Bâtitech 10-2013

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10-2013 www.batitech.ch 28 I La redécouverte de FURAL 38 I LED: connaissances de base 42 I Trois énergies en un seul système ELECTROTECHNIQUE KWC AG | Hauptstrasse 57 | 5726 Unterkulm | Téléphone +41 62 768 68 68 | www.kwc.ch La nouvelle génération 30 ans de tradition et d’innovation: le nouveau KWC DOMO est meilleur que jamais.

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Technique du bâtiment et énergie

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28 I La redécouverte de FURAL

38 I LED: connaissances de base

42 I Trois énergies en un seul système

ELECTROTECHNIQUE

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La nouvelle génération30 ans de tradition et d’innovation:le nouveau KWC DOMO est meilleur que jamais.

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Le redressement du Costa Concordia, une opérationtitanesque inédite, s’est achevé avec succès. Ce gigan-tesque navire a donc retrouvé sa position verticale.Il ne flotte pas mais est appuyé sur une plate-forme enbéton de 1000 m2 construite par 30 m de fond. Sonflanc droit est complètement enfoncé sur des dizainesde mètres à l’avant et à l’arrière. La prochaine étapeconsiste à consolider le Costa Concordia dans sa posi-tion. Les ingénieurs devront ensuite installer sur leflanc droit les mêmes onze caissons que ceux déjà surle côté gauche qui, remplis d’air, feront flotter l’épave.Un travail encore plus compliqué que le redressementet qui va s’étirer sur plusieurs mois. Ce n’est qu’aprèscette installation que le navire pourra être tracté versun port de démantèlement au printemps prochain.Les frais pour ces opérations dépassent largement leprix d’achat du Costa Concordia. Les dernières estima-tions parlent de 800 millions d’euros.Une étude commanditée par la compagnie CostaCroisière est sans appel et fait office de douche froidepour les Italiens. Aucun site n’est capable d’accueillirle gigantesque immeuble. Le démantèlement présentécomme une affaire juteuse ne serait en réalité qu’unénorme problème vu la quantité pharaonique dematériel et de liquides que contient le paquebot, soit75 000 tonnes d’acier, 1000 tonnes de pierres et dematériaux isolants, 5000 tonnes de moteurs et detuyaux, 2000 tonnes d’alternateurs et de câbles élec-triques, 500 tonnes de solvants et de produits chi-miques et un ameublement pesant 6000 tonnes.La Turquie, qui a conquis depuis des années le titre deleader méditerranéen de la démolition des grandsbateaux, semble désormais la destination la plus pro-bable. La location du semi-submersible «Vangard», depropriété hollandaise et actuellement amarré enCorée du Sud, confirme cette hypothèse. Cette plate-forme très demandée et très chère en terme de loca-

tion, voyage à une vitesse de 14 nœuds et peut soule-ver jusqu’à 110 000 tonnes.L’histoire du Costa Concordia a fait couler beaucoupd’encre. Des réflexions sur l’aspect écologique de telsnavires ne me semblent pas déplacées. J’en veux pourpreuve une nouvelle manifestation à Venise. Neuf«géants des mers», d’un tonnage supérieur à 40 000tonnes, transitent chaque jour par la lagune véni-tienne. Le passage de ces paquebots a pour consé-quence une augmentation de la pollution atmosphé-rique, la destruction des rives et des fondations desédifices de Venise ainsi que la mise en danger de lalagune.Avouons avec modestie que les acteurs dans le do-maine de la technique du bâtiment font plus de ré-flexions sur l’écologie que le tourisme de masse dansle domaine des croisières et de l’aviation.

Gigantisme

Bernard DätwylerRédacteur en [email protected]

éditorial bâtitech 10-13 1

Données

Année de Construction: 2006Capacité de Passagers: 3800Nombre de Membres de l’équipage: 1100Longueur: 290 mLargeur: 36 mTonnage: 114 500 thPrix: 565 millions dollarsLes moyens pour remettre à flot le navire:30 navires et embarcations, 600 personnes,dont 120 plongeurs.

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actuel I 16 toit d’or I 28

actuel 4 «Une approche intégrée

profitable à tous» 8 «Geberit On Tour» 9 Sensualité et perfection 10 Nouvelles perspectives 14 Comme si vous étiez

en pleine nature 16 Un outil de vente très

performant au servicede la domotique

produits 17 Duravit complète le nouveau

design de Starck 2 18 Siemens lance une hotte de

plan de travail escamotable 20 Grand confort de dosage 21 VIVATfix, le système

de montage photovoltaïquepour toits plats

22 Harmonie de la techniqueet du design

23 L’essentiel en bref 24 Des multitalents compacts

très efficaces 26 Plus d’intelligence pour la

production

27 Les variateurs universelsne servent pas qu’à écono-miser de l’énergie

toit d’or 28 La redécouverte de FURAL

partie technique 32 L’avenir de l’éclairage public 34 Bus DALI pour lumière

intelligente (1re partie) 38 Tout est possible 40 Concept énergétique dans

un processus abouti 42 Trois énergies

en un seul système 44 Utilisation innovante

de l’énergie solaire

associations 48 Des milliers de signatures

pour Madame Leuthard 50 Faire de la publicité ensem-

ble en faveur de la relève 51 Plus d’énergie renouvelable

dans le réseau gazier

www.batitech.ch

Nouvelle génération KWC DOMOKWC DOMO fait partie de cesincontournables que tout lemonde a côtoyés dans sa vie: eneffet, cette gamme de robinet-teries pour la cuisine et la salle debain peut se targuer des meilleu-res ventes depuis 30 ans exac-tement, et comme elle a fait sespreuves des millions de fois, ils’agit bien de la robinetterie laplus plébiscitée en Suisse. Fort deson relaunch actuel, KWC DOMOse présente comme la meilleurede toutes les générations DOMO:de qualité irréprochable, authen-tique, loin de tout compromis etd’une grande spécificité, KWCDOMO s’insère à la perfectiondans notre époque.

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2 bâtitech 10-13 sommaire

Page 5: Bâtitech 10-2013

partie technique I 42 carnet I 58

formation 52 Brain Food 54 Know-how NIBT 8

carnet 56 Une référence sanitaire

pratique 57 Ouverture du musée 58 Accès à l’installation de

chauffage via Internet 60 Les lauréats du

Geberit Challenge 61 L’E-shop de Walter Meier 62 Swiss Steel se fournit

en électricité auprès d’Alpiq 63 Brain Food – réponses aux

questions 114 à 124

sommaire bâtitech 10-13 3

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4 bâtitech 10-13 actuel

M. Schwager, vous assurez, avec votreéquipe comptant plus de 70 responsablesde la qualité, le fonctionnement de l’IMS(système de management intégré).Comment durabilité et EHS s’inscrivent-ilsdans ce processus?Bruno Schwager: La réponse est déjà par-tiellement comprise dans votre question:pour nous, ‹s’inscrire› signifie ‹s’intégrer›.Nous considérons les choses de la ma-nière suivante: notre ‹carnet de certifi-cats›, pour ainsi dire, comprend les troisnormes principales ISO 9001 (qualité),ISO 14001 (environnement) et OHSAS18001 (sécurité). Il s’agit du package debase de normes combinées, que la SQSaudite et certifie, et qui repose déjà sur leprincipe fondamental de durabilité. Anos yeux, cette vision du management dela qualité est tout à fait porteuse d’avenir.L’orientation spéciale sur l’EHS (Environ-mental Protection, Health Managementand Safety, c’est-à-dire protection de l’en-vironnement, management de la santé etsécurité) constitue donc simplement unenouvelle page dans la structure de notrecarnet. L’intégration ne caractérise passeulement la composition de notre sys-tème, mais aussi la façon dont nous l’ex-ploitons. Ainsi, les systèmes intégrés per-mettent d’éviter les doublons, de

«Une approche intégréeprofitable à tous»

Entretien du Prof. Max W. Twerenbold

avec Bruno Schwager, vice-président,

Siemens BT

Siemens Building Technologies (BT), Zoug

Le groupe Siemens vise à rendre le monde meilleur et plus durablepar le biais d’innovations. La division Building Technologies, dontle siège mondial est situé à Zoug, s’inscrit dans la lignée de cetobjectif. Quelles sont les mesures prises dans cette division en ma-tière de durabilité, en particulier de protection de l’environnement,de gestion de la santé et de sécurité? Bruno Schwager, responsableIQM (Integrated Quality Management, management intégré de laqualité) chez Building Technologies, nous donne quelques élémentsde réponse.

simplifier la lecture des processus et depromouvoir leur intelligibilité auprès descollaborateurs. Nous prenons de nom-breuses mesures sur ce dernier point:d’une part, via la sélection de nos respon-sables de la qualité et spécialistes EHS, etd’autre part, en favorisant des points devue intégrés. Lorsque les équipes du siègese rendent dans les usines et sur les chan-tiers, les responsables de la qualité etEHS sont toujours présents afin de ga-rantir une analyse intégrale.

Quels sont les objectifs de Building Tech-nologies en matière de durabilité?Nous poursuivons trois objectifs: toutd’abord, nous souhaitons proposer desproduits et prestations durables et respec-tueux de l’environnement. Ensuite, nousfaisons en sorte que ces produits restentpérennes durant tout leur cycle de vie.Ainsi, nous veillons dès la phase d’acqui-sition à ce que les usines soient équipéesd’outils modernes. Enfin, nous interve-nons tout au long du cycle de vie, de lafabrication à l’élimination, en passantpar la gestion des stocks, l’installation etl’exploitation. La transparence des rela-tions avec nos fournisseurs constitue l’unde nos points clés. Nous fournissonsdonc à ces derniers un accompagnementintensif. Nous savons non seulementquels produits contiennent quels maté-riaux, mais nous évaluons également laperformance de nos fournisseurs selonune méthode ciblée et structurée.

Dans quelle mesure vos clientset utilisateurs ressentent-ils les effetsde cette stratégie?Nos clients font l’expérience du contactpersonnel et de notre engagement sur leschantiers, profitent de nos commentairessur le terrain et constatent ainsi que Sie-mens poursuit des objectifs plus ambi-tieux que ses concurrents. D’ailleurs,l’évaluation de la satisfaction des clientsà l’issue des projets est systématique chezSiemens. Nos clients, mais aussi nos col-laborateurs, sont sensibles à cette mé-thode qui leur montre que les spécialistesdu siège ont également des connais-sances pratiques des prestations fourniessur les chantiers et dans les usines.

Quelle est la place de l’EHSdans votre stratégie?Comme je le disais précédemment, laprotection de l’environnement, la gestionde la santé et la sécurité font partie inté-grante de la stratégie de Siemens, et doncBruno Schwager, vice-président, Siemens BT.

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actuel bâtitech 10-13 5

de l’IMS. Ces thèmes sont synonymes debénéfices multiples pour les clients, lescollaborateurs et la direction. L’orienta-tion sur l’EHS apporte non seulement unsoutien aux responsables quant au res-pect des exigences légales en la matière,mais minimise également les risques po-tentiels, génère une réduction des coûtsd’exploitation et favorise les opportunitéscommerciales. Les collaborateurs bénéfi-cient en outre de conditions de travail sé-curisées et propres à ménager leur santé.

Quel est, pour Building Technologies, leprincipal critèrede mise en œuvre de l’EHS?La sécurité sur les chantiers constitue no-tre priorité absolue. Nous souhaitons quenos collaborateurs quittent chaque jourles chantiers en bonne santé. A cet égard,il est essentiel de présenter notre visionde l’EHS de façon parlante à tous nos col-laborateurs, afin que ces derniers puis-sent prendre les responsabilités qui leurreviennent. Nous déployons d’intensesefforts dans la mise en œuvre de l’EHS.Les collaborateurs doivent être à même

de refuser d’effectuer certaines tâcheslorsque leur sécurité n’est pas garantie.

Les avantages de l’EHS pour BuildingTechnologies sont-ils chiffrables?Absolument. Dans le cadre du conceptd’EHS, nous recensons à l’échelle régio-nale de nombreuses données chiffrées,que nous compilons ensuite au siègeavant de les analyser avec les fournisseurs

de données. Lors de cette analyse, noustenons compte non seulement des indi-cateurs, mais aussi des conditions-cadres.Les indicateurs portent notamment surles jours de maladie, les accidents profes-sionnels, la sécurité des produits, la satis-faction des clients ou les coûts suscep-tibles d’être évités. Nous faisons trèsattention à examiner correctement lesbonnes données. Au cours des cinq der-

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6 bâtitech 10-13 actuel

nières années, nous avons pu tirer denombreux enseignements précieux del’analyse et de l’interprétation de ces fac-teurs.

De quelle façon les auditeurs externes con-tribuent-ils à l’orientation sur l’EHS?Nous avons besoin d’auditeurs qui nousaident à considérer la division BuildingTechnologies sous un autre angle. Les au-diteurs de la SQS ne jouent donc pas seu-lement le rôle d’examinateurs, mais nouspermettent également de progresser ennous apportant un point de vue exté-rieur. Nous veillons à ce que les auditsmandatés puissent générer un potentield’amélioration. Par conséquent, les siteset personnes à examiner sont volontaire-ment changés et les points névralgiquesintégrés aux audits. Nous souhaitons quechaque audit nous permette d’aller del’avant et nous enrichisse d’une expé-rience qui nous indique la marche àsuivre. La SQS nous aide à identifier desaxes de travail que nos simples ressourcesinternes ne nous auraient pas permis dedéceler: c’est une véritable plus-value. Lesaudits ne sont donc pas de simples ins-

truments permettant d’at-teindre un objectif. Leurbénéfice dépend de la fa-çon dont ils sont élaboréset de la coopération entre-tenue avec la société quiles prend en charge.

Comment vos ‹ambassa-deurs› transmettent-ilsvotre vision de l’IQM/de l’EHS?Le métier de responsableIQM ne peut s’apprendreque sur le terrain. Un bonresponsable IQM doit pos-séder d’excellentes con-naissances techniques etun sens aigu de la commu-nication. La plupart de nosresponsables IQM sont desingénieurs disposant d’uneexpérience en gestion deprojets et en ingénierie.Tels sont nos critères pourle recrutement des équipesdu siège de Zoug. Nousformons individuellementà Zoug les futurs respon-

sables IQM et EHS de nos sociétés im-plantées à l’étranger afin de leur trans-mettre notre philosophie. Lors de ces for-mations, ils traitent une mission qu’ilsdevront ensuite mettre en œuvre dansleurs pays respectifs. Ce type de tâches estsource de motivation, d’un côté commede l’autre. La réussite des mises en œuvreest ensuite évaluée afin d’identifier lesmesures nécessaires dans chaque pays.En outre, l’échange des expériences àl’échelle internationale, notamment lorsdes conférences de réseautage mondialeset régionales organisées chaque année,est primordial. A ces occasions, les res-ponsables IQM et EHS de chaque paysprésentent des stratégies articulées autourde pratiques éprouvées. En tant que col-laborateurs du siège, nous exposons no-tre approche et rencontrons chaque foisun franc succès: nos collègues adoptentnotre démarche et nous confirmentpresque systématiquement la réussite decette approche. Nous créons ainsi respectet confiance au sein de notre ‹commu-nauté de la qualité›. ■

(Photo: Michael Reinhard)

A propos

La division Building Technologies(BT) de Siemens, dont le siège estsitué à Zoug, dépend du secteur In-frastructure & Cities. BT est leadersur le marché mondial des bâti-ments et infrastructures sécurisés,écologiques et efficaces d’un pointde vue énergétique. En tant quepartenaire technologique, presta-taire, responsable de l’intégrationdes systèmes et fournisseur de pro-duits, BT propose des offres en ma-tière de protection incendie et desécurité, mais aussi d’automatisa-tion, de chauffage, ventilation etclimatisation (CVC) et de gestionénergétique. Avec quelque 29 000collaborateurs dans le monde en-tier, Building Technologies a généréun chiffre d’affaires de 5,8 mil-liards d’euros au cours de l’exercice2012.www.siemens.com/buildingtechnologies

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actuel bâtitech 10-13 7

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De janvier à mars, la société suisse de dis-tribution a formé 2800 clients sur la nou-velle Directive pour installations d’eaupotable W3. L’intérêt fut si grand que Ge-berit a dû organiser des manifestationssupplémentaires. Les présentations desnouveautés Geberit sous le thème «Gebe-rit On Tour dans votre région», qui sesont déroulées à partir du mois defévrier jusqu’en mai 2013 en Suisse alle-mande, romande et italienne, furent fortheureusement complètes.

Découvrir les produitsen direct et de manière orientéevers la pratiqueA l’occasion des 27 présentations desnouveautés, les installateurs et planifica-teurs sanitaires ainsi que les grossistessuisses eurent la possibilité de voir lesnouveautés Geberit en direct dans leurrégion. Entre autres, il découvrirent le

«Geberit On Tour»Présentation des nouveautés Geberit 2013

Geberit attache une importance toute particulière à la présentationrégulière à sa clientèle des nouveaux produits et des standards re-latifs à la branche. Ces connaissances sont essentielles pour unemise en pratique professionnelle sur le chantier. Il est d’autant plusréjouissant que la branche suisse du sanitaire ait, cette année ànouveau, témoigné un vif intérêt à la présentation des nouveautésGeberit: un nombre honorable de 3295 clients ont été largementinformés par Geberit au cours des 27 représentations qui se sontdéroulées dans toutes les régions de Suisse.

nouveau WC-douche Geberit AquaCleanSela, le nouvel élément d’installation Ge-berit pour WC avec en plus les positionsde raccordement destinées à l’entréed’eau et au raccordement électrique pourle Geberit AquaClean Sela ainsi que pourles futures générations de WC-douches, leGeberit Monolith pour WC réglable enhauteur, le Geberit Monolith pour lavaboavec ses tiroirs extractibles ainsi que denombreuses autres nouveautés.

Contact personnelLe vif intérêt suscité par ces présentationsdémontre qu’il est très important pourtous les participants de la branche dusanitaire de se tenir constamment aucourant de l’état actuel de la technique etainsi d’être informés sur les nouveautésexistant sur le marché du sanitaire. Aussibien pour les clients que pour WalterBrändle, responsable technique de Gebe-

rit Distribution SA, l’importance de lamanifestation n’est pas uniquement im-putable au contenu professionnel: «Notreclientèle apprécie le contact personnelavec les collègues de la branche pendantla présentation ainsi que lors de la colla-tion qui la suit et ils saisissent cette occa-sion pour lier de précieux contacts.»

Dix heureux gagnants d’un iPadTous les participants bénéficièrent de

connaissances professionnelles élargies –et dix chanceux furent tout spécialementrécompensés. Car, parmi les participantsaux présentations des nouveautés Ge-berit, dix iPads ont été tirés au sort. Lesconditions préalables consistaient àécouter attentivement pendant la présen-tation et à répondre correctement auxquestions du concours à la fin de la ma-nifestation – et ensuite, il fallait encorecompter sur une portion de chance.

Geberit également «On Tour»en 2014L’année prochaine, Geberit se rendra éga-lement à la rencontre de ses clients, dansle but de présenter les plus importantesnouveautés aux professionnels du sani-taire dans toutes les régions de Suisse. Lesdates seront publiées à temps sur

www.geberit.ch

Markus Leibundgut, conseiller technique de Geberit Distribution SA, présente une nouveautéGeberit aux auditeurs.

Le matraquage publicitaire pour le prochain Geberit Chal-lenge a déjà débuté lors des présentations des nouveautés.

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A l’entrée du stand, les visiteurs ont pu serendre compte de toute la diversité duportefeuille de vasques et de plansvasques, présentés sous la forme d’uncollage tridimensionnel installé sur unmur de six mètres de haut. A l’intérieur,ils pouvaient entamer un voyage à la dé-couverte de différents univers, lesquelsmettaient en scène efficacement la nou-velle structure de l’offre, avec «A-form»(vasques et plans vasques) et «A-systemaddit» (gamme de meubles pour vasqueset plans vasques). Avec «SONDO», dispo-nible en vasque à poser et à encastrer,Alape a présenté une nouvelle gamme devasques qui élargira à partir d’avril le pro-gramme de vasques et de plans vasques«A-form».«SONDO», conçu en partenariat avecGerhard Busalt, allie la forme classique

Sensualité et perfectionAlape «SONDO»

Au salon ISH de cette année, Alape a démontré une nouvelle fois que les produits de la manufacture de Goslardonnent une apparence inimitable à n’importe quel plan de toilette. Avec ses univers mis en scène chacunde façon unique, Alape a dévoilé au public les multiples possibilités offertes par ses produits pour aménager defaçon personnalisée les plans de toilette, et a présenté notamment la nouvelle gamme de vasques «SONDO».Fabriqué en acier vitrifié d’une épaisseur de trois millimètres, «SONDO» marie fonctionnalité, qualité et designépuré pour créer une forme esthétique, et transforme le rituel quotidien de la toilette en véritable instantde volupté.

de la vasque-bol et le rayonnement à lafois moderne et épuré du cylindre. Il réu-nit le caractère d’un produit Alape enacier vitrifié d’une épaisseur de 3 mmavec la grâce d’un bol. Les proportionsdonnent l’impression que la vasque àposer flotte au-dessus du plan de toilette.Malgré ce design compact, l’utilisateurn’a pas à renoncer à la fonctionnalité. Laforme profonde et le diamètre généreuxpermettent une utilisation confortable dela vasque. Grâce à l’utilisation d’un sys-tème de trop-plein dissimulé disponibledans le commerce, les vasques à encastrer«SONDO» permettent également de rete-nir l’eau.Avec ses dimensions généreuses et sondesign intemporel, «SONDO» constitueun élément plein de caractère et trèsexpressif du plan de toilette. Il manifeste

de façon impressionnante les avantagesde l’acier vitrifié et s’intègre à tous les ma-tériaux et types d’intérieurs grâce à sa fa-brication rigoureuse et à l’homogénéitéde sa surface en verre. «SONDO» est dis-ponible avec un diamètre extérieur de450 mm. Alors que les versions à encas-trer existent en deux profondeurs (102 ou132 mm), la vasque àposer est disponible avecune profondeur de 115mm.

