšque est alignĂ©e sur lâĂtre ne rencontre que dĂ©sĂ©quilibre, lutte et mĂȘme maladie si elle sâefforce de prendre des attributs qui nâexistent pas en elle. Dans cette perspective, une observation soigneuse de lâĂ©tat physique (et aussi de lâenvironnement physique) peut aider Ă voir si lâĂȘtre entier se met ou non en alignement. Il se fait donc que divers chemins peuvent produire des effets diffĂ©rents dans des individus diffĂ©rents, selon leur immuable nature intĂ©rieure. Ceux dont la nature intrinsĂšque est de se tourner vers lâĂtre suivent le chemin du dĂ©veloppement de la facultĂ© de voir et de choisir lâalignement sur lâinfini potentiel de crĂ©ation, devenant ainsi les conduits dâĂtre que Dieu choisit de manifester Ă travers eux. Ils ne voient pas seulement que la limitation est une illusion, mais ils agissent consciemment : ils utilisent ces connaissances pour gĂ©nĂ©rer de lâĂ©nergie et de la lumiĂšre. Ceux dont la nature intrinsĂšque est tournĂ©e vers le Non-Ătre suivent le chemin de la limitation de lâĂtre Infini en posant que eux, dans leur Ă©tat dâignorance et de subjectivitĂ©, savent mieux que Dieu comment il faut rĂ©parer la crĂ©ation. Ils
prient pour des changements, ils accomplissent des rituels, ils psalmodient des mantras et rĂ©pĂštent inlassablement des visualisations de « formes magiques » dĂ©biles supposĂ©es « changer» la rĂ©alitĂ©. Ils bombardent tout le monde « dâamour et de lumiĂšre » (dans leur version subjective, cela va sans dire), et ils cherchent Ă rĂ©parer le monde « dâen haut » en projetant leur vision subjective de la rĂ©alitĂ© vers lâinfinie sagesse de la CrĂ©ation. Cette « direction dâĂ©nergie de conscience » inclut mĂȘme lâespoir que le simple fait de savoir que toute division est illusion permettra dâatteindre les objectifs de « lâAscension », ce qui est le plus sournois des mensonges. Chaque approche « noue un lien » dans le coeur du croyant et le maintient sur un chemin, lâobjet de sa croyance Ă©tant la fin de ce chemin. Toutes les croyances se valent en ce sens que Dieu â quel quâil soit â est leur objectif ultime. Mais chaque croyance est diffĂ©rente en ce sens quâelle mĂšne Ă un diffĂ©rent nom de Dieu ou centre de pensĂ©e. MĂȘme le scepticisme matĂ©rialiste est une « croyance », qui mĂšne Ă la « matiĂ©risation » de la conscience qui suit sa croyance. Le plus difficile Ă discerner ce sont les nombreux chemins spirituels « mĂ©langĂ©s » qui dĂ©forment les concepts dâĂtre de maniĂšre Ă mener lâaspirant sur un chemin de Non-Ătre. Pour en revenir Ă lâidĂ©e de lâĂȘtre humain vu comme une unitĂ© de transduction ayant les facultĂ©s dâune lentille grossissante, ce qui nous semble la confirmer câest que le processus dâ Ascension commence avec le choix de lâajustement de la lentille. Si lâindividu choisit de « tourner la molette» de maniĂšre Ă voir tout le champ des centres de pensĂ©e qui influencent la crĂ©ation, il peut alors sĂ©lectionner ceux qui magnifient et dynamisent la CrĂ©ation et lâĂtre : les centres de pensĂ©e de la Conscience ĂveillĂ©e, et ensuite une boucle de rĂ©troaction sĂ©lectionnant ce futur probable sera Ă©tablie.
Par des efforts soutenus, lâĂȘtre humain peut arriver Ă Ă©tendre son « champ de vision » pour atteindre une objectivitĂ© de plus en plus grande. Un champ de vision plus Ă©tendu peut focaliser la conscience de ce qui Ă©mane des Centres de PensĂ©e. Lorsque les Centres de pensĂ©e sont mieux focalisĂ©s, alors lâindividu est mieux Ă mĂȘme de discerner si ses impressions Ă©manent des centres de pensĂ©e de lâĂtre ou des centres de pensĂ©e du non-ĂȘtre. Ă ce stade, lâindividu peut alors « donner forme» Ă ses Ă©motions et diriger ses actions de maniĂšre Ă devenir une unitĂ© capable de transduire efficacement les Ă©nergies cosmiques dans cette rĂ©alitĂ©-ci. Il sâagit dâune utilisation des connaissances qui engendre de lâĂ©nergie, qui gĂ©nĂšre de la lumiĂšre. Ă mesure que le processus se poursuit, Ă mesure que la boucle de rĂ©tro-action est activĂ©e entre lâobservateur cosmique et les transductions/actions de la crĂ©ature, lâunitĂ© organique, organe de transduction pourrait-on dire, se renforce et les Ă©changes entre celui-ci et lâObservateur cosmique sâaccĂ©lĂšrent et sâintensifient. Lâorgane de transduction se met alors Ă fonctionner comme un « phare Ă tĂȘte chercheuse » Ă la recherche de niveaux plus Ă©levĂ©s de cette Ă©nergie Ă©mise par le Centre de pensĂ©e, cet « observateur depuis le futur», « lâoeil» qui est le CrĂ©ateur. Pendant le dĂ©veloppement de la boucle de rĂ©troaction, lâĂȘtre humain - canal, vaisseau de la crĂ©ation - devient un participant actif dans la crĂ©ation de son propre futur par lâacte du choix de sa plate-forme dâobservation et de lâĂ©tendue de ce quâil accepte pour « rĂ©el : subjectif ou objectif. En outre, Ă©tant donnĂ© que lâĂ©nergie de cet ĂȘtre est modifiĂ©e et renforcĂ©e par « lâafflux dâĂ©nergie cosmique » qui passe Ă travers lui, Ă©tant donnĂ© quâil perçoit des expressions crĂ©atrices dâinfini potentiel
de plus en plus nombreuses, et choisit celles sur lesquelles il souhaite sâaligner, il devient alors colinĂ©aire de ces autres expressions dâĂtre â dâautres unitĂ©s organiques sans doute diffĂ©rentes par leur composition, mais pareillement conscientes du Potentiel infini â et il est alors capable dâinteragir avec elles dâune maniĂšre qui Ă©tend davantage et transforme lâĂ©nergie de transduction. Cela peut aboutir Ă une amplification exponentielle de la transduction des Ă©nergies dâĂtre qui peuvent alors complĂštement modifier la nature physique de lâunitĂ© organique. Tout comme une canalisation dâeau se mouille de lâeau qui la traverse, ainsi lâĂȘtre humain qui a entrepris le processus dâalignement sur lâĂtre se sature des Ă©nergies supĂ©rieures qui se manifestent Ă travers lui. Ce processus mĂšne Ă lâinfiltration de la nature organique du vaisseau, ce qui aboutit Ă la transformation, câest-Ă -dire que la « matiĂšre dormante » de lâunitĂ© organique est Ă©veillĂ©e et fait de celle-ci un participant Ă part entiĂšre de lâĂtre, au lieu dâun poids que lâĂąme doit porter ou chercher Ă rejeter. LâĂ©nergie du vĂ©hicule organique est dĂšs lors dans les termes dĂ©crits dans la fameuse formule dâEINSTEIN, ce qui est une petite indication du potentiel dâun tel ĂȘtre. La personne qui sâaligne sur le Non-Ătre suit le mĂȘme processus, mais dans la direction opposĂ©e. Ainsi que le lecteur pourra facilement sâen rendre compte Ă prĂ©sent, les enseignements de la profusion actuelle de gourous New Age font penser que nous pouvons exercer notre volontĂ© et faire entendre notre voix depuis « ici-bas » pour faire changer ce qui « est en haut » et donc changer notre rĂ©alitĂ© ici-bas. Ils disent que nous avons la facultĂ© de changer notre vie, notre façon de penser, dâharmoniser notre cerveau, de faire sâouvrir notre coeur, dâobtenir lâĂ©quilibre et lâharmonie,
