BROCHURE - Theaterfestwochen Zürich 2009
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THEATERFESTWOCHEN ZÜRICH200913 – 22 juin 2009 | Schauspielhaus Zurich
Theaterfestwochen Zürich 2009 | 13 – 22 juin 2009 | Schauspielhaus Zurich | Schauspielhaus | Location par téléphone et
abonnements de 10 à 19 heures Ouverture des caisses une heure avant la représentation | Rämistrasse 34 | 8001 Zurich
01 265 58 58 | Informations sur les dates des spectacles | tél. 01 265 57 60 | www.schauspielhaus.ch
Page 2 La comédie à succès de l’américain
Ken Ludwig « Lend me a Tenor »,
en version allemande Otello darf
nicht platzen (Otello doit avoir lieu)
Page 3 Le Staatstheater Cottbus avec
une version scénique du roman
de Theodor Fontane Effi Briest
Page 4 Une mise en scène enjouée de Pierre
Carlet de la comédie de Marivaux
Arlequin poli par l’amour
Page 5 « Steps #8 » avec le Nederlands
Dans Theater III avec Meryl Tankard
Merryland
Page 6 Brunch Kurt Weill
avec l’actrice et chanteuse Gisela May
Page 7 Die Kinder des Teufels
De Felix Mittlerer
Page 8 Agenda
Les représentations du Schauspielhaus
en août /septembre 2009
AGENDAReprésentations du Schauspielhaus
en août / septembre 2009
Ve 1.8, 20 h Schauspielhaus, Foyer : « rouge, frise & acide 7 »
New Jazzline Gig avec Christophe Baumann & Jacques Siron.
Sa 9.8, 19 h 30 Schauspielhaus : Singspiel de Paul Burkhard
« Feuerwerk » avec la Musikalische Komödie Leipzig
Lu 11.8 / Je 13.8, 19 h 30 Schauspielhaus : Wie es euch gefällt de William Shakespeare,
adaptation de Thomas Brasch, Staatstheater Cottbus.
Di 30.8, 10 h 30 Schauspielhaus Kinder des Teufels de Felix Mitterer,
Württembergische Landesbühne, Esslingen.
Ve 5.9, 20 h Schauspielhaus, Foyer : Hip Hop Jazz
de Hollande avec Saskia Laroo & Band.
Me 10.9, 20 h Schauspielhaus : Macbeth by William Shakespeare.
American Drama Group Europe / TNT Theatre Britain.
Sa 13.9, 19 h 30 / Di 14.9, 14 h Schauspielhaus : Woyzeck Fragments dramatiques
de Georg Büchner ; Schauspiel Frankfurt.
Di 14.9, 16 h / 17 h 30 / 20 h Schauspielhaus : Film-Vortrag-Theaterrevue Lift.
Groupe de théâtre : Die Regierung�
Lu 15.9 / Ma 16.9, à 20 h Schauspielhaus : « Yelemba» Percussions,
chants et danses de la Côte d’Ivoire, Agro-Pfingsten
Représentations d’organisateurs
privés au Schauspielhaus:
Me 24.9, 20 h Theater am Hechtplatz : « vis-à-vis »,
le nouveau programme de la compagnie de danse zurichoise « Movers »
Ve 26.9, 20 h Theater an der Winkelwiese: « The best of »,
show musical et dansant avec le studio de danse Borak.
Autres théâtres zurichois
Kellertheater:
Du 20 au 23.9 à 20 h 30
ainsi que Di à 17 h 30 Revue musicale,
Théâtre de marionnettes au Hechtplatz:
Ve 19.9, 20 h 15 / Me 24.9, 14 h 30 « Flomi » Marionnettes du Tösstal Theater an der Limmat :
Sa 27.9 / Di 28.9 à 20 h 15 « Pepper », théâtre musical selon l’album des Beatles
« Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band » Theater am Hechtplatz:
Ve 26.9, 20 h 15 « Eine fantastische Reise ». Avec le Trio Pan e Tone
Theater am Hechtplatz :
Sa 27.9, 20 h 30 « Blaseck – Salat und Hausmusik »
Theater am Hechtplatz :
Di 28.9, 10 h 30 Matinée d’histoires
Theater an der Winkelwiese:
Me 24.9 / Ve 26.9 / Sa 27.9, à 20 h 15 « Fremdling, du bist ein Narr », avec Jürgen Klein
AGENDAReprésentations du Schauspielhaus
en août / septembre 2009
Ve 1.8, 20 h
Sa 9.8, 19 h 30
Lu 11.8 / Je 13.8, 19 h 30
Di 30.8, 10 h 30
Ve 5.9, 20 h
Me 10.9, 20 h
Sa 13.9, 19 h 30 / Di 14.9, 14 h
Di 14.9, 16 h / 17 h 30 / 20 h.