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Le groupe Walki, l’un des principauxfournisseurs de complexes techniquesbarrières et de matériaux de protection,s’intéresse au marché des matériaux des-tinés aux revêtements de construction etd’isolation, actuellement en plein essor.Grâce aux investissements du groupedans une nouvelle technologie de pro-duction, la société est en mesure de pro-poser ses matériaux de revêtement à unmarché toujours plus vaste, tout en amé-liorant simultanément la qualité de sesproduits.«Avec l’augmentation des prix de l’éner-gie et l’importance croissante accordée àl’utilisation durable des ressources, unemeilleure isolation joue un rôle détermi-nant en matière de développement dura-ble. Un tel contexte entraîne égalementune augmentation de la demande enmatériaux capables d’accentuer considé-

Nouvelles perspectivesWalki – Ligne de production modifiée

L’utilisation des complexes Walki peut considérablementmaximiser les propriétés isolantes et le rendement énergétiquede nombreux matériaux d’isolation thermique, tels que lepolyuréthane ou la laine minérale. Grâce à des investissementsmassifs dans une nouvelle technologie de production, le groupeWalki propose désormais une gamme toujours plus complètede membranes de construction et d’isolants de qualité supérieure,en réduisant ses déchets de production.

rablement les propriétés isolantes desproduits de nos clients», explique KariSalminen, responsable de ligne commer-ciale.

Une qualité optimisée grâceà une nouvelle technologieLes revêtements de qualité supérieurefont partie intégrante des matériaux deconstruction et des produits d’isolation.Outre l’amélioration des performancesthermiques, un revêtement affichant uneconception très technique peut égale-ment faire office de barrière contre lavapeur d’eau et contribuer à réduire lerisque de corrosion et le développementde moisissures dans les matériaux.A la mi-août 2012, la ligne de productionde Walki à Valkeakoski en Finlande a étéreconçue pour offrir un fonctionnementplus performant. Elle est désormais éga-

lement en mesure d’utiliser une gammede matériaux bruts nettement plus variée,de façon à relever les enjeux associés auxnouvelles demandes qui se dessinent,tant au niveau de la clientèle que desmarchés.«Walki s’est toujours attaché à se posi-tionner parmi les principaux fournisseursen matériaux de revêtement sur le mar-ché et nous nous efforçons d’atteindre cetobjectif en offrant une écoute attentiveaux demandes de nos clients. Ces échan-ges ont permis à Walki de détecter un be-soin émergent du marché en revêtementsoffrant une plus grande stabilité et demeilleures performances», explique KariSalminen.«Grâce à ses investissements, le groupeWalki est prêt à apporter une réponsetoujours plus rapide aux besoins de saclientèle. Les récentes améliorations ap-portées à la chaîne de production nouspermettront de fabriquer des revêtementsmodernes et stables et d’éviter les perfo-rations ou les fissures des laques ou lessurfaces inégales, susceptibles d’entraînerune corrosion.»

Aider les entreprises à créerune image de marque plus qua-litativeLes fabricants de matériaux de construc-

Kari Salminen (à gauche), respon-sable de ligne commerciale Revê-tements de construction de Walki,avec Timo Saahko, directeurd’usine, sur le site de productiondu groupe à Valkeakoski, Finlandeoccidentale. © Walki

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tion et d’isolants peuvent soutenir et développer leur marque en ap-pliquant sur leurs produits finaux des revêtements sur lesquels leurslogos et noms de produits ont été directement imprimés.Walki est une entreprise écoresponsable, de sorte qu’elle n’utilise quedes encres à base d’eau pour l’impression.«Notre nouvelle technologie d’impression en ligne constitue un avan-tage certain pour nombre de nos clients, désireux de développer leurimage de marque de façon économique et écologique», déclare TimoSaahko, directeur d’usine Walki.La ligne de production Walki est également dotée d’un système decontrôle de la tension de la bande, offrant des rendements productifsplus élevés ainsi qu’une qualité optimisée et plus stable.«Grâce à ce système, la société produit nettement moins de déchetsau cours de la fabrication.»

Des perspectives de croissance, notammentpour les produits de barrière radiantePierrick Girard, du bureau commercial Walki en France, a travaillé ac-tivement avec les fournisseurs français pour identifier les nouvellesutilisations finales des produits Walki. Selon lui, celles-ci ouvriront àWalki les portes de l’industrie de l’isolation par film barrière radiant,en forte croissance, ainsi que celles d’autres secteurs.«Une fois l’investissement effectué, nous avons reçu d’excellents re-tours sur la qualité de nos matériaux, dans le cadre des premiers es-sais avec nos clients. Les clients ont par exemple remarqué que la ten-

sion des bobines et le contrôle de l’épaisseur sont excellents. Ilsapprécient et plébiscitent le profil haute stabilité des rouleaux, quicontribuera fortement à améliorer le comportement des machines denos clients», ajoute Pierrick Girard.

www.walki.com

A propos

Le groupe Walki est spécialisé dans la production de produitsmulticouches intelligents à base de fibres pour des marchésde la construction et de l’isolation, incluant des revêtementsisolants et membranes techniques de construction hautesperformances et éco-énergétiques. Le groupe possède desusines en Finlande, en Allemagne, aux Pays-Bas, en Pologne,au Royaume-Uni, en Russie et en Chine, et compte un millierde collaborateurs. Le chiffre d’affaires annuel net du groupes’élève à plus de 300 millions d’euros.

Le matériau derevêtement Walkiest un complexemulticouche, quiexploite l’excellen-te étanchéitéau gaz et les pro-priétés de faiblesémissions del’aluminium.

© Walki

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12 bâtitech 6/7-12 actuel

0.27

0.30

0.20

0.10

2013 2015

0.23

EEI

ALPHA2

L’ALPHA2 OU LE MEILLEUR RENDEMENT ENERGETIQUE DU MARCHE

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actuel bâtitech 6/7-12 13

Choisissez la nouvelle génération des circulateurs à haut

rendement énergétique quels que soient les besoins de vos

clients. L’ALPHA2 équipé de la fonction Grundfos AUTOADAPT

assure un incroyable rendement énergétique qui va au-delà

des exigences de la directive EuP, en vigueur à partir de 2015,

en affichant un indice de performance énergétique (EEI) de

0.15*. Il est temps d’exiger le meilleur.

En savoir plus : moderncomfort.grundfos.com ou

facebook.com/grundfosforinstallers

* Depuis janvier 2013, la directive EuP exige un EEI de 0,27 pour les circulateurs.

L’indice de 0,23 entrera en vigueur à partir de 2015.

UN RENDEMENT ENERGETIQUE INEGALE

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14 bâtitech 10-13 actuel

Le produit a été conçu pour mettre latechnologie en arrière-plan. Il allie com-plexité technologique et design minima-liste. Le panneau de pluie, généreux etplat, dispose de champs de buses séparéspour la pomme de douche, la douchecorporelle et le rideau de pluie, une busede brouillard à eau froide, ainsi qu’unefonction lumière et parfum.La commande est assurée de manièresimple et facile par l’intermédiaire desnouveaux Smart Tools numériques, déve-loppée par Dornbracht sur la base de latechnologie Smart Water. Smart Waterincarne une vision: utiliser les nom-breuses possibilités et opportunités offer-tes par la numérisation dans la salle debains (et la cuisine) et faciliter les appli-cations de manière individuelle et con-fortable. Une pression douce vous per-met de lancer le scénario voulu:

Comme si vous étiezen pleine nature

Dornbracht – Sensory Sky

Avec Sensory Sky, Dornbracht transforme la douche en un événementunique en son genre qui englobe tous les sens. Différents typesde pluie, le brouillard, la lumière et des parfums se complètent pourconstituer des scénarios complexes inspirés par les phénomènesmétéorologiques et les humeurs de la nature.

READJUST est un scénario qui sensibiliseet affûte les sens. Un brouillard et unepluie douce (28 °C) gomment le fluxquotidien des stimuli grâce à un niveauléger et bienfaisant, jusqu’à l’apparitionde la lumière de l’aurore qui illuminepeut à peu le ciel et rend votre perceptionde nouveau plus consciente, plus intense.La composition de senteurs herbeuses,fraîches et boisées, et de notes de baiessucrées et fruitées rappelle le parfumagréable et discret d’un sous-bois et ren-force encore la sensation de vie après ladouche.A partir du phénomène naturel, RELEASEproduit une vigoureuse averse d’été qui àla fois nettoie et libère. Les énergies accu-mulées se libèrent grâce à un scénario

très expressif constitué de différents typesde pluie et de variations revitalisantes detempératures et de lumières. Tout ceciaccompagné d’un parfum rafraîchissant,aux notes tropicales citronnées et deterre. L’alternance entre l’eau froide(18 °C) et chaude (35 °C) dans le rideaude pluie, ainsi que le jeu fascinant entreaverse d’été et feu de St Elme, génère unesensation de libération – une renaissancepour le corps, l’esprit et l’âme.REJOICE protège, enveloppe et stabilise.Le rideau extérieur de pluie chaude(35–38 °C) se transforme en écran surlequel est projetée la lumière et où lesgouttes d’eau scintillent de toutes lesnuances de l’arc-en-ciel. S’ajoute à celaune composition aromatique pleine depoésie, aux notes fraîches et claires, quis’effacent en échos boisés, de sucres etd’épices. Une symphonie variée et har-monieuse de couleurs, de parfums et dejeux d’eau se transmet peu à peu à toutl’organisme et accorde tous les sens.L’une des particularités de Sensory Sky

Au sujet de Dornbracht

L’entreprise Aloys F. Dornbracht GmbH & Co. KG, dont le siège principal setrouve à Iserlohn, est une entreprise familiale de fabricants, active sur le planmondial, du secteur des robinetteries et accessoires design haut de gammepour la salle de bains et la cuisine. Des collaborateurs hautement qualifiés etdes technologies de production ultramodernes garantissent une qualité ma-nufacturée du plus haut niveau. Avec le slogan de marque «Culturing Life»,l’entreprise élargit sa compétence dans les domaines du design et de l’eau:le progrès technologique dans le sens de l’aptitude à la mise en réseau et duconfort, et la prévention dans le sens de la santé et du bien-être marquentencore plus de leur sceau l’orientation et l’évolution de la marque en matièrede produits. Ainsi, Dornbracht conçoit la vie de manière toujours nouvelle etcultivée. Grâce à son engagement culturel dans le cadre du programmeCulture Projects, Dornbracht peut ainsi lancer continuellement de nouvellesimpulsions et fait progresser son leadership en matière d’innovation et detechnologie dans les espaces de vie de la salle de bains et la cuisine.Dornbracht appartient au Groupe Dornbracht qui, avec Alape, associe deuxfournisseurs de classe Premium dans les domaines de la salle de bains et dela cuisine.

Se doucher comme en pleine nature: le panneau de pluie,généreux et plat, dispose de champs de buses séparés pourla pomme de douche, la douche corporelle et le rideau depluie, une buse de brouillard à eau froide, ainsi qu’unefonction lumière et parfum.

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actuel bâtitech 10-13 15

sont les parfums harmonisés en fonctiondes scénarii inspirés par les phénomènesmétéorologiques et les humeurs de lanature. Ces parfums sont composés deparfums, baumes et huiles essentielles,naturels, haut de gamme, en coopérationavec Kemitron, un spécialiste des parfumspour les spas et le bien-être en général. Enoutre, toutes ces compositions aroma-tiques sont agréées par l’IFRA, Internatio-

nal Fragrance Association, qui garantitainsi la qualité élevée et la sûreté des par-fums, pour un plaisir sans nuages.Outre ces trois scénarii, les douches, lesbuses, la lumière et les parfums peuventêtre pilotés également de manière sépa-rée et indépendante les uns des autres,pour un événement douche personnalisé.Avec ses scénarii programmés ou person-nalisés, Sensory Sky transforme la dou-che pour en faire un événement sensuelunique, comme en plein air.Sensory Sky sera disponible à partir del’automne 2013 en deux finitions diffé-rentes: acier inoxydable brossé (en com-binaison avec le platine mat) et acierinoxydable poli miroir (en combinaisonavec le chrome).

Dornbracht Schweiz AGCH-4663 AarburgTél. 062 787 20 30www.dornbracht.com

Sensory Sky sensibilise et affûte les sens avec un brouil-lard et une averse douce.

L’essentiel en bref

La nouveauté: Sensory SkyLa vision: se doucher comme enpleine natureLa particularité: des scénarios com-plexes constitués de pluie, debrouillard, de lumière et de parfumDesign et concept: Sieger DesignDisponible dès: automne 2013

XETISUne esthétique visionnaire avec système d’écoulement mural – la nouvelle surface de douche émaillée avec écoulement

mural intégré se fond totalement dans le sol de la pièce. Aucun vidage ne vient perturber le design puriste. La solution

système, facile à monter et dans laquelle tous les composants permettent une installation conforme, offre aux concepteurs

de salles de bain des possibilités d’aménagement innovantes et esthétiques pour les espaces de douche à l’italienne.

Venez nous rendre visite

à la Swissbau à Bâle du 21.–25.1.2014,

«Tendances Bain»: halle 2.2, stand B 27.

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16 bâtitech 10-13 actuel

Les organisateurs souhaitent innoverquelque peu et mettre l’accent sur lavente de systèmes domotiques. Il s’agitd’un sujet qui passionnera aussi bien les

Un outil de ventetrès performant au servicede la domotique

Séminaire pour les professionnels de l’électricité

L’Initiative réseau bâtiment(IRB), association spécialiséeen Suisse dans le domaine del’automation des bâtiments etde l’habitat intelligent reprendsa série de séminaires 5 à 7.

installateurs électriciens que l’ensembledes professionnels de la branche. On en-tend souvent dire que la domotique c’esttrès difficile à vendre et que le marchén’existe pas vraiment.La filiale lausannoise du distributeur dematériel électrique Electro Matériel Lau-sanne a mené une réflexion sur ce thème.Elle s’est voulue déterminante, le résultatest à la hauteur de ses ambitions. Il s’agitd’un showroom basé sur un concept ori-ginal et unique en Suisse puisque y est re-constitué un cadre de vie dans un espacede démonstration de 320 m2.Ce showroom a pour vocation d’ac-cueillir les installateurs électriciens, lesarchitectes, et les promoteurs en compa-gnie de leur client. Sans nul doute, cetespace domotique représente un outil devente inégalable pour l’installateur élec-tricien et les professionnels.Bien mieux que toute brochure, le clientest accompagné tout au long de sa visiteet peut ainsi découvrir les possibilités et

fonctionnalités offertes par la domoti-que. Il pourra tester, vivre, écouter et tou-cher les produits et systèmes dans leurutilisation quotidienne, dans des espacesde vie réels. Les visiteurs en sortent ravis.Divers spécialistes interviendront dans lecadre du séminaire, pour présenter cetoutil de vente et donner matière à ré-flexion. Les professionnels aguerris dé-couvriront des applications originales deKNX dans le domaine du multimédia etdes exemples de fonctionnalités poin-tues. ■

Séminaire IRB/GNI

Date: 14 novembre 2013Heure: 17 hLieu: Electro Matériel, avenuede Longemalle 13, 1020 LausanneProgramme détaillé et inscription:www.g-n-i.ch/Manifestations

ELECTROTECHNIQUE

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produits bâtitech 10-13 17

Duravit a conservé comme base élémen-taire l’ADN du design de sa série à succès.Les lavabos sont toujours aussi conforta-blement grands et agréablement pro-fonds. Simple, mais un trait de génie,une nuance captivante et rafraîchissante:au premier abord toute ronde, la vasqueest en réalité légèrement ovale quand onla regarde de plus près. Une déviationminimale de la symétrie parfaite qui sou-ligne le caractère organique de la série.L’élargissement conique des lavabos versle mur a été conservé comme signe carac-téristique. Ainsi est conservée la plage dedépose, pratique et tellement appréciée.Nouveauté: le fond plan de la cuve quiremonte verticalement au-dessus descoins arrondis.Duravit parachève le succès de la nou-velle édition de Starck 2 avec une bai-gnoire rectangulaire redessinée et de nou-veaux receveurs de douche. Le design dela baignoire acrylique séduit par un dé-tail remarquable: son appuie-tête intégré,typique de Philippe Starck qui aime s’ins-

Duravit complète le nouveau design de Starck 2 De nouvelles nuances rafraîchissantes

Les formes organiques sont actuellement tendance en décoration inté-rieure. Philippe Starck, l’un des plus talentueux designers de notreépoque, a su, il y a maintenant une quinzaine d’années, reconnaître lepouvoir d’attraction des formes naturellement fluides. Déjà en 1998,Duravit présentait avec Starck 2 une série céramique qui s’inspirait dumouvement de l’élément liquide. Aujourd’hui, Duravit présente la sériedans un nouveau look plus moderne et poursuit le rafraîchissementde cette série, après les modifications réussies des cuvettes de WC etdes bidets.

pirer de gravures anciennes. Intégré dansle design d’ensemble, l’appuie-tête faitpenser à une planche qui aurait été poséedans la baignoire pour qu’on puisse s’yadosser confortablement.Le principe de design de la série a éga-lement été transposé aux receveurs dedouche sous le nom de Starck Slimline.Leur faible épaisseur est caractéristique etpermet d’abaisser la hauteur du rebordjusqu’à tout juste 20 mm. Le rebord toutautour du receveur est d’une largeur idéa-le pour recevoir tous les modèles cou-rants de parois de douche. Outre lesmodèles rectangulaires, les receveurs dedouche sont également proposés enquart de cercle, parfaitement adaptés àtous les standards de construction natio-naux et internationaux.Toutes ces innovations apportent lapreuve parfaite que même quelques peti-tes modifications du design peuvent pro-duire de grands effets.De ce fait, Starck 2 s’impose comme unesérie céramique de moyenne gamme –

désormais bien plus élégante – qui prendplace entre les séries Starck 1 et Starck 3,elles aussi couronnées de succès. Duravitpropose ainsi un design classique et con-temporain d’un même designer: PhilippeStarck pour tous les styles et toutes lesbourses.

www.duravit.ch

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18 bâtitech 10-13 produits

La nouvelle hotte de plan de travail stu-dioLine de Siemens apparaît par simpleeffleurement de la commande touchCon-trol. Les vapeurs de cuisson sont ainsi di-rectement absorbées au niveau du plande cuisson. Elle dispose de trois niveauxde puissance en régime normal et dedeux niveaux intensifs avec un débitmaximum de 800 m3/h.«La nouvelle hotte de plan de travailescamotable est un nouvel élément quicomplète et enrichit la série d’appareilsencastrables studioLine. Convaincantesur toute la ligne: elle capture parfaite-ment les odeurs quand elle fonctionne etlibère entièrement le champ de visionune fois escamotée. La nouvelle hotte deplan de travail est, en outre, dotée d’unesérie de finesses techniques et conçuedans le design studioLine», se féliciteMax Leuenberger, directeur de la sociétéBSH Electroménager SA Suisse.Pratiquement invisible au repos, la hotteaspirante permet de préserver le volumede la pièce, en particulier au-dessus desîlots de cuisine. Son cadre en acier inoxy-

Siemens lance une hotte de plan de travailescamotable

Siemens studioLine

L’air frais n’a jamais été aussi passionnant: avec sa première hotte deplan de travail escamotable, Siemens présente un nouveau concept dehotte aspirante. Cette structure plate de 90 centimètres de longueurs’élève au besoin du plan de travail où elle disparaît à nouveau discrè-tement après la cuisson. Le champ de vision est ainsi libéré, notammentau-dessus des îlots, et la conception des cuisines s’enrichit de nouvellespossibilités. La hotte de plan de travail est disponible en Suisse dèsmaintenant auprès d’une sélection de partenaires studioLine.

dable est intégré dans le plan de travailderrière la table de cuisson, laissant le re-gard balayer la pièce en toute liberté. Lahotte n’apparaît que lorsqu’elle entre enaction.

