Hiver 2009 + Numéro 04

Webzine mensuel sur l’art et les nouvelles technologiesArt ’CTRL+

éditorialBon été !Nous voici au bout du voyage de cette première année de vie du webzine Art’CTRL+ et, par la même occasion, en vacances !

Je tiens d’abord à remercier les étudiants finissants du profil multimédia qui ont mis au monde ce webzine et qui l’ont bien alimentés tout au long de cette dernière année.

Cette dernière revue sur place aussi sous le signe du soleil et de l’été qui s’annonce : des suggestions de films à voir, des expositions, des jeux vidéos... Bref, de quoi passer un très bon moment sous le soleil ou dans le confort de son foyer !

De belles vacances et un bon été à tous !

Suzanne Roy

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L’équipe de ce numéro :Guillaume Royer / Thomas Gagnon-Van Leewen / Lian Benoît / Sarah Laurin / Henry Goury-Lafont / Alexandra Capistran / Anne-Julie Du Sault / Olivier Reeves / Arielle Tan / Elisabeth Desmarais / Elizabeth Beaumien-Durand / Fani Saint-Pierre Mousset / Marc Latreille / Catherine Villeneuve / Suzanne Roy

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sommaireVotre ordinateur et ses composants

Windows 7

Twitter en 8 questions

Tutoriels Photoshop : les brushes

Logiciels de création musicale

Taste of Chaos

Girl

Festival Osheaga

Little Big Planet

5 films à surveiller cet été

America the beautiful

Friday the 13th

Imagine : la ballade de John et Yoko

Le cubisme

Gadgets de l’été

Blagues

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Techno& Tutos

Votre ordinateur

Qui fait quoi dans un ordinateur?

De nos jours, presque tout le monde utilise quotidienne-ment un ordinateur. Pourtant, très peu savent quelles sont les différentes parties qui le compose et quelle est leur tâche pour que la machine fonctionne bien.

La carte mèreC’est la partie la plus importante d’un ordinateur car tou-tes les autres parties sont connectées sur elle, incluant le boitier. C’est sur la carte mère qu’est installé le BIOS (ce qui démarre avant un système d’exploitation tel windows ou OS X). La qualité de votre carte mère vous permettra d’ajouter ou non des éléments supplémentaires à votre ordinateur : exemple : une carte de son ou une carte graphique de meilleure qualité, plus de mémoire vive, etc.

Le Disque DurCette partie est la plus connue. Il s’agit du composant qui conserve vos fichiers. L’espace disponible pour entre-poser tout vos fichiers se mesure en GO. À titre d’exem-ple, une photo pèse environ 1 mo, une chanson 5 mo, un film 700 mo, un jeu récent entre 3 et 15 GO.

La Mémoire Vive (RAM)Cette mémoire est beaucoup plus rapide que celle du disque dur. Elle sert à garder en mémoire ce qui doit être utilisé très rapidement ou très souvent par exemple les textures dans un jeu vidéo. En plus d’aider pour les jeux, la ram permet d’avoir plus de programmes ouverts en même temps et de pouvoir changer rapidement.

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et ses composantesPar Guillaume Royer

Le Processeur (CPU)C’est le processeur qui effectue tous les calculs de l’ordinateur. Le processeur transmet alors le résultat de ces calculs vers toutes les autres pièces de l’ordi-nateur. De nos jours presque tout les processeurs ont des doubles ou des quadruples cœurs ce qui signifie qu’il y a, en fait, plusieurs processeurs en un afin de calculer plusieurs choses en même temps.

Système d’alimenta-tion (Power Supply)C’est cette partie de l’ordinateur qui est reliée à une prise électrique. Il sert à envoyer de l’électricité à la carte mère et donc à tout l’ordinateur. Le sys-tème d’alimentation doit être extrèmement constant car s’il n’envoie pas assez d’électricité l’ordinateur s’éteindra et il s’il en envoie trop l’ordinateur sur-chauffera.NDLR : Un bon ventilateur peut également aider vo-tre ordinateur à vivre plus longtemps !

La carte graphiqueLa carte graphique sert exclusivement à afficher les images que l’on voit à l’écran. Elle est très utile car elle permet au processeur et à la mémoire vive de faire autre chose que de calculer l’affichage des images. Une bonne carte graphique est l’un des élé-ments les plus importants si vous désirez jouer à des jeux vidéo.NDLR : Une carte vidéo permet également d’accé-lérer certains logiciels de créations numériques, i.e. Photoshop ou Premiere.

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Windows 7Moins de 3 ans après la sortie de Windows Vis-ta, Microsoft est déjà en train de terminer son successeur : Windows 7. Sachant qu’encore aujourd’hui Vista n’a réussi qu’à séduire 22% de la population contre 65% pour XP et 10% pour OS X, Microsoft s’est décidé à faire changer ses utilisateurs de système d’exploitation avec de nombreuses nouveautés.

Interface L’interface de Windows 7 continue sur la même voie que Windows Vista : une interface plus soignée et plus transparente que celle d’XP. Il y aura toutefois une exception, contrairement à Vista, Windows 7 ne nécessite pas un ordinateur ridiculement puissant pour pouvoir avoir tous les jolis effets visuels. Parmi les nouveautés, on retrouve un redesign complet de la barre des tâches. Tout comme dans OS X d’Apple, on peut lancer nos programmes à partir de la barre des tâches. Une nouvelle option très utile vient toutefois s’ajouter : on peut voir en temps réel exactement ce qui se passe dans chacune de nos applications. En plus de la nouvelle barre de tâche, Windows 7 changera aussi l’interface de nombreux programmes comme le bloc-notes et paint et leur donnera des menus à rubans com-me dans Office 2007.

Le Partage de Média à distance Cette nouvelle option sera sûrement très appré-ciée de ceux qui utilisent plusieurs ordinateurs. Elle permet d’associer vos documents à votre compte de Windows live et de les télécharger à partir de n’importe quel autre ordinateur par internet.

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Par Guillaume Royer

On pourra transférer les images, les documents texte, mais surtout votre bibliothèque Windows media player avec cette option. Ce qui encore plus pratique avec cette option est qu’elle ne sera pas uniquement utilisable pour transférer vos médias entre deux ordinateurs, on peut faci-lement envoyer ses images dans un cadre de photo numé-rique ou encore vers son système de son.

Le Mode Windows XPUn des reproches fait le plus souvent à Windows Vista était qu’il n’était pas vraiment compatible avec son prédéces-seur Windows XP. Microsoft a donc décidé d’intégrer un programme qui nous permettra d’utiliser XP directement de notre bureau, un peu comme pour parallels desktop. Malheureusement, cette option nécessitera un téléchar-gement complémentaire et ne sera pas gratuite pour ceux qui utiliseront la version familiale de Windows 7.

