Ateliers du sport

CitadelleVisite au cœur du chantier

DéchetsAmiens Métropoleà la pointe du tri

AnniversaireL’Harmonie Saint-Pierrefête ses 120 ans

n° 73

7 • 19 - 25 nov

embre 2014

Ateliers du sportune nouvelle impulsion

JDA Métropole

Arrêt sur imagesSommaire

JOURNAL D’AMIENS MÉTROPOLE

BP 2720 - 80027 Amiens Cedex http://www.amiens.fr • Direction de la publication : Fabrice Hinschberger • Direction de la rédaction : Bertrand Bellanger • Rédaction en chef : Alexis Durand• Secrétariat de rédaction : Laurence Dubarle • Rédaction : Coline Bergeon, Antoine Caux, Jean-Christophe Fouquet, Ingrid Lemaire, et Lysiane Voisin

• Maquette : Thibaut Cécile et Julien Dauthuille• Photos : Laurent Rousselin • Iconographie : Sébastien Coquille • Ont collaboré à ce numéro: Stéphanie Bescond, Candice Cazé, Kaltoume Dourouri, Léandre Leber (photo) et Émilie Pillot (photo)

• Conception graphique : CRÉA-COM

• Impression : Léonce Deprez, Ruitz• Pour communiquer des informations au JDAInfos Métropole et Sports : 03 22 97 12 17Infos Amiens : 03 22 97 12 10Infos associations et culture : 03 22 97 12 14Infos Métropole : 03 22 97 12 19

• Le JDA Métropole est une publication hebdomadaire de la Communauté d’agglomération Amiens Métropole

• Par contacter un journaliste ou réagir à un article :initialedupré[email protected]

• Si vous ne recevez pas le JDA,appelez le 03 22 97 42 98

EN COUVERTURELes ateliers du sport ont dégagé lespriorités. Présentation de la nouvellepolitique au printemps. Ici, RaphaëlleRolnin, de l'AUC (lire p. 11).Photo: Laurent Rousselin

La vie en Métropole• TRAITEMENTS DES DÉCHETSAmiens à la pointe du tri…………………………p 4

• CONFÉRENCELe jardin bio a la patate …………………………p 4

• AMÉNAGEMENTPoint d’étape à la citadelle ……………………p 5

• CONSOMMATIONÉchangez, c’est gagné ! …………………………p 7

• PISSYLa pomme est dans le verre ……………………p 9

Sports• CROSSLa course haut relief ………………………………p 10

• ATELIERS DU SPORTLe monde sportif tire dans le même sens ………………………………p 11

Actifs ensemble• VIOLENCESAllô détresse …………………………………………p 12

• INITIATIVESDes services à la carte …………………………p 12

Culture et loisirs• ANNIVERSAIRE L’harmonie dans la peau ……………………p 13

• EXPOSITION«Les artistes, c’est le public» ………………p 14

2• JDA Métropole • n° 737 • 19 novembre 2014

Musique. Belle master class d’improvisation organisée avec le flûtiste Magic Malik le 14 no-vembre à Cité Carter. Le Picardie Mouv’ offrait cet enchantement à tous les passionnés.

Féerique. Entre sapins et bouleaux, le Village de Noël, installé dans la cour de l’hôtel de ville,prend de l’allure. On s’active autour du montage du chalet du Père Noël qui arrive ce week-end à Amiens. Inauguration du Marché de Noël samedi à 17h30 dans la cour.

Branché. Sept Renault Kangoo électriques ont rejoint la flotte d’ERDF sur le territoire d’AmiensMétropole. Présent à la remise des clefs, Alain Gest, le président de l’agglomération, en a profité pour préciser que l’implantation de bornes de recharge publiques était à l’étude.

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Plus de photos sur www.amiens.fr/photos

JDA Métropole • n° 737 • 19 novembre 2014 • 3

Quatre. Après leurs succès contre Lyon (6-3) et à Strasbourg (11-4),Shayne Stockton et les Gothiques font un bond de quatre places au clas-sement et se placent… quatrièmes. À confirmer face à Caen le 22.

En direct. Le 14 novembre, Wendy Bouchard animait Europe 1 Mididepuis Amiens. Sous un chapiteau, place René-Goblet, le public n’apas manqué de découvrir “en vrai” les coulisses de l’émission.

Poétique. Dernière représentation mercredi 19 de la pièce Où doncest tombée ma jeunesse... à la Comédie de Picardie, avant une tour-née régionale. Tchéky Karyo met à l’honneur une quinzaine de poèmessur la Grande Guerre accompagné de musiciens et d’un ténor anglais.

11 Novembre. Commémoration de l’armisticeplace du Maréchal-Foch. 360 élèves ont dé-posé des couronnes de coquelicots et debleuets, lu des textes et chanté La Marseillaiseautour de Brigitte Fouré et de la préfète NicoleKlein. À la fin de la cérémonie, ils ont reçu le livre La Grande Guerre expliquée à monpetit-fils d’Antoine Prost.

La vie en Métropole


TRAITEMENT DES DÉCHETS

Amiens à la pointe du tri Un mode de tri inédit a été mis en place au nouveau centre Veolia d’Amiens. Cette technologie offre de meilleures conditions de travail et améliore le rendement.

Le procédé est unique en France.Mais pourrait inspirer d’autresvilles. Veolia a inauguré, sur sonsite de l’espace industriel nord,deux technologies de pointe quipermettent aux agents de trier lesdéchets plastiques sans les mani-puler. Première étape: le TSA2 (triséquentiel autoadaptatif) qui dé-tecte automatiquement les plas-tiques – briques alimentaires,flacons et bouteilles – selon leurmatière et leur couleur. Toutes lesminutes, ce trieur optique sélec-tionne le type de déchet majoritairesur la chaîne de tri. L’automatisa-tion de cette tâche n’a pas engen-dré de suppression d’emplois.Après cette opération, le travail estaffiné par un tri télé-opéré. Lesopérateurs sélectionnent les détri-tus non conformes grâce à unécran tactile. Les mauvais plas-

tiques retournent ensuite sur lachaîne de tri par jets d’air. « Nousaméliorons les conditions de tra-vail, d’hygiène et de sécurité,souligne Stéphane Gorisse, direc-teur régional Nord-Normandiechez Veolia. Les risques de bles-sures sont réduits. » Autre avan-tage: un meilleur rendement.Depuis la mise en place de cemode de tri, l’équipe recycle 6% dedéchets supplémentaires, et plusvite: 2,5 fois plus de déchets sonttriés à l’heure. Des déchets qui seront réutilisés dans l’industrie.Alain Gest n’a pas caché son en-thousiasme lors de sa visite ducentre: « La modernisation de cesite est une nouvelle avancée dansla protection de l’environnement.Nous avons le devoir de préserverla planète pour les prochaines gé-nérations ». Le président d’Amiens

Métropole a également rappeléque la taxe d’enlèvement des or-dures ménagères (TEOM) n’aug-mentera pas pendant le mandat.D’ici 2025, la loi sur la transition

énergétique fixe un objectif de 60%de déchets recyclés contre 51 %aujourd’hui. La mise en déchargedevra être divisée par deux.

Lysiane Voisin

Laure

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CONFÉRENCE

Le jardin bio a la patateComment préparer son jardin pour le printemps? Un spécialiste révèle les techniques naturelles le 24 novembre, à l’espace Dewailly. Les bons gestes pour l’environnement.

Jardiniers amateurs ou confirmés,approfondissez et partagez vosconnaissances sur le jardinage na-turel. Le 24 novembre, à 18h30, àl’espace Dewailly, le Centre per-manent d’initiatives pour l’environ-nement et Amiens Métropoleorganisent une conférence gratuitesur le thème “Comment préparerson jardin pour le printemps?”.Une soirée pour bénéficier desconseils d’un spécialiste, clôturéepar une dégustation de produits lo-caux. Parmi les sujets abordés: lepaillage, les engrais verts, la rota-tion des cultures. Cette rencontreest également un moyen d’inciterles particuliers à réduire l’utilisa-tion de produits phytosanitaires. En

effet, ces produits se retrouventdans les cours d’eau et s’infiltrentdans le sol jusqu’à la nappe sou-terraine qui approvisionne l’eaupotable. Le Grenelle de l’environ-nement a bousculé les habitudeset les bons gestes sont égalementadoptés dans les collectivités.Exemples de terrain: les habitantsredécouvrent les herbes folles pourle bien-être de la biodiversité. Lestontes sont plus tardives, les mau-vaises herbes sont retirées à la binette ou à la débroussailleuse.Toutes ces techniques seront éga-lement enseignées aux adhérentsdes jardins familiaux lors d’ateliersprogrammés en 2015 avec l’asso-ciation En savoir plus. L. V.

Des rendez-vous toute l’année• Conférences : la permaculture, l’art de vivre avec la nature le 4 décembreà Rivery et le 17 février à Amiens ; compost et paillage, pour un jardin fer-tile, facile et économe le 15 janvier à Rumigny ; jardiner futé le 12 février àSaleux et je jardine sur mon balcon le 24 mars à Amiens.• Ateliers : la taille des arbres fruitiers le 11 mars à Rivery ; accueillir la bio-diversité dans mon jardin le 21 mars à Rumigny et comment jardiner avecles enfants? le 25 mars à Amiens. Renseignements au 03 22 97 40 48

Laure

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Un écran tactile permet de sélectionner les détritus. Résultats : les risques de blessures sont réduits et 6 % de déchets supplémentaires sont recyclés.

