Allée Et Retour De L'Enfer Documentaires sur l'Enfer par Le Dr Rawlings

7/31/2019 Alle Et Retour De L'Enfer Documentaires sur l'Enfer par Le Dr Rawlings

1/33

Alle Et Retour De

L'Enfer

Documentaires sur l'Enfer par Le DrRawlings

To Hell And BackFrench Translation by Myriam Tchuimeni Fodjo. [email protected]

www.DivineRevelations.info/FRENCH

Dr Rawlings, chirurgien cardiologue, personnellement t tmoin deplusieurs cas o des gens ont t proche de la mort (NDEs). Ceci est un compte

rendu de 5 des histoires les plus tonnantes des gens qui sont revenus la vie,et de ce qu'ils ont vu pendant qu'ils taient morts.

(Mathieu7:13-14)

Entrez par la porte troite; car large est la porte, et spacieux le cheminqui mne la perdition, et nombreux sont ceux qui entrent par elle; cartroite est la porte, et resserr le chemin qui mne la vie, et peu

nombreux sont ceux qui le trouvent.

[1er Tmoin]

Il y a des personnes qui parlent de lumire, il y a des personnes quidisent avoir flott vers le haut, il y a des personnes qui parlent dechaleur et d'amour, je ne ressentis rien de tout cela, je ne ressentis riende similaire. Je ressentis une terreur indescriptible.

Il est trs facile d'tre un athe lorsque l'on a du succs, mais il est trsdifficile d'tre un athe lorsque l'on est couch sur son lit mourant.

[2me Tmoin]

Lorsque je revint moi, le Dr. Rawlings dit que mes cheveux taientlittralement dresss droit sur ma tte.
http://www.divinerevelations.info/FRENCHhttp://www.divinerevelations.info/FRENCHhttp://www.divinerevelations.info/FRENCH


2/33

[3me Tmoin]

Ce fut une incroyable exprience de constater qu'il y a la vie aprs cettevie.

[Annonciateur]

Chaque jour, des gens comme vous et moi vivant leur vie normalement ce sont d'une minute l'autre trouv couch mourant sans jamais avoir connu et cru au message du salut. Ils ontalors voyag de ce monde vers l'au-del, mais ce qu'ils ont dcouvert ne fut rien d'autrequ'une pure terreur. Ils sont retourn ici sur terre et voici leurs tmoignages et ceci sont leursvraies histoires. Le Cardiologue et Auteur renomm, Dr. Maurice Rawlings vous embarquera

dans un voyage que trs peu n'en n'ont jamais parl.

[4me Tmoin]

Alors, je m'criai des tnbres: ''Jsus s'il te plait sauve moi!'' Car j'taisentrain d'aller soit au Paradis ou alors soit en enfer, vu qu'il n'y avait riend'autre.

[5me Tmoin]

coutez les paroles de celui qui a entendu ces cris de terreur.

[Annonciateur]

Ceci pourrait tre votre seule chance d'aller en enfer et d'y retourner en scurit.

[Dr. Rawlings]

Ceci est une tude sur la vie aprs la mort. Tout au long del'histoire l'homme a prdit la vie aprs la mort. Toute la bible est

base sur la vie aprs la mort, de mme que toutes les religionsle sont aussi. Mais o sont les vidences? Qui est revenu de lamort pour nous confirmer qu'il y a vraiment la vie aprs la mort?


3/33


4/33

===Ronald Reagan ===

[Ronald Reagan]

En 1972 ma vie tait brise. J'tais un

drogu. J'tais un criminel. Ma famille taitbrise. Mon pouse avait eut demander ledivorce plusieurs fois. Mes enfants avaientpeur de moi. Je n'arrivais pas garder du toutun travail, mon tat mental tait terrible.C'tait dans ce cadre de vie que je pris monfils de 6 ans avec moi au supermarch pourfaire des courses. Comme j'entrais dans lemagasin, je vis un monsieur qui sortait du

magasin. Une dispute clata, et avant que je ne me rendis compte de quoi que ce soit, jelavais frapp et l'avait jet par terre. Il tomba dans une pile de bouteilles. Les bouteilles sebrisrent et immdiatement se leva en boitant, tenant un morceau de bouteille dans sa main etcommena me poignarder. Je levai ma main gauche pour essayer de stopper le coup depoignard, mais la bouteille coupa mes biceps et les artres principales de mon bras. Jesaignais mort juste en l'espace de quelques secondes. Mais rempli de colre, de haine et derage, je continuai bagarrer, et continuais saigner. Mon jeune fils criait, il tait hystrique.

Le propritaire du magasin 7-11 vint et me dit que si je n'allais pas l'hpital, j'allais mourirde perte de sang dans les minutes qui suivent. Alors il me conduit l'hpital dans ma proprevoiture. Lorsque nous sommes entrs dans la salle des urgences, j'tais peine conscient.Lorsque le staff mdical commena me traiter, je pouvais entendre des voix disant: Nousne pouvons pas l'aider. Il doit tre transport un autre hpital. Nous perdrons

probablement le bras. Du moment o ils me mirent dans l'ambulance, mon pouse taitarriv et partit avec nous dans l'ambulance.

Mais lorsque l'ambulance quitta le parking de cet hpital, unjeune ambulancier se pencha sur mon visage, semblant d'treentrain de me parler, et je pouvais peine voir son visage,

parce que j'tais tellement faible. Il dit Monsieur, vous avezbesoin de Jsus Christ Mais je ne connaissais pas Jsus, Je necomprenais pas de quoi il parlait, alors ma raction cela futcelui de commencer le maudire. Et encore il me dit: Tu asbesoin de Jsus!

Lorsqu'il me parlait, Il me sembla que l'ambulancelittralement explosa en flammes. Je pensais que l'ambulance avait vraiment explos.L'ambulance se rempli de fume et immdiatement, j'avanais dans les flammes, avanant

dans ce qui semblait tre un tunnel. Aprs un certain temps, sortant de la fum, et hors destnbres, je commenai entendre les voix d'une multitude de personnes. Elles criaient,grognaient, et pleuraient. Mais lorsque je regardais vers le bas, je vis ce qui me semblait treun volcan en activit. Je vis le feu, la fum, et des gens l'intrieur de cet endroit brulant. Ils


5/33

criaient et pleuraient, ils brulaient, mais tout en n'tant pas consums par le feu. Alors, jecommenai descendre dans cette ouverture.

[Epouse, Elaine Reagan]

Il se dbattait, il se dbattait simplement, touten gmissant et en grognant. C'tait comme s'ily avait une bataille en cours. Je n'tais paschrtienne cette poque, et je ne connaissaisrien de ce qui concerne les bataillesspirituelles. Mais celles la m'taient trseffrayantes parce que je pouvais ressentir cettebataille. Cela tait comme la lumire et lestnbres. C'tait comme s'il se bagarrait avecquelque chose. Je ne savais pas ce que cela

pouvait bien tre, mais j'tais sure d'une chose c'est qu'il tait entrain d'avoir une vision de

l'enfer.

[Ronald Reagan]

Mais la chose la plus terrible fut le fait que je commenai reconnatre plusieurs des gensqui taient dans ces flammes. Ceci tait comme si une lentille de camera me montrait leursvisages de prs. Je pouvais voir leurs traits, je pouvais voir leur agonie, leur douleur, et leurfrustration. Un certain nombre d'entre eux commencrent m'appeler par mon nom, disant:Ronny, ne vient pas cet endroit, il n'y a aucune issue de sortir. Il n'y a aucun moyen de

s'chapper d'ici, aucune issue de sortie.Je vis le visage d'un homme qui fut tu lors d'un vol,on lui tira dessus et il mourut de perte excessive desang sur le cot de la route. Je vis aussi les visagesde deux autres qui taient mort suite un accidentd'automobile alors qu'ils taient souls. Je vis aussid'autres personnes qui taient morte de suite d'uneoverdose, avec lesquelles on faisait souvent la fteensemble. Ils taient dans une agonie et douleurprofonde, mais je crois sincrement que la chose laplus pnible tait la solitude. La dpression tait sipesante, qu'il n'y avait aucun espoir, aucune

chappatoire, et aucune issue de sortie de cet endroit. L'odeur de cet endroit tait semblable l'odeur du sulfure, semblable une odeur d'une soudeuse lectrique, la puanteur tait terrible.

Dans ma vie, j'ai eu a voir des gens tre tus, j'ai t impliqu dans des bagarres au coursdesquelles des gens ont t tu, j'ai fait la prison pour meurtre involontaire. J'ai grandi dansune cole des reforms, et dans une cellule de prison. J'tais battu de manire trs brutale par

un pre qui avait un mauvais temprament et qui avait des problmes d'alcool. Je m'enfuis dela maison l'ge de 12 ans et je ressentais qu'il n y avait rien dans ce monde qui pouvait mefaire peur. Ma vie tait un dsastre, mon mariage tait un dsastre, et ma sant tait undsastre. Mais l, j'tais entrain de voir quelque chose qui m'effrayait mort, parce que je ne


6/33

la comprenais pas. Et comme je regardai l'intrieur de cette fosse, cet endroit de feu, de criset de tourment, tout coup je disparu dans les tnbres.

Lorsque j'ouvris mes yeux, je me trouvais dans une salle d'hpital Knoxville; Tennesseeavec mon pouse assise mes cots. Il y avait de nombreux points de sutures fait dans moncorps, mon bras avait pu tre sauvegard. J'avais peu prs 100 points de sutures. Jeregardais droit dans le visage de mon pouse. Je n'tais du tout pas concern par l'endroit o

je me trouvais, ou par quoi que ce soit d'autre autour de moi. Tout ce que je pouvaisvisualiser n'tait que ce que je venais de voir.

[Elaine Reagan]

Il avait cet air trange sur son visage, et cela tait un air terrifiant. Et il dit: Je ne saisvraiment pas ce qui m'arrive, mais je viens d'tre un endroit terrible. Et je continuais luidire: Tu as t l'hpital, tu as t l'hpital pendant tout ce temps. Et il continuait dire:Non, j'ai t un autre endroit. Je ne sais exactement pas ce que c'tait, mais c'tait un

terrible, terrible endroit.

[Ronald Reagan]

Je pouvais toujours entendre ces cris. Je pouvais toujours sentir la terrible odeur. Je pouvaistoujours ressentir la chaleur, et je pouvais toujours entendre les voix que je connaissaiss'criant moi, me demandant de retourner.

