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Bac Mac Lac: PDF constitué à partir de l'article 81 (du même nom) © SergioH 2014 - http://www.sergioh.canalblog.com © SergioH 2014 (variante d'une image de 2013) La variante 2013 .

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  • Bac Mac Lac: PDF constitué à partir de l'article 81 (du même nom)© SergioH 2014 - http://www.sergioh.canalblog.com

    © SergioH 2014 (variante d'une image de 2013)

    La variante 2013.

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  • Vous aurez peut-être besoin de vérifier certaines numérations de lettres dans cet article, grâce àl'alphabet 3. Le "W" n'étant pas officiel en France, au XVIè siècle, il pourrait se placer comme le J en25è position (En référence au grec, à l'alpha et l'oméga, minuscules α , ω et par analogie en majuscules :A-W)- voyez aussi l'alphabet à 24 lettres de Trithème. [note : observez la curieuse graphie du W, était-elle traditionnelle(?), je nesaurais le dire, je vois ici un LB accolés, sachant que le B peut passer pour un 13, LB vaudrait 25, mais aussi son inverse 52 en prenant L=50 et B=2.]

    L'usage insidieux du H est une façon d'attirer l'attention sur l'usage d'un alphabet modifié (utilisé àl'origine par les templiers) soit un alphabet 2 (modifications mineures : HE) ou bien 3 (voir lien). Vousle verrez plus loin ce H ne sert pas seulement à cela. C'est aussi un indice sur le choix d'un simulacre.

    Dans ma News N°2 (abonnement par mail), j'ai affirmé de façon, un peu tranchée et rapide (sans plusd'explication), qu'en ce qui concernait le "simulacre au lac", (voir le tag) c'était bien le jeu entre deuxréférences de deux grilles comportant le mot clé LAC ( voir 31-Simulacre au lac ou l'article 32) quicomptait et non la proximité des grilles comportant les mots BAC-MAC (non loin d'un "LAC",pourtant). Par scrupule et étant donné certaines interrogations sur la grille alphabétique, j'ai effectué denombreuses vérifications.

    Le quatrain concerné :

    (image A) Quatrain 12 Centurie 9

    J'ai mixé deux quatrains d'éditions différentes aux orthographes variées pour redonner "simulachres"avec une intrusion du H justifiée par l'une des deux grilles lui correspondant ( l'autre comporte LnACEqui par anagramme a pu faire référence à LANCE et LANCE-LOY du LAC). J'ai rectifié une correctionabusive de ma part (et observée dans certaines éditions) : "abbrevez" s'écrirait bien comme ainsi, si l'ontransformait le seul u en v. Cette rectification des u archaïques, était pour souligner le jeu U/V (3 V=60)déjà observé au début des "prophéties". (Voir tag Nostradamus). Ce mot "abbrevez" peut donc avoirune autre signification que abreuvé/abbreuvé ...

    L'alphabet 3 semble issu de la croix des huit béatitudes manifestant entre autre,l'échange du H et du Eet utilisé dans l'alphabet dit "templier". Certaines lettres échangées, par contre, ne sont pas signalées."Diane Et (&) Mercure" vient confirmer ici une nouvelle fois l'usage de la croix des 8 béatitudes,puisque le trio DEM, valeur 23 (ou 24 en alphabet 2), élément de cette croix, est évoqué de façon évidente (maisostentatoire), les autres trios de la partie supérieure de l'alphabet le sont également plus discrètement(voir le lien vers "la croix" ci-dessus, et mon analyse du début des prophéties et l'article suivant ou lePDF synthèse des deux) . Cette référence est parfois raccourcie en "DM", valeur 15 prenant une autresignification (voir le monument de Shugborough Hall). Nostradamus joue ici sur cette ambiguïté enutilisant le caractère contracté "&" de ET qu'on aurait pu ou non, compter comme lettre(s) soit eninitiale E(8) soit globalement ET (27) qui alors, symboliserait l'alphabet (hébreu) et qui servirait ici dansle dernier vers ou comme on le verra plus tard de façon plus flagrante. Il y a en effet une possibilitéd'usage caché de ce caractère.

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  • On pensera peut-être, que Nostradamus ait voulu insister dans ce quatrain, en écrivant ainsi "tantd'argent", sur le fait que ce figulier devienne soudainement très riche, ce qui semble aussi confirmé parun or abondant, étant abusé par une lecture erronée de "abbrevé" du dernier vers, terme qui laissesongeur, tant par le redoublement (admis) du B que par la faute du non redoublement du U soitarchaïque par un autre U ou bien "moderne" par un V : "abregez" devient ainsi une correcttionenvisageable : b(2)+v(5 romain) = 7= g, d'autant plus suggérée que la fin « gez » vaudrait alors 39 maisévitons de corriger car ce genre de "faute" est intentionnelle (elle est répétée sur plusieurs éditions)d'autant que ces lettres pourront servir telles quelles. (Nous verrons que le U de Mercure pourrait être unV. ce qui nous conserverait l'alignement de 3 V.)

    En appliquant les principes de la gematria sidouri, on s’aperçoit que ce "tant" vaut 52 (4x13), celadirectement. Je rappelle la "confusion"qu'il existe autour de l'association aleph-noun et tav tav qof-

    équivalent ici à AN(J)- ( ג, ב, א -sens inverse-) qui ici, dans ce contexte TA.T, alerte le lecteurattentif.[ Ce N ayant parfois de curieux comportements, Il peut parfois être pris comme le joker (le fou) de certains jeux de cartes : la valeur pourrait être de 78 ( et pourquoipas 117 en kabbale chrétienne).]

    Ce quatrain est bien plus subtile qu'il ne parait au premier abord, notre intellect étant aveuglé parl'éclat de métaux précieux pouvant déclencher d'illusoirs désirs d'enrichissement, sa compréhensionimmédiate en est voilée. Ne parlons pas ici de scotomisation, nous ne censurons pas en l’occurrence, mais« nous prenons nos désirs pour des réalités ». Le jeu de miroir est donc souvent trompeur et nous allèchepar de belles promesses ("alouette, je te plumerai"). Ces tentations sont autant d'épreuves pour celui quitente de comprendre. Une approche superficielle égarera les analyses. Voyez toujours ci-après, ladéfinition de figuline.

    La conformation des vers avec des jeux numériques de lettres se correspondant offre des possibilitésvariées. La typographie, différente selon les éditions offre de surcroît, des pistes différentes selon lesvers, par exemple des valeurs (91 ou 130) pour le dernier vers.Contrairement à l'apparence, ces signesillusoires indiquent une richesse spirituelle et non matérielle. L'or souvent associé au soleil, ⊙ et à lalumière divine dans de nombreuses croyances ou religions antiques( croyances boudhistes, grecques,egyptiennes, aztèques &c.). De même l'argent (associé à Diane dans le même vers) se réfère clairement àla lune Ɔ qui reste toujours très importante dans les religions d'origine sémitique, le calcul descalendriers, et donc des fêtes saintes étant lié aux calculs des pleines lunes. La lune, le croissantnotamment est un symbole utilisé dans nombre de pays musulmans. La pleine lune garde aussi unei nfluence pour la religion catholique. Ce n'est pas la première fois que Nostradamus fait référence à lalune et au soleil S+L=30 (On a vu qu'il pouvait faire une autre référence aux Ides, par l'association13+15).

    Nous retrouvons aussi par analogie, 4 éléments, le feu : l'or ; l'air : l'argent ; l'eau : le lac , la terre :"argille", (2 célestes, 2 terrestres), un cinquième élément, le mercure par association au metal liquide au(k)lac (vif argent ou argent liquide) se réfère au miroir ou à une version éthérée de "l'esprit", le dieuMercure - dont les 3 principales fonctions sont : messager des dieux (avec éloquence et poésie), leséchanges commerciaux, sans oublier celle liée au culte des morts (D.M. ). [Nostradamus peut aussi seréférer à Minerve ( à cause de Diane) et indirectement la tradition gauloise - (« roi gaulois » avecl'emblematique coq saluant l'astre du jour.]

    Car on suppose, à cause de "argille" que le "figulier" est un créateur de figulines.

    http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/figulin_figuline/33651http://fr.wikipedia.org/wiki/Diane_(mythologie)http://fr.wikipedia.org/wiki/Minerve_(mythologie)http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A2neshttp://fr.wikipedia.org/wiki/Mercure_(mythologie)http://fr.wikipedia.org/wiki/Mercure_(chimie)http://www.lexilogos.com/calendrier_paques.htmhttp://www.lexilogos.com/calendrier_paques.htmhttp://sergioh.canalblog.com/archives/2013/11/30/28552860.html

  • C'est une conclusion hâtive car le terme figulier n'était pas couramment employé au XVIè siècle puisque lemot figuline aurait été inventé à l'époque, par Bernard Palissy, potier céramiste, verrier. Cet homme étaitcertes connu mais de là, à ce qu'un métier lui soit dédié, cette référence n'est pas restée, hormis celle liée à sonnom ... C'était donc peut-être (il fallait connaître ce terme figuline), une référence voilée à ce personnagedevenu protestant, qui du fait de ses convictions religieuses fut alors, emprisonné à Saintes, puis à Bordeaux.

    Pourtant Nostradamus ne connut pas la triste fin de l'artiste qui,embastillé, mourrut (1589/90?) en prisonpresque 24 ans après sa mort . Il est possible par contre qu'il ait pu le rencontrer, ou en ait entendu parler parses "relations" ( le connétable Anne de Montmorency, par exemple). Palissy avait entrepris la décoration d'unegrotte "rustique", pour le Connétable son protecteur puis pour la Reine-mère Catherine de Médicis, également"protectrice" pratiquement à la même période, de Nostradamus. La référence directe à Bernard Palissy reste donc possible puisqu'il cite Diane dans le même quatrain (jepense ici à la Diane mythologique, entourée de ses nymphes et non Diane de Poitiers). Envisageons cependantque l'inverse fut vrai : Catherine de Médicis aurait du avoir sa version personnelle des "Centuries", (C'était là, lamoindre des obligations due par un fidèle sujet du royaume à sa Reine. Était-ce un exemplaire abouti?) Lacenturie IX avait-elle été publiée avant, en 1558 (édition, jamais retrouvée), donc avant 1563, année où lecéramiste est nommé : « inventeur des rustiques figulines du roi » (l'association ru-roi est amusante) ?Il se peut alors que ce terme énigmatique ait été repris à posteriori, du texte de Nostradamus, par BernardPalissy (ou par "d'autres", de l'entourage royal). Il se peut aussi, c'est bien plus probable, que "Nostradamus" se soit emparé alors, de ce nouveau motdésormais "officiel" en 1563, pour un usage particulier et en ait tiré un "nouveau métier", très particulier.En effet, le redoublement du L dans le mot (argilla, influence italienne ?) et la multiplication de la lettre dansle quatrain (voir encadré) pourrait laisser entrevoir un agile créateur de figures à base de 12 et 25 : de L et de J ,le G pouvant correspondre phonétiquement à J confirmé par ILL de argille de valeur 25. On comprend encoremieux l'idée, si on aborde ce mot sous l'angle de l'anagramme :

    figulier => figure L+I (L valant 12 et I valant 1) soit FIGURE 13 ou FIGURE-N. ((argille) Neuve)

    Le carré Rotas, de 25 cases avec N au centre m'avait amené à la déduction "rotas per n". (Tout) "tourne autourde N" (13). Voilà donc l'une des figures propices aux recherches de ce figulier. La croix des huit béatitudes enest une autre puisque dans cette figure aussi, la lettre N est un élément central. Nous en verrons une 3ème. J.A. Vaillant (philologue et auteur des " Rômes" XIXè siècle) n'aurait pas manqué de remarquer aussi leredoublement de la racine ARG (argent, argille) et l'aurait rapproché de Argo, le navire transportant lesargonautes (qu'il cite dans son livre : page 83-numérisation- et page 76 de l'original), Jason, entre autres herosgrecs célèbres lancés dans la quête de la toison d'or sur cette nef Argo, peut-être de dimension 5x5, car ARGvaut 25, ou bien 39 puisque avec le O (soit 14) en plus, nous avons 39. De la par association d'idées, à penser àune arche particulière et aussi à un lieu, l'Arcadie et donc à "Et in Ar cadia e go ", il n'y a qu'un O pour oser.J'ose in fine (désolé, j'aime bien Bashung) ... Je redonne une des étapes de la démonstration de l'article (voir lien).[ Fulcanelli, faisait pour sa part,référence à l'art gothique et à l'argot de la "cour des miracles" en lien avec le" langage des oiseaux".]

