Appel d’airb

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2015

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ed_lamartiniere

Appel d’air La revue semestrielle des Éditions de La Martinière Informations & abonnements : appeldair@lamartiniere.fr

Éditions de La Martinière 25, boulevard Romain Rolland75014 Paris Tél : 01 41 48 80 00 Fax : 01 41 48 83 89

Responsable éditoriale Beaux livres :Nathalie MayevskiDirectrice éditoriale Styles :Anne SerroyDirectrice éditoriale Art de vie :Florence Lécuyercontact@lamartiniere.fr

Directrice Entreprises & Partenariats :Corinne Schmidtpartenariat@lamartiniere.fr

Directrice de la Communication :Patricia Ropartzpresseedlm@lamartiniere.fr

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1915

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46

2 Human

4Voyage en quête de lumière

6Pastorale africaine

7Vertige polaire

8Territoire déserts

9À la surface des océans

Pêcheur d’images

10Passages

12Terres de café

14Visages de paix, Terres de sérénité

15Fukushima, Fragments

16Les plus belles universités du monde

18Jump Book

Dictionnaire de la photographie

19Profession reporters

20Envoyé Spécial

21Libres et insoumis

22Le Paris des poètes maudits

23Aznavour

24Angelin Preljocaj

26Dans le ventre de Hara-Kiri

27Siné (graphiste)

28Brigade criminelle

29Sur les traces des serial killers

30Les grands procèsde l’histoire

31Le monde de Darwin

32Deyrolle

34Médecines d’ailleurs

35Ils ont changé de vie

La Ville renaturée

36Trésors érotiques japonais du musée Guimet

Trésors de masques du musée du quai Branly

37Visionnaires,Les plus grands créateurs de mode

Visionnaires,Les plus grands architectes

38Charles & Ray Eames

39Bruno Moinard

40Fashion

41Maisons de haute couture

42Iconic

43Le Style Vartan

44Bonpoint

Printemps

45Givaudan

46Drucker,La chaise parisienne

Cazaux

47Coca-Cola en France

Le Hobbit

Appel d’Air 9

SOMMAIRE/ Beaux livres

4

7

16

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Déjàparu

HumanYann Arthus-Bertrand

22 x 28,5 cm – 224 pages25 €€

SEPTEMBRE 2015

À mi-chemin entre le livre et le magazine, le « mook » Human s’inscrit dans le prolongement naturel du film

présenté en avant-première mondiale à l’ONU en septembre 2015. Trois ans de travail et plus de 90 tournages ont permis d’aboutir à ce documentaire aux témoignages face caméra d’hommes et de femmes de tous pays et de toutes conditions. Divisé en 6 thèmes (Bonheur,

Femmes, Guerre, Justice, Pauvreté et Tolérance), on y retrouve les témoignages les plus forts du film, développés et étayés par des articles de grands journaux internationaux, d’infographies, d’informations bibliographiques et filmographiques, ainsi que des images aériennes inédites, présentées sous forme de portfolios.

HUMAN,SUBLIMER L’HUMANITÉ

FILM ÉVÉNEMENTLe film Human, présenté en avant-première mondiale en septembre 2015 à New York pour la 70e assemblée générale des Nations unies, sera diffusé sur France 2 fin septembre.

7 milliarDs D’autresFondation Good planet

14 x 19 cm 320 pages,

19,90 €

« Comment espérer améliorer la marche du monde, si nous vivons dans l’ignorance de nos voisins ? »

Yann Arthus-Bertrand

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7

« Le merveilleux de l’aventure, c’est que seul le merveilleux demeure. »

Roland Michaud

Depuis leur rencontre au Maroc en 1956, « les Michaud », comme on les nomme souvent, ne se sont

plus quittés. Ils poursuivent leur quête de beauté et de sagesse, guidés par une passion indéfectible pour l’Orient. Particulièrement attirés par le monde de l’Islam, par la Chine et par l’Inde, leurs photographies ont séduit des générations. Elles transcendent le temps et témoignent d’un Orient rêvé de tous. Cette monographie de Roland et Sabrina Michaud retrace presque 70 ans de pérégrinations et de passion orientale. L’histoire d’une vie, mais également l’histoire d’un couple uni par l’amour du voyage et de la photographie. Images iconiques ou inédites, témoignages, récits, cet ouvrage illustre une belle et grande aventure humaine.

ROLAND ET SABRINA MICHAUD,

VOYAGES D’UNE VIEVoyage en quête de lumière

Roland et Sabrina Michaud Avec la collaboration de Colette Véron

22 x 28,5 cm – 408 pages59 €

OCTOBRE 2015

ENTRETIENComment l’idée d’une monographie est-elle née ?Roland Michaud : Nous souhaitions, Sabrina et moi, revenir sur notre parcours, extrêmement riche, qui nous a dépassés. Nous sommes des gens ordinaires qui avons eu une vie extraordinaire. Professeur d’anglais à Janson-de-Sailly, j’ai appris que le roi d’Afghanistan était un ancien élève du lycée. Rêvant d’aller en Afghanistan, j’ai obtenu du proviseur une

lettre pour le roi. Elle débutait ainsi : « Un proviseur peut toujours s’adresser à un ancien élève, fût-il devenu roi de son pays. » Cette lettre nous en a valu une autre du roi lui-même nous introduisant à tous les gouverneurs du pays : « Vous allez recevoir la visite d’un jeune couple français, ils voyagent dans leur propre voiture et veulent connaître l’Afghanistan, montrez-leur notre pays, nos coutumes. » Cette lettre fut un véritable sésame. Et c’est ainsi que tout a commencé. Partis au printemps 1964 pour un grand voyage fondateur qui a duré quatre ans et demi, nous ne sommes revenus qu’à l’été 1968 avec 34 000 diapositives.

Ce voyage a-t-il été une révélation ? Oui, bien sûr ! J’ai toujours rêvé de pays lointains et d’aventure. J’étais animé par une véritable soif de liberté, une curiosité du monde et des autres. Déjà, au cours de l’été 1950, j’étais allé jusqu’en Laponie à bicyclette. Avec le Kodak de mon grand-père, j’y réalisais mes premières photographies. Je voulais vivre un métier de passion, ce que j’ai finalement réussi à faire. Pendant plus de cinquante ans, Sabrina et moi avons sillonné l’Orient, retournant sans cesse sur les mêmes lieux, pour approfondir nos connaissances et prendre le temps de vivre.

Certaines photographies de votre ouvrage sont-elles inédites ?Naturellement ! L’ouvrage est imposant puisqu’il contient près de 400 images. On y retrouve tous nos grands reportages sur l’Afghanistan, le Pakistan, l’Inde, la Chine, la Corée et la Mongolie… mais il y a aussi de nombreuses photographies inédites, dont un extrait de mon travail sur la mousson en Inde et notre dernier thème de réflexion sur le dialogue des civilisations. Mais également des extraits de carnets de voyage et de nos archives personnelles, nos premières photographies et publications. C’est la somme d’une vie de voyages…

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Depuis 2002, Hans Silvester a noué des liens très forts avec différentes tribus de la vallée de l’Omo en

Éthiopie, dont les Suri, grands éleveurs de la région. Dans ce clan, s’occuper des vaches est une activité strictement masculine. Ces troupeaux sont la fierté de ce peuple et participent à sa survie. Alors, dès leur plus jeune âge, les garçons accompagnent les pères menant les troupeaux parfois loin des villages et deviennent ainsi de véritables bergers. Ces enfants très soudés vivent en parfaite symbiose avec les bêtes, se nourrissant même quasi exclusivement de leur lait et de leur sang. Le contact permanent entre la peau nue des enfants et les vaches favorise une relation intime profonde et surprenante.

HANS SiLVESTER,LES ENFANTS BERGERS

DE L’OMO

« On se demande qui veille sur qui, qui garde qui dans cet amalgame singulier où puissance et fragilité trouvent par amour un point de convergence jusqu’à l’harmonie. Cette harmonie est d’une essence transcendant la norme ordinaire et se situe dans un temps qui semble aboli. » Pierre Rabhi

ACTU EXPOProjection au festival Visa pour l’Image de Perpignan du 29 août au 13 septembre 2015.

DonGaHans silvester38 x 30,5 cm – 208 pages 65,90 € €

Pastorale africaineHans Silvester, Joëlle Ody

Préface de Pierre Rabhi28 x 23 cm – 216 pages

40 €AOÛT 2015

Déjàparu

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THIERRY SUZAN,MONDES POLAIRES

D eux mondes aux antipodes, un vertige commun : l’infini des étendues glacées, la nature

brute, les glaciers gigantesques, les climats extrêmes… Voyageant depuis des années dans ces contrées rigoureuses, Thierry Suzan, grand reporter, y a accompagné des expéditions scientifiques, rencontré les populations et en a rapporté des images extraordinaires, pleines de poésie

et de beauté. Du Groenland à la Patagonie, de l’Islande à l’Antarctique, ce voyage polaire fait des haltes dans d’anciennes stations baleinières ou des cités minières abandonnées, part à la rencontre des populations Inuit ou Koriak, croise la route d’ours blancs, d’orques, de manchots et de pingouins, et montre des paysages à couper le souffle.

ACTU EXPOQuatre expositions : à Paris, la Galerie Grand Nord – Grand Large ; à Strasbourg à la librairie Kléber et à la gare une photographie recouvrira 2 000 m2 de la verrière ; à Prémanon, dans le Jura, à l’Espace des mondes polaires Paul-Emile Victor.

Vertige polaireThierry Suzan

Préface de Jean Jouzel28,5 x 23,5 cm – 240 pages

45 €SEPTEMBRE 2015

« Arctique, Antarctique, banquise, aurores boréales… plus que des horizons lointains, les mondes polaires sont l’ailleurs. » Anne-Christelle Bourdon

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Du Sahara au Groenland, de l’Antarctique à la Namibie, les photographies spectaculaires

de Michael Martin sont le fruit de 35 voyages dans les régions les plus reculées du monde. Elles réunissent pour la première fois dans un ouvrage les déserts chauds et les régions polaires. 400 photographies couleurs et cartes satellites témoignent de ce travail de documentation exceptionnel, complété par l’intervention de spécialistes sur tous les aspects de ces zones extrêmes : la géologie, l’étude des climats, la faune et la flore, les sociétés humaines, le changement climatique et ses conséquences. Un très beau livre qui, à travers ses zones désertiques, est un portrait actuel de notre planète.

Territoire désertsMichael Martin

29 x 35 cm – 448 pages69 €

OCTOBRE 2015

MICHAEL MARTIN,DÉSERTS CHAUDS

ET FROIDS

Wolf Dieter Blümel est l’ancien directeur de l’Institut für Geografie

de l’université de Stuttgart. Il est spécialisé en histoire des paysages

et géomorphologie, géo-écologie et paléoclimatologie, en particulier

des déserts chauds et des régions polaires. Il a mené de nombreux

programmes de recherches dans le monde. W.D. Blümel est membre

de l’Académie bavaroise des Sciences et de l’Académie nationale des

Sciences (Leopoldina).

Ulli KUlKe, journaliste allemand, est cofondateur et rédacteur

économique du quotidien allemand taz. Il a été rapporteur des Verts

au Bundestag pour la politique de développement. Il a réalisé parallè-

lement de nombreux reportages publiés notamment par le National

Geographic Magazine.

ines Kohl est directrice de recherche à l’Institut für Sozialanthropologie

de l’Académie autrichienne des Sciences. Ses études portent sur les

Touaregs en Libye, en Algérie et au Niger, ainsi que sur les populations

du Sahara et du Sahel.

oliver lehnert est un géologue et paléontologue  allemand,

spécialisé en paléoclimatologie, évolution de la faune et modifications

des écosystèmes, paléogéographie, géodynamique et analyse des

bassins sédimentaires dans diverses régions des Amériques et d’Europe

du Nord.