Le paillage permet de garder l’humidité de la terre et de réduire ainsi l’arrosage.



AMÉNAGEMENT

Point d’étape à la citadelleLe 14 novembre, l’architecte Renzo Piano emmenait élus, financeurs et partenaires pour une visite du chantier de la citadelle. L’occasion de rappeler l’esprit du projet et d’aborder accessibilité et sécurité.

« Ce qui se déploie ici pour devenir un lieu ma-jeur du paysage régional est impressionnant »,s’est félicité Alain Gest, président d’Amiens Mé-tropole, lors de la visite de chantier organiséepour les élus et partenaires avec l’architecteRenzo Piano. « Ce lieu jusqu’ici fermé s’ouvreaujourd’hui. Pour que tous les Amiénois se l’ap-proprient », a ajouté Brigitte Fouré, maired’Amiens. À la citadelle, les travaux vont bontrain et « avancent vite. Nous tenons les délaiset serons au rendez-vous de la rentrée univer-sitaire de 2016 », a rappelé l’élu. « On rouvre effectivement cette citadelle et ses 17 hectaresà tous les habitants. C’est là tout le challenged’un tel projet », a souligné Renzo Piano de-puis le promontoire aménagé offrant une vueimprenable sur ce qui deviendra une place ur-baine publique. La place d’Armes, recompo-sée entre le grand casernement, les écuries etles amphithéâtres, doit en effet devenir un lieufort et central, « un site animé accaparé par

Photos:�Laurent�Rousselin

tous, même lorsque les étudiants ne serontpas là », a appuyé Alain Gest. Avec plusieursportes devant en favoriser l’accès libre, ils’agira aussi de sécuriser le site. Accessibilitéet stationnement mobilisent en outre les ré-flexions et ont conduit à revoir le projet initial.« Avec 3900 étudiants attendus, dont certainsvenant chaque jour de l’Aisne et de l’Oise avecleurs véhicules, il est indispensable de revenirsur ces questions et impensable de ne pas in-tégrer le fait de pouvoir se rendre à la citadelleen voiture », a expliqué Alain Gest. En sus destransports publics sollicités et des 25 placesde parking réservées aux personnes à mobilitéréduite sur le site, « nous souhaitons créer 800places de stationnement sur les espaces lais-sés vacants avec le départ de l’hôpital nord »,a annoncé Alain Gest. Il ne s’agit pas d’envahirles rues environnantes mais d’aménager larue Montesquieu, le parking Zamenhof et lessites proches de la citadelle.

Une citadelle innovanteC’est une première sur un chantier amiénois. Une zone de prototypes est installée à l’entrée de la citadelle, près de la Maison du projet. Ces échan-tillons présentent, grandeur nature, les matériaux des futurs bâtiments uni-versitaires, planchers, façades, garde-corps, mobilier urbain… Ainsi que lafuture passerelle métallique qui reliera les quartiers nord à la citadelle depuis la porte d’Abbeville. Fonctionnalité, qualité et rendu esthétique sontici testés. D’autant que le sol en stabilisé dur appelé “diabolo” est une inno-vation technique spécialement développée pour la citadelle d’Amiens. Cenouveau produit minéral aux joints engazonnés sera celui de la place d’Armeset de la toiture du grand casernement appelée à être végétalisée. Autre inno-vation architecturale, les voussoirs en plafond (ici en photo). Alliage de terrecuite et de béton destiné aux nouveaux bâtiments, le voussoir permet un pla-fond esthétique offrant des qualités thermiques non négligeables.

Maison du projet : visites et conférences gratuites – Rens. au 03 22 22 58 99

Vue de gauche: le projet de recomposition d’une véritable place urbaine sur l’emprise de la place d’Armes s’insère entre les écuries et le grand casernement qui marque le site avec force. Vue de droite: l’ampleur du programme universitaire induisait la construction de bâtiments neufs, les anciens même réhabilités nepouvant suffire à héberger la totalité du projet. Pour permettre la circulation entre la place d’Armes et les bâtiments universitaires, la façade du grand casernementa été percée, tandis que des façades très vitrées sont privilégiées (vue ci-dessous).

Par Ingrid Lemaire



Offres d’emploiAmiens Métropole recrute

Pour la direction des services à l’environnement

● UN ATTACHÉ DE DIRECTION PRINCIPAL (H/F)

RÉF. 2427Les candidatures doivent parvenir avant le 28 novembre 2014

Pour le service infrastructure informatique et de télécommu-nications de la direction des technologies de l’information

● UN GESTIONNAIRE D’APPLICATIONS (H/F)

RÉF. 2420Les candidatures doivent parvenir avant le 1er décembre 2014

Tout dossier incomplet ne sera pas étudiéDossier à imprimer et détails de ces offres sur www.amiens.fr

Piscine Coliseum03 22 71 12 12Jeudi 20 8h-20hVendredi 21 8h-21hSamedi 22 8h-18hDimanche 23 10h-13h,

14h-17hLundi 24 12h-20hMardi 25 8h-21hMercredi 26 8h-20h

Piscine Nautilus03 22 44 44 66Jeudi 20 7h30-8h45,

12h-13h30Vendredi 21 7h30-8h45,

17h-19h15Samedi 22 10h-12h15,

14h30-17h15Dimanche 23 9h-12h15 et

14h-17h15Lundi 24 FerméeMardi 25 7h30-8h45,

12h-13h30, 17h-19h15

Mercredi 26 7h30-8h45, 14h30-19h15

Piscine Vallerey03 22 22 24 60

Jeudi 20 8h-9h10Vendredi 21 8h-9h10,

17h-19h45Samedi 22 10h-11h45,

14h-17h45Dimanche 23 9h-12h45Lundi 24 10h-11h45,

17h-19h45Mardi 25 8h-9h10,

17h-19h45Mercredi 26 8h-9h10,

11h45-19h45

Patinoires du Coliseum03 22 71 12 12Jeudi 20 20h30-23hVendredi 21 14h-15h45,

20h30-23hSamedi 22 14h-17hDimanche 23 10h-12h30,

14h-17hLundi 24 14h-15h45Mardi 25 14h-15h45Mercredi 26 14h-17h

État civilNaissances Authier Gabriel, Pissy • Biendiné Clotilde• Blanchard Lénnie• Dheilly Jules, Pont-de-Metz • Diot Carl• Duflot Louis• Emond Elora• Freville Liam• Guérin Sergio• Lefebvre Léo• Outiane Hanae• Sagnier Fouquet Inaya• Saint-Martin Liam• Scacciatelli Giani• Tymkow Jade

CHU: circulation fluidifiée route de Rouen

Afin d’éviter les bouchons, la route de Rouen en provenance de Pont-de-Metz et à destination d’Amiens repassera en double voie à hauteur ducroisement avec la RD 408 (accès vers l’hôpital sud et le campus) tout enconservant la piste cyclable installée au printemps. Terre-plein latéralet feux seront donc décalés. Cette modification permettra d’écluser plusrapidement les véhicules dans le sens sud-nord, et ainsi de rallonger ladurée du feu vert dans l’autre sens, pour tourner à gauche plus facile-ment. Les travaux, entamés le 12 novembre, doivent s’achever à la fin dumois. Pendant ce temps, la circulation est limitée à 30km/h. J.-C. F.

Après les travaux, à la fin du mois, une deuxième voie facilitera la circulation à hauteur de l’accès vers l’hôpital sud.

AmiensUne erreur s’est glissée dansl’adresse destinée à régler les fac-tures de restauration scolaire. Il suffit donc de se connecter surhttp://espace-famille.amiens.fr

“La consommation aussi pour lesseniors.” Café des âges avec laparticipation de l’association UFCQue Choisir, le 27 novembre, à15h, à La Trattoria (410, routed’Abbeville). Renseignements àl’Écoute seniors au 0800 60 50 00.

de 14h à 16h, à la salle Aragon ou au 03 22 49 62 45.

GlisyLes 29 et 30 novembre, rencontreannuelle des artistes ayant exposé dans la salle d’arts de l’es-pace Antoine-de-Saint-Exupéry.Lors du vernissage, le 29 novem-bre, à 18h, performance de la plas-ticienne Catherine Bullot avec lemusicien Sébastien Dufour. Chan-sons le 30 avec Marc Monsigny.

Pont-de-MetzSamedi 29 novembre, à partir de19h, à la salle des fêtes (rue de

l’Eau), Les Mozart en herbe invitent à une soirée au profit del’association Œuvres du Sahel-Horizon Burkina qui veille à lascolarisation des jeunes filles bur-kinabés, notamment grâce auparrainage. Concerts, tango,contes africains, vente d’artisanat,buffet, buvette…

Sains-en-AmiénoisC’est l’une des toutes premières.La réderie des jouets, 29e dunom, du comité d'animation vousdonne rendez-vous dimanche 23 novembre, de 14h à 17h, salleEspérance (rue de la Chaussée).03 22 09 54 72

Pour le 25e anniversaire de la si-gnature de la Convention interna-tionale des droits de l’enfant,l’Unicef présente l’exposition Nemarchons pas sur les droits del’enfant ! Au Coliseum, du 24 no-vembre au 4 décembre.