Lu 15.9 / Ma 16.9, à 20 h
Représentations d’organisateurs
privés au Schauspielhaus :
Me 24.9, 20 h
Ve 26.9, 20 h
Autres théâtres zurichois
Kellertheater:
Du 20 au 23.9 à 20 h 30
ainsi que Di à 17 h 30
Ve 19.9, 20 h 15 / Me 24.9, 14 h 30
Sa 27.9 / Di 28.9 à 20 h 15
Ve 26.9, 20 h 15
Sa 27.9, 20 h 30
Di 28.9, 10 h 30
Me 24.9 / Ve 26.9 / Sa 27.9, à 20 h 15
TABLE DES MATIÈRES
Schauspielhaus Ve 13.6, 19 h 30 / Di 15.6, 14 h 30 Prix des places : de CHF 13.- à CHF 40.- Otello darf nicht platzen
| comédie de l’américain Ken Ludwig titre original : « Lend me a Tenor » (Otello doit avoir lieu) Traduction
allemande de Ursula Lyn ; mise en scène : Lutz Hochstraate ; décors : Bernd Dieter Müller ; costumes : Annette
Zepperitz Avec les acteurs : Max : Werner Friedl, Maggie (l’amie de Max) : Britta Bayer, Sounders (directeur de
l’Opéra de Cleveland) : Klaus Martin Heim ; Tito Merelli : Peter Piki ; Maria (l’épouse de Merelli) : Hanna Rohrer ;
Page : Sebastian Knözinger ; Diana (cantatrice) : Alexandra Tichy ; Julia (présidente des amis de l’opéra) : Traude
Gmeinböck
Le cauchemar de chaque directeur : le protagoniste
du rôle principal ne se présente pas pour la première.
Avec un cachet mirobolant, le directeur du théâtre de
la ville de Cleveland a engagé pour la représentation
d’Otello le ténor des ténors Tito Merelli. Mais le grand
Tito ne vient pas. Est-il mort ? Mais « Otello » doit avoir
lieu à tout prix. Il s’agit de trouver rapidement un
remplaçant. Le directeur le trouve en la personne de
Max, son bras droit. Max profite de l’aubaine et décide
de mettre le paquet. Il n’y a pas seulement le grand rôle
sur scène, il y a également la femme de Merelli, qui a
abandonné son mari il y a peu. Dans le costume et sous
le grimage d’Otello, et de surcroît en bonne condition
vocale, il ressemble à s’y méprendre à la grande vedette.
Mais ce qui devait arriver arrive : celui qu’on croyait mort
surgit en titubant pour son entrée en scène. Deux Otello
se trouvent face à face, mais lequel est le bon ? Les deux
montent ensemble sur scène pour solliciter les faveurs du
public. Le faux Otello essaie avec beaucoup de ruse de
soustraire le vrai aux applaudissements. Finalement, les
deux se chassent mutuellement de la scène.
Le Landestheater Salzbourg présente cette pièce très vive
et amusante avec Peter Piki et Werner Friedl dans les rôles
d’Otello un et deux. Le metteur en scène Lutz Hochstrasse
parvient à convaincre avec des effets bruyants, mais pas
toujours absurdes. La pièce a été un des grands succès
de la saison écoulée à Salzbourg. Il est permis de rire
sur l’histoire d’arrière-scène la plus drôle des dernières
années.
La comédie à succès de l’américain Ken Ludwig
«Lend me a Tenor », en version allemande
Otello darf nicht platzen L’auteur. américain de 52 ans,
Ken Ludwig de Pennsylvanie, s’est imposé
avec cette pièce comme auteur dramatique. Après
sa création en 1985, la pièce a été nommée « meilleure
comédie de l’année ».
« OTELLO DOIT AVOIR LIEU » « DIE KINDER DES TEUFELS »de Felix Mitterer Une introduction à la pièce
présentée aura lieu au Foyer, 45 minutes avant
le début des représentations.
De 1675 à 1681, le Pays de Salzbourg a été la scène d’un des plus grands procès de
sorcellerie. La figure centrale en était un jeune homme dénommé Jakob Koller, qu’on
accusait de pratiquer la magie noire et de détourner la jeunesse. Il n’a jamais été possible
de mettre la main sur le « sorcier » Zauber-Jackl. Par contre, on a enfermé une bande
d’enfants mendiants qui perturbaient l’ordre social avec leur mendicité et leurs petits
larcins. Ces enfants miséreux ont été contraints par la torture à des « aveux » toujours
Schauspielhaus Ma. 17.6, 18 h, en vente libre Prix des places: de CHF 13.– à 40.– Festwochen-Spezial « Die Kinder
des Teufels » de Felix Mitterer Württembergische Landesbühne, Esslingen Mise en scène : Peter Dolder Décors
et costumes : Eckehard Felix Wegenast Avec Juliane Bacher (Dofferl), Annette Fassnacht (Dionysus), Maike Frank
Lisl, Barbara Troschka (Magdalena Pichlerin), Ralph Hönicke (Kommissar), Christian Koch (Freimann), Hagen Löwe
(Andree Mayer), Hartmut Scheyhing (Schreiber), Patrick Serena (Veit)
Schauspielhaus
Ma. 17.6, 18 h, en vente libre
Prix des places: de CHF 13.– à 40.–
plus terrifiants. Incroyable : finalement 133 enfants ont fini sur les bûchers.
Une terrible histoire retracée dans cette pièce aux allures de documentaire.