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michael martin, diplômé en géographie, est photographe, explo-

rateur et conférencier. Depuis plus de trente ans, il multiplie les publi-

cations et interventions sur ses voyages dans les déserts de notre

planète, et c’est aujourd’hui le photographe le plus renommé dans

ce domaine. Il a publié une trentaine d’ouvrages et de livres photo-

graphiques (traduits en sept langues), donné quelque deux mille

conférences et produit plusieurs films pour la télévision.

Ses travaux ont reçu de nombreuses distinctions, dont une médaille

d’honneur de la Royal Geographic Society. Il a obtenu en 2014 l’ITB

Book Award pour l’ensemble de son œuvre.

www.michael-martin.de

www.photographermichaelmartin.com

TERRIToIRE DÉSERTSMICHAEL MARTIN

Notre terre est uNe PlaNète de déserts : chauds ou froids, les déserts recouvrent près de la moitié de sa surface. Paysages grandioses, nature aux étonnantes capacités d’adaptation, peuples aux cultures uniques, ces régions difficiles d’accès, aux conditions extrêmes, continuent d’exercer un pouvoir d’attraction intact.

le photographe Michael Martin consacre sa vie à ces espaces fascinants. Il a sillonné notre planète pendant cinq ans pour cet ouvrage et en a rapporté les images les plus spectaculaires. Du désert de Gobi à l’Alaska, du Rub al Khali à l’Antarctique, de l’Altiplano au Kalahari, ce sont 26 régions arides qui sont ici réunies en un portrait saisissant de notre planète à travers ses déserts.

Avec les récits de Michael Martin et les textes de spécialistes allemands décrivant la géologie, le climat, la faune et la flore ainsi que les enjeux socio-économiques autour de ces écosystèmes fragiles, cet ouvrage est une somme exceptionnelle sur les déserts du monde.

69,00 € TTC (prix France)

9 782732 467894

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JAQUETTE-PLANETEDESERTS-BAT-11 juin_final.indd 1 11.06.15 13:45

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JOE BUNNI,LA VIE ENTRE L’AIR ET LA MERJoe Bunni, photographe sous-marin,

sillonne les mers du globe et photographie la vie à plus ou moins

5 mètres de profondeur. Entre l’air et la mer, cet espace concentre une vie extraordinaire, mais aussi l’effet des pollutions et du réchauffement climatique. De la côte aux récifs coralliens, du grand large océanique jusqu’en Arctique, le photographe approche les espèces sauvages d’une manière totalement inédite et surprenante. Grâce aux témoignages de scientifiques du monde entier, l’ouvrage montre également le stress auquel l’océan et ses habitants sont aujourd’hui soumis, tout en donnant des pistes de conservation. Un livre spectaculaire qui témoigne de la beauté et de la fragilité de la planète bleue.

SÉRIE ÉVÉNEMENTUne série de 5 documentaires de 52’ sera diffusée sur Arte. Les meilleures séquences de la série feront l’objet d’un film de 90’, +− 5 mètres, L’expérience sensorielle, présenté en avant-première à la Géode de Paris lors de la conférence sur le climat COP21 en novembre 2015. Une tournée dans les grandes villes de France (Lyon, Marseille, Toulouse, Bordeaux, Nantes, Rennes, Strasbourg, Metz et Nancy) accompagnera la sortie du film en salles.

PHILIP PLISSON,L’UNIVERS INFINI DE LA MER

Pêcheur d’imagesPhilip Plisson

26 x 28,5 cm – 264 pages35 €

OCTOBRE 2015

La mer, Philip Plisson en a fait son domaine, sa passion tout autant que la photographie. Il photographie

pour naviguer et navigue pour photographier. La voile, la marée, les pêcheurs autour du monde, les phares, les pays celtes, la marine, les ferrys… autant de thèmes aux prises avec cet élément fascinant qu’est

la mer dont la force impose humilité et respect. Plus de 180 photographies et textes personnels sur son travail de photographe sont réunis dans cette monographie et illustrent ces thèmes chers à l’auteur. Un voyage dans l’univers infini de la mer et la beauté des éléments.

à la surface des océans,+− 5 mètres

Joe Bunni, Emmanuelle Grundmann26 x 26 cm – 192 pages

30 €OCTOBRE 2015

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En 1965, Bruno Barbey rejoint l’agence Magnum et se lance, tout en privilégiant une certaine

photographie d’auteur, dans une carrière de photojournaliste. Guerre du Biafra, 50e anniversaire de la Révolution russe à Moscou, manifestations de Mai 68, guerre du Vietnam, Révolution culturelle en Chine, Phnom Penh assiégé par les Khmers rouges… Bruno Barbey a ainsi témoigné avec honnêteté et élégance

des plus grands événements. Les voyages ont continué inlassablement : Inde, Portugal, Gabon, Égypte, Indonésie, Brésil, Turquie, Corée du Sud… et régulièrement, depuis 1972, le Maroc. Préserver la mémoire, voilà sa source ultime de motivation. Un très bel ouvrage qui consacre l’œuvre riche et incontournable d’un grand photographe, révélant les empreintes de son passage dans notre époque.

BRUNO BARBEY,VOYAGEUR

DE L’ESPACE-TEMPSPassagesBruno Barbey

Textes de Carole NaggarPréface de Jean-Luc Monterosso

Bilingue français-anglais24,5 x 32 cm – 384 pages

79 €OCTOBRE 2015

ACTU EXPOExposition à la Maison européenne de la photographie du 10 novembre 2015 au 17 janvier 2016.

Bataille d’An Loc, Vietnam, 1972.

Étudiants jetant des projectiles sur la police. Boulevard Saint-Germain, Paris, 6 mai 1968.

« Il y a des rendez-vous avec l’histoire qu’il ne faut pas manquer. »

Bruno Barbey

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Champs pétroliers de Burgan en feu, Koweït, 1991.

Manifestation contre la construction de l’aéroport de Narita et la guerre du Vietnam, Tokyo, Japon, 1971.

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Déjàparu

Terres de caféSebastião Salgado

24,3 x 35,5 cm – 320 pages59 €

OCTOBRE 2015

la main De l’Homme, sebastião salgado24,8 x 33 cm 400 pages 50 €

SEBASTIãO SALGADO,VOYAGE AU PAYS DU CAFÉ

Depuis 2002, Sebastião Salgado s’est intéressé aux lieux de collecte des grains de café

dans le monde. Il a ainsi visité de nombreuses exploitations qui privilégient des échanges et une croissance équitables, et s’attachent à perfectionner la qualité du produit pour améliorer la qualité de vie. Pour ces cultivateurs, la culture, la récolte, le séchage et la sélection du café relèvent

moins de simples activités que de rituels profondément ancrés dans la tradition. En Afrique (Tanzanie et Éthiopie), en Asie (Inde et Chine) et en Amérique (Brésil, Guatemala, Nouvelle-Guinée, Colombie, Costa Rica), Sebastião Salgado nous fait voyager dans de magnifiques paysages ruraux où la présence humaine est aussi respectueuse que discrète.

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« Pour ces cultivateurs, le café est inséparable de leur mode de vie depuis des générations, voire même des siècles. Il définit les saisons, le rythme de leurs travaux, leurs revenus et leur niveau de vie. Pour un consommateur de café new-yorkais, parisien ou tokyoïte, ces gens n’existent pratiquement pas : c’est la machine à café qui fournit l’expresso. Pourtant, antérieurement à cette machine, des hommes, des femmes et des enfants de pays lointains ont cultivé, cueilli, lavé, séché et sélectionné les grains du café. C’est à eux que je dédie ce livre. » Sebastião Salgado

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Déjàparu

Dans ce nouvel ouvrage, Matthieu Ricard nous emmène loin de l’univers coloré et éblouissant si typique

du monde himalayen. En privilégiant le noir et blanc, le photographe nous propose de porter un nouveau regard sur son travail – près de 150 images réalisées au Tibet, en Inde et au Népal, mais également en Indonésie et en Islande. Au fil des pages, l’œil se pose sur la ligne, caresse les ombres, surprend un éclat, balaie la composition… On ne peut alors que mieux méditer sur les grands espaces, un regard profond ou un visage lumineux. Matthieu Ricard, moine bouddhiste et photographe, a dépouillé ici sa photographie de tout artifice pour simplement s’attacher à l’essentiel.

matthieu ricard, EN NOIR ET BLANC Visages de paix, Terres de sérénité

Matthieu Ricard25 x 18 cm – 192 pages

25 €OCTOBRE 2015

Hymne à la beautématthieu ricard

15 x 22,5 cm – 200 pages 25€€

« Le portrait photographique se fait le peintre de l’infinie richesse des expressions humaines. » Matthieu Ricard

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Après le séisme du 11 mars 2011, à l’origine de l’accident nucléaire de Fukushima Daiichi au Japon,

Kosuke Okahara a arpenté, un compteur Geiger à la main, ces espaces empoisonnés et photographié la désolation et le silence. Maisons détruites, rues désertées… ses images nous font entrer dans un monde peuplé de fantômes et appréhender une réalité acide qui a perdu ses couleurs.

Pourtant la vie reprend ses droits : la végétation recouvre les quais de gare, investit les parkings et les cabines téléphoniques. Quant aux habitants, réinstallés derrière les barrières, ils tentent de raccrocher les fragments épars de leur vie d’avant, tout en imaginant un futur. Un voyage surnaturel au cœur d’une région désolée.

kosuke okahara, FUKUSHIMA L’AU-DELÀ

« J’ai commencé à photographier Fukushima à la fin du mois de mars. À mon arrivée, je fus saisis par le silence absolu. »

Fukushima, FragmentsKosuke Okahara

Bilingue français-anglais28 x 23 cm – 176 pages

50 €OCTOBRE 2015

« J’ai photographié des instants forts de sens pour moi, des scènes qui perdureraient dans le temps, tout comme les radiations qui s’attardaient à Fukushima. Je recueillais des fragments d’individus, de ruines, de paysages, des petites scènes étranges et quelques instants de beauté qui subsistaient au milieu même de la désolation.»Kosuke Okahara

Trois agents de police au poste de contrôle de Tsushima. La plupart des policiers réquisitionnés sont jeunes. Namie, 28 kilomètres ouest.

Station-service près de la zone d’exclusion. Namie, 28 kilomètres ouest.

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– 128 – – 129 –

yale / new haven / ÉtatS-uniSyale / new haven / ÉtatS-uniS

la beineCKe library ConServe manuSCritS anCienS et livreS rareS danS une arChiteCture futuriSte SignÉe SKidmore, owingS et merrill en 1963.le edward p. evanS hall, aveC Son enveloppe de verre et SeS CourbureS bleutÉeS, a ÉtÉ Conçu par norman forSter pour la yale SChool of management.

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Pat r i m o i n e

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Déjàparu

UN REGARD INÉDITSUR LES HAUTS LIEUX

DU SAVOIRDe l’université de Bologne,

première université du monde occidental fondée en 1158,

aux prestigieuses universités anglaises et américaines, cet ouvrage nous invite à découvrir les hauts lieux du savoir. Il pose un regard sur des universités au patrimoine architectural exceptionnel. Au gré de la promenade photographique se succèdent amphithéâtres, bibliothèques, chapelles, salons d’honneur, théâtres anatomiques, jardins… Une visite inédite et spectaculaire de vingt-trois universités, parmi les plus renommées au monde, à travers quatorze pays. Autant de lieux qui invitent le promeneur curieux à passer la porte de ces temples de la connaissance.