Jules Verne fait visiter sa maison(2, rue Charles-Dubois) le 23 no-vembre, à 15h. 03 22 45 45 75

Pour la Semaine européenne de laréduction des déchets, En savoirplus propose la projection-débatdu documentaire Super trash deMartin Esposito. Le réalisateur re-vient sur les lieux de son enfancequ’il redécouvre ensevelis sousune décharge. Le 25 novembre, à20h, à l’espace Dewailly. Entréelibre. www.ensavoirplus.asso.fr

Les éditions Le Livre d’histoirerééditent Le Bombardementd’Amiens en 1918 de Gaston Héra-cle-Leroy, ouvrage publié en 1919qui revient sur les 147 jours de feuentre le 22 mars et le 15 août, no-tamment sur les efforts déployéspour sauver la cathédrale. 13 €.

France 3 Picardie et PerspectiveFilms recherchent des témoi-gnages pour un documentaire. Lesujet : un événement marquantsur une aire d’autoroute. Rens. :[email protected].

Plein sudSamedi 29 novembre, à 20h30,dans l’église Sainte-Jeanne-d’Arc(route de Rouen), le comité dequartier organise un concert avecle chœur Crescendo# d’Amiens.12 €. Au profit de l’Institut d’édu-cation motrice Saint-Exupéry. Réservations au 06 47 16 62 85.

BovesDu 22 au 30 novembre, Les Amisdes arts de la Somme organisentle 10e Salon d’automne, à la Citédes métiers et de l’artisanat (7, rue de l’Île-Mystérieuse). Unesoixantaine d’artistes y présente-ront leurs œuvres. www.lesamisdesarts-delasomme.com

Camon Le 27 novembre, à 14h, goûterdansant de l’Union nationale desretraités et des personnes âgées.5 € adhérents, 10 € pour les au-tres. Inscriptions le lundi et jeudi,

Laure

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PETITE ENFANCE

28 nouvelles places de crèche à AmiensSociétés, commerces et collectivités peuvent réserver dès maintenant des berceaux à la crèche interentreprises Bouctot-Vagniez actuellement en chantier.

Une crèche interentreprises ouvrira en marssur le site classé de l’hôtel Bouctot-Vagniezau 36, rue des Otages. Elle sera gérée par lasociété Sogecrèche qui se charge égalementdes travaux intérieurs de mise aux normes.Les bâtiments appartiennent à la chambre de commerce et d’industrie. « Nous avons euun coup de cœur pour ces magnifiques locauxsitués en plein centre-ville, pour le parc et lecalme. Une étude sur les besoins des Amié-nois et le manque de crèches interentreprisesnous a confortés dans notre choix », raconteThierry Cantet, administrateur de Soge-crèche. 28 places sont disponibles dans cettecrèche de 280 m2. Deux groupes d’enfants,petits et grands, seront constitués. Chaquesection disposera d’une salle de sommeil etd’un espace de jeux. Sans oublier la cour et la salle de motricité. Les entreprises, com-

merces et collectivités peuvent encore réser-ver un ou plusieurs berceaux pour leurs em-ployés. Le coût est d’environ 170 € par moispar enfant, après déduction fiscale. « C’est unmoyen pour les entreprises de s’engagerdans une politique sociale et familiale, decontribuer au bien-être des salariés et de fidéliser leur personnel », estime ThierryCantet. Dans cette structure multiaccueil quiproposera aussi de la garde occasionnelle, lestarifs de la Caisse d’allocations familiales(Caf) seront appliqués. La crèche devrait ou-vrir de 7h30 à 18h30. Le projet est soutenu parla Caf qui a participé à l’investissement de550 000 €. Sogecrèche prévoit d’embaucherhuit personnes début 2015.

Lysiane Voisin

Renseignements au 01 71 70 41 45Sébast

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CONSOMMATION

Échangez, c’est gagné !Bien que millénaire, le troc revient au goût du jour, pour des raisons éthiques mais aussi économiques. À Amiens, ce modèle de consommation convivial fait des heureux.

Depuis quelques années, leGroupe d’appui et de solidarité(Gas) organise des Free troc par-ties. Ces moments chaleureuxréunissent entre 20 et 30 per-sonnes un mardi soir par mois. Livres, vêtements, objets de déco-ration, petits électroménagers…trouvent leur place sur des éta-gères en attente d’une secondevie. Car le troc a bien le vent enpoupe, facilité par Internet. Cepremier modèle d’échange utilisédans de nombreuses civilisationsantiques avant l’arrivée de l’argentrevient à la mode. Consommermieux, arrêter le gaspillage, bou-cler les fins de mois ou encore tisser du lien social : autant demotivations qui réunissent cesadeptes de l’économie collabora-tive ou du partage.

S’entraider et transmettre

« C’est impressionnant ce que lesgens apportent, constate AllisonHaas de l’association Gas. On adéjà vu partir un rétroviseur ! »Afin de toucher davantage demonde, le Gas et L’Effet papillonorganisent une Fête du troc, samedi 29 novembre, de 13h à17h, au château de Montières. Leprincipe: chaque objet apporté est

échangé contre un bon puis ex-posé. À vous ensuite de dénicherce dont vous avez besoin ou enviecontre ce ticket, quelle que soit la valeur du bien convoité. Mais le troc c’est aussi le transfert desavoirs et de services. Partoutdans le monde des Servicesd’échange local (Sel) se créent. À Amiens, Potes en sel et le Ré-seau d’échanges réciproques desavoirs (RERS) offrent aux parti-culiers de tous âges l’opportunitéde s’entraider, transmettre et ap-prendre sans l’intermédiaire del’argent. Le RERS qui tient saprochaine rencontre semestriellele 25 novembre, à 18h, au Centreculturel Jacques-Tati, permettraà chacun de proposer ses com-pétences, d’exprimer ses be-soins. Cuisine, aromathérapie,chant, anglais, tarot, jardinage,ukulélé… Les savoirs sont diversmais ont la même valeur. L’enga-gement est surtout moral. « Pasbesoin d’être professeur ou ex-pert pour transmettre, assureJean Chedru, membre fondateurde ce réseau à Amiens. Le mo-teur, c’est le plaisir. » Au Jardinsolidaire de Saint-Maurice, quiaccueille des jardiniers en herbe,bénéficiaires des minima so-ciaux, le CCAS organise aussi sa

première Troc party le 24 novem-bre, de 10h à 12h30. Une matinéeouverte à tous pour échangerplantes, graines, outils maisaussi savoir-faire et astuces liésau jardinage. Le troc a de beauxjours devant lui !

Coline Bergeon et Kaltoume Dourouri

Groupe d’appui et de solidarité : 0322 44 07 71 ou www.gas-asso.fr – Réseau d’échanges réciproques de savoirs : 06 64 32 69 53 [email protected] Jardin solidaire : 03 60 01 04 32 ou www.amiens.fr

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Le troc permet de donner une seconde vie aux objets, tels que les livres.

280 m2 au cœur d’un parc en plein centre-ville d’Amiens.





Saint-Sauflieu14e Marché d’automne du comitédes fêtes, le 23 novembre, de 10h à17h, à la salle polyvalente. Entréegratuite. Restauration sur place.Rés. repas au 03 22 42 14 94.

Saleux La musique municipale fête laSainte-Cécile le 22 novembre.Messe en musique à 16h30 suivied’une aubade.

SalouëlRendez-vous au profit du Téléthon.Soirée spectacle “Le Téléthon faitson cinéma” le 29 novembre, à19h30, à la salle des Évents. Tour-nois sportifs, à la halle des sports(rue Victor-Hugo) le 5 décembre.Vente de fleurs au supermarchéLeclerc les 5 et 6 décembre. Ran-donnée depuis l’église de Guigne-micourt le 7 décembre, à [email protected]

Concert du chœur de chambre LaSperanza et du Chœur du plateaupicard, le 22 novembre, à 20h30, àl’église. Au programme: Vivaldi,Bach, Monteverdi, Bennet, Stan-ford, Rutter et Chilcott. Entréelibre. [email protected]

RECRUTEMENT

500 postes au salon de l’emploiUne trentaine d’entreprises et de centres de formation participent au salon 24h pour l’emploi le 25 novembre au Gaumont.

Plus de 2 500 visiteurs sont atten-dus à la cinquième édition du salon24h pour l’emploi le 25 novembreau Gaumont. Que vous soyez étu-diant à la recherche d’un stage,jeune diplômé en quête d’un premier travail ou demandeurd’emploi de longue durée, les res-ponsables d’entreprises et de cen-tres de formation vous accueillentde 9h30 à 17h30. Au total, plus de

500 postes sont à pourvoir. Tous lestypes de contrats et d’activités sontproposés. Parmi les recruteurs aurendez-vous: les armées de terreet de l’air, Axa, ERDF, Carglass,Crédit agricole, Coriolis, etc. Unsalon virtuel est en ligne surwww.24h-emploi.com afin d’aiderdans les démarches. Il suffit de cli-quer sur les stands du plan pourmieux connaître l’entreprise. Les

informations concernant l’activité,le profil recherché et le type decontrat permettent aux candidatsde soigner leurs CV et lettre de mo-tivation. « Le salon est un premiercontact. Pendant dix minutes,nous échangeons sur le projetprofessionnel, la mobilité géogra-phique, le parcours, les compé-tences et les connaissances surl’enseigne. Cette rencontre peutdéboucher sur des entretiens »,explique Stéphanie Cali, responsa-ble des ressources humaines chezSimply Market Amiens. Des ate-liers théâtre sont également pro-posés toute la journée. Un moyenludique pour apprendre à gérerson stress et reprendre confianceen soi face à un recruteur.

