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Sommaire Sommaire ...........................................................................................................................................1
RESUME DU PROJET ............................................................................................................................2
1) GENESE ET CONTEXTE DU PROJET ...............................................................................................3
a) Le concept ...............................................................................................................................3
b) Un projet innovant ..................................................................................................................3
c) Forme juridique .......................................................................................................................4
d) Accompagnement ...................................................................................................................4
2) LES MOYENS HUMAINS NECESSAIRES ..........................................................................................4
3) ANALYSE DU MARCHE .................................................................................................................5
a) Présentation du marché ..........................................................................................................5
b) La concurrence ........................................................................................................................6
c) Barrières à l’entrée ..................................................................................................................7
d) LES PRODUITS ET SERVICES OFFERTS .......................................................................................7
e) Les fournisseurs ......................................................................................................................8
f) Les risques ..............................................................................................................................9
g) Les prix ....................................................................................................................................9
4) LA STRATEGIE GLOBALE ............................................................................................................. 10
a) APPROCHE MARKETING ........................................................................................................ 10
b) LA STRATEGIE COMMERCIALE ............................................................................................... 11
5) ANALYSE FINANCIERE DE L’ENTREPRISE..................................................................................... 12
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RESUME DU PROJET L’agroalimentaire de manière générale
représente un secteur très lucratif dans le monde, une
aubaine pour les jeunes entrepreneurs car l’offre est
de plus en plus inferieure à la demande. La
satisfaction des besoins biologiques par l’Homme
comme manger se fait de façon constante et répétée.
Cependant, les habitudes alimentaires des gens
changent, leurs besoins aussi ; et dans un univers où
les personnes n’ont plus assez de temps pour faire eux-mêmes la cuisine, les entrepreneurs
doivent prendre en compte ces facteurs déterminants et offrir un service ou un produit qui
s’adapte au mieux à ces changements.
Etant dans un univers estudiantin, nous avons pu nous rendre compte que la majorité
des étudiants préfèrent s’alimenter à l’extérieur ce qui représente une véritable manne financière
dans une ville comme SOA (du fait de la présence de l’Université de Yaoundé II), qui accueille
en moyenne cinq mille (5.000) étudiants par jour. Les restaurants sénégalais, très prisés les
étudiants au vu des prix attractifs qu’ils proposent, et surtout du semblant de « BOBOCITE »
qu’ils procurent aux étudiants, passent très bien dans ce genre de milieu. La demande étant
supérieure à l’offre, une installation dans cet environnement ne représente donc pas un risque
compte tenu du fait que les étudiants sont aussi très attirés par la nouveauté.
Bien évidemment, il nous a fallu étudier le marché sur lequel nous comptons nous
implanter pour nous rendre compte que le segment de marché que nous comptons investir est
porteur et encore peu concurrentiel. Il s’agira donc pour les étudiants d’avoir des menus choisis
par eux, à consommer sur place ou à emporter. Ils auront la possibilité d’accompagner leurs
repas par des boissons non alcoolisées comme les jus brasseries ou les jus naturels faits à base
de fruits.
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1) GENESE ET CONTEXTE DU PROJET
a) Le concept L’idée de créer notre entreprise vient du constat que la population de SOA est une
population active et en manque de temps, car passant le plus clair de son temps au campus (pour
les étudiants). Notre idée a pris corps après observation du fait que celle-ci n’avait pas le temps
de cuisiner. Il a donc fallu étudier leurs habitudes alimentaires et se rendre compte que celle-ci
préférait plus s’alimenter dans les restaurants. De par la forte densité de sa population, la ville
de SOA est un secteur stratégique pour le lancement de notre projet.