Au cour des jours qui suivirent cette exprience, j'essayai tout ce qui tait possible pour

pouvoir effacer cette exprience de ma mmoire. J'essayai de me souler, mais en vain,j'essayai de prendre une overdose, mais en vain, j'essayai tout ce qui m'tais possible de fairepour pouvoir me dbarrasser de cette exprience encre dans mon esprit, mais je n y arrivaispas.

Un matin, plusieurs mois plus tard, Je vins la maison ose trouvait mon pouse. J'avais essay de me souler, maisn'y tais pas arriv. Lorsque j'entrai dans la maison, je medirigeai vers la chambre, o la lumire tait allume; je latrouvais assise dans le lit, avec un large livre ouvert sur ses

cuisses. Elle me regarda; son visage tait littralementtincelant. Et elle dit: Ronny, ce soir, j'ai accept LeSeigneur Jsus comme mon sauveur" Elle n'eut pas besoinde m'en dire plus, car notre vie n'avait qu't rempli que

d'agonies.

Elle avait grandi Chicago; son pre tait un barman dans le cot Sud de Chicago. Elle neconnaissait rien sur Dieu, ou sur l'glise, ou sur la religion. La douleur dans son visage, lesrides que je lui avais donnes par mes abus, ma violence, mon alcoolisme, et mon addiction

la drogue. Parfois, il marrivait de partir pendant des mois, et les enfants et elle n'avaientaucune ide de l'endroit o je me trouvais. Mais maintenant, son visage avait chang. Lesrides avaient littralement disparu, un sourire avait remplac le chagrin et l'agonie. Elle meregarda et dit: Jsus m'a sauv ce soir. Pourrais-tu venir avec moi et entendre le message


7/33

sur cet homme appel Jsus? Je me dis en moi: J'ai essay tout autre chose dans la vie, etrien n'a jamais march pour moi. Les gens que j'aime le plus, mon pouse, mes enfants, sontceux envers lesquelles je suis si terrible envers." Alors, j'agrai d'y aller avec elle.

Quelques semaines plus tard un Dimanche matin, le 2 Novembre1972 juste un peu avant 12 heure, un pasteur se tint debout etcommena lire la Bible.

J'tais assis l'arrire du building, je neconnaissais aucune criture de la Bible. Jene savais pas comment il fallait se

comporter l'glise. Mais le pasteur se leva et lut de la Bible, et illut l'vangile selon Jean. Et il commena lire ces mots: voicil'agneau de Dieu qui enlve le pch du monde. Lorsqu'il ditl'agneau c'est alors qu'il eut toute mon attention. Aucun autrepassage ne m'aurait rien dit du tout, mais lorsqu'il mentionna

l'agneau, il eut toute l'attention de ce pcheur au cur dur que j'tais.

Parce que lorsque j'avais 9 ans, j'tais un trs pauvreenfant qui vivait dans les montagnes de l'Est Tennessee,ayant pour pre quelqu'un qui ne connaissais rien d'autreque la colre, l'abus, et l'alcool. Une voisine moffrit un

jour un bb agneau.

Je devais marcher un peu plus d'un kilomtre pourprendre le bus d'cole; alors, un jour en traversant sa

cour, elle me stoppa et me dit: Fils j'ai un cadeau pour toi et elle me montra ce bbagneau que j'aimais tant. Je l'emmenai avec moi la maison, c'tait mon ami, le seul ami que

je ressentais que j'avais vraiment. C'tait un tel ami au point o les jours et les semainesd'aprs, il me suivait partout, et il m'attendait l'arrt bus lorsque je descendais du busd'cole. Il marchait travers les champs et les bois pour me rencontrer.

Alors, un soir, lorsque je suis rentr de l'cole, l'agneau avaitdisparu. J'entendis mon pre jurer et crier, il travaillait sur unancien modle de voiture, changeant une roue dgonfle la

main, l'artisanale. J'essayai de l'viter parce que je ne voulaispas qu'il me cri dessus. J'essayai de le passer rapidement, maislorsque j'arrivai de l'autre cot de la voiture, je regardai par terreet l se trouvait mon agneau, avec sa laine blanche toute couvertede sang. Il y avait une barre de fer de roue enfonce dans son corps.

L'agneau tait venue regarder juste par curiosit ce qui se passait, etdans un lan de rage, mon pre lui enfona ce bout de mtal dans lecorps.

Lorsque je vis mon agneau, mon ami, mort, je me mis crier. Jem'enfuis dans les bois en criant: il a tu mon agneau, il a tul'agneau!


8/33

9 ans, la haine et la violence envahirent ma vie,possdrent ma vie. Et partir de ce moment, jene fus plus jamais le mme. Du moment o j'avais12 ans, j'tais un fugitif. J'tais en dtention

juvnile, arrt, temps aprs temps. Je n'avaisaucun respect pour autorit. Je hassais quiconquereprsentait l'autorit pour moi. Au moment demes 15 ans, j'avais dj t en prison pour vol devoiture, et pour vol. 15 ans je fus condamnpour homicide involontaire; j'avais t aussiimpliqu dans un accident de voiture qui avait tucertain, et dont certain en avaient survcu, et

d'autres en taient en sortie handicap. ce moment l, je me demandais si la vie nemapportera jamais quelque chose de bien.

Mais lorsque ce pasteur mentionna L'agneau il eut toute mon attention. Il dit que JsusChrist tait l'agneau de Dieu, et quIl mourut, dversa son sang afin que quiconque leveux peut avoir un nouveau commencement. Il peut tre pardonn et recommencer nouveau. Ce matin l, je me levai pour essayer de sortir de ce buildings, je pensais en moi:Je ne veux pas que qui que ce soit me voie pleurer. Je n'ai plus jamais pleur depuis que

j'avais l'ge de 9 ans. Je n'ai peur d'aucune chose vivant sur cette terre, et personne ne meverra pleurer."

C'est alors que lorsque je me tournai pour partir, trangement, je me mis m'avancer dansl'alle vers l'avant de ce building. Je ne connaissais pas la prire de repentance et du salut, je

ne connaissais pas la route du salut de Romain. Mais ma prire fut celle-ci: Dieu, si tuexistes, et Jsus, si tu es l'Agneau de dieu, s'il te plait, tue moi ou alors soigne moi. Je neveux plus vivre, je ne suis pas un bon poux, je ne suis pas un bon pre, je suis un bon rien.

Et cet instant, ce fut comme ci les tnbres et l'obscuritquittrent ma vie. Alors, les larmes commencrent coulerpour la premire fois depuis l'ge de 9 ans, et les larmescoulrent abondamment. La culpabilit quitta ma vie, laviolence, la colre et la haine quittrent ma vie cet instant. EtJsus Christ devint le Seigneur et le Sauveur de ma vie cematin. Ce jour l je ne savais exactement pas ce qui allait sepasser. Dieu gurit mon esprit, ma mmoire, mon addiction la drogue et l'alcool; tout disparut instantanment et je fus

dlivr. Et partie de ce moment, je sus que je devais racontez ce qui m'tais arriv. Ma viefut sauve dans le simple but de parler aux autres de l'endroit que j'avais vu, et de l'espoir deJsus Christ de sauver l'humanit de ce terrible sort.


9/33

== OBE & NDE ===

[Dr. Rawlings]

Une fois de plus, nous nous posons la question de

savoir si l'enfer c'est pour le mchant ou le bon.

Je voudrais introduire le sujet dOBE (Out of BodyExperiences) qui se traduit comme tant uneexprience hors du corps et celui de NDE (NearDeath Experience) qui se traduit comme tant uneexprience proche de la mort.

Vous savez ce que c'est qu'une mort clinique; o lecur s'arrte, la respiration est arrte, et

subitement, une fois de plus, l'on recommence vivre. Lorsque le cur et la respirationrecommence fonctionner, c'est qu'on est revenue de la mort la vie. Cette situation n'estrversible que si elle a lieu avant que la raideur des membres ne commence.

Mais l'exprience hors du corps(OBE) et l'exprience proche de la mort(NDE) sontcompltement diffrentes.

Les expriences proche de la mort (NDE) sont similaires ce que l'on ressent lorsque l'onpointe une arme feux sur vous et que l'on vous dise: donnez-moi votre argent. Vous tes

gnralement effray mort (une exprience proche de la mort), mais vous tes trs loin dela mort, vous tes juste effray. Ou encore, elles sont similaires ce que l'on ressentlorsqu'on chappe de justesse un accident, mais cependant, il n y a rien qui indique que lecur stopp ou que la respiration s'est arrte.

Mais ce que l'on remarque c'est que, la plus part des auteurs qui crivent des livres traitant dece sujet incluent OBE et NDE sans toutefois faire mention la MORT CLINIQUE.

D'o; ce documentaire se focalisera simplement sur LA MORT CLINIQUE o les gens sontvraiment morts et sont revenus la vie.

L'exprience hors du corps est un moyen de sortir de son corps sans toute fois mourir.Mais comment pouvez-vous dcouvrir ce que c'est que mourir, sans toute fois mourir? Voicicomment vous pouvez le dcouvrir:

Une hypnose profonde peut vous le faire dcouvrir.

Vous pouvez aussi aller voir un guru en Inde, ou alors apprendre les techniques demditation avec un mantra.

Vous pouvez aussi avoir une hypnose chimique.


10/33

Vous pouvez aussi aller skier avec une boule de cristal.

Vous pouvez aussi avoir un stimulus lectrique du cerveau.

[S'il vous plait, n'allez pas entrer en contact avec aucune de ces choses cit ci-dessus.]

Il existe plusieurs moyens de sortir du corps, pour exprimenter la vie hors du corps,sparant ainsi l'esprit du corps. Ceci est la dfinition donne dans la Bible, lorsque l'esprit estspar du corps. Mais nous parlons ici d'une sparation permanente, et non d'une sparationtemporaire induite par l'homme. Et nous ne parlons non plus de NDEs ou de OBEs, nousparlons de la mort clinique; car ici c'est o la grande majorit de personnes ont de vraiesexpriences.