« Alma Mater Studiorum : “la mère nourricière des études”. Sa devise ne ment pas : l’université de Bologne est bien cette figure première, véritable matrice du formidable mouvement qui allait, à partir du xie siècle, doter l’Europe,

héritière de la civilisation gréco-latine, de ses temples du savoir, les universités, dans le même temps où elle se couvrait de ses temples spirituels, les cathédrales. C’est Bologne, en effet,

qui concrétisa la première cette volonté d’accorder à la connaissance scientifique des lieux qui lui fussent entièrement dédiés. » Jean Serroy

Les plus belles universités du mondePhotographies de Guillaume de Laubier

Textes de Jean Serroy28 x 28 cm – 240 pages

45 €OCTOBRE 2015

bibliotHèques Du monDeGuillaume de laubier,

jacques bosser28,5 x 28,5 cm – 248 pages

45 €

les plus beaux opéras Du monDe

Guillaume de laubier, antoine pecqueur

28 x 28 cm – 240 pages 45 €

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PHILIPPE HALSMAN,ARRÊT SUR IMAGES

C’est en photographiant la famille Ford pour le cinquantième anniversaire de la marque (1952)

que Philippe Halsman a eu cette idée folle : faire sauter Mme Ford devant l’objectif. Ainsi est né le concept de « jumpology », basé sur le constat que faire sauter les sujets photographiés aide à la relaxation et la désinhibition de ceux-ci, les rendant plus naturels et photogéniques que lorsqu’ils

sont figés dans des poses étudiées. Cet ouvrage revient sur les plus célèbres de ces clichés d’artistes, de stars de la télévision, d’industriels, de politiciens, d’athlètes et de scientifiques qui se sont tous prêtés au jeu et aux caprices d’Halsman. Des portraits hauts en couleurs (bien qu’en noir et blanc), originaux, dynamiques, drôles et vrais.

Cet ouvrage rend compte de toute l’histoire de la photographie sur 180 ans, à travers plus de 1 200 entrées,

300 illustrations et la collaboration de 150 experts. Des définitions précises, concises et accessibles des termes techniques (matériel et procédé) mais aussi des présentations de photographes, de collectifs, d’organisations, de collectionneurs, d’historiens, de critiques, etc. Le tout illustré de portraits d’artistes, de photographies d’expositions ou encore de schémas techniques. Un outil indispensable pour tous les amateurs de photographie comme pour les photographes avertis.

Dictionnaire de la photographieSous la direction de Nathalie Herschdorfer

20,2 x 30,7 cm – 448 pages 75 €

OCTOBRE 2015

ACTU EXPOExposition au Jeu de Paume du 20 octobre 2015 au 24 janvier 2016.

Jump BookPhilippe Halsman

22 x 27,9 cm – 96 pages35 €

OCTOBRE 2015

180 ANS DE photographie

e n q u ê t e

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ENTRETIENProfession reporters, en quoi cela consiste-t-il ? Manon Quérouil-Bruneel : Avant toute chose, notre particularité avec Véronique, c’est de former un binôme photographe-journaliste. Un regard croisé entre textes et photographies sur des thèmes d’actualité et d’autres qui le sont moins. Après l’enlèvement des lycéennes par Boko Haram, nous sommes parmi les premières à nous être rendues sur place pour recueillir la parole des mères. Notre reportage a été publié par le magazine Marie Claire. Le résultat de notre travail se trouve en kiosque mais rien, en revanche, sur nos difficultés pour réaliser un reportage : les galères pour se rendre sur place, les montages financiers, les conditions de réalisation compliquées, notamment quand nous nous rendons dans une zone de guerre. L’idée du livre, c’est de montrer vraiment les coulisses du reportage, de ne rien cacher de nos déceptions, échecs, craintes, peurs…

Un reportage particulièrement rocambolesque ?En Afghanistan. C’est un pays que l’on connaît bien parce que nous avons été toutes les deux basées là-bas pendant plusieurs années. C’est d’ailleurs là que nous nous sommes rencontrées. C’était un sujet sur les milices censées prévenir le retour annoncé des talibans, qui a été compliqué à mettre en place

et à réaliser. Les chefs de guerre sont des êtres volatils, qui ne contrôlent qu’un périmètre limité au-delà duquel ils n’ont aucune autorité. Il nous fallait faire copain-copine avec plusieurs d’entre eux pour nous assurer d’une certaine sécurité.

En quoi vos reportages se différencient-ils de ceux de vos confrères ?Peut-être justement parce que nous réfléchissons à deux, en termes d’information et de photographies. Nous nous efforçons

de proposer un travail cohérent et le plus complet possible. Comme nous sommes indépendantes, nous ne pouvons pas rivaliser avec les moyens des magazines, nous sommes donc obligées de trouver des angles un peu différents et des méthodes de travail parfois peu orthodoxes. Nos reportages racontent la guerre, l’actualité et les hommes autrement, c’est toute la force de notre travail.

« Les aléas du métier sont parfois les meilleures histoires à raconter. » Manon Quérouil-Bruneel

Profession reportersManon Quérouil-Bruneel,

Véronique de Viguerie, 17 x 22,5 cm – 224 pages

29 €AOÛT 2015

Manon et Véronique, journalistes indépendantes, parcourent le monde depuis une dizaine

d’années pour couvrir l’actualité la plus sensible. La première écrit, la seconde photographie. On les retrouve sur des fronts aussi différents que celui des lycéennes nigérianes enlevées par Boko Haram ou celui des combattants kurdes contre l’État islamique en Irak. Cet ouvrage

présente 8 reportages avec, à chaque fois, le récit des coulisses de chacun de leur voyage, leurs trucs de reporters, des portfolios d’images inédites, l’analyse des photographies les plus saisissantes, et enfin, l’article tel qu’il est paru, souvent en exclusivité. Un ouvrage passionnant sur le grand reportage et un portrait en filigrane de deux femmes hors du commun.

DEUX BAROUDEUSESEN TERRAIN MINÉ

m e d i a

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LES TEMPS FORTSD’ENVOYÉ SPÉCIAL

Cet ouvrage se propose de retracer l’ADN du magazine en près de 80 entrées, qui marquent

les temps forts d’Envoyé Spécial et, dans le même temps, reflètent les préoccupations et les transformations de la société de ces 25 dernières années sur tous les sujets : actualité internationale, catastrophes humanitaires, politique économique, mais aussi débats de société, scandales sanitaires, mutations sociales

et technologiques, ou faits et portraits culturels… Guilaine Chenu et Françoise Joly, qui codirigent et coaniment le magazine depuis plus de 14 ans, apportent tout au long du livre leur éclairage sur les coulisses de l’émission, l’évolution de leur manière de travailler et de traiter l’actualité, la façon dont les sujets traités ont pu et su marquer la société. Un regard particulièrement riche et exigeant sur l’actualité de ces dernières décades.

Envoyé SpécialGuilaine Chenu, Françoise Joly

22 x 28,5 cm – 256 pages32 €

OCTOBRE 2015

p o r t r a i t

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Déjàparu

DES HOMMES D’EXCEPTIONPOUR LA DÉFENSE

DES LIBERTÉS

libres comme ellesaudrey pulvar

22 x 28,5 cm 216 pages

35 €

Parce qu’ils ont marqué son parcours, Audrey Pulvar brosse le portrait d’une vingtaine d’hommes aux destins

exceptionnels qui ont fait des choix allant à l’encontre de leur époque et des conventions sociales. D’Alexandre Dumas à Salman Rushdie, en passant par Albert Camus, James Baldwin ou Martin Luther King, ces hommes se sont imposés comme de véritables pionniers. En prenant le risque de s’affranchir de leur temps, ils ont écrit l’histoire et contribué à la défense des libertés. Audrey Pulvar les raconte avec toute la force de ses convictions et son attachement profond à chacun d’entre eux.

ENTRETIENCet ouvrage est-il le pendant masculin de votre précédent ouvrage Libres comme elles ? Audrey Pulvar : L’actualité nous montre à quel point les valeurs de la République doivent encore être défendues. Il me semble indispensable dans ce contexte de rappeler un certain nombre de combats menés pour la liberté. Ce que j’avais fait dans Libres comme elles en présentant une vingtaine de femmes qui ont marqué leur temps. Et que je fais à nouveau en rendant hommage à un ensemble d’hommes qui ont contribué à la défense des libertés.

Qui sont-ils ?Ce sont des artistes, des écrivains, des compositeurs, des esprits aux aguets dont la liste semblera forcément incomplète et arbitraire. Comme pour les femmes, ces hommes Libres et insoumis ont beaucoup compté pour moi à un moment donné de mon parcours, ils ont construit ma vision épistémologique du monde. Ce sont des architectes de l’humanité, bien plus politiques que beaucoup de gouvernants, car eux savent convoquer la beauté en tout espace et délivrer en nous, même au plus sombre de la tyrannie, l’étincelle qui saura mobiliser les forces inaliénables de la condition humaine.

Libres et insoumisAudrey Pulvar

22 x 28,5 cm – 216 pages 35 €

OCTOBRE 2015

« Après le goût du combat pour la liberté d’être soi, défendu par Elles, j’ai voulu transmettre le sens de l’universel défendu par Eux. »Audrey Pulvar

l i t t é r at u r e

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le paris DES POÈTES MAUDITS

Le Paris des poètes maudits33 x 48 cm – 128 pages

59 €OCTOBRE 2015

C’est en 1883 que Paul Verlaine publie une série de critiques littéraires dans la revue Lutèce, et emploie

pour la première fois le terme de « poètes maudits ». Au-delà de l’évocation symboliste, cette heureuse désignation deviendra le courant esthétique majeur de cette époque. Une esthétique marquée par

le mythe de « L’Idéal artificiel » qui, au détour des vers, demeure intact et éternel. Verlaine mais aussi Baudelaire, Rimbaud, Mallarmé… Chaque portrait de poète s’accompagne d’une iconographie riche : portrait peint, poème choisi, le tout rythmé par des photographies et des peintures du Paris de l’époque.

p o r t r a i t

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VIENS VOIR LE COMÉDIENCharles Aznavour, l’artiste aux 180 millions

de disques vendus, ferait presque oublier qu’il est aussi un acteur,

qui a tourné avec les plus grands réalisateurs. La Tête contre les murs, Tirez sur le pianiste, Un taxi pour Tobrouk, Le Tambour, Les Fantômes du chapelier… Dans ce livre, inspiré du documentaire « Aznavour, viens voir le comédien », le chanteur se confie à Vincent Perrot avec humour et une mémoire sans faille. Il évoque ses histoires d’amitié avec Édith Piaf, Jean Cocteau, Lino Ventura, Peter Sellers… Pas à pas, il retrace sa carrière, une vie qu’il a mené tambour battant, sans jamais cesser de chanter, de tourner des films, de faire des concerts. Un bel hommage à un artiste complet, qui fête ses 70 ans de carrière.

ACTU ÉVÉNEMENTCharles Aznavour se produira au Palais des Sports, à Paris, du 15 au 27 septembre 2015.