ce qui « ouvrira alors les fenĂȘtres de notre mental, de notre coeur, de notre esprit», etc. Et il paraĂźt que nous pouvons faire tout cela principalement en adoptant le point de vue de Dieu qui est que « tout est un, tout est amour ». Il est dit que (avec quelque vraisemblance devrais-je ajouter, puisque la bonne dĂ©sinformation est toujours enveloppĂ©e dans de la vĂ©ritĂ© bien chaude et moĂ«lleuse) « sans lâUnitĂ© Divine en nous, ces fenĂȘtres dâinspiration sont rarement accessibles « . Ce qui nâest pas dit câest que lâescalier qui mĂšne Ă lâUnitĂ© Divine de lâĂtre exige un champ complet de conscience de lâĂtre et du Non-Ătre, et que cela ne peut ĂȘtre accompli quâen se dĂ©barrassant des contrĂŽles du Non-Ătre qui, cela est vrai, font partie de lâĂtre, mais qui cherchent Ă faire tomber lâĂtre dans un sommeil paradoxal « dâunification » qui commence souvent par la croyance au mensonge qui dit que « les connaissances protĂšgent simplement par le fait de les avoir». En fait, la plupart des « techniques » vendues dans des emballages attrayants comme « outils dâascension » produisent des modifications chimiques temporaires qui donnent une sensation de grand bien-ĂȘtre, tout comme un bon repas calme temporairement la faim. Il procure vraiment du « bien-ĂȘtre » ! Mais tout comme le steak-salade est digĂ©rĂ© et en grande partie excrĂ©tĂ© en quelques heures, et puis quâun autre steak-salade est nĂ©cessaire pour remplir Ă nouveau lâestomac, ainsi ces pratiques ne font pas autre chose que perpĂ©tuer la « chaĂźne alimentaire». Et pour rester dans la mĂȘme analogie, trĂšs peu de la « substance » de telles pratiques « reste dans » lâindividu. Lâaspirant a besoin dâun temps considĂ©rable pour rĂ©aliser en fin de compte que ces techniques qui le soulagent de ses tensions ou produisent en lui « un sentiment de bien-ĂȘtre » ne font strictement rien pour changer sa vie ou ses « vibrations ». Il est toujours reconnu par le chien de son voisin, il trouve
toujours de nouveaux cheveux gris dans sa chevelure, il tombe encore parfois malade, et a toujours des bobos comme tout un chacun. Le problĂšme est, ici encore, les idĂ©es « de bas en haut » qui ont Ă©tĂ© utilisĂ©es et dont le seul rĂ©sultat est un Ă©tat « mitigé» ou pire encore, une persistance Ă aller de plus en plus loin sur le chemin du Non-Ătre. Il me faut Ă prĂ©sent qualifier tout cela : pour ceux dont le Non-Ătre est la nature immuable, ceci est naturel et bon, et ils tireront profit du chemin vers le non-ĂȘtre. Mais pour les trĂšs nombreux aspirants dont la nature immuable est dâaller vers lâĂtre, câest un terrible piĂšge. Lâeffet gravitationel du centre de PensĂ©e du Non-Ătre, qui attire toute crĂ©ation vers le Non-Ătre, agit sur eux dâune maniĂšre qui affecte nĂ©gativement leurs relations et leur santĂ©. Les humains qui passent leur vie avec le sentiment quâils ont un « trou dans le coeur » ne sont pas synchronisĂ©s avec leur nature immuable. Le champ de vision naturel Ă lâunitĂ© organique telle quelle â sans connexion au soi supĂ©rieur â est celui de lâinterprĂ©tation matĂ©rielle et/ou mĂ©canique de tous les phĂ©nomĂšnes. Les influences du centre de PensĂ©e du Non-Ătre - source de matiĂšre â se sont accentuĂ©es Ă cause de la manifestation de milliards de ces unitĂ©s en un seul point du temps : le prĂ©sent. Le Centre de PensĂ©e du Non-Ătre est dâune certaine nature â la subjectivitĂ© contractile â qui exerce une traction plus ou moins « gravitationnelle » â un dĂ©sir dâabsorber et assimiler les Ă©nergies dâĂąme de lâĂtre â pour pouvoir nourrir sa propre nature contractile. MĂȘme sâil suscite en principe un champ complet de conscience, il ne peut voir lâĂtre que comme un traĂźtre Ă son propre besoin de ne pas exister. Le rĂ©sultat en est un individu qui proclame sans doute que tout est illusion, mais dont les actes â ou plutĂŽt lâabsence de ceux-ci â trahissent
le profond Ă©tat immuable de Non-Ătre. Ă cause de sa nature intrinsĂšque, il y a une forte tendance, exercĂ©e par le Non-Ătre, Ă anĂ©antir et empĂȘcher lâĂtre et la CrĂ©ation â tandis quâil est incapable de prendre conscience quâil existe quâen vertu de lâĂtre et de la CrĂ©ation *n action ! Le puissant effort du Centre de PensĂ©e du Non-Ătre dâabsorber et assimiler toute crĂ©ation, alimentĂ© par sa propre subjectivitĂ© contractile, pose certains problĂšmes tant pour lui-mĂȘme que pour lâĂtre. Le fondement du Non-Ătre est un mensonge â câest-Ă -dire que lâĂ©tat de non-ĂȘtre absolu quâil tend Ă atteindre est une impossibilitĂ© paradoxale. Le fondement de lâĂtre est le fait objectif que lâExistence est simplement au travers de lâaction ou de la mise en application des connaissances, ce qui gĂ©nĂšre de la lumiĂšre. Câest pourquoi, lâessentiel du conflit est entre le mensonge et la vĂ©ritĂ©. Le centre de PensĂ©e du Non-Ătre se dit Ă lui-mĂȘme un trĂšs gros mensonge : quâil nâexiste pas ; et il fait semblant de sâendormir. De ce point essentiel nous voyons que la nature de la subjectivitĂ© est le mensonge. Mensonges et croyance Ă des mensonges â que celui qui y croit soit conscient ou non quâil croit en des mensonges â participent de la mĂȘme essence - subjectivitĂ© et Non-Ătre. VoilĂ lâimportance Ă©sotĂ©rique de la programmation de la population que nous voyons autour de nous actuellement. Le Centre de PensĂ©e de Non-Ătre, dans son expression en tant que matiĂšre, Ă©tant « impressionnĂ© » par la conscience crĂ©atrice en action qui lâĂ©veille partiellement et lâattire vers la crĂ©ation du monde organique, sâenroule autour de cette conscience Ă©veillĂ©e. Sa nature intrinsĂšque qui est de feindre le Non-Ătre agit « gravitationnellement » sur la conscience, et la dĂ©forme et la tord Ă divers degrĂ©s de subjectivitĂ©. Câest cette interaction de lâĂ©nergie de toute possibilitĂ©, placĂ©e sous la
lentille de la subjectivitĂ© de la matiĂšre, qui produit les myriades de manifestations de lâunivers matĂ©riel. Dans le monde du Centre de PensĂ©e de Non-Ătre, il y a de nombreuses manifestations â ou maniĂšres â de recherche dâanĂ©antissement - les « Vils Noms de Dieu ». Ces modes agissent dâune maniĂšre gravitationnelle pour attirer, replier et dĂ©former la conscience Ă leurs fins. Le rĂ©sultat en est la formation dâunitĂ©s de conscience dâune grande puissance et dâune profonde intelligence rusĂ©e â bien au-delĂ de ce qui est imaginable dans notre propre rĂ©alitĂ©. Ces unitĂ©s de conscience font usage de leurs ruses pour assimiler des unitĂ©s de conscience plus faibles, de maniĂšre Ă accumuler davantage de puissance contractile. Manifestement, plus « denses » sont les unitĂ©s de conscience « consommĂ©es », plus « nourrissantes » elles sont. Elles cherchent donc par leurs artifices, avec grand soin et patience, Ă manipuler les unitĂ©s de conscience sĂ©lectionnĂ©es pour lâassimilation. Il sâagit en fait dâune traque transmillĂ©naire. Ces Seigneurs de lâEntropie- si nous pouvons leur donner ce nom â en vertu de lâimposition dâune subjectivitĂ© intensifiĂ©e â sceau de lâinfluence du Centre de PensĂ©e de Non-Ătre â font interface avec le monde organique Ă un niveau « gĂ©ographique ». Puisquâils ont en quelque sorte une relation intime avec la matiĂšre, la conscience contractile de ces ĂȘtres peut affecter le territoire quâils ont choisi de coloniser, elle est un peu comme un « nuage » le surplombant, nuage Ă©quipĂ© de millions de filaments qui le relient Ă leur zone dâinfluence. Ceci est vrai Ă©galement pour la matiĂšre dont est formĂ©e le corps humain. Câest par lâintermĂ©diaire de ces fibres Ă©thĂ©riques que les Seigneurs de lâEntropie assimilent lâĂ©nergie. Ces suzerains possĂšdent des sortes dâorganes. Un groupe de personnes , disait lâapĂŽtre Paul, Ă©tait « le corps du