=== Charles McKaig ===

L'un des cas se trouvant dans la catgorie cite ci-dessus est celui de Charles McKaig. Undistributeur de courriers g de 57 ans qui avait de douleurs dans la poitrine quicommenaient, puis s'arrtaient. Alors ce jour, il vint dans mon bureau. Lorsqu'il arriva dansmon bureau, nous l'avons fait monter sur un tapis de jogging, ceci dans le but de voir quelmoment il commencerait encore avoir ces douleurs. Il fut attach un EKG.(lectrocardiogramme/moniteur du cur), le EKG si l'on peut dire se dtraqua. Nous savionsqu'il avait ce moment l des douleurs dans sa poitrine; mais avant qu'on puisse stopper la

machine, il tomba et mourut.

Mais lorsqu'il tomba mort, il tait dans une situation trs trange. Il convulsait comme la pluspart de gens durant les premires minutes de la mort lorsque le cur arrte d'alimenter lesang au cerveau. Ses yeux se retournrent, il devint bleu, et arrta de respirer. L'infirmirecommena une intraveineuse (IV) et je commenai lui faire un massage cardiaque externe.La chose la plus trange arriva lorsque j'arrtai de le ranimer pour lui installer unstimulateur cardiaque.

[Charles McKaig]

Lorsque je revins en vie, le Dr. Rawlings dit que mescheveux taient littralement tendus tout droit, et que mesyeux avaient dj commenc se dilater. J'tais effray mort, j'tais horrifi. Je menais une vie tout fait normale,

je faisais beaucoup la fte. J'allais l'glise mon jeunege cause de mes parents. Je navais jamais ralis cequ'tait l'glise, ou ce que cela signifiait d'accepter JsusChrist comme Seigneur et Sauveur personnel.


11/33

Trs tt un matin je suis all clinique locale dans maville. ce moment, vu la douleur que je ressentais dansma poitrine, j'eus des soupons que je pouvais treentrain d'avoir un arrt cardiaque. Alors je rencontrais leDr. Rawlings; il m'hospitalisa pour peu prs 3 4 jours.Puis il me fit faire un test de stress. Je me souviens quelorsque je faisais le test, que je ressentis comme si jevoulais absolument quitter cette machine (tapis de

jogging), et ceci est la dernire chose dont je mesouviens.

Lorsque je revins en vie, Dr. Rawlings tait entrain dem'administrer un Ranimation Cardio Pulmonaire (CPR), et ilme demanda quel tait le problme, car j'avais l'air tellementeffray. Je lui rpondis que j'avais t en enfer et que j'avais

besoin d'aide! Il me rpondit: Garde ton Enfer pour toi, je

suis un Docteur et je suis entrain d'essayer de sauver ta vie, tuas plutt besoin d'un Pasteur pour cela. Pendant qu'il mefaisait le CPR, il essayait en mme temps de m'installer un

stimulateur cardiaque avec l'autre main. Et je sombrais frquemment, alors, il se focalisaitsur le CPR encore une fois de plus et me ramenait la vie.

C'est alors que soudainement, je me mis flotter dans l'air, observant ce qui se passait endessous. A chaque fois que je revenais dans mon corps, je continuais m'crier: S'il vous

plait aidez-moi, je ne veux pas rentrer l bas en enfer. Alors une infirmire appel Pam dit:

Il a besoin d'aide, fais quelque chose! A ce moment l Dr. Rawlings me demanda derpter cette courte prire: Je crois que Jsus Christ est le fils de Dieu. Jsus, sauve monme. Garde-moi en vie. Si je meurs, s'il te plat loigne-moi de l'enfer!!

Aprs cela, le fais de sombrer devint uneexprience plutt trs plaisante. Je vis ma belle-mre, et ma mre. Ma maman tait morte lorsque

j'avais environ 5 mois. Je n'ai jamais vu une photod'elle. Ma belle-mre quant elle tait morte il y ade cela peu prs 10 ans. Je n'eus absolumentaucun contact avec aucune d'elle. Tout ce dont jepouvais me souvenir c'tait qu'elles avaient gardleurs mains tendues vers moi pendant tout letemps que j'tais avec elle.

J'ai entendu dire que l'on ne pouvait pastransporter l'argent sur soi, et lorsque j'tais avec ma mre et ma belle-mre, je vis qu'ellesn'avaient aucunes poches. Je sais que ceci l'air trange, mais j'essaie de me souvenir de toutce que je vis.

Aprs cela, je me souviens avoir long une all qui avait des couleurs sur chaque cot. J'aiune petite connaissance en art, mais nulle, mme pas Rembrandt ne pourrait jamaisreproduire ces couleurs, elles taient si clatantes. Il y avait cette lumire qui m'entourait, et


12/33

je crois que c'tait le Saint Esprit. Elle m'entourait et prenait soin de moi. Je ne me suisjamais senti aussi bien et aussi en scurit de toute ma vie.

[Dr. Rawlings]

Aprs que ceci soit termin, c'est alors que je me ralisais de ce qui s'tait rellement pass.Et ce qui suivi fut une double conversion. Cette exprience et cette prire ont nonseulement convertit cet athe par terre, mais aussi convertit ce Docteur athe qui lesoignait. (Dr. Rawlings pointe le doigt sur lui-mme). Ceci est la seule raison pour laquelle

je peux me placer devant vous maintenant pour vous dire qu'il y a une vie aprs la mort; etqu'elle n'est pas toujours belle.

La plupart d'entre vous peuvent diffrencier entre un simple sombrement d'une mortclinique, et une mort biologique.

Prenons le cas de Charles McKaig; il tait sur le tapis de joggings et je pouvais savoir qu'il

tait dans la phase de mort clinique. Il avait une question au bout des lvres et tait sur lepoint de poser la question tout en me regardant d'un air sidr. Pendant qu'il travaillait sur letapis de jogging, je remarquai que son cur s'tait arrt et que sa respiration avait aussistoppe; mais il continua marcher et parler pour environ une ou deux minutes avant quele manque d'approvisionnement de sang au cerveau le fit tomber raide mort.

Il tait dj mort sans le savoir. J'aurais du l'informer aussittque nous avions commenc le traitement de mort clinique,CPR. Nous avions pu ranimer le cur et avons pu le faire

respirer et il revint la vie. Ceci fut clairement ce que l'onappelle une mort clinique.

Maintenant, ceci aurait put tre une mort biologique si 4-6minutes s'taient croules aprs la mort clinique; cause du

manque d'oxygne au cerveau, les cellules du cerveau meurent, celles-ci sont les cellules lesplus sensibles du corps. La raideur des membres commence prendre place et la personnedevient rigide comme une planche.

A ce point ci nous avons maintenant besoin d'une rsurrection, et seul Dieu peut faire que

quelqu'un ressuscite. Nous ne pouvons faire que la ranimation qui est quelque chose quinous est permit de faire.


13/33

=== Howard Storm ===

Howard Storm tait un professeur d'art et de littrature quitait en visite Paris avec sa classe lorsque subitement, ileut une rupture d'estomac, une rupture d'ulcre, une

pritonite, un choc, une mort subite, une mort clinique, uneranimation, et qui exprimenta l'enfer.

[Howard Storm]

J'tais un professeur decollge enseignant l'art et g

de 38 ans. J'avais emmen avec moi mes lves inclus monpouse faire un tour de l'Europe. Cela faisait dj 3semaines que

nous tions en Europe et ceci se produit l'avant dernier jour denotre tourne en Europe.

Pendant que nous tions Paris, 11 heure dans la matine cejour l, j'eus une perforation d'estomac. Lorsque cela arriva,j'eus la douleur la plus aigu que je nai jamais expriment dema vie, et qui me prcipita directement par terre. Alors je me mis me torturer, m'crier, grogner, cogner et hurler par terre; c'est alors que mon pouse appela le service desurgences.

Un Docteur arriva et appela une ambulance, car il savait ce qui n'allait pas avec moi.L'ambulance nous conduisit environ 5 kilomtres travers la ville, un hpital publique. Jefus conduit lorsque nous sommes arrivs dans la salle des urgences et fut examin par plusde 2 Docteurs qui savaient exactement ce qui n'allait pas avec moi. Puis je fus transport enchirurgie.

Mais dut au fait qu'il n'y avait pas de chirurgien disponible, je fus gar l bas l'attente d'unchirurgien. J'tais simplement couch l sur place pour peu prs 8 10 heures, dans cethpital, n'ayant reu et ne recevant aucun mdicament, aucun examen, aucune attention du

tout, dans l'attente qu'un chirurgien arrive et me fasse une opration critique.Alors, 8:30 dans la nuit, une infirmire vint et me dit qu'ils taient vraiment dsols, maisqu'ils n'avaient pas pu trouver un chirurgien disponible pour moi, et qu'ils allaient me trouverun chirurgien le lendemain. Lorsqu'elle m'annona cette nouvelle, je sus que c'tait terminpour moi, je sus que j'tais mort. La seule chose qui me maintenait en vie tait le fait que jene voulais pas mourir.

Je savais que j'tais un athe, un non croyant, et que j'tais une personne qui vivait pour sapropre gratification.

Mis part la douleur que je ressentais, mourir tait la pire des choses qui puisse m'arriver carcela signifiait la fin de la vie, et il n'y aura plus rien du tout. Lorsque l'infirmire m'annonaqu'aucun chirurgien n'tait disponible, l'ide d'essayer de survivre pour une minute de plus ou


14/33

pour une heure de plus avec cette douleur ne valait plus la peine. J'avais support et attendupendant tout ce temps dans l'espoir qu'ils trouveraient un mdecin qui allait m'oprer et fixerle problme. Mais lorsqu'ils me dirent qu'ils ne pouvaient pas me trouver de docteur; je disalors mon pouse qu'il est temps de se dire au revoir, car je vais mourir maintenant. Alorselle se leva et m'entoura de ses bras, elle me dit quel point elle m'aimait, et je lui dis aussi quel point je l'aimais, c'tait trs triste. Nous nous sommes dit notre au revoir; nous noussommes dit ces choses dont on se dit aprs avoir vcu ensemble pendant 20 ans. Elle s'assitfinalement car elle sut que c'tait termin, et je le savais aussi.

C'tait trs pnible de la regarder pleurer ainsi,alors je fermai les yeux et me suis toutsimplement laiss aller. Je devins inconscient.Je fus probablement inconscient juste pour unecourte priode, pour quelques minutes peuprs. Puis je redevins encore conscient.J'ouvris mes yeux et vis que je me tenais cot

de mon lit. Je savais exactement o je metrouvais, et quelle tait la situation, il y avaitaucune confusion dans ma pense. Je mesentais en vie, le plus rellement que je ne

l'avais jamais ressenti dans ma vie. Les gens me demandent souvent: tais-tu un fantme?J'tais simplement l'oppos, j'tais trs bien vivant.