Date de sortieBien que la date de sortie officielle n’ait pas encore été révélée, il est très possible que la première version soit en vente dès octobre. De plus, la version release candidate 1 sera disponible gratuitement dès le 5 mai sur internet pour ceux qui souhaiteraient tester le système d’exploitation avant sa sortie officielle. En ce qui concerne le prix, Micro-soft ne l’a pas encore révélé, mais les rumeurs disent qu’il serait de 200 $ pour la version ‘’Starter’’ soit exactement le même prix que Windows Vista.

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Twitter

1. C’est quoi ?Twitter est le dernier réseau social web 2.0 à percer dans la population générale. Lancé en 2006, le service connaît une montée de popularité fulgurante depuis le début de l’année et compte maintenant parmi ses membres des stars comme Britney Spears et des réseaux comme CNN, ainsi que des mil-lions d’individus comme vous et moi.

Le service de «microblogage» («micro-blogging» en anglais) permet à ses utilisateurs de répondre — en théorie — à la simple question «Que faites-vous en ce moment ?» en 140 caractères ou moins. Ceux-ci ont donc un «fil Twitter» qu’ils peuvent mettre à jour à toute heure de la journée. Ils suivent aussi les fils de leurs amis et des gens qui les intéressent.

C’est d’une simplicité enfantine et, à première vue, totale-ment inutile. Une fois qu’on est dans le bain, c’est surtout très amusant.

2. À quoi ça sert ?La prémisse de base est d’annoncer au monde entier ce que vous faites au moment présent, mais ce n’est qu’un point de départ. En 140 caractères, il est possible d’exprimer ses pas-sions, ses petits pépins quotidiens et le contenu de son lunch, mais aussi de parler d’un match de hockey, de ploguer son nouveau site web, de faire connaître une vidéo cocasse, de débattre de politique, de poser une question techique, etc.

Grâce à ses outils de recherche et de tags, Twitter est parti-culièrement utile pour prendre le pouls de monsieur et mada-me tout-le-monde durant des événements à grande échelle, comme le Superbowl, les Oscars ou encore les soirées électo-rales. Il sert aussi à obtenir de l’information de personnes «sur le terrain» lors d’événements médiatiques importants, comme ça a été le cas lors des attaques terroristes à Mumbai en automne dernier.

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en 8 questionsPar Thomas Gagnon Van-Leewen

3. Comment m’inscrire ?L’inscription est très simple et ne prend que quel-ques clics de souris. Il s’agit de visiter http://twitter.com/signup et de choisir son nom d’utilisateur qui sera aussi l’adresse de sa page Twitter. Par exem-ple, http://twitter.com/idmuse. Dans une conversa-tion normale, on réfère habituellement à un utili-sateur en précédant son nom de @, par exemple «J’aime bien la photo de @idmuse».

Lors de l’inscription, Twitter vous propose un liste de fils de personnalités auquels vous abonner («fol-low») pour peupler votre page Twitter, mais avec un peu de patience, il est possible de ne suivre que les gens qui vous intéressent.

4. Quoi suivre ?Tout d’abord, il est amusant de suivre (s’abonner) aux «tweets» de vos amis et de vos connaissances. Pour ce faire, Twitter offre de scanner votre carnet d’adresse de d’autres services comme Hotmail ou Gmail pour trouver vos contacts qui sont sur Twit-ter. Vous pouvez aussi simplement rechercher des gens sous l’onglet «Find People».

Ensuite, il est intéressant de s’abonner aux fils de célébrités ou d’entreprises qui vous passionnent. La liste est interminable, mais le site WeFollow (http://wefollow.com/) offre plusieurs suggestions par ca-tégories. Quelques unes vous sont suggérées dans l’encadré vert...

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Médias et télévisionCNN, @cnnbrkNew York Times, @nytimesEllen Degeneres, @TheEllenShowCyberpresse, @cyberpresse

MusiqueBritney Spears, @britneyspearsP. Diddy, @iamdiddyJohn Mayer, @johncmayerTaylor Swift, @taylorswift13

CélébritésAshton Kutcher, @apluskDemi Moore, @mrskutcherPerez Hilton, @perezhiltonStephen Fry, @stephenfry

PolitiqueBarack Obama, @BarackObamaAl Gore, @algoreJohn McCain, @SenJohnMcCainArnold Schwarzenegger, @schwarzenegger

SportsShaquille O’Neal, @THE_REAL_SHAQLance Armstrong, @lancearmstrongNBA, @NBAMichael Phelps, @Michael_Phelps

5. Quoi faire sur Twitter ?Outre vous exprimer et suivre les pensées de vos amis ou de vos idoles, Twitter vous permet également de prendre le pouls de la population générale grâce aux «trends», ou sujets chauds. Par exemple, il est possible de surveiller en temps réel tous les «tweets» parlant de grippe porcine (#swineflu), de hockey (#nhl) ou de n’importe quel autre sujet. Il suffit de choisir un sujet populaire sur votre page Twitter ou d’effectuer une recherche sur ce qui vous intéresse.

6. Que veulent dire les @, # et RT sur Twitter ?Plusieurs symboles qui apparaissent dans les «tweets» peu-vent sembler cryptiques. Ce sont des conventions simples et il s’agit seulement de les connaître afin de les comprendre.

Comme nous l’avons vu, @nomdutilisateur désigne un utilisa-teur de Twitter. Ce code est utile pour s’adresser ou mention-ner quelqu’un dans un message. Par exemple : «@idmuse Est-ce que les sites complexes sont corrigés ?» ou encore «OMG! Je viens de voir @idmuse dans le couloir à Brebs!».

On utilise #sujet pour tagger un message s’il parle d’un sujet populaire ou actuel. Par exemple, je pourrais écrire «Cette fameuse grippe porcine commence à me faire peur... #swi-neflu». Ainsi, ceux qui veulent suivre le sujet n’ont qu’à cliquer sur #swineflu et tous les tweets pertinents s’affichent.

Finalement, RT signifie Re-Tweet et on s’en sert pour diffuser un tweet d’autrui qui nous plaît et qui pourrait en intéresser d’autres. On peut aussi le commenter. Par exemple, Marie-Claude Lortie, journaliste à La Presse, diffuse ici un tweet de NPR, la radio publique américaine : «Not good RT @NPR The WHO will raise pandemic alert level from 4 to 5 at 4PM ET, NPR’s Joanne Silberner confirms.»

