n°65 - Novembre 2007

La · · :\\ Vi/le qui vous "lia 'o\e

Chères lgnymontaines, Chers lgnymontains,

L'enquête pu­blique sur le SDRIF- le sché­ma directeur de la région lie de France­vient de débu­ter.

Derrière ce siglé barbare se cache tout simplement "le" document d'urbanisme qui définit l'avenir de notre région, de notre départe­ment et de notre ville, et ce, dans de nombreux domaines, du loge­ment aux espaces verts, du déve­loppement économique aux infra­structures de transports .....

Montigny fait partie des 16 villes retenues dans le département des Yvelines pour accueillir la présen­tation de cette enquête. C'est une nouvelle · · rëconnaissaiké. · du rayonnement de notre commune.

Venez donc exprimer votre senti­ment sur ce document qui doit prendre en compte l'émergence

les nouveaux défis de l'aménage­ment de notre territoire.

·L'éventuel prolongement de l'A 12, le développement des transports en commun, la valorisation de la base de loisirs sont autant de points essentiels pour notre com­mune sur lesquels vous avez votre mot à dire dans le cadre de cette enquête publique.

Ne laissez pas passer cette oppor­tunité!

votre maire, Michel LAUGIER

l'exposition a lieu actuellement dans le hall de l'Hôtel de ville et au service Urbanisme. le commissai­re-enquêteur tiendra sa seconde et dernière permanence à l'Hôtel de ville le mercredi 7 novembre de 17h à 20h.

t Les Prés LA CUVÉE 2007 EST TIRÉE AU COLLÈGE

poge10

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PHOTOGRAP,HIQUE

La 4e Semaine du Handicap organisée le mofs.demier à Montigny o mobilisé acteurs et participants. Sans culpabilisation, les rendez-vous fiXés au grand public visaient à mieux s'informer pour mieux comprendre.

pages 5, 10, 13, 15

t Culture LE THÉÂTRE FÊTE L'AUTOMNE LES 17 ET 18

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t Rugby L' ASMB : 25 ANS SANS COUPE DU MONDE

poge14

t Escalade LE 3E CHALLENGE HAN Dl-GRIMPE

L'ignymontain, le journal de Montigny-le-Bretonneux - Hôtel de Ville - 66, rue de la mare-aux-carats 78180 Montigny-le-Bretonneux - tél :01 39 30 31 32 - fax :01 39 30 31 33 - mel : journal@montigny78.fr

Retrouvez chaque mois L'ignymontain en ligne sur le site internet de la ville http://www.montignylB.fr

La ~ille qui vous '13 \;liell

SOMMAIRE page 3 ACTU :

L'animation, une vocation et un métier de terrain.

page 4ACTU : Les bacheliers B et TB passent la barre des 100- Marché de l'art du Lion's Club.

page 5 ACTU : Retour sur la 4' Semaine du Handicap.

page 6 ACTU: Les nouveaux lgnymontains en balade le 13 octobre- La faculté de médecine pose ses pre­miers jalons.

page? ACTU: Marostica : cérémonie retour en Italie - La mairie se met en scène - Déménagement de l'Hôtel des impôts.

page 8 ACTU : Le Marché de Noël début décembre - Le SDRIF en enquête publique.

page 9 ACTU: Commémoration et zooms sur l'association ALAMER et le CEREL

pages 10 QUARTIERS : Le Clos des Prés est vendangé - Keski, un jeu citoyen

pages 11 ECONOMIE : Journée VIP au centre Delorozoy - forum Jeunes à SQY Ouest - Deux coiffeuses.

pages 12 et 13 CULTURE: Les spectacles à venir et passés - La 1"' Bien­nale photographique - La fête de l'Automne au théâtre- Un 3' livre pour Nathalie Michau

pages 14 et 15 : SPORT Retours sur Parcourir Montigny; le challenge Handi-Grimpe, les 25 ans de I'ASMB rugby -Zoom sur le cécifoot- Mourad Khalfa, espoir du Qwan Ki Do page 16 JEUX- ANNONCES

SAPEURS-POMPIERS: 18

NUMERO D'URGENCE SUR UN PORTABLE: 112

POLICE SECOURS : 17

SAMU: 15

CENTRE DE SECOURS ET D'INCENDIE

Tél. : 01 30 69 39 oo

POLICE MUNICIPALE Tél. : 01 30 57 57 57

TÉLÉSURVEILLANCE Tél. : 01 34 86 26 oo

COMMISSARIAT DE POLICE Tél. : 01 30 48 26 70 ou 17

GARDES DE NUIT MEDECINS Tél. : 01 30 57 90 45 ou 15

PHARMACIES Commissariat de Guyancourt

Tél. : 01 30 48 26 70

CENTRE ANTI-POISON Tél. : 01 40 os 48 48

DÉPANNAGE D'URGENCE EDF Tél. : 01 30 50 88 54 GDF Tél. : 01 30 so 8o 72

SOS ENFANTS MARTYRS Tél . : o1 45 83 75 s6

Au cinéma Jacques Brel ce mois-ci L'ASSASSINAT DE JESSE JAMES par le lâche Ro­bert Ford 2.006 (2.h39) Western dramatique américain de Andrew Domi­nik avec Brad Pitt, Casey Affleck Jesse James fut l'une des premières superstars américaines. La presse, qui suivit avec passion ses braquages tout au long des années 1870, jetait sur lui et sa bande un regard des plus admiratifs.

MER 31/10 (20h30), JEU 01/11 (17h), SAM 03/·11 (20h30), DIM 04/11 (17h), MAR o6ft1 (20h30)

99 F 2.006 (1h40) Comedie française de Jan Kounen avec Jean Du­jardin, Jocelyn Quivrin, Patrick Mille Octave est le maître du monde : il travaille pour la plus grosse agence de pub du monde : Ross & Wit­chcraft, surnommée "La Ross". Il est couvert d'ar­gent, de filles et de cocaïne. Pourtant, il doute. Deux événements vont bouleverser le cours de la vie d'Octave.

JEU 01/11 (20h3o), VEN 02/11 (20h3o), SAM 03/11 (18h), .DIM 04/11 (20h3o)

LES ROIS DE LA GLISSE 2.007 (1h2.7) Film d'animation, comédie de Ash Brannon, Chris Buck avec Shia LaBeouf, Jon Heder Sur sa banquise, le jeune Cody rêve de devenir le champion du monde des surfeurs. Il espère qu 'en intégrant le monde prestigieux de la compétition, il trouvera enfin le respect et l'admiration qu'il n'a jamais eus.

MER 07/11 (17h), VEN 09/11 (20h30), SAM 10/11 (16h-18h), DIM 11/11 (10h-16h)

UN SECRET 2.006 (1h40) Drame français de Claude Miller avec Cécile de France, Patrick Bruel, Ludivine Sagnier L'exploration d'un lourd secret de famille et l'his­toire d'une passion, à travers le voyage intérieur de François, un enfant solitaire qui s'invente un frère et imagine le passé de ses parents.

MER 07/11 (20h30), SAM 10/11 (20h30), DIM 11/11 (18h-20h30)

INVASION 2.006 (1h38) Thriller, science fiction américain de Oliver Hir­schbiegel avec Nicole Kidman, Daniel Craig Une immense explosion embrase le ciel de Dallas répandant les restes d'une navette spatiale. Mais on aurait trouvé, collée aux fragments, une ma­tière inconnue, hautement toxique, capable de ré­sister à des températures extrêmes.

MER 14/11 (20h30), VEN 16/11 (20h30), SAM 17/11 (18h), DIM 18{11 (18h)

MICHAEL CLAYTON 2.007 (1h49) Thriller dramatique américain de Tony Gilroy avec George Clooney, Tom Wilkinson Avocat dans l'un des plus grands cabinets juri­diques de New York, Michael Clayton arrange dis­crètement et par tous les moyens les affaires em­barrassantes de ses clients. On lui confie le dossier douteux d'une puissante firme agrochimique.

JEU 15/11 (20h30), SAM 17/11 (20h30), DIM 18/11 (1Sh·2oh3o)

LE CŒUR DES HOMMMES 2. 2.006 (1h49) Comédie dramatique française de Marc Esposito avec Bernard Campan, Gérard Darmon, Jean-Pier­re Darroussin Alex, Antoine, Jeff et Manu, quatre amis, quatre ans plus tard. Leurs rapports avec les femmes, leur amitié, leurs secrets partagés, leurs sentiments de culpabilité, leur voionté de changer, de s'amélio­rer ...

VEN 23/11 (18h), SAM 24/11 (20h30), DIM 25/11 (18h-20h30)

LE REVE DE CASSANDRE 2.007 (1h48) V.O Comédie américaine de Woody Allen avec Colin Farrell, Ewan McGregor, Tom Wilkinson Sur un coup de cœur, deux frères s'offrent un voi­lier qu' ils baptisent "Cassandra's Dream". Une vraie folie car ni l'un ni l'autre n'ont réellement les moyens d'assumer ce signe extérieur de richesse.

VEN 23{11 (20h30), SAM 24/11 (18h), DIM 25/11 (15h30)

DETROMPEZ VOUS 2.006 (1h2.8) Comédie romantique française de Bruno Dega, Jeanne Le Guillou avec François Cluzet, Mathilde Seigner, Roschdy Zem Thomas et Carole, Lionel et Lisa : deux couples of­ficiels, un troisième qui nourrit en secret une rela­tion passionnée ... quant au quatrième couple, for­mé par défaut, que va-t-il faire ?

MER 28/11 (20h30), JEU 29/11 (20h30), SAM 01/12 (20h30), DIM 02/12 (18h)

BIENVENUE CHEZ LES ROBINSON (1h42.) 2.007 Film d'animation américain Stephen J. Anderson Lewis est un garçon brillant qui a inventé le Scan­ner de Mémoire. Malheureusement, sa géniale in­vention vient d'être volée par l'ignoble Homme au Chapeau melon.

VEN 30/11 (20h30), DIM Ol/12 (1oh / 16h /20h30)

Plein tarif : 5,3o€ -Tarif réduit : 3,5o€ Carte de 10 entrées : 35€ ~ : 01 30 4410 11 (répondeur) ou au 01 39 30 31 70 (Direction de la Culture).

L'lgnymontain, le jou mal de Montigny-le-Bretonneux

Directeur de la publication : Michel LAUGIER, maire

Rédaction : 66, rue de la Mare aux Carats -78180 Montigny-le-Bretonneux

Tél.: 01 39 30 31 30 Fax: 01 39 30 31 33 courriel : joumal@montignY78.fr

Directeur de la rédaction : Yann Pasco ~édaction : Y. Pasco, Sandra Duranteau, Elodie Chétrit, E. Dauberville Photos : Catherine Maraone, Yann Pasco Conception, mise en page : Y. Pasco, Samuel Chauvin Imprimerie: SEMIF HEBDOS: bd des Champs Elysées- 91001 Evry Cédex Distribution : ABC Distribution

Abonnement : 8,4€ pour 11 numéros - contactez le Journal ISSN : 1241-6053 Tir~ à

2o.ooo exemplaires sur papier recycft!.

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L'ignymontain www.montigny78.fr hJOI/EMHHE 2007

L'agenda de novembre 2007 Mardi 6

Tournoi interdépartemental de volley Centre sportif P. de Coubertin

Du vendredi 9 au samedi 17

Semaine du jeu de société Ludothèque, voir page 6

Samedi 10

Concert : "Julien Clerc" 20h30 - Ferme du Manet

Dimanche 11

Commémoration de l'armistice du 11 novembre 1918 Rendez-vous 10h45 - Salle Jacques Brel

Mardi 13

Conférence d'histoire de l'art : "Courbet" 2oh - Conservatoire des arts

Réunion publique du Pas du Lac 20h30 - Maison de quartiers Henri Matisse

Concert musique manouche : "Les pommes de ma douche" 20h30 -Salle Jacques Brel

Du mardi 13 novembre au samedi 3 décembre

1•" Biennale d'art photographique de Saint-Quentin-en-Yvelines Voir détails des expos page 12

Mercredi 14

Réunion publique des Prés 20h30 - Maison de quartiers André Malraux

Samedi 17

Bourse aux jouets et aux livres du Secours Catholique 10h - 17h - Tennis couverts P. de Coubertin

Montylive New roots et Dancehall 20h30 - Salle Paul Gauguin

Lundi 19

Réunion publique du Village 20h3o - Club le Village

Mardi 20

Spectacle jeune public : "Isabel au bois dormant" 2oh - Salle Jacques Brel

Mercredi 2.1

Théâtre : "Au soleil de Daudet" 20h30 - Salle Jacques Brel

Jeudi 22

Connaissances du monde : "Russie : de Moscou à Saint-Petersbourg" 20h30 - Salle Jacques Brel

Réunion publique de la Sourderie Nord 20h30 - Ecole élémentaire Albert Samain

Vendredi 23

Remise des médailles du travail 19h - H6tel de ville

Samedi 2.4 Bourse aux jouets de Montigny Inter Familles 9h30 - 16h - Tennis couverts P. de Coubertin

Concert : "The Rabeats" 20h3o - Ferme du Manet

Lundi2.6

Concert jeunes: "Christophe Maé" 20h3o - Ferme du Manet

Mardi 27

Conférence d'histoire.de l'art : "Ferdinand Holder" 2oh - Conservatoire des arts

Spectacle d'imitation : "Michael Gregorio" 20h30 - Salle Jacques Brel

Mercredi 28

Réunion publique de Saint-Quentin 20h30 - Ecole élémentaire Arthur Rimbaud

Jeudi 29

Réunion publique du Manet 20h30 - Centre de Loisirs du Manet

Du vendredi 30 novembre au dimanche 2 décembre

Marché de Noël Venjsam 10h - 21h, dim 10h - 19h - Ferme du Manet

Etat-civil NAISSANCES Lucie CHAMBLAIN 27 septembre 07 MARIAGES

Emilie GUAY Océane DUCATEZ septembre 07 2.9 septembre 07 17 septembre 07 Adam LAPRAZ

Sarah Noah LEGALL JeanCHRISTEN et 28 septembre 07 MARTIN--QUEL LARD

18 septembre 07 Jérémy CABON Al ix OTTO 11 septembre 07 Alia AIBIBAOUEN 29 septembre 07 Bilai KAJOUT 19 septembre 07 Anaïs DESNOUES Noémie BECAMEL Ethan JOUBERT 02. octobre 07 DECES Laura ANTONIO 2.0 septembre 07 Ahmed LARBI-REZIC Sacha DARCEL 12. septembre 07

12. septembre 07 Cl~ment TISON Clément DENIAUD Valérie HOUE épouse Nisanur ASCI Ander LONAY

Demba DIA 2.1 septembre 07 03 octobre 07 ANGHO

13 septembre 07 Cillian MEUNIER Adame SOUMAORO 16 septembre 07

Mehdi HADDAD Mehran Alexis BEDU Alain BEMBARON

Corentin MIR DERIKVAND 04 octobre 07 17 septembre 07

BRACOU--DELLOYE Paulette MICHEL veu-

14 septembre 07 2.5 septembre 07 Maxence BARBE ve DENIEL Emma ACHARD Marie MAISONNEUVE 2.1 septembre 07 Nathan SILIPHAYBOUNE 2.6 septembre 07 o6 octobre 07

1S septembre 07 Daniel BODECOT Angelina Elisa SECHET 02. octobre 07 Louise WARSCHAWSZKI oB octobre 07

GHEZALI--SCHIEB Aurélie ANDRIEU

16 septembre 07 Amir KILOULI Valentin CHARTON 11 octobre 07

David LAMPE Louise VAN DAMME Christian JOLY

Si vous ne souhaitez pas que des informations d'état-civil vous concernant apparaissent dans cette rubrique, contacter L 'ignymontain au : 01 39 30 31 31 ou mel : journal@montigny78.fr.

collecte sélective des déchets ménagers

QUARTIERS

ORDURES M~NAGËRES

EMBALlAGES JOURNAUX/MAGAZINES

QUARTIERS

ENCOMBRANTS 1 fois par mois

DÉCHETS TOXIQUES

GRAVATS DÉCHETS VERTS

Pas du Lac Plan de Troux Le Village La Sou rd erie St Quentin Plan de l 'Egli se Le Manet Les Prés

mardi lundi mardi lundi samedi vendredi samedi vendredi

jeudi mercredi jeudi mercredi

Les Prés Pas du Lac Plan de Troux Le Village Le Manet La Sourderie St Quentin Plan de l'Eglise

mardi 06 mercredi 07 jeudi 08 mercredi 21 jeudi 15 jeudi 29 novembre novembre novembre novembre novembre novembre

Collectes : le 3' samedi de chaque mois de 9h à 13h place Etienne Marcel, quartier St Quen­tin, le 3' mardi de chaque mois de 15h à 16h rue des Mouettes, quartier Pas du Lac et de 16h15 à 19h place Jacques Cœur, quartier la Sourderie.

