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INSTANT PLURIEL – 10, rue Bleue – 75009 Paris contact : Victor Pénicaud- 01.48.00.81.03 – [email protected] Présente JAN LUNDGREN PIANISTE, COMPOSITEUR Jan Lundgren © Thomas Schloemann Mise à jour le 06/04/2013 Un artiste Steinway & Sons

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    Présente

    JAN LUNDGREN

    PIANISTE, COMPOSITEUR

    Jan Lundgren © Thomas Schloemann

    Mise à jour le 06/04/2013

    Un artiste Steinway & Sons

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    !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! > BIOGRAPHIE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

    • N°1 des charts jazz en Suède, avec « Man in the Fog » dès sa sortie (mars 2013)

    • Lauréat de la prestigieuse « Region Skånes Kulturpris 2012 » [Quelques lauréats célèbres de ce prix : Pernilla August (grande actrice, vue chez Ingmar Bergman), Birgit Nilsson (chanteuse lyrique)]

    • « German Jazz Award 2011 », pour l’album « Mare Nostrum »

    • Winner of the Jazz Journal Critics' Poll 2011 (UK) : « Jan Lundgren's Together Again...At The Jazz Bakery » élu Meilleur album 2011 parmi 798 albums (!) sélectionnés (23 mars 2011)

    • N°1 des charts jazz en Suède, avec « Jan Lundgren/Bengt Hallberg » dès sa sortie (19 septembre 2011) (et n°12 des charts Albums, tous genres confondus)

    • « Swedish Django d’Or » 2008

    • Nominé aux « Swedish Grammy » en 1995, 1997 et 2008

    • Nominé aux « Swedish Django d’Or Prize » en 1998, 2001 et 2002

    • « Best Jazz Album of the Year » pour « Swedish Standards » (1997)

    Jan Lundgren est le directeur artistique de l’Ystad Sweden Jazz Festival Jan Lundgren est le premier artiste scandinave Steinway & Sons

    Jan Lundgren est né à Kristianstad dans le sud de la Suède le 22 mars 1966. Il prend sa première leçon de piano à l’âge de 5 ans et se montre exceptionnellement doué. Après une formation classique, il découvre le jazz à l’âge de 14 ans et se découvre une véritable passion pour la grande tradition du piano jazz depuis Oscar Peterson et Eroll Garner à Bud Poweel et Bill Evans. Il acquière une grande connaissance des standards américains comme peut-être aucun autre pianiste de jazz européen avant lui. Après un premier album étonnant (Conclusion), sorti en 1994, il enregistre jusqu’en 2003 sept albums trio pour Sittel records qui rencontrent un vif succès. Swedish standards (1997) qui lie les influences de la musique Folk et de l’improvisation jazz est depuis devenu un classique. Lundgren a accompagné de très grands noms de la musique jazz tels que Johnny Griffin, Benny Golson ou la chanteuse Stacey Kent. Il a été récompensé d’un nombre impressionnant

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    de prestigieuses récompenses telles que le Thore Ehrling Award en 2010 et plus récemment le Skane Cultural Award en 2012. Il s’est rendu dans de nombreux festivals de renom et a voyagé à travers toute l’Europe ainsi qu’aux Etats-Unis, en Corée et au Japon. En 2008, en collaboration avec Paolo Fresu et Richard Galliano, il sort sur le label allemand ACT un album qui rencontre un très grand succès auprès du public. Mare Nostrum devient très vite un incontournable et remporte le German Jazz Award en 2011. Le « premier super-groupe européen » continue de se produire sur les plus prestigieuses scènes d’Europe et d’ailleurs (salle Gaveau, Paris – Tonhalle, Zurich – Victoria Hall, Geneva – S. Caecilia, Rome – North Sea Jazz Festival – Istanbul Jazz Festival). Depuis 2010, Jan Lundgren est le directeur artistique de l’Ystad Sweden Jazz Festival : après trois éditions, le festival est rapidement devenu un des évènements jazz les plus importants de Scandinavie. Lundgren fait partie d’une longue tradition de pianistes innovants venus de Scandinavie comme le très inspirant Jan Johansson dans les années 60 et plus récemment Bobo Stenson ou Esbjörn Svensson. Qu’il s’agisse de musique classique contemporaine, de l’inépuisable tradition Folk venue du Nord ou du groove palpitant du jazz : Lundgren a cette façon unique d’emporter son auditeur dans un voyage à travers un univers musical qui lui est propre. Il unit un toucher clair, un phrasé intelligent et une précision extraordinaire. Son jeu fluide est à la fois tendu et étonnamment décontracté. Il laisse beaucoup d'espaces libres pour une improvisation riche en contraste, un style qui envoûte l'auditeur tout en le laissant "respirer". Lundgren ne cherche nullement à épater. En plus d'une technique pure, il mise sur la profondeur et peut être désigné à juste titre "d'instrumentiste complet".

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    > Man in the Fog

    Jan Lundgren, piano solo A 46 ans, le pianiste suédois Jan Lundgren sort son tout premier album solo. Il s’est finalement décidé à affronter la situation la plus appréhendée pour un pianiste : être seul face à son instrument. Le répertoire est constitué de chansons de compositeurs nordiques tels que Bo Nilsson ou Hakan Rydin, d’une reprise de musique de film (Chinatown de Roman Polanski), ainsi que d’une composition originale (Man in the Fog qui a donné son titre à l’album).

    1. The Maidz of Cadiz (Léro Delibes, arr. J. Lundgren) 4:52 2. View of P (J. Lundgren, pub. Yormusic) 4:29 3. Apres un Rêve (Gabriel Fauré, arr. J. Lundgren) 5:43 4. I don !t want to cry anymore (Victor Schertzinger) 5:04 5. En lång väntan för väntans skull (Bo Nilsson) 2:53 6. Man in the fog (J. Lundgren, pub. Yormusic) 4:39 7. Twenty-five years (Håkan Rydin) 5:52 8. Theme from "Chinatown" (Jerry Goldsmith) 4:24 9. As Vitrines (Chico Buarque) 4:18 10. Tack för allt (Jacques Werup) 6:18

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    > Jan Lundgren Trio

    Jan Lundgren, piano Mattias Svensson, contrebasse Zoltan Csörsz jr, percussions / batterie En 2009, Lundgren sort avec son trio l’album European Standards ainsi qu’une réédition de son premier album de 1997 Swedish Standards, travail d’exploration des traditions européennes qui nous propose un voyage à travers l’Europe entre langues germaniques et langues romanes en passant par le doux chant des accents slaves.

    « C’est d’abord un projet de groupe » explique-t-il, « nous avons passé des heures à jouer ensemble et à enregistrer ». Son ami de longue date Mattias Svensson, qui a déjà enregistré plusieurs albums avec Lundgren était un choix évident. Tout comme Zoltan Csörsz jr, 32 ans, qui lui aussi, a étudié à l’académie de musique de Malmö en Suède. Csörsz, enfant prodige durant ses années en Hongrie, sa terre natale, est vite devenu par son talent un des batteurs les plus en vue de Scandinavie. La symbiose entre les musiciens paraît si évidente à l’oreille qu’il est difficile pour l’auditeur d’imaginer le travail qu’il leur a fallu à tous les trois pour en arriver à une telle homogénéité. > Swedish Standards 1. Solen Glimmar Blan Och Trind - 05:52 (C. M. Bellman) 2. Sommar, Sommar, Sommar - 03:06 (Sten Calberg / Eric Sandström) 3. Joachim Uti Babylon - 07:01 (C. M. Bellman) 4. Uti Var Hage - 03:38 (traditionnal) 5. Visa Vid Vindens Ängar - 03:53 (Mats Paulson) 6. Min Polare Per - 04:43 (Cornelis Vreeswijk) 7. Waltz-A-Nova - 04:41 (Bengt Hallberg) 8. Säg Det Med Ett Leende - 04:52 (Jokern / Miguel Torres) 9. Min Blekingsbygd - 07:00 (Torsten Wall / F. Strömmerstedt) 10. Nu Har Jag Fatt Den Jag Vill Ha - 03:16 (Olle Adolphson) > European Standards 1. Computer Liebe - 05:14 (Hutter, Ralf / Schult, Emil / Bartos, Karl) 2. Les Moulins De Mon Coeur - 04:45 (Legrand, Michel / Marnay, Eddy) 3. Here, There And Everywhere - 04:09 (Lennon, John / McCartney, Paul) 4. A Csitari Hegyek Alatt - 04:10 (traditional) 5. Stets I Truure - 04:40 (traditional) 6. Yo Vivo Enamorao - 03:43 (Humanes, Antonio / Monje, Juan) 7. Un Homme Et Une Femme - 05:02 (Lai, Francis / Barouh, Pierre) 8. Reginella - 05:23 (Lama, Gaestano / Bovio, Libero) 9. Il Postino - 04:17 (Bacalov, Luis) 10. September Song - 04:28 (Weill, Kurt / Anderson, Maxwell) 11. Rosemary's Baby - 05:32 (Komeda, Krystof) 12. Wien, Du Stadt Meiner Träume - 04:46 (Sieczynski, Rudolf) 13. Pavane - Thoughts Of A Septuagenarian - 04:58 (Svensson, Esbjörn)