Lorsque le dramaturge du « Theater der Jugend » de Munich attire l’attention
de Felix Mitterer sur ce sujet il y a quatre ans, l’auteur lui répondit qu’il
s’agissait là d’un thème horrible. Mais ce sujet provenant de sa proche patrie
l’intéressait et il étudia les documents originaux aux archives d’Etat à Munich
et à Salzbourg. Il y découvrit les misérables témoignages d’une folie pervertie
de l’ordre. Les aveux extorqués qui figurent dans la pièce correspondent aux
procès-verbaux. Cette pièce parle de plusieurs choses : d’abord de l’attitude
de la majorité de la population face au droit, à l’ordre, à la jeunesse et aux
boucs émissaires ; ensuite de l’imagination débridée des enfants ; et enfin,
des destins des enfants mendiants qui existent toujours. Il suffit de penser
aux escadrons de la mort en Amérique latine. Dans cette pièce, Mitterer ne se
limite pas au passé. A l’instar d’Arthur Miller dans la « Chasse aux sorcières »,
il tourne son regard vers l’actualité, à la recherche de boucs émissaires
que l’on peut rendre responsables de sa propre insatisfaction ainsi que des
problèmes économiques.
« EFFI BRIEST »
Schauspielhaus Lu 16 / Me 18.6, 19 h 30 Prix de places: de CHF 13.– à 40.– « Effi Briest » pièce selon Theodor
Fontane, adaptation dramatique Holger Teschke Mise en scène : Christoph Schroth ; décors : Jochen Finke ;
costumes : Gundula Martin Dans le rôle d’Effi Briest : Anne Ratte-Polle ; Baron von Innstetten : Michael Meister ;
Major von Crampas : Daniel Borgwardt ; Mme von Briest : Susann Thiede ; M. von Briest : Horst Rehberg ; Gieshübler :
Wolf-Dieter Lingk et d’autres encore
A la base de cette œuvre littéraire, on trouve un événement
qui s’est réellement passé dans les environs de Berlin en
1886. Un duel avec issue mortelle. La cause en est une
histoire de mariage, d’amour triangulaire, vieille de vingt
ans. Mais ce n’est pas autant le scandale qui intéresse
l’auteur Theodor Fontane, que l’aspiration au bonheur.
Effi, pure « fille de l’air » épouse le baron von Innstetten,
Le Staatstheater Cottbus avec une version scénique
du roman de Theodor Fontane. Le metteur
en scène Holger Teschke a adapté un des textes
les plus importants de la littérature mondiale pour
la scène. Aucune figure féminine de la littérature
romanesque allemande ne l’a autant impressionné
qu’Effi Briest.
un homme plus âgé, très correct et préoccupé de sa carrière.
Le sentiment du devoir, l’honneur et l’ordre marquent la vie de
son épouse, mais en devenant de plus en plus solitaire, elle ne
connaît pas l’amour. Même la naissance de sa fille ne lui permet
pas de dépasser sa solitude croissante. Un jour, elle rencontre le
major von Crampras qui la séduit. Une liaison amoureuse secrète,
à la limite du rêve, se développe. Elle se termine lorsque le baron
von Innstetten est appelé à Berlin et qu’elle suit son mari. Des
années plus tard, von Instetten découvre par hasard les lettres de
Crampas à Effi. Sans aucune émotion, il provoque Crampas en duel
et expulse Effi de la maison. Elle s’effondre et lourdement atteinte
dans sa santé et privé de son enfant elle trouve refuge dans la
maison parentale. La vie d’Effi finit dans une marginalisation qui
finalement la brise. Holger Teschke a adapté le sujet à la scène en
1996. La fascination découle avant tout du naturel juvénile d’Effi
Briest, de son ouverture et de la dimension lugubre qui imprègne
sa vie après son mariage avec von Instetten. Mais Fontane
n’abandonne pas le rêve d’une société dans laquelle l’aspiration
Schauspielhaus
Lu 16 / Me 18.6, 19 h 30
Prix de places: de CHF 13.– à 40.–
au bonheur des hommes s’impose, face aux protagonistes des
idéologies et des contraintes du rendement avec la mort d’Effi.
BRUNCH KURT WEILL
Les rapports entre Gisela May et le drama-
turge Brecht sont une longue histoire
d’amour artistique. Son interprétation du rôle
de « Mère Courage » dans la production du
Berliner Ensemble dont elle a été membre
pendant de nombreuses années, a été l’un
des sommets de sa carrière. Qui dit Brecht
pense aussi immédiatement à Kurt Weill.
C’est pour cette raison que cette Nocturne
est avant tout consacré à des extraits
Schauspielhaus
Di 15.6, 20 h
Ouverture des portes 19 h
Prix des billets : CHF 22.–
d’œuvres de ce duo congénial. Des chansons tirées de « Aufstieg
und Fall der Stadt Mahagony », de L’opéra de « quat’ sous », de
« Happy End » en font partie. Par exemple le célèbre « Bilbao-
Song ». A cela s’ajoutent d’autres pièces de Weill et élément
supplémentaire très amusant des citations tires d’un échange de
lettres entre Kurt Weill et sa bien-aimée Lotte Lenya. Il y a aussi les
anecdotes et les histoires à travers lesquelles l’actrice Gisela May,
qui compte bientôt 77 ans, nous fera revivre sa propre carrière à
Berlin.
La spécialiste de Brecht et actrice-chanteuse Gisela May
a pris la liberté de modifier son programme pour
la nocturne à Winterthur. En lieu et place du programme
« Ich bin so frei », elle présente une nouvelle
soirée Kurt Weill. Elle a conçu cette soirée pour commémorer
le 100e anniversaire de la naissance du compositeur.
Kurt Weill est né le 2 mars 1900 à Dessau et il est mort à l’âge de50 ans
seulement. Matthias Stötzel accompagne Gisela May au piano.
