Analyse préambule

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2014 Hugo ALBERT Parc naturel régional du Haut-Languedoc 24/03/2014 Analyse de la Communication numérique

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2014

Hugo ALBERT

Parc naturel régional du Haut-Languedoc

24/03/2014

Analyse de la Communication numérique

Ce dossier a pour but d’analyser et décrire la Communication numérique mise en place pour le Parc naturel régional du Haut-Languedoc (que nous signalerons par le sigle PNRHL, pour un souci de lisibilité).

Les analyses seront définies en plusieurs points.

Sommaire

Réseaux sociaux

Twitter..................................................................................................................................... 1

Facebook ................................................................................................................................. 2

Google Plus ............................................................................................................................. 4

Wikipédia ................................................................................................................................ 6

Calaméo .................................................................................................................................. 7

Flickr ........................................................................................................................................ 8

YouTube .................................................................................................................................. 9

Site Internet ................................................................................................................. 10

Bilan ............................................................................................................................... 12

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TWITTER :

Le réseau social « Twitter » permet une communication instantanée, il faut donc éviter de trop « flooder » (publier sans cesse) afin de ne pas perdre en visibilité et pertinence.

Les abonnements présents sur cette page sont logiques et en accord avec l’image de la société. Nous pourrons donc retrouver beaucoup d’entreprises locales, des acteurs économiques régionaux, ou des partenaires du PNRHL.

Les partages (appelés « retweets ») sont fait par intérêts, seulement si ça peut intéresser les abonnés présents sur ce réseau social.

Les abonnés (appelés « followers ») sont donc tous réels, il n’y a pas de robots ou de comptes malveillants. Ils ont par ailleurs tous un lien, direct ou indirect, avec le PNRHL ou s’intéressent aux actions de ce-dernier.

Les informations importantes du Parc sont présentes, et elles sont très importantes dans le cas où quelqu’un veut nous contacter, pour quelconques raisons.

Actuellement, notre page manque de « retweets » en externe (les abonnés partagent nos articles, afin de permettre un « rebond » plus grand) mais aussi en interne, car, pour amener les abonnés à nous suivre et donc à partager nos publications, il faut qu’on partage celles qu’ils publient.

Une bannière, crée à l’aide des graphistes, serait intéressante car elle a une place assez importante sur la page (520×260 pixels). Il faut qu’elle représente nos domaines et qu’elle soit cohérente avec le contenu de notre profil.

L’avatar (81×81 pixels) reprends le logo du parc ce qui est normal car les personnes qui sont abonnées à notre « Twitter » doivent nous identifier et nous retrouver instantanément.

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FACEBOOK :

La présence sur « Facebook » est faite grâce au groupe ouvert (tout le monde peut le rejoindre en faisant une demande). Un projet d’évolution en page publique est prévu afin que ce soit plus pratique et visible pour les utilisateurs.

La surveillance de commentaires est présente, afin d’éviter que les personnes ou les comptes malveillants viennent nuire à notre image. Il peut être de différentes formes : bots (robots), hacking (membres qui s’est fait voler son compte) ou simplement envoie de liens externes dangereux.

L’administrateur doit être plus présent en commentaire, il ne faut pas hésiter à échanger avec les utilisateurs de la page.

Cependant, la page interne convient bien aux attentes de la communication faite entre les acteurs et donc les différents parcs.

La protection du compte est assurée, par la complexité du mot de passe mais aussi par ses paramètres.

Le partage de fichiers n’est pas réellement un problème car, afin de ne pas prendre le moindre risque, ce-dernier ne se fait pas avec des fichiers confidentiels.

Les publications sont principalement des partages de liens de sources externes au parc (presse, site, etc) mais sans commentaire supplémentaire, ce qui permettrait de donner un avis ou de remonter l’actualité car « Facebook » regroupe désormais les publications du même genre (vidéos, liens internet, etc) entre elles et les diffuse sous forme de liste sur notre mur si elles n’ont aucune interactivité.

Avant la création de la page « Facebook » du PNRHL, c’était la page de l’administrateur qui permettait de partager les publications. Cependant, plus aucune publication n’est faite car cela nuirait à la page principale.