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    > Mare Nostrum Paolo Fresu, trompette, bugle Richard Galliano, accordéon, bandonéon Jan Lundgren, piano > German Jazz Award 2011 > 50 000 exemplaires vendus à ce jour !

    Si le hasard a permis la rencontre du sarde Paolo Fresu, du suédois Jan Lundgren, et de Richard Galliano, Français aux origines iltaliennes, c’est l’alchimie immédiate que ces trois musiciens ont su trouver dès leur première rencontre qui semble expliquer la longévité de ce trio. Lors d'un festival au Japon à l’automne 2003, ces trois grands mélodistes découvrent sur scène le caractère d’évidence de cette instrumentation pourtant inhabituelle, et la cohésion, immédiate et quasiment miraculeuse entre leurs trois personnalités musicales.

    « Mare Nostrum » (« notre mer ») nous emporte donc dans un voyage musical évocateur, tantôt aérien, tantôt aquatique, où les trois musiciens nous proposent leur interprétation singulière et habitée des paysages marins ou côtiers, entre profondeur océanique des sons, simplicité et dépouillement des mélodies. 1. Mare Nostrum (Jan Lundgren) 2. Principessa (Richard Galliano) 3. Eu Nao Existo Sem Voce (A.C. Jobim/Vinícius De Moraes) 4. The Seagull (Jan Lundgren) 5. Que reste-t-il de nos amours ? (Charles Trénet) 6. Years Ahead (Jan Lundgren) 7. Sonia's Nightmare (Paolo Fresu) 8. Chat Pitre (Richard Galliano) 9. Valzer del Ritorno (Paolo Fresu) 10. Open your Mind (Jan Lundgren) 11. Liberty Waltz (Richard Galliano) 12. Mio Mehmet, forse il destino m'impedirà di rivederti (Paolo Fresu, d’après un poème de Nazim Hikmet) 13. Ma Mère L'Oye (Maurice Ravel, arrangement Richard Galliano) 14. Para Jobim (Richard Galliano) 15. Vårvindar Friska (trad. arranged by Jan Lundgren)

    Durée : 75 minutes

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    !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! > LA PRESSE EN PARLE… !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

    > Sur « Man in the Fog » « Allons à l'essentiel : le dernier Jan Lundgren est une merveille. Enregistré en solo, le pianiste suédois y dévoile toute la richesse de son jeu. Celui qui accompagnait Lee Konitz il y a sept ans versait jusqu'alors dans l'art du trio. Avec un enregistrement très soigné, il explore des thèmes de Fauré ("Après un Rêve"), Delibes ("Les Filles de Cadiz") ou Chic Buarque ("As Vitrines"). Un univers intimiste, profond, nourri de musique classique, où l'improvisation devient un état second : tout y est. » So Jazz - Philippe Deneuve Mars 2013 « Parcourir avec autant de charme des compositions aussi variées, improviser sans hâte sur les filles de Cadix de Léo Delibes, Après un rêve de Gabriel Fauré ou le thème du film Chinatown, loin de constituer un patchwork indigeste, hisse le pianiste suédois Jan Lundgren au niveau des grands poètes du piano contemporain. L'énonciation est claire, limpide, lumineuse, l'inspiration est toujours empreinte d'un sens confondant de la charge émotionnelle de chaque note, de chaque accord. » Pianiste magazine - février 2013 « Jan Lundgren évoque lui aussi avec des entrelacs méandreux la nature fragile de la mélodie, d’où qu’elle naisse. Il fait chanter son piano avec une aisance et une finesse magistrales. Le climat de l’ensemble est à l’image du morceau éponyme ; d’un titre à l’autre l’oreille navigue entre brume aqueuse et paix bucolique, au plus près d’une douceur propice à la rêverie. Aucune virtuosité débridée à dénoter, juste le jeu d’un pianiste qui maîtrise parfaitement son instrument, son sujet et son désir de simplicité. (...) Cette sorte de blues à l’européenne donnerait au cinéma de longs et lents travellings. » Culture Jazz - Yves Dorison - février 2013 « Le soin porté à la sonorité, la délicatesse du toucher et de l’ornementation jamais envahissante des lignes mélodiques, une maîtrise des nuances et des couleurs jamais prise en défaut, une absence louable de toute visée démonstrative. A ce jeu là, la douce mécanique rythmique et les intonations bluesy qui s’emparent de En Lng Vntan För Vntans Skull (Nilsson) emportent une certaine adhésion. » Jazz mag février 2013 « le pianiste suédois Jan Lundgren signe un premier disque en piano solo fort encourageant sur le label Bee Jazz. (…) Ce jazz là est un jazz impressionniste, un jazz voué à la note appliquée. Au fil des plages de Man in the fog, il n’y a pas de place pour une quelconque escapade qui viendrait rompre l’atmosphère si ‘planante’ du pianiste, et cela, même quand des époques et des auteurs aussi différents que Gabriel Fauré, Chico Buarque ou Jerry Goldsmith sont abordés. L’exercice de ces adaptations aurait été du sable mouvant si l’expérience et la maturité musicale du pianiste avaient été absentes. Face à l’enjeu, Jan Lundgren évite le piège en conservant une touche toute personnelle dans ses adaptations. » Elian Jougla – Cadenceinfo.com – avril 2013 « Jan Lundgren nous livre un univers musical où sont combinés un sens unique de la mélodie et une poésie Jazz » Open Jazz - février 2013 « Cet artiste est attachant et installe un climat propice à la méditation et à la rêverie. A suivre! »

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    Les dernières nouvelles du jazz - 24 février 2013 > Sur Jan Lundgren Trio « As important as the group interplay is throughout European Standards, it's Lundgren— whether or grand piano or Fender Rhodes—who shines from start to finish. Swedish Standards may have been a classic in its home country, but with wider distribution and, in the intervening years, a growing reputation, Lundgren's European Standards deserves to be a popular choice for fans around the globe. » John Kelman, All about Jazz April 17, 2009 « Lundgren has developed into one of the most impressive pianists of his generation. » Doug Ramsey, Jazztimes, October 1998 > Sur « Mare Nostrum » « Fresu + Galliano + Lundgren = chef-d'œuvre » « Trois magiciens de la note bleue, capables de faire chanter le silence. Résultat: le plus beau disque de jazz que 2007 nous ait donné jusqu'à présent. [...] Deux Latins, un Scandinave et quinze titres qui coulent de source, glissent sur une mer immobile comme le temps qui passe. Mélancolie des midis madrés au soleil de Méditerranée. Malice d'un Chat Pitre croisé sur la Croisette. Mystère des forêts fantasques de Suède. Mouvement de valse rêveuse mêlé au doux balancement d'une chanson brésilienne. [...] Mare Nostrum, miroir de beauté déjà gravé dans notre mémoire. » Courrier de Genève « [...] Pas de tempête de notes ici, mais bien cette Méditerranée qui miroite tranquillement sous le soleil estival. Pendant que Fresu et Galliano déroulent leurs chants sinueux et séduisants ou échangent quelques couplets gracieux, les phrases de Lundgren, souvent minimalistes, s’immiscent délicatement dans leurs propos. L’élégance paisible de la peinture abstraite de Rupprecht Geiger utilisée pour la pochette sied à merveille à Mare Nostrum, un album qui ravira tout amateur de musique mélodieuse, exécutée avec un savoir-faire évident et qui lui évite de sombrer dans la banalité. » CitizenJazz.com / Bob Hatteau « Mare Nostrum is a precious gem » « [...] The 15 compositions on the album include originals by all three musicians and several covers, touching upon jazz, tango, classical music, and folk, reinterpreting Charles Trénet ("Que Reste-t-il de Nos Amours?"), encompassing Antonio Carlos Jobim ("Eu Nao Existo Sem Voce"), and Maurice Ravel ("Ma Mère L'Oye"). There is an almost delightful sense of trust and ease among the three performers, who never take away their bandmates spotlights, and who find a balance between playfulness and restraint throughout the album. The music is evocative, as if it was the soundtrack to a missing Louis Malle movie, and much of it creates a warm feeling of gentle nostalgia, even on the more up-tempo tracks. Let's hope these musicians meet again to record more music -- Mare Nostrum is a precious gem. » Christian Genzel, All Music Guide