Schauspielhaus Di 15.6, 20 h Ouverture des portes 19 h Prix des billets : CHF 22.– Festwochen-Spezial Soirée Kurt
Weil Nocturne avec Gisela May et Matthias Stötzel (piano)
« MERRYLAND »« Steps #8 » avec le Nederlands Dans Theater III
avec Meryl TankardAprès le Shen Wei Dance
Arts Ensemble venu des Etats-Unis, la NDT III présente
dans le cadre du festival de danse avec Meryl
Tankard ses productions avec des danseuses et danseurs
expérimentés de plus de 40 ans.
La maturité artistique et le raisonnement
personnel sont au premier plan des
performances du Nederlands Dans Theater
III. Le fondateur Jiri Kylián s’appuie de
manière très consciente sur cette image de
marque. Les danseuses et danseurs de plus
de 40 ans ne sont, de loin, pas à mettre aux
vieux fers. Au contraire, à l’âge où se termine
normalement une carrière de danseur, la
leur semble vraiment commencer. Avec ce
mélange de danse moderne et de ballet
Maturité et expérience, la biographie
artistique de chaque protagoniste
marque le rayonnement de l’ensemble de
danse hollandais dans « Merryland ».
Schauspielhaus Sa 21.6, 19 h 30 Prix des places : de CHF 13.– à 40.– « Merryland » avec le Nederlands Dans Theater
III (NL) | Meryl Tankard (AUS) dans le cadre de « Steps #8 » Chorégraphie : Meryl Tankard Danseurs : Sabine
Kupferberg Gérard Lemaitre Egon Madsen David Krügel et Gioconda Barbuto
classique allié au théâtre, « comedy » et même au chant, la compagnie est une
véritable découverte. Les moyens d’expression individuels sont tout autant
mis en valeur que la biographie artistique des participants. Dans le cadre de
« Steps #8 » la grande chorégraphe australienne Meryl Tankard a créé pour
le NDT III une nouvelle pièce intitulée « Merryland ». Sur scène, on découvrira
les corps souples et entraînés de Sabine Kupferberg, Gérard Lemaitre, Egon
Madsen, David Krügel et Gioconda Barbuto. Tankard fait elle-même partie des
solistes les plus marquantes et a obtenu plusieurs distinctions. Jusqu’en 1999,
elle a dirigé le Australian Dance Theatre, avec lequel elle a participé à tous
les festivals importants en Europe et aux Etats-Unis. Elle s’est notamment
fait un nom avec une chorégraphie dans laquelle ses danseurs athlétiques
tourbillonnent dans l’air attachés à des cordes. Aucune de ses chorégraphies
ne ressemble à l’autre, un style aux facettes nombreuses, un très haut niveau
de maîtrise, un plaisir de l’exploit physique marquent le style de Tankard.
« Merryland » aussi va surprendre le public.
Schauspielhaus Ma 17.6, 19 h 30 Prix des places : de CHF 13.– à 40.– « Arlequin poli par l’amour » comédie de
Marivaux en langue française avec le Théâtre « La rose des vents, Villeneuve » Mise en scène : Jean-Michel Rabeau
et Sylvie Reteuna ; musique : Cyrus ; décours et costumes : Pierre-André Weitz ; éclairage : Jean-Claude Fonkenel
Dans le rôle de la fée, Kate France dans celui de Trivelin : Georges Edmont et Marc Mérigot ; Arlequin, Franco
Sénica ; Silvia : Anne Rotger, berger / professeur de musique, Nicolas Martel ; bergère / l’amour : Corinne Cicolari
« ARLEQUIN POLI PAR L’AMOUR »
Une fée, subjuguée par la beauté d’Arlequin, l’enlève dans son
sommeil et le retient pour gagner son amour. Lorsque Arlequin
se réveille, elle réalise qu’il a un caractère niais, mais elle croit
que leur amour commun le rendra plus intelligent. Mais Arlequin
rencontre Silvia, la bergère. Ils tombent immédiatement amoureux
et, en effet, purifiée par l’amour, l’âme d’Arlequin change comme
la fée l’a souhaitée. Mais l’amour étant destinée à la bergère, la
jalousie de la fée se réveille et elle fait appel à tous les moyens
même violents afin d’empêcher cet amour imprévu. Trahie par
la ruse de son serviteur Travelin qui s’est engagé en faveur des
jeunes gens, elle est vaincue. L’amour triomphe. Jean-Michel
Une mise en scène enjouée de Pierre Carlet de la comédie de
Marivaux. L’auteur de comédies, est à nouveau à la mode. Depuis
quelques années, l’intérêt pour ses pièces va croissant.
Son penchant pour une « intellectualité enjouée » fait apparaître
Marivaux comme un phénoménologue de l’amour, comme
expérimentateur, comme artiste.
Rabeaux et Sylvie Reteuna ont réalisé la mise en scène de cette charmante
histoire d’Arlequin. L’ironie est omniprésente et la scène surprend avec de
nombreuses trouvailles faites de guirlandes, d’artifices électriques, de plumes
et de ficelles. Des interludes dansés et de superbes chansons donnent à la
comédie des airs de cabaret. La forme de la mise en scène souligne encore la
subtilité des paroles de Marivaux. Enjouée et gracieuse, la pièce vaut la peine
d’être vue ! En langue française.
