BRGM MINISTERE L'ENVIRONNEMENT DE COMMUNAUTE URBAINE...
Transcript of BRGM MINISTERE L'ENVIRONNEMENT DE COMMUNAUTE URBAINE...
BRGM* U SflVtCI Dt 1* lili!
R 32599
NPC 91
MINISTERE DE L'EQUIPEMENT,
DES TRANSPORTS ET DE LA HER
MINISTERE DE L 'INDUSTRIE
ET DE L'AMENAGEMENT DU TERRITOIRE
MINISTERE DE L'ENVIRONNEMENT
COMMUNAUTE URBAINE DE LILLE
SOCIETE DES EAUI DE LA METROPOLE DU NORD
DOCUMENT
NON PUBLIC
Révision du schéma directeur d'aménagement
et d'urbanisme de l'agglomération de T.TT.TJ?.
Prise en compte des contraintes et opportunités
liées au sous-sol
i ü 5 . JL'il-
BRGM - NORD - PAS-DE-CALAISFort dfr Lelmnei - 59260 Lvrvnneir Ffanc*Tél.:i33 30.91 38 T9 - T¿lé(opi*ur : 33 20.05 54.87
BRGMl'INT>ir>ISE AU SERVICI 01 U TEII>I
MINISTERE DE -L'EQUIPEMENT, DU LOGEMENT
DES TRANSPORTS ET DE LA MER
MINISTERE DE L'INDUSTRIE
ET DE L'AMENAGEMENT DU TERRITOIRE
L MINISTERE DE L'ENVIRONNEMENT J
COMMUNAUTE URBAINE DE LILLE
SOCIETE DES EAUX DE LA METROPOLE DU NORD
Révision du Schéma Directeur d'Aménagement
et d'Urbanisme de l'agglomération de LILLE
(S D A U)
Prise en compte des contraintes et opportunités
liées au sous-sol
mai 1991
J-F. ALLARD
avec la collaboration de C. DUBOST
et N. BARAN
SynerGIS : A. COLLEAU - L. DENIS
R 32599 45 NPC 91
BRGM - NORD - PAS-DE-CALAISFort d* L«i*nn«i - 59260 L«i*nn««, Franc*Til.: (33) 20.91 .38.1 9 - TiUcopieur : (33) 20.05.54.87
BRGMl'INT>ir>ISE AU SERVICI 01 U TEII>I
MINISTERE DE -L'EQUIPEMENT, DU LOGEMENT
DES TRANSPORTS ET DE LA MER
MINISTERE DE L'INDUSTRIE
ET DE L'AMENAGEMENT DU TERRITOIRE
L MINISTERE DE L'ENVIRONNEMENT J
COMMUNAUTE URBAINE DE LILLE
SOCIETE DES EAUX DE LA METROPOLE DU NORD
Révision du Schéma Directeur d'Aménagement
et d'Urbanisme de l'agglomération de LILLE
(S D A U)
Prise en compte des contraintes et opportunités
liées au sous-sol
mai 1991
J-F. ALLARD
avec la collaboration de C. DUBOST
et N. BARAN
SynerGIS : A. COLLEAU - L. DENIS
R 32599 45 NPC 91
BRGM - NORD - PAS-DE-CALAISFort d* L«i*nn«i - 59260 L«i*nn««, Franc*Til.: (33) 20.91 .38.1 9 - TiUcopieur : (33) 20.05.54.87
AVANT-PROPOS
A L'ATTENTION DU LECTEUR
Intégrer des contraintes et opportunités liées au sous-sol daiTi
le cadre de la révision du Schéma Directeur d'Aménagement et d'Urbanisme
(SDAU) de l'Agglomération Lilloise révèle une prise de conscience sur
l'importance de la gestion de l'occupation de l'espace aérien et souter¬
rain.
Dynamiser cette prise de conscience et cette gestion en s 'ap¬
puyant sur des outils évolutifs de traitement multicritère grâce à
l'appui de moyens infographiques modernes est une nécessité. En contre-
-partie, il conviendra, à chaque instant, de ne pas oublier que ces
traitements cartographiques sont dépendants :
- de la nature et de la densité des informations traitées,
- de la mise à jour des fichiers contenus au sein de la
base des données constituée à cet effet,
- du poids affecté à chacun des plans d'information dans
le cadre des traitements multicritères.
L'interactivité des outils est un moyen de simulation et de
négociation à condition d'en garder la maîtrise technique.
AVANT-PROPOS
A L'ATTENTION DU LECTEUR
Intégrer des contraintes et opportunités liées au sous-sol daiTi
le cadre de la révision du Schéma Directeur d'Aménagement et d'Urbanisme
(SDAU) de l'Agglomération Lilloise révèle une prise de conscience sur
l'importance de la gestion de l'occupation de l'espace aérien et souter¬
rain.
Dynamiser cette prise de conscience et cette gestion en s 'ap¬
puyant sur des outils évolutifs de traitement multicritère grâce à
l'appui de moyens infographiques modernes est une nécessité. En contre-
-partie, il conviendra, à chaque instant, de ne pas oublier que ces
traitements cartographiques sont dépendants :
- de la nature et de la densité des informations traitées,
- de la mise à jour des fichiers contenus au sein de la
base des données constituée à cet effet,
- du poids affecté à chacun des plans d'information dans
le cadre des traitements multicritères.
L'interactivité des outils est un moyen de simulation et de
négociation à condition d'en garder la maîtrise technique.
MINISTERE DE L'EQUIPEMENT, DU LOGEMENTDES TRANSPORTS ET DE LA MER
MINISTERE DE L'INDUSTRIEET DE L'AMENAGEMENT DU TERRITOIRE
MINISTERE DE L'ENVIRONNEMENT
COMMUNAUTE URBAINE DE LILLE
SOCIETE DES EAUX DE LA METROPOLE DU NORD
Révision du Schéma Directeur d'Aménagementet d'Urbanisme de l'agglomération de LILLE
(SDAU)
Prise en compte des contraintes et opportunitésliées au sous-sol
RESUME
U est envisagé d'établir un Schéma Directeur de l'aggloméra¬tion de LILLE en procédant à la révision du Schéma Directeur d'Aména¬gement et d'Urbanisme datant de 1973.
A cette occasion le BRGM NORD-PAS-DE-CALAIS a été sollicité parles différents responsables pour y apporter les données relatives ausous-sol et plus particulièrement celles qui peuvent avoir une influencesur l 'aménagement soit parce qu'elles représentent une richesse qu'ilfaut préserver, soit parce qu'il s'agit d'une contrainte à prendre encompte.
Les éléments relatifs à la géologie, 1 'hydrogéologie et lesdiverses contraintes liées au sous-sol ont été recueillis et informa¬tisés de façon à constituer une base de données.
Les données obtenues ont été représentées d'une part, sur descartes d'informations unitaires et d'autre part, utilisées pour réaliserdes cartes interprétatives par analyse multicritère (logiciel SynerGIS) .
Cette constitution d'une base de données " sous-sol " connuesau 01.01.91 servira de point de départ pour une mise à Jour ultérieurepermettant de tenir compte de nouvelles connaissances ou de modifica¬tions.
R 32599 4S NPC 91
MINISTERE DE L'EQUIPEMENT, DU LOGEMENTDES TRANSPORTS ET DE LA MER
MINISTERE DE L'INDUSTRIEET DE L'AMENAGEMENT DU TERRITOIRE
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COMMUNAUTE URBAINE DE LILLE
SOCIETE DES EAUX DE LA METROPOLE DU NORD
Révision du Schéma Directeur d'Aménagementet d'Urbanisme de l'agglomération de LILLE
(SDAU)
Prise en compte des contraintes et opportunitésliées au sous-sol
RESUME
U est envisagé d'établir un Schéma Directeur de l'aggloméra¬tion de LILLE en procédant à la révision du Schéma Directeur d'Aména¬gement et d'Urbanisme datant de 1973.
A cette occasion le BRGM NORD-PAS-DE-CALAIS a été sollicité parles différents responsables pour y apporter les données relatives ausous-sol et plus particulièrement celles qui peuvent avoir une influencesur l 'aménagement soit parce qu'elles représentent une richesse qu'ilfaut préserver, soit parce qu'il s'agit d'une contrainte à prendre encompte.
Les éléments relatifs à la géologie, 1 'hydrogéologie et lesdiverses contraintes liées au sous-sol ont été recueillis et informa¬tisés de façon à constituer une base de données.
Les données obtenues ont été représentées d'une part, sur descartes d'informations unitaires et d'autre part, utilisées pour réaliserdes cartes interprétatives par analyse multicritère (logiciel SynerGIS) .
Cette constitution d'une base de données " sous-sol " connuesau 01.01.91 servira de point de départ pour une mise à Jour ultérieurepermettant de tenir compte de nouvelles connaissances ou de modifica¬tions.
R 32599 4S NPC 91
SOMMAIRE
RESUME
1. - PREAMBULE.
3. - PRESENTATION DE L'AGGLOMERATION.
3.1. - Localisation.
3.2. - Topographie - Hydrographie.
3.3. - Géologie
3.4. - Hydrogéologie
3.5. - Urbanisation
Pages
1.1. - Objet du dossier 1
1.2. - Cadre structurel 2 F
1.3. - Cadre technique 2
1.4. - Domaines d'utilisation 2
2. - METHODE D'ETUDE - ACQUISITION DES DONNEES 3
2.1. - Démarche adoptée 3
2.2. - Origine des données 3
SOMMAIRE
RESUME
1. - PREAMBULE.
3. - PRESENTATION DE L'AGGLOMERATION.
3.1. - Localisation.
3.2. - Topographie - Hydrographie.