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    « Folk suédois et Piazzolla » « [...] Richard Galliano flirte avec Astor Piazzola tout en se nourrissant de jazz. Il invente des lieux exotiques, explore l’imaginaire de l’accordéon. On admire sa virtuosité, sa sensibilité sur l’instrument auquel il a donné ses lettres de noblesse. Galliano c’est encore un style, un ton particulier proche du terroir. Lorsqu’il écrit, il développe un sérieux bagage côté harmonie et contrepoint. Les thèmes sont issus de la chanson, du folk suédois, d’Astor Piazzolla, de quelques standards. On apprécie les compositions des trois musiciens, dissemblables et pourtant si proches par la nature de la question qui les rassemble tous: être musicien de jazz, aujourd’hui. Un immense public a applaudi ce trio en étatde grâce, samedi soir à L’Heure bleue à La Chaux-de-Fonds. » Denise de Ceunik, l'Express « [...] Comment est-il possible que trois personnalités musicales ayant chacune leur univers et leur parcours favoris, parviennent à ce point à n'en plus composer qu'une, à s'effacer devant les simples mais redoutables nécessités de la vision et de l'exécution d'ensemble ? La réponse est complexe mais semble tenir dans une condition expresse : plus le répertoire est varié, plus le chant doit être commun. Ce qui suppose une seconde condition : que chacun chante comme il respire, très naturellement, c'est-à-dire après beaucoup de travail. Là sans doute réside la racine de ce pur miracle musical aux couleurs tantôt empreintes de nostalgie, tantôt dotées d'une douce fantaisie, mais toujours d'une haute poésie aux accents souvent renversants. Peut-être aussi faut-il être profondément heureux pour pouvoir par sa musique dissoudre aussi instantanément le tohu-bohu du monde et ne laisser subsister, le temps d'un disque, que cette rassurante révélation qu'on appelle parfois le sublime. » Classica répertoire Quand règne la belle harmonie « Lundi soir, la Filature offrait à son public l'union de trois pointures du jazz avec le risque toujours couru que trois ne fassent pas un et que l'on se retrouve dans la configuration de pointures bien décidées à n'en faire qu'à leur tête. Mais c'est mal connaître Paolo Fresu, Richard Galliano et Jan Lundgren et leur envie de partage. Ces trois caractères bien trempés ont trop de respect et d'admiration mutuels pour se la jouer perso. C'est donc du fusionnel et de la complicité que nous ont offerts ces trois musiciens qui ont partagé leurs cultures méditerranéenne, hexagonale et nordique autour d'une même inspiration de l'échange équitable, le temps d'un album et d'une série de concert dont la direction de la Filature a très judicieusement saisi l'opportunité. [...] » Jean-Marie Valder , l’Alsace « ... le plus beau disque de jazz que 2007 nous ait donné ... Mare Nostrum, miroir de beauté déjà gravé dans notre mémoire ... » Sonotone, Luca Sabbatini (Suisse) « ... Il y a là ce "son de surprise" que Whitney Balliett considérait comme l'essence même du jazz... » Glyn Pursglove, musicweb-international.com « ... les trois musiciens... parviennent à recréer une atmosphère d'une cohérence émotionnelle si incroyablement pure, d'une telle sensibilité dans l'approche musicale, d'une substance si riche, avec des compositions si mélodieuses, que l'album est un incontournable absolu... » www.freejazz-stef.blogspot.com

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    « ... l'accordéoniste Richard Galliano, le pianiste Jan Lundgren et le trompettiste Paolo Fresu créent du merveilleux... » International Istanbul Jazz Festival, Turkey « ... Mare Nostrum s'est produit en concert au festival Bray Jazz laissant bien peu de doute à la salle bondée sur la remarquable chimie musicale qui s'est développée entre ce trio de musiciens européens exceptionnels. Le "euro jazz supergroup" avec l'accordéoniste français Richard Galliano, le trompettiste Paolo Fresu et le pianiste Jan Lundgren a enflammé le Mermaid Arts Centre par son jeu et proposé l'un des indiscutables grands moments de Bray Jazz 2008... » www.brayjazz.com (Ireland)

    « .. La chaleur commune et la compréhension entre ses trois là se révèlent profondément naturelle, organique et intemporelle. Ils réalisent - avec une apparente aisance et une grande grâce - une séance avec un coeur, une intelligence et un esprit aux proportions grecques..."»

    Fred Bouchard, AllaboutJazz.com

    « ... Il y a un sens de la confiance et de l'aisance presque jouissif parmi ces trois artistes... Espérons que ces trois musiciens se retrouvent à nouveau pour enregistrer plus de musique ... Mare Nostrum est une véritable perle... » Christian Genzel , allmusic.com « ... Le répertoire, exquis du début à la fin, va des compositeurs Brésiliens, au chant folklorique suédois, en passant par la chanson française jusqu'à d'impressionnantes créations de Lundgren, et de ses collègues... » Ray Comiskey, Irish Times (Ireland) « ... Mare Nostrum regroupe trois virtuoses créant un paysage sonore de jazz européen contemporain, qui promet d'être merveilleux sur scène... » Tim Cumming , The Independent (UK) « ... tout simplement beau... » Sonic (Germany) « ... Mare Nostrum c'est le summum du jazz européen... » Hans Sterner, Stereoplay (Germany) « ... un chef d'œuvre absolu... » nordische-musik.de (Germany)

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    Avril 2013 – Nöje

    Mars 2013 – Jazz News

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    Février 2013 – Les Dernières nouvelles du Jazz

    Les Dernières Nouvelles du Jazz

    Dimanche 24 février 2013

    JAN LUNDGREN Piano solo :" Man in the fog" Sortie le 14 février BEE JAZZ059Bee Jazz/ Abeille musique distributionwww.janlundgren.com

    Une fois de plus, nous nous trouvons confrontés à la volonté d’un pianiste de « se faire » un piano solo, de se colleter à cet exercice de style qui va bien plusloin... et qui le laisse seul et nu face à son instrument, ses démons ou vertiges.Je ne connaissais pas vraiment ce pianiste suédois qui fut dans sa jeunesse (il a 46 ans) un joueur de tennis émérite avant d’entreprendre de sérieuses étudesclassiques. Une fois de plus, le mirage du jazz, l’attraction et terrible attirance envers cette musique prit le dessus....mais pas seulement puisque le riche folklorede son pays natal se retrouve aussi dans son inspiration. La seule composition originale qui donne le titre de l’album est doucement insistante dans la mémoire.Bon présage. Et la suite ? Nous écoutons des compositions classiques comme la ballade de Fauré « Après un rêve » qui se prête à un arrangement délicat et stylé,une version du magnifique thème de Jerry Goldsmith pour le film culte de Polanski Chinatown que les cinéphiles connaissent aussi parce qu’il est l’indicatif del’émission de Thierry Jousse, Ciné Song, le jeudi soir sur France musiques. Cet album continue à nous surprendre avec ce dernier titre qui renvoie à unenostalgie bienvenue : « Tack för Allt » semble profondément inspiré de la musique de The Fox du compositeur-pianiste argentin Lalo Schiffrin. On acquiesceainsi de titre en titre en suivant le disque d’un bout à l’autre sans se lasser, embarqué dans l’univers musical de cet artiste qui, sans être vraimentoriginal, estattachant et installe un climat propice à la méditation et la rêverie. A suivre ! [i]

    [i] Qui inspira d’ailleurs la pub d’une marque de collants très célèbre. Mais qui a aussi quelques liens avec le thème oulipien de Roland Kirk. Sophie Chambon

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    Février 2013 – Piano Bleu, Jean-René Mourot

    Bienvenue sur pianobleu.com le site des amateurs de piano !