Comme je regardais autour de la pice, je me rendis compte qu'il y avait quelque chose endessous des draps du lit, un corps. Alors je me suis courb au dessus du lit afin de voir le

visage et ce visage ressemblait au mien. Mais ceci n'est pas possible, je suis vivant, je suisbien, je suis plus que vivant. Alors j'essayai de parler mon pouse, mais elle ne pouvait nim'entendre, ni me voir. Je me mis penser qu'elle tait tout simplement entrain de m'ignorer;alors je me mis en colre contre elle cause du fait qu'elle m'ignorait. Puis je me mis gueuler sur elle: Pourquoi y a t il ce corps sur le lit qui me ressemble? Comment est-ilarriv l? J'avais une petite suspicion que ce corps tait moi, mais c'tait trs effrayant d'ypenser. Alors, j'ai srieusement commenc m'agiter et m'nerver; car ceci est trs bizarre,ceci ne peut pas tre entrain d'arriver, ceci est impossible; j'enfilais une blouse d'hpital ettout est trs rel.

J'entendis les gens m'appeler hors de la salle d'une voix si douce disant: Howard, tu doisvenir avec nous maintenant. Viens rapidement, sort de cette salle. Alors je me dirigeai versla sortie de la pice. Ils taient l'extrieur de la pice, dans le couloir. Le couloir taitbizarre, gris, ni clair, ni sombre, mais simplement gris. Tout ces hommes et femmes, tousde gris vtu de ce qui ne pouvait tre simplement un uniforme d'hpital, m'attendaient. Jeleur demandai alors s'ils venaient de la part du docteur pour n'emmener la salle d'opration.Je leur expliquai alors toute ma situation et comment j'avais attendu pendant longtemps; etils continuaient me dire: Nous le savons, nous le savons, nous comprenons. Howarddpche-toi, viens avec nous, nous t'attendions.


15/33

J'avais quitt la salle qui tait absolument claire et illumine,et tais all dans le couloir qui tait bizarre et brumeux. Jesuivais ces gens; avec lesquels nous firent un trs long voyage.Il n' y a aucune notion du temps, et lorsque je fais allusion autemps, il ne s'agit que d'une illusion car il y a aucune notion dutemps dans cet endroit. Mais cet endroit, s'il me fallait recrerla marche avec ces gens, je dirais que nous avions parcouru si

je peux le dire, la distance de Nashville Louisville (175miles, 281 km).

Au fur et mesure que nous avancions, ils restaient autourde moi, me poussant m'avancer, et il faisait de plus en plusobscur, au fur et mesure que nous avancions. Ils devenaientaussi ouvertement de plus en plus hostiles en vers moi.Premirement, ils taient mielleusement gentils avec moidans le but de me faire partir avec eux. Puis lorsque je

m'avanais avec eux, alors ils commencrent dire desparoles telles que: dpche-toi, avance, tais-toi, arrte deposer des questions; puis, cela devint pire.

Alors nous sommes entr dans une obscurit totale, et je fusabsolument terrifi. Ces gens devinrent trs hostiles en vers moi et je ne savais absolument pas o je

me trouvais; alors je dis: Je ne ferai pas un pas de plus avecvous. Ils dirent: Tu y es presque. Alors, nous avonscommenc bagarrer tout en essayant de m'loigner d'eux. Ilsme poussaient et me tiraient. Ils taient maintenant trsnombreux. Originairement ils n'taient qu'une poigne depersonnes, mais maintenant dans l'obscurit, ils auraient bienpu tre des centaines ou des milliers, je ne le savait pas. Ils

jouaient avec moi; ils auraient pu me dtruire s'ils le voulaientmais ils ne voulaient pas le faire. Ils voulaient simplement

m'infliger la douleur car ils en tiraient une entire satisfaction des douleurs que je ressentais. Celam'est vraiment trs difficile d'en parler propos, d'o je ne vous dirais pas grand chose sur cesdouleurs; car cela devint trs horrible.

Initialement, ils me dchiraient avec leurs ongles, me grattaient, me creusaient, m'arrachaient lachair et me mordaient. J'essayais de me dfendre, essayant de me battre pour pouvoir m'enfuir, maiscela m'tais impossible et c'tait comme si je me trouvais dans une ruche d'abeilles, ils taient descentaines de personnes jetes sur moi, me combattant.

C'est alors qu'aprs cela, j'tais allong par terre; toutdchiquet ayant des douleurs partout; que ce soit l'intrieur ou l'extrieur de moi. Mais alors il m'tait encorepossible de supporter la douleur physique, que de supporterla douleur motionnelle, d'o manait une dgradation

absolue de moi. Mais une chose trange tait que aucunmoment, et mme pas une seule fois je n'avais jamaisressenti que ce traitement que je subissais tait injuste ou pascorrect.


16/33

J'entendis ma voix, pas la voix de quelqu'un d'autre, ou la voix de Dieu, mais ma proprevoix, mais je n'avais pas parl. Peut tre c'tait ma conscience, je ne sais pas, mais jel'entendis distinctement me dire: Prie Dieu! Alors, je raisonnai en moi mme pensant:Je ne crois pas en Dieu. Je pensai: mme si je devais prier, je ne sais plus comment

prier. Car je n'avais plus pri pendant peu prs 23 ans. Lorsque j'tais enfant, nous avionsl'habitude de prier l'cole du dimanche et l'glise. Je commenai donc essayer de mesouvenir de ces prires. Pour moi, prier signifiait juste rciter quelque chose que j'avaisappris.

L'ternel est mon berger, donne nous aujourd'hui notre pain de ce jour, mon pays ceci etcela. Attends ceci n'est pas une prire. Quand je marche dans la valle de l'ombre de lamort, cet gard et il y a de cela sept ans, nos anctres Je suis en train de tout mlanger,de m'embrouiller, je n'arrive pas me souvenir de comment prier.

Je remarquai que chaque fois que je mentionnais le nom de Dieu ces gens qui metorturaient, que cela tait comme ci je versais de l'eau chaude sur elles. Alors elles hurlaient,

criaient, et gueulaient. Elles professaient donc la pire des grossirets que je nai jamaisentendu dans ce monde. Elles ne supportaient pas tre mes cots lorsque je parlais de Dieu.Cela leur tait si pnible d'entendre parler de Dieu, qu'elles commencrent et continurent s'loigner. Alors je me rendis compte que je pouvais les repousser tout simplement en parlantde Dieu. Alors je commenai essayer de me souvenir des prires, mais j'tais confus etembrouill.

ventuellement, je m'aperus qu'ils taient partiset que j'tais l toute seule. J'tais l tout seule

pour ce qui me semblait tre une ternit, ce queje veux dire c'est que je n'avais aucune notion dutemps. Alors, je me mis penser ma vie, jepensai ce que j'avais fait, et ce que je n'avaispas fait. Je pensai cette situation dans laquelle

je me trouvais. Et j'arrivai la conclusion quema vie adulte tout entire tait goste, et quemon seul dieu c'tait moi- mme. Je ralisaiqu'il y avait quelque chose qui n'allait du toutpas dans ma vie, et que les gens qui m'avaient

attaqu taient exactement le mme genre de personne que j'tais.

Ce n'taient pas des monstres, ni des dmons; mais c'taient des gens qui taientcompltement pass ct. Ils taient passs ct de la raison pour laquelle nous sommesen vie dans ce monde; ils ont vcu une vie d'goste et de cruaut.

Et maintenant, j'tais dans un monde o il n'y a rien du tout; rien d'autre que l'gosme et lacruaut. Ils taient condamn s'infliger cela, non seulement aux uns et aux autres, maisaussi eux-mmes pour toujours, pour toujours. Et je sais que je faisais parti de ce monde.

Bien que je ne voulais pas tre l, il me semblait que c'tait la juste place o je devais tre.

Je ressenti que ceci tait ce que je mritais, parce que ceci tait la faon que j'avais vcu.Vous ne pouvez pas vous imaginer quel point cela tait douloureux sur le plan


17/33

motionnel. J'tais allong l par terre pendant un temps infini, penser mon sort. C'estalors qu' l'arrire de ma pense, surgi une image de moi lorsque j'tais enfant, assis dans uneclasse d'cole du dimanche, chantant Jsus M'Aime. Jsus m'aime, la la la, Jsus m'aime, lala la. Je pouvais m'entendre chanter cette chanson comme un enfant. Mais la chose la plusimportante encore tait le fait que je pouvais le ressentir dans mon cur.

Il fut un temps dans ma vie o j'tais jeune et innocent et croyais en quelque chose de bien,o je croyais en quelqu'un d'autre que moi. Je croyais en quelqu'un qui tait compltementbon et tout puissant, qui avait rellement et rellement soin de moi, et je revoulais avoir cela;ravoir ce que j'avais perdu, ce que j'avais rejet, trahi, je le voulais, je voulais ravoir cela. Jene connaissais pas Jsus, mais je voulais connatre Jsus. Je ne connaissais pas Son amour,mais, je voulais connatre Son amour. Je ne savais pas s'Il tait rel, mais je voulais qu'Ilsoit rel.

Il fut un temps dans ma vie o je crus en quelque chose, et je voulais croire que cela taitvrai. Alors, je commenai m'crier dans les tnbres : Jsus, s'il te plait sauve-moi! et Il

vint.

Premirement, il eut un tout petit semblant de lumire dansl'obscurit, trs rapidement, elle devint clatante. La lumiredevint si clatante que dans le monde physique, elle m'auraitconsum. Elle m'aurait cuite comme une frite de patate.Mais ce n'tait ni chaud, ou ni dangereux dans cette lumire.Il tait dans cette lumire, Il se courba et tout doucement,commena me soulever. Dans cette lumire, je pouvais

voir que j'tais compltement, horriblement saignant, sale,et que j'avais des blessures partout sur le corps; jeressemblais quelqu'un qui tait mort d'un accident de voiture. Il plaa doucement Ses mainsen dessous de moi et me pris tendrement du sol.