En effet, « LA NYAMA », qui vient de l’argot et qui signifie « LA NOURRITURE » est
un projet d’envergure dans la restauration en milieu estudiantin. Il s’agira de se déployer dans
toutes les universités qui présentent un intérêt stratégique du point de vue de la population et
des moyens financiers de celle-ci, avec SOA comme base-test pour notre projet. Comme vu
précédemment, le projet « LA NYAMA » s’inscrit dans un contexte où l’opportunité est
justifiée, l’environnement favorable et ou tous les voyants sont au vert. Le porteur du projet,
NGOUME FRANCOIS, lui-même étudiant à SOA et adepte de ces milieux, a pu observer leur
fonctionnement, leur organisation et s’est rendu compte que bien que les différents restaurants
présents étaient toujours opérationnels, ils ne satisfaisaient pas toute la demande journalière. Et
en observant le nombre de personnes entrants et sortants de ces endroits, y compris les sommes
qu’elles étaient prêtes à débourser, il s’est rendu compte du potentiel financier que représentait
une telle affaire.
b) Un projet innovant A la différence des autres restaurants sénégalais classiques, « LA NYAMA » se veut
novateur dans ce sens où il veut développer une chaine de restaurants dans toutes les universités
(publiques et/ou privées) qui présentent un intérêt financier du point de vue de la population,
sous cette marque. Un seul logo, un seul nom, une couleur uniforme, mais plusieurs filiales.
Nous avons donc décidé de privilégier la création d’un concept simple et innovant en utilisant
des produits connus.
C’est dans ce sens que SOA est pris pour tester l’idée car l’environnement est connu, les
mentalités et le marché aussi. En cas de succès, l’extension de la marque serait opportune, car
l’offre dans ce secteur est encore très faible. « TCHOP ET YAMO » aujourd’hui représente à
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dessein ce que nous comptons réaliser, de même que « CHEZ WOURY », une chaine de
restaurants sénégalais qui rencontrent un franc-succès et qui s’est implanté à Essos, Château et
à Ecole de Police.
c) Forme juridique « LA NYAMA » sera une société par actions simplifiées (SAS)
FICHE JURIDIQUE DE L’ENTREPRISE
Forme de la société : SAS
Durée de vie de la société : 99 ans
Raison sociale : commerce (restauration)
Objet : projet de création d’un restaurant pour les étudiants
Capital social : deux (2) millions
Associé : un (1)
Effectif : huit(8)
Siege social : SOA
d) Accompagnement Pour implémenter notre idée, nous nous sommes rapprochés du SKEP (Smart Koiyi
Entrepreneurship Program) qui est une association à but non lucratif, qui met à la disposition
des porteurs de projet, un ensemble d’experts pour les aider dans la matérialisation et la
réalisation de l’étude de faisabilité ainsi que les modélisations financières du projet mais
également d’HANNIBAL CONSULTING qui est un cabinet d’expertise. Dans ce sens, nous
avons bénéficié de deux mois de formation intense pour nous préparer à être des entrepreneurs
dans le cadre de la première Edition du BATAILLON DES ENTREPRENEURS
PANAFRICAINS (BEP-I) avec une dizaine d’autres porteurs de projet.
2) LES MOYENS HUMAINS NECESSAIRES
Nous l’avons vu, l’idée provient d’un jeune étudiant dynamique et passionné par
l’entrepreneuriat. Pour constituer son équipe, car entrant dans un secteur où il manque
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d’expérience, il a fait appel à Madame AKPWE MVOGO JOSEPHINE, diplômée d’une
école d’hôtellerie, et propriétaire d’un restaurant pour le conseiller et l’aider à rendre viable son
projet. Bien que le secteur soit pour le moment peu concurrentiel, la qualité du service offert
est une donnée non négligeable pour fidéliser le client.
Il a donc été convenu d’une équipe de huit (8) employés, plus le gérant. La répartition se
fait comme suit :
Le gérant
Deux (2) cuisiniers
Six (6) serveurs.