Lysiane Voisin

Salon 24h pour l’emploi, mardi 25 novembre, de 9h30 à 17h30, au Gaumont – Entrée librewww.24h-emploi.comL

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Le spectacle à l’étudeLe 25 novembre, profession-nels du spectacle, compagnies,artistes indépendants, régis-seurs, structures, élus… se re-trouvent pour réfléchir autourde la thématique “De la créa-tion au public : la constructiond’une politique de produc-tion”. Comment construire unprojet de territoire, concevoirla création et constituer un pu-blic aujourd’hui en France?Lors de cette journée, organi-sée par Actes Pro et le Réseaude scènes en Picardie et soute-nue par les collectivités, dontAmiens Métropole, il s’agiraaussi de partager les expé-riences au cours d’ateliers quimèneront à phosphorer surl’éducation artistique et cultu-relle, l’influence des inégalitéshommes/femmes… I. L.

Le 25 novembre, de 9h30 à 18h30 – Ouvert au public de 10h à 12h30 et de 16h à 18h,à la Maison de la culture [email protected] ou 06 78 65 13 22

ENTREPRISES

Fenwick gagne le nord Depuis juin, l’espace industriel nord d’Amiens compte un nouveau locataire : Fenwick-Linde, leader de la manutention en France.

Le fabriquant allemand de chariota enfin trouvé chaussure à sonpied avec ce nouveau bâtiment de300 m2 situé dans l’espace indus-triel nord. Du transpalette auporte-conteneurs, les clients peuvent désormais venir tester lematériel dans le showroom del’agence. « Le choix de l’espace industriel nord d’Amiens est stra-tégique. Avec ses nombreuses entreprises, ce pôle est très dynamique et possède un impor-tant potentiel clients », expliqueThierry Chanel, directeur del’agence régionale picarde. Im-planté dans toutes les régions, laPicardie restait l’un des derniersbastions à prendre. Avec l’ouver-ture ce mois-ci d’une deuxièmeagence à Compiègne, Fenwick visele leadership. « Nous sommes nu-méro 1 en France et en Europe.Nous voulons le devenir en Picar-die », annonce le directeur. Uneambition partagée par la trentainede salariés des deux agences qui

devraient voir leur effectif grossirprochainement. « Nous allonscontinuer à embaucher, de préfé-rence localement. Nos techniciensdoivent être proches de nos clientsafin de répondre à leurs besoins

rapidement », anticipe ThierryChanel. À bon entendeur…

Stéphanie Bescond

Fenwick-Linde (25, avenue Roger-Dumoulin) – 03 22 22 27 53

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Thierry Chanel, directeur de l’agence régionale picarde.



INITIATIVE

Avec leurs cœurs de gamersÀ 24 ans, Adrien Henaux compte ouvrir son bar avant la fin de l’année. Nommé One Shot, il aura pour particularité d’être orienté jeux vidéo. Une première à Amiens.

Cela s’appellera One Shot et ce sera un bargaming. C’est-à-dire un bar où les passionnésse retrouveront pour jouer à des oldies (jeuxrétro) ou sur consoles next-gen (PS4, XboxOne) et sur PC, en réseau ou non. Bref, la totale, y compris des jeux de plateaux. Desbars comme celui-ci, il en existe quelques-unsen France, dont le doyen, le Meltdown pari-sien. Mais, jusque-là, aucun à Amiens. Féru dejeux vidéo, Adrien Henaux compte combler ce

vide d’ici la fin de l’année avec son One Shot.En attendant, on le trouve avec ses amis aubar Saint-Honoré, où ils posent leurs ma-nettes les jeudis. Philippine, Romain, Florent,Madison et les autres ont entre 19 et 30 ans.Une communauté de gamers joviale et volon-taire. Dans un coin de la salle, certains jouentà Hearthstone, jeu de cartes sur ordi. À côté,un apprenti magicien fait des tours devant lesregards médusés. Au fond de la salle, la Ga-

mecube tourne à fond avec Mario Kart. On s’yenvoie joyeusement des carapaces à la figure.Les manettes passent de main en main. Pointde “rageux” (mauvais perdant) à l’horizon. Surle mur, le tableau du tournoi est prêt.

Partager la passion des jeux

Voilà une soirée à l’image de ce que veut faireAdrien du haut de ses 24 ans et son DUT ges-tion d’entreprise. Un bar où l’on s’amuse. « Jeme suis dit “tout seul, cela sera compliqué”,explique-t-il. Alors j’ai voulu créer une petitecommunauté et trouver des collaborateurs. » À l’arrivée, c’est devenu « une famille »,comme ils disent. Ils seront quatre pour fairetourner le bar. Quatre à avoir le profil“joueur”, telle Philippine, 19 ans, biberonnéeà la Nintendo 64 : « Beaucoup d’Amiénois partagent cette passion, mais les gens ne serencontraient pas trop en dehors de quelquesassociations amies comme Play 4 Fun ouChrono Gamers. Il peut maintenant y avoirjusqu’à 150 personnes lors de nos tournois! ».Qui a dit qu’un gamer devait rester cloîtrédans sa chambre?

Jean-Christophe FouquetJean-C

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PISSY

La pomme est dans le verreÀ la campagne, certains perpétuent la fabrication artisanale de cidre, qui fut longtemps la seule boisson à table.Le JDA a suivi quatre “camarades” à Pissy, heureux de poursuivre la tradition des anciens.

Il n’y a pas vraiment de recettes.Juste un savoir-faire qui se trans-met par la pratique et le rituel.Car depuis toujours à Pissy,chaque mi-novembre, c’estl’heure du cidre. Un rendez-vousincontournable pour Michou,Francis et les deux Gérard,presque trois siècles à eux quatre.Ce matin-là, une presse impo-sante rapportée en tracteur, bienloin du pressoir de musée, a en-vahi la cour de la fermette. À côté,une remorque avec les 1600 kilosde pommes ramassées çà et làdans les vergers de cet ouestamiénois. « Des binets rouges,des coëts… Il faut mélanger desdouces, des acides, des sucrées.

La qualité du cidre dépend decette association », révèle Fran-cis. Lavées, les pommes sont aspirées et broyées dans un gru-geoir. La sciure de pomme récu-pérée passe ensuite sous lapresse. Puis le jus finit sa coursedans une cuve.

Dégustation en mai

« Le résidu sec et compact quireste s’appelle le pommeau », ren-seigne Francis. Comme rien ne seperd, ce pommeau sera déposédans les bois pour nourrir les fai-sans. « On en faisait avant un petitcidre pour les enfants », se sou-vient Gérard Gérin, maître des

consommée de suite, que l’on ap-pelle le cidre de Noël. Le restesera transvidé dans d’autres ton-neaux, hermétiques cette fois. Lamise en bouteille se fera en février.« Par temps clair et dégagé, di-saient les anciens, pour éviter aucidre d’être brouillé! » selon Gé-rard. On ne sait pas si ça changequelque chose mais personne icin’oserait déroger à la règle. «Maissi on devait écoutait les anciens àla lettre, on ne le mettrait jamaisen bouteille », glisse Michou. Sonnom de famille? Tonnelier, ça nes’invente pas. Pour faire sauter lesbouchons, il faudra attendre mai.Avec modération, bien sûr.

Antoine Caux

lieux et ancien maire de la com-mune. L’homme aux six mandatsdirige les opérations même si cha-cun sait ce qu’il a à faire. Dans lacave, afin de respecter les 10 à12 °C de température ambiante,Michou est au bout du tuyau pourtransvider dans de grands ton-neaux les 900 litres de ce premierjus. Francis sort son peson, unthermomètre servant à mesurer lateneur en sucre et le degré d’al-cool, 7 °C à cet instant. « On valaisser le cidre travailler dix jours,raconte Michou, qui a toujours vuson père faire. Ça permettra auchapeau brun de monter, un dépôtque l’on enlèvera délicatement. »Une faible partie pourra être

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Bientôt ouverture d’un bar pour amateurs de jeux vidéo.

Sports


CROSS

La course haut reliefLes bosses du terrain engazonné des Évents à Salouël accueillent le 30 novembre les 650 coureurs du cross d’Amiens Métropole, des Kényans chevronnés aux non-licenciés.

Un mois avant les fêtes, c’est tou-jours la course pour ChristopheGuibon. Sauf que, exception dansl’année, le récent vainqueur desBoucles saint-quentinoises n’enfilepas de short mais la casquetted’organisateur. L’athlète-entraî-neur de l’Amiens Université Clubaura le 30 novembre « des fourmisdans les jambes en voyant les co-pains au départ » du crossd’Amiens Métropole dont il a reprisles rênes il y a sept ans. Parce quece néo-vétéran de 39 ans a pleind’amis dans le milieu, ils sontnombreux à ne jamais rater ce ren-dez-vous métropolitain (coorganisépar l’Amiens UC et l’US Camon)disputé à Salouël. Du coup, « leplateau est assez relevé, se féliciteChristophe Guibon. Des Kényansseront présents ainsi que l’ensem-ble des meilleurs régionaux, choseplutôt rare ». Spécialiste du trail etamoureux des parcours nature (lireencadré), l’Amiénois confesse en

revanche avoir du mal à attirer les non-licenciés, si nombreux surles courses sur route. « Le cross a pourtant longtemps été la discipline phare de l’athlétisme,rappelle-t-il. Les gens associentaujourd’hui le cross à l’idée dechampionnat. Mais c’est accessibleà tout le monde. » Dimanche 30 novembre, une heure avant la course élite disputée sur

7800 m, un cross court de 2300 mest même proposé à 11h30, his-toire de goûter au terrain enga-zonné, aux pentes et, disons-le, un peu à la boue.