Alors, lorsqu'Il me toucha, toutes les blessures, les douleurs, et la salet disparurent l'instant. Elles s'vaporrent juste comme a, et je redevins bien et guri. Et l'intrieur, jefus simplement rempli par Son amour. Oh!, si je pouvais seulement l'expliquer; ce que jeressentis. C'est trs frustrant de ne pas pouvoir parler de cela aux gens, car ceci fut lameilleur chose qui m'ai jamais arriv dans ma vie; ceci me rendit complet. C'taitl'ultime TOUT de la vie, le fait de connatre cet amour, et je ne peux simplement pas vousle dcrire avec des mots.

Alors, Il me prit dans ses bras, m'embrassa, caressant mon dos, comme un pre le fais sonfils, et comme une mre le fait sa fille, caressant simplement et tendrement mon dos. Je

jacassais de joie comme un enfant, du fait que j'tais perdu, et maintenant avais tretrouv; et que j'tais mort et avait t ramen la vie. Il me sorti de l, et nous noussommes simplement envoler pour sortir de l. Nous nous dirigions vers un monde delumire, et je commenai avoir des penses de grande honte. J'avais t si mauvais que je

me voyais comme tant sale, et comme ayant une sale ordure. Et je me mis penser en moi:


18/33

Il a fait une erreur, je nappartiens pas ici, Il ne veut pas de moi ici. Comment pouvait-Ilavoir soin moi, pourquoi moi, je suis mauvais. Alors nousnous sommes arrt, nous n'tions plus en enfer; nousn'tions non pas au Paradis; mais nous tions entre les deux.Il dit: Nous ne faisons pas d'erreurs, tu appartiens ici.Alors, nous avons commenc converser et Il me disait deschoses. Il fit venir des anges qui me prsentrent ma vie dudbut la fin. Ils me montrrent ce que j'avais fait de bienet ce que j'avais fais de mal. Et cela tait trs simple.Lorsque j'avais t une personne aimable et gentille,prenant les autres en considration, cela faisait plaisir aux

anges, cela faisait plaisir Jsus, et Ils me firent savoir que cela avait fait plaisir Dieu.Lorsque j'avais t goste et manipulateur, cela dplaisait aux anges, cela dplaisait Jsus,et Ils me firent savoir que cela avait dplu Dieu.

Ce qu'Ils essayaient de me faire comprendre en gros, tait que ma seule et unique raisond'existence tait celle d'aimer Dieu et d'aimer mon prochain comme moi-mme. Ceci estla raison pour laquelle j'avais t cr, ceci c'est ce que j'tais dans ce monde pour faire etpour apprendre. Mais j'avais chou, et Ils me dirent que j'avais besoin de revenir sur terre, et

je me mis vraiment en colre, parce que je voulais aller au Paradis. Ce qu'Ils me direntconcernant le Paradis fut que c'tait l'endroit le plus plaisant, le plus intressante et le plusmerveilleux. Toute personne aimerait aller au Paradis, et moi je voulais arriver l bas. Ils medirent que je n'tais pas prt, que je n'tais pas en forme, que ce n'tait pas le temps pour moid'aller au Paradis. C'tait plutt le temps pour moi de retourner dans ce monde et d'essayer devivre de la faon que Dieu voulait que je vive, de la faon qu'Il m'a cr pour vivre.

Je dis Jsus et aux anges que je ne pouvais pas vivre dans ce monde sans Eux. Je leur disque j'aurais le cur bris s'Ils me renvoyaient dans ce monde. Ils ont t l et Je serais l. Ilsme dirent: Tu ne comprends donc rien? C'est quoi le problme? SI nous sommes entrain dete montrer toutes ces choses, c'est parce que Nous avons toujours t l. Nous avons t avectoi pendant tout ce temps. Et tu n'as jamais t seule l en bas.

Je dis: Vous devez me faire savoir que Vous tes l de temps en temps. Alors Ils me direntsi je prie et confesse mes pchs Dieu, si je donne ce que j'ai Dieu, ceci signifiant Luidonner mes soucis, mes besoins, mes espoirs, et mes rves, simplement tout abandonner Dieu, alors, il y aura des moments o je saurais dans mon cur qu'Ils sont prsents. Peut-trepas ncessairement les voir, mais je ressentirais l'amour comme celui que j'ai ressenti avant.Je leur dit que s'Ils pouvaient m'assurer qu'il y aurait des jours o je pourrais connatre cetamour, c'est que je pourrais alors vivre dans ce monde. Ils me dirent qu'Ils allaient le faire,et sur ce, Ils me renvoyrent sur terre.

Aprs cette exprience, l'infirmire qui m'avait dit qu'ils n'arrivaient trouver un Docteur,rentra en courant dans la salle et dit qu'un docteur tait arriv l'hpital et ceci est une choseassez miraculeuse, car c'tait entre 9 ou 9:30 de la nuit. Elle dit que le docteur est arriv

l'hpital et que nous allons t'oprer immdiatement. Sur ce, certaines personne arrivrentdans la salle et firent sortir ma femme de la salle. Cela tait trs troublant, car j'essayais deleur dire que je voulais raconter ma femme ce qui m'tait arriv. Alors, lorsque je passai ma


19/33

femme dans le couloir en chemin pour le bloc opratoire, je lui dis que tout se passerai bien.Et elle commena murmurer(?) , il est comme un homme mourant.

La chose trange par rapport cette exprience est le fait que ma mmoire n'a pas du tout tternie. Elle est rellement bonne, et je ne sais pas pourquoi, mais elle est reste intacte. Jecrois que l'une des raisons pour laquelle Dieu m'a accord cette exprience, c'est que j'auraisl'opportunit de la partager avec quelqu'un. Je ne sais pas qui cela peut bien tre et je ne lesaurais jamais. Mais j'aurais l'opportunit de la partager avec des gens afin que cela puissetre une aide pour eux.

=== Interviews De La Rue ===

(Jean 14:6)

Moi, je suis le chemin, et la vrit, et la vie; nul ne vient au Pre que par moi.

[L'annonceur]

Une tude randomise rvl que plusieurs personnes ne crois pas du tout que le Paradis etl'enfer sont rels et existent vraiment. Cependant, plusieurs d'entre ceux qui croient que cesendroits existent, ont diffrents ides sur comment l'on peut accder l'un ou l'autre.

[1re Personne Randomise dans la rue (Un Homme)]

Je ne crois pas qu'il existe un enfer. Je crois par contre qu'il existeun Paradis. D'une faon ou d'une autre, il doit avoir un plus cetteexistence, que juste d'une courte dure sur la terre; il doitcertainement avoir quelque chose qui suit cette existence.

[2me Personne Randomise dans la rue (Un Homme)]

Je crois que chaque personne paiera pour ce qu'il font durant leurvie. Je ne crois ncessairement pas en ce que la Bible dit concernantl'enfer lorsque cela dcrit l'enfer comme tant un enfer brulant de

feux ardents, Je crois que l'enfer c'est juste la pire de tes peurs et detout ce qui peut tre mauvais selon ta propre perception, et tu

pourra avoir la payer pour l'ternit. Et le Paradis est justel'endroit o tu vie pour le reste de ta vie en paix tant que tu aimes Dieu, que tu vie pour Dieu

et accord Sa Parole.


20/33

[3me Personne Randomise dans la rue (Une

Femme)]

Je crois que le Paradis existe, dfinitivement, le Paradisexiste. Je ne suis pas trs sure pour ce qui concernel'enfer. Comment expliquez-vous l'enfer. Cependant, le

Paradis, oui existe.

[4me Personne Randomise dans la rue (Un

Homme)]

Je ne crois pas que c'est parce que l'on va ncessairement

l'glise que l'on ira au Paradis, ou que l'on ira l basparce que tu crois en la Bible, mais simplement si tu visune bonne vie. L'enfer est rserv pour un petit nombre de

personnes vraiment mchantes, l'exemple de quelqu'unqui peut tre commet un meurtre intentionnellement. Lemeurtre est probablement la seule chose pour laquelle tu

puisses te faire finir en enfer.

[5me Personne Randomise dans la rue (Une

Femme)]

Je ne suis vraiment pas sure de ce qui pourrait bient'envoyer en enfer, ou alors de la raison pour laquelle tudois aller au Paradis. Je n'ai aucune ide.

[6me Personne Randomise dans la rue (Un

Homme)]

Je pense qu'il n y a rellement pas un Paradis ou un enfer,mais juste un aprs vie. Je ne sais pas exactement ce que

c'est. Je ne suis pas sure si cela existe, mais je crois qu'il yexiste une sorte de milieu, ou de limbo, ou un purgatoire otout le monde va. Cela n'est ni vraiment confortable, ni

vraiment traumatique.


21/33

[7me Personne Randomise Dans La Rue (Une Femme)]

Je crois que toute personne dans leur propre esprit nepense un enfer et un Paradis. Le Paradis c'est ce quiles rend le plus heureux, ce qu'ils visent accomplirdans le future, et ce qu'ils croient par ''leur proprecroyance, que ce en Dieu ou en d'autres dits ouentits, croient que le paradis existe. Et que c'est ce pourlequel ils travaillent dans la vie. Ma fille est une

proclame athe, mais quelque part dans sa mmoireelle sait qu'il y a quelque chose qu'elle veut avoir dansses dernier moment de vie. Et pour elle, c'est tout ce qui

est requis, une dit n'est pas du tout requise.

[8me Personne Randomise dans la Rue (UneFemme)]

Je crois en ma propre sorte de croyance qui est beaucoup plus unecroyance mtaphysique. Je crois que quelque soit ce que tu ressenssur terre, comment tu vois le Paradis, ce que c'est, cela est ta

propre conception. D'o cela deviens ainsi lorsque tu meurs. Doncsi tu crois qu'il y a une source de dieu en toi, et que tu es une bonne personne, et que tu esune personne heureuse, c'est alors ce qui t'arrive aprs que tu sois mort. Mais je ne crois pas

que tu sois pnalis et que tu ailles un endroit plein de feux, parce que tu n'a pas vcu tavie de la manire dont les religions organises pensent que tu devrais vivre.

[Fin Des Interviews]

[Dr. Rawlings]

Plusieurs personnes essayent de diluer le messagede l'enfer et du Paradis, disant quaucun de cesendroits nexiste. Pourquoi ne pas manger, boire,et tre heureux? S'il ny aucune responsabilit,alors il y a point de pch. Et sil ny a pas depch, donc Christ est mort en vain. Et si Christest mort en vain, pourquoi avons-nous besoin deDieu? Ceci c'est la nouvelle philosophie duNouvel Age (New Age), qui dit quil n'y a pas

d'enfer. C'est aussi l'espoir de la plus part de gens, qu'il n y ai pas d'enfer.