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La présence de grands acteurs, par leurs nœuds de contact, est très importante pour nous. Par exemple, La page de « Tourisme Mazamet », qui est la plus grande en termes de contact, peut nous permettre une visibilité très importante. Si nous publions un message qui est partagé par cette page, nous pourrons être visibles par tous ses contacts (et donc de futurs abonnés), par un effet de cascade.

Les contenus sont ciblés vers les habitants de la région principalement, départagés sur notre page de façon quasi égalitaire : 49% de nos abonnés sont des femmes contre 46% pour les hommes.

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GOOGLE PLUS :

« Google + » ou « Google Plus » est un réseau social a surveiller car il est en voie de devenir le réseau social de tous professionnels.

Il a deux fonctionnalités importantes qui sont liées au moteur de recherche de l’entreprise « Google ».

Quand nous recherchons le parc sur Google, le référencement (naturel et non naturel) est assez intéressant car quand nous tapons :

• Parc naturel régional du Haut Languedoc : notre site occupe la première place. • Parc régional du Haut Languedoc : nous avons toujours la première place. • parc naturel régional Hérault : nous avons toujours la première place. • parc naturel régional Tarn : nous avons toujours la première place. • Parc régional : le site internet occupe la septième place. • Parc régional naturel : nous sommes cinquièmes de la seconde page de Google (ce

qui signifie quasi invisible pour 80% des utilisateurs).

Les membres du « cercle » (semblables aux abonnés pour les autres réseaux sociaux) sont, comme sur « Facebook » et « Twitter », des personnes ou groupes qui ont les même valeurs que le PNRHL.

Cependant, l’utilisation de ce réseau social va permettre au PNRHL de remonter dans les résultats car si les utilisateurs viennent sur notre site, le moteur de recherche va recenser les pages liées à notre profil et améliorer donc notre classement en fonction des recherches effectuées.

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Pour Illustrer notre exemple, si nous tapons le nom exact du PNRHL, nous pouvons voir apparaitre ceci :

Ce résultat fonctionne en complément de la présence du PNRHL sur « Google + » et aussi celle sur l’encyclopédie en ligne « Wikipédia ».

Elle contient donc toutes les données importantes pour une personne qui ne connait pas le PNRHL ou souhaite le localiser.

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WIKIPEDIA :

« Wikipédia » n’est pas réellement un réseau social mais entre dans la Communication numérique car il permet l’identification du PNRHL sur Internet.

C’est d’ailleurs une des premières choses que recherchent les internautes quand on leur parle d’un sujet. Il faut donc faire très attention au contenu qui est inscrit dans la page.

De plus, beaucoup de professionnels déconseillent ce site car tout le monde peut modifier le contenu de chaque page mais il est impossible pour une organisation ayant déjà une certaine notoriété de ne pas y être, surtout avec l’arrivée massive du réseau social étudié précédemment.

La page contient donc des données visibles par tous qui sont intéressantes pour les personnes qui ne connaissent pas la fonction du PNRHL ou pour celles qui souhaitent s’informer plus en détails (délimitations géographiques, patrimoine minéral, etc).

La modération de cette page a donc bien été réalisée afin que les données ne soient pas déformées ou erronées

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CALAMEO :

« Calaméo » est un site permettant de transformer des documents hébergés de façon locale en documents numériques, en ligne.

Ainsi, la présence en ligne du PNRHL se fait aussi grâce aux documents publiés. Ces-derniers ne sont pas confidentiels, mais sont simplement ici afin de ne pas surcharger une base de données gratuites, ou une plate-forme de stockage (appelée « Cloud »).

Il permet donc au site Internet de partager des documents et de les lier à des articles ou section de celui-ci.

Cependant, ce système est peu connu de nombreux « Comunity Manager » (Nom anglais pour les Animateurs de réseaux numériques), ainsi, nous pouvons le conserver afin de se donner une première différenciation en fournissant des documents assez importants.

Par ailleurs, ce phénomène amène quelques difficultés du fait de sa faible notoriété. Le programme sera plus long à se développer et donc à fournir de nouvelles fonctionnalités mais il est actuellement complet dans son offre.