    Soit "Et in" reporté pour donner : "Arcadia ego et in". L'aboutissement de la démonstration reste valable. Il setrouve qu'en la reprenant, je me suis rendu compte que cette image (la deuxième à droite) représentait deuxétapes en une. Le report du O (en rouge) en case 14 devait intervenir dans une image suivante. Une autre auraitdu la précéder, je la donne ci-dessous à gauche. (fiez vous aux flèches de la 2ème image pour en comprendre lalecture):

    http://sergioh.canalblog.com/archives/2013/07/27/27717831.htmlhttp://sergioh.canalblog.com/archives/2013/07/27/27717831.htmlhttp://sergioh.canalblog.com/archives/2013/07/27/27717831.htmlhttp://sergioh.canalblog.com/archives/2013/07/27/27717831.htmlhttp://sergioh.canalblog.com/archives/2013/07/27/27717831.htmlhttp://books.google.fr/books/reader?id=rjgUAAAAQAAJ&hl=fr&printsec=frontcover&output=reader&source=gbs_atb&pg=GBS.PA76http://fr.wikipedia.org/wiki/Argo_(mythologie)http://books.google.fr/books/about/Les_R%C3%B4mes.html?id=rjgUAAAAQAAJhttp://sergioh.canalblog.com/archives/2013/07/14/27642274.htmlhttp://www.louvre.fr/12h30les-%C2%AB-rustiques-figulines-%C2%BB-de-bernard-palissyhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Diane_de_Poitiershttp://fr.wikipedia.org/wiki/Bernard_Palissy#Mus.C3.A9e_du_Louvrehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Anne_de_Montmorency_(1493-1567)http://fr.wikipedia.org/wiki/Bernard_Palissy

  • En recalant le O en 14, le N passerait en 13

    On voit alors dans cette image intermédiaire (à gauche) le O sous le A et en lecture Argo, tout à fait dans l'esprit du boustrophédon. Il est vrai que la conclusion ensuite était surprenante :

    Ce groupement de lettres sonne comme une locution latine. Il se trouve que le O qui le clôture est précisément à14ème place, sa place dans un alphabet de niveau 3. Replacer le A en tête, semblait logique dans une démarcheRot(13). Il a fallu cependant le boustrophédon pour comprendre ce que cela désignait. Les lettres CEN enverticale centrale faisaient penser à CENSY et même CENSY-X (avec le X décalé à gauche) et confortaientl'expression d'une grille alphabétique de niveau 3 (alphabet 3.). Le décalage des deux A en surplomb ont accentué la ressemblance avec le début de l'alphabet. Cela peutparaître anodin mais pourtant cette analogie est essentielle.

    On comprend aussi le lien avec l’énigme Sator (25 lettres + 14 lettres). Il a fallu attendre plusieurs siècles pourque ce lien discret soit établi par des artistes comme Giovanni Francesco Guercino (Guerchain), pour un tableaupeint entre 1621 -1623. puis suivi par Nicolas Poussin avec la peinture "les bergers d'Acadie"(1628-1630).Cette piste me confortait dans l'étude d'un alphabet de 25 lettres réparti sur une grille 5x5, d'où ma recherchegéométrique sur la croix des huit béatitudes. Je poursuis donc mon idée : 4 L : └ mais aussi 4 J : ┘ sa lettre symétrique suggérée par « argille Neuve » et la figure L-I.Je redonne la figure de base :

    Les lettres (3 de large et 4 de haut) sont en vert, s’appuient sur le carré vert, les hypoténuses correspondantes sont en bleu. La figure est formée de huit triangles rectangles, 3x4.

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  • Ce qui est intéressant dans cette figure (en alphabet 3) est que : 4 fois L(12) soit 48 (+4 pour le centre : on le réalise en la

    construisant) =52 + 4 fois J(25) soit 100 (+4 toujours le centre)=104. (Remarquez que 52 est le symétrique de 25)Selon cette interprétation 4 L en rotation (90°) +4 J en rotation (90°)+ 8(centre), la valeur symbolique de cette croix serait 4x12

    + 4x25 +8 =>156 (soit aussi 12+(12x12 ), 4 x 39 ou bien 3 x 52).Nous pouvons lui associer également 4x(A1+N13+J25) ANJ (et VNH) + JNA (et HNV). Ce ne sont pas des égalités maisdes analogies correspondant aux diagonales descendantes ANJ et HNV et montantes (leurs symétriques) d'une grille 5x5 enalphabet 3. (chacune valant 39)- On aurait pu (sans utiliser les lettres pour dessiner une figure) employer aussi unecombinaison numérique équivalente, 2 diagonales et 2 médianes (MNP ; CNY) ou bien 4 médianes (verses et inverses). Lesvaleurs sont égales. La "croix" en X peut être tournée en + (version habituelle) sans changer de valeur. Ces calculs simples(voir élémentaires) cachent pourtant des relations plus subtiles entre bases (3npz, 5 npz, 9npz,12npz). Cela a également descorrespondances dans la manipulation des carrés magiques impairs (ordre 3, 5 ...). La transformation diagonales/médianes estobservable en utilisant la méthode géométrique. Elle conforte cette opération.

    156 est un nombre que nous retrouverons dans cet article.

    1l se trouve également, qu'avec un alphabet "primitif" de l'époque ("25" lettres ou 23 : i/j et u/v confondues)ou L occupe la 11è place, B et L seraient en opposition mais après l'ordonnance de Villers-Cotterêts qui, entreautres, déclare le passage à 25 lettres, et donc la séparation de i et j ainsi que celle de u et v, en alphabet 3(ordre alphabétique remanié) L(12) est opposée à A et c'est M(11) de miroir qui s'oppose à B. Nostradamus ad'ailleurs fort insisté sur cette lettre L, de différentes façons, indiquant son importance.Le quatrain redonné en début d'article en est un exemple flagrant. Chaque vers débute par un L mais si l'oncompte bien, nous en avons 10 dans le quatrain mais ce serait oublier que c'est le 12è quatrain de la centurie 9; c9=12. Cela ferait douze "12". Explorons des possibilités de gematria :

    (image B)

    certaines lettres, ahi, cgl, ont été soulignées par mes soins : "BFK" existe de façon détournée: les "s" ont ici un graphisme ancien ambiguë ressemblant au f. En effectuant l'échange de lettres dans "seront" sens donnant "feront", le sens n'en serait guère altéré etce f suggéré est appuyé par le g dessous (fg=>13). Par ailleurs, k=c+g ou bien X sous la forme BFX (X de XII) et LAC=CFG=16. Résumons : nous avons BFK ; DEM ; AHI ; CGL, soit les 12 lettres, partie supérieure de l'alphabet 2 et non 3 (à 25lettres), entourant la croix des huit béatitudes, et tournant autour du N (ici de "cherchant") le i de Diane se trouvant sous le dernier I de XII vaut 1 donc avec XII =13 en tout : remarquez les points qui se "correspondent". Dans le fac-similé d'une autre édition 1568 (1572-B) Lyon (navigation + facile ), voir ci-après, la typographie est un peu différente mais la même interprétation pour leslettres de la croix reste possible bien que le "BFK" soit très discret.La gematria sidouri peut être différente : les espacements supprimés suggèrent d'autres possibilités (image C ci-après le paragraphe).

    Un certain nombre de traits colorés auraient pu encombrer les images : J'aurais pu souligner quelques trios de "N" alignés ... Onobserve en étant attentif, que tout autour de ce "lac" les gematria se répondent. Par exemple, il n'y a pas, en plus du X romain, que cg qui vaut 10, il y a D f ou c f a, ou "a cha" (a de "au" et cha de "cherchant") il y a également, plusieurs associations de multiples de13, 2 "ch" (valeur 16=>lac) sont disposés de biais. d'autres lettres comme U (pas les mêmes selon les versions) et A offrent desalignements ; On devine que ces caractères finaux devaient être mis pour des V car VEZ de fin de mot vaudrait 52 (et non avecUez valant 53 ) Malgré des espacements différents, cela reste valable sur les deux versions. Ces variantes de quatrains ont eu destypographies soignées dans les deux cas. Pour vous en faire une idée, comparez les avec celui que j'ai rédigé en tête d'article.

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  • ( image C)

    Mercvre dieu romain devrait s'écrire avec un V valant 5 "Diane et Mercvre" (dieux romains certes païens) vaudrait alors 104(8x13). Cette correction « historique » permettrait de palier le non usage du V en « abbreuez » et aligner 3 V qui sont ainsi moinsvisibles, comprenez que l'orthographe de « neufue » est pour le moins étrange, le premier u est de ce mot est aligné sur les 2 uMercure et trouuez au dessus. "Trouuez" contrairement à "abbreuez" a bien ses deux u (dont l'un d'eux compterait pour v). On voitbien que 3 u sont alignés, 3 u qui devraient être des v.

    Le jeu subtile avec le i de Diane et le XII au dessus renforce l'idée que que ce Di n'a pas valeur directe de multiple de 13 puisque ilest substitué par le XII+i restant dans l'allignement n-la-(D)-XIIi (39) :Le i de Diane est donc bien séparé de la notion de Dieu,donc pas de DI=13 (ou 26 ou 39 selon) il n'est donc surtout pas utilisé comme i(9), car le I(i) prend ici la valeur romaine(1) et faitle lien avec XII du dessus, on peut rajouter 13 à ce vers (qui vaudra 156).

    Comme le D de Diane compte pour 4, on peut également faire le lien avec les deux autre D (mots contigués) L (12) qui peutêtre mis en lien avec les 12 autres 12 (donc globalement sur le quatrain et sa référence l'ensemble vaut 13x12=156 ce qui est tout àfait en accord avec mon analyse précédente de la croix, version simplifiée en "X". Bien que séduisante cette 2è solution ne tient pascompte de certains indices.