3.3. - Géologie
3.4. - Hydrogéologie
3.5. - Urbanisation
Pages
1.1. - Objet du dossier 1
1.2. - Cadre structurel 2 F
1.3. - Cadre technique 2
1.4. - Domaines d'utilisation 2
2. - METHODE D'ETUDE - ACQUISITION DES DONNEES 3
2.1. - Démarche adoptée 3
2.2. - Origine des données 3
SOMMAIRE
(suite)
Pages
4. - CARTE DES DONNEES 9
4.1. - Eléments à retenir 9
4.2. - Cartes des éléments 10
4.2.1. Carte topographique. 12
4.2.2. Schéma géologique 12
4.2.3. Carte hydrogéologique de la nappe de la craie 14
4.2.4. Carte des contraintes 14
5 . - CARTES INTERPRETATIVES 17
5.1, - Sensibilité à la pollution de la nappe de la
nappe de la craie 18
5.2, - Contraintes par rapport à la construction 20
5.3, - Aptitude à l'exploitation de la nappe de la
craie 24
5.4, - Aptitude à l'exploitation des matériaux 24
5.5, - Aptitude à l'assainissement par épandage
souterrain (arrêté 03,03,82) vis-à-vis d'une
pollution de la nappe de la craie 27
6. - CARTE DE SYNTHESE 27
CONCLUSION 25
SOMMAIRE
(suite)
Pages
4. - CARTE DES DONNEES 9
4.1. - Eléments à retenir 9
4.2. - Cartes des éléments 10
4.2.1. Carte topographique. 12
4.2.2. Schéma géologique 12
4.2.3. Carte hydrogéologique de la nappe de la craie 14
4.2.4. Carte des contraintes 14
5 . - CARTES INTERPRETATIVES 17
5.1, - Sensibilité à la pollution de la nappe de la
nappe de la craie 18
5.2, - Contraintes par rapport à la construction 20
5.3, - Aptitude à l'exploitation de la nappe de la
craie 24
5.4, - Aptitude à l'exploitation des matériaux 24
5.5, - Aptitude à l'assainissement par épandage
souterrain (arrêté 03,03,82) vis-à-vis d'une
pollution de la nappe de la craie 27
6. - CARTE DE SYNTHESE 27
CONCLUSION 25
LISTE DES FIGURES
Pages
Figure 1 - Coupe géologique schématique 7
Figure 2 - Schéma géologique 13
Figure 3 - Carte hydrogéologique ..,,,.,, 15
Figure 4 - Carte des contraintes 16
Figure 5 - Sensibilité de la nappe aux pollutions 19
Figure 6 - Contraintes par rapport à la construction 21
Figure 7 - Aptitude à l'exploitation de la nappe de la craie,, 25
Figure 8 - Aptitude à 1 ' exploitation des matériaux 26
Figure 9 - Aptitude à l'assainissement par épandage souterrain
(vis-à-vis des risques de pollution de la nappe de
la craie) 28
Figure 10 - Contraintes globales ,,. 30
LISTE DES FIGURES
Pages
Figure 1 - Coupe géologique schématique 7
Figure 2 - Schéma géologique 13
Figure 3 - Carte hydrogéologique ..,,,.,, 15
Figure 4 - Carte des contraintes 16
Figure 5 - Sensibilité de la nappe aux pollutions 19
Figure 6 - Contraintes par rapport à la construction 21
Figure 7 - Aptitude à l'exploitation de la nappe de la craie,, 25
Figure 8 - Aptitude à 1 ' exploitation des matériaux 26
Figure 9 - Aptitude à l'assainissement par épandage souterrain
(vis-à-vis des risques de pollution de la nappe de
la craie) 28
Figure 10 - Contraintes globales ,,. 30
LISTE DES ANNEXES
Annexe 1 - Carte topographique à 1/50.000
Annexe 2 - Présentation de SynerGIS
LISTE DES ANNEXES
Annexe 1 - Carte topographique à 1/50.000
Annexe 2 - Présentation de SynerGIS
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DES TRANSPORTS ET DE LA MER
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ET DE L'AMENAGEMENT DU TERRITOIRE
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SOCIETE DES EAUX DE LA METROPOLE DU NORD
Révision du Schéma Directeur d'Aménagement
et d'Urbanisme de l'agglomération de LILLE
(SDAU)
Prise en compte des contraintes et opportunités
liées au sous-sol
1, - PREAMBULE
1,1, - Objet du dossier
Le présent dossier a pour but de rassembler, sur des documents
cartographiques, les informations nécessaires à la prise en compte des
contraintes et des opportunités liées au sous-sol dans le cadre de
l'établissement du Schéma Directeur de l'Agglomération de LILLE (à
partir de la révision du Schéma d'Aménagement et d'Urbanisme).
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DES TRANSPORTS ET DE LA MER
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Révision du Schéma Directeur d'Aménagement
et d'Urbanisme de l'agglomération de LILLE
(SDAU)
Prise en compte des contraintes et opportunités
liées au sous-sol
1, - PREAMBULE
1,1, - Objet du dossier
Le présent dossier a pour but de rassembler, sur des documents
cartographiques, les informations nécessaires à la prise en compte des
contraintes et des opportunités liées au sous-sol dans le cadre de
l'établissement du Schéma Directeur de l'Agglomération de LILLE (à
partir de la révision du Schéma d'Aménagement et d'Urbanisme).
2.
Ces documents cartographiques sont accompagnés d'une notice
explicative présentant la méthode d'étude et les traits essentiels de la
zone étudiée. Les conditions d'utilisation , des cartes en fonction de
l'échelle choisie et de l'origine des informations y sont également
indiquées.
1,2, - Cadre structurel
L'étude a été réalisée sous la maîtrise d'ouvrage conjointe de
la D.D.E. du Nord et de la Société d'eau de la Métropole du Nord, avec
financement du Ministère de l'Equipement, du Ministère de l'Environne¬
ment, de la Société d'eau de la Métropole du Nord et avec les fonds de
Service public attribués au BRGM par le Ministère de l'Industrie et de
l'Aménagement du Territoire. La méthologie a été mise au point dans le
cadre du programme de Recherche " Cartographie multicritère " du BRGM.
1.3, - Cadre technique
Le Schéma Directeur pour lequel ce dossier a été établi se
rapporte aux limites géographiques de l'arrondissement de LILLE, c'est-
à-dire 84 communes appartenant à la communauté urbaine de LILLE et 42
communes extracommunautaires.
1.4, - Domaines d'utilisation
Les éléments apportés dans la présente étude sont destinés aux
aménageurs et aux décideurs dans le cadre de l'établissement du Schéma
Directeur, ils sont du domaine du " Porter à connaissance ".
2.
Ces documents cartographiques sont accompagnés d'une notice
explicative présentant la méthode d'étude et les traits essentiels de la
zone étudiée. Les conditions d'utilisation , des cartes en fonction de
l'échelle choisie et de l'origine des informations y sont également
indiquées.
1,2, - Cadre structurel
L'étude a été réalisée sous la maîtrise d'ouvrage conjointe de
la D.D.E. du Nord et de la Société d'eau de la Métropole du Nord, avec
financement du Ministère de l'Equipement, du Ministère de l'Environne¬
ment, de la Société d'eau de la Métropole du Nord et avec les fonds de
Service public attribués au BRGM par le Ministère de l'Industrie et de
l'Aménagement du Territoire. La méthologie a été mise au point dans le
cadre du programme de Recherche " Cartographie multicritère " du BRGM.
1.3, - Cadre technique
Le Schéma Directeur pour lequel ce dossier a été établi se
rapporte aux limites géographiques de l'arrondissement de LILLE, c'est-
à-dire 84 communes appartenant à la communauté urbaine de LILLE et 42
communes extracommunautaires.
1.4, - Domaines d'utilisation
Les éléments apportés dans la présente étude sont destinés aux
aménageurs et aux décideurs dans le cadre de l'établissement du Schéma
Directeur, ils sont du domaine du " Porter à connaissance ".
3.
2, - METHODE D'ETUDE - ACQUISITION DES DONNEES
2,1, - Démarche adoptée
L'étude a été réalisée à partir des documents et des données
existants et portés à notre connaissance au 1 janvier 1991.
Les données ont été recueillies principalement dans la Banque
des données du BRGM, dans les archives publiques du BRGM, dans les
documents géologiques et hydrogéologiques. Mais il a aussi été effectué
des consultations ou des interrogations dans certains services publics.
Les éléments recueillis ont ensuite été portés sur des cartes à
1/50.000.
Un fond topographique simplifié a été saisi et traité par
informatique ainsi que les données élémentaires.
Cette méthode permet, en premier lieu, d'obtenir les informa¬
tions sous forme cartographique en dessin assisté par ordinateur (DAO)
et surtout de constituer des fichiers qui permettront, à l'aide du
logiciel SynerGIS*, de croiser les données et de réaliser des cartes
interprétatives sur des thèmes donnés (la maille adoptée est de 50 x
50 m).
2.2. - Origine des données
Les données indiquées sur les cartes ne sont valables que par
leur origine ; des indications supplémentaires, des précisions, des
localisations pour telle ou telle information pourront être obtenus
auprès des services ou organismes indiqués en regard.
" SynerGIS : progiciel de traitement multicritère éditer par le BRGM.
3.
2, - METHODE D'ETUDE - ACQUISITION DES DONNEES
2,1, - Démarche adoptée
L'étude a été réalisée à partir des documents et des données
existants et portés à notre connaissance au 1 janvier 1991.
Les données ont été recueillies principalement dans la Banque
des données du BRGM, dans les archives publiques du BRGM, dans les
documents géologiques et hydrogéologiques. Mais il a aussi été effectué
des consultations ou des interrogations dans certains services publics.
Les éléments recueillis ont ensuite été portés sur des cartes à
1/50.000.
Un fond topographique simplifié a été saisi et traité par
informatique ainsi que les données élémentaires.
Cette méthode permet, en premier lieu, d'obtenir les informa¬
tions sous forme cartographique en dessin assisté par ordinateur (DAO)
et surtout de constituer des fichiers qui permettront, à l'aide du
logiciel SynerGIS*, de croiser les données et de réaliser des cartes
interprétatives sur des thèmes donnés (la maille adoptée est de 50 x
50 m).
2.2. - Origine des données
Les données indiquées sur les cartes ne sont valables que par
leur origine ; des indications supplémentaires, des précisions, des
localisations pour telle ou telle information pourront être obtenus
auprès des services ou organismes indiqués en regard.
" SynerGIS : progiciel de traitement multicritère éditer par le BRGM.
Fonds topographiques IGN
Géologie BRGM
Hydrogéologie BRGM
Zones inondables SHC
Zones de remontée de nappe BRGM
Carrières souterraines : CUDL, SDICS, BRGM
Affaissements miniers HBNPC
Périmètres de protection des captages : DDAF, DDE, SEN
Dépôts, remblais : CUDL, BRGM
Anciennes carrières CUDL, BRGM
Décharges résidus urbains DDE-U/DPU, TRU, BRGM
Déchets industriels DDE, DRIRE
IGN : Institut géographique national
CUDL : Communauté urbaine de LILLE
SDICS : Service Départemental d'Inspection des Carrières
Souterraines
SHC : Service Hydrologique Centraliseur
HBNPC : Houillères du Bassin du Nord - Pas-de-Calais
4 DDE : Direction Départementale de 1 'Equipement
i DDAF : Direction Départementale de 1 'Agriculture et de la Forêt
4 TRU : Traitement Résidus Urbains
4- DRIRE : Direction Régionale de l 'Industrie et de l 'Environnement
SEN : Société des Eaux du Nord
Fonds topographiques IGN
Géologie BRGM
Hydrogéologie BRGM
Zones inondables SHC
Zones de remontée de nappe BRGM
Carrières souterraines : CUDL, SDICS, BRGM
Affaissements miniers HBNPC
Périmètres de protection des captages : DDAF, DDE, SEN
Dépôts, remblais : CUDL, BRGM
Anciennes carrières CUDL, BRGM
Décharges résidus urbains DDE-U/DPU, TRU, BRGM
Déchets industriels DDE, DRIRE
IGN : Institut géographique national
CUDL : Communauté urbaine de LILLE
SDICS : Service Départemental d'Inspection des Carrières
Souterraines
SHC : Service Hydrologique Centraliseur
HBNPC : Houillères du Bassin du Nord - Pas-de-Calais
4 DDE : Direction Départementale de 1 'Equipement
i DDAF : Direction Départementale de 1 'Agriculture et de la Forêt
4 TRU : Traitement Résidus Urbains
4- DRIRE : Direction Régionale de l 'Industrie et de l 'Environnement
SEN : Société des Eaux du Nord
5.