Christ» ; les organes des seigneurs de lâentropie se manifestent comme des individus sĂ©parĂ©s, encore que leur connexion directe avec une unique et massive unitĂ© de conscience fassent dâeux plutĂŽt des « projections » que des ĂȘtres individualisĂ©s et dotĂ©s dâĂąmes. De par leur forte tendance Ă conserver et assimiler de lâĂ©nergie, ces seigneurs sont avares vis-Ă -vis de leurs ĂȘtres organiques. Il semble quâils ne gaspillent pas dâĂ©nergie dans la manifestation et la prĂ©servation de structures organiques pour leurs organes, et donc la physicalitĂ© organique prend la configuration de crĂ©atures moins complexes dans le monde organique. PlutĂŽt que dâinteragir avec une structure organique dans un Ă©tat de coopĂ©ration et dâĂ©veil, ils exercent un contrĂŽle sur les leurs, utilisant les structures organiques qui exigent le moins possible dâĂ©nergie, afin de prĂ©server celle-ci. Ă cette fin, ils tirent lâĂ©nergie destinĂ©e Ă leurs unitĂ©s organiques des rĂ©servoirs de formes archĂ©typales du monde animal. Cette Ă©nergie est plus facile dâaccĂšs, sa frĂ©quence est plus basse, et donc plus facile mettre sous contrĂŽle. Cela semble ĂȘtre la raison pour laquelle, quand ils sont perçus par des individus appartenant Ă lâunivers de la conscience de soi de troisiĂšme densitĂ©, lâapparence des Seigneurs de lâEntropie est gĂ©nĂ©ralement surprenante. Le type reptilien vient Ă lâesprit comme Ă©tant le plus efficace du point de vue de lâĂ©conomie dâĂ©nergie. Souvenez-vous que la conscience est simplement la lecture des ondes. Pour la mĂȘme raison â la nature contractile de la hiĂ©rarchie et sa consommation dâĂ©nergie â il est extrĂȘmement difficile aux corps organiques des seigneurs de lâentropie de fonctionner activement dans notre univers pendant trĂšs longtemps. Quand ils pĂ©nĂštrent dans notre monde en prenant une forme organique de troisiĂšme densitĂ©, ils sont
dĂ©savantagĂ©s. Ils sont non seulement temporairement dĂ©connectĂ©s de leur rĂ©servoir dâĂ©nergie, en train de sâaffaiblir, mais ils ont encore un autre dĂ©savantage. Puisquâils ne sont connectĂ©s intĂ©rieurement Ă aucune boucle de rĂ©troaction dâĂtre CrĂ©ateur, leur propre Seigneur dâEntropie les Ă©puise en permanence en les attirant gravitationnellement, si nous pouvons nous exprimer ainsi, les rendant encore plus faibles que les habitants naturels de cet univers-ci. Câest ainsi que sont les « extraterrestres » appelĂ©s « hommes en noir ». Câest cette grande pression exercĂ©e sur leurs ressources Ă©nergĂ©tiques qui rend leur apparence si remplie dâanomalies. Il nây a aucune crĂ©ativitĂ©, et donc aucune facultĂ© de faire intrusion dans notre rĂ©alitĂ© avec quelque vraisemblance convaincante. Lâapparence des Gris est quasiment celle dâhumains formĂ©s seulement partiellement, et oĂč de nombreux dĂ©tails sont portĂ©s manquants. Câest comme si une rĂ©plique exacte exigeait trop dâĂ©nergie. Ils ont donc recours Ă des copies imparfaites. Câest pour cette raison quâils Ă©vitent en gĂ©nĂ©ral lâinteraction directe avec le monde organique, prĂ©fĂ©rant recourir Ă dâautres mĂ©thodes pour Ă©pier et capturer les unitĂ©s les plus faibles qui iront nourrir le Centre de PensĂ©e de Non-Ătre. Dans ce but, ces seigneurs de lâentropie cherchent Ă Ă©tablir et conserver « lâentraĂźnement de lâĂ©nergie crĂ©atrice » dans la rĂ©alitĂ© de troisiĂšme densitĂ© en favorisant les interprĂ©tations matĂ©rielles de troisiĂšme densitĂ© du monde phĂ©nomĂ©nal. En rĂ©sumĂ©, ces ĂȘtres qui dominent un vaste territoire gĂ©ographique sâactivent, au sein de leur champ gĂ©ographique dâinfluence, Ă Ă©garer et Ă©carter les unitĂ©s organiques qui ont des connexions tĂ©nues avec lâĂ©nergie crĂ©atrice â le soi supĂ©rieur â des interprĂ©tations qui aboutiraient Ă lâĂ©tablissement dâune
boucle de rĂ©troaction avec les Centres de PensĂ©e de lâĂtre/de la CrĂ©ation. Ainsi que nous lâavons notĂ©, la nature de ces ĂȘtres et la dynamique de leur existence exigent des apports massifs dâĂ©nergie pour leur permettre de « contrĂŽler » et diriger leur propre physicalitĂ© organique. Cela est possible au niveau des sous-unitĂ©s des seigneurs du Centre de PensĂ©e de Non-Ătre en vertu de lâ assimilation extensive dâautres unitĂ©s de conscience, et tout spĂ©cialement en vertu de leur caractĂšre « gĂ©ographique » qui leur permet de se « connecter » Ă des milliers, sinon des millions dâĂȘtres organiques dans le monde organique. Cela est en fait le « Programme de la Matrice ». Cette connexion est naturellement favorisĂ©e par la dĂ©jĂ nommĂ©e nature intrinsĂšque des unitĂ©s organiques qui ne perçoit que le champ de vision du monde organique. Câest-Ă -dire que des boucles de rĂ©troaction mĂ©caniques et matĂ©rielles sont bien plus facilement crĂ©Ă©es entre unitĂ©s organiques et sous-unitĂ©s de Non-Ătre par une sorte « dâattraction gravitationnelle » exercĂ©e par ces sous-unitĂ©s sur les inclinations naturelles des ĂȘtres organiques. Ceci Ă©tablit donc des « boucles de rĂ©troaction », comme nous lâavons vu. LâunitĂ© organique « contaminĂ©e » par la vision matĂ©rielle/mĂ©canique commence Ă agir en fonction de ce que lui dicte ce Centre de PensĂ©e ce qui engendre des activitĂ©s de cette nature dans lâunitĂ© organique. Puisque chacune des sous-unitĂ©s du Centre de PensĂ©e de Non-Ătre peut se connecter Ă des millions dâunitĂ©s organiques de troisiĂšme densitĂ©, chacune dâelles peut ĂȘtre activĂ©e individuellement ou en groupe, afin de combler les voeux des Seigneurs de lâEntropie : une « plus grande » sous-unitĂ© du Centre de PensĂ©e de Non-Ătre. Nous avons trouvĂ© des explications semblables Ă celles des CassiopĂ©ens, se rapportant aux « sciences spirituelles »
dans les ouvrages de certains auteurs, trĂšs peu nombreux en fait : Ra, CASTANEDA, GURDJIEFF/OUSPENSKY, dâanciens enseignements soufis, des anciens mythes et lĂ©gendes, et nous avons dĂ©couvert tout un nouveau segment du puzzle qui sâadapte, en vertu des nombreuses et trĂšs Ă©tonnantes correspondances, Ă lâoeuvre de Boris MOURAVIEFF. Qui plus est, ces donnĂ©es contiennent aussi des informations supplĂ©mentaires extrĂȘmement surprenantes dans leurs implications. Parmi ces implications, qui ne font que confirmer certaines observations actuelles, il y a la probabilitĂ© que cette planĂšte doive passer par de mauvais moments dans pas trĂšs longtemps, et aussi que de nombreux Ă©lĂ©ments de la race humaine pourraient bien devoir partir « dĂ©finitivement » Ă ce moment. De nombreuses autres « sources » disent Ă leurs adeptes quâils monteront bientĂŽt dans la « cinquiĂšme dimension, sans passer par la quatriĂšme » ;cela est tout Ă fait vrai, bien quâils glissent sur les dĂ©tails. La cinquiĂšme densitĂ© est celle oĂč lâon va quand on meurt. Les informations que nous avons rassemblĂ©es suggĂšrent quâil y a une raison Ă lâĂ©tat actuel des choses : la nature cyclique de ces Ă©vĂ©nements, que la vie organique sur Terre est un transmetteur dâĂ©nergie qui alimente le cosmos ; que ce que nous observons dans la nature â quâil existe une chaĂźne alimentaire â est quelque chose qui existe Ă tous les niveaux, et nous ne sommes pas au sommet ! Nous avons aussi lâidĂ©e quâil nous est possible de sauter en bas de ce train avant quâil ne dĂ©raille. Câest une idĂ©e effrayante et lointaine pour la plupart dâentre nous Ă cause de cette Matrice que nous sommes en train dâexaminer et dont nous pensons quâelle nâest pas aussi solide quâelle ne lâa Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© Ă lâhumanitĂ© depuis des millĂ©naires.