Compte tenu des horaires (7h-22h), il a été décidé de constituer deux équipes
(comprenant chacune un cuisinier et trois serveurs) qui travailleront à mi-temps. La première
équipe travaillera de 7h à 14h et la seconde de 14h à 22h. L’équipe du matin sera en outre
chargée d’apprêter le matériel nécessaire pour la cuisine sous la supervision du cuisinier, avant
l’heure d’ouverture du restaurant (8h). Pour remplir nos tâches ; nous aurons également besoin
de deux tacherons ; un qui s’occupera de puiser de l’eau et l’autre de vider les poubelles et du
ménage.
3) ANALYSE DU MARCHE
a) Présentation du marché
Le marché qui nous intéresse ici est celui de la restauration
estudiantine rapide en proposant des menus à consommer sur
place ou à emporter. La cible principale est donc les étudiants
résidents ou non dans la ville, mais aussi les autochtones et les
travailleurs qui sont aussi une cible de choix du fait de leur capital
financier important. Bien qu’en majorité de classe moyenne, cette
population n’hésite jamais à se faire plaisir, comme le démontre le nombre de personnes qui
consomment chaque jour dans ces restaurants, du fait des prix proposés qui sont à la portée du
camerounais moyen. Nous nous intéressons donc à tous ces étudiants la qui peuvent débourser
ces sommes pour venir s’alimenter chez nous.
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b) La concurrence Comme nous l’avons déjà révélé plus haut, les restaurants qui proposent leurs services à la
population n’arrivent pas à satisfaire à la demande toujours plus importante des étudiants. En
effet, l’offre est assez limitée, contrairement à la demande qui elle, grandit chaque jour. Pour
cause, une présence minimale des restaurants dans cette zone, ce qui fait en sorte que la plupart
des étudiants ne sont pas satisfaits et ça les amène à consommer d’autres produits.
L’environnement est aujourd’hui tel que plusieurs restaurants peuvent s’implanter, cela n’aura
aucune incidence sur les ventes des uns et des autres.
CONCURRENTS DIRECTS
Les concurrents directs sont ceux qui disposent de locaux et se situent à l’extérieur du campus.
Ils ont les mêmes horaires (8h-22h) et approximativement les mêmes menus et les mêmes prix
que nous.
CONCURRENTS INDIRECTS
Les concurrents indirects ici représentent les petits fastfoods, les cafeterias et les vendeurs de
pain chargé et beignets, les restaurants qui vendent le eru ou du riz viande et/ou poisson qui
peuvent constituer une alternative à notre produit. En effet, ils sont beaucoup moins chers, mais
avec une restriction dans la gamme de produits qu’ils proposent, ils sont présents à l’intérieur
LE SAOUDIEN LA
REFEERENCE
LES DIFFERENTES
CAFETARIATS
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du campus mais avec comme inconvénient majeur qu’ils sont ouverts de 9h à 17h, ce qui
représente 5h30 de moins d’ouverture que nous. De même, nos plats sont plus consistants.
c) Barrières à l’entrée
Les barrières à l’entrée ici peuvent se résumer à trois choses :
L’inexpérience du porteur de projet dans la restauration. Mais une
alternative a été trouvée grâce à Madame AKPWE JOSEPHINE qui
nous fera gré de son expérience.
L’emplacement du restaurant : le restaurant peut ne pas être
suffisamment bien situé ce qui réduira sa visibilité et rendra son accès
difficile, ce qui sera susceptible de décourager les consommateurs. Il
faudra donc pour cela un bon emplacement en face du campus, et en
bordure de route pour garantir le succès du projet.
Le prix des produits proposés : les prix fixés pour nos produits ne sont
pas à la portée de tous les étudiants. Cet élitisme peut amener une bonne
partie de la clientèle à aller consommer des produits alternatifs (eru, riz
sauce viande, beignets bouillie haricots etc…
d) LES PRODUITS ET SERVICES OFFERTS
Le projet que nous proposons aujourd’hui
répond à un besoin réel ; celui de
l’alimentation. En effet, les êtres humains
devant répondre à un besoin biologique
en se nourrissant, ceux-ci sont donc
conditionnés à le faire chaque jour et
parfois plusieurs fois. Dans cette optique, « LA NYAMA » met à la disposition des
consommateurs une gamme variée de produits alimentaires allant du beefsteak au rognon, du
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riz sénégalais au poulet, des œufs spaghettis au sauté de pommes etc… Tous ces plats
s’accompagneront notamment du plantain fris ou des frites de pommes. Pour bien digérer, les
consommateurs se verront proposer des jus naturels fait maison à base de fruits, et des jus
brasseries, mais également du kossam ou dakeré (kossam avec du mil).