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7. Comment personnaliser ma page ?Vous n’avez qu’une page principale sur Twitter, mais les possibi-lités pour la modifier sont illimitées. La première chose à faire est d’afficher une photo qui vous représente, dans la section «Pictu-re» de l’onglet «Settings». Votre petite photo, comme votre photo de profil sur Facebook, accompange vos messages. Il est égale-ment possible de modifier de votre page et son arrière-plan sous l’onglet «Design» à partir de thèmes existants ou en créant votre propre esthétique.

8. Quels sont les meilleurs logiciels pour mettre à jour mon fil Twitter ?La façon la plus simple de «tweeter» est d’utiliser l’interface web de Twitter, mais elle n’est pas la plus efficace. Il existe des logi-ciels simples et élégants pour toutes les plateformes. Voici quel-ques uns des meilleurs.

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Pour iPhone ou iPod touchTweetie, $2.99.Élégant avec de nombreuses fonctionalités. Le plus populaire.http://www.atebits.com/tweetie-iphone/(Disponible sur le App Store.)

Pour BlackberryTwitterBerry, gratuit.Simple et facile à utiliser.http://www.orangatame.com/products/twitter-berry/

Pour Windows, Mac et LinuxTweetDeck, gratuit.Puissant, mais très imposant.http://www.tweetdeck.com/(Nécessite l’installation du module Adobe AIR.)

Pour MacTweetie, $14.95 (version gratuite disponible).La version Mac du logiciel pour iPhone. Léger et efficace.http://www.atebits.com/tweetie-mac/texte

Tutoriel Phtoshop

Un brush (nommé pinceau) dans Photoshop, est une sorte d’étampe qui peut prendre n’importe qu’elle forme imaginable : une texture, un dessin, une photographie ou autre. Les brushs sont extrê-mement utilisés par les adeptes de Photoshop et forment une notion qu’il est nécessaire de savoir maîtriser.

Voici 5 étapes rapides qui vous permettront de créer votre propre brush.

1. Ouvrir un nouveau document.

2. Créer une image de la manière désirée. Soit en utilisant une photo ou un dessin fait à l’aide du crayon/pinceau, etc.

3. Sélectionner la partie de ce que vous venez de faire, à l’aide des différents outils de sélection; baguette magique, lasso, etc.

4. Dans Edition, choisir Définir une forme prédé-finie. Donner un nom à la forme, de manière à identifier les différents brush crées.

5. Utiliser votre forme avec l’outil pinceau. Vous pouvez ajuster la taille de votre brush en adap-tant le diamètre.

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Les brushesPar Lian Benoît

Pour rendre votre forme encore plus intéres-sante, appuyer sur F5 et amuser-vous avec les différentes fonctions proposées. Cliquez sur l’icône de la petite feuille de papier dans le coin bas droit, afin de créer une nouvelle forme à partir de ce que vous venez de mo-difier.

Voici maintenant quelques sites Internet inté-ressants où il est possible de télécharger des brush gratuitement.

Brusheezy http://www.brusheezy.com

Web Design http://www.webdesign-tutoriaux.com/brushes.php

Deviant Art http://browse.deviantart.com/resources/ap-plications/psbrushes/#

Il est possible que vous ayez à vous créer un compte pour pouvoir télécharger les brush.

Vérifier si le brush que vous voulez est comp-tible avec votre version de Photoshop. Pour utiliser votre brush nouvellement télé-charger dans Photoshop :

Cliquez sur la petite flèche dans un rond, dans le coin haut droit et choisissez charger les formes.

Sélectionner le pinceau que vous avez downloadé et chargé. Et voilà le tour est joué!

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Ce n’était qu’il y a quelques années qu’en-registrer une chanson était synonyme de grand studio et budget. Néanmoins, avec l’avancement technologique des derniè-res années ainsi que les prix en baisse, il est maintenant possible de créer et concevoir de la musique uniquement à l’aide d’un ordinateur muni des bons outils. Voici qua-tres logiciels connus en matière de musique électro-acoustique.

Reason (Propellerhead, 499$)Malgré son prix élevé, Reason présente de nombreux atouts. L’interface rappelle les premiers studio électro-acoustiques de Lee Perry ou Brian Eno et le logiciel, après quatres versions, est extrement stable. Ce dernier, prenant quatres DVD, comporte énormé-ment d’instruments et de son de qualité, mais bien au malheur de nombreuses per-sonnes, très peu d’explications sur son fonc-tionnement. Il est aussi important de noter que Reason ne permet pas d’utiliser des VST (Instruments virtuels) produit par des com-panies autres que Propellerhead; il est donc commun de reconnaitre des sons de Reason dans plusieurs productions d’artistes différent. En conclusion, ce logiciel s’adresse davan-tage a une gamme de producteurs chevron-nés, habitué a des installations concrète et faisant la transition a une installation informa-tique, avec un budget aisé.

Logiciels

musicalePar Henry Goury-Lafont des Tuileries

de création

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FL Studio (Image-Line, 59-179$)FL Studio est reconnu pour son bas prix et sa facilité d’utilisation. Utilisé par de nombreux producteurs de Skream et Benga a Soulja Boy ou encore Dr. Dre, il présente le meilleur rapport qualité-prix du marché. FL Studio, anciennement connu sous le nom de Fruity Loops, fonctionne sur le principe de «loops», courts extraits crées par l’utilisateur ou extrait d’autres chansons. Le logiciel permet aussi l’utilisation de VST, augmentant énormément les possibilités de productions. Le seul aspect négatif de FL Studio est technique, puisque le logiciel consomme énormément de mé-moire vive.

Garage Band (Apple)Garage Band est un logiciel faisant parti de la suite iLife d’Apple, inclut sur tout nouvel or-dinateur Mac. Le programme présente une interface très simple d’utilisation mais avec très peu de potentiel; il offre uniquement la possibilité d’enchainer plusieurs samples, sans pouvoir les modifier. Dans la majorité des cas, Garage Band est l’équivalent du «jouet» électro-acoustique - une alternative au Pin-ball pour les utilisateurs de Mac. De plus, le logiciel consomme beaucoup de ressources du système et tente de masteriser les projets automatiquement, menant très souvent a une très mauvaise qualité sonore.

Live (Ableton, 549$)Live, aussi connu sous le nom d’Ableton ou encore Ableton Live, est un excellent logiciel doté d’une interface quasiment parfaite. Cette dernière est divisé en colonnes et per-met de maintenir un controle entier sur toutes les pistes. De plus, Live contient une suite de VST très utile et facile d’utilisation. Ableton Live présente un seul inconvénient majeur: son prix. Néanmoins, pour tout producteur serieux, Live est un outil indispensable.