Dans la sĂ©rie Adventures with the Cassiopaeans [6], jâai pris conscience de lâimportante question des psychopathes. Ceux dâentre vous qui ont lu cette sĂ©rie se souviennent peut-ĂȘtre de lâexposĂ© long et mĂ©ticuleux des faits, donnĂ©es et observations qui ont conduit aux remarques qui suivent : Et nous constatons que le but ultime des psychopathes en tant que reprĂ©sentants vivants de la hiĂ©rarchie de Non-Ătre, est de maĂźtriser lâĂ©nergie crĂ©atrice. De lâassimiler pour soi, pour en priver les autres en leur faisant croire des mensonges. Parce que quand on croit aux mensonges des psychopathes on leur remet le contrĂŽle de son propre Libre Arbitre â essence de la crĂ©ativitĂ©. LâentitĂ© planĂ©taire est le point focal dâune densitĂ© spĂ©cifique dâinteraction mental/corps. Ă certains moments ou « croisements » cosmiques une entitĂ© planĂ©taire de ce genre peut avoir Ă©tĂ© programmĂ©e pour se polariser vers une densitĂ© supĂ©rieure. La hiĂ©rarchie NĂ©gative voit cela comme le « moment venu » pour que cette polarisation se fasse nĂ©gativement de sorte que lâentitĂ© planĂ©taire participe pleinement de la rĂ©alitĂ© nĂ©gative de 4e densitĂ©, et non de la rĂ©alitĂ© positive. Les ĂȘtres polarisĂ©s nĂ©gativement ont besoin dâune base planĂ©taire polarisĂ©e nĂ©gativement Ă partir de laquelle ils puissent fonctionner, tout comme les ĂȘtres de densitĂ© supĂ©rieure polarisĂ©e positivement ont besoin de bases planĂ©taires polarisĂ©e positivement. Toujours la maxime hermĂ©tique : Ăconomie dâĂ©nergie de lumiĂšre en haut, et Ă©conomie de contrĂŽle du mental et de la volontĂ© en bas. Ils veulent utiliser la propre Ă©nergie crĂ©atrice de lâhumanitĂ© pour « verrouiller » notre planĂšte sous leur domination. Ce que nous observons en ce moment sur notre planĂšte : ressources en diminution, bombardements dâUV
intensifiĂ©s dans notre atmosphĂšre, etc. ne sont PAS « des effets secondaires malheureux mais inĂ©vitables de lâindustrialisation » : cela fait partie de lâeffort dĂ©libĂ©rĂ© mais cachĂ© de la hiĂ©rarchie nĂ©gative de prĂ©parer la composition biochimique et Ă©lectrique de cette planĂšte Ă une polarisation nĂ©gative. Il existe bien des « planĂštes du mal » et des Ă©toiles sombres. Et la vraie question du moment est celle-ci : est-ce que notre MĂšre Terre est sur le point dâen devenir une ? La vie organique sur la Terre sert de «station de transmission ». En tant que transmetteur, au temps de la Transition, comme pour la dĂ©pression sur une onde quantique, ce qui est en train dâĂȘtre « transmis/observĂ© » dĂ©termine la « mesure ». Il y a approximativement 6 milliards dâĂȘtres humains sur cette planĂšte en ce moment de transition, et la plupart contribuent Ă la transmission quantitative. Mais ce qui manque, câest la vibration de frĂ©quence de rĂ©ponse qualitative qui pourra crĂ©er le modĂšle du nouveau monde. La qualitĂ© de lâhumanitĂ© a peu changĂ© au cours des derniers millĂ©naires. La plupart des ĂȘtres humains sont toujours mus par la peur, la faim, et le sexe, dans des Ă©tats de misĂšre et de chaos. La machine Ă dĂ©sinformer de la Matrice a fonctionnĂ© Ă plein pour conserver intacte cette situation, et ce avec grand succĂšs. Le non-sens propagĂ© comme « Ascension » en est la preuve Ă©vidente. Câest parce que la hiĂ©rarchie nĂ©gative travaille depuis des millĂ©naires Ă Ă©laborer le systĂšme de contrĂŽle de maniĂšre Ă ce que au « bon moment » de la transition, en utilisant lâĂ©norme dĂ©gagement dâĂ©nergie en provenance dâinnombrables ĂȘtres humains sur la planĂšte, ils puissent induire cette polarisation de maniĂšre Ă ce quâelle se fasse nĂ©gativement. Maintenant, pour mettre cela en perspective, laissez-moi rĂ©pĂ©ter ceci : la vie organique sur Terre sert de «station de
transmission ». Pour un transmetteur de ce genre, au temps de la Transition, comme câest le cas pour la dĂ©pression dâune onde quantique, ce qui est « transmis/observĂ© » dĂ©termine la « prise de mesure ». Il y a actuellement environ 6 milliards dâhumains sur la planĂšte Ă ce moment de transition, et la plupart font partie dâune transmission de quantitatif. Mais ce qui manque câest la vibration de frĂ©quence de rĂ©ponse qualitative qui pourra crĂ©er le modĂšle du nouveau monde. Que pensez-vous que cela signifie ? Câest quoi le « temps de la transition » ? Quâest ce qui est transmis ? Pensez-y : 6 milliards dâĂȘtres humains⊠transmettant quoi ? Autrement dit, lâhumanitĂ© est en train dâĂȘtre manipulĂ©e de maniĂšre Ă devenir des batteries destinĂ©es Ă alimenter un « Ă©vĂ©nement » dont les forces entropiques espĂšrent quâil aura pour rĂ©sultat de faire dâeux les maĂźtres de la planĂšte en 4e
densitĂ©. Que pensez-vous que cela signifie ? Vous ne pensez pas que six milliards de gens sur la planĂšte se sont alignĂ©s consciemment sur les forces de la CrĂ©ation nâest-ce pas ? Et nous savons quâil nây en a pas des masses qui soient prĂȘts Ă passer non plus Ă lâalignement sur lâentropie. Que veut donc la Matrice ? DE LA FORCE VITALE. En rĂ©sumĂ©, bien que le potentiel de lâintensitĂ© globale de transmission ait augmentĂ© exponentiellement, la qualitĂ© des Ă©nergies a Ă©tĂ© graduellement et astucieusement corrompue en polaritĂ© nĂ©gative. VoilĂ le sens Ă©sotĂ©rique du 9/11, le vĂ©ritable objectif des plans du Reich BUSH et des Sionistes. Souvenez-vous de ce
que les CassiopĂ©ens nous on dit : R : Nous vous lâavons dĂ©jĂ dit : lâexpĂ©rience nazie a Ă©tĂ© un « coup dâessai » ; et maintenant vous voyez les similitudes nâest-ce pas ? Jâavais bien peu conscience alors de ce qui nous attendait ! La polaritĂ© nĂ©gative ayant augmentĂ©, la planĂšte manque dĂ©sespĂ©rĂ©ment des Ă©nergies les plus fines de la psychĂ© qui doivent servir de moule afin que la transition restaure lâĂ©tat dâavant la Chute, au Jardin dâEden. Seuls des ĂȘtres humains sur le point dâopĂ©rer une vĂ©ritable ascension spirituelle seront Ă mĂȘme dâassurer la transmission de ces Ă©nergies en quantitĂ© et qualitĂ© suffisantes. Ce que ce la signifie, nous allons le voir.
NOTES
[1]: Jâai effleurĂ© cette idĂ©e dâune conspiration ailleurs dans le prĂ©sent livre. Jâai aussi traitĂ© plus longuement de cette idĂ©e dans mon livre LâHistoire SecrĂšte du Monde et dans des articles publiĂ©s sur notre site Web : http ://www.cassiopaea.org/. Pour vous tenir au courant du regard que nous jetons quotidiennement sur les effets de cette conspiration sur notre panĂšte, consultez nos nouvelles et analyses sur http ://www.signs-of-the-times.org/. [2]: Service des Autres, Service DâAutrui (NdT) [3]: CASTANEDA, The Active Side of Infinity, 1998, pp. 213-220 [4]: CASTANEDA, Carlos, The Fire From Within, (New York : Pocket Books 1985) p. 19. [5]: CHITTICK, The Sufi Path of Knowledge, CUNY Press [6]: Sur notre website : http ://www.cassiopaea.com/cassiopaea/adventureindex.htm.
CHAPITRE XXVII
Voyons les choses en face. Nous nous trouvons dans une prison gardĂ©e par des sentinelles qui ont le pouvoir de voyager dans lâespace-temps. Elles interviennent dans notre monde avec la facilitĂ© dâun Ă©leveur de poulets intervenant dans son poulailler. Elles fomentent guerres, violences, famines et dĂ©sastres naturels dans tout le niveau en jouant de nous en virtuoses, tout en utilisant aussi nos Ă©motions et notre intellect pour crĂ©er des conflits et discordances dans notre vie quotidienne. Dans la premiĂšre partie de ce livre jâai citĂ© lâhistoire racontĂ©e par GURDJIEFF Ă propos du MĂ©chant Mage. Elle vaut la peine dâĂȘtre rĂ©pĂ©tĂ©e : Un trĂšs riche mage possĂ©dait de trĂšs nombreux moutons. Mais ce mage Ă©tait trĂšs avare. Il ne voulait pas louer les services de bergers ; ni entourer de clĂŽtures les prĂ©s dans lesquels paissaient ses troupeaux. Par consĂ©quent, les moutons se perdaient rĂ©guliĂšrement dans la forĂȘt ou tombaient dans des ravins etc., et surtout, ils sâĂ©chappaient car ils savaient bien que le mage voulait leur peau et leur toison, et cette idĂ©e ne leur plaisait vraiment pas. Finalement, le mage trouva une solution. Il hypnotisa ses moutons et leur fit la suggestion que tout dâabord ils Ă©taient tous immortels et quâaucun mal ne leur Ă©tait fait quand ils Ă©taient tuĂ©s et Ă©corchĂ©s. Au contraire, cela leur Ă©tait trĂšs profitable et mĂȘme agrĂ©able.
DeuxiĂšmement, il suggĂ©ra que lui, le mage, Ă©tait un bon maĂźtre qui aimait son troupeau tellement quâil Ă©tait prĂȘt Ă faire nâimporte quoi au monde pour lui. TroisiĂšmement il leur suggĂ©ra que si quelque chose devait leur arriver, ce ne serait pas pour tout de suite, certainement pas aujourdâhui, et quâils ne devaient dĂšs lors pas y penser. Puis le mage suggĂ©ra Ă ses moutons quâils nâĂ©taient pas du tout des moutons. Ă certains il suggĂ©ra quâils Ă©taient des lions, Ă dâautres il suggĂ©ra quâils Ă©taient des aigles, Ă dâautres quâils Ă©taient des hommes, et Ă dâautres encore quâils Ă©taient des mages. Câest ainsi que tous ses soucis concernant ses moutons disparurent. Ils ne sâenfuirent plus jamais mais attendirent tranquillement le moment oĂč le mage rĂ©clamerait leur chair et leur toison. Cette allĂ©gorie dĂ©crit parfaitement notre situation. Nous sommes hypnotisĂ©s Ă croire que nous sommes en sĂ©curitĂ©, afin que nos gardiens puissent continuer Ă nous tondre et Ă nous Ă©corcher, câest-Ă -dire Ă vivre de nos Ă©nergies dâĂ©motions nĂ©gatives crĂ©Ă©es par nos souffrances. La question est : que pouvons-nous faire ? Comment pouvons-nous nous dĂ©s-hypnotiser ? La plupart des « solutions » prĂ©sentĂ©es impliquent des moyens destinĂ©s Ă changer ce monde. Certaines de ces propositions sont individuelles, dâautres impliquent dâorganiser les masses de façon Ă renverser lâordre actuel pour Ă©tablir une sociĂ©tĂ© « juste », basĂ©e sur un nouvel ensemble de principes Ă©laborĂ©s par une nouvelle Ă©lite. Alors que sur le plan matĂ©riel ces plans fonctionnent de haut en bas, câest-Ă -dire Ă partir dâun petit groupe cherchant Ă imposer ses volontĂ©s au travers des hiĂ©rarchies de ceux dâen-bas, en Ă©sotĂ©risme nous dirons que ces plans fonctionnent de bas en haut, câest-Ă -dire contre la force
crĂ©atrice Ă lâoeuvre dans lâunivers, une force capable de travailler Ă travers nous Ă partir dâen haut si nous le permettons. Lorsque nous sommes alignĂ©s sur la force de lâentropie, nous imposons notre propre comprĂ©hension limitĂ©e Ă lâensemble du monde. Nous cherchons Ă former le monde Ă notre image plutĂŽt que dâessayer de devenir lâexpression de la CrĂ©ation. Le fait dâimposer des idĂ©es au monde est aussi bien le fait de la derniĂšre mode New Age allant de la vision crĂ©atrice aux bombardiers cosmiques dâamour et dâamour, encore et toujours, que des mouvements politiques quâils soient marxistes ou libertaires. Des milliers dâannĂ©es dâHistoire de lâhumanitĂ© montrent bien quâaucune de ces solutions ne fonctionne. Si elles fonctionnaient, pourquoi aurions-nous toujours Ă affronter les mĂȘmes problĂšmes depuis des Ăąges ? AprĂšs plus de trente annĂ©es de travail, la chose qui mâest devenue Ă©vidente est que les Ă©nergies de la CrĂ©ation Ă©manent « vers le bas », et que notre individualitĂ© dâĂȘtres humains nâest quâune des expressions des « Drames thĂ©ologiques ». Tenter dâexercer notre volontĂ© ou de faire entendre notre voix vers le « haut », Ă contre-courant de la CrĂ©ation câest, essentiellement, tenter de violer le Libre Arbitre de la CrĂ©ation, câest-Ă -dire de la vanitĂ©. VoilĂ pourquoi les priĂšres, les rituels destinĂ©s à « changer » la rĂ©alitĂ©, « la pensĂ©e positive » dans « lâintention » de changer quelque chose « lĂ -haut », pour en recevoir les bĂ©nĂ©fices « ici bas, tout cela est toujours condamnĂ© Ă produire partout encore plus de discorde, de misĂšre et de souffrance. Je veux dire ceci : Si la VĂ©ritĂ© Ă propos du vĂ©ritable processus de rĂ©veil de notre sommeil hypnotique nâĂ©tait pas trĂšs nĂ©faste aux ambitions de ceux qui contrĂŽlent notre monde, la Matrice, ils nâauraient pas pris tant de peine pour les dissimuler.