    Je vous épargnerai la gematria complète du 4ème vers où l'apostrophe de "d'or" est aussi ignoré et les deux lettres de & (ET) sontcomptées, (l'une des astuces -valeur 130- est de compter un L pour 50 et l'autre comme 12). [Si on remarque "abb" (5) et le U(21) fautif deabbreuez, cela rajouterait 26 (c'est bien plus discutable) à nos 130. Par contre si l'on ne prend que ab (3) nous avons un équivalent de C précédé de deux S (39).]

    La principale observation que l'on puisse faire de ce quatrain est qu'il bâti autour du terme LAC et de sa gematria 16 ou XLAC (26)avec X pris comme équivalent de K. Le trio de lettres inscrit dans la croix des 8 béatitudes le plus discret qui vient effleuré ce"lac", est "(B)-FK" remplacé par B-FX(10 romain), or FK ou FX valent précisément 16. Nous verrons plus loin que ce "lac" ouKLAC (26) est trompeur à l'instar d'un mirage dans le désert. Il n'en demeure pas moins que son association « mystérieuse avecavec le terme simulachre confirme la volonté d'attirer l'attention et après examen et connaissant l'existence du mot LAC, un motCLE (ou CLEF, lui-même clé) se trouvant dans les grilles « du ROY » issues de la croix des huit béatitudes comme nous le verronspar la suite. Ce quatrain est manifestement un . des repères importants des « centvries ».

    Je vous rappelle que nous avions retrouvé la croix des huit béatitudes présentée sous une autre forme simplifiéeégalement :

    (l'alphabet d'origine utilisé ici, étant volontairement un alphabet 2 :

    A B C D H F G E I K L(11) M(12) N O P Q R S T U(20) V(21) X Y W Z)

    Ces 8 trios lettrés sont historiques et si l'on en croit Robert Ambelain "Jésus ou le mortel secret des templiers" édition Robert Laffont(collection "les énigmes de l'univers"), ils auraient déjà été connus au XIIIè siècle. Il y avait cependant, déjà à l'époque, des degrés deconnaissances à acquérir, par exemple comprendre que cet alphabet "nordique", n'était pas en usage tel quel en France (voir mêmeailleurs) et qu'au XVIè siècle un autre alphabet "d'origine" était utilisé pour l'emploi de la "croix des 8 béatitudes", véritable outil decryptographie.Sa connaissance représentait un enjeu très important.

    http://sergioh.canalblog.com/archives/2013/07/25/27706752.html

  • L'alphabet 3 que je propose est différent :A B C D H F G E I K M(11) L(12) N O P Q R S T V(20) U(21) X Y Z J.

    les 4 premiers trios de l'alphabet (partie supérieure) deviendraient AHI, BFK, CGM(11), DEL(12) -échangeLM-et VU et ajout du J à la fin à la place du W enlevé.

    En observant les fac similé on s'apperçoit que ces 2 corrections sont bien suggérées :

    Le "de" (devant Diane) correspond judicieusement soit avec le XII du dessus soit avec le L de "lac" dedessous, cela fait donc l'un ou l'autre, "de-l" : => DEL.

    Mais nous pouvons procéder autrement : Ce D de Diane est fort bien entouré par des 12 mais aussi précédé de 2autres "d". DEL, 4, 8,12, correspond à une transposition particulière qui est due à l'un de ces liens sur lesbases (10, 3npz, 9npz, 12 npz) que j'évoquais précédemment. Ici en jouant sur ces 3 "d" avec 1D(4) et 2D(8)(soit 3D)et XII (au dessus du dernier D de Diane) nous pouvons recomposer ce DEL. Dans ce quatrain, lemécanisme de transposition est ainsi évoqué de façon très astucieuse par analogie. Non seulement cela effectuela bonne comparaison mais cela nous indique aussi le correctif valide : DEM=> DEL.

    François Buget avait lui aussi utilisé une astuce pour nous confirmer la valeur 12 du L. (« occupe Les 66derniers feuillets. » ; François Buget, Bulletin du Bibliophile et du Bibliothécaire, année 1861, page 666 ) L=12 +66 = 78 - 666/2 = 333 en base 3npz vaut 39 en b10 donc "666" =>333 et 333 soit 78 en B10, qui vautaussi 66 en base12npz.)

    L'axe repéré BFX peut redoubler aisément en (ab)-g-XI CGM. Le g (proche du , un s assimiléʄauparavant à un f) étant dans l'axe. Le DM (Diis Manibvs ?) on ignore ici le &, DM prenant alors par savaleur 15, l'autre signification que j'avais déjà suggéré : donne magique ? => la somme magique du premiercarré magique de nombres entiers (1 à 9) déjà évoquée par AHI et confortée par sa présence dans lareprésentation fouillée de la "croix " (voir lien plus haut).

    Il était important que l'on retrouve ce DEL et ce CGM. Cela conforte l'usage caché de l'alphabet 3 et non du 2,les trios AHI et BFK n'étant eux pas concernés par les modifications. Il faut observer que "abbrevez" ayantdeux b, l'un peut servir avec A, comme équivalent du C de CGL qui deviendra CGM (XII=>XI) tandis que ledeuxième sert pour BF"K", les combinaisons 10 autour de Lac, ne manquant pas pour suppléer au X pris par leXI utilisé pour ce M, je tache en effet de ne pas utiliser deux fois la même lettre pour justifier deux astucesdifférentes.

    Cela vous semble-t-il compliqué ( ou bien trop léger ou trop fantaisiste) comme explication ? Remarquezpourtant que nous avons là une mécanique très subtile valant largement celle de Beze commentée par Buget(dans le même article que celui donné par le lien pour 666)

    Nostradamus n'allait pas donner clairement, la solution d'une des difficultés (parmi tant d'autres) de la "croix".Il lui fallait cependant attirer l'attention de certains initiés (de différents niveaux) avec des éléments connus dela croix des huit béatitudes avec des confirmations chiffrées par la gematria (autre degré). Mais un initiéattentif, encore plus au fait, verrait que l'auteur n'était pas ignorant de variantes connues à des degréssupérieurs. Nous parlons ici, d'initiation et donc de parcours initiatiques, j'imagine (je vous rappelle que je nesuis pas initié par quiconque, hormis par mes lectures : je suppose, donc je dois faire des erreurs ...) que cesdifférents éléments ne se mettaient en place, que bribes par bribes pour l'impétrant d'un grade supérieur.

    http://sergioh.canalblog.com/archives/2014/02/08/29150417.html

  • un exemple de présentation de grille alphabétique (alphabet 3), l'alphabet au centre (alphabet 2) reste le même,les grilles en périphérie (2x12 lettres, d'origine alphabet 3) évoluent selon les transformations.

    Mais venons en maintenant au traitement des grilles et aux problèmes des doublons :

    les premiers que nous sommes ammenés à découvrir en effectuant des tris sur 44 grilles (nous avons déjàretiré les 4 têtes d'alphabet) se manifestent aux extrémités des grilles, soit 24 lettres que l'on peut diviser,par commodité, en deux parties principales, 12 et 12, : moitié inférieure(somme de symétrie 39) etsupérieure(somme de symétrie 13), le N étant à part. (en réalité il s'agit de 4 parties de six lettresfonctionnant en symétries voir 24-Matrices Histoire). La raison de la commodité étant, que travaillantsur la moitié supérieure de 12 lettres, l'ajustement en partie inférieure suivra automatiquement -rot(13)-.

    Par ces tris, donc, nous découvrirons ainsi 4 différentes séries de doublon-grilles (soit 8 grilles coupléesdeux par deux) plus importants que la moyenne observée sur les 44 grilles. En fait, six tris seulementsuffisent pour observer le phénomène.

    Selon le tri, nous pouvons choisir le critère en fonction d'une colonne (par convention occidentale enpartant de la gauche de la grille), la colonne N ne comptant pas. En tenant compte de l'exemple donnéplus bas, je peux trier en 9è colonne (celle où nous trouvons C) par exemple, j'obtiendrais un certainrangement des grilles (il faudra que veiller à ce que cela respecte l'ordre alphabétique de l'alphabetsource, par exemple H est avant E, M avant L, &c.)

    Mais si je changeais de colonne, et prenais la première colonne à gauche (B) mon rangement seraittotalement différent et les doublons n'auraient pas le même rang. Selon les tris on trouve différentessortes de doublons. J'ai opté pour des doublons présentant à une extrémité gauche, 4 lettres identiquesse suivant (correspondant par symétrie à quatre autres à l'autre extrémité droite et ces huit lettres étantidentiques à celles de la grille doublon) avec bien sûr, les correspondances pour les 12 lettres de la moitiéinférieure (ayant forcément 4 et 4 lettres identiques avec la partie inférieure de la grille doublon). Ce quijustifie le terme à peine exagéré de doublon, puisque entre deux grilles d'un doublon, 16 lettres sur 24 ,soit les deux tiers, sont identiques, placées à la même position.

    Au départ de notre recherche on ne se préoccupe que des doublons se manifestant en extrémité. Il setrouve que l'on constate (selon le tri) que deux astuces différentes fonctionnent pour obtenir desconcordances, elles donnent selon certains tris les mêmes positions de doublons permettant de calquercette "clé" sur celle des lettres doubles du message secret trouvé dans la traduction par Nostradamus dulivre de "Galen" "de l’exhortation de Ménodote sus ....&c" Une fois de plus Nostradamus nous met faceà une ambiguïté. Sans avoir étudié, un peu, les positions des lettres hébraïques (56- "points de vue"), ilserait difficile de trancher dans ce "MIG-MAC" (ces mot clés existent et sont rapprochés l'un au dessusde l'autre, par tri ; de là, à dire mic-mac ...).

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  • L'une d'elle, emploie l'utilisation de deux grilles par proximité des lettres, l'une commençant par BAC etl'autre par MAC bien qu'également concordante au niveau position, elle est plus tortueuse, mais Il fautnoter que ces "doubles" grilles se trouvent bien alors, comme donc le cas du doublon de lettres FZ, enseizième position (16-16bis). S'il en était besoin le mot LAC, par sa gematria sidouri : L-12 ; A-1 ; C-3,conforte l'idée d'une astuce à ce rang 16 d'un éventuel doublon BAC/MAC. On pourrait penser qu'ils'agit là du fameux simulacre. Pourtant le mot clé LAC et même LACH ne sont pas respectés dans lesdoublons et ne peuvent pas l'être ainsi en extrémité, en alphabet 3 (LA). Le H de simulachre n'étaitpas une coquille d'imprimeur, il joue bien son rôle de double indice.

    Cette méthode n'est donc pas très satisfaisante comme simulacre, car malgré ses formules mystérieuses,Nostradamus est précis dans ses descriptions. Mais pour rejeter cette astuce, il fallait déjà être sûr del'ordre des mots comportant deux lettres repérées. Or malgré des opérations de réorganisation parfoiscomplexes cela ne semblait pas correspondre à d'autres tris de grille-doublons. Cela venait du fait, qu'il yavait encore une difficulté à franchir.