« MERRYLAND »« Steps #8 » avec le Nederlands Dans Theater III
avec Meryl TankardAprès le Shen Wei Dance
Arts Ensemble venu des Etats-Unis, la NDT III présente
dans le cadre du festival de danse avec Meryl
Tankard ses productions avec des danseuses et danseurs
expérimentés de plus de 40 ans.
La maturité artistique et le raisonnement
personnel sont au premier plan des
performances du Nederlands Dans Theater
III. Le fondateur Jiri Kylián s’appuie de
manière très consciente sur cette image de
marque. Les danseuses et danseurs de plus
de 40 ans ne sont, de loin, pas à mettre aux
vieux fers. Au contraire, à l’âge où se termine
normalement une carrière de danseur, la
leur semble vraiment commencer. Avec ce
mélange de danse moderne et de ballet
Maturité et expérience, la biographie
artistique de chaque protagoniste
marque le rayonnement de l’ensemble de
danse hollandais dans « Merryland ».
Schauspielhaus Sa 21.6, 19 h 30 Prix des places : de CHF 13.– à 40.– « Merryland » avec le Nederlands Dans Theater
III (NL) | Meryl Tankard (AUS) dans le cadre de « Steps #8 » Chorégraphie : Meryl Tankard Danseurs : Sabine
Kupferberg Gérard Lemaitre Egon Madsen David Krügel et Gioconda Barbuto
classique allié au théâtre, « comedy » et même au chant, la compagnie est une
véritable découverte. Les moyens d’expression individuels sont tout autant
mis en valeur que la biographie artistique des participants. Dans le cadre de
« Steps #8 » la grande chorégraphe australienne Meryl Tankard a créé pour
le NDT III une nouvelle pièce intitulée « Merryland ». Sur scène, on découvrira
les corps souples et entraînés de Sabine Kupferberg, Gérard Lemaitre, Egon
Madsen, David Krügel et Gioconda Barbuto. Tankard fait elle-même partie des
solistes les plus marquantes et a obtenu plusieurs distinctions. Jusqu’en 1999,
elle a dirigé le Australian Dance Theatre, avec lequel elle a participé à tous
les festivals importants en Europe et aux Etats-Unis. Elle s’est notamment
fait un nom avec une chorégraphie dans laquelle ses danseurs athlétiques
tourbillonnent dans l’air attachés à des cordes. Aucune de ses chorégraphies
ne ressemble à l’autre, un style aux facettes nombreuses, un très haut niveau
de maîtrise, un plaisir de l’exploit physique marquent le style de Tankard.
« Merryland » aussi va surprendre le public.
Schauspielhaus Ma 17.6, 19 h 30 Prix des places : de CHF 13.– à 40.– « Arlequin poli par l’amour » comédie de
Marivaux en langue française avec le Théâtre « La rose des vents, Villeneuve » Mise en scène : Jean-Michel Rabeau
et Sylvie Reteuna ; musique : Cyrus ; décours et costumes : Pierre-André Weitz ; éclairage : Jean-Claude Fonkenel
Dans le rôle de la fée, Kate France dans celui de Trivelin : Georges Edmont et Marc Mérigot ; Arlequin, Franco
Sénica ; Silvia : Anne Rotger, berger / professeur de musique, Nicolas Martel ; bergère / l’amour : Corinne Cicolari
« ARLEQUIN POLI PAR L’AMOUR »
Une fée, subjuguée par la beauté d’Arlequin, l’enlève dans son
sommeil et le retient pour gagner son amour. Lorsque Arlequin
se réveille, elle réalise qu’il a un caractère niais, mais elle croit
que leur amour commun le rendra plus intelligent. Mais Arlequin
rencontre Silvia, la bergère. Ils tombent immédiatement amoureux
et, en effet, purifiée par l’amour, l’âme d’Arlequin change comme
la fée l’a souhaitée. Mais l’amour étant destinée à la bergère, la
jalousie de la fée se réveille et elle fait appel à tous les moyens
même violents afin d’empêcher cet amour imprévu. Trahie par
la ruse de son serviteur Travelin qui s’est engagé en faveur des
jeunes gens, elle est vaincue. L’amour triomphe. Jean-Michel
Une mise en scène enjouée de Pierre Carlet de la comédie de
Marivaux. L’auteur de comédies, est à nouveau à la mode. Depuis
quelques années, l’intérêt pour ses pièces va croissant.
Son penchant pour une « intellectualité enjouée » fait apparaître
Marivaux comme un phénoménologue de l’amour, comme
expérimentateur, comme artiste.
Rabeaux et Sylvie Reteuna ont réalisé la mise en scène de cette charmante
histoire d’Arlequin. L’ironie est omniprésente et la scène surprend avec de
nombreuses trouvailles faites de guirlandes, d’artifices électriques, de plumes
et de ficelles. Des interludes dansés et de superbes chansons donnent à la
comédie des airs de cabaret. La forme de la mise en scène souligne encore la
subtilité des paroles de Marivaux. Enjouée et gracieuse, la pièce vaut la peine
d’être vue ! En langue française.