En conclusion, il existe un logiciel pour tous; ne soyez-pas effrayé par les prix: toutes les companies ci-dessus, a l’exception d’Apple, offrent des démos gratuites. Le monde de la musique électro-acoustique est à votre porte!

Musiqueet festivals

taste

Le 9 avril dernier, la tournée Rockstar Taste of Chaos s’arrêtait au Métropolis pour offrir la toute dernière prestation de cette édition de 2009. Reconnue comme étant la tournée rock du printemps par excellence, Taste of Chaos regroupe chaque année une variété de groupes qui, une fois sur la même scène, ont tout pour plaire aux amateurs de punk, hard rock et d’alternatif. Le tout étant ac-cessible à un prix raisonnable, soit entre 20 et 25$ du billet.

Au rendez-vous étaient présents cette an-née des groupes tels que Cancer Bats, Four Year Strong, Pierce the Veil, Bring Me the Ho-rizon et Thursday. La majorité de ces groupes ont été sélectionnés par Kevin Lyman, co-fondateur de l’événement, après avoir été témoin de leurs performances électriques au Warped Tour 2008. Selon Lyman, chaque groupe participant à la tournée possède tous les atouts pour être parmi les prochaines grandes découvertes musicales du genre.

Les portes ouvraient à 17h et dès 17h45 le premier band était déjà sur le stage. Pour chacune des dates de tournée, les premiers sur la scène étaient un groupe local ayant remporté le Ernie Ball Battle of the Bands. Bien que lors de la performance de Bap-

tized in Blood la majorité des fans étaient aux kiosques des cinq groupes officiels de la tournée, ils ont tout de même réussi leur ob-jectif, soit de bien réchauffer la foule. Alors que généralement on en attend très peu du groupe d’ouverture, Baptized in Blood a prouvé qu’ils méritaient amplement leur présence sur cette scène.

Le second groupe présent était Cancer Bats, qui vient de Toronto. Avant ce soir, ja-mais je n’avais entendu l’une de leur chan-son. Je peux par contre désormais affirmer que bien qu’ils ne renouvellent rien au har-dcore punk, ils ont su bien délivrer leur ma-tériel au public et démontrer qu’ils sont un groupe qui vaut la peine d’être vu live.

Les suivants à prendre la scène d’as-saut était Pierce the Veil. Ceux-ci étaient d’ailleurs la raison de ma présence au Taste of Chaos. Je m’attendais donc à une ex-cellente performance de leur part, puisque leur cd A Flair for the Dramatic m’avait com-plètement ébloui l’année dernière. Au final, bien que m’est attentes étaient élevées, les membres du groupes ont su les atteindre avec des prestations des plus dynamiques et un set list qui présente un amalgame de leurs styles musicaux.

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of chaosPar Sarah Laurin

Four Year Strong est l’un de ces groupes qui connaisse un énorme succès grâce à l’internet et dont l’ont parle souvent dans des magazines tels que Alternative Press et Rolling Stone. FYS a probablement été pour la moi la déception de la soirée. Après leurs trois premières chansons, tout mon enthou-siasme créé par les trois groupes précédents avait considérablement diminué. Je me suis même retrouvé à sortir du Métropolis pour la majorité de leur set list, préférant aller man-ger un morceau plutôt que rester dans la salle.

Les prochains à monter sur scène était le très attendu Bring Me the Horizon. BMTH est un groupe de deathcore britannique qui réussit à séduire aussi les amateurs de screamo et de métal. J’avais déjà, à plusieurs reprises, écouté certains de leurs morceaux sans jamais être véritablement convaincue, mais après leur prestation, je dois avouer qu’ils auraient du être le dernier groupe de la soi-rée. En effet, jamais la foule n’aura été aussi agitée que lors de leur passage sur scène. Thursday est un groupe pionnier du punk

moderne et l’une des plus grandes influen-ces de la scène post-hardcore. Malgré leurs précédents succès, je crois fermement qu’ils auraient dut passer avant BMTH. Je n’ai pu que constater qu’avant même leur entré sur scène, plusieurs jeunes ont quittés la salle définitivement. Ce n’est pas que Thursday est surestimé du milieu, mais seulement que cela fait maintenant plus de huit ans qu’ils font partis de la même scène. Participant à une tournée qui présente des futurs favoris de la scène hard-rock, Thursday avait un grand besoin de se renouveler.

Ce fut la première année où je participais au Rockstar Taste of Chaos et, bien qu’il y a eu des hauts et des bas, il s’agit principa-lement d’une tournée qui aide à patienter jusqu’au prochain Van’s Warped Tour. Pour les prochaines années, les organisateurs de-vront se forcer à dénicher des groupes qui attireront plus les foules, puisque chaque an-nées, de moins en moins de gens semblent se déplacer pour assister à cet évènement.

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GIRL

Ce contrat terminé, les jeunes ont conti-nuer à jouer ensemble pour des projets personnels. «Découvrant un désir commun pour la musique», le groupe commence à se produire dans plusieurs petites salles de spectacles et participent à plusieurs concours dans lesquels ils sont sortis souvent vainqueurs.

GIRL ayant connu des moments plus dures n’a jamais baissé les bras, et les voici, allant vers une ascension incroyable, se mêler aux grands noms de la musique.

Avant de devenir GIRL, le groupe a changé plusieurs fois de noms: Les Funk Brothers, le Vrak TV House Band, Ocean et finalement, GIRL.

GIRL est présentement en studio et enre-gistre son premier album qui sera lancé au début du mois de juin. La date et l’endroit sont encore à déterminer.

Le groupe jouera au Théâtre Plaza (salle Belle et Bum) en première partie du groupe Dream le samedi 2 mai 2009 vers 20h15. Le coût est 20$ pour les adultes et 10$ pour les étudiants.

Le 4 mai 2009, GIRL jouera au Beach Party du Collège André-Grasset pour cé-lébrer la fin de la session et le début de l’été. L’événement se déroulera à l’extérieur et est gratuit.

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Par Anne-Julie Du Sault

Le show débutera à midi. Pour plus d’informations sur GIRL, visitez le www.girlmusic.ca. Vous y trouverez plus de photos, de vidéos, d’extraits musicaux, une biographie complète, plus d’événe-ments prochains, et plus encore.

Découvrez un nouveau groupe qui vous fera vibrer d’une nouvelle manière!

GIRL 2 www.girlmusic.caUn groupe de mu-sique récent, composé de 4 jeunes artistes talentueux, GIRL s’élance tranquillement vers la cours des grands grâce à leur succès musical.