Aznavour,Ma vie, mes chansons, mes filmsCharles Aznavour, Vincent Perrot

Textes additionnels Philippe Durant24 x 28,5 cm – 240 pages

32 €OCTOBRE 2015

ENTRETIEN Pourquoi un sujet sur Aznavour ?Vincent Perrot : Depuis mes débuts à la radio, où je passais des chansons de Charles Aznavour, je m’intéressais au personnage, à ce parcours singulier. Un jour, j’ai eu l’opportunité de réaliser, en dehors de mes activités de radio et de télévision, des documentaires. C’était l’occasion pour moi de faire un sujet sur Aznavour, le comédien, un pan de sa vie d’artiste dont il parlait peu. Je lui ai présenté mon projet il a accepté au bout de 15 minutes ce que j’avais muri pendant 15 ans !

Comment est née l’idée d’un livre ?On a commencé à se voir beaucoup pour nos tournages. J’ai découvert qu’il voulait devenir acteur avant d’être chanteur mais que la chanson

l’avait rattrapé, qu’il en avait ensuite profité pour faire du cinéma et qu’il était dévoré par le théâtre… Finalement je me suis retrouvé à la tête de six heures d’entretiens filmés en haute définition, ce qui, avec Charles Aznavour, est unique. L’idée d’en faire un livre a germé sous l’impulsion de Philippe Durant, spécialiste du cinéma français.

Quelle est la particularité de l’ouvrage ?Ce n’est pas un énième livre sur Charles Aznavour. On découvre une facette très discrète de l’artiste. Des choses qu’il n’avait pas eu véritablement envie de dire sur sa vie, ses rencontres. Il m’a confié des photographies rarement diffusées, ouvert ses archives, ce qui est exceptionnel. C’est étourdissant de voir

cet homme, qui vient de fêter ses 91 ans, se raconter avec autant de verve, d’humour et de simplicité. Cela force le respect.

p o r t r a i t

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ANGELIN PRELJOCAJRÉTROSPECTIVE

Depuis 30 ans, Angelin Preljocaj donne un souffle nouveau à la danse en proposant des créations

issues du répertoire classique ou des ballets contemporains, créant un pont entre ces deux courants et cassant les codes. Ce livre offre un éclairage complet et inédit sur la carrière de ce chorégraphe atypique – l’un des premiers à être entré dans le répertoire de l’Opéra de Paris –, à travers la présentation de 30 ballets. Focus sur les costumes – primordiaux dans sa scénographie –, entretiens avec de nombreuses personnalités dont Enki Bilal, Jean Paul Gaultier, Laurent Mauvignier… complètent cet ouvrage richement illustré. Une rétrospective passionnante sur le processus de création d’un grand artiste.

Angelin PreljocajAngelin Preljocaj, Paul-Henry Bizon

Textes des costumes de Delphine Pinasa (CNCS)

Préface de Michel Archimbaud24 x 31 cm – 256 pages

49 €OCTOBRE 2015

ACTU EXPOExposition Angelin Preljocaj, Costumes de danse au Centre national du costume de scène de Moulins, du 3 octobre 2015 au 6 mars 2016.

« Par ce livre, nous voulions capter un peu de l’émotion que génère le travail de ce grand artiste dans l’esprit et la mémoire des spectateurs car, comme me l’écrivait si bien Roland Barthes, éditer un beau livre, c’est essayer de prolonger par le savoir, “ce jamais plus qui fait de tout spectacle (contrairement au livre) la plus déchirante des fêtes.” »Michel Archimbaud

m e d i a

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Dans le ventre de Hara-KiriTextes de Pacôme Thiellement, Delfeuil de Ton, Denis Robert,

Romain Goupil, Jackie Berroyer Photographies d’Arnaud Baumann

et Xavier Lambours24 x 31 cm – 240 pages

35 €AOÛT 2015

ACTU EXPOExposition au festival Visa pour l’Image de Perpignan du 29 août au 13 septembre 2015.

AU CŒUR DE LA PRESSE IRRÉVÉRENCIEUSE

En 1975, deux jeunes photographes s’invitent dans l’antre du détonnant Hara-Kiri. Arnaud Baumann et Xavier

Lambours ont alors côtoyé pendant plusieurs années l’équipe rédactionnelle du magazine (la même que celle de Charlie Hebdo), mais également tout le petit monde gravitant autour des deux grandes figures, le Professeur Choron et François Cavanna. D’anniversaires

en fêtes, de canulars en provocations, de comités de rédaction en lancements, le duo, surnommé « Lambau », nous brosse le portrait de ces géniaux trublions (Gébé, Wolinski, Cabu, Willem, Reiser…), nous présente leurs propres créations délirantes parues dans de nombreux numéros de Hara-Kiri, et surtout nous font (re)vivre cette grande épopée d’une presse très libre, aujourd’hui disparue.

« Personne, à Hara-Kiri , n’avait appris le journalisme, le dessin, l’écriture (ni Bernier la comptabilité).

Du travail sans filet. »

g r a p h i s m e

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SINÉ,UN GRAPHISTE ENRAGÉ

Dessinateur d’humour et caricaturiste engagé, Maurice Sinet, plus connu sous le nom de Siné, a toujours porté

une grande attention au graphisme de ses travaux – mise en forme, trait, choix des couleurs, typographie – afin de délivrer un message percutant sous une apparente simplicité. Choisis avec soin par l’artiste, 250 documents originaux ou reproduits (couvertures de presse et de livres, pochettes

de disque, affiches de film, de pièces de théâtre, de publicité, de cartes postales ou de vœux, de chroniques ou d’objets de marketing), accompagnés d’images d’archives illustrant le travail de Siné jalonnent ce drôle de parcours graphique. Une superbe rétrospective présentée par François Forcadell, l’un des plus fidèles collaborateurs de Siné.

Siné graphisteFrançois Forcadell

19,5 x 26 cm – 240 pages – 29 €SEPTEMBRE 2015

« Maintenant que j’ai fait avec Siné une sorte de Voyage au bout de l’Humour, je voudrais dire la qualité du dessin et tout ce que le trait apporte à l’esprit de ces compositions. » Marcel Aymé, préface de Complaintes sans paroles, Siné, 1956.

AU CŒUR DE LA PRESSE IRRÉVÉRENCIEUSE

e n q u ê t e

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Déjàparu

REPORTAGE INÉDITAU CŒUR DE LA CRIM’

Raynal Pellicer et Titwane ont obtenu l’autorisation exceptionnelle de suivre les policiers de la Brigade

criminelle à Paris. Une immersion de quatre mois dans le saint des saints, le mythique « 36, quai des Orfèvres ». La « Crim’ », créée en 1912, est toujours considérée comme le plus prestigieux des services de la Police judiciaire parisienne

et liée aux plus grandes affaires criminelles : de Marcel Petiot à Guy Georges. Ce récit graphique relate le quotidien de plusieurs groupes d’enquêtes de droit commun et de la section antiterroriste et propose un large panorama d’affaires, du crime passionnel aux règlements de compte liés aux arnaques à la taxe carbone, en passant par les filières syriennes.

ENTRETIENQu’est-ce que la Brigade criminelle ?Raynal Pellicer : La Brigade criminelle se situe au mythique 36, quai des Orfèvres. La Crim’, c’est probablement le plus beau service de la Police judiciaire ! Elle comprend une centaine d’hommes et a une compétence territoriale : Paris et les départements

limitrophes. Ses critères de saisines sont simples : l’homicide à auteur inconnu, l’enlèvement ou l’incendie criminel. L’homicide à auteur inconnu, ça veut dire avec une énigme, qu’il n’y ait aucune piste au départ !

Quelle a été votre expérience au sein de cette Brigade ?J’ai pu suivre le travail des policiers pendant quatre mois, tous les jours de la semaine, les week-ends et parfois les nuits, ce qui est tout à fait exceptionnel. Au cours de cette immersion, j’ai assisté à des affaires de droits communs, d’arnaque à la taxe carbone, ou de règlements de compte sur fond de trafic de drogue ! Et ça commence toujours par une scène de crime ! Au sein de la Brigade, il y a également une section antiterroriste, un service dont on a beaucoup entendu parler lors des attentats de janvier contre Charlie Hebdo et l’Hyper Cacher. Un chapitre

rend compte du travail de ces policiers qui (entre autres) traquent les filières syriennes. Un jour, un policier m’a dit une chose qui m’a particulièrement frappé : « À la BRB tu as eu affaire à des voleurs de pommes [des gens qui braquent des bijouteries et des banques]. Mais ici chaque histoire est un drame, ici, tu vas croiser le mal. » Ces affaires impactent un grand nombre de personnes, les policiers, les familles des victimes et les familles de ces criminels. Ce sont des affaires très chargées émotionnellement.

Quelle est la particularité de l’ouvrage ?Il s’agit d’un récit graphique. Chaque histoire présentée est vraie. Je ne brode pas autour des faits et les dialogues sont authentiques. La seule chose qui a été changée, c’est le nom des protagonistes et les lieux car aucune des histoires présentées dans le livre n’a encore été jugée. Et par ses dessins, Titwane a retranscrit avec talent ces quatre mois d’immersion au sein de la Brigade.

Brigade criminelle,Immersion au cœur

du 36, quai des OrfèvresRaynal Pellicer, Titwane

19,5 x 26 cm – 208 pages29,90 €

SEPTEMBRE 2015

enquêtes Générales,immersion au cœur De la briGaDe

De répression Du banDistismeraynal pellicer, titwane

19,5 x 26 cm – 208 pages 35 € €

e n q u ê t e

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HISTOIRE ILLUSTRÉEDES PLUS CÉLÈBRES

TUEURS EN SÉRIELe tueur en série naît au xixe siècle avec

l’urbanisation et le développement de la presse, rendant alors son activité

célèbre. Les guerres mondiales et les totalitarismes du xxe siècle feront évoluer considérablement sa figure et sa manière de tuer… Car le tueur en série est avant tout le reflet de la société

dans laquelle il vit. À chaque société son profil de tueur. Cet ouvrage richement documenté (sources d’enquête, rapports du FBI, coupures de presse…), retrace une douzaine d’affaires ayant défrayé la chronique, de Jack l’Éventreur à Zhang Yongming, en passant par Landru ou Ted Bundy.

ENTRETIENPourquoi un livre sur les tueurs en série ?Fabrice d’Almeida : Le phénomène de tueur en série peut remonter haut dans l’histoire. On trouve des situations ou des mythes qui

s’en rapprochent presque à toutes les époques : les grands massacreurs, comme Gilles de Rais, ou dans les Balkans le mythe des vampires. Mais dans la seconde moitié du xixe siècle, une conjonction de phénomènes change la donne : la structuration scientifique des enquêtes, l’apparition d’une presse de masse qui commence à avoir besoin de sensationnalisme et les actes d’un certain nombre de tueurs qui vont essayer de tisser des liens avec les médias. Mais il faudra attendre les années 1970 pour que le concept de tueur en série apparaisse véritablement. Donc le sujet est vaste et nous nous sommes aperçus qu’il n’existait pas de livre illustré qui propose une histoire assez systématique, à l’échelle mondiale, des serial killers.

Comment s’articule l’ouvrage ?F. D’A. : Le livre, qui comprend 9 chapitres, est chronologique : à chaque époque, son tueur pourrait-on dire. Il commence par Jack L’Éventreur et se termine avec Michel Fourniret. Certaines analyses plus transversales, comme celles qui relèvent de l’histoire de la police scientifique, des armes utilisées, des pratiques des tueurs, de leur entourage etc., ponctuent l’ouvrage.

Commencer par Jack l’Éventreur était une évidence ?F. D’A. : Bien sûr ! C’est le premier. Il est presque l’objet d’un culte, tant il fait l’objet de citations. Il survient au début de la presse à sensation en Angleterre, l’affaire défraie la chronique et fait peur aux Anglais. Elle aura des conséquences importantes sur le plan judiciaire et urbain.