3, - PRESENTATION DE L'AGGLOMERATION
3,1, - Localisation
L'étude s'étend sur le territoire de l'arrondissement de LILLE.
Il compte 26 cantons et 126 communes pour une population de 1,151,0002
habitants, sur une superficie de 87,947 ha (879 km ). L'arrondissement
est limité à l'Est et au Nord-Ouest par la frontière belge, à l'Ouest
par une ligne joignant ARMENTIERES à LA BASSEE et au Sud par le pays
minier.
3,2, - Topographie - Hydrographie
La zone de l'arrondissement de LILLE a un relief peu marqué et
de faible altitude. Les principaux axes de relief sont représentés par
les vallées. La Marque à l'Est qui coule Sud-Nord, et rejoint la Deule
qui coule également Sud-Nord, à l'Ouest de la zone, la Lys borde le
secteur d'étude au Nord-Ouest (toutes les rivières sont canalisées).
Les zones les plus élevées se trouvent au Sud de LILLE, zone de
LESQUIN-TEMPLEMARS, altitude + 50 IGN environ. Le fond des vallées se
trouve vers l'altitude + 20, ce sont des vallées larges dont les coteaux
sont à pente douce pour la Deule, entre la limite Sud et Marquette et
pour la Marque sur tout son tracé (la Deule entre Marquette et la Lys
sinue dans une vallée très peu marquée).
5.
3, - PRESENTATION DE L'AGGLOMERATION
3,1, - Localisation
L'étude s'étend sur le territoire de l'arrondissement de LILLE.
Il compte 26 cantons et 126 communes pour une population de 1,151,0002
habitants, sur une superficie de 87,947 ha (879 km ). L'arrondissement
est limité à l'Est et au Nord-Ouest par la frontière belge, à l'Ouest
par une ligne joignant ARMENTIERES à LA BASSEE et au Sud par le pays
minier.
3,2, - Topographie - Hydrographie
La zone de l'arrondissement de LILLE a un relief peu marqué et
de faible altitude. Les principaux axes de relief sont représentés par
les vallées. La Marque à l'Est qui coule Sud-Nord, et rejoint la Deule
qui coule également Sud-Nord, à l'Ouest de la zone, la Lys borde le
secteur d'étude au Nord-Ouest (toutes les rivières sont canalisées).
Les zones les plus élevées se trouvent au Sud de LILLE, zone de
LESQUIN-TEMPLEMARS, altitude + 50 IGN environ. Le fond des vallées se
trouve vers l'altitude + 20, ce sont des vallées larges dont les coteaux
sont à pente douce pour la Deule, entre la limite Sud et Marquette et
pour la Marque sur tout son tracé (la Deule entre Marquette et la Lys
sinue dans une vallée très peu marquée).
6.
3.3. - Géologie
Sur un substratum de craie du Sénonien se trouvent les
formations éocènes du Landénien et de l'Yprésien. Une structure
anticlinale de direction Est-Sud-Est - Ouest-Nord-Ouest fait apparaître
le Crétacé à l'affleurement au centre de la zone, les autres terrains
s'observent successivement vers le Nord et vers le Sud comme le montre
la coupe schématique de la figure n* 1.
Sur cette coupe de direction Ouest-Nord-Ouest - Est-Sud-Est,
allant d 'ARMENTIERES à BACHY, en passant par LILLE, on observe :
* le dôme crétacé, c'est-à-dire zone où la craie est très proche
du sol sous la terre végétale, qui s'étend de LILLE à PERONNE
en Mélantois, au centre de la coupe.
" de part et d'autre de ce dôme, à l'affleurement, apparaissent
successivement, les Argiles de Louvil, les Sables d'Ostricourt
(Landénien) et les Argiles des Flandres au Nord, Argiles
d'Orchies au Sud, appartenant à l'Yprésien.
Sur la carte géologique simplifiée, ces différentes formations
apparaissent en auréoles concentriques autour de l'affleurement de
craie.
3.4. - Hydrogéologie
Dans le secteur considéré, trois formations sont le siège d'une
nappe d'eau souterraine : les Sables d'Ostricourt, la Craie du Séno-
Turonien et le Calcaire du Carbonifère.
6.
3.3. - Géologie
Sur un substratum de craie du Sénonien se trouvent les
formations éocènes du Landénien et de l'Yprésien. Une structure
anticlinale de direction Est-Sud-Est - Ouest-Nord-Ouest fait apparaître
le Crétacé à l'affleurement au centre de la zone, les autres terrains
s'observent successivement vers le Nord et vers le Sud comme le montre
la coupe schématique de la figure n* 1.
Sur cette coupe de direction Ouest-Nord-Ouest - Est-Sud-Est,
allant d 'ARMENTIERES à BACHY, en passant par LILLE, on observe :
* le dôme crétacé, c'est-à-dire zone où la craie est très proche
du sol sous la terre végétale, qui s'étend de LILLE à PERONNE
en Mélantois, au centre de la coupe.
" de part et d'autre de ce dôme, à l'affleurement, apparaissent
successivement, les Argiles de Louvil, les Sables d'Ostricourt
(Landénien) et les Argiles des Flandres au Nord, Argiles
d'Orchies au Sud, appartenant à l'Yprésien.
Sur la carte géologique simplifiée, ces différentes formations
apparaissent en auréoles concentriques autour de l'affleurement de
craie.
3.4. - Hydrogéologie
Dans le secteur considéré, trois formations sont le siège d'une
nappe d'eau souterraine : les Sables d'Ostricourt, la Craie du Séno-
Turonien et le Calcaire du Carbonifère.
ât de "CARTE DE VULNERABILITE"
Coupe géologique7.
- WEPPES _ . MÉLANTOIS _
- X
-PÉVÉLE.
_ W . N W - _ E . S E _
• 100 m-i BAILLEUL
o -rt--^
• 100 m
-100
-200
-300
-400 Arrondissement de LILLE
- - 300
— 400
LÉGENDE
i r fli l l
frl
\
Argiles des Flandres (Yprésien)
Sables et Grés tiOstricouri (Landénien supérieur! Nappe des sables tertiaires
Argile de Louvil et luff eau (Landénien intérieur)
Craie blanche et ciaie grise (Séno-turonien} Nappe tin la vraie
Marnus ctayeuses (Turomen moyen et inférieur)
Crare marneuse (Cénomanien) Nappe captive tie la craie cènomamenne
Argiles (lu "Gduli ' (Atinen)
Gres, schistes ei hooilln (Cjrbonifèrv supérieur Wenphal ipn PI Namurien)
C.ik:üifes. rinlomjes et schistes (Carbonifùrfï inténrur Tnurrwiisienpi Vi&éf»ot N.ippe rnpin-t* ilu
"Calcaire mrhonilère"
Grt.-a, schistes et calcaires (D<!vonicn
'r.ir.nit>ns,n;tpi>e ries grés tamennien:
tirés, schistes et calcaires (Déwonien
Schistes (Siluirenl
i-iir t>i rnnvi-nl N.i¡>iw ift-.s i .ilr.uifs .¡
10km 2 0 k m
8.
* Les Sables d'Ostricourt sont le siège d'une nappe à faible
capacité, elle est un peu exploitée ; lorsque les sables se
trouvent sous couverture argileuse peu épaisse, son importance
relève de l'alimentation individuelle ou de petite industrie.
La nappe de la craie séno-turonienne s'étend sous la majeure
partie de la zone étudiée ; elle est alimentée directement par
les eaux météoriques. Sa profondeur sous la surface du sol est
comprise entre 5 et 30 m. L'épaisseur de craie productrice est
de 20 à 40 m.
Cette nappe est largement utilisée tant pour l'alimentation
publique que pour l'industrie et revêt de ce fait une grande
importance économique dans la région. Ses points faibles sont
essentiellement sa vulnérabilité aux pollutions venant de la
surface et sa dépendance vis-à-vis de la pluviométrie qui a
pour conséquence une variation importante du niveau, notamment
en zone d'affleurement.
La nappe du Calcaire carbonifère est également présente sous la
plus grande partie de la zone d'étude ; elle est captive sous
les formations crétacées et son alimentation se fait par infil¬
tration au niveau des affleurements qui se trouvent en Belgique.
Il faut des ouvrages de 100 à 200 m de profondeur pour l'ex¬
ploiter.
C'est un aquifére qui présente de bonnes caractéristiques
hydrauliques et qui participe également à l'alimentation en eau
publique et à l'industrie, mais depuis de nombreuses années une
exploitation trop intense provoque un abaissement du niveau de
l'ordre de 1,5 m par an.
8.
* Les Sables d'Ostricourt sont le siège d'une nappe à faible
capacité, elle est un peu exploitée ; lorsque les sables se
trouvent sous couverture argileuse peu épaisse, son importance
relève de l'alimentation individuelle ou de petite industrie.
La nappe de la craie séno-turonienne s'étend sous la majeure
partie de la zone étudiée ; elle est alimentée directement par
les eaux météoriques. Sa profondeur sous la surface du sol est
comprise entre 5 et 30 m. L'épaisseur de craie productrice est
de 20 à 40 m.
Cette nappe est largement utilisée tant pour l'alimentation
publique que pour l'industrie et revêt de ce fait une grande
importance économique dans la région. Ses points faibles sont
essentiellement sa vulnérabilité aux pollutions venant de la
surface et sa dépendance vis-à-vis de la pluviométrie qui a
pour conséquence une variation importante du niveau, notamment
en zone d'affleurement.
La nappe du Calcaire carbonifère est également présente sous la
plus grande partie de la zone d'étude ; elle est captive sous
les formations crétacées et son alimentation se fait par infil¬
tration au niveau des affleurements qui se trouvent en Belgique.
Il faut des ouvrages de 100 à 200 m de profondeur pour l'ex¬
ploiter.
C'est un aquifére qui présente de bonnes caractéristiques
hydrauliques et qui participe également à l'alimentation en eau
publique et à l'industrie, mais depuis de nombreuses années une
exploitation trop intense provoque un abaissement du niveau de
l'ordre de 1,5 m par an.
9.
3.5. - Urbanisation
Les chiffres cités au paragraphe 3.1. montrent une densité de
population (moyenne sur l'ensemble de l'agglomération) de 1.200 habi-2
tants par km , ce qui est le reflet d'une très forte urbanisation.
Les principales zones urbaines sont groupées autour de l'axe
LILLE-ROUBAIX-TOURCOING pour former une agglomération continue s 'éten¬
dant sur 20 X 10 km et suivant un nouvel axe LILLE - VILLENEUVE-D'ASCQ.
D'autres agglomérations importantes se trouvent dans la vallée
de la Lys, en bordure de la Belgique comme ARMENTIERES, COMINES et
HALLUIN.
4. - CARTES DES DONNEES
4.1, - Eléments à retenir
Des éléments brièvement décrits ci-avant, nous en avons retenu
les principaux, c'est-à-dire ceux qui peuvent présenter un intérêt ou un
inconvénient vis-à-vis de l'aménagement.
La nature du sol
Les caractéristiques du sol et du sous-sol sont un des facteurs
à prendre en compte pour tous les travaux, construction ou
aménagement, pour le rôle qu'ils jouent en tant que zone de
transit pour l'eau de pluie allant rejoindre la nappe, pour
leur aptitude à être exploités comme matériaux et pour leur
capacité à retenir ou à épurer divers éléments plus ou moins
nocifs :
Schéma géologique
9.