Antoine Caux

Cross Amiens Métropole, dimanche 30 novembre, au parc des Évents, à SalouëlInscriptions sur uscathle.free.fr

Découvrez le trail L’AUC propose une section trail, une discipline de la course à pied en pleinenature. « Nous organisons nos sorties dans des sous-bois, étangs, chemins de terre. Nous changeons de parcours chaque samedi et découvronstous les circuits qu’offre la Métropole », encourage Christophe Guibon, qui encadre cette activité ouverte aux confirmés comme aux débutants.En parallèle, l’AUC initie au “walk to run” (littéralement de la marche à la course) afin d’intégrer en douceur la section trail. Pour découvrir cette activité, rendez-vous au stade Urbain-Wallet le dimanche à 10h30.Deux premières séances gratuites. K. D.

Renseignements au 06 64 52 26 56

ROLLER-HOCKEY

Les Écureuils n’ont pas leur compte de noisettesLa qualité du jeu produit ne se convertit pas en succès pour les Amiénois qui visentmaintenant une place dans les six premiers à l’issue de la saison régulière.

Mise à part la déconvenue à Re-thel, l’ogre ardennais du cham-pionnat, où les Écureuils se sontinclinés 9 à 4 en ouverture dechampionnat, le coup n’est jamaispassé loin pour la bande à Renaud

Crignier. Si l’entraîneur-joueur attend le déclic, son équipe n’a jamais pris de claques mais cinqdéfaites (jamais par plus de troisbuts d’écarts) pour une victoire enprolongations ont un peu amoché

l’objectif initial d’une place dans le top 4 à l’issue de la saison régu-lière. « On ne peut ni invoquer unmanque d’expérience puisquenous avons des joueurs avec duvécu, ni une mauvaise prépara-tion », élimine Renaud Crignier,gêné par une entorse du ligamentdu genou cet été lors des cham-pionnats du monde à Toulouse.« Ça revient », confie celui qui attend impatiemment le match ré-férence des siens. « Il faut mainte-nant viser une place dans les sixpremiers et décoller rapidementau classement, fixe l’Écureuil de33 ans. Sinon les équipes du basde tableau donneront tout face à nous. » Comme par exemple Villeneuve-la-Garenne, la lanternerouge, qui se présente à La Veillèrele 29 novembre. A. C.

Amiens / Villeneuve-la-Garenne, le 29 novembre, à 20h30, au gymnase de La Veillère

VTT et BeaujolaisPrenez la convivialité du beau-jolais nouveau. Ajoutez-y lessentiers vallonnés du Val-de-Noye. Cela donne La Beau-jolaise, une randonnée VTT de20 ou 40 km à Remiencourt.Depuis quatorze ans, l’associa-tion Cuja Bike innove chaqueannée dans les parcours et assure dans le sens de l’accueilavec cake maison et bien sûr le p’tit verre de beaujolais. Car après l’effort… A. C.

La Beaujolaise, le 23 novembre,à Remiencourt – Inscriptionssur place à 8h ou sur www.cujabike.net

Derbyng-pongTroisième de sa poule de Natio-nale 2 après quatre journées,l’Amiens STT reçoit Saint-Quentin,samedi 22 novembre, 17h, à la salleLabaume (304, rue Gaulthier-de-Rumilly). Avec déjà deux victoireset un nul contre une seule défaite,l’ASTT pourrait faire un grand pasvers le maintien.

En bref

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Défaits à domicile contre Garges (6-3) le 15 novembre, Levasseur et ses partenaires ont baissé de rythme en seconde période.

Sports


ART MARTIAL

Philosophie sur tatamiÀ Saleux, l’école des arts martiaux donne des cours de karaté et d’aïkido. Au-delà du savoir, un art de vivre.

Ne l’appelez pas maître, sa modestie en souffri-rait. Abdelkader Mimouni, 64 ans, 5e dan d’aï-kido et 4e dan de karaté, fut pourtant un élèvede Tamura Senseï, lui-même élève du fondateurde l’aïkido, maître Ueshiba. L’Amiénois lança en 1994 une école d’arts martiaux. Ils sont aujourd’hui une soixantaine à venir chercher lesvertus de ces disciplines issues de la traditionjaponaise. « L’aïkido n’est pas un sport – il n’y apas de compétition – mais cela dépasse le loisir.C’est une voie. L’important, c’est le chemin, la transmission. On s’en saisit ensuite au quoti-dien », souligne Mathieu Damade, membre del’école. Cet éducateur spécialisé, titulaire d’unDEA de philosophie, observe d’ailleurs des fon-

dements philosophiques dans ces arts mar-tiaux. « Ici, je trouve enfin la pratique après des années de théorie. L’aïkido, discipline en-core plus fine que le karaté, nous enseigne unefaçon d’entrer en relation avec autrui. On neparle pas d’adversaire mais de partenaire. Noussommes dans un don à l’autre pour qu’il puissedévelopper sa technique. » Pour Abdelkader Mimouni, « les deux arts martiaux sont complé-mentaires, entre percussion et souplesse, versune vie plus harmonieuse ».

Kaltoume Dourouri

École des arts martiaux 80 (place Eugène-Viandier) à Saleux – 06 21 99 36 24L

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ATELIERS DU SPORT

Le monde sportif tire dans le même sensUn mois de débats a permis aux acteurs du sport de dégager problématiques et priorités. La politique qui en découle sera présentée au printemps.

26000 licenciés, 262 clubs, 70 dis-ciplines, 65 terrains, 35 gym-nases… et beaucoup d’attentes. « Ily a du boulot », a d’ailleurs convenuAlain Gest, président d’Amiens Métropole, le 15 novembre, en clô-ture des Ateliers du sport qui ontrassemblé pendant un mois l’en-semble du monde sportif de l’ag-glomération. Ce brainstorming XXLa mis en lumière des besoins par-tagés, comme le désir de créer desclubs house, des lieux de convivia-lité dans les clubs qui font défaut etencourageraient le bénévolat. Développer une signalisation dansla ville avec des parcours fléchéspour la pratique de la marche,créer un comité d’organisationpour soutenir les clubs dans desévénements d’envergure, organi-ser un accueil des enfants, mettreau point un calendrier communsont autant de souhaits « enten-dus » par Guillaume Duflot, le vice-président aux sports. L’éluprésentera au printemps 2015 lanouvelle politique sportive. Ellepassera par des rénovations àl’instar du stade de hockey surgazon ou de la piscine Vallereymais aussi par un souci de mutua-lisation, c’est-à-dire un partage intelligent d’une structure entreplusieurs clubs. Ambitieux pour leterritoire amiénois notamment parun travail de lobbying pour attirerune équipe nationale de footballlors de l’Euro 2016 ou de hockeysur glace pour le Mondial 2017,Alain Gest a déjà fixé un rendez-

vous dans deux ans « pour voir si notre action correspond aux attentes ».

Antoine Caux

Les Amiénois s’illustrent

La synthèse des Ateliers du sport a été l’occasion d’honorer lesathlètes qui ont porté haut les cou-leurs de la capitale picarde.

Jérémy Stravius (haut niveau)On ne présente plus le nageuramiénois champion du monde etolympique qui a ajouté quatre mé-dailles dont une en or lors deschampionnats d’Europe en août.

Stella Akakpo (meilleure jeune)La nouvelle flèche de l’athlétisme?« Je m’entraîne pour », a répondula médaillée d’argent du relais 4 x 100m aux championnats d’Eu-rope cet été, 20 ans et licenciée àl’Amiens UC.

Patrick Fortuné (handisport)Ce coureur de 59 ans du CC Salouël, victime d’un accident en1986, accumule les titres de cham-pion de France mais n’a qu’un but:« Le plaisir ».

L’Entente Sains-Saint-Fuscien(formation)La fusion de ces deux clubsd’Amiens Métropole est un exem-ple à suivre. La plus belle réussitedu président Thierry Levrel? « Lesourire des enfants. »

Melyna Decobert (espoir)À 13 ans, la championne de Franceminime suit les patins de sa cham-pionne de coach Fanny Cagnard àl’Amiens Patinage Club.

Béatrice Ernwein (féminine)6 min et 27 s dans l’eau sans respirer! Cette professeure de violon au Conservatoire, licenciée à Amiens Sub, est championne de France d’apnée.

Numa Decagny (amateur)Discret, il se révèle sur les rings deboxe thaï où ce licencié d’AmiensMuaythaï est devenu champion dumonde amateur à 24 ans.

L’ASPTT Pétanque (bénévoles)3000 boulistes. 9000 spectateurs.Depuis vingt-quatre ans, avec son National, le club organise l’undes plus grands rendez-vous del’Hexagone à La Hotoie.