Une bande LED éclaire parfaitementle plan de cuissonBon nombre d’esthètes et cuisiniers ama-teurs laisseront sans doute à regret glisserla hotte à l’intérieur de l’îlot après la cuis-son. Son design rectiligne caractéristiqueest, en effet, en parfaite harmonie avec ledesign et les matériaux du plan de cuis-son, même en position haute. Une pla-que de verre poli noir intégrée au corpsen acier inoxydable absorbe les vapeursde cuisine sur les bords. La beauté simplede l’éclairage vient compléter l’aspect im-posant de la structure: une bande LEDinstallée sur toute la longueur de la hotteéclaire parfaitement l’ensemble du plande cuisson, jusque dans le moindre re-coin.

Siemens studioLine: designexpressif, service impressionnantstudioLine de Siemens est la série incom-parable d’appareils encastrables pourceux qui recherchent plus d’exclusivité entermes de design, de technologie etd’équipement lors du choix de leurs ap-pareils ménagers. Et qui, en outre, atten-dent plus dès l’achat: plus de qualité,plus de conseil et plus de service. La séried’appareils encastrables studioLine estuniquement disponible auprès des parte-naires studioLine sélectionnés.

www.siemens-home.chwww.rp-press.com

© Studio Messlinger GmbH

BSH Electroménager SA

La société BSH Electroménager SAa été créée en Suisse en 2001. Ou-tre les marques Bosch et Siemens,mondialement connues, BSH distri-bue également en Suisse des pro-duits haut de gamme de la presti-gieuse marque Gaggenau. Avecprès de 240 collaborateurs, BSHElectroménager SA Suisse réaliseun chiffre d’affaires annuel de plusde 200 millions de francs suisseset occupe en Suisse une place deleader dans le secteur de l’électro-ménager.

Page 21: Bâtitech 10-2013

produits bâtitech 10-13 19

GRAFT

Avec un fl ux lumineux allant

jusqu’à 28 000 lumens et une

effi cacité lumineuse du luminaire

de 100 lm/W, GRAFT accomplit

des prouesses dans le domaine

industriel. Disponible avec

une innovante technologie de

lentilles, diverses répartitions

lumineuses et températures

de couleur, GRAFT est prêt à

relever tous les défi s. L’utilisation

d’une technologie LED de

pointe et de matériaux de haute

qualité a permis de développer

un luminaire industriel à LED

d’une qualité et d’une durabilité

inégalées.

Zumtobel. La Lumière.

Puissance et

précision.

zumtobel.com/graft

Éclairage précis

Technique de lentilles innovante pour

un guidage précis du fl ux avec une

répartition carrée extensive ou intensive.

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Montage sûr et rapide sur rail

porteur TECTON ou en luminaire

suspendu.

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Corps du luminaire en aluminium avec

nervures de refroidissement brevetées qui

améliorent la gestion thermique.

Extensive Intensive

150

300

450

400

800

1200

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20 bâtitech 10-13 produits

Les stations de dosage sont utilisées, parexemple, pour la désinfection d’eau po-table avec blanchiment au chlore, le do-sage de biocides et d’inhibiteurs dansl’eau de refroidissement, le dosage de les-sives et d’acides pour la régulation dupH, l’ajout de chlorure de fer (III) pour letraitement des effluents, et égalementpour le dosage des désinfectants et desnettoyants (Processus CIP – Cleaning-in-Place –, machines à nettoyer).

Station de dosage portableMobileDosLa MobileDos est une station de dosagepréfabriquée pour bidons de 20 à 30 l.Elle peut être utilisée partout où il est né-cessaire d’effectuer le dosage directementà partir d’un bidon. Ainsi, le remplissagedu bidon dans un réservoir de dosage,opération compliquée comprenant desrisques (éclaboussures, mélange d’air)devient superflu.

Grand confort de dosageLes nouvelles stations de dosage MobileDos et DTS

Grundfos enrichit son catalogueavec deux stations de dosageoptimisées pour des solutions dedosages spécifiques pour chaqueclient en combinaison avec despompes de dosage à moteur pasà pas de la gamme SmartDigital.

Station pour réservoirde dosage DTSLes DTS sont des stations préfabriquéespour réservoirs de dosage de 60 à 1000 l.Elles sont utilisées là où une solution estfabriquée puis dosée. Une DTS de basecomprend les composants suivants:• Réservoir• Tube d’aspiration• Matériel d’installation pour la pompe

de dosage SmartDigital• Tuyau de pression en PE de 10 m• Canne d’injection

La DTS peut être adaptée spécifiquementpour l’utilisation de chaque client grâceaux options disponibles. Exemple des ac-cessoires supplémentaires disponibles:• Mélangeur manuel/électrique

• Bac collecteur• Robinet de vidange• Adaptateur pour d’autres pompes de

dosage (par ex. DDI60-10)• Trémie pour solides avec dissolvant• Vanne de remplissage• Vanne multifonction (combinaison

entre clapet de maintien de la pressionet clapet de décharge)

La pompe de dosage n’est pas comprisedans la livraison d’une station de dosage;elle est choisie dans la gamme Digital-Smart en fonction des nécessités (max.30 l/h à 10 bars de contre-pression).Grâce à l’entraînement par un moteurpas à pas, les pompes de dosage Smart-Digital peuvent doser en continu et sansimpulsions, même lorsqu’il s’agit dequantités extrêmement réduites de 2,5ml/h (!). En outre, le moteur pas à paspermet une plage de réglage de 1: 3000 –ainsi, un seul modèle couvre la plage dedosage de 7,5 l/h à 2,5 ml/h. Avantagespour l’exploitant: la diversité de versionsest nettement réduite, et la pompe estdisponible pour un vaste domaine d’ap-plications.Le dispositif de contrôle du dosage Flow-Control mesure le débit volumique dedosage actuel et détecte des erreurs dedosage sélectives (par exemple, bullesd’air, cavitation, etc.). Les erreurs sont af-fichées en clair dans le menu de l’alarme.Les versions équipées de FlowControlManagement peuvent compenser toutedéviation de la valeur de référence dudébit volumique de dosage en adaptantle régime.Les pompes de dosage SmartDigital sedistinguent aussi par une manipulationsimple:• Grâce à la roue de clic – l’interface in-

tuitive de l’écran LC avec plus de 25langues – le système est facilementcommandé. Le débit nécessaire peutdirectement être réglé en ml/h, l/h ougph.

• Le grand écran LC affiche l’état de lapompe via l’allumage d’un rétro-éclai-rage en couleur. Ainsi, le rendement dela pompe peut facilement et rapi-dement être réglé.

Les pompes SmartDigital de Grundfosvéhiculent avec une technique d’entraî-nement des plus modernes tout en con-servant leur précision. Les deux nouvellesstations de dosage MobileDos et DTS op-timisent le confort de manipulation pourl’exploitant.

www.grundfos.ch

Station de dosage portable MobileDos. Station pour réservoir de dosage DTS.

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produits bâtitech 10-13 21

Le système de montage photovoltaïquepour toit plat VIVATfix est en aluminiumet donc très léger en comparaison à desproduits semblables. Le design a en outreété testé et optimisé dans la soufflerie del’Institut d’aérodynamique industrielled’Aix-la-Chapelle. Les utilisateurs de cesystème de montage bénéficient de plu-sieurs avantages qui leur permettent deréaliser des économies: le faible poidsnécessite moins de matériau, il n’est pasnécessaire de fixer le système au toit et unlestage minimal suffit. Les éléments pré-fabriqués permettent un montage rapideet donc avantageux. Le design de VIVAT-fix séduit par ses variantes qui peuventêtre orientées sud ou est-ouest et con-viennent à tous les modules photovol-taïques courants. VIVATfix a été dévelop-pé par Vivatenergy GmbH. Cetteentreprise, dont le siège principal se trou-

VIVATfix, le système de montage photovoltaïquepour toits plats

Ernst Schweizer AG, Metallbau et Vivatenergy GmbH

Le 6 août 2013, Ernst Schweizer AG, Metallbau, a repris les actifs et lesdroits portant sur les biens immatériels du produit VIVATfix de l’entre-prise Vivatenergy GmbH. VIVATfix est un système de montage modulaireéprouvé, nécessitant peu de ballast, pour l’installation de modules photo-voltaïques sur toits plats, avec orientation sud ou est-ouest. Les avantagesinnovants de VIVATfix permettent à Schweizer de renforcer son offre desystèmes de montage de haute qualité.

ve à Tägerwilen, est active dans le do-maine des énergies renouvelables et a uti-lisé ce système à de nombreuses reprises.Avec l’achat de VIVATfix, Ernst SchweizerAG complète son assortiment de systèmesd’énergie solaire. En plus du système demontage intégré Solrif® qui permet l’inté-gration en toiture de modules photovol-taïques, lequel remporte par ailleurs unvif succès, VIVATfix offre une solution mo-dulaire à faible ballast pour les toits platsà un rapport prestation-prix avantageux.La vente de VIVATfix en Suisse et en Eu-rope est assurée par Schweizer, en Autri-che par DOMA Solartechnik GmbH, unesociété filiale de Schweizer.

Ernst Schweizer AG, MetallbauCH-8908 HedingenTél. 044 763 61 11www.schweizer-metallbau.ch

Vivatenergy GmbHCH-8274 TägerwilenTél. 041 71 669 15 59www.vivatenergy.com

Le système de montage PV pour toits plats VIVATfix pourune orientation sud.

Le système de montage PV pour toits plats VIVATfix,également disponible pour une orientation est-ouest.

Qualité robuste et efficience haut de gamme.

Avec les capteurs solaires Logasol SKS 4.0, Logasol SKN 4.0 et Logasol SKR, Buderus propose une technologie d’avant-garde à qualité de traitement et efficience maximale égales. Une longue expérience qui repré-sente aujourd’hui une base solide pour des systèmes robustes de grande longévité, qui chaufferont demain encore de manière très efficiente.

Vous trouverez des informations complémen-taires auprès de votre conseiller Buderus ou venez nous rendre visite sur notre stand E09, hall 3.2, lors du salon MaisonBoisEnergie.

Buderus Technique de chauffage SARoute du Bois-Genoud 81023 Crissier Tél. : 021 631 42 00Fax : 021 631 42 50 [email protected]

La chaleur est notre élément

Logasol SKS 4.0

Logasol SKN 4.0 Logasol SKR

Les capteurs solaires Logasol de Buderus –des produits high-tech de longue durée

21.-24.11.2013

Page 24: Bâtitech 10-2013

22 bâtitech 10-13 produits

Un design garant d’une qualitéde vie accrueLes robinetteries des espaces publics sontsouvent perçues comme solides et fonc-tionnelles mais peu attrayantes. Le sys-tème de douche encastré Pulse de Sani-matic définit à cet égard des accentsinédits à la fraîcheur inimitable. La pla-que décor claire haut de gamme dotéed’un mitigeur thermostatique et le designépuré confèrent une apparence moderneaux installations sanitaires publiques, es-paces de bien-être ou à la salle de bainsprivée.

Harmonie de la technique et du designPulse

Les exigences de notre quotidien sont nombreuses: rendez-vous,formations continues, famille, ménage. Faire un tour dans les bainsd’eau saline ou le sauna ou tout simplement prendre une doucherafraîchissante aide bien des fois à calmer le jeu en périodes de frénésie.Il est bon que des robinetteries intelligentes comme le nouveausystème de douche complet encastré Pulse de Sanimatic sous-tendentces moments de bien-être.

Une technique à la pointe de la mo-dernité pour le plaisir de la doucheDes technologies intelligentes pour sim-plifier la vie. C’est le principe de fonc-tionnement de Pulse de Sanimatic. Le ré-glage thermostatique de la températurepermet de réguler confortablement latempérature de l’eau avec souplesse. Leblocage de sécurité est fixé à 38 °C. Iln’est possible de régler des températuressupérieures pour l’eau qu’en appuyantvolontairement sur le bouton correspon-dant. Cette fonction garantit une exploi-tation efficace et économique et incarne

confort et sécurité pour l’utilisateur. Unrinçage d’hygiène au réglage individuelest également intégré dans le système. Cenettoyage déclenché automatiquementtoutes les 24, 48 ou 72 heures garantit lapropreté et évite la présence de légio-nelles et la stagnation d’eau viciée dansles conduites. Une désinfection ther-mique du système est aussi disponible enoption. Important pour l’installateur:grâce à leur structure intelligente, lescorps encastrables sont très flexibles et semarient avec de nombreuses possibilitésde montage dans de nouvelles construc-tions et lors de travaux de rénovation.

Une technologie infrarougesupérieureUn autre élément technique phare dePulse est la technologie infrarouge inté-grée disposant d’un détecteur de mou-vements de proximité et de distance. Leflux d’eau est libéré dès que la main setrouve à proximité du capteur infrarouge,ce qui active aussi en même temps la zonede détection élargie. Lors de la sortie de lazone de détection élargie, la robinetterie àfermeture automatique coupe automati-quement le flux d’eau. Les utilisateursrespectueux de l’environnement peuventaussi arrêter manuellement à toutmoment le flux d’eau en approchant lamain du capteur infrarouge.

www.similor.chwww.wschneider.com

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Clients mobiles et ordinateurs nous of-frent de nombreuses possibilités d’orga-niser et d’effectuer des tâches de la viequotidienne, et ce même en déplace-ment. De telles technologies permettentégalement de gérer, par exemple, le sys-tème de GTB d’un immeuble. Pour cefaire, il suffit d’utiliser moduWeb Visionde Sauter. Une installation a beau êtrecomplexe, grâce à la solution de visuali-

sation compacte via le Web, commanderet surveiller des installations devient unjeu d’enfant.

Efficacité énergétique accrueet diminution des coûtsIl vous suffit de vous connecter pour con-sulter les données propres à différentesinstallations, pour les visualiser dans leurensemble et les analyser. La commandeintuitive permet à l’utilisateur «débutant»de se familiariser rapidement avec le sys-tème.Vous pouvez afficher les données com-plètes et structurées sous forme de ta-bleau ou de graphique, selon vos préfé-rences. Les représentations interactives etles images animées de l’installation sim-plifient la visualisation des informations.Vous pouvez ainsi détecter rapidementtout point faible, puis le corriger et l’opti-miser. Il en résulte une efficacité énergé-tique accrue et une diminution des coûts

L’essentiel en brefSauter moduWeb Vision

Sauter moduWeb Vision est un système ingénieux de visualisationet de commande via le Web. Clair, stable et facile à utiliser – pour nementionner que ses principaux avantages – il est destiné à toutes lesinstallations CVC.

d’exploitation. Cela s’applique avant toutaux petites et moyennes installations, tel-les que des écoles, des succursales, desstations-service ou des supermarchés.

Correction immédiate des erreursmoduWeb Vision prend également encharge la surveillance permanente del’installation. En cas de défaillance, l’ou-til envoie automatiquement une alarme

ainsi qu’un message d’événement parSMS ou par e-mail à une liste de per-sonnes prédéfinie. Vous pouvez à toutmoment vérifier l’historique en consul-tant la liste récapitulative des alarmes an-térieures. Cela vous permet de mieuxanalyser les erreurs et de les corriger plusrapidement.

Communication ouverteDeux des grands avantages de moduWebVision sont son interopérabilité et sonadaptabilité. Le serveur Web économiqueet compact de Sauter communique avecles unités de gestion locale par l’intermé-diaire de BACnet/IP. Ce protocole Intern-et standardisé permet d’intégrer directe-ment tous les appareils d’autres fabri-cants qui se basent sur le protocole decommunication ouvert.

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hôpitaux, des bâtiments indus-triels et de laboratoire, des aéro-ports, des centres de loisirs, deshôtels ou des centres de gestiondes données. Avec plus d’un siè-cle d’expérience et des compé-tences technologiques éprouvées,Sauter est un intégrateur de sys-tèmes confirmé, garantissant uneinnovation permanente et unequalité suisse. Distingué par leprix GebäudeEffizienz Award2010 pour la meilleure presta-tion de service énergétique et lemeilleur système d’automatisa-tion de 2009, Sauter fournit aux

utilisateurs comme aux exploitants une vued’ensemble de la consommation et des fluxénergétiques, et de ce fait de l’évolution descoûts. ■

produits bâtitech 10-13 23

ELECTROTECHNIQUE

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24 bâtitech 10-13 produits

Des régulateurs modernes doivent êtrepolyvalents, faciles à monter, intuitifs àutiliser, très rentables et particulièrementefficaces en termes d’énergie. Les nou-veaux régulateurs de Sauter, le flexo-tron400 et le flexotron800, satisfont par-faitement à ces exigences.Tandis que le flexotron400 permet surtoutla réalisation d’applications simples pourla ventilation, le chauffage et la prépara-tion de l’eau chaude, les avantages duflexotron800 s’expriment aussi bien pourles régulations individuelles que dans dessystèmes plus petits avec des possibilitésde communication pour la ventilation, laclimatisation et le chauffage.

flexotron400: petit et polyvalentLes deux régulateurs séduisent par leurinterface utilisateur intuitive, leur instal-lation aisée et leur mise en service effi-cace. Une commande en toute simplicitéalliée à des dimensions compactes et unerentabilité élevée font du flexotron400un régulateur unique dans sa catégorie.Le régulateur dispose d’applications cléen main, sélectionnables et adaptablespour différentes utilisations. En outre, le

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flexotron400 se pose et s’encliquette faci-lement sur des rails DIN, et tous les rac-cordements s’effectuent au moyen debornes enfichables.La mise en service et la commande duflexotron400 sont tout aussi faciles quele montage. Une molette permet de sélec-tionner la fonction souhaitée et un bou-ton de régler et de confirmer une valeur.Le large écran affiche toutes les informa-tions nécessaires au moyen de symbolesclairs, même dans l’obscurité grâce à sonrétro-éclairage.

flexotron800:configurable et communicatifLa diversité des fonctions et la configura-bilité du flexotron800 de Sauter lui per-mettent d’être utilisé de manière encoreplus flexible et polyvalente, pour des ins-tallations de chauffage, ventilation et cli-matisation partielle de taille moyenne.Il peut être utilisé aussi bien seul qu’entant que partie d’un réseau auquel il peuts’intégrer par Modbus ou via un serveurweb intégré.Malgré la large palette de fonctions, lacommande en 20 langues reste simple etintuitive. L’écran ou l’interface graphiquedu logiciel Sauter Case flexotron permetde modifier des paramètres, de traiterdes alarmes ou de relever des valeurs entoute simplicité.

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26 bâtitech 10-13 produits

Outre les fonctions de protection stan-dards d’un disjoncteur, Micrologic E a unatout supplémentaire décisif: l’unité decontrôle possède une mémoire et enre-gistre les dix derniers événements dedéclenchement. Grâce à sa mémoireintégrée, Micrologic E relève toutes les in-formations concernant l’événement et ledéclenchement. Les exploitants ont ainsiaccès à l’historique des défauts de leursinstallations et peuvent réparer les pan-nes plus facilement, si elles ont un lienavec d’autres composants défaillants. Lesmodules Micrologic E possèdent uneconnexion Plug-and-Play pour un raccor-dement au réseau de communication.L’installation d’appareils de mesure

Plus d’intelligence pour la productionMicrologic E de Schneider Electric

Schneider Electric a équipé ses disjoncteurs Compact et Masterpactdes nouvelles unités de contrôle intelligents Micrologic E. Les exploitantsd’installations sont ainsi en mesure de relever toutes les donnéesrelatives au courant, à la tension, à la puissance, à l’événement de déclen-chement et à la maintenance des disjoncteurs. Disponibles dès mainte-nant, les modules Micrologic E étoffent l’actuelle série Micrologic.

d’énergie et transformateurs de courantsupplémentaires n’étant pas nécessaire,on profite d’un gain de place dans l’ar-moire électrique.

Deux circuits séparés dansle système pour une sûretéde fonctionnement maximaleLes déclencheurs Micrologic E sont baséssur une double architecture de trai-tement. Un élément ASIC (ApplicationSpecific Integrated Circuit) en combinai-son avec un capteur CT veille à ce queMicrologic E se déclenche instantané-ment dès qu’un dérangement a lieu. Ledeuxième niveau est composé d’un mi-croprocesseur qui commande tous les

processus pour la mesure et la communi-cation des données. Par conséquent,Micrologic E possède deux circuits sépa-rés: un pour la protection de l’installa-tion, un autre pour la mesure, la commu-nication et la visualisation. Le but étantde garantir une sûreté de fonctionnementmaximale.