    Dans son message secret 'traduction du livre de "Galen", "Sus l'exhortation d Menodote &c.",Nostradamus nous propose un couple de mots consécutifs comportant chacun 2 lettres repérées, quiprend l'apparence de deux doublons signalétiques conjoints qui devraient pointer sur deux couples degrilles normalement appairées mais qui en fait n'existent pas ainsi couplés à part alors que les autresdoublons sont isolés. On le constate en utilisant la méthode pour repérer les grille-doublons les plusflagrantes : en s'en tenant à un seul tri et au même critère pour deux grilles couplées :

    2 séries de 4 lettres contiguës identiques à gauche sur chaque grille avec leurs symétries miroir à droite etleurs correspondances en moitié inférieure, soit 16 lettres sur 24 à la même position et en commun, pources pseudo doublons. Il faut comprendre qu'à ces quatre grilles présentant deux par deux des similitudesde lettres, 4 autres grilles exactement inverses leur correspondent, elles sont donc couplées deux pardeux. Nous avons là, d'emblée, 4 couples de grille-doublons.

    Dans la pratique, on ne peut donc avoir ainsi par tri deux grille-doublons de façon contiguë (donc 4grilles se suivant), alors que 2 autres couples seraient séparés car ces grilles bougent par symétrie dansles tris alphabétiques, de concert, relativement, 4 paires par 4 paires. Si deux couples sont côte à côte,deux autres inversés le sont nécessairement à "l'opposé" de la liste issue du tri.

    A ce stade, nous avons donc réduit notre nombre de 44 grilles à 40. Sans utiliser un seul couple de grillessupplémentaires, par exemple (au hazard...) correspondant à BDFEKL(n)ACHGIM/ ...HKL(n)ACE..., ilresterait toujours 40 grilles de substitution alphabétique alors en usage. Il nous faut chercher une astucepour passer à 39 pour respecter la correspondance 44=>39 suggérée par Nostradamus..

    L'une des deux grilles du doublon KL.AC (moitié supérieure d'alphabet et N : le point dans KL.AC) :

    B D F E K L N A C H G I M à cette grille, lui correspond une autre partie, de la moitié inférieure de l'alphabet (+13 ou rot(13)) Le N comptant pourl'ensemble est disons, "invariable" N=>N. Il peut valoir par opposition symétrique 13(en haut) ou 39(en bas) ou même26(croisé : AJ par exemple).

    http://sergioh.canalblog.com/tag/Galien

  • Ce cinquième couple de grille faisant partie du simulacre est indépendant car issu d'un tri trèsdifférent : Puisque les grilles "BAC/MAC" ne sont pas très satisfaisantes (j'ai longtemps douté), on neprendra pas en compte pour le tri, cette partie gauche (ou même droite) d'une grille alphabétique car onne peut pas y trouver la mot clé LAC, L et A étant des lettres opposées (somme=13), c'est donc la partiesegmentée par le miroir(N) qui nous intéresse : L.AC prend ici toute sa valeur imagée (pour être juste, ilfaudrait dire KL.AC). Et surtout EKL.ACH existe (correspondant avec l'autre grille HKL.ACE). C'estmême en triant au niveau de H (9è colonne sans compter celle de N ou plutôt 3è en partant du centre N)que l'on obtient un positionnement correct. On mesure l'importance de ce H qui selon François Buget necompte pas ...

    Il ne faut pas oublier ici la présence du couple des réciproques : normalement de 40 nous devrions passerà 38 (le couple réciproque compterait aussi pour un) ces doublon-grilles ayant leurs symétriques inversesque nous n'utiliserons pas ici comme doublon, elles compteront donc comme deux grilles séparées (latricherie est là). L'explication est symbolique : le ROI se devait de passer à ROE (voir l'article « Rotas,fortune de la roue »).

    Le doublon KL.AC(H/E)-et les deux grilles non prises comme doublon-, ne sont en fait pas des doublonsmajeurs. J'entends par là que contrairement aux autres, une grille (d'une de ces 4) ne comporte en partiesupérieure que 4 lettres identiques à l'autre grille associée (soit en tout 8 lettres en comptant les deux partiesdes grilles). C'est en fait la moitié seulement des lettres communes des 4 autres doublon-grilles (ce qui atténuela tricherie).

    Sachant que ces heureux doublon-grilles KL.LAC(H/E) élus par favoritisme au détriment de leurs inverses ne comptent eux que pour un seul rang (au lieu de 2 pour les inverses), le décompte descendra affectivement à 39. Bien sûr on a un peu,transgressé les règles initiales, en omettant de conjoindre les grilles associées mais sans porter atteinte à leur nouvelle positiondans l'ordonnancement du aux tris, ni transgresser la loi fondamentale de symétrie des lettres.

    La manipulation due au reclassement de la grille BAC, provoquant le dernier tri aurait pu occasionner, la grille MACbougeant de concert, des perturbations dans le bas du classement des grilles et chambouler la correspondance avec lespositions des mots à lettres doubles repérées, il n'en sera rien. La deuxième grille-doublon MAC a bien bougé comme il sedevait mais sans affecter l'ordre établi car de fait avec un tri en colonne 1, la lettre M , avant-dernière lettre du classementalphabétique (moitié supérieure d'alphabet) sera prise en compte, elle se retrouvera avant les grilles commençant par la lettreL, entre le 29è et le 39è rang(fin) et la re numérotation compensera ce nouveau décalage. Nous ne compterons donc toutsimplement pas comme doublon, les deux grilles contiguës réciproques inverses générées par le couple KL.ACH/KL.ACE : jele confirme, elles vaudront donc deux rangs dans le décompte. C'était un habile moyen pour introduire une dissymétrie dansl'ordonnancement créant ainsi une irrégularité qui ne peut que perturber les tentatives de décodage.

    Il existe d'autres grilles possibles certaines ont donné le nom à la fameuse croix des huit béatitudes car eneffet on distingue alors en mot clé BEA, 4 grilles et à l'envers 4 autres.

    L'intérêt de ces observations est que ce positionnement par tri selon une colonne choisie, est très préciset ne peut être manipulé facilement sans risque de transgression de la Loi principale (AL, BM,CK, DI, HE, FG =>N=13 avec la correspondance + 13 (ou ROT13) de la moitié inférieure pourun alphabet 3.

    Cette précision de la correspondance entre le classement des " grilles alphabétiques du ROY " et leslettres droites repérées peut faire office de clé pour une serrure à vocation unique (pas de passepartout).

    http://sergioh.canalblog.com/archives/2013/07/16/27654124.htmlhttp://sergioh.canalblog.com/archives/2013/07/16/27654124.html

  • On comprend alors l'importance prépondérante de ce quatrain XII de la centurie IX dansle dispositif de Nostradamus qui signale aux "usagers avertis" la ruse utilisée.

    Afin que cette concordance ne soit pas perceptible facilement, Nostradamus a donc indiqué deuxdoublons symboliques contiguës : VraY, FoY ,à la place de deux autres non contiguës. Fausses pistes quirendaient impossible l'adéquation entre l'ordonnancement quadruple du système de grilles desubstitution et les positions de ces doublons. J'ai erré longtemps (le labyrinthe) avant de trouver lasupercherie (mais il y en a d'autres ...)

    Voici les doublons fallacieux , que l'on voit ici dans cette grille exprimés par VY et FY dans la ligne duhaut. :

    En bleu, les lettres trouvées à l'origine dans l'opucule de "Galien" traduit par Nostradamus, en jaune/vert , leur décodage. Leur rangement par ordre d'arrivée dans le texte part en fait du coin en bas à droite, disposé donc, de droite à gauche, de bas en haut.. Le message décodé est en fait lisible en sens inverse de l'ordre d'arrivée dans le livre.

    On remarque l'alignement symétrique de six Y, trois face à trois, les lettres doubles gâchent la symétrie du dispositif. V et F,bien que valant 26, sont manifestement de trop car la gematria (72) des 4 lettres en jeu (VY; FY), ne convient pas même enrajoutant le 3ème Y(23) cela ferait 95. Mais réduire l'ensemble à 3 doublons n'est pas envisageable car s'il s'agit bien de restersur 39 cases, il faut aussi garder 44 lettres pour repérer cinq cases (ou rang) avec des doubles lettres et avoir lacorrespondance avec la numérotation des grilles alphabétiques triées comportant 5 couples de grille-doublons.

    Ces grilles sont au départ, lors de la fabrication, au nombre de 48 (4 séries de 12). Passer à 44 grilles, est simple : je l'ai déjàexpliqué, on a fait abstraction des 4 têtes d'alphabets (il y a d'autres façons mais j'ai opté pour celle-ci). donc pour formaliserensuite le nombre de rang à 39, il faut repérer ces 4+1 doublons, soit 10 grilles comptant pour 5 rangs. C'est donc là, unepartie du simulacre (avec les fausses lettres doubles). Bien entendu cette supercherie n'avait qu'un but nous compliquer latâche et tester nos connaissances car il demeure cependant que ces valeurs sont très symboliques : 3¹+3²+3³ ou comme ici, 3lignes de 13 cases et 4x11 sont des nombres "sensibles" en lien avec les mécanismes du "miroir".

    J'ai, je pense, montré l'importance du 39 dans l'alphabet et la numération hébraïque ainsi que dans plusieurs écritscomportant de tels repères "sacrés", ceux auxquels Nostradamus (comme tant d'autres) faisait référence (c'est sous-entendu) en citant le quatrain latin dans sa lettre de dédicace que cite le Dr Guinard dans leCN 69 du site Nostradamica :

    Volventur saxa litteris & ordine rectis, Cùm videas Occidens & Orientis opes : Ganges indus, tagus, erit mutabile visu, Merces commutabit suas uterque sibi.

    Des repères effectivement sacrés ou les « sacrées Écritures », ou les « sacrées lettres » (citées dans l'articlewikipedia sur Nostradamus- note 48) auxquels il fait aussi référence dans son épître à Henry roy de Francesecond,) sont discrètement mais régulièrement (3 par vers : 2 N et un V) disséminés dans ce quatrain sur les 3premiers vers : 6 N(78) et les 3 v agrandis par mes soins,

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Nostradamus#cite_ref-48http://cura.free.fr/dico3/708Bcode.htmlhttp://sergioh.canalblog.com/tag/Nostradamus

  • Ces 3 v pouvant être assimilés à la minuscule de Nu(13) par analogie graphique valant seulement 39 en ce casou bien par analogie numérique de base, soit 20(B10)--> 22(B9npz) et 22 en B12npz vaut 26 (B10) donc 3V correspondent à 78,

    Le fait qu'à chaque ligne 2 N soient associés à un V pourrait conforter cette analogie V => 26 et suggérerait156 pour l'ensemble 6N+3V mais quoiqu'il en soit, il confirme l'intérêt de la base 9npz (voir en PDF l' article56) qui par ailleurs m'a guidé par la série de carré magiques de 9 nombres vers la recomposition des données.Nous pourrions également entendre l'acronyme NVN נ (nun-wikipedia) de valeur 46 (avec V=20, nousavons déjà vu cette valeur ...) ou 31, symétrique de 13 (avec V=5)

    Je ne peux m'empêcher de penser aussi à César car si l'on y songe, dans son "Veni, vidi,vici" V est également associé à N ou des équivalents. Le N est bien sûr trivial, et le di est bienrepéré (je rappelle cependant, qu'il peut voir sa valeur 13 doublée à 26 : di =x2) ; "ici" peutcorrespondre à 13 dans vici : i(9)-c(3)-i(1), Il nous resterait alors 2"i" et 1"e" valant 26. L'ensemble vaudrait 78 sans les 3 V (60 ou selon, 66 en base 9npz équivalent à 78,B12npz). Nous avons donc bien 3 V associé à l'équivalent de 6 N. César montrait ainsiqu'il avait certaines connaissances ou certains liens ...