Une déchetterie près des Ateliers municipaux (5, avenue du Parc dans la zone de l'Obser­vatoire) est ouverture les samedis de 14h à 19h et les dimanches de 16h à 19h, !usqu'ay 2.5 novembre. Justificatif de domicile demandé. RESERVEE AUX PARTICULIERS

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Animateur, une vocation et un métier de terrain

La ville emploie plus de 120 animateurs, parmi lesquels une centaine rattachée au service Scolaire et une quinzaine détachée au .service Jeunesse-Vie des quartiers, qui sont en contact permanent avec le public ignyruontain dans les écoles, les accueils de loisirs et les maisons de quartiers. Parmi les premiers interlocuteurs avec les habitants, les animateurs exercent un métier de ter­rain. Dans les 32 écoles de la ville, ils consti­tuent les premiers agents d'accueil de vos enfants, dès 7h3o, et les retrouvent à la fin de la classe pour assurer l'accueil périsco­laire jusqu'à wh. Les animateurs effec­tuent donc la transition entre l'école et la maison et sont également les premiers as­sociés aux événements de la ville comme la Cavalcade ou la Semaine du Handicap, qui constituent des thèmes porteurs de leurs activités. A raison d'une équipe d'anima­teurs pour chacune des 32 écoles de la v ille, les besoins en effectifs sont considérëjbles, dans la mesure où l'accueil périscolaire a concerné un totale de près de 2ooooo ac­cueils ·en 2006, et alors que la restauration scolaire attire près de 8o% des 4500 en­fants scolarisés. En perpétuelle mouvance, à l'image du métier d'ailleurs, le secteur de l'animation fait pÇJrtie des secteurs pour­voyeurs d'emplois.

Un métier aux multiples facettes Comme son nom l'ind ique, l'animation est loin de s'associer à la garderie d'enfants. Bien au contraire, les missions de l'anima­teur sont multiples, et les qualités dont il doit savoir faire preuve également ... Pour animer un groupe, outre le fait de s'adap­ter aux différents publics, l'animateur doit mettre en place des projets capables de ré­pondre aux besoins et à la demande des participants. Energie, dynamisme et impli­cation sont donc essentiels à l'aboutisse­ment de ces projets, de même qu'un esprit à la fois créatif et pratique. Très enrichis­sant par la diversité et les relations hu-

Les directeurs des accueils de loisirs coordonnent leur travaux et leurs missions chaque semaine.

·~

L'animation est un métier qui se pratique dans les accueils de loisirs périscolaires les jours d'école, mais aussi les mercredis et pendant les vacances soc/aires. La ville emploie également des étudiants pour les études surveillées chaque soir d'école de 7 7h à 7 Bh.

maines qu'il induit, le métier est aussi ré­puté pour être très prenant car l'animateur est un véritable moteur. En permanence, il est sur le terrain, réactif, à l'écoute du pu­blic. Il est responsable de sa sécurité, un en­jeu de plus en plus important dans le mé­tier contraint par des réglementations de plus en plus importantes.

Des missions très variées Educateur, l'animateur a également un rô­le de transmission. Notions d'hygiène lors­qu'il encadre le temps de restauration, res­pect d'autrui, la diplomatie fait aussi partie de ses activités. Aux missions d'animation et d'éducation s'ajoutent les missions de relais d'information entre la municipalité et le public, de gestionnaire et de commu­nicant, car l'animateur est responsable de la gestion du matériel, de l'émission des documents administratifs, ainsi que de la présentation et de la promotion inhérentes aux projets. On peut comprendre alors que la formation fasse partie intégrante de la vie des animateurs déjà diplômés, et que les titres types BAFA, BAFD, BEPJEPS, BEA TEP, DEFA, BAPAAT et autres spéciali­sations se multiplient. Retrouvez très prochainement le détail des missions et des équipes d'animation sur le site internet de la ville.

Comme Myrtha ci-dessus lors de la semaine du Handicap, les animateurs proposent aux en­fants des activités autour de thèmes sportifs, cul­turels ou citoyens, sur un principe ludique.

Un secteur où la ville recrute Le repas· est un moment important de la journée de l'enfant, mais aussi un temps de travail néces­saire à Simon dans son rôle d'animateur dans le centre pendant les vacances.

On l'a vu, l'animation constitue un secteur d'emplois non négligeable pour la munici­palité où le recrutement et les besoins en effectifs sont importants. Outre les titu­laires qui forment le pilier de l'animation sur la ville, le métier, qui par nature im­plique des plages horaires de travail très étendues, une nécessité de présence sur le terrain et une capacité d'adaptation aux besoins, induit également l'emploi de vaca­taires, indispensables pour soutenir les équipes en place. Si l'animation reste tou­jours une vocation, elle peut également constituer une activité complémentaire et ponctuelle, pour faire traverser les enfants aux abords des écoles ou encadrer la res­tauration par exemple. Actuellement, le service Scolaire cherche à recruter une di­zaine de surveillants d'études. Les candida­tures sont ouvertes aux lgnymontains et étudiants de la faculté de Saint-Quentin, ti­tulaires du baccalauréat et âgés de 18 ans au moins. Pour une vacation horaire nette de 13,75€ de l'heure, ils auront pour mis­sion de surveiller les études, de 17h à 18h, du lundi au vendredi (sauf mercredi) dans

Dans tous les domaines de l'animation, la ville recrute des candidats titulaires au minimum du BAFA, et du bac pour les études surveillées.

les écoles de la ville. Rens. au 01 39 30 30 62.

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Grâce à l'écran tactile du système informatique Agora que les parents activent eux-mêmes à l'ar­rivée de leur enfant, Anne et les services adminis­tratifs des accueils de loisirs supervisent en temps réelles effectifs du jour.

Etre candidat Adressez un courrier de motivation et un CV au maire Michel Laugier. Votre deman­de sera examinée rapidement par la Direc­tion des Ressources Humaines.

Renseignement : 01 39 30 30 62.

A retenir ce mo1s-c1

Reprise des réunions publiques

avec le maire

Après lè Plan de l'Eglise et le Plan de Tro.ux, le maire et sa municipalité tiendront une série de réunions pu­bliques dans tous les autres quartiers dans les prochaines semaines.

Le calendrier en page 9

Commémoration du 11 novembre

La municipalité et l'Union Nationale des Combattants de Montigny vous appellent au souvenir de la Grande Guerre pour la cérémonie tradition­nelle le dimanche 11. Les élèves de sept classes des écoles élémentaires donneront toute sa dimension chorale à l'évènement.

A retrouver en page 9

La photo mérite une biennale

La Biennale photographique de Saint­Quentin, ctst une appellation avec la­quelle vous allez vous familiariser, éest surtout un nouvel évènement culturel qui prend toute sa dimension à Montigny dès sa création en exp.o­sant Willy Ronis et Gérard Vandystadt. Aportir.du 12 novembre.

A retrouver en page 12

La 4e semaine du Handicap : une

, . energ1e

Vous retrouvez dans œ numéto, dons nos diffi11ntes rubrlquet des œmptes-rendus 4e la 4' Semaine du Handicap qui (1 essaimé ses rendez­rous du 8 au .4 octobre, tout (lUtant sur Jo scène culturelle, sportive, scolai­re et sociale.

L'i

En Bref Les bach~liers 2007 Bien et Très bien reçus en mairie

Prochaine collecte de sang mercredi 7

La barre des 100 est franchie La prochaine collecte de sang, organisée pa"r J'Etablissement Français du Sang, aura lieu le mercredi 7 novembre de 15h30 à 19h30 près de la halle de Monti­gny,dans le véhicule de prélèvements stationné Boulevard Vauban (devant le magasin Bricorama).

Inscriptions sur les listes électorales

Si vous n'êtes pas inscrits sur les listes électorales à Montigny, vous avez jus­qu'à la fin de l'année 2007 pour faire la formalité auprès du service Election en mairie. Les électeurs seront en effet convoqués aux urnes en 2008 les 9 et 16 mars prochains, dates désormais offi­cielles des élections municipales et can­tonales.

Toussaint: des activités dans les

maisons de quartiers Les maisons de quartiers Jouvet et Mal­raux proposent leurs activités quoti­diennes pour les 11/13 ans et pour les 14/17 ans pendant les vacances. Ateliers, tournois sportifs (ping-pong, badmin­ton, tennis ballon ... ) ou ludiques (quizz, playstation, billard ... ), sorties laser­quest, patinoire, observatoire astrono­mique ou même chasse au trésor dans le bois du Manet, il y en a, pour tous_ le-s goûts. La MQ Matiss·e fêtera pour. sa part Halloween le mercredi 31 octobre, avec un défilé' et une soirée. Pour en sa.voir plus, contactez· le service Vies de quartiers 01 39 30 30 70.

L'édition 2007 de la cérémonie de récom­pense des bacheliers lauréats, ayant obtenu une mention Bien ou Très bien à l'examen, a dépassé le nombre symbolique de 100 parti­cipants. Les jeunes et brillants lgnymon­tains ont été reçus le s octobre dernier à l'Hôtel de ville pour recevoir les félicitations du maire, Michel Laugier, et de son adjointe déléguée à l'Enseignement, Suzanne Blanc, accompagnées d'une gratification sous for­me de bons d'achat. Le moment s'est parta­gé en famille, sous le regard évidemment très fier des parents. "Je vous félicite pour votre réussite et je souhaite profiter de l'oc­casion pour rendre également hommage aux parents ainsi qu'aux enseignants dont la

850 visiteurs au 6e Marché de l'Art du lion's Club

Le Salon des Arts a drainé plus de 8so visi­teurs, les 6 et 7 octobre derniers dans la salle de la Grange à la Ferme du Manet, l'occasion pour le Lion's Club, qui organi­sait la manifestation, de récolter plus d'un millier d'euros pour la lutte et la prise en compte de la maladie d'Alzheimer. Légè­rement moins fréquentée qu'à l'accoutu­mée, cette sixième édition s'est néan­moins caractérisée par une plus grande di­versité, et une toute nouvelle interactivité avec le public d'abord, mais également entre les artistes. "Nous avons souhaité que le Salon des Arts propose une véri­table démarche participative pour susciter la curiosité et l'intérêt artistique du public afin de promouvoir les arts", explique Pa­trice Legay, responsable de l'organisation. Les ateliers d'i nitiation se sont multipliés, en particulier le dimanche, un moyen pour les petits et les grands de toucher au mon­de de l'art. Poterie, gravure, aquarelle chi­noise, les ateliers ont séduit nombre de vi­siteurs, en particulier les plus jeunes. Point d'orgue de ce week-end interactif, la soi-

rée d'improvisation collective le samedi soir a réuni une cinquantaine de per­sonnes. La synergie entre les arts, entre les artistes et le public a permis de c:réer 21 toiles dont la vente aux enchères s'est des­tinée à la création d'un dispensaire au Ca­meroun, une action soutenue par le Léo Club.

60 artistes, 1000 œuvres Diversité des styles, des matières, des am­biances, les visiteurs ont pu découvrir un panel de techniques parmi les peintres, les créateurs de bijoux, les potiers, mosaïstes, artistes verriers, sculpteurs et artisans res­taurateurs. Particulièrement coloré et va­rié, ce sixième salon des Arts a su trouver sa place dans ce lieu empli d'histoire et de charme. "J'ai été surprise par ce lieu ma­gnifique qui suscite en partie le côté cha­leureux du Salon et l'envie d'inviter au voyage", a déclaré Marie-Goya, mosaïste au Chesnay. Outre les perspectives sur toi­le, le salon s'est également attaché à la promotion des métiers d'art en présence de la SEMA, la Société d'encouragement aux métiers d'art qui a donné une confé­rence sur le mécénat et présentait 13 de ses artistes débutants. "La SEMA aide les artistes à s'installer et à créer une vitrine pour s'exposer et vivre de leur art. C'est pourquoi nous avons souhaité soutenir ce salon qui permet de mettre les artistes en contact d'une clientèle diversifiée", a re­marqué François Azuelos, consultant dé­taché à la SEMA.

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qualité bénéficie tout au long de l'année aux établissements de la ville", a déclaré le mai­re de Montigny.

Un bon début ... Les élèves des quatre lycées de la ville et des lycées réputés alentours, qui se retrou­vaient pour l'occasion en compagnie des re­présentants de leurs anciens établissements, ont partagé leurs impressions de rentrée et discuté sur les orientations méritoires de chacun. "Il est important de mettre en va­leur la réussite des jeunes dont on ne parle pas assez souvent à mon avis", a souligné Hervé Lebret, responsable de I'IFA Deloro­zoy. "C'est une cérémonie beaucoup plus conviviale et moins protocolaire que je ne l'aurais pensé. Un bon moyen pour donner envie de poursuivre ses efforts", a remarqué Caroline Marchesseau, bachelière mention Très bien au Bac Techniques de la musique et de la danse. Issus de l'enseignement gé­néral et technique, les bacheliers présents ont apprécié le geste récompensant le tra­vail accompli, mais les 25 bacheliers ayant obtenu une mention Très Bien et les 76 mentionnés Bien ont bien compris que ce beau résultat constitue un sésame dans la poursuite d'un parcours intéressant. Désor­mais étudiants, ils ont eu le choix de la filiè­re grâce à leurs efforts, mais certains n'ont pu se déplacer, déjà absorbés par. le rythme des classes préparatoires et des grandes écoles qu 'ils ont intégrées. C'est à Montigny que certains ont d'ailleurs entamé leur pre­mière année de faculté de médecine, dans les préfabriqués situés sur le boulevard d'Alembert, en attendant la construction du bâtiment de I'UFR médical de Paris Ouest prévue pour 2008 sur le terrain en face de SQY Ouest. Une installation qui s'ajoute aux cursus supérieurs déjà proposés sur la ville, et que Michel Laugier souhaiterait voir complétée par l'accueil d'une classe prépara­toire.

Mention Très Bien Nathanaël Barrot, Philippe-Henri Blais, Mélis­sa Bossou, France Busson, Christophe Fau­quet, Pierre Ferry, Rémi Gerboud, Elsa Gra­tieux, Hélène Guéry, Benjamin Hamon, Yann Kerros, Clémentine Le Guennic, Maud Lilette, Lucile Maillard, Caroline Marchesseau, Alexandre Michel, Astrid Nora, Charlotte Pay­ra rd, Aurélie Pellicer, Elsa Perquis, Marie Pe­tit-Pas, Lucie Pollin, Blanche Rouyer, Philippe Schaechtelin, Lucie Trocherie.

Mention Bien Azzédine Affi, Leila Aziz, Lucie Bazzoni, Flo­rent Béjina, Aymeric Bescos, Nathalie Blain, Carine Bomer, Nolwenn Boucher, Christophe Boulloud, Thomas Bouveret, Barbara Calas,

Christelle Camus, Aurore Carincotte, Sarah Cherif Messadoui, Lauriane Chesnel, Julie Che­val, Flavien Collard-Bovy, Thomas Conéjéro, Kévin Daulnay, Manon De Burghgrave, Flo­rian De Mortain, Sébastien Decaro, Guillaume Doray, Bastien Dubuc, Ornella Fondop, Em­manuelle Gallet, Jonathan Gary, Elie Gédéon, Mathias Gernez, Antonin Gombert, Anaïs Gontier, Marion Grébert, Hélène Guérineau, Claire Guyondet, Olivier Heimfert, Thibault Herg,at, Emili~ Higashiyama, Jérôme Holdri­net/ Sandrine 'journeau, Arthur Juin, Floriane Lacour, Stéphane Ladevie, Cécile Lavergne, Diane Lecerf, Marie Lurson, Tony Maillot, Dé­borah Mendes, Hélène Merlet, Martin Mérou­ze, Elise Mollard, Lucile Montesse, Tho:mas Morel, Hong-Linh Ngo, Morgane, Olek,)imo­thée Pélerin, Sébastien Philippe, Clafre- Plan­tet, Camille Racoua, Nicolas Resplandy, Guillaume Richard-Pinet, François Royal/ Ra­phaële Sabathié, Emmanuel Sanchez, "{udlle Signoret, Matthieu Théron, Alexandre Tor­bay, Nithiya Ung, Héloïse Valette, Marc-An­toine Vas.chetti, Marie-Joe Vincent Yoganaya­ham, Carine Vintras, Séverine Vuillemin, Bru­no Xu, Aude Zerbini, Elyssa Zérelli, Matthieu Zienkiewicz.

L'institut japonais pense à sa ville

Le directeur de l'institut culturel franco­japonais Shinichi Seiji accompagnait en mairie madame Naoko Oshima, parente d'élève déléguée, le 15 octobre, pour venir offrir à la municipalité une partie des re­cettes de la brocante annuelle de l'établi.s­sement, au profit des oeuvres sociales de la ville. C'est une coutume que ce geste en faveur de sa ville de résidence pour cet unique établissement scolaire nippon, qui est basé depuis 1990 au Pas du Lac (rue J.­P. Timbaud) et accueille 207 jeunes élèves japonais de toute la région francilienne (dont une trentaine réside à Montigny). "Nous sommes très sensibles à ce geste qui va nous permettre de renforcer notre politique en faveur du handicap", a re­mercié le maire, reconnaissant néanmoins que la France n'arrive pas au niveau du Ja­pon sur ce plan.

L'actualité L'i n montain www.monti n 78.fr NOVI:MI{H[ 200/

La 4e Semaine du handicap, toujours plus loin dans l'ambition

Les centres de loisirs au ban d'essai

L~dition de la maturité. La .f Semaine du Handicap s~st pleinement inscrite dans le calendrier des évènements ignymontalns. Riche d'événements et de rencontres, la qua- · trième Semaine du handicap, qui s'est dérou­lée du 8 au 14 octobre sur les différents équi­pements de la ville, s'est achevée sur un bilan très positif. "Nous avons vécu des temps d'échange très riches, un week-end sportif 'extraordinaire en présence de nombreux par­ticipants. Cette quatrième semaine a été 1,me grande réussite du point de vue de la mobili­sation du public, et je crois que les moments de partage et de découverte commencent en-

Dans les accueils et les centres de loisirs, on pei­gnait avec les pieds, avec la bouche. un·exerci­ce plus réjouissant qu'efficace ...