Les 4 garçons, fréquentant la même école secondaire, signent leur premier contrat là-bas, soit: la composition et l’interprétation d’interludes musicals pour les galas de fin d’année.

Très apprécié par tous, le personnel de l’école les recommande à la chaîne télévi-sée Vrak TV où ils doivent créer 12 chan-sons de 30 secondes «ayant pour but de faire l’autopromotion de 12 émissions diffusées sur cette chaîne1». Ainsi, le Québec pouvait voir ces jeunes artistes à l’oeuvre sur les ondes de Vrak TV à tous les jours.

www.girlmusic.ca

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Cet été, le 1er et le 2 août, Montréal ac-cueillera encore une fois le festival d’Oshea-ga dans les environs du parc Jean-Drapeau, sur l’Île Sainte-Hélène. Pour ceux qui ne connaissent pas Osheaga, c’est un festival annuel qui a lieu depuis 2006 où quatre scè-nes y sont dispersées et où on y joue de la musique rock et électronique. Les organisa-teurs voulaient organiser un rendez-vous mu-sical de « style européen » de « classe mon-diale » qui s’étend sur une fin de semaine.

Ils ont d’ailleurs récemment dévoilé leur pro-grammation pour l’édition 2009 et ça s’an-nonce mémorable! Samedi, on y retrouve entre autres Coldplay, The Roots, Jason Mraz et Girl Talk. Quant à dimanche, on verra les Beastie Boys, Rufus Wainwright, et Artic Monkeys pour ne nommer que ceux-ci. On pourra aussi y découvrir, si ce n’est pas déjà fait, The Ting Tings, Lykke Li et Winter Gloves. Quelques noms montréalais et torontois ap-paraissent aussi, tels que Beast,

Le volume était au maximum, Parlovr, Crys-tal Castles. Cependant, de nouveaux noms devraient s’ajouter d’ici le mois d’août.

Les prix sont abordables, mais il faut savoir que les gens demeurent debout tout au long du spectacle. Ça fait parti du concept. Cependant, les très petites chaises sont ac-ceptées, mais si tout le monde est pour être devant toi, je ne le conseillerais pas. Des kiosques offrant une grande variété de mar-chandise sont bien entendu à la disposition des consommateurs, ainsi que des toilettes. Notez aussi que peu importe la température, le festival a toujours lieu, mais gageons qu’ils n’auront pas de la difficulté à faire déplacer les gens. Plusieurs articles ou objets sont aussi interdits et les sacs seront fouillés.

Le festival d’Osheaga n’est pas seulement un festival de musique, mais aussi d’art. Plusieurs artistes seront exposés un peu par-tout sur le terrain. C’est un bon moyen de

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OsheagaFestival

Par Élizabeth Beaumier-Durand

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découvrir des nouveaux talents, car tout le monde peut proposer son travail.

Les portes du site d’Osheaga ouvrent à 13h, les concerts débutant à 14h et se terminant à 23h. L’horaire approximatif des spectacles sera disponible sur le site internet durant quel-ques semaines avant le festival. Pour ce qui est de la durée des concerts, les artistes émer-gents devraient être autour de 30 minutes et de 90 minutes pour les têtes d’affiche. Ceux-ci sont toujours les derniers artistes à jouer cha-que jour du festival et font donc leur entrée sur scène entre 21h et 21h30.

« Osheaga » est un mot qui vient de Jacques Cartier lorsqu’il a rencontré, sur le territoire qui allait devenir Montréal, pour la première fois les Mohawks. En effet, lorsqu’il traversait avec ses hommes les rapides de Lachine, ils poin-taient les rapides pour communiquer.

C’est pourquoi les Mohawks les appelaient ainsi, ce qui veut dire « les gens aux mains très agitées ».

Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site www.osheaga.com

Jeuxvidéos

little

Amateur de jeux vidéo ou pas, Little Big Pla-net est un jeu pour la PlayStation 3 que tout le monde adore. Sorti le 27 Octobre 2008 en Amérique du Nord et attendu par des milliers de gens vivant aux 4 coins du monde, ce jeu de plate-forme (type de jeu vidéo dans lequel l’accent est mis sur l’habileté que le joueur a à contrôler le déplacement de son personnage) a connu un franc succès. Même moi, joueuse rare de jeux vidéo, n’a pas pu m’empêcher d’entrer dans le monde créatif de Little Big Planet.

Le but du jeu est assez simple. Tout d’abord LBP se joue en solo ou à plusieurs joueurs (4). Le joueur se trouve en contrôle d’une petite poupée de chiffon, nommé Sackboy ou Sackgirl, où il a l’entière possibilité de créer, inventer ou changer l’apparence, les vête-ments, les expressions de son personnage durant les divers tableaux du jeu. Après sa

création, le but de l’avatar est de passer à travers un parcours remplis d’obstacles (pièges, énigmes) sans se faire tuer. Tout au long du parcours, le personnage est amené à interagir avec le décor : ballon, cordes suspendues, système de poulies, jetpacks. Certains de ces éléments ont des caracté-ristiques physiques particulières (sa forme, sa matière, son centre de gravité), il faut alors bien utiliser le décor pour arriver à surmonter les obstacles. Le joueur utilise les habilités de son personnage tels que sauter, attraper et courir pour explorer les tableaux, relever des défis, et amasser des objets ouvrant des portes sur des zones de jeu bonus ainsi que divers accessoires pour le personnage.Ce jeu comprend aussi un mode « Histoire » avec une cinquantaine de niveaux pré-construits. Ceux-ci renferment des passages secrets contenant des objets à débloquer ainsi que des zones destinées au jeu pour multi-joueurs.

Little Big Planet a été un des jeux les plus en vues et un des mieux reçus de l’année 2008. Ce jeu a été salué par la critique ainsi que la presse spécialisée pour son concept nova-teur, sa réalisation et pour sa présentation, incluant la qualité des graphiques, la bande sonore, ainsi qu’une grande variété de fonctionnalités interactives en ligne. De plus, il se voit récompensé de trois Edge Awards; meilleure innovation, meilleure conception

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big planetPar Arielle Tan

visuelle et jeu de l’année, et d’un 4e prix venant de Media Molecule pour le meilleur développeur.

Pour pouvoir profiter au maximum de ce jeu, l’ac-cès au PlayStation Network se voit bien utile (jeu en ligne gratuit, un internet pour la PlayStation 3). En fait, tout joueur à la chance de créer son propre tableau en ligne, grâce à une bande de données où il peut choisir ses décors, accessoires, autocollants, et les placer, et de le faire décou-vrir à tous ceux qui le veulent! Ainsi, le jeu ne se termine jamais. Des milliers de gens publient leurs nouveaux niveaux et tableaux chaque jour!