Lorsquâenfin nous faisons le lien entre ce fait et le fait que notre Ă©lite gouvernante agit sur les instructions de ces contrĂŽleurs, nous rĂ©alisons que le spectacle qui se dĂ©roule sur la scĂšne politique est le reflet dâune intention venant de plus haut. Et nous constatons alors que lâopĂ©ration COINTELPRO au sein du New Age et du mouvement du Potentiel Humain en a en fait Ă©tĂ© « lâouverture ». Sur base de lâobservation et de la recherche, il est Ă©vident que lâhumanitĂ© est arrivĂ©e Ă un grand carrefour historique. Nous voici Ă la fin de deux mille ans dâintolĂ©rance, de cruautĂ© et de stupiditĂ© qui ont abouti Ă notre actuel Ă©tat de folie globale et collective. LâhumanitĂ© dans son ensemble est arrivĂ©e Ă un Ă©tat de banqueroute spirituelle ou «mort» spirituelle. Mais nous ne pouvons pas penser que cela est sans signification. Ceux qui comprennent les principes de lâĂ©lectricitĂ© comprendront si je dis que lâĂ©tat actuel global est la maniĂšre dont travaille la nature pour Ă©tablir un DiffĂ©rentiel de Potentiels de Contact pour lâafflux dâĂ©nergie de LumiĂšre cosmique. Mais comme pour lâindividu, lorsque ce point est atteint (la nuit noire de lâĂąme), un « choix » apparaĂźt : lâĂąme peut aller vers le « haut » ou vers le « bas ». Pour que cet afflux dâĂ©nergie puisse agir de maniĂšre positive afin de crĂ©er une nouvelle rĂ©alitĂ© de Libre Arbitre et dâĂquilibre, il faut quâil y ait un point de contact capable de conduire cette Ă©nergie. Il doit y avoir des « micro-puces » ou « circuits » humains forts assez pour accueillir cette Ă©nergie, sinon lâhumanitĂ© entiĂšre pĂ©rira. Cela signifie que seul le dĂ©veloppement dâune certaine sorte dâhumains (cĂąblĂ©s dâune certaine maniĂšre, pourrait-on dire) permettra dâarriver Ă une capacitĂ© globale Ă mĂȘme dâaffronter les Ă©nergies de ce Carrefour. Lâouvrage de Boris MOURAVIEFF, Gnosis, est une tentative pour retrouver et dĂ©crire en des termes
comprĂ©hensibles Ă lâhomme moderne, une Tradition particuliĂšre transmise au fil des siĂšcles, en ligne parfois brisĂ©e, mais qui existe encore dans lâĂglise orthodoxe. En paraphrasant MOURAVIEFF, on pourrait dire que cette tradition est lâĂ©quivalent chrĂ©tien du Yoga, du Zen et des autres traditions intĂ©rieures des religions de lâExtrĂȘme Orient, des disciplines qui ont chacune existĂ© comme des spĂ©cialisations au sein de la religion dont elles font partie. Sa forme tardive peut ĂȘtre retrouvĂ©e particuliĂšrement dans lâĂglise russe, et elle se relie clairement Ă la tradition orale connue sous lâappellation de Voie Royale. MOURAVIEFF lui-mĂȘme a admis que la survivance de cette tradition au sein de lâĂglise est tĂ©nue, et que la doctrine ne paraĂźt pas avoir survĂ©cu entiĂšre, ou bien elle nâa pas Ă©tĂ© entiĂšrement rassemblĂ©e. Les moines du Mont Athos admettent lâexistence de la Tradition mais ils disent quâelle nâa jamais Ă©tĂ© mise par Ă©crit dans son entier. LâĂ©tude minutieuse de lâoeuvre de MOURAVIEFF nous montre que nous avons retrouvĂ© bien des piĂšces qui manquaient Ă notre puzzle. Ce qui est trĂšs significatif, câest que ces piĂšces ont toutes un rapport direct avec les significations cachĂ©es de la Queste du Saint Graal et du Grand Oeuvre des alchimistes. Inlassablement, les aspirants ont cherchĂ© Ă interprĂ©ter le processus de lâ« Ascension » dâaprĂšs leurs expĂ©riences externes. Ainsi que lâa dit Fulcanelli, câest dans le choc des idĂ©es que meurt la lettre et que naĂźt lâesprit. Câest-Ă -dire : la connaissance se trouve dans le sens et non dans les mots. Sans cesse, la Tradition Ă©sotĂ©rique est mal comprise câest pourquoi elle meurt. Puis, quand le moment est venu, elle doit ĂȘtre soit restaurĂ©e soit reformulĂ©e. Entretemps, le sens est maintenu en vie dans des communautĂ©s ou Ă©coles symbolisĂ©es
par lâArche, et celle de NoĂ© en Ă©tait une. MOURAVIEFF Ă©crit : Avec le temps, la Parole rĂ©vĂ©lĂ©e, parfois transmise depuis des civilisations Ă©teintes, est altĂ©rĂ©e Ă cause de lâoubli des hommes : elle devient fragmentaire. Puis elle reçoit des ajouts arbitraires en provenance de sources purement humaines. Avec le temps, ces conjectures sont gĂ©nĂ©ralement prises pour des rĂ©alitĂ©s. Outre ces mutilations, nous ne devons pas perdre de vue un phĂ©nomĂšne dâun ordre entiĂšrement diffĂ©rent. La RĂ©vĂ©lation Divine, source de toute Tradition authentique, ne se fige pas dans lâimmobilitĂ© au cours des millĂ©naires. La RĂ©vĂ©lation est donnĂ©e par Ă©tapes : transmise petit Ă petit, de maniĂšre nĂ©cessaire et suffisante en rĂ©ponse aux besoins de lâĂ©poque et de la Cause. Les mots de MOURAVIEFF font Ă©cho Ă ceux du lĂ©gendaire FULCANELLI : Tout homme prudent, dit-il, doit premiĂšrement apprendre la Science, sâil peut, câest-Ă -dire les principes et les moyens dâopĂ©rer, sinon en demeurer lĂ , sans follement employer son temps et son bien⊠Or, je prie ceux qui liront ce petit livre, dâajouter foi Ă mes paroles. Je leur dis donc encore une fois quâils nâapprendront jamais cette science sublime par le moyen des livres, et quâelle ne peut sâapprendre que par rĂ©vĂ©lation divine, câest pourquoi on lâappelle Art divin, ou bien par le moyen dâun bon et fidĂšle maĂźtre ; et comme il y en a trĂšs peu Ă qui Dieu ait fait cette grĂące, il y en a peu aussi qui lâenseignent [1]. Si nous nous retournons pour rĂ©-examiner pendant un moment les problĂšmes des nombreux et variĂ©s enseignements dâ« Ascension », nous constatons que la question des « travaux vs. foi » a toujours Ă©tĂ© une condition que lâaspirant avait Ă affronter. Elle fait partie de la ForĂȘt hantĂ©e quâil doit traverser
avant mĂȘme dâĂȘtre confrontĂ© aux Ă©preuves dâendurance, de courage, et de discernement. MOURAVIEFF parle de cela aussi : Une trĂšs ancienne maxime, citĂ©e dans lâĂvangile de Saint-Luc, place le problĂšme [de lâAscension] sans son contexte propre. Il Ă©crit : lâouvrier est digne de son salaire. Cette maxime est donnĂ©e dans le contexte de lâenvoi des soixante-dix disciples « comme des agneaux parmi les loups » pour annoncer au peuple que « le royaume de Dieu est venu Ă vous ». Cela signifie que, dans le domaine Ă©sotĂ©rique, comme dans nâimporte quelle vie, lâhomme reçoit une rĂ©tribution pour le service quâil rend. [âŠ] Dans le domaine Ă©sotĂ©rique, il est impossible de rien obtenir de pur ou dâauthentique, et de ce fait rien de beau sans faire des efforts dont la somme et lâimportance sont Ă©quivalents au rĂ©sultat auquel le travailleur aspire. Inversement, la valeur des rĂ©sultats que nous obtenons est toujours Ă©quivalente, quantitativement et qualitativement, Ă la mesure des services rendus sur le plan Ă©sotĂ©rique. Il est possible dâobtenir des rĂ©sultats dits «ésotĂ©riques» qui sont impurs : ils sont faux, et donc, transitoires. Ici, nous faisons rĂ©fĂ©rence au vaste monde de lâoccultisme, oĂč les enfants de ce siĂšcle, plus capables que les enfants de la lumiĂšre, cherchent Ă appliquer leurs facultĂ©s au-delĂ du monde visible. Cela se produit dans ce que nous appelons le mysticisme des phĂ©nomĂšnes. [âŠ] Si le chercheur [âŠ] approche le domaine Ă©sotĂ©rique poussĂ© par le dĂ©sir dây trouver une satisfaction personnelle et donc impure, il ne pourra pas aller bien loin. Sâil persiste, il rencontrera lâĂ©chec. Lâerreur de conception faite au dĂ©part le conduira