Emploi : MDE maitre des débats

~ll'l)l<,O!:jV ri r !a voie à un nouveau regard sur le handicàp", a souligné Marie-Noëlle Thareau, élue déléguée à l'Action Sociale. Tout au long de la semaine, les rendez-vous se sont multi-

. pliés·. A travers le sport, la culture, les débats ,sur l'emploi, le dialogue s'est instauré sur le th~e du handicap pour mieux faire com­pre'ridre ses problématiques. Valides et per­sonnes en situation de handicap ont partagé leurs activités l'espace de cette semaine, des rencontres qui ont permis d'aborder le handi­cap sous toutes ses formes, qu'il soit senso-

Jouer au foot sans les yeux, c'était l'un des ateliers proposés aux élèves des écoles de Montigny par les animateurs de la direction des Sports pendant la Semaine du Handiap .

Associations et personnalités réunies

Comme chaque année, les associations locales ou nationales et les personnalités se sont asso­ciées à la semaine du Handicap, comme lors du challenge Handigrimpe le dimanche 14 octobre, disputé sous la houlette de CIEL et de Philippe Ri­bière (à droite au côté de Rémi Julienne le casca­deur), ou Handibudo a proposé une démonstra­tion. On a pu aussi croiser Robert Hossein ou Paul-Loup Sulitzer au centre Coubertin.

riel, moteur, psychique ou l')lental, et de nouer des contacts qui restent encore trop rares.

Ouvrir une fenêtre sur le handicap Tel était l'objectif essentiel de la Semaine du handicap, qui s'est attachée à illustrer le quo­tidien des personnes en situation de handicap à travers des initiations, des conférences dé­bats et des témoignages divers, afin de per­mettre aux personnes valides de comprendre l'importance d'une prise en compte collective du handicap. Loin de la leçon morale et ci­toyenne, cette semaine s'est déroulée sur le mode du partage et de la rencontre avec au­trui, laissant une place à l'échange humain véritablement porteur de changements. "L'exposition Personimages a constitué l'un des temps forts de la semaine, car au-delà des tableaux qui ont laissé transparaître toute la créativité des personnes en situation de han­dicap, elle a permis d'ouvrir une fenêtre sur leur univers quotidien", a remarqué Marie­Noëlle Thareau.

Une semaine de la diversité En présence de l'association Handivol dédiée à l'information sur la sexualité auprès des jeunes adultes handicapés, la semaine a per­mis de lever quelques tabous. "Il existe un manque évident d'informations sur le sujet. Ce type d'événement qui prône la mixité est donc essentiel", remarquait Fabrice Selly,

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Sébastien Proyart : en quête de nouveaux défis

1 L'association Médias Handicaps est à l'ima-1 ge de son fondateur et président Sébastien i Proyart, jeune habitant du quartier de ! Saint-Quentin. Elle se mobilise et multiplie i les actions pour faire changer les mentali-1 tés et développer l'accès des personnes j handicapées aux médias. C'est d'ailleurs i grâce à son enthousiasme et à sa volonté ! que Sébastien a su, rallier nombre de par­I rains célèbres à sa cause. Défis sportifs, ac­J tions politiques, il se bat sur tous les fronts ! "et essaie d'agir à son petit niveau" comme 1 il le rappelle. En juin, son action auprès des 1 étudiants de l'école nationale des techni-;

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1

1

! l;Ufl,_.c!é(i parmi d'autres, Sébastien Proyart (ici au f âépart dvec des supporters) a parcouru 9 kilo­! mètres au centre aquatique en recevant beau-1 coup d'encouragements.

ciens de l'équipement a été relayée par le ! journal de Patrick Poivre d'Arvor. "Une sen- 1

sibilisation efficace passe par une confron- 1

tation directe des personnes valides au han- i dicap, afin qu'elles puissent réellement me- i su rer les difficultés. C'est un projet que j'ai- · merais beaucoup réaliser avec les ministres par exemple ! ", L'opération s'est révélée pertinente pour les futurs ingénieurs et chefs de projets de l'accessibilité, des ad mi- i nistrations publiques ou de la voirie qui ont i eu une réelle prise de conscience en situa- ! tion de handicap. Pour cette 4' Semaine du J

handicap, c'est un défi plus personnel qu'il a 1

souhaité relever, encouragé par le célèbre 1

cascadeur Rémy Julienne venu au Centre ! aquatique du Lac. Il a parcouru 9 kilo- i mètres à la nage, soit 360 longueurs de bas- 1

sin durant près de six heures de nage. "Je ne 1

suis pas le porte parole du handicap, j'avais 1

juste envie de me dépasser. C'est d'autant 1

mieux si ce record personnel devient un re- i cord collectif". Avant de fêter dignement J

les trois ans de l'association, il espère mener J

à bien un projet qui lui tient à cœur : ! convaincre un éd iteur de publ ier son pre- i mier roman autobiographique. 1

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président fondateur de l'association. Le week-end de clôture, hautement sportif, a su rallier un grand nombre d'lgn-rmontains, et de personnalités puisque Robert Hossein et Paul-Loup Sulitzer, parrains mobilisés de l'as­sociation Médias Handicaps avaient fait le déplacement au centre Coubertin. La jeunes­se était également au rendez-vous, avec le CMJ qui a récolté 374 empreintes de mains sur une fresque solidaire, soit 748€ au profit de l'Association française sur la recherche pour la trisomie 21. Fortement suivie par les écoles de la ville, la manifestation s'est ache­vée avec les élèves poètes de l'école Paul Fort qui ont décliné leur regard sur le handicap en vers. "A l'image de cette semaine du handicap qui se pérennise et se diversifie, nous allons faire en sorte que l'évolution sur le handicap soit encore plus forte dans les années à ve­nir", a déclaré Régis Ha rel, joueur de l'équipe de France de tennis handisport. "Rendez­vous pour la cinquième Semaine du handicap pour relever de nouveaux défis, aller plus loin dans nos ambitions et nos engagements", a conclu le maire, Michel Laugier.

Ed et sa bande pour les élèves de CM 1

Sans tabou ni victimisation, Ed et sa bande de co­pains vivent de plain pied et au quotidien les affres de la différence. Leurs aventures en bande dessinée constituent un excellent vecteur pour diffuser le message de la Semaine du Handicap. Tous les élèves de CM 1 en ont donc reçu un exem­plaire de la part de la municipalité.

Avec deux conférences au programme, le servi­ce MDE a mobilisé partenaires et entrepises afin de répondre à un manque d'information sur l'emploi des personnes handicapées.

Personimages exposait en mairie

Les tableaux réalisés par les artistes handica­pés mentaux de l'atelier personimages se sont exposés tout au long de la semaine à l'Hôtel de ville. L'occasion de pouvoir admirer leur créati­vité et de pénétrer leur quotidien.

Des marionnettes à SQV Ouest

"Les copains d' abordw interprétés par l'associa­tion Handicap et libertés abordaient le handi­cap à travers l'amitié pour le jeune public.

Une école handisport ouvre en novembre à Montigny

C'est au gymnase Rivière, que la première école handisport pour les jeunes va ouvrir ses portes dès la rentrée des vacances de la Toussaint, une avancée significative pour le département qui sera ainsi en mesure d'offrir le nouvelles possibilités aux jeunes en situation de handicap. Financée par le Conseil Général des Yvelines et rattachée à la Fédération Française Handisport, l'école, encadrée par Marc Bachelet, éducateur sportif handisport, accueillera les jeunes les samedis de 14h à 16h, afin de leur pro-

poser une multitude d'activités. Basket fauteuil , tennis, badminton, sarbacane, boccia ou pétanque adaptée, initiation au rugby, l'ouverture de l'école fait suite au développement d'une section handivoile désormais accessible à la base de Loisirs. "On constate une évolution régulière dans le choix et l'accessibilité aux activités, no­tamment dans le domaine du sport loisir", confirme Dan iel Blanchet représentant du Comité Handisport Yvelines. Rens au o6 19 74 87 61.

Retrouvez le Challenge Handi-grimpe en page 7 5

L'actualité

En Bref Chiens de catégo­ries 1 et 2 : pensez

à les déclarer

La ville en grand angle pour les nouveaux habitants

A la lumière des récents cas de morsures de chiens intervenus un peu partout en France, nous vous rappelons que l'arrê­té préfectoral DR 94-023 prévoit l'obli­gation de museler et de tenir en laisse sur Ja voie publique les chiens de caté­gorie 1 et 2 : Pitt Bull, Bull Terrier, Staf­ford Bull Terrier, American Stafford Shi­re Bull Terrier, Tosa, Rottweiller, ou chiens issus de leur croisement. Si vous possédez un ch ien d'une de ces races, il doit . obligatoirement être déclaré en mairie.

Semaine du jeu de société du 9 au 17

Du 9 au 17 novembre, la ludothèque municipale vivra à l'heure de la Semaine du jeu de société. Mercredi 14, vendredi 16 et samedi 17 en après-midi, le grand public pourra venir librement tester des jeux originaux. Les associations seront aussi de la partie. Le samedi 10 no­vembre, Queimada prop'bsera un tour­noi-démonstration de cartes Magic. Le club d'échecs la Dame Noire et le club

- de jeux de rôle Les Tisseurs de Chimères s'associeront également à ce rendez­vous. Rens. : Ludothèque "Jeux, tu, ils"' au 01 30 43 3D-17.

L'Hôtel de ville durant les vacances Pendant les vacances de la Toussaint, l'Hôtel de ville sera fermé le vendredi 2 novembre et fermera exceptionnelle­ment à 17h15 plutôt que 20h les mardi 30 octobre et 6 novembre.

Répartis dans deux cars au départ de l'Hô­tel de ville, plus de soixante nouveaux arri­vants ont visité la ville, le samedi 13 oc­tobre dernier. Tous ont salué l'accueil cha­leureux qui leur était réservé et montré un vif intérêt pour la balade qui leur a donné l'occasion de découvrir la ville, son histoire et ses services, d'aller à la rencontre de leurs élus, mais aussi de faire connaissance avec leurs VE>isins, puisque chaque visiteur portait le badge de son quartier de résiden­ce. Commenté par les élus et conseillers de quartier, l'itinéraire a sillonné les neuf quartiers de la ville en passant devant l'église Saint-Martin, le centre sportif Pier­re de Coubertin ou encore la Maison de la Réussite. Trois arrêts stratégiques à la Fer­me du Manet, au Conservatoire des Arts, à la Mlj, au Cyber's'pace et au Centre aqua­tique du Lac ont permis aux nouveaux ha­bitants de découvrir ces équipements re­présentatifs du sport, de la culture et des services proposés par la ville. "Nous organi ­sons chaque année ce tour de la ville pour vous permëttre de découvrir l'histoire de votre ville et les possibilités qu 'elle offre. Cette première rencontre est à l'image d'une volonté forte de faire vivre une véri­table démocratie participative, de créer des

La visite en détails de la Ferme du Manet, ici en plein montage des décors de la pièce "Toc toc" donnée le soir, est toujours un moment riche de surprises et de perspectives.

La faculté de médecine pose ses premiers jalons

L'université de Versailles-Saint-Quentin n'en finit pas de prospérer et croître, en terme d'effectifs comme en terme d'ensei­gnements prodigués. Les étudiants en mé­decine viennent donc s'y agréger, et déser­tent progressivement leurs locaux initiaux situés à Garches. Un pas significatif est réa­lisé en cette rentrée avec l'arrivée des étu­diants de 2' et 3' année dans des locaux provisoires en bordure du boulevard D'Alembert (côté Guyancourt), mais aussi des services administratifs de I'U FR avec à leur tête Alain Baglin le doyen. Le gros des troupes débarque progressivement, dans le sillage des étudiants de 1"' année présents en avant-garde dans les locaux du bâti­ment d'Aiembert depuis 2005.

Pour Sylvie Faucheux, "il manque plus qu'un CHU sur le territoire" Le 4 octobre, les élus étaient aux côtés de Sylvie Faucheux, la présidente de l'univer­sité, pour officialiser cette arrivée et bapti­ser I'UFR du nom de François Rabelais . Les locaux provisoires devraient disparaître du paysage en 2010, lorsque I'U FR intègrera son propre établissement flambant neuf de 140oom' face au complexe commercial SQY Ouest. "Notre université regarde vers demain. Cet UFR médicale sera la seule fa­culté de médecine sur le périmètre de la fu­ture OIN (Opération d'Intérêt National)

voulUe par l'Etat sur le territoire Versailles­Saint-Quentin-Saclay-Massy dans le cadre de son plan national de développement de pôles de compétitivité", constate Sylvie Faucheux, qui précise encore qu'une quin­zaine de laboratoires de recherche axés sur la santé et l'environnement, essaimés pour l'instant sur toute la région parisienne, s'installeront également dans les futurs lo­caux de I'UFR. " Il ne manquerait plus qu'un CHU (Centre Hospitalier et Universitaire) sur notre territoire", se prête à rêver la pré­sidente. La proposition aura au moins le mérite de rejoindre celle que les élus de l'agglomération portent avec une tenace unanimité depuis l'émergence de la ville nouvelle, mais qui du côté de l'Etat s'appa­rente· plutôt à un voeu pieux.

L'UFR médicale Paris-/le-de-France, inaugurée le mois dernier, est provisoirement installée boule­vard d'Alembert avant d'intégrer son propre éta­blissement face à SQY Ouest à l'horizon 20 7 O.

Les nouveaux lgnymontains ont pu découvrir l'un des derniers établissements ouverts par la ville, le cyb'Air space santé, situé parvis des Sources au quartier Saint-Quentin.

occasions de rencontre qui nous permet­tent d'être à l'écoute de vos attentes", a dé­claré le maire, Michel Laugier. Autour d'un buffet cocktail convivial, la visite achevée a permis l'intégration réussie des nouveaux habitants, fidèle au slogan "La ville qui vous va bien".

Tania, 79 ans, quartier la Sourderie-Sud "Je suis installée de­puis peu. C'est l'oc­casion de prendre connaissance des possibilités qui nous sont offertes sur la ville. J'ai trouvé ce petit tour à la fois instructif et très agréable aussi ".

Estelle, 24 ans et Benoît, 26 ans, quartier le Manet

"On a découvert la ville avec les agents im­mobiliers et on a vite compris qu'il était très facile de se perdre en ville nouvelle. Cette visite nous aura permis de mieux nous orienter et de situer les équipements disséminés dans les différents quartiers de la ville. Elle a également conforté notre dé­cision puisque nous avions choisi Montigny

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Ouvertures de cabinets médicaux

Le conseil départemental de l'Ordre des Médecins annonce que le docteur Sylvie Tiano est autorisé à exercer la mésothéra­pie ( un traitement médical consistant à ad­ministrer des médicaments par micro-injec­t ions dans la peau) et ouvrir son cabinet au 45, avenue du Centre, depu is le 1" octobre. Tél. : 01 30 64 oo 10.

De même, Emilie Chaussivert, osthéopathe D.O., vous fait part de l'ouverture de son cabinet au 45, avenue du Centre. Tél. : 01 30 6o 97 46.

pour ses transports, son dynamisme et sa qualité de vie".

Emilie, 27 ans, Jérémy, 28 ans, quartier Saint-Quentin

"Nous arrivons de Lille suite à des change­ments professionnels. Nous ne connais­sions rien, à part le trajet de la gare à la maison, donc nous avons beaucoup appré­cié la visite. Nous avions peur de ne pas re­trouver l'animation et les services dont nous profitions à Lille, mais nous avons dé­couvert tout le potentiel de Montigny, no­tamment en termes de choix d'activités culturelles et sportives. Nous adorons ! ".

Maryse, 42 ans, Gilles, 46 ans, quartier le Plan de Troux

Originaire de Haute-Savoie, le couple a mi­gré pour des raisons professionnelles égale­ment et, petite originalité, choisi la ville en étudiant leur arrivée par le biais d'internet. " Nous avions un peu peur de ne pas nous sentir bien en région parisienne. Débar­quant d'un petit village d'une trenta ine d'habitants, on cherchait avant tout une ville qui nous offre un air de campagne et des espaces verts. Nous avons été charmés par Montigny, et découvert toutes les com­modités dont on pouvait profiter. Aujour­d'hui, nous n'avons plus qu 'un véhicule par­ce qu 'on peut tout faire à vélo ! Vraiment, on reçoit un accueil formidable, par un maire qui semble très attaché à la préser­vation de la ville".

Au Conseil municipal du 22 octobre

L'ordre du jour de la dernière séance du Conseil municipal, tenu le 22 octobre der­nier, appelait notamment au vote du bud­get supplémentaire pour l'exercice 2007, qui permet d'ajuster les crédits inscrits au budget primitif.

Le pôle de compétitivité en gestation 11E!' ~nséil municipal a donné son accord de principe sur la mise en place d'un Grou­pement d'intérêt public (GIP) pour l'opé­ration d'intérêt national (01 N) du territoi­re Massy, Palaiseau, Saclay Versailles et Saint-Quentin en Yvelines. Ce territoire a pour vocation de devenir l'un des pôles de compétitivité nationaux, axé sur la re­cherche scientifique. La ville est partie prenante dans ce GIP et siège dans le se­cond des trois collèges au titre de membre fondateur. Entérinant un décret de l'Etat du 5 janvier 2007 en matière d'urbanisme, le Conseil a voté l'institution d'un permis de démolir J?_(),~!" tous les travaux ayant pour objet de

_..,...démolir ou de rendre inutilisables tout ou partie d'une construction. Par ailleurs, la ville participe à l'élaboration à l'échelon • départemental d'une carte de bruit en

,participant aux frais à hauteur de 0,45€ ·~ ~ ··-. " :~Q.t' ~~ ,,-~·>-· -~ ..