3.5. - Urbanisation
Les chiffres cités au paragraphe 3.1. montrent une densité de
population (moyenne sur l'ensemble de l'agglomération) de 1.200 habi-2
tants par km , ce qui est le reflet d'une très forte urbanisation.
Les principales zones urbaines sont groupées autour de l'axe
LILLE-ROUBAIX-TOURCOING pour former une agglomération continue s 'éten¬
dant sur 20 X 10 km et suivant un nouvel axe LILLE - VILLENEUVE-D'ASCQ.
D'autres agglomérations importantes se trouvent dans la vallée
de la Lys, en bordure de la Belgique comme ARMENTIERES, COMINES et
HALLUIN.
4. - CARTES DES DONNEES
4.1, - Eléments à retenir
Des éléments brièvement décrits ci-avant, nous en avons retenu
les principaux, c'est-à-dire ceux qui peuvent présenter un intérêt ou un
inconvénient vis-à-vis de l'aménagement.
La nature du sol
Les caractéristiques du sol et du sous-sol sont un des facteurs
à prendre en compte pour tous les travaux, construction ou
aménagement, pour le rôle qu'ils jouent en tant que zone de
transit pour l'eau de pluie allant rejoindre la nappe, pour
leur aptitude à être exploités comme matériaux et pour leur
capacité à retenir ou à épurer divers éléments plus ou moins
nocifs :
Schéma géologique
10.
Les caractéristiques de la nappe d'eau souterraine
Compte-tenu de l'importance humaine et économique de la nappe
de la craie, il est important de savoir, où elle se trouve, sa
profondeur par rapport au sol, les zones où elle est exploitée
et à protéger et son sens d'écoulement :
Carte hydrogéologique de la nappe de la craie
Les facteurs d'instabilité liés au sol et au sous-sol
La zone couverte par l'étude a une longue histoire d'occupation
par l'homme et des traces ou des restes d'anciennes activités
doivent être pris en compte car ils peuvent présenter des
risques d'instabilité aux aménagements futurs.
Des inconvénients liés au sous-sol peuvent aussi se rapporter à
des phénomènes naturels comme la présence de formation compres¬
sible ou de secteur de remontée de nappe à proximité du sol :
Carte des contraintes
4.2. - Cartes des éléments
CARTES TOPOGRAPHIQUES
Fond topographique IGN 1/50 000 (montage à partir de
film IGN)
10.
Les caractéristiques de la nappe d'eau souterraine
Compte-tenu de l'importance humaine et économique de la nappe
de la craie, il est important de savoir, où elle se trouve, sa
profondeur par rapport au sol, les zones où elle est exploitée
et à protéger et son sens d'écoulement :
Carte hydrogéologique de la nappe de la craie
Les facteurs d'instabilité liés au sol et au sous-sol
La zone couverte par l'étude a une longue histoire d'occupation
par l'homme et des traces ou des restes d'anciennes activités
doivent être pris en compte car ils peuvent présenter des
risques d'instabilité aux aménagements futurs.
Des inconvénients liés au sous-sol peuvent aussi se rapporter à
des phénomènes naturels comme la présence de formation compres¬
sible ou de secteur de remontée de nappe à proximité du sol :
Carte des contraintes
4.2. - Cartes des éléments
CARTES TOPOGRAPHIQUES
Fond topographique IGN 1/50 000 (montage à partir de
film IGN)
11.
INFORMATIONS NUMERISEES SOUS LOGICIEL INTERGRAPH
- Fond simplifié - limites administratives
- nom des communes
- réseau hydrographique
- Schéma géologique - alluvions
- argile des Flandres
- sables d'Ostricourt
- argile de Louvil
- craie
- courbes du toit du turonien moyen
- failles
- carte hydrogéologique - piézométrie de la nappe de la craie
- points de captage
- périmètres de protection
- périmètre d'intérêt général (PIG)
- cartes des contraintes - limites des formations pouvant
contenir des terrains compressibles
- zone de remontée de nappe
- dépôts, terrils
- carrières souterraines
- anciennes carrières
- ordures ménagères
- déchets industriels
- zone d'effondrement minier
nota : pour compléter les données, utilisation de la carte de
productivité de la nappe de la craie (Rapport 85
SGN 417 NPC carte d'orientation à l'exploitation de la
nappe de la craie pour les pompes à chaleur).
11.
INFORMATIONS NUMERISEES SOUS LOGICIEL INTERGRAPH
- Fond simplifié - limites administratives
- nom des communes
- réseau hydrographique
- Schéma géologique - alluvions
- argile des Flandres
- sables d'Ostricourt
- argile de Louvil
- craie
- courbes du toit du turonien moyen
- failles
- carte hydrogéologique - piézométrie de la nappe de la craie
- points de captage
- périmètres de protection
- périmètre d'intérêt général (PIG)
- cartes des contraintes - limites des formations pouvant
contenir des terrains compressibles
- zone de remontée de nappe
- dépôts, terrils
- carrières souterraines
- anciennes carrières
- ordures ménagères
- déchets industriels
- zone d'effondrement minier
nota : pour compléter les données, utilisation de la carte de
productivité de la nappe de la craie (Rapport 85
SGN 417 NPC carte d'orientation à l'exploitation de la
nappe de la craie pour les pompes à chaleur).
12.
4.2.1. Carte topographique
La première carte réalisée est une carte topographique qui
permet de situer la zone dans un système de référence ; c'est
une carte à 1/50.000 qui a été obtenue par assemblage des films
à 1/50.000 de l'IGN :
n" 14 - LILLE-HALLUIN
n' 13 - HAZEBROUCK
n' 19 - BETHUNE
n' 20 - CARVIN
n" 21 - SAINT-AMAND
n' 8 - STEENWOORDE
4.2.2. Schéma géologique (fig. 2)
Le schéma géologique a été obtenu à partir des cartes
géologiques à 1/50.000.
On y remarque les deux zones d'alluvions soulignant des
vallées de la Deule et de la Marque se joignant au Nord de
LILLE.
Les zones argileuses sont au Nord les argiles des Flandres
au Sud, les argiles d'ORCHIES.
Elles sont soulignées par une bande de sables d'Ostricourt
puis vers le centre de la zone par une bande d'Argile de Louvil
bordant l'affleurement de craie.
Sur ce schéma ont été ajoutées les courbes d'égales
altitudes du toit du Turonien moyen. En effet, cet étage est
marneux et il est considéré comme étant la base de la nappe de
la craie ; cette altitude en un point donné est importante
puisqu'elle permet de connaître l'épaisseur de la nappe en la
combinant avec l'altitude du toit de la nappe.
12.
4.2.1. Carte topographique
La première carte réalisée est une carte topographique qui
permet de situer la zone dans un système de référence ; c'est
une carte à 1/50.000 qui a été obtenue par assemblage des films
à 1/50.000 de l'IGN :
n" 14 - LILLE-HALLUIN
n' 13 - HAZEBROUCK
n' 19 - BETHUNE
n' 20 - CARVIN
n" 21 - SAINT-AMAND
n' 8 - STEENWOORDE
4.2.2. Schéma géologique (fig. 2)
Le schéma géologique a été obtenu à partir des cartes
géologiques à 1/50.000.
On y remarque les deux zones d'alluvions soulignant des
vallées de la Deule et de la Marque se joignant au Nord de
LILLE.
Les zones argileuses sont au Nord les argiles des Flandres
au Sud, les argiles d'ORCHIES.
Elles sont soulignées par une bande de sables d'Ostricourt
puis vers le centre de la zone par une bande d'Argile de Louvil
bordant l'affleurement de craie.
Sur ce schéma ont été ajoutées les courbes d'égales
altitudes du toit du Turonien moyen. En effet, cet étage est
marneux et il est considéré comme étant la base de la nappe de
la craie ; cette altitude en un point donné est importante
puisqu'elle permet de connaître l'épaisseur de la nappe en la
combinant avec l'altitude du toit de la nappe.
13.
F J G . 2
CT trUMAMMK M L'AOOLOMPIATION
M COMTTI D O CONTMafFM
SCHEMA GEOLOClÛLC
14.
4.2.3. Carte hydrogéologique de la nappe de la craie
(fig. 3)
La carte hydrogéologique ne concerne que la nappe de la
craie considérant qu'il s'agit de la nappe la plus importante
et la plus sensible (carte établie avec des mesures de janvier
1989 - période de basses eaux).
Il faut remarquer :
- au-delà d'une limite passant au nord de LILLE, la craie
s'enfonce sous les argiles des Flandres et devient
compacte, l'intérêt économique de cette ressource en eau
souterraine devient plus limité,
- la nappe présente un dôme au centre de la zone avec
écoulement vers le Nord et vers le Sud,
- les points de captage sont regroupés essentiellement
dans la vallée de la Deule,
- les zones d'alimentation de l'agglomération créent des
dépressions dans la nappe (Les Ansereuilles,
Hempempont) .
4.2.4. Carte des contraintes (fig. 4)
Sur cette carte sont représentés des phénomènes naturels
et anthropiques.
- Les phénomènes naturels considérés comme présentant des
inconvénients (il ne s'agit pas d'une contrainte à
proprement parler, mais d'une particularité qu'il faut
prendre en compte et qui nécessite, soit des reconnais¬
sances complémentaires avant travaux, soit des disposi¬
tifs particuliers dans les fondations).
14.
4.2.3. Carte hydrogéologique de la nappe de la craie
(fig. 3)
La carte hydrogéologique ne concerne que la nappe de la
craie considérant qu'il s'agit de la nappe la plus importante
et la plus sensible (carte établie avec des mesures de janvier
1989 - période de basses eaux).
Il faut remarquer :
- au-delà d'une limite passant au nord de LILLE, la craie
s'enfonce sous les argiles des Flandres et devient
compacte, l'intérêt économique de cette ressource en eau
souterraine devient plus limité,
- la nappe présente un dôme au centre de la zone avec
écoulement vers le Nord et vers le Sud,
- les points de captage sont regroupés essentiellement
dans la vallée de la Deule,
- les zones d'alimentation de l'agglomération créent des
dépressions dans la nappe (Les Ansereuilles,
Hempempont) .
4.2.4. Carte des contraintes (fig. 4)
Sur cette carte sont représentés des phénomènes naturels
et anthropiques.
- Les phénomènes naturels considérés comme présentant des
inconvénients (il ne s'agit pas d'une contrainte à
proprement parler, mais d'une particularité qu'il faut
prendre en compte et qui nécessite, soit des reconnais¬
sances complémentaires avant travaux, soit des disposi¬
tifs particuliers dans les fondations).
S.t).A.U. 15.