imperceptiblement vers ce « mysticisme des phĂ©nomĂšnes ». Le lecteur attentif tirera une conclusion pratique de ce qui est Ă©crit ci-dessus : il faut trouver une authentique tĂąche Ă©sotĂ©rique entreprise dans le monde, se rendre utile dans ce travail, et y prendre une part active. [âŠ] [Nous sommes au coeur de cette pĂ©riode] que nous appellerons PĂ©riode de Transition. [âŠ] Tous les signes montrent que les conditions nĂ©cessaires Ă la Fin sont en train dâĂ©merger sous nos yeux. [âŠ] Le travail prĂ©paratoire, fondamental pour la PĂ©riode de Transition, peut et doit ĂȘtre accompli [âŠ] pour les ĂȘtres humains et par les ĂȘtres humains. Cela est, dĂšs lors, une question de Nouvel Homme. [âŠ] En pratique, ce problĂšme peut ĂȘtre rĂ©duit au besoin de former une nouvelle Ă©lite [Les Enfants dâElie, comme les appelle Fulcanelli]. Pendant la pĂ©riode de transition entre notre civilisation qui touche maintenant Ă sa fin, et la nouvelle Ăšre vers laquelle se dirige actuellement lâhumanitĂ© dans son Ă©volution historique, le succĂšs dĂ©pend de lâĂ©mergence, dans un avenir proche, dâun nombre suffisant de gens appartenant Ă ce nouveau type humain. [âŠ] [2] MOURAVIEFF soulĂšve ici la mĂȘme question que nous avons soulevĂ©e Ă la fin du chapitre prĂ©cĂ©dent : la planĂšte a besoin de massives quantitĂ©s des Ă©nergies les plus fines de la psychĂ©, nĂ©cessaires Ă la transition. Donnons donc une brĂšve description de ce quâest rĂ©ellement lâantique science secrĂšte dâAscension dâaprĂšs nos recherches et ce que nous avons appris des CassiopĂ©ens : Pour reprendre un morceau du dernier chapitre, la vie organique sur Terre sert de « station de transmission ». Pour un transmetteur de ce genre, au temps de la Transition, comme câest le cas pour la dĂ©pression sur une onde quantique, ce qui
est « transmis/observĂ© » dĂ©termine la « prise de mesure ». Il y a actuellement environ 6 milliards dâhumains sur la planĂšte Ă ce moment de transition, et la plupart font partie dâune transmission quantitative. Mais ce qui manque câest la vibration de frĂ©quence de rĂ©ponse qualitative qui pourra crĂ©er le modĂšle du nouveau monde. La qualitĂ© de lâhumanitĂ© a peu changĂ© au cours des derniers millĂ©naires. La plupart des ĂȘtres humains sont toujours mus par la peur, la faim, et le sexe, dans des Ă©tats de misĂšre et de chaos. En rĂ©sumĂ©, bien que lâintensitĂ© globale de transmission ait augmentĂ© exponentiellement, le spectre des Ă©nergies transmises est incomplet. Il y manque des quantitĂ©s massives des plus fines Ă©nergies de la psychĂ©. Seuls des ĂȘtres humains sur le point dâopĂ©rer une vĂ©ritable ascension spirituelle sont Ă mĂȘme dâassurer la transmission de ces Ă©nergies en qualitĂ© et quantitĂ© suffisantes. Les Ă©nergies nĂ©cessaires sont les trois courants de lâAmour objectif : amour spirituel, Ă©motionnel/mental, et physique. Et nous soulignons que ces courants doivent ĂȘtre purs. Seul lâĂȘtre humain a la facultĂ© de capter et de vivre les trois. Mais pour saisir et expĂ©rimenter pleinement LâAmour de lâĂąme, lâamour qui donne, lâamour courtois dĂ©montrĂ© et enseignĂ© par la chevalerie et les chevaliers des rĂ©cits du Graal, lâaspirant doit dĂ©velopper un centre magnĂ©tique en lui-mĂȘme. Lâhomme est toujours pĂ©nĂ©trĂ© par les deux courants de lâamour mental/Ă©motionnel et physique, mais ces courants ne sont pas purs ; sans un centre magnĂ©tique pleinement dĂ©veloppĂ©, lâhomme nâa pas la facultĂ© de les capter. Câest seulement en concrĂ©tisant ces trois courants dans sa vie, soit selon la mĂ©thode de lâalchimiste, soit sur le modĂšle de la
Queste du Graal, tous deux illustrant lâAscension extatique du chamane, que lâhomme a une rĂ©elle possibilitĂ© dâAscension, retour Ă lâAge dâOr. Nous avons vu, dans notre Ă©tude de lâHistoire et des preuves historiques, que la possibilitĂ© est : un retour Ă lâĂ©tat Ă©dĂ©nique dans les termes littĂ©raux du Chiliasme primitif â Des Cieux nouveaux et une Terre Nouvelle. Une fois encore, cela dĂ©pend de la facultĂ© de capter et maintenir dans un Ă©tat stable (peut-ĂȘtre au cours dâĂ©vĂ©nements extraordinaires) des quantitĂ©s massives dâAmour objectif purifiĂ©. Il est clair pour ceux qui font attention Ă ce qui se passe dans le monde quâil existe des forces qui ne veulent pas voir cette possibilitĂ© se concrĂ©tiser ! Elles ne veulent pas perdre leur source dâalimentation en Ă©nergie nĂ©gative ! Et dans cette optique, elles rĂ©pandent dâinnombrables mensonges et tromperies sur lâhumanitĂ©, de maniĂšre Ă duper mĂȘme les Ă©lus ! Comment parvenir Ă cet ancrage de la frĂ©quence â les trois courants dâAmour objectif ? Lâattitude que lâhomme adopte envers lâAmour reflĂšte son niveau dâĂtre. La splendeur de lâAmour de Dieu/de la CrĂ©ation lui est inconcevable. Tous ces circuits sauteraient sâil en avait un simple aperçu. Cependant, lâhomme peut en avoir un aperçu et malgrĂ© tout survivre Ă lâAmour spirituel de la Connaissance objective. Pour ce faire, il lui faut passer Ă un niveau supĂ©rieur dâĂtre et devenir une individualitĂ© vĂ©ritable. Seuls les ĂȘtres qui ont atteint le niveau de lâindividualitĂ©, qui obĂ©issent aux impĂ©ratifs du Divin intĂ©rieur, le rĂ©el « Moi », ont la possibilitĂ© de maintenir cette frĂ©quence et de lâirradier au Temps de la Transition. Les « Ălus », les Enfants dâElie, sont les humains qui ont franchi le DeuxiĂšme Seuil et qui ont accompli la DeuxiĂšme
Naissance. Ils seront « rassemblĂ©s des quatre vents, dâune extrĂ©mitĂ© des cieux Ă lâautre », pour faire la Transition et former la semence de lâhumanitĂ© dans le Monde Nouveau. Ce seront des humains de tous les types et couleurs, le seul critĂšre Ă©tant quâils aient franchi le DeuxiĂšme Seuil. Chacun dâeux sera pleinement conscient grĂące Ă une directe et indissoluble union de sa PersonnalitĂ© avec son Centre Ă©motionnel/intellectuel supĂ©rieur. Ce contact direct de la nouvelle humanitĂ© avec les plans supĂ©rieurs explique pourquoi le Second AvĂšnement nâexigera pas une « nouvelle incarnation du Christ ». VoilĂ pourquoi nous sommes avertis : « Si un homme te dit, regarde, le Christ est ici ou lĂ ; ne le crois pas. Car il se lĂšvera de faux christs et de faux prophĂštes, et ils accompliront de grands prodiges et miracles ; tant et si bien que, si cela Ă©tait possible, il sĂ©duiraient les Ă©lus eux-mĂȘmes. » Le chemin qui doit ĂȘtre suivi est celui dont lâexemple est donnĂ© dans la Queste du Saint Graal. Les ĂȘtres humains doivent aller du rĂ©sidu dâAmour cĂ©leste que nous vivons dans notre vie ordinaire, Ă lâAmour de lâEsprit. VoilĂ tout ce qui est requis pour le « Salut. » Ce chemin est celui de la DeuxiĂšme Naissance. Mais pour pouvoir renaĂźtre, lâĂȘtre humain doit passer par lâĂ©preuve de lâAmour Vrai. Seul celui qui a maĂźtrisĂ© sa personnalitĂ© et brĂ»le de cet Amour Vrai peut franchir le DeuxiĂšme Seuil. Et avant mĂȘme quâil nâatteigne ce point lâaspirant, soutenu par lâardent dĂ©sir de Salut, doit passer par les Ă©tapes intermĂ©diaires. Il doit donner la preuve de sa SincĂ©ritĂ© par sa foi, et ensuite il doit passer lâĂ©preuve de la Force nourrie par lâEspĂ©rance. Puis il doit acquĂ©rir le discernement, ce quâil ne peut faire sans obtenir dâabord la Connaissance. Le passage de lâEspĂ©rance Ă lâAmour est marquĂ© par le renouveau de son mental, de son intelligence, par la Connaissance.