Enfin; signalons encore que le Conseil a choisi de dénommer le parc situé au coeur de la ZAC Sud-Village du nom de square Calypso, pour faire écho au thème de l'eau dans les contes et les légendes, retenu pour ce nouveau quartier.

I:Hôtel des impôts a déménagé

L'Hôtel des impôts, qui vous accueillait jusque-là rue François Geoffre (derrière Promopole) pour les questions concer­nant vos dossiers d'imposition, a déména­gé depuis septembre au sein du nouvel Hôtel des finances, situé au 2 avenue du Centre, côté Guyancourt. Au printemps :ioo8, ' . ·üvèau bâtiment regr,oupera l'ensemble des services des impôts pour faciliter l'impôt aux 10753 entreprises et aux 117835 contribuables particuliers gé­rés par l'Hôtel des finances.

La Trésorerie Générale suivra au 1 .. janvier 2008 Dès le 10 septembre, les particuliers y se­ront accueillis pour les questions relatives à l'impôt sur le revenu et à la taxe d'habi­tation. Au 1 ... janvier 2008, la Trésorerie générale, actuellement située place Charles de Gaulle, suivra, offrant ainsi un accueil unique aux particuliers pour gérer et payer leurs impôts. Au printemps 2008, le regroupement sera total puisque l'Hôtel des finances se chargera égale­ment de la gestion de la taxe foncière et de la trésorerie d'amendes. Outre la sim­plification des services fiscaux, le nou­veau bâtiment, situé à proximité immé­diate de la gare, se veut plus accessible, aux personnes valides comme aux per­sonnes en situation de handicap moteur, aux malvoyants et malentendants pour qui l'accès du bâtiment a été spéciale­ment étudié. Vous y retrouverez égale­ment un service facilité grâce à l'installa­tion d'un gestionnaire de files d'attente et de bornes internet en libre accès. Hôtel des finances : 01 JO 48 24 oo.

L'i

Centenaire de l'association des maires de France En Bref · La mairie s'est mise en scène

par le jeu le 20 octobre Des activités pour les seniors avec le CCAS

A l'occasion de la célébration de son cente­naire, l'association des maires de France (AMF) donnait l'occasion aux habitants de découvrir leur municipalité, ses agents et ses missions, le 20 octobre dernier un peu par­tout en France. A Montigny, la ville a relayé l'opération toute l'après-midi depuis l'Hôtel de ville. Mariage et séance du Conseil Muni­cipal fictifs, rencontres et débats avec les élus, animations ludiques pour les plus jeunes, l'après-midi aura permis de mieux comprendre les fonctions municipales, ses enjeux aussi, et peut-être de susciter quelques vocation auprès des participants majoritairement jeunes. Entre les anima­tions qui ont illustré quelques-unes des prin­cipales missions municipales, un jeu de l'oie géant en 39 questions conçu par les anima­trices des accueils de loisirs, et un débat sur la prévention santé entre jeunes et élus ont fait partie des temps forts de l'après-midi.

Des rencontres interactives et ludiques pour les jeunes Avec la participation des membres du

Un débat argumenté a réuni des élus du municipal et jeunes lgnymontains.

Parmi les animations proposées pour mieux connaitres les usages de la collectivité, un jeu de l'oie géant avait été réalisé dans les accueils de loisirs des écoles.

Conseil Municipal des jeunes, la municipalité s'est laissée découvrir en 39 questions, une pour chaque élu du Conseil Municipal. Qui était le premier maire de la ville, comment s'adresser au CMJ, comment soumettre un projet, à travers ces questions pratiques, les élus et le maire Michel Laugier ont fait valoir l'importance de la démocratie participative et la notion de service public. Installé dans le hall d'entrée, le jeu servira également de support aux groupes scolaires et aux accueils de loisirs. "J'ai beaucoup appris", affirmaient Eline, 9 ans, et Emilie, 11 ans. Cette interacti­vité s'est également retrouvée dans le débat sur la prévention santé et lè rôle de la m-uni­cipalité sur cette question. Une ' poignée de jeunes ont échangé leurs idées et concep­tions de la prévention en présence du Doc­teur et élu Alain Junès, et de Bruno Angé­rant, responsable du Cyb'Air space. "C'est vraiment intéressant de comprendre com-

• ment les élus ont conç~ let,Jrs actions et com­ment on.'les perçoit", a-·éonclu Laurène âgée de 18 ans.

Le CCAS de Montigny le Bretonneux, pro­pose tout au long de l'année différentes actions en direction des Seniors de la Com­mune : sorties culturelles et conférences pour les 6o ans et plus ou pour les retrai­tés à partir de 56 ans, voyage culturel à l'étranger pour les 6o ans et plus ou pour les retraités à partir de 56 ans, repas ou co­lis gastronomique à Noël : pour les 65 ans et plus. Si vous souhaitez participer à ces anima­tions, inscrivez-vous auprès du CCAS : 66 rue de la Mare aux Carats, Mon­tigny le Bretonneux, Tél : 01 J9 JO JO 20.

Fabrique un cœur pour la Saint Valentin

L'Association Nationale des Cardiaques Congénitaux (I'ANCC) lance un grand concours au cœur pour la Saint Valentin puisque rappelons-le, la journée des amou­reux est aussi la journée mondiale des car­diopathies congénitales. Pour fêter cette

· journée et sensibiliser le plus grand nombre autour de ce handicap souvent méconnu qui touche de 6 à 8ooo nouveaux nés chaque année, l'AN CC, en partenariat avec le c~ntre communal d'action sociale (CCAS), ·invite donc les grands et les petits à réaliser un cœur. Paillettes, collages, poèmes, peintures, le concours est ouvert à toutes les techniques selon l'imagination de chacun, l'essentiel étant d'exprimer sa solidarité en ce jour du 14 février. Toutes les œuvres seront ensuite récompensées et exposées dans le courant du mois de février à l'Hôtel de ville.

Rens. au o6 8118 45 21.

Marostica a confirmé à domicile Pour symboliser une volonté commune d'échanges et d'amitié, une délégation igny­montaine s'est rendue à Marostica, du 28 au 30 septembre, afin de sceller le jumelage (déjà officialisé en juin dernier sur la ville) en terre italienne. Emmenée par le maire, Michel Laugier, la délégation d'une trentai­ne de personnes, parmi lesquelles les repré­sentants d'associations de l'AMI, du Lion's Club, de I'ASMB Foot et des Motards en. ba­lade, a reçu un accueil particulièrement cha­leuretJx, illustrant le réel désir de fa munici­palité de Marostica, et de son maire, Alcide Bertazzo, de nouer une union solide. "J'ai ressenti une véritable envie d'accueillir ce nouveau jumelage de la part de Marostica qui signe là son premier jumelage européen, et espère pouvoir développer de nombreux échanges grâce à cette proximité géogra­phique", a souligné Michel Laugier.

De nombreux échanges en perspective Durant le week-end, les représentants asso­ciatifs de la ville ont profité de l'occasion pour pôser les jalons de futurs échanges. Le programme concocté par les habitants de Marostica leur a également permis de dé­couvrir la ville et ses traditions. Tous ont chaussé les tennis le samedi matin pour gra­vir la colline de Marostica et y planter des ceps de vigne en l'honneur de cette nouvel­le entente franco-italienne, avant de profi­ter d'une petite dégustation en altitude, prélude aux plaisirs culinaires du voyage .. . Le soir, les associations avaient préparé un spectacle mêlant la danse, le chant et la mu­sique afin de présenter les arts et talents lo­caux qui font partie intégrante de la culture de Marostica, avant de laisser place au tra­ditionnel ballet des joueurs d'échecs. Cra­cheurs de feu, lancer de drapeau, illumina­tion du château, la soirée sur la piazza a su illustrer le patrimoine et le charme de cette

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La délégation ignymontaine a assisté au magnifique spectacle des lanceurs feu et ballet des joueurs d'échec sur la piazza de Marostica.

ville située à 8o kilomètres de Venise. Très symboliquement, la charte de jumelage s'est si­gnée le dimanche matin, en compagnie de Théodor Vul­tur, maire de Lunca, de Denis Teevan, maire de Wicklow, et des représentants de Kierspe, précédant la pose non moins emblématique du panneau in­diquant la direction de Monti­gny en fin de matinée. Nul doute que la réussite et la convivialité de ce week-end préfigurent l'émergence de nombreux projets à la fois sportifs et culturels.

Padoue à 51 km, Vicence à 26._ et Montigny à 1096 km, si vous al­lez vers Venise n'hésitez pas à faire un détour.

En Bref Deux bourses

Jouets - livres ce mois -ci

Le Secours catholique propose sa tradi­toionnelle barderie destinée aux jouets et aux livres, le samedi 17 novembre de 1oh à 17h au centre Coubertin. De son côté, l'association Montigny inter-fa­milles organise sa bourse aux jouets également au complexe sportif Pierre de Coubertin aux dates et heures sui­vantes: dépôt vendredi 23 novembre de 13h à 19h, vente le samedi 24 novembre de 9h30 à 16h. Rens. : 01 39 30 30 20.

Haltes-garderies : révision de la participation

Dans le cadre de la révision annuelle de la participation familiale, pour les fa­milles fréquentant les haltes-garderies, les parents sont priés de se présenter au Service Petite Enfance munis de photo­copies du livret de famille, d'un justifi­catif de domicile de moins de 2 mois (facture EDF : pas d'échéancier), télé­phone fixe, quittance de loyer (bali ou promesse de vente), de l'avis d'imposi­tion 2006. Ces documents détermine­ront le nouveau tarif et l'envoi par cour­rier de la nouvelle carte d'accès, avant le 2janvier 2008.

L'enquête publique sur le SDRIF jusqu'au

8décembre Comme le PLU (Plan Local d'Urbanisme)" ou le POS (Plan d'occupation des Sols) à l'éche­lon communal, le Schéma Directeur de la région lie-de-France (SDRIF) est un docu­ment d'urbanisme et d'aménagement régio­nal qui vise à organiser le territoire d'ici 2030. Sa révision entamée en 2004 suit un processus au long cours, qui aboutit actuel­lement à l'enquête publique. Cette dernière est relayée par '161' communes en région francilienne (16 dans les Yvelines, à Monti­gny pour l'agglomération). Dans chacune d'entre elles, un commissaire-enquêteur tient des permanences afin d'enregistrer les remarques formulées par les habitants. il sera présent en mairie de Montigny le mer­credi 1 novembre de 11h à 20h. Deux pan­neaux proposés par le Conseil Régional et disposés dans le hall d'accueil de l'Hôtel de ville proposent une information succinte. Elle peut être étoffée par la consultation du dossier global du schéma directeur (atten­tion, lecture attentive et technique requi­se ... ) en s'adressant au service Urbanisme en mairie.

L'occasion de positionner les grands projets pour la ville L'enquête publique du SDRIF est pour la v il­le l'occas ion de réaffirmer quelques grands principes comme son opposition au prolon­gement de l'autoroute Au. Elle permet en outre à la Municipalité de positionner les grands projets qu 'elle entend promouvoir sur son territoire pour le futur. Tous les do­cuments d'urbanisme à venir devront être compatibles avec ce nouveau SDRIF.

Le Marché de Noël de retour au début· décembre

Avec le charme qui le caractérise et le côté typique qui séduit chaque année plusieurs milliers de visiteurs, le Marché de Noël se­ra de retour les 30 novembre, 1" et 2 dé­cembre à la Ferme du Manet. Les cloches de Noël n'ont pas encore sonné, mais L'lgnymontain vous informe dès cette édi­tion puisque la prochaine parution sera dis­tribuée le jour même de l'ouverture du Marché. Vous retrouverez près de 140 ex­posants, chaleureux et traditionnels, fi­dèles habitués ou nouveaux venus, et tou­jours le 'même plaisir de vous balader dans les allées illuminées, idéales pour vous mettre dans l'ambiance des fêtes de fin d'année.

Douceurs de saison et cadeaux origi­naux Le Marché de Noël tombera à point nom­mé pour les premiers préparatifs des fêtes de fin d'année. Dans les allées extérieures, une soixantaine de producteurs venus de toute la France se fera un plaisir de présen­ter, et de faire déguster bien sûr, les pro­duits régionaux, l'occasion de faire le plein de mets délicats et typiques pour votre me­nu de fête. Comme à l'accoutumée, vous serez en proie à toutes les tentations et les gourmands auront du mal à résister aux odeurs alléchantes des foies gras, saucis­sons, fromages et autres desserts qui em­baumeront les allées. A l'intérieur, 70 expo­sants, artistes et artisans d'art, propose­ront leurs créations. Bijoux, objets décora­tifs, peintures, compositions florales, pote-

ries, vitraux, accessoires de mode, ours en peluche, jeux en bois, vous trouverez de quoi offrir et vous faire plaisir, avec quelques nouveautés à découvrir parmi lesquelles les peintures azulejos (des pein­tures murales sur faïence), la maroquinerie en tissu, les cadeaux de naissance ou les couronnes de Noël. En présence des villes jumelées, vous irez également à la ren­contre de l'artisanat étranger. Enfin, diver­sité et originalité s'associeront à un pro­gramme d'animations qui fera le bonheur des plus jeunes. Outre la visite du Père Noël, toujours très attendue, ils pourront profiter des ateliers pour écrire leur lettre au Père Noël, pêcher à la ligne ou revêtir un maquillage de saison pour donner un air de fête à la balade. Et pour vous laisser le temps de faire vos emplettes, le Marché vous accueillera jusqu 'à 21h le vendredi et le samed i. Le Marché de Noël vous accueillera de wh à 21h le vendredi 30 novembre et le samedi

-1er décembre, de wh à 19h le dimanche 2 .

Rens. au 01 39 30 31 39·

les tribunes des groupes du Conseil municipal

Montigny Plurielle (Parti Socialiste, Verts, Parti Communiste)

Le 17 octobre 2007, avait lieu la 20• jour­née mondiale du refus de la misère, jour­née reconnue par les Nations Unies com­me la Journée internationale pour l'élimi­nation de la pauvreté. On peut certes sou­rire avec condescendance face à la multi­plication de ces journées à thème et pen­ser qu 'il est naïf d'imaginer trouver à cet­te occasion des solutions. Finalement quoi de pire qu'une journée de compas­sion qui permet simplement de se donner bonne conscience, à bon compte ?

Reste que, pour lutter il faut prendre conscience que ce qui tend à devenir la norme (mendicité, habitat précaire, isole­ment des plus démunis comme certaines personnes âgées), cette norme là est juste inadmissible. Nous perdons parfois notre capacité à nous indigner, en considérant comme une fatalité ce qui est proprement insupportable. Faire entendre la voix des plus démunis, c'est un chemin pour mobiliser citoyens et responsables publics et au premier chef, chacun d'entre nous . La misère dans toutes ses déclinaisons, pauvreté, exclu­sion, sans abris, misère sociale et affecti­ve, n'est pas simplement chez les autres, elle est aussi chez nous. Que faisons-nous dans notre ville pour la combattre ?

Nous avons encore en tête la réponse édi­fiante faite par un élu de l'équipe en place qui signalait qu'il fallait que le bouche à oreille fonctionne pour que ceux qui sont dans la difficulté et pourraient bénéficier de l'aide du CCAS, le contactent! Mais qui connaît le CCAS, les compétences lé­gales qui sont les siennes, les aides qu'il

peut accorder ? Pas toujours ceux qui en ont le plus besoin ! Bien sûr les associa­tions caritatives sont présentes, palliant les défaillances des politiques. Mais là en­core, qui sait que les Restos du Cœur n'ont pas droit de cité à Montigny, que leurs demandes d'installation et de sub­ventions ont été refusées au prétexte qu'il existe une boutique alimentaire· sur la ville ? Qui connaît la localisation de cet­te boutique, son fonctionnement son rôle et son utilité ? Jamais un bilan sur cette structure n'a été présenté au Conseil Mu­nicipal !

Des dysfonctionnements existent et sur des sujets aussi graves q·ui mettent en jeu la dignité humaine, l'équilibre des fa­milles, la cohérence de la société, il nous paraît urgent de mettre en place un vrai partenariat avec les associations sociales et une politique municipale volontariste. Pour cela, accepter au préalable une réali­té : Montigny est certes une ville où il fait bon vivre mais pas pour tout le monde. Il est nécessaire d'être à l'écoute pour dé­tecter, traiter et finalement éradiquer la misère. Ce n'est pas une utopie, juste une obligation !