Pour cela, il faudra pour un départ faire un achat intégral de marchandises et les conserver, en
renouvelant le stock journalier des produits qui viendront à finir comme la viande par exemple.
Diagramme estimatif du modèle devant être utilisé
e) Les fournisseurs
Pour faire tourner l’activité, il faudra faire des achats journaliers en se ravitaillant chez nos
différents fournisseurs. En effet, compte tenu du fait que le marché de SOA n’est pas assez
fourni, il faudra aller faire des achats au marché du Mfoundi, en face de la CAMAIR. Le marché
le plus proche est celui d’Etoudi, mais compte tenu des horaires où seront effectués les achats
(4h-5h), les risques d’agression sont assez élevés. Ces fournisseurs seront payés argent
comptant.
Il faudra donc maitriser les canaux de vente à bas prix et développer un partenariat avec un
taximan qui sera chargé du transport quotidien de nos marchandises. Mais à long terme, l’achat
Connaissance Clients
A qui vendre ? Comment vendre ?
Comment vendre ?
Ou vendre ?
Etudiants
diants Autochtones
et
travailleurs
Cuisiniers
Serveurs
SOA
Autres
universités
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d’un véhicule (taxi) pour nos livraisons personnelles surtout après l’extension sera fortement
envisagé et même opportun.
Pour le matériel de cuisine (assiettes, couverts etc…), il sera fait appel à un grossiste local.
f) Les risques Les risques techniques qui pourront être énumérés ici sont d’ordre externe. C’est par exemple
le cas d’une coupure d’électricité qui surviendrait alors même qu’une grande quantité de
nourriture serait stockée. De même, il peut aussi s’agir des vols et/ou agressions, ou alors des
accidents qui pourraient survenir lors du transport des marchandises.
g) Les prix Le principe des restaurants sénégalais est que les prix varient en fonction du plat. Avec les
produits que nous proposons, les prix oscillent entre 700 FCFA et 1800 FCFA. Partis sur
l’hypothèse que le prix moyen d’un plat serait de 1000 FCFA, nous sommes allés sur une base
hypothétique de soixante-quinze (75) CLIENTS par jour dans le pire des cas les trois (3)
premiers mois, et de cent (100) CLIENTS le reste des mois.
Avec de telles hypothèses, qui ne nous semblent pas exagérer, après déduction des charges,
l’entreprise ne connaitra pas de problèmes de trésorerie.
Toutefois, tout projet aussi bon soit-il, présente toujours un risque, car entre la théorie et la
pratique, la frontière est grande. Il peut arriver que les prévisions qui ont été données soient
faussées à cause de la résistance du consommateur au produit ou que les données aient été
majorées dans un soupçon d’optimisme, ce qui peut retarder le remboursement des
investisseurs, ou le paiement des employés et même du matériel. Mais, étant dans un univers
ou le consommateur doit toujours se nourrir, nos prévisions sembles juste au regard des
différentes études menées et des prospections réalisées. L’investisseur, conscient du risque qu’il
prend en y investissant son argent, devrait toujours s’attendre aux aléas de toutes natures.
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4) LA STRATEGIE GLOBALE a) APPROCHE MARKETING
Dans le domaine de la restauration, un accent particulier est
mis sur le marketing.
Les entreprises alimentaires recherchent des moyens de plus
en plus sophistiqués pour attirer une grande clientèle afin
d’accroitre la rentabilité de l’entreprise. Il faut donc voir ce qui marche ailleurs et le copier en
le réajustant au contexte ou innover pour marquer la différence avec les autres.