Robert Marchand, ce phénomèneIl aura 103 ans le 26 novembre. Bon pied, bon œil et un sacré coup de pédale chez ce natif d’Amiens, qui a battu le record de l’heure des cente-naires en janvier (lire JDA 707). Le 15 novembre, lui qui se souvient de l’arrivée des Allemands le 31 août 1914 à Amiens, a reçu la médaille citoyennede l’agglomération. Ce petit bonhomme à la vie bien remplie, tour à touréleveur de poulets au Vénézuela ou marchand de vin, n’a pas rangé lesvélos : « Seulement, j’ai des rhumatismes, il fallait bien que ça arrive ! iro-nise-t-il. Les professeurs qui me suivent m’ont dit d’y aller piano car ils netrouvent pas d’autres cobayes dans mon genre ! »

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Actifs ensemble


LoisirsStretching postural avec JocelyneOger au gymnase de l’écoleJules-Verne (305, route d’Abbe-ville), les vendredis, de 18h30 à19h30. 50 €/trimestre. Séanced’essai gratuite. 06 26 47 40 75 –[email protected]

Picardie-Togo organise unebourse aux jouets et aux vête-ments de puériculture le 30 no-vembre, de 9h à 18h, salleSaint-Roch (14, rue Allou). 5 € latable. Rés. avant le 25 novembreau 03 22 92 30 24.

Femmes en mouvement invite àun défilé de mode pour clôturer le projet “Costumes de fêtes – Pa-rentalité”. L’occasion de découvrirles cultures à travers costumes,danses et savoir-faire culinaire.Le 29 novembre, dès 14h30, auSafran (3, rue Georges-Guyne-mer). 09 51 51 68 30 – [email protected]

Samba 80 propose une session de charleston à la salle de dansedu 14, rue Allou. Les vendredis, de 19h à 19h55, du 28 novembreau 19 décembre. 25 € (+ 17 €d’adhésion à l’association). Ins-cription jusqu’au 21 novembre. 06 76 50 21 65 – [email protected]

Stage de peinture sur porcelaineà L’Atelier des anges (233, rueJules-Barni), les 25 et 26 novem-bre, de 14h à 18h. 90 € (fourni-tures comprises). 06 07 53 25 60 –[email protected]

La Boîte à outils de la famille pré-pare un atelier sonore et sensorielle 22 novembre, de 10h à 11h. Puisune conférence sur “Manger au-trement”, le 28 novembre, à19h30. Et aussi : un atelier portagespécial dos le 29 novembre, de10h à 12h et un café allaitement,de 15h30 à 17h. De 3 € à 6 €. Rés. :06 18 62 80 59 ou 06 51 30 62 84ou [email protected].

Vous avez du matériel en panne?Apprenez à réparer et découvrezl’impression 3D au Repair’Café le28 novembre, à 19h, au 70, ruedes Jacobins. Outils disponibles.Ouvert à tous. Inscriptions avantle 25 novembre au 06 33 88 87 51.

Débat avec l’université populaired’Amiens et Thierry Pech, direc-teur de Terra Nova, autour duprogrès social jeudi 27 novem-bre, à 18h30, au Safran (18, rueGuynemer). [email protected]

VIOLENCES

Allô détresseL’association Agena constitue une équipe d’intervention pour aller à la rencontredes victimes de brutalité dans leur couple. Un service joignable par téléphone.

« Nous travaillons auprès desfemmes victimes de violencesmais aussi de leurs auteurs »,déclare Gwenaël Leroy, directriced’Agena. L’association, née en1976, a depuis développé diffé-rents projets: centre d’héberge-ment et de réinsertion sociale,halte-garderie, accueil d’urgence,maison maternelle… Mais aussi unaccueil de jour pour les femmesvictimes de violences dans leurcouple. Ce lieu d’écoute, créé dansle cadre d’une directive nationale,permet d’accueillir ces victimes,de les guider et les accompagnerdans leurs démarches administra-tives ou médicales.

Aller au-devant des femmes

« Nous souhaitions étendre ceprojet aux femmes qui ne peuventpar manque de transports se rendre dans les lieux d’accueil àAmiens, Abbeville et Péronne »,poursuit Gwenaël Leroy. Uneéquipe mobile d’écoute et d’inter-vention vient d’être constituée afind’aller au-devant de ces per-sonnes isolées. Un numéro permet de prendre contact et de

fixer un rendez-vous, dans un lieuneutre ou encore dans une voitureaux vitres teintées. Ce binôme estcomposé d’un travailleur social etd’un psychologue. À l’approche dela Journée internationale pourl’élimination de la violence faiteaux femmes, ce service doit ré-pondre à des appels de détresseencore trop nombreux. « Sur l’en-semble du département, noussommes en effet toujours autantsollicités pour l’hébergement d’ur-gence, regrette Gwenaël Leroy.

On affiche complet tous les soirs. »Selon les Nations unies, 70 % desfemmes dans le monde sont vic-times de violences, physiques oumorales, au cours de leur vie. Lecombat continue.

Coline Bergeon

Accueil de jour (2, rue Beaumarchais) et équipe mobiled’écoute et d’intervention: 03 22 52 09 52 ou [email protected]

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INITIATIVES

Des services à la cartePendant le Mois de l’économie sociale et solidaire, l’association Ménage serviceouvre les portes de sa Plateform’, un espace dédié à la formation.

Depuis vingt-neuf ans, Ménageservice accompagne vers l’emploiles personnes en situation d’exclu-sion et initie des projets. Le dernieren date est la création de Plate-form’, un appartement de 100 m2,

équipé pour se former aux métiersde services: ménage, propreté etassistance à la personne. « Notreprojet est le fruit d’un constat: lesecteur peine à trouver du person-nel qualifié répondant aux nou-

velles exigences des métiers »,constate Sabine Verhaegen, direc-trice de l’association amiénoise.Ménage service a donc imaginépour ses salariés et les profession-nels du secteur un espace fonc-tionnel. « Du nettoyage de vitres àla manipulation d’un lève-maladeou la fabrication d’un repas équili-bré, tous pourront se former. » Unprojet qui a vu le jour grâce auxdons de particuliers (armoires, lit,vaisselle…) et de professionnels(électroménager, robinetterie,peinture…). Un espace à découvrirle 28 novembre, de 14h à 18h, pen-dant le Mois de l’économie socialeet solidaire.

Stéphanie Bescond

Association Ménage service (30,route d’Abbeville) – 03 22 71 20 00 L

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Du nettoyage de vitres à la fabrication d’un repas équilibré, les salariésde Ménage service peuvent se former dans cet espace de 100 m2.

L’accueil de jour permet de recevoir les victimes de violences conjugales.

Culture & Loisirs


Slava, l’effet boule de neigeCela va au-delà de la pantomime. Selon ses aficionados, à l’image de Cécile, Slava’s Snowshow est « drôle, vivant,gracieux, féerique. » Dans ce spectacle créé par Slava Polounine, clown russe sur le fil entre rire et larmes, tout ununivers se déploie. Un univers si enjôleur qu’on y revient, telles Cécile et Laurence. Toutes deux étaient dans lasalle en 2010. Quatre ans plus tard, elles rempilent pour ce moment « poétique et émouvant, loin des clowns tarte

à la crème », ironise Laurence. Elleentraîne même ses proches pourqu’ils profitent de cette atmo-sphère magique où le public estsollicité, sans barrière. « Un mo-ment merveilleux, poursuit-elle. J’ai hâte d’y retourner ! ». Comme le dit Cécile : « Même si on le voitplusieurs fois, aucune n’est de trop ».C’est ça, l’effet boule de neige duSlava’s Snowshow. J.-C. F.

Slava’s Snowshow, du 26 au 30 novembre, à la Maison de la culture – 03 22 97 79 79

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MusiqueEx-candidat de The Voice puis remarqué dans Les Amants de la Bastille, Louis Delort et songroupe font escale à Amiens.Louis Delort & The Sheperds, le22 novembre, à 20h30, à Mégacité.

Un piano, une batterie. Une fille,un garçon. Le duo français Catson Trees envoûte le Cirque Jules-Verne le 26 novembre, à 20h.

Concert au profit de Médecinssans frontières, le 26 novembre, à20h, à Mégacité. Au programme:“Balade musicale de Noël à travers l’Europe” avec le chef d’orchestre Andreas Boutsikakis.Billetterie au Cristal’s (2, rue de laRépublique). Rés. au 07 81 01 14 06ou [email protected].

Le 29 novembre, à 15h et 20h30, à Mégacité, les 50 musiciens del’Orchestre philharmonique dePrague jouent des musiques defilms. Avec projection d’extraits etcommentaires de Francis Huster.

L’Orchestre universitaire de Picardie joue les œuvres de Beet-hoven et Gershwin, au pôle uni-versitaire cathédrale (15, placetteLafleur), le 27 novembre à 20h30.Concert au profit du projet d’or-phelinat au Vietnam, de l’associa-tion Les Amis de sœur Myriam. 03 22 95 48 58

Pour les 3esRencontres musicalesde Longueau, l’association LesArts de la fête reçoit Bobby Solo,surnommé le grand Elvis Presleyitalien. Au programme: hommageau King, gospel et chansons napo-litaines. Le 29 novembre, à 20h,église de Longueau.