Une protection efficace contreles arrêts de productionL’écran FDM121 du Micrologic E permetaux Facility Managers de consulter toutesles valeurs de mesure, historiques desdonnées de mesure et indications demaintenance. Le raccordement peut sefaire à sa convenance avec un disjoncteurMasterpact NT/NW ou Compact NS, desorte que toutes les valeurs peuvent êtreconsultées sur le terminal de commandede l’armoire électrique. Par ailleurs, tou-tes les informations peuvent être extraitespar des passerelles compatibles Internetou RTU (Remote Terminal Unit) dans unlogiciel de gestion d’énergie, tel quePowerLogic ION Enterprise de SchneiderElectric, ou par des outils d’affichagebasés sur des navigateurs Internet stan-dards. Les exploitants sont ainsi capablesd’identifier immédiatement les compo-sants défaillants ou consommant beau-coup d’énergie et ainsi de les remplacer.Le cycle de vie des installations de pro-duction se voit prolongé et la disponibi-lité de l’alimentation électrique augmen-tée.«Face à l’élargissement des énergies re-nouvelables, le risque de fluctuations detension et de pannes du réseau augmentemême en Suisse», déclare Thomas Diet-helm, Product Manager disjoncteursSchneider Electric Suisse. «Ceci peutavoir pour conséquence des arrêts deproduction ou l’endommagement desinstallations. Les systèmes de mesure in-telligents dans le secteur de la produc-tion, tels qu’on les trouve dans Microlo-gic E, offrent une protection efficacecontre ces risques.» Les disjoncteursCompact et Masterpact éprouvés sontdonc parés à relever les défis imminentsde l’industrie.

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produits bâtitech 10-13 27

Créer des ambiances lumineuses et enmême temps diminuer la facture énergé-tique, c’est une combinaison fascinantepour les ampoules à incandescence, leslampes halogène et les éclairages à LED.Le variateur de lumière des lampes avecallumage/extinction doux allonge consi-dérablement leur durée de vie. Ceci sevérifie aussi pour les lampes à économied’énergie à variation progressive. Seuls lesvariateurs universels avec marquage AU-TO détectent automatiquement la chargeconnectée et règlent leur fonction de va-riation automatiquement en consé-quence. D’autres variateurs devraient êtreégalement échangés ultérieurement pourdes lampes avec un autre type de charge.Seuls les interrupteurs à variation univer-sels avec le marquage supplémentaire EC(lampes à économie d’énergie) et LC(LED) ont les réglages Comfort corres-pondants.

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28 bâtitech 10-13 «toit d’or»

Les établissements scolaires, construitsdans les années 50, font partie de l’inven-taire des bâtiments protégés de la ville deZurich. Les responsables du service desbâtiments souhaitaient assainir la couver-ture selon l’existant – malgré le fait quele produit FURAL ne soit plus fabriqué.

Pour ce faire, un contact avec les entre-prises Schoop + Co. AG et Soba Inter AGfut fructueux. Les maîtres ferblantiersStefan Aerni et Stephan Muntwyler sesont déclarés partie prenante pour unerenaissance de la fabrication du systèmeFURAL.

Situation de départLa ville de Zurich a saisi l’occasion derestructurations scolaires pour rénover lesétablissements «Untermoos» et «Chriesi-weg». L’objectif était une remise en étatsimple et bon marché du bâtiment pourune nouvelle période d’utilisation de 25ans. En plus de l’assainissement énergé-tique de l’ensemble de l’enveloppe dubâtiment, des travaux dans le domainede la statique ainsi que des interventionsà l’intérieur étaient prévus.

La redécouvertede FURAL

Assainissement des établissements scolaires «Untermoos» et «Chriesiweg» à Zurich-Altstetten

Pour le concours 2011, la sélection du jury a retenu un systèmede couverture assez particulier, le «FURAL». Il s’agit d’un systèmetrès ingénieux, actuellement disparu du marché des fournisseurs.Ce système très bien étudié maîtrise parfaitement le phénomènede dilatation et de retraite du matériel aluman, et ceci dans le senslatéral et longitudinal.

Les maîtres ferblantiersse mettent à l’œuvre,voilà leurs parolesLorsqu’on nous a approchés pour l’assai-nissement de ces deux objets, on nous ademandé si l’on connaissait le modèleFURAL et s’il était éventuellement pos-sible de le réutiliser. Nous connaissions lesystème FURAL, nous avions même desrouleaux originaux en stock pour des ré-parations. Nous avons examiné les toi-tures et la structure en opérant un son-dage sur place. Après nous être entretenusavec les fournisseurs pour la fabricationde l’outillage nécessaire au profilage desbandes FURAL, nous avons accepté de re-produire le système FURAL. A ce moment,nous ne croyions pas encore à une réno-vation avec FURAL. Mais nous ne savionspas ce qui nous attendait...

Caractéristiques du systèmeFURALAfin de donner aux projeteurs aussi viteque possible des indications précises surFURAL, nous avons commencé par réu-nir toutes les informations dont nousdisposions sur ce système:La toiture FURAL est l’une des nom-breuses inventions de l’architecte JosefFurrer, originaire du canton d’Uri.FURAL est une bande de tôle d’alumanprofilée d’une épaisseur de 0,7 mm avecun entraxe de 143 mm entre les profilstrapézoïdaux. Elle est déroulée parallè-lement à la bavette du chéneau sur unsupport d’ancrage prémonté. Sur la partiesupérieure de la bande, les profils trapé-zoïdaux sont réduits d’une épaisseur detôle sur 70 mm afin de permettre le che-

vauchement pour la croisure. Cette ré-duction permet de maintenir la bandeFURAL en place sur la toiture ou la fa-çade dans son support d’ancrage. Grâce àcette croisure, le raccordement avec labande FURAL supérieure est rendu étan-che. Un minimum d’eau capillaire peutpénétrer; par conséquent, elle ne parvientpas de l’autre côté de la tôle.La largeur de la bande FURAL a un déve-loppement maximum de 570 mm. Ladernière bande au faîtage est simplementcoupée. Sur la largeur de la bande, les70 mm se chevauchent. Ainsi, la surfacerecouverte mesure 500 mm.Par conséquent, ces 500 mm sont aussil’entraxe standard du support en boispour la bande d’ancrage. La section dulattage en bois est normalement de30 × 50 mm.Plus les projeteurs et nous-mêmes étionsintéressés par le système FURAL, plusnous étions convaincus du bien-fondé derecouvrir les toitures à assainir selon ceprincipe. Le système FURAL était si sim-ple et logique – du moins sur le papier.Voilà pour la théorie. Mais comment re-produire les bandes FURAL, le support etles tôles de raccordement dans la prati-que?

ProcédureParallèlement aux explications concer-nant la reproduction du système, nousavons participé à une présélection et sou-mis une offre. La procédure de présélec-tion nous a contraints, à un stade précocedu projet, à respecter un niveau de préci-sion élevé dans la préparation des diversdocuments nécessaires, dont: une des-cription de la reproduction du systèmeFURAL, un calendrier, des référencesd’«anciens» objets FURAL, un organi-gramme de projets et d’autres informa-tions. Nous avons passé la phase de pré-sélection avec une bonne évaluation etavons été autorisés, avec d’autres entre-prises, à remettre notre offre.

Stefan Aerni Stefan Muntwyler

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«toit d’or» bâtitech 10-13 29

Mais comment établir une offre lorsquel’on ne sait pas exactement comment, etsurtout, à quel prix nous serons en me-sure de reproduire l’ensemble du systèmeFURAL? Nous avons donc poursuivi lesplanifications en étant très pressés par letemps et avons finalement soumis notre«meilleure» offre. Heureusement, uneoffre séparée a été demandée pour les ou-tils nécessaires au système FURAL et laplanification spécialisée. Cela nous abeaucoup aidés. De cette manière, nous

pouvions indiquer séparément les coûtssupplémentaires, engendrés uniquementpar ce mandat particulier, et ne devionspas les reporter sur les prix unitaires.Nous avons décroché le mandat pour lesdeux établissements scolaires. Le signalde départ pour la reproduction du sys-

tème de FURAL était donné et, aveccelle-ci, la planification spécialisée et l’ac-quisition des outils et machines néces-saires.Tous les détails existants des deux établis-sements scolaires ont été mesurés et pho-tographiés. La nouvelle structure a été dé-

Ecole «Untermoos» en 1950...

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30 bâtitech 10-13 «toit d’or»

finie en accord avec les autorités respon-sables de l’entretien des monuments etde la protection du paysage, les proje-teurs et le physicien de la construction.Nous avons ensuite établi un cahier pourla planification de chaque établissementscolaire avec l’ensemble des détails, etune comparaison de la nouvelle et del’ancienne structure à l’aide de photos.Bien évidemment, divers détails, en parti-culier les virevents, ont dû faire l’objetd’un échantillonnage. Rien n’a été laisséau hasard. Après que tous les détails ontété approuvés, on a pu commencer la dé-molition.Il est ici important de relever l’excellentecollaboration avec les autorités, en parti-culier avec les représentants de l’entretiendes monuments et de la protection dupaysage.

Développement de la reproduc-tion du système FURALPrécision: il s’agit du système FURAL ori-ginal et non du système NEW-FURAL.NEW-FURAL, une solution similaire in-termédiaire, n’a jamais fait ses preuves,n’a jamais gagné des parts de marché im-portantes.Nous devions alors reproduire l’ensem-ble du système FURAL. Mais comment?Les délais étaient très serrés. Nous de-vions obtenir davantage d’informationsau plus vite. Les explications dans nosdossiers et dans les archives d’Etat ducanton d’Uri, où l’on peut trouver l’héri-tage de Josef Furrer, n’ont donné que trèspeu de renseignements sur la productionde l’ancien système FURAL. Nous ne dis-posions que de quelques photos et cro-quis à la main. Nous avons donc décidé

de reproduire de notre propre chef lemodèle FURAL sur une presse au moyend’une forme. Ce procédé semble tout àfait simple. Mais croyez-moi, nous avonspassé plusieurs nuits blanches avant quel’on obtienne la série souhaitée… La pré-cision nécessaire et le matériau utilisé,l’aluminium, nous ont en particulierdonné du fil à retordre.Finalement, nous avions la presse assis-tée par ordinateur et l’environnementtechnologique nécessaire pour intégrer lesystème FURAL utilisable au processus detravail. Nous avons produit jour et nuitpour pouvoir tenir les délais.

Déroulement de montagedu système FURALIl a d’abord fallu démolir la structureexistante. FURAL est vraiment très facile àdérouler. Une fois les garnitures périphé-riques enlevées, tout va très vite. Ce dé-montage présente en plus l’avantage quetoutes les couches peuvent être enlevéesséparément. Nous avons démonté toutesles couches jusqu’à la dalle en béton.Nous avons été surpris de constater que,sur les milliers de m2, très peu d’endroitsétaient mouillés. La plupart du temps,ces emplacements étaient situés près desuperstructures qui créent une obstruc-tion, où l’eau, en raison de cette obstruc-tion, était refoulée dans la construction.Au niveau du toit à proprement parler, lasous-construction était absolument sè-che. J’avais des doutes quant au fait queles bandes se chevauchent de 70 mm,comme c’était habituelle-ment le casdans le système FURAL. Est-ce que celasuffit pour empêcher l’eau capillaire depénétrer? Apparemment oui. Une fuite

Ecole «Chriesiweg», Zurich-Altstetten.

Presse plieuse. Montage du support.

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«toit d’or» bâtitech 10-13 31

aurait tout de suite eu des conséquences:le vieux toit n’avait ni sous-couverture nipare-vapeur. Si de l’eau s’infiltrait, elle seserait inéluctablement et immédiatementécoulée jusque dans la salle de classesituée en dessous.Comme les établissements devaient denouveau devenir rapidement étanches,nous avons mis en place un pare-vapeurautocollant pour assurer une étanchéitéprovisoire, après avoir effectué un net-toyage en profondeur et posé un pri-maire sur la partie inférieure.Nous avons utilisé du polyuréthane avecparements en voile alu comme isolationthermique. Grâce à la compression del’isolation thermique, nous avons pu re-noncer à l’utilisation d’autres pièces enbois comme supports.Une sous-couverture sans joints a consti-tué avec le contre-lattage une nouvelleétape dans la construction.Le réglage multidimensionnel du contre-lattage et du lattage du système a consti-tué un défi particulier. Le lattage du sup-port est l’un des points que nous avonsaméliorés lors de l’assainissement. Nousavons divisé l’entraxe du lattage en deux,de 50 cm à 25 cm. Chaque latte intermé-diaire a été munie d’un «support». Ceprocédé permet d’éviter que les bandesFURAL s’affaissent à la moindre pressionou sous l’effet d’une charge plus impor-tante.Comme pour une toiture avec revête-ment métallique, nous avons replié, ra-battu, posé des noues et des relevés.Comme la largeur des rouleaux est étroi-te, la dilatation se fait sans problème,même aux endroits des raccords et bords.Pour les raccords, nous avons découpé la

forme profilée FURAL et travaillé la tôled’aluminium en fonction de son utilisa-tion – tôle de faîtage, bavette, etc. Nousavons aussi exécuté toutes les garnituress’y rapportant.

Différences entre l’ancienet notre nouveau FURAL?Nous sommes fiers d’avoir pu redé-couvrir et reproduire aussi bien le sys-tème FURAL. Les établissements scolaires«Untermoos» et «Chriesiweg» ont pu êtrerénovés avec succès, dans la limite desdélais et budgets fixés.La rénovation du complexe scolaire«Untermoos» a été primée en janvier der-nier lors d’une soirée de gala dans le ca-dre de la foire «Bau München». Sur les420 projets de 30 pays soumis au con-cours, seuls trois objets ont été nominés.Finalement, nous nous sommes placésau deuxième rang de ce concours organi-sé par la revue d’architecture Detail. Ceprix est souvent considéré comme l’Oscarde l’architecture.Nous sommes très heureux que le projetFURAL soit une telle réussite et noussommes convaincus que nous revêtironsencore de nombreux beaux objets avecFURAL à l’avenir.

Commentaire du juryLa particularité du toit en FURAL est sonmontage sans aucune perforation pourla fixation par vissage. Le profil, livré enrouleaux, est déroulé parallèlement à labavette et clipsé dans les supports préala-blement vissés contre le lattage. Le rac-cord entre les bandes – par recouvrementsimple – se fait par la bande dérouléesuivante, qui s’emboîte parfaitement à

sa partie inférieuregrâce au façon-nage légèrementconique. Le recou-vrement est rela-tivement faible.Néanmoins, pourune faible pente,l’eau peut pénétrerpar capillarité dansle recouvrement de70 mm entre lesdeux surfaces detôle. Dans le casprésent, aucune in-filtration ne s’en-suit parce que lasurface dessous

n’est pas en contact avec la sous-cons-truction (les croisures sont «suspendues»et la formation de gouttes est impos-sible).Les membres du jury sont unanimes: enson temps, le toit en FURAL fut un véri-table succès commercial qui a largementcontribué, dans les années d’après-guerre,à l’utilisation étendue de systèmes decouverture métallique, que ce soit la cou-verture en FURAL, la couverture en dou-ble agrafe classique ou la couverture àtasseaux. Les couvertures permettant despentes relativement faibles étaient main-tes fois «la» solution dans l’architecture.Des bâtiments renommés sont couvertspar une peau métallique et ont démontréleur efficacité et durabilité pendant desdizaines d’années. Sur cette réalisation, lejury tient à relever le travail irrépro-chable, la persévérance et l’esprit d’entre-prise nécessaires pour relever le défi etpour faire renaître en 2010 un systèmepratiquement oublié. ■

Panneau de chantier

Objet: Etablissements scolaires –Zurich-AltstettenSystème: Réfection des couverturesmétalliques – Système FURALMatériau: Aluminum – naturel ép.0,7 mm

Participants Ecole «Untermoos»Ferblantier: Schoop + Co. AG etSoba Inter AG, Maître ferblantierStefan Aerni et Stephan MuntwylerArchitecte: Diethelm & SpillmannAG, ZurichMaître d’œuvre: Service desBâtiments de la Ville de ZurichDirection des travaux:Spiegel & Partner AG, Zurich

Participants Ecole «Chriesiweg»Maître d’œuvre: Service des Bâti-ments de la Ville de ZurichFerblantier: Schoop + Co. AG etSoba Inter AG, Maître ferblantierStefan Aerni et Stephan MuntwylerArchitecte: PlanergemeinschaftTwerenbold Nägele Twerenbold,architecte ETH/SIA, ZurichDirection des travaux: ThomasTwerenbold, architecte, Zurich

Montage du système FURAL.

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32 bâtitech 10-13 partie technique

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forme sur les objets approchant. La lu-mière a ainsi toujours une longueur déci-sive d’avance.Dès la fin 2013, iLight sera disponibleavec des capteurs optiques. Ceux-ci pour-ront faire la distinction entre les per-sonnes et les véhicules, occulter certaineszones telles que des jardins ou des buis-sons et même compter les véhicules. ■

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Interlaken sous un éclairage intelligent: Siteco Streetlight 10 LED. (Photo: Osram AG)

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34 bâtitech 10-13 partie technique

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Le bus DALI s’est imposé et établi en tant que «bus de la technique d’éclairage»

L’accord de l’industrie de la technique d’éclairage, sur un protocolecommun de commande de l’éclairage numérique adressable, ouvredes perspectives presque illimitées en matière de régulation de lapart de lumière artificielle dans les applications. Ce protocole com-mun n’est autre que DALI (Digital Addressable Lighting Interface)qui a été, entre-temps, normalisé selon IEC international.En optant pour les composants DALI adéquats, il est possible derépondre aux exigences les plus diverses, du fonctionnement clas-sique via un interrupteur, jusqu’à la gestion moderne de l’éclairagedans des ensembles de locaux professionnels, comportant desmilliers de points lumineux.

à incandescence, les lampes fluorescentesou les lampes à décharge haute pression,et même les LED sont gérées indépen-damment de leur implantation dans desbureaux individuels, des locaux commer-

ciaux ou de leur intégration dans l’éclai-rage public.Le système DALI se caractérise par sa sim-plicité d’utilisation. Pour les installationsd’éclairage, les exigences en matière decompétences des planificateurs-électri-ciens et des installateurs-électriciens sonttoutefois plus élevées.

Standard DALIDALI signifie «Digital Addressable Light-ing Interface». Il s’agit d’un protocoled’interface destiné à la communicationnumérique entre appareillages électro-niques pour la technique d’éclairage (bal-lasts électroniques, transformateurs, etc.).Le standard DALI a été développé pourl’appareillage de type ballast électroniqueet les dispositifs de commande, par

Albertinum à Dresde avec un concept d’éclairage exigeant, géré par DALI. (Source: Zumtobel)

ELECTROTECHNIQUE

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TridonicAtco et d’autres fabricants de premier plan. Ces fabricantsfont aujourd’hui partie du groupe de travail DALI qui assure à la foisla promotion de DALI et son continuel développement.Le standard DALI est défini dans la norme IEC 62386-1xx (exigencesgénérales) et IEC 62386-2xx (exigences particulières liées à l’appareil-lage). La compatibilité entre les différents fabricants est ainsi assuréeà long terme et procure une sécurité dans la durée.La compatibilité entre produits émanant de fabricants différents estassurée par une procédure de tests normalisée par l’association AGDALI. Tous les produits qui portent le logo de l’association AG DALIont passé ces tests avec succès.

Caractéristiques de DALILes principales caractéristiques en bref:• Installation simplifiée: les lignes d’alimentation et de commande

peuvent être acheminées ensemble dans le même câble, par exem-ple un câble 5 ×1,5 mm2. Le câblage peut être réalisé en série, enétoile ou une combinaison des deux.

• Pas de polarité: il n’est pas nécessaire de tenir compte de la polarité(+/–) de la ligne de commande DALI.

• Fonction de variation stable: tous les luminaires reçoivent exac-tement le même signal numérique et donc la même valeur de varia-tion.

• Répartition de l’intelligence: DALI se sert du système d’intelligencerépartie; plusieurs appareils de commande communiquent avec des

dispositifs intelligents. Chaque contrôleur fonctionne en tant que«maître» et contrôle la communication sur la ligne de commande.Les dispositifs ne réagissent qu’en tant qu’«esclaves», en réponseaux «maîtres». Certains paramètres sont répertoriés directementdans le dispositif DALI (p. ex. valeurs de scènes, adresse de groupe).

• Message d’état: les dispositifs DALI peuvent envoyer des messagesd’état. Les informations concernant par exemple des lampes défec-tueuses peuvent ainsi être directement transmises au système dehiérarchie supérieure.

• Flexibilité: l’affectation à un groupe ne s’effectue pas par l’intermé-diaire du câblage, mais par paramétrage. Les valeurs correspondantà différents scénarios d’éclairage sont enregistrées dans le dispositifDALI.

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Page 38: Bâtitech 10-2013

36 bâtitech 10-13 partie technique

• Courbe de variation logarithmique: lacourbe de variation est adaptée à l’œilhumain.

• Le principe DALI: une ligne de contrôlebifilaire commande avec un haut degréde flexibilité jusqu’à 64 ballasts électro-niques DALI, individuellement ou re-groupés pour former jusqu’à 16 grou-pes.

Lorsqu’il s’agit uniquement de varier l’in-tensité, l’interface 1…10 V est aujour-d’hui encore très utilisée. DALI comble lalacune entre la technique du 1…10 V quiexistait jusqu’à présent et les systèmes deBus contraignants. Lorsqu’il est ditqu’avec DALI la commutation et la varia-tion sont réalisées par l’intermédiaire dela ligne de commande, cela veut dire quela tension de réseau des luminaires nedoit pas être désactivée séparément. Il estégalement possible de consulter les don-nées importantes concernant les lumi-naires via l’appareil de commande. Unepasserelle relie le Bus DALI au système de

gestion des bâtiments tel que KNX, LONou TCP/IP (fig. 2). Il est ainsi possible decommander l’éclairage de manière cen-tralisée. Il en va de même pour l’état des

luminaires qui peut également être véri-fié par l’intermédiaire du système de ges-tion et qui peut directement déclencherune information de service.