CARTE HYDROGEOLOGIQUE
634I
638I
642I
646I
650X LAMBERT
654 658
ITJCG - 3
666662I
,/
.A-
A , Vf *** f
xj^\.**' Vá « * « » tí s A-'-y-,
r.' é ' i*< ^* -
634 638 642 646 650 654 658X UMBERT
662 666
FORAGE DESTIt-iE A L'EAU FOTfCLE EXPLOITEFORAGE DESTINE A L'EAU POTABLE NON EXPLOITEFORAÎE DESTINE A L'EAU INDUSTRIELLE EXPLOITEFOPjiGE DESTINE A L'EAU INDUSTRIELLE MON EXPLOITEFGFjkCE DESTINE A UNE AUTRE UTILISATION EXPLOITEFORAGE DESTINE A UNE AUTRE UTILISATION NON EXPLOTEFOP.AGE CAPTANT LA NAPPE DE LA CRAIEPIEZOMETRIE OE LA NAPPE OE LA CRAIE (JANVIER 1969)PERIMETRE DE PROTECTION IMMEDIATE AVtC DUP OU PiGPERIMCTRE OE PROTECTION PjkPPROCHEE AVEC DUP OU PiGPERIMETFE OE PROTECTION ELOIGNEE A.ÍC DUP OU PIGLIMITE OE PRODUCTIVITE CE LA NAPPE DE LA CRAIE
S.t).A.U. 15.
CARTE HYDROGEOLOGIQUE
634I
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634 638 642 646 650 654 658X UMBERT
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FORAGE DESTIt-iE A L'EAU FOTfCLE EXPLOITEFORAGE DESTINE A L'EAU POTABLE NON EXPLOITEFORAÎE DESTINE A L'EAU INDUSTRIELLE EXPLOITEFOPjiGE DESTINE A L'EAU INDUSTRIELLE MON EXPLOITEFGFjkCE DESTINE A UNE AUTRE UTILISATION EXPLOITEFORAGE DESTINE A UNE AUTRE UTILISATION NON EXPLOTEFOP.AGE CAPTANT LA NAPPE DE LA CRAIEPIEZOMETRIE OE LA NAPPE OE LA CRAIE (JANVIER 1969)PERIMETRE DE PROTECTION IMMEDIATE AVtC DUP OU PiGPERIMCTRE OE PROTECTION PjkPPROCHEE AVEC DUP OU PiGPERIMETFE OE PROTECTION ELOIGNEE A.ÍC DUP OU PIGLIMITE OE PRODUCTIVITE CE LA NAPPE DE LA CRAIE
16.
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M UU1
MME EN COMPTI K B COMIMMTEt
CHITE DCS CONTRANTES
17.
Ces phénomènes sont : la présence de formations compres¬
sibles dans le sous-sol (nécessitant éventuellement des
fondations spéciales) : il s'agit seulement d'une possi¬
bilité car la zone a été délimitée en prenant les
limites des alluvions sur la carte géologique.
les zones de remontée de la nappe, nous avons délimité
les zones où la nappe de la craie se trouve à moins de 5
m de profondeur par rapport à la surface du sol. Cette
profondeur a été retenue car c'est à peu près la limite
atteinte pour les travaux courants de construction et
rappelons que ces zones ont été établies en période de
basses eaux, donc susceptibles d'être encore plus près à
certaines périodes de l'année.
- les zones inondables ont été également délimitées.
les phénomènes anthropiques ont été recensés : les zones
d'anciennes carrières (l'excavation laissée pouvant
avoir été comblée par " n'importe quoi ") ; les zones de
carrières souterraines ; les zones d'affaissement minier
(il s'agit de la zone d'Ostricourt, les valeurs indi¬
quées datent de 1960) ; les zones de dépôts de toutes
sortes, boue de curage de rivière, terril, ordures
ménagères, dépôts inertes, déchets industriels.
5, - CARTES INTERPRETATIVES
Tous les éléments cartographies ont été saisis sous système
informatique : ainsi par l'utilisation d'un logiciel (SynerGIS) permet¬
tant de croiser les données, il a été établi des cartes interprétatives
sur des thèmes d'utilisation du sous-sol ou de contraintes engendrées
par des phénomènes naturels ou anthropiques.
17.
Ces phénomènes sont : la présence de formations compres¬
sibles dans le sous-sol (nécessitant éventuellement des
fondations spéciales) : il s'agit seulement d'une possi¬
bilité car la zone a été délimitée en prenant les
limites des alluvions sur la carte géologique.
les zones de remontée de la nappe, nous avons délimité
les zones où la nappe de la craie se trouve à moins de 5
m de profondeur par rapport à la surface du sol. Cette
profondeur a été retenue car c'est à peu près la limite
atteinte pour les travaux courants de construction et
rappelons que ces zones ont été établies en période de
basses eaux, donc susceptibles d'être encore plus près à
certaines périodes de l'année.
- les zones inondables ont été également délimitées.
les phénomènes anthropiques ont été recensés : les zones
d'anciennes carrières (l'excavation laissée pouvant
avoir été comblée par " n'importe quoi ") ; les zones de
carrières souterraines ; les zones d'affaissement minier
(il s'agit de la zone d'Ostricourt, les valeurs indi¬
quées datent de 1960) ; les zones de dépôts de toutes
sortes, boue de curage de rivière, terril, ordures
ménagères, dépôts inertes, déchets industriels.
5, - CARTES INTERPRETATIVES
Tous les éléments cartographies ont été saisis sous système
informatique : ainsi par l'utilisation d'un logiciel (SynerGIS) permet¬
tant de croiser les données, il a été établi des cartes interprétatives
sur des thèmes d'utilisation du sous-sol ou de contraintes engendrées
par des phénomènes naturels ou anthropiques.
18.
mPour un thèse donné, il a été procédé à une sélection de
critères élémentaires puisés dans les cartes de données ; ces critères
ont été hiérarchisés en fonction de notre connaissance du phénomène.
La réalisation des cartes multicritères est obtenue en affec¬
tant un coefficient à chaque élément retenu dans un type de données et
un coefficient différent pour chaque type de données afin que les
éléments soient pris en compte selon leur importance réelle.
Dans certains cas particuliers, les données ne sont pas affec¬
tées de coefficient, leur représentation sur la carte est alors considé¬
rée comme illustration et non comme critère avec un poids particulier.
Ce système permet de visualiser les zones par gradation des
couleurs, mais il faut être prudent quant à l'utilisation de ces docu¬
ments car une même classe de valeur (et donc une même couleur) peut être
obtenue de plusieurs façons différentes.
5.1. - Sensibilité à la pollution de la nappe de la craie
(Cf. Fig. 5)
critères retenus : profondeur de la nappe
nature de la formation à l'affleurement
La profondeur de la nappe a été affectée du coefficient 1 ; 4
classes ont été distinguées : profondeur > 30 m ; comprises
entre 15 et 30 m ; entre 5 et 15 m ; profondeur inférieure à
5 m - chaque classe affectée d'un coefficient de vulnérabilité
croissant de 1 à 4.
18.
mPour un thèse donné, il a été procédé à une sélection de
critères élémentaires puisés dans les cartes de données ; ces critères
ont été hiérarchisés en fonction de notre connaissance du phénomène.
La réalisation des cartes multicritères est obtenue en affec¬
tant un coefficient à chaque élément retenu dans un type de données et
un coefficient différent pour chaque type de données afin que les
éléments soient pris en compte selon leur importance réelle.
Dans certains cas particuliers, les données ne sont pas affec¬
tées de coefficient, leur représentation sur la carte est alors considé¬
rée comme illustration et non comme critère avec un poids particulier.
Ce système permet de visualiser les zones par gradation des
couleurs, mais il faut être prudent quant à l'utilisation de ces docu¬
ments car une même classe de valeur (et donc une même couleur) peut être
obtenue de plusieurs façons différentes.
5.1. - Sensibilité à la pollution de la nappe de la craie
(Cf. Fig. 5)
critères retenus : profondeur de la nappe
nature de la formation à l'affleurement
La profondeur de la nappe a été affectée du coefficient 1 ; 4
classes ont été distinguées : profondeur > 30 m ; comprises
entre 15 et 30 m ; entre 5 et 15 m ; profondeur inférieure à
5 m - chaque classe affectée d'un coefficient de vulnérabilité
croissant de 1 à 4.
19.
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profoiidifur rip la
nature du terrain
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Profondeur 4e la nappe :î c o u p u r e retenues - S m . \'>tn , M)v:,t i^iablii' A partir di-s cotes au srcl des sondases d<.p l.i
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3DAU LILLESENSIBILITE
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BRGMB' T Cl . 5
20.
. La nature de la formation à l'affleurement joue un rôle tout
aussi important que la profondeur de la nappe (coefficient 1)
et les 4 classes sont affectées d'un coefficient de vulnérabi¬
lité croissant de 1 à 4 : l'argile ne laissant pas l'eau
s'infiltrer alors que la craie est perméable. Les sables sont
considérés comme un facteur de faible vulnérabilité car une
couche d'argile est intercalée entre ces sables et la craie.
Pour la suite, cette vulnérabilité a été retenue en 4 classes :
très faible 1-2 ; faible 3-4 ; moyenne 5-6 ; forte > 6 qui seront
considérées comme une contrainte croissante.
5.2. - Contraintes par rapport à la construction (Fig. 6)
Critères retenus
- nature des terrains,
- carrières souterraines,
- formation compressible,
- zone inondable,
- zone de remontée de nappe,
- zone de dépôt, remblai, ancienne carrière,
. Nature des terrains :
Dans la région de LILLE l'aptitude des terrains à la cons¬
truction est variable selon la formation géologique. Il a été
donné un " poids " de 2 pour la nature des terrains en considé¬
rant que cette notion était primordiale. Les contiaintes vont
en croissant de la craie aux alluvions en passant par argile et
sables.
20.
. La nature de la formation à l'affleurement joue un rôle tout
aussi important que la profondeur de la nappe (coefficient 1)
et les 4 classes sont affectées d'un coefficient de vulnérabi¬
lité croissant de 1 à 4 : l'argile ne laissant pas l'eau
s'infiltrer alors que la craie est perméable. Les sables sont
considérés comme un facteur de faible vulnérabilité car une
couche d'argile est intercalée entre ces sables et la craie.
Pour la suite, cette vulnérabilité a été retenue en 4 classes :
très faible 1-2 ; faible 3-4 ; moyenne 5-6 ; forte > 6 qui seront
considérées comme une contrainte croissante.
5.2. - Contraintes par rapport à la construction (Fig. 6)
Critères retenus
- nature des terrains,
- carrières souterraines,
- formation compressible,
- zone inondable,
- zone de remontée de nappe,
- zone de dépôt, remblai, ancienne carrière,
. Nature des terrains :
Dans la région de LILLE l'aptitude des terrains à la cons¬
truction est variable selon la formation géologique. Il a été
donné un " poids " de 2 pour la nature des terrains en considé¬
rant que cette notion était primordiale. Les contiaintes vont
en croissant de la craie aux alluvions en passant par argile et
sables.
21
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- 325.00
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D E L I L L E
C o n t r a i n t e p a r r a p p o r t a la c o n s t r u c t i o n
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zone à 'instabilité
zones urbaines
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très forte
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22.
La présence ou l'absence de carrière souterraine dans la
craie a aussi été affectée d'un coefficient 2 avec une
contrainte maximum là où les carrières sont délimitées et
reconnues.
- Les formations compressibles
La présence de formations compressibles dans les alluvions
est possible mais non certaine et nécessite des précautions
au niveau du projet de construction (reconnaissance...) sans
être véritablement une contrainte. Seuls deux coefficients
ont été retenus avec un " poids " de 0,5,
Les zones inondables sont peu étendues, mais il faut en tenir
compte, deux critères retenus (absence, présence) et un
" poids " de 0,5.