Sandrine Grandgambe Présidente du groupe

Pour nous contacter: montigny.pluriel/e@voila. fr ·

Pour nous rencontrer: local des élus d'op­position à l'hôtel de ville, 66 rue de la Ma­re aux Carats, tous les mercredi de 14h30 à 20h30

8

Montigny Ensemble l'enquête publique du SDRIF Il ne se passe pas une semaine où, que ce soit dans la presse écrite, à la radio ou lors des jour­naux télévisés, des intervenants fassent état d'un souhait de plus de transparence, de plus de concertation. Ce désir se retrouve aussi locale­ment, chaque Conseil de Quartier, chaque Igny­montain entendent être informés des projets et actions futures de la collectivité. En toute lo­gique c'est le domaine des travaux qui est parti­culièrement observé et sollicité. Quoi de plus normal un aménagement est toujours coûteux, contraignant et a vocation à durer longtemps. On engage la qualité de vie pour de nombreuses années et même souvent pour nos enfants. Tel est le cas pour le SDRIF, en clair le Schéma Directeur de la Région lie de France. Ce schéma décide des orientations sur l'ensemble de la ré­gion pour de longues années et ce dans tous les domaines. Notre environnement "naturel", la capacité de nous loger, les conditions de nos dé­placements et nos moyens économiques indis­pensables au financement de ces actions de mê­me que notre devenir personnel sont concernés. Le SDRIF 2007 qui doit succéder à celui de 1994 a fait l'objet de nombreuses concertations de­puis un peu plus de 2 ans. Cependant les acteurs de cette mise au point sont restés des spécia­listes dont l'activité professionnelle ou politique les a conduits à être partie prenante dans cette élaboration. Il en résulte un document épais, dense, très technique, un peu rébarbatif en somme. Ce dossier est soumis à enquête publique, Mon­tigny le Bretonneux a l'avantage d'être l'une des 17 communes des Yvel ines retenue comme lieu d'enquête et de permanence. Certes le dossier est indigeste, en particulier si l'on veut s'inté­resser à tous les domaines, mais nous nous de­vons de faire connaître notre point de vue, notre analyse, de donner notre avis. Chacun est plus ou moins sensible à un domaine ou point particulier sur lequel il lui est plus faci­le de s'investir et de réagir. Non seulement c'est un droit qui nous est donné mais c'est un devoir pour ceux qui s'intéressent au devenir de la cité

et de l'environnement que nous transmettrons aux générations futures. Ces réactions sont d'autant plus indispensables que les diverses instances: Région à l'origine du document, Département des Yvelines et Etat, si elles sont d'accord sur le constat et la philoso­phie des buts à atteindre, lent des avis diver­gents sur les moyens et les priorités à donner. Prendre connaissance parmi les documents dis­ponibles de l'avis du Département voté par le Conseil Général en sa séance du 12 Juillet 2007 et de l'avis de l'Etat; est très instructif. Certes un avis individuel sera limité, voire sim­pliste mais la somme de toutes ces réactions permettra au Commissaire Enquêtel:lr de mesu­rer le niveau d'adhésion ou de réprobation des administrés au projet soumis à enquête. Les domaines les plus simples à appréhender qui seront aussi les plus visibles demain sur le ter­rain sont: la protection de l'environnement Chapitre 5, en particulier le tableau des pages 88 & 89, du livre "Evaluation environnementale" la construction de logements dont une bonne partie de logements sociaux, y compris à Monti­gny par densification du nombre d'habitations à l'hectare Chapitre 4 du livre "Evaluation environnemen­tale" et paragraphe 2.1 du livre "Rapport" les transports collectifs : extension des réseaux, création de nouveaux modes et augmentation des fréquences, avec arrêt des TER en gare de Saint-Quentin/Montigny Paragraphe 2.5 pages 115 à 117 du livre "Rapport" les infrastructures routières où la région récuse le prolongement de Au Paragraphe 2 .5 pages 122 à 130 du livre "Rap­port" Consulter ce dossier en mairie ou sur internet et prendre le temps de transcrire un avis sur le "Registre d'Enquête Publique" mis à disposition est le moyen de participer à notre démocratie et à notre avenir.

Jean-Paul André, adjoint au maire chargé de la voirie, la

circulation et la sécurité routière

L'actualité

ALAMER créée en hommage • aux mar1ns

Fondée par Philippe Boutelier, habitant du quartier du Plan de Troux et fils de marin, en septembre 2006, ALAMER (Association pour La Mémoire des Equipages de la Roya­le de 1939 à 194S) s'attache à reconstituer l'histoire des marins engagés dans la secon­de guerre mondiale. "Bien qu'atteint d'Aiz­heimer, .mon père avait gardé de nombreux souvenirs de· la guerre, des souvenirs qu'il a partagé et m'ont donné l'envie de les préser­ver", explique Philippe Boutelier, président de l'association. Un site a donc été créé et mis en ligne le 23 septembre 2006, basé sur les souvehirs et les témoignages de marins. "J'ai des échanges extraordinaires avec les interlocuteurs qui donnent une véritable di­mension humaine à l'histoire".

Reconnue par la Marine Nationale De 4 à 176 adhérents, l'association a très vi­te grandi et obtenu la reconnaissance de la Marine Nationale dès le mois d'avril 2007. Parmi ses adhérents du monde entier, de San Francisco à Papeete, 88 sont d'anciens marins, âgés de 78 à 98 ans et membres d'honneur, parmi lesquels Augustin lbanez, né en 1923 et aujourd 'hui lgnymontain, mé­canicien matelot décoré de la croix du com­battant volontaire et mémoire vivante du débarquement de Normandie. Quelques 13soo noms de marins sont actuellement re­censés sur le site, dont environ trois cents pages personnelles qu i déta illent le parcours de chacun d'eux, affections, opérations et souven irs. Trava il de longue haleine, de fourm i même, l'association cherche à se fa i­re connaître pour recueill ir le plus grand nombre de témoignages, considérant que la base de données qu'elle constitue sera it op­timale entre 1so et 2ooooo noms recensés. Bateaux de guerre, opérations, équipages année par année, marins de pêche ou de

commerce, la recherche d'information est ti­tanesque. Six commissions ont donc été créées lors de la première assemblée généra­le en septembre 2007, chargées de la valida­tion des données historiques, des bâtiments, des photos, des événements, de la saisie des pages personnelles, et de l'ergonomie du si­te. "Je voulais éviter que les souvenirs se perdent, c'est pourquoi nous assurons leur pérennité en transmettant régulièrement une copie complète des informations du site à la Marine Nationale".

Le 11 novembre sous la bannière de la jeunesse·

tParce que la cérémonie du souvenir ! :constitue une autre manière d'apprendre ' :l'histoire, la commémoration du 11 no­:vembre sera marquée cette année par une ~ forte participation des élèves de la ville. :Ils seront près de 140 des écoles Péguy, ~ Dumas, Paul Fort et Verlaine, nouvelle ve- , :nue, à entonner la marseillaise a cappella ' iet à suivre le cortège en uniformes, à h oh30 au départ de la salle Jacques Brel. ·Au protocole des anciens combattants de î'UNC qui restent fidèles chaque année au , 'devoir de mémoire, l'assemblée se dirigera ~ vers le monument aux Morts où les dis- · cours et le dépôt des gerbes rendront t hommage aux combattants morts pour la

. France. On attend pour cette éd ition 2007 ~ :1e discours d'Hervé Morin, ministre de la Ï ~ Défense, ou d'Ala in Maria ix, secrétaire 1 ;d'Etat délégué aux anciens combattant~s, •: :avant le dépôt des gerbes sur la stèle du : ~ soldat inconnu au cimetière, et la stèle des ! ;instituteurs devant les locaux de I'UNC à ! :l'ancienne marie-école. i . ---

L'

Premiers coups de truelle pour l'Institut Pierre Simon Laplace

En 2009, Ylnstitut Pierre Simon Laplace accueille­ra 350 chercheurs spécialisés dons les sciences de l'environnement

Après l'arrivée de la faculté de médecine (voir en page 6), c'est un premier coup de truelle riche de promesses neuronales qu'ont donné le 19 octobre dernier Jean-Paul Hu­chon, président du Conseil Régional, Chris­tian Gaillard de Lavernée le Préfet 'des Yve­lines, Sylvie Faucheux président de l'Univer­sité de Versailles-Saint-Quentin . Le chantier de l'Institut Pierre-Simon Laplace (du nom du physicien français du XVIII• siècle), qui ac­cueillira 3SO chercheurs, ingénieurs et étu­diants dans l'étude de l'environnement (pol­lution de l'air, évolutions climatiques, obser­vation des planètes ... ), a débuté au hameau de Troux sur Guyancourt, aux abords du boulevard d'Alembert. Il a investi la cour de l'ancienne ferme de Troux et conservera la maison de maître qui y trône et va bénéficier d'une réhabilitation . L'arrivée de I'IPSL sur le territoire, financée aux 3/4 par le Conseil Ré­gional, est à l'étude depuis 1991. Plusieurs lieux d'implantation ont d'abord été arrêtés sur Montigny, place de la Paix Céleste et sur le quartier du Pas du Lac. C'est en définitive dans le prolongement du pôle universitaire que les chercheurs arriveront dans leurs la­boratoires en 2010. http:jjwww.ips/Jussieu. fr

Les prochaines réunions publiques

avec le maire Sur un mode marathon, le maire Michel Laugier tiendra ces prochaines semaines une série de réunions dans les quartiers à la rencontre des riverains. Après les quartiers du Plan de Troux et du Plan de l'Eglise avant la pause estivale, le maire s'apprête à un long parcours du 13 no­vembre au s décembre prochains dans les sept autres quartiers de Montigny. Chacun peut y aborder librement les as­pects de la vie de. la commune.

Mardi 13 novembre au Pas du Lac à la maison de quartiers Henri Matisse

Meraedi 14 novembre aux Prés à la maison de quartiers André Malraux

lundi 19 novembre au Village au Club Le Village

Jeudi 22 novembre à la Sourderie­Nonl A l'école élémentaire Albert Samain

Meraecli 28 novembre à Saint Quen­tin A l'école élémentaire Arthur Rimbaud

Jeudi 29 novembre au Manet au centre de Loisirs du Manet

Meraedi S décembre à la Sourderie­SUd à la maison de Quartier Louis Jouvet

l)ébut des réunions à 20h30.

Le CE REL à l'université de Versailles Saint-Quentin

Un centre linguistique ouvert à tous i Installé depuis 2002 dans le bâtiment i d'Alembert, au cœur de l'université de Ver­; sailles Saint-Quentin, beaucoup pensent ; que le CEREL (centre de ressources et es-1 pace langues) se réserve aux étudiants. 1 Bien au contraire, s'il offre un complément ! de formation intéressant pour tous les ! étudiants de la faculté, cet espace linguis­i tique, dès sa conception, se destinait au ; plus grand nombre, afin de constituer un

outil d'apprentissage des lang(Jes intégré au milieu socio-économique local. Encore méconnu, sachez donc que ce service bé-

. néficie à un public très diversifié. Entre­prises, salariés, demandeurs· d'emploi, ly­céens, particuliers, le CEREL peut vous permettre d'approfond ir vos connais­sances linguistiques ou de vous initier à

· une nouvelle langue étrangère.

Fixez votre objectif

DuTOEIC ••• Saviez-vous que le CEREL est également un centre d'examen pour le TOEIC en an­glais. Inutile de vous déplacer sur Paris pour obtenir le fameux sésame à la mobili­té internationale, vous pouvez non seule­ment passer ce test de certification près de chez vous, à raison de trois sessions orga­nisées chaque année, mais également vous y préparer. Entraînement partie par partie, · examens blancs, le CEREL vous accom- · pagne dans la préparation de l'examen • orienté anglais des affaires .

... à la formation à distance Sur un tout autre mode, le centre a égale- [ ment mis en place une formation à di stan- ! ce pour l'anglais, l'allemand, l'espagnol, ! l'italien, le français langue étrangère et le ! néerlandais. Cette nouveauté de la rentrée [ 2006 a déjà séduit bon nombre de particu- !

Du niveau débutant au niveau confirmé, le liers qui se forment de chez eux, grâce à un ! : CEREL propose une formation conforme casque audio prêté par le CE REL, et un ac- 1 · au cadre européen commun de référence cès internet à 3000 heures de cours qui re- i ..

1 d 1 1 ' d · Le CEREL (centre de ressources et espoœ longues} est Installé dons le bdtiment d'Alembert de l'uni-basée sur l'uti isation 'outi s mu time la, groupent tous les niveaux de pratique. ;,' versité, mols Il est ouvert a tous (particuliers, salariés, entreprises, demandeurs.} et un catalogue de 11 langues parmi les- Prononciation, grammaire, vocabulaire, ! quelles l'anglais bien sûr, l'allemand, l'es- l'étranger, passer l'examen du TOEIC en de cinéma en VO, presse écrite, ateliers de dialogue, l'abonnement d'un an (de date à l pagnol, l'italien, le français langue étran- angla is pour compléter votre CV, le CE REL conversation bilingue, un vaste panel de date) vous offre une liberté totale. Pour ! gère, mais aussi le chinois, le finnois, l'ara- offre le choix de la pratique. Volis tra- moyens est à votre disposition pour vous un tarif de 10o€ pour une langue, chaque [ be, le japonais, le russe et le portugais. "Le vaillez à votre rythme, en fonction de vos aider dans l'apprentissage sur un mode qui particulier peut se former à toute heure, et !

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( Les Prés J m mm .. .

Le Clos les Prés • •

la cuvée 2007 est tirée 1 •

Les classes de 6" du collège Les Prés étaient préposés à la vendange des 40 pieds de vigne de l'éta­blissement, d'un cépage hybride et robuste, qui font le Clos des Prés.

Un peu plus tardives qu'à l'accoutumée, les vendanges des 40 pieds de vigne plan­tés au collège Les Prés se sont déroulées le 28 septembre dernier. La pluie n'a pas gâ­ché l'événement festif, très attendu par les élèves de 6', et ne devrait rien enlever à la cuvée 2007 du Clos Les Prés dont la ré­colte s'associe chaque année à celle d'Elan­court. A la fois pédagogique et ludique, "le projet constitue un symbole fort de ce lieu de culture et d'éducation où les élèves comme les vignes murissent avec le temps", a souligné Catherine Brochet, la nouvelle principale du collège, pour sa première participation à la manifestation.

Un événement partagé par les 6es Comme toujours, l'événement s'est parta­gé en compagnie de Jean Flattot, profes­seur de technologie à la retraite et initia­teur du projet en mars 1998, qui continue d'assurer le suivi des cultures avec la mê­me passion. Les 6" Bau chant, les 6., Cà la poé~ie et les 6" A à la cueillette, chaque classe de 6' a participé à la préparation de cet événe­ment, l'occasiol'l d'inviter également les élèves de CM2 de l'école Paul Fort pour un premier contact avec leur futur collège.

!!Cette expérience unique en lie de France est devenue une véritable institution à Montigny et constitue le reflet de notre ville qui a su préserver son cadre de vie à travers l'urbanisation. C'est aussi le reflet du dynamisme des professeurs qui inno­vent sans cesse pour travailler mieux", a déclaré le maire Michel Laugier. Le choix de planter des cépages hybrides résistants a semblé plus que justifié cette année. Malgré les différences de croissance, le premier jus de raisin récolté s'est laissé dé­guster sans trop d'acidité sous les caméras de France 3 Région qui couvraient l'événe­ment. Futur vin bio et populaire, cette (modeste) vendange vieillira durant une année en fût avant d'être mise en bou­teille.

4e Semaine du Handicap

La Maison de la Famille s'est associée à la réflexion

C'est la première fois que la Maison de la Famille s'inscrivait au programme de la Se­maine du handicap, en proposant la confé­rence "Il était une fois mon handicap, l'an­nonce dans la famille", le jeudi 11 octobre à la maison de quartiers André Malraux. Une vingtaine de participants est allée à la rencontre des intervenants présents, im­pliqués dans le domaine associatif et des parents concernés par le handicap. Loin de l'exposé théorique, c'est avant tout le vécu de chacun qui s'est partagé dans l'intimité des familles confrontées au handicap, et dans la diversité en présence de Jacques Costils, secrétaire général de l'Association pour la recherche sur la Trisomie 21, d'An­nie Bordeau, représentante de l'Associa-

; tion Nationale des Cardiaques Congéni­. taux, de Marie-Claude Jolivet, présidente de I'Adesda pour l'intégration des enfants sourds, de Françoise Trévost, présidente de la Munafam mobilisée pour les malades psychiques, de Marie-Noëlle Thareau, élue déléguée à l'Action Sociale, et d'Elisa La­porte, animatrice du débat et responsable

de la Maison de· la Famille.

Un vécu à partager Difficultés d'établir un diagnostic, senti­ment de culpabilité, il s'agissait d'échanger des expériences afin de permettre aux fa­milles d'envisager un nouvel avenir, diffé­rent de celui qu'elles avaient imaginé certes, mais offrant néanmoins des possi­bilités. Chacun a pu poser librement ses questions, instaurant ainsi un dialogue constructif. C'est d'ailleurs l'un des constats qui a émergé de cette rencontre: i

le besoin de parler et la nécessité de trou- ' ver un accompagnement dans la durée. : "Nous ne sommes ni médecins ni infir- ; miers, mais en tant que parents, nous : avons la possibilité de partager notre vécu, ; d'écouter et de comprendre les familles sans porter de jugement", a souligné An­nie Bordeau. Désormais, la Maison de la Famille s'associera chaque année à la Se­maine du handicap en abordant au fur et à mesure des éditions des thèmes variés, touchant à tous types de handicaps.

L'i

( Le Plan de l'Eglise J m m ... ······ H mm. H O ••

La nouvelle ère de la Patate est advenue

Les habitants la considéraient comme l'un des symboles représentatifs de leur quar­

! tier, presque une institution . Le soleil ai­l da nt, ils se sont donc déplacés en nombre, ! le dimanche 21 octobre dernier, afin l d'inaugurer la nouvelle "patate", et l'af­i fluence de plusieurs centaines d'habitants ! de tous âges s'est inscrite au palmarès des f plus grands succès populaires des fêtes du ! quartier. "C'est un moment émouvant 1 pour les habitants du quartier", confirmait ! Marie Toussaint, présidente du Conseil de j Quartier du Plan de l'Eglise. "Lieu convi­i vial, lieu de rendez-vous pour la jeunesse, ! lieu de rencontre pour les parents, la pata­l te constitue un élément essentiel du lien i social depuis 24 ans dans le quartier. C'est i pourquoi la démocratie participative a ! joué pleinement son rôle dans la réalisa­i tion de ce nouveau projet", a ajouté le ! maire, Michel Laugier.