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d’utilisation. Le vaste choix de boîtiers d’ambiance s’adapte aux diffé-rentes spécifications de conception et peut être combiné avec toute une série d’encadrements de divers fournisseurs. Grâce à l’application RoomOptiControl éprouvée, le statut d’efficacité énergétique actuel est indiqué par le panneau de contrôle Green Leaf sur le boîtier d’ambiance. Un simple effleurement permet de faire passer ce statut du rouge au vert. L’utilisateur de la pièce peut ainsi économiser activement de l’énergie.

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Figure 2: Caractéristiques technique d’un circuit DALI: les deux conducteurs bus se trouventdans le même câble que les conducteurs courant fort.

Page 39: Bâtitech 10-2013

partie technique bâtitech 10-13 37

DALI présente les caractéristiques suivantes:• Nombre maximal de participants DALI: 64• Nombre maximal de groupes DALI: 16• Nombre maximal de scénarios d’ambiance DALI: 16• Tension DALI: 9,5…22,5 V, généralement 16 V• Courant du système DALI: max. 250 mA (dépend de l’alimenta-

tion en courant DALI installée)• Vitesse de transmission des données: 1200 bits/s• La longueur de ligne maximale se calcule en fonction de la chute

de tension max. autorisée sur la ligne DALI, soit 2 V, ce qui cor-respond environ à 300 m pour une section de câble de 1,5 mm2.

Avec DALI, il est possible de mémoriser 16 scénarios d’éclairagedifférents par dispositif DALI, afin qu’il soit possible de sélec-tionner des ambiances d’éclairage prédéfinies dans chaque pièce. Ilpeut s’agir de scénarios lors de présentations organisées dans dessalles de spectacles ou d’une ambiance matinale dans un espace debien-être. Les valeurs de ces 16 ambiances sont sauvegardées dansle dispositif. Dès que le dispositif reçoit par exemple l’ordre d’ac-céder au «scénario 1», l’intensité de la lumière varie pour atteindrela valeur mémorisée. La vitesse de gradation à partir du momentoù un scénario a été sélectionné est également prédéfinie et peutêtre réglée graduellement via le paramètre «Fade Time» par inter-valles de 0,7….90,5 secondes.

Groupes DALIDans un circuit DALI, il est possible de définir jusqu’à 16 groupes.Un groupe est un ensemble rationnel de luminaires. L’apparte-nance à ce groupe est effectuée par paramétrage DALI. Il est tout àfait possible qu’un dispositif DALI appartienne à plusieurs grou-pes. Par rapport à des systèmes non adressables, pour lesquels lesgroupes sont établis par câblage, DALI permet d’atteindre un hautniveau de flexibilité et d’effectuer d’énormes gains au niveau du câ-blage. ■

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Downlight LED avec appareil de commande DALI. (Source: Zumtobel)

Page 40: Bâtitech 10-2013

38 bâtitech 10-13 partie technique

Installer des sources de lumière artificielledans les pièces n’a pas pour unique voca-tion d’éclairer des espaces définis avec unecertaine puissance de lumière. L’éclairagejoue un rôle important dans la décorationd’un intérieur. Par design d’éclairage, onentend la mise en lumière des espaces etl’adaptation de l’éclairage à chaque situa-tion. L’objectif peut par exemple consisterà optimiser l’éclairage des postes de tra-vail, en utilisant uniquement des lampesdestinées à cet effet et avec une faible con-sommation d’énergie. Mais l’éclairagepeut également être à l’origine d’une am-biance sensorielle particulière, une façond’attirer le regard sur certains objets ou

Tout est possibleLED: connaissances de base

Dans une LED, l’élément lumineux à proprement parler est minus-cule. Cela permet de concevoir des luminaires qui semblaientjusque-là impossibles à réaliser. Il est possible de construire des railsde lampes pour éclairage rasant, utilisant des spots à LED plus per-formants que des lampes halogènes ayant une puissance cinq foisplus élevée. Dans les années à venir, grâce à la technologie LED, deplus en plus de lampes originales apparaîtront sur le marché.

d’apporter une touche créative. A la ma-nière dont la lumière met en scène lesreprésentations sur une scène de théâtre,une mise en lumière adéquate permet desouligner certains détails des espaces.

Remplacement définitifde la technologie existanteLa lampe à incandescence d’Edison existesous sa forme actuelle, depuis plus de150 ans. Les lampes halogènes ont certespermis d’accéder à de nouveaux conceptsd’éclairage, mais elles ne répondent plusaux attentes actuelles et il est à prévoirqu’elles seront, elles aussi, bientôt inter-dites. Les lampes à économie d’énergie

ne font pas l’unanimité et ce, à plus d’untitre. Même d’un point de vue «économi-que», elles sont largement dépassées parla technologie LED la plus récente, d’au-tant plus qu’il existe déjà des lampes àincandescence rétrofit LED de 100 lm/W,alors que les lampes à économie d’éner-gie n’ont qu’un rendement lumineux de60 lm/W. La directivité lumineuse dontbénéficient de nombreuses lampes à in-candescence rétrofit LED est une caracté-ristique souvent souhaitée.Le cristal de LED lumineux est infinimentpetit et ne comporte qu’un seul inconvé-nient en matière de créativité: la chaleurdoit être correctement évacuée. La chaleurdissipée est l’unique obstacle rencontrédans la conception de nouveaux lumi-naires LED. Toutefois, grâce à l’efficacitétoujours croissante des LED, la problé-matique de la puissance dissipée s’ame-nuise.

Singularité des LEDLes LED peuvent émettre un rayonne-ment sous forme d’un seul point d’uneénorme puissance, permettant ainsi à desprojecteurs basés sur la technologie LEDd’avoir une efficacité inégalée jusqu’à cejour. Les LED peuvent être assembléessous forme de bandes et peuvent ainsiremplacer les anciennes lampes fluo-compactes. Le bloc d’alimentation consti-tue uniquement une restriction s’il estnécessaire de l’intégrer dans le luminaire.Si une tension continue inférieure à 50 Vest à disposition, les nouveaux conceptsd’éclairage, qui étaient techniquementimpossibles jusque-là, ne sont plus unproblème.A cela se rajoute le fait qu’avec les LEDtoutes les nuances de couleurs sont dis-ponibles et cette particularité gagnerasûrement en importance à l’avenir.Le dernier grand avantage de la techno-logie LED est la possibilité de faire varierl’intensité, tout en maintenant le ren-dement. En effet, le très haut rendementatteint grâce à une électronique de bonnequalité demeure presque inchangé jus-qu’à des niveaux de gradation à 10 % dela puissance nominale. ■

Balustrade en verre éclairéepar le bas par une lumièreLED couplée.

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Page 41: Bâtitech 10-2013

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40 bâtitech 10-13 partie technique

Quelle est la ville qui sait que si elle ne selimite pas aux transports en commun,quels sont les genres de transports néces-saires à l’intérieur des limites de la ville?Saint-Gall a fait cet effort pour recueillirces données et relier entre eux le parc im-mobilier et les consommations d’énergie

à échelle de la ville. Représenter le fluxdes énergies: trop souvent, on prend desmesures individuelles, en partant debonnes intentions, sans tenir compte deseffets et du plein potentiel que les rela-tions avec les autres peuvent obtenir etainsi avoir une vue d’ensemble. C’est

Concept énergétiquedans un processus abouti

Martin Stöckli

Vision excellente: Saint-Gall lie sécurité d’approvisionnement et création de richesse régionale

Tout le monde sait que l’énergie ne se limite pas au chauffage desbâtiments. Mais la ville de Saint-Gall le concrétise par une intercon-nexion globale entre le vaste réseau de production et de consomma-tion, un concept durable et visionnaire – le concept énergétique2050 – une valeur digne d’être imitée.

pour cela que les services concernés etdes experts en énergie ont mis sur piedune base de données géoréférencées, lieude prédilection pour permettre d’élaborerdes scénarios de tests et diverses combi-naisons.

Les conséquencesqui en découlentLa ligne directrice est que la tendance desbesoins en énergie est toujours à lahausse, mais que les ressources sont plusrares et il faut ainsi reconnaître qu’unjour elles seront toutes utilisées. En ou-tre, les émissions de CO2 qui sont pro-duites en grande partie par la combus-tion de combustibles fossiles et descarburants sont à réduire de façon dras-tique et immédiate. Les limites pour laconsommation en énergie par habitantde la ville de Saint-Gall étaient de 2000watts, et une tonne de CO2 par an. Enplus, en 2050, le mix urbain ne devraitplus contenir d’énergie venant du nu-cléaire. Environ 140 mesures doiventcontribuer à la réalisation de ces ob-jectifs. L’effet de ces mesures est examinépar l’ordinateur à scénarios et ainsi, l’in-fluence économique est évaluée. En plussimple, la direction à suivre sera l’effica-cité plutôt que le gaspillage. Cela inclutla rénovation du parc immobilier ces 40prochaines années, la mise en service en2014 de la centrale géothermique, laconstruction et l’extension du réseau dechauffage urbain. Le but était ici de nebrûler des combustibles fossiles que pourla production d’électricité, et d’injecter lachaleur produite dans les réseaux dechauffage urbain. Outre l’améliorationde l’incinérateur de déchets solides, la

production d’électricité municipale doitse faire avec de petites centrales hydro-électriques et des installations de cellulesphotovoltaïques, le tout complété pardes investissements dans des parcs éo-liens et autres projets.

Une évaluation réalisteSaint-Gall estime que les besoins entransport augmenteront encore à l’avenir.Le transport individuel motorisé doitdonc être stabilisé au niveau actuel et ladomination des carburants fossiles êtreremplacée par l’électricité provenant au-tant que possible de sources renouve-lables. Le chiffre d’affaires additionneldoit être perçu sur une offre de plus enplus attractive de transports en communet le passage à la circulation non moto-risée avec piétons et cyclistes. La con-sommation actuelle d’énergie pour lamobilité devrait être abaissée à environ200 000 MWh (200 GWh) soit, par rap-port à aujourd’hui, réduite de plus de lamoitié. Ce qui est déterminant, c’est uneconversion nettement plus efficace del’énergie des transports par des moteursélectriques. Les pompes à chaleur jouentégalement un rôle dans ce concept éner-gétique. Elles doivent, à l’extérieur desréseaux de chauffage urbains, remplacerles combustibles fossiles. Alors que lademande en électricité est en augmen-tation, les mesures efficaces prises nepeuvent que difficilement compenser en-tièrement la demande. Dans ce contexte,un couple chaleur-force (CCF) prend unenouvelle signification. Le gaz naturel et lebiogaz par la suite doivent sous le titre«chauffage stationnaire et non mobile»tirer le meilleur parti possible de la cha-leur et augmenter nettement son effica-cité énergétique, bien mieux que dans lesmoteurs de voitures. Le courant élec-trique doit être utilisé essentiellementcomme une force à des fins de qualité etnon sous forme de chaleur. Saint-Gallvoit donc aussi un plus grand potentiel

Le plan énergétique a été révisé et comprend une vue d’en-semble plus visionnaire et nouvelle de la chaleur, de l’élec-tricité et de la mobilité. (Photo: Ville de Saint-Gall, secteurde l’énergie et du marketing)

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partie technique bâtitech 10-13 41

dans l’application de l’énergie «adaptée àla nature».

La transition énergétiqueLes combustibles fossiles jouent encoreun rôle dans le concept énergie de Saint-Gall. Mais avec les objectifs de 2000watts et 1 tonne de CO2, la demande enénergie primaire va massivement dimi-nuer dans les 40 prochaines années.Peter Graf, responsable du secteur del’énergie et du marketing de Saint-Gall,croit que l’avenir n’est pas le manqued’énergie mais d’utiliser l’approvision-nement énergétique avec trop de puis-sance au mauvais moment et au mauvaisendroit. La question centrale n’est pas desavoir quelle est la technique de stockagequi est juste, mais comment faut-il fairepour adapter votre approvisionnementen énergie avec des énergies renouve-lables. Et c’est là qu’intervient le conceptde l’énergie. Le chemin mène au-dessusdu réseau des infrastructures. Cela per-met, par exemple, au réseau de gaz d’ali-menter des productions d’énergie décen-tralisées avec production combinée dechaleur et d’électricité et l’intégration de

centrales de cogénération dans les sys-tèmes de chauffage urbain et de chaufferle parc immobilier. Avec l’électricité four-nie, il est possible d’alimenter des pom-pes à chaleur et des véhicules électriques.Le réseau de gaz n’est pas seulement bonpour le transport de gaz naturel, maisaussi, à l’avenir, pour du méthane ou dubiogaz synthétique (SNG = Synthetic Na-tural Gas). Il sera fabriqué avec l’excès duvent et de l’électricité solaire à partir del’hydrogène (H2), ceci en utilisant du di-oxyde de carbone (CO2). Le transport etla distribution subséquente auront lieucomme d’habitude sur le réseau de gaz,qui, contrairement à l’actuel réseau, peutégalement servir de tampon et n’est pasinfluencé par des expansions importan-tes. Avec l’augmentation annuelle desémissions de CO2 et les pénalités finan-cières qui y sont associées, de nouvellesméthodes se développent pour la captureet l’utilisation rapide de CO2. Une grandepartie de ces nouvelles méthodes sontencore en développement, trop compli-quées et trop coûteuses; ce qui expliquepourquoi actuellement certaines quan-tités de mélange H2 sont appliquées de

préférence au gaz naturel. Il y a sansdoute des synergies entre les nouvellessources d’énergie et le CO2 qui charge lebiogaz brut, les gaz d’échappement et, fi-nalement, l’air ambiant. Lorsque le CO2

s’introduit non seulement dans l’atmo-sphère, mais aussi comme matière pre-mière dans les produits que dépend engrande partie le succès du processus de laP + D (projets pilotes et de démonstra-tion) et réduit la pression financière. ■

Source

Journée technique de la SES du 27novembre 2012 à Berne, Confé-rence de Peter Graf, responsable dusecteur de l’énergie et du marke-ting de la ville de Saint-Gall.

Avec le poste de pilotage et des scénarios informatiques, des outils sont disponibles pour modéliser le flux des énergies futureset le rendre transparent.

Energie primaire (EP)1530 GWh

Energie secondaire1440 GWh

Energie finale1300 GWh

Energie utilisable1060 GWh

Biomasse

Ordures

Soleil

Chaleurterrestre

Produitspétroliers

Gaz naturel

KWK

Electricité

EP renouvelable

EP non renouvelable

Energie utilisable

Chaleur

Chauffage urbain

Biomasse

Ordures

Environnement

Produits pétroliers

Gaz naturel

Electricité

Centrale thermique d’ordures

Centrale géothermique

Centrale chaleur force

Pompe à chaleur géothermiquesEchelle

Habitations

Habitants75 000

Industrie

Places de travail8000

Prestations de servicePlaces de travail40 000

Transport

en zone urbain

Page 44: Bâtitech 10-2013

42 bâtitech 10-13 partie technique

La famille Steiner à Emmen devait revoirtout son système de chauffage qui deve-nait vieux. C’était un système de chau-dière à mazout avec réservoir pour lechauffage et boiler attenant pour l’eauchaude. L’objectif était de mettre en placeun système des plus modernes utilisantprincipalement des énergies renouvela-bles; il se régit comme un système inté-gré.

Passer du chauffage à mazoutà la pompe à chaleurUn installateur sanitaire du nom de Trox-ler et basé dans la région d’Inwil (AG) a

Trois énergiesen un seul système

Jürg Wellstein

Une rénovation avec pompe à chaleur ouvre le chemin aux énergies renouvelables

Lors de la rénovation de la maison familiale, c’était clair: l’utilisa-tion des énergies renouvelables devrait être nécessaire. Avec un sys-tème intégré, il est possible maintenant d’utiliser la température del’air, le soleil et le bois en même temps. Le système de Friap AGpropose une modernisation globale et une efficacité accrue.

évalué diverses étapes de planification,cela pour différentes options technolo-giques. C’est finalement une pompe àchaleur air eau split up avec intégration del’énergie solaire et du bois qui a convain-cu le propriétaire de la maison. Il a étéséduit par les compétences et la gammedes produits Friap AG; une juxtapositioncombinée des différents éléments est pos-sible dans un seul système.Avec le slogan «la chaleur se sent bien»,Friap, un fabricant suisse, offre unegamme équilibrée de dispositifs pour lacréation d’installations au service de laproduction de chaleur. Depuis 2009, despompes à chaleur sont fabriquées à Itti-gen et cinq autres succursales émaillent le

territoire suisse avec un service efficace etun bon réseau de conseil.

Diviser au lieu de concentrerPar ce procédé de scission, l’évaporateurde la pompe à chaleur se trouve dans lejardin familial. Il n’est donc pas néces-saire d’avoir des conduites d’air degrosses dimensions pour la pompe à cha-leur compacte air eau qui est placée àl’intérieur. Il n’est pas nécessaire d’abattredes pans de murs pour les canaux de ven-tilations. Il ne reste que deux agrégats àraccorder avec un tube de 4 mètres delongueur. Le vaporisateur travaille trèslentement, de sorte que les émissions so-nores sont faibles. Si l’on tient compte dela bonne isolation phonique de toutel’installation et du compresseur, les va-leurs mesurées dans la chaufferie sonttrès acceptables.Avec la scission des appareils, l’utilisationde la place, à l’intérieur, peut être réduiteet les options d’installation seront plusjudicieuses. Le choix de la pompe à cha-leur air eau avec split up est idéal lors deconstructions et de rénovation de mai-sons individuelles et de petits im-meubles.Le type de pompe à chaleur FLWSP 1–12a une puissance de chauffage pouvantaller jusqu’à 15 kW, une plage de fonc-tionnement pour la source de chaleur de–15 à 30 °C et pour le chauffage de 20 à

Lors de la rénovation de la maison familiale, une pompe à chaleur air eau et un accumulateursolaire Friap combiné ont été intégrés pour la production d’énergie. (Image: Friap AG)

L’évaporateur de la pompe à chaleur trouve etutilise l’énergie de l’air ambiant.

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partie technique bâtitech 10-13 43

55 °C. Lorsque le réfrigérant R407C estutilisé, le rendement (COP) réalisable est2,6 à 3,9.

Le réservoir retire la chaleur detrois sources différentesLe système est complété par une unité destockage combinée WPS 850/270, à la-quelle, non seulement la pompe à cha-leur est raccordée, mais également lasurface de capteurs solaires 28 m², qui secompose de 12 capteurs plans avec2,5 m². Cela avait déjà été installé plustôt et intégré maintenant, lors de la réno-vation, dans le nouveau système hydrau-lique. Friap a également des panneauxsolaires dans son programme, soit uneinstallation facile grâce à leur faible

poids, leur faible hauteur d’installation etune technique modulaire pour les collec-teurs et cadres de montage. En outre, lacheminée située dans le salon est conçuede manière que la chaleur puisse êtreégalement utilisée pour le chauffage etl’eau chaude. La thermopompe (WPS) deFeuron, une société du groupe FRIAP estconçue comme un grand accumulateurcombiné pour le chauffage et l’eauchaude. Globalement, le volume du ré-servoir est de 850 litres, le chauffe-eausanitaire intégré contient 270 litres.L’échangeur de chaleur solaire est fabri-qué à partir de tube lisse d’un pouce sanssoudure. Avec la pompe à chaleur air eau,cet accumulateur remplit aussi la fonc-tion dans un temps minimal de dégi-

vrage de la pompe à chaleur. Le dégivrageest utilisé pour libérer de la glace et dugivre l’évaporateur placé à l’extérieur.Cette énergie nécessaire est fournie parl’accumulateur.

Un système qui a convaincu lafamille SteinerAinsi, aujourd’hui, la famille Steiner uti-lise de l’énergie qui vient de l’air, dusoleil et du bois. Grâce à ce procédé inté-gral, les trois énergies renouvelables fu-sionnent efficacement dans un systèmecommun.

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Schéma du système de chauffage intégré après la rénovation.

12 capteurs plans étaient déjà présents avant la rénovation et servent maintenant d’appoint pourle système de chauffage et d’eau chaude.

La conception du boîtier de l’évaporateur peut être ajustéede façon optimale selon les circonstances extérieures del’environnement.