L’achat ou l’abonnement à un autre site de partage est peu intéressant pour l’instant car ils sont tout aussi performants mais offre des possibilités en plus qui sont superflues pour le PNRHL.

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FLICKR :

« Flickr » est un site permettant de partager des photos ou images. Il est très populaire auprès des photographes professionnels et donc permet une plateforme d’hébergement pour les photographies du PNRHL.

Cependant, « Instagram » est de plus en plus présents sur Internet, et il est fort probable qu’il adopte plus de fonctionnalités afin de dépasser largement son concurrent.

C’est donc vers ce « réseau social » que nous devrions nous tourner car, en plus d’être gratuit, il peut être lié à plusieurs réseaux sociaux tels que « Facebook » et « Twitter ».

« Flickr » reste donc présent mais il pourrait être complété avec « Instagram » afin que les personnes qui prennent en photo certaines régions du parc puissent exposer leur travail.

Cependant, « Flickr » demande moins de ressources en terme d’administration car il n’y pas encore la possibilité de laisser un commentaire sur une photo, ce qui est le cas avec « Instagram » et, par sa liaison avec les autres réseaux sociaux, les commentaires peuvent amener un « bad buzz » (une mauvaise image) sans pouvoir être contrôlé sans une réelle administration.

De plus, les deux réseaux de partages tendent à être des réseaux sociaux a par entière en proposant les mêmes services que « Facebook » ou « Twitter ».

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YOUTUBE :

Le géant américain « Google » a racheté en 2013 un autre géant : « Youtube ». Cependant, même si certains étaient contre, en terme de Communication numérique, c’est un réel « cadeau » car il nous permet d’améliorer la gestion de nos contenus, que ce soit sur le réseau social « Google + » que sur les contenus audiovisuels.

C’est donc comme plate-forme de diffusion de contenu que « Youtube » est présenté mais en tant qu’outil de Communication qu’il doit être utilisé.

Le PNRHL possède une chaîne liée à son compte sur « Youtube » et donc permet un hébergement de productions audiovisuelles.

Cette fonctionnalité permet de diversifier les contenus partagés mais aussi de promouvoir nos actions.

Sur cette chaîne, nous pourrons donc retrouver :

• Des reportages crées et diffusés par des chaînes de télévision • Des vidéos réalisées par nous même (cf. Vidéos des Vœux 2014) • Des diaporamas photos

De plus, nos contenus possèdent des mots-clés, comme pour notre site, afin de classer et les identifier à une catégorie. Certaines personnes ont elles aussi réalisées des vidéos sur des lieux du PNRHL et donc permettent une meilleure visibilité de ce-dernier.

Cependant, on doit être prudent dans la diffusion car « Youtube » durcit sa politique de protection de contenus et donc nous devrons certainement trouver dans les années à venir un moyen de partager les reportages sans les héberger nous même, ou de façon légale (droits sur la vidéos cédés, ou droits de diffusion).

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SITE INTERNET :

Les Parcs naturels régionaux possèdent, ou sont en voie de posséder, un site Internet qui doit être élaboré en respectant une charte commune afin de représenter et former une seule entité.

Il a donc été réalisé grâce à un CMS (Sytème de Gestion de Contenu) pour permettre une gestion et administration du site plus aisée à l’utilisateur. Le CMS choisi est donc « Ez Publish » qui est peu connu car il est assez complexe d’utilisation comparé à ses « frères », comme « Wordpress » ou « Joomla ».

Cependant, le choix est assez rigoureux car ces deux derniers sont actuellement accès vers des utilisations différentes que celles du site du PNRHL. Seul « Joomla » aurait pu s’adapter en cas de gestion d’utilisateurs.

Un blog était actif en complément du site Internet, ce qui permettait aux réseaux sociaux d’avoir accès à nos propres articles. Ce système pourrait être repris en cas d’une demande croissante de contenu personnel de la part des abonnés.

Comme dit précédemment, dans la partie concernant « Google Plus », le référencement du site naturel est bien géré par l’administrateur, il peut être amélioré en renforçant le « poids » de certains termes.