La Connaissance sâacquiert par lâĂ©tude, et le travail nâest quâune Ă©tape intermĂ©diaire mais nĂ©cessaire. Seul lâAmour le plus Ă©levĂ© peut rĂ©vĂ©ler la Nature Divine, et ceci vient directement de Dieu . Mais si aucun vĂ©hicule nâest construit par la Connaissance pour recevoir la Gnose, il nâest pas possible dâancrer lâEsprit PrĂ©curseur qui doit ouvrir les portes de lâEsprit Saint. Le Gardien en est la Connaissance. Pour que cela se produise, pour recevoir le signe de la Connaissance, le Signe de Saint-Mathieu/de la Science doit ĂȘtre correctement orientĂ©. Cela signifie que lâaspirant doit ĂȘtre libĂ©rĂ© du mensonge et de la croyance au mensonge. Sans cela, il nây a aucun accĂšs possible Ă lâĂre de lâEsprit Saint. Dâaussi bonne volontĂ© que soit lâindividu, sâil suit des pratiques et enseignements fondĂ©s sur des mensonges, il ne trouvera pas le Graal. Nous voyons donc pourquoi la connaissance et le discernement sont essentiels. LâaccĂšs Ă la Connaissance demande du courage, ainsi quâun effort psychologique soutenu de la part de lâaspirant : il doit accepter le postulat que « la vĂ©ritĂ© et lĂ mais quâelle trĂšs difficile Ă trouver « , tout en se dĂ©faisant de ses propres idĂ©es et croyances personnelles. Avec lâapproche de ce que MOURAVIEFF nomme lâĂšre de lâEsprit Saint, tout doit graduellement ĂȘtre amenĂ© Ă la lumiĂšre du jour ; non seulement les secrets du laboratoire, mais aussi le sens le plus profond de lâĂ©sotĂ©risme. Et cela doit ĂȘtre vrai Ă©galement pour les illusions, les erreurs et les mensonges, qui doivent ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ©s afin dâĂȘtre rectifiĂ©s. Ce processus, y compris la RĂ©vĂ©lation de la Connaissance Ă©sotĂ©rique la plus profonde, qui a Ă©tĂ© promise et prophĂ©tisĂ©e, rĂ©vĂ©lera entiĂšrement les nombreux Ă©garements de lâesprit fondamentalement curieux de lâhomme. Lâinitiation, dans le sens Ă©sotĂ©rique du terme, nâest pas simplement une « cĂ©rĂ©monie ». En fait, la «
cĂ©rĂ©monie dâinitiation nâa plus cours sur le plan humain avec des rituels humains. Lâinitiation dans le prĂ©sent cycle se passe sur le plan super-sensoriel. Elle confirme lâInitiĂ© dans une nouvelle dignitĂ© gagnĂ©e par son Travail, et le porte vers la GrĂące Divine. Pour rĂ©soudre le problĂšme de lâancrage des trois courants dâAmour objectif nous devons nous concentrer sur une solution positive et pratique aux problĂšmes des ĂȘtres humains en tant quâindividus. Une application pratique de la connaissance Ă©sotĂ©rique devrait aider ceux qui sont en recherche et qui brĂ»lent du dĂ©sir dâarriver Ă la DeuxiĂšme Naissance. Celui qui est Ă la recherche du Saint Graal, tel que dĂ©crit dans les rĂ©cits, doit dâabord assimiler tout ce quâil peut apprendre exotĂ©riquement et mĂ©sotĂ©riquement. Puis il doit ĂȘtre prĂȘt Ă servir la Cause joyeusement. BrĂ»ler et Servir, telle est la devise du nouveau Chevalier. La Tradition enseigne â et cette connaissance peut ĂȘtre discernĂ©e dans les lĂ©gendes du Graal ainsi que dans des fragments dâenseignements cathares, quâĂ la fin des Temps les enfants dâElie se constitueront en couples polaires et en groupes affiliĂ©s et auxiliaires. Au temps de la Transition, Les Nouveaux Humains devront rĂ©soudre le problĂšme de lâidylle SinguliĂšre. Le chemin de lâĂ©volution de lâamour depuis la Chute a passĂ© de la polygamie (pendant que dâautres humains, principalement des femmes, Ă©taient considĂ©rĂ©s comme « des possessions »), au libre choix des partenaires, qui a atteint son expression ultime de nos jours. Il sâagit maintenant dâune forme dĂ©cadente, qui mĂšne Ă la sur-emphase de lâexpression physique et qui, dans certains cas, est mĂȘme une forme
rĂ©gressive de « polygamie », ou partenaires multiples. LâĂ©tape suivante dâĂ©volution de lâAmour est lâAndrogyne alchimique. Il ne faut pas comprendre cela dans le sens physique, mais bien dans le sens spirituel. Le Divin Androgyne est la condition la plus Ă©levĂ©e de conscience humaine, qui couronne les efforts de lâaspirant, Union dont le rĂ©sultat est la DeuxiĂšme Naissance. MOURAVIEFF Ă©crit : Une rĂ©volution est en train de se produire en silence, qui remplacera lâidylle libre, marque distinctive de lâĂšre chrĂ©tienne, par lâidylle singuliĂšre caractĂ©ristique de lâEsprit Saint. LibĂ©rĂ©e de la servitude de la procrĂ©ation, cette idylle de demain scellera lâunion indissoluble entre deux ĂȘtres strictement polaires, union qui assurera leur intĂ©gration dans le sein de lâAbsolu. Comme le dit Saint-Paul : « NĂ©anmoins, nâest dans le Seigneur ni la femme sans lâhomme, ni lâhomme sans la femme ». La vision dâune telle idylle a hantĂ© les esprits les plus Ă©levĂ©s pendant des milliers dâannĂ©es. Nous la trouvons dans lâamour platonique, base de lâidylle singuliĂšre dans les mythes de lâandrogyne ; dâOrphĂ©e et Eurydice ; de Pygmalion et GalatĂ©e⊠Câest Ă cela quâaspire le coeur humain qui verse des pleurs en secret sur sa grande solitude. Cette forme de relation amoureuse est le but essentiel du travail Ă©sotĂ©rique. VoilĂ cet amour qui va unir lâhomme Ă un ĂȘtre qui est unique pour lui : la Soeur-Epouse, la gloire de lâhomme, comme lui est la gloire de Dieu. Etant entrĂ© dans la lumiĂšre du Tabor, non plus deux, mais un, buvant Ă la fontaine de lâAmour vrai, le transfigurĂ© : le conquĂ©rant de la Mort. [âŠ] Le principe de lâintervention de la Femme se retrouve Ă TOUTES) les pĂ©riodes cruciales de lâHistoire. Les pĂ©riodes oĂč le rĂŽle ennoblissant de la femme dans la vie de la sociĂ©tĂ© humaine sâest effacĂ©, sont marquĂ©es par un relĂąchement de la
morale et des maniĂšres, exprimĂ© en particulier par un goĂ»t pour le rĂ©alisme portĂ© Ă ses limites extrĂȘmes. Aujourdâhui, les relations humaines souffrent dâune rĂ©elle distorsion dans le rĂŽle innĂ© que la femme est destinĂ©e Ă jouer aux cĂŽtĂ©s de lâhomme : au lieu dâĂȘtre la force active dans ces relations, le complĂ©ment inspirant et fĂ©cond de lâhomme, la femme a tendance Ă suivre un chemin parallĂšle qui ne lui permet plus dâexercer sa propre vocation crĂ©atrice. [âŠ] Lâhomme et la femme ont formĂ© jadis, dans des corps sĂ©parĂ©s, un seul ĂȘtre spirituel dotĂ© dâune conscience unique du Soi rĂ©el, lâĂtre dĂ©crit dans le mythe de lâAndrogyne. Le Moi incomplet de la PersonnalitĂ©, inachevĂ© et sans force, erre dans la vie sans foi et sans affection vraie. Il va dâerreur en erreur, de faiblesse en faiblesse, et de mensonge en mensonge. Prisonnier - peut-ĂȘtre volontaire - mais prisonnier tout de mĂȘme- lâhomme ne fait pas ce quâil veut dans la vie, il fait ce quâil dĂ©teste, en obĂ©issant aveuglĂ©ment Ă une « mĂ©canicitĂ© » diabolique qui, sous ses trois aspects : crainte, faim et sexualitĂ©, gouverne sa vie. Cette existence est purement factice et nâa rien de rĂ©el, exceptĂ© la possibilitĂ© dâune Ă©volution - qui demeure latente et qui est lâobjectif des Ă©tudes et du travail Ă©sotĂ©riques. Ă part ce germe tout, dans la vie extĂ©rieure, est fondĂ© sur des mensonges. [3] [âŠ] Si la Chute est une consĂ©quence directe de lâidentification avec le « Moi » par la personnalitĂ©, (lâesprit du prĂ©dateur, lâĂ©tat de dĂ©gradation de lâADN), et si la solitude des ĂȘtres polaires sĂ©parĂ©s par la Chute est source de faiblesse dans les humains qui de cette maniĂšre sont devenus mortels, le retour Ă lâUnitĂ© devrait ĂȘtre une source intarissable de nouvelles Ă©nergies. Ces Ă©nergies sont nĂ©cessaires Ă lâhomme, et pour restaurer lâĂ©quilibre dangereusement compromis de la vie