Page 46: Bâtitech 10-2013

44 bâtitech 10-13 partie technique

Des conditions hivernales régnaient lorsde la Journée de l’Institut pour la techno-logie solaire (SPF) de l’Université desSciences Appliquées à Rapperswil (HSR).Par conséquent, le problème de la chargede la neige sur les panneaux solaires afacilement pu être anticipé. Par le passé,l’équipe de recherche du SPF a été con-frontée à un défi sur les rapports de forces;les charges verticales réelles de la neige surun toit en pente avec capteurs; cela n’étaitpas parfaitement défini. Par conséquent,le développement a été poursuivi sur labase de tests existants et a donné de nou-veaux résultats, grâce aux forces réglables,

Utilisation innovantede l’énergie solaire

Jürg Wellstein

Journée 2013 de l’Institut pour la technologie solaire (SPF): regard sur l’état actuel des développements

Cette Journée de l’Institut pour la technologie solaire (SPF) et sespartenaires commerciaux a donné la possibilité de tenir des discus-sions intensives sur l’évolution de la technologie solaire. Dans lemême temps, cela a permis aux chercheurs de présenter les résultatssur les différentes compétences de tests, de mesures et de certifi-cations ainsi que de la coopération nationale et internationale.

aussi bien pour les capteurs que pour lacouverture vitrée. Avec des sondes de for-ces et de mesures, ainsi qu’une transmis-sion vidéo, il est maintenant possible desimuler les forces verticales et horizonta-les qui sont produites par les charges de laneige. Andreas Bohren a pu identifier lesfaiblesses des capteurs ainsi que celles duverre et du boîtier. En principe, il n’estpas nécessaire d’avoir une plus grandequantité de matériel, mais surtout uneconstruction de panneaux stables, adap-tée aux charges.

Test et formationUne autre série de tests étudie leséléments de liaison au raccordement du

capteur. L’objectif étant de tester lesjoints toriques qui sont utilisés pourl’étanchéité et ils doivent supporter destempératures élevées pendant les pé-riodes de stagnation (130 à 180 °C). Ste-fan Brunold a présenté des pistes d’essaisde 40 cm de long pour les différentséléments de fixation, qui sont chargés àenviron 1600 cycles. Seuls des essais surla durée peuvent, par une inspection vi-suelle, évaluer la qualité des joints tori-ques et détecter toute déformation, for-mation de bordures et autres fragilités auniveau de la surface extérieure. Autrenouveauté, un certificat de qualité appro-priée est délivré à la SPF, il concerne larésistance hydraulique de stagnation desattaches dans les systèmes thermiques so-laires. Dans son introduction à la Journéede l’industrie le 14 mars 2013, le profes-seur Matthias Rommel, directeur de l’Ins-titut SPF, a décliné l’objectif de la recher-che et du développement. Il s’agit d’unepart des technologies combinées etéprouvées de manière optimale de sys-

Le SPF a été impliqué dans le développement de ces capteurs cylindro-paraboliques qui permettent aujourd’hui aux exploitations laitières suissesde fonctionner avec de la chaleur solaire. (Voir: «Installation cylindro-parabolique sur...»). (Photo: NEP Solar AG)

Page 47: Bâtitech 10-2013

partie technique bâtitech 10-13 45

tèmes complexes et mis en œuvre en par-tenariat avec l’industrie pour des produitscommercialisables. D’autre part, à côtédes projets spécifiques au produit, l’uni-versité a maintenant également intégrédans la troisième année de Bachelor, uneétude sur les énergies renouvelables et lestechnologies environnementales. L’in-dustrie aura donc bientôt à disposition

des ingénieurs spécifiquement formésavec une connaissance approfondie dansces domaines d’expertise.

Nouveaux concepts hydrauliquesLe SPF teste les différents concepts hy-drauliques pour l’utilisation de l’énergie

solaire. Il s’agit notamment de l’implica-tion croissante des stations d’eau po-table, le réseau de pompes à chaleur avecdes réservoirs de stockage combinés, ain-si que l’utilisation de collecteurs hybri-des. Florian Ruesch a souligné que dansle concept de la charge de stockage et des

Le SPF peut vérifier la charge de neige effective avec forceverticale et horizontale. (Image: SPF)

Pressiondescendante Charge d’essai selon

la norme

Force normale: poids de la neige

Livrer des panneaux solaires avec des facteurs de concentrations plus puissantes, des tempéra-tures toujours plus hautes, c’est donc la base pour les procédés à chaleur industrielle.(Voir «Installations cylindro paraboliques ...»

Tem

péra

ture

du

capt

eur

Facteur de concentration

«Gros» capteur Fresnelcylindro-parabolique

«Petit» capteur Fresnel cylindro-parabolique, grandes surfaces vacuumet capteur tubulaire

Capteur vacuum tubulaire,collecteur plat en développement

Capteur plat usuel

Capteur non vitré

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Page 48: Bâtitech 10-2013

46 bâtitech 10-13 partie technique

stations d’eau potable, les surfacesd’échange de chaleur à dispositiondoivent être suffisamment dimension-nées. Plus grand est le modèle choisi,moins l’énergie supplémentaire sera né-cessaire. Lors de l’utilisation du stockagecombiné en liaison avec une pompe àchaleur et dans le stockage, les processusde mixage sont d’une grande importance.Michel Haller souligne que, lorsque lestockage se fait, le mélange doit être aussifaible que possible afin que la stratifica-tion des températures reste efficace. La

simulation du stockage de stratificationet des masses optimales a été définiegrâce au positionnement des mesurespour la température de l’eau chaude et ledébit pour les zones de chauffage des lo-caux. Les entrées et sorties du stockagesont interprétées comme étant une strati-fication optimale.

Accumulateur de chaleuravec de la soude caustiqueAlors que dans le domaine de la produc-tion de chaleur, et au cours des dernièresannées, de grands progrès ont été réali-

sés, par contre, les concepts pour sonstockage n’en sont encore qu’au début.Des réservoirs de stockage d’eau, qui tra-vaillent avec un médium idéal et dont lesdimensions toujours plus grandes per-mettent un stockage saisonnier pour lechauffage et l’eau chaude, sans oublierl’émergence du stockage de la glace; leSPF en étudie, également aujourd’hui, lesprincipes. L’Institut est impliqué dans leprojet de recherche 7e PC «Comte» del’UE, qui se concentre sur le dévelop-pement d’un stockage à absorption aveccomme médium de l’hydroxyde de so-dium (soude caustique). L’interaction de

l’absorption et de la résorption fournitun stockage presque sans perte et à longterme de la chaleur.En ce moment, il s’agit de concevoir unéchangeur de chaleur à faisceaux tubu-laires pour une solution diluée d’hydro-xyde de sodium. Il faut rechercher unélément compact de cet échangeur dechaleur ainsi que des valeurs de transfertet de masse optimales. En collaborationavec l’Empa de Dübendorf, qui travaillesur ce concept de stockage d’énergie ther-mique depuis plusieurs années, des expé-riences spécifiques sont désormais réali-sées.

Le stockage de chaleur thermochimique avec soude caus-tique est en cours de développement. Il s’agit de concevoirun échangeur de chaleur à faisceaux tubulaires.

(Image: FPS/M. Habert, J. Thome, EPFL)

Bases diluées

Vapeurd’eau

Bases concentrées

Rec

ircu

lation

Installation cylindro-parabolique sur une usine suissede transformation du lait

Certaines entreprises industrielles et commerciales ont des processus de fa-brication exigeant souvent de la chaleur de l’ordre de 80 à 250 °C; l’énergiesolaire a une chance de compléter les systèmes de production de chaleur in-dustrielle d’énergies existantes. Cela est possible, par exemple, avec la con-centration cylindro-parabolique; en général, la température réalisable dépenddu facteur de concentration. Trois installations de NEP Solar AG à Zurich enSuisse sont actuellement en exploitation. Le SPF a dirigé ces projets de dé-veloppement.Elimar Frank a pu commenter les premiers résultats de l’installation cylindro-parabolique dans l’usine de transformation laitière de Bever/GR (voir «bâtitech»n° 9-2012, pages 49 à 51). Sur place, l’efficacité du collecteur peut atteindre45 %.Et il ne faut pas oublier, également, les charges de la neige en Engadine.Fondamentalement et dans tous les cas, la question d’optimalisation de l’ali-mentation de la chaleur solaire dans le système de traitement ou dans uneunité de stockage de chaleur se pose.

www.nep-solar.com

De l’eau potable grâce à l’énergie solaire, c’est simple avec SoWaDis: les capteurs à tubes va-cuum, l’échangeur de chaleur et la vanne thermostatique. (Voir «De l’eau potable avec l’énergiesolaire»).

Eaucontaminée Echangeur de chaleur

Capteur tubulairevacuum

Vannethermostatique

Eaudésinfectée

Page 49: Bâtitech 10-2013

partie technique bâtitech 10-13 47

Projet de recherche internationalDepuis cet hiver et l’«Industrietag», lachaleur solaire est également un sujet enSuisse et le SPF a pu poursuivre sa coopé-ration scientifique internationale. Parexemple, quatre projets de l’UE sont encours, entre autres: «Mac Sheep», combi-naison de pompes thermiques et la cha-leur solaires, «Scoop», développementd’un collecteur en matière synthétique,sans oublier qu’au début de l’année 2013a débuté «Fresh NRG» la conception d’uncollecteur Fresnel pour la production de

chaleur industrielle à haute température.La SPF est également concernée par deuxprojets de l’Agence internationale del’énergie (AIE): Groupe SHC 49 sur lachaleur solaire pour les procédés indus-triels, et la TACK 44, la combinaison desystèmes de pompes thermiques et de lachaleur solaire.

Contact: Prof. Matthias RommelInstitut pour la technique solaire (SPF)Hochschule für Technik Rapperswil (HSR)www.solarenergy.ch

De l’eau potable avec l’énergiesolaire

En plus des divers projets de re-cherche internationaux, le pro-gramme «L’eau potable pour lespays en développement» a été pré-senté lors de la journée de l’indus-trie. Sachant qu’à 82 °C, et enquelques minutes d’exposition, ladésinfection de l’eau est possible,les capteurs à tubes sous vide sontéquipés d’un échangeur de chaleuret d’une commande à vanne ther-mostat. Ce genre de développementappelé SoWaDis offre un systèmesimple, déjà utilisé dans 30 en-droits en Tanzanie, au Mozambiqueet au Bangladesh. Il permet d’obte-nir de l’eau purifiée pour les hôpi-taux, les écoles et les communes.En Asie, le concept «kiosque» a étécréé, où les résidents peuvent sefournir en eau propre. Pour 2014,100 installations sont projetées.www.waterkiosk.org

A une températurede 82 °C, et enquelques minutesd’exposition, ladésinfection del’eau est possibleet peut ainsi amé-liorer les réseauxd’eau potable dansles zones rurales.(Voir «De l’eaupotable avec l’éner-gie solaire»).

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48 bâtitech 10-13 associations

Le Conseil fédéral va présenter sa stratégie énergétique ces pro-chains jours. En coulisses, les représentants des industries nu-cléaire, pétrolière et gazière tentent jusqu’à la dernière minutede freiner les énergies renouvelables et en particulier le solaire.Pro Solar a lancé une campagne publique afin d’attirer l’atten-tion sur le frein au développement du solaire qui nous menace,et a récolté en ligne un grand nombre de signatures qui serontofficiellement remises à la Chancellerie fédérale aujourd’hui.

Une campagne à deux piliersEn marge du Festival du film de Locarno, des affiches mon-traient Mme Leuthard qui défendait le solaire dans le costume dela princesse Leia de la saga Star Wars. Les partisans du tournant

énergétique ont éténombreux à suivre l’ap-pel de la princesse et àsoutenir sa mission dé-licate par des milliersde signatures.Une réduction des ta-rifs RPC d’encourage-ment de l’énergie so-laire proposée parl’Office fédéral del’énergie (OFEN) a elleaussi ravivé le débat sur

le frein au solaire. Elle risque de coûter cher aux citoyennes etcitoyens souhaitant contribuer au développement de l’énergiesolaire. L’appel lancé par Pro Solar et destiné à empêcherl’adoption de cette modification a suscité l’intervention d’unnouveau groupe de partisans. Un seul week-end a suffi pourrécolter plus de 1500 signatures supplémentaires: un signalsans équivoque qui témoigne du grand intérêt manifesté pourle tournant énergétique. Car jour après jour, le soleil dispensesur la Terre 5000 fois plus d’énergie que le monde entier n’enconsomme. C’est pourquoi l’énergie solaire doit contribuer, enSuisse, pour une part essentielle à l’approvisionnement énergé-tique. Elle nous ouvrira la voie vers un avenir émancipé, sansproduction nucléaire, sans émission de CO2 et indépendant desautres pays. A l’aide de campagnes publiques, Pro Solar conti-nuera donc à s’investir pour le développement de l’énergiesolaire en Suisse.

Des milliers de signaturespour Madame Leuthard

«Solar Wars»

Pro Solar a déposé 9634 signatures destinées à la conseillère fédérale Doris Leuthard, alias la prin-cesse Leia des films de science-fiction «Star Wars». Les signataires de la campagne intitulée «SolarWars» exigent un développement rapide de l’énergie solaire dans le cadre de la stratégie énergétique2050. Par cet appel lancé en faveur du solaire, ils apportent leur soutien à Madame Leuthard dans salutte pour l’avenir énergétique de la Suisse qui continue d’être digne d’une épopée cinématographique.

Contexte de la stratégie énergétique 2050En principe, la stratégie énergétique proposée par le Conseilfédéral repose sur une bonne approche. L’exploitation efficacedes énergies solaire et éolienne, disponibles gratuitement enSuisse, ainsi que de la biomasse et de l’hydroélectricité garantità notre pays un approvisionnement autonome: indépendantdes tourmentes géopolitiques, des ressources non renouvelableset d’une production nuisible au climat et à l’humanité.

Un retard inutileQue ce soit avec ou sans la mise en œuvre de la stratégie énergé-tique, l’avenir du paysage énergétique suisse impliquera sansaucun doute un gros investissement. S’agissant de l’approvi-sionnement énergétique, Pro Solar partage l’avis du Conseilfédéral: le solaire, soit le photovoltaïque, est en mesure de cou-vrir 20 % du besoin en énergie de la Suisse. Mais le délai envisa-gé pour atteindre cet objectif, soit l’an 2050 seulement, paraîtinconcevable. Ce retard inutile menace les emplois en Suisse etoblige notre pays à importer une quantité énorme d’électricitéissue de production fossile.

Des installations photovoltaïquesau lieu de centrales à gazSelon le Conseil fédéral, de nouvelles centrales à gaz qui nousrestent à construire devront remplacer les centrales nucléairesjusqu’à ce que le solaire soit suffisamment développé. Pro Solarne comprend pas cette manière de procéder. Notre pays s’expo-serait à une fluctuation considérable des tarifs, en plus d’uneaugmentation des rejets de gaz à effet de serre. D’importantessommes devraient être investies dans une infrastructure qui nesera exploitée que pour une brève durée, bien que le soleil soittoujours disponible sans frais et sans émission aucune.C’est pourquoi Pro Solar exige une part du solaire de 20 % jus-qu’en 2025, au lieu de nouvelles centrales à gaz totalementsuperflues. Swissolar a calculé que ce scénario est parfaitementréaliste. Comme la production d’énergie solaire a augmenté de85 % dès 2012 par rapport à l’année précédente, l’allure envisa-gée par le Conseil fédéral pour le développement du solairesemble bien trop lente.

www.pro-solar.ch

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associations bâtitech 6/7-12 49

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Page 52: Bâtitech 10-2013

50 bâtitech 10-13 associations

Des milliers de jeunes du canton de Berne et des régions avoisi-nantes ont visité la BAM 2013 et ont eu l’occasion de respirerl’air des chantiers. Les neuf associations et organisations de laCI Construction & Technique du bâtiment se sont présentéesensemble, sur et dans une maison en bois en construction. Ils yont fait ce que les gens du métier savent faire le mieux: faireavancer les travaux sur un chantier.Les jeunes gens et leurs parents ont pu observer les profes-sionnels dans leurs œuvres, et ont eu l’occasion, au pied levé,de prêter main-forte au maçon, plombier-zingueur, construc-teur de voies de circulation, charpentier, polybâtisseur, menui-sier, peintre, plâtrier, à l’architecte ainsi qu’à l’installateur sani-taire, de chauffage ou électricien, sur ce chantier temporaire.Partout sur le gros œuvre, les associations se sont présentéessous leur meilleur jour avec des détails sur leurs profils profes-sionnels respectifs.

Collaboration interassociative contre les soucisde recrutement de la relèveLa CI Construction & Technique du bâtiment se présente déjàpour la deuxième fois à la BAM. Par le biais de la présentationde leurs métiers, les associations veulent plus spécialement at-

Faire de la publicité ensembleen faveur de la relève

BAM 2013

Du 6 au 10 septembre dernier, des apprentis et des professionnels de neuf associations de laCI Construction & Technique du bâtiment ont fait ensemble de la publicité pour leur relève profession-nelle. En effet, ils ont réalisé différents travaux sur et dans une maison en bois à l’état de gros œuvre.Les jeunes intéressés y ont eu l’occasion de donner un coup de main.

tirer l’attention sur les métiers de la construction et de la tech-nique du bâtiment. A l’instar du quotidien professionnel, il afallu coordonner les travaux sur ce chantier commun, et surtoutles faire avancer ensemble au lieu de côte à côte.«Nous voulons renforcer ensemble l’image des métiers de laconstruction et de la technique du bâtiment. Ce n’est que sinous arrivons ensemble à accroître l’attractivité de nos métiers,au lieu de nous piquer les apprentis les uns aux autres, quenous arriverons à faire un pas vers l’avenir», déclare AlexandreLeu, président de la CI Construction & Technique du bâtiment.

Alexander LeuPrésident CI Construction & Technique du bâtimentTél. 031 850 15 [email protected]

La maison en bois à l’état de gros œuvre: chantier du salon de la CIConstruction & Technique du bâtiment.

A propos

Neuf associations et organisations de la branche de laconstruction et de la Technique du bâtiment appartien-nent à cette communauté d’intérêt:• Société suisse des ingénieurs et des architectes SIA,

du canton de Berne;• Enveloppe des édifices Suisse, section Berne

et environs;• Holzbau Schweiz, Association suisse des construc-

tions en bois, section Berne;• Société cantonale bernoise des entrepreneurs;• Société cantonale bernoise des installateurs-

électriciens KBVE;• Associations des maîtres menuisiers du canton

de Berne SKB;• Association bernoise des entrepreneurs plâtriers-

peintres;• Verkehrswegbauer – l’Association des constructeurs de

voies de circulation et suissetec – Association de latechnique du bâtiment – du canton de Berne.

Page 53: Bâtitech 10-2013

associations bâtitech 10-13 51

«La branche gazière devient toujours plus renouvelable», aconstaté avec satisfaction le président de l’ASIG Hajo Leuteneg-ger. En injectant du biogaz dans le réseau de gaz naturel dès1997, l’économie gazière suisse fait œuvre de pionnier àl’échelle européenne et maintient le cap avec persévérance. Etde préciser: «Le biogaz est trop précieux pour être simplementtransformé en électricité. Grâce à l’injection dans le réseau, lebiogaz peut être utilisé là où il sera exploité de façon optimale.»En mettant en place la rétribution du courant à prix coûtant(RPC), la politique énergétique de la Suisse fait fausse route.Aussi la branche a-t-elle institué voici deux ans un fonds de pro-motion du biogaz financé par ses membres, avec des effets ap-préciables: en 2012, la consommation de biogaz a déjà atteint86,5 GWh, en progression de 35 %.Initialement, le gaz renouvelable était surtout utilisé commecarburant; aujourd’hui, de plus en plus de clients demandentaussi du biogaz pour la production de chaleur.

Un réseau de transport pour les énergiesrenouvelablesAvec son réseau de 18 500 km de conduites, la branche disposeen outre d’une infrastructure qui peut jouer un rôle essentieldans la refonte prévue du système énergétique suisse. Le cou-rant issu de l’énergie solaire et éolienne n’est pas toujours dis-ponible, et il l’est souvent au mauvais moment et en quantiténon prévisible. Ce courant tiré d’énergies renouvelables peutêtre transformé en hydrogène ou, moyennant adjonction deCO2, en méthane (gaz naturel) et être injecté dans le réseau(power-to-gas).«Avec cette technique, le gaz naturel et son réseau se posent enpilier important de l’avenir énergétique de notre pays», a souli-gné Hajo Leutenegger. «Ils permettent ainsi de proposer uneénergie apte à répondre aux besoins en tout temps.» Le projetde Stratégie énergétique 2050 de la Confédération mis en con-sultation présente de graves vices de construction, poursuit-il,confiant néanmoins dans le fait qu’ils seront corrigés. Et de rap-peler qu’une conduite de gaz naturel à haute pression peuttransporter dix fois plus d’énergie qu’une ligne à haute tension,avec moins de pertes qui plus est, sans compter que, contrai-

Plus d’énergie renouvelabledans le réseau gazier

Daniel Bächtold, porte-parole de l’ASIG

Association Suisse de l’Industrie Gazière

L’économie gazière suisse mise de plus en plus sur le gaz renouvelable, en jouant la carte du biogaz,mais aussi du gaz tiré du bois et de l’hydrogène. Cette orientation et la possibilité de stocker le courantsolaire et éolien excédentaire soulignent l’importance de la branche gazière pour l’avenir énergétiquedu pays, comme l’a réaffirmé l’Association Suisse de l’Industrie Gazière (ASIG) à l’occasion de sonassemblée générale à Berne. Du fait de l’hiver froid, les ventes de gaz naturel et de biogaz se sont ins-crites à 37 815 GWh, en progression de près de 10 % par rapport à l’année précédente.

rement aux réseaux électriques, une conduite de gaz peut aussistocker de l’énergie.