« EFFI BRIEST »
Schauspielhaus Lu 16 / Me 18.6, 19 h 30 Prix de places: de CHF 13.– à 40.– « Effi Briest » pièce selon Theodor
Fontane, adaptation dramatique Holger Teschke Mise en scène : Christoph Schroth ; décors : Jochen Finke ;
costumes : Gundula Martin Dans le rôle d’Effi Briest : Anne Ratte-Polle ; Baron von Innstetten : Michael Meister ;
Major von Crampas : Daniel Borgwardt ; Mme von Briest : Susann Thiede ; M. von Briest : Horst Rehberg ; Gieshübler :
Wolf-Dieter Lingk et d’autres encore
A la base de cette œuvre littéraire, on trouve un événement
qui s’est réellement passé dans les environs de Berlin en
1886. Un duel avec issue mortelle. La cause en est une
histoire de mariage, d’amour triangulaire, vieille de vingt
ans. Mais ce n’est pas autant le scandale qui intéresse
l’auteur Theodor Fontane, que l’aspiration au bonheur.
Effi, pure « fille de l’air » épouse le baron von Innstetten,
Le Staatstheater Cottbus avec une version scénique
du roman de Theodor Fontane. Le metteur
en scène Holger Teschke a adapté un des textes
les plus importants de la littérature mondiale pour
la scène. Aucune figure féminine de la littérature
romanesque allemande ne l’a autant impressionné
qu’Effi Briest.
un homme plus âgé, très correct et préoccupé de sa carrière.
Le sentiment du devoir, l’honneur et l’ordre marquent la vie de
son épouse, mais en devenant de plus en plus solitaire, elle ne
connaît pas l’amour. Même la naissance de sa fille ne lui permet
pas de dépasser sa solitude croissante. Un jour, elle rencontre le
major von Crampras qui la séduit. Une liaison amoureuse secrète,
à la limite du rêve, se développe. Elle se termine lorsque le baron
von Innstetten est appelé à Berlin et qu’elle suit son mari. Des
années plus tard, von Instetten découvre par hasard les lettres de
Crampas à Effi. Sans aucune émotion, il provoque Crampas en duel
et expulse Effi de la maison. Elle s’effondre et lourdement atteinte
dans sa santé et privé de son enfant elle trouve refuge dans la
maison parentale. La vie d’Effi finit dans une marginalisation qui
finalement la brise. Holger Teschke a adapté le sujet à la scène en
1996. La fascination découle avant tout du naturel juvénile d’Effi
Briest, de son ouverture et de la dimension lugubre qui imprègne
sa vie après son mariage avec von Instetten. Mais Fontane
n’abandonne pas le rêve d’une société dans laquelle l’aspiration
Schauspielhaus
Lu 16 / Me 18.6, 19 h 30
Prix de places: de CHF 13.– à 40.–
au bonheur des hommes s’impose, face aux protagonistes des
idéologies et des contraintes du rendement avec la mort d’Effi.
BRUNCH KURT WEILL
Les rapports entre Gisela May et le drama-
turge Brecht sont une longue histoire
d’amour artistique. Son interprétation du rôle
de « Mère Courage » dans la production du
Berliner Ensemble dont elle a été membre
pendant de nombreuses années, a été l’un
des sommets de sa carrière. Qui dit Brecht
pense aussi immédiatement à Kurt Weill.
C’est pour cette raison que cette Nocturne
est avant tout consacré à des extraits
Schauspielhaus
Di 15.6, 20 h
Ouverture des portes 19 h
Prix des billets : CHF 22.–
d’œuvres de ce duo congénial. Des chansons tirées de « Aufstieg
und Fall der Stadt Mahagony », de L’opéra de « quat’ sous », de
« Happy End » en font partie. Par exemple le célèbre « Bilbao-
Song ». A cela s’ajoutent d’autres pièces de Weill et élément
supplémentaire très amusant des citations tires d’un échange de
lettres entre Kurt Weill et sa bien-aimée Lotte Lenya. Il y a aussi les
anecdotes et les histoires à travers lesquelles l’actrice Gisela May,
qui compte bientôt 77 ans, nous fera revivre sa propre carrière à
Berlin.
La spécialiste de Brecht et actrice-chanteuse Gisela May
a pris la liberté de modifier son programme pour
la nocturne à Winterthur. En lieu et place du programme
« Ich bin so frei », elle présente une nouvelle
soirée Kurt Weill. Elle a conçu cette soirée pour commémorer
le 100e anniversaire de la naissance du compositeur.
Kurt Weill est né le 2 mars 1900 à Dessau et il est mort à l’âge de50 ans
seulement. Matthias Stötzel accompagne Gisela May au piano.
Schauspielhaus Di 15.6, 20 h Ouverture des portes 19 h Prix des billets : CHF 22.– Festwochen-Spezial Soirée Kurt
Weil Nocturne avec Gisela May et Matthias Stötzel (piano)
Schauspielhaus Ve 13.6, 19 h 30 / Di 15.6, 14 h 30 Prix des places : de CHF 13.- à CHF 40.- Otello darf nicht platzen
| comédie de l’américain Ken Ludwig titre original : « Lend me a Tenor » (Otello doit avoir lieu) Traduction
allemande de Ursula Lyn ; mise en scène : Lutz Hochstraate ; décors : Bernd Dieter Müller ; costumes : Annette
Zepperitz Avec les acteurs : Max : Werner Friedl, Maggie (l’amie de Max) : Britta Bayer, Sounders (directeur de
l’Opéra de Cleveland) : Klaus Martin Heim ; Tito Merelli : Peter Piki ; Maria (l’épouse de Merelli) : Hanna Rohrer ;
Page : Sebastian Knözinger ; Diana (cantatrice) : Alexandra Tichy ; Julia (présidente des amis de l’opéra) : Traude
Gmeinböck
Le cauchemar de chaque directeur : le protagoniste
du rôle principal ne se présente pas pour la première.