1 Un air familier ! Pour des raisons de sécurité avant tout, i exit l'ancienne patate détruite dans le i courant de l'été. Mais la petite nouvelle 1 semble séduire les habitants. " Plus verte" i pour Jacqueline, "plus esthétique" pour l Marc, la nouvelle patate a su conserver ! ses formes arrondies comme le désiraient ;

"Lieu convivial, lieu de rendez-vous pour la jeu­nesse, lieu de rencontre pour les parents, la pa­tate constitue un élément essentiel du lien social depuis 24 ans dans le quartier; pour Marie Tous­saint, présidente du conseil de quartier.

les habitants. "La patate a gardé ses pro­portions et son âme comme le souhai­taient les habitants. Elle a conservé son esprit de point de rencontre avec des changements positifs en matière de sécu­rité et de design aussi. Reste à voir l'utili­sation qu'en feront les enfants car ce sont eux qui font vivre ces lieux", remar­quait Antoine Baud de l'association Fo Ksa Bouge. Pour l'instant, et malgré les ani­mations (petit train, taureau mécanique, stand de maquillage) qui ont fait leur bon­heur tout l'après-midi, c'est avec nostalgie que les plus jeunes accueillaient la nouvel­le patate sur laquelle ils ne grimperont plus. Mais cet après-midi festif partagé en famille les a tout de même séduits, une réussite que le quartier doit notamment à la participation des associations ASMB Tennis de Table et Pétanque, aux échas-

: siers, souffleurs de bulles, jongleurs et l sculpteurs sur ballons de Fà Ksa BoUge,

Il ainsi qu'à Palladium, sans oublier le servi-

ce de la Démocratie locale et les Services i Cette inauguration a donné lieu à une fête de techniques municipaux en charge de la lo-i quartier et des animations le 21 octobre gistique globale de cette journée. L"... . ............................................................ .......................... .

( Le Village ) - --- .......... - ·m ·m······-····

1 Benoit Carpier a inventé Keski, un jeu très citoyen

: ! Successivement éducateur spécialisé, di­j recteur des programmes pédagogiques 1 d'un centre de formation. puis formateur 1 en ressources humaines, Benoît Carpier, i habitant du quartier du Village, n'en est ! pas à son coup d'essai. Keski est le cin­i quième jeu de sa création, un jeu de for­i mation permettant d'aborder le handicap 1 sous forme ludique qu'il destine pour l'ins­l tant aux entreprises, afin de faciliter l'in­i tégration des travailleurs en situation de i handicap. "L'idée est partie d'un question­! nement de plusieurs entreprises qui m'ont 1 parlé de leurs difficultés à intégrer leurs 1 salariés handicapés. J'ai alors remarqué 1 que cet échec n'était pas dû à un problème i d'accessibilité, mais simplement d'incom-1 préhension de la part des autres collabora­I teurs", raconte Benoît Carpier. · : 1

1 Un support au dialogue j "Ne sachant comment aborder le handi­! cap, confrontés à une méconnaissance, i une peur ou un malaise face à la différen-1 ce, les salariés peuvent contribuer à isoler i le travailleur handicapé, et parfois obser­: ver des comportements à la limite de la i discrimination sans même le vouloir". Fa­' ciliter le contact, abolir la gêne face au

handicap, changer les regards lourds de pi­tié en regards compréhensifs, tels sont les objectifs du jeu de plateau Keski qui constitue un support ludique au dialogue. Grâce à des cartes Information, Actions et

20, peuvent se confronter au handicap i pour mieux le comprendre. Des acces- i soires, parmi lesquels lunettes noires ou i casques antibruit, permettent en effet i d'expérimenter concrètement toutes les i formes de handicap et de préparer l'ac- 1

cueil d'un salarié handicapé. Pour changer i d'attitude par le vécu et le partage, la ver- i sion du jeu destinée aux entreprises est j

prête et n'attend plus que ses sponsors i pour être fabriquée. Des sponsors qui se- ! raient également d'un grand soutien pour j aider à la préparation des versions éduca- i tives et familiales. A bon entendeur... ' 1 Handicaps, les joueurs, au nombre de 2 à

.... , ,,_, oN o , ,~.,. .~ . ~-~-~~--~-YA·-~ --~- --·-·-·- ·-·-----~•~•- ·~----- o A o A o Ao-~-· o -----~------ · - · -·--~ ~- -------·-·---~·-- ·----·-------·- ---------------·-·---.1 10

Les "VIP Institutionnels" invités à 1'1 FA Robert Delorozoy

Consciente de l'interaction entre la vie d'en­treprise et ses besoins de compétences, la Chambre de Commerce et d'Industrie de Versailles (la CCIV) organisait la première rencontre "Vip Institutionnels", le 4 octobre dernier à l'Institut de Formation par Alter­nance Delorozoy. En réunissant autour d'un petit-déjeuner conférence nombre d'ac­teurs économiques et institutionnels tels que l'ANPE, les collectivités territoriales de la région, des représentants de l'Education Nationale ainsi que des responsables de missions locales dévouées à la formation et à l'insertion professionnelle, la CCIV a sou­haité présenter son catalogue de services pour susciter de nouvelles synergies utiles au développement économique. "Créer un réseau de personnes régies par l'objectif commun d'insertion professionnelle me pa­rait indispensable pour dynamiser l'emploi et le secteur économique. Il est donc néces­saire d'apprendre à se connaître pour tra­vailler ensemble", soulignait Xavier Bonvar­let, adjoint délégué aux Ressources Hu­maines, à l'Emploi et à l'Economie présent avec l'équipe du service Montigny dévelop­pement Emploi.

L'IFA Delorozoy au centre des synergies Le centre de formation par alternance a semblé tout indiqué pour cette première rencontre, soulignant la double fonction de la Chambre de commerce, investie à la fois dans l'aide au développement des entre­prises et dans la formation. Afin de favori­ser les échanges et les partenariats futurs,

La Chambre de Commerce et d'Industrie organisait une première rencontre "VIP institutitonnels" le 4 oc­tobre dernier à l'/ FA Delorozoy, pour susciter les synergies favorables au développement économique.

la Direction des partenariats en formation, attachée aux partenariats entre écoles et entreprises, et de la Direction du dévelop­pement économique et de l'entreprise (D2E). Une présentation succincte de cha­cun de ces services, au cœur des enjeux éco­nomiques du territoire, a apporté quelques données utiles aux participants, notam­ment en vue de futures collaborations.

le catalogue des formations s'enrichit

donner lieu à l'ouverture de deux nouvelles formations en contrat professionnel de res­pectivement 9 et 8 mois. Suite à ces forma­tions rémunérées et qualifiantes, les conseillers financiers et les facteurs recrutés par ce biais accèderont à un CDI, une expé­rience pilote dans le département qui de­vrait sans nul doute inspirer d'autres chambres de commerce. "Le partenariat constitue à la fois un moyen de répondre aux problèmes de recrutement que nous pouvons rencontrer, tout en formant des jeunes à un métier et aux attentes particu­lières de l'entreprise", a souligné Jocelyne Bruxerolles, coordinatrice Alternance de La Poste. Enfin, l'ouverture d'une section se­crétariat médical a déjà été actée pour la rentrée prochaine, en attendant la confir­mation d'autres projets en cours de créa­tion.

En Bref Un forum Jeunes

à SQY Ouest

Le Cyb'air s'pace.santé tenait son stand au Forum jeunes tena à SQY Ouest les 7 2 et 7 3 octobre dernier. · '

Pour la 2• année consécutive, la Société Générale organisait un Forum Jeunes pour les 16- 24 ans, les 12 et 13 octobre à I'UGC SQY Ouest. Destinée à faire dé­couvrir ses offres bancaires, la manifes­tation au départ commerciale s'est avé­rée utile pour les jeunes venus de toute la région, à l'image des étudiants de la faculté de Saint-Quentin. La présence de nombreux partenaires a en effet per­mis de diversifier la visite : rencontre avec le CEREL (voir en page 9), les as­sociations locales comme I'ASMB rugby, l'enseigne Carrefour qui recrutait. "En­viron 30% du personnel de caisse est composé d'étudiants, c'est donc un bon moyen de recrutement. Certains jeunes sont venus nous voir pour les contrats d'apprentissage, et nous avons déjà reçu des cv pour les jobs d'été", soulignait Myriam Pudewil, de Carrefour. La pré­vention avait également sa place sur l'événement avec la présence de la PIJE spécialisée dans la sécurité routière, du Cyb'Air Space et de Montigny lnfo Jeunes. "Les jeunes sont toujours de­mandeurs d'informations et ce type d'événement nous permet d'aller à leur rencontre", concluait Bruno Angérant, responsable du Cyb'Air Space.

.. les,acteurs .llés aux domaines de l'emploi et de la formation ont pu s'initier au jargon des abréviations des services la CCIV. Ani­mée par Jean-Pierre Clève à la Direction des partenariats en formation (DPF), la mati­née a permis de passer en revue les objectifs et fonctions du Centre d'information et d'orientation professionnelle (CIOP), du service de la Validation des acquis et de l'ex­périence (VAE), également situé dans le bâ­timent Delorozoy, de la Direction de la for­mation c'ontinue aux entreprises (DFCE), indispensable depuis la mise en place du droit individuel à la formation en 2004, de

A l'écoute du marché de l'emploi, c'est avant tout la réactivité qui caractérise 1'1 FA Delorozoy géré par la CCIV. Chaque année, le catalogue des formations proposées s'en­richit pour répondre aux besoins des entre­prises et offrir de nouveaux débouchés aux jeunes. Les élèves en deuxième année en BTS professions immobilières (auparavant en première année dans le lycée partenaire de La Plaine de Neauphle à Trappes) ont in­tégré 1'1 FA à la rentrée dernière. Début 2008, deux partenariats avec la Banque Postale et La Poste de Saint-Quentin vont

Aveè "Ambre. et co.uleurs'~ Véronique coiffe à domicile

Christelle Belbezier a ouvert le salon Koudebel

Après avoir été responsable d'un salon de t~sts capillaires durant 16 ans pour une grande enseigne, Véronique Rochat a su profiter de sa fermeture pour réaliser un bilan de compétences. Résolument attirée par la coiffure et le contact humain, voilà un an qu'elle travaille à la mise en place de son projet. Aidée par la Maison de l'entre­prise à Montigny, un stage à la Chambre 9ez Métiers et un stage technique complé­m'entaire à l'école de formation Mod's Ha ir ·à Paris, elle a ouvert son entreprise indivi­duelle de coiffur~ à domicile le 1" octobre dernier. "J'en avais envie depuis une dizai­ne d'années. Je voulais vraiment me rap­procher de la clientèle et travailler à mon rythme", explique Véronique.

Une relation personnalisée C'est l'un des avantages de la coiffure à do­micile, et c'est pour cette raison que Véro­nique a décidé d'aller au bout de ce projet. "Je me refusais à reprendre la coiffure en salon . Je souhaitais pouvoir développer des relations plus personnalisées avec mes clientes, de prendre le temps d'être à leur écoute et de fournir un travail de qualité", explique-t-elle. Quel plaisir de pouvoir par­tager ses envies et ses doutes avec une coiffeuse-visagiste avant qu'elle n'attrape

la paire de ciseaux ! Vous n'avez pas à Vous déplacer. Véronique se rend à votre domicile, équipée de tout le matériel né­cessaire stocké dans sa valise à roulettes. Vous bé~éficierez également, outre ses 23 années d'expérience dans la coiffure, de ta­rifs nettement inférieurs à ceux d'un salon. Comptez 1o€ pour une coupe enfant, u€ pour un homme et 23€ pour une femme, 17€ pour une couleur sur cheveux mi­longs, et de 26 à 45€ pour des mèches. A 42 ans, Véronique rayonne. La concrétisation de ce projet qui lui tient à cœur lui promet un tout nouvel épanouissement profes­sionnel. "Je suis très heureuse de ce lance­ment. J'ai coiffé une dizaine de clientes dès la première semaine", conclut-elle.

Depuis le mois dernier, Véronique Rochat se dé­place chez vous pour vous coiffer.

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Ouvert il y a tout juste un an (en no­vembre dernier), place Claudel sur l'em­placement de l'ancien magasin de location vidéo, le salon Koudebel a su trouver sa clientèle. "Je pensais que le démarrage se­rait assez long, du moins la première an­née, mais j'ai très vite dû augmenter mes heures de travail, parfois jusqu'à deux heures du matin pour répondre à la de­mande, en attendant d'employer Aiche­tou et Marilyn", explique Christelle Belbe­zier, responsable du magasin. C'est d'ailleurs en prenant conscience de cette forte demande sur la ville nouvelle que cette lgnymontaine du quartier de la Sourderie avait décidé de se lancer.

Spécialisé mais ouvert à tous Boutique de cosmétiques, de produits ca­pillaires, salon de coiffure afro-européen et onglerie, c'est assurément la mixité des services, et de la clientèle, qui assure le succès de ce salon. Vous y trouverez tous les produits de beauté spécifiqües à la peau et aux cheveux afros, ainsi qu'une gamme complète de perruques, postiches, extensions et cheveux naturels s'adres­sant à une clientèle très diversifiée. "Je constate tous les jours que les coupes afros sont très à la mode chez les euro­péennes aussi. Elles constituent d'ailleurs une part importante de la clientèle et sont très friandes d'extensions par collage ou par tissage", souligne Christelle. Mèches,

rajouts, pose de faux ongles, le salon, à la fois spécialisé et ouvert à tous, vous ac­cueille de 9h30 à 19h30 du lundi au ven­dredi, et de 9h à 2oh le samedi. Rens. au 01 61 38 31 19.

< ­Christelle Belbézier a ouvert et dirige le salon Koudebel depuis un an sur la place Claudel au Plan de Troux.

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C'est trop tard pow.r: jw.lte~ ·cLtre, les Rabettts, M~ehttel 'irétgorio et "tstt­

bel ttw. boL.s ~ormtt~t" Malheur aux fans inoxydables de l'in­temporel Juju, son récital en acoustique le samedi 10 novembre se donne à gui- • chets fermés à la Ferme du Manet. Mê­me engouement sur les places pour le concert hommage aux Beatles qui fera · vel)ir à Montigny les Rllbeats le 24 no­vembre. M ichael Gregorio, l'imitateur phénomène défendu par Laurent Ru­quier, a également d'ores et déjà rempli la salle Jacques Brel le 27 novembre. Même infortune pour les jeunes specta- ' teurs qui auraient des envies de théâtre pour " Isabel au bois dormant", le 20 no- ; vembre à la salle J. Brel. Ce spectacle est : complet, en revanche hâtez-vous de , prendre des billets pour le spectacle ma- , gique de Xavier Mortimer le 11 dé- , cembre.

C'tst to~ow.rs boV\, pow.r:

-nttâtre : ~w. soleiL de ]:)Qw.rÂtt" le :2.111W)Vtmbre

Dans une saison culturelle déjà plébisci- · tée si l'on considère le taux de réserva- · tions, le spectacle de théâtre "Au Solei.l ,

de Daudet" ne fait pas exception, .grâce au comédien Jacques Seyres. Il est ici mis en scène par Jean-Luc Tardieu dans urie magnifique exploration de l'univers narratif d'Alphonse Daudet, de "la chèvre de Monsieur Seguin" au "curé de Cucugnan", en passant par le "Secret de maître Cornille". Jacques Seyres est un expert dans ce genre, qui a reçu le Mo­lière du meilleur acteur en ?-006 pour son spectacle "Du côté de chez Proust". Il change le registre, tout en conservant le talent. · A la salle Jacques Brel - 20h3o

5 musiciens à 'la pêche communicative, passionnés de Django Reinhardt,· qui font du jazz manouche, des valses gi­tanes leur quête musicale. Le tout mâti­né de swing et baignant dans l'univers infini de la bonne chanson française. Pour leur 3• album "On n'est pas là pour se faire engueuler", · les Pommes de ma douche n'essaient d'échapper à leur sort. L'hommage va de Charles Trénet à Boris Vian. Réjouissant !

A la salle Jacques Brel - 20h30

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Ltl 1ere ~te""vu:.te ~lttotogrtl~ltttqiA.e tlcc~A.ettte R.o""ts et Vtl""~~sttl~t

Labellisée ville d'Art et d'Histoire, l'agglo­mération de Saint-Quentin offre une large place à la culture sous toutes ses formes. Sous l'impulsion des associations de photo­graphes du territoire (L'Image en boîte, 1è photo-Club vicinois et le photo-club du Mesnil Saint-Denis), et grâce au soutien des communes de Montigny, Elancourt, Voisins, du Mesnil-Saint-Denis et de la Communauté d'Agglomération, la culture se diversifie un peu plus encore avec la création de la biennale photographique, qui s'exposera du 13 novembre au 1•• dé­cembre, en divers lieux du territoire et no­tamment au Conservatoire des Arts de Montigny. Une grande première qui se consacrera au sport, et particulièrement au thème du cyclisme en l'honneur de la cour­se Paris-Brest-Paris et de l'arrivée du futur Vélodrome à Montigny. Parrainée par deux artistes de renommée internationale, Willy Ronis et Gérard Vandystadt, qui présente­ront respectivement "Les couleurs de Paris" et quelques extraits choisis de leurs plus beaux clichés, cette première biennale constituera l'un des temps forts du pro­gramme d'expositions annuelles et devrait sans nul doute attirer un nombre record de visiteurs, de Montigny et de l'lie de France dans son ensemble. On se souvient de l'ex­position Dali qui avait attiré plusieurs mil­liers de visiteurs, parmi lesquels bon nombre de parisiens venus chercher la cul­ture en banlieue !