    Deux nouveaux disques Piano Solo Jazz Jan LundgrenJean René Mourot

    A découvrir deux nouveaux disquesPiano solo Jazz d'une grande poésie

    Jan LundgrenPiano SoloMan in the Foglabel Bee jazz

    Jean-René Mourotautoproduit

    A découvrir deux disque de jazz piano solo,l'un est produit par le label Bee jazz , l'autre autoproduit mais l'atmosphère qui s'en dégage est assezsimilaire... même si l'inspiration est parfois différente, les deux offrent une musique très poétique, et lesecond, comme le premier, mérite aussi d'être découvert, nul doute que le prochain enregistrement dupianiste Jean-René Mourot paraîtra aussi sous un label, du moins c'est ce qui lui faut espérer si les labelssurvivent à la crise du disque, car il ne faut pas se voiler la face : l'autoproduction est ce à quoi sont contraintsde plus en plus de pianistes, et autres musiciens, certains créant leur propres labels...

    Inspiration pas si différente en effet puisque les deux ont suivi des études de musique classique, et le disquedu pianiste suédois Jan Lundgren comprend un titre inspiré de Fauré, certains titres n'étant pas descompositions originales mais des arrangements... et dans la musique du pianiste français Jean René Mourot ,dont toutes les compositions sont originales, on "perçoit une architecture lyrique et romantique, serapprochant de la musique française (Debussy, Satie)" . Le pianiste suédois s'inspire en outre de la traditionfolk venue du Nord et de groove jazz.... tandis que Jean René Mourrot s'est aussi imprégné de musiciens dujazz. La musique de l'un comme l'autre est idéale pour débuter la semaine en douceur...

    Mais commençons par celui qui a la chance de sortir chez le dynamique label Bee Jazz, un enregistrement dupianiste suédois Jan Lundgren qui dans sa jeunesse a été vu comme l’un des plus grands talents... du tennissuédois depuis Björn Borg, il s'est trouvé depuis une nouvelle vocation : le piano jazz. Quoique en fait sonintérêt pour le piano a commencé très tôt puisque Jan Lundgren, né le 22 mars 1966 à Kristianstad dans lesud de la Suède, a grandi à Ronneby, lekinge, où il a reçu ses premières leçons de piano à l’âge de cinq ans.Après une longue période de formation classique, Jan Lundgren découvre le jazz plus ou moins par hasard à lafin des années 1980. Instantanément séduit il s'imprègne rapidement de toute la tradition du piano jazz etacquière une connaissance incroyable de tout le registre jazz américain peut-on lire dans son dossier de presse.Dès 1994 il sort un disque titré : "Conclusion" , en fait une introduction pour lui puisque ensuite il enregistresept albums en trio pour Sittel records qui rencontrent un vif succès. Il a accompagné des grands noms de lamusique dont la chanteuse Stacey Kent et donné nombreux concerts dans des festivals de jazz et il estd'ailleurs lui m^me directeur artistique de l'Ystad Sweden Jazz Festival, très réputé en Scandinavie.A 46 ans il sort donc son premier album solo, s'étant finalement décidé à affronter la situation la plusappréhendée pour un pianiste : être seul face à son instrument.

    Jan Lundgren livre un univers musical où sont combinés un sens unique de la mélodie et une poésie jazz... Lerépertoire est constitué de chansons de compositeurs nordiques tels que Bo Nilsson ou Hakan Rydin(...précisions peut-être utiles pour ceux qui connaîtraient...) , d'une reprise de film : le thème de Chinatown deRoman Polanski, ainsi que des compositions originales ...dont celle qui donne le titre du disque : Man in theFog et Après un rêve de Fauré...que tout le monde connaît ( ou presque tout le monde devrait connaître dumoins en France... ) !

    L'autre disque est du pianiste français Jean René Mourot, dont l'âge n'est pas précisé mais qui estprobablement un peu plus jeune puisque lui aussi a commencé par des études de musique classique auconservatoire de Nancy en trompette, piano (notamment dans la classe de Cédric Tiberghien) et musique dechambre, Jean-René Mourot s'oriente vers les musiques « actuelles » dans diverses formations évoluant entrela pop, le rock et la chanson française. Ces formations lui permettent de jouer dans divers festivals et salles deconcert (Nancy Jazz Pulsations,Printemps de Bourges, Nuits de Nacre, Sentier des Halles, Zèbre de Belleville...), et de participer à desémissions radios nationales (France Inter, France Bleu…). Il travaille dans divers studios (Twin Studios,Studio Garage…) en tant que musicien et arrangeur (quatuor à cordes, quatuor de cuivres) notamment pourPaul d'Amour (Wagram Label) en collaboration avec Jean-Louis Piérot (Bashung, Thiéfaine…). Il étudie le

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    1 sur 3 26/02/13 12:43

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    Février 2013 – Culture Jazz

    www.culturejazz.fr / février 2013

    JAN LUNDGREN : "Man In The Fog"

    Jan LUNDGREN : "Piano solo – Man In The Fog"

    Bee Jazz / Abeille Musique

    "OUI ! On aime !"

    Nous parlions un peu plus haut avec Sienna Dahlen d’air et d’eau. Jan Lundgren évoque lui aussi avec des entrelacs méandreux la nature fragile de la mélodie, d’où qu’elle naisse. Il fait chanter son piano avec une aisance et une finesse magistrales. Le climat de l’ensemble est à l’image du morceau éponyme ; d’un titre à l’autre l’oreille navigue entre brume aqueuse et paisibilité bucolique, au plus près d’une douceur propice à la rêverie. Aucune virtuosité débridée à dénoter, juste le jeu d’un pianiste qui maîtrise parfaitement son instrument, son sujet et son désir de simplicité.

    Certes, les tenants de l’aventure improvisée ultime n’y verront que douces fadaises et autres chopinades sucrées. Il nous semble, quant à nous, que les extrêmes sont faits pour se rencontrer et que l’on peut à bon droit se délecter de ce disque sans pour autant détester Ornette Coleman. Tout est affaire de circonstance, pour le musicien comme pour l’auditeur. Cette sorte de blues à l’européenne donnerait au cinéma de longs et lents travellings. Sûr qu’il y aurait une barque au bord de la rivière et Virginia Woolf, un peu plus loin, entrant dans ses reflets gris sous une fine ondée. À moins que l’on assiste au dernier soupir de Proust. De toute façon, ce serait obligatoirement en fin d’après-midi, entre chien et loup. Parce qu’à cette heure étrange, l’incertitude ajoute au doute ce que l’écho donne au silence.

    . :: Yves Dorison ::.