Avec un cachet mirobolant, le directeur du théâtre de
la ville de Cleveland a engagé pour la représentation
d’Otello le ténor des ténors Tito Merelli. Mais le grand
Tito ne vient pas. Est-il mort ? Mais « Otello » doit avoir
lieu à tout prix. Il s’agit de trouver rapidement un
remplaçant. Le directeur le trouve en la personne de
Max, son bras droit. Max profite de l’aubaine et décide
de mettre le paquet. Il n’y a pas seulement le grand rôle
sur scène, il y a également la femme de Merelli, qui a
abandonné son mari il y a peu. Dans le costume et sous
le grimage d’Otello, et de surcroît en bonne condition
vocale, il ressemble à s’y méprendre à la grande vedette.
Mais ce qui devait arriver arrive : celui qu’on croyait mort
surgit en titubant pour son entrée en scène. Deux Otello
se trouvent face à face, mais lequel est le bon ? Les deux
montent ensemble sur scène pour solliciter les faveurs du
public. Le faux Otello essaie avec beaucoup de ruse de
soustraire le vrai aux applaudissements. Finalement, les
deux se chassent mutuellement de la scène.
Le Landestheater Salzbourg présente cette pièce très vive
et amusante avec Peter Piki et Werner Friedl dans les rôles
d’Otello un et deux. Le metteur en scène Lutz Hochstrasse
parvient à convaincre avec des effets bruyants, mais pas
toujours absurdes. La pièce a été un des grands succès
de la saison écoulée à Salzbourg. Il est permis de rire
sur l’histoire d’arrière-scène la plus drôle des dernières
années.
La comédie à succès de l’américain Ken Ludwig
«Lend me a Tenor », en version allemande
Otello darf nicht platzen L’auteur. américain de 52 ans,
Ken Ludwig de Pennsylvanie, s’est imposé
avec cette pièce comme auteur dramatique. Après
sa création en 1985, la pièce a été nommée « meilleure
comédie de l’année ».
« OTELLO DOIT AVOIR LIEU » « DIE KINDER DES TEUFELS »de Felix Mitterer Une introduction à la pièce
présentée aura lieu au Foyer, 45 minutes avant
le début des représentations.
De 1675 à 1681, le Pays de Salzbourg a été la scène d’un des plus grands procès de
sorcellerie. La figure centrale en était un jeune homme dénommé Jakob Koller, qu’on
accusait de pratiquer la magie noire et de détourner la jeunesse. Il n’a jamais été possible
de mettre la main sur le « sorcier » Zauber-Jackl. Par contre, on a enfermé une bande
d’enfants mendiants qui perturbaient l’ordre social avec leur mendicité et leurs petits
larcins. Ces enfants miséreux ont été contraints par la torture à des « aveux » toujours
Schauspielhaus Ma. 17.6, 18 h, en vente libre Prix des places: de CHF 13.– à 40.– Festwochen-Spezial « Die Kinder
des Teufels » de Felix Mitterer Württembergische Landesbühne, Esslingen Mise en scène : Peter Dolder Décors
et costumes : Eckehard Felix Wegenast Avec Juliane Bacher (Dofferl), Annette Fassnacht (Dionysus), Maike Frank
Lisl, Barbara Troschka (Magdalena Pichlerin), Ralph Hönicke (Kommissar), Christian Koch (Freimann), Hagen Löwe
(Andree Mayer), Hartmut Scheyhing (Schreiber), Patrick Serena (Veit)
Schauspielhaus
Ma. 17.6, 18 h, en vente libre
Prix des places: de CHF 13.– à 40.–
plus terrifiants. Incroyable : finalement 133 enfants ont fini sur les bûchers.
Une terrible histoire retracée dans cette pièce aux allures de documentaire.
Lorsque le dramaturge du « Theater der Jugend » de Munich attire l’attention
de Felix Mitterer sur ce sujet il y a quatre ans, l’auteur lui répondit qu’il
s’agissait là d’un thème horrible. Mais ce sujet provenant de sa proche patrie
l’intéressait et il étudia les documents originaux aux archives d’Etat à Munich
et à Salzbourg. Il y découvrit les misérables témoignages d’une folie pervertie
de l’ordre. Les aveux extorqués qui figurent dans la pièce correspondent aux
procès-verbaux. Cette pièce parle de plusieurs choses : d’abord de l’attitude
de la majorité de la population face au droit, à l’ordre, à la jeunesse et aux
boucs émissaires ; ensuite de l’imagination débridée des enfants ; et enfin,
des destins des enfants mendiants qui existent toujours. Il suffit de penser
aux escadrons de la mort en Amérique latine. Dans cette pièce, Mitterer ne se
limite pas au passé. A l’instar d’Arthur Miller dans la « Chasse aux sorcières »,
il tourne son regard vers l’actualité, à la recherche de boucs émissaires
que l’on peut rendre responsables de sa propre insatisfaction ainsi que des
problèmes économiques.