Qu’avez-vous découvert ?Marjorie Philibert : Il ne s’agissait pas d’alimenter la fascination que nous avons tous pour les serial killers. Nous avons cherché plutôt, par le biais d’analyses historiques et sociologiques, à créer une certaine distance. Et l’étude de ces serial killers nous a permis de faire tomber un certain nombre d’idées reçues. Et surtout, le livre montre à quel point dans toutes les parties du globe ces comportements sont désormais visibles. Un visage inquiétant de notre évolution.

Sur les traces des serial killersà chaque époque, son tueur

Fabrice d’Almeida, Marjorie Philibert19,5 x 25,5 cm – 216 pages

29,90 €OCTOBRE 2015

e n q u ê t e

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Déjàparu

LES GRANDS PROCÈSDE L’HISTOIRE

Dominici a-t-il « couvert » un de ses fils ? Omar Raddad est-il innocent ou coupable ? Qui a tué le petit

Grégory ? Autant d’énigmes et de drames que la justice s’est efforcée de résoudre, même si elle a tranché en faveur d’une thèse, parfois fragile dès le début de l’affaire ou malmenée par les plaidoiries et les réquisitoires. Dix-huit « affaires », pour certaines criminelles, sont ici retracées

par Emmanuel Pierrat, depuis la découverte des corps jusqu’à, dans certains cas, l’exécution de celui que la justice a désigné comme coupable, en passant par les péripéties de l’enquête et, surtout, les rebondissements de procès à sensation… Chacune est illustrée de documents souvent inédits parfois reproduits en fac-similé et rassemblés grâce au musée du Barreau de Paris.

ENTRETIENQuels sont ces grands procès ?Emmanuel Pierrat : J’ai choisi dix-huit affaires emblématiques qui ont marqué leur temps. Elles vont du milieu du xixe siècle jusqu’à aujourd’hui, avec l’affaire Outreau. L’ouvrage commence par le crime de Pantin, un fait divers qui déclencha l’engouement de la presse pour les affaires judiciaires. Le principal quotidien de l’époque quadrupla ses ventes pendant le procès. Cette triste affaire marqua le début de la chronique judiciaire.

De quels types d’affaires s’agit-il ?On retrouve Violette Nozière, la parricide, Marie Besnard, l’empoisonneuse, le docteur Petiot, Gaston Dominici, mais aussi Omar Raddad, l’affaire Grégory… Il y a également des procès à connotation plus politique, comme l’affaire Dreyfus, l’attentat du Petit-Clamart, le procès Papon… D’autres qui ont contribué à faire évoluer les mentalités en provoquant des débats de société. Je pense notamment au procès de Bobigny en 1972, au cours duquel l’avocate Gisèle Halimi a défendu le droit des femmes à disposer de leur corps, et qui débouchera sur la loi Veil deux ans plus tard. L’affaire Buffet avec les immenses plaidoiries de Thierry Levy et de Robert Badinter en faveur de l’abolition de la peine de mort. L’affaire Outreau et l’erreur judiciaire. Toutes ces affaires ont eu un retentissement médiatique tel qu’elles sont entrées dans l’histoire de France.

Est-ce également une réflexion sur la machine judiciaire ?En quelque sorte. En relatant ces affaires, l’ouvrage est aussi une chronique du barreau, de ses ténors, des experts qui s’effondrent à la barre, des enquêteurs dont la conviction est mise en doute, des magistrats pas toujours impassibles, des accusés qui crient à l’injustice et des familles en pleurs.

Ces grands procès présentent-ils encore une part d’inédit ?Bien que certains d’entre eux aient été très médiatisés, de nombreux documents sont encore inédits. Ces documents se trouvent au musée du Barreau de Paris dont je suis devenu le conservateur. Ces archives inestimables recèlent de nombreux fac-similés, des portraits d’audience, des lettres autographes… Toutes les archives du procès Papon s’y trouvent. Cette iconographie incroyable se retrouve dans l’ouvrage.

Les grands procès de l’histoireEmmanuel Pierrat

24 x 31 cm – 176 pagesSous coffret, avec 8 pochettes

contenant des fac-similés 39,90 €

OCTOBRE 2015

les GranDes plaiDoiriesordre des avocats, yves ozanam24 x 31 cm – 176 pages39,90 €

ACTU EXPOExposition Les Grands Procès au musée du Barreau de Paris à l’automne 2015.

S c i e n c e S

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Déjàparu

CHARLES DARWIN,LE LIVRE DE L’EXPOSITION

Retracer le parcours de Charles Darwin, célèbre naturaliste anglais et père de la théorie de l’évolution,

tel est le fil conducteur de l’exposition qui ouvre début octobre 2015 à la Cité des sciences et de l’industrie à Paris. Le livre qui l’accompagne revient sur le personnage, ses origines sociales, sa famille et les expériences qui ont déterminé l’orientation de ses recherches. Véritable voyage dans la vie et l’œuvre de Darwin,

ce catalogue richement illustré replace l’homme en son temps, évoque la réception de ses idées par la communauté scientifique et le grand public, mais aussi les influences que ses travaux ont laissé dans la littérature, les arts plastiques et l’architecture, qui attestent de l’importance sociale d’une pensée et sa puissance révolutionnaire.

ACTU EXPOExposition Le Monde de Darwin à la Cité des sciences et de l’industrie, à Paris, du 13 octobre 2015 à mi-août 2016.

Le Monde de DarwinSous la direction de

Guillaume Lecointre et Patrick Tort 19 x 25,5 cm – 192 pages

29,90 €OCTOBRE 2015

Singe devant un squeletteGabriel von Max

Huile sur toile, 61 x 44,5 cm

cerveau,stanislas Dehaene19 x 25,5 cm – 216 pages 32 € €

EN COLLABORATION AVEC

S c i e n c e S

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Déjàparu

DEYROLLE,À LA CROISÉE DES SAVOIRS

Créée en 1831, la maison Deyrolle rassemble d’importantes collections destinées à tous les amateurs

de nature. Leurs grandes planches murales illustrées – les « leçons de choses » en botanique, zoologie, entomologie, physique, géologie, minéralogie, anatomie humaine, instruction civique... – ont équipé les écoles françaises dès 1870. Plus de 85 planches sont reproduites

ici en détails pour la première fois. En regard de chacune d’elles, un scientifique de renom apporte un éclairage sur les découvertes et avancées scientifiques actuelles en la matière et nous sensibilise à une démarche plus respectueuse de notre environnement. Un aller-retour constant entre passé et présent, rêve et pédagogie, curiosité et savoirs.

cabinets De curiositéschristine Davenne, christine Fleurent

22 x 31 cm – 232 pages 40,50 € €

OCTOBRE 2015

Deyrolle, à la croisée des savoirsSylvie Albou-Tabart, Louis-Albert de Broglie

24 x 31 cm – 240 pages 39,90 €

S c i e n c e S

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Déjàparu

MÉDECINES DU MONDE

ENTRETIENLa saison 2 de Médecines d’ailleurs est-elle dans la continuité de la première ?Bernard Fontanille : Les destinations de la première série étaient assez évidentes : Inde, Népal, Chine, Cambodge, Kenya… Certaines médecines s’étaient imposées d’elles-mêmes, comme la médecine chinoise, la médecine tibétaine ou encore la médecine mongole… À chaque destination, un médecin nous expliquait sa pratique. C’était un mélange de découverte et de connaissance. Pour la saison 2, nous avons souhaité apporter davantage d’informations, de contenu. L’approche est donc légèrement différente tout en restant dans la continuité de la première série documentaire.

Et le livre ?Comme dans le premier opus, il s’agit d’aller plus loin car en 26 minutes de film, on ne peut pas tout montrer. Le corps du livre est donc constitué de récits de voyage. Je raconte ce que j’ai ressenti, ce que j’ai appris, et je dresse un portrait de chaque personne que j’ai rencontrée. Je continue également d’apporter des informations très factuelles sur l’état sanitaire des pays visités. Mais la grande nouveauté de ce tome 2 tient aux longs entretiens que je mène avec des spécialistes – anthropologues, historiens, philosophes, ostéopathes, acupuncteurs, herboristes… – qui apportent leur éclairage sur une pratique.

Les temps forts de la saison 2 ?Il y en a tant ! Aux États-Unis, nous sommes partis à la rencontre des Navajos, un peuple qui a une vraie culture médicale, historique. Au Japon, nous nous sommes intéressés à la médecine des sumos. En Roumanie, nous avons voulu nous pencher sur l’apithérapie, qui est encore peu connue. Enfin, aux Philippines, nous nous sommes rendus sur l’île de Siquijor, réputée pour ses guérisseurs.

Considérez-vous les médecines traditionnelles comme des médecines alternatives ou complémentaires ?Elles sont complémentaires. Il y a des pathologies que l’on ne peut traiter que par l’allopathie. Mais une autre approche de la maladie et du corps peut apporter une aide aux malades. Il y a une vraie réflexion à mener sur ce sujet.

méDecines D’ailleurs, volume 1bernard Fontanille, elena sender22 x 28,5 cm216 pages29 € €

M édecines d’ailleurs accompagne la série documentaire éponyme diffusée sur Arte. Inde, Népal,

Chine, Cambodge, Indonésie, Japon, Brésil, Pérou, Bolivie, Kenya, Ouganda, Afrique du Sud… Bernard Fontanille, médecin urgentiste, parcourt le monde à la rencontre de ces femmes et de ces hommes qui prennent soin des autres, sauvent des vies et parfois inventent de nouvelles manières

de soigner et de soulager. Coécrit avec Alice Bomboy, l’ouvrage apporte un éclairage scientifique complémentaire sur ces pratiques médicales. S’immergeant dans la vie et l’intimité des praticiens et des patients, les auteurs nous font ainsi toucher du doigt ces médecines ancestrales, profondément ancrées dans une culture, et nous racontent les différentes réalités d’un pays.

« Découvrir un pays à travers la médecine, c’est comprendre pourquoi, en 2015, il y a encore des gens qui soignent avec des racines et des feuilles. C’est aussi comprendre comment la médecine s’adapte à son environnement. » Bernard Fontanille

Médecines d’ailleurs, volume 2Bernard Fontanille, Alice Bomboy

22 x 28,5 cm – 216 pages32 €

DÉCEMBRE 2015

SÉRIE ÉVÉNEMENTLe livre de la série documentaire éponyme, diffusée sur Arte à partir de janvier 2016.

v o ya g e / n a t u r e

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Déjàparu

CAP VERS UNE NOUVELLE VIE

Qui n’a jamais rêvé de changer de vie ? Un licenciement, la retraite, une rupture amoureuse

sont parfois les déclics qui provoquent le changement. Stéphanie a quitté les hautes sphères de la finance pour faire de l’humanitaire. Ronan a préféré les abeilles à l’industrie du tabac. Thimothée a dit adieu au marketing pour devenir boucher. Aux changements de vie

professionnelle s’ajoutent aussi des choix de vie très personnels : devenir végétarien, se convertir au bouddhisme, partir vivre à la campagne… Cet ouvrage suit le parcours d’hommes et de femmes qui ont osé franchir le pas. Des expériences riches et multiples de personnes qui ont décidé de vivre en accord avec elles-mêmes. Ils ont changé de vie

Amandine Grosse19,3 x 26 cm – 240 pages

29,90 €SEPTEMBRE 2015

LA NATURE DANS LES PAYSAGES URBAINS

Ce livre en partenariat avec le WWF, première organisation mondiale de protection de la nature, se concentre

sur une question essentielle : comment faire cohabiter nature et urbanisme ? Geoffrey Galand, architecte et urbaniste, a été missionné pour traiter cette question, apporter des réponses concrètes à l’échelle de la ville, du quartier puis de l’individu. S’appuyant sur des exemples de réalisations et richement illustré, cet ouvrage a pour objectif de sensibiliser le grand public et de l’impliquer dans les solutions à apporter.

ils ont Fait le tour Du monDesandrine mercier, michel Fonovich19,3 x 26 cm – 240 pages29,90 € €

ils sont partis vivre ailleurssandrine mercier, michel Fonovich19,3 x 26 cm – 240 pages29,90 € €

La Ville renaturée,Réconcilier l’espace urbain

et la biodiversitéTextes de Geoffroy Galland

19,5 x 25,5 cm – 224 pages – 32 € NOVEMBRE 2015

a r t

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Une promenade iconographique au sein des prestigieuses collections des plus grands musées du monde.