Des volontaires vont dans des hpitaux, visiter notre bien aim, leur annonant le message

du ''Nouvel Age''. Ceci est appel, la religion des dernires annes, la religion desexpriences de proche de la mort. Regarde, je suis all au Paradis, Ils disent aux patientsqui sont mourants: J'ai vue la lumire et je suis revenu. Tout va bien. Il y a point de compte rendre, de responsabilit, il y a pas d'enfer. Les portails du Paradis sont grandement


22/33

ouverts tous ceux qui meurent. Regardez-moi. Je suis un athe et je suis bien ici. Vousn'avez pas vous inquiter. La mort n'est pas quelque chose qui doit vous faire peur. Je vaisrester avec vous. Votre famille trs peur de rester avec vous pendant que vous mourez,mais moi, je n'ai pas peur. Laissez-moi vous tenir la main. Laisse-moi te parler de cetteglorieuse chose qui vient vous chercher, cette jolie lumire au bout du tunnel, o il y a pointde soucis, point de perte mais seulement de gain. Vous tes acceptable comme vous tes. Ilny a pas d'enfer. C'est l'ternit pour tous."

Ceci est une philosophie du nouvel ge appel la ''Foi Omga'', o tout le monde va auParadis. Il y a un groupe de ces gens qui viennent dans nos hpitaux, consulter les mourants, la place des groupes dglise, qui sont suppos faire ce travail. Le ministre aux mourantsest le ministre le plus nglig de tous les ministres. Personne ne veut ce ministre. Tout lemonde a peur des patients qui sont mourant. Pendant que le patient qui est mourant veutsavoir beaucoup plus sur le sujet de la mort, ce que c'est que mourir, est ce que c'estdouloureux? Y a t-il une vie aprs la mort? Y a t-il un Paradis et un enfer? Commentpourrais-je faire pour tre sure que j'irais au Paradis?. Et vous pourrez simplement lui dire

que c'est un don gratuit. Vous pourrez lui dire comment faire pour recevoir ce don. Mais sinous ne nous dfendons pas contre la Foi Omga, qui a infiltr les hpitaux, avec cette foimortelle, c'est que nous allons alors perdre notre propre Chrtient. Le patient mourra nu,sans aucune foi du tout.

=== Dr. Donald Whitaker ===

Notre prochain cas est celui du Dr. Whitaker qui,jusqu'aujourd'hui pratique toujours la mdecine et quitait athe au moment de cet incident. Il n'avait rien faire de Dieu et ne voulais rien savoir de Dieu; jusqu'ce qu'une situation que nous aimerons partager avecvous change sa vie.

[Dr. Donald Whitaker]

Ceci eu lieu en Fvrier 1975; ce moment l, j'tais un alcooliquesans contrle, et j'utilisais aussi la drogue de manire rcrative,mais l'alcool tait ma drogue de premier choix. J'tais absolumenthors de contrle. J'avais beaucoup d'amis dans le show business;Ringo Star et un tas d'autres personnes.

Lorsque ceci eut lieu, ils faisaient une mission de tlvisionspciale sur la cte Ouest. Hoight (un ami) m'avait appel etm'avait demander si cela m'intresserait d'y aller. Et je lui avais rpondu que je seraisenchant d'y aller avec eux, parce que je savais qu'il devait avoir boire en vrac et qu'ildevait aussi avoir beaucoup de fte. Pendant quils faisaient leur spciale, je m'occupais faire ma propre chose c'est dire boire de l'alcool.


23/33

Aprs avoir pass trois quatre jours l bas, je devinsmalade. J'avais d'atroces douleurs dans mon abdomen. Jepris le vol pour la ville d'Oklahoma de l, j'appelais unami moi qui tait un snateur et lui demandai d'envoyerune voiture me chercher car j'tais malade. Ils envoyrentune voiture et m'accompagnrent la maison. Je fusintern l'hpital de Whatley Texarkana, Texax enFvrier 1975. Je fus intern avec des lectrolytes, ce quisignifiait que les lments chimiques dans mon corps

taient tellement instables au point qu'il avait fallu qu'on me fasse une Intraveineuse pour meremonter.

ce moment dans ma vie, j'tais athe. J'tais un athe confirm et je vivais pour moi-mme. Les athes sont des personnes auto centres qui ne vivent que pour elles-mme. C'estcomme a et dans cet tat d'me que je me trouvais intern en 1975 dans mon lit d'hpital.

Trois jours aprs, je fus opr; plus tardj'tais en soins intensifs, branch sur unrespirateur, ce qui signifie que cela respiraitpour moi. Je ne pouvais pas parler. J'tais ldans le coma; lorsque j'entendis les gens quiparlais de moi sur la gravit de mon tat desant et sur comment j'allais surementmourir et sur comment je n'allais pas sortirde l'hpital vivant. A cette priode l j'avais

de trs longs cheveux parce que je ne lescoupais pas simplement. Et j'entendisquelqu'un dire: a alors, qu'il de longscheveux. et une autre personne rpondit:

Ils ne sont pas aussi longs qu'ils seront lorsqu'il sortira d'ici. Et la troisime voix dit: Detoute faon il ne sortira pas d'ici. Il va mourir.

Et trois jours aprs, je fus mesure de respirer de moi-mme. Je me souviens que mondocteur, le chirurgien, Dr. Donald Dunkon me dit: Don, si tu as quelque mettre en ordre,si tu as quelque chose faire signer, s'il te plait fait le car nous ne savons pas combien detemps tu as vivre.

Je savais que j'avais une condition appele Hmorragie Narcotique Pancratite Aigu. Tu nepeux pas survivre lorsque tu as cette maladie. Tu peux vivre avec une pancratite. Tu peuxmme vivre avec une pancratite aigu, mais tu ne peux pas vivre avec une HmorragieNarcotique Pancratite Aigu. Dunkon avait dit mes deux fils que j'allais mourir avant lematin. Ils ne s'attendaient pas ce que je puisse survivre.

J'tais couch l, moi un athe confirm. Je ne croyais pas en Dieu. Je croyais au pouvoir del'univers, parce que je l'avais vu. En tant que mdecin, j'avais eut faire aux situations de vieet de mort. Je croyais en quelque chose, mais ne me parl surtout pas de Dieu. Et ne me parl


24/33

non plus de la rsurrection, de l'accouchement de la vierge, ou de ce genre de choses l,parce que je suis dans la recherche et dans la science. La majorit des Docteurs dePhilosophie en recherche et science ne croit pas en Dieu. Ils ne croient pas en un tresuprme. Ils commencent croire qu'il y a un ordre dans l'univers parce que plus ons'loigne, plus on voit l'ordre.

Il est trs facile d'tre athe lorsque l'on a du succs. Lorsque l'on a boss dur pour quitterdu bien tre sociale Oklahoma pour devenir l'un des hommes les plus puissant de taville-l'un des hommes les plus puissant de l'tat d'Oklahoma politiquement. Il est trs

facile d'tre athe lorsque l'on a fait tout a. Lorsqu'un homme eu tout a, il peuts'assoir et dire que: "Je n'ai pas besoin de Dieu. Qui est Dieu?"

Mais il est trs difficile d'tre athe lorsque l'on est couch mourant sur son lit d'hpital,parce que l ce moment, l'on commence rflchir et penser: "Et si ces gens avaientraison?".

Il y avait eu un homme appel Ron Short qui s'taitplac entre moi et les portes de l'enfer. Un homme quim'a tmoign de l'amour de Jsus pendant 5 ans, avantque je ne sois malade. J'argumentais avec lui, mais jel'aimais bien, parce qu'il faisait ce qu'il disait qu'il allaitfaire. Il tait la seule personne que je connaissais quidisait tre chrtien et qui vivait vraiment sa chrtient.Je le respectais vraiment. Je ne croyais pas en ce qu'ildisait, mais je le respectais.

Lorsque j'tais couch mourant sur mon lit d'hpital,sachant que j'allais mourir, imaginez celui qui je

pensais? Je pensais: "Et si Ron avait raison? Et s'il y avait un Paradis et un enfer." Aussiimmdiatement, la pense la plus pressante dans ma pense tait celle de savoir commentfaire pour tre sauv. C'est quoi tre sauv? Comment faire pour tre sauv?

Alors j'envoyais des gens cherch Ron Short. Je voulais qu'il vienne afin de faire ce qu'ilpensait tre ncessaire faire. Je n'avais aucune ide de comment un homme pendu au boisen Isral il y a de cela 2000 ans pouvais me sauver. Qu'est ce que cela avoir avec moi?

Mais je savais qu'il avait quelque chose que je devais avoir. Cette nuit l, Ron n'tait pas lamaison, il tait en Alabama. Alors, j'envoyai les gens cherch Ron. Cette nuit l tait l, futla nuit la plus longue que j'ai jamais vcu de toute ma vie, avant ou aprs cette exprience.

J'tais couch dans mon lit, alors je commenai sombrer dans l'obscurit. Il faisait si si noir.C'tait comme si les tnbres pntraient simplement en ton fort intrieur. Je peux vous direque j'avais quitt mon corps car je me souviens tre revenu dans mon corps. Je ne sais pas o

j'tais lorsque j'tais hors de mon corps.

Il y a des gens qui parlent d'une lumire, ou de flotter par dessus, qui parlent d'un sentimentde chaleur ou d'amour. Je ne ressentis rien de pareil, je ne ressentis rien du tout comme a. Jeressentis une terreur invraisemblable. Je sus que si j'allais jusqu'au bout, que si je me laissais


25/33

aller sur cette voie, que je ne reviendrais jamais. Au trfonds de mon tre, je le savais. Alors,je me battu tout au long de la nuit.

Ils me dirent plus tard que j'avais non seulementarrach les draps du lit, mais que j'avais aussi enlevle matelas du lit et que je l'avais mis sur moi. Jedevais rester, je devais attendre jusqu' ce que Ronarrive ici l'hpital. Quoi qu'il devait avoir faire, jedevais attendre son arriv.

Puis chaque fois que je quittais mon corps, jesombrais dans une profonde obscure terreur. Ma peaucommena se refroidir. Pas la qualit de froid que

l'on ressent lorsque l'on marche en plein air, non, ceci tait un froid glacial dans les os. Et jepouvais ressentir cette froideur commenc monter par mes jambes.