    JAN LUNDGREN : "Man In The Fog" - Bee Jazz BEE059 - distribution Abeille Musique - (parution le 14/02/2013)

    Jan Lundgren : piano Steinway Model D-274

    01. The Maids of Cadiz (Léo Delibes) / 02. View of P (JL) / 03. Après un Rêve (Gabriel Fauré) / 04. I Don t Want To Cry Anymore (Victor Schertzinger) / 05. En Lång Väntan För Väntans Skull (Bo Nilsson) / 06. Man in the Fog (JL) / 07. Twenty-Five Years (Håkan Rydin) / 08. Theme From Chinatown (Jerry Goldsmith) / 09. As Vitrines (Chico Buarque) / 10. Tack För Allt (Jacques Werup)

    > Liens :

    • www.janlundgren.com • www.beejazz.com/Lundgren • jazz.abeillemusique.com/The-Man-In-The-Fog

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    2013 – Pianiste Magazine

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    Février 2012 – Culture Jazz

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    Janvier 2012 – Wall Street Journal

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    Mai 2009 – 24 h

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    Avril 2009 – l’Alsace (Mare Nostrum)

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    Avril 2009 – Jazz Thing (Allemagne)

    Ehrengutstr. 28 I D - 80469 München I Tel. 089 / 72 94 92 0 I Fax 089 / 72 94 92 11 I www.actmusic.com

    Jazzthing (DE)April 2009

    Reinhard Köchl

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    Juillet 2008 – Musicweb-International

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    Musicweb-international.comJuli 2008

    Glyn Pursglove

    BUY NOWAmazonUK AmazonUS

    Paolo FRESU ! "#$%&"'(&))#&*+ ! ,&* )-*'(".*

    Mare Nostrum

    ACT 9466-2 [62:45]

    Mare Nostrum (Lundgren) [5:55] Principessa (Galliano) [4:35] Eu Nao Existo Sem Voce (A.C.Jobim, V. de Morales) [2:58] The Seagull (Lundgren) [3:18] Que reste-t-il de nos amours? (Trenet) [4:32] Years Ahead (Lundgren) [5:05] !"#$%&' ($)*+,%-. /0-.'12 3456478*%+ 9$+-. /:%;;$%#"2 3.- ?.; @$+"-#" /0-.'12 345A47BC.# D"1- E$#? /F1#?)-.#2 3456G7

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    Mars 2009 - Jazz’n’More (Suisse)

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    Jazz!"!#$%& '()*March 2009

    Silvano Luca Gerosa

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    Mars 2008 – Classica (Mare Nostrum)

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    Mars 2008 – Il Giornale de Vicenza

    ! Sabato 8 Marzo 2008

    !

    JAZZ /1. TROMBETTISTA, FISARMONICISTA E PIANISTA APPLAUDITI AL MAXLIVE DI

    COSTABISSARA

    Un trio di gentiluomini con passione e sapienza Fresu, Galliano e Lundgren in magnifico equilibrio nel “Mare Nostrum” lungo una

    serata che regala anche perle classiche!

    Antonio StefaniCOSTABISSARALa sapete quella del francese, dello svedese e dell'italiano che decidono di suonare assieme?Ecco, detta così sembra l'apertura di una barzelletta, e invece è la radice di una delle più originali e stuzzicanti esperienze di cui possa fregiarsi l'odierna scena jazz europea. Il progetto si chiama Mare Nostrum - un po' omaggio al Mediterraneo, un po' testimonianza di un incontro fra amici - e lo conducono il trombettista Paolo Fresu, il fisarmonicista Richard Galliano e il pianista Jan Lundgren, tre gentiluomini che coltivano il gusto di una conversazione dove nessuno reclama per sé la parte del protagonista, ma nella quale amabilmente ci si parla e ci si ascolta per davvero, proseguendo il discorso sul filo di una comune sensibilità.Quel che ne esce è un episodio tutto da gustare anche per chi ricopre il ruolo dello spettatore, chiamato ad apprezzarne l'eleganza, l'arte comunicativa, la serenità espositiva: belle linee melodiche orchestrate con l'accortezza di non sovraccaricarle di tecnicismi gratuiti, e nitidezza di tocco, confidenza che punta all'essenziale, non una nota in più - o in meno - del necessario.Tra delicate composizioni proprie - quelle affidate anche al disco recentemente pubblicato - e omaggi assortiti, la classe del trio procede attraverso suggestioni che mescolano increspature impressionistiche e cordialità swingate, transalpini tocchi di musette ed echi brasiliani, folk scandinavo e blues. Pagine come appunto Mare Nostrum, o Principessa, Eu nao existe sem voce, The Seagull, Years Ahead, Valzer di ritorno, Liberty Waltz, consentono all'accordion di Galliano, al flicorno di Fresu e alla tastiera di Lundgren di tracciare un itinerario dove le rotte e i climi sono diversi, ma la navigazione possiede l'esperienza, l'intelligenza e la calma necessarie per giungere ogni volta a un approdo felice proprio perché l'equipaggio ci mette non soltanto bravura, ma passione profonda, generosa sapienza.Succede così che con sorprendente naturalezza l'interplay dei tre riesca a evocare persino il Ravel di Ma mère l'Oye o che, al momento dei bis, transiti da una romantica versione di Que reste-t-il de nos amours (1942) dello chansonnier Charles Trenet a uno dei più struggenti madrigali del divino Claudio Monteverdi, Sì dolce è 'l tormento (1624), con un sentimento tanto intenso nella voce degli strumenti quanto raffinato e partecipe nella forma espressiva che li lega.E l'esito, durante l'affollata e applaudita tappa dell'altra sera al MaxLive realizzata in collaborazione con Veneto Jazz, è di generale, ampia soddisfazione.

    !

    © Copyright 2008, Athesis S.p.A. - Tutti i diritti riservati

    11-03-2008 23:05Giornale di Vicenza

    Pagina 1 di 1http://www.ilgiornaledivicenza.it:80/ultima/oggi/Spettacoli/A.htm

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    13 Mars 2008 – La Tribune de Genève

    JEUDI 13 MARS 2008WEEK-END

    TRIBUNE DE GENÈVE4 SORTIR SCÈNES

    JEUDI 13 MARS 2008WEEK-ENDTRIBUNE DE GENÈVE

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    Anouar Brahem TrioLe grand maître de l’oudMardi 18 mars à 20h30

    Musique du monde

    Théâtre ForumMeyrin / T. 022 989 34 34 / www.forum-meyrin.chService culturel Migros GenèveStand Info Balexert / Migros Nyon-La Combe

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    L'Ange du foyerCréation AliasChorégraphie Guilherme BotelhoDu mardi 1er au jeudi 3 avril à 19h00

    Danse / Famille dès 7 ans

    Théâtre ForumMeyrin / T. 022 989 34 34 / www.forum-meyrin.chService culturel Migros GenèveStand Info Balexert / Migros Nyon-La Combe

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    Paolo Fresu, R ichard Galliano et Jan Lundgrennaviguent sur l’océan sans limites du jazzCONCERT Réunipar le pianiste JanLundgren, le trio«Mare Nostrum»fait escale auVictoria Hall.Rencontre.LUCA SABBATINI

    Qu’est-ce qui peut bienréunir le trompettistesarde Paolo Fresu, l’accor-déoniste niçois RichardGalliano et le pianiste sué-dois Jan Lundgren?L’amour du jazz et de lamer. «Mare Nostrum»,c’est la réunion de troisstars de la scène musicaleeuropéenne à la recherchede leurs origines commu-nes. Le résultat: un pre-

    mier album désignécomme un chef-d’œuvrepar toute la presse spécia-lisée (CD ACT/Musikver-trieb). Vendredi, ce triod’exception fera résonnerses mélodies poétiques surla scène du Victoria Hall.

    A l’origine de ce fabu-leux projet, Jan Lundgren,un pianiste suédois enquête permanente de nou-veaux défis. Rencontre.

    Comment est né «MareNostrum»?

    Tout a commencé dansun festival au Japon, oùjouait aussi RichardGalliano. Il a écouté monconcert, ça lui a plu, noussommes restés en contact.Plus tard, mon agent, leLausannois René Hess,m’a envoyé des disques dePaolo Fresu que j’ai ado-rés. L’association inéditede deux Latins avec unSuédois était née! La pre-mière fois que nous noussommes rencontrés tousles trois, nous avons eu uncoup de foudre musical lesuns pour les autres.

    Une trompette, un accor-déon et un piano, c’est uneformation inhabituelle…

    Oui, la combinaison estrare, mais elle fonctionnebien. Tout est question detempérament. Nous avonsl’air calme en surface,mais ça bout à l’intérieur!