BAS LES MASQUES !L’art du masque, qu’il soit lié aux rites

ancestraux, au théâtre ou à la danse, témoigne, dans le temps et l’espace,

d’une extraordinaire variété de formes et de matériaux – bois, fourrure, tissus, fibres végétales, pierre, papier mâché. Les 100 masques inestimables mis en lumière par le musée du quai Branly sont tous au cœur de la vie d’une communauté et nous dévoilent le lien puissant entre le monde des vivants et les forces magiques de l’invisible.

Trésors de masques du musée du quai Branly12 x 17,5 cm – 216 pages

14,90 €SEPTEMBRE 2015

Dans une ambiance intimiste de boudoir, nous voguons, tels des voyeurs hédonistes, entre

poses lascives, attitudes suggestives, voire étreintes irrésistibles… Les 100 œuvres incontournables (estampes, photographies et miniatures) sélectionnées avec soin par le département Japon du musée national des arts asiatiques – Guimet nous laissent imaginer les délices à venir et nous plongent dans le monde des plaisirs de la chair.

RENCONTRES ÉROTIQUES

Trésors érotiques japonais du musée Guimet

12 x 17,5 cm – 200 pages14,90 €

SEPTEMBRE 2015

TRÉSORS DE…

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maSque kwele

congo

Bois, pigments, plumes76 × 69 × 9 cm

Inv. : 71.1961.120.1

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KITAGAWA UTAMARO (1753-1806)

Femme tenant une gaze de soie

Époque d’Edo, 1795-1796Estampe polychrome (38 × 25,5 cm)

Legs Isaac de Camondo, 1912 – EO 1631

v i s i o n n a i r e s

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Déjàparu

LES PLUS GRANDS CRÉATEURS DE MODE

LES PLUS GRANDS ARCHITECTES

Qui a libéré les femmes du corset ? Qui a inventé le new-look ? Qui a créé un tailleur féminin

indémodable devenu l’emblème d’une grande maison ? Qui a osé le smoking pour femme ? Et la jupe pour homme ? Les 75 grands créateurs présentés dans cet ouvrage ont radicalement transformé le cours de l’histoire de la mode. Élégantes, excentriques, provocatrices ou esthètes, ces personnalités visionnaires ont imposé leurs idées et leur style, marqué les esprits et modifié notre façon de nous habiller.

Visionnaires,Les plus grands créateurs de mode

Linda Watson20 x 29 cm – 312 pages

35 €SEPTEMBRE 2015

Antoni Gaudí, Le Corbusier, Jean Prouvé, Oscar Niemeyer, Frank Gehry, Renzo Piano, Tadao Ando, Herzog & de

Meuron… 75 grands noms pour incarner toute la diversité de l’architecture moderne, de 1880 à nos jours.

Chacun de ces talentueux architectes a su imposer sa propre manière de penser l’espace, tout en s’adaptant à l’évolution des sociétés et aux avancées technologiques. Leurs œuvres habitent nos villes et nourrissent notre imaginaire.

Visionnaires,Les plus grands architectes

Richard Weston20 x 29 cm – 312 pages

35 €SEPTEMBRE 2015

visionnaires,les plus GranDs pHotoGrapHesmary Warner marien20 x 29 cm – 312 pages35 €

visionnaires,les plus GranDs GrapHistescaroline roberts20 x 29 cm – 312 pages35 €

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Opposite A modern take on thetraditional Chanel jacket, with fittedbody and fluted sleeves, paired withfaded denim jeans. Photographed byKarl Lagerfeld.

A pioneering classicist with a revolutionary attitude, Gabrielle ‘Coco’ Chanel was a matriarch of modernity.Responsible for introducing a series of firsts into thefashion arena, Chanel followed her instinct, most notablyadvocating suntans at a time when pale was consideredchic. She defiantly used jersey – formerly only deployedin underwear – as outerwear. She promoted androgynousdressing in an era of femininity. She created the ultimatewoman’s suit, which has lost none of its desirabilitydespite spanning two centuries.

Chanel’s life was an extraordinary rags-to-richestale in which she made the quantum leap from a Frenchpoorhouse to the Paris Ritz, mixing with the higherechelons of aristocratic society. Pertinently, she was toobserve: ‘Some people think luxury is the opposite ofpoverty. It is not. It is the opposite of vulgarity.’

Financed by her wealthy businessman boyfriend,Arthur ‘Boy’ Capel, Chanel initially became a milliner,opening a shop near the Ritz. She progressed tosportswear in Deauville in 1913 and couture in Biarritz,opening her couture salon in Paris in 1918. Chanel’siconic perfume, Chanel no5, was formulated in 1921.With a genius for publicity that matched her aptitude forcreating irresistible clothes, such was Chanel’s popularityon both sides of the Channel that she opened her firstLondon house in 1927. Her definitive signature – a mix ofrestrained opulence, understatement, extravagance andelegance – centred on a handful of core statements: thelittle black dress; the collarless tweed suit; the simpleshift dress; the crisp white shirt. Each outfit was wornwith strong accessories such as rows of pearls, a

camellia, or a quilted leather bag suspended from goldchains. The Chanel signature was one of careful editing,never overdoing. Above all, it was ageless. ‘I don’t like tohear about the Chanel fashion,’ she said, ‘Chanel is aboveall a style. Fashion becomes unfashionable. Style never.’Summoned to Hollywood in 1931, Chanel travelled tomake costumes for, among others, Gloria Swanson.

When war broke out in 1939 Chanel closed hersalon on the rue Cambon and went into retirement. At theage of 71, in 1954, she made a triumphant comeback. Inan interview with Vogue she said, ‘I am no longerinterested in dressing a few hundred women, privateclients. I shall dress thousands of women. But a widelyrepeated fashion seen everywhere must start fromluxury. At the top of the pinnacle must be luxe.’

The 1960s saw a Chanel renaissance, with a hostof celebrities – Elizabeth Taylor, Grace Kelly and JeanneMoreau – wearing her classic suit. Chanel was immortalizedon Broadway in a musical called Coco, starring KatharineHepburn, with costumes by Cecil Beaton. It was not until1978, after Chanel’s death, that the label made thetransition from couture to ready-to-wear.

Gabrielle Chanel1883–1971

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‘Luxury is a relaxation of the soul.’

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Page de gauche Taille cintrée et manches évasées aux poignets, une version moderne de la veste Chanel traditionnelle portée sur un jean délavé. Photo : Karl Lagerfeld.

Véritable pionnière, « Coco » Chanel maria un classicisme et une attitude révolutionnaire qui firent d’elle la matriarche de la modernité. Celle qui ne cessa de renouveler la mode suivit toujours son instinct, par exemple en recommandant le bronzage, à une époque où le teint pâle était de bon ton. Utilisant avec audace le jersey – réservé jusque-là aux sous-vêtements –, elle favorisa la diffusion d’une garde-robe androgyne alors que prévalait une sacralisation de la féminité. C’est elle, aussi, qui créa un tailleur féminin considéré comme un must au xxie comme au xxe siècle.

La vie de Chanel est une histoire d’ascension sociale fulgurante, qui la vit passer d’une enfance misérable à l’hôtel Ritz, où elle fréquenta les plus grands noms de l’aristocratie. Ce qui lui fit déclarer un jour : « Le luxe, ce n’est pas le contraire de la pauvreté mais celui de la vulgarité. »

Financée par son fiancé Arthur Capel, dit « Boy », un riche homme d’affaires, elle débuta comme modiste en ouvrant une boutique près du Ritz. Passée au sportswear à Deauville, en 1913, puis à la haute couture à Biarritz, elle ouvrit son salon à Paris en 1918. Son parfum iconique, Chanel N°5, sortit en 1921. Douée d’un génie de la publicité à la mesure de sa capacité à créer des vêtements irrésistibles, Chanel connut un succès tel qu’elle ouvrit sa première boutique à Londres en 1927. Son style singulier – mélange d’opulence retenue et de discrétion, d’extravagance et d’élégance – s’appuyait sur quelques pièces essentielles : la petite robe noire, le tailleur en tweed à veste sans col, la robe fourreau, une chemise blanche impeccable ;

chaque tenue se portant avec des accessoires forts – colliers de perles, camélia ou sac en cuir matelassé, à bandoulière en chaînes dorées. La signature Chanel fut élaborée avec soin : il s’agissait de toujours prendre soin de ne jamais en faire trop, ce qui, en définitive, revenait à être… intemporelle. « Je n’aime pas qu’on parle de mode Chanel, disait-elle. Chanel, c’est avant tout un style. La mode se démode. Le style, jamais. » Appelée en 1931 à Hollywood, elle réalisa notamment des costumes pour l’actrice Gloria Swanson.

Lorsque la guerre éclata, en 1939, elle ferma son salon de la rue Cambon et s’exila loin de Paris. En 1954, à l’âge de 71 ans, Chanel effectua un retour triomphal, déclarant notamment, en interview : « Il n’y a pas de mode si elle ne descend pas dans la rue. »

Les années 1960 virent la renaissance de la marque grâce aux célébrités qui adoptèrent le classique tailleur Chanel – Elizabeth Taylor, Grace Kelly et Jeanne Moreau, pour ne citer qu’elles. Une comédie musicale, Coco, l’immortalisa à Broadway, Katharine Hepburn interprétant le rôle titre et Cecil Beaton signant les costumes. Ce n’est qu’en 1978, après le décès de sa fondatrice, que la marque opéra la transition de la haute couture au prêt-à-porter.

Gabrielle Chanel1883–1971

FR AnCE

« Si une femme est mal habillée, on remarque sa robe, mais si elle est impeccablement vêtue, c’est elle que l’on remarque. »

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CHARLES & RAY EAMES

DEUX ICÔNES DU DESIGNCe très beau livre sur le célèbre

couple de designers met en avant l’extrême modernité et

l’intemporalité de leur travail, avec des images d’archives du Eames Office, mais également toute une iconographie contemporaine, provenant notamment de Vitra et de Herman Miller, éditeurs du mobilier pour l’Europe et les États-Unis. Des textes d’une quinzaine de designers du monde entier, une préface de Eames Demetrios, directeur du Eames Office et petit-fils des célèbres designers, donnent

un éclairage actuel sur ce que Charles et Ray Eames ont apporté au design et à la création contemporaine.