Et encore une fois de plus, je commenai quitter mon corps pour me retrouver dans lestnbres, dans ce vide. Je me souviens qu'unefois, lorsque j'essayais de rentrer dans moncorps, que je sentis mon corps faire un bruitsourd, mon corps physique faire un bruit sourd.Croyez-moi, croyez-moi que celle-ci futl'exprience la plus horrifique que j'ai jamaisvcu de toute ma vie.

Je me battus tout au long de la nuit. Lelendemain, autour de 9:30 ou 10 heures, Ron arriva. Il dit: Dr. Whitaker, que disent-ilconcernant tes chances de t'en sortir? Je lui dis: Ron, ils disent que je n'ai aucune chancedu tout. Il me dit: Maintenant, il est temps. Je dis: Tu as raison.

Auparavant, je l'aurais maudis, je lui aurais crach dessus, mais maintenant, il tait temps carje devais et tenais avoir quoi qu'il avait. Je n'avais plus qu'une courte dure de temps vivre sur terre et je n'avais aucune ide de quand j'aurais faire ce trajet qui allait meconduire jusqu'au bout de chemin de non retour.

ce moment, Ron me fit rciter toutsimplement la prire de confession dusalut. Je n'avais aucune ide de ce qu'taitla prire de repentance et de salut, mais jefaisais confiance en Ron. Il me conduitdans la prire de repentance du pcheur etme dit que Jsus tait mort pour mespchs. Qu'Il tait mort pour les pchsdu monde. Je ne compris pas vraiment ce

que cela signifiait ce moment. Il memontra dans La Parole de Dieu o celatait crit.


26/33

Vous devez comprendre que je suis un homme des livres; que j'ai pass une bonne partie dema vie, 25 ou 26 annes de ma vie dans les livres, dans tout genre de livres scientifiques. J'aicommenc avec une Maitrise en chimie tout au long du chemin jusqu' devenir docteurpratiquant la mdecine. Il me dit cela et je le cru parce que cela tait cris dans ce livre. Celatait pour moi un nouveau livre, et ce livre tait appel La Bible. Ron me conduisit dans cetteprire, et je confessai ce jour, la prire de salut et de repentance.

Juste aprs cela si je peux vous dire une chose, c'est qu'il eut une paix comme je n'en avaisjamais connu au auparavant qui m'enveloppa; cette paix tait exactement celle que j'avais eu chercher dans les bouteilles, dans l'alcool, dans les injections de drogue, et dans lesfemmes. Cette paix, je l'avais recherch tout genre d'endroits. Mais je navais aucune paixdu tout dans ma vie.

Mais une fois que j'avais accept Jsus Christ dans ma vieen tant que mon Seigneur et Sauveur personnel, je ne fusplus du tout effray.

Mais je savais malgr tout que j'allais quand mme mourir,car je connaissais bien trot bien la condition que j'avais et je savais que tu ne pouvais passurvivre une fois que tu l'avais contract. Je le savais, je suis un mdecin. Je savais que ceque j'avais, que tu ne pouvais pas survivre de cette condition.

Ron me montra dans la Parole de Dieu o il est crit: Et ce sont ici les signes quiaccompagneront ceux qui auront cru: en mon nom ils chasseront les dmons; ils parlerontde nouvelles langues; ils prendront des serpents; et quand ils auront bu quelque chose demortel, cela ne leur nuira point; ils imposeront les mains aux infirmes, et ceux-ci se

porteront bien.

(Marc 16:17-18)

Aujourd'hui, je marche sur la plante terre, sans toute fois prendre l'insuline, sans toutefoisprendre aucun enzymes, mangeant tout ce que je veux, et chaque jour, Dieu produit dansmon corps le correct matriau pour me faire fonctionner sans toute fois avoir prendre aucunmdicament.

Lorsque vous voyez les yeux aveugles recouvrez la vue, leshandicaps marcher, les lpreux tre guri de vos propre yeux, alorsl'on n'a pas besoin d'tre mesure de comprendre une science de fusepour arriver la conclusion que la Bible est vraie.


27/33

[Dr. Rawlings]

Comment est ce que diffrents stages de l'enfer peuvent avoir diffrents aspects aux gens? LaBible ne dit pas que tout l'enfer n'est que le feu. Si vous regardez diffrents endroits de laBible o l'enfer est mentionne, vous verrez des termes tels que:

Chass

Spar de Dieu

Total tnbres

Avec des vers qui ne peuvent pas mourir

La majorit de l'enfer est le feu. Voir les anges de lumires peut tre de la dception dans

certain cas. Par exemple 2 Corinthiens 11:14, nous dit que mme Satan lui mme peut setransformer en ange de lumire et dcevoir beaucoup de gens.

Alors quel genre de lumire ces gens ont-ils vu au bout du tunnel, spcialement s'il s'agissaitde quelqu'un qui ne croyais pas qu'il mritait tre au Paradis? Ces choses arrivent parfois.Mais ce qui est trange c'est que l'oppos ne se produit jamais. Ceux qui se sont retrouv enenfer savaient exactement o ils appartenaient. Et il y avait aucune question sur la raisonpour laquelle ils se retrouvaient l bas. Au fait, Christ Lui-mme parler sur ce fait dansMathieu 25. Jsus a aussi dit que si Satan chasse Satan, comment est ce que son royaumepourrait-il survivre? (Mathieu 12:26).Ceci dit: pourquoi est ce que Satan montrerait-il auxgens qu'il existe un enfer, lorsque ceci uvrera contre son propre royaume et contre sesmensonges. Non cela est impossible. En tant qu'un ange de lumire, Satan pourrai facilementdcevoir beaucoup de personnes.

Mais ces variations que ces personnes voient en enfer, que ce soit les tnbres totales ou quece soit le feu, toujours est-il que ces endroits sont des endroits qu'ils n'aimeraient plus

jamais visiter.

Ceci nous conduit directement au cas du Dr. George Rodonaia, un jeune homme Russe, trs

intelligent. Il arriva avec un Doctorat d'tat et tait mdecin, mais il avait des problmesavec le KGB. D'o il ne pouvait pas sortir de la Russie. En fait, lorsqu'il essaya de s'enfuir dela Russie, il fut expressment renvers par un agent du KGB qui conduisit sur la chaussedans le but de le cogner. Ceci c'est comment il est mort et o son histoire commence.


28/33

=== Dr. George Rodonaia ===[Dr. George Rodonaia]

En tant que psychiatre et neuropathologue, pour moi,

Dieu n'existait pas. Je n'ai jamais cru en Dieu. Je n'aijamais cru en la Bible. Je n'ai jamais pens Dieu, la Bible, ou la divinit.

En 1976, j'avais 20 ans, j'tais dj un mdecintravaillant en Gorgie, Russie.

L bas, je fis la connaissance d'une dame venant du Texas.J'essayai de quitter le pays plusieurs reprises, sans aucun succs.Car je n'avais aucune aide. Cette dame essaya de m'aider et c'estcomme a que j'eus de gros ennuis avec le KGB. Je travaillais surl'idenotintriphosper, c'est un transmetteur de neurone dans notrecerveau. Avec la conjonction de "l'ocytocine", j'avais dcouvert

beaucoup de choses. J'tais un important scientiste et le KGB ne voulais pas que je parte,comme j'insistais vouloir partir, alors ils dcidrent de me tuer. Ceci c'est comment je suisentr dans une autre dimension de ma vie.

Je me tenais sur le trottoir, prs partir New York, attendant un taxis qui allait me conduire l'aroport, lorsqu'une voiture vint sur le trottoir et me cogna. Je m'envolai 10 mtres dansl'air, puis la voiture roula sur moi. Mes amis et ma famille n'emmenrent l'hpital. Lemdecin l'hpital, un ami moi, et deux autres professeurs me dclarrent mort. Dans lanuit du Vendredi, ils me mirent la morgue, dans le frigo.

Trois jours aprs, ils me sortirent de l. Alors, le Lundimatin, ils commencrent mon autopsie. Ces trois jours o

j'tais hors de mon corps, je vis tout ce qui se passait, je me

vis moi, mon corps, ma naissance, mes parents, mon pouse,mon enfant et mes amis. Je vis leurs penses, je vis ce qu'ilspensaient, comment leurs penses allaient d'une dimension une autre. Cela tait une exprience incroyable. J'tais dansde totales tnbres. Les tnbres taient pressantes. Ces

tnbres n'existaient pas l'extrieur, mais l'intrieur. Ce que je veux dire c'est que lestnbres taient pressantes. Et que j'tais au milieu de cette peur et je ne comprenais paspourquoi et comment ces tnbres existaient. O tais-je?.

Je comprenais que je n'avais pas de corps vu que je ne pouvais pas le ressentir. C'est alorsque je vis une lumire. J'allai travers un petit trou dans cette lumire. Mais la lumire taitsi puissante, et si brulante. L'on ne pourrait la comparer quoi que ce soit. Aucun mot nepeut l'expliquer. La lumire tait si brulante, et traversait la chair. Je n'avais pas de corps, et


29/33

ceci tait la partie la plus intressante. Et j'avais peur de la lumire, je voulais all l'ombrepour me sauver de cette lumire. C'est quoi la lumire? Je ne le savais pas. Il peut-tre appella lumire de Dieu, elle peut tre appel la lumire de la vie. Mais la lumire est la lumire etles tnbres sont les tnbres.

En tant que psychiatre et scientiste, je ne pensai pas cela laseule chose tait que j'tais dans la lumire. Nous n'avionspas t levs dans les voix de Dieu. Vous connaissezl'histoire de L'Union Sovitique, l bas, on ntait pas permitd'aller l'glise. Il y avait des gens qui y allaient, mais ellestaient considres comme tant des personnes limites. Nouscroyions qu'elles n'taient pas assez futes pour comprendrequ'il n y avait pas de Dieu.

Mais ces trois jours que j'avais pass la morgue, dans lefrigidaire, avaient chang toute ma vie. Ils commencrent

l'autopsie, et commencrent ouvrir ma poitrine. Ceci tait lapremire incision, alors, j'ouvris mes yeux et ils virent que mes pupilles convulsaient,devenant de pus en plus petits. Lorsqu'ils virent que mes yeux ragissaient la lumire, ilssurent que j'tais en vie. Ils me remirent l'hpital et commencrent la ranimation.

Mes poumons, cause du fait qu'ils avaient t effondrs pour si longtemps firent en faitqu'on me mire sur un respirateur pendant 90 jours.