    Le quatrième vers n'est pas concerné par ces 9 lettres. Il ne comporte ni N ni V. Par cette absence, il semble àpart. Pourtant on observe 3 autres lettres différentes, un dispositif valant 39: c.s.s. "Merces" vaut également 65.D'autre part le U de uterque pourrait être pris pour un V complétant le Me(19) de Merces. Je rappelle que 19correspondant à T est un nombre important et que question monogramme, VT présenté sous forme d'ancre ⚓,n'est pas à dédaigner ce qui suggère l'usage du V auquel cas nous avons ici Vterque qui réunit les 2caractères. Ce quatrième vers est la confirmation du caractère sacré ( issu d'un christianisme primitif ou d'uncaractère sacré plus ancien encore ?) de l'oeuvre ici présentée (je parle de la "curieuse" traduction deNostradamus et non du texte de Galien paraphrasant Menodote).

    Mais venons en, aux lettres du message de Nostradamus :

    Les lettres ici en majuscules rouges étant des lettres déjà repérées : pour ce faire, il faut considérer, Faictz(coin en bas à droite, de la suite clé : faictz, Troie, voir, présentée à l'envers : la ligne se terminant par v,T,f), FaictZ (milieuAHFZ) etfeuZ (coin en haut à gauche) qui nous offrent 3 FZ en début et fin de mot.L'opération est justifiée visuellement si l'on enlève le statut de lettre repérée à V de VraY et F à FoY etque l'on leur substitut F et Z pour constituer un trio FZ(30 ) nous trouvons alors un ordre adéquat correspondant à un tri, pour 4 des grilles fabriquées avec la croix des huit béatitudes (voir méthode del'échiquier).

    Ce triplé FZ vaut donc 90 (en base 10) mais en base 9npz, il s'écrirait 99 (ou 3x33) un nombredéjà  évoqué   lors de l'analyse du nom    Percevalen ce qui concerne Chrétien de Troyes etParzifal pour Wolfram von Eschenbach. 

    Outre la possibilité de ramener le nombre 99 à 91 (7x13), il manquait à cette analyse, l'analogiebase 9npz => base 12npz. Sachant que ce 99(en base 9npz), s'il signifie alors 90(B10),  écritavec   les   mêmes   chiffres,   99,   en   base   12npz,   se   traduit   par   117   (3x39   ;   B10   usuelle),correspondance symbolique  (et non égalité) qui vous le verrez plus loin n'est pas fortuite.

    http://sergioh.canalblog.com/archives/2013/11/29/28540431.htmlhttp://sergioh.canalblog.com/archives/2013/07/22/27689588.htmlhttp://sergioh.canalblog.com/archives/2013/07/22/27689588.htmlhttp://storage.canalblog.com/62/19/1131451/88497357_o.pnghttp://fr.wikipedia.org/wiki/Ancre_(symbole)http://fr.wikipedia.org/wiki/Veni,_vidi,_vicihttp://fr.wikipedia.org/wiki/Alphabet_h%C3%A9breu#Alphabet_consonantique_de_base_ou_.C3.A9tendu_.28abjad.29_et_valeurs_phon.C3.A9tiqueshttp://storage.canalblog.com/29/24/1131451/97500321.pdfhttp://storage.canalblog.com/29/24/1131451/97500321.pdf

  • Nous avons donc trouvé 4 mots à 2 lettres repérées, correspondant à 4 grille-doublons. Le seul rang necorrespondant toujours pas (du moins pas vraiment avec Bac/mac) est le FZ du milieu, celui, nonmodifié, d'origine avec FaictZ situé précisément en 16ème position (2 décomptes différents, dont unboustrophédon). Il y avait donc une astuce pour lui faire correspondre cette grille-doublon où, aucentre, les 3 lettres Ln.A.C. sont effectivement présentes. Cependant, c'est ennuyeux, ces deux grilles seplacent après tri en position 15-15bis (au lieu du 16-16bis espéré).

    Pour effectuer le "simulacre au lac" avec les deux grilles L.AC, il faut donc faire bouger ce calage (parun tri différent, c' est une petite astuce) la grille unique comportant le mot clé BAC qui se placera alorsen 13 (heureusement pas plus haut : car en 11 nous avions deux autres grille-doublons, celles du ROY qui elles, étaient à la bonne place),ce sera donc peu avant ces deux grille-doublons LAC et de ce fait, les repoussera ainsi d'un rang en 16-16bis la grille suivante commençant alors en 17. Je récapitules les doublons : 1-1b ; 11-11b ; 16-16b ; 29-29b et 39-39b(et fin).

    On pourrait aussi méditer sur ce mot BAC devenu soudainement important. Il se trouve également que cette simple grille BAC passera ainsi de la place 26 à la place 13. La symbolique de cette opération est donc non négligeable. Nous avons vu, dans l'article56-Points de vue, (ou son PDF), les relativités des lettres aleph 13(ou 1) = 111 et noun 26(ou 14)=222 (en base 3npz) confortent une telle manipulation. Un peu comme si le B(2) passait devant le A(1), fois 111, bien sûr. L'opération n'est pas une tricherie mais bien une méthode astucieuse (jouant sur deux tris différents). Cette fois les rangs des 5 mots à lettres doubles correspondront bien aux 5 grille-doublons. Nous sortons d'un système numéral quadruple (48,44,40, 36 ...) pour passer à un système numéral triple (3x13).

    Je redonne la grille finale (les lettres d'origine sont cette fois en rouge) :

    Maintenant, parvenu à ce stade, on pourrait se demander pourquoi je persiste à maintenir le N à cetteposition, qui, quelque soit la façon de compter, n'est pas à son rang car il vaut , soit 28 soit 12 (à l'envers).

    Dans le traitement des vers en italique de la traduction par Nostradamus de l'opuscule de "Galen",j'avais au contraire relégué en fin, un vers (comportant la lettre repérée L) afin que le distique puisse secaler sur "la flèche N" en 78 (2x39) et permettant ainsi de ne pas tenir compte de deux mots avec une lettre repérée (T et L), le compte étant auparavant de 41 mots passait alors à 39 ce qui nous donnait aufinal 44 lettres (au lieu de 46). Cela permettait aussi grâce aux 3 lignes de 13 mots d'aligner les 6 Y.

    En fait, j'ai longtemps essayé de recaler ce N pensant qu'il servait à guider l'organisation des lettres maissans résultat probant. Je soupçonnais effectivement l'existence d'une clé d'identification grâce aux motscomptant deux lettres repérées et comme j'avais en partie décodé le message, déplacer le N chamboulaitla disposition en croix et puis une fois le dispositif clé identifié, cela m'incitait à ne plus rien déplacer.Raison pour laquelle j'ai longtemps hésité à toucher aux doublons VraY et FoY.

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  • J'ai finalement admis que YNRY puisse être INRI auquel cas, la position en croix des cinq H (valeur25) ou cinq O (70) et la position du N sont justifiées. On peut alors s'interroger (voir plus loin) sur le Ocentral de la croix des cinq O ou bien ce N coincé entre un Y et un R (ou à l'envers R et Y).

    A cause de ces différents indices, je pense que les soupçons de François Buget sont peut-être fondés :Nostradamus aurait pu être un rose-croix. C'est à dire à la fois kabbaliste et chrétien.Ces deux ré

    férences semblent omni présentes ensembles dans le système de Nostradamus. La plupart de ses citations"cachées" auxquelles François Buget (plusieurs articles-cf le tag) fait référence vont en ce sens.

    L'article de wikipedia sur Nostradamus ne fait malheureusement pas référence aux articleséclairés (quelquefois seulement, et embrouillés ailleurs, c'est volontaire) de cet écrivain trèspertinent François Buget intervenant par le biais de nombreux articles dans le Bulletin duBibliophile et du Bibliothécaire (4 années de 1860 à 1863. Voir les articles en PDF).

    Comme Brind'amour est par ailleurs cité dans cet article de wikipedia , et que ce dernier connaissaitles écrits de François Buget (voir la note 59 de cet article, aux références qui, avant Brind'amour,avait été données par François Buget), exégète qu'il rejetait sous prétexte que ce dernier admettaitque Nostradamus fut l'auteur des sixains et de la onzième et douzième centurie (cf l'article de PatriceGuinard du C.U.R.A. CN -125), Bien que "l'erreur" fut humaine, il ne lui accorda alors,officiellement, guère de crédit. La tâche engagée par Pierre Brind'amour n'était certes pas facile,mais ces recherches venant d'un philologue, il aurait du en reconnaître un autre.Je pense que François Buget attachait beaucoup plus d'importance à ce qu'il avait découvert dans lacurieuse traduction de Nostradamus de l'ouvrage de Galen (ou Galien), et qu'il avait du trouver dessignes de même nature dans ces textes cités auparavant puisqu'il dit, je cite : "ce livre contenoitréellement le secret de l'auteur, et complétoit les preuves qu'on en trouve dans tous ses écrits, si l'onest enfin sur la voie."Bulletin du Bibliophile et du Bibliothécaire. F. Buget, année 1861 page 395.Bien que cela ne fut pas plus expliqué, il y avait là de quoi intriguer. Car il se trouve, que bizarrement, il n'insistera pas dans ses interventions, sur des informations réellementimportantes comme celle-ci, les noyant dans une foule de détails. Pourtant, il nous donnera à quelquesendroits, l'occasion de vérifier qu'il était bien au courant de l'usage de repères sacrés ou "sacrées lettres". Jesuis étonné que certains de ces spécialistes (pourtant bien au fait des langues anciennes) n'aient pas étéétonnés de ses explications sur le latin. Il est vrai qu'à certain moment il semblait farfelu, pratiquant peut-êtrelà, une sorte de pastiche. Je ne pense pas qu'il ait vraiment cru à l'authenticité "nostradamienne" de ces ouvrages là, car il fait montrede beaucoup de connaissances sur ces sujets et aussi de recul, avec je pense, l'appui d'autres personnes étantégalement férues dans la bibliographie et les documents écrits concernant Nostradamus (il y fait allusion). Ilsemble disposer d'autres éléments et c'est sans doute ce qui lui a fait suggérer l'hypothèse que nousretrouverons plus loin, hypothèse qui explique que l'on puisse trouver ces mêmes signes dans des écrits qui nesont pas de Nostradamus. Il devait avoir d'excellentes raisons pour ne pas vouloir en exposer plus et ne pasdévoiler les pistes (la voie) de certains mystères.