Little Big Planet est un jeu que je vous recomman-de tous. Un jeu relax, léger et amusant que vous pouvez jouer seul ou entre amis et même le créer vous-même ! Moments fous garantis.

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Cinéma

5 films

Même si l’été n’est pas fait pour s’enfermer à l’intérieur dans un cinéma, voici des films, de tous genres, qui se-ront à l’affiche dans les trois prochains mois et qui pour-ront occuper les jours pluvieux!

Angels & Demons (v.f. Anges & Démons) Ce film mettant en vedette Tom Hanks et Naomi Watts est une adaption cinématographique du livre du même nom de l’auteur Dan Brown. Ce film est en fait la suite du film tiré d’un livre du même auteur, Da Vinci Code. C’est un thriller dramatique où Hanks incarne le même person-nage, Robert Langdon, venant en aide au Vatican, alors qu’il tente d’arrêter un plan terroriste par les Illuminati. La date de sortie est prévue pour le 15 mai 2009.

Ice Age 3 : Dawn of the Dinosaurs (v.f. L’Ère de glace 3 : L’Aube des dinosauresCe film d’animation qui utilise les voix de Ray Romano, John Leguizano, Denis Leary et Queen Latifah respecti-vement pour les personnages de Manny, Sid, Diego et El-lie. Il est le troisième de la série, comme le titre l’indique. Bien que ce ne soit pas le plus grand film, il convient à toute la famille grâce à l’humour connu des films précé-dents et des aventures trépidantes de ces quatre amis.Le film est attendu le 1er juillet 2009.

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à surveillercet été !Par Alexandra Capistran

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Harry Potter and the Half-Blood Prince (v.f. Harry Potter et le prince de Sang-Mêlé) Le sixième et avant-dernier film de la série inspirée des livres de J.K. Rowling vous ramène vos trois sorciers préférés, Harry, Hermione et Ron, joués par les acteurs Daniel Radcliffe, Emma Watson et Rupert Grint. Dans ce drame d’aventure, encore plus sombre que les précé-dents, Harry Potter, grâce à un vieux grimoire appar-tenant au certain prince de sang-mêlé réussira à en apprendre plus sur Voldemort.La date de sortie est fixée le 17 juillet 2009.

The Ugly Truth (v.f. La Vérité toute crue)Cette comédie romantique et amusante vous convien-dra si vous êtes d’humeur pour un film léger. Mettant en vedette Katherine Heigl et Gerard Butler dans lequel Heigl incarne une productrice d’une émission de télévi-sion qui doit s’allier avec un homme expert en relations humaines qui l’aidera enfin à trouver l’homme de ses rêves quelle cherchait depuis si longtemps.Le film sera en salles dès le 24 juillet 2009.

Inglourious Basters Ce film rassemblant plusieurs grands acteurs tels que Brad Pitt, Diane Kruger, Eli Roth et Samuel L. Jackson, nous présente beaucoup d’action et d’aventure. Réa-lisé par le grand Quentin Tarantino, il nous replonge dans la Seconde Guerre mondiale alors qu’une troupe de soldats juifs s’engagent dans une opération pour tuer les nazis en France. Il est même question qu’il fasse partie de la sélection des films au Festival de Cannes.La date de sortie est établie pour le 21 août 2009.

America

« Un film dédié à toutes les filles, femmes et mères, mais aussi à tous les frères, fils et maris qui les aiment »

Le 25 avril dernier, j’ai eu la chance d’assis-ter à la projection de America The Beautiful, un documentaire écrit, réalisé et dirigé par l’américain Darryl Roberts. Par cet ouvrage, Roberts se pose la question suivante : « L’Amérique entretient-elle une relation mal-saine avec la notion de beauté? ».

Bien que l’attention soit plutôt portée sur l’obsession superficielle qu’on en fait au États-Unis, on retrouve aussi,bien sûr, le même phénomène à l’échelle mondiale.Ici, la grande industrie de la beauté est donc décortiquée, chacun des niveaux ou des or-ganes qui la composeétantalors assidument étudiés, questionnés, critiqués…

On soulève donc, dans le documentaire, plusieurs sujets tabous et controversés, ou dont on entend peu parler… On y retrouve notamment l’influence que la mode ainsi que tout son engrenage complexe peut avoir sur l’estime de soi et la santé des jeu-nes filles ou des femmes, l’industrie pas très propre de la chirurgie plastique, l’industrie du maquillage et tout ce qui nous en est ca-ché, la notion de vraie beauté, etc.

Ce qui promulgue au documentaire sa crédibilité est notamment la présence de plusieurs sources différentes et variées, cha-cune d’entre-elles, apportant un point de vue différent sur la question. On peut alors

passer du discours (moins hypocrite que l’on pourrait le croire) que portent les gens de l’industrie sur l’hyper sexualisation où l’image préétablie de la femme qu’on insère dans le magazine, pour ensuite passer aux propos d’adolescents, d’hommes ou de femmes issus du « monde normal ».

On retrouve d’ailleurs un propos intéressant provenant d’un photographe de mode prestigieux concernant l’image finale que l’on retrouve dans le magazine. Celui-ci dit que bien que les mannequins soient photo-géniques, ais de jolis visages, ainsi que des mensurations de rêve, l’image qui en résulte ne représente pas la réalité pour autant. L’image initiale doit, en effet, passer par un long processus de professionnels, incluant des maquilleurs, coiffeurs, etc. et non sans oublier que le tout sera obligatoirement passé au logiciel de traitement d’images, après coup. En somme « l’image n’est pas réelle, ce que nous vendons c’est unique-ment du rêve ».

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the beautiful

C’est d’ailleurs ce qu’a aussi tentée d’illustrer la campagne de Dove « pour la vraie beauté » avec son court vidéo où l’on voit toutes les éta-pes d’une séance de photos qui conduisent à l’image sur un panneau publicitaire.

Pour ma part, j’ai trouvé ce documentaire ex-trêmement percutant. De façon plus ou moins directe ou indirecte, nous sommes tous visés par la publicité, matraqués par ces images d’idéaux inatteignables et confrontés aux critères de la société… Les énoncés et découvertes de Ro-berts y sont choquants, touchants, mais sans jamais être moralisateurs.

Le documentaire en question n’était malheureu-sement à l’affiche à Montréal que durant une seule journée, le temps de deux représentations au cinéma Impérial. Afin d’y avoir accès à nou-veau, il faudra attendre jusqu’à septembre, mois durant lequel le documentaire sortira ici en dvd.