Willy Ronis immortalise Paris en couleur C'est également une première pour ce pho­tographe français qui a consacré sa carrière aux images en noir et blanc. Comme ses pairs Robert Doisneau et Edouard Boubat, on retrouve dans l'œil de l'artiste, né en 1910 et marqué par la montée du Front po­pulaire, les valeurs humanistes propres à son époque, associées à une exigence de l'esthétisme et de la poésie. Vous retrouve­rez dans cette exposition les traits mar­quants qui ont caractérisé son œuvre et participé à l'émergence de la photographie en tant que véritable expression artistique. Prises sur le vif, talent du reporter, vous

pourrez admirer son regard sur Paris, dé­voilé pour cette fois en couleur. Une silhouette, un mouvement, un effort, une attitude, depuis plus de 30 ans Gérard Vandystadt photographie le sportif à tra­vers ses plus belles expressions.

Instants uniques de Gérard Vandystadt Instants magiques du sport, vous découvri­rez à travers quelques-uns de ses meilleurs clichés le talent de l'artiste, capable de sai­sir le moment unique, de sublimer ses mo­dèles pour créer de véritables toiles de maître. A la fois intemporelles et tellement instantanées, ses photos mêlées de mouve­ments, de lignes et d'émotions vous offri­ront l'occasion de voir que l'essentiel est dans le regard du photographe. Riche du talent de ses deux parrains, la biennale le sera également de sa diversité. Elle exposera notamment le travail du pho­tographe élancourtois Robert Lebatteur, et les clichés de photographes issus de 35 pays sur le thème du sport et du cyclisme.

Le t~éatre-s~èV\,e 11\.&ft~oll\.&lle fête tet u.toV\Itll\,e Les 1. T et 1.~

On connaît l'imposant (et parfois impres­sionnant ?) temple de la culture, dont le bâtiment massif en impose sur la place Pompidou . Pour relativiser cette image de cathédrale, l'équipe du théâtre-scène na­tionale menée par Jacques Pornon organi­se une nouvelle édition de sa fête d'Au­tomne les samedi 17 et dimanche 18 no­vembre prochains. Le principe en est simple : l'établissement mobilise ses ar­tistes associés et ouvre grand ses portes à tous pour un week-end de happening cùl­turel placé sous le signe de la fête. L'éta­blissement, lieu phare du patrimoine local et de l'offre culturelle, s'ouvre durant les deux jours sur de nombreux spectacles, ateliers, visites et autres démonstrations musicales.

Un brunch à surprises La Compagnie de la Mauvaise Graine vous entraînera dans un atelier d'initiation théâtrale et fera découvrir aux curieux, lors d'une visite décalée et poétique, le ventre du théâtre, ses méandres et portes dérobées ... La musique elle aussi sera à l'honneur, notamment avec la soirée mu­sicale où le public se verra emporté par les rythmes antillais, ou encore avec la siam

session de Dgiz et Arthur Ribo. Un petit creux ?La fanfare Ratamar vous mènera à un brunch fam ilial ponctué de musiques et de surprises. En guise de clôture et pour la première fois de la saison, les 70 musiciens de l'Orchestre National d' lie-de-France se réuniront pour offrir un concert excep­tionnel et prestigieux. Entrée libre. Réservation pour le brunch et l 'atelier théâtre au 01 30 96 99 oo

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Renseignements : Direction de la Culture au 01 39 30 31 70.

spéûQlt C(Qlop~V~vS lt 1er cUcel!l,i,bre

1 Le c~~~a -réservé au.x l ~l-li\IS ~e 12 Q li\IS !

Le cinéma réservé, et non pas interdit, aux moins de 12 ans, ça se passe une fois l'année lors de la Spéciale Galopins dont la septième édition se tiendra le samedi 1" décembre, de 14h à 18h30, salle jacques Brel. L'occasion est assez rare pour ne pas la rater : une filmographie spécialement conçue pour les jeunes âgés de 6 à 12 ans, un goOter à partager avec le Père Noël, la formule ciné-goQter promet un véritable

1

programme de réjouissances sur grand , écran, sorte de petit cadeau avant l'heure. 1 Rappelons que les adultes ne seront admis 1 qu'en tant qu 'accompagnateurs !

1 Trois films et un goûter

1

Ce samedi festif et animé devrait sans nul doute ravir les plus jeunes. Comme à l'ac­

! coutumée, le programme leur réservera j un après-midi haut en couleurs avec trois ! dessins animés sortis récemment. Ils plon­l geront d'abord dans l'univers coloré et

l' fantaisiste de " La petite taupe", pour une , succession de petites histoires d'anima-

l tian à la fois inventives et poétiques sur­fant sur les notions d'amitié et de partage. En suivant le jeune Tim parti à la re­

j cherche d'une étoile tombée du ciel, le voyage se poursuivra avec "Nocturna, la nuit magique", un monde peuplé de créa­tures féériques qui feront désormais de la nuit un instant magique où tout est pos­sible ... Avant de dévorer le dernier Walt Disney qui ne décevra pas ses amateurs de toujours, un goQter leur sera offert par le Père Noël. Puis l'après-fTlidi se terminera en compagnie de Lewis et Wilbur Robin­son qui partiront à l'aventure pour re­trouver le scanner à mémoire dérobé par l'homme au chapeau melon. Surprises et aventures seront donc au rendez-vous, alors n'hésitez pas à prendre votre appa­reil photo pour immortaliser le moment, et venez nombreux pour partager l'ins­tant avec vos enfants. Les places seront ouvertes à la réservation dès les vacances de Toussaint à l 'Hôtel de ville. Tarifs : de 7 à 10,60 € pour 2 films, et de 1oso à 15,90 € pour 3 films, goûter inclus.

Renseignement Direction de la Culture au 01 39 30 31 70.

H-IA.g!Â.es AIÂ.frtttJ et "Tôe Tôe" Oll\.t ewfl.tt~~é Ut fervrA.e Gt!Â. Mttll\.et

"Toc Toc"l -Coupe du monde 0 Malgré la concurrence de la demi-finale de rugby, « Toc Toc » s'est jouée à gu ichets fermés, le samed i 13 octobre dern ier à la Ferme du Manet, devant des spectateurs qui n'ont pas regretté leur choix, non en ra ison du résultat du match, mais bien par­ce qu 'ils ont passé une excellente soirée. On n'en attendait pas moins de la pièce de Laurent Baffie qui s'est révélée être une comédie très réussie. « On a beaucoup ri »

ont déclaré de nombreux spectateurs une fois le rideau baissé. Le sujet des troubles obsessionnels compulsifs n'était pourtant pas facile à aborder, mais il l'a été avec beaucoup d'humour par des comédiens de haut vol qui ont b.rillamment interprété des situations quotidiennes, mais cocaces, sur un rythm_e effréné.

~ '. :-;-,.. .

Hugues Aufray, intemporel et très aimé Il l'avait prom is à Coluche, un jour il don­nerait un concert autour d'un feu de camp. li l'a fait le dimanche 14 octobre devant un p,l)bli.c; ·-d~ f.idèles spectateurs de tous âges. D~'rr~:'ù'ne .. ~-mbiance amicale donc, familia-

~ .. ) ./;. . ·. . le'mêine, le chanteur a joué quelques-uns des succès qui ont fait sa popularité, agré-

Mo~11 L~ve : IA.V\1 ' prema,er op!A.S reggae

Le 1r V\IOVembre En pleine programmation, le secteur Mu­siques Amplifiées promet une saison de concerts rythmée. Elle débutera dès le 17 novembre prochain, à 20h30, salle Paul Gauguin au Village, avec une première soi­rée dédiée reggae. Rappelons que le style avait fait partie des meilleures dates de la saison dernière. Trois groupes régionaux sont attendus sur scène, entre reggae roots, mix et dance hall, avec Radjalsa, R'faya et Mad'ras. "Nous allons répondre à la demande et proposer les styles de mu­sique les plus représentatifs, mais nous al­lons également proposer des ouvertures en essayant de programmer une date électro par exemple", souligne Magali Boulay, pro­grammatrice. Tarif: 3 euros. Rens. : 01 30 64- 54 47·

"HH<gk• ~!} dw. MoOIOI. de SDM. ~ albwM., ~lt

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mentés de nouveaux titres en totale inter­activité avec les spectateurs qui l'ont ac­compagné en chantant. Seul en scène alors que ses musiciens se rafraîchissaient, il a profité d'un moment d'intimité avec des spectateurs qui le suivent depuis long­temps. Hugues Aufray n'est pas un busi­nessman de la chanson, mais bien un chan­teur passionné qui monte sur scène avec cœur. Salué pour cette simplicité et cet amour qu'il sait si bien partager, il a im­pressionné son public par sa présence et son dynam isme sur scène. Intemporel Monsieur Aufray, à bientôt.

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lQ ct,e de lQ 'Sob~~ 1

La Compagnie de la Bobine s'est attaquée avec brio à une pièce ambitieuse, un texte riciTe,· porteur d'interp·rétations multiples à la fois fantaisistes et philosophiques, en présentant "Animaux" d'Alain Enjary, le 16 octobre dernier à la salle Jacques Brel. Le public a su apprécier la performance à sa juste valeur, saluant le talent de la troupe amateur qui a gagné sa place dans la saison culturelle au dernier Festival du théâtre amateur. Un début original captive d'em­blée les spectateurs, puis les animaux s'en­chaînent à travers des saynèttes qui distil­lent leur parfum de poésie. Quand les an i­maux se mettent à parler, les émotions se succèdent, du rire à la tristesse. "C'est à la fois excitant et stressant de s'inscrire dans la programmation professionnelle de la sai­son, mais c'est aussi un vrai plaisir, surtout avec ce texte d'une richesse extraordinaire que je découvre encore ce soir", a sou ligné Morgane, la metteuse en scène.

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Fr&t~o~s-X&tV~er ]:)tVL.t&t~SOV\i,

q IÂ.eLLe reeoli\.Verstoll\. ! Quel destin que celui de François-Xavier Demaison, qui aurait pu ne jamais monter sur scène. L'effondrement des tours du World Trade Center auquel il assiste depuis son bureau d'une tour voisine le ramène à l'essentiel, la fragilité de la vie et sa passion de toujou rs, le théâtre. C'est la t rame de son premier one man show qui retrace son parcours de réorientation professionnelle, du piranha de la finance à l'humoriste, et croque avec justesse une vingtaine de per­sonnages parmi ses rencontres. Sur scène, c'est assurément son talent de transformis­te qui fait l'unanim ité. Muni d'un simple foulard, il change d'expression et même de physique pour incarner ses personnages aux multiples personnalités, étonnants de réalisme et pourtant si décalés. Il bouge, il danse, il se métamorphose avec une gran­de aisance comme s'il occupait la scène de­puis toujours. Il fait rire, il surprend aussi par la succession rythmée des caricatures

où il excelle, et l'inattendu de son succès a priori très éloigné d'un trader en costume tro is pièces de New York.

ft'A~~r~~tft-MM ~A S4t!U, AA-~t ~ ~i'IWII!it lftt~1'r 14 "'~~tU M i4l MÜtJ4U{KI9 !#tl,,

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Préparez Le "ChaV\,té Noë~' avec CTOM Le~ décembre L'association Culture et Tradition d'Outre­Mer (CTOM) fêtera Noël dans la pure tradi­tion antillaise, le samedi 8 décembre à la sal­le Paul Gauguin. Pour ce faire, elle souhaite convier tous les lgnymontains(e)s qui le souhaitent à interpréter le "Chanté Noël". La répétition se déroulera juste avant l'inter­prétation, de 18h à 19h le soir même. La soi­rée se poursuivra autour d'un buffet tradi­tionnel payant. Tél : o6.68.65.01 .91 .

sema~V\It diA. ttaV\-d~cap avec Le rt Art

Dans le cadre de la semaine du handicap, le cinéma Jacques Brel a proposé une pro­grammation spécifique illustrant le handi­cap au 7' Art. Trois films sortis récemment ont été projetés au public abordant le mon­de du handicap avec beaucoup d'intensité. " Le scaphandre et le papillon" ou l'histoire d'un homme pris en otage dans son propre corps, "Murder bali" sur les traces de l'équi­pe américaine paralympique de rugby, et " Loin d'elle" suivant la progression de la ma­ladie d'Alzheimer, ces films ont eu pour point commun de proposer une approche extrêmement réaliste du handicap, émou­vante et humainement très riche. Avec hu­mour et espoir, les sujets abordés ont su in­terpeler le public comme l'a confirmé le dé­bat animé proposé le 13 octobre suite à la diffusion du film "Loin d'elle".

eLod~e Frégé è. ta saLLe Jaeq~A.es l>ret

Le je~A.d~ 20 décembre Si l'on écoute l'écho médiatique qui' en­toure son éclosion sur la scène françai­se, c'est un évènement pour la ville d'ac­cueillir Elodie Frégé sur la scène de la sall.e Jacques Brel, le j eudi 20 décembre à 20h30. Issue du sérail de la Star Aca­demy, sa collaboration artistique avec Benjamin Biolay a transformé la jeune f ille timide en artiste de personnalité et de conviction, que la scènè a métamor­phosée. Vous aurez l'occasion de le véri­f ier en réservant vos places sans tarder. Jeudi 20 décembre à 20h3o à la salle J. Brel Tarif unique: 15,5€. Rens. : 01 39 30 31 30.

Les eoll\.féreV~tees Gt!Â. ~ots Afin de vous préparer à l'exposition au Grand Palais des œuvres de Courbet (jus­qu'au 29 janvier), le Conservatoire des Arts propose une conférence sur l'artiste le mar­di 13 novembre de 2oh à 22h. Le mardi 27 novembre, c'est sur Ferdinand Hodler que

portera la conférence, en parallèle à son ex­position au Musée d'Orsay du 12 novembre au 14 janvier. La salle J. Brel accueillera un cycle connaissance du monde sur la Russie, de Moscou à Saint Petersbourg, le jeudi 22 novembre à 14h et 20h30.

Nttt~ttl~e M~e~ttu : u~ l~vre sur les grttll\.ds er~~ tjVel~M~S

On avait découvert la jeune femme dans · d'haletants "Secrets de famille", son pre­mier livre en 2004, on la retrouve aujour­d'hui avec un 3' volume consacré à 27 grandes affaires criminelles des Yvelines. Entre les deux, Nathalie Michau a écrit "Répétition" en 2006, qu'elle n'a pas vrai­ment pu promouvoir pour cause d'immo­bilisation à la suite d'un sérieux accident de ski. Entre les deux encore, .Nathalie a surtout vu son destin d'écriva in ouvrir une nouvelle page. "Ce livre est une comman­de de la maison De Borée, qui réalise une série su r le sujet et qui, après avoir· lu mes premiers ouvrages, m'a contactée pour me proposer ce travail. " A vrai dire Nathalie concède bien volontiers qu 'elle ne serait pas spontanément allée vers cet univers judiciaire.

Raconter des histoires à suspense "Mon envie d'écrivain, c'est plutôt d'imagi­ner et de raconter des histoires, de manier le suspense. Pour ce livre avec les éditions De Borée, j'a i dû entrer dans une log ique de collaboration, avec un calendrier à res­pecter, des délais. La collaboration avec le directeur de collection m'a aussi beaucoup appris sur le plan stylistique". Le sujet des grands crimes restés dàns la mémoire yve­linoise est particulièrement riche. L'auteur a conservé pour son ouvrage 27 histoires, qui l'ont plongée notamment dans les ar­chives des journaux de l'époque. Le cas Landru à Vernouillet et Gambais, la der­nière exécution publique en place pu­blique à Versailles, celle de Weidmann en 1939, le procès de Zola et son J'accuse, l'af­faire Markovic. Nathalie Michau fait aussi ressurgir des histoires un peu oubliées au­jourd'hui, qui parfois conservent leur mys-

NAIM14 MWIAk A )'Ditr 10~ s' l.tvrt {olttUi ~AM Lu 11"011~1/t& de ::t,.gra.W 6~ ~IliA>\& Lu yve~.

tère, comme ce cannibale versaillais jama is jugé car déclaré aliéné.

Trois dédicaces prévues à Salnt·Quen· tin et Parly Il Le livre sortira en librairie dans les pro­chains jours, et plusieurs séances de dédi­caces sont prévues par l'éditeur chez les grands distributeurs du département. Na­thalie dédicacera notamment son livre le 10 novembre à Parly Il, le 24 novembre à la librairie le Pavé du canal de 15h30 à 18h30 et le 22 décembre au centre commercial de Saint-Quentin. Son aveni r littéraire, elle y pense par un retour à l'univers du suspen­se où elle peut donner libre cours à ce qu'elle aime par dessus tout, créer une his­toire, "manier mes personnages comme une marionnettiste et dicter leur destin". Elle a déjà le cadre de son prochain roman, la ville d'Annecy qu'elle connaît bien. "Mes deux premiers livres se déroulaient en val­lée de Chevreuse. Il était temps que je change de cadre et d'horizon".