    En ce qui concerne les sixains qui de fait, semblent apocryphes, étant très tardifs, on remarque ces fameuxsignes. J'avais déjà fait remarquer l'usage des lettres SCS (39), dans six cens, par exemple (cela peut êtredans le désordre). Expression que l'on retrouve dans les centuries, la traduction de l'ouvrage de Galien (ouGalen), et bien sûr, à l'envie, dans les sixains.

    http://cura.free.fr/dico8art/1008brin.htmlhttp://cura.free.fr/dico8art/1008brin.htmlhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Nostradamus#cite_ref-59http://storage.canalblog.com/42/36/1131451/94714663.pdfhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Nostradamushttp://sergioh.canalblog.com/tag/Francois%20Buget

  • Certes le terme six cens est sur-abondamment utilisé et cette lourde insistance diffère ainsi sciemment du stylede Nostradamus par cette exagération forcément volontaire (une sorte de contre-pied) comme si l'on avaitvoulu qu'elle ne soit pas prise au sérieux.

    On peut très bien glisser SCS, CSS, ou SSC dans un texte sans que nécessairement l'auteur soit au courant dece que cela implique. Pour les lecteurs avertis, c'est aussi la quantité de texte qui importe. : Les 58 sixainssont réductibles à un distique 8 x 39 paires de vers. En effet, 18 double vers contenant le terme "sixcens" sont de trop (il faut trouver lesquels) ; 18=> lettre S mais aussi 18x2=36, est équivalent à six sixains (ilfaut surtout chercher les rares double-vers valides contenant "six cens" ).

    Il resterait donc l'équivalent de, 52 sixains ou de 78 quatrains ou de 156 double-vers. Dans mon analyse desdonnées issues de l'opuscule de Nostradamus traduisant "Galen", j'avais émis l'hypothèse d'un dispositif avalisant le retrait de données dans trois œuvres différentes, je me cite : "Résumons et ordonnons : 24(centuries) ; 30 ("Galien") ; 36 (sixains) soit 6x 4 : 6x 5, 6x 6. " 24, 30, 36 sont les nombres de vers à retirerdans chacun des documents concernés. J'avais pris 6 (guidé par le jeu de mot censix d'une référencealphabétique) comme dénominateur commun mais comme l'on parle de distique, il s'agit en fait du nombre 3 :3x8; 3x10; 3x12. 8+10+12=30. Ce fameux 30 ( 15x2) qui comme le 11, revient fréquemment chezNostradamus.

    Les 58 sixains (certes 942q.+58s.=1000 ? mais cela ne semblait pas crédible !), auraient donc déjà été prévudu vivant de Nostradamus (1557-1558 années de publication de la traduction de Galien). Rien ne s'oppose àl'hypothèse que ces sixains puissent avoir alors été publiés à titre posthume (1611 ? édition troyenne, voir CN80, CURA), ou qu'un autre intervenant (un des "amis") les ait composé du vivant ou après la mort deNostradamus. Dans un cas, comme un autre, cela nécessite des complicités.

    J'accorde que François Buget utilisait peut-être, un nom d'emprunt et qu'il masquait une érudition certaine,tout en feignant de ne pas être sûr de lui, au contraire de certaines fois ou usant de la gematria, ses propossemblent brusquement affirmatifs mais bizarres. Il était donc difficile de cerner ce personnage "flou &fuyant". Il me semble cependant que certains des exégètes de Nostradamus ont puisé malgré tout, dans sescontributions bien documentées pour appuyer leurs thèses.

    Patrice Guinard (C.U.R.A.) n'ayant pas, pour sa part, jamais manqué de rigueur, en citant ses sources,semble avoir été à contrario, victime d'indélicatesses (voir le lien plus haut). Ces références sérieuses m'ontainsi "mis sur la voie" en ce qui concerne "François Buget", Cela m'a incité à pousser la recherche sur lesarticles de Buget.

    Il ressort des analyses de François Buget, que Nostradamus cite BIEN mais de façon choisie, etdiscrètement certains écrivains (il fait par exemple référence à Marcile Ficin en tant que traducteurmais aussi implicitement en tant que philosophe, et Savonarole) et différents autres auteurs, afin de"situer" pour certains lecteurs avertis comme Buget, la thématique essentielle de son propos. Descitations trop explicites auraient pu le mettre en difficulté (Pic de la Mirandole, -élève de Ficin- etson secrétaire, ont été empoisonnés à l'arsenic...). Ces personnages ont pu appartenir au mouvementRose-Croix. Il ne s’agit pas d'assener des citations « irréfutables » comme le font un grand nombre d'admirateursinconditionnels mais peu critiques pour affirmer que Nostradamus fut un "prophète" authentiqueavec des prédictions extraordinaires avérées, ou d'autres, à l'inverse, souvent par réactionrationaliste, souvent militante, quelque fois même viscéralement opposées, tentant de démontrer partous les moyens qu'il fut un affabulateur sinon un escroc, ou bien, ce fut aussi très fréquent pourd'autres encore, un objet de risées ou d'instrumentations, par exemple, par les manipulations dedonnées, des imitateurs farceurs ou calculateurs, crurent trouver là un sujet facile pour créer uncanular ou la sensation (F. Buget nous cite l'un d'eux).

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Pic_de_la_Mirandolehttp://cura.free.fr/dico2pro/711Ache.htmlhttp://sergioh.canalblog.com/archives/2013/07/21/27686819.html

  • La théorie qui prédomine actuellement parmi ses détracteur est que Nostradamus fut unauteur multipliant de façon éhontée les plagiats de textes anciens (des templiers, parexemple). Nostradamus serait donc pour ces derniers, un charlatan utilisant différentsauteurs, pour donner de "l'étrangeté", de "l’exotisme", de la "couleur" et aussi de la quantitéet accréditer ainsi la constance de sa voyance qui serait, en fait, basée uniquement surd'antiques prophéties remaniées.La thèse est faible et insidieuse et ne tient pas compte ni du contexte historique ni de la réellefiliation qui existe entre Nostradamus et cette tradition, ni même du fait que ces citations ousource d'inspirations copiées, ne sont pas, au contraire des dires de certains (enclins àl'exagération malicieuse) aussi nombreuses que cela, ni vraiment des copies "à l'identique"destinées à sa mise en valeur ou à surseoir à un manque de savoir faire (astrologie, parexemple). Ces références forment une trame soigneusement conçue, pour "encadrer" les centuries desuggestions et fonctionnent de façon sémiotique (expressions imagées ou codifiées -circonstances (moments,durée, lieux) - sujet) et peut être par huitains.

    Il s'agissait aussi d'admettre la possibilité qu'il puisse appartenir à un groupement depersonnes prudentes ayant des objectifs particuliers à la fois liés à la Kabbale mais aussi auChristianisme (sans porter de jugement de valeur) et que pour cette raison, il (ou ils)manifestait(aient) ainsi cette appartenance par différents signes et références lettrées ouchiffrées. Cette position supposée de Nostradamus en tant que porte-parole devait être nécessairement très inconfortable et dangereuse. Quoiqu'il en soit, au regard de ce qui transparaît de lui etde sa vie, il semble bien avoir "joué" ce personnage clé. Dans les faits, il a plusieurs fois étéen très mauvaise posture. Il était nécessaire en ce cas, au contraire des apparences fantaisistes qu'il donnait dans sesécrits, d'user d'une grande finesse d'esprit pour fixer ainsi l'attention du plus grand nombre etpropager certaines idées qui seront examinées d'une part par un large public de lecteurs (etd'auditeurs) qui souvent, prenaient au pied de la lettre ses écrits mais aussi les libell e de sesdétracteurs (à l'image des échanges de "tweet" belliqueux de notre époque). Cela pouvait êtrecommenté en comité très restreint ou assemblées secrètes de rares personnes bien plus au faitde ce qui était suggéré. Il lui fallait donc maintenir cette attitude suspecte et ambiguë, sans toutefois se trahir enrisquant de tarir cette audience exceptionnelle pour l'époque par une mort prématurée. Jesuppose qu'en ce cas, quelqu'un aurait repris le flambeau. Il bénéficiait toutefois d'appuispuissants qui lui ont évité le pire, à certains moments.

    Claude de Savoie, comte de Tende, sous prétexte de mesures préventives le "séquestre" chez lui le 16décembre 1561, dans le château de Marignane (officiellement pour lui interdire de fabriquer des almanachs etpronostications, ce qu'il déclara au Roi Charles IX qui avait ordonné son arrestation) Il le déroba ainsi à lavindicte de ses ennemis en l'accueillant dans son logis, une prison dorée : c'était son ami- (voir le CN 97 dePatrice Guinard mais F. Buget le relate également).

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Libelle

  • Ces assemblées évoquées auparavant, me semblent soulignées par le quatrain 7 de la centurieI :"Les coniurez Xiiij. ..." (xiiij. signifie 14 mais il y a là des astuces : Xiiij est dans le 14è double versqui marque la fin du 13è vers (le j clôture une énumération de foliotation). Cette concordance denumérotation de double-vers confirme un signe d'utilisation d'un distique (et non de quatrains).

    Le J peut être pris pour Jésus et aussi J comme dernière lettre de l'alphabet car il est précédé par Z(ordre qui semble confirmé par l'usage de la gematria sidouri en alphabet 3). Quant au 13 (XIII) àpeine modifié par le J, il est bien l'un des repères sacrés, avertissant du caractère chrétien etkabbaliste du document.Cela est confirmé d'une manière très simple par la présence du c de coniurez opposé au X (pris pour 10 ou pour K valant 10). CK car CK=>13 (N)

    Serait-ce là, le seul élément de ce genre dans les écrits de Nostradamus, j'aurais volontiers admis lafaiblesse de l'argumentation mais plus mes études avancent, plus cela se confirme.Centurie I, quatrain 7 (orthographe de la version 4 mai 1555, Lyon, Macé Bonhomme) :

    Les zones en bleu clair indiquent des gematria x13 : LLP =39 ; raire=52 ;cX=13 et iJ=26 ; sen=39;. Secte se=26. Lesfins de deux vers sont particulières car i est compté comme 1 et le s en forme de f (F) est bien pris pour un F et doncvaut 6, pr1nfes vaut en effet 78.

    J'ai vu d'autres correspondances mais pour une raison symbolique, je n'ai gardé sur 3 vers, que le début le milieu et lafin ...

    François Buget laisse entendre que Rabelais (qui s'est essayé aux compositions de prédictions) futrosicrucien et que Nostradamus, loin de le rejeter comme concurrent (on avait tenté de les opposercomme tels) avait, au contraire des affinités avec Rabelais. De là, à dire qu'il fut aussi rosicrucien ... Je redonne la citation déjà donnée dans l'article : 77-Francois Buget PDF « 2)Divers passages de Rabelais me persuadent que cette société avoit pour emblème la rose. La rose est le symbole du silence et de la discrétion : d'où l'expression Dire sous la rose, sous le secret. » Buget Bulletin du Bibliophile, 1861, partie C, page 383. [ Dire Sous LA Rose, Sous Le SEcret = 13 + 18 + 13 + 17 + 18 + 12 + 26 = 117 ou SUB ROSA 91 ] [il faut noter « l'insistance » par répétitions successives, sous des façons discrètes, qu'avait François Buget de souligner ce nombre117 , en particulier concernant Nostradamus, -mais d'insister aussi par le jeu de son anagramme (voir en fin après la citation dumême article) de confirmer sa réelle importance- et comme, par transitivité, cela est relié aux rose-croix, il semble nous indiquerqu'il s'agit là, de l'un des repères sacrées les désignant, un signe assurément trinitaire bien que la « rose » soit représentée par lasuite (17è siècle), à 5 pétales. 3,4 ou 5 : Ces différences symboliques s'expliquent ... ... (voir l'article 56)]Plus loin dans l'article, il confirme son opinion sur le fait que Nostradamus fut au contraire trèsproche de Rabelais par les idées. Cette hypothèse, amorcée de façon anodine en note (2-) de bas depage est tout à fait essentielle. Je crois que c'était même ce que François Buget cherchait vraiment ànous faire savoir (dans un contexte d'agitation franc-maçonnique européenne intense). À laRenaissance (et même avant), la noblesse instruite, manifestement ciblée par les "rosicruciens", étaitférue d'énigmes et de mystère. Cette tactique "élitiste" n'était pas nouvelle. Nostradamus avait dessoutiens certains, y compris à la cour, y compris dans le clergé. L'idée n'est donc pas saugrenue.