    Nous partageons les mê-mes valeurs musicales,l’amour de la mélodie, no-tamment, mais aussi unintérêt pour la musiquepopulaire. Paolo a travaillésur le folklore sarde, Ri-chard joue du tango et dela musette, j’ai enregistréun album d’improvisa-tions sur des chansons tra-ditionnelles suédoises. Etnous parlons un langagecommun, le jazz.

    Vous passez avec aisanced’un projet à l’autre. D’oùnaissent les idées?

    Des rencontres. A part«Mare Nostrum», j’ai unautre projet où j’improviseau piano sur des chants dela Renaissance. L’idéem’est venue en écoutant letravail d’un chef de chœurque je connais depuis desannées. Le mélange fonc-tionne très bien!

    Votre style pianistique mêleswing et impressionnisme…

    Jusqu’à 14 ans, j’ai étu-dié le piano classique. Puisj’ai découvert Oscar Peter-son et ma vie a changé. Jesuis tombé amoureux del’improvisation, du fee-ling… Improviser, c’estcomme apprendre à par-ler, un mélange d’imita-tion et de création. Il fautsavoir rester soi-mêmetout en écoutant lesautres. Jan Lundgren. «Il y a un grand respect pour le jazz en Suède.» (STEEVE IUNCKER GOMEZ)

    ! MARE NOSTRUMPaolo Fresu,Richard Galliano, JanLundgren TrioVictoria Hall, vendredi 14mars à 20 h 30, locationtél. 0900 800 800, pointsde vente TicketCorner,Fnac, Manor, Globus, LaPoste, gares CFF.«Mare Nostrum», 1 CDACT/Musikvertrieb.

    Marc Perrenoud Trio. En concert lors de sa récentetournée en Argentine. (DR)

    Traditions irlandaisesau bord du LémanMUSIC-HALL«Rhythm of theDance» réunit28 danseurs,5 musicienset 3 ténors.CHANTAL SAVIOZ

    A les voir sauter et taperdes pieds à ce rythme, onne sait comment ils ont pualigner autant de specta-cles à travers le monde.Rhythm of the Dance faitescale ce week-end auThéâtre du Léman à l’oc-casion d’une tournée in-ternationale qui a conduit

    la troupe irlandaise à seproduire devant plus de3 millions de spectateurs.Le succès de cette comé-

    die musicale made in Du-blin tient sans doute autalent et à l’endurance des28 danseurs, 5 musicienset 3 ténors présents sur leplateau. Il est aussi à met-tre au compte d’une pro-duction ultra profession-nelle signée KieranCavanagh, une locomotivedans la profession quitient à son actif les showsde stars telles que JamesBrown, Van Morrison, Jo-hnny Cashes.Rhythm of the Dance

    propose une balade enterre irlandaise qui puiseson âme, ses traditionsdans la culture celte. Latrame de ce music-hall est

    inspirée de l’épopée desdeux clans rivaux: lesLeinster et les Ulster. Lechorégraphe Mark C. Ty-nan et le compositeur CarlHession s’inspirent de laculture millénaire celtepour reproduire des ta-bleaux modernes, une mu-sique originale incluantdes influences modernestelles que le beat, le jazz etla musique latino.Rhythm of the Dance se

    veut aussi un plaisir dessens. Costumes, lumièreshabillent ces deux heuresde fresque. Du spectacle,du rythme. Jusqu’à plussoif!

    ! «Rhythm of the Dance»,di 16 mars au Théâtre duLéman à 20 h. Réserva-tions Fnac.

    «Rhythm of the Dance». Le succès de cette comédie musicale made in Dublintient sans doute au talent et à l’endurance des 28 danseurs, 5 musiciens et 3 ténorsprésents sur le plateau. (DR)

    Marc Perrenoud Trio, dubeau piano jazz au laboLieu culturel aussi élégantque mystérieux, le Flux La-boratory carougeois invitejeudi soir le pianiste gene-vois Marc Perrenoud et sescomplices, le bassiste MarcMüller et le batteur CyrilRegamey.

    Une occasion idéale poursavourer le jazz coloré etdynamique de ce formida-

    ble trio, juste après unetournée argentine couron-née de succès et juste avantl’enregistrement d’un pre-mier CD. Luca Sabbatini" Marc Perrenoud Trio, FluxLaboratory, 10, rue Jacques-Dalphin, Carouge, jeudi 13mars à 21 h 30, loc.022 308 14 50,www.fluxlabo-ratory.com, entrée 20 francs.

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    contact : Victor Pénicaud- 01.48.00.81.03 – [email protected]

    Mars 2008 – Terrassa (Mare Nostrum)

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    Mars 2008

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    Février 2008 – Le Matin (Suisse)

    31L E G U I D EMardi 19.2.2008 LeMatinÀ L’AFFICHE

    YLa«StarAc’»àLausanneVainqueur de la 7e édition de la«Star Academy», le Quentinfranco-suissefoulera lascène del’Odyssée àMalley, le22 maiprochain. Avecles viennent-ensuiteMathieu, Lucie, Jeremy, Bertrandet Claire Marie. Un concert unique,promis «totalement inédit parrapport aux années précédentes(…) savant mélange de musiqueelectro et live». Un DJ et un MC«mondialement reconnus» serontégalement du spectacle.k Lausanne, Espace Odyssée(Prilly), je 22 mai (20 h). Loc. TicketCorner, Fnac. Rens. www.lmprod.ch

    Y«Pierre&fils»àMontreuxC’est l’histoire de Pierre, du genre

    SDF, qui sefaitprendre lamain dansle rayond’unsupermar-ché deprovincepar Pierre,

    directeur psychorigide duditmagasin. Or Pierre et Pierre sontpère et fils, mais le second ne lesait pas… Dans la lignée de «Ilss’aiment» et «Ils se sont aimés»,voici les nouvelles tribulationsd’un couple imparfait interprétépar Pierre Palmade et PierreRichard. Irrésistiblement drôle.k Montreux, Auditorium Stravinski,je 28 et ve 29 mars (20 h 30). Loc.Ticket Corner, Fnac. Rens.www.opus1.ch

    CULTURE Le pianiste Jan Lundgren,au jeu si limpide, en concert à Genève

    GENÈVELe pianiste suédoisretrouve en marsRichard Gallianoet Paolo Fresuau Victoria Hall.Rencontred’un musicienexceptionnelk Jean Ellgass

    [email protected]

    Il n’aime pas parler de lui. Ilsourit, vous regarde droit dansles yeux comme s’il cherchait àdeviner le propos. Alors il pré-vient: «Il y a de ces questions siembarrassantes. Qu’est-ceque je peux bien répondrequand on me demande qu’est-ce que lejazz? Si vous ne le savez pas vous-même,vous ne saurez jamais ce qu’est le jazz!»

    Né à Kristianstad (sud de la Suède), le22 mars 1966, d’un père «prof d’histoireet de sociologie» et d’une maman «àplein-temps», Jan Lundgren est pianistecomme on respire, depuis l’enfance. Ala maison, pas de pick-up ou de radio,mais un clavier. Son père jouaitd’oreille, Jan et sa jeune sœur appre-naient les gammes. Avec obstination etpassion. «J’ai commencé à l’âge de 5 ans,du classique, tout le classique, je n’aijamais arrêté jusqu’à l’âge de 24 ans.»

    A 12 ans, il s’offre son premier tour-ne-disque: «Par curiosité. Pop, rock,disco, je voulais tout écouter. Avec lescopains, on tapait le ballon après lescours et quand on rentrait, on jouaitaux cartes en écoutant les disques.»Mais au piano, le classique, encore. «Jene sais toujours pas pourquoi, mais unjour, j’avais 14 ans, mon professeur medonne pour devoir de la semaine d’aller

    acheter un disque d’Oscar Peterson etde l’écouter. Je n’y ai rien compris, maisje suis tombé amoureux. C’était si mys-térieux, l’improvisation totale, à un telniveau d’émotions. Alors j’ai toutacheté! C’était comme une maladie:McCoy Tyner, Erroll Garner, Bill Evans,Herbie Hancock. Je voulais compren-dre, entrer dans ce genre de feeling.»

    k Il laisse tomber le tennisA ce stade-là, c’est du sérieux. L’ado, quise révèle aussi doué au tennis, fait rêverla Suède qui croit tenir un nouveauBjörn Borg, mais Jan Lundgren rigole:

    «Quand j’ai découvert ceque la musique pouvaitm’apporter, je n’ai pashésité une seconde. J’ailaissé tomber.»