Vadim Repin, violoniste, et BorisBerezovsky, pianiste, interprètentRavel, Chostakovitch, Stravinskyet Strauss, lundi 24 novembre, à20h30, à la Maison de la culture.03 22 97 79 77

Pendant le Picardie Mouv, Le Safran accueille HK et les Déser-teurs le 21 novembre, à 20h. Le groupe amiénois Les Pinail-leurs assurera la première partie.03 22 69 66 00

ThéâtreChés Cabotans d’Amiens jouentLafleur en voyage de noces les 23 et 30 novembre, à 15h, au théâ-tre d’animation picard (31, rueÉdouard-David). Cette bouffonne-rie de Maurice Domon narre lesdéboires de deux provinciaux dé-couvrant Paris. 03 22 22 30 90

ANNIVERSAIRE

L’harmonie dans la peauL’Harmonie Saint-Pierre fête ses 120 ans. Rencontre avec deux de ses musicienspassionnés: Camille Roucoult, saxophoniste, et Hubert Flandre, tubiste.

JDA : Comment êtes-vous arri-vés à l’Harmonie Saint-Pierre?Camille Roucoult : J’ai joué deuxans au sein de l’Harmonie de Bou-logne-Billancourt. J’ai contactéHervé Winckels, le directeur del’Harmonie amiénoise, et je suisarrivée en juin dernier.

Hubert Flandre : J’ai commencéà l’Harmonie d’Airaines en 1977.Mon parcours professionnel m’afait revenir à Amiens et je suisentré à l’Harmonie Saint-Pierre.J’avais déjà joué avec quelques-uns de ses membres. J’en ai été leprésident pendant huit ans.

JDA: Comment y entre-t-on?H. F. : L’Harmonie est ouverte àtous ceux qui jouent d’un instru-ment. Mais on ne peut pas adapterle niveau à celui qui y entre. Il y adonc une période d’essai. Noussommes aujourd’hui 63 musicienseffectifs sur 73 inscrits.

JDA: Pourquoi avoir choisi cetteformation?C. R. : C’est un orchestre impor-tant, au niveau exigeant. Maisl’ambiance reste conviviale.

H. F. : Et les projets impulsés parHervé Winckels sont riches. Nosdisques témoignent de nos ren-contres avec différentes forma-tions : la Légion étrangère, desensembles de jazz mais aussi desgroupes comme Trio d’vie.

JDA : Le mélange des généra-tions explique-t-il sa longévité?H. F. : Le côté intergénérationnelest propre à ce genre de formationmais c’est vivifiant. Cette saisonnous honorons nos prédéces-seurs, comme lors de la sainte Cé-cile, patronne des musiciens. Nousjouerons à la cathédrale et non àSaint-Pierre. On prépare aussil’avenir. Les jeunes prennent desresponsabilités et l’Harmonie s’in-vite sur Twitter et Facebook!

Propos recueillis par Coline Bergeon

Célébration de sainte Cécile, le 23 novembre, à 15h, à Notre-DameEntrée libre – www.harmoniesaintpierre.com

Clarinettes à l’unissonLe 28 novembre, à 20h30, l’Har-monie Saint-Pierre d’Amiens ou-vrira le 13e concours national declarinette de l’association Clari-nettes en Picardie organisé les 29et 30 novembre au Conservatoireà rayonnement régional. L’occa-sion de rencontres artistiquespour cette formation, dirigée parHervé Winckels, clarinettiste luiaussi. L’Harmonie accompagneraainsi Philippe Olivier Devaux, so-liste de l’Orchestre de Paris, et AnnLepage, lauréate de la 12e édition.

06 85 33 26 59 ou http:// clarenpic.blog4ever.com – Entrée libre

Camille Roucoult, 22 ans, et Hubert Flandre, 56 ans: deux générationsde musiciens au service de l’Harmonie Saint-Pierre d’Amiens.

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Au milieu, le clown russe Slava Poloumine.

Culture & Loisirs


EXPOSITION

«Les artistes, c’est le public»Les autoportraits d’habitants récoltés par le Mnémographe de Roberto Giostra à Étouvie s’exposent au CSC. 300 selfies pleins de vie.

« Tout le monde me connaît àÉtouvie! », exulte Robert Giostra.Le photographe bordelais inaugu-rait le 6 novembre l’exposition LeMnémographe d’Étouvie. Mnémo-graphe? C’est cet appareil photomonté sur un cadre, créé par l’ar-tiste en 2002 pour un festival à Lis-bonne. L’objet, servant à réaliserdes autoportraits, s’est baladé àMarseille, Tokyo et Amiens, « oùj’ai été adopté par les arts de larue », raconte l’artiste. À Étouvie,« l’idée était de fédérer les habi-tants autour d’un projet festif, indique Ghislaine Roche, directricedu CSC, avant et durant la Fêtedans la ville, à laquelle ils partici-pent avec le Théâtre de l’unité ».Dans cet esprit participatif, NicolaCosteux et Davis Perimony expo-sent leurs planches BD croquéesdurant l’édition de juin 2014, aux côtés des images récoltéespar le Mnémographe. Environ 300autoportraits. « Un peu comme un

lité de l’image reste secondaire.Les artistes, c’est le public ».

Candice Cazé

Le Mnémographe d’Étouvie,jusqu’au 11 décembre, au CSC (av. de Picardie) – 03 22 43 03 52

livre d’or, ils constituent une archive visuelle dont la collectivitéet les institutions sont proprié-taires, explique Roberto Giostra,non pas un réseau social coté enbourse. » Comble pour l’ancienphotographe de mode: « La qua-

D. R

.

Durant six mois, Roberto Giostra a baladé son Mnémographe par-tout dans Étouvie: marché, commerces, écoles, crèches, clubs desport, collège et locaux des associations Diapason, Initielles, Apap…

Jeune public, grand spectateurLe spectacle vivant à destination des enfants est enpleine ébullition. Et cette année, la Maison du théâ-tre consacre un temps fort aux petits, dès 12 mois.Du 25 au 27 novembre la compagnie Le Fil rougejouera Enchantés, une pièce musicale dansée et colorée. La compagnie Un château en Espagne lesinvitera à découvrir Le Vol des hirondelles, du 3 au 5 décembre. Deux journées de sensibilisation etd’échanges autour de l’éveil artistique des petits etdes écritures qui leur sont consacrées se tiendrontles 28 et 29 novembre. Pendant ce temps fort, laplasticienne Lunatine dévoilera son univers à tra-vers une exposition et un espace ludique pour faireentrer subtilement les enfants dans l’univers duthéâtre. La librairie Pages d’encre proposera quant àelle une sélection de livres à la vente. De belles his-toires en perspective. C. B.

La Maison des tout-petits, du 25 novembreau 5 décembre, à la Maison du théâtre03 22 71 62 90 – Programme sur www.amiens.fr

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Et encore…Lecture de Sonnets de WilliamShakespeare par La Compagniedifférée, le 21 novembre, à 19h, àla librairie Chapeau melon et Pilesde livres (11, rue des Lombards).03 60 24 37 86

À l’occasion de l’exposition D’hierà demain, le velours un savoir-faire amiénois et du projet euro-péen “Au-delà du bleu, la waide”,rendez-vous à la bibliothèqueLouis-Aragon (50, rue de la Ré-publique). Le 20 novembre, à 17h, visite guidée puis conférence, à18h. Le 27 novembre, à 18h, nou-velle visite suivie, à 19h, d’uneconférence sur le manteau, vête-ment du pouvoir et du rêve.

La Cie Issue de secours proposeune lecture de Jonathan Livings-ton, le goéland de Richard Bachen partenariat avec la Cie lesChanteurs d’oiseaux le 27 novem-bre, à 19h, au Centre culturel Léo-Lagrange (12, place Vogel). 03 2292 39 11

L’Amiénois Guillaume Lefebvresort un nouveau roman policier,Vogue la colère. Séance de dédi-caces de ce thriller maritime quidébute en baie de Somme, samedi22 novembre, à 15h30, à la librai-rie Martelle (3, rue des Vergeaux). 03 22 71 54 54

Johan Pilet, dessinateur de la sérieà succès Ratafia, rencontre seslecteurs et dédicace le tome VII,Un besoin de consolation, le 21novembre, de 15h30 à 19h, à la li-brairie Bulle en stock (4, rue duMarché-Lanselles).

À l’occasion de la sortie de la BDLes Chroniques de notre mère laguerre, certains de ses dessina-teurs sont en dédicace le 21 no-vembre de 16h à 19h à Bulle enstock (Vincent Bailly et DamienCuvillier) et à Martelle (Jeff Pour-quié et Hardoc). Le scénaristeKris, lui, sera sur tous les fronts.

À l’invitation des Amis de la cathé-drale, Jean-Paul Dupouy intervientsur les plantes du Moyen-Orientdans la culture judéo-chrétienne:“De l’usage quotidien de la chargesymbolique”. Le 27 novembre, à17h30, à l’espace Dewailly.

“Quelle démocratie pour de-main?” Question posée et animéepar Pedro Enrique pour le Café-philo des Petits Socratiques le 28 novembre, de 18h30 à 20h, àl’hôtel Acloque (33, rue Millevoye).www.cafephilo.webs.com

Le roi des KongC’est LE monstre du sep-tième art. Et jusqu’au 22 no-vembre, la star du Festivaldu film d’Amiens. L’em-preinte de King Kong esttelle qu’elle a presque misdans l’ombre son papa,Merian C. Cooper, avia-teur-aventurier du débutdu XXe siècle. Ce dernierinventa les codes dublockbuster avec son grand singe de 1933,emmené à New York, symbole de la civilisation, ettué par la modernité des avions (oups! on a révéléla fin). Édité par le Festival, le livre Faites-le plusgrand! est même le premier en français consacré auréalisateur américain. On le doit à Jean-ChristopheFouquet, prose prolifique au JDA. Ce cinéphile,autre bête à la pilosité fournie, use de sa plumepour rallumer les projecteurs sur Cooper avec qui ilpartage le goût de la pipe. Un personnage « dingue »qui s’engagea dans les airs lors des deux guerresmondiales. Un showman, passé du documentaireau studio, sorte de George Lucas qui produisit plusde films qu’il n’en réalisa, viscéralement animé parl’obsession de nouveauté, qu’elle passe par les effetsspéciaux ou la musique. « Admirable » selon Libéra-tion, Faites-le plus grand! cette phrase témoin de lafolie des grandeurs de Cooper, redécouvre « uncontinent perdu » du cinéma. A. C.