    C'est même l'hypothèse la plus pertinente qu'il m'ait été donnée de lire sur Nostradamus. Cette idée ne préjuge en rien de la validité ou invalidité du phénomène de "voyance", un tel débat d'idée se situe ailleurs. Elleéclaire pourtant Nostradamus sous un autre jour. Que les sixains, la onzième et douzième centurie, soient réellement de lui prendune importance très relative, s'il l'on admet qu'il fit partie d'un groupe chargé de répandre des informations. Cela résoudraitégalement certains problèmes de datation (ou d'anti-datation).

    http://sergioh.canalblog.com/archives/2014/02/16/29225140.htmlhttp://cura.free.fr/801A-55A.html

  • Si les rosicruciens existaient déjà à cette époque, ils ne se manifestèrent pourtant en tant que tel, que le siècle suivant (17è siècle,1614), comme cela fut anonyme, il est bien difficile de dire que ce fut là, la même organisation. On ne peut que le supposer commel'a fait François Buget.

    Les "citations" sont souvent habilement modifiées apportent des éléments supplémentaires pour montrer les mécanismes commepar pédagogie. J'en ai cité plusieurs. Certains, nous l'avons vu auparavant, utilisent pour obtenir des nombres, le calcul desnombres un mélange de gématria sidouri (initiales)ou pleine ( « Millouï ») et un mélange avec la numération romaine, ou seservent de certaines ambiguïtés dans les transcriptions de lettres romaines (au départ uniquement en majuscules, ex: Galien =>GALENVS) (principalement U/V et I/J).

    Par exemple le fameux "LEGIS CANTIO CONTRA INEPTOS CRITICOS" (une citation de Petrus Crinitus voir aussi sur wikipedia-Nostradamus la note 65), cela a été remarqué, dont les initiales sont aussi l'acronyme d'un nombre latin 249 (soit LCC quivaudrait 150 + IC qui vaudrait 99) qui remis à l'endroit donne 942 (article 162 du Corpus Nostradamica, C.U.R.A.), soitprécisément le nombre de quatrains de certaines éditions complètes des "centuries" (à 10 centuries), j'ajouterai que ce mécanismeest confirmé par le nombre « 3797 ». .[A noter que ce texte d'avertissement est à rapprocher, de celui connu dans le nouveautestament " Ne jette pas ..."( Matthieu VII, 1-6 .) est reprise par l'un des manifestes rose-croix avec la variante " de marguerites auxpourceaux" ou lieu de "tes perles aux pourceaux" cette dernière vaut 50 en initiales ( mais la gematria concerne peut-être plus demots) tandis que la précédente ( en comptant "de" pour 12) vaut 39 ...]

    Car l''article de wikipedia reprend aussi, ironiquement (semble-t-il) ce nombre 3797, dixit Nostradamus(préface à César), un nombre manifestement exagéré, comme étant l'année de fin de la période couverte parles prophéties. A moqueur, moqueur et demi : il s'agit là d'un clin d’œil de Nostradamus : la plus grandepartie des ses indications de dates en clair (comme 1999 par exemple), comportent des astuces comme vousallez le voir.

    J'avais, par ailleurs, fait remarquer qu'on pouvait le comprendre comme 39 et 77 (7x11 ou 7x2). indiquant que la véritable findes "centuries" se situerait en centurie 7 (qui a l'époque de la préface à César, pour l'édition à 7 centuries, (sans le rajout des troisdernières "centuries") s'est terminée effectivement, à un moment, au 39è quatrain (N°XL) centurie VII façon de confirmerl'importance du 39, qui vaut ici 40 soit la valeur du mot « roi ». ROI(40)=>ROE(39).

    Ce XL=40 est du au fait qu'il y avait bien 40 quatrains dans la 7è centurie mais comportait un quatrain en moins avant, la centurieVI se terminant à 99 -ce qui est aussi symbolique.Cette fin (supposée) en centurie 7, quatrain 39 ne signifie pas qu'il faut exclure les trois dernières "centuries" rajoutées ensuite

    mais bien qu'elles s'achevaient à cet endroit à la période concernée par la préface à César et donc puisque des quatrains furentrajoutés ensuite dans le même ouvrage, que le vrai début des "centuries" n'est pas nécessairement où l'on pourrait le supposer. Onpourrait, par exemple, commencer des analyses détaillées, de la 8è centurie. En fait, pour indiquer cette fin probable, il eut duécrire 4727, soit 42-77 mais ces nombres étaient bien moins parlant en regard de la date 1555 de référence.

    La "première" partie des "centuries" à 7 centuries fut tout d'abord éditée en septembre 1557, à 642 quatrains (elle comportait enfin de cent.VI la version (je redonne le lien) du fameux« Legis Cantio... » en guise de quatrain C (100) puis régressa étrangement , à639 quatrains. Il y aurait aussi eu une ou des versions 640q (639+ « legis cantio... » ? ; voir sujet plus loin). Grâce à l'ajout de 3quatrains (1 en VI et 2 en VII) elle finira par repasser à 642 quatrains (de façon stable), car elle sera complétée ensuite à 642q.avec (en 1568 ?) une deuxième* partie conséquente bien distinguée (épître à Henry II, Roy de France ), avec 300 quatrains divisésen 3 « vraies » centuries (VIII, IX, X). *Nostradamus aimant beaucoup le 3, il le répète tout au long des« centuries » et autres écrits ( mot clé : « Troie » trad.« Galen »), on est étonné qu'il n'ait marqué ainsi d'une« préface » que deux parties des « centuries » : « Deux grands copies trois fois s'assembleront, » Cent. 3quat. 31 ou « de(2) mer copie en trois pars divisée » cent. 9 quat. 97. (celle de la traduction de Galencompterait-elle?). Je lis d’ailleurs la dernière citation : de(ux) mer copies divisée par_ trois !Ces rebondissements éditoriaux s'achevèrent ainsi, sans que cette centurie 7 fut modifiée par la suite et puisse atteindre la centaineespérée de quatrains, ce qui a fait couler beaucoup d'⚓. Les autres éditions rajoutant , les sixains (qui auraient du être à part), les11è et 12è centuries sont effectivement fautives. Il fallait pour ceux qui avaient analysé la numération symbolique des centuriestrouver quelles parties devaient être « rabotées obscurément » : certes 3 quatrains sur les 6 prévisibles semblaient ainsi toutdésignés mais c'était là ( à mon avis) une nouvelle fausse piste. En guise d'intermède, je renvois une fois de plus mes lecteurs au prolixe Dr Guinard, en ce qui concernerait une édition à 6 40quatrains (exemplaire non fourni) de 1557 (cliquez sur ce lien pour voir l'exemplaire 639q présenté par BVH, un excellent site). Jerajoute ici des commentaires sur cet article :

    http://www.bvh.univ-tours.fr/Consult/consult.asp?numtable=XOSZK_8192&numfiche=155&mode=3&ecran=0&offset=2http://www.bvh.univ-tours.fr/Consult/consult.asp?numtable=XOSZK_8192&numfiche=155&mode=3&ecran=0&offset=2http://cura.free.fr/dico2pro/906-1627.htmlhttp://cura.free.fr/dico2pro/906-1627.htmlhttp://cura.free.fr/dico2pro/906-1627.htmlhttp://www.bvh.univ-tours.fr/Consult/consult.asp?numtable=XOSZK_8192&numfiche=155&mode=3&ecran=0&offset=2http://www.bvh.univ-tours.fr/Consult/consult.asp?numtable=XOSZK_8192&numfiche=155&mode=3&ecran=0&offset=2http://www.bvh.univ-tours.fr/Consult/consult.asp?numtable=XOSZK_8192&numfiche=155&mode=3&ecran=0&offset=2http://www.bvh.univ-tours.fr/Consult/consult.asp?numtable=XOSZK_8192&numfiche=155&mode=3&ecran=0&offset=2http://objects.library.uu.nl/reader/index.php?obj=1874-9857&lan=en#page//14/33/29/143329893946358788392663001242356548391.jpg/mode/1uphttp://objects.library.uu.nl/reader/index.php?obj=1874-9857&lan=en#page//14/33/29/143329893946358788392663001242356548391.jpg/mode/1uphttp://objects.library.uu.nl/reader/index.php?obj=1874-9857&lan=en#page//14/07/32/14073246392139328558448562579630640145.jpg/mode/1uphttp://sergioh.canalblog.com/archives/2013/07/16/27654124.htmlhttp://www.bvh.univ-tours.fr/Consult/consult.asp?numtable=XOSZK_8192&numfiche=155&mode=3&ecran=0&offset=160http://www.bvh.univ-tours.fr/Consult/consult.asp?numtable=XOSZK_8192&numfiche=155&mode=3&ecran=0&offset=160http://sergioh.canalblog.com/archives/2013/09/27/28100917.htmlhttp://www.regard.eu.org/0Bible.Segond/Matthieu6-10.html#7.1http://fr.wikipedia.org/wiki/Nostradamus#cite_ref-65http://objects.library.uu.nl/reader/index.php?obj=1874-9857&lan=en#page//14/33/29/143329893946358788392663001242356548391.jpg/mode/1uphttp://fr.wikipedia.org/wiki/Rose-Croix

  • • le premier concernant la date d'édition (et de naissance de André, 3è fils de Nostradamus) : 3 novembre 1557 (citée parPatrice Guinard) ; 3/11/ (15)-57 => 3x11 +57 =90 (voyez l'analyse faite auparavant pour 90 et sa correspondance au99 : => fin centurie VI ; V. 639q.). Je décortique ensuite le titre décrit par Georg Schwindel alias Sincerus en 1732 selonPatrice Guinard du C.U.R.A.(Nostradamica):

    • LES• PROPHETIES (remarquez sur la recomposition de droite en page du site, en verticale les lettres quasi alignées EHES (valeur 39):• DE M.Ces 3 lettres isolées attirent l'attention étant repérées car utilisées dans la "croix des 8 béatitudes" (alphabet 2, cependant).• ( NOSTRADAMVS) rajouté pour le visuel, voir en sa vraie place ci-dessous• MICHEL (40,i= 1, ou 48, i=9 et L=12) NOSTRADAMVS (136) ).numérations gematria sont rajoutées en rouge et les "romaines"

    sont soulignées

    • "Dont il en y à trois cents qui n'ont encores iamais estéim-" (im : valeur 20 ; i=9)• "primées(78, i= 1)" • La gematria utilisée pour "Michel" n'était pas bonne, usons alors de celle-ci : M 11, i 1, C 3, h 5, e 8,

    L 50=>78.• Donc "Michel Nostradamvs..im-" vaut 78 + 136 + 20 soit 3 x78 avec les 78 de "primées" cela fait 312

    (2x156). On constate que cette curieuse mise en page est bien en accord avec les nombres de Nostradamus et ceux de la croix des huit béatitudes. Si c'est une invention(possible) de M. Georg Schwindel, il semblait au fait, de certains repères, à moins que ceux ayant copié la version 1557 ne le fussent.