Développement de la convention de brancheL’économie gazière suisse discute actuellement avec des repré-sentants de l’industrie et des autorités fédérales du dévelop-pement de la convention de branche entrée en vigueur le 1er oc-tobre 2012. La convention permet aux gros clients industriels dechoisir librement leur fournisseur. «Cette solution de droit privécontribue de manière décisive à la compétitivité de la placeindustrielle suisse», a déclaré Hajo Leutenegger. Le président del’ASIG estime toutefois que des facteurs techniques et adminis-tratifs font qu’une ouverture du marché par étapes sur le mo-dèle électrique est la seule voie praticable.

Election de deux nouveaux membres au conseild’administrationL’assemblée générale a nommé Hans-Peter Tanner (ErdgasInnerschwyz) et Peter Graf (Sankt Galler Stadtwerke) au conseild’administration.Ils prennent le relais de Urs Haaf (Flawil) et Ernst Haas(Frauenfeld).

www.asig.ch

Construction de pipeline.

Page 54: Bâtitech 10-2013

52 bâtitech 10-13 formation

Pratique d’installationLes questions suivantes font partie desobjectifs évaluateurs suivants du plan deformation de l’installateur électricienCFC:

Plan de formation L3/5.3.6:• Les personnes en formation établissent

au moyen d’instruments de mesure lesrésultats exacts des valeurs électriqueset elles interprètent les résultats desmesures.

Exercice 114La précision d’appareils de mesure analo-gique est donnée en % de la valeur finalede la plage de mesures.Comment est indiquée la précision d’ap-pareils de mesure digitaux?

Exercice 115Pour les appareils de mesure digitaux, onmentionne également la «position» duchiffre. Reportez la valeur «230 V» dansl’image des deux types d’affichage (voirillustration 115).

Exercice 116Le multimètre digital porte la désigna-tion «True RMS». Quelle est sa significa-tion et quels sont les avantages de l’appa-reil de mesure?

Brain Food

Rico De Boni, Marcel Schöb

Exercices 114 à 124

Lors du contrôle final de fonction et également lors de la recherchede pannes, les mesures avec des appareils de mesure électriquereprésentent une tâche importante. Le fait de mesurer ne suffit pasà lui seul, l’interprétation des valeurs mesurées doit être faitesoigneusement. Quand on maîtrise bien son appareil de mesure,c’est facile.

Exercice 117Il faut effectuer diverses mesures dansune armoire de distribution principale.Quelles mesures de sécurité faut-il immé-diatement mettre en place?

Exercice 118Les multimètres digitaux MMD ont desavantages et des inconvénients par rap-port aux appareils analogiques. Quelssont-ils?

Exercice 119Comment branche-t-on un ampèremètredans un circuit électrique?

Exercice 120Quels sont les dangers pouvant apparaî-tre lors de la mesure directe du courantavec un multimètre?

Exercice 121a) Quelles sont les mesures assurant la

sécurité exigée lors des contrôles d’ac-compagnement du chantier (premièrevérification)?

b) Avec quels appareils de mesure cescontrôles sont-ils à effectuer?

Exercice 122Sur le contrôleur de tension (Duspol) ilest possible de raccorder une charge parl’intermédiaire de 2 boutons poussoirs.Quel est le but? (voir illustration 122)

Exercice 123a) Avec quels appareils de mesure peut-

on détecter un champ tournant?b) Comment le champ tournant doit-il

se présenter dans les prises de cou-rant?

c) Reportez les différents agencementspossibles des conducteurs polairesdans l’illustration 123.

Exercice 124Un client aimerait savoir si le petit mo-teur triphasé en stock est fonctionnel dupoint de vue électrique et s’il est sûr?Quelles sont les mesures à effectuer pourvérifier cela?

Solutions voir page 63 ■

Illustration 123

Illustration 122

Illustration 115

ELECTROTECHNIQUE

Page 55: Bâtitech 10-2013

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Page 56: Bâtitech 10-2013

54 bâtitech 10-13 formation

Raccordement desdispositifs de protection

contre la foudreJ’ai posé une électrode de terre de fondationavec de l’acier 75 mm2 dans une nouvelleconstruction. Il faut prévoir un raccordementdes dispositifs de protection contre la foudreaux quatre coins de la maison. J’avais l’in-tention de remonter le conducteur dans lesmurs en béton de la cave et ensuite, d’ins-taller le point de raccordement.Dans notre entreprise, les opinions divergentquant à la manière de raccorder un tel con-

1

Know-how NIBT 8

David Keller, Pius Nauer

Questions et réponses sur la NIBT

L’évolution de la technique a pour effet l’obligation d’adaptercontinuellement les normes et directives. La norme d’installationNIBT est renouvelée au rythme de 5 ans, ce qui nous a sembléêtre rapide, eu égard au passé. Pourtant, en observant certainsdomaines de plus près, l’évolution des normes devrait se faire plusrapidement. Un coup d’œil sur la photovoltaïque suffit pour s’enconvaincre. De nombreuses questions sont posées, de nombreuxexperts se prononcent – mais pas toujours de la même façon!Parfois on se perd à rechercher d’anciennes formulations que l’onretrouve difficilement, voire pas du tout. Dans ce numéro de «bâti-tech», vous retrouverez une sélection de questions en provenancedes gens du terrain.

ducteur. Certains d’entre nous pensent qu’ilfaut passer à même le sol et mener la con-duite à travers la terre jusqu’au point de rac-cordement du dispositif de protection contrela foudre. Existe-t-il un énoncé clair dans lesnormes? (R. H., par e-mail)

Les normes autorisent fondamentale-ment les deux méthodes. Il est donc pos-sible d’effectuer une remontée dans lesmurs, jusqu’au raccordement, ou par ail-leurs, de disposer le conducteur de rac-cordement à l’extérieur et de remonterjusqu’au dispositif de protection à traversle sol. Si l’on opte pour la seconde solu-

tion, c’est-à-dire le passage à travers laterre, il faut tenir compte tout spécia-lement des dispositions de protectioncontre la corrosion. Dans le segment me-nant de l’électrode de fondation à laterre, il est obligatoire d’utiliser du maté-riel résistant à la corrosion. Il est avanta-geux d’utiliser un conducteur en cuivre.Dans les principes selon ASE 4113 «Elec-trodes de terre de fondation», cela est dé-crit au chapitre 5. Dans la pratique, onrencontre souvent un conducteur de cui-vre nu de diamètre 8 mm. Mais atten-tion, si on lit les principes attentivement,on s’aperçoit que le fil de cuivre ne rem-plit les conditions de protection contre lacorrosion que s’il est entouré d’un enro-bage de PVC. Le point critique en termede risque de corrosion est l’endroit où leconducteur débouche de la fondationpour se trouver dans la terre. Les recom-mandations requièrent la pose d’une iso-lation pénétrant jusqu’à 5 cm dans lebéton. A titre de protection simple et effi-cace, on peut envisager de placer unegaine thermorétractable sur le fil de cui-vre, au point de passage dans la terre. Lesconducteurs en cuivre tressés et isolés neconviennent pas pour ce type d’utilisa-tion. Il y a un risque d’infiltration d’eau àtravers les torons, et donc de corrosionau niveau des points de raccordement.

(pn)

Interrupteur de révision= interrupteur de sécurité

Dans le cadre de la réalisation d’une grandeinstallation de climatisation et de ventila-tion, nous sommes en désaccord avec le pla-nificateur sur la pertinence et l’emplacementd’interrupteurs. Dans la NIBT, on apprendque partout où les travaux de maintenanceprésentent un risque d’accident, il fautmonter un interrupteur de sécurité. Pournous, cela signifie que tous les composants del’installation nécessitent un interrupteur, parexemple les pompes. Qu’en est-il exactement?

(P. D., par e-mail)

Ce sujet ne cesse de soulever des ques-tions. La NIBT n’est pas le seul ouvragede norme qui s’exprime à ce sujet. Très

2

ELECTROTECHNIQUE

Illustration 2: Désignation d’équipements de commutation pour les machines.

Interrupteurgénéral

Interrupteurd’arrêt

d’urgence

Nouveau(à nouveau):interrupteurde sécurité(de révision)

Page 57: Bâtitech 10-2013

formation bâtitech 10-13 55

souvent, la question relative aux inter-rupteurs de sécurité concerne des sous-ensembles de machines. Les installationstechniques du bâtiment, telles que lesmachines à froid et les installations deventilations sont d’ailleurs à ranger danscette catégorie. Pour l’équipement élec-trique de machines, il existe une normeCENELEC, en l’occurrence EN 60204-1:2006. D’après le droit suisse, il fautpréférer les normes internationales auxnormes suisses. De plus, puisqu’il s’agitde la sécurité au travail, la Suva a aussison mot à dire sur les prescriptions cor-respondantes, en tant qu’organe exécutifde la fédération.Elle le fait de façon explicite avec le do-cument d’information CE93-9.f (dispo-nible en tant que fichier pdf à téléchargersous suva.ch). Ce document est modifiéde temps en temps, la dernière versiondate du mois de mai 2012. Au titre «In-terrupteur de sécurité» a été rajoutée enparenthèse la mention «Interrupteur derévision». D’ailleurs, pour l’anecdote,dans la version allemande du document,on a inversé la présentation et mis enavant le terme de «Revisionsschalter» trèsusité dans la pratique ainsi que pouréviter toute confusion avec d’autres typesd’interrupteurs. L’interrupteur de sécuritéest un équipement de protection contreles démarrages intempestifs, il protègedonc en priorité contre les risques méca-niques. Il n’est pas indiqué qu’il doitcouper l’équipement électrique de l’ali-mentation au réseau dans chaque cas. Ilne s’agit pas, dans ce cas, d’un interrup-teur général! Sa raison d’être est d’éviterles accidents dans des cas particuliers telsque le dépannage, le nettoyage ou lamaintenance de l’installation.Pour pouvoir répondre à la question surla nécessité d’un interrupteur dans un casisolé, il faut clarifier si ces travaux présen-tent un risque de blessure ou non. Lespetites pompes compactes ne sont pasdémontées sur place. Elles sont déposéesen tant que tout et réparées dans l’atelier.C’est la raison pour laquelle, dans ce cas,il ne faut pas obligatoirement un inter-rupteur de révision au sens propre dumot. Si le raccordement de la pompe estfixe et qu’il y a lieu de la couper du ré-seau électrique pour la maintenance, letravail doit être réalisé par une personnequalifiée en électricité. Pour les pompesplus importantes, nécessitant une main-tenance ou une réparation sur place, il y

a obligation d’installer un interrupteur desécurité (voir illustration 2). (dk)

Protection d’installationsphotovoltaïques contre les

surtensionsEn tant qu’organe indépendant de contrôle,j’ai été amené à voir des installations photo-voltaïques sur des maisons individuelles.Dans l’une de ces installations, on a montédes dispositifs de protection contre les surten-sions, aussi bien côté tension continue, quecôté tension alternative. Dans une autre ins-tallation, je n’ai trouvé aucun élément deprotection de la sorte. J’ai eu des doutesquant à l’acceptabilité de cette situation,parce que j’ai vu des schémas de la NIBTE+C comportant des équipements de protec-tion contre les surtensions. La norme a-t-elleune énonciation claire à ce sujet?

(W. E., par e-mail)

La NIBT ne prescrit pas le montaged’équipements de protection contre lessurtensions dans les installations photo-voltaïques. Dans NIBT 7.12.4.4.3 E+C, ilne s’agit que d’une recommandationconcernant les dispositifs de protectioncontre les surtensions. La décision d’in-vestir ou non dans la protection de l’ins-tallation, ou de la maison, revient aupropriétaire. De nombreux fabricantsd’onduleurs ont déjà intégré la protec-tion contre les surtensions dans leursappareils. Une fois de plus, cela vaut lapeine d’étudier les documents du fabri-cant. (pn)

Transformateurs pourcircuits TBTS ou TBTP

Dans le cadre d’un contrôle final, nous avonsexaminé de manière critique les transforma-teurs pour l’éclairage basse tension. Nous nesommes pas convaincus que les appareils uti-lisés sont homologués et qu’ils répondent àtoutes les exigences propres aux circuitsSELV. En quoi les transformateurs seraient-ils différents s’ils étaient utilisés pour de laTBTP? (M. P., par e-mail)

C’est précisément en tant que conseilleren sécurité que l’on est mis à l’épreuvelors du contrôle du marquage des équi-pements. Que signifient les signes appo-sés? Les appareils répondent-ils aux exi-gences? Pour la TBTS ainsi que pour laTBTP, d’après NIBT 4.1.4.3, il est néces-

3

4

saire d’utiliser un transformateur de sécu-rité. Le contenu requis de la plaque si-gnalétique est visible sur l’illustration 4.Bien sûr, il est possible d’utiliser une au-tre source de courant que le transforma-teur. D’après NIBT on dispose des possi-bilités suivantes:• un moteur-générateur avec enroule-

ments présentant une séparation équi-valente

• un générateur entraîné par une ma-chine à combustion

• une pile• certains dispositifs électroniques con-

çus spécifiquement pour être con-formes aux normes en vigueur et pourlesquels des mesures ont été prisespour assurer que même en cas de dé-faut interne, la tension aux bornes desortie ne dépasse pas 50 V AC.

Pour la TBTP, les exigences relatives à lasource de courant sont les mêmes. La dif-férence par rapport aux circuits TBTS rési-de dans le fait que pour la TBTP, les par-ties actives d’autres circuits peuvent êtremis à la terre, tandis que pour la TBTScelles-ci restent isolées. Ceci est exigédans les circuits électriques de com-mande de machines (voir aussi réponse2), afin qu’un démarrage intempestif soitexclu. Du point de vue électrique, laTBTS est la version la plus sûre. (dk)

ELECTROTECHNIQUE

Illustration 4: Marquage de transformateurs de sécurité.

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56 bâtitech 10-13 carnet

Chaque jour, les professionnels de labranche sanitaire ont besoin de nom-breuses informations sur les produits etles points de vente. Quoi de plus prati-que qu’une application regroupant toutesces informations? C’est exactement laquestion que s’est posée Gétaz-Miautonqui vient de créer l’application «GétazPro». Une véritable référence sanitairequi permet à l’utilisateur d’accéder à des

Une référence sanitaire pratique L’application «Gétaz Pro»

Les smartphones et les tablettes sont désormais indissociables des acti-vités professionnelles quotidiennes. Dans cette optique, Gétaz-Miautona mis au point l’application sanitaire «Gétaz Pro» qui permet, aux profes-sionnels de la branche sanitaire, d’accéder à tout moment aux informa-tions sur les produits et les points de vente, où qu’ils soient.

informations détaillées, rapidement et oùqu’il soit. L’application offre les fonctionssuivantes:

1. Catalogue sanitaire completet interactif

Le catalogue sanitaire contient l’ensem-ble des informations produits. La naviga-tion aisée et la fonction de recherche per-mettent de travailler efficacement. Une

fois le catalogue sanitaire téléchargé, il estégalement possible de le consulter sansconnexion Internet.

2. Fiches techniquesL’application contient les fiches tech-niques de plus de 3700 articles. La re-cherche par mots-clés ou par produits,fournisseurs ou noms de série, mènedirectement aux informations désirées.Une fois les fiches techniques téléchar-gées, il est également possible de lesconsulter sans connexion Internet.

3. Expositions et points de venteL’application permet également de trou-ver les coordonnées, plan d’accès et ho-raires d’ouverture des expositions etpoints de vente de Gétaz-Miauton. En au-torisant l’application à accéder à ses don-nées de localisation, l’utilisateur peut ob-tenir l’adresse des sites les plus prochesde l’endroit où il se trouve et les affichersur la carte.

Informations techniques et informa-tions sur le téléchargementL’application «Gétaz Pro» est disponiblepour les systèmes d’exploitation iOSd’Apple et Android de Google.

www.getaz-miauton.ch

A propos

Gétaz-Miauton est une entreprisesuisse spécialisée dans la distribu-tion de produits de constructionpour le gros-œuvre et l’aménage-ment intérieur. En Suisse romande,Gétaz-Miauton est représenté dans33 lieux d’exposition et/ou centresartisanaux. Les expositions adap-tées aux dernières tendances reflè-tent un choix complet de produitsde haute qualité pour la salle debains, les sols en céramique ouparquet, le jardin, le bois ou la cui-sine.

Une références sanitaire pratique:l’application «Gétaz Pro».

Page 59: Bâtitech 10-2013

carnet bâtitech 10-13 57

TROX HESCO Schweiz AG

Ouverture dumusée

TROX HESCO Schweiz AG met enavant son histoire vieille de 150ans à travers différents témoignagesdu passé: livres, documents et produits.Avec l’ouverture de son musée, TROX HESCO honore son passé glo-rieux et permet à ses visiteurs d’avoir un aperçu de l’évolution de lasociété: du petit atelier à l’entreprise industrielle présente à l’interna-tional en passant par l’exploitation familiale régionale.Le premier livre des débiteurs de l’année 1864 est à découvrir, toutcomme les fers à repasser de l’époque 1870 ou «HESPI», la premièrefixation de ski très connue dans les années 1930. Des histoires inté-ressantes permettent aussi d’apprendre ce qui se passait dans l’entre-prise dans les détails, comme l’introduction des congés payés accor-dés aux employés en 1920 ou l’inventaire des outils, tâche quechaque collaborateur prenait rigoureusement en charge.

TROX HESCO Schweiz AGCH-8630 Rüti ZHTél. +41 (0)55 250 71 11www.troxhesco.ch

Le premier livre des débiteursde l’année 1864.

Wolhuserstrasse 31 / 33, 6017 RUSWILTel.: 041 496 91 20 - Fax 041 496 91 21

Chemin du Canal 5, 1260 NYONTél.: 022 363 91 85 - Fax 022 363 91 87

[email protected] - www.ygnis.ch

PYRONOX LRPK

Chaudière à condensation pourfi oul et gaz à 70-550 kW

Equipement

� Technologie spécifi que Bas-Nox à deux parcours� Condensation avec condenseur Inox intégré� Système Bypass breveté entre chaudière et condenseur� Condenseur complètement démontable� Habillage en tôle d�acier, gris / bleu laquée au four livré séparément

Option

� Version sectionnée

«HESPI», la première fixationde ski.

Page 60: Bâtitech 10-2013

58 bâtitech 10-13 carnet

L’application EasyControl assure la com-mande et le contrôle confortables aumoyen d’un iPhone®, iPad™ ou iPodtouch®. Il suffit de disposer, en plus del’application, de la passerelle Logamaticweb KM200 de Buderus et d’un généra-teur de chaleur économique Buderusavec régulation EMS. Les utilisateurs peu-vent télécharger le programme Easy-Control dans l’App Store d’Apple. Le logi-ciel est facile à utiliser et offre une sériede fonctions pratiques comme la com-mutation entre les modes automatiqueet manuel jour/nuit. Si les besoins dechauffage changent, l’horloge peut êtrereprogrammée avec EasyControl – quevous soyez en déplacement ou conforta-blement assis dans votre salon, sans de-voir régler les heures directement surl’installation de chauffage. Et si vous ren-trez de vacances plus tôt que prévu, vouspouvez modifier le réglage de votre ins-tallation à distance et passer du modeabaissement à la régulation normale. Surles systèmes de chauffage avec compo-sants solaires, l’application permet devisualiser l’apport solaire sur un dia-gramme. La passerelle Logamatic webKM200 de Buderus garantit la compatibi-lité Internet des générateurs de chaleur à

Les propriétaires peuvent avoir accès à leurinstallation de chauffage de partout, via Internet

L’application Buderus EasyControl

Internet et les smartphones sontaujourd’hui des éléments incon-tournables dans notre vie quoti-dienne. Buderus a lancé sur le mar-ché un système qui permet auxpropriétaires de pouvoir accéderà leur installation de chauffagevia Internet, quel que soit l’endroitoù ils se trouvent.

régulation EMS avec le module de com-mande RC35 de même que celle desgénérateurs de chaleur classiques avec lemodule de commande RC30 disponiblesur le marché depuis 2003. Cette passe-relle est conçue pour pouvoir s’adapter àl’extension ultérieure des systèmes dechauffage actuels. La Logamatic webKM200 représente le trait d’union entrele générateur de chaleur et la connexionInternet à l’intérieur du bâtiment. Lesconnexions iPhone®, iPad™ ou iPodtouch® s’effectuent en dehors du réseaulocal, automatiquement via le serveurBosch très fiable qui affecte l’appareil fi-nal à la passerelle correspondante. Enfin,en raison des très nombreuses possibi-

lités qu’offre Internet, une protectionsûre des données est indispensable. Bu-derus a donc mis au point un concept desécurité qui permet de verrouiller effica-cement l’accès de l’installation de chauf-fage à toute personne non autorisée.Vous trouverez des informations complé-mentaires auprès de votre conseillerBuderus ou venez nous rendre visite surnotre stand E09, halle 3.2, lors du salonMaisonBoisEnergie.