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En Bref

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Michel Hénault n'est pas près d'oublier . "' ce beau dimanche ensoleillé du 7 oc­

tobre. Quand sa ligne s'est agitée dans la torpeur de l'après-déjeuner, il ne pensait pas encore remporter une victoire de ce gabarit, mais il savait qu'il avait ferré du lourd. "Le brochet a fait des démar­rages puissants. J'avais peur que le fil se casse ou qu'il s'emmêle dans les cannes des autres pêcheurs. Si je l'avais bridé il m'aurait tout cassé". Ce n'est qu 'après un combat de 30 mi­nutes, qu'il a pu ramener un magni­fique brochet de 1,14 mètre pour 10,460 kg. " De plus, depuis la digue de l'étang de Saint-Quentin c'est très difficile de mettre un brochet de cet­te taille dans l'épuisette. Il ne faut pas rater son coup". Ses collègues de "La carpe de l'étang" savent qu 'il s'agit là d'une prise exceptionnelle dans le monde de la pêche. Le record est bat­tu cette année à l'étang de Saint­Quentin. Avis aux amateurs de défis.

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c.{ et V\,S Le b o V\, Ytj t Vt Vltte Plus de 6oo coureurs ont pris le départ de l'édition 2007 de Parcourir Montigny, un beau résultat pour cette course populaire qui a tout de même subi la concurrence du championnat de France d'Ekiden et du championnat départemental des Yvelines, le dimanche 7 octobre dernier au centre sportif Pierre de Coubertin . Nombre de cou­reurs ignymontains, et de coureurs exté­rieurs, puisque la course des As s'inscrivait au calend rier officiel des courses de 10 kilo­mètres, ont chaussé les baskets pour l'occa­sion, et le maillot bleu pour cette course qui s'est déroulée au lendemain de la victoire du quinze bleu contre les blacks. Malgré le beau soleil d'octobre, et un parcours très roulant affublé de son label régional, le re­cord de 30.1s minutes n'a pas été battu cet­te année puisque le premier arrivé a bouclé son tour en 31 .08 minutes. A noter tout de même et comme chaque année l'organisa­tion bien rôdée qui a permis à la matinée de se dérouler sous les meilleurs auspices grâce à la mobilisation des coureurs du SMAC, or­ganisateur de l'événement, sur la ligne de départ dès cinq heures du matin .

Avant tout populaire C'est assurément ce qui caractérise l'événe­ment sportif et assure son succès depuis ses débuts. Sportifs aguerris et coureurs du di­manche se sont côtoyés durant cette mati-

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née qui invitait au mélange des genres avec trois parcours au programme. Des supers poussins aux vétérans, chaque coureur avait le choix de l'objectif et a pu profiter de l'en­cadrement des bénévoles du SMAC qu i ont apporté leur soutien et leur motivation aux coureurs en difficulté. Pas de difficulté en

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revanche pour les jeunes participants à la course de trois kilomètres et de 1.7 kilo­mètre qui visaient le podium, encouragés par les familles à grands renfort de cris sur la dernière ligne droite. "Je cours pour le plaisir, sauf peut-être sur la dernière ligne droite qui m'a paru un peu longue", remar­quait Thibaut Soula rd, classé 2' sur le 3 kilo­mètres. Pour dynamiser un peu plus l'évé­nement, le rendre plus convivial encore, Parcourir Montigny se dérouler;;, dé$oJrri9iS .

L'événement n'aurait pu mieux tomber car I'ASMB rugby a fêté son 25' anniver­saire en pleine coupe du monde de rugby, les 22 et 23 septembre_ derniers, dans une ambiance assurément conviviale et tota­lement unique. Profitant du mouvement national "Tous avec les bleus", l'anniver­saire a connu un véritable succès populai­re, accueillant plusieurs centaines de per­sonnes. "La réussite de l'événement a dé­passé toutes nos espérances", a confirmé Jérôme Janel, président du club. Effet coupe du monde oblige, le succès de la manifestation n'a eu d'égal que le vif re­gain d'intérêt pour ce sport, et l'explosion des effectifs du club dans toutes les caté­gories, en particulier chez les plus jeunes qui sont passés de 8o à 150 en école de rugby ! Autant dire que la saison démar­re sur une période faste pour le club igny­montain, comme sur l'ensemble du terri­toire d'ailleurs.

L'amitié en première ligne C'est avant tout l'esprit que les dirigeants du club s'attachent à préserver. La pré­sence d'anciens joueurs qui avaient fait le

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déplacement en nombre et de toute la France pou'r ce week-end de retrouvailles l'a confirmé : on reste attaché au club de rugby de Montigny qui se veut résolu­ment chaleureux, fidèle à son esprit d'équipe. Sur le terrain, les enjeux sportifs ne comptent pas plus que le plaisir du jeu et l'amitié, un esprit qui, loin de freiner les rugbymen dans leurs résultats, leur a déjà permis de mieux appréhender les rendez-vous importants. "J 'ai reçu beau­coup de félicitations de la part des fa­milles qui ont découvert la convivialité du club et du rugby". Le soleil d'octobre a bien sûr joué son rôle dans l'affluence des spectateurs. Ils étaient plus de 400 mas­sés autour du stade Roger Couderc, afin d'assister au match phare de la journée : les cadets de Montigny face aux cadets du Stade Français. Véritable démonstra­tion de jeu, les cadets du Stade Français ont creusé l'écart en première mi-temps, se montrant à la hauteur de la ~éputation du club. Loin d'être déçus, les cadets de Montigny ont profité de l'occasion pour se frotter au jeu de haut niveau, une réel­le motivation pour les entraînements à ven ir . En deuxième mi-temps contre

l'équipe 2 du Stade Français, ils ont alors pu équilibrer le jeu et marquer un essai transformé. Les Ignobles mondains ont fermé la marche, l'occasion pour certains de rechausser les crampons et de rempiler pour une année encore. Il y avait presque autant de monde le samedi soir au centre sportif Pierre de Coubertin où les convives ont partagé un dîner animé jus­qu'à deux heures du matin, savourant le plaisir des retrouvailles et des souvenirs évoqués sur fond de rétrospective histo­rique du club. Le barbecue s'est déroulé dans une ambiance plus intime, le di­manche à Roger Couderc, entre membres surtout, avant de saluer le départ des an­ciens qui étaient venus de Province.

la saison reprend Avec des effectifs décuplés, les compéti­tions reprennent pour I'ASMB rugby, sy­nonymes d'une organisation beaucoup plus importante, pour laquelle le club es­père mobiliser de nombreux bénévoles, expérimentés ou non, mais également de nouveHes ambitions. Les objectifs sont audacieux, à commencer par les minimes qui comptent défendre leur place en divi­sion B, après leur titre de champions d'lie de France en division C l'an dernier. Il en va de même pour les seniors qui visent le maintien en première série. "Nous espé­rons avant tout conserver les nouveaux effectifs du club, notamment chez les jeunes pour qui nous allons créer et faire vivre une seconde équipe de cadets". Ceux qui souhaitent apporter leur aide à I'ASMB rugby pour l'administration, l'en­cadrement ou la gestion du matériel sont donc les bienvenus au club.

Rens. Jérôme Jane/ : o6 17 63 75 92.

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sur un thème différent chaque année. Les jeux olympiques en costume devraient donc faire leur apparition l'an prochain sur les routes de Montigny, une initiative qui pour­rait bien donner un petit air du marathon du .Médoc à la course made in Montigny.

OMNISPORTS (jeunes de 8 à 15 ans) Les activités pratiquées sous forme d'initia­tion, de rencontres et de tournois : Trampoline, Football, Basket bali, Hand bali , Hockey, Bad­minton, Tir à l'arc, Boxe Française, Judo, Athlé­tisme (mardi 30 et vendredi 2 : sortie au Centre Aquatique du Lac, mercredi 31 octobre et 7 no­vembre : Halloween, tournoi déguisé). • du 29 octobre au 2 novembre inclus au centre Coubertin : 25,60 €. • du 5 au 7 novembre 2007 inclus. Tarif : 19,20 € . Chaque après-midi de 13h3o à 17h30.

STAGES TENNIS (jeunes de 10 à 16 ans) au centre Coubertin. • du 29 octobre au 2 novembre inclus : 52,96 € • du 5 au 7 novembre 2007 inclus : 39,72 € Chaque après-midi de 14hoo à 17hoo.

Renseignements au 01 39 30 31 Bo.

2e Challenge Handi-Grimpe le 14 octobre

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s~ Les ~u.rs ~etrLet~ell\,t. Ils salueraient l'entraide et le partage qui ont régné dimanche 14 octobre au centre sportif Coubertin. Créée en 2005

par le grimpeur nîmois handicapé Philip­pe Ribière, la manifestation a pleine­ment atteint son objectif en confrontant les sportifs valides à l'escalade en situa­tion de handicap. Encadrée par le Club lgnymontain d'Escalade Libre (CIEL), cette 3' édition du challenge Handi­Grimpe a connu un véritable succès po­pulaire, accueillant plusieurs centaines de grimpeurs, handicapés et valides, no­vices ou initiés. Nombre de clubs de la région ont fait le déplacement, de même que l'équipe départementale d'escalade, le Eentre de non-voyants de Marly-le­Roi ou encore le Centre Madeleine Foc­kenberg de Gonesse. C'est assurément la

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plus grande réussite de cette édition qui a initié un grand nombre de personnes

No~rt de el.~.tbs et d'oY911""'-s~ ov..t flll.t I.e dq.llleemev..t À Mo~v.l:j À ~oe­cC~slov. de ee 3 ' ~~~Ut~e t-tAv.d~-<;ri.lo.tpe, d~v.che :1.-+ oetobrt.

handisport, j'avais créé l'événement, afin de confronter les personnes va­lides au handicap pour leur per­mettre de mieux le comprendre". A force de démonstrations dans le monde entier, Philippe Ribière espè­re toujours amener .la Fédération Française d'escalade à créer une caté­gorie handisport. "En attendant, le sport progresse à travers la notoriété de cet événement qui grandit, et je suis heureux que ce 3' challenge Han­di-Grimpe ait offert la possibilité"'aux personnes handicapées de découvrir le plaisir de l'escalade qui m'a beau­coup apporté. Aller vers les autres est aussi une thérapie pour moi, une thé­rapie que beaucoup ont partagé ce week-end en allant à la rencontre d'autrui", a-t -il conclu. "Aujourd 'hui, on commence à avoir le choix dans la

en situation de handicap, et permis un véritable dialogue avec les sportifs valides qu î' o:n!:.fait l'expérience de la vertical ité mis en situation de handicap.

"Plus d'humanité, de compréhension" C'est le constat qu'a fait Philippe Ribière à la

clôture de la manifestation. "J'ai constaté une participation plus importante et un inté­rêt grandissant pour cet événement. J'ai réel­lement ressenti une évolution dans la com­préhension et les regards face au handicap, plus d'humanité aussi. Ne sachant comment répondre aux interrogations sur l'escalade

Le céc~foot tt Le V\,~Vettu ~V\,terll\,tlt~oii\,&IL Q MoV\,t~gV\,~

pratique d'activité et on bénéficie d'aides supplémentaires afin d'améliorer le quotidien. Il reste encore beaucoup à faire, notamment dans les transports en commun, mais cette journée est positive", a remarqué Gilbert, jeune handicapé moteur du Centre Madeleine Fockenberg.

L'opération "Sport en Filles" Ouest, organi­sée par le Comité Régional Olympique et Sportif, se déroulera les 5, 6 et 7 novembre à la base de loisirs. Plusieurs centaines de jeunes filles âgées de 12 à 17 ans y sont at­tendues pour s'initier à de multiples disci­plines sportives. Chaque jour, cinq activités

En ·Bref œttte s' e~vole pour les

Cougars Ce ne sera pas encore pour cette an­née ... Comme les rugbymen français fa­ce aux Anglais, les Cougars ont buté sur la dernière marche, samedi 13 et di­manche 14 octobre sur leur terrain Jean Maréchal. Avec une finale en Gironde en point de mire pour l'accession en Elite qu'ils carressent depuis la saison derniè­re, les lgnymontains ont joué un peu trop vite leur demi-finale face aux Ar­vernes de Clermont-Ferrand. Une pre­mière entame hors sujet le samedi (9-11) leur donnait un handicap comblé le len­demain (13-0). Il fallait donc s'en re­.mettre à un troisième match, mais la belle a tourné en faveur des auvergnats qu'on n'attendait pas à pareille fête. Au final, la sortie est un peu gâchée pour cette sa ison. Il faudra remettre l'ouvrage sur le métier l'an prochain. Comme sou­vent chez les Cougars, le lot de consola­tion pour les dirigeants est venu des jeunes, en particulier les minimes deve­nus champions de France et d'lie-de­France samedi 13 octobre. Les cadets, in­amovibles champions nationaux depuis plusieurs saisons, ont cette fois trouvés adversaires à leur mesure. Ils finissent sur la troisième marche du podium fran­çais. Il y a des années où ça rigole moins ...

physiques leurs seront proposées parmi les­quelles un sport d'eau, un sport de plein air, un sport collectif et un sport individuel, ainsi qu'un forum des clubs, un forum sport santé encadré par une diététicienne, et un forum sauvetage sécurité. Des sportifs de haut ni­veau y échangeront leurs expériences.

Deux matchs de cécifoot de niveau interna­tional : l'événement était assez exception­nel pour faire le plein de spectateurs, le sa­medi 13 octobre au centre sportif Coubertin. Massés dans les gradins, ils ont assisté aux démonstrations de l'équipe de France des malvoyants, venue affronter l'équipe des services municipaux, avant le match d'en­traînement de l'équipe de France des non­voyants face à l'équipe du Maroc. Malgré le silence qui régnait dans les gradins durant les deux matchs, pour permettre aux joueurs de se diriger à l'oreille et d'entendre retentir les clochettes du ballon, les specta­teurs ont apprécié la performance et assuré l'ambiance entre les phases de jeu, enton­nant une Marseillaise plutôt solennelle, pro­bablement en guise de répétition de la de­m·- · ale qe rugby qui se déroulait le soi ~t

même.

dans nos pieds, mais il devient vite impos­sible de le rattraper, d'autant que l'on perd tout repère spatial au bout de deux ou trois minutes", a commenté Johannes Assofi, res­ponsable de l'école des sports, après un essa i au cécifoot. Malgré tout, la discipline peine encore à se faire reconnaître. Instaurée aux derniers Jeux Olympiques seulement, elle est en quête de notoriété pour se dévelop­per, et la catégorie des malvoyants, c'est-à­dire ayant moins d'un dixième de vue, n'est quant à elle pas encore reconnue officielle­ment. "On fait le maximum pour montrer nos capacités", a confirmé Dursun Sepel, joueur de l'équipe d·e France des mal­voyants. Côté résultats en revanche, les nouvelles ont été bonnes pour l'équipe de France des non-voyants qui a battu l'équipe du Maroc 1 à o. Une performance de bon au~

gure avant les championnats d'Europe qui se dérouleront en Turquie fin novembre, et une occasion pour le sélectionneur national Toussaint Apkweh de tester ses joueurs. Pratiquée par seulement 200 licenciés en France, ces deux rencontres de cécifoot ont permis de mettre en lumière une discipline apparue dans les années 1980, et prouvé que la pratique du hand isport mérite la mê­me notoriété, et peut tout autant passion­ner les amateurs de sport.

ASMB Qwan Ki Do

Un sport en quête de reconnaissance "Bluffant", ont salué les spectateurs. En ef­fet, à l'aide d'une bonne communication, d'un bipper installé derrière les buts, d'un ballon sonore et d'une délimitation du ter­rain, les joueurs ont réalisé une véritable dé­monstration de jeu malgré leur handicap, en donnant bien du mal à l'équipe des services techniques locaux qui a dû se dépenser pour remporter ce match de justesse sur le sco­re de 5 à 4, et sans hand icap " Les joueurs ont une auto­nomie et une assuran­ce impressionnantes. On peut encore gérer le ballon lorsqu'il est

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Deuxième club le plus titré d'lie de France, I'ASMB Qwan Ki Do capitalise les titres ré­gionaux et nationaux. Après Pierre Villa~ champion d'lie de France et champion de France en 2003, le club ignymontain compte dans ses rangs son digne succes­seur. A 25 ans, Mourad Khalfa est le nou­veau champion de Paris depuis le mois d'avril 2006, et a remporté successive­ment les titres de champion de France et d'Europe en juin 2006. Il est donc le cham­pion en titre puisque cette compétition nationale n'a pas lieu tous les ans. D'ici là, ses objectifs sont clairs : remporter à nouveau la Coupe de Paris en fin d'année, défendre sa place en équipe de France Combat pour la troisième année consécu­tive, et intensifier l'entraînement et les combats officiels pour se préparer aux grands rendez-vous à venir.

Une graine de champion formée au club

pe de France. "Discipline, application, té­nacité, il a de nombreuses qualités et avec l'âge et l'expérience, il devient moins im­pulsif, ce qui lui donne de plus en plus d'aplomb en combat", confirme son en­traîneur. Mourad espère donc confirmer ses bons résultats lors des compétitions à ven ir, fidèle à la passion qui le motive de­puis toujours. "C'est un art martial qui m'a beaucoup apporté en terme de connais­sance de soi, et c'est surtout une discipline qui se renouvelle sans cesse, à la fois ra­tionnelle et très riche techniquement", ajoute Mourad. Du côté des féminines, à noter également les résultats de Stépha­nie Burger qui a conquis le titre de vice championne d'Europe Combat en juin 2006.

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Sous l'égide de Jean-Marc Fèvre son en­traîneur et d'Olivier Massoutier, le direc­teur technique national du Qwan Ki do qui fait bénéficier le club ignymontain de sa technique un mardi sur deux, Mourad Khalfa poursuit un entraînement assidu depu is 12 ans, une nécessité dans cette dis­cipline réputée pour sa technicité. Maîtri­se des coups, diversité des techniques, ra­pidité et réactivité, il a su démontrer ses qualités de combattant lors des compéti­tions officielles et gagner sa place en équi-

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