America the Beautifulhttp://americathebeautifuldoc.com

Dove évolution – Campaign for Real Beautyhttp://www.youtube.com/watch?v=IHqzlxGGJFo

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Darryl Roberts

Il y a quelques mois, le film Friday the 13th est sorti en salles et j’ai décidé d’aller le voir avec quelques copains. Bien que n’étant pas amateurs de films d’horreur, nous avons tenté d’en profiter le plus possible et avons été un peu (beaucoup dans le cas de cer-tains) déçus. J’ai donc décidé de revenir à la source et ai loué le premier Friday the 13th, ce qui me permit de comprendre d’où ve-nait le problème. Je me suis aussi permis de jouer au jeu de Friday the 13th sur NES, ques-tion de rigoler un peu, ce que je n’ai pas fait longtemps considérant mes rapides empor-tements de colère vis-à-vis le jeu.

Friday the 13th (1985).Avant de commenter le film, je tiens à souligner que je ne tiens pas compte des effets spéciaux, vu l’époque, mais plutôt du contenu du film en tant que film d’hor-reur.

L’histoire commence en 1958 au Camp Crys-tal-Lake dans un boisé aux États-Unis. Des moniteurs font la fête pendant que les en-fants dorment et deux d’entre eux montent à l’étage dans le but de s’adonner à des plaisirs charnels. Mais voilà que quelqu’un monte les escaliers et les tuent tout les deux. Plus tard, «de nos jours » (plutôt en 1985) une jeune fille tente de se rendre au camp qui doit rouvrir, suite à sa fermeture en 1958. Une bande de moniteur se rassemblent donc et tentent de rafistoler le camp avec l’aide du nouveau propriétaire, qui s’en va faire une commission et quitte le camp. Les moniteurs

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the 13thFridayPar Olivier Reeves

se mettent tout à coup à se faire tuer un par un par un mystérieux meurtrier. Bien sûr, comme dans tout bon film d’horreur, on voit des jeunes demoiselles se dénuder et on a même droit à une pseudo-scène érotique, ce qui, je suppose, devait cau-ser l’émoi de tous les jeunes garçons de l’époque

Techniquement, le film se révèle à être très mal bâti. La sur-utilisation du point de vue de première personne (first-person view) pour dissimuler l’identité du tueur rend le film diablement lourd par moment et, bien que l’effet de suspense marche les premières fois, il commence à donner mal à la tête vers la moitié du film. Un autre aspect déplorable, encore une fois, l’utili-sation abusive du clair-obscur. D’accord, le film se passe la nuit. D’accord ils doivent trouver un moyen d’y voir quelque chose. Mais le petit point blanc au milieu d’un océan noir sur l’écran fini par devenir trop exploité et n’apporte pas grand-chose au film.

Les personnages eux-mêmes ne sont pas exploités. Ils sont 8 principaux, dans l’en-semble, sans compter le tueur. On sait que l’un d’eux aime faire des blagues, qu’une a une abondance de bonheur à partager avec tout le monde et qu’un troisième sait réparer les vieux moteurs. Le visionneur n’a donc aucun attachement envers eux, puisqu’il peut à peine mettre un nom sur le visage qui vient de pousser sa dernière grimace.Étant le premier de la série, on peut don-ner du crédit au film pour avoir tenter un film d’horreur provocateur (on voit les cadavres et un brin de chair nue après l’amour torride). Toutefois, dans les yeux d’un homme du 21e siècle, le film possède très peu de contenu et, bien qu’étant (probablement) un film culte, il aurait pu mieux se défendre en utilisant des meilleurs points de vue et angle de camé-ra. Je lui donne donc 7/10 pour avoir bien essayé, en tenant compte des moyens du temps, et pour tenter d’être provocateur.

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Friday the 13th (2009)Il ne s’agit pas d’un remake de la version de 1985 avec les moyens du bord, mais plutôt d’une sorte de suite. L’histoire reprend directement à la fin de la version de 1985, mais le meurtrier du film est cette fois bien identifié comme étant Jason, alors pas de mystère à propos du tueur.

Après le petit flashback renvoyant au premier film, on retrouve, de nos jours, une bande de 5 hippies cherchant, dans la forêt, un champ de marijuana. Le champ en question se retrouve (bien sûr) à proximité du Camp Crystal-Lake. Ils se dispersent un à un et finissent tous par se faire avoir par Jason. Quelques temps plus tard, le frère d’une des hippies recherche sa sœur disparu dans le village d’à côté, alors qu’une bande d’adolescents cools se rendent chez un copain pour faire la fête. Le frère continue donc ses recherches de son côté alors que les adoles-cents cools vont dans un chalet et se défoncent. Le chef de cette petite bande s’avère être un connard envers le frère et, prise de pitié, sa petite amie préfère partir à la recherche de la sœur dis-parue. Bien entendu, ils finissent tous par se faire hacher menu, bien que le film propose quelques rebondissements.

Le film a très peu de chose à se reprocher tech-niquement. C’est un blockbuster américain, alors il faut s’attendre à des plans très classiques, rien d’audacieux. Tout est calculé d’avance, comme une recette avec de la poudre à gâteau, où il ne fait rajouter que de l’eau et un œuf. Toutefois, les plans sont très prévisibles et si Jason doit se trou-ver quelque part, on y voit presque une grosse flèche en néon rose disant « Jason est ici », mais il faut un peu s’y attendre avec les blockbusters.

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Cette fois-ci, toutefois, on a droit à des person-nages un tantinet plus développés et à une bien meilleur dose d’humour. On peut à peu près mettre un nom sur chaque visage, mais chacun se distingue à sa façon dans l’histoire, ce qui est plutôt rafraîchissant comparé au premier. On a aussi droit à des garces, du sexe, beaucoup de chair nue et de la drogue, question d’être un peu plus d’actualité, tout en gardant une formu-le gagnante.

C’est un blockbuster d’horreur, et cela résume bien le film. Une histoire plus ou moins crédible et bonne, des acteurs choisis pour leur physique plu-tôt que pour leur talent et un Jason particulière-ment en forme qui arrive à être partout à la fois. Pour un homme de 61 ans, lancer une hache de bûcheron sur plus du 10 mètres en lui faisant gar-der une trajectoire parfaite, c’est pas du gâteau. Je lui donne 6/10 pour manque d’originalité et d’histoire de qualité.