- Zone de remontée de nappe
Les fluctuations interannuelles de la nappe de la craie
peuvent être de l'ordre de plusieurs mètres dans les vallées
(jusqu'à 7-8 m sous les plateaux). La position de la nappe
par rapport au sol a donc été prise en compte en croisant la
surface piézométrique et la surface topographique ; des
classes de profondeur correspondant à une contrainte de plus
en plus forte sont : profondeur supérieure à 30 m, comprise
entre 15 et 30 m, entre 5 et 15 m et inférieure à 5 m. Le
" poids " de ce critère est 1,
22.
La présence ou l'absence de carrière souterraine dans la
craie a aussi été affectée d'un coefficient 2 avec une
contrainte maximum là où les carrières sont délimitées et
reconnues.
- Les formations compressibles
La présence de formations compressibles dans les alluvions
est possible mais non certaine et nécessite des précautions
au niveau du projet de construction (reconnaissance...) sans
être véritablement une contrainte. Seuls deux coefficients
ont été retenus avec un " poids " de 0,5,
Les zones inondables sont peu étendues, mais il faut en tenir
compte, deux critères retenus (absence, présence) et un
" poids " de 0,5.
- Zone de remontée de nappe
Les fluctuations interannuelles de la nappe de la craie
peuvent être de l'ordre de plusieurs mètres dans les vallées
(jusqu'à 7-8 m sous les plateaux). La position de la nappe
par rapport au sol a donc été prise en compte en croisant la
surface piézométrique et la surface topographique ; des
classes de profondeur correspondant à une contrainte de plus
en plus forte sont : profondeur supérieure à 30 m, comprise
entre 15 et 30 m, entre 5 et 15 m et inférieure à 5 m. Le
" poids " de ce critère est 1,
23.
- Zone d'instabilité
Les critères correspondant à une contrainte due à l'instabi¬
lité des sols sont en valeur de contrainte croissante.
Les effondrements miniers sont un inconvénient mineur dans la
mesure où les mouvements correspondants sont stabilisés.
Les anciennes carrières, il faut en tenir compte dans un
projet d'aménagement, soit qu'il s'agisse d'une excavation,
soit qu'il s'agisse du comblement par un matériau dont on
ignore la nature.
Les dépôts, terrils : ce sont les zones comblées (ou en
tertre) dont on sait qu'il s'agit de matériaux inertes
(matériaux de déblais ou de curage), ils ont été considérés
comme présentant une contrainte certaine dans les projets
d'aménagement coefficient 3.
Les dépôts d'ordures ménagères ont été considérés comme
présentant une contrainte maximale (coefficient 4) vis-à-vis
d'un projet d'aménagement.
Sur la carte ainsi obtenue, on constate que les zones où les
contraintes vis-à-vis de la construction sont faibles à
moyennes sont situées principalement sur les argiles ; ce
résultats ne tient pas compte du phénomène de dessication
(récemment apparu après deux années de sécheresse) pour
lequel l'habitat individuel ou le petit collectif sont
particulièrement sensibles.
23.
- Zone d'instabilité
Les critères correspondant à une contrainte due à l'instabi¬
lité des sols sont en valeur de contrainte croissante.
Les effondrements miniers sont un inconvénient mineur dans la
mesure où les mouvements correspondants sont stabilisés.
Les anciennes carrières, il faut en tenir compte dans un
projet d'aménagement, soit qu'il s'agisse d'une excavation,
soit qu'il s'agisse du comblement par un matériau dont on
ignore la nature.
Les dépôts, terrils : ce sont les zones comblées (ou en
tertre) dont on sait qu'il s'agit de matériaux inertes
(matériaux de déblais ou de curage), ils ont été considérés
comme présentant une contrainte certaine dans les projets
d'aménagement coefficient 3.
Les dépôts d'ordures ménagères ont été considérés comme
présentant une contrainte maximale (coefficient 4) vis-à-vis
d'un projet d'aménagement.
Sur la carte ainsi obtenue, on constate que les zones où les
contraintes vis-à-vis de la construction sont faibles à
moyennes sont situées principalement sur les argiles ; ce
résultats ne tient pas compte du phénomène de dessication
(récemment apparu après deux années de sécheresse) pour
lequel l'habitat individuel ou le petit collectif sont
particulièrement sensibles.
24.
5.3. - Aptitude à l'exploitation de la nappe de la craie
(Cf, Fig, 7)
Les critères retenus sont :
- la vulnérabilité de la nappe de la craie
- la productivité de la nappe de la craie
Les classes de vulnérabilité sont celles qui ont été retenues
précédemment (fortes valeurs dans les zones les plus vulnérables) avec3 3coefficient 1. Les classes de productivité vont de > 50 m /h à < 10 m /h
avec des valeurs croissantes et un coefficient de 2 indiquant que nous y
attribuons une importance plus grande.
Dans cette carte, les valeurs fortes sont celles qui sont
défavorables à l'exploitation de la nappe de la craie et par conséquent
celles qui présentent la contrainte la jaeins forte.
5.4. - Aptitude à l'exploitation des matériaux (Cf, Fig, 8)
Les critères retenus sont :
- la nature du matériau disponible à l'affleurement, à
laquelle nous avons affecté un " poids " prépondérant, la
profondeur de la nappe et la présence ou l'absence de zone
inondable.
Comme précédemment c'est dans les zones les moins favorables
que la contrainte est la moins forte.
24.
5.3. - Aptitude à l'exploitation de la nappe de la craie
(Cf, Fig, 7)
Les critères retenus sont :
- la vulnérabilité de la nappe de la craie
- la productivité de la nappe de la craie
Les classes de vulnérabilité sont celles qui ont été retenues
précédemment (fortes valeurs dans les zones les plus vulnérables) avec3 3coefficient 1. Les classes de productivité vont de > 50 m /h à < 10 m /h
avec des valeurs croissantes et un coefficient de 2 indiquant que nous y
attribuons une importance plus grande.
Dans cette carte, les valeurs fortes sont celles qui sont
défavorables à l'exploitation de la nappe de la craie et par conséquent
celles qui présentent la contrainte la jaeins forte.
5.4. - Aptitude à l'exploitation des matériaux (Cf, Fig, 8)
Les critères retenus sont :
- la nature du matériau disponible à l'affleurement, à
laquelle nous avons affecté un " poids " prépondérant, la
profondeur de la nappe et la présence ou l'absence de zone
inondable.
Comme précédemment c'est dans les zones les moins favorables
que la contrainte est la moins forte.
25.
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315.00 -
310.00 -
305 00-
1 L 1670.00
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S C H E M A D I R E C T E U R D E M E N A G E M E N TET D ^ U R B A N i S M E DE L* A G G L O M E R A T I ON
DE L I L L E
A p t i t u d e a l e x p l o i t a t i o n e n e a u!
échelle d'aptitude décroissante
position du point
vulnérabilité dela nappe
productivité
coef f
1
1
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1
craie
1-2
>50 mlfh
2
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> 6
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DE 9 A 9
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SDAU LILLEEXPL0ITEAU
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0.00 2:30 ¿.00
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- 340.00
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- 32500
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S C H E M A D I R E C T E U R D ' A M E N A G E M E N TET D % ÜRBAKISME DE L ̂ AGGLOMERAT I ON
D E L I L L E
A p t i t u d e a 1 e x p l o i t a t i o n e n m a t é r i a u x
échelle d'aptitude décroissant^
- 320 00
- ïl-5 OU
- 330 00
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nature
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très défavorable
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exploitation éventuelleÍ sable.craie et argile )
exploitation éventuelle' argile )
SDAU LILLEEXPLOITMAT
BRGM
27.
5.5, - Aptitude à l'assainissement par épandage souterrain
(arrêté 03,03,82) vis-à-vis d'une pollution de la
nappe de la craie (Cf , Fig, 9)
Les critères pris en compte sont
La nature du terrain : nous avons distingué 4 catégories de
terrain allant du plus imperméable au plus perméable.
La notion d'épaisseur de ces formations n'a pu être prises en
compte dans le traitement, malgré son importance, faute de précision par
zones. Le zonage obtenu doit donc être considéré comme indicatif et ne
peut servir à établir un projet qu'après une étude détaillée, en parti¬
culier vis-à-vis des nappes perchées un peu exploitées (nappe des Sables
d'Ostricourt par exemple) ou dans le cas où il faudra avoir recours à
des épandages sur tertre.
Les épaisseurs moyennes que l'on peut retenir sont
Argiles des Flandres environ 30 mètres
Argiles de Louvil environ 15 mètres
Alluvions plus ou moins argileuses environ 10 mètres
Sables d'Ostricourt 20 à 30 mètres.
6, - CARTE DE SYNTHESE (Cf, Fig, 10)
La carte de synthèse présentant la contrainte globale a été
réalisée à partir du résultat des cinq cartes interprétatives.
27.
5.5, - Aptitude à l'assainissement par épandage souterrain
(arrêté 03,03,82) vis-à-vis d'une pollution de la
nappe de la craie (Cf , Fig, 9)
Les critères pris en compte sont
La nature du terrain : nous avons distingué 4 catégories de
terrain allant du plus imperméable au plus perméable.
La notion d'épaisseur de ces formations n'a pu être prises en
compte dans le traitement, malgré son importance, faute de précision par
zones. Le zonage obtenu doit donc être considéré comme indicatif et ne
peut servir à établir un projet qu'après une étude détaillée, en parti¬
culier vis-à-vis des nappes perchées un peu exploitées (nappe des Sables
d'Ostricourt par exemple) ou dans le cas où il faudra avoir recours à
des épandages sur tertre.
Les épaisseurs moyennes que l'on peut retenir sont
Argiles des Flandres environ 30 mètres
Argiles de Louvil environ 15 mètres
Alluvions plus ou moins argileuses environ 10 mètres
Sables d'Ostricourt 20 à 30 mètres.
6, - CARTE DE SYNTHESE (Cf, Fig, 10)
La carte de synthèse présentant la contrainte globale a été
réalisée à partir du résultat des cinq cartes interprétatives.
28
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645.00 650.00 65500
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T66500
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- 340.00
S C H E M A D I R E C T E U R D E M E N A G E M E N TET D ' U R B A N I S M E DE L ' A G G L O M E R A T I O N
DE L I L L E
A p t i t u d e a I a s s a i n i s s e m e n t p a r e p a o d a g es o u s t e r r a i n ( a r r ê t e d u 3 / 3 / 8 2 )
échelle d'aptitude décroissante
- 335.00
- 330.00
- 325.00
- 320.00
- 315.00
- 310.00
- 305.00
n T670 00
nature du terrain
vulnérabilité
coeff
1
1
1
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1-2
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Alluvions plus ou moins sableuses : épaisseur tOmSables d'Ostricourt : épaisseur 20 à 30m
nota : cette aptitude ne se rapport«? qu'à la nappe de la craieil taut apporter une minoiatinn dans les zones où lesargiles soiii peu épaisses sur les sables d'Ostiicourt( siege d'une nappe un peu exploitée )
| B PLUS DE y
H DE 6 A 7
^ 1 DE 5 A 6
1 t DE 4 A r-
H I DE 3 A -i
^ B DE Z A 3
S I M0INS DE 2
SDAU LILLEASSAINI
défavorable
peu favorable
éventuelle
favorable
BROM
29.