Pour cela, « LA NYAMA » ne sera pas en reste. Il s’agira pour elle de définir des stratégies
claires en mettant l’accent sur le confort, le bien être, la célérité dans l’exécution des taches.
Notre entreprise fera du CLIENT, le ROI. Plus que des mots, ce sera un symbole, la VISION
de notre entreprise car le client est au centre de notre affaire et si celui-ci se sent bien, il y a de
fortes chances de le fidéliser.
De même, « LA NYAMA » se propose d’ouvrir un espace « amusement » pour les grandes
soirées de ligue des champions et les matchs du week-end qui réunissent souvent du monde, ce
qui constitue de potentiels clients.
L’entreprise mise également sur une vaste communication marketing sur les réseaux sociaux
avec la stratégie du buzz avant l’ouverture du restaurant et continuer après avec une stratégie
virale et agressive, de même que le marketing relationnel du fait du service en étant proche
du client et en lui demandant son avis sur ce qu’il aime et ce qui pourrait être amélioré. Il pourra
donc revenir (fidélisation) ou faire un excellent feedback sur la qualité du service en proposant
notre restaurant à ses connaissances (marketing relationnel). Mais également une stratégie
de différenciation en introduisant les mets locaux dans les menus et voir la réaction du
consommateur face a cela.
Pour son lancement, l’entreprise fera moins(-) 50 FCFA de prix promotionnel sur tous les
plats vendus pendant un mois, ce qui garantit plus de clientèle et fera connaitre la structure.
Cela n’aura aucune incidence sur le cout total du fait qu’on récupèrera cet argent ailleurs (sur
la mayonnaise par exemple).
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b) LA STRATEGIE COMMERCIALE
Pour s’affirmer comme le numéro un dans la restauration (à petits prix) au Cameroun, « LA
NYAMA » se doit d’être compétitif et développer des stratégies qui permettront de fidéliser le
consommateur. Dans un univers dominé en majorité par les sénégalais (musulmans), il faudra
se distinguer en faisant le « made in Cameroun des restaurants Sénégalais ».
CANAUX DE DISTRIBUTION
Le moyen utilisé pour vendre nos produits est la vente directe c’est-à-dire que
les produits seront vendus sur place dans notre emplacement à SOA. Le client
pourra choisir un menu à consommer sur place ou à emporter. Le restaurant
sera ouvert de 8h à 22h donc une liberté est laissée au consommateur sur les
horaires qu’il choisira pour venir s’alimenter.
De même, l’entreprise se propose aussi d’offrir aux consommateurs un service
de livraison à domicile de leurs repas. De la sorte, le client n’aura pas besoin
de se déplacer pour être livré.
STRATEGIE MOYEN ET LONG TERME
Une fois que l’entreprise sera stable et les caisses seront suffisamment renflouées, l’ouverture
d’un second restaurant, ainsi que d’un troisième etc… devra être envisagé. L’objectif étant
d’étendre la marque « LA NYAMA » dans les universités stratégiques (à forte population et à
fort revenu) à Yaoundé dans les deux(O2) ans et sur l’étendue du territoire dans les cinq(O5)
ans.
L’entreprise mise sur ses serveurs (filles surtout) pour booster sa clientèle. De même, elle se
propose de donner des cartes de fidélité aux clients qui consomment régulièrement afin que
ceux-ci bénéficient d’une baisse des prix ou d’un plat gratuit (mensuel).
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5) ANALYSE FINANCIERE DE L’ENTREPRISE L’analyse financière de l’entreprise ici correspond aux différentes opérations qui devront être
opérées au sein de l’entreprise. Concrètement, elle correspond à la détermination du capital de
base qu’il faudra pour démarrer l’activité. Elle retrace aussi l’ensemble des opérations de
trésorerie (encaissements et de décaissements) qui devront être opérées au cours d’une année,
avec une simulation des bénéfices à réaliser.