8 €, en vente pendant le Festival du film

Marie

Legra

nd

Le Vol des hirondelles, un ballet lumineux et poétique d’oiseaux en papier.

Du 19 au 25 novembre Cinéma

version sous-titrée pour les personnes sourdes ou malentendantes

Et toujours à l’affiche…RESPIRE(2014) 1h32

13h (sa, lu et ma) / 13h15 (me, je et ve) / 17h1521h15 (me, je et ve) / 21h30 (sa, di, lu et ma)

LA PROCHAINE FOISJE VISERAI LE CŒUR(2014) 1h51

11h30 / 14h / 16h30 / 19h / 21h30

REC 4(2014) vf 1h35

11h (me, je et ve) / 13h15 (me, je et ve) 15h30 (me, je et ve)17h45 (sa, di, lu et ma) / 20h / 22h15

QUAND VIENT LA NUIT (2014) 1h47

vf : 22h15 vo : 17h45 (me, je et ve)

SERENA(2014) vf 1h45

10h15 (lu et ma) / 10h30 (sa et di) / 10h45 (je et ve)12h30 (ma) / 13h (sa et di) / 13h15 (je et ve) / 14h45 (ma)

INTERSTELLAR(2014) 2h49

vf : 10h30 (sauf je et ve) / 14h / 21hvo : 17h30 (sauf di) / 17h45 (di) 4

SAMBA(2014) 1h59

11h45 (lu et ma) / 14h30 (sauf me et di)17h (me, je, ve) / 17h15 (sa, di, lu et ma)19h30 (me, je, ve) / 19h45 (sa, di, lu et ma)

LE LABYRINTHE(2014) vf 1h54

17h (sa, di, lu et ma) / 17h30 (me, je et ve)19h30 (sa, di, lu et ma) / 22h

UNE NOUVELLE AMIE(2014) 1h47

15h (sa, lu et ma) / 15h30 (me, je et ve)19h15 (sa, di, lu et ma) / 20h (me et ve)

FURY (2014) vf 2h14

12h15 (ma) / 14h15 (sa et di) / 15h30 (lu)17h15 (ma) / di et lu (20h15)

LA LÉGENDE DE MANOLO (2014) vf 2D 1h35 11h (sa et di) / 13h me, sa et di)

NINJA TURTLES(2014) vf 1h42 14h45 (me) / 15h30 (sa et di)

GRIZZLY(2014) vf 1h18

10h45 (di) / 11h (me et sa) / 12h30 (di)12h45 (sa) / 13h (me) / 14h15 (di)

BOUBOULE(2014) 1h24

10h15 (sa et di) / 10h30 (je et ve) / 11h30 (me)11h45 (lu et ma) / 12h30 (je et ve)13h45 (lu et ma) / 15h45 (lu et ma)

ALADDIN(1992) vf 1h30

Cycle “classiques Disney”11h (sa, di, lu et ma) / 13h15 (me)

HUNGER GAMESLA RÉVOLTE PART 1(2014) vf 3D 2h

De Francis Lawrenceavec Jennifer Lawrence, Josh Hutcherson

Après avoir détruit l’arène des jeux, Katniss devientle symbole de la rébellion et se bat pour libérer le pays.

10h45 (sauf je et ve) / 12h15 (sa, di, lu et ma) / 12h45 (je et ve) / 13h30 / 15h (sauf je et ve) / 15h15 (je et ve) /16h15 / 17h45 / 19h / 20h30 / 21h45

UN ILLUSTRE INCONNU(2014) 1h58

De Matthieu Delaporteavec Mathieu Kassovitz, Marie-Josée Croze

Se rêvant quelqu’un d’autre, Sébastien observe, suitet imite les gens qu’il rencontre. Mais jusqu’où ? 12h / 14h30 / 17h / 19h30 / 22h -

PUZZLE(2013) vf et vo 2h17

De Paul Haggisavec Liam Neeson, Maria Bello

Trois histoires d’amour, de passion, et de trahisonqui se déroulent à New York, Paris et Rome.

vf : 10h15 / 15h45 / 21h15vo : 13h / 18h30

LES OPPORTUNISTES(2014) vf et vo 1h49

De Paolo Virziavec Valeria Bruni Tedeschi,Fabrizio Bentivoglio

Près d’un lac en Italie, deux familles obsédées parl’argent voient leurs destins changer la veille de Noël.

vf : 10h45 (di, lu et ma) / 20h15 (ve)21h15 (sa, di, lu et ma)vo : 16h (sa, di, lu et ma) -

L’ORANAIS(2014) 2h08

De et avec Lyes Salem,avec Khaled Benaissa, Djemel Barek.

Après l'indépendance, deux amis sont promis à un belavenir en Algérie. Jusqu'au jour où la trahison les sépare.

13h15 (sa, di, lu et ma)18h30 (sa, di, lu et ma) / 20h15 (ve)

MARIE HEURTIN(2014) 1h38

De Jean-Pierre Amérisavec Isabelle Carré, Ariana Rivoire

Fin du XIXe siècle. Une ado de 14 ans sourde et aveugleest prise en charge par un institut de religieuses.

10h15 (sa, di et ma) / 11h (me, je, ve et lu) / 12h15(sa et di) / 13h30 (lu) / 15h (ma) / 15h15 (sauf lu et ma) 18h15 (lu) / 19h15 (me, je et ve)

LÉON(1994) 1h43

De Luc Bessonavec Jean Reno, Gary Oldman

Léon, un tueur à gages, prend sous son aile Mathilda,une gamine de 12 ans seule au monde. 20h05 (ma)

LUTINS DU COURT-MÉTRAGE (2014) 2h Sept courts-métrages Les Lutins poursuivent leur promotion

du court-métrage avec cette sélection 2014. 20h (je)

ASTÉRIXLE DOMAINE DES DIEUX(2014) 3D 1h22

Film d’animation d’Alexandre Astier César fait construire des villas luxueuses juste à côté de nos irréductibles Gaulois. Sauront-ils résister au faste romain ? Avant-première di 14 h et 16h

LA FILLE DU PHARAON(2014) 2h25 Ballet de Césare Pugni En direct de Moscou, fresque égyptienne

avec les étoiles du Bolchoï. 16h (di)

LE BARBIER DE SÉVILLE (2014) 3h30 Opéra de Gioachino Rossini Opéra en direct du Metropolitan de New York. 18h55 (sa)

CINÉ GAUMONT 5, bd de Belfort, Amiens / 08 92 69 66 96 # 181 (0,34 € la min) www.cinemasgaumont.com

JDA Métropole ■ n° 737 ■ 19 novembre 2014 ■ 15

Jean-Pierre Bergeon aime : : un peu - : beaucoup - : passionnément - : à la folie - : pas du tout

EDEN(2014) 2h11

De Mia Hansen-Løveavec Félix de Givry, Pauline Etienne

La vie et les amours d’un DJ dans les années 90,pour revivre l’émergence de l’électro en France.

me 14h / ve 19h30 / sa 22h / di 14h – 19hlu 14h – 16h30 – 21h30 / ma 14h – 16h30 – 19h

MOMMY(2014) vo 2h18

De Xavier Dolanavec Antoine-Olivier Pilon, Anne Dorval

Adolescent hyperactif, Steve vit avec sa mère, veuve.Avec une voisine, ils tentent d’équilibrer leur vie. di 16h30 / lu 19h / ma 21h30

20 000 JOURS SUR TERRE (2014) vo 1h37

De Iain Forsyth et Jane Pollardavec Nick Cave, Susie Bick

24h aux côtés du chanteur australien Nick Cave.La frontière entre réalité et fiction se brouille.

Avant-première le 19 novembre, à 22h – À l’occasiondu 34e Festival international du film d’Amiens.

CINÉ ST-LEU 33, rue Vanmarcke, Amiens / 03 22 91 61 23 www.cine-st-leu.com

CINÉ ORSON-WELLES place Léon-Gontier, Amiens / 03 22 97 79 77www.maisondelaculture-amiens.com

HISTOIRE DE LA PEUR(2014) vo 1h20

De Benjamin Naishtatavec Jonathan Da Rosa, Tatiana Gimenez

En Argentine, en plein été, entre quartierspavillonnaires et terrains vagues, la peur s’installe. di 14h – 17h – 19h / lu 18h – 20h

A GIRL AT MY DOOR(2014) vo 1h59 De July Jung avec Doona Bae, Sae-ron Kim Une policière arrive sur la côte et y rencontre Dohee

dont la grand-mère meurt en tombant de la falaise. ma 18h – 20h

Les trois cinémas sont en plein Festival international du film d’Amiens jusqu’au 22 novembre. Programme complet sur www.filmfestamiens.org, rubrique “télécharger”.

Ateliers du sport

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