Buderus Technique de chauffage SACH-1023 CrissierTél. 021 631 42 00www.buderus.ch

Avec l’application EasyControl, les propriétaires peuvent facilement modifier les réglagesou sélectionner les paramètres de leur installation de chauffage via iPhone®, iPadTM ou iPodtouch®. (Source: Buderus)

L’application EasyControlpeut même afficher lerendement actuel del’installation solaire surl’iPhone®.(Source: Buderus)

Les contacts pour vos annonces:Rolf NiederbergerTél. 058 200 56 18 (CVS)

André FluriTél. 058 200 56 27 (E)

Page 61: Bâtitech 10-2013

carnet bâtitech 10-13 59

Un chauff age au mazout moderne économise beaucoup d’énergie

La technique de chauff age au mazout à condensation, une nouvelle génération de chauff age

Maison non isolée / Nouvelle chaudière à condensation

Consommation annuelle: 15 l/m2

Maison non isolée Chaudière ancienne

Consommation annuelle: 22 l/m2

Maison isolée / Nouvelle chaudière à condensation

Consommation annuelle: 7 l/m2

Maison isolée / Nouvelle chaudière à condensation, installation solaire

Consommation annuelle: 5 l/m2

Il n’est pas obligatoire de changer d’agent énergétique pour préserver l’environnement. En eff et, une bonne isolation de l’immeuble et un chauff age au mazout appliquant la technique à condensation, combiné à une installation solaire thermique, constituent une solution optimale (en se référant aux besoins de chauff age annuels d’une maison typique).

Phot

o: U

P

Son effi cacité est exceptionnelle, elle consomme peu et respecte l’environ-nement. Indubitablement, la tech-nique de chauff age à condensation incarne la nouvelle génération de chauff age des bâtiments. Comparati-vement à la technique de chauff age à basse température, elle présente des valeurs nettement meilleures dans le refroidissement des gaz de com-bustion. En eff et, elle réutilise la cha-leur de la condensation de l’eau rési-duelle qui s’y trouve. Il en résulte un gain additionnel d’énergie de 10%, la condensation directe générant 6% et la réduction supplémentaire de la température des gaz de combustion 4%. De la sorte, celui qui utilise cette nouvelle génération de chauff age à condensation économise de l’argent, du combustible fossile et préserve l’environnement.

Voilà pourquoi la plupart des can-tons ont édicté des prescriptions

n’autorisant plus que les chauff ages appliquant la technique à condensa-tion dans les nouveaux bâtiments ou lors d’assainissement de chauff age. La durée de vie d’un chauff age au mazout varie de 15 à 20 ans, suivant l’intensité de son utilisation. Etant donné que les anciens chauff ages au mazout sont particulièrement robustes et fi ables, il existe en Suisse des appareils encore en fonction qui sont beaucoup plus vieux que 20 ans. L’assainissement d’une ins-tallation de ce genre – ce qui est appro-

prié sur les plans économique et envi-ronnemental – entraîne une économie d’énergie jusqu’à 35%.

Les économies s’avèrent encore plus importantes si l’on investit dans l’amélioration énergétique des bâtiments. Ainsi, par exemple, la pose de nou-velles fenêtres permet d’économiser jusqu’à 20% d’énergie. De même, une isolation des façades ou encore des galetas et du toit peuvent entraîner chacun une réduction supplémentaire de 10 à 25% de consommation éner-gétique, suivant le type et le caractère du bâtiment. Le plus souvent, pour réaliser des économies, il convient de remplacer le chauff age au mazout existant par une chaudière moderne à condensation fonctionnant égale-ment au mazout, plutôt que d’assainir l’enveloppe du bâtiment et de passer à un autre mode de chauff age plus coûteux. Le chauff age à condensation au mazout s’avère en eff et nettement meilleur marché qu’une pompe à cha-leur avec sonde géothermique. Les économies réalisées de la sorte per-mettront, par exemple, de rénover les fenêtres. Ces mesures peuvent entraî-ner des diminutions signifi catives de la consommation de mazout par mètre carré de surface chauff ée. Exprimé en chiff res, après rénovation, cela peut se réduire à environ 7 litres par mètre carré et par année au lieu de 22 litres. Si l’on combine toutes les mesures d’as- www.mazout.ch

Pour des conseils gratuits, contactez notre bureau régional.

Jean-Pierre CastellaCentre Information Mazout

Suisse romande

Téléphone 0800 84 80 84

[email protected]

sainissement avec un appoint solaire thermique, on arrive à une consomma-tion annuelle de 5 litres par mètre carré seulement.

Un chauff age au mazout modernefonctionne d’une manière écono-mique, respectueuse de l’environ-nement et fi able. Il s’adapte à toutes les sortes de bâti-ments et peut être combiné sans dif-ficulté avec des systèmes d’énergies renouvelables tels que les capteurs so-laires. Par ailleurs, le mazout garantit un approvisionnement en énergie bien plus sûr que les autres agents énergétiques, ne serait-ce que grâce à la réserve qui est stockée dans la citerne du bâtiment.

Annonce

Page 62: Bâtitech 10-2013

60 bâtitech 10-13 carnet

L’année passée, le Geberit Challenge s’estdéroulé dans huit pays européens. En-couragés par des centaines de fans,Achim Giannachi et Mario Heeb de l’en-treprise Kubik Spenglerei und Sanitär AGà Buchs SG se sont imposés à Zurich, ennovembre de l’année passée, contre les47 autres équipes. Au mois d’avril, ils pu-rent bénéficier de ce premier prix bienmérité en compagnie des sept autreséquipes lauréates: le voyage de luxe lesconduisit avec leurs accompagnants dansles Emirats arabes à Dubaï.

Programme captivantTout comme l’année précédente, Geberitoffrit aux voyageurs un programme variédans la ville désertique des superlatifs;aventures, distractions, détente ainsi queles entretiens professionnels entre collè-gues n’ont pas été délaissés. Le pro-gramme débuta avec une visite de la villeet du plus haut bâtiment du monde, leBurj Khalifa. Le jour suivant, ils firenttourbillonner les sables: ainsi les partici-

Les lauréats du Geberit Challenge Le voyage des lauréats du Geberit Challenge 2012 à Dubai

Les lauréats de l’année passée du Geberit Challenge Suisse, Achim Gian-nachi et Mario Heeb, passèrent en avril dernier des vacances riches enaventures à Dubaï. En compagnie des sept autres équipes lauréates et deleurs accompagnants, ils bénéficièrent d’un mix d’actions, d’événementshors du commun et d’un doux farniente.

pants se lancèrent sur les dunes de sableà bord de véhicules tout terrain et s’es-sayèrent à monter à dos de chameau,avant de savourer un succulent repas du

soir dans le désert. En faisait partie: unedémonstration de la danse du ventre. Lavisite d’Abu Dhabi fut également impres-sionnante, où ils s’émerveillèrent devantle Ferrari World doté du grand huit leplus rapide du monde ainsi que devant leYas Waterpark nouvellement inauguré audébut de l’année. Pour terminer, ils béné-ficièrent d’un vaste «Dinner Cruise». «Cefut un programme digne d’un conte des

Les lauréats du Geberit Challenge 2012 en provenance de huit pays européens – ici au cours du Dinner Cruise sur le catamaran Geberitaux portes de Dubaï.

Les heureux lauréats de l’édition suisse duGeberit Challenge 2012 dans le désert ara-bique: l’équipe Kubi-Fit constituée de MarioHeeb et Achim Giannachi (de gauche à droite).

Le Geberit Challenge primé. Le Geberit Chal-lenge a obtenu la distinction XAVER Award2013 dans la catégorie «Meilleur projet événe-mentiel».

Page 63: Bâtitech 10-2013

Fonctions étenduesEn plus des fonctions standards déjà exis-tantes dans la version précédente, le nou-vel E-shop de Walter Meier proposemaintenant de nombreuses nouvellesfonctionnalités qui facilitent grandementle processus de commande au quotidienpour les clients enregistrés.Pour une commande effectuée avant 18 hau plus tard par exemple, le service24 heures sur 24 de Walter Meier permetune livraison le lendemain matin. Uncatalogue interactif complet avec des in-formations détaillées sur les produits etdes aides à la recherche rapide est mis àdisposition pour faciliter la recherche deproduits. Bien entendu, toutes les don-nées concernant la disponibilité actuelledes produits sont également indiquées.Il va de soi que l’E-shop de Walter Meier

L’E-shop de Walter MeierEntièrement neuf et mobile

L’E-shop entièrement remanié de Walter Meier offre à sa clientèle despossibilités innovantes en termes de facilitation du choix des produits etdu processus de commande. Il existe maintenant aussi une App E-shopde Walter Meier pour iPhone et Android, permettant son utilisation par-tout et à tout moment.

affiche les conditions exactes et les prixnets des produits. Ces informations tari-faires sont complétées par tous les rabaiset rabais d’objet disponibles. L’E-shopindique aussi toutes les anciennes com-mandes du client avec les documents yafférents.

Utilisation mobileAfin d’offrir une plus grande autonomiegéographique et temporelle aux clientsdu nouvel E-shop, Walter Meier a égale-ment lancé une App gratuite disponiblesur l’iTunes AppStore et sur Google Playpour iPhone et Android. Les utilisateursde tablettes ne sont pas en reste et peu-vent utiliser tous les navigateurs Internethabituels pour accéder au magasin enligne avec un affichage optimal et toutesles fonctions disponibles.

En plus des fonctionnalités de l’E-shopsur PC, l’App se distingue par des com-pléments agréables spécifiques à l’appa-reil: on peut par exemple scanner descodes-barres avec l’appareil photo inté-gré. De plus, sur simple clic, l’App donnedes informations sur la distance jusqu’auprochain Profi-Shop de Walter Meier etsur la disponibilité des produits.

Walter Meier (Climat Suisse) SACH-8603 SchwerzenbachTél. 044 806 41 41www.waltermeier.com

carnet bâtitech 10-13 61

mille et une nuits», déclara Mario Heebde l’entreprise Kubik Spenglerei und Sa-nitär AG à Buchs. «L’aventure du GeberitChallenge se termine pour nous commeelle a commencé, à savoir de manièreextrêmement impressionnante.»Comme ceux de l’année précédente, leslauréats du Geberit Challenge de cetteannée confirment également que cevoyage offrait beaucoup plus que «seu-lement» une semaine de luxe et d’action:ils éprouvèrent l’échange avec les collè-gues internationaux comme étant l’undes événements phares, car l’occasion des’entretenir avec des professionnels du sa-nitaire en provenance d’autres payseuropéens ne constitue pas une chancebanale pour les installateurs.

Prochain Geberit Challengeen automne 2013Afin qu’au printemps prochain, uneéquipe lauréate en provenance de Suissepuisse à nouveau, dans une ambianceextraordinaire et en compagnie des per-sonnes de son choix, s’offrir une semaine

d’aventures et de luxe à Dubaï, Geberitorganise un Challenge pour la troisièmeannée consécutive. Le vendredi 20 sep-tembre 2013, l’arène de la manifestationsera le hangar 9 du centre Air Force à Dü-bendorf. Dans l’ensemble, 48 équipes dedeux en provenance de toute la Suisseprouveront à nouveau leur savoir-faire.

Elles solutionneront ainsi des missionsexigeant des connaissances profession-nelles, de la rapidité, de la précision et untravail d’équipe. Les équipes intéresséespeuvent dès lors s’inscrire en ligne ou àl’aide du talon d’inscription.

www.geberit.ch

Une App E-shop pour iPhone et Android.

Ambiance internationale – Geberit envoya les 16 lauréats du Geberit Challenge 2012 avec leurs accompa-gnants à Dubaï. Le Challenge se déroula dans huit pays et une équipe lauréate par pays fut élue.

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62 bâtitech 10-13 carnet

21 au 24 novembre 2013BERNEXPO, Berne

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Les prix de l’électricité consti-tuent un facteur de coût élevépour les gros consommateurs.Alpiq propose des solutionsd’approvisionnement sur me-sure avec des conditionstransparentes et offre uneflexibilité élevée en adaptantles modèles de prévision auxbesoins réels du client. Le

contrat d’approvisionnement entre AlpiqSA et Swiss Steel SA repose sur ce principe.Il entrera en vigueur le 1er janvier 2014 et

Swiss Steel se fournit en électricité auprès d’AlpiqDe l’approvisionnement de base au marché libre de l’électricité

Dès le 1er janvier 2014, le producteur d’acier Swiss Steel se fournira enélectricité auprès d’Alpiq. Les deux entreprises ont signé un contratd’approvisionnement en électricité qui s’étendra sur plusieurs années.En passant de l’approvisionnement de base au marché libre de l’électri-cité, le fabricant d’acier peut bénéficier de la flexibilité et des conditionsattractives proposées par Alpiq.

s’étendra sur plusieurs années. Grâce àson expérience sur les marchés libéralisésde l’énergie en Europe, Alpiq offre depuis2009 à l’industrie suisse des contratsd’approvisionnement aux conditions demarché, flexibles et élaborés sur mesure.Alpiq contribue ainsi à renforcer ce sec-teur d’activité en Suisse.Swiss Steel SA, située à Emmenbrücke,dans le canton de Lucerne, est une so-ciété du groupe Schmolz + BickenbachSA, et compte parmi les plus gros con-sommateurs industriels d’électricité en

Suisse avec une consommation électriquede 400 GWh par année. L’entreprise est lecentre de compétences pour la fabrica-tion d’aciers de haute qualité, destinés àl’industrie automobile, aux machines etaux équipements industriels. Avec ce con-trat, elle opte pour le marché libre del’électricité et peut ainsi bénéficier deconditions attractives.Le passage de l’approvisionnement debase vers le marché libre de l’électricitéest en forte hausse en Suisse, poussé parles prix bas sur les bourses européennesde l’électricité. Ce transfert vers le marchélibre est possible pour toutes les entre-prises dont la consommation en électri-cité est supérieure à 100 MWh (100 000kWh) par an.

www.alpiq.com

Christian Plüss

Page 65: Bâtitech 10-2013

carnet bâtitech 10-13 63

Solution 114L’écart maximal à l’exactitude est donnéen pourcentage, par ex. 1%. Ensuite onindique la résolution, valeur d’incertitudedu dernier chiffre de l’afficheur, par ex. 2digits (chiffres). Ces deux valeurs for-ment la précision.

Solution 115Voir illustration 115.

Solution 116TRMS: True Root Mean Square. L’appareilde mesure est capable d’indiquer la va-leur effective de courants et tensions nonsinusoïdaux. Les appareils basiques neprennent en compte que les valeurssinusoïdales.

Solution 117En raison du danger de courants decourt-circuit importants il faut prendreles mesures de sécurité suivantes:• Appareils de mesure Cat. III 1000 V ou

Cat. IV 600 V• Equipement de protection personnel

avec gants, veste ou manteau d’inter-vention et protection du visage

• Il faut éventuellement la présenced’une seconde personne

• Ne pas tenir l’appareil de mesure enmain pendant la prise de mesure

Solution 118Avantages des MMD:Investissement peu onéreux, bonne lisi-bilité des valeurs, bonne résolution etbonne précision, mémorisation, possibi-lité de transmission des valeurs.Inconvénients des MMD:Batterie, mauvaise lisibilité de valeurs va-riant très fortement, sensibles aux pertur-bations.

Solution 119Montage en série de l’ampèremètre dansle circuit.

Solution 120Si l’appareil de mesure est en fonctionpour la mesure de courant et mis acci-dentellement sous tension, il se produitun court-circuit.

Brain Food

Réponses aux questions 114 à 124

Solution 121Les premières vérifications comprennent:a) Contrôle PE: fonction, champ tour-

nant, isolement, DDRb) Appareil de mesure basse tension:

contrôleur de tension, indicateur de

champ tournant/appareil OIBT, appa-reil de mesure d’isolement/appareilOIBT, appareil de contrôle DDR/appareil OIBT

Solution 122Le placement de la seconde charge évitedes erreurs de mesures dues aux tensionsréactives capacitives et inductives.

Solution 123a) Avec appareil de mesure pour contrôle

OIBT, pour champ tournant, ou avecun contrôleur de tension bipolaireavec indicateur de champ tournantintégré.

b) A raccorder en tant que champ tour-nant vers la droite (sens des aiguillesd’une montre). Dans le cas de prisesde courant quadrangulaires, le raccor-dement se fait en direction du PE.Pour des prises de courant 230 V, les

conducteurs polaires sont à inverserde façon cyclique (NIBT 5.3.10.6)

c) Voir illustration 12

Solution 124Pour l’appréciation, les mesures suivantessont utiles:• Mesure d’isolement bobine-carter

(1000 VDC/min. 1 M�)• Mesure d’isolement bobine-bobine

(1000 VDC/min. 1 M�)• Résistance des différents bobinages

(toutes égales, différence < 3 %, impos-sible pour moteurs à partir d’env. 5 kW,à cause de la faible résistance de labobine) ■

Illustration 115

Position

Affichage à 3,5 chiffres Affichage à 4,5 chiffres

Illustration 123

ELECTROTECHNIQUE

Page 66: Bâtitech 10-2013

bâtitech: Parution: 10 fois par an,prix de l’abonnement: Fr. 85.–(à l’étranger port en sus) ISSN 1421 6704

Tirage: 5700 ex.

Remp 2013: Exemplaires totalement distribués(confirmation par la Poste Remp) 2045 ex. total tirage vendu.Tirage diffusé: 3234 ex.

Rédaction: Bernard Dätwyler et Michel HottingerPotteilaz 123, 1030 Bussigny, natel 079 310 99 [email protected], www.batitech.ch

Responsable électrotechnique:Pierre Schoeffel, tél. 061 485 90 [email protected]

Edition, Copyright: © AZ Fachverlage AGZeitschriften, Neumattstrasse 1, 5001 Aarautél. 058 200 56 50, fax 058 200 56 61www.az-verlag.ch

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Droits d’auteur et de traduction: Avec l’acceptation des manus-crits par la rédaction et le paiement d’éventuels honoraires auxauteurs par l’éditeur, ce dernier acquiert le copyright et tousles droits de traduction et de publication des articles, soit dansd’autres revues éditées par l’éditeur, soit pour la publication detirages à part.

Un produit de

Editeur: Peter Wanner

CEO: Axel Wüstmann

Participations importantes de AZ Medien AGen vertu de l’article 322, al. 2 du CP:AZ Anzeiger AG, AZ Fachverlage AG, AZ Management ServicesAG, AZ Regionalfernsehen AG, AZ TV Productions AG,AZ Verlagsservice AG, AZ Vertriebs AG, AZ Zeitungen AG,Belcom AG, Dietschi AG, Media Factory AG, Mittelland Zeitungs-druck AG, Vogt-Schild Druck AG, Vogt-Schild Vertriebs GmbH,Weiss Medien AG

Association: USTSC Union suisse des professionnels de latechnique sanitaire et chauffage VSSH,Hubrain 10, 8124 Maur, tél. 044 908 40 [email protected]

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REPRODUCTIONINTERDITE

Registre des annonceurs

Amag Automobil- und Motoren AG 33

BauHolzEnergie AG 62

Beckhoff Automation AG 11

Buderus Heiztechnik AG 21

Debrunner Koenig Management AG 29

Demelectric AG 35

Diamond SA 37

e-in ag 27

Elcotherm AG 49

Erdöl-Vereinigung 59

Ernst Schweizer AG 53

Fischer Otto AG US 3

Franz Kaldewei GmbH & Co. KG 15

Geberit Vertriebs AG US 4

Grundfos Management A/S 12

Heizkörper Prolux AG US 2

Inter Protection SA 47

Nissan Center Europe GmbH 25

Ohnsorg Söhne AG 9

R. Nussbaum SA 39

Schneider W. + Co. AG 22

Siemens Schweiz AG 36

Solu’Tubes SA 53

Techem (Schweiz) AG 45

Techniques Laser SA 47

Theben HTS AG 3

Verband Schweizer Medien 53

Viessmann (Schweiz) AG 7

Ygnis AG 57

Zehnder Group Schweiz AG 5

Zumtobel Licht AG 19

Page de couverture

KWC AG

Encarts

BauHolzEnergie AG

64 bâtitech 10-13 impressum/registre

Page 67: Bâtitech 10-2013

www.ottofischer.ch/katalogga2013

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Page 68: Bâtitech 10-2013

Geberit a recherché les profils gagnants – et les a trouvés.Geberit présente les lauréats du 3ème Geberit Challenge Suisse au Centre Air Force à Dübendorf:

Torsten Schmidt et Andrej Geisler de l’entreprise en installations sanitaires Schmidt-Geisler Montageteam

GmbH à Grellingen. Encouragés par quelques centaines de fans, ils s’imposèrent avec habilité, savoir-faire et

compétence contre plus que 40 autres équipes en compétition pour un voyage de luxe à Dubaï. Geberit félicite

l’équipe lauréate et remercie tous les participants pour leur engagement et l’excellence de leurs prestations!

Profils gagnants.

→ www.geberit.ch/fr/challenge