    Il passe sa maîtrise auRoyal College of Musicde Malmö. Et se décou-vre, à 24 ans, musicien à

    plein-temps. «Un jour, je me suis renducompte que je l’étais devenu. Au débutdes années 1990, la vieille garde du jazzsuédois était si populaire que nous lespetits jeunes arrivions sur la scène por-tés par leurs ailes protectrices.» Il a faitdu jazz sa vie. «Il m’apporte le grandmystère de l’improvisation! Commentest-ce possible d’aller toujours plus loin.On commence par imiter puis on

    trouve progressivement un son, on ap-prend à exprimer ses propres opinions.»Il roule pour Johnny Griffin, BennyGolson ou James Moody, puis formeson trio. Son jeu est limpide, une ca-resse. Il développe son langage en ques-tionnant le jazz, la musique contempo-raine ou folklorique suédoise, cultive lesrencontres. «Ce qui m’intéresse c’est defaire quelque chose ensemble», dit-il, enprésentant «Magnum Mysterium», sonnouvel album enregistré avec le GustafSjörkvist Chamber Choir. «C’est de lamusique contemplative, méditative. Lamusique de la renaissance s’est imposéeavec évidence pour ce projet.»

    A Genève le 14 mars prochain, c’estune autre partition qu’il écrira, avec sescompères Richard Galliano (accordéon)et Paolo Fresu (trompette). Le thème estconnu: «Mare Nostrum», du nom deleur disque paru l’an dernier. Et c’estmagnifique. !Y ConcertVe 14 mars, 20 h 30, Victoria Hall,Genève, TicketCorner, Fnac

    JanLundgren«MagnumMysterium»Act

    JAN

    «A 14 ans, j’ai acheté un disqued’Oscar Peterson. Je n’y ai riencompris, mais je suis tombéamoureux »Jan Lundgren

    «Le grand mystèrede l’impro»

    Ce Suédois, qui a fait du jazz sa vie, aura 42 ans en mars prochain. Patrick Martin

    YJoeSatrianià l’ArenaC’est le genre de guitariste qui joueplus vite que son ombre, unvirtuose de la six-cordes hard rockqui, dansles pas deson idoleJimiHendrix,parvint à seforger unstyleinstrumen-tal unique.Interprèteéblouissant, Joe Satrianienseigna son art à des classes dejeunes musiciens alors totalementfrappadingues de ce «guitar hero».Parmi lesquels figurent Steve Vaiet Kirk Hammett (Metallica), pasmoins…k Genève, Arena, ve 9 mai(20 h 15). Loc. TicketCorner, Fnac.Rens. www.lmprod.ch

    LUNDGREN

    DR

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    Duka

    s/Si

    pa

    DR

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  • INSTANT PLURIEL – 10, rue Bleue – 75009 Paris

    contact : Victor Pénicaud- 01.48.00.81.03 – [email protected]

    2008 – All Music Guide

    Mare Nostrum - (All Music Guide) Review by Christian Genzel Mare Nostrum's biggest surprise isn't its instrumentation -- a trio of accordion, trumpet and piano -- but how natural the combination sounds in its execution. Of course, Italian trumpeter Paolo Fresu, French accordion player Richard Galliano (who is of Italian offspring), and Swedish pianist Jan Lundgren are well-known, critically praised jazz musicians who have all been known to eschew musical boundaries and defy genre limitations, so the music on Mare Nostrum -- an album co-led by all three -- shouldn't come as a surprise, nor should its quality, and yet not everybody would have expected such marvelous results. The 15 compositions on the album include originals by all three musicians and several covers, touching upon jazz, tango, classical music, and folk, reinterpreting Charles Trénet ("Que Reste-T-Il de Nos Amours?"), encompassing Antonio Carlos Jobim ("Eu Nao Existo Sem Voce"), and Maurice Ravel ("Ma Mère L'Oye"). There is an almost delightful sense of trust and ease among the three performers, who never take away their bandmates' spotlights, and who find a balance between playfulness and restraint throughout the album. The music is evocative, as if it was the soundtrack to a missing Louis Malle movie, and much of it creates a warm feeling of gentle nostalgia, even on the more up-tempo tracks. Let's hope these musicians meet again to record more music -- Mare Nostrum is a precious gem.

    Décembre 2007 – OM Jazz 2007

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    contact : Victor Pénicaud- 01.48.00.81.03 – [email protected]

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    13 janvier 2008 – The Observer Review (Mare Nostrum)

    5 novembre 2005 – L’Express (Mare Nostrum)

    CULTURE & SOCIÉTÉ13 Lundi 7 novembre 2005 L’Express

    ParA l e x a n d r e C a l d a r a

    Les musiciens les plusfascinants de l’histoirede la note bleue n’ontpas peur de se frotter aux au-tres genres musicaux. A 44ans, le trompettiste et buglistesarde Paolo Fresu appartientà cette catégorie d’indompta-bles poètes du son. Le nomde son dernier opus «Kosmo-polites», dit bien cette pas-sion de l’autre, qui lui permetde diriger son quintet italiendepuis 1984, tout en s’en-gouffrant dans des aventuresplus ethniques avec le KocaniOrchestra ou des musicienszoulous. Vendredi, à Morges,nous avons rencontré un jazz-man pressé et sûr de lui quitourne les pages de sa vie avecdandysme. La proximité dulac lui rappelait un beau sé-jour chez Malcolm Braff pourl’aventure africaine Farafina.

    Comment se passe cettenouvelle aventure en trioavec Richard Galliano et JanLundgren?

    Paolo Fresu: Nous avonsdonné trois concerts en Suèdeet nous voici en Suisse romandeoù nous jouons une fois à la ra-dio et à deux reprises sur scène.Pour un cuivre, jouer sans con-trebasse peut être compliqué,mais en même temps cela laissede la place à ma sonorité. Nousprésentons une musique plutôtacoustique, un jazz de chambreteinté de nos propres univers:donc Trenet, Monteverdi et desstandards suédois.

    Que signifie pour vousjouer du jazz aujourd’hui?

    P. F.: Il faut que cela restede la musique populaire. Ondoit tenir compte des racines

    afro-américaines. Apprendreen écoutantMiles Davis, ChetBaker et Charlie Parker. Maison peut amener des nouvel-les choses liées à l’histoire denos traditions. Mes inspira-tions viennent du baroqueitalien, des chants tradition-nels sardes, mais aussi de lamusique bretonne et vietna-mienne. Le futur du jazzpasse par son ouverture auxautres cultures.

    Comme directeur du festi-val Time in Jazz à Berchiddaen Sardaigne, vous êtesguidé par le même état d’es-prit?

    P. F.: Nous sommes à la 19eédition d’un festival démarrédans mon village natal de2500 habitants, aujourd’huinous accueillons 30.000 per-sonnes. Chaque année nouschoisissons un thème, cettefois-ci les rapports entre gas-tronomie, vin et jazz. Pourmoi, programmer c’estcomme écrire une partitionen face du piano. Je recher-che la relation créative entrel’art plastique et la musique.Ou le sens d’organiser unconcert à six heures du ma-tin.

    Un jazzman peut-il êtreengagé socialement?