THEATERFESTWOCHEN ZÜRICH200913 – 22 juin 2009 | Schauspielhaus Zurich
Theaterfestwochen Zürich 2009 | 13 – 22 juin 2009 | Schauspielhaus Zurich | Schauspielhaus | Location par téléphone et
abonnements de 10 à 19 heures Ouverture des caisses une heure avant la représentation | Rämistrasse 34 | 8001 Zurich
01 265 58 58 | Informations sur les dates des spectacles | tél. 01 265 57 60 | www.schauspielhaus.ch
Page 2 La comédie à succès de l’américain
Ken Ludwig « Lend me a Tenor »,
en version allemande Otello darf
nicht platzen (Otello doit avoir lieu)
Page 3 Le Staatstheater Cottbus avec
une version scénique du roman
de Theodor Fontane Effi Briest
Page 4 Une mise en scène enjouée de Pierre
Carlet de la comédie de Marivaux
Arlequin poli par l’amour
Page 5 « Steps #8 » avec le Nederlands
Dans Theater III avec Meryl Tankard
Merryland
Page 6 Brunch Kurt Weill
avec l’actrice et chanteuse Gisela May
Page 7 Die Kinder des Teufels
De Felix Mittlerer
Page 8 Agenda
Les représentations du Schauspielhaus
en août /septembre 2009
AGENDAReprésentations du Schauspielhaus
en août / septembre 2009
Ve 1.8, 20 h Schauspielhaus, Foyer : « rouge, frise & acide 7 »
New Jazzline Gig avec Christophe Baumann & Jacques Siron.
Sa 9.8, 19 h 30 Schauspielhaus : Singspiel de Paul Burkhard
« Feuerwerk » avec la Musikalische Komödie Leipzig
Lu 11.8 / Je 13.8, 19 h 30 Schauspielhaus : Wie es euch gefällt de William Shakespeare,
adaptation de Thomas Brasch, Staatstheater Cottbus.
Di 30.8, 10 h 30 Schauspielhaus Kinder des Teufels de Felix Mitterer,
Württembergische Landesbühne, Esslingen.
Ve 5.9, 20 h Schauspielhaus, Foyer : Hip Hop Jazz
de Hollande avec Saskia Laroo & Band.
Me 10.9, 20 h Schauspielhaus : Macbeth by William Shakespeare.
American Drama Group Europe / TNT Theatre Britain.
Sa 13.9, 19 h 30 / Di 14.9, 14 h Schauspielhaus : Woyzeck Fragments dramatiques
de Georg Büchner ; Schauspiel Frankfurt.
Di 14.9, 16 h / 17 h 30 / 20 h Schauspielhaus : Film-Vortrag-Theaterrevue Lift.
Groupe de théâtre : Die Regierung�
Lu 15.9 / Ma 16.9, à 20 h Schauspielhaus : « Yelemba» Percussions,
chants et danses de la Côte d’Ivoire, Agro-Pfingsten
Représentations d’organisateurs
privés au Schauspielhaus:
Me 24.9, 20 h Theater am Hechtplatz : « vis-à-vis »,
le nouveau programme de la compagnie de danse zurichoise « Movers »
Ve 26.9, 20 h Theater an der Winkelwiese: « The best of »,
show musical et dansant avec le studio de danse Borak.
Autres théâtres zurichois
Kellertheater:
Du 20 au 23.9 à 20 h 30
ainsi que Di à 17 h 30 Revue musicale,
Théâtre de marionnettes au Hechtplatz:
Ve 19.9, 20 h 15 / Me 24.9, 14 h 30 « Flomi » Marionnettes du Tösstal Theater an der Limmat :
Sa 27.9 / Di 28.9 à 20 h 15 « Pepper », théâtre musical selon l’album des Beatles
« Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band » Theater am Hechtplatz:
Ve 26.9, 20 h 15 « Eine fantastische Reise ». Avec le Trio Pan e Tone
Theater am Hechtplatz :
Sa 27.9, 20 h 30 « Blaseck – Salat und Hausmusik »
Theater am Hechtplatz :
Di 28.9, 10 h 30 Matinée d’histoires
Theater an der Winkelwiese:
Me 24.9 / Ve 26.9 / Sa 27.9, à 20 h 15 « Fremdling, du bist ein Narr », avec Jürgen Klein
AGENDAReprésentations du Schauspielhaus
en août / septembre 2009
Ve 1.8, 20 h
Sa 9.8, 19 h 30
Lu 11.8 / Je 13.8, 19 h 30
Di 30.8, 10 h 30
Ve 5.9, 20 h
Me 10.9, 20 h
Sa 13.9, 19 h 30 / Di 14.9, 14 h
Di 14.9, 16 h / 17 h 30 / 20 h.
Lu 15.9 / Ma 16.9, à 20 h
Représentations d’organisateurs
privés au Schauspielhaus :
Me 24.9, 20 h
Ve 26.9, 20 h
Autres théâtres zurichois
Kellertheater:
Du 20 au 23.9 à 20 h 30
ainsi que Di à 17 h 30
Ve 19.9, 20 h 15 / Me 24.9, 14 h 30
Sa 27.9 / Di 28.9 à 20 h 15
Ve 26.9, 20 h 15
Sa 27.9, 20 h 30
Di 28.9, 10 h 30
Me 24.9 / Ve 26.9 / Sa 27.9, à 20 h 15
TABLE DES MATIÈRES