Charles & Ray EamesMaryse Quinton

Préface de Eames Demetrios24 x 28,5 cm – 256 pages

45 €OCTOBRE 2015

d e s i g n

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BRUNO MOINARDDU TRAIT À LA LUMIÈRE

Bruno Moinard fait partie de l’univers stellaire des grands architectes d’intérieur d’aujourd’hui. Reconnu

pour un style qui se passe désormais de signature, son nom est définitivement associé à des lieux d’exception, comme les boutiques Cartier à New York, Paris et Milan ou les boutiques hôtels de Chengdu en Chine… Minimaliste et chaleureuse, sobre sans être austère, élégante et intemporelle, chacune

des réalisations de Bruno Moinard parle d’elle-même, proposant une autre définition d’un luxe sans ostentation, une manière de gommer les effets et de privilégier l’art du détail. C’est cet univers sensible et très personnel que propose d’explorer cet ouvrage. Richement illustré de photographies inédites et enrichi de magnifiques croquis, il décline le style Bruno Moinard en 5 chapitres : la lumière, la matière, le luxe, l’épure et le mobilier.

Bruno Moinard,Du trait à la lumière

Serge Gleizes, Jacques Pépion24 x 31 cm – 240 pages

60 €OCTOBRE 2015

M O d e

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LA RÉFÉRENCE SUR LA MODE AUJOURD’HUID’Abercrombie & Fitch à Zoran, cette

encyclopédie présente, par ordre alphabétique, environ

170 designers et marques, mais aussi les mouvements et les styles qui depuis les années 1840 ont fait et font encore la mode à travers le monde. Les incontournables maisons de haute couture y côtoient les marques branchées des adolescents et du prêt-à-porter industriel. L’auteur retrace l’histoire des grandes marques, le parcours des stylistes, créateurs ou couturiers, mais aussi leurs sources d’inspiration, leurs choix esthétiques et leurs vêtements cultes. Pour nombre d’entre eux, un moodboard illustré (pêle-mêle de photos, coupons de tissus, boutons, croquis…) synthétise de manière visuelle leur signature et leur philosophie. Un must-have.

Fashion,Histoires & Styles

Version luxePiazza Arianna

23 x 31,1 cm – 536 pages69 €

SEPTEMBRE 2015

M O d e

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LES HAUTS LIEUXDE LA MODE FRANÇAISE

Qu’il s’agisse de la rue Cambon pour la Maison Chanel, de la rue Saint-Martin pour Jean Paul Gaultier

ou de l’avenue Georges-V pour Stéphane Rolland, l’histoire de chaque maison de haute couture est souvent intimement associée à une adresse parisienne. Les auteurs poussent les portes d’une dizaine de ces hauts lieux de la mode. Ils nous entraînent des salons de réception VIP, au patrimoine architectural exceptionnel, à l’intimité lumineuse des ateliers de confection. Ils s’invitent au backstage des défilés, suivent le quotidien de ceux et celles qui font la mode, croquis après croquis, fil après fil, perle après perle. Une immersion inédite dans des espaces souvent inaccessibles au public, au cœur de la création et de l’élégance à la française.

Maisons de haute coutureDésirée Sadek, Guillaume de Laubier

24,5 x 34 cm – 208 pages45 €

OCTOBRE 2015

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Déjàparu

LA STAR FAIT L’OBJET

1 000 MAILLOTS

Dans les années 1950, Brigitte Bardot, ancienne danseuse classique partie conquérir les écrans, fait à la

marque Repetto une commande inédite : une ballerine vernie, rouge carmin, qu’elle porte dans Et Dieu… créa la femme de Roger Vadim. Une chaussure plate, pour la ville, qui laisse apparaître la base des orteils. Élégance ou provocation ?

Qu’importe, elle vient de créer un mythe. Comme elle, les plus grandes icônes du xxe siècle le sont devenues car leur histoire a croisé celle d’un objet, d’un accessoire ou d’une pièce culte. Que ce soit Chaplin et son chapeau, Marcello Mastroianni et ses Ray-Ban ou Kate Moss et le trench Burberry, l’image de la star influe sur l’objet et inversement…

IconicSandrine Lajus, Raphaëlle Orsini

25 x 33 cm – 240 pages29,90 €

OCTOBRE 2015

À travers 1 000 maillots de clubs ou de sélections nationales, cet ouvrage décrypte le jeu d’une

manière didactique unique. Une histoire de rugby simple, visuelle et originale.

1 000 maillots de rugbyPierre Ammiche

17 x 23 cm – 256 pages19,90 €

AOÛT 2015

1 000 maillots De Footbernard lions,louis nicollin

17 x 23 cm – 304 pages19,90 €

M O d e

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SYLVIE VARTAN50 ANS DE STYLE ET DE GLAMOUR

Très féminine, Sylvie Vartan incarne « La plus belle pour aller danser », mais sa force de caractère la pousse

souvent à agir « Comme un garçon ». C’est cette dichotomie que vont mettre en avant les plus grands couturiers (Yves Saint Laurent, Dior, Gaultier…) et les stars de la photographie (Jean-Marie Périer, Pierre & Gilles, Jean-Baptiste Mondino…), dessinant,

au final, une image forte : le style Sylvie. En feuilletant l’album de sa carrière, Sylvie Vartan s’est confiée à Christian et Éric Cazalot et a sélectionné avec eux quelques-uns des clichés qui la représentent le mieux, enrichis de nombreux entretiens de personnalités de la mode et de la musique (Jean Paul Gaultier, Carla Bruni, Jean-Loup Dabadie…).

Le Style VartanChristian et Éric Cazalot avec Sylvie Vartan

24 x 28,5 cm – 192 pages30 €

OCTOBRE 2015

ENTRETIENSi on vous dit que Sylvie et le style c’est une évidence, qu’est-ce que ça évoque pour vous ? Sylvie Vartan : J’ai toujours eu une distance par rapport à mon style, avant tout je vis les choses. Si je pouvais qualifier mon style, je dirais qu’il n’est pas tellement marqué, qu’il correspond à ma façon de vivre, à la personne que je suis, à ce que j’aime, ce que je trouve beau et

élégant. Quand on chante, qu’on est artiste et qu’on se présente sur une scène, porter un costume, ne pas être comme dans la vie de tous les jours est important. La scène appelle quelque chose de théâtral, c’est un monde à part, très différent de la ville et vice versa.

Quelle a été votre première robe signée ?Ted Lapidus était venu me voir à l’Olympia, on m’avait proposé d’aller voir ses robes. C’était la première fois que j’entrais dans une maison de couture. J’avais envie d’une robe en dentelle blanche. C’est devenu ma première robe signée. Je l’ai inaugurée pour une tournée avec Gilbert Bécaud. Ensuite j’ai fait la connaissance des deux stylistes et créatrices de la marque Real. Elles ont créé l’une de mes robes les plus célèbres, en mousseline bleue. C’est celle dans laquelle j’ai créé La plus belle pour aller danser sur la scène de l’Olympia, en janvier 1964, dans ce fameux concert que j’ai partagé avec les Beatles.

Vous rappelez-vous votre première rencontre avec Yves Saint Laurent ?C’est lui qui crée ma première combinaison pailletée, puis un smoking magnifique dont la veste était traversée de lignes et dans lequel je chantais Comme un garçon. Et la sublime robe noire inscrustée gros cabochons dans laquelle je crée La Maritza. J’étais folle de cette robe.

NOUVELLE COUVLE STYLEVARTAN

C H R I S T I A N & É R I C C A Z A L O T AV E C S Y LV I E VA R TA N

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BonpointNatasha Fraser - Cavassoni22 x 28,5 cm – 240 pages

55 €NOVEMBRE 2015

Printemps,150 ans d’élégance

Sonia Rachline23 x 28,5 cm

3 livres de 96 pages sous coffret 60 €

NOVEMBRE 2015

BONPOINTLE CHIC PARISIEN DE LA MODE ENFANTINE

Maison de couture pour enfants créée en 1975 à Paris, Bonpoint incarne depuis quarante ans l’élégance parisienne, l’excellence du savoir-faire et l’esprit

espiègle de l’enfance. L’essence de ce style unique repose sur mille petits détails produits par un atelier et un studio

de création intégrés à la maison. Petites robes trapèzes, blouses brodées, vestes « comme papa », bloomers Liberty… Autant de modèles, souvent iconiques, conçus avec un sens inné de la couleur, des finitions impeccables, un choix pointu des matières, la rigueur des proportions. Au fil d’un inventaire à la Prévert, c’est tout l’imaginaire créatif de Christine Innamorato, la directrice artistique, qui nous est dévoilé.

PRINTEMPS,150 D’ÉLÉGANCE

Icône du grand magasin parisien et incarnation d’un luxe et d’une modernité à la française, le Printemps

constitue depuis des générations un haut lieu de la mode, de la beauté et du style. Miroir d’une société en constante évolution, il est le lieu où tout s’expose, se crée, se diffuse : créations des célèbres ateliers Primavera ; collaborations avec Paul Poiret, Pierre Cardin, Christian Lacroix, Karl Lagerfeld, qui imaginent le vestiaire de la femme moderne ; vitrines mises en scène par Nick Knight ou Chanel ; collections capsules de Victoria Beckham ou Manolo Blahnik ; affiches dessinées par Gruau ou Philippe Delhomme. De l’art de vendre à l’art de vivre, le Printemps demeure le temple du chic de la Parisienne.

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GIVAUDAN,VOYAGE AU PAYS DES SENS

Acteur majeur du monde de la parfumerie et des arômes alimentaires, la maison Givaudan

est à l’origine de nombreuses créations olfactives et gustatives. Depuis 250 ans, elle innove et insuffle les tendances, œuvrant en étroite collaboration avec les plus prestigieuses marques de luxe : Dior, Saint Laurent, Givenchy, Prada…

Givaudan crée aussi de nouveaux goûts s’attachant les savoir-faire de grands chefs toqués. De la conception à la fabrication, des sites de récoltes aux laboratoires de recherche et aux ateliers de création des parfumeurs et des aromaticiens, l’ouvrage nous raconte la formidable aventure des parfums et des arômes à travers le monde.

Givaudan,Une odyssée des parfums et des arômesTextes d’Annick le Guérer, Brigitte Proust,

Caroline ChampionPhotographies de Denis Pailleux, Lili Roze

24 x 31 cm – 300 pages65 €

OCTOBRE 2015

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DRUCKER,LA CHAISE PARISIENNE

Drucker,La chaise parisienne

Serge Gleizes, Alix de Dives, Jean-Marc Palisse

24 x 31 cm – 192 pages40 €

DÉCEMBRE 2015

La Maison Drucker, fondée en 1885 par Louis Drucker, est la plus ancienne fabrique artisanale de sièges

en rotin du monde. Spécialisée dans la chaise bistrot, la marque habille avec fantaisie les terrasses des grandes villes. Cet ouvrage nous emmène dans les ateliers à la découverte des métiers : de la découpe à la pause du vernis en passant par le ponçage, la teinte des nœuds, le redressage, le tissage, l’assemblage… Sièges d’aujourd’hui, rééditions du siècle dernier, petits meubles de demain, les créations Drucker constituent un

patrimoine dont s’emparent les décorateurs du monde entier. Reconnaissable grâce à sa plaque dorée et gravée, discrètement scellée sur son châssis, la chaise Drucker est l’image de l’élégance parisienne : unique et intemporelle.