    P. F.: Je suis connu en Ita-lie et très célèbre en Sardai-gne. J’ai le droit et même laresponsabilité d’utiliser cetteimage en soutenant active-ment les campagnes d’Am-nesty International. Nousmontons un projet en Afri-que avec le metteur en scèneMarco Baliani. Des enfantsde la rue participent au spec-tacle sur le thème de la séro-positivité. C’est important!/ACA

    Universellement sardeJAZZ Le trompettiste Paolo Fresu parle du nécessaire métissage de la musique afro-américaine et de son festival deBerchidda. Un poète au son de velours en escale à La Chaux-de-Fonds avec ses complices Galliano et Lundgren

    Paolo Fresu au bugle et tout près de Richard Galliano. PHOTO LEUENBERGER

    VU AU THÉÂTRE DU PASSAGE

    Délire de fête «gypsy»ParA l e x a n d r e T r a u b e

    Fumigènes odorants,projecteurs, puissantesonorisation: voilà quisemble loin du contexte de lamusique tzigane. Le specta-teur oublie cependant bienvite ces concessions à la pro-duction de masse, subjuguépar l’immense talent des 24artistes du 3e Oriental & Fla-menco Gypsy Festival et l’es-prit de fête qui préside à lasoirée.Si ce spectacle a été donné

    au Passage mercredi et hier,le présent compte rendu sebase sur la représentation deLausanne, vendredi soir. Legroupe arabe Arez ouvre lasoirée: violon virtuose, per-cussions et superbes danseu-ses. Les styles très différentsdes deux demoiselles opè-rent tous deux une forte sé-duction, du moins sur unemoitié du public. On oublie-rait presque l’attrait de ladanse du ventre, sur solo dedarabuka, lorsque la secondedanseuse se métamorphoseen fleur tournoyante. «Fla-

    mencos en route»: une ma-gnifique voix d’alto, doulou-reuse, androgyne et envoû-tante, déploie toute la pas-sion du mythique art espa-gnol. Le sommet du specta-cle est incarné par un dan-seur extraordinaire.

    La magie des GitansCharisme, corps parfait et

    puissamment musclé, sen-sualité, perfection des pas etdes figures, brusquerie, portaltier. Il incarne pleinementle mâle hispanique et c’estl’autre moitié de la salledont on entend alors les crisaigus.Pure jubilation et dialo-

    gues denses. Après une telleprésence, le groupe suisse etmacédonien Ssasa paraît unpeu pâle. Nous sommes em-portés cependant par la clari-nette pleureuse et subtile oubombarde orientale réjouis-sant les cœurs par ses phra-ses stridentes et sans fin. Ledernier ensemble, Dhoad,nous emmène au cœur de lamagie des Gitans du Rajas-than, au nord-ouest del’Inde. Magie des tablas, rois

    de la percussion indienne, dela voix, avec un chantre auxtenues suraiguës extraordi-nairement expressives, de ladanseuse à la grâce mysté-rieuse, et magie tout court,fakir oblige, dont les défis àl’équilibre et à la douleur de-meurent toujours surpre-nants. Folie du rythme etpure jubilation s’emparentdes musiciens.

    Des mélanges évidentsElles se communiquent

    aux autres groupes qui re-viennent sur scène au traversde dialogues denses. Rajpûtschantant dans leur languesur des airs espagnols, ac-compagnés par les guitaris-tes; danseurs de flamenco surmusique râjasthâni. Ces mé-langes ne sont pas là jeux gra-tuits ou tendance politique-ment correcte de rapproche-ment des peuples. Les sour-ces communes de ces musi-ques apparaissent avec évi-dence. Ces dialogues se mul-tiplient avant le bouquet fi-nal réunissant tous les artistessur scène dans un délire defête. /ATR

    ParA l e x a n d r e C a l d a r a

    Derrière le bar, la fille de-mande timidement:«C’est quoi le spectacle cesoir?» Jacques Demierre ne luirépond pas avec la tranche dela main qui s’abat comme unehache sur le zinc. L’improvisa-teur semble un peumal à l’aiseet finit par lâcher: «De la musi-que improvisée.» La serveusen’est pas bouleversée. Le pia-niste genevois finit son café ets’en va sur la pointe des pieds.La modestie et la tendresse dumusicien ne donnent pas lesclés de sa férocité survoltée enface et à l’intérieur du clavier.

    Samedi soir, au théâtreABC, à La Chaux-de-Fonds ona rendez-vous avec une des for-mations les plus hardcore de lascène improvisée. Comme siconcession était un gros motbroyé dans les cordes de lacontrebasse et du piano, tri-turé sans merci par le souffledu saxophoniste. Le TrioLeimgruber - Demierre - Phil-lips investit l’espace de ses

    bruits ruminés, rongés par lanoirceur.

    Pas de recherche de beauté.Même si les trois instrumentsdélivrent par moments une al-chimie déconcertante et re-doutable. Mais les improvisa-teurs semblent vouloir dire lagravité et la responsabilité dumusicien, du transporteur desons et ils le crachent à lagueule de la société de con-sommation. Mais chacun le faitavec malice et une virtuositédéconstruite assez sidérante.

    Un sax démembréA la contrebasse Barre Phi-

    lipps, membre humble et om-niprésent de toutes les plusgrandes aventures libertairesde la musique de ces quarantedernières années. Comme leprouve la récente réédition deson duo en 1971 avec DaveHolland «Music for two bas-ses». Samedi, on admire son ar-chet frapper les cordes, se tor-dre, se disloquer. Il le retourne,l’emploie à l’envers, joue sur lebois, entre dans les cordes, pé-nètre l’instrument, le maltraite

    un peu mais toujours à la re-cherche du son tordu et mira-culeux.

    Quand l’on regarde UrsLeimgruber on s’étonne qu’ilpuisse produire autant de sonsans prendre l’instrument enbouche. Il zizgzague autourcomme s’il pouvait l’éviter ettrouve des murmures étrange-ment poétiques. Il finit mêmepar le démembrer complète-ment. Et les rares moments oùil souffle comme les autres dansun ténor ou un soprano, la plé-nitude de sa musique éblouit.

    Fil d’ArianeJacques Demierre ne met

    pas de frontière entre corps etinstrument. Il se jette dessus,en caresse le côté, trifouille lescordes, se démultiplie avec dex-térité, contamine le son, vita-mine les notes blanches et noi-res, mélangent tout et grogne.

    On ne peut dissocier ce quefont les trois musiciens, ils ti-rent un même fil d’Ariane.C’est compliqué, bien sûr,mais si indéfinissable commel’amour fou. /ACA

    ParD e n i s e d e C e u n i k

    Américain, le trio Gal-liano, Lundgren, Fresuferait, outre-Atlantique,une énorme carrière. Vrai-ment énorme, mais passons,c’était juste pour situer le ni-veau.

    Sur sa chaise, avec sa façontrès particulière de s’y arc-bou-ter, Paolo Fresu a le jazz dans lesang.

    Soulevé par les thèmes lancéspar ses partenaires, souveraine-

    ment désinvolte sur son bugle,Paolo Fresu rêve à haute voix:l’instrument prend des cou-leurs de feu. Puis, lorsqu’il sortsa trompette, cachée jusque-là àl’intérieur du piano, c’est de ladentelle qu’il fabrique, ou de lapluie ou du cristal.

    Lieux exotiquesLe pianiste Jan Lundgren,

    c’est le plus intellectuel dugroupe. Précis, il est aussi finque discret. Sa technique clas-sique, volubile, lui permet dedévelopper des improvisations

    parfaites d’intelligence et de ri-gueur. Sa composition exhaled’exquises effluves nordiques.

    Folk suédois et PiazzollaRichard Galliano flirte avec

    Astor Piazzola tout en se nour-rissant de jazz. Il invente deslieux exotiques, explore l’ima-ginaire de l’accordéon. On ad-mire sa virtuosité, sa sensibilitésur l’instrument auquel il adonné ses lettres de noblesse.Galliano c’est encore un style,un ton particulier proche duterroir. Lorsqu’il écrit, il déve-

    loppe un sérieux bagage côtéharmonie et contrepoint.

    Les thèmes sont issus de lachanson, du folk suédois,d’Astor Piazzolla, de quelquesstandards. On apprécie lescompositions des trois musi-ciens, dissemblables et pour-tant si proches par la naturede la question qui les rassem-ble tous: être musicien de jazz,aujourd’hui.

    Un immense public a ap-plaudi ce trio en état de grâce,samedi soir à L’Heure bleue àLa Chaux-de-Fonds. /DDC

    Dissemblables et très proches

    VU ET ENTENDU AU THÉÂTRE ABC

    L’impro qui crache la gravité