Vulnérabilité de la nappe de la craie
Contrainte par rapport l laconstruction
Aptitude â l'exploitation de la nappe
de la craie
Aptitude à l'exploitation de aatériaux
Aptitude à l'assainissenent parépandage souterrain
CONTRAINTE
Kini
Très faible< 2
Très faible< 4
Très défavorable> 10
Très défavorable> 8
Favorable< 2
Hoyen
Faible à
noyenne
Faible lforte
Favorable à
peu favorable
peu favorable
peu favorableâ éventuelle
Haxi
Forte> 7
Très forte> 30
Très favorable< 8
éventuelle< 5
Défavorable> 6
La carte globale a été obtenue en réalisant une carte des mini
codés à 1 (le reste à 0), une carte des maxi codés à 10 et croisée avec
la première (les maxima de contrainte ont donc eu une priorité) et tout
ce qui restait ni mini, ni maxi a été cartographie en " moyen ".
29.
Vulnérabilité de la nappe de la craie
Contrainte par rapport l laconstruction
Aptitude â l'exploitation de la nappe
de la craie
Aptitude à l'exploitation de aatériaux
Aptitude à l'assainissenent parépandage souterrain
CONTRAINTE
Kini
Très faible< 2
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Très défavorable> 10
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Forte> 7
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Défavorable> 6
La carte globale a été obtenue en réalisant une carte des mini
codés à 1 (le reste à 0), une carte des maxi codés à 10 et croisée avec
la première (les maxima de contrainte ont donc eu une priorité) et tout
ce qui restait ni mini, ni maxi a été cartographie en " moyen ".
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335.00-
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•
••
315.00 -
310.00-
305.00-
635.00i 1 i
640.00 645.00! I 1
650.00 655.00• I .
635.00 640.00
660.00 665.00
645.00 65000 655 00
0.00 2.00 4.00 6.00 8.00 10.00
i I >
660 00
1 I r
66500
670.00. L
SCHEMA D I R E C T E U R D * A M E N A G E M E N TET D * U R B A N I S M E DE L' A G G L O M E R A T I O N
- DE LILLE346.00
C o n t r a i n t e s g l o b a l e s m i n . ( 0 ) m o y . ( l ) m a x i . ( 2 )
- 340.00
- 335.00
- 330.00
- 325.00
- 320.00
- 315.00
- 3ÍO.00
- 305.00
670.00
^ H PLU5 DE 2
^ B DE 1 A 2
^ B DE 0 A 1
^ B MOINS OE 0
SDAU LILLEGLOBALE
BRGM- J.0
31,
CONCLUSION
Dans le cadre du " Porter à connaissance " pour l'établissement
du Schéma Directeur de l'agglomération de LILLE, il a été procédé à un
recensement des contraintes et des opportunités liées au sous-sol.
Les éléments obtenus ont été informatisés de façon à constituer
une base de données. L'utilisation d'un logiciel capable de traiter des
critères multiples (SynerGIS) a ensuite permis de définir des zones
selon leur aptitude à l'exploitation des ressources et leur aptitude à
l'assainissement par épandage et aussi des zones selon leur degré de
sensibilité à la pollution ou des zones plus ou moins affectées par des
contraintes naturelles ou anthropiques.
Ces diverses cartes interprétatives réalisées avec les connais¬
sances acquises au 01.01.91 seront utilisées par les responsables de
l'aménagement afin qu'il soit tenu compte des contraintes ou des riches¬
ses liées au sous-sol.
Cette constitution d'une base de données relatives au sous-sol
sur le territoire de l'arrondissement de LILLE a demandé un travail
important pour tous les intervenants, il est maintenant essentiel que
cette base soit vivante, en y apportant les nouvelles données obtenues,
par une mise à jour régulière qui permettra de profiter pleinement de
l'investissement initial effectué à ce jour.
LEZENNES, le 27 mai 1991
Vu par J. RICOUR
Directeur du BRGM NPC
J-F. ALLARD
Chef de projet
avec la collaboration de C. DUBOST
et N. BARAN
SynerGIS : A. COLLEAU - L. DENIS
31,
CONCLUSION
Dans le cadre du " Porter à connaissance " pour l'établissement
du Schéma Directeur de l'agglomération de LILLE, il a été procédé à un
recensement des contraintes et des opportunités liées au sous-sol.
Les éléments obtenus ont été informatisés de façon à constituer
une base de données. L'utilisation d'un logiciel capable de traiter des
critères multiples (SynerGIS) a ensuite permis de définir des zones
selon leur aptitude à l'exploitation des ressources et leur aptitude à
l'assainissement par épandage et aussi des zones selon leur degré de
sensibilité à la pollution ou des zones plus ou moins affectées par des
contraintes naturelles ou anthropiques.
Ces diverses cartes interprétatives réalisées avec les connais¬
sances acquises au 01.01.91 seront utilisées par les responsables de
l'aménagement afin qu'il soit tenu compte des contraintes ou des riches¬
ses liées au sous-sol.
Cette constitution d'une base de données relatives au sous-sol
sur le territoire de l'arrondissement de LILLE a demandé un travail
important pour tous les intervenants, il est maintenant essentiel que
cette base soit vivante, en y apportant les nouvelles données obtenues,
par une mise à jour régulière qui permettra de profiter pleinement de
l'investissement initial effectué à ce jour.
LEZENNES, le 27 mai 1991
Vu par J. RICOUR
Directeur du BRGM NPC
J-F. ALLARD
Chef de projet
avec la collaboration de C. DUBOST
et N. BARAN
SynerGIS : A. COLLEAU - L. DENIS
R 32599 4S NPC 91R 32599 4S NPC 91
BRGM
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRESAvenue de Concyr - B.P. 6009 - 45060 Orléans Cedex 2 - France
BRGM
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRESAvenue de Concyr - B.P. 6009 - 45060 Orléans Cedex 2 - France
I-
Annexe 2
MINISTERE DE L'EQUIPEMENT, DU LOGEMENT
DES TRANSPORTS ET DE LA MER
MINISTERE DE L'INDUSTRIE
ET DE L'AMENAGEMENT DU TERRITOIRE
MINISTERE DE L'ENVIRONNEMENT
COMMUNAUTE URBAINE DE LILLE
SOCIETE DES EAUX DE LA METROPOLE DU NORD
Révision du Schéma Directeur d'Aménagement
et d'Urbanisme de l'agglomération de LILLE
(SDAU)
Prise en compte des contraintes et opportunités
liées au sous-sol
Présentation de SynerGIS
I-
Annexe 2
MINISTERE DE L'EQUIPEMENT, DU LOGEMENT
DES TRANSPORTS ET DE LA MER
MINISTERE DE L'INDUSTRIE
ET DE L'AMENAGEMENT DU TERRITOIRE
MINISTERE DE L'ENVIRONNEMENT
COMMUNAUTE URBAINE DE LILLE
SOCIETE DES EAUX DE LA METROPOLE DU NORD
Révision du Schéma Directeur d'Aménagement
et d'Urbanisme de l'agglomération de LILLE
(SDAU)
Prise en compte des contraintes et opportunités
liées au sous-sol
Présentation de SynerGIS
Synergis est un système combinatoire de données localisées les traitantinteractivement en mode combiné "Raster et vecteur". Ces traitements utilisent deux modesde représentation interne de l'information : l'image-pixel et l'image-vecteur. Grâce à cettedouble possibilité, SYNERGIS peut prendre en compte une grande diversité de données et lestraiter simultanément.
II combine : des images-pixels entre ellesdes images-vecteurs entre ellesdes images-pixels avec des images-vecteurs
Il associe : des attributs thématiques aux objets vecteursdes objets-vecteurs aux images-pixels
Synergis est un logiciel portable sur de nombreuses stations de travail. Le dévelop¬pement du logiciel est basé sur les langages C et Fortran, les fonctions graphiques ont étédéveloppées avec la norme GKS, l'interface utilisateur a été construite à travers le standardX-WINDOW de raultifenétrage. Enfin, le logiciel fonctionne dans les systèmes d'exploitationVMS et UNIX.
3. L'ORGANISATION
Synergis est un logiciel modulaire. Il est composé de quatre modules intégrés :
SYNERGIS-BASE Traitement et Gestion des données, visualisation,dialogue
SYNERGIS-COMBINAISON Combinaison de donnéesSYNERGIS-RESTITUTION Restitution cartographiqueSYNERGIS-INTERFACES Import-export de données, transformations de
données
Grâce à des liens très privilégiés entre les modules, l'utilisateur peut échanger desdonnées, passer simplement d'un module à l'autre, garder des historiques de travail.L'édition graphique permet de créer, d'anïcher et d'incruster des informations en modevecteur. L'éditeur graphique de Synergis est utilisé notamment pour annoter une image ouune carte, pour construire une légende, pour créer des masques.
Synergis dispose d'un système de gestion des données qui gère trois typesd'informations :
Les matrices de pixels.Les objets graphiques,Les valeurs d'attributs.
Synergis est un système combinatoire de données localisées les traitantinteractivement en mode combiné "Raster et vecteur". Ces traitements utilisent deux modesde représentation interne de l'information : l'image-pixel et l'image-vecteur. Grâce à cettedouble possibilité, SYNERGIS peut prendre en compte une grande diversité de données et lestraiter simultanément.
II combine : des images-pixels entre ellesdes images-vecteurs entre ellesdes images-pixels avec des images-vecteurs
Il associe : des attributs thématiques aux objets vecteursdes objets-vecteurs aux images-pixels
Synergis est un logiciel portable sur de nombreuses stations de travail. Le dévelop¬pement du logiciel est basé sur les langages C et Fortran, les fonctions graphiques ont étédéveloppées avec la norme GKS, l'interface utilisateur a été construite à travers le standardX-WINDOW de raultifenétrage. Enfin, le logiciel fonctionne dans les systèmes d'exploitationVMS et UNIX.
3. L'ORGANISATION
Synergis est un logiciel modulaire. Il est composé de quatre modules intégrés :
SYNERGIS-BASE Traitement et Gestion des données, visualisation,dialogue
SYNERGIS-COMBINAISON Combinaison de donnéesSYNERGIS-RESTITUTION Restitution cartographiqueSYNERGIS-INTERFACES Import-export de données, transformations de
données
Grâce à des liens très privilégiés entre les modules, l'utilisateur peut échanger desdonnées, passer simplement d'un module à l'autre, garder des historiques de travail.L'édition graphique permet de créer, d'anïcher et d'incruster des informations en modevecteur. L'éditeur graphique de Synergis est utilisé notamment pour annoter une image ouune carte, pour construire une légende, pour créer des masques.
Synergis dispose d'un système de gestion des données qui gère trois typesd'informations :
Les matrices de pixels.Les objets graphiques,Les valeurs d'attributs.
Les matrices de pixels des images peuvent être exprimées par des valeurs entières,réelles, binaires ou ternaires.
Les objets graphiques constituant les images-vecteurs sont décrits par des points, deslignes, des polygones et des textes.