publique et privĂ©e actuelle, il doit aller les chercher. Cependant, ce retour Ă lâunitĂ© parfaite des ĂȘtres polaires nâest pas accordĂ© libĂ©ralement. Il est le privilĂšge exclusif de ceux qui ont franchi, ou sont prĂȘts Ă franchir, le DeuxiĂšme Seuil de la Voie. Câest par la rĂ©alisation de lâunitĂ© totalement indivisible de leur « Moi » rĂ©el par deux individualitĂ©s polaires arrivĂ©es Ă la DeuxiĂšme Naissance, que le pĂ©chĂ© originel peut et doit ĂȘtre rachetĂ©. [âŠ] LâAmour Objectif ne peut ĂȘtre atteint ici â bas, dans lâexistence humaine, que par sa complĂšte et vivifiante manifestation au temps de la DeuxiĂšme Naissance. LâAmour Courtois, illustrĂ© dans les Histoires du Graal, est alors le prĂ©curseur de lâAmour Objectif. LâAmour Courtois est la raison dâĂȘtre du couple dâĂȘtres polaires : pour le Chevalier et pour la Dame de ses PensĂ©es. Sans lui, leur polaritĂ© demeure spirituellement stĂ©rile, et ils retombent dans lâĂ©tat ordinaire. La pratique de lâAmour Courtois exige sacrifices et exploits. Ce sont des Ă©preuves. Pour ceux qui les surmontent, lâeffet salutaire de la Gnose est doublĂ© LâAmour Objectif ne peut ĂȘtre atteint ici â bas, dans lâexistence humaine, que par sa complĂšte et vivifiante manifestation au temps de la DeuxiĂšme Naissance. LâAmour Courtois, illustrĂ© dans les Histoires du Graal, est alors le prĂ©curseur de lâAmour Objectif. LâAmour Courtois du Chevalier et de sa Dame les place immĂ©diatement sur la quatriĂšme marche de lâEscalier, oĂč leurs exploits et sacrifices vont hĂąter leur progrĂšs, pourvu que la Gnose, ayant Ă©tĂ© suffisamment bien assimilĂ©e par eux produise ses fruits, câest-Ă -dire le travail pour la Cause. Le temps dont ils ont besoin pour ce faire leur sera accordĂ©, mais ils ne resteront sur cette marche que sâils brĂ»lent dâAmour [4].
LâAmour courtois ne peut ĂȘtre effectif que sâil est fondĂ© sur une Gnose vĂ©cue. Car seule la Gnose vĂ©cue entre dans le coeur et peut assurer au Chevalier le discernement qui lâempĂȘchera de se perdre dans la jungle du raisonnement et du sentiment purement humains. LâAmour courtois est lâexpression et lâinstrument du travail sur ce que MOURAVIEFF a nommĂ© la CinquiĂšme Voie : la sublime voie Ă©sotĂ©rique qui permet dâacquĂ©rir les attributs caractĂ©ristiques du monde Ă venir. Il nâest pas donnĂ© Ă tout le monde dâaborder cette CinquiĂšme Voie. Elle nâexclut dâailleurs pas les quatre autres. La grande erreur, dans des Ă©tudes Ă©sotĂ©riques qui mĂšnent inĂ©vitablement Ă lâĂ©chec, câest de sâembarquer sur une voie qui dĂ©passe ses propres capacitĂ©s. La Tradition nous en avertit. Cette surestimation de ses forces par lâaspirant est un piĂšge classique tendu aux les gens de bonne foi, dans lequel ils pensent pouvoir rencontrer le succĂšs en suivant lâune des autres Voies qui ne forcent pas le disciple Ă passer immĂ©diatement par lâĂpreuve du Feu. Aujourdâhui, tout comme au temps de lâĂ©mergence des rĂ©cits du Graal, lâAmour courtois reste, par dĂ©finition, la condition indispensable au succĂšs du Couple Polaire aspirant Ă lâAmour vivifiant des Mondes supĂ©rieurs, objectif de la Queste du Saint Graal. Alors, et alors seulement, lâaspirant aura accĂšs Ă lâancienne Technologie secrĂšte qui amĂšne Ă la maĂźtrise de lâEspace et du Temps, ainsi que de la MatiĂšre : la Pierre philosophale : lâAscension. Je suis devenu(e) Un/Une : CrĂ©ateur/-trice de mondes.
NOTES
[1]: FULCANELLI, Les Demeures Philosophales, tome I, p. 181. [2]: MOURAVIEFF, Boris, Gnosis : Ătudes et Commentaires sur la Tradition ĂsotĂ©rique de lâOrthodoxie dâOrient [3]: MOURAVIEFF, Gnosis I, pp. xxv-xxvi, 225-227. [4]: Ibid.
ĂPILOGUE
Nous avons terminĂ© notre tour de la question de La Grande ĂtrangetĂ© des Dimensions, DensitĂ©s, et le Processus des rapts extraterrestres. Nous avons vu que le phĂ©nomĂšne nâest pas nouveau mais quâil remonte Ă des milliers dâannĂ©es. Ces Ă©vĂ©nements pourraient ĂȘtre dĂ©crits de façon plus correcte comme nos interactions avec nos gardiens, ces ĂȘtres qui nous Ă©lĂšvent comme des bovins, des moutons ou des poulets pour pouvoir se nourrir de nos Ă©motions nĂ©gatives. Ces ĂȘtres sont les habitants de ce que la physique moderne nomme hyperdimensions, des dimensions que nous ne pouvons ni voir ni toucher, mais qui ont nĂ©anmoins une existence physique. Lâexistence de ces ĂȘtres, leur pouvoir sur nous, leur expĂ©rience, est le « sujet des sujets » pour Don Juan Matus. Câest le « secret ultime » du Consortium qui gouverne notre planĂšte dâaprĂšs les CassiopĂ©ens. Autrement dit, nous ne sommes pas au sommet de la chaĂźne alimentaire. VoilĂ un coup Ă lâĂ©go de gens qui sont Ă©levĂ©s dans la croyance que nous sommes le centre de lâunivers et faits Ă lâimage de Dieu. Ainsi que nous lâavons vu, cet aphorisme monothĂ©iste vieux comme le monde est sans doute vrai. Câest notre comprĂ©hension de Dieu qui doit changer.
Autres ouvrages de Laura Knight-Jadczyk parus en français aux Ăditions Pilule Rouge
LâOnde - Tome 1 LâOnde - Tome 2 LâOnde - Tome 3 LâOnde - Tome 4 LâOnde - Tome 5 Lâhistoire secrĂšte du monde, un fil dâArianne 11 septembre, lâultime vĂ©ritĂ© par Laura KNIGHT-JADCZYK et Joe QUINN
Autres ouvrages aux Ăditions Pilule Rouge :
PonĂ©rologie politique par Andrew ĆOBACZEWSKI, prĂ©facĂ© par Laura KNIGHT-JADCZYK Le Mythe vĂ©gĂ©tarien par Lierre KEITH En anglais :
The Secret History of the World, and How to Get Out Alive Vol. 1 The Secret History of the World, Comets and the Horns of Moses Vol. 2 The High Strangeness of Dimensions, Densities and the Process of Alien Abduction The Wave - Volumes 1-8 Amazing Grace
The Noah Syndrome The Apocalypse: Comets, Asteroids and Cyclical Catastrophes 9-11, The Ultimate Truth, by Laura KNIGHT-JADCZYK and Joe QUINN Political Ponerology, by Andrew ĆOBACZEWSKI, preface by Laura KNIGHT-JADCZYK En espagnol :
La historia secreta del mundo, y cĂłmo salir de Ă©l con vida El 11-S: la verdad definitiva, de Laura Knight-Jadczyk y Joe Quinn La Onda, tomo 1 - Montando la Onda La Onda, tomo 2 - Los hackers del alma La ponerologĂa polĂtica, de Andrew ĆOBACZEWSKI En allemand :
Die Welle, Buch 1-5 Politische Ponerologie, Andrew ĆOBACZEWSKI, prĂ©face par Laura KNIGHT-JADCZYK
Quiconque veut comprendre la rĂ©alitĂ© hyper-dimensionnelle qui âabriteâ de prĂ©tendus extraterrestres a tout intĂ©rĂȘt Ă se procurer cet ouvrage. GrĂące Ă une recherche pointue et un dĂ©sir insatiable de rassembler âles faitsâ, Laura Knight-Jadczyk dĂ©mystifie les enlĂšvements et la manipulation mentale pratiquĂ©s par des âextraterrestresâ. Elle sâattache aussi Ă dĂ©montrer comment les âĂ©lites dirigeantesâ de notre planĂšte se sont laissĂ©es et se laissent toujours influencer par le systĂšme de contrĂŽle Ă la âMatrixâ qui sous-tend notre rĂ©alitĂ©. Ceux qui nâont pas peur de la vĂ©ritĂ©, ceux qui souhaitent connaĂźtre ce qui se cache derriĂšre la conspiration Stargate, apprĂ©cieront ce livre Ă sa juste valeur.
Laura Knight-Jadczyk