Mon recouvrement ne fut pas rapide, maisje recouvrai ventuellement la vie. Ils serendirent compte que j'tais en vie pendantl'autopsie, mais que tous mes organes nefonctionnaient pas. Ce fut un travail difficilependant 9 mois de recouvrement, cela ne sepassa pas immdiatement, mais, j'tais envie. Mais les docteurs devaient m'aider survivre et m'aider rgnrer ma sant etmes organes.

Lorsque je revins en vie, plusieursdiffrentes expriences eu lieu. Je vcu

beaucoup de rejets, beaucoup de luttes avec les autres. Mais rien ne pouvait changer mapense, je connaissais ma destination, je connaissais mon chemin. Je dcidai de quitter lepays, et cette dame venant de Longview au Texas m'aida partir aux tats Unis. Noussommes alls au Texas et continuons vivre l bas jusqu'aujourd'hui.

Par moment, les choses sont au del de notre comprhension; mais je n'essaie pas de tous lesexpliquer car je sais et je crois que Dieu connait mieux. Je crois que je n'ai pas besoin de tout

expliquer. Mais pourquoi est ce que ceci m'avait t montr et pourquoi avais-je t choisi?Honntement est une question franchement dont je m'en fou compltement. Tout ce quim'intresse c'est que je crois profondment en un Dieu d'amour et Dieu est amour. Et je


30/33

crois que Dieu cr toute chose pour un meilleur et un incroyable future si l'on ne le ruinepas.

=== CPR(Ranimation CardioPulmonaire

Instructions ===Full instructions athttp://globalcrisis.info/cpr.html

[Dr. Rawlings]

Maintenant, je vais vous montrer une RanimationCardiorespiratoire(CPR). Nous vous avons dit quenous vous montrerons comment ranimer le cur

de quelqu'un et comment le faire respirer nouveau.

Vous devez le faire mains nues. Alors vous devezd'abord vrifier si la personne va bien. Peut-tre estelle intoxique? Peut-elle vous parler? Ou alorspeut-tre qu'elle s'est simplement cogne la tte.

Vous devez immdiatement regarder, sentir etcouter si la personne respire. Est-ce que sa poitrine bouge t elle? Et ses narines bougent-elles ou

pas? Peut-on ressentir un change d'air? S'il n'est pas ressenti, alors laissez le cur pour l'instant e tretournez en plus tard et diriger vous d'abordet immdiatement vers les orificesrespiratoires.

Vous ouvrez les orifices respiratoires ensoulevant le menton de la personne, lepointant

Vers le plafond. Ceci redresse la trache.

Alors vous devez fermer ses narines afinque votre air dans sa bouche gonfle ses poumons. Alors, donnez-lui deux souffles rapides. Etobservez pour voir si son diaphragme remonte. Et s'il remonte, alors c'est que c'est un orificerespiratoire non bloque. Mais si elle est toujours obstrue, c'est que vous devez y retournerpour redonner deux autres souffle nouveau et vous devez vous abaisser et devez saisir sabouche afin de dsobstruer l'orifice respiratoire.

Si son cur ne bat pas, et ceci, vous le dterminez non pas en cou tant de vos oreilles, maisen touchant pour ressentir le pulse de l'artre carotide chaque ct de la pomme d'Adambom, bom, bom.

Si vous ne ressentez pas cela aprs deux souffles rapides, alors, 6 centimtres au dessus de laxiphode, chaque ct de la cage thoracique, diaphragme, la partie la plus basse de la cagethoracique, placez une main au dessus de l'autre, et appuyez vous sur elle.
http://globalcrisis.info/cpr.htmlhttp://globalcrisis.info/cpr.htmlhttp://globalcrisis.info/cpr.html


31/33

Ceci est un moment critique dans la vie ou vous pouvez tmoigner quelqu'un avant qu'il nemeurt et lui donnez l'option d'accepter Jsus Christ comme leur Sauveur personnel; alors ilne perdra rien du tout, qu'il meurt ou qu'il vive. Cela restera avec lui pour toujours. Et dans lecas o il mourrai de cette faon, alors nous n'aurions pas se questionner sur o il est all. Etle prdicateur aurait raison lorsqu'il dira qu'il est au Paradis, qu'il est all pour tre au Paradisavec Dieu.

Mais pour ceux qui meurent dans la rue, ou vont-ils? C'est la faute du pasteur, c'est votrefaute, et c'est ma faute car nous ne les avons pas prch l'vangile qui est le don gratuit pourquiconque dsire l'avoir.

=== Conclusion ===Toutes ces expriences de l'enfer ont une chose en commun: La Surprise! Ils ne savaient pasqu'un tel endroit existait. Seriez-vous surpris-vous? Trouverais-je ceci surprenant? Ou alorsserions nous prpars a? L'enfer n'est pas du tout nouveau. Il a toujours exist et atoujours t l. Ces gens l'on simplement dcouvert lorsquils sont mort et sont revenu lavie. Et tout ce qu'ils voulaient faire c'tait de partager leurs expriences avec vous et vousassurer que cet endroit existe et est rel.

[Dr. Rodonaia]

Et j'ai expriment ce qu'est l'amour, ce qu'est la foi, ce qu'est l'espoir; et toutes ces 3 choses

sont ''La Sagesse de Dieu''.

[Dr. Whitaker]

La prire de foi, la prire du salut, n'est pas une sorte de petite prire; mais c'est le seulchemin qui mne au Pre. Et cela est le seul chemin. Alors, tous ces gens dans le mouvementdu Nouvel Age (New Age) qui croient que tout le monde va au Paradis aprs la mort, que tupeut adorer ce que tu veux, que tu peux adorer une mouche, tu peux presser un arbre, tu peuxadorer un cristal, tu peux adorer une toile. J'ai une nouvelle pour vous: ''Vous n'irez pas au

Paradis moins que vous n'acceptiez Jsus Christ comme votre Seigneur et Sauveurpersonnel. Car la Bible dit que le seul chemin qui mne au Pre ( Dieu) est par SonFils Jsus Christ''.

[Ronal Reagan]

N'allez pas en enfer s'il vous plait. Je vous en supplie. N'allez pas en enfer. Car cet endroitn'avait pas t prpar pour vous.

[Charles McKay]

Si vous tes sauv, c'est que vous tes sauv seulement si vous avez accept Jsus Christcomme votre Seigneur et Sauveur personnel.


32/33

[Howard Storm]

Ne le remettez pas au lendemain pour quoi que ce soit comme raison que vous pouvez avoir,car vous pouvez mourir cet instant mme.

[Charles McKay]

C'est la chose la plus merveilleuse qui ne mai jamais arriv dans ma vie.

[Howard Storm]

Vous pouvez ressentir la prsence de Jsus vos cts aujourd'hui, cet endroit o vousvous trouvez et en ce moment prcis.

[Ronal Reagan]

Ce n'est pas la volont de Dieu que qui que ce soit prisse. Je ne le savais pas. Je neconnaissais pas l'amour de Dieu. Tout ce que je connaissais n'tait que la haine, la violence,et les abus. Mais il y a quelqu'un qui soin de vous et Son Nom c'est Jsus.

[Whitaker]

Et qui est le Fils? Il est la Parole faite chair et qui est venu vivre parmi les hommes. LaParole est le chemin qui mne au Pre.

[Howard Storm]Faites un choix. N'attendez pas demain, pas ce soir. Faites un choix l'instant. Allez-vousdonner ou non votre cur Jsus?

[Charles McKay]

Si vous voulez avoir une bonne vie aprs celle-ci ici sur terre, vous feriez mieux d'accepterJsus.

(Apocalypse 3:20)

Voici, je me tiens la porte et je frappe: si quelquun entend ma voixet quil ouvre la porte, jentrerai chez lui et je souperai avec lui, et lui

avec moi.

[Dr. Rawlings]

Chers amis, vous avez entendu ces vidences. Ceci est le plus prs que vous aurez arriverpour prendre une dcision. Y a t il une vie aprs la mort? Est ce que ces gens qui vous ont tprsent, et qui ont compltement chang leur vie aprs avoir dcouvert qu'il existait unparadis et un enfer sont dbiles? Avez-vous prise cette dcision de suivre Jsus dans votre


33/33

propre vie ou non? Savez vous que si vous avez dcid de suivre Jsus et que vous mourezcette nuit, que vous serez au Paradis avec Dieu avant demain? Et souvenez vous de lacitation dans Apocalypse 3:20, Voici, je me tiens la porte et je frappe: si quelquun entendma voix et quil ouvre la porte, jentrerai chez lui et je souperai avec lui, et lui avec moi.''J'entrerais'' il ne dit pas ''J'entrerais peut tre'', et souperai avec lui et lui avec Moi. Cecisignifie que vous devez venir lui sale comme vous tes, tout simplement comme vous tes.Il s'associera vous et vous dira comment nettoyer votre vie, et en mme temps, en changede votre vie, Il vous donnera le don gratuit de La Vie ternelle avec Jsus Christ parce quevous tes un des Siens. Et ceci fera de vous maintenant, ''un Chrtien''.

(John 11:25-26)

Jsus lui dit: Moi, je suis la rsurrection et la vie: celui qui croit en moi,encore quil soit mort, vivra;et quiconque vit, et croit en moi, ne mourra

point, jamais. Crois-tu cela?

FIN

Alle Et Retour De L'Enfer

Documentaires du Dr Rawllings

Ceci est un exemple de comment vous pouvez prier pour obtenir leSalut:

Seigneur Jsus, je reconnais que je suis un pcheur et que j'ai besoinde ton pardon. Je me repens pour toute chose mauvaise que j'ai faite.Merci d'avoir pay la pnalit de mes pchs lorsque Tu es mort sur lacroix. Je voudrais me dtourner de ma nature pcheresse pour pluttTe suivre. Seigneur je T'ouvre mon cur et je T'invite venir dans

ma vie, et faire de moi la personne que Tu veux que je sois. Jsus, jet'accepte comme Mon Seigneur et Sauveur. S'il Te plait, rempli moide ton Esprit Saint et prends le contrle de ma vie.

Au Nom de Jsus Christ je prie. Amen

Allée Et Retour De L'Enfer Documentaires sur l'Enfer par Le Dr Rawlings

Documents

Transcript of Allée Et Retour De L'Enfer Documentaires sur l'Enfer par Le Dr Rawlings