Notre place sur le plus grand moteur de recherche mondial, « Google », est donc très importante, elle est la « mère » de la majeure partie de nos connections. Cependant, la faible part d’utilisateur des autres moteurs de recherche n’est pas à laisser et donc le site est référencé aussi sur ces-derniers.

Il est tout autant compatible avec les dernières versions des navigateurs WEB, ce qui permet à tous les utilisateurs d’y avoir accès.

En moyenne, un visiteur reste 3 minutes et 31 secondes sur notre site, et nous accueillons plus de 200 visites par jour, avec 76% de « nouveaux venus » (première connexion). Nous fidélisons assez peu, car nous n’avons pas réellement de système de fidélité, mais nous attirons beaucoup comme nous pouvons le constater.

Le site possède un contenu très élaboré, ce qui n’est pas tout à fait adapté au WEB, mais ne peut pas être plus « léger » si nous nous référons à la demande de contenu. Il faudrait donc trouver un moyen afin d’élaborer des catégories plus légères tout en gardant la même pertinence et qualité de l’information que nous avons aujourd’hui.

Une version mobile n’est pas réellement disponible alors que 7% des utilisateurs du site nous consultent depuis leur Smartphone ou leur tablette numérique, avec une distinction claire (environ 5%) pour les systèmes « Android ».

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Le site possède actuellement de nombreuses rubriques bien détaillées mais certains parcs ont utilisés leur logo afin de se différencier, ce qui pourrait être un bon point dans notre site : l’explication du logo du PNRHL.

En effet, si nous prenons le logo du Parc Naturel Régional de la Chartreuse (voir image ci-dessous)

Le site propose une explication iconographique de ce choix (ici le Grand Duc) et donc permet aux visiteurs de s’intéresser et créer une certaine part d’affection envers ce Parc.

Cependant, notre site garde une charte graphique cohérente avec son contenu, ce qu’il faut à tout prix conserver, à l’inverse de celui cité précédemment.

Un site qui pourrait être utile comme modèle de simplicité est celui du Parc Régional Naturel de l’Escaut, même si ses rubriques ne sont pas toujours explicites, le site présente quelques aspects utiles pour des utilisateurs qui ne souhaitent pas le parcourir trop longtemps.

Cependant, pour avoir un tel rendu, il nous faut permettre à nos réseaux sociaux d’évoluer et donc que notre notoriété numérique augmente, afin que nous puissions savoir réellement ce que désire les utilisateurs.

Leur ergonomie est basique mais efficace car les articles sont sous formes de listes, de catégories, comme le proposent d’autres CMS.

Tout en s’appuyant sur le coté affectif du PNRHL, et donc du lien que nous avons avec nos abonnés et utilisateurs, il faut accentuer l’histoire du Parc et montrer notre importance tout en sensibilisant notre public.

La partie sensibilisation est présente sur le site et doit le rester car elle est très importante dans nos actions.

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BILAN:

La Communication numérique présente est déjà arrivée à un certain point mais il faut continuer à la faire évoluer afin qu’elle devienne un pilier du PNRHL.

Le Parc respecte les idéologies même sur Internet et s’intègre en ligne grâce aux partenaires et les personnes qui portent un grand intérêt au Parc.

Il reste plusieurs points à élaborer et corriger, principalement à cause de l’évolution des réseaux sociaux d’une part mais aussi des règles qui régissent la Communication numérique, qui est très complexe à comprendre.

Une identité graphique plus accentué, afin de donner une idée d’égalité et de transparence entre les réseaux sociaux serait nécessaire pour la nouvelle Communication à venir.

Cependant, il ne faut pas tout supprimer et recommencer car toutes les bases ont déjà été mises en place, afin qu’on ne puisse pas « chuter ». C’est souvent le cas pour des organismes qui n’ont pas de réelles raisons d’être sur les réseaux sociaux, n’ayant pas fait d’études préalables.

Il faut donc voir dans cette nouvelle forme de Communication une « publicité » quasi gratuite à grande échelle et un outil de fidélisation très performant.