CAZAUX,LA CÉRAMIQUE DANS L’âME

Cazaux Biarritz,La céramique dans l’âme

Serge Gleizes, Philippe Garcia24 x 31 cm – 200 pages

65 €NOVEMBRE 2015

Des pegas d’hier, ces jarres aux élégantes silhouettes évasées, aux pièces contemporaines

d’aujourd’hui, l’histoire de la céramique Cazaux s’égrène au fil de cinq générations. Liée à Biarritz et à la Côte basque, la marque a vu le jour en 1893. Aujourd’hui, la production est célèbre dans le monde entier, et ses créations sont régulièrement exposées dans de grands salons internationaux et chez les antiquaires. Véritables œuvres d’art, ces céramiques constituent un patrimoine perpétué par Jean-Marie et Josette Cazaux, et leur fils Joël, qui réalise des pièces sculpturales

et contemporaines, inscrivant ainsi la maison dans l’avenir. Un très beau livre sur l’histoire d’un savoir-faire et d’une passion transmis de père en fils.

pat r i m o i n e / c i n é m a

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COCA-COLA MADE IN FRANCE

LE HOBBIT

Le Hobbit : La Bataille des Cinq ArméesChroniques VI, L’Art de la guerre

Daniel Falconer30,5 x 24 cm – 256 pages – 34,90 €

NOVEMBRE 2015

Au printemps 1919, un cargo battant pavillon américain accoste dans le port de Bordeaux avec,

dans ses cales, quelques milliers de litres d’une boisson encore inconnue en France. L’aventure de Coca-Cola en France vient de commencer. Une aventure humaine, industrielle et commerciale qui, des années 1920 à nos jours, se déroule essentiellement dans l’Hexagone, où sont désormais produites 90 % des boissons consommées en France. Du modeste atelier du

xVe arrondissement de Paris jusqu’aux cinq usines ultra-modernes actuelles, le livre retrace l’histoire de l’implantation de la marque, son développement et son formidable succès. Au fil des pages se dessine le portrait d’une entreprise engagée, fière de son ancrage local, soucieuse de préserver l’environnement et les ressources naturelles, plaçant ses collaborateurs au centre de ses préoccupations et s’adaptant perpétuellement aux évolutions de la société et de ses besoins.

Cet ouvrage nous entraîne dans les coulisses du film, à la découverte du travail de milliers d’artisans

qui ont donné corps à l’adaptation du livre de Tolkien sur grand écran. Plus de 1 000 illustrations, photographies et images inédites, ainsi que des contenus

exclusifs sur la version longue vous feront partager l’expérience des acteurs et de l’équipe. Sans oublier la carte de la bataille, conçue et illustrée par Nick Keller, l’un des artistes de Weta Workshop. Un livre somptueux qui célèbre la conclusion homérique de la trilogie du Hobbit.

Coca-Cola en France,Une aventure industrielle

Benjamin Peyrel19 x 25,5 cm – 160 pages

29,90 €OCTOBRE 2015

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ISBN 978-2-7324-7030-6p. 37 978-2-7324-6956-0 p. 42 978-2-7324-5652-2 p. 42 978-2-7324-7151-8p. 38 978-2-7324-6542-5 p. 39 978-2-7324-5520-4 p. 40 978-2-7324-7030-6 p. 41 978-2-7324-7024-5

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ISBN 978-2-7324-7024-5

no

uve

auté

s Wolf Dieter Blümel est l’ancien directeur de l’Institut für Geografie

de l’université de Stuttgart. Il est spécialisé en histoire des paysages

et géomorphologie, géo-écologie et paléoclimatologie, en particulier

des déserts chauds et des régions polaires. Il a mené de nombreux

programmes de recherches dans le monde. W.D. Blümel est membre

de l’Académie bavaroise des Sciences et de l’Académie nationale des

Sciences (Leopoldina).

Ulli KUlKe, journaliste allemand, est cofondateur et rédacteur

économique du quotidien allemand taz. Il a été rapporteur des Verts

au Bundestag pour la politique de développement. Il a réalisé parallè-

lement de nombreux reportages publiés notamment par le National

Geographic Magazine.

ines Kohl est directrice de recherche à l’Institut für Sozialanthropologie

de l’Académie autrichienne des Sciences. Ses études portent sur les

Touaregs en Libye, en Algérie et au Niger, ainsi que sur les populations

du Sahara et du Sahel.

oliver lehnert est un géologue et paléontologue  allemand,

spécialisé en paléoclimatologie, évolution de la faune et modifications

des écosystèmes, paléogéographie, géodynamique et analyse des

bassins sédimentaires dans diverses régions des Amériques et d’Europe

du Nord.

MIC

HAEL

MAR

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DÉSE

RTS

michael martin, diplômé en géographie, est photographe, explo-

rateur et conférencier. Depuis plus de trente ans, il multiplie les publi-

cations et interventions sur ses voyages dans les déserts de notre

planète, et c’est aujourd’hui le photographe le plus renommé dans

ce domaine. Il a publié une trentaine d’ouvrages et de livres photo-

graphiques (traduits en sept langues), donné quelque deux mille

conférences et produit plusieurs films pour la télévision.

Ses travaux ont reçu de nombreuses distinctions, dont une médaille

d’honneur de la Royal Geographic Society. Il a obtenu en 2014 l’ITB

Book Award pour l’ensemble de son œuvre.

www.michael-martin.de

www.photographermichaelmartin.com

TERRIToIRE DÉSERTSMICHAEL MARTIN

Notre terre est uNe PlaNète de déserts : chauds ou froids, les déserts recouvrent près de la moitié de sa surface. Paysages grandioses, nature aux étonnantes capacités d’adaptation, peuples aux cultures uniques, ces régions difficiles d’accès, aux conditions extrêmes, continuent d’exercer un pouvoir d’attraction intact.

le photographe Michael Martin consacre sa vie à ces espaces fascinants. Il a sillonné notre planète pendant cinq ans pour cet ouvrage et en a rapporté les images les plus spectaculaires. Du désert de Gobi à l’Alaska, du Rub al Khali à l’Antarctique, de l’Altiplano au Kalahari, ce sont 26 régions arides qui sont ici réunies en un portrait saisissant de notre planète à travers ses déserts.

Avec les récits de Michael Martin et les textes de spécialistes allemands décrivant la géologie, le climat, la faune et la flore ainsi que les enjeux socio-économiques autour de ces écosystèmes fragiles, cet ouvrage est une somme exceptionnelle sur les déserts du monde.

69,00 € TTC (prix France)

9 782732 467894

Retrouvez-nous sur www.editionsdelamartiniere.fr

www.facebook.com/editionsdelamartiniere

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DIFFUSION - DISTRIBUTIONVOLUMEN25, Bd Romain RollandCS 2141875 993 Paris Cedex 14Tél : 01 41 48 84 60Fax : 01 41 48 81 32Service des commandes :Tél : 01 41 48 80 80Fax : 01 41 48 84 81commandes@volumen.fr

SERVIDIS S.A. : (Suisse)Chemin des Chalets, n° 71279 Chavennes de BogisTél : (004122) 960 95 10Fax : (004122) 776 35 27admin@servidis.ch

DIMEDIA Inc. (Canada)539, bd LebeauSaint-LaurentQuébec H4N 1S2Tél : (001514) 336 3941Fax : (001514) 331 3916general@dimedia.qc.ca

Conception graphique : Valérie Gautier Réalisation graphique : Manon BeriotRédaction et suivi éditorial : Cécile Dick Appel d’air est une marque La Martinière Groupe

Les visuels de couverture présentés dans cette revue sont susceptibles de modifications.

Dépôt légal août 2015

c r é D i t s p H o t o G r a p H i q u e s

Couverture : photographie extraite de Angelin Preljocaj © Jean-Claude CarbonneSommaire (4) : photographie extraite de Voyage en quête de lumière © Roland et Sabrina MichaudSommaire (7) : photographie extraite de Vertige polaire © Thierry SuzanSommaire (14) : photographie extraite de Visages de paix, Terres de sérénité © Matthieu RicardSommaire (15) : photographie extraite de Fukushima, Fragments © Kosuke OkaharaSommaire (16) : photographie extraite de Les plus belles universités du monde © Guillaume de LaubierSommaire (18) : photographie extraite de Jump Book © Philippe HalsmanSommaire (19) : photographie extraite de Profession reporters © Véronique de ViguerieSommaire (24) : photographie extraite de Angelin Preljocaj © Jean-Claude CarbonneSommaire (38) : photographie extraite de Charles & Ray Eames © Courtesy of Herman MillerSommaire (46 haut) : photographie extraite de Cazaux Biarritz, La céramique dans l’âme © Philippe GarciaSommaire (46 centre) : photographie extraite de Drucker, La chaise parisienne © Jean-Marc PalissePages 4-5 : photographies extraites de Voyage en quête de lumière © Roland et Sabrina MichaudPage 6 : photographies extraites de Pastorale africaine © Hans SilvesterPage 7 : photographie extraite de Vertige polaire © Thierry SuzanPage 8 : photographies extraites de Territoire déserts © Michael MartinPage 9 : photographies extraites de À la surface des océans © Joe BunniPages 10-11 : photographies extraites de Passages © Bruno Barbey/Magnum PhotosPages 12-13 : photographies extraites de Terres de café © Sebastião SalgadoPage 14 : photographie extraite de Visages de paix, Terres de sérénité © Matthieu RicardPage 15 : photographies extraites de Fukushima, Fragments © Kosuke OkaharaPages 16-17 : photographies extraites de Les plus belles universités du monde © Guillaume de LaubierPage 18 (centre) : photographie extraite de Jump Book © Philippe HalsmanPage 18 (bas) : photographie extraite du Dictionnaire de la photographie © Library of Congress Prints and Photographs Division Washington, D.C. 20540Page 19 : photographie extraite de Profession reporters © Véronique de VigueriePage 23 (bas) : photographie extraite de Aznavour, Ma vie, mes chansons, mes films collection particulière/DRPage 23 (droite) : photographie extraite de Aznavour, Ma vie, mes chansons, mes films collection La Prod./DRPage 24 : illustration extraite de Angelin Preljocaj © Jean Paul GaultierPage 25 : photographies extraites de Angelin Preljocaj © Jean-Claude CarbonnePage 26 : photographie extraite de Dans le ventre de Hara-Kiri © Arnaud BaumannPage 27 : illustration extraite de Siné graphiste © SinéPage 28 : illustrations extraites de Brigade criminelle © TitwanePage 29 : photographie extraite de Sur les traces des serial killers © FBIPage 30 : photographie extraite de Les plus grands procès de l’histoire © Bibliothèque nationale de FrancePages 32-33 : illustrations extraites de Deyrolle, à la croisée des savoirs © DeyrollePage 34 : photographie extraite de Médecines d’ailleurs, vol. 2 © Bonne Pioche/ArtePage 35 (centre) : photographie extraite de Ils ont changé de vie © Paul FudalPage 35 (bas) : photographie extraite de La Ville renaturée © Lula FarmPage 38 (centre) : photographie extraite de Charles & Ray Eames © Vitra(bas) : photographie extraite de Charles & Ray Eames © Courtesy of Herman MillerPage 39 : photographie extraite de Bruno Moinard, Du trait à la lumière © Jacques PépionPage 40 : photographie extraite de Fashion, Histoires et styles © Archives Marisa CurtiPage 41 : photographies extraites de Maisons de haute couture © Guillaume de LaubierPage 42 : photographie extraite de Iconic © EDCSCAMERAPRESSGAMMA RAPHOPage 43 : photographies extraites de Le Style Vartan © DRPage 44 (centre) : photographie extraite de Bonpoint © BonpointPage 44 (bas) : illustration extraite de Printemps, 150 ans d’élégance © PrintempsPage 45 : photographie extraite de Givaudan, Une odyssée des parfums et des arômes © GivaudanPage 46 (centre) : photographies extraites de Drucker, La chaise parisienne © Jean-Marc PalissePage 46 (bas) : photographie extraite de Cazaux Biarritz, La céramique dans l’âme © Philippe GarciaPage 47 : photographie extraite de Coca-Cola en France, Une aventure industrielle © Thierry Lewenberg-Sturm