Les attributs sont associés aux objets graphiques ; ils peuvent être :
- des attributs graphiques (couleur, épaisseur ..)
- des attributs relationnels (traversé par, à moins d'une distance de, inclus dans, pèreou ills de..)
- des attributs géomériques (longueur, surface, coordonnées extrêmes...)
-des attributs thématiques (code ou valeur d'une donnée géologique, géochimique,géophysique.pédologique, économique, etc.)
La visualisation de Synergis est dynamique en s'adaptant aux possibilités desécrans des stations de travail, tant en définition (nombre de couleurs) qu'en résolution(nombre de pixels). A l'aide du multifenêtrage, Synergis vous permet de visualiser plusieursimages simultanément ou d'effectuer une vue panoramique sur une image dont la taille estsupérieure à l'écran.
Synergis n'a pratiquement pas de limite de traitement II traite des images pixelsen fonction de la taille de la mémoire disponible sur la station de travail.
Le traitement des images-vecteur est dimensionné à 20 000 objets par image-vecteur.
Synergis restitue des cartes, des tableaux, des images selon deux modes ;
- copie couleur de l'écran- constitution d'un fichier compatible avec vos systèmes spécifiques (ex. via UNIRAS)
La restitution de Synergis est ouverte aux moyens disponibles. Pour faciliter letransfert des informations graphiques vers d'autres systèmes (écran, table traçante ,etc.),Synergis dispose d'une norme graphique interne capable de générer un fichier graphique,avec ses attributs, portable sur tous les systèmes.
Synergis est ouvert à tous les systèmes de données. II dispose d'interfaces avec lessystèmes spécifiques de traitement. Aujourd'hui, il échange des données avec les systèmes :
INTERGRAPH, I2S, DIDACTIM, GDM.FIESTA, ORACLE, ARC/INFO
et tous les fichiers en ASCII.
Les matrices de pixels des images peuvent être exprimées par des valeurs entières,réelles, binaires ou ternaires.
Les objets graphiques constituant les images-vecteurs sont décrits par des points, deslignes, des polygones et des textes.
Les attributs sont associés aux objets graphiques ; ils peuvent être :
- des attributs graphiques (couleur, épaisseur ..)
- des attributs relationnels (traversé par, à moins d'une distance de, inclus dans, pèreou ills de..)
- des attributs géomériques (longueur, surface, coordonnées extrêmes...)
-des attributs thématiques (code ou valeur d'une donnée géologique, géochimique,géophysique.pédologique, économique, etc.)
La visualisation de Synergis est dynamique en s'adaptant aux possibilités desécrans des stations de travail, tant en définition (nombre de couleurs) qu'en résolution(nombre de pixels). A l'aide du multifenêtrage, Synergis vous permet de visualiser plusieursimages simultanément ou d'effectuer une vue panoramique sur une image dont la taille estsupérieure à l'écran.
Synergis n'a pratiquement pas de limite de traitement II traite des images pixelsen fonction de la taille de la mémoire disponible sur la station de travail.
Le traitement des images-vecteur est dimensionné à 20 000 objets par image-vecteur.
Synergis restitue des cartes, des tableaux, des images selon deux modes ;
- copie couleur de l'écran- constitution d'un fichier compatible avec vos systèmes spécifiques (ex. via UNIRAS)
La restitution de Synergis est ouverte aux moyens disponibles. Pour faciliter letransfert des informations graphiques vers d'autres systèmes (écran, table traçante ,etc.),Synergis dispose d'une norme graphique interne capable de générer un fichier graphique,avec ses attributs, portable sur tous les systèmes.
Synergis est ouvert à tous les systèmes de données. II dispose d'interfaces avec lessystèmes spécifiques de traitement. Aujourd'hui, il échange des données avec les systèmes :
INTERGRAPH, I2S, DIDACTIM, GDM.FIESTA, ORACLE, ARC/INFO
et tous les fichiers en ASCII.
Il est facilement interfaçable avec vos systèmes spécifiques de traitement de données(adaptateur spécifique).
4. L'INTERFACE UTILISATEUR
Synergis est un logiciel très convivial. Réalisé dans un environnement trèsergonomique, il bénéficie des dernières technologies disponibles sur les stations de travail.
Développé autour du système de multifenêtrage X-Window version 11, il intègrel'ensemble des possibilités offertes dans ce standard.
Présentés à travers des fenêtres, des menus déroulants activés par une souris vous per¬mettent d'avoir un dialogue très interactif. Un mode commande est également disponible.
Chaque fonction est documentée et pendant leur exécution, les paramètres sélec¬tionnés et les images utilisées sont indiqués. Des réponses par défaut sont proposées et uncontrôle de cohérence est assuré. Un historique de votre session de travail conservel'ensemble des procédures mises en oeuvre, vous permettant ainsi de refaire tout ou partiedes traitements sur d'autres données.
5. LES FONCTIONS
Synergis dispose de fonctions en mode vecteur et raster réparties en troisgrandes familles :
/ . Les fonctions de gestion des données
- lecture des MNT (IGN)- lecture de fichiers ASCII- interfaces avec les systèmes de données (Intergraph, I2S, Oracle, etc.)- gestion des fichiers vecteur, raster et historique
Il est facilement interfaçable avec vos systèmes spécifiques de traitement de données(adaptateur spécifique).
4. L'INTERFACE UTILISATEUR
Synergis est un logiciel très convivial. Réalisé dans un environnement trèsergonomique, il bénéficie des dernières technologies disponibles sur les stations de travail.
Développé autour du système de multifenêtrage X-Window version 11, il intègrel'ensemble des possibilités offertes dans ce standard.
Présentés à travers des fenêtres, des menus déroulants activés par une souris vous per¬mettent d'avoir un dialogue très interactif. Un mode commande est également disponible.
Chaque fonction est documentée et pendant leur exécution, les paramètres sélec¬tionnés et les images utilisées sont indiqués. Des réponses par défaut sont proposées et uncontrôle de cohérence est assuré. Un historique de votre session de travail conservel'ensemble des procédures mises en oeuvre, vous permettant ainsi de refaire tout ou partiedes traitements sur d'autres données.
5. LES FONCTIONS
Synergis dispose de fonctions en mode vecteur et raster réparties en troisgrandes familles :
/ . Les fonctions de gestion des données
- lecture des MNT (IGN)- lecture de fichiers ASCII- interfaces avec les systèmes de données (Intergraph, I2S, Oracle, etc.)- gestion des fichiers vecteur, raster et historique
ENVIRONNEMENT LOGICIEL DE SYNERGISENVIRONNEMENT LOGICIEL DE SYNERGIS
2. Les fonctions de traitement des images-pixels :
- évaluation d'expression de combinaison à l'aide d'opérateurs quelconques (arithmé¬tiques, logiques, trigonométriques, morphologiques, géométriques, conditionnels),
- analyses statistiques (histogrammes, diagramme binaire, analyse factorielle, classi¬fications supervisées, régression, corrélation, etc.),
- filtrages spatiaux,
- fonctions graphiques (annotation, texte, masque),
- définition de région d'intérêt par application de masque,
- interpolation de semis de points,
- tracé d'isovaleurs,
- visualisation (composition colorée, stretching, pseudo-couleurs, zoom, panoramique,etc.)
3. Les fonctions de traitement des images-vecteurs
- évaluation d'expression de combinaison à l'aide d'opérateurs mathématiques,géométriques et conditionnels,
- sélection combinée et mesure sur les attributs thématiques et géométriques associésà chaque objet,
- mesure de périmètre et de surface,
- étude des relations géométriques entre objets graphiques (distance, inclusion,intersection, hiérarchie),
- liens entre image-pixels et image-vecteurs par afTcctation aux attributs thématiquesdes caractéristiques de l'image-pixel,
- traitement sur région d'intérêt,
- création, affichage et incrustation de texte, tracé graphique,
- rasterisation.
2. Les fonctions de traitement des images-pixels :
- évaluation d'expression de combinaison à l'aide d'opérateurs quelconques (arithmé¬tiques, logiques, trigonométriques, morphologiques, géométriques, conditionnels),
- analyses statistiques (histogrammes, diagramme binaire, analyse factorielle, classi¬fications supervisées, régression, corrélation, etc.),
- filtrages spatiaux,
- fonctions graphiques (annotation, texte, masque),
- définition de région d'intérêt par application de masque,
- interpolation de semis de points,
- tracé d'isovaleurs,
- visualisation (composition colorée, stretching, pseudo-couleurs, zoom, panoramique,etc.)
3. Les fonctions de traitement des images-vecteurs
- évaluation d'expression de combinaison à l'aide d'opérateurs mathématiques,géométriques et conditionnels,
- sélection combinée et mesure sur les attributs thématiques et géométriques associésà chaque objet,
- mesure de périmètre et de surface,
- étude des relations géométriques entre objets graphiques (distance, inclusion,intersection, hiérarchie),
- liens entre image-pixels et image-vecteurs par afTcctation aux attributs thématiquesdes caractéristiques de l'image-pixel,
- traitement sur région d'intérêt,
- création, affichage et incrustation de texte, tracé graphique,
- rasterisation.
QUELQUES EXEMPLES D'UTILISATIONDE SYNERGIS
Aménagement des grands tracés
Route nationale, TGV
Réseau d'assainissement
Développement industriel et urbain
Schéma de collecte des ordures ménagères
Etude du vulnérabilité du drainage
Schéma d'aménagement
Prévention et lutte contre les pollutions
Pollution des sols (hydrocarbure, friches industrielles, bord de
rivière)
Prévision des risques
PER (Mouvement de Terrain, sisrnicité)
Etude d'érosion des sols
Stockage des déchets
Modélisation des bioclimats
Synthèse structurale
QUELQUES EXEMPLES D'UTILISATIONDE SYNERGIS
Aménagement des grands tracés
Route nationale, TGV
Réseau d'assainissement
Développement industriel et urbain
Schéma de collecte des ordures ménagères
Etude du vulnérabilité du drainage
Schéma d'aménagement
Prévention et lutte contre les pollutions
Pollution des sols (hydrocarbure, friches industrielles, bord de
rivière)
Prévision des risques
PER (Mouvement de Terrain, sisrnicité)
Etude d'érosion des sols
Stockage des déchets
Modélisation des bioclimats
Synthèse structurale
Gestion de l'eau
Assainissement, vulnérabilité à la pollution
Localisation de Forage, définition de site hydrogéopotentiel,
potentialité des ressources en eau
Planification agricole et gestion de la forêt
Terroir
Inventaire régionaux (agricole et Forestier)
Gestion de base de la qualité des sols
Recherche et Exploitation du sous-sol
Etude d'exploitabilité de carrière
Prospection minière
Etude multiélémentaire (Géochimie, gravimétrie)
Gestion de l'eau
Assainissement, vulnérabilité à la pollution
Localisation de Forage, définition de site hydrogéopotentiel,
potentialité des ressources en eau
Planification agricole et gestion de la forêt
Terroir
Inventaire régionaux (agricole et Forestier)
Gestion de base de la qualité des sols
Recherche et Exploitation du sous-sol
Etude d'exploitabilité de carrière
Prospection minière
Etude multiélémentaire (Géochimie, gravimétrie)
BRGMBRGM