    Je me permets (compte tenu d'analyses numériques ci-après), deproposer que cette édition à 639 q.(celle localisée à Budapest) nefusse effectivement pas considérée comme « fautive » (au contraired'une à 2 parties, 1555 et complément jusqu'à 640 quatrains ou plusde 641, « Legis Cantio... » compris ?) mais bien « indicative » d'unecertaine symbolique, en cela, très utile (avec la date : 3/11/57). => Quatrain 39 centurie 5 (la gematria globale du dernier vers vaut 39)La référence de variations (lysissu pour certaines versions) au quatrain 39 de la centurie V indiquée par Georg Schwindel, me semble un prétexte pour établir une référence judicieuse ne concernant qu'indiretement les centvries

    Je vois là une allusion très claire (39+5) au dispositif 39=> 44 (message secret, traduction du livre de Galien) longuement exposédans cet article. Je relie ce quatrain aux Médicis ou même à Catherine de Médicis qui étant Reine de France, incorporait le blason deFlorence dans le sien (mais depuis l'autorisation de Louis XI, les Médicis pouvaient adjoindre les fleurs de lys royales françaises àleurs blasons). J'ai remarqué que la gravure de première page (présentée sur le site http://www.bvh.univ-tours.fr ) était inversée parrapport à celle du 6 septembre 1557 ou celle de la reconstitution du CN 106, la gravure est moins fouillée (pas d'étoiles), et le dessinplus grossier (astrolabe mal dessiné, perspective de la table), le texte semble respecté avec cependant des abréviations qu'on netrouve pas dans celle de septembre comme si cette version n'était qu'une tentative peu habile de copie, si peu habile qu'il manqueraitdes quatrains. Il faut remarquer aussi qu'une « faute » : expuiser(c7,q32) sera reproduite ( qui sera corrigée ensuite en 1568, enespuiser avec le rajout du mot "pour" dans un ver). Intéressé spécifiquement par les "copie(s)" je n'ai pas tout comparé. Cette "faute" banale en apparence, avec ce x, compose en fait un chrisme : xp (39, voir fin d'article) comme lis(39) au lieu de lys(correspondance y=>i établie dans le quatrain mais aussi par F. Buget) ce qui vaudra également pour vray=> vrai (39) donc avec leN° du quatrain cela fera :3x39=117, à se demander si ce n'était pas cela que Georg Schwindel voulait que l'on observe, ou peut-êtreégalement la répétition du du hé He (héritier d'Hetrurie) de valeur 26 (il y a d'autres valeurs remarquables comme sang par exemple).Ne vous laissez pas abuser par le "Dont il en y à trois cents qui n'ont encores iamais esté im-primées" Ces "trois cents"concernaient bien la deuxième partie ultérieure comprenant les centuries VIII, IX et X, introduite par l'épître au Roi mais qui neseront pas présentes dans cette édition.La « bonne » phrase aurait été ; « Dont il y en à trois cents (dans cette édition) qui n'avaientjamais été imprimés », ce qui resterait inexact. Car cette formulation floue marquait le complément à 7 centuries, qui pourtant,dans les faits, ne comportaient pas 700 quatrains.Donc il n'y eut pas les 347 quatrains additionnels nécessaires pour avoir 700q. en s'ajoutant aux 353 quatrains de la premièreédition (Lyon, mai 1555) mais avec ce total de 639, il n'y avait seulement que 286 quatrains de plus (et non 289 (car il ne faut pastenir compte dans ce calcul de la 1ère version -intermédiaire- à 642q. mise pour égarer les spéculateurs), 286 soit 22 fois 13 oubien, selon, toute l'astuce est là :11 fois 26 (« Ma Mère L'Oye ») Ce qui en mettant en vis à vis les termes de cette égalité établit unecorrespondance croisée Base 10npz Base 12npz, des auto symétriques. Ces nombres sont offerts en guise d'hommage à la naissance d'André de Notredame. Ils concernaient très précisément la versionépisodique à 639 quatrains qui a été ainsi distinguée. Bien sûr avec la version finale à 642 quatrains, il y a bien 289 quatrains dedifférence avec les 353 quatrains de mai 1555, et tant que le complément définitif de 300 quatrains portant le total à 942q. ne serapas ajouté, ce nombre laissé à 642 quatrains laissera perplexe nombre de lecteurs attentifs à la symbolique des nombres (voir plusloin). Cette valse hésitation de Nostradamus sur ce nombre complet de quatrains dérouta imitateurs & adversaires malicieux.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Maison_de_M%C3%A9dicis#Histoire_des_M.C3.A9dicis

  • C'était une arithmétique particulière que Nostradamus feindra de voiler en intercalant tout d'abord, une première version à 642quatrains et pour la version à 639 quatrains, en finissant par un quatrain XL à la 7è centurie. Il se doutait pourtant bien, au regardde toutes les précautions d'éditions prises, que les décomptes seraient scrupuleusement vérifiés. Il souhaitait donc bien que cettesymbolique soit perçue par des "amis" connaisseurs en ce genre de symboles. Cette annonce trompeuse "Dont il en y à trois cents ...&c." concernait donc les 300 quatrains à venir, qui furent publiés, au moinsavec certitude à partir de 1568, et sans doute pas 1558 (édition jamais retrouvée), soit onze ans après 1557 mais surtout 13 ansaprès 1555. L’ambiguïté de la phrase faisait que cela n'était pas un mensonge en 1557. On peut bien évidemment douter de la validité des trois dernières centuries, éditées post-mortem (2 ans après sa mort). Pour lesavoir examinées, lues et relues, à défaut d'être un linguiste, ni un spécialiste des styles des écrivains en général et celui deNostradamus en particulier, donc capable déceler des supercheries et des falsifications, imitations, ou l'intervention d'écrivainsmultiples, je dirais qu'à l'examen de certains mécanismes de gematria qui opèrent comme des signatures, le quatrain 12 de lacenturie 9 est un exemple flagrant, des "repères sacrés" utilisés par Nostradamus bien présents dans les trois dernières centuries etla numération sidouri (et romaine) touchant des quatrains est tout à fait en accord avec ces symboliques sacrées comme nousallons le voir. Cela ne signifie pas que Nostradamus fut l'auteur ou le seul écrivain de ces quatrains mais seulement qu'il(s)respectai(en)t certaines formes de fabrication et certaines règles.

    Mais revenons à 3797 : si l'on soustrait de ce nombre, 1555, l'année de la première édition ce qui donne 2242, nous remarquonsalors certaines similitudes dans la composition de ces nombres liées à des multiples de 11. Mais le clin d’œil au miroir ne s’arrêtaitpas là, 1555+942 =2497 ("LEGIS CANTIO CONTRA INEPTOS CRITICOS"), 3797-2497 = 1300. 13 « centuries » ?[ anecdote :sinous avions pris 1999 au lieu de 1555, nous aurions eu alors 900, 1300+900=2200]

    Le "legis cantio ..."repris par Nostradamus indique, semble-t-il, le nombre de quatrains pour les centuries.Cela donnerait pour les versions "stabilisées", 942 quatrains ou en distique 1884 paires de vers 1884 = 12¹ + 12² + 12³. Dans laperspective d'un décodage d'un texte éventuellement crypté, il est important de connaître la quantité, l'ordre et l'arrangement desdonnées avant de chercher à le traduire. Ce « Legis Cantio ... » apparaîtra sur les éditions à partir de 1557 (y compris 1568).En tenant compte de certains indices (comme les "13 copies" je propose de se cantonner à 1872 paires de vers ou 936 quatrains.1872 = 12x(13x12) ou 12x156. On peut ainsi imaginer 12 distiques "centuries" de 156 paire de vers. Et peut-être 13 avec les sixainsdont la 1ère date d'édition est peut-être 1611 (56 ans après 1555). Cela porterait à à 936+78= 1014 l'équivalent en quatrains oubien un distique total de 13x156=2028.Je n'ai pas trouvé d'adéquation très franche avec les calculs du Dr Guinard (cela ferait unécart de 116 en équivalent quatrain dans le décompte de 1130 qu'il obtient de différentes façons).

    [note relative aux analyses de Patrice Guinard dans son CN177 (pour vérifier gardez le lien ouvert dans un onglet à part .) :1. Nous avons vu précédemment, que 286 représentait l'écart de quatrain entre la version de mai 1555 et celle de novembre

    1557, or 286=2x143 (nombre que l'on retrouve par l'analyse, trois fois dans le testament de Nostradamus : 286, 143, 1430,nombres auxquels il ne manquerait que des 13 fournis de différentes manières pour donner 156, ou des multiples. À "286",il faudrait rajouter 2x13, à "143", un seul 13 et pour "1430", 10x13 seraient nécessaires. Ce qui nous ferait en tout 13x13=169 soit le total des nombres de pièces énumérées

  • centurie X, quatrain C (100) 2è moitié

    Grandes copies passer par mer & terre,(valeur 78)Les Lusitainsn'en seront pas contens.(valeur 81 - c = 78)

    J'ai bien lu, l'article de wikipedia (voir lien), les Lusitains constituaient un peuple d'une région de l'actuelPortugal, mais suspectant le rôle régulateur que jouent ces « copie(s) » je ne pouvais me satisfaire de cettedéfinition. En effet, je trouve une anagramme dans ce nom : utilisans. Les "utilisans" (utilisateurs) n'en seront pas"contens" comme s'il y avait là une (mauvaise) surprise et que pour le lecteur au bout de sa lecture, ce n'étaitpas la fin, ou même que le "compte" n'y était pas : N'en seront pas comptant. Or nous avons vu qu'avec 942quatrains nous ne sommes pas encore au millier, en admettant, bien sûr, que ce fusse la façon de compter !

    Je ne trouve pour l'instant que ces anagrammes pour le premier demi-quatrain :Preparas mer i terre le grand galen,

    Plan poèmes, admets, plus de trois cens:

    Mais pour les analyses restons sur le texte d'origine.

    Ce ne fut pas « la milliade » que Nostradamus avait annoncé. Comprenez bien qu'il s'agissait encore làd'une boutade de sa part : L(a)12 + soit L+66=78. (cela ne vousrappelle rien ?) Nous voyons bien (ci-dessus) que des "78" viennent effecitivement achever les "centuries",surtout si comprenant le correctif, nous ne gardons pas "contens", nous aurons bien "terminé" par « lamilliade ». C'est d'autant plus moqueur que ce n'est pas la fin véritable.

    Cette hypothèse est appuyée par : L..L... du début du vers pouvant signifier 100 (50+50) et "n'en serontpasc(ont)ens" ( C=100), cela signifierait que le compte en centaine ne corres