Art &expositions

Imagine

John Lennon et Yoko Ono, ont longtemps lutté contre la violence, la haine et le ra-cisme. Peu après leur mariage, qui avait eu le 20 mars 1969, John et Yoko sont partis vers Amsterdam pour faire leur premier bed-in à l’hôtel Hilton, du 25 au 31 mars de 1969. Leur second eut lieu du 26 mai au 2 juin à Montréal la même année. Le combat pour la paix ne faisait que commencer pour John et Yoko. Peu après leur bed-in, le couple décida de lancer une publicité pour la paix qui fut dif-fusée dans douze villes un peu partout dans le monde : Rome, Toronto, Tokyo, Montréal, Hong Kong, Los Angeles, Paris, New York, Ber-lin, Londres et Port of Spain. Le message : « La guerre est finie. Si vous le voulez. Joyeux Noël de la part de John et Yoko.» fut diffusé en plusieurs langues différentes selon l’endroit où celui-ci était. En même temps, ils donnaient un concert qu’ils avaient nommé « Peace for Christmas » dans le but de ramasser des fonds pour l’Unicef.

Pour le moment, Yoko continue sa carrière artistique, tout en continuant de promouvoir la paix dans ses créations.

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la ballade de Johnet Yoko

Cet été, quarante ans après le deuxième bed-in qui avait eu lieu à Montréal, le mu-sée des beaux-arts présente : Imagine. La ballade pour la paix de John et Yoko. L’exposition aura lieu du du 2 avril au 21 juin 2009. Nathalie Bondit en collaboration avec Yoko Ono elle-même, ont mis sur pied l’exposition dans but de réveiller les pen-sées de John Lennon et de Yoko Ono. L’ex-position à visé à faire connaître la grande histoire à un plus grand nombre de person-nes possibles. Pour ce faire, l’exposition sera gratuite.

L’exposition se divisera en neuf parties : L’in-troduction, la rencontre, œuvres à quatre mains, le bed-in, War is over if you want, Imagine, Some time in New York City, la bibliothèque de la paix et pour finir les œu-vres contemporaines de Yoko Ono. Durant la visite, on pourra entendre des conversa-tions chuchotées, criées, chantées de Yoko et John.

Par Élisabeth Desmarais

Il sera aussi possible d’y voir plus de 140 œuvres comportant plusieurs dessins, des vidéos, des œu-vres d’art, des photos inédites ainsi que plusieurs œuvres participatives ayant pour but de livrer un message de paix au monde entier.

L’exposition prolonge les actions pacifistes qui avaient été commises quarante ans plus tôt. En par-tant de 1966, avec les premiers pas contre la violen-ce, jusqu’au bed-in de mai 1969, l’exposition guide le spectateur dans le parcours de John Lennon et Yoko Ono, les deux combattants pour la paix.

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le cubisme

Le Cubisme bouleverse la nation dans la représentation de l’art. C’est une langue picturale absolument originale, c’est-à-dire qu’elle ne prend pas son inspiration de d’autre sorte d’art. C’est aussi une fa-çon d’aborder le monde d’une façon to-talement neuve et une théorie esthétique conceptualisé.

Malgré son temps d’existence minime, soit d’une durée de treize ans. L’histoire du Cu-bisme se divise en quatre grandes parties :

La première, qui à duré de 1907 à 1910, se nomme le précubisme. Durant cette épo-que, on s’attache surtout à la représentation en volume d’un certain objet en question. Dans ce cas-ci, la perspective traditionnelle est souvent malmenée.

La seconde partie, de 1910 à 1912 est le Cubisme analytique. Ce genre de cubisme consiste à déconstruire l’objet dont il était question à la partie précédente. Ainsi, toutes ces facettes sont représentés en fragments et ce, sans aucun égard pour la perspec-tive. Les couleurs qui y sont utilisé sont très

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Par Fani Saint-Pierre Mousset

monotones. On utilise soit : du gris, vert, brun et du bleu terne. Cela dit, la lumière occupe une partie importante, et celle-ci ce répartit de façon différen-te sur chaque fragment.

La troisième partie, le cubisme synthétique à duré de 1912 à 1914. Cette période est définie par le re-tour des couleurs et par la technique du collage.

Finalement, la quatrième partie, soit le cubisme orphique, se situe de 1914 à 1920. La couleur se détache de toute forme et permet la création, dans leurs œuvres, de cercles concentriques.

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& blagues Gadgets

Avec l’été qui arrive, nous n’avons aucunes raisons de ne pas sortir dehors. Même les plus accros de nous se doivent d’apprécier les joies de l’été et ce avec ou sans leur ordinateur. Voici donc, quelques petits gadgets qui pourraient bien vous sauver la vie cet été… Source des gadgets : http://prix.pcastuces.com/gadgets_ete_page9.php

Le ventilateur USB! Il se branche évidement dans une de vos prises USB et sera très pratique si vous sortez dehors avec votre portable et que la canicule fait rage. Il est aussi amusant mais attention, il ne s’agit pas d’un mini-moteur pour vous servir de votre porta-ble comme bateau à moteur miniature.

Un masseur USB! Après être allé jouer une partie de pétanque vous avez mal au dos? Et bien voici ce qu’il vous faut! Avec plus de 4000 vibrations par minutes, ce petit masseur vous relaxera et vous pourrez donc enchaîner les parties et devenir un sportif hors pair.

Possiblement le meilleur des gadgets que je vous propose, le rafraîchisseur effet de Peltier. Vous êtes tannés de vois votre bière ou votre verre de quel-ques breuvages qui soit devenir tiède ou voir même chaud? Après quelques secondes seulement, ce gadget vous le ramène à une température de 7 degrés Celsius. Vous pouvez maintenant allez sortir le chien sans avoir peur de revenir avec une boisson tiède et très peu invitante.

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de l’étégadgetsPar Marc Latreille

Tanné des moustiques? Celui-ci vous rendra par contre heureux! Il s’agit d’une radio en forme d’oiseau/mouche. Simplet comme gadget, pas du tout car elle vole et vous pouvez la contrôler com-me les avions télécommandés. Plutôt intéressant comme moustique!

Tanné de devoir souffrir et boire votre bon vieux coke CHAUD? Et bien voici une invention qui de-vrait vous plaire. Ce petit frigo se branche dans la prise USB de votre ordinateur et a la taille parfaite pour garder une canette au froid. Vous pouvez donc maintenant avoir à votre portée, une liqueur fraîche alors que la température est très élevée.

Voilà un gadget qui saura plaire, un briquet qui décapsule! Le lien avec les ordinateurs et le monde de l’électronique? Pratiquement aucuns sauf que le briquet a été créé par la compagnie informatique Linux. Vous pourrez maintenant, allumer le barbe-cue tout en ouvrant votre bière…Il ne manquera plus que le soleil pour rendre votre journée parfaite!

